Lady Spencer
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Sujet omniprésent en BDSM et qui, pourtant, me pose toujours un problème : je n'aime pas humilier.
Paradoxe pour moi alors que j'apprécie de faire vivre certaines situations humiliantes, mais rabaisser un homme ou une femme juste pour dégrader ne me plait pas.
Je "jouerai" beaucoup plus sur l'humilité, en rabaissant l'égo du soum face à moi, cette voie là m'attirera davantage.
Mais "fracasser" du soumis en le forçant à devenir cette chose humiliée, rampante, avilie, déshonorée (ces mots là sont des mots de soumis), j'ai du mal.
Et pourtant, que d'hommes soumis espèrent vivre ces situations là !
Fantasmes ? Désirs réels ? Expériences déjà vécues avec envie de les revivre ?
Pourquoi ce désir de vivre une humiliation ? Parfois même, un besoin.
Que vous apporte ce rabaissement ? Il vous permet de franchir une porte en vous, mais laquelle ? Et elle ouvre sur quoi, cette porte ?
Parce que, bien-sûr, je parle d'humiliation consentie, celle qui est au cœur de la demande du soumis, et si je masculinise le propos, c'est parce que je vois beaucoup moins d'attirance pour l'humiliation chez les femmes soumises : je me trompe ou pas ?
Et quid aussi, de l'humiliation non consentie ? Ou non attendue ?
Celle qui vous est tombée dessus, quelle qu'en soit la pratique, soft ou non, où vous vous êtes sentis vraiment humiliés ?
Autre interrogation : que vous apporte ce besoin d'humilier, Mes Dames et Messieurs les doms ? Pourquoi ce besoin de puissance se transforme t'il en besoin de rabaisser l'autre ? C'est une vraie question et pas un jugement bien-sûr !
La question peut être inversée, d'ailleurs : le besoin de rabaisser qui se transforme en une surpuissance lorsque le soum est à terre, physiquement, moralement, sexuellement ?
Pour les doms donc, ne pouvez-vous dominer qu'en humiliant l'autre ?
Et à propos de sexe, l'humiliation est-elle toujours érotique ?
Certains hommes disent ne pouvoir être sexuellement excités qu'à travers l'humiliation : ok, je ne vous demande pas de vous allonger sur le divan, ce n'est pas le bon moment.
Mais ces hommes là, ne peuvent trouver de partenaires à leur "goût" que par la soumission car peu de partenaires lambda vanilles, aiment humilier leur conjoint.
Pas simple à analyser et à comprendre, ces besoins.
L'humiliation, live et/ou à distance, puisque cette pratique peut très bien se réaliser au téléphone par exemple, est-elle un élément constant dans votre soumission ? Et la vivez-vous en privé ou en public ? J'entends "public", en clubs par exemple, avec des personnes initiées.
Pas au milieu du square ou au super-market en faisant les courses (quoique, je l'ai fait vivre à un soumis, ce fut fort agréable, pour moi !!:smiling_imp:)
Beaucoup d'écrits ont été publiés sur l'humiliation, les avis et désirs sont très personnels parfois mais toujours intéressants : il ne s'agit pas de cataloguer et de mettre une note sur ce qui est le plus humiliant, mais bien d'échanger sur les frissons produits, et sur la non-attirance voire le rejet total de l'humiliation, de comprendre aussi pourquoi elle est différente entre les hommes et les femmes.
Dernière modification le 23/06/2022 11:07:07 par Lady Spencer.
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C'est là que l'aftercare est censé aider. S'il est bien fait normalement, tu ne devrais pas avoir de subdrop. Si tu en a, c'est que soit il n'a pas correctement fait son aftercare, soit tu ne communiques pas assez tes émotions avec lui. Le dialogue est primordial pour pouvoir supporter un traitement rude. Si tu ne communiques pas assez sur tes émotions avec lui, il ne pourra pas s'adapter à ta perception des choses. Parle-lui sans filtre de tes ressentis pendant l'aftercare. C'est presque une psychanalyse, il faut qu'il sache tout ce qui te passe par la tête durant la séance. Même la plus petite pensée négative ou positive. Il faut que tu lui ouvres ton cerveau et que tu le dissèques devant lui pour qu'il soit capable de te rassurer sur ta condition de soumise(/esclave?).
Je suis sûr que si tu lui dis tout ce qui te passe par la tête et qu'il le prend en compte, cela réduira les expériences de subdrop que tu ressens.
En espérant avoir pu t'aider...
Merci pour votre apport à mon questionnement.
Je vais creuser dans ce sens, peut-être que je ne me « libère » pas assez de mes émotions.
Je pense pourtant que je dis tout ce que je ressens à mon Maître, que je lui pose toutes les questions qui me taraudent et que lui s’occupe vraiment de moi de manière complète.
Lors de l’aftercare il m’apporte à boire, il me couvre quand j’ai froid, il me prend dans ses bras, il me réconforte et il me fait me reposer.
Dernière modification le 16/08/2022 21:30:02 par StellaMaris de Ngu59fr.
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SœurClo
Encore une fois, c'était une vanne… Mais apparemment, tu n'as pas d'humour…
Je ne le voyais pas autrement ...
Je n'ai pas d'humour ? On va dire que je ris de tout... Mais pas avec n'importe qui....
Lady Spencer désolée... Ce sera mon dernier com hors sujet 😁😘
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HornedReaper
Le plus intelligent arrête d'apporter du blé au moulin quand les greniers sont plein de farine... A moins de vouloir finir le nez enfariné 😏
Voilà ce que j'ai compris de ton message :
"TU VAS FERMER TA GUEULE A LA FIN ? ON NE VEUT PLUS T'ENTENDRE !!!"
Voici ma réponse :
1) Ne parle pas pour les autres… Le sophisme de généralisation abusive n'est pas recevable...
2) Qui es-tu pour me donner des ordres ?
3) Si tu ne veux plus m'entendre, bloque-moi et ne me fais pas chier.
Cordialement.
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Angélique
Voilà ce que j'ai compris de ton message :
"TU VAS FERMER TA GUEULE A LA FIN ? ON NE VEUT PLUS T'ENTENDRE !!!"
Voici ma réponse :
1) Ne parle pas pour les autres… Le sophisme de généralisation abusive n'est pas recevable...
2) Qui es-tu pour me donner des ordres ?
3) Si tu ne veux plus m'entendre, bloque-moi et ne me fais pas chier.
Cordialement.
On pense toujours par rapport à ses propres réactions et ses propres intentions et on les projete sur les autres... Je ne suis pas ton miroir... donc la façon dont tu as pris ma phrase t'appartiens et comme tu l'a interprété t'appartiens aussi...
Relis le message de Lady Spencer il n'y a pas de réponse à donner si ce n'est de rester dans le cadre qu'elle a établit...
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Laisse dire angelique. Quand on a l'ego plus lourd qu'une brique on finit toujours par couler...
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HornedReaper
Merci pour votre apport à mon questionnement.
Je vais creuser dans ce sens, peut-être que je ne me « libère » pas assez de mes émotions.
Je pense pourtant que je dis tout ce que je ressens à mon Maître, que je lui pose toutes les questions qui me taraudent et que lui s’occupe vraiment de moi de manière complète.
Lors de l’aftercare il m’apporte à boire, il me couvre quand j’ai froid, il me prend dans ses bras, il me réconforte et il me fait me reposer.
Je ne doute pas qu'il s'occupe te toi sur le plan physique, mais il faut qu'il s'occupe de toi sur le plan mental. S'il y a une distance psychologique entre vous à ce moment, du genre, il refuse de t'embrasser alors que tu en as envie, ou tu n'oses pas lui demander de t'embrasser alors que tu voudrais le faire, ça peut poser un problème. N'hésite pas à en parler avec lui. La phase d'aftercare doit être fusionnelle dans le sens ou psychiquement, vous ne devez faire qu'un. Et il faut la faire aussi longtemps que tu en as besoins, c'est à toi de demander l'arrêt, pas à lui, sinon il y a frustration donc les subdrop peuvent apparaître.
En espérant t'avoir été utile...
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HornedReaper
Laisse dire angelique. Quand on a l'ego plus lourd qu'une brique on finit toujours par couler...
C'est pas hors sujet ça comme commentaires ?
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Lady Spencer
Stella : nous pouvons évoquer les états de drops en privé si tu veux.
Ou sur un autre post.
Pour rester sur le sujet, avez-vous gardé des marques-séquelles-traumas.....d'épisodes humiliants qui vous ont blessés ?
Et comment gérez-vous la situation ?
Ou, a contrario, en avez-vous ressenti un tel plaisir que vous cherchez à renouveler les sensations à l'extrême ?
Je reprends ces questions après un échange avec un homme switch, pas inscrit ici, mais qui cherche à comprendre son désir d'humiliation sur sa compagne soumise.
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Je te remercie Lady Spencer,
Je préférerais en privé.
Là je vais devoir nourrir mes « fauves ».
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Nina
Pour rester sur le sujet, avez-vous gardé des marques-séquelles-traumas.....d'épisodes humiliants qui vous ont blessés ?
Et comment gérez-vous la situation ?
Ou, a contrario, en avez-vous ressenti un tel plaisir que vous cherchez à renouveler les sensations à l'extrême ?
Nous avons tous notre chemin de découverte dans le BDSM. Ce que j'ai pu lire ici et là me montre que je ne suis pas la seule à m'être faite totalement avoir par de pseudo Tout Sachant... Et la chute a été dure...
J'ai dit ce que je pensais de l'humiliation, ce qu'elle provoque en moi etc... Mais je parle en je, mais nous sommes un duo et nous avons la même approche et pensée la dessus qui nous appartient.
Je n'ai pas gardé de marques ou séquelles physiques, mais psychique. J'ai été blessée, longtemps bloquée dessus. il y a 3 ans et demi, quand j'essayais de comprendre mes envies... J'ai rencontré qqn, qui devait "m'apprendre, me guider"... Il disait que c'était cela être soumise (je ne vais pas rentrer dans les détails ici). Le plus douloureux est l'après, quand il n'y a que cette réponse : "tu es soumise, tu assumes, je décide, tu obéis, t'as signé pour"... Non, pas vraiment. Mon cerveau vrillait seul et je ne savais pas.
Il disait que l'humiliation était partie intégrante de la soumission, sa vision pas la mienne, et il se devait d'en faire émerger le plaisir... non tout le contraire.
J'ai déjà besoin à la base de remuer dans mon cerveau torturé beaucoup de choses pour comprendre, assimiler puis partager. Chacun son mode de fonctionnement.
Conséquences : cela met aujourd'hui des freins, la sensation physique de me dire "attention soit vigilante", mon cerveau prend le relai, je ne suis plus dedans, je me ferme et me bloque. Je conscientise et hélas me met en mode "attention alerte".
Cela engendre un doute qu'il faut prendre le temps de déconstruire. Doute sur moi, ce que je ressens, doute de l'autre, de ses paroles, de ses attentes. Et ce doute permanent qui m'a fait arrêter toute envie de vivre ma soumission après cette expérience, à douter en permanence de ne pas être soumise, d'être dans le faux.
L'autre conséquence est une douleur psychique... car ça fait mal, oui, mais une douleur qui n'est ni choisi, ni consenti (car OUI pour apprécier l’humiliation, elle doit être CONSENTIE par les deux parties...).
Aujourd'hui, pour gérer la situation, je l'ai entièrement déconstruite avec celui qui m'a initié, comprendre l'humiliation, son but, pour l'un et pour l'autre. J'ai aussi appris le rôle d'un Dominant, d'un Maitre, celui qui sait la valeur de ce qu'il possède, celui qui cherchera à faire avancer et guider, mais pas à réduire à néant certains plaisirs. J'ai appris la relation D/s, compris ce que j'en attendais et ce que j'ai à offrir.
J'ai déconstruit pour réapprendre. Et pour le gérer, j'analyse et je partage... Car sans dialogue, pas de partage. Aujourd'hui, je parle avec Lui de tout, ressenti, interrogation, et quand je n'ai pas compris, je le Lui dit. Pour le gérer, je dois Le comprendre et comprendre l'intention, car pour ressentir, il me faut être pleinement à Lui (confiance et abandon).
Mais cela signifie aussi m'ouvrir à Lui, ne rien cacher, ne rien garder pour soi, accepter d'être remuée, d'être scrutée. Et l'humiliation a tellement de facettes différentes, que parfois, la simple sensation d'être scrutée suffit à en ressentir l'intensité. Oui nous avons tous des degrés d'humiliation divers et variés dépendant de nos choix, gouts, histoires respectives.
Vraiment, jamais je ne le dirai assez : LA COMMUNICATION est primordiale. Et lorsque je repense à qq discussions ou la porte se fermait car il ny a que des questions fermées... Eh bien non, cela n'est pas pour moi.
Quand on partage le même avis sur l'humiliation, quand on comprend les besoins, alors il y a possibilité d'avancer.
Mon autre façon de gérer : c'est Lui qui me gère. Il introduit progressivement, nous en discutons, nous ressentons. Il a la pleine maitrise, c'est Sa prérogative, et c'est aussi la confiance que j'ai mis en Lui.
Je gère, car j'ai accepté avec Lui de ne pas le gérer.
Certaines situations sont au contraire terriblement addictive... Et il est difficile de ne pas rentrer dedans et en vouloir encore et encore... Car tout bon sadique saura terriblement bien en jouer ^^.
Pourquoi cette addiction ? le plaisir insidieux que cela provoque, car la situation humiliante n'est pas liée à un moment isolé, mais liée à la relation, à ce partage. J'ai donc appris parfois à suggérer ces situations... Histoire d'en profiter pleinement... hum non non ce n'est pas de la manipulation ^^. Lorsqu'on touche au plaisir, parfois cela ne s'explique pas, on le ressent et on le vit ^^.
Bref...
A mes débuts, je me suis faite tout simplement avoir, faire confiance est un pari, et inutile de parler de responsabilité, j'ai la mienne il a la sienne. Mais il y a bon nombre d'homme ici et ailleurs qui impose uniquement leur mode de pensée, sans prendre en considération ce qu'ils ont en face et encore moins des conséquences ("tu fais chier, t'es pas contente c'est pareil, t'es soumise non ?").
C'est un autre sujet, un autre débat, mais on apprend aussi de ses erreurs. J'ai appris, et aujourd'hui je suis sur un autre chemin, le mien, le N/notre.
Nina
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Oui c est m est arrivée avec mon premier Dom C était horrible j avais vraiment l impression d être une sous merde , il m'a attaché violer taper la tête contre les mur mis des coups dans les côtes laisser inconsciente par terre 2 jours.
J étais Dom et j ai voulu tester l autre côté, je me suis fait avoir car hors réseau bdsm donc je croyais que ce qu il me disait était normal, une soum obei. Quand je me suis rendu compte de mon erreur C était trop tard j étais à sa merci.
Son plaisir était la violence .
J ai réussi à partir de chez lui.
Mais les sequel psycho ont été long à partir heureusement j ai des ami Dom donc comme ils ont vu que je donnais pas de signe de vie ils sont venu à la maison et ils m'ont remis sur pied moralement.
Je n avais plus aucune envie et le sex me terrorusait même le fait qu un homme s approche ou me touche.
Donc après j ai continuer de chercher et je suis tombé sur le bon je lui ai tout raconté et lui ai dit ce que je cherchais il a pris son temps pour faire de la sauvage que j étais devenu son amie sa complice sa pseudo soum par la douceur le respect la confiance. Et depuis peu sa soumise
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C est un mal pour un bien après cet ordure, j ai su que c était pas normal donc j ai ter exigeante
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112819
Oui c est m est arrivée avec mon premier Dom C était horrible j avais vraiment l impression d être une sous merde , il m'a attaché violer taper la tête contre les mur mis des coups dans les côtes laisser inconsciente par terre 2 jours.
Ça c’est de l’abus. Pas de l’humiliation.
Concernant l’humiliation c’est un truc avec lequel j’ai beaucoup de mal. Je l’oppose d’ailleurs comme une limite chez moi.
Je n’arrive pas à en comprendre les rouages.
Pour moi l’humiliation est forcément dégradation. Et ce n’est pas du tout quelque chose que je souhaite ou que je recherche.
Et si mon dom veut tenter une pratique que je juge humiliante dans mon prisme, il faut que j’arrive à la déclasser, a l’envisager différemment pour pouvoir le faire sereinement et ne pas me braquer.
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Après avec un Dom bien comme le mien et sachant que je suis aussi libertine donc Cequi peut être vécu comme sexuellement humiliant en bdsm ça l est pas pour moi. Et en duo dans ce que veut mon Dom rien n est humiliant C est un jeu à 2 ou à plusieurs lol.
Comme en libertinage sauf que je le laisse gérer. Pluri, gb, jouer entraver a plusieurs, les yeux bander...
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La différence avec le libertinage c est que c est lui qui choisit et que C est lui le responsable de ma sécurité pas moi
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MENTAL
Ce sujet pose aussi une autre question, l'humiliation est elle un but ou un moyen ?
Et là tout le monde répond en chœur : ça dépend !:stuck_out_tongue:
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Tindalos
ça dépasse !
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MENTAL
ça déborde d'émotions surtout:smile:
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112819
Pluri, gb, jouer entraver a plusieurs, les yeux bander...
Je ne vois rien d’humiliant là dedans non plus et pourtant je ne suis pas libertine. Le référentiel est propre à chacun.
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MENTAL
l'une des conséquences (et sans doute recherche) de l'humiliation est d'être déstabilisé psychologiquement, donc après il faut que la personne humiliatrice prenne soin de la personne humiliée, sinon risque de trauma ! Et je veux pas refaire un énième sujet sur les PN:grimacing:
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Ce qu on juge humiliant est propre à chacun et des fois rien ne l est🤣
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MENTAL
et oui, ça dépend !
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Ce sujet pose aussi une autre question, l'humiliation est elle un but ou un moyen ?
Et là tout le monde répond en chœur : ça dépend !:stuck_out_tongue:
C’est peut-être aussi une forme de catharsis, un moyen de revivre certains traumatismes dans un climat de confiance cadré et de pouvoir les dépasser.
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MENTAL
@ Stella oui c'est ce que j'écrivais un peu plus haut, contrôler sa soumission pour baisser la charge d'un traumatisme.
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@ Stella oui c'est ce que j'écrivais un peu plus haut, contrôler sa soumission pour baisser la charge d'un traumatisme.
J’avais bien lu et compris votre propos mais je vois davantage cela comme cautériser une plaie pour qu’elle ne saigne et ne se rouvre plus jamais ou comme soigner le mal par le mal avec de l’homéopathie.
C’est comme cela que je vois une partie de ce que mon Maître fait avec moi et pour moi.
Certaines humiliations peuvent donc être autres que des fantasmes et être positives.
Dernière modification le 17/08/2022 17:11:59 par StellaMaris de Ngu59fr.
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MENTAL
@ Stella, la jeune femme, qui me disait ça, a épuisé pas mal de doms et s'est épuisée elle même pendant longtemps avant de trouver la bonne personne.
J'ai enfin trouvé " mon loup " m'écrivait elle parfois et puis non c'était pas le bon.
Mais comme que je ne la vois plus sur les forums bsdm, elle a dû trouver.
Elle m'a ouvert l'esprit sur ce rapport entre humiliation et traumatisme.
Le soucis également, avec l'humiliation réparatrice d'un traumatisme, est de ne pas avoir conscience que l'on cherche à se réparer soi même à travers l'humiliation et donc de tomber sur des doms plutôt "rustiques" dans leur approche, façon : la soumise est là pour obéir et fermer sa gueule.
L'autre risque est l'humiliation mortifère, qui validerait la destruction de l'estime de soi suite à un traumatisme.
La démarche de la personne soumise serait donc + ou - consciemment : " si l'on a abusé de moi c'est parce que je le méritais, donc il est normal que je recherche l'humiliation ! "
C'est ce schéma qu'on retrouve chez les femmes battues par exemple.
Vous pouvez télécharger :
https://www.camh.ca/-/media/files/guides-and-publications-french/women-and-abuse-guide-fr.pdf
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Nina
Je ne fais pas le lien entre humiliation et traumatisme.
Par contre oui, traverser un trauma avec l'accompagnement d'un Dominant oui, mais est-ce que c'est thérapeutique, non.
C'est plutôt, à mon sens hein, libérateur et une façon de remplacer un souvenir par un autre.
Que la communication soit totalement libre oui, mais je crois au contraire, et encore une fois de mon pijt de vue, que c'est en évitant le sentiment d'humiliation qu'on arrive à dépasser un acte, une situation. On remplace tout ce qui l'entoure pour en faire qqch de choisir, consentie, excitant et partagé.
C'est je pense un tout autre vaste et intéressant débat. Mais c'est le lien que je fais avec l'humiliation ^^.
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MENTAL
Bonsoir Nina, ça me semble difficile d'éviter ou de faire l'impasse sur le sentiment d'humiliation, sinon pourquoi chercher des situations d'humiliation même consenties, excitantes et partagées ?
Soyez la première personne à aimer.
Nina
Bonsoir @Mental.
Je faisais le lien entre le trauma et l'humiliation. J'y vois qqch de dangereux personnellement.
Pour avoir dépassé qqch, ça n'a jamais été avec de l'humiliation, au contraire, des que ça arrivait on stoppa it tout pour ne pas "renforcer" le trauma.
Mais c'est mon point de vue encore une fois par rapport à mon ressenti experience... Etc..
Le plaisir de l'humiliation dépend de la personne et du duo et j'y ai déjà répondu plus longuement au courant de ce fil de discussions.
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MENTAL
@ Nin, je répondais surtout à Stella sur le trauma et l'humiliation:smiley:
Je suis d'accord à 200% sur le l'aspect dangereux du bdsm " thérapeutique ", rien ne vaut l'écoute !
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Je ne parle pas de BDSM thérapeutique, je connais bien les mécanismes des personnes qui savent vous mettre plus bas que terre… J’ai été victime et je me suis crue coupable et j’ai cru que je méritais d’être humiliée.
Un médecin généraliste et un psychiatre, que je suis allée consulter, parce que je pensais que j’étais le problème là, ont remis les choses dans leur contexte et m’ont dit que j’étais la victime de violences psychologiques et d’humiliations et que je devais fuir…
J’ai été cette femme qui refuse de voir, celle qui pardonne, qui ne part pas « pour les enfants ».
J’étais éteinte, comme morte et dépersonnalisée…
Je suis soignée et guérie, mais revivre certaines choses dans un climat de confiance est bénéfique pour moi et me permet de tourner définitivement une page de mon histoire. C’est, comme le dit Nina : « remplacer un souvenir par un autre » et « libérateur ».
Je sais que j’ai beaucoup de chance d’avoir trouvé un homme et Dom qui m’accepte avec mon passé vanille destructeur, mes enfants et mon caractère.
Il m’a apprivoisée et il m’a appris à refaire confiance.
Mais il n’est pas mon thérapeute, il est mon Maître et l’homme que j’aime.
J’ai mis 10 ans à me reconstruire mais prendre le temps m’a permis de le rencontrer et de savoir qui je suis et ce que je veux.
Dernière modification le 17/08/2022 19:51:39 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Je vous comprend moi c est par la bienveillance de mon Dom que j oublie les trauma et non par l humiliation. Et il a pas mal réussi jusque-là même si il a encore pas mal de boulot là sensualité C est pas mon truc trop de mauvais souvenirs
Soyez la première personne à aimer.
112819
Je vous comprend moi c est par la bienveillance de mon Dom que j oublie les trauma et non par l humiliation. Et il a pas mal réussi jusque-là même si il a encore pas mal de boulot là sensualité C est pas mon truc trop de mauvais souvenirs
C’est grâce à sa bienveillance et à son écoute active que je peux me construire en tant que soumise.
La reconstruction prend du temps et il ne faut pas griller les étapes.
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MENTAL
@ Stella merci pour ce témoignage, la vérité du vécu.:thumbsup:
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Je vous en prie MENTAL.
Si mon témoignage peut aider quelqu’un…
J’ai longtemps été incapable d’en parler…
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MENTAL
@Stella difficile de mettre des mots sur des histoires pareilles, le faire et en parler est aussi une forme de thérapie
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Lady Spencer
Démonia, vous êtes parfois difficile à cerner pour moi : bon, maintenant vous êtes soumise et avec un dom, c'est ça ?
Faut vraiment suivre vos changements de vie et vos pseudos changeants (là, je prends des notes !)
Pourquoi dites vous : " là sensualité C est pas mon truc trop de mauvais souvenirs " c'est quoi le lien avec l'humiliation svp ?
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Lady Hydre
Quel beau sujet Lady Spencer , très intéressant avec toute ces réponses et commentaires
Je ne sais pas si j’arrive à humilier , je ne le cherche pas non plus , ce coter de rabaisser ne m’intéresse pas du tout , mais les soumis que j’ai eu m’ont dit que je les humilie , sans doute que ce que je leurs demande est dégradant, humiliant pour eux ou je dois le faire sans le vouloir , cela doit être un instinct alors , sourire ..
Lady H
Dernière modification le 18/08/2022 06:49:00 par Lady Hydre.
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Lady Spencer
Nombreux soumis réclament une humiliation, et la vivent parfois là où nous ne la voyons pas.
Le fait d'obéir à une femme place déjà le soumis dans cet état d'humiliation ( ce que m'ont dit certains hommes)
C'est sans doute aussi une des différences avec les femmes soumises qui apprécient beaucoup moins d'être humiliées.
Qu'en penses tu, Lady Hydre ?
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ange de Vesper
Lady Hydre (mes hommages chère amie 😉), je confirme ce que dit Lady Spencer, être soumis est déjà en soi une humiliation, le temps de se défaire de l'image de l'homme qui ne peut qu'être dominant en toutes circonstances. Alors lâcher ne serait ce que dans cette sphère intime est compliqué, donc potentiellement humiliant.
Tu ne peux même pas compter sur le monde bdsm pour te libérer parce que dans les discussions tu trouveras toujours des doutes sur le fait que l'homme soumis serait un homo refoulé (ce qui est encore moins glorieux qu'un homo qui n'est déjà pas tout à fait un homme...), ou un questionnement sur la virilité du soumis (une domina de ce site écrivait que pour le sexe elle préférait un vrai homme...). Bref c'est pas gagné et quand tu n'as pas de fantasme de dévirilisation, de féminisation ou autre, tu peux avoir des doutes sur l'image que tu renvoies, d'où un sentiment d'humiliation.
Et dans la pratique, le simple fait que tu mettes un homme nu alors que tu resterais habillée, par exemple, enclenche cette vulnérabilité qu'il peut ressentir comme humiliante.
Donc tu es humiliante et pis c'est tout 😌
Dernière modification le 20/08/2022 08:12:23 par ange de Vesper.
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@lady Spencer qui y a til de difficile à cerner dans le fait que je sois switch ? La sensualité c est pas mon truc car ça fait revivre en moi trop de choses humiliantes point.
Soyez la première personne à aimer.
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Comme le fait d être toucher alors qu on ne veut pas et qu on ne peut rien faire
Soyez la première personne à aimer.
votrejouet
Je prends ce fil avec un certain retard, mais tant pis, j'ose quand même une petite contribution, même si cet aspect a déjà été abordé.
Pour moi, dans mon ressenti, ce n'est pas l'humiliation qui m'excite et que je recherche, mais la relecture d'une humiliation ancienne.
Revivre une situation passée, de mon enfance ou adolescence mais dans un contexte différent, me permet d'accepter ce qu'elle a eu d'excitant et que je n'ai pas pu voir à l'époque.
Il s'agit en quelque sorte de faire la paix avec une part de moi-même enfouie ou oubliée...
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Shd69
L humiluition fait en grande parti du bdsm sinon quel serait le plaisir d etre a 4 pattes ,d etre tenu en laisse, d etre exhibé, de lecher les pied de son ou sa dom si ce n est le plaisir psycholigique tiré de l humiliation. Ce n est guere different du plaisir d obeir a n importe quel ordre.
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L humiluition fait en grande parti du bdsm sinon quel serait le plaisir d etre a 4 pattes ,d etre tenu en laisse, d etre exhibé, de lecher les pied de son ou sa dom si ce n est le plaisir psycholigique tiré de l humiliation. Ce n est guere different du plaisir d obeir a n importe quel ordre.
Ben non justement, ça dépend.
Ce qui m'anime moi à titre personnel ce n'est pas du tout l'humiliation. C'est le désir que cela crée chez lui. Je ne me sens pas humiliée quand je bascule primale, animale. Et donc être à 4 pattes, tenue en laisse notamment ne m'humilient pas. J'aime par contre ce que ça échauffe. Son envie de me posséder, la fierté et le désir qui transparaissent dans ses yeux et dans son corps.
Idem pour lécher les pieds, je ne crois pas que les fétichistes des pieds (et ils sont nombreux) se sentent humiliés par cette pratique, bien au contraire. Pareil pour l'exhib, le moteur peut être ailleurs.
Donc le plaisir peut tout à fait être autre chose que celui lié à l'humiliation. Mais là aussi c'est très différent entre les soumis et les soumises comme ça a déjà été évoqué plusieurs fois dans ce fil.
Dernière modification le 21/08/2022 11:33:00 par 𝓗𝓮𝓵𝓵 ★彡.
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Ce qui exitant dans le fait d tre primal c est cette tension qu on lit dans son regard, son envie, et se laisser aller totalement. Mais c est majoritairement les hommes soum qui recherche cette humiliation jouissive d après les écrits ou qui vivent les choses comme humiliante d après ce que je lus depuis le début du post.
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Gregor
Peut être que certains aiment avoir mal ?
Peut être que certains aiment faire mal ?
Peut être qu'il y a différentes forment de douleurs.
Peut être que pour certain ce qui compte c'est d'avoir des sensations physiques ?
Peut être que pour d'autre c'est d'avoir des ressentis plus émotionnels.
Ce qui est certain c'est que nous soumis avons besoin d'avoir un Maître ou une Maîtresse qui maîtrise la situation sinon il y a risque de blessures.
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SœurClo
L humiluition fait en grande parti du bdsm sinon quel serait le plaisir d etre a 4 pattes ,d etre tenu en laisse, d etre exhibé, de lecher les pied de son ou sa dom si ce n est le plaisir psycholigique tiré de l humiliation. Ce n est guere different du plaisir d obeir a n importe quel ordre.
Je ne me sens pas humiliée à quatre pattes, ni à ses pieds, ni à genoux devant Lui, ni tenue en laisse... Bien au contraire, je suis fière et heureuse d'y être...
Pour ce qui est d'obéir à n'importe quel ordre et en retirer du plaisir, et bien non, certains peuvent ne pas être plaisant... Même si l'on obéit
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HornedReaper
Sujet omniprésent en BDSM et qui, pourtant, me pose toujours un problème : je n'aime pas humilier.
Paradoxe pour moi alors que j'apprécie de faire vivre certaines situations humiliantes, mais rabaisser un homme ou une femme juste pour dégrader ne me plait pas.
Je "jouerai" beaucoup plus sur l'humilité, en rabaissant l'égo du soum face à moi, cette voie là m'attirera davantage.
Mais "fracasser" du soumis en le forçant à devenir cette chose humiliée, rampante, avilie, déshonorée (ces mots là sont des mots de soumis), j'ai du mal.
Et pourtant, que d'hommes soumis espèrent vivre ces situations là !
Fantasmes ? Désirs réels ? Expériences déjà vécues avec envie de les revivre ?
Pourquoi ce désir de vivre une humiliation ? Parfois même, un besoin.
Que vous apporte ce rabaissement ? Il vous permet de franchir une porte en vous, mais laquelle ? Et elle ouvre sur quoi, cette porte ?
Parce que, bien-sûr, je parle d'humiliation consentie, celle qui est au cœur de la demande du soumis, et si je masculinise le propos, c'est parce que je vois beaucoup moins d'attirance pour l'humiliation chez les femmes soumises : je me trompe ou pas ?
Et quid aussi, de l'humiliation non consentie ? Ou non attendue ?
Celle qui vous est tombée dessus, quelle qu'en soit la pratique, soft ou non, où vous vous êtes sentis vraiment humiliés ?
Autre interrogation : que vous apporte ce besoin d'humilier, Mes Dames et Messieurs les doms ? Pourquoi ce besoin de puissance se transforme t'il en besoin de rabaisser l'autre ? C'est une vraie question et pas un jugement bien-sûr !
La question peut être inversée, d'ailleurs : le besoin de rabaisser qui se transforme en une surpuissance lorsque le soum est à terre, physiquement, moralement, sexuellement ?
Pour les doms donc, ne pouvez-vous dominer qu'en humiliant l'autre ?
Et à propos de sexe, l'humiliation est-elle toujours érotique ?
Certains hommes disent ne pouvoir être sexuellement excités qu'à travers l'humiliation : ok, je ne vous demande pas de vous allonger sur le divan, ce n'est pas le bon moment.
Mais ces hommes là, ne peuvent trouver de partenaires à leur "goût" que par la soumission car peu de partenaires lambda vanilles, aiment humilier leur conjoint.
Pas simple à analyser et à comprendre, ces besoins.
L'humiliation, live et/ou à distance, puisque cette pratique peut très bien se réaliser au téléphone par exemple, est-elle un élément constant dans votre soumission ? Et la vivez-vous en privé ou en public ? J'entends "public", en clubs par exemple, avec des personnes initiées.
Pas au milieu du square ou au super-market en faisant les courses (quoique, je l'ai fait vivre à un soumis, ce fut fort agréable, pour moi !!:smiling_imp:)
Beaucoup d'écrits ont été publiés sur l'humiliation, les avis et désirs sont très personnels parfois mais toujours intéressants : il ne s'agit pas de cataloguer et de mettre une note sur ce qui est le plus humiliant, mais bien d'échanger sur les frissons produits, et sur la non-attirance, voire le rejet total de l'humiliation, de comprendre aussi pourquoi elle est différente entre les hommes et les femmes.
Comme je l'ai dit dans un post qui a été effacé, le besoin d'humiliation est surtout un prétexte pour les fétichistes à décider leur dominant à agir afin qu'ils puissent obtenir ce qu'ils recherchent quel que soit leur fétichisme. C'est une forme de provocation en somme pour les sadiques que sont les dominants.
Personnellement, je ne vois pas l'intérêt et j'assimile cela à un ordre donc j'ai tendance à refuser parce que si la soumise le demande, c'est un privilège et elle n'a pas à décider de ce que je lui accorde...
Soyez la première personne à aimer.
HornedReaper
Quel beau sujet Lady Spencer , très intéressant avec toute ces réponses et commentaires
Je ne sais pas si j’arrive à humilier , je ne le cherche pas non plus , ce coter de rabaisser ne m’intéresse pas du tout , mais les soumis que j’ai eu m’ont dit que je les humilie , sans doute que ce que je leurs demande est dégradant, humiliant pour eux ou je dois le faire sans le vouloir , cela doit être un instinct alors , sourire ..
Lady H
Totalement d'accord l'humilliation pour l'humilliation ne sert pas à grand chose. C'est un outil de conditionnement pas une fin en soit.
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HornedReaper
L humiluition fait en grande parti du bdsm sinon quel serait le plaisir d etre a 4 pattes ,d etre tenu en laisse, d etre exhibé, de lecher les pied de son ou sa dom si ce n est le plaisir psycholigique tiré de l humiliation. Ce n est guere different du plaisir d obeir a n importe quel ordre.
Il y a des gens qui ne trouvent pas cela humiliant... Les esclaves en particulier. C'est leur mode de vie normal. Ce que j'aime lire dans le corps de ma soumise, c'est sa crainte et son excitation. Le moment où je lis en elle sa crainte d'avoir mal et l'excitation du plaisir qu'elle va y prendre.
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HornedReaper
37649
Ben non justement, ça dépend.
Ce qui m'anime moi à titre personnel ce n'est pas du tout l'humiliation. C'est le désir que cela crée chez lui. Je ne me sens pas humiliée quand je bascule primale, animale. Et donc être à 4 pattes, tenue en laisse notamment ne m'humilient pas. J'aime par contre ce que ça échauffe. Son envie de me posséder, la fierté et le désir qui transparaisse dans ses yeux et dans son corps.
Idem pour lécher les pieds, je ne crois pas que les fétichistes des pieds (et ils sont nombreux) se sentent humiliés par cette pratique, bien au contraire. Pareil pour l'exhib, le moteur peut être ailleurs.
Donc le plaisir peut tout à fait être autre chose que celui lié à l'humiliation. Mais là aussi c'est très différent entre les soumis et les soumises comme ça a déjà été évoqué plusieurs fois dans ce fil.
Totalement d'accord...
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HornedReaper
112819
Ce qui exitant dans le fait d tre primal c est cette tension qu on lit dans son regard, son envie, et se laisser aller totalement. Mais c est majoritairement les hommes soum qui recherche cette humiliation jouissive d après les écrits ou qui vivent les choses comme humiliante d après ce que je lus depuis le début du post.
J'aime la tension primale et je ne suis pas soumis ... :)
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HornedReaper
Peut être que certains aiment avoir mal ?
Peut être que certains aiment faire mal ?
Peut être qu'il y a différentes forment de douleurs.
Peut être que pour certain ce qui compte c'est d'avoir des sensations physiques ?
Peut être que pour d'autre c'est d'avoir des ressentis plus émotionnels.
Ce qui est certain c'est que nous soumis avons besoin d'avoir un Maître ou une Maîtresse qui maîtrise la situation sinon il y a risque de blessures.
Peut-être que pour certaines, le simple fait de satisfaire leur maître est source de plaisir, peu importe ce qui satisfait son Maître, y compris les coups de fouets/martinets.
Et nous, Maîtres, avons besoins de soumises, qu'elles soient en bonne santé et qu'on ne les abime pas, sinon on ne peut plus recommencer à jouer avec.
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Et oui ne pas abîmer ses jouets😈
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Voilà, j'ai tout lu ! ;)
Merci à vous pour ces contributions, toutes éclairantes, et à Lady Spencer pour l'initiative.
Beaucoup (trop lol) de posts auxquels j'aurais voulu répondre....j'y reviendrais peut-être.
Bref.
L'humiliation, ça fait mal, très !
C'est pourquoi je l'envisage (et la pratique) dans un contexte plus SM que D/s.
Il y a des personnes qui aiment avoir mal, et d'autres qui aiment infliger toutes sortes de douleurs...
J'aime faire mal, et j'aime avoir mal.
Voilà, j'ai répondu à la question ? ;)
Dernière modification le 26/08/2022 01:26:28 par Monsieur.
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Sephira_Vi
Je ne me sens pas humiliée à quatre pattes, ni à ses pieds, ni à genoux devant Lui, ni tenue en laisse... Bien au contraire, je suis fière et heureuse d'y être...
Pour ce qui est d'obéir à n'importe quel ordre et en retirer du plaisir, et bien non, certains peuvent ne pas être plaisant... Même si l'on obéit
Lorsque la dévotion et l'abandon s'amalgame, parfois on y croit.
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J'ai lu avec attention bon nombre de posts dans ce fil .. Certes, chacun(e) ne trouve pas la même situation humiliante.. Question de vécu, de sensibilité , ...
Je me demande juste si une des différences ne se situe pas aussi dans la différence entre humilier la personne pour ce qu'elle est profondément, et imposer à la soumise (ou au soumis) une situation humiliante. l'humiliation d'une personne n'est jamais empreinte de la bienveillance qu'on peut apporter à sa soumise .. d'où la différence de ressenti ?
En tout cas, si je ne prive pas de faire vivre des situations humiliantes à mes partenaires (le collier, se promener à 4 pattes, perdre toute intimité dans tous les gestes de la vie, ...) je ne joue jamais avec ce qui constitue la personne en elle même ne sachant pas quel traumatisme cela peut en effet cacher et/ou réactiver (une question de surpoids par exemple, ... )
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Lady Spencer
Tout à fait d'accord avec vous : c'est bien la grande différence entre une situation humiliante ou ressentie comme tel, et l'humiliation de la personne elle-même.
Les deux peuvent répondre à des fantasmes de soumis, mais l'une sera vécue par le ou la dom avec fierté et respect pour la personne soumise alors que l'autre situation sera le reflet d'un volonté dégradante.
2 approches différentes.
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Christopher
J'ai lu avec attention bon nombre de posts dans ce fil .. Certes, chacun(e) ne trouve pas la même situation humiliante.. Question de vécu, de sensibilité , ...
Je me demande juste si une des différences ne se situe pas aussi dans la différence entre humilier la personne pour ce qu'elle est profondément, et imposer à la soumise (ou au soumis) une situation humiliante. l'humiliation d'une personne n'est jamais empreinte de la bienveillance qu'on peut apporter à sa soumise .. d'où la différence de ressenti ?
En tout cas, si je ne prive pas de faire vivre des situations humiliantes à mes partenaires (le collier, se promener à 4 pattes, perdre toute intimité dans tous les gestes de la vie, ...) je ne joue jamais avec ce qui constitue la personne en elle même ne sachant pas quel traumatisme cela peut en effet cacher et/ou réactiver (une question de surpoids par exemple, ... )
Je pense que c’est souvent bien plus basique que ça. BDSM ou non, certaines femmes trouveront une simple levrette humiliante, d’autres la faciale délicieuse (ou dégradante) quand d’autres encore trouveront plaisir comme receveuse d’une douche dorée. Je pense que le dom et sa manière de faire quant à ces pratiques ne jouent pas un rôle primordial dans leur vision de l’humiliation.
Soyez la première personne à aimer.
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Je ne sais pas si je vais être très clair. Comment différencier une situation humiliante pour le ou la soumise de l'humiliation de la personne. Apart bien connaître l'autre, sonder son âme en espérant qu'elle ou ils nous disent la vérité, estimer son psychisme et la solidité de celui ci pour éviter l'amalgame. Certains et certaines soum auront tendance à nier des choses qui les baisses ou à dire qu une chose leur plaît alors que non pour soit plaire à leur Dom soit parcequ elles ou ils sont terrorisé à l'idée de n'être pas assez bien pour leur Dom et que le Dom cesse la relation. Voilà je sais pas si je suis clair?c est très compliqué pour moi comme Dom ces histoires d humiliation.
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Je pense que le dom et sa manière de faire quant à ces pratiques ne jouent pas un rôle primordial dans leur vision de l’humiliation.
Mon point de vue est totalement contraire au vôtre pour deux raisons : le Dom n’est pas là uniquement pour donner l’occasion à la personne soumise de vivre des situations qu’elle aime et parce que son talent, sa personnalité et son travail de Dom servent également à faire dépasser des limites ou des peurs de la personne soumise.
La vision de l’humiliation peut évoluer chez le soum grâce au Dom et cela radicalement en ce qui concerne certaines pratiques.
Dernière modification le 04/10/2022 19:15:05 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Christopher
Mon point de vue est totalement contraire au vôtre pour deux raisons : le Dom n’est pas là uniquement pour donner l’occasion à la personne soumise de vivre des situations qu’elle aime et parce que son talent, sa personnalité et son travail de Dom servent également à faire dépasser des limites ou des peurs de la personne soumise.
La vision de l’humiliation peut évoluer chez le soum grâce au Dom et cela radicalement en ce qui concerne certaines pratiques.
Hum… 🤔. Je suis d’accord pour tous les domaines du BDSM sauf l’humiliation. J’ai le sentiment que c’est tout de même un peu à part. Ok l’évolution est possible mais je pense qu’elle l’est dans une bien moindre mesure que les autres pratiques. Par exemple, si t’aime pas recevoir un crachat par la gueule je doute pouvoir te faire apprécier ça…
Soyez la première personne à aimer.
Par exemple, si t’aime pas recevoir un crachat par la gueule je doute pouvoir te faire apprécier ça…
Et bien justement, concernant cet exemple, mon Maître a réussi… Cela m’aura pris 10 mois…
J’ai également totalement reconsidéré ma vision de l’urolagnie.
C’est un travail qui s’est fait très progressivement avec mon Maître.
Dernière modification le 04/10/2022 23:50:01 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Christopher
Et bien justement, concernant cet exemple, mon Maître a réussi… Cela m’aura pris 10 mois…
J’ai également totalement reconsidéré ma vision de l’urolagnie.
C’est également un travail qui s’est fait très progressivement avec mon Maître.
Entendu. Je m’en tiens à votre opinion qui est bien plus probante en tant que soum.
Merci beaucoup pour cette remise en question. :)
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Je vous en prie Christopher.
Ce n’est que le reflet de mon expérience personnelle, il y a autant de réponses que de relations.
Dernière modification le 04/10/2022 23:29:24 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Christopher
Je vous en prie Christopher.
Ce n’est que le reflet de mon expérience personnelle, il y a autant de réponses que de relations.
Je suis d’accord. Il n’empêche que votre expérience constitue un contre argument irréfutable à ma thèse et un levier de progression pour moi que je ne veux pas ignorer. ;)
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Spike
Bonjour,
Le sujet est intéressant d'autant plus que de mon côté j'aime assez cette pratique pour autant je pense qu'un certain nombre de règles doivent être respectées pour que l'expérience soit satisfaisante.
Tout d'abord la séance doit être consentie, je ne conçois pas que l'on puisse forcer cela, quel plaisir le partenaire va t il ressentir? S'il n'en ressent pas pourquoi voudrait-il continuer la relation?
Ensuite il faut préparer la séance, rappeler que cela ne sera qu'un jeu, réservé à la sphère de cette relation BDSM qu'ont les deux partenaires cela peut rester dans l'intimité d'une pièce ou être 'public' selon les désirs - partagés - des participants.
Idem pour l'après séance, c'est l'une des pratiques qui va demander le plus de soins post séance. Il faut s'assurer que la soumise le vit bien et que cela n'affecte pas sa psyché.
Enfin il faut que cette séance amène à la soumise ce qu'elle aime, elle peut servir à lui introduire de nouvelles pratiques, jouer avec ses limites mais toujours, elle doit toujours lui apporter du plaisir.
Par exemple, je souhaite faire travailler l'urolagnie a ma soumise, je vais l'intégrer à une séance ou elle sera amenée à se soulager sous mes ordres et devant moi. Elle ne le fera pas sans avoir reçu un certain nombre de fessées que je la sais adorer. La partie humiliation ne commencera pas tant que je ne la sais pas très excitée et prête à repousser ses limites.
Cela va sans dire que ces séances vont croissantes, on ne démarre pas avec des crachats dans la bouche avec quelqu'un qui en a peur.
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Christopher
Bonjour,
Le sujet est intéressant d'autant plus que de mon côté j'aime assez cette pratique pour autant je pense qu'un certain nombre de règles doivent être respectées pour que l'expérience soit satisfaisante.
Tout d'abord la séance doit être consentie, je ne conçois pas que l'on puisse forcer cela, quel plaisir le partenaire va t il ressentir? S'il n'en ressent pas pourquoi voudrait-il continuer la relation?
Je trouve tout cela très censé (… sensé ? Zut, j’ai un doute quant auquel employer). Je souhaite juste relativiser la notion de « forçage ». Si le consentement explicite ne fait pas débat, le forçage, lui, peut être consenti et même désiré. Pour ma part, je trouve cette envie de forçage très fréquente chez mes partenaires (dans certaines mesures propres à chaque relation bien entendu). Cela s’inscrit dans la ligné du fantasme du viol je pense.
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Lady Spencer
Je trouve tout cela très censé (… sensé ? Zut, j’ai un doute quant auquel employer).
Moi, j'ai résolu le problème : j'écris 100 C
Dernière modification le 05/10/2022 17:30:25 par Lady Spencer.
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Spike
Je trouve tout cela très censé (… sensé ? Zut, j’ai un doute quant auquel employer). Je souhaite juste relativiser la notion de « forçage ». Si le consentement explicite ne fait pas débat, le forçage, lui, peut être consenti et même désiré. Pour ma part, je trouve cette envie de forçage très fréquente chez mes partenaires (dans certaines mesures propres à chaque relation bien entendu). Cela s’inscrit dans la ligné du fantasme du viol je pense.
Hello, à choisir je dirais sensé (provenant de sens). Peut-on encore parler de forçage si celui-ci est désiré? On rentre dans un jeu qui a été accepté par les deux partenaires, et dont les règles sont déjà connues. Pour en revenir au viol simule, si la partenaire refuse le sex anal ce jeu ne donnera pas automatiquement de passe droit. Pour moi il en va de même avec l’humiliation, le partenaire sait qu’il va être réticent à certaines choses mais souhaite se dépasser donc quelque part il n’y a pas de vrai forçage cela reste un jeu.
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Christopher
Bien sûr qu’on peut parler de forçage même si il est désiré. Exemple: Pénétrer chez ma soumise (m’ayant remis un double de clé pour ce qui suit) en pleine nuit, lui infliger une pénétration anal en plein sommeil et la dégommer violemment même si elle se débat et pleure à chaude larme, si ce n’est pas du forçage consenti je ne vois pas comment appeler ça…
(Est-il nécessaire de préciser que tout ceci a été finement discuté au préalable et qu’un safecode convenu entre nous depuis longtemps reste d’actualité?)
Dernière modification le 05/10/2022 17:53:13 par Christopher.
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Christopher
112819
Je ne sais pas si je vais être très clair. Comment différencier une situation humiliante pour le ou la soumise de l'humiliation de la personne. Apart bien connaître l'autre, sonder son âme en espérant qu'elle ou ils nous disent la vérité, estimer son psychisme et la solidité de celui ci pour éviter l'amalgame. Certains et certaines soum auront tendance à nier des choses qui les baisses ou à dire qu une chose leur plaît alors que non pour soit plaire à leur Dom soit parcequ elles ou ils sont terrorisé à l'idée de n'être pas assez bien pour leur Dom et que le Dom cesse la relation. Voilà je sais pas si je suis clair?c est très compliqué pour moi comme Dom ces histoires d humiliation.
C’est effectivement une situation terrible. J’essaie de prévenir de cela en m’assurant que ma partenaire me laissant le contrôle n’hésite pas à utiliser notre safecode. Je me sens plus à l’aise et à même d’augmenter l’intensité après qu’elle l’ait utilisé au moins une fois. Je ne sais pas si je suis clair. En gros, le fait qu’elle l’utilise une fois au moins me rassure et me prouve qu’elle a bien compris qu’il ne faut pas qu’elle hésite à s’exprimer. Ainsi, je sais que je peux explorer ses limites sans crainte.
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Spike
On s'éloigne un peu du sujet de l'humiliation ceci dit ca mériterait un thread, Mais je ne suis pas d'accord, ce n'est plus du forçage s'il est consenti même si d'un point de vue physique oui il y en a un (sans ca, tu ne rentres pas). En me relisant je réalise que c’est de la sémantique. Tu acceptes le concept de forçage consenti alors que pour moi si consentement il y a alors il ne peut y avoir forçage.
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Forçage ne serais ce pas simplement faire passer des limites au soum de ce que je comprends. Par exemple un soum ou une lol qui dit qu elle est attirée par être pris e en gang bang mais qu elle se sent pas de le faire si elle ou il devait le faire seul e, du coup le Dom ferait évoluer ses peurs lentement en ayant demandé la cause pour parvenir à ce qu elle ou il y parviennent et que la personne prenne du plaisir. C est ça où j'ai tout faux ?
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Christopher
112819
Forçage ne serais ce pas simplement faire passer des limites au soum de ce que je comprends. Par exemple un soum ou une lol qui dit qu elle est attirée par être pris e en gang bang mais qu elle se sent pas de le faire si elle ou il devait le faire seul e, du coup le Dom ferait évoluer ses peurs lentement en ayant demandé la cause pour parvenir à ce qu elle ou il y parviennent et que la personne prenne du plaisir. C est ça où j'ai tout faux ?
Je suis entièrement en phase avec ce que vous dites. Je pense tout simplement que le patriarcat a enseigné aux femmes comment elles devaient se servir de leur corps pour être respectables et respectées. Je pense que ça doit pas être triviale de se détendre dans un gang bang quand on t’a rabâché que tu devais te respecter et surtout comment tu devais être pour te respecter… Je pense qu’il y a un truc du genre: « C’est pas de ma faute! On me force! » donc un lâcher prise plus simple puisque la culpabilité disparaît en cas de forçage
Dernière modification le 05/10/2022 18:38:35 par Christopher.
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Spike
112819
Forçage ne serais ce pas simplement faire passer des limites au soum de ce que je comprends. Par exemple un soum ou une lol qui dit qu elle est attirée par être pris e en gang bang mais qu elle se sent pas de le faire si elle ou il devait le faire seul e, du coup le Dom ferait évoluer ses peurs lentement en ayant demandé la cause pour parvenir à ce qu elle ou il y parviennent et que la personne prenne du plaisir. C est ça où j'ai tout faux ?
Pour moi ce que vous décrivez là c'est la fiche de poste du Dominant. Je pense que la situation décrite par Christopher ressemble plus à un scénario pour moi car j’ai du mal à concevoir un forçage consenti (qui me semblent antinomiques). Mais sur le fond j’ai le sentiment que tout le monde est d’accord a partir du moment où tout le monde est consentant c’est ok.
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Ben oui pour moi aussi comme ça c est le rôle du Dom et donc pas un forçage
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Christopher
Bon bon je vais essayer de faire bref.
Il peut y avoir une dimension « thérapeutique » chez une soumise ayant réellement subit un viol. Plusieurs raisons m’ont été avancées:
- Avoir une seconde chance
- Vu que j’ai une tête de gentil et que je le suis, remplacer le souvenir de l’agresseur par moi qui suit plus sympa
- Transformer un souvenir horrible en quelque chose qui rime avec plaisir désormais.
- Ainsi que d’autres raisons beaucoup moins facilement appréhendables
Pour ça, faut quand même un vrai forçage…
Dernière modification le 05/10/2022 18:46:07 par Christopher.
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Spike
Pour moi il s'agit là de la raison pour laquelle ta partenaire désire cette pratique, mais cela reste à mes yeux un scénario, une simulation. Je comprends toutefois que le mot forçage pour les raisons invoquées peuvent avoir plus de poids à ses yeux/oreilles
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C est vrai que des fois le t as pas le choix même si on sait qu on l'a le choix aide à franchir des peurs ou juste à oser de nouvelles choses qu on aurait poser seule.
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On s'éloigne......je vais vous battre, gaffe ! ;)
Je lis avec attention en fait, et je reviendrai plus tard sur mon post et ma vision du truc version SM, sans BD, oui !...
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Christopher
Sujet toujours intéressant à lire.
Les femmes soumises sont peut-être moins attirées par l'humiliation parce que la société les rabaisse suffisamment au quotidien.
Je pense la même chose. Ça expliquerait aussi pourquoi davantage d’hommes recherchent l’humiliation. Le patriarcat rabaisse les femmes tout en élevant les hommes. Sans vouloir faire un genrisme inélégant, « Femme au foyer » et « Chef de famille » restent des expressions particulièrement explicites et dont l’affectation à un genre est encore commune. Je pense que les hommes cherchants l’humiliation, la soumission, souhaitent se décharger l’espace d’un moment de leurs « responsabilités » sociales qu’imposent leur rang de chef (de famille ou autre) ou quelques choses comme ça. Ne vous méprenez pas, je ne suis pas en train de jouer la plainte sociale à tendance sexiste pour les hommes hein…
Dernière modification le 06/10/2022 01:50:11 par Christopher.
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Dans ma vie professionnelle j’avais des responsabilités qui m’obligeaient à donner une image de maîtrise de moi, de mes actions à mes équipes, mes commanditaires, les médias. De même dans ma vie familiale. Soumis je me libère de la fatigue de ces obligations. Alors c’est la folie et la joie de carnaval. Je deviens femelle ( je n’emploie pas volontairement le mot femme), chien, pourceau, table … ce faisant ma Domina m.offre ma féminité, mon animalité. Moi j’ai le plaisir et l’honneur de lui donner mon amour propre, de la satisfaire, de lui faire ressentir son pouvoir.
Et tant pis si je vexe quelques Dom.e.s : lorsque j’obéis à un ordre ridicule, ce n’est pas moi qui l’ai formulé.
Soyez la première personne à aimer.
Christopher
Et tant pis si je vexe quelques Dom.e.s : lorsque j’obéis à un ordre ridicule, ce n’est pas moi qui l’ai formulé.
Je ne comprends pas. En quoi seriez-vous vexant?
Soyez la première personne à aimer.
[quote=125949]
Je ne comprends pas. En quoi seriez-vous vexant?
[/quote
Parce que ma réponse, dont j’assume l’insolence, déporte le ridicule de l’humiliation sur l’émetteur de l’ordre.
Soyez la première personne à aimer.
Angélique
[quote=125949]
Je ne comprends pas. En quoi seriez-vous vexant?
[/quote
Parce que ma réponse, dont j’assume l’insolence, déporte le ridicule de l’humiliation sur l’émetteur de l’ordre.
En gros vous estimez de façon très très simplifier que celui qui commandite un acte humiliant ou ridicule en assume également l'humiliation?
Soyez la première personne à aimer.
Christopher
[quote=79708]
En gros vous estimez de façon très très simplifier que celui qui commandite un acte humiliant ou ridicule en assume également l'humiliation?
Ça me dépasse je crois.
Soyez la première personne à aimer.
Angélique
[quote=123156]
Ça me dépasse je crois.
On va dire que c'est une façon de ce dédouaner de l'humiliation de penser comme ça.
Soyez la première personne à aimer.
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C est quoi un ordre ridicule 🤣
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Angélique : Si je suis chienne, c’est que ma Maîtresse m’a définie telle. Elle et moi savons que je suis un homme. Tout notre plaisir, partagé, est dans ma mutation. Mon désir est de m’approcher le plus possible de l’animal, femelle qui plus est. Et ma fierté est de lire dans ses yeux son approbation, sa fierté, son respect.
Bien sûr qu’elle sait ce qu’elle fait. Elle n’est pas uniquement Domina, mais surtout Maîtresse. C’est à dire Maîtresse d’elle même. Donc elle assume ses ordres.
Faut dire que nos pratiques cherchent plus le dépassement que l’anéantissement. Elles construisent, et non détruisent. Ainsi elle peut exiger des « régressions ». Ce faisant elle m’aide à fissurer ma cuirasse.
Le ridicule est ( ou pas) dans l’intention. Et le regard.
Et ce texte ci dessus je suis prêt à l’aboyer. Wharf wharf ! Fièrement,
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Demonia un ordre ridicule est un ordre mal pensé ou/et mal expliqué. Un ordre qui blesse sans grandir .
Je m’aperçois que je suis interpellé par une ange et une démone. Si la symbolique s’en mêle !
Soyez la première personne à aimer.
Angélique
Demonia un ordre ridicule est un ordre mal pensé ou/et mal expliqué. Un ordre qui blesse sans grandir .
Je m’aperçois que je suis interpellé par une ange et une démone. Si la symbolique s’en mêle !
C'est même plus qu'un ordre mal pensé c'est tout ce qui et dit ou fait dans l'intention de blessé l'autre et ça n'a plus rien de BDSM
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tout d'abord je me présente car je suis nouveau ici je veux dire sur le Net mais évidemment pas en BDSM je n'ai peut-être pas tous les codes et toutes les réponses mais j'ai mon avis sur la question de l'humiliation qui est un sujet vaste. j'ai à peu près tout lu sauf les digressions googlisées du juillettiste de service qui parce qu'il est inscrit ici comme Dom tutoie et donne des leçons à qui le veut et surtout à qui s'en fout complètement. Mais oui cher Monsieur parce qu'en plus d'être prétentieux vous vous trompez et je prendrai bien le temps de vous donner un cours de rhétorique sauf que ce serait du gâchis. vous allez pouvoir consulter votre dictionnaire préféré et vous constaterez qu'à l'inverse et à la rigueur c'était du paralogisme mais sûrement pas du sophisme qui induit la mauvaise foi ou l'intention de tromper . Et Lady Spencer peut avoir un raisonnement erroné mais c'est de bonne foi qu'elle le partage avec nous. Elle ne fait pas sciemment dans l'objectif de tromper et à sa place au seul mot de sophisme je vous aurais éjecté sans sommation. preuve en est que Son statut qui comprend la compassion dont manifestement vous êtes dépourvu, n'est pas usurpé. donc sur la question de l'humiliation je pense qu'il y a une part d'hypocrisie dans le fait pour un ou une Dom de la craindre car l'humiliation n'est à l'esprit de la personne soumise que le pendant de la torture physique. ni plus ni moins. Peut-être le mot hypocrisie sera mal interprété ou est il mal choisi, ce que je veux dire c'est que le sadisme que j'ai pu ressentir en lisant certains de vos articles ou récits fracasse tout autant sauf qu'il était associé et s'exprimait sur un corps que vous maltraitiez sans scrupule (je ne critique pas). mais où est la différence? le consentement étant acquis au préalable, la différence c'est que vous ne maîtrisez pas forcément la suite, ce que cela va provoquer et c'est cela surtout qui fait peur et non pas le fait de fracasser. Comme je l'ai lu dans deux posts dont un assez bref mais qui donne tant à réfléchir de Linsoumise, je la cite "le masochisme cérébral invite le sadique qui y répond en écho et donc peut venir appuyer sur des blessures qui se réactivent et crée non pas le plaisir du défi réussi dans un temps de jeu mais un profond mal-être qui se répercute sur le reste. Pas facile d’oser aller la dedans… sauf à espérer que cela vienne au final faire comprendre à la personne que sa blessure peut aussi être maîtrisée. Mais c’est prendre des risques psychologiques pour celui qui subit. Surtout que ça alimente le sadisme de l’autre qui peut ne pas mesurer les choses dans l’intensité de l’effraction psychique que ça crée et ce, même s’il est bienveillant". Elle répondait à Angélique qui voyait là un dépassement de soi, "tant qu'on ne jouait pas avec [ses] blessures". Je les rejoins toutes les deux, je ne pense pas qu'un homme aime plus l'humiliation parce qu'on est dans une société patriarcale comme je l'ai lu ici mais plutôt parce que le hommes ont juste une tendance masochiste plus forte et qu'en pur masochisme l'humiliation reste l'arme suprême. en revanche pour une ou un Dom je comprends qu'il n'est pas facile d'aller travailler sur le psychique avec le risques que cela peut induire. quand on a mal d'une torture physique infligée notre esprit nous raisonne et nous fait voir tout le bien-être qu'on peut et qu'on va en retirer alors que dans l'humiliation, c'est notre fierté qui est mise à mal, notre amour-propre qui est bafoué et cela, devant témoins, et là, pas touche. j'ai mis du temps à accepter même bien après l'avoir compris et même en ayant confiance, je ne dirais pas que j'aime cela mais je pense que c'est nécessaire et même indispensable si on veut parvenir à véritablement lâcher prise.
 
 

 

 

Dernière modification le 31/05/2023 14:29:19 par BDSM.
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Tindalos
En gros vous estimez de façon très très simplifier que celui qui commandite un acte humiliant ou ridicule en assume également l'humiliation?
Très franchement, des fois, sorti du contexte, ça peut paraître un peu ridicule quand on prend un peu de recul...
Premier exemple qui me vient à l'esprit, jouer à "va chercher le nonoss" avec un gode quand on fait du petplay...
Tu vois ça dans la rue, tu te demandes si tu n'es pas dans une caméra cachée...
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Angélique
Très franchement, des fois, sorti du contexte, ça peut paraître un peu ridicule quand on prend un peu de recul...
Premier exemple qui me vient à l'esprit, jouer à "va chercher le nonoss" avec un gode quand on fait du petplay...
Tu vois ça dans la rue, tu te demandes si tu n'es pas dans une caméra cachée...
L'important c'est l'instant non ?
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Lady Spencer
Punaise, plus jamais je ne dirai à mon chien "va chercher le nonoss".......
D'abord, parce que je ne m'adresse pas à lui ainsi, il ne le tolèrerait pas.
Ensuite, parce qu'il ne s'abaisse pas à ça : si je lance un jouet, je vais me le rechercher, nan mé euh !
Et pis, parce qu'il est sourd !
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Très franchement, des fois, sorti du contexte, ça peut paraître un peu ridicule quand on prend un peu de recul...
Premier exemple qui me vient à l'esprit, jouer à "va chercher le nonoss" avec un gode quand on fait du petplay...
Tu vois ça dans la rue, tu te demandes si tu n'es pas dans une caméra cachée...
je ne vois pas le rapport avec l'humiliation vu qu'on est dans un jeu le petplay voulu de part et d'autre et qu'on n'est pas dans la rue mais chez soi.
en revanche l'ordre serait humiliant si on était à un repas d'anniversaire ou dans la rue justement mais ridicule je ne vois pas le rapport.
je me souviens lorsque nous avons décidé d'assumer cette relation BDSM avec nos proches nos amis et nos familles, ce fut très humiliant, un cap compliqué des rejets des insultes et le pire le regard apitoyé des autres envers moi et encore pire le mépris ou le rejet envers Elle mais quelle fierté ensuite et quel bouleversement dans notre quotidien.
prendre la décision on l'avait prise dès le début mais on retardait son exécution. ce n'était jamais le bon moment car on savait que tout le monde le saurait aussitôt et vis-à-vis de sa famille même si les femmes en avaient le contrôle, les traditions persistaient et les convictions bien ancrées.
alors un jour on préparait une fête pour nos noces d'étain (10 ans) et Elle m'a fait comprendre que ce serait ce jour-là j'en étais heureux car ce serait plus facile à gérer et il n'y aurait pas ses nièces et neveux vu qu'on avait prévu une soirée dansante bien arrosée entre adultes sauf qu'entre temps se greffe une fête d'anniversaire décalée à cause de l'été proche et sans me prévenir aucunement en plein milieu du repas la fête battait son plein, Elle me fit une remontrance acerbe avec ce ton que je connaissais bien et elle ajouta : "tu me rappelleras à la maison que Je te dois une punition". j'étais glacé terrorisé et c'est à mon attitude après que tout le monde comprit. Ils ne se moquaient plus ni n'en riaient. et moi j'étais terriblement humilié tout s'était écroulé, le regard des autres les chuchotements et conciliabules en aparté, j'étais persuadé que tous se moquaient de moi, je n'osais plus manger ou boire ou parler et encore moins lever les yeux. plus tard, elle me complimenta "Je suis fière de toi. On a juste trop attendu mais ça sera plus facile maintenant". en fait ça n'a jamais été facile, ni la duplicité avant ni après où j'avais beaucoup de mal à bien me comporter en public avec mes proches craignant leur regard mais je dois dire que cela a changé nos pratiques ensuite, notamment le fait qu'elle me corrige plus souvent sans retenir ses coups. je dirais que notre vie vanille faisait qu'avant c'était juste de la D/s et là c'est devenu notre BDSM donc oui ça a ouvert une porte, La Porte...
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ange de Vesper
Ce partage de l'intimité ds devant des gens non avertis qui n'ont rien demandé ni consenti m'interpelle... En vanille ça donnerait quoi ?
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Ce partage de l'intimité ds devant des gens non avertis qui n'ont rien demandé ni consenti m'interpelle... En vanille ça donnerait quoi ?
C’est également ce que j’ai pensé.
La nature de ma relation avec mon Maître ne regarde pas les personnes de notre entourage.
Personne n’a à supporter d’être pris à témoin de choses qui relèvent de l’intime, surtout de manière brutale et imposée.
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SœurClo
bisoum le ridicule est subjectif... Mais c'est clair qu'aller chercher un god comme un nonoss peut-être en y réfléchissant après coup complètement dingue
Ensuite tout comme les deux commentaires précédant des allusions discrètes devant des proches non initiés oui, mais les mettre mal à l'aise non...
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Ce partage de l'intimité ds devant des gens non avertis qui n'ont rien demandé ni consenti m'interpelle... En vanille ça donnerait quoi ?
je suis d'accord avec vous pour eux sachant que notre objectif n'était pas et n'a jamais été de les choquer mais de les informer afin que ma Maîtresse soit affranchie dans nos moments d'intimité des conventions liées à notre vie de couple et ce fut bénéfique dans la mesure où vous le savez bien, la relation conjugale peut être un obstacle ou un frein qui conduit l'un à endosser le costume du Dom et l'autre du soumis sans véritablement l'assumer en permanence des moments passés ensemble a minima. le fait que nous n'ayons pas eu d'enfant nous a aidés ou plutôt l'a aidée à s'affranchir et avoir dévoilé notre lien l'a renforcé.
celles et ceux qui vivent leur bdsm dans leur quotidien pourraient réagir je les en prie
sur le plan de l'humiliation que j'ai ressentie quand j'étais confronté à ce choix cornélien d'assumer mon statut ou de continuer à être dans le mensonge.
quand soumis et Dom partagent leur vie au quotidien, vanille et bdsm cohabitent sans être prédéfini, pour ma part j'étais attentif à son écoute pour être réactif au moindre signe mais c'est plus la peur d'être humilié que l'humiliation elle-même que j'appréhendais et que j'espérais dès qu'il y avait un tiers présent... comment j'allais réagir, me soumettre ou me démettre! briser ma volonté et mon orgueil ne fut pas facile
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Tindalos
Ce partage de l'intimité ds devant des gens non avertis qui n'ont rien demandé ni consenti m'interpelle... En vanille ça donnerait quoi ?
Oui, exactement le genre de questionnement qui me traverse l'esprit...
J'ai quelques amis proches au courant de mon orientation, mais pas plus. S'ils ont des questions, j'essaie de leur répondre en restant très général.
Ma vie privée ne regarde que moi, éventuellement ceux qui partagent mes envies et en qui j'ai confiance.
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ange de Vesper
@bisoum ça m'a interpellé mais vous faites comme vous le sentez, c'était général comme remarque. Mais puisque vous justifiez, je précise. Je comprends dans votre justification que vous aviez tous les 2 l'envie de vivre l'humiliation en toutes circonstances, pour vivre en société comme vous vivez dans l'intimité. Ça c'est votre envie, votre problème, et vous l'imposez à des gens qui ne vous ont rien demandé.
Ça aurait été différent si vous aviez révélé à votre assemblée votre mode de fonctionnement sans leur imposer. Libre à eux alors de décider s'ils veulent participer à votre plaisir dans l'humiliation en y assistant.
Dernière modification le 19/10/2022 18:22:34 par ange de Vesper.
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Toute pratique avec des adultes éclairés et consentants est admissible. Si spectateurs il y a, ceux ci sont complices des actants. Si ce n.est pas le cas (par exemple exhibition de nudité, jeux d’humiliations devant un public non averti…) les personnes présentes sont instrumentalisées, leur liberté est niée. Nous sommes alors dans la manipulation, nous pouvons parler de perversion (le plaisir égoïste des joueurs ne tenant pas compte des impliqués, malgré eux).
Faire son outing est courageux et nécessaire si nous voulons faire évoluer la société vers plus de respect , et de reconnaissance des pratiques minoritaires. Mais cela ne pourra se réaliser que dans la reconnaissance de l’Autre, fut-il vanille . Non, vanille n’est pas péjoratif.
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@bisoum ça m'a interpellé mais vous faites comme vous le sentez, c'était général comme remarque. Mais puisque vous justifiez, je précise. Je comprends dans votre justification que vous aviez tous les 2 l'envie de vivre l'humiliation en toutes circonstances, pour vivre en société comme vous vivez dans l'intimité. Ça c'est votre envie, votre problème, et vous l'imposez à des gens qui ne vous ont rien demandé.
Ça aurait été différent si vous aviez révélé à votre assemblée votre mode de fonctionnement sans leur imposer. Libre à eux alors de décider s'ils veulent participer à votre plaisir dans l'humiliation en y assistant.
Je crois qu'on ne se comprend pas.
depuis quand doit-on demander l'autorisation à qui que ce soit de vivre notre relation au grand jour au lieu de faire semblant? ça fait peur votre façon de voir. La France est le pays des libertés tant qu'elles ne troublent ni l'Ordre Public ni les bonnes moeurs... Et on n'a troublé ni l'un ni l'autre.
Pour info l'homosexualité est dépénalisée depuis 1982 mais selon vous ils doivent se cacher de peur de choquer les hétéros?
Et si certains y ont trouvé ombrage, alors rien ne les obligeait à nous fréquenter.
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Angélique
C'est simplement le consentement éclairé faire de l'autre le spectateur d'une scène qu'il n'a pas demander à voir... Alors que vous deux en aviez pleine conscience...
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ange de Vesper
@bisoum soit personne ne vous a compris, soit c'est vous qui ne comprenez pas. La domination, et en l'occurrence l'humiliation, est votre façon de vivre votre intimité, je dirais même votre sexualité puisque c'est ce qui alimente votre désir. Imposer une scène d'humiliation, un élément de votre sexualité aux autres est potentiellement choquant et "trouble les bonnes moeurs" (vos mots). Vous le savez très bien puisque vous dites que rien ne les oblige à vous fréquenter si ça les dérange.
Inutile de vous draper de l'étendard de la liberté, de dénoncer la censure et d'invoquer la liberté d'orientation sexuelle pour légitimer votre fantasme personnel d'humiliation publique et l'instrumentalisation de personnes non consentantes.
Dans les récits d'humiliation qu'on trouve un peu partout sur les blogs, il y a souvent ces fanstames d'humiliation semi incestueuse avec des "nièces", la mère et la fille, le père, la famille quoi. Ce ne sont que des fantasmes et le narrateur ne doute jamais du désir des autres de l'humilier et de participer.
Moi j'en suis moins sûr et si mon désir était de me faire démonter au gode ceinture en public, "de vivre ma relation au grand jour au lieu de faire semblant" (vos mots), j'éviterais peut-être de remplacer au pied levé la dinde sur la table du repas de Noël.
Dernière modification le 20/10/2022 05:47:53 par ange de Vesper.
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Angélique
Prévenir c'est guérir et laisser le choix aux autres de refusé de participer à quelque chose qui pourrait les mettre mal a l'aise ou qui pourrait heurter leurs sensibilités.
Dernière modification le 20/10/2022 06:17:08 par Angélique.
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Tindalos
Et si je tombe sur un exhib dans la forêt quand je vais chercher des champignons avec mes gosses, l'Opinel ne va pas couper que des bolets...
La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres, et ils n'ont pas à subir les manifestations de ma sexualité si ce n'est pas leur choix.
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Spike
Je pense qu'il faut simplement revenir aux bases. Lorsque l'on s'attends a ce que les autres respectent vos libertees que ce soit de pratiquer le BDSM, d'etre homosexuel, de manger des pizzas a l'ananas... Il faut s'attendre à ce que les autres aient les mêmes exigences. Et je doute que ce soit vraiment ce qui vous est reproché ici.
Si vous avez le droit d'aimer l'humiliation, les autres ont aussi le droit de ne pas vous regarder le faire et il faut le respecter.
Ce qui choque dans votre récit, c'est que vous avez inclut des tiers qui n'avaient rien demandé dans un acte ostentatoire de D/S, certes vous n'étiez pas à sortir les fouets sur la table mais quand même c’est suffisamment explicite.
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Novicetimide
Je trouve les retours très "prudes" à ce sujet et assez d'accord avec quelques arguments de bisoum il y encore pas très loin en arrière, les homos étaient traités à la même enseigne.
"Ils font ce qu'ils veulent de leurs culs mais je veux pas les voir ! Surtout pas !"
Une phrase, une seule phrase a été lâché en public, si je comprends l'histoire de bisoum , rien de bien méchant et surtout je crois qu'il y a beaucoup de ses ressentis, de ses suppositions face à ce public qu'elle en sont vraiment les pensées on l'ignore.
SON sentiment d'humiliation projetés sur les autres...
De mon point de vue tant qu'il n'y pas d'enfants, de gestes clairement "dérangeants" , ils se sont pas foutus à poil sur la table et sortis les fouets comme déjà dit .
L'argument de l'exhibitionnisme dans la forêt ne tient pas non plus à mon sens , c'est interdit par la loi ! Ils n'ont rien fait de répréhensible.
Un acte ostentatoire de D/s ça aussi c'est très fort , le BDSM reste l'enfant malade de nos sexualités.
Les regards changeront aussi quand on en parlera de plus en plus qu'on délie les langues et les esprits
Les retours sont bien pudibonds je suis un peu étonné...
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Novicetimide
On est en 2022 y a plus de lettres de l'alphabet que de sexualités LGBTQ etc etc jmy perds .
Tout le monde se libère et j'ai parfois le sentiment d'appartenir à une secte .
J'ai évoqué à des "vanilles"(du mal avec ce terme aussi) mes penchants, j'ai eu des "tes une malade !"
"C'est dégueulasse" certes parfois en rigolant ou je sais pas mais ça reste blessant.
C'est le malaise des autres qu'il faut bousculer un peu... pas s'enfermer et se cacher par peur du regard.
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ange de Vesper
Perso je ne suis ni prude, ni pudibond mais je respecte que les autres le soient. Sur ce, je passe la main, au risque de me répéter.
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Spike
Je ne suis pas d'accord, on ne parle pas de la même chose.
Avoir une discussion avec des proches pour leur expliquer nos goûts, bon pourquoi pas, et leur réaction est un peu triste d'ailleurs.
Par contre, faire participer un public non consentant à des jeux mêmes softs, je ne trouve pas cela normal.
La citation "Ils font ce qu'ils veulent de leurs culs mais je veux pas les voir ! Surtout pas !" me laisse interdit... c'est normal non? Je n'ai pas forcement envie de voir mes voisins hetero baiser...
C'est comme si vous disiez, vous êtes intolérants envers les couples scatophiles car vous refusez de les voir jouer de cette pratique... Je comprends les goûts des autres mais je ne les partage pas forcément et je ne tiens pas forcément à ce qu'ils me fassent une démo.
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Novicetimide
C'était une image mais soit j'explique : dans le sens s'embrasser, se tenir la mains en fait, montrer son homosexualité au grand jour était jusqu'à peu impossible.
Là dans ce récit il n'y a rien de sexuel c'est ce que je souligne donc bon la démo me paraît ne pas en être une finalement.
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Novicetimide
Et en soit je comprends qu'il faille respecter l'autre dans ses limites. En revanche l'autre aussi peut me respecter dans mes orientations surtout quand rien de sexuel n'est montré juste la nature d'un lien révélé plutôt que de recevoir des regards désapprobateurs ...
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OK. Oui on a pas à étaler le bdsm avec des non bdsm que ce soit des amis ou de la famille. Tout comme les per vanille ne baise pas devant des gens qu ils connaissent, comme les libertin ne joue qu e'tree personnes du. Même monde et pas devant des vanilles.
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Salomé
Tant que rien d'ostentatoire n'est imposé, ça ne me dérange pas. Mais est ce que "mon" ostentatoire est le même que celui de l'autre ?
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Tant que rien d'ostentatoire n'est imposé, ça ne me dérange pas. Mais est ce que "mon" ostentatoire est le même que celui de l'autre ?
Votre question est la bonne Salomé . Et la réponse est l’empathie. Statistiquement il y a de fortes « chances » que dans l’assemblée festive de bisoum il y ai des personnes ayant souffert, ou souffrant encore de pratiques humiliantes, non désirées. Une telle exhibition ne risque-t-elle pas de raviver des blessures ?
Et si j’accepte, et recherche d’être la chose de ma Maîtresse, je refuse totalement d’être instrumentalisé ( chosifié) par qui je n’ai pas choisi (ou Elle). Liberté de choix que peuvent donc revendiquer les vanilles.
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Christopher
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Je suis désolé mais ce genre de chose ne doit pas être affichée de manière libre. Tout ce qui entre dans le domaine du BDSM s’appelle une déviance. Loin de moi l’idée de prôner un modèle conventionnel unique pour la société mais, pour autant, il faut savoir réfléchir de manière basique: « Est ce que c’est naturel ? » (dans le sens, voit-on ceci ailleurs dans la nature, chez d’autres espèces?). Si la réponse est non, les êtres de réflexion que nous sommes avons à charge de nous remettre en question sur nos actes mais aussi sur ce que nous montrons. Le pet play, ok faut pas le juger mais faut pas le montrer comme ça non plus selon-moi (et selon un paquet de psy également. Ça reste des professionnels de santé et leur avis ne peut pas être ignoré sans qu’on bascule dans une arrogance dangereuse)
PS: Plus simplement, je m’interroge sur votre droit d’imposer cette révélation à vos proches pour VOTRE plaisir et VOTRE épanouissement PERSONNEL. Eux, vous parlent-ils de leur manière de baiser ? On doit pas avoir le même genre de repas de famille…
Dernière modification le 21/10/2022 05:52:46 par Christopher.
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Christopher
Il existe une pudeur que vous ne pouvez ignorer concernant le sexe. Expliquer à une collègue à la machine à café qu’hier soir vous avez atteint un orgasme des plus puissants avec votre compagne(on) est déjà complètement déplacé alors qu’on parle d’une chose élémentaire, belle, vanille, saine… Au mieux, vous pourrez raconter ça à voix basse pour que personne d’autre n’entende dans le cas où vous seriez très proche de cette collègue. Alors des pratiques BDSM, faut pas se mettre d’œillères, ça ne doit pas se raconter ni se montrer facilement. Il n’y a qu’un mince voile pour se montrer ou en parler à des gamins de moins de 15 ans.si ça continue et ça c’est un danger monstrueux! A l’heure où la culture du viol est en train de remonter en flèche, imaginez le carnage.
Dernière modification le 21/10/2022 05:16:47 par Christopher.
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Christopher
On est en 2022 y a plus de lettres de l'alphabet que de sexualités LGBTQ etc etc jmy perds .
Tout le monde se libère et j'ai parfois le sentiment d'appartenir à une secte .
J'ai évoqué à des "vanilles"(du mal avec ce terme aussi) mes penchants, j'ai eu des "tes une malade !"
"C'est dégueulasse" certes parfois en rigolant ou je sais pas mais ça reste blessant.
C'est le malaise des autres qu'il faut bousculer un peu... pas s'enfermer et se cacher par peur du regard.
Non! Vous n’avez pas à bousculer les autres sur des sujets déviants. Vous n’en avez pas le droit légal ni moral. J’ai conscience que « bousculer » était une façon de parler, une image, et que j’ai répondu comme si ça n’était que rationnel, comme si je le prenais au pied de la lettre. Je réponds ainsi car je pense que cette seule pensée que vous avez qu’il faudrait bousculer les gens là dessus est grave. Ceux qui ont des attirances vers le BDSM seront trouver très facilement tous les renseignements dont ils ont besoin. On va pas imposer cette culture à ceux que ça n’attire pas de la même manière que je détesterais qu’on m’explique que c’est bien bon de manger de la m…
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Christopher
Et si je tombe sur un exhib dans la forêt quand je vais chercher des champignons avec mes gosses, l'Opinel ne va pas couper que des bolets...
La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres, et ils n'ont pas à subir les manifestations de ma sexualité si ce n'est pas leur choix.
Cependant, la vision d’un corps nu ne devrait rien avoir de choquant pour personne. C’est le cas en Islande par exemple où, lorsque vous allez à la piscine municipale, vous devez obligatoirement passer à la douche et vous savonner sans maillot de bains, hommes et femmes mélangés indistinctement dans ces douches communes. Les exhibitionnistes n’existent que dans les sociétés où nudité est associée à sexualité.
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Cependant Christopher en France pour faire du nudisme il y a des endroits pour et la le thème est humiliation. Comme tindalis si je me premene en. Ville avec mes enfants et que je vois une personne uriner sur une autre ou une a 4 pattes ou nu, certes ça ne me choquera pas, je peux me pousser à expliquer à mes enfants ce que C est (bdsm) quand à la pratique mais ça me choquera par rapport à l'irrespect des gens qui passent et n'ont rien demandé.
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@bisoum soit personne ne vous a compris, soit c'est vous qui ne comprenez pas. La domination, et en l'occurrence l'humiliation, est votre façon de vivre votre intimité, je dirais même votre sexualité puisque c'est ce qui alimente votre désir. Imposer une scène d'humiliation, un élément de votre sexualité aux autres est potentiellement choquant et "trouble les bonnes moeurs" (vos mots). Vous le savez très bien puisque vous dites que rien ne les oblige à vous fréquenter si ça les dérange.
Inutile de vous draper de l'étendard de la liberté, de dénoncer la censure et d'invoquer la liberté d'orientation sexuelle pour légitimer votre fantasme personnel d'humiliation publique et l'instrumentalisation de personnes non consentantes.
Dans les récits d'humiliation qu'on trouve un peu partout sur les blogs, il y a souvent ces fanstames d'humiliation semi incestueuse avec des "nièces", la mère et la fille, le père, la famille quoi. Ce ne sont que des fantasmes et le narrateur ne doute jamais du désir des autres de l'humilier et de participer.
Moi j'en suis moins sûr et si mon désir était de me faire démonter au gode ceinture en public, "de vivre ma relation au grand jour au lieu de faire semblant" (vos mots), j'éviterais peut-être de remplacer au pied levé la dinde sur la table du repas de Noël.
personnes non consentantes dites-vous mais vous parlez de quoi??,
de vos fantasmes de me clouer au pilori parce que je suis nouveau ici?
mais le bdsm vécu ne se résume pas à BDSM.FR!!!
venez donc dans la vraie vie et de multiples coupes au quotidien, bien plus avancé que vous croyez l'être vivent leur bdsm sans fantasmer sur un site internet ou publier des photos chipées sur le Net pour s'exciter....
je ne dis pas que pour autant vous ne vivez que du fantasme mais je vous confirme qu'on vit aussi ailleurs qu'ici et tant mieux car pour lire cela vaut mieux rester chez soi
si vous qui ne comprenez pas car je n'ai pas développé suffisamment... il ne s'agissait pas de faire quoique ce soit contraire à la morale judéo-chrétienne et à l'Ordre public. Ce que je vivais comme une humiliation c'était le fait de montrer ma soumission dans un monde qu'habituellement nous vivions avec les préjugés habituels mais rien de ridicule ou d'humiliant au sens où vous semblez le comprendre. Il ne s'agissait pas évidemment d'obéïr à un ordre stupide mais juste pour moi d'affirmer ma soumission en me comportant comme tel lorsqu'elle était présente et qu'avant de sortir, je portais un très discret tour de cou preuve de mon appartenance et décelable juste par les initiés. chacun est libre de la vivre comme il l'entend, lors de jeux de mise en situation ou mises en scène ou au quotidien. et où avez-vous vu que je recherche l'humiliation aux yeux de tous? je me moque complètement et depuis longtemps d'ailleurs de ce que pensent tous les autres de moi, à l'exception de ce qu'Elle, elle pensait lorsque j'étais son soumis.
manifestement vous mélangez tout. autant la blessure physique est aisément perçue par quiconque spectateur, autant celle de l'amour-propre ne concerne que soi-même et n'est pas du tout palpable par un tiers qui vous connait peu ou pas et même ceux qui vous connaissent, peuvent se tromper ou ne rien voir. l'art de la dissimulation ou de la maîtrise de soi, regardez le Bouddha en position du lotus avec cet indéfinissable sourire aux lèvres. certes je ne suis pas le bouddha, et incapable de rester une heure ou plus dans un posture pénible ou douloureuse mais j'ai appris à cacher mes sentiments!
cela étant, il nous est apparu comme une évidence qu'il fallait assumer notre statut partout et en toute circonstance car sinon c'est la même hypocrisie que celle d'un chrétien qui fait pénitence et continue dans le même temps tous ses excès. on a donc dans le contrat de départ prévu qu'il y aurait des périodes de jeûnes, d'abstinence de privations de mortification mais la part belle à l'humiliation mais pour cela il faut s'être tout raconté et se connaître parfaitement pour explorer justement tout ce qui était humiliant pour moi pourquoi et comment guérir des blessures du passé sans juste les raviver voire les amplifier. la tâche est ardue mais l'avantage c'est que je ne suis plus un écorché vif même s'il y a eu des loupés et qu'il m'est arrivé d'être fracassé anéanti...
Quant à assumer notre sexualité en public pour info l'exhibitionnisme est un délit et drapé comme vous dites non pas de ma dignité mais de mes devoirs civiques, je ne m'exhibe ni ne me suis jamais exhibé devant des familles ou des enfants ou quiconque non averti et/ou non consentant.
les humiliations qu'elle m'infligeait devant des tiers, avaient pour but de travailler sur l'ego pour avancer et non pas des stupidités d'aller chercher le nonosse! même nos chiens l'auraient regardée d'un air dépité si elle s'était amusée à le leur dire,
c'est un ressenti intérieur non palpable hormis d'Elle et moi.
nous avons peu pratiqué l'émasculation et la pléiade de pseudos humiliations type celles qu'on trouve sur internet, me féminiser ou travailler sur le côté bi n'était pas humiliant vu que j'ai toujours aimé cela et qu'elle ait des amants qu'elle m'en parle et me raconte m'excitait
quant aux humiliations épidermiques s'accompagnant d'une blessure physique tout comme quand on débriefait, ce fut exclusivement dans l'intimité vu que ça ne regardait que nous.
une fessée, une correction, une raclée, une punition est humiliante, à chaque fois ce n'est pas un moment dont j'ai besoin pour exister, mon masochisme ne consiste pas à aimer me faire taper dessus mais plus à provoquer ce moment. le vivre est une terrible humiliation
peut-être me suis-je éloigné du post de départ de Lady Spencer citant "cette chose humiliée, rampante, avilie, déshonorée" je ne me suis senti ni rampant ni déshonoré ni avili mais plutôt diminué démantelé dévasté mais jamais abandonné ni dévalorisé, bien au contraire
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Je trouve les retours très "prudes" à ce sujet et assez d'accord avec quelques arguments de bisoum il y encore pas très loin en arrière, les homos étaient traités à la même enseigne.
"Ils font ce qu'ils veulent de leurs culs mais je veux pas les voir ! Surtout pas !"
Une phrase, une seule phrase a été lâché en public, si je comprends l'histoire de bisoum , rien de bien méchant et surtout je crois qu'il y a beaucoup de ses ressentis, de ses suppositions face à ce public qu'elle en sont vraiment les pensées on l'ignore.
SON sentiment d'humiliation projetés sur les autres...
De mon point de vue tant qu'il n'y pas d'enfants, de gestes clairement "dérangeants" , ils se sont pas foutus à poil sur la table et sortis les fouets comme déjà dit .
L'argument de l'exhibitionnisme dans la forêt ne tient pas non plus à mon sens , c'est interdit par la loi ! Ils n'ont rien fait de répréhensible.
Un acte ostentatoire de D/s ça aussi c'est très fort , le BDSM reste l'enfant malade de nos sexualités.
Les regards changeront aussi quand on en parlera de plus en plus qu'on délie les langues et les esprits
Les retours sont bien pudibonds je suis un peu étonné...
Meri de m'avoir compris, l'humiliation a été terrible, intérieurement oui
pour le reste bien d'accord avec toi... on passe pour des enfants malades la plupart du temps et on peut être pudique sans tomber dans la pudibonderie
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Et si je tombe sur un exhib dans la forêt quand je vais chercher des champignons avec mes gosses, l'Opinel ne va pas couper que des bolets...
La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres, et ils n'ont pas à subir les manifestations de ma sexualité si ce n'est pas leur choix.
c'est pas aux champignons que tu es mais c'est la chasse aux sorcières
dire qu'on est le soumis de sa femme c'est donc assimilable selon toi à s'exhiber en forêt devant des enfants???? Donc passible de 30 000 € d'amende et 2 ans de prison.... Ca fait peur ce genre de jugement à l'emporte pièces
je te demande de te rétracter de tes paroles blessantes qui sont humiliantes à moins que tu ne considères les soumis comme des adultes handicapés.... explique moi car je t'avoue je suis un peu idiot je n'ai pas compris le parallèle
Dernière modification le 21/10/2022 11:29:55 par bisoum.
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Spike
Je pense qu'il y a une difference entre dire que tu es soumis a ta femme et en faire la demonstration.
Avoir une discussion avec des amis ou tu expliques cela ne me choque pas, et je trouverais dommage que ceux ci ne respectent pas tes choix. Mais ce sont des conversations difficiles a avoir et ne doivent pas etre forcee. Si les gens ne veulent pas aller sur ce terrain c'est qu'ils ne veulent pas savoir il faut le respecter aussi.
Avoir dans un diner une sorte de preliminaire avec son partenaire, je trouve que cela ne se fait pas et peut comprendre des relations epidermiques, quel que soit les penchants sexuels. Je te dirais la meme chose si tu avais dit a ta femme et devant tes amis "ce soir je te fais jouir en te prenant en levrette", c'est plus 'politiquement correct' comme pratique pour autant ca reste tout aussi deplace.
Et je pense que c'est ce que les gens essaient de dire ici.
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112819
Cependant Christopher en France pour faire du nudisme il y a des endroits pour et la le thème est humiliation. Comme tindalis si je me premene en. Ville avec mes enfants et que je vois une personne uriner sur une autre ou une a 4 pattes ou nu, certes ça ne me choquera pas, je peux me pousser à expliquer à mes enfants ce que C est (bdsm) quand à la pratique mais ça me choquera par rapport à l'irrespect des gens qui passent et n'ont rien demandé.
je suis bien d'accord avec vous. c'est très choquant mais bon je ne crois pas l'avoir jamais vu non plus... ouf
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Je suis désolé mais ce genre de chose ne doit pas être affichée de manière libre. Tout ce qui entre dans le domaine du BDSM s’appelle une déviance. Loin de moi l’idée de prôner un modèle conventionnel unique pour la société mais, pour autant, il faut savoir réfléchir de manière basique: « Est ce que c’est naturel ? » (dans le sens, voit-on ceci ailleurs dans la nature, chez d’autres espèces?). Si la réponse est non, les êtres de réflexion que nous sommes avons à charge de nous remettre en question sur nos actes mais aussi sur ce que nous montrons. Le pet play, ok faut pas le juger mais faut pas le montrer comme ça non plus selon-moi (et selon un paquet de psy également. Ça reste des professionnels de santé et leur avis ne peut pas être ignoré sans qu’on bascule dans une arrogance dangereuse)
PS: Plus simplement, je m’interroge sur votre droit d’imposer cette révélation à vos proches pour VOTRE plaisir et VOTRE épanouissement PERSONNEL. Eux, vous parlent-ils de leur manière de baiser ? On doit pas avoir le même genre de repas de famille…
vous m'avez lu ou bien vous êtes dans un fantasme, ai-je dit que le petplay c'était notre trip?
"tu me rappelleras à la maison que je te dois une punition", vous parlez comme ça à votre chien, il comprend et vous le rappelle sinon vous lui en filez deux?
et le fait qu'elle porte la culotte dans notre couple en quoi cela est dérangeant? l'infantilisation n'est pas un délit sinon cela ferait belle lurette que les EHPAD seraient fermés! et vous connaissez l'adage, s'il n'y a pas de viol entre époux consentants, il n'y a pas de violence non plus et il n'y a pas d'abus. je ne suis pas partisan d'afficher des pratiques qui sont choquantes et de les pratiquer encore moins mais juste de ne pas jouer un rôle, d'être soi-même, de ne pas porter un masque de circonstance du moment qu'on est différent de la norme judéo-chrétienne
le fascisme et l'obscurantisme, Prévert les dénonçait il y a 3 quarts de siècle. Que dirait-il en vous lisant aujourd'hui?
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ange de Vesper
Clouer au pilori
Chasse aux sorcières
Fascisme et obscurantisme
Ça va être compliqué d'aller plus loin, on a atteint le point Godwin. Il vaudrait mieux arrêter, de toutes façons on ne comprend rien.
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Bisou je suis d accord avec vous sur le fait qu il faut être sois même, mais ce n est pas toujours possible ça dépend des gens avec qui on est. Par exemple nos amis libertin et ami tout court à mon Dom et à moi au début nous nous s présenté comme des amis puis au fil des rencontres les choses se sont faites en douceur car ils ne sont pas dans le bdsm ils savent que ça existe c'est tout. Et même au début le simple fait qu il. Me demande d aller lui chercher un truc à boire les a choquer c est dire donc on a expliqué qu il y avait pas de mal lol maintenant au bout de 6 mois ils savent que nous avons une relation bdsm car on a amener cela de manière douce et naturelle et su ils ont vu que l'on s appréciait humainement on fait même des soirées ensemble. Voilà juste pour dire que ce qui vous paraît normal ne l'est pas forcément pour les autres qu il faut respecter leur sensibilité. Et j'ajoute que qu nous sommes avec des amis non libertin ou en famille nous sommes justes des amis attentionnés rien n'est visible en parole ou en acte afin de respecter leur opinion et sensibiliter.
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Angélique
Il y a un mélange de tout et n'importe quoi l'infantilisation et l'EHPAD ??? C'est sérieux???
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Allez, on respire, on boit un coup, j’ai préparé les verres 😉, et on revient dans le thème de l’humiliation.
Pièces jointes
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Il y a un mélange de tout et n'importe quoi l'infantilisation et l'EHPAD ??? C'est sérieux???
pas plus que le fait de vivre caché ou de considérer que rechercher l'humiliation est une perversité
l'humiliation dans l'esprit de certains Dom ici semble consister à des ordres idiots, va chercher ton nonosse, va m'acheter mes tampons de préférence aux heures d'affluence, promène toi avec un gode dans le cul porte des sous-vêtements féminins et parfume toi sois efféminé en public rase toi les jambes et fais le ménage...
mais sur quelle planète bdsm vous vivez? continuez de faire mumuse mais une chose de certaine, vous n'êtes manifestement pas près d'explorer nos blocages profonds et le lâcher prise c'est du chiqué ou alors il va vous falloir nous mettre une sacrée trempe pour obtenir ce que vous auriez eu si vous aviez creusé un peu dans les souvenirs qu'on aimerait partager avec vous, où ça faisait mal et pourquoi.
quant à croire à la catharsis pour soigner le psychique, bon courage ça ne marche pas et l'hypnose non plus, à part dans les films. Freud lui-même a laissé tomber.
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Angélique
Vous passez de pratique consentie à la maltraitance institutionnel donc complètement Hors Sujet.
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ange de Vesper
Quand je disais "on ne comprend rien" je faisais référence au fait que vous disiez qu'on ne comprenait rien, mais finalement je ne comprends effectivement rien à votre raisonnement, au pourquoi du comment de vos développements... 🤔
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Angélique
Faut croire qu'il reste encore beaucoup d'ego a canalisé 🙄🙄🙄
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Tindalos
129295
pas plus que le fait de vivre caché ou de considérer que rechercher l'humiliation est une perversité
l'humiliation dans l'esprit de certains Dom ici semble consister à des ordres idiots, va chercher ton nonosse, va m'acheter mes tampons de préférence aux heures d'affluence, promène toi avec un gode dans le cul porte des sous-vêtements féminins et parfume toi sois efféminé en public rase toi les jambes et fais le ménage...
mais sur quelle planète bdsm vous vivez? continuez de faire mumuse mais une chose de certaine, vous n'êtes manifestement pas près d'explorer nos blocages profonds et le lâcher prise c'est du chiqué ou alors il va vous falloir nous mettre une sacrée trempe pour obtenir ce que vous auriez eu si vous aviez creusé un peu dans les souvenirs qu'on aimerait partager avec vous, où ça faisait mal et pourquoi.
quant à croire à la catharsis pour soigner le psychique, bon courage ça ne marche pas et l'hypnose non plus, à part dans les films. Freud lui-même a laissé tomber.
Lol... Va falloir redescendre un peu dans les tours, là... Après on va encore dire que je suis un vilain garnement...
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Lady Spencer
Je suis désolé mais ce genre de chose ne doit pas être affichée de manière libre. Tout ce qui entre dans le domaine du BDSM s’appelle une déviance.
Eh bien ça non plus ne doit pas être affiché de manière libre, Christopher : le BDSM n'est plus considéré comme une déviance et heureusement !
"L’American Psychiatric Association a « dépathologisé », après le DSM-IV, malgré sa justification clinique, le kinky sex — y compris le cross-dressing, les fétiches et le BDSM — dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, cinquième édition (DSM-5). Désormais, les paraphilies sont considérées comme des « intérêts sexuels inhabituels ».
Et cela date de 2019
Dernière modification le 21/10/2022 17:40:17 par Lady Spencer.
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Merci @Lady Spencer
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Lady Spencer
Je reviendrai lire tous les commentaires plus tard, mais que l'on soit en accord ou en désaccord, restons calmes et courtoisement respectueux et sans jugement sur ce qui écrit.
Et si vous pensez ne pas pouvoir conserver votre self-control, passez à autre chose svp .
Il y a tant à dire sur nos pratiques !
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Christopher
112819
Cependant Christopher en France pour faire du nudisme il y a des endroits pour et la le thème est humiliation. Comme tindalis si je me premene en. Ville avec mes enfants et que je vois une personne uriner sur une autre ou une a 4 pattes ou nu, certes ça ne me choquera pas, je peux me pousser à expliquer à mes enfants ce que C est (bdsm) quand à la pratique mais ça me choquera par rapport à l'irrespect des gens qui passent et n'ont rien demandé.
Ah oui oui absolument! Je me suis apparemment mal fait comprendre. Vous avez entièrement raison.
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Christopher
129295
vous m'avez lu ou bien vous êtes dans un fantasme, ai-je dit que le petplay c'était notre trip?
"tu me rappelleras à la maison que je te dois une punition", vous parlez comme ça à votre chien, il comprend et vous le rappelle sinon vous lui en filez deux?
et le fait qu'elle porte la culotte dans notre couple en quoi cela est dérangeant? l'infantilisation n'est pas un délit sinon cela ferait belle lurette que les EHPAD seraient fermés! et vous connaissez l'adage, s'il n'y a pas de viol entre époux consentants, il n'y a pas de violence non plus et il n'y a pas d'abus. je ne suis pas partisan d'afficher des pratiques qui sont choquantes et de les pratiquer encore moins mais juste de ne pas jouer un rôle, d'être soi-même, de ne pas porter un masque de circonstance du moment qu'on est différent de la norme judéo-chrétienne
le fascisme et l'obscurantisme, Prévert les dénonçait il y a 3 quarts de siècle. Que dirait-il en vous lisant aujourd'hui?
Le fascisme? Vous êtes sérieux en me qualifiant ainsi?
Effectivement, je comprends rien à vos histoires je crois et vous ne me comprenez pas non plus alors je vous laisse tranquille car mon but n’est pas que vous vous sentiez muselé du tout. Désolé pour ces incompréhensions entre nous.
PS: Apparemment je ne suis pas le seul à ne rien comprendre à ce que vous racontez…
Dernière modification le 21/10/2022 18:10:28 par Christopher.
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Bon pour vivre vos envies diverses et va en toutes liberté il existe un endroit dans le sud le cap ou vous vivre au grand jour sereinement car C est endroit unique les gens qui vont la bas on l habitude de toutes les pratiques on voit de tout de façon normale des nudistes les bdsm qui mange ou promener leur chien ou chienne en. Laisse qui mange dans des gamelles à terre au restaurant mais à part la bas le respect des vanilles ou autres doit être de mises.
A part dans ce paradis Le Cap On peut vivre ses envies d humiliation ou autres mais toujours commencer par le respect des autres et de leur limite
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Christopher
Eh bien ça non plus ne doit pas être affiché de manière libre, Christopher : le BDSM n'est plus considéré comme une déviance et heureusement !
"L’American Psychiatric Association a « dépathologisé », après le DSM-IV, malgré sa justification clinique, le kinky sex — y compris le cross-dressing, les fétiches et le BDSM — dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, cinquième édition (DSM-5). Désormais, les paraphilies sont considérées comme des « intérêts sexuels inhabituels ».
Et cela date de 2019
Déviance ne veut pas dire paraphilie d’après mes connaissances. Est-ce que je me trompe ? Pour moi, « intérêt sexuel inhabituel » est la définition de déviance.
« Seul le Sadisme et le Masochisme sont considérés comme des paraphilies.
Le SM n’est pas défini comme un trouble mental tant qu’on n’atteint pas le stade de la blessure.
Aucune des lettres de BDDSSM n’est définie comme maladie mentale sauf si vous n’éprouvez de l’excitation sexuelle que dans une pratique et pas en dehors. Cela s’appelle une obsession. »
Dernière modification le 21/10/2022 18:19:48 par Christopher.
Soyez la première personne à aimer.
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Pour qu il y ait deviance il faut qu il y ai normalité. Qu est ce que la normalité ? Par rapport à quoi ? Il existe autant d être humains que d envies, que de façon de vivre.
Si on est dans un esprit judeo chrétien comme normalité alors oui il y a deviance, mais so on est pas dans cet esprit il n'y a pas de deviance. Il y avait des société avant la norme judeo chrétienne qui vivais donc sans norme comme connu depuis. Le célibat était très mal vu avant plus aujourd'hui les choses changent et pour le bdsm et le libertinage c est pareil
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bisoum :
Il m'intéresserait de savoir quelles ont été les réactions des personnes présentes le jour de votre "coming out" ?
Je veux dire dans la suite de vos relations avec icelles ?
Des portes se sont-elles définitivement fermées ?
D'autres entrouvertes ?...
Status quo ?
Vivez-vous désormais seuls avec votre compagne sur une île déserte loin de ce monde cruel ? ;)
Ceci pour mieux considérer l'impact de cette humiliation publique, merci :)
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Christopher
112819
Pour qu il y ait deviance il faut qu il y ai normalité. Qu est ce que la normalité ? Par rapport à quoi ? Il existe autant d être humains que d envies, que de façon de vivre.
Si on est dans un esprit judeo chrétien comme normalité alors oui il y a deviance, mais so on est pas dans cet esprit il n'y a pas de deviance. Il y avait des société avant la norme judeo chrétienne qui vivais donc sans norme comme connu depuis. Le célibat était très mal vu avant plus aujourd'hui les choses changent et pour le bdsm et le libertinage c est pareil
Normalité, peut être pas forcément mais plutôt convention ?
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Salomé
Si il y a blessure, cela relève donc du trouble mental ?
Déviance ne veut pas dire paraphilie d’après mes connaissances. Est-ce que je me trompe ? Pour moi, « intérêt sexuel inhabituel » est la définition de déviance.
« Seul le Sadisme et le Masochisme sont considérés comme des paraphilies.
Le SM n’est pas défini comme un trouble mental tant qu’on n’atteint pas le stade de la blessure.
Aucune des lettres de BDDSSM n’est définie comme maladie mentale sauf si vous n’éprouvez de l’excitation sexuelle que dans une pratique et pas en dehors. Cela s’appelle une obsession. »
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ange de Vesper
Je reviendrai lire tous les commentaires
Ça c'est du masochisme, j'ai bon là ? 😬
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j'ai donné mon avis en partageant avec vous un moment d'humiliation consentie et ça déclenche toute une série d'extrapolations comme si nous étions des pervers qui affichions nos pratiques. une phrase jette un froid en famille la belle affaire et quand on découvre que son frère ou sa soeur est cocue, ça jette pas un froid? Donc en gros on a le droit de tromper son mari ou sa femme, on a enfin le droit d'être gay, et bi on a le droit ou pas? car soumis ou D/s c'est interdit de le dire faut se cacher. Même pas le droit, juste de le dire ça pourrait choquer quelqu'un qui n'est pas averti... Bravo la censure
parce que vous croyez vraiment que vos proches ignorent tout de vous? ils savent compter et 2 et 2 ont toujours fait 4. En revanche ils n'ont pas le détail du calcul
ou comme dirait la comtesse nul n'est jamais assez fort pour ce calcul... pour détendre ... l'atmosphère entre autre
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112819
Bon pour vivre vos envies diverses et va en toutes liberté il existe un endroit dans le sud le cap ou vous vivre au grand jour sereinement car C est endroit unique les gens qui vont la bas on l habitude de toutes les pratiques on voit de tout de façon normale des nudistes les bdsm qui mange ou promener leur chien ou chienne en. Laisse qui mange dans des gamelles à terre au restaurant mais à part la bas le respect des vanilles ou autres doit être de mises.
A part dans ce paradis Le Cap On peut vivre ses envies d humiliation ou autres mais toujours commencer par le respect des autres et de leur limite
franchement vous aimez le cap d'agde? nous on était naturistes, on l'a fui y'a 15 ans justement quand on s'est mis à croiser des gens qui en tenaient d'autres en laisse... Respect vanille? C'est récent peut être
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Salomé
Bisoum, personnellement ça ne m'a pas choqué plus que ça. Il faut juste être capable ensuite d'expliquer que c'est un mode de fonctionnement totalement consenti entre vous.
Ce que je trouve dommage c'est votre agressivité. Je vous pense suffisamment intelligent pour donner des explications plus claires à ceux qui n'ont pas compris.
Et s'ils ne comprennent pas, est-ce si grave ?
Je n'ai pas lu dans votre récit que vous imposiez aux autres vos pratiques. Ou alors c'est que j'ai mal compris
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Lady Spencer
Déviance ne veut pas dire paraphilie d’après mes connaissances. Est-ce que je me trompe ? Pour moi, « intérêt sexuel inhabituel » est la définition de déviance.
« Seul le Sadisme et le Masochisme sont considérés comme des paraphilies.
Le SM n’est pas défini comme un trouble mental tant qu’on n’atteint pas le stade de la blessure.
Aucune des lettres de BDDSSM n’est définie comme maladie mentale sauf si vous n’éprouvez de l’excitation sexuelle que dans une pratique et pas en dehors. Cela s’appelle une obsession. »
Pour vous peut-être, mais pas pour les "spécialistes" américains faisant référence encore aujourd'hui : qu'ils aient donc sorti le BDSM des cases "troubles mentaux" me semble être une belle avancée .
Si justement l'identification en "intérêt sexuel inhabituel" a été crée, c'est bien pour différencier cette attirance des déviances .
Les déviances sont issues des normes sociales, et les normes sociales évoluent, heureusement.
Ce qui était considéré comme trouble mental ne l'est plus aujourd'hui, prenons l'homosexualité par exemple et ce, dans notre pays : d'autres régions du globe ne connaissent hélas pas cette "bonne" évolution, faite de compréhension et de tolérance.
Car lorsqu'il n'y a pas d'évolution, la société vit en reproduction identique à la génération précédente, voire en régression totale
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Lady Spencer
Ça c'est du masochisme, j'ai bon là ? 😬
Ah, c'est ça le masochisme ?
One point for Ange !:wink:
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Lady Spencer
Bon, n'étant pas maso mais juste fatiguée, je ne relis pas tous les comm, désolée, d'autant que nombreux commentaires dépassent largement le cadre du sujet initial : pas si grave au demeurant, car une pensée peut en entrainer une autre et les échanges se construisent alors sur de vrais partages.
Là, en l'occurrence, ça part un chouïa en jugements et tapes sur le museau, ce qui n'amuse personne hors les belligérants hargneux : donc changez les piles de vos toys et faites vous une séance de relaxation anale.
Je n'ai pas bien compris l'envolée de coups de becs sur le 1er écrit de Bisoumis : perso, j'ai lu que sa Maîtresse avait évoqué une punition future lors d'un repas familial, sans pour autant passer à l'acte devant qui que ce soit.
Et si Bisoumis relatait cet évènement passé, c'était justement pour décrire l'humiliation que LUI avait ressenti face à ce que cela représentait pour lui.
Mais je n"ai pas lu, ou alors j'ai besoin de changer mon chien-guide, de pratiques bdsm en présence de proches ou de la famille : donc, où est le problème ?
Et de plus, ça le concerne lui, et son couple de l'époque, donc d'où fait-on un jugement pour le moins hâtif et dépassé ?
A moins que sa Domina n'ait explicitement annoncé au micro la nature de leur relation, avec moult détails qui ne regardent effectivement personne en vanille, la simple phrase lui promettant une punition n'a rien de réellement choquant.
J'ai dit bien pire parfois !
Ceci écrit, Mister Bisoumis, vous vous décrivez comme nouvel inscrit ici, je vous trouve bien mordant et tout aussi jugeant que les copains-copines vous ayant chahuté .
Alors, tout le monde reprend de l'air dans ses petits poumons, reprenons les échanges sur le sujet de base, et si le sujet est dépassé, créez en un autre, non ?
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C'est un peu dans ce sens, Lady, que j'ai un peu tendu la perche à bisoumis dans mon dernier message, car je doute fort que l'assemblée présente lors de son humiliation ait été aussi choquée et réprobatrice que certains commentaires ici lus.
Et pourtant, il ne s'agissait pas à priori de pratiquants BDSM.......
Dernière modification le 21/10/2022 22:59:58 par Monsieur.
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@Bisoum je vous rassure je trouve tout aussi choquant les déballages vanille, et autres ignominies vanille en société et terriblement humiliant pour la ou les personnes qui en sont victimes et la c est pas du tout bdsm juste enfoiré. Le respect des autres c est pour tous.
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Christopher
Si il y a blessure, cela relève donc du trouble mental ?
Oui mais il était question de blessures graves comme un os cassé, une hémorragie sévère, des marques permanentes etc…
Précision importante: Il s’agit bien de blessures recherchées et non accidentelles ni simplement la conséquence non désirée d’une séance trop violente. Ce n’est un trouble que si cette blessure est le but de la pratique.
On ne parle pas de maladie mentale mais simplement d’un trouble mental. Des troubles, on en a tous de plus ou moins importants. Avouez qu’il faut quand même avoir un petit pet au casque pour ressentir un fort plaisir sexuel en pétant un bras… Faut pas déconner…
Dernière modification le 22/10/2022 03:11:45 par Christopher.
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Christopher
Si justement l'identification en "intérêt sexuel inhabituel" a été crée, c'est bien pour différencier cette attirance des déviances .
Les déviances sont issues des normes sociales, et les normes sociales évoluent, heureusement.
Si, comme vous le dites, les déviances sont issues des normes sociales, alors les intérêts sexuels inhabituels sont des déviances… puisqu’ils sont inhabituels.
Vous vous contredisez ou j’ai raté un truc?
Soyez la première personne à aimer.
ange de Vesper
112819
@Bisoum je vous rassure je trouve tout aussi choquant les déballages vanille, et autres ignominies vanille en société et terriblement humiliant pour la ou les personnes qui en sont victimes et la c est pas du tout bdsm juste enfoiré. Le respect des autres c est pour tous.
Je suis d'accord. Pour recentrer le débat à partir du fait divers précédent, une humiliation verbale publique a évidemment un impact bien plus important qu'en privé, je parle en vanille. Et comme nous sommes tous nés vanille, on retrouve la même progression en bdsm. Se vautrer dans une transgression n'a de sens que si l'on est conscient de cette transgression, si on l'a ressent toujours.
Pour le public, qui est participant puisqu'il est utilisé pour renforcer l'humiliation, ça n'est pas neutre non plus. On a tous déjà été très mal à l'aise d'être pris à partie par une simple humiliation verbale entre 2 proches. Je pense que même devant un public averti, on ne sait pas ce que ça provoque chez chacun.
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Si, comme vous le dites, les déviances sont issues des normes sociales, alors les intérêts sexuels inhabituels sont des déviances… puisqu’ils sont inhabituels.
Vous vous contredisez ou j’ai raté un truc?
Il n’y a aucune contradiction, ce sont des pratiques non conventionnelles sans être des déviances.
Je vous conseille cet excellent article de Méridienne d’un soir :
https://www.bdsm.fr/blog/6001/Entre-psychologie-et-sexologie:-les-pratiques-BDSM-et-la-normalisation/
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126254
bisoum :
Il m'intéresserait de savoir quelles ont été les réactions des personnes présentes le jour de votre "coming out" ?
Je veux dire dans la suite de vos relations avec icelles ?
Des portes se sont-elles définitivement fermées ?
D'autres entrouvertes ?...
Status quo ?
Vivez-vous désormais seuls avec votre compagne sur une île déserte loin de ce monde cruel ? ;)
Ceci pour mieux considérer l'impact de cette humiliation publique, merci :)
en fait je dirais qu'il y a eu dans ma belle famille deux clans celles et ceux qui ont compris pourquoi j'avais toujours ce besoin d'être utile faire la cuisine mettre la table servir rendre service, essentiellement les jeunes qui ont une éthique des principes ils ne font pas souffrir les animaux, ont soutenu le mariage pour tous et sont prêts à s'engager pour des tas de cause, ils font bouger les lignes ainsi que ma belle-mère ma belle soeur et un cousin de mon épouse et tous sans exception m'ont regardé comme avant, ça ne changeait rien. Juste ma belle-mère qui est devenue très proche, elle est venue nous voir plus souvent et on parlait beaucoup elle et moi. En revanche sa soeur son fils aîné sa femme mon beau frère , m'ont détesté. Ce ne fut pas une perte on était déjà aux antipodes c'est une famille de chasseurs et leurs exploits ils s'en gargarisaient. Dans ma famille ça reste compliqué ma soeur ne me parle quasiment plus, ma mère ne l'a jamais su et n'a pas voulu y croire quand on le lui a dit, pas nous ma soeur....
Ma femme pour le travail est partie au Canada je devais la rejoindre...le lien s'est distendu à distance en se voyant une fois par mois puis tous les 2 les 3... c'était une mission d'un an qui fut reconduite 2 fois mais quand elle est revenue on a lancé la procédure, on s'est séparé divorcé elle est remariée ou tout comme. elle est restée une amie maintenant elle m'aide à distance et c'est elle qui m'a dit de m'inscrire ici.
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Souvent les jeunes ont l'esprit plus ouvert que les autres du a une éducation faite par la valeur de respect et de liberté de soi et de l'autre et poser sur une égalité garçons fille.
Contrairement aux générations d avant avec une education strict judeo chrétienne de ce qui se fait ou pas de ce qui est morale ou pas et du rôle de chacun en fonction du sex.
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Bisoum, j’ai réagi à votre témoignage par rapport à mon histoire personnelle.
Ayant souvent été prise à témoin contre mon gré d’histoires de toutes sortes qui ne me regardaient pas et que j’aurais préféré ne jamais connaître au prétexte que je suis à l’écoute des autres et tolérante, je déteste cela et maintenant je demande que l’on me laisse en dehors d’histoires que je considère comme relevant du purement personnel.
Je ne pense pas avoir émis de jugement mais m’être interrogée sur l’impact sur les personnes présentes.
Je comprends ce que vous dites avec la nécessité d’être vous et de ne pas mentir mais cela peut parfois être très complexe pour les personnes en face de vous. Non par manque de respect de qui vous êtes ou par manque de tolérance mais parce que ce sont simplement des choses qui relèvent de l’intime.
Je ne pense pas manquer d’ouverture d’esprit, la première petite amie de mon fils était bisexuelle, j’ai hébergé pendant plusieurs mois une adulescente trans en pleine transition, je vois simplement des personnes et pour moi c’est leur seule personnalité qui compte. Malgré tout, je pense que certaines choses relèvent d’un « jardin secret » car elles vont au-delà de ce que moi j’ai envie de savoir.
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Dans ma famille ça reste compliqué ma soeur ne me parle quasiment plus, ma mère ne l'a jamais su et n'a pas voulu y croire quand on le lui a dit, pas nous ma soeur....
Et voilà pour moi une des raisons pour lesquelles il faut garder certaines choses pour soi ou ne les dire qu’à des personnes qui sont prêtes et aptes à les entendre.
Ma sœur me raconte beaucoup de choses sur sa vie et même si je ne suis pas en accord avec certains aspects je ne garderai bien de la juger, c’est sa vie.
Par contre je ne lui dis que très peu de choses car elle est jugeante et pleine de préjugés de toutes sortes et, cerise sur le gâteau, elle est incapable de garder quelque pour elle et elle est capable de déformer les choses suivant sa vision sans respecter celle des autres.
Je suis entourée de personnes qui aiment juger, rabaisser et humilier les autres sans chercher à accepter ou à changer et je tiens vraiment à ce que ma vie personnelle ne soit connue que d’un petit nombre de personnes qui partagent mes valeurs.
Dernière modification le 22/10/2022 13:24:35 par StellaMaris de Ngu59fr.
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C’est effectivement une situation terrible. J’essaie de prévenir de cela en m’assurant que ma partenaire me laissant le contrôle n’hésite pas à utiliser notre safecode. Je me sens plus à l’aise et à même d’augmenter l’intensité après qu’elle l’ait utilisé au moins une fois. Je ne sais pas si je suis clair. En gros, le fait qu’elle l’utilise une fois au moins me rassure et me prouve qu’elle a bien compris qu’il ne faut pas qu’elle hésite à s’exprimer. Ainsi, je sais que je peux explorer ses limites sans crainte.
je suis un peu largué; au début on n'avait pas de safeword personne de nos connaissances n'en avait et il n'y a jamais eu d'accident et pourtant certaines séances sont allées très loin. après certains l'ont instauré moi je trouvais cela complètement idiot mais Elle l'a imposé par sécurité sauf que la seule fois où ça s'est révélé nécessaire et indispensable j'avais oublié le mot clé, le stress la peur et un peu le subspace qui avait endormi ma jugeotte mais heureusement elle s'est aperçu que quelque chose n'allait pas. et en fait quand je l'ai utilisé c'était à tort alors qu'il fallait continuer par pure faiblesse par lâcheté
maintenant c'est peut être une question de mode sauf que vous l'utilisez pour transférer le pouvoir et la décision et ça me gêne car c'est le job du Dom de savoir jusqu'où il peut aller trop loin. j'aime bien cette expression qui n'est pas de moi
en plus pour x raisons dont certaines déjà citées, son utilité est controversée
comme tout ce débat sur le forçage repousser ses limites, on a nous aussi repoussé nos limites car il y a celles du soumis mais celles de la Dom ou du Dom et lui comment fait-il avec votre safecode il en a un lui aussi qui lui permet de switcher,? car on peut tout imaginer mais dans la vie reelle même si le consentement évolue et les lignes et limites bougent, j'aime bien cette sécurité de l"esprit cette sérénité de savoir qu'il n'y aura pas de forçage tant le champ des possibles est déjà infini
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c'est le job du Dom de savoir jusqu'où il peut aller trop loin.
Il ne faut pas oublier qu’un Dom est un être humain, qu’il n’est pas infaillible et qu’il peut être débordé, comme le soum, par ses émotions ou être dépassé par la situation. Un Dom peut aussi oublier le mot en question pris par la force de l’instant.
La relation BDSM se vit et se construit à deux, elle est intense et chacun a sa part de responsabilité.
Le mot de sécurité est un outil, tout comme certains gestes convenus à l’avance si le soum ne peut pas parler.
Être Dom c’est déjà porter une vraie responsabilité sur ses épaules alors le soum doit aussi agir en cas de besoin.
Mais là on s’éloigne encore du sujet de l’humiliation.
Dernière modification le 22/10/2022 13:23:06 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Moi j'ai pas de mots ou gestes limite avec mon Dom, il observe et juge.
Âvec mes soum, j'observe, je demande soit de dire ça va soit stop. Et si pas de possibilité de parler main lever =stop pouce levé OK. Comme ça pas de possibilité d oubli du code couleur ou autre C est du basique.
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"L'HUMILIATION : POUR QUI ET POURQUOI ?"
Sujet omniprésent en BDSM
Paradoxe pour moi alors que j'apprécie de faire vivre certaines situations humiliantes,
Et pourtant, que d'hommes soumis espèrent vivre ces situations là !
Fantasmes ? Désirs réels ? Expériences déjà vécues avec envie de les revivre ?
Pourquoi ce désir de vivre une humiliation ?
Que vous apporte ce rabaissement ?
Parce que, bien-sûr, je parle d'humiliation consentie, celle qui est au cœur de la demande du soumis, et si je masculinise le propos, c'est parce que je vois beaucoup moins d'attirance pour l'humiliation chez les femmes soumises : je me trompe ou pas ? Etant switch, j'ai dominé des femmes soumises certaines apprécient être humiliées. En tant que soumis, j'aime être humilié par des dominatrices, obligé de sucer des godes, sodomisé par des godes ceintures, j'avoue que cela m'excite.
Et quid aussi, de l'humiliation non consentie ? Ou non attendue ?
Celle qui vous est tombée dessus, quelle qu'en soit la pratique, vous vous êtes sentis vraiment humiliés ? Cela ne m'est pas arrivé, c'est ce que je redoute le plus, qu'une dominatrice, m'impose une fellation et une sodomie passive avec un homme.
Et à propos de sexe, l'humiliation est-elle toujours érotique ?
Certains hommes disent ne pouvoir être sexuellement excités qu'à travers l'humiliation : je peux être excité sexuellement sans humiliation, mais j'aime aussi être soumis.
Beaucoup d'écrits ont été publiés sur l'humiliation, les avis et désirs sont très personnels parfois mais toujours intéressants : il ne s'agit pas de cataloguer et de mettre une note sur ce qui est le plus humiliant, mais bien d'échanger sur les frissons produits, et sur la non-attirance voire le rejet total de l'humiliation, de comprendre aussi pourquoi elle est différente entre les hommes et les femmes.
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La réponse est peut-être que ce qui est considéré comme humiliant par un homme lambda par rapport à des principes judeo chrétiens ne l' es pas forcément pour une femme du fait de l'éducation voilà pour le vanille. Ensuite pour le bdsm il existe de tout certaines femmes aime être humilier pour plaire à leur Dom et se prouver qu elles peuvent le faire, d autre n'aime pas comme pour. Les hommes en gros il ne faut jamais généraliser
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Dans la vie vanille, L’humiliation, la vraie, la volontaire, casse et tue à petit feu…
Parfois on ne se rend pas vraiment compte de l’impact qu’elle peut avoir, surtout sur le long terme.
La baisse de l’estime de soi, le fait de penser qu’une relation déséquilibrée est la norme et qu’on mérite humiliation voire mépris sont réels.
Est-ce différent en BDSM ? Est-ce différent pour les hommes et les femmes ? La relation est-elle faussement déséquilibrée pour un temps déterminé ? Est-ce différent dans le cadre de relations ponctuelles ou dans le cadre d’une relation suivie ? Tout redevient-il normal après l’aftercare ?
Je n’ai pas de réponses et beaucoup de questions mais il vaut mieux prévenir que guérir et il est nécessaire d’avoir une réelle confiance en son partenaire.
Dernière modification le 22/10/2022 22:35:49 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Pour moi, l'humiliation est intimement liée (😏➰) à l'érotique. Pas que l'humiliation en soi (et non consentie) m'excite, mais quand je suis dans un état d'excitation, je me suis revelé à moi dans un état animal, bestial. Retourné à moi en fait, dans mon état primal. Le sexe, vu dans cet optique, relève de ce qui est le plus viscérale et cela me libère des contraintes habituelles de ma socialisation. Du coup, d'être l'objet des insultes n'est plus insultant. Je ne me sens pas humilié donc quand on me traite de pute avide etc. car c'est plus un constat qu'autre chose puisque dans cet état là je suis libre à assumer ces rôles/postures qui me sont normalement interdits dans mon quotidien. Ainsi, si quelqu'un me traite de pute dans la rue, hors contexte sexuel je suis affrontée, bien que vide-couilles, garage à bites et ainsi de suite dans la chambre, c'est énivrant, avec une petite frisson de stimulation supplémentaire dû au fait que je me permets de profiter du tabou. D'ailleurs les insultes imaginatifs me font rire d'une joie pure. 😁 De la même manière, les actes que je trouverais "normalement" (voire, avant de les avoir essayé dans un contexte sexuel, car une fois essayé je ne les vois plus de la même manière) rebutantes, une fois suscitée en relation avec mon partenaire, deviennent simplement des expression additionelles de ce désir primal - me gifler devient une aide à la prise conscience qui me garde présent au lieu de flotter dans le subspace; me crâcher dessus une forme de lubrication bien apprécié; me tirer par les cheveux une façon de me tenir mieux en place, me faire pisser dessus/ pisser sur un partenaire un geste profond de mon sentiment d'attachement 😏 et d'appartence etc.. Ce qui est censé être déguelasse ne l'est simplement pas de tout - au contraire, son niveau de dégoût indique la profondeur de mon attirance à lui car ça dépasse même la définition du dégoutant - je ne sais pas si m'exprime très bien...Quant à la non-consenti ce n'est jamais le bienvenue, c'est ennuyeux, prévisible et une tue-désir. Les mêmes actes qui m'ont fait plaisir dans la chambre, repetées dans un contecte publique me mettront juste en colère...bien que ça aussi on peut jouer avec 😏 Bref, tout comme l'arrogance et le chocolat, un peu d'humiliation peut être délicieux, bien que un peu de trop est nauséabond: il faut savoir dosé. Pour cela je dois être avec un partenaire digne de confiance qui communique bien, pour que je me sens en sécurité pour m'abandonner: quelque part il faut me vénerer avant de me laisser rabaissé. Merci pour la discussion intéressante Lady! 😉
3 personnes aiment ça.
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Lubrifiant* pardon 🙏🏻
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Pour moi, l'humiliation est intimement liée (😏➰) à l'érotique. Pas que l'humiliation en soi (et non consentie) m'excite, mais quand je suis dans un état d'excitation, je me suis revelé à moi dans un état animal, bestial. Retourné à moi en fait, dans mon état primal. Le sexe, vu dans cet optique, relève de ce qui est le plus viscérale et cela me libère des contraintes habituelles de ma socialisation. Du coup, d'être l'objet des insultes n'est plus insultant. Je ne me sens pas humilié donc quand on me traite de pute avide etc. car c'est plus un constat qu'autre chose puisque dans cet état là je suis libre à assumer ces rôles/postures qui me sont normalement interdits dans mon quotidien. Ainsi, si quelqu'un me traite de pute dans la rue, hors contexte sexuel je suis affrontée, bien que vide-couilles, garage à bites et ainsi de suite dans la chambre, c'est énivrant, avec une petite frisson de stimulation supplémentaire dû au fait que je me permets de profiter du tabou. D'ailleurs les insultes imaginatifs me font rire d'une joie pure. 😁 De la même manière, les actes que je trouverais "normalement" (voire, avant de les avoir essayé dans un contexte sexuel, car une fois essayé je ne les vois plus de la même manière) rebutantes, une fois suscitée en relation avec mon partenaire, deviennent simplement des expression additionelles de ce désir primal - me gifler devient une aide à la prise conscience qui me garde présent au lieu de flotter dans le subspace; me crâcher dessus une forme de lubrication bien apprécié; me tirer par les cheveux une façon de me tenir mieux en place, me faire pisser dessus/ pisser sur un partenaire un geste profond de mon sentiment d'attachement 😏 et d'appartence etc.. Ce qui est censé être déguelasse ne l'est simplement pas de tout - au contraire, son niveau de dégoût indique la profondeur de mon attirance à lui car ça dépasse même la définition du dégoutant - je ne sais pas si m'exprime très bien...Quant à la non-consenti ce n'est jamais le bienvenue, c'est ennuyeux, prévisible et une tue-désir. Les mêmes actes qui m'ont fait plaisir dans la chambre, repetées dans un contecte publique me mettront juste en colère...bien que ça aussi on peut jouer avec 😏 Bref, tout comme l'arrogance et le chocolat, un peu d'humiliation peut être délicieux, bien que un peu de trop est nauséabond: il faut savoir dosé. Pour cela je dois être avec un partenaire digne de confiance qui communique bien, pour que je me sens en sécurité pour m'abandonner: quelque part il faut me vénerer avant de me laisser rabaissé. Merci pour la discussion intéressante Lady! 😉
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Lubrifiant* pardon 🙏🏻
Lubrication est très bien aussi. Et c’était très compréhensible. 😉
Bravo pour votre français, je suis incapable d’avoir un aussi bon que le vôtre niveau dans une autre langue que ma langue maternelle.
Vous pouvez corriger votre publication en allant sur …
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Ahhh! Alors ça c'est bon à savoir - merci pour cette astuce précieuse! 😁
Lubrication est très bien aussi. Et c’était très compréhensible. 😉
Bravo pour votre français, je suis incapable d’avoir un aussi bon que le vôtre niveau dans une autre langue que ma langue maternelle.
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Ahhh! Alors ça c'est bon à savoir - merci pour cette astuce précieuse! 😁
Je vous en prie. 😉
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Ce qui est censé être déguelasse ne l'est simplement pas de tout - au contraire, son niveau de dégoût indique la profondeur de mon attirance à lui car ça dépasse même la définition du dégoutant - je ne sais pas si m'exprime très bien...Quant à la non-consenti ce n'est jamais le bienvenue, c'est ennuyeux, prévisible et une tue-désir. Les mêmes actes qui m'ont fait plaisir dans la chambre, repetées dans un contecte publique me mettront juste en colère...
je vous rejoins sur le fait que les humiliations quelqu'elles soient quand elles sont vécues dans un cercle privé juste à deux sont plus des instruments de plaisir que de torture cérébrale car tout est consenti ce sont des actions visant à nous humilier mais pour ma part et apparemment la vôtre aussi nous ne le vivons pas comme une humiliation, à savoir une confusion ou une honte mais comme un délice et c'est pour cela que je n'en ai pas parlé avant.
mais ce que vous appelez le "non consenti" c'est là qu'on diverge
pour ma part, le non consenti n'existe pas en bdsm, il peut y avoir des surprises comme cette fameuse phrase prononcée en public dans sa famille à laquelle je n'étais pas préparé et il peut y en avoir d'autres. Celles-là sont véritablement humiliantes de part et d'autre, je veut dire qu'il y a par le ou la Dom une volonté d'humilier et chez le ou la soumis e un sentiment de honte extrême mais je crois qu'elles s'inscrivent dans un cadre consenti en amont et qu'elles sont nécessaires si justement on veut avancer évoluer être plus humble.
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Je suis heureuse de savoir que votre expérience de bdsm a toujours été consenti. Malheureusement ce n'est pas mon cas.
Rien de très très grave, mais des dépassements exprès de mes limitations clairement définies au préalable, avec l'intention justement de me rappeler de sa supériorité en terme de force physique, afin de m'humilier. Il avait même dit: je sais bien ce que tu m'as dit avant, mais maintenant tu n'es plus en position de me refuser alors je fais ce que je veux. Et en effet, il fallait juste que je le laisse faire car je n'avais pas le choix.
C'est ce que j'appelle le non consenti dans le bdsm et ce n'était pas érotique, c'était une brèche de ma confiance. Quand il m'avait de nouveau laisser me lever, je suis parti aussitôt et j'ai mis fin à la relation de suite par texto/ appels. Je ne l'ai plus revue.
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j'ai beaucoup de peine pour vous et vous avez bien fait car on consent déjà tellement bien au-delà que ce que notre prudence habituelle nous l'autoriserait mais quand on aime on est prêt à tout quasiment; ce que l'on ne consent pas il est interdit de passer outre. ce n'est pas du bdsm ça
je me souviens que j'ai regretté même un soir particulièrement douloureux d'avoir tant consenti, d'avoir présumé de ma capacité à aller si loin mais j'ai eu la chance inestimable d'avoir une Maîtresse en qui j'ai toujours eu pleine confiance et qui n'a jamais commis l'irréparable à savoir trahir ce contrat....
Soyez la première personne à aimer.
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Ne vous faites pas de la peine pour moi, je vais très bien et j'y ai tiré de grands leçons d'haut valeur. Je n'ai pas aimé cet homme. Je l'ai apprécié oui, mais cela n'a pas duré longtemps, comme vous pouvez bien l'imaginez. Le non-consenti existe tout autant dans le bdsm que dans la vanille - ne soyons pas naïfs - et l'amour n'est pas toujours assez pour nous protéger. Ce n'est peut-être pas l'image du bdsm, ni de la vanille, que nous souhaitons avoir, mais c'est la réalité. Là je ne parlais pas d'avoir trop consenti, comme dans votre exemple, mais d'avoir rencontré quelqu'un qui n'avait finalement rien à foutre de mon consentement. C'était presqu'assez pour me détourner du bdsm...presque 😏 Je suis aussi attiré par le consentement non consenti, si cela se dit ainsi en français (CNC) alors je crois comprendre où vous voulez en aller par "le cadre consenti en amont", mais pour cela il me faut vraiment un partenaire digne d'un confiance total, comme il parait que vous estimez avoir avec votre Maîtresse - je vous en félicite. Néanmoins, pour moi personellement, l'humiliation non consentie reste un gros Non merci.
Dernière modification le 24/07/2023 10:08:30 par BDSM.
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129108
Je suis aussi attiré par le consentement non consenti, si cela se dit ainsi en français (CNC) alors je crois comprendre où vous voulez en aller par "le cadre consenti en amont", mais pour cela il me faut vraiment un partenaire digne d'un confiance total, comme il parait que vous estimez avoir avec votre Maîtresse - je vous en félicite.
Néanmoins, pour moi personellement, l'humiliation non consentie reste un gros Non merci.
En fait la traduction est proche mais ce n'est du tout cela. Le CNC ne remet pas en cause tout ce qui est déjà consenti mais explore le reste à savoir le non consenti comme le fait d'être forcé e ou vlolé e qui bien que n'étant pas consenti peut pour partie être consensuel.
perso je trouve qu'on aime donner des noms à beaucoup de choses car ce que l'on appelle le cnc faisait déjà partie intégrante de mon contrat et donc était consenti sinon une simple gifle qui constitue pour moi une horrible humiliation serait non-consentie , le moindre coup aussi. ce n'est pas l'objet de ce forum mais la honte n'est pas consentie par le soumis sinon il ne serait pas honteux
Soyez la première personne à aimer.
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👏🏻 Yessir, quite so!
100712
@Oscalite,
Vous décrivez fort bien, cette forme d'emprise perverse que déploie les pervers narcissiques ( Homme ou Femme ) en privant l'autre de liberté d'action , de moyens de fuite, etc. afin de pouvoir "violer" les principes édités, ou annoncés en première intention.
Principes, qui n'ont jamais été saisis comme tels par le/la PN, mais juste comme un argumentaire rassurant, sécurisant, afin d'attirer sa victime....à la manière du serpent dans Le Livre de la Jungle, rassure Mowgli....pour l'abuser, à la manière dont la "Méchante Reine" tant la pomme à Blanche Neige, etc. etc.
ET, oui, ces comportements malveillants assis sur une domination de l' Autre, ne sont pas l'apanage du BDSM, et sont visibles en vanille...
Et oui, l'Amour, n'est pas un " sauf conduit ", voir même un piège !!
Je m'explique, l'Amour se doit d'être réciproque, bilatéral, égalitaire, et partagé... ( Chaque mot ayant son sens et son importance ! )
Le fait d'Aimer l'autre....de le/la vénérer, mais mais sans reflet "chiral", sans réciprocité, sans égalité d'Amour, est un signe de la non- égalité de l'engagement , de la considération de l'Autre...donc du danger de al relation déséquilibrée...
Nous, avons un " besoin" de nous sentir aimé/e, et c'est là, le piège que nous formons nous même....par ce "besoin" qui nous fait nous "donner" à l'Autre....sans même attendre que l'Autre n'ait montrer son Amour réciproque...sa considération réelle, etc...
Rien n'est plus aisé à abuser qu'un femme ou un homme qui se déclare d'emblée soumis/e, puisque il/elle va immédiatement par son besoin , se mettre à la disposition de l'Autre....sûr par aveuglement, de l'intégrité morale, de la droiture psychique, de la bienveillance "naturelle" de l'Autre.....
Hélas, hélas...
Car NON, l'autre, n'est a priori, pas un être digne de confiance !
C'est à al Domina, au Dominant de prouver sa bienveillance, son respect, etc...et pas sa soit disant " dominance" par la demande d' un/e " Bon/ne Soumis/e" qui ferait ceci ou cela...puis ceci et cela ...pour être un/e " BON/NE" ( Grrrrrr...)
Il n'y pas de " bonne soumise", il n'y a que des soumises heureuses dans leur relation avec leur D....des s qui vivent et jouissent de leur vices et fantasmes lubriques....pas des "trucs" qui font les 35 positions du guide michelot du bdsm pour être validée ou pas, pas plus que boire sa pisse, ou devoir supporter 50 coups de fouets, ne fera de personne un/une bon/ne s....
Toutes ces "exigences" ou " rituels" qui font de vous....un ou une bon / bonne sont des conneries, des non sens , des illusions et des mythes que n'utilisent que les PN ou les cons vides, qui ont besoin d'un pseudo guideline, d'une recette, pour préparer non pas un repas de gout, mais un plat standard....standardisé....donc non vivant...
Bien Lubriquement Vôtre..
1 personne aime(nt) ça.
Christopher
129295
je suis un peu largué; au début on n'avait pas de safeword personne de nos connaissances n'en avait et il n'y a jamais eu d'accident et pourtant certaines séances sont allées très loin. après certains l'ont instauré moi je trouvais cela complètement idiot mais Elle l'a imposé par sécurité sauf que la seule fois où ça s'est révélé nécessaire et indispensable j'avais oublié le mot clé, le stress la peur et un peu le subspace qui avait endormi ma jugeotte mais heureusement elle s'est aperçu que quelque chose n'allait pas. et en fait quand je l'ai utilisé c'était à tort alors qu'il fallait continuer par pure faiblesse par lâcheté
maintenant c'est peut être une question de mode sauf que vous l'utilisez pour transférer le pouvoir et la décision et ça me gêne car c'est le job du Dom de savoir jusqu'où il peut aller trop loin. j'aime bien cette expression qui n'est pas de moi
en plus pour x raisons dont certaines déjà citées, son utilité est controversée
comme tout ce débat sur le forçage repousser ses limites, on a nous aussi repoussé nos limites car il y a celles du soumis mais celles de la Dom ou du Dom et lui comment fait-il avec votre safecode il en a un lui aussi qui lui permet de switcher,? car on peut tout imaginer mais dans la vie reelle même si le consentement évolue et les lignes et limites bougent, j'aime bien cette sécurité de l"esprit cette sérénité de savoir qu'il n'y aura pas de forçage tant le champ des possibles est déjà infini
Un safeword n’empêche pas le/la Dom d’être attentif(ve).
Ca n’est pas un effet de mode. Je connais un couple utilisant le même safeword depuis mai 68.
Le but n’est pas de déléguer la responsabilité à la personne soumise d’utiliser ce code d’arrêt d’urgence. C’est une sécurité. C’est tout. C’est mieux si on n’a pas besoin de l’utiliser mais c’est bien qu’elle soit là. Comme un airbag dans une voiture…
Soyez la première personne à aimer.
Christopher
100712
@Christopher, et @ Lady Spencer,
je ne crois pas que vous ayez raté un truc, pas plus que Lady Spencer ne se contredise...
Permettez moi, de vous donner mon entendement de la chose.
L'histoire, la politique, l'anthropologie, etc. nous montrent que les moeurs, les goûts, les lois, les normes, etc. sont différentes d'une époque à une autre, d'un pays à un autre , d'un groupe humain à un autre.
Merci beaucoup pour ces précisions que j’ai trouvées intéressantes. Cependant, à l’inverse de vous, je vais simplifier drastiquement.
La norme est régie par 2 facteurs:
- L’existence de ce comportement dans la nature
- L’absence de préjudice ou de risque pour autrui ou soi-même
L’homosexualité existe dans la nature. 1500 espèces ont fait l’objet d’observation et 500 sont clairement documentées.
L’homosexualité ne présente pas de préjudice ni risque particulier
Donc l’homosexualité est (devrait être) une norme puisqu’une norme est quelque chose convenue comme acceptable.
Les pratiques BDSM, par définition, ne sont pas naturelles donc ne peuvent pas devenir des normes.
Soyez la première personne à aimer.
Christopher
Il n’y a aucune contradiction, ce sont des pratiques non conventionnelles sans être des déviances.
Je vous conseille cet excellent article de Méridienne d’un soir :
https://www.bdsm.fr/blog/6001/Entre-psychologie-et-sexologie:-les-pratiques-BDSM-et-la-normalisation/
L’ennuie c’est que je ne retrouve nulle part ailleurs d’autres écrits confirmant les parties et définitions de cet article sur lesquelles nous sommes en désaccord… Je ne le prétends aucunement mensongé, je dis juste que je ne trouve que des articles plutôt en accord avec ce que j’énonçais plus avant.
Soyez la première personne à aimer.
Christopher
100712
@Oscalite,
Vous décrivez fort bien, cette forme d'emprise perverse que déploie les pervers narcissiques ( Homme ou Femme ) en privant l'autre de liberté d'action , de moyens de fuite, etc. afin de pouvoir "violer" les principes édités, ou annoncés en première intention.
Principes, qui n'ont jamais été saisis comme tels par le/la PN, mais juste comme un argumentaire rassurant, sécurisant, afin d'attirer sa victime....à la manière du serpent dans Le Livre de la Jungle, rassure Mowgli....pour l'abuser, à la manière dont la "Méchante Reine" tant la pomme à Blanche Neige, etc. etc.
ET, oui, ces comportements malveillants assis sur une domination de l' Autre, ne sont pas l'apanage du BDSM, et sont visibles en vanille...
Et oui, l'Amour, n'est pas un " sauf conduit ", voir même un piège !!
Je m'explique, l'Amour se doit d'être réciproque, bilatéral, égalitaire, et partagé... ( Chaque mot ayant son sens et son importance ! )
Le fait d'Aimer l'autre....de le/la vénérer, mais mais sans reflet "chiral", sans réciprocité, sans égalité d'Amour, est un signe de la non- égalité de l'engagement , de la considération de l'Autre...donc du danger de al relation déséquilibrée...
Nous, avons un " besoin" de nous sentir aimé/e, et c'est là, le piège que nous formons nous même....par ce "besoin" qui nous fait nous "donner" à l'Autre....sans même attendre que l'Autre n'ait montrer son Amour réciproque...sa considération réelle, etc...
Rien n'est plus aisé à abuser qu'un femme ou un homme qui se déclare d'emblée soumis/e, puisque il/elle va immédiatement par son besoin , se mettre à la disposition de l'Autre....sûr par aveuglement, de l'intégrité morale, de la droiture psychique, de la bienveillance "naturelle" de l'Autre.....
Hélas, hélas...
Car NON, l'autre, n'est a priori, pas un être digne de confiance !
C'est à al Domina, au Dominant de prouver sa bienveillance, son respect, etc...et pas sa soit disant " dominance" par la demande d' un/e " Bon/ne Soumis/e" qui ferait ceci ou cela...puis ceci et cela ...pour être un/e " BON/NE" ( Grrrrrr...)
Il n'y pas de " bonne soumise", il n'y a que des soumises heureuses dans leur relation avec leur D....des s qui vivent et jouissent de leur vices et fantasmes lubriques....pas des "trucs" qui font les 35 positions du guide michelot du bdsm pour être validée ou pas, pas plus que boire sa pisse, ou devoir supporter 50 coups de fouets, ne fera de personne un/une bon/ne s....
Toutes ces "exigences" ou " rituels" qui font de vous....un ou une bon / bonne sont des conneries, des non sens , des illusions et des mythes que n'utilisent que les PN ou les cons vides, qui ont besoin d'un pseudo guideline, d'une recette, pour préparer non pas un repas de gout, mais un plat standard....standardisé....donc non vivant...
Bien Lubriquement Vôtre..
Une ovation pour vos paroles serait méritée.
Soyez la première personne à aimer.
L’ennuie c’est que je ne retrouve nulle part ailleurs d’autres écrits confirmant les parties et définitions de cet article sur lesquelles nous sommes en désaccord… Je ne le prétends aucunement mensongé, je dis juste que je ne trouve que des articles plutôt en accord avec ce que j’énonçais plus avant.
J’ai trouvé cette lecture très intéressante :
https://hal.univ-lorraine.fr/hal-02169922/document
Dernière modification le 24/10/2022 21:29:58 par StellaMaris de Ngu59fr.
Soyez la première personne à aimer.
Christopher
J’ai trouvé cette lecture très intéressante :
https://hal.univ-lorraine.fr/hal-02169922/document
Je parle d’ouvrage plus sérieux et professionnels rédigés par des professionnels de santé psy… pas d’un texte concluant quelque chose de peu précis, à la méthodologie douteuse et rédigé par un prof de sport philosophe et une prof d’art plastique…
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Je parle d’ouvrage plus sérieux et professionnels rédigés par des professionnels de santé psy… pas d’un texte concluant quelque chose de peu précis, à la méthodologie douteuse et rédigé par un prof de sport philosophe et une prof d’art plastique…
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Il y a de nombreuses références énumérées de la page 27 à la page 32.
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Christopher
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Il y a de nombreuses références énumérées de la page 27 à la page 32.
J’ai vu oui. Je pourrais bien lire 1000 bouquins de chirurgie je ne me ferai pas confiance pour opérer quelqu’un quand même.
Dernière modification le 24/10/2022 22:10:01 par Christopher.
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Vous pouvez aussi lire le DSM-5 en anglais, la conclusion est bien celle reprise ici : https://hal.univ-lorraine.fr/hal-02169922
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Christopher
Vous pouvez aussi lire le DSM-5 en anglais, la conclusion est bien celle reprise ici : https://hal.univ-lorraine.fr/hal-02169922
Ah. Ça c’est pertinent par contre! Je l’ai fait justement avant de tenir mes propos… Je vais le relire lorsque j’aurai un moment
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Christopher
Vous pouvez aussi lire le DSM-5 en anglais, la conclusion est bien celle reprise ici : https://hal.univ-lorraine.fr/hal-02169922
Donc, je me suis retapé la lecture des passages du DSM-5 qui concernent notre sujet et… … je persiste sur ce que j’énonce depuis le départ. Je retrouve bien ce que je disais mais nul part ce que vous dites. Le BDSM est un ensemble de pratiques déviantes, le SM un trouble mentale, si seulement un ensemble de pratiques d’un des domaines du BDSM vous excite il s’agit d’une obsession donc d’une maladie mentale. Il n’y a pas à tergiverser. Et puis, excusez-moi, c’est quand même juste du bon sens cette classification…
PS: Le DSM-5 évoque 3% de pratiquants BDSM et non 50% comme ça a pu être écrit plus haut.
Dernière modification le 25/10/2022 06:17:55 par Christopher.
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Novicetimide
"L’homosexualité existe dans la nature. 1500 espèces ont fait l’objet d’observation et 500 sont clairement documentées.
L’homosexualité ne présente pas de préjudice ni risque particulier
Donc l’homosexualité est (devrait être) une norme puisqu’une norme est quelque chose convenue comme acceptable."
Christopher votre postulat c'est quoi du coup que ce qui n'est pas naturel doit être caché et si on les pratiques ces choses et depuis longtemps c'est qu'il y a bien dans la nature humaine ces besoins non ?
C'est pas un smartphone on a pas crée de toutes pièces le BDSM et le besoin de le vivre.
Quant au parallèle avec le règne animal, la parade nuptiale n'est pas de tout repos chez bon nombre d'espèces et passe par des phases qui peuvent ressembler à une lutte .
Et enfin déviant donc à cacher pourquoi ?
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Christopher
"L’homosexualité existe dans la nature. 1500 espèces ont fait l’objet d’observation et 500 sont clairement documentées.
L’homosexualité ne présente pas de préjudice ni risque particulier
Donc l’homosexualité est (devrait être) une norme puisqu’une norme est quelque chose convenue comme acceptable."
Christopher votre postulat c'est quoi du coup que ce qui n'est pas naturel doit être caché et si on les pratiques ces choses et depuis longtemps c'est qu'il y a bien dans la nature humaine ces besoins non ?
C'est pas un smartphone on a pas crée de toutes pièces le BDSM et le besoin de le vivre.
Quant au parallèle avec le règne animal, la parade nuptiale n'est pas de tout repos chez bon nombre d'espèces et passe par des phases qui peuvent ressembler à une lutte .
Et enfin déviant donc à cacher pourquoi ?
Mon propos depuis le départ n’a jamais été de dire qu’il faut le cacher. Je dis juste qu’il ne faut pas l’afficher librement sans pudeur, sans retenue, sans réflexion dans n’importe quel contexte ou lieu. Il ne faut pas banaliser le BDSM en prônant qu’il ne s’agit pas de déviances ou de troubles. Nous assumons nos pratiques, nous sommes libres de faire ce qu’on veut de nos corps mais nous devons avoir conscience de la réalité des choses. Si on assume nos pratiques, on doit aussi assumer pleinement ce qu’elles sont: des déviances et/ou des troubles. Ne pas en avoir conscience est un danger selon moi.
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Christopher
100712
Oui et oui, mais non mon cher ( qui signifie cordial sensu stricto ) Christopher,
Il y a norme et norme....
Vous parlez d'une norme ou normalité physiologique ou éthologie, ou " naturelle ", qui existe et n'est pas discutable.
" Nous" ( @Lady Spencer et moi..) d'une norme sociale, légale, etc. , qui elles aussi existent même et y compris si elles ne sont que des constructions morales humaines.
C'est le "vieux" débat de l'Homme Nature, des lois naturelles versus les lois humaines, qui nous sépare en apparence, sur des notions qui sont communes, et partagées.
Vous avez raison en tout, la nature inclue " naturellement " des comportements homosexuels, qui donc ne sont point tabous ou non existants et encore moins une " déviance " sexuelle humaine, mais une forme d'expression de la sexualité naturelle. Je suis complètement d'accord et je crois que personne ne pourrait le contester sauf à être d'une mauvaise foi extraordinaire ou d'un fascisme idéologique crasse.
Mais , mais et sans vouloir asseoir "ma" légitimité d'une hétérosexualité sur l'homosexualité....je ne suis aucunement .....phobe ou .....phobe !!
Je me permet de vous faire entendre que si dans l'espèce humaine , où la survie de l'espèce n'est plus la préoccupation première quand à la copulation intersexe, en revanche d'un point de vue biologique en ce terme de survie de l'espèce, l'homosexualité ( dans ce cadre !! ) est un désavantage, un risque et peu constituer un préjudice.
Voyez par exemple le mythe des amazones....hé bien , cette société " lesbienne et auto suffisante " se devait d'importer quelques géniteurs afin de créer les générations futures...
De même, les comportements homosexuels confirmés dans la nature ne permettront pas la genèse de descendance.
Je précise que mes propos ne sont aucunement des joutes oratoires et encore moins des stigmates homophobes, mais bien et juste des échanges de paroles, des expressions de savoir ou réflexions...
J'irai plus loin, philosophiquement, je suis libertarien, ( cf Google ), c'est à dire, selon BFM, un connard de facho redneck ( Rires ), pour moi, la société idéale est une société où chacun fait ce qu'il veut de son cul...mais respecte de même l'autre, et où les "lois" n'existent que pour régir les rapports courtois et " civils" entre les individus.
Donc pour ma pomme anarcho-capitaliste, toutes les "normes" naturelles sont équivalentes et inviolables.
Je n'impose en rien ma norme de " mâle blanc cis het " et je ne veux pas me faire imposer la norme de Mme ROUSSEAU en retour....je ne suis pas un suprémaciste blanc et n'accepterai ni suprématie blanche ( KKK ) , ni suprématie noire....
Toutes ces " suprématies" ne sont que tyrannies !!
Je vous "aime" au sens religieux, je vous respecte, l'homosexualité n'est pas mon ennemi, etc...et je ne veux pas me battre pour une chapelle !!
Nous devrions nous rappeler des ces frères allemands ET français qui sont morts sans savoir pour qui ou pourquoi à Verdun et ailleurs....Suprématie des "leaders" est toujours tyrannie !!
Aimez, aimez, vivez et soyez heureux, la vie est courte, difficile, trop pour être gâchée, pourrie de tyrannies imposées...
Je comprends vos propos sur la nature humaine versus l’humain naturel. J’avais vaguement cette idée mais vous l’exprimez si clairement que ça en devient limpide. Je vous remercie pour ça.
Ahah, j’attendais cette réflexion du préjudice homosexuel quant à la reproduction ;). Je faisais allusion au préjudice purement individuel, pas au préjudice potentiel global d’une espèce.
Je suis également libertarien et je partage la suite de vos propos.
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Christopher
"L’homosexualité existe dans la nature. 1500 espèces ont fait l’objet d’observation et 500 sont clairement documentées.
L’homosexualité ne présente pas de préjudice ni risque particulier
Donc l’homosexualité est (devrait être) une norme puisqu’une norme est quelque chose convenue comme acceptable."
Christopher votre postulat c'est quoi du coup que ce qui n'est pas naturel doit être caché et si on les pratiques ces choses et depuis longtemps c'est qu'il y a bien dans la nature humaine ces besoins non ?
C'est pas un smartphone on a pas crée de toutes pièces le BDSM et le besoin de le vivre.
Quant au parallèle avec le règne animal, la parade nuptiale n'est pas de tout repos chez bon nombre d'espèces et passe par des phases qui peuvent ressembler à une lutte .
Et enfin déviant donc à cacher pourquoi ?
Je vais essayer d’étayer:
Qu’est-ce qui nous différencie de l’animal? Notre capacité de réflexion. Nous sommes des êtres de réflexion et d’instinct alors que les animaux ne sont que des êtres d’instinct. Notre sexualité se construit par l’instinct mais aussi par notre réflexion. Voilà ce qu’il faut bien avoir en tête. Le BDSM peut être dans notre nature humaine mais pas dans notre instinct naturel d’animal. Puisque ces pratiques naissent du fait d’être des êtres de réflexion, elles induisent logiquement qu’on réfléchisse en permanence sur celles-ci, qu’on se remette en question, qu’on soit prudent puisqu’elles ne sont pas instinctives quoi que certains puissent penser
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Christopher
100712
Bravo !!
Et pour répondre aux impétrants qui n' ont pas fait le moindre effort de recherche du passé ou d'histoire, je dirai que le/les safewords existe depuis la nuit du BDSM, puisque c'est un des éléments qui différait des tortures morbides et des jeux érotiques d'avant...avant et encore avant....voir antiquité grecque et latine a minima... ;-)
Ça me fait écho aux safecodes utilisés par les gladiateurs grecs et romains lors de leur entraînement. Il leur fallait bien pouvoir signaler qu’ils s’avouaient vaincus par un mot ou par un signe (comme une double tape de la main sur le sol par exemple). La logique est similaire concernant le BDSM.
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Salomé
Personnellement, je préfère utiliser le terme de hors norme plutôt que ceux de deviances et troubles.
Assumer avoir un trouble m'obligerait à me dire que je suis malade et que je dois me faire soigner.
Ce n'est pas du tout ce que je ressens.
Mon propos depuis le départ n’a jamais été de dire qu’il faut le cacher. Je dis juste qu’il ne faut pas l’afficher librement sans pudeur, sans retenue, sans réflexion dans n’importe quel contexte ou lieu. Il ne faut pas banaliser le BDSM en prônant qu’il ne s’agit pas de déviances ou de troubles. Nous assumons nos pratiques, nous sommes libres de faire ce qu’on veut de nos corps mais nous devons avoir conscience de la réalité des choses. Si on assume nos pratiques, on doit aussi assumer pleinement ce qu’elles sont: des déviances et/ou des troubles. Ne pas en avoir conscience est un danger selon moi.
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Mon propos depuis le départ n’a jamais été de dire qu’il faut le cacher. Je dis juste qu’il ne faut pas l’afficher librement sans pudeur, sans retenue, sans réflexion dans n’importe quel contexte ou lieu. Il ne faut pas banaliser le BDSM en prônant qu’il ne s’agit pas de déviances ou de troubles. Nous assumons nos pratiques, nous sommes libres de faire ce qu’on veut de nos corps mais nous devons avoir conscience de la réalité des choses. Si on assume nos pratiques, on doit aussi assumer pleinement ce qu’elles sont: des déviances et/ou des troubles. Ne pas en avoir conscience est un danger selon moi.
Ce sont simplement des pratiques qui relèvent de l’intime et qui sont non conventionnelles.
On affiche rarement sa sexualité vanille sans pudeur et c’est la même chose pour le BDSM.
Une déviance et quelque chose de malsain et qui n’a pas de règles, le BDSM est consensuel, le respect et la communication en sont la base et les protagonistes ne sont pas guidés uniquement par de bas instincts…
Un trouble est quelque chose qui dépasse la personne, là personne n’est dépassé parce que la situation est toujours sous contrôle.
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Je vais essayer d’étayer:
Qu’est-ce qui nous différencie de l’animal? Notre capacité de réflexion. Nous sommes des êtres de réflexion et d’instinct alors que les animaux ne sont que des êtres d’instinct. Notre sexualité se construit par l’instinct mais aussi par notre réflexion. Voilà ce qu’il faut bien avoir en tête. Le BDSM peut être dans notre nature humaine mais pas dans notre instinct naturel d’animal. Puisque ces pratiques naissent du fait d’être des êtres de réflexion, elles induisent logiquement qu’on réfléchisse en permanence sur celles-ci, qu’on se remette en question, qu’on soit prudent puisqu’elles ne sont pas instinctives quoi que certains puissent penser
Si on y réfléchit et que l’on sait se remettre régulièrement en question alors il n’y a aucune obsession mais une attitude que l’on sait différente et que l’on cadre et encadre.
Ce ne sont pas des pulsions irraisonnées comme pour une pathologie.
La prudence et la sécurisation des rapports entre les personnes en BDSM font partie des principes fondamentaux.
Dernière modification le 25/10/2022 19:54:53 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Personnellement, je préfère utiliser le terme de hors norme plutôt que ceux de deviances et troubles.
Assumer avoir un trouble m'obligerait à me dire que je suis malade et que je dois me faire soigner.
Ce n'est pas du tout ce que je ressens.
Je suis du même avis que vous, il y a juste le terme de « norme » qui me fait un peu tiquer donc je le mettrais entre guillemets.
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Salomé
Je comprends Stella. Pour moi, le hors norme fait référence à la différence. Et je trouve cette différence très intéressante.
Je suis du même avis que vous, il y a juste le terme de « norme » qui me fait un peu tiquer donc je le mettrais entre guillemets.
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Christopher
Si on y réfléchit et que l’on sait se remettre régulièrement en question alors il n’y a aucune obsession mais une attitude que l’on sait différente et que l’on cadre et encadre.
Ce ne sont pas de pulsions irraisonnées comme pour une pathologie.
La prudence et la sécurisation des rapports entre les personnes en BDSM font partie des principes fondamentaux.
Oui oui absolument.
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Christopher
Personnellement, je préfère utiliser le terme de hors norme plutôt que ceux de deviances et troubles.
Assumer avoir un trouble m'obligerait à me dire que je suis malade et que je dois me faire soigner.
Ce n'est pas du tout ce que je ressens.
Non non, pas du tout. Il faut bien différencier troubles mentaux et maladies mentales. Des troubles, tout le monde en a et ils ne nécessitent pas forcément de soin ni prise en charge. Réduire nos pratiques à du « hors norme » me parait dangereux quant à la compréhension des novices/nouvelles générations etc…
Dernière modification le 25/10/2022 20:01:32 par Christopher.
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Je préfè dire que je suis d'une sexualité atypique....ou même extraordinaire 😏
Je comprends Stella. Pour moi, le hors norme fait référence à la différence. Et je trouve cette différence très intéressante.
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Christopher
Ce sont simplement des pratiques qui relèvent de l’intime et qui sont non conventionnelles.
On affiche rarement sa sexualité vanille sans pudeur et c’est la même chose pour le BDSM.
Une déviance et quelque chose de malsain et qui n’a pas de règles, le BDSM est consensuel, le respect et la communication en sont la base et les protagonistes ne sont pas guidés uniquement par de bas instincts…
Un trouble est quelque chose qui dépasse la personne, là personne n’est dépassé parce que la situation est toujours sous contrôle.
Mais enfin d’où sortez vous ces définitions ? Une déviance n’est pas forcément malsaine et elle n’empêche pas la présence de règles, au contraire, elle l’encourage.
Un trouble ne dépasse pas la personne. Une maladie oui parfois. Sachez que je suis Autiste Asperger, donc, vivre avec un trouble, je connais bien ;)
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Christopher
100712
Ces déviances sont par essence, propres à l'espèce humaine, puisque en l'état actuel de la science, seul Homo Sapiens possède non pas une " conscience de lui même " en propre, mais une "moralité".
Seul Homo Sapiens, fait un distinguo entre ce qui est "acceptable" ou " bien" et ce qui ne l'est pas ou "mal "....
Les animaux, eux sont dépourvu de cette notion de "bien et mal " et/ou du "jugement ".
Je ne suis pas d’accord. Ce n’est pas le propre de l’Homo Sapiens de définir le bien et le mal. C’est le fruit de la civilisation ou de la société a minima.
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Salomé
Vous avez le droit de penser ça. Personnellement je reste sur mon "hors norme" ou "atypique" comme le souligne Octalis.
Il n'y a rien de dangereux en disant que nos pratiques sont hors normes.
Non non, pas du tout. Il faut bien différencier troubles mentaux et maladies mentales. Des troubles, tout le monde en a et ils ne nécessitent pas forcément de soin ni prise en charge. Réduire nos pratiques à du « hors norme » me parait dangereux quant à la compréhension des novices/nouvelles générations etc…
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Mais enfin d’où sortez vous ces définitions ? Une déviance n’est pas forcément malsaine et elle n’empêche pas la présence de règles, au contraire, elle l’encourage.
Un trouble ne dépasse pas la personne. Une maladie oui parfois. Sachez que je suis Autiste Asperger, donc, vivre avec un trouble, je connais bien ;)
Les troubles schizophrènes ou les troubles bipolaires peuvent dépasser les personnes et pour certains troubles des traitements médicamenteux sont nécessaires pour que ces personnes puisse pleinement être bien avec elles-mêmes et avec les autres.
Les autistes Asperger sont quand même à mettre à part, un autiste non verbal n’appréhendera pas du tout les choses de la même façon que vous, de même que tous les Asperger ne sont pas comme vous.
Un certain nombre de personnes déviantes ne reconnaîtront jamais qu’elles sont différentes et certaines peuvent déraper.
Il suffit d’écouter les informations ces derniers temps encore pour se rendre compte de cela avec un chanteur interdit de concerts, un animateur qui ne comprend pas qu’il a eu des comportements inappropriés…
Il y a aussi des troubles qui peuvent déraper si la personne n’est pas aidée.
Il est impossible de faire des généralités, cela donnerait un raisonnement simpliste et faux.
Dernière modification le 25/10/2022 20:51:02 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Christopher
Vous avez le droit de penser ça. Personnellement je reste sur mon "hors norme" ou "atypique" comme le souligne Octalis.
Il n'y a rien de dangereux en disant que nos pratiques sont hors normes.
Vous avez raison, je vous ai rétorqué cela de manière bien trop catégorique. Je vous présente mes excuses.
2 personnes aiment ça.
Christopher
Les troubles schizophrènes ou les troubles bipolaires peuvent dépasser les personnes et pour certains troubles des traitements médicamenteux sont nécessaires pour que ces personnes puisse pleinement être bien avec elles-mêmes et avec les autres.
Les autistes Asperger sont quand même à mettre à part, un autiste non verbal n’appréhendera pas du tout les choses de la même façon que vous, de même que tous les Asperger ne sont pas comme vous.
Un certain nombre de personnes déviantes ne reconnaîtront jamais qu’elles sont différentes et certaines peuvent déraper.
Il suffit d’écouter les informations ces derniers temps encore pour se rendre compte de cela avec un chanteur interdit de concerts, un animateur qui ne comprend pas qu’il a eu des comportements inappropriés…
Il y a aussi des troubles qui peuvent déraper si la personne n’est pas aidée.
Il est impossible de faire des généralités, cela donnerait un raisonnement simpliste et faux.
Schizophrènie et Bipolarité (peut être pas les 4 types mais au moins 1) sont des maladies mentales justement.
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Schizophrènie et Bipolarité (peut être pas les 4 types mais au moins 1) sont des maladies mentales justement.
Ce sont des troubles cognitifs et ils prennent des formes multiples suivant les personnes et leurs personnalités.
Avec un traitement équilibré ces personnes se distinguent pas des autres personnes et on ne peut savoir qu’elles ont un trouble.
Alors leur coller une étiquette de « maladie mentale » c’est pour moi vraiment les stigmatisatiser.
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Qu est ce que la normalité ? Faire l'étoile de mer et attendre que ça passe ? Dans ce cas par rapport à la normalité nombre de couplé vanille sont deviant et heureusement dans la base judeo chrétienne l'acte sexuel ne sert que dans le but d engendrer une descendance sinon C est un pêcher de chair comdanable par l'Église. Les normes évolue heureusement mdr. De même que dans certains texte bibliques il est dit si un mari décédé le frère prend la femme ou bat ta femme même si tu ne sais pas pourquoi la femme est coupable par nature car eve a manger la pomme. Alors en 2022 heureusement les normes on changer donc la norme de ce qui se fait ou pas aussi entre adulte consentant.
En bdsm on parle d adulte donc pour moi il n'y a pas de normes mais des règles de bienveillance et consentement. Qui devrait etre la base de tout adulte même hors bdsm.
Sinon pour en revenir aux bdsm dans tout actes il peut y avoir sentiment d'humiliation car ça dépend du contexte de l'état psychologique de la personne à un. Moment donné du a la fatigue ou autre qui agit sur le bien être, on peut aussi est en position humiliante simplement pour faire plaisir à l'autre l'humiliation consentie. Le partage le respect font que chacun vit à un moment donné l'humiliation vis à vis d un tiers ou de lui même.
Il faut jyste que la personne puisse s exprimer après ou puisse être rassuré sur ses capacités par l'autre. Voilà mon. Point de vue.
Moi je trouve parfois humiliant le fait d encaisser moins que d autres le fouet les griffes ou autres même si je fais le max sur le moment, mais heureusement il est là et donc me rassure n'empêche que c est humiliant quand même lol
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Christopher
C’est justement parce qu’ils nécessitent un traitement qu’ils sont dits « malades » selon le DSM-5. D’ailleurs, ça me semble d’une logique évidente: Quand je prends un traitement, c’est que je suis malade… Je ne stigmatise personne, je vous énonce une classification établie par des professionnels de santé qui s’y connaissent bien mieux que moi. Je pense que notre désaccord provient du fait que « troubles » et « maladies mentales » ne m’offusquent pas alors que vous si. (Attention, je ne prétends pas avoir raison de ne pas m’en offusquer, ni que vous avez tort. Ce n’est pas à moi d’en juger si jugement il y a à faire)
PS: Pour faire un parallèle avec mon cas, PERSONNE n’a jamais soupçonné mon autisme en société (à part ma mère, médecin). Si je n’en parle pas, ça se voit pas. Je n’ai donc pas besoin de traitement, c’est donc un trouble et non une maladie. Ceux définis précédemment vivent tout aussi bien que moi voir même mieux mais ont besoin d’un traitement. Voilà tout. Est-ce que ça en fait des personnes inférieures, moins valeureuses, moins bonnes etc… que moi? Absolument pas. Ils sont malades. On les soigne. Ils vont bien et c’est parfait comme ça
Dernière modification le 25/10/2022 21:21:42 par Christopher.
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Pour revenir au sujet initial de Lady Spencer, pour moi, l’humiliation extrême c’est rabaisser l’autre au point de le nier, de le mépriser et de ne plus le reconnaître comme un être digne de respect. C’est quelque chose d’inconcevable à mes yeux et encore plus en BDSM avec la force psychologique des échanges.
L’humiliation pourrait déraper si les sécurités ne sont pas activées ou si un des protagonistes se laisse déborder par l’instant et submerger par les émotions.
Mais cela est, je le pense rare, alors que l’humiliation non consentie en milieu vanille, elle, est bien présente et le cadre, pourtant normé, n’empêche pas les abus.
Pour avoir vécu des années avec une personne autocentrée et narcissique, je sais, malheureusement, ce dont je parle…
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Sauf chrisphopher que tout les bi polaires n'ont pas forcément besoin de traitement tout com9tout les autiste n'ont pas besoin de traitement. Je rejoint Stella dans la classification actuelle l'autisme n'est plus considéré comme trouble mental ni la bi polarité mais sont classifié en trouble de la fonction cognitive. La maladie mentale actuellement classifié comme tel est la folie
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C’est justement parce qu’ils nécessitent un traitement qu’ils sont dits « malades » selon le DSM-5. D’ailleurs, ça me semble d’une logique évidente: Quand je me prends un traitement, c’est que je suis malade… Je ne stigmatise personne, je vous énonce une classification établie par des professionnels de santé qui s’y connaissent bien mieux que moi. Je pense que notre désaccord provient du fait que « troubles » et « maladies mentales » ne m’offusquent pas alors que vous si. (Attention, je ne prétends pas avoir raison de ne pas m’en offusquer, ni que vous avez tort. Ce n’est pas à moi d’en juger si jugement il y a à faire)
Il ne m’offusquent pas et loin de là.
Mais stigmatiser des personnes en leur collant une étiquette est quelque chose que je n’aime pas du tout.
Si je fume trop, j’ai une addiction, pourtant je ne prends pas de traitement, si je bois trop, je suis un bon vivant, pas de traitement. Pourtant je suis alcoolique.
Je suis en pleine pré ménopause et je pends un traitement. Pour autant je ne suis pas malade, c’est préventif…
Faire des raccourcis est toujours quelque chose de dangereux, surtout quand on est pas médecin.
Dernière modification le 25/10/2022 21:23:03 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Une personne qui fait une dépression serait selon l'ancien classement malade mental or depuis des années la dépression est cataloguée dans les pathologies ordinaire et y a traitements pour une dépression lol
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Christopher
112819
Une personne qui fait une dépression serait selon l'ancien classement malade mental or depuis des années la dépression est cataloguée dans les pathologies ordinaire et y a traitements pour une dépression lol
Bien sûr que la dépression est une maladie mentale! Et pas selon l’ancien classement mais selon le nouveau justement ! On peut même avoir un arrêt longue maladie pour dépression…
Dernière modification le 25/10/2022 21:24:30 par Christopher.
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Christopher
@Demonia et @Stella, ne serait-ce pas vous qui stigmatiseriez la maladie mentale ? Ce n’est pas réthorique ni incisif.
Dernière modification le 25/10/2022 21:28:09 par Christopher.
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@Demonia et @Stella, ne serait-ce pas vous qui stigmatiseriez la maladie mentale ? Ce n’est pas réthorique.
https://www.ameli.fr/lille-douai/assure/sante/themes/depression-troubles-depressifs/comprendre-depression
Trouble et maladie ne sont pas incompatibles.
Médicament ne signifie pas forcément maladie.
Quant au fait de stigmatiser les maladies mentales, j’ai, depuis de nombreuses années, plusieurs personnes de mon entourage très proche atteintes de démence car elles sont atteintes d’une maladie neuro dégénérative orpheline alors franchement vos impressions me font sourire.
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Christopher
Il ne m’offusquent pas et loin de là.
Mais stigmatiser des personnes en leur collant une étiquette est quelque chose que je n’aime pas du tout.
Si je fume trop, j’ai une addiction, pourtant je ne prends pas de traitement, si je bois trop, je suis un bon vivant, pas de traitement. Pourtant je suis alcoolique.
Je suis en pleine pré ménopause et je pends un traitement. Pour autant je ne suis pas malade, c’est préventif…
Faire des raccourcis est toujours quelque chose de dangereux, surtout quand on est pas médecin.
Bien vu le coup de la ménopause. Mon raccourci est effectivement pas parfaitement en adéquation. Du moins, pas sans un périmètre:
- Le traitement concernant votre ménopause est un soin de confort dans la mesure où vous viveriez très bien en société sans.
- Il est question de psy, d’esprit, de mentale dans notre sujet.
C’est justement parce que je ne suis pas médecin que je me range à ce qu’ils disent. Vous les contredisez et c’est bien tout l’objet de notre débat 😅
Dernière modification le 25/10/2022 21:35:41 par Christopher.
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Christopher
https://www.ameli.fr/lille-douai/assure/sante/themes/depression-troubles-depressifs/comprendre-depression
Trouble et maladie ne sont pas incompatibles.
Médicament ne signifie pas forcément maladie.
Quant au fait de stigmatiser les maladies mentales, j’ai, depuis de nombreuses années, plusieurs personnes de mon entourage très proche atteintes de démence car elles sont atteintes d’une maladie neuro dégénérative orpheline alors franchement vos impressions me font sourire.
Veuillez m’excuser mais il ne s’agit pas de mes impressions mais seulement de mes incompréhensions. Je ne comprends pas ce qui est stigmatisant à se dire qu’on est malade, tout simplement. N’y voyez aucune animosité ni pique.
Soyez la première personne à aimer.
Bien vu le coup de la ménopause. Mon raccourci est effectivement pas parfaitement en adéquation. Du moins, pas sans un périmètre:
- Le traitement concernant votre ménopause est un soin de confort dans la mesure où vous viveriez très bien en société sans.
- Il est question de psy, d’esprit, de mentale dans notre sujet.
Ce n’est pas seulement un soin de confort, vous devriez mieux vous documenter.
Et les problèmes hormonaux également peuvent conduire à la dépression. On est toujours dans le sujet. On reconnaît d’ailleurs, enfin, les dépressions du post partum.
Idem pour les douleurs osseuses (risque d’ostéoporose) et les nombreux autres troubles qui perturbent l’état d’esprit d’une personne.
Je ne vous parle pas des bouffées de chaleur, non on ne vit pas très bien en société avec, je vous assure.
Dernière modification le 27/10/2022 11:24:34 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Christopher
Voici les 2 premières lignes de votre article:
« La dépression (ou trouble dépressif) est une maladie psychique fréquente »
On est bien d’accord que c’est une maladie non? 🤷🏻‍♂️
Soyez la première personne à aimer.
Christopher
Ce n’est pas seulement un soin de confort, vous devriez mieux vous documenter.
Et les problèmes hormonaux également peuvent conduire à la dépression. On est toujours dans le sujet. On reconnaît d’ailleurs, enfin, les dépressions du post partum.
Idem pour les douleurs osseuses (risque d’ostéoporose) et ne nombreux autres troubles qui perturbe l’état d’esprit d’une personne.
Je ne vous parle pas des bouffées de chaleur, non on ne vit pas très bien en société avec, je vous assure.
Je me suis très mal exprimé en parlant de confort. Et puis, finalement, je serais bien arrogant de ne pas me ranger à votre avis et expérience en tant que femme sur ce sujet… 🙏. Cependant, les symptômes que vous décrivez me font dire que c’est comme si vous étiez malade…
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Veuillez m’excuser mais il ne s’agit pas de mes impressions mais seulement de mes incompréhensions. Je ne comprends pas ce qui est stigmatisant à se dire qu’on est malade, tout simplement. N’y voyez aucune animosité ni pique.
Je pense que seuls des médecins peuvent poser un diagnostic de maladie et nous ne sommes tout simplement pas médecins.
J’ai fait deux dépressions, la première a soignée grâce à un psychiatre sans aucun médicament et pourtant c’était une très grosse dépression.
Pour la deuxième, moins forte pourtant, je médecin a jugé qu’il le fallait une béquille médicamenteuse et je n’ai pas ressenti le besoin de voir régulièrement un psy parce le travail fait sur moi avec psychiatre qui m’avait suivi précédemment me permettait de gérer la dépression autrement.
Ce n’est pas pour rien qu’il est nécessaire de faire beaucoup d’années d’études, que les généralistes se gardent bien de s’immiscer dans les domaines des spécialistes.
Chaque personne est différent et une même pathologie n’a pas les mêmes impacts suivant les moments où elle touche une personne ou suivant les personnes touchées.
Je suis donc très perplexe quand au fait d’affirmer qu’une personne est malade ou pas.
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#
La C est un post sur l'humiliation pas sur la norme donc essayez de rester dans le thème du poste l'humiliation sans devier ou créer un. Post sur la norme ou se que vous voulez et les gens donnerons leur avis
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Christopher
- Le traitement concernant votre ménopause est un soin de confort dans la mesure où vous viveriez très bien en société sans.
En relisant ça, je vois un des effets du patriarcat parmi les plus gerbant 🤮.
🙏. Je présente mes plus plates excuses à toute la gente féminine. 🙏
@Demonia c’est entendu. Je vous remercie.
Dernière modification le 25/10/2022 21:56:30 par Christopher.
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Je me suis très mal exprimé en parlant de confort. Et puis, finalement, je serais bien arrogant de ne pas me ranger à votre avis et expérience en tant que femme sur ce sujet… 🙏. Cependant, les symptômes que vous décrivez me font dire que c’est comme si vous étiez malade…
Alors certaines femmes enceintes ont des symptômes de maladie, pourtant la grossesse n’est pas une maladie. 😉
Certaines femmes ont des règles ou des ovulations douloureuses mais elles ne sont pas malades alors que d’autres souffrent d’endométriose et, elles, le sont et c’est même très handicapant. Pourtant c’est une maladie invisible.
C’est aussi une des raisons de ma prudence quant à l’utilisation du mot maladie.
Dernière modification le 25/10/2022 22:00:30 par StellaMaris de Ngu59fr.
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En relisant ça, je vois un des effets du patriarcat parmi les plus gerbant 🤮.
🙏. Je présente mes plus plates excuses à toute la gente féminine. 🙏
@Demonia c’est entendu. Je vous remercie.
Pas de soucis, je ne l’avais pas mal pris. 😉
Je sais qu’il n’y avait pas de mépris dans vos propos.
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Christopher
Alors certaines femmes enceintes ont des symptômes de maladie, pourtant la grossesse n’est pas une maladie. 😉
Certaines femmes ont des règles ou des ovulations douloureuses mais elles ne sont pas malades alors que d’autres souffrent d’endométriose et, elles, le sont et c’est même très handicapant. Pourtant c’est une maladie invisible.
C’est aussi une des raisons de ma prudence quant au mot maladie.
Ça dépend. On TOMBE enceinte comme on TOMBE malade 😂. C’est ce qu’on pensait il y a quelques siècles. Ceci est 100% ironique bien sûr. Merci pour ces échanges.
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Ça dépend. On TOMBE enceinte comme on TOMBE malade 😂. C’est ce qu’on pensait il y a quelques siècles. Ceci est 100% ironique bien sûr. Merci pour ces échanges.
Je vous en prie.
Merci à vous.
Les échanges sont toujours intéressants et c’est ce que j’apprécie sur le forum.
Une touche d’humour de temps en temps fait du bien. 😉
Dernière modification le 25/10/2022 22:04:50 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Christopher
112819
La C est un post sur l'humiliation pas sur la norme donc essayez de rester dans le thème du poste l'humiliation sans DEVIER ou créer un. Post sur la norme ou se que vous voulez et les gens donnerons leur avis
Vous voyez, je suis déviant même quand il s’agit de suivre le sujet d’un post. 😉.
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100712
La Norme, la Déviance, le Trouble, La Maladie.....beaucoup de notions et de similitudes.
Je dirai puisque nous parlons d' " humiliation " et donc de ressentis, que le trouble est un signe, non ressenti par toutes et tous, alors que la maladie se caractérise par le besoin personnel et/ou familial / social de traitement / aide/ normalisation.
Je peux ressentir un trouble et ne pas avoir besoin de me soigner. Mais si je suis malade, j'ai besoin d'être aidé / soigné.
Pour les " déviances " en BDSM, idem..... comme en vanille....exemple de l'érotomanie qui est un trouble mais peut être incapacitant / gênant / handicapant dans la vie de tous les jours....
Si les " besoins " érotomanes font que "je" ne peux pas rester calme en voyant ma collègue le matin....c'est un problème et plus un trouble simple....donc " je" consulterai mon médecin afin de lui expliquer ma problématique , à lui/elle de me proposer une prise en charge, médicamenteuse ou non, psychologique ou non, etc.
Et comme par hasard...^^, comme pour les notions de ce qui est ou pas " humiliant", c'est encore et toujours, "ma" / " notre" notion de " norme" donc de " c'est normal ou pas " qui entre en ligne de compte, se présentant comme seul " juge" de ce que je dois faire....consulter ou non...
Et c'est reparti pour un tour de discussion....oui, mais non, ma normalité est ma normalité, etc...etc... ( SOURIRES )
Et avec un peu de distance et d ' humilité, j'en suis venu à penser encore plus nécessaire les définitions, les cases, etc. afin que nous " les éléments sociaux ", les gens, etc. puissions parler la même langue faite des mêmes mots, entendus universellement et clairs....
Mais mais mais....les cases, les définitions, etc.... #beurk #jenesuispasdanslescases #nemereseumezpasàmonétat...#etc. ( Soupirs )
Et donc...re re re et re discussions interminables puisque basées sur des certitudes particulières et jamais sur des définitions communes. POINT. ( Constat )
NB : Je n'ai pas parlé des soins sous contraintes...HDT et HO...( RIRES !!! )
PS : il est évident que nous " les individus" ne sommes pas aidés pour pouvoir nous entendre de part une époque singulière où le sens, la raison, etc. sont devenus inaudibles de part la gestion politique que nous subissons toutes et tous depuis....des années.
Nous n'avons que la liberté qui nous est donnée, et que les " normes " qui nous sont données de voir....hélas.hélas et hélas... ITE CONNERIA EST ;)
Vous dites vous-même que c’est normal de nous exprimer en ayant pour référence nos ressentis et c’est ce que chacun fait dans cette discussion depuis le début (enfin je crois, puisque certaines personnes bloquent puis débloquent et que je ne reviendrai pas en arrière pour lire les anciennes interventions).
C’est pour cela que je ne comprends pas cette partie : « Et comme par hasard...^^, comme pour les notions de ce qui est ou pas " humiliant", c'est encore et toujours, "ma" / " notre" notion de " norme" donc de " c'est normal ou pas " qui entre en ligne de compte, se présentant comme seul " juge" de ce que je dois faire....consulter ou non...
Et c'est reparti pour un tour de discussion....oui, mais non, ma normalité est ma normalité, etc...etc... ( SOURIRES ) ».
« PS : il est évident que nous " les individus" ne sommes pas aidés pour pouvoir nous entendre de part une époque singulière où le sens, la raison, etc. sont devenus inaudibles de part la gestion politique que nous subissons toutes et tous depuis....des années.
Nous n'avons que la liberté qui nous est donnée, et que les " normes " qui nous sont données de voir....hélas.hélas et hélas... ITE CONNERIA EST »
Je crois que « les individus » sont des êtres libres de s’exprimer et d’assumer leurs choix, leurs positions et leurs dires.
Vous parlez de « la liberté qui nous est donnée », la liberté ça se prend, surtout que nous sommes dans un pays qui le permet amplement et mêler la politique à tout cela m’étonne.
Tant qu’une personne reste dans le respect de la loi et des autres sa liberté et sa/ses norme(s) sont aussi légitimes que celles des autres.
Soyez la première personne à aimer.
Perlimpimpim, je ne suis et je n’ai jamais été en compétition avec vous, ni en lutte contre vous.
Oui, on y a beaucoup de choses stupides et la bien-pensance est surtout une grande hypocrisie. Quant aux débats politiques ou non Gainsbourg, Coluche, Le Luron ou Balavoine ne pourraient plus s’exprimer librement.
Faire un tri dans la multitude d’informations dont nous sommes bombardés pour ne retenir que ce qui nous importe vraiment est essentiel.
Le monde actuel est un monde de compétition, les gens critiquent beaucoup gratuitement mais peu de manière constructive et il n’y a que très peu d’émulation.
Pour moi c’est une raison supplémentaire d’être moi, de l’assumer et de défendre mes valeurs sans chercher à les imposer aux autres.
Et c’est également une raison de ne pas accepter d’humiliation même dans le cadre du BDSM.
Dernière modification le 26/10/2022 14:53:58 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Lady Spencer
PUNAISE ! Je viens de me fader la lecture des commentaires des jours précédents et je ne vois qu'une chose pour m'en remettre : replonger sous la couette ! :smiley::stuck_out_tongue_winking_eye::wink:
Merci à vous d'avoir élargi la question initiale, avec vos analyses et vos réflexions personnelles, même si l'on s'est largement éloigné du sujet de base.
Des échanges inter-individus qui ont sûrement freiné la lecture du sujet et sûrement aussi, mis un frein à tel ou telle désirant donner son avis : dommage car cette lecture est éminemment intéressante, avec toutefois, la réserve d'ouvrir un autre fil de discussion lorsque le sujet embraye sur d'autres thèmes.
Bon, qui me prépare mon p'tit déj ?
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Angélique
Je donne pas de nom mais j'ai mon idée 😏😏bonne journée Lady Spencer
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Lady Spencer
Des noms, des noms !
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Lady Spencer
Synthétique, j'espère ? :smiling_imp::smiling_imp::smiling_imp:
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#
Je vais essayer d’étayer:
Qu’est-ce qui nous différencie de l’animal? Notre capacité de réflexion. Nous sommes des êtres de réflexion et d’instinct alors que les animaux ne sont que des êtres d’instinct. Notre sexualité se construit par l’instinct mais aussi par notre réflexion. Voilà ce qu’il faut bien avoir en tête. Le BDSM peut être dans notre nature humaine mais pas dans notre instinct naturel d’animal. Puisque ces pratiques naissent du fait d’être des êtres de réflexion, elles induisent logiquement qu’on réfléchisse en permanence sur celles-ci, qu’on se remette en question, qu’on soit prudent puisqu’elles ne sont pas instinctives quoi que certains puissent penser
Le sujet de l'humiliation m'intéresse sauf que là ce sont les animaux qui sont humiliés par vos propos primaires. La seule chose qui les différencie de l'humain, c'est qu'ils ne peuvent pas parler et se faire comprendre ... Et encore. Il y a débat.
Mais il y a bien longtemps que l'on sait qu'ils induisent et réfléchissent en complément de leur instinct qui reste quelque chose de précieux ou de divin comme peut l'être l'intuition.
Et le BDSM n'est pas le résultat d'une simple réflexion
Le SM à mon sens c'est juste la recherche de sensations et quand deux animaux font l'amour je puis vous assurer pour les avoir observés que souvent c'est brutal bestial très proche du SM
Je vous livre un article du Dr Christian JOYAL Dr en neuropsychologie et professeur à l'Université de Montréal qu'il vaut mieux lire en Anglais mais la traduction reste bonne et compréhensible qui traite du BDSM.
J'aime beaucoup ses ouvrages informatifs très clairs et objectifs.
Dans celui-ci, jy ai notamment retenu que le BDSM loin d'être une déviance pouvait être thérapeutique et avoir des effets apaisants que c'était même "un loisir récréatif", la recherche de sensations
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/00224499.2020.1767025
Soyez la première personne à aimer.
Lady Spencer
128826
Le sujet de l'humiliation m'intéresse sauf que là ce sont les animaux qui sont humiliés par vos propos primaires.
Dom66 : vous semblez avoir lu les écrits de Christopher, vous aurez donc découvert qu'il est Asperger (il le dit lui-même) : en vous adressant à lui en l'attaquant de front, vous risquez au mieux, de vous prendre un revers sans doute non mérité, et au pire, de faire partir les échanges en pugilat épistolaire.
Ce que je n'aimerais pas du tout, vu que j'ai crée le sujet de départ.
Restons courtois, quand bien même nous ne sommes pas d'accord : dire à qqu'un qu'il est primaire, c'est limite.
Je défends à donf la cause animale comme vous, et je ne suis pas d'accord avec Christopher lorsqu'il prétend que les animaux ne sont faits QUE d'instinct.
Mais quiet svp.
D'ailleurs, on peut aussi repartir sur un autre sujet, moult fois abordé : le BDSM, acquis ou inné ?
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Christopher
Haha. :). Non ça va, je le prends bien. Je prône la remise en question alors je vois plutôt une opportunité pour le faire moi même et gagner en culture et expérience. Dom66 m’offre une source qui m’intéresse et je n’ai aucun argument supplémentaire à exposer. J’ai exposé mon opinion (qui peut changer avec l’apprentissage) mais il ne m’importe pas tant de convaincre que de profiter d’un débat pour progresser (ou faire progresser suivant les cas).
Merci pour cela et promis je vais me borner au sujet de départ ;)
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#
100712
Les Fourrures ???
Heuuuuu noon.....et je l'assume .....
Je recommande chaudement la peau de renne par exemple, pour les soirées pyjamas au coin du feu....:innocent:
L'animal a été élevé pour sa viande par de "sauvages brutes conservatrices" nordiques.....et tant qu'à faire, vu que la bestiole va être bouffée, ben , moi, je garde la peau ^^ :smiling_imp:
Le "primal " n'est pas polyéthylènable....:grin:
Je comprends bien qu'il faut rester courtois et surtout ne pas utiliser des adjectifs désobligeants pour qualifier un interlocuteur mais je suis comme Lady Spencer attaché à ce qu'on rende aux animaux les droits auxquels ils peuvent prétendre à l'instar de tout être sensible doté d'intelligence
sauf que porter de la fourrure animale est indéfendable et dire que puisque on mange la viande on peut utiliser la peau c'est méconnaître les conditions dans lesquelles l'animal a été dépecé :
VIVANT car sinon la peau serait hérissée et inutilisable!
même si c'est hors sujet je vous suggère de lire les publications de PETA qui a enquêté sur les élevages d'animaux pour la fourrure et tout ce qui est décrit est abominable. Les rennes viennent essentiellement de Laponie ou de Finlande et quand on sait les exactions commises sur les animaux dans les pays scandinaves, ours et loups massacrés en finlande et norvège, dauphins au Danemark dans les iles Feroe, renards gavés à mort pour leur fourrure en Finlande on sait que l'éthique animale est totalement absente en scandinavie donc désolé je ne ris pas et adhère encore moins
porter de la fourrure animale au 21ème siècle c'est indigne d'un être civilisé. La cruauté entre deux êtres consentants why not mais l'animal on ne lui a pas demandé son avis.
maintenant pour ne pas être qu'hors sujet, parler de l'animal m'amènera dans un post prochain à parler de l'instinct lequel est inné mais qu'en est-il pour l'humain?
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Spike
Je trouve impressionnant le fait que le débat dérape systématiquement. A chaque fois cela finit en chasse aux sorcières de l'intolérant, ou je ne sais quoi. C'est un peu dommage non?
On est tous inscrits sur ce site, ce qui nous donne un point commun, et pas des moindres puisque l'on aime tous une ou des pratiques qui ne sont pas qualifiées de 'normales' dans l'esprit collectif. Comment pouvons nous être intolérants si nous sortons tous de la 'norme'?
Je ne dis pas que l'on doit tous être d'accord sur tout, heureusement d'ailleurs. Mais ça serait sympa si on, moi le premier, cherchait à comprendre le point de vue de l'autre avant de le cataloguer comme 'méchant'.
(Même s'il est évident que tout est la faute de Lady Spencer qui a semé le sujet de la discorde, au bûcher! 🧙)
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Angélique
Je trouve impressionnant le fait que le débat dérape systématiquement. A chaque fois cela finit en chasse aux sorcières de l'intolérant, ou je ne sais quoi. C'est un peu dommage non?
On est tous inscrits sur ce site, ce qui nous donne un point commun, et pas des moindres puisque l'on aime tous une ou des pratiques qui ne sont pas qualifiées de 'normales' dans l'esprit collectif. Comment pouvons nous être intolérants si nous sortons tous de la 'norme'?
Je ne dis pas que l'on doit tous être d'accord sur tout, heureusement d'ailleurs. Mais ça serait sympa si on, moi le premier, cherchait à comprendre le point de vue de l'autre avant de le cataloguer comme 'méchant'.
(Même s'il est évident que tout est la faute de Lady Spencer qui a semé le sujet de la discorde, au bûcher! 🧙)
Moi je suis intolérante a mes ex 🙄🙄🙄 c'est grave docteur ?
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Oui, on y a beaucoup de choses stupides et la bien-pensance est surtout une grande hypocrisie. Quant aux débats politiques ou non Gainsbourg, Coluche, Le Luron ou Balavoine ne pourraient plus s’exprimer librement.
Faire un tri dans la multitude d’informations dont nous sommes bombardés pour ne retenir que ce qui nous importe vraiment est essentiel.
Le monde actuel est un monde de compétition, les gens critiquent beaucoup gratuitement mais peu de manière constructive et il n’y a que très peu d’émulation.
Pour moi c’est une raison supplémentaire d’être moi, de l’assumer et de défendre mes valeurs sans chercher à les imposer aux autres.
Et c’est également une raison de ne pas accepter d’humiliation même dans le cadre du BDSM.
J'aime beaucoup ce style et je croirais presque entendre Gérard Philippe dans la tirade de Ruy Blas: "Bon appétit Messieurs" à partir de la 39° minutes....
https://www.youtube.com/watch?v=jOw_paIKfmg
Quelle humiliation pour ces nobles espagnols...
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Spike
Moi je suis intolérante a mes ex 🙄🙄🙄 c'est grave docteur ?
Terriblement grave, le fouet, la cire, pendue par les pieds et réciter 3 prières au grand manitou.
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Angélique
Terriblement grave, le fouet, la cire, pendue par les pieds et réciter 3 prières au grand manitou.
Ben c'est hors sujet il y a rien d'humiliant la dedans 🙄🤔
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Spike
Ben c'est hors sujet il y a rien d'humiliant la dedans 🙄🤔
Ok, on rajoute une pancarte 'cette personne est intolerante, bouh!'
(Je sais je suis terrible.)
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Angélique
Ok, on rajoute une pancarte 'cette personne est intolerante, bouh!'
(Je sais je suis terrible.)
Merci je pense qu'il va falloir prendre des cours du soir pour valide le module humiliation humiliante 🤭🤭🤭
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Spike
Merci je pense qu'il va falloir prendre des cours du soir pour valide le module humiliation humiliante 🤭🤭🤭
Je ne pense pas que ce topic soit la bonne tribune pour une seance d'humiliation, il faudra se satisfaire de cela...
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Lady Spencer
Spike, n'oubliez pas de passer dans mon bureau .....histoire de "bucher" ensemble :smiling_imp::smiling_imp::smiling_imp::smiling_imp:
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sylvie35
128826
sauf que porter de la fourrure animale est indéfendable et dire que puisque on mange la viande on peut utiliser la peau c'est méconnaître les conditions dans lesquelles l'animal a été dépecé :
VIVANT car sinon la peau serait hérissée et inutilisable!
Effectivement. J'ai pensé pendant longtemps que le matraquage médiatique concernant la fourrure était une Nième campagne d'opinion sans réels fondements jusqu'à ce que j'aie eu l'occasion de voir une vidéo sur les conditions dans lesquelles les fourrures de ratons laveurs sont obtenues en Chine. L'animal se faisait retirer sa peau vivant, dans d'atroces souffrances. Cela ressemblait au pire film d'horreur sauf que là c'était bien réel.
C'est hors sujet, mais puisque ce point a été abordé, je crois utile de dire qu'il faut se méfier des jugements hâtifs. J'aime bien quand les faits me démontrent que je me suis trompée, cela aide à garder l'esprit ouvert.
Dernière modification le 29/10/2022 09:37:05 par sylvie35.
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skella
Selon comment on interpète le mot, comment on le vit, on pourrait donner plusieurs types de réponses.
Pour ma part l'humiliation se rapproche de l'atteinte à l'intégrité physique et/ou psychologique de la personne, un rabaissement, une atteinte à la dignité, qui aboutit à une forme de dégradation morale de la personne atteinte. Je vais peut-être un peu loin dans mes propos, mais comme je suis très sensible, la teneur des mots à pour moi une grande importance. 
Si cela reste dans le cadre du jeu, oui bien sûr, mais cela passe bien sûr par beaucoup de communication en amont, sur ce qui peut donner du plaisir aux partenaires de jeu. Si cela va au-delà, ce n'est pas pour moi. Je reste avant tout un joueur, même si je peux parfois aller assez loin dans mon rôle mais je sais qu'il s'agit d'un rôle (et non de la réalité).
Tout dépend de comment cela est amené. Il m'est arrivé de vivre des situations avec cette belle saveur aigre-douce de ressentir un peu de honte (mais pas réellement de sentiment d'humiliation à proprement parler) et d'en tirer une belle satisfaction. Il m'est arrivé aussi de vivre des situations qui n'ont pas fonctionné, ce qui m'a amené à couper-court à l'expérience. ça me donne d'ailleurs l'idée d'un sujet.
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Christopher
Selon comment on interpète le mot, comment on le vit, on pourrait donner plusieurs types de réponses. Pour ma part l'humiliation se rapproche de l'atteinte à l'intégrité physique et/ou psychologique de la personne, un rabaissement, une atteinte à la dignité, qui aboutit à une forme de dégradation morale de la personne  
Dans ce cas, ne peut on pas faire un parallèle avec l'irrespect (conventionnel) ? Est-ce que toute humiliation née de l'irrespect? 
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skella
Dans ce cas, ne peut on pas faire un parallèle avec l'irrespect (conventionnel) ? Est-ce que toute humiliation née de l'irrespect? 
 
Qu'est-ce que l'irrespect conventionnel ?
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Christopher
  Qu'est-ce que l'irrespect conventionnel ?
Le non-respect des normes, règles, lois, manières etc... considérées trivialement comme un droit à la considération en tant qu'individu. Quelque chose comme ça...
Dernière modification le 22/12/2022 08:39:47 par Christopher.
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Lady Spencer
Ce sont pour moi, deux éléments différents : je peux être parfaitement irrespectueuse du code de la route par exemple, en roulant au-delà des limitations de vitesse, irreespectueuse des codes de "bienséance" et des régles en tout genre, sans chercher à humilier qui que ce soit pour autant.

Et je peux entrainer un soumis en situation humiliante pour lui sans jamais lui manquer de respect, bien au contraire.
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Switcher
À mon humble avis,il faut respecter le code de la route pour des raisons de sécurité, pour les autres et vous même. En revanche humilier un soumis me semble plus intéressant.
 
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Christopher
Ce sont pour moi, deux éléments différents : je peux être parfaitement irrespectueuse du code de la route par exemple, en roulant au-delà des limitations de vitesse, irreespectueuse des codes de "bienséance" et des régles en tout genre, sans chercher à humilier qui que ce soit pour autant.

Et je peux entrainer un soumis en situation humiliante pour lui sans jamais lui manquer de respect, bien au contraire.
  Je parle de respect de la personne et pas de lois. Je ne suis pas allé chercher aussi loin. Je parle de choses triviales. Cracher à la figure de quelqu'un par exemple  🤷🏻‍♂️. Ça me parait évident...
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Christopher
sans chercher à humilier qui que ce soit pour autant. 
En soit, ce que vous cherchez n'a pas vraiment d'importance. Que vous cherchiez à humilier ou non, ce qui compte vraiment est ce que la personne ressent. Vous ne me dites pas bonjour en entrant dans mon bureau je vais me sentir humilié quelque part, même si vous pensez juste ne pas respecter des règles de bienséance sans chercher à humilier.
C'est ce genre de pensée qui m'a amené à vous soumettre la question d'un éventuel lien entre respect et humiliation. 
Je vais même revenir sur votre message précédent et l'irrespect du code de la route: Si si, sachez que ça peut être ressenti comme une humiliation pour ceux qui le respectent par exemple. Donc ça peut en être une. Donc la volonté d'humilier ou non n'a aucune incidence sur l'existence réelle de d'une humiliation ni sur le ressenti d'être humilié. De la même manière que les réflexes issus du patriarcat induisent de fréquentes et faciles maladresses de la part des hommes qui peuvent faire ressentir un sentiment d'humiliation à une femme. La plupart du temps, les hommes n'ont même pas conscience qu'ils viennent d'en faire une d'ailleurs. 
Dernière modification le 24/12/2022 06:06:12 par Christopher.
Soyez la première personne à aimer.
Lady Spencer
  Je parle de respect de la personne et pas de lois. Je ne suis pas allé chercher aussi loin. 


Si, vous êtes allé vers cette idée là, puisque vous évoquez un "respect ou irrespect conventionnel....des lois, des codes...etc" , je commentais donc en reprenant votre exemple.

Quant à ce que ressent "l'autre", je suis d'accord : JE peux ne pas imposer une humiliation réelle dans ce que je lui ferai vivre, (ça, ce sera MA volonté) et que cet autre ressente une humiliation (ça, ce sera SON ressenti) , d'où la précision que j'ai apportée en écrivant "situation humiliante" .

Maintenant, le ressenti de l'autre, et là, je généralise en reprenant vos exemples, par définition ce ressenti sera personnel, ce seront des émotions propres, individuelles, des émotions particulières au caractère de cet autre et ça, je vous dirai bien que ce n'est plus mon problème.
On ne peut pas tout maitriser dans la vie relationnelle : si je rentre dans votre bureau et ne vous salue pas, c'est peut-être parce que je ne vous ai pas vu, ou que je suis perturbée par qque chose, ou parce que le chat de la voisine a miaulé au même moment (!!!) qu'importe la raison in fine !
Peut-être aussi parce que ce jour là, j'ai envie de ne saluer personne.
Sans pour autant vouloir VOUS humilier VOUS.
Si vous ressentez de l'humiliation, ce sera VOTRE émotion, intime, profonde, avec son lot d'interprétations justes ou erronnées .

L'humiliation, c'est comme dans une relation : 1 + 1 = 3 : il y a les deux éléments du couple + leur relation.
Idem pour l'humiliation : il y a celui qui humilie, celui vers qui cette humiliation sera envoyée, et le sentiment vécu.
Avec ses interprétations ajustables.

C'est une forme de communication finalement, entre ce que je veux dire, ce que je dis, ce que l'autre entend, ce qu'il comprend, ce qu'il ressent......etc......

 
Soyez la première personne à aimer.
Christopher

je vous dirai bien que ce n'est plus mon problème.
 
Qui a parlé de "problème" ? Je suis en tous points d'accord avec votre réponse et je le voyais déjà ainsi. Ma question n'est pas celle-ci.
Soyez la première personne à aimer.
Maestro46
Sujet super intéressant.
Nous on aime l'humiliation sexuelle uniquement : dans les mots , le bondage , ejaculation faciale pas de SM ( sauf tiré un peu les cheveux et tenir la nuque fermement pas plus ) pas de cage de pet game etc ... je peux partager qq séances type qu'on fait.
Je relance la discution car super intéressante merci.
Soyez la première personne à aimer.
Ravi
Bonjour,
Je vais apporter les éléments dont je dispose. Ils vous seront probablement, comme à moi, obscurs, mais cette question m’éveille l’envie de participer à son traitement.
Je fais partie de ceux qui recherchent l’humiliation. Pourtant je « n’aime pas l’humiliation ». Il me déplaît d’être ainsi. Mais c’est comme l’air à respirer, j’en ai besoin.
Je voudrais être plus sain, plus simple. C’est le sens du mot « vice ». Qu’il soit de forme ou de procédure, j’ai un vice. Il m’empêche d’être ce que je crois ou veux être.
C’est là depuis toujours. Avant internet, avant les lectures, avant les références.
Mon premier souvenir en la matière : j’ai dix ou onze ans, je prends des cours de dessin avec un vieux monsieur à la retraite. Le soir je me fais des scénarii où il me pisse dessus et me force à boire. Et ça me met dans une transe que je crois pouvoir aujourd’hui appeler le subspace. A onze ans.
Mon enfance, que je sache, n’a pas été marquée par une outrance de sévices. Des parents pas doués, c’est sûr, porteurs eux-mêmes de maltraitances pas résolues.
Des « idées » à moi, un monde intérieur inconciliable avec la vraie vie. Comment échanger avec des gars pour qui l’excitation naît d’une petite foulée après un ballon ?
J’ai espéré que ça passe en grandissant. Erreur. Quelques pauses mises à part, ça n’a fait que s’étoffer, s’amplifier. Il fallait des exutoires. Mes relations avec les femmes en ont toutes souffert. J’ai pris beaucoup de drogues, j’ai bu des hectolitres d’alcool pendant des années, en vain : ça ne me cachait même pas ce que j’essayais d’esquiver.
L’impression que j’en retire est que c’est une chose que je porte et qui ne m’appartient pas. Je me suis penché sur le transgénérationnel, la façon dont on transmet de l’impalpable. Le stress, c’est étudié et prouvé, se transmet par les gènes. L’humanité n’est-elle pas une empilade de générations traumatisées par des guerres, des catastrophes naturelles, des famines, des invasions, des fléaux des maltraitances sociétales ? Finalement, ce qui me console, c’est qu’être plus sain ne serait peut-être pas plus sain !
Les fois où j’ai vécu des humiliations infligées par des compagnes ont été des moments très forts de ma vie (coprophagie, traitements dégradants en privé ou en public), mais jamais aussi forts que les sensations issues de ma fantasmagorie solitaire.
Il existe un paradoxe intéressant : le besoin d’humiliation est en soi une humiliation. Quelle que soit la personne à qui j’ai pu m’en ouvrir, l’évoquer et recevoir en retour la presque inévitable incompréhension, le presque inévitable rejet fait déjà partie du processus.
Voilà ce que je peux en dire d’un trait. J’ai fini par m’habituer à être accompagné de ce « je », qui est un autre, envahissant, mais avec qui je parviens à cohabiter. Je le nourris parfois, et en échange, il me laisse vivre une vie presque tranquille.
Je ne sais si ça répond à certaines de vos interrogations, Lady Spencer. Merci d’avoir ouvert ce canal qui me permet d’en parler un peu, je me tiens à votre disposition si vous souhaitez approfondir certains points.
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Christopher
@Ravi Je pense que c'est ce qui vous donne la sensation d'être vivant et vous rassure car cela correspond à votre schéma de construction enfant 
Dernière modification le 14/09/2023 20:16:28 par Christopher.
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Maestro46
Merci ravi pour ce témoignage.
Niveau sexuel pour ma femme avez vous des idées par expérience ? 
Elle rentre clairement dans une soumission avec humiliation zt aime ça je veux pas la décevoir. Mais humiliation sexuel seulement fait on vite le tour ? 
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lyssandre
Bonjour, au sujet de l'humiliation, comme Ravi, pour ma part, j'aime bien. bon.
Mais là où je pense que le sujet me semble devenir intéressant c'est sur l'aspect sociétal: On vit dans une société phallocrate et il me semble que cette humiliation nous permet (en tant que soumis) de remettre l'église au centre du village (si vous me permettez cette nouvelle image phallocratique).
Personnellement, je trouve qu'il y a un côté profondément transgressif àêtre humilié par une Femme, être réduit au niveau d'homme objet (comme une table par exemple), ou autre, ramper, lècher les pieds, faire le chien, faire le beau, aller chercher la balle etc...  c'est juste remettre les choses à leur place. en tout cas c'est mon point de vue.
Et mon côté masochiste se marie fort bien à ce penchant.    
Et, personnellement, il y a le côté cadre établi qui compte: je n'aime pas particulièrement être humilié dans mon travail, mais le côté sas de décompression du bdsm, le côté rituel. c'est un exorcisme en quelque sorte^^
Par exemple j'ai fortement apprécié arriver déguisé en soubrette sexy à une soirée bdsm avec petite cage de chasteté rose bonbon où je ne connaissais personne... j'ai bien kiffé le côté festif, déluré
Dernière modification le 16/09/2023 20:26:40 par lyssandre.
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Ravi
Merci ravi pour ce témoignage. Niveau sexuel pour ma femme avez vous des idées par expérience ?  Elle rentre clairement dans une soumission avec humiliation zt aime ça je veux pas la décevoir. Mais humiliation sexuel seulement fait on vite le tour ? 
Bonjour Maestro,  Merci de votre intérêt. Je n'ai pas de réponse directe à votre question. Comme beaucoup de monde sur ce fil, il me semble que ce qui est considéré comme humiliant pour une personne ne le sera pas forcément pour une autre.  Je crois que ce qui m'atteint le plus est lorsqu'on rend poreuses les frontières privé/publique. J'ai dû un soir conduire ma compagne à une soirée (une soirée normale, amis, musique) et l'attendre dans la voiture garée devant le portail, vêtu très léger, mon collier bien en évidence, scruté par les arrivants et les partants. Trois heures de honte et de vide. Il me semble qu'à l'aune de cette illustration, l'humiliation se définit peut-être par la solitude qu'elle induit. Les pratiques les plus scabreuses peuvent ne pas être considérées comme humiliantes si elles se déroulent dans un contexte de mutualité. En revanche, être abandonné à des ordres doublés du désintérêt ou de l'absence du/de la Dom créé, à mon sens, un contexte psychique plus avilissant.
Dernière modification le 17/09/2023 14:16:43 par Ravi.
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lyssandre
Bonjour Maestro,  Merci de votre intérêt. Je n'ai pas de réponse directe à votre question. Comme beaucoup de monde sur ce fil, il me semble que ce qui est considéré comme humiliant pour une personne ne le sera pas forcément pour une autre.  Je crois que ce qui m'atteint le plus est lorsqu'on rend poreuses les frontières privé/publique. J'ai dû un soir conduire ma compagne à une soirée (une soirée normale, amis, musique) et l'attendre dans la voiture garée devant le portail, vêtu très léger, mon collier bien en évidence, scruté par les arrivants et les partants. Trois heures de honte et de vide. Il me semble qu'à l'aune de cette illustration, l'humiliation se définit peut-être par la solitude qu'elle induit. Les pratiques les plus scabreuses peuvent ne pas être considérées comme humiliante si elles se déroulent dans un contexte de mutualité. En revanche, être abandonné à des ordres doublés du désintérêt ou de l'absence du/de la Dom créé, à mon sens, un contexte psychique plus avilissant.
Une chose que j'aimerais souligner dans votre réaction, Ravi et qui pousse ma réflexion est le fait de repousser ses limites dans l'humiliation. Il y a donc en retour, la satisfaction du Dom, d'une part et d'autre part les limites que les soumis-es sont prêts à franchir pour faire plaisir à son-sa dom.
subtile alchimie, où est la limite? chacun la sienne sans doute mais à mon sens tout ceci n'est que le penchant psychologique du masochisme, il me semble... 
 
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Ravi
Une chose que j'aimerais souligner dans votre réaction, Ravi et qui pousse ma réflexion est le fait de repousser ses limites dans l'humiliation. Il y a donc en retour, la satisfaction du Dom, d'une part et d'autre part les limites que les soumis-es sont prêts à franchir pour faire plaisir à son-sa dom. subtile alchimie, où est la limite? chacun la sienne sans doute mais à mon sens tout ceci n'est que le penchant psychologique du masochisme, il me semble...   
C'est sans doute juste. Concernant les limites, elles diffèrent bien sûr d'une personne à l'autre, et, comme la plupart des barrières individuelles, elles reculent lorsqu'on les touche. :smirk:
Par contre, la question côté Dom reste posée. Qu'est-ce qui va pousser quelqu'un à l'avilissement d'une autre personne, et quel bénéfice en retire-t-on ? 
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lyssandre
C'est sans doute juste. Concernant les limites, elles diffèrent bien sûr d'une personne à l'autre, et, comme la plupart des barrières individuelles, elles reculent lorsqu'on les touche. :smirk: Par contre, la question côté Dom reste posée. Qu'est-ce qui va pousser quelqu'un à l'avilissement d'une autre personne, et quel bénéfice en retire-t-on ? 
Pour hasarder une réponse, coté dom, Il me semble qu'en tant que bipède à position verticale ce qui nous caractérise est notre besoin d'amour, de reconnaissance...
pour simplifier: Le soumis le retire de la satisfaction de son dom (et probablement d'autres ressorts plus inconscients)
Le dom de se sentir vénéré, adulé (besoin du probablement à des ressorts inconscients...)
Dernière modification le 17/09/2023 13:01:51 par lyssandre.
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Christopher
Merci ravi pour ce témoignage. Niveau sexuel pour ma femme avez vous des idées par expérience ?  Elle rentre clairement dans une soumission avec humiliation zt aime ça je veux pas la décevoir. Mais humiliation sexuel seulement fait on vite le tour ? 
Pour ma part, je serai bien incapable de répondre . Non par manque d'idées mais parce que le terme "humiliation" m'a toujours semblait particulièrement flou, imprécis, couvrant un éventail de ressentis et pratiques très larges mais, surtout, particulièrement suggestif. 
En effet, certaine personne vont trouver qu'une simple levrette est humiliante alors que d'autres ne verront aucune humiliation dans un GB terminant par 20 faciales, douches dorées ponctuées de giffles. Je pense que le sentiment d'humiliation est propre à chacun et très différents d'une personne à l'autre. 
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Christopher
 J'ai dû un soir conduire ma compagne à une soirée (une soirée normale, amis, musique) et l'attendre dans la voiture garée devant le portail, vêtu très léger, mon collier bien en évidence, scruté par les arrivants et les partants. Trois heures de honte et de vide. Il me semble qu'à l'aune de cette illustration, l'humiliation se définit peut-être par la solitude qu'elle induit. Les pratiques les plus scabreuses peuvent ne pas être considérées comme humiliantes si elles se déroulent dans un contexte de mutualité. En revanche, être abandonné à des ordres doublés du désintérêt ou de l'absence du/de la Dom créé, à mon sens, un contexte psychique plus avilissant.
j'ai beau être dom et ne pas du tout aimer être soumis je ferai ce genre de choses, attendre 3 h dans une tenue ridicule, sans ressentir la moindre humiliation ni honte. Ça me ferait simplement beaucoup rire et je passerai mon temps en discutant avec n'importe qui étant un minimum sensible à mon auto-derision. 😂. Peut être est-ce le fruit d'une forte confiance en moi, d'une certaine assurance 🤷🏻‍♂️. Je ne sais pas mais je ne me suis jamais senti ridicule dans un costume ridicule... 
Dernière modification le 18/09/2023 00:34:50 par Christopher.
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Christopher
Pour hasarder une réponse, coté dom, Il me semble qu'en tant que bipède à position verticale ce qui nous caractérise est notre besoin d'amour, de reconnaissance... pour simplifier: Le soumis le retire de la satisfaction de son dom (et probablement d'autres ressorts plus inconscients) Le dom de se sentir vénéré, adulé (besoin du probablement à des ressorts inconscients...)
Mon Dieu! Quand je lis cette analyse, je ne vois aucun partage sincère, aucune complicité réelle, juste une sorte d'arrangement casi contractuel sur fond d'égoïsme... Le plaisir que je prends dans mes pratiques de dom n'existe que si ma partenaire en prend tout autant. Je ne conçois aucun plaisir autrement qu'étant le fruit d'un partage bienveillant tout en étant prévenant. Pour moi, ce plaisir ne peut naître que d'une relation humaine avant une relation DS ou SM. Ce ne sont pas telles ou telles pratiques qui déterminent mon plaisir mais ce partage complice. 
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Ravi
j'ai beau être dom et ne pas du tout aimer être soumis je ferai ce genre de choses, attendre 3 h dans une tenue ridicule, sans ressentir la moindre humiliation ni honte. Ça me ferait simplement beaucoup rire et je passerai mon temps en discutant avec n'importe qui étant un minimum sensible à mon auto-derision. 😂. Peut être est-ce le fruit d'une forte confiance en moi, d'une certaine assurance 🤷🏻‍♂️. Je ne sais pas mais je ne me suis jamais senti ridicule dans un costume ridicule... 
Imaginez donc qu'on puisse être soumis, pudique et timide ! :wink:
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Nombreux soumis réclament une humiliation, et la vivent parfois là où nous ne la voyons pas.
 
Le fait d'obéir à une femme place déjà le soumis dans cet état d'humiliation
 
Et dans la pratique, le simple fait que tu mettes un homme nu alors que tu resterais habillée, par exemple, enclenche cette vulnérabilité qu'il peut ressentir comme humiliante.
 
Mais la véritable humiliation est de lui faire sucer un gode à genoux devant la domina avant de le sodomiser en levrette.
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sylvie35
Imaginons. J'offre un petit cadeau à mon Maître. Oh, sans valeur, si ce n'est sentimentale, car j'y ai mis tout mon coeur dans ce petit truc. Il le reçoit avec indifférence, presque avec mépris. Et là, pour moi le monde s'effondre. La véritable humiliation c'est celle qui vous touche au plus profond. Ce n'est presque rien, un geste, un mot, une attitude, mais qu'est-ce que ça fait mal !
Il m'est arrivée d'être giflée en public. Certes, pas dans n'importe quel contexte, mais quand même... Oui c'est extrêmement humiliant sur le coup. Mais on n'est pas du tout dans le même registre.
La véritable humiliation est cruelle et je ne crois pas qu'elle puisse s'immiscer dans une relation bdsm saine, du moins pas volontairement. Un Maitre digne de ce nom fait très attention à cela.
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Neilerio
Sujet omniprésent en BDSM et qui, pourtant, me pose toujours un problème : je n'aime pas humilier. Paradoxe pour moi alors que j'apprécie de faire vivre certaines situations humiliantes, mais rabaisser un homme ou une femme juste pour dégrader ne me plait pas. Je "jouerai" beaucoup plus sur l'humilité, en rabaissant l'égo du soum face à moi, cette voie là m'attirera davantage. Mais "fracasser" du soumis en le forçant à devenir cette chose humiliée, rampante, avilie, déshonorée (ces mots là sont des mots de soumis), j'ai du mal. Et pourtant, que d'hommes soumis espèrent vivre ces situations là ! Fantasmes ? Désirs réels ? Expériences déjà vécues avec envie de les revivre ? Pourquoi ce désir de vivre une humiliation ? Parfois même, un besoin. Que vous apporte ce rabaissement ? Il vous permet de franchir une porte en vous, mais laquelle ? Et elle ouvre sur quoi, cette porte ? Parce que, bien-sûr, je parle d'humiliation consentie, celle qui est au cœur de la demande du soumis, et si je masculinise le propos, c'est parce que je vois beaucoup moins d'attirance pour l'humiliation chez les femmes soumises : je me trompe ou pas ? Et quid aussi, de l'humiliation non consentie ? Ou non attendue ? Celle qui vous est tombée dessus, quelle qu'en soit la pratique, soft ou non, où vous vous êtes sentis vraiment humiliés ? Autre interrogation : que vous apporte ce besoin d'humilier, Mes Dames et Messieurs les doms ? Pourquoi ce besoin de puissance se transforme t'il en besoin de rabaisser l'autre ? C'est une vraie question et pas un jugement bien-sûr ! La question peut être inversée, d'ailleurs : le besoin de rabaisser qui se transforme en une surpuissance lorsque le soum est à terre, physiquement, moralement, sexuellement ? Pour les doms donc, ne pouvez-vous dominer qu'en humiliant l'autre ? Et à propos de sexe, l'humiliation est-elle toujours érotique ? Certains hommes disent ne pouvoir être sexuellement excités qu'à travers l'humiliation : ok, je ne vous demande pas de vous allonger sur le divan, ce n'est pas le bon moment. Mais ces hommes là, ne peuvent trouver de partenaires à leur "goût" que par la soumission car peu de partenaires lambda vanilles, aiment humilier leur conjoint. Pas simple à analyser et à comprendre, ces besoins. L'humiliation, live et/ou à distance, puisque cette pratique peut très bien se réaliser au téléphone par exemple, est-elle un élément constant dans votre soumission ? Et la vivez-vous en privé ou en public ? J'entends "public", en clubs par exemple, avec des personnes initiées. Pas au milieu du square ou au super-market en faisant les courses (quoique, je l'ai fait vivre à un soumis, ce fut fort agréable, pour moi !!:smiling_imp:) Beaucoup d'écrits ont été publiés sur l'humiliation, les avis et désirs sont très personnels parfois mais toujours intéressants : il ne s'agit pas de cataloguer et de mettre une note sur ce qui est le plus humiliant, mais bien d'échanger sur les frissons produits, et sur la non-attirance voire le rejet total de l'humiliation, de comprendre aussi pourquoi elle est différente entre les hommes et les femmes.
Où commence l'humiliation pour toi ? qu'est ce que l'humiliation ? l'humiliation dans le bdsm existe t elle vraiment ?
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Christopher
Imaginons. J'offre un petit cadeau à mon Maître. Oh, sans valeur, si ce n'est sentimentale, car j'y ai mis tout mon coeur dans ce petit truc. Il le reçoit avec indifférence, presque avec mépris. Et là, pour moi le monde s'effondre. La véritable humiliation c'est celle qui vous touche au plus profond. Ce n'est presque rien, un geste, un mot, une attitude, mais qu'est-ce que ça fait mal ! Il m'est arrivée d'être giflée en public. Certes, pas dans n'importe quel contexte, mais quand même... Oui c'est extrêmement humiliant sur le coup. Mais on n'est pas du tout dans le même registre. La véritable humiliation est cruelle et je ne crois pas qu'elle puisse s'immiscer dans une relation bdsm saine, du moins pas volontairement. Un Maitre digne de ce nom fait très attention à cela.
Je n'ai rien lu de plus lucide et sensé! Merci beaucoup pour votre pertinence. ❤️
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Christopher
Où commence l'humiliation pour toi ? qu'est ce que l'humiliation ? l'humiliation dans le bdsm existe t elle vraiment ?
BDSM est un diminutif de BDDSSM(H). Bondage Discipline Domination Soumission Sadisme Masochisme (Humiliation). Le H de Humiliation étant à placer là où le/la soumis(e) estime être le bon endroit pour indiquer son appétence ou son rejet de l’humiliation. Donc oui. 
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Christopher
Nombreux soumis réclament une humiliation, et la vivent parfois là où nous ne la voyons pas.   Le fait d'obéir à une femme place déjà le soumis dans cet état d'humiliation   Et dans la pratique, le simple fait que tu mettes un homme nu alors que tu resterais habillée, par exemple, enclenche cette vulnérabilité qu'il peut ressentir comme humiliante.   Mais la véritable humiliation est de lui faire sucer un gode à genoux devant la domina avant de le sodomiser en levrette.
Vous savez, pour le mâle alpha, une phrase de 7 mots suffit à le castrer: "Mon ex en a une plus grosse"
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Maestro46
Bonjour.
Interessant les retours.
Effectivement c'est propre á chacun!
Pour ma part L'humiliation se fait uniquement dans la chambre avec un caractere sexuel le plus souvent, bondage et ou positions. Pas de Pets ou Cage egalement.
Je ne pourrai pas l'humilier en public, c'est ma femme, la mere de mes enfants et le BDSM demarre quand les filles sont couchées ou elle mets son collier.
En d'autre termes beaucoup de respect la journée car le soir c'est souvent intense avec qq sub á gerer maintenant. Donc la journée c'est calin et qu'elle sente que tout est normal.
A mon sens je suis donc sadique mais avec le l'empathie. Ma femme maso et elle sait qu'elle aime ça mais a besoin d'etre considéré. Une relation que je juge saine.
Pour le partage, quelques humiliation que je pratique :
- facial de tt genre.
- bondage humiliant 
Punition :
se masturbe dans un coin et moi qui l'insulte par derriere avant de la baiser contre le mur quand elle aura jouis seule comme une chienne.
Par terre avec la boule dans la bouche et je gicle sur elle.
Je la baise et gicle sur elle apres elle se masturbe jusqu'a orgasme en me demandant l'autorisation sans me regarder avec mon sperme sur elle.
Ensuite des séances divers et varié ou c'est ma chienne par exemple apres une bonne preparation ( position de soumise prelimimaire bdsm etc ) elle termine main dans le dos bien attaché et relier a une poutre au plafond , tete contre le lit et sodomie ... et ensuite avec une autre corde je prepare un baillon que je lui mets dans la bouche par la suite ou je tire legerement la corde en la sodomisant.
Si vous avez des idées dans ce style je suis preneur haha.
 
 
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Maestro46
bonjour, je relance le topic
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Je suis tombé sur ce topic en cherchant réponse à mes questions sur l'humiliation.
Dans le 1er texte de Lady Spencer il n'y a que des questions. Je n'étais pas plus avancé voire avec encore plus de questions. Alors j'ai tout lu, même les hors sujet. J'arrive à la fin. Alors? C'est étrange comme nous sommes différents. En gros je me reconnais dans 20% des commentaires et je suis généreux. Et mes questions, celles de Lady Spencer? Aucune réponse; sauf à admettre le JE que je suis. Aucun Freud ou Lacan ici? Je suis comme ça, j'aime être soumis à une femme, j'aime être humilié par des femmes. Pourquoi ? Mystère. Ça a été dit: nous sommes le résultat de l'histoire de l'humanité. Réponse trop vague qui ne m'avance à rien. 
J'ai dit 20%. Sauf que je n'ai pas retrouvé certaines de mes opinions (reste à prouver un jour le contraire):
- qu'être humilié ne se vit qu'une fois. Tiens comme un vaccin. Oui, maintenant, en face d'une domina qui me domine par des sévices de toutes sortes et qui sait que je suis soumis, je trouve ça normal;
- que si j'avais été prévenu je n'aurais pas été humilié ;
- que l'humiliation ne peut exister qu'en présence d'un public non bdsm. Une seule personne suffit;
- Qu'être dominé/humilié par un homme ça ne fonctionne pas mais pas du tout sur moi;
- Comme l'a dit Lady Spencer: nombreux sont les soumis qui demandent à être humiliés. Oui, j'aimerais l'être à nouveau mais réunir les conditions que je viens d'énumérer est impossible. Dommage. 
Beaucoup (80%) d'entre vous ne fonctionnent pas comme ça. Pourquoi ? Tout le monde aime les fraises, non?
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Christopher
 Beaucoup (80%) d'entre vous ne fonctionnent pas comme ça. Pourquoi ? Tout le monde aime les fraises, non?
  Peut-être que la fraise n'est pas une bonne comparaison. Certains goûts se forgent avec le temps, l'expérience, l'expérimentation ou même l'apprentissage (ces trois derniers pouvant être sociaux et pas seulement individuels). Dans ce cas ils diffèrent beaucoup d'une personne à l'autre. Le cigare, le vin, les alcools et liqueurs sont peut-être de meilleures analogies. 
Dernière modification le 17/01/2024 02:09:55 par Christopher.
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Athéna 32
Le sujet est vaste et je n'ai pas tout lu excusez moi. 
L'humiliation sexuelle 'consenti' ne pose pas de problème je pense, là où les problèmes commencent c'est lorsque l'humiliation est servie de façon insidueuse afin de soumettre, afin de l'ammener à être totalement controlé et controlable sans que son consentement n'est été obtenu. Dan ce cas, il s'agit pour moi de manipulation. La frontière pour certains pseudo "Dom" peu être ténue. Et les repercussions psy très importantes pour le sujet. Donc l'humiliation pour ma part, pourquoi pas mais il faut absolument qu'elle soit contenue dans le temps et sous forme de "jeu" par exemple, l'après est très important, si le sujet n'arrive plus à reprendre sa place de partenaire à part entière c'est que c'est aller trop loin.
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Christopher
...pseudo "Dom" .
Vous avez tout dit. Ceux-ci pratiquent une l'humiliation destructrice et ont un but malveillant de base. La conséquence est d'être dévalorisé, rabaissé, écrasé. L'humiliation bienveillante est consentie, discutée, convenue, mesurée et contrôlée effectivement et conduit à une élévation . 
Dernière modification le 17/01/2024 08:04:42 par Christopher.
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Angélique
Me voilà de retour sur ce fil 
 Je suis tomber sur quelques spécimens qui n'on pas apprécié que je donne mon avis à moi sur une situation. Et vu que mon avis ne convenait pas on m'a reprocher de ne pas être ouverte d'esprit de déshonoré le statut de soumise et d'esclave ou alors de rester à ma place... une soumise n'a pas à parler comme ça . Donc j'ai été dénigré humilié par des "dom" "maître" "domina" je me suis défendu parce que je suis pas du genre à me laisser faire .  J'ai arrêter d'afficher le statut de soumise depuis plusieurs mois parce que je ne le suis que avec les personnes à qui je consens de l'être. J'ai eu une grosse réflexion au sujet de l'humiliation de se soumettre à qui je me soumet et pourquoi ? J'ai pas fait les bon choix par le passé... à l'heure d'aujourd'hui si je me soumet c'est par envie et à une personne en qui j'ai confiance avec qui je sais qu'elle me rejoindra pour m'aider à me remettre au même niveau. Quand il y a cette relation de confiance toute pratique d'humiliation peut être sources de plaisirs voir même de communion. Pour l'élévation c'est une manière de se biaisé soi même pour donner une symbolique plus noble à là choses et même la rendre plus excitante suivant la sensibilité de chacun et l'attrait. J'aime sortir de mes zones de confort je suis dans une période où j'ai des envies de "sale" redécouvrir les odeurs le goût la texture de mon corps et du corps de l'autre. Et des pratiques qui vont avec  peut être des envies plus animal plus primaire un besoin de retourner vers les bases ça reste des envies qui rentre dans la catégorie dégradante bien que je n'y vois rien de dégradant ... je sais pas si ça fait avancé le débat ...  
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Christopher
Me voilà de retour sur ce fil   Je suis tomber sur quelques spécimens qui n'on pas apprécié que je donne mon avis à moi sur une situation. Et vu que mon avis ne convenait pas on m'a reprocher de ne pas être ouverte d'esprit de déshonoré le statut de soumise et d'esclave ou alors de rester à ma place... une soumise n'a pas à parler comme ça . Donc j'ai été dénigré humilié par des "dom" "maître" "domina" je me suis défendu parce que je suis pas du genre à me laisser faire .  J'ai arrêter d'afficher le statut de soumise depuis plusieurs mois parce que je ne le suis que avec les personnes à qui je consens de l'être. J'ai eu une grosse réflexion au sujet de l'humiliation de se soumettre à qui je me soumet et pourquoi ? J'ai pas fait les bon choix par le passé... à l'heure d'aujourd'hui si je me soumet c'est par envie et à une personne en qui j'ai confiance avec qui je sais qu'elle me rejoindra pour m'aider à me remettre au même niveau. Quand il y a cette relation de confiance toute pratique d'humiliation peut être sources de plaisirs voir même de communion. Pour l'élévation c'est une manière de se biaisé soi même pour donner une symbolique plus noble à là choses et même la rendre plus excitante suivant la sensibilité de chacun et l'attrait. J'aime sortir de mes zones de confort je suis dans une période où j'ai des envies de "sale" redécouvrir les odeurs le goût la texture de mon corps et du corps de l'autre. Et des pratiques qui vont avec  peut être des envies plus animal plus primaire un besoin de retourner vers les bases ça reste des envies qui rentre dans la catégorie dégradante bien que je n'y vois rien de dégradant ... je sais pas si ça fait avancé le débat ...  
 
 
Nous sommes des Humains avant d'être des soumis(e)s ou des dom. Des Humains plein d’humanité, constituant l’Humanité et ayant des RELATIONS HUMAINES avant tout. 
Nous sommes des Personnes avec nos propres personnalités et ayant des RELATIONS INTERPERSONNELLES. 
Nous sommes des Individus qui ont le droit d’être respectés et le devoir de respecter les autres lors de nos RELATIONS CONSENSUELLES. 
Nous sommes des Femmes, Hommes, Trans, Trav, Non-Binaires ou bien d'autres qualificatifs ayant des RELATIONS SOCIALES et nous constituons la/une/les/des civilisation(s). 
Tout ceci avant d'être d/s et avant d'envisager une quelconque RELATION D/S. Là seulement, c'est le/la soum qui choisit son/sa dom. Pas l'inverse. Ce dernier n'a que le pouvoir de l'accepter en le/la mettant éventuellement à l'épreuve avant ou de refuser. Avant ça, personne n'a à se comporter comme dom. 
Dernière modification le 18/01/2024 01:35:52 par Christopher.
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hello Lady spencer
pour moi il y'a une petite note qui fait que j'h'umilie une femme ,
1)c'est à condition qu'elle aime çà ou que j(y lui fais prendre goût 2) c'est sur sa demande , dans le cas 1)  je n'ai parfois pas réussi à aller jusqu'où me demandait , une femme sûres d'elle,  féministes plaisir décuplé, comme une revanche fantasmée,dans le cas 2) c'est mon cerveau reptilien  qui laisse aller son côté Alpha, machiste, sadique, 
dans mon expérience, de maitre je devais  tellement m'occuper de "ma servile", que je me demandais si ce n'est pas une forme de servilité que de soumettre Lol
Soyez la première personne à aimer.
Derek
Discussion intéressante.
Pour moi l'humiliation est mentale et c'est un mets de circonstance rollistique. C'est donc quelque chose de vrai puisque réellement et pleinement ressenti, mais qui comme l'a dit Sylvie, ne touche pas au plus profond. Cela ne doit pas blesser la personne. C'est un gros décapage de l'égo, de trash talk, qui doit proccurer un immense plaisir.
Tout est possible tant que l'écart entre l'acte en réalité et le "après" reste acceptable pour les deux. Aftercare exclus. Cela doit être acceptable même tout juste après l'activité. Sinon la pente est trop dure à remonter, malgré l'aftercare. Donc la limite c'est "tanguer un peu" et que l'aftercare vienne reconsolider tout ça. C'est le bon équilibrage. Cela ne doit pas cacher la montée en puissance de choses de plus en plus trash, qui masquerait aussi finalement un non sens relationnel, ou les deux finiraient par se perdre. Mais c'est aussi complexe par le fait que des gens au DEBUT d'une relation ne feront pas les mêmes choses que plus tard. Cela peut monter en puissance par la confiance. Moi mon repère c'est que la soumise continue de prendre du plaisir avec même les choses simples du début. Si c'est le cas, alors il n'y a pas d'exagération du procédé.
Donc l'humiliation doit être utilisée quand elle mets les personnes dans certains états de jouissance absolue, ou comme teasing de malmenage. Tout en sachant que derrière, le dom n'est pas vraiment quelqu'un qui est là pour faire mal, mais pour faire du bien, MAIS qui va prendre un chemin détourné pour créer une  zone de soumission psychologique et/ou sexuelle.
C'est tordu mais exactement ce qui doit se produire. Donc quand je dis que c'est mental, c'est que ça doit avoir du sens. Sens intellectuellement et sensoriellement. Et pour ça, cela nécessite une grande connaissance de l'autre car il faut viser juste. Y'a des doms inaptes à produire ce genre de résultats. Le truc de l'os de Tindalos est un bon exemple. On flirt le pet play, qui pour le coup, ne m'a jamais trop attiré. Si j'animalise une soumise, l'intention doit être bien plus grande que ça, dans le sens profond que je lui donne. Faut être un peu vicelard, sadique, essentiellement dans les mots, dans le ton qui est pris... Tout comme il y a divers niveaux selon moi. Qui part du fait d'être malmener. Pour cerains c'est déjà de l'humiliation, jusqu'à des choses plus avancées. Et ce n'est pas qu'un déroulé, la soumise doit y adjoindre sa propre participation, son propre actage de cette humiliation, c'est encore plus fort ainsi.
Y'a des gens pour qui s'est innés et qui plie instantanément tout homme ou femme soumise. Moi je sais que faire progresser quelqu'un dans l'humiliation me proccure un énorme plaisir. Mais je suis incapable d'en prendre si la soumise ne me suis pas totalement. Ce qui m'amène souvent à délayer ce programme à plus tard, en restant soft sur ce point, pendant assez longtemps. Mais j'avoue que mon péché mignon est les fille au gros égo qui mouille rien qu'à cette simple idée qu'on les "resitue"... : p
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Maestro46
Et dans la pratique que faites vous tous?
Ma femme soumise aime de plus en plus.
Je peux l'attacher a un radiateur et lui balance un god.
Je peux lui faire une facial la mettre par terre et qu'elle se masturbe jusqu'a orgasme.
Je peux la punir au coin.
Je peux la faire dessiner et si elle dépasse, je la punis.
Etc 
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Angélique
Et dans la pratique que faites vous tous? Ma femme soumise aime de plus en plus. Je peux l'attacher a un radiateur et lui balance un god. Je peux lui faire une facial la mettre par terre et qu'elle se masturbe jusqu'a orgasme. Je peux la punir au coin. Je peux la faire dessiner et si elle dépasse, je la punis. Etc 
Si vous chercher des idées d'humiliation faudra je pense que vous ouvriez un nouveau fil de discussion celui ci n'a pas but à donner une liste de pratique humiliante... cordialement.... 
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