Et si c'était juste une nécéssité?
Je m'explique.
J'ai découvert ce genre de relation classiquement, à l'age de 14 ans en lisant le roman "Histoire d'O" et en voyant sur Newlook des femmes sous kenkaku...
Autant vous dire l'effet sur un ado de 14 ans...
Et, même si j'ai pratiqué assez tardivement, (j'avais 30 ans, mais une toute autre époque et vison du BDSM!) c'est pour moi une nécéssité...
Je passe sur le coté "dominants" qui confondent dominer et s'agiter, gueuler pour un oui ou pour un non mais qui brassent du vent...
Je suis très loin des clichés.... Et c'est l'un de mes paradoxes....
Dans la vie de tous les jours, je n'ai aucune revanche à prendre sur la gente féminine....
Je suis même plutôt, patient... Et je suis absolument contre l'esclavage subit...
Mais oui, j'ai un besoin de ce genre de relation, tout comme certaines ont aussi besoin de ce genre de relation....
Il faut trouver son pendant, et ce, tout comme chaque relation vanille, mais avec la difficulté de trouver celui ou celle qui à sa folie complémentaire...
Mais chaque pot n'a t il pas son couvercle?
Il n'existe pas un seul BDSM, un seul type de relation, chaque Maîtres ayant ses psécificités, chaque soumises et esclaves ayant aussi les leurs, chaque relation est différentes y compris avec les réalités de la vie....y compris dans les relations extrêmes...
Reste que si c'est un besoin, une nécéssité, donc une part d'inné, il n'en reste que la posture de dominant peu aussi s'acquérir avec l'age, l'expérience, la psychologie humaine....
Mais avant tout, dans ce genre de relation, il faut avant tout que cela soit quelque chose que l'on ressent en soi, comme une évidence...
Reste aussi une question: quelle est la réelle maltraitance? tenir une femelle en laisse, lui donner des coups de cannes ou autre pour la punir, pour en jouir?
Ou ne pas lui offrir cela si elle est demandeuse, car ayant aussi un besoin d'obéir, de résistance, d'avoir des choses imposées....
Mais il n'y a nullement besoin d'être traumatisée pour...
Certaines en ont besoin, s'épanouissent dans ce genre de relations qui feraient bondir des néo-féministes....
Alors, la question peut se poser aussi pour elles? inné? acquis? et rajoutons-y la fameuse case du "traumatisme"...
N'est-ce pas au fond une chose que l'on ressent avant tout en nous?
Je m'explique.
J'ai découvert ce genre de relation classiquement, à l'age de 14 ans en lisant le roman "Histoire d'O" et en voyant sur Newlook des femmes sous kenkaku...
Autant vous dire l'effet sur un ado de 14 ans...
Et, même si j'ai pratiqué assez tardivement, (j'avais 30 ans, mais une toute autre époque et vison du BDSM!) c'est pour moi une nécéssité...
Je passe sur le coté "dominants" qui confondent dominer et s'agiter, gueuler pour un oui ou pour un non mais qui brassent du vent...
Je suis très loin des clichés.... Et c'est l'un de mes paradoxes....
Dans la vie de tous les jours, je n'ai aucune revanche à prendre sur la gente féminine....
Je suis même plutôt, patient... Et je suis absolument contre l'esclavage subit...
Mais oui, j'ai un besoin de ce genre de relation, tout comme certaines ont aussi besoin de ce genre de relation....
Il faut trouver son pendant, et ce, tout comme chaque relation vanille, mais avec la difficulté de trouver celui ou celle qui à sa folie complémentaire...
Mais chaque pot n'a t il pas son couvercle?
Il n'existe pas un seul BDSM, un seul type de relation, chaque Maîtres ayant ses psécificités, chaque soumises et esclaves ayant aussi les leurs, chaque relation est différentes y compris avec les réalités de la vie....y compris dans les relations extrêmes...
Reste que si c'est un besoin, une nécéssité, donc une part d'inné, il n'en reste que la posture de dominant peu aussi s'acquérir avec l'age, l'expérience, la psychologie humaine....
Mais avant tout, dans ce genre de relation, il faut avant tout que cela soit quelque chose que l'on ressent en soi, comme une évidence...
Reste aussi une question: quelle est la réelle maltraitance? tenir une femelle en laisse, lui donner des coups de cannes ou autre pour la punir, pour en jouir?
Ou ne pas lui offrir cela si elle est demandeuse, car ayant aussi un besoin d'obéir, de résistance, d'avoir des choses imposées....
Mais il n'y a nullement besoin d'être traumatisée pour...
Certaines en ont besoin, s'épanouissent dans ce genre de relations qui feraient bondir des néo-féministes....
Alors, la question peut se poser aussi pour elles? inné? acquis? et rajoutons-y la fameuse case du "traumatisme"...
N'est-ce pas au fond une chose que l'on ressent avant tout en nous?
Dernière modification le 17/04/2023 13:02:53 par VraiEsclavagiste.
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