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@novicetimide Ce sentiment d'avoir rencontré des personnes aisées aurait sûrement été encore plus évident, il y a 30 ans.
Depuis le bdsm s'est démocratisé. Il est vrai qu'à cette époque une jolie tenue coûtait un bras. Je tiens à vous signaler que ce n'est pas forcément ceux qui font étalage 
de leurs biens qui sont les plus riches. C'est particulièrement vrai pour les objets censés représenter votre
niveau de vie comme la voiture, le smartphone, l'habillement ...
le monde bdsm n'est pas meilleur que le monde vanille. Où est d'ailleurs la frontière quand on sait que les objets bdsm ont fait un carton ces dix dernières années? Il ne s'est jamais
vendu autant de cordes, de menottes et autres artifices. La première chose que vous comprennez quand vous avez de l'argent, et que vous recherchez une relation amoureuse
(bdsm ou non) c'est que d'en faire étalage ne vous servira pas. Il existe aussi dans ce monde des personnes qui essaient d'en profiter...  Vous savez le monde (bdsm/vanille/chocolat ...appelez le comme vous voulez) est de plus en plus fondé sur le "paraître"
et non le "être"  Je vous rejoins sur vos propos sur le budget : sortir à Paris (ou une grande ville)  n'est pas donné à tout le monde : Il y a quelques temps je devais participer à un repas sur Paris pour y rencontrer une personne. Deux solutions s'offraient à moi : - m'y rendre en train et rentrer par RER ce qui m'aurait fait louper le dessert ...sans compter l'insécurité grandissante
des transports publics et de la fiabilité de moins en moins au rendez-vous.
- M'y rendre en voiture, prendre le risque d'une amende (les limitations de vitesse sont peu visibles), payer 20 voire 40
euros de parc de stationnement, me taper les bouchons, et cela sans compter le repas et le carburant.  On peut aussi mentionner les autres désagréments : odeur qui s'incruste dans vos vêtements, vos cheveux ...le bruit étourdissant
pour un homme comme moi qui vit au milieu des petits lapins.  Pour ce qui est du cinéma, j'en suis feru, pourtant si je parle de LVS, de Vinterberg, ou encore de Ryūsuke Hamaguchi, ou de
Lee Chang-Dong qui va me suivre? Comme quoi le cinéma sponsorisé par cette association caritative qu'est le trésor public ne donne pas grand chose si j'en juge par les navets ou films médiocres produits par le cinéma français. (il y a quelques exceptions, j'en conviens) J'en profite pour citer le film : "dogs don't wear pants" du réalisateur finlandais Jukka-Pekka Valkeapää sur le thème du bdsm
qui est digne d'intérêt ( Ce n'est pas un chef d'œuvre non plus ) Film de 2019. Ce film n'est jamais cité dans les filmographies
bdsm. Je voulais juste corriger ce manquement. Je vous rejoins sur le fait que sans diplôme en France il est difficile d'atteindre certains postes (j'ajouterai aussi
sans relation ...) c'est différent dans les pays anglo-saxons ou scandinaves, pourtant rappelez-vous à l'école qui pouvaient laisser présager qu'il deviendrait dominant une fois adulte : le bigleux du premier rang ?  Bien à vous
 
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