Un étau à testicules, également connu sous le nom de "ball crusher" ou "ball clamp", est un dispositif BDSM utilisé pour appliquer une pression aux testicules, par exemple en guise de punition. Il est généralement utilisé dans les jeux de CBT (cock and ball torture) pour infliger une douleur contrôlée aux testicules. Voici comment cela fonctionne et ce que cela implique :

Description de l'appareil :

Un étau à testicules est généralement constitué de deux plaques plates, souvent en acrylique ou en métal, reliées par des vis ou des boulons. Les testicules sont placées entre ces plaques, et en serrant les vis, une pression est appliquée sur elles.

Utilisation :

  1. Préparation : Avant d'utiliser l'étau, il est essentiel de s'assurer que les testicules sont détendues et pendantes, ce qui facilite leur placement dans l'appareil.

  2. Placement : Les testicules sont soigneusement placées entre les deux plaques de l'étau.

  3. Application de la pression : Les vis ou boulons sont progressivement serrés, appliquant une pression sur les testicules. La quantité de pression peut varier selon le niveau de tolérance à la douleur de la personne soumise et les désirs du dominant.

  4. Durée : La durée pendant laquelle l'étau est laissé en place peut varier. Certains peuvent l'utiliser pour une courte période, tandis que d'autres peuvent le laisser en place plus longtemps, en ajustant la pression de temps en temps.

Sensations et objectifs :

L'utilisation d'un étau à testicules peut provoquer une gamme de sensations, de la tension légère à la douleur intense. L'objectif est souvent d'explorer les limites de la douleur et du plaisir, d'accentuer la sensation de soumission, ou simplement de jouer avec la douleur dans un contexte érotique contrôlé.

Précautions :

Comme pour toutes les pratiques BDSM, la sécurité est primordiale. Voici quelques précautions à prendre lors de l'utilisation d'un étau à testicules :

  • Communication : Il est essentiel de maintenir une communication ouverte entre le dominant et le soumis pour s'assurer que la douleur reste à un niveau acceptable.

  • Surveillance : Il faut surveiller attentivement les signes de détresse, de gonflement excessif ou de changement de couleur des testicules.

  • Ne pas trop serrer : Il est crucial de ne jamais serrer l'étau à un point où cela pourrait causer des dommages permanents.

  • Temps limité : Il est recommandé de limiter le temps pendant lequel l'étau est en place pour éviter les lésions ou les complications.

  • Connaissance des limites : Comme toujours dans le BDSM, il est essentiel de connaître ses limites et d'avoir un mot de sécurité en place.

L'utilisation d'un étau à testicules, comme toutes les pratiques BDSM, nécessite une confiance mutuelle, une communication ouverte et une connaissance approfondie des techniques et des risques impliqués.

Exemple d'étau à testicules (commande possible)


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Carpo
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Ma Maîtresse a, parmi ses équipements de répression, un étau à testicules proche de celui de l'image ci-dessous, qu'elle a utilisé à deux reprises sur moi.
Avant notre premier essai, j'étais très impressionné par l'appareil, car je savais que cette partie de mon corps peut être très sensible. Ce premier essai "de curiosité" fut modéré en intensité, mais il a confirmé que les effets de l'objet sont intenses. Notamment le type de douleur engendrée est bien particulier par comparaison à d'autres douleurs comme celles liées à des jeux d'impact. Dans ces jeux tels que j'ai pu les pratiquer jusqu'à présent, j'arrive plus ou moins à mettre une certaine distance entre la douleur reçue et moi-même, comme si la douleur se produisait à la porte de mon être. Mais l'étau semble créer une douleur plus intérieure et plus immédiate que je sens difficile à éloigner. J'ai pourtant porté des lests assez régulièrement, fut un temps, mais c'est ici encore différent.
La conclusion de ce premier essai était que l'objet était idéal pour une punition efficace, notamment par son effet dissuasif. Un jour de remontrances, ma Maîtresse m'avait menacé de l'utiliser si je récidivais, et la simple menace m'a mis dans un curieux état de grande excitation sexuelle (pas besoin de vous faire un dessin) spontanée et involontaire.
Le jour de la punition est malheureusement arrivé (parmi tous mes défauts, j'ai celui très pratique pour une Maîtresse d'être étrangement très étourdi sur certains points). Ma Maîtresse m'a donc enserré à nouveau. La seule pensée de me retrouver pris ainsi m'a à nouveau excité fortement même si j'avais la boule au ventre. La douleur fut forte mais c'est elle qui a mis un terme à l'opération, le but de la punition étant atteint. L'aspect du corps lors de l'écrasement l'a aussi incitée à ne pas pousser plus loin.
Avez-vous déjà pu tester ce dispositif en tant que soumis ou personne dominante ? Qu'en avez-vous penser ?
Au-delà de ce que dicte le bon sens (qui devrait déjà commencer par faire jeter au loin l'appareil, j'en conviens...), y-a-t-il des précautions particulières à prendre en termes de pression ou d'épaisseur, de durée de port ? 
Thèmes: soumission, punition
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