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BDSM La sodomie du soumis et de l’esclave Il existe mille façons pour une Maîtresse de prendre son soumis ou son esclave, de l’enculer, de le sodomiser. Il peut s’agir d’une punition ou au contraire d’un moment de plaisir partagé, d’une sorte de récompense pour le soumis, parfois aussi, mais, dans un cas comme dans l’autre, c’est surtout le moment privilégié durant lequel la Maîtresse va symboliquement affirmer son pouvoir sur le soumis : elle devient le mâle, lui devient une femelle. 1. Les milles et un visages de la sodomie Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie en portant un plug anal dont la taille augmente généralement avec le temps. La durée de port change, elle aussi, en fonction des ordre de la Maîtresse. A ce stade, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui. Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectif de faire avaler à leur soumis des godes ou des strap-on de plus en plus gros et utilisent les plugs (parfois gonflables). On entre alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques extrêmes font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes. Une fois, l’orifice préparé, la Maîtresse dispose de dizaines de façon de prendre son soumis. A l’aide d’un gode ou d'un gode-ceinture, en levrette ou face à face, par elle-même ou en ordonnant au soumis de s’enculer sous ses yeux. Elle peut le prendre habillée ou nue, lui ordonner de baisser simplement son pantalon et le prendre directement sur la table du salon ou, au contraire, entourer la sodomie de rituels préétablis. Elle peut enfin, tout à loisir, ordonner au soumis de couiner quand elle l’encule ou au contraire lui intimer de se taire ou même le bâillonner. C’est l’imagination et la symbolique que la Maîtresse veut donner à cette pratique qui sont les chefs-d’orchestre de la « cérémonie », chaque Dominatrice et chaque soumis a donc sa propre expérience de ce rituel incontournable des rapports D/s. Les milliers de vidéos disponibles sur Internet montrent à ceux qui auraient envie de pratiquer la sodomie, toute l’étendue des possibilités, il n’est donc pas nécessaire, et surtout impossible;-) d’en dresser ici le catalogue exhaustif. 2. Une symbolique essentielle Certaines Maîtresses – rares – refusent de sodomiser leurs soumis, elles n’y prennent pas de plaisir, mais dans l’immense majorité des rapports D/s la sodomie provoque un plaisir partagé par la Maîtresse et par le soumis. Il existe bien d’autre pratiques SM dans lequel le plaisir est tout aussi partagé mais aucune d’entre elles – si l’on excepte les punitions – ne porte en elle une telle charge symbolique. Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomisé soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ». C’est aussi la raison qui explique que les préparatifs de la sodomie soient fréquemment ritualisés : Le soumis est très souvent obligé de fixer le gode-ceinture sur sa Maîtresse et de sucer sa queue avant d’être pris, puis de présenter convenablement son cul : à poil, épaules à terre, cul bien relevé, jambes écartées – afin qu’elle puisse s’introduire en lui plus facilement. Être symboliquement cantonné au rôle habituellement tenu par la femme dans l’acte hétérosexuel et aiment être sodomisés, pour la plupart d’entre eux, ne signifie pourtant pas que les soumis libèrent ainsi un désir homosexuel refoulé. Ce peut-être le cas parfois, bien entendu, mais pour l’immense majorité des hommes soumis être sodomisé ne peut se concevoir que si c’est leur Maîtresse, ou une autre Dominatrice, qui le fait. 3. Le sort particulier de l’esclave Dans leur immense majorité, soumis comme esclaves connaissent donc les joies de la sodomie, toutefois le sort réservé aux esclaves gynarchiques diffère parfois profondément de celui – plus enviable – que les Maîtresses réservent aux « simples » soumis. Comme dans toutes relation D/s, la sexualité de l’homme est réorientée vers la satisfaction du plaisir féminin, mais dans la relation gynarchique cette réorientation est souvent beaucoup plus radicale que dans une relation SM ou D/s moins élaborée. Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices gynarchistes peut avoir plusieurs finalités. Réalisée le plus souvent , elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul et très souvent il n’est même pas autorisé à couiner. Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse gynarchique n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes , l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.
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Bonjour,
J'ai déjà vu le même message sur un blog. Il serait bien de citer vos sources si je ne me trompe pas.
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#2
Quel blog ?
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Tindalos
#3
Là par exemple : https://www.maitresse-dolores-bdsm.fr/bdsm/la-sodomie-homme-soumis-et-esclave/ Et vous avez déjà posté le même texte dans un groupe : https://www.bdsm.fr/sexe-anal/wall/comment-id_39755 Personnellement, je n'accroche tellement pas à ces textes tellement réducteurs, qui véhiculent encore et toujours les mêmes clichés qui tendent à faire croire que les relations BDSM ne sont qu'un enfilage de poncifs à décalquer.
Dernière modification le 21/08/2023 15:59:31 par BDSM.
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Ce qui me dérange encore plus c'est que vous avez également proposé ce texte comme article alors qu'il est bien précisé que faire des copier coller de textes venant d'autres sites est interdit pour des raisons de droits d'auteur :
Auteur : Soumis Jean, volontaire pour la rédaction de cet article
Sous la validation de Maîtresse Dolores
À moins que vous ne soyez Soumis Jean ou Maîtresse Dolores, ce texte ne vous appartient pas.
Je suis également d'accord avec Tindalos sans poulpe sur le contenu mais c'est une autre histoire.
Dernière modification le 03/07/2022 01:42:43 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Lady Spencer
#5
Et si l'on "voyait" la sodomie comme un réel plaisir sans lui reflanquer de la "supériorité" et du "un bon soumis est un soumis sodomisé" ?
La sodo pour donner du plaisir à l'autre, quel que soit son genre, la sodo pour jouir de ce plaisir là soi-même.
Le Q est une zone érogène bien mal connue finalement.
ps : le texte en copié-collé est juste illisible puisque non repris en ponctuations
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Lady Spencer, ma vision de soumise de ce texte est la même que celle de Tindalos sans poulpe.
C'est bourré de stéréotypes et la relation D/s y perd toutes les notions de respect et j'oserai dire de consentement, qui font son essence, au vu de la tournure des phrases.
Je vous rejoins sur votre vision de la sodomie, donner et trouver du plaisir sans notion de genre et sans vision dégradante pour prouver une supériorité.
La relation D/s est tellement plus belle et plus authentique quand elle est vue ainsi.
On en revient à votre questionnement sur l'humiliation gratuite en BDSM ou au questionnement de Carpo sur le pipi assi.
Le rapport D/s est un échange consenti, un don de soi des deux côtés, l'un n'est rien sans l'autre.
Ce type de texte est tellement réducteur, comme l'écrit Tindalos, qu'il nous fait oublier l'essentiel le plaisir de cette relation.
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Laidy Sienne
#7
Personnellement, étant un peu une "ayatollah" de la qualité de l'écriture, j'ai le plus grand mal à lire ce texte.
Et donc à y apporter mon commentaire ....
Bonne semaine à toutes et tous !
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Lady Spencer
#8
Tu peux le lire via le lien de Tindalos.
Tu peux aussi, ne pas le lire.
Tu fais ça que tu veux !:heart_eyes:
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Scorpionnes
#9
Bonjour, je vous remercie de m'avoir résumé et expliquer ce texte que je n'avais pas du tout envie de lire... j'ai les yeux fragiles lol mais oui pour moi le BDSM est avant tout un échange et du feeling.. Un plaisir partagé
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Switcher
#10
Quelle qualité d'écriture ???
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Switcher, c'est un pavé, les phrases se suivent toutes, il n'y a aucun paragraphe.
Voir le message de Lady Spencer : "ps : le texte en copié-collé est juste illisible puisque non repris en ponctuations".
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ange de Vesper
#12
C'est purement du fantasme de prétendant soumis imaginant le pourquoi et le comment d'une espérée fixation d'une domina sur l'éducation de son fondement. Ça va quand même jusqu'à expliquer que dans la relation gynarchique, la réorientation du plaisir se fait exclusivement vers le plaisir de la femme... donc on encule l'homme au gode ceinture... Fascinant.
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MENTAL
#13
conclusion : ce genre de texte, ça va, ca vient ...
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MENTAL
#14
Quelle qualité d'écriture ???
pas la tienne en tout cas !
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