J'admire ma petite Soumoureuse pour sa ténacité, dans une vie qui a été rosse avec elle, quand elle continue à faire sa maligne en sachant ce qui l'attend, quand elle subit ce que je lui inflige et revient vers moi le lendemain (parce qu'elle se couche fâchée) avec le sourire.Je ne dirais pas que j'aime être admiré, je n'aime pas l'admiration béate, je préfère qu'on me pousse dans mes retranchements. Mais j'aime une certaine forme de vénération un peu cérémonielle de certaines parties de mon anatomie. Bon, OK, la bite er les couilles. Ça, j'aime l'admiration de ma soumise là-dessus. Pas qu'elles soient d'une taille exceptionnelle, mais ma soumission passant par le sexe, il me semble important que celui-ci soit respecté.Et puis, récemment, une nouvelle forme d'auto-admiration sur notre parcours, la place qu'on se fait ensemble dans le milieu, les soirées, les rencontres. Alors on évite de laisser tout ça nous monter à la tête, il faut rester humbles, ce sont nos premiers pas, nous ne sommes pas des cadors du milieu et n'aspirons pas à le devenir, mais bon, nous sentons bien, qu'après avoir été en sommeil socialement pour cause de COVID, nous arrivons à rejoindre le circuit, en plusieurs endroits, et que ça nous fait plaisir de voir que le temps investi à constituer un réseau fini par payer. Qu'outre nos quelques amis et connaissances dans notre secteur étendu, nous pourrons toujours trouver quelqu'un pour boire un café aux 4 coins de la France.
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