Dans deux jours, ma Douce Soumise débutera une période de frustration de 15 jours, pendant laquelle elle sera privée de toute jouissance. Avant d'expliquer l'importance cruciale de cette étape, laissez-moi évoquer les raisons qui me poussent à lui imposer cette forme de chasteté.
Tout juste âgée de 41 ans, ma Douce Soumise est en proie au doute. Depuis qu'elle a commencé à explorer sa soumission à l'âge de 40 ans, elle ne se sent plus désirable et se considère comme "périmée".
Mon objectif a toujours été de la guider en douceur dans l'exploration de ses fantasmes, de la pousser à repousser ses limites et de l'aider à devenir la soumise qu'elle aspire à être. Jusqu'à présent, nous avons déjà franchi certaines de ces limites bien au-delà de ce que nous avions imaginé. Il y a moins d'un an, ma Douce Soumise pratiquait très rarement la sodomie ; aujourd'hui, elle est capable d'endurer un fist anal et d'y prendre plaisir. Elle n'avait également jamais avalé de sperme de sa vie, et maintenant, elle le réclame et ouvre grand la bouche pour recevoir mon nectar. Sans parler de l'uro, qu'elle ne connaissait même pas auparavant.
En résumé, en l'espace de 8 mois, j'ai réussi à transformer ma femme "vanille" en une véritable soumise épanouie, obéissante et prête à se soumettre totalement à mes désirs.
Un matin, dès son réveil, je lui ai demandé de s'inscrire sur Tinder et de créer un profil. Calmement, je lui ai annoncé que pour les 15 prochains jours, je souhaitais qu'elle rencontre un homme tous les deux jours. Parmi ces hommes, il devait y en avoir un dont elle n'aimait pas du tout le physique, ainsi qu'un homme de plus de 65 ans. Elle devait également coucher avec deux hommes lors d'une même journée. Ses consignes étaient claires : se rendre dans leur hôtel et les baiser comme une vraie pute, sans compromis. Pas de préliminaires, pas de rendez-vous avant ou après, juste du sexe brut. Dans la chambre d'hôtel, elle devait laisser son téléphone allumé pour que je puisse écouter. Après ces 15 jours de rencontres coquines, elle devrait subir 15 jours de frustration, plus deux jours supplémentaires pour chaque homme qu'elle n'aurait pas couché.
Cette demande l'a choquée. Ma Douce Soumise n'imaginait pas que je serais capable de lui demander une telle chose. Au début, elle a protesté, affirmant qu'il lui était impossible de coucher avec d'autres hommes puisque nous étions mariés, et que cela n'était pas envisageable. Il faut dire que ma Douce Soumise est jalouse, tandis que moi, je ne le suis pas du tout. Pour moi, il y a une différence entre faire l'amour et simplement baiser. De plus, depuis toujours, l'un de ses fantasmes était de se faire prendre par un inconnu dans une chambre d'hôtel. J'étais en train de lui offrir son fantasme sur un plateau d'argent.
Elle a fini par accepter, et son défi a commencé le jour même. En quelques heures, elle avait son premier rendez-vous avec un Canadien de 33 ans. Il faut dire que pour une femme, c'est extrêmement facile de rencontrer des hommes juste pour coucher. Elle s'est préparée à ce rendez-vous, s'est maquillée, coiffée, et a enfilé sa belle robe noire moulante. Elle était nerveuse ; en 14 ans de mariage, ma Douce Soumise n'avait jamais posé les mains sur un autre homme que moi. Je l'ai encouragée, ai trouvé les mots pour qu'elle ait le courage de franchir la porte. Je l'ai déposée à la réception de l'hôtel, puis je l'ai appelée pour pouvoir écouter tout ce qui se passait. C'était parti. Je l'ai entendue frapper à la porte, un hello nerveux. Ça y est, elle était dans la chambre d'hôtel, avec ce Canadien de 33 ans, musclé et vraiment bien foutu. Il faut dire que là où nous vivons, les touristes sont vraiment canons et musclés, pour la plupart ils viennent pour s’entraîner au Muay Thai de manière professionnelle.
Je les ai entendus discuter un moment, lui prenant une bière, et
après quelques minutes, les voix ont été remplacées par des bruits de bouche. Ils s'embrassaient, j'étais terriblement excité, excité de voir ma Soumise rester dans cette chambre, excité de savoir qu'elle réalisait un fantasme tout en dépassant ses limites grâce à moi. Les respirations ont augmenté en intensité et déjà j'entendais les premiers gémissements de ma Douce Soumise. J'arrivais à deviner ce qu'il lui faisait juste par les bruits. Il est en train de la doigter, je reconnais le bruit très distinct de ma Soumise quand elle mouille et qu'elle est excitée. Ça y est, il la pénètre, ses gémissements ne trompent pas, elle prend son pied. Malheureusement pour elle, le jeune homme a succombé trop rapidement à son charme. Il part prendre sa douche, je reçois un message. "Maître, c'était trop rapide, puis-je rester un peu pour un deuxième round ?" Ma Douce Soumise avait succombé au charme de l'adultère consentant. Je lui accorde et le deuxième round fut bien plus intense...
Pendant ces 15 jours, ma Douce Soumise n'a pas failli une seule fois. Parmi les hommes qu'elle a baisés, il y en avait quatre qui avaient du mal à la satisfaire : un Maître dominant expérimenté, dont je vous raconterai la soirée dans un autre récit, un homme de 64 ans, et un homme expert en libertinage qui a décidé de m'appeler en visio pour que je les regarde baiser. Ces 15 jours ont été vraiment très intenses. Ma Douce Soumise a vraiment repoussé ses limites. De plus, chaque fois qu'elle revenait d'un rendez-vous, je la baisais sans qu'elle ait le droit de se laver. Elle est passée par tout un tas d'émotions. Elle s'est sentie pute, désirable, sale, excitée, fatiguée, enjouée. Toutes ces émotions décuplées à 100% par l'adrénaline. Sa soumission n'a jamais été aussi parfaite. Je suis tellement fier de ma Douce Soumise...
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masque_gris
Belle progression de votre Douce Soumise qui doit vous combler tous les deux...?
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02/03/24
lasuccubebrat
C'est beau de voir le dépassement d'une personne
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1
02/03/24
Sacha3361
Cela va être dur pour elle et le premier rapport et la première jouissance après vont être libératoire !!
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03/03/24
"Le maître et la soumise apprendront l'un pour l'autre et l'un de l'autre. Pousser chacun aux limites de ses fantasmes et de ses désirs.🌹"
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La semaine dernière, j'ai enfin pris les devants. J'ai décidé de la punir sévèrement pour une faute qu'elle avait commise. Je lui ai exposé sa sentence sans détour : 40 coups de martinet, administrés avec vigueur pour sa désobéissance. Chaque coup était une démonstration de ma domination, un ballet sensuel mêlant autorité et désir. Chaque coup était comme une caresse interdite, lui rappelant qui était le maître. Après chaque coup, elle murmurait des remerciements, avide de plus.
Une fois les 40 coups infligés, je l'ai fait s'agenouiller face au mur, les mains derrière la tête. Prenant ma carte bleue, je l'ai plaquée contre le mur, détaillant la suite de sa punition. Elle devait tenir cette position pendant 20 minutes, en équilibre précaire, la carte pressée contre son front. Chaque fois que la carte tombait - et elle est tombée pas moins de 3 fois - 10 fessées supplémentaires venaient s'ajouter.
Pendant ces 20 minutes intenses, je l'ai tourmentée avec son vibromasseur et mes doigts, la conduisant au bord de l'extase à maintes reprises, sans jamais lui accorder le soulagement tant désiré. A chaque limite franchie, je marquais une pause, savourant le pouvoir absolu que j'avais sur elle. Malgré ses pleurs et ses supplications, j'ai persévéré, la guidant jusqu'au bout des 20 minutes. À la fin, épuisée mais comblée, je lui ai enfin permis de lâcher prise, de jouir sans retenue, avant de la laisser s'effondrer en larmes, submergée par la gratitude et la satisfaction.
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Les fesses ne sont pas vraiment marquées...sa peau est résistante ou vous l avez épargnée ?
Perso, je ne comprends pas 2 choses:
1) le coussin pour une punition.
2) lui permettre de jouir après une punition...
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24/02/24
Tout à fait, chacun à sa vision et c'est bien comme cela...
Mais pour moi, une punition n'est pas le plaisir d'utiliser sa soumise, dans laquelle "chaque coup était une démonstration de ma domination, un ballet sensuel mêlant autorité et désir."
Une punition n'est pas une "séance".... c'est une correction d'un comportement...
Un élève puni ne reçoit pas un bonbon après une punition...
Mais comme dit, chacun sa vision, et mon but n'est pas d'interférer dans votre domination, mais j''exprimais juste la mienne...
Oui, je comprends parfaitement. Aujourd'hui, j'ai suivi ces conseils et j'ai appliqué une punition différente. Contrairement à d'autres fois, je ne l'ai pas fait jouir à la fin, car la faute était plus sérieuse. Je reconnais que je prends parfois trop soin de ma Soumise, mais elle le mérite amplement. D'ailleurs, bien que la dernière fois je l'ai faite jouir, pour le moment, elle n'a pas répété son erreur.
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27/02/24
Et elle?
Qu'a-t-elle pensé de la différence?
Et avez-vous enlevé ce coussin? car nous sommes plusieurs à avoir fait la remarque
Maintenant, vous pouvez la faire jouir, mais lors de séances, en faisant après de "l'aftercare", autrement dit, la prendre dans tes bras, la câliner qu'elle redescende et reprenne ses esprits...
Au contraire! c'est même conseiller si je peux dire! autant pour l'un que pour l'autre, pour la fusion et le plaisir de chacun...
Mais une punition reste une punition...pas des séances....
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27/02/24
Je comprends ce que vous dites et je l'ai appliqué. Pour répondre à votre question, j'ai pris le coussin entre mes mains et me suis souvenu de votre remarque ; je l'ai alors reposé sur le lit. Après les 40 coups de paddle, elle a nettoyé les toilettes avec sa langue, puis je l'ai mise au coin pendant 20 minutes. Pour finir, elle m'a servi de table pour le repas.
Bonjour à vous maître Deepdom, bonjour à toutes et à tous. Joli texte que le vôtre, bien écrit, invitant l'esprit à vagabonder... cela dit cela ne correspond pas à la vision que j'ai de la punition et de ce qu'est une punition. Une punition est bel et bien une sanction infligée à la soumise ou au soumis en raison d'un manquement plus ou moins grave. Cette sanction est redoutée par la soumise mais désirée à la fois car libératrice ,elle absoud la faute commise. La punition qu'elle soit plus ou moins sévère est réalisée en dehors du cadre d'une séance et ne précède pas une séance. Elle n'est pas agréable encore moins source de jouissance pour la soumise ou le soumis qui la subit, et il en est de même pour le maître qui la dispense, c'est un acte nécessaire permettant la poursuite du parcours, de la relation BDSM dans les règles de l'art. N'hésitez pas à donner votre avis, amender mon écrit, nous sommes dans l'échange bienveillant. Cordialement. M.shibari
Quelques semaines ont passé depuis nos premiers pas dans cette aventure sensuelle. La passion brûlante et le désir d'obéissance étaient désormais profondément enracinés dans le corps et l'esprit de ma Douce Soumise. Elle ne cherchait plus simplement quelques séances, mais aspirait à devenir pleinement ma soumise, Ma soumise.
C'est alors que j'ai entrepris de concevoir un programme d'entraînement, avec l'aide d'un Maître expérimenté que nous avions rencontré en ligne. Cette formation avait pour but de lui enseigner l'obéissance totale, l'acceptation inconditionnelle de ma possession, de faire d'elle ma poupée, mon esclave, mon jouet sexuel. Après 11 ans de vie 'vanille', où elle avait rarement lâché prise, cette transition n'était pas aisée.
Dans cette première phase, nous nous sommes concentrés sur trois piliers essentiels :
L'obéissance : Elle a appris les règles, les positions souhaitées, les rituels, ainsi que la manière précise dont je désirais qu'elle m'appelle.
La douleur : Nous avons commencé à explorer la douleur comme un cadeau avant l'orgasme, un moyen d'éveiller des hormones et des endorphines pour un abandon total.
Le plaisir charnel : Elle a été initiée à toutes les pratiques sans tabous ni limites, ouvrant la voie à la découverte de nouveaux plaisirs.
Ma soumise était en extase et débordante de volonté. Elle avait immédiatement confiance en ce Maître virtuel, la même confiance qui avait grandi entre nous au fil des années.
Nous étions désormais prêts à plonger dans une exploration encore plus profonde de ce que signifiait être Maître pour moi et Soumise pour ma Douce.
Au commencement, il s'agissait de lui apprendre qu'elle m'appartenait pleinement et qu'elle devait révolutionner sa manière de penser pour devenir la Soumise qu'elle désirait être. Pour amorcer ce changement, elle n'avait plus le droit de porter de culotte, et je devais pouvoir accéder à son intimité à tout moment. Notre vie sur une île paradisiaque en Asie de l'Est rendait naturel l'interdit de pantalons. Pendant la journée, je la sollicitais régulièrement, la faisais prendre différentes positions : debout, les bras croisés derrière la tête, ou à genoux, les mains posées sur les cuisses, les paumes tournées vers le ciel. À la maison, elle était nue, et sur la plage, elle portait des tenues suggestives. Elle était absolument divine lorsqu'elle se tenait immobile devant moi, attendant patiemment mes instructions.
Parfois, elle se grattait sans me demander la permission. Alors, d'une voix calme, je me levais, lui demandais de me présenter son derrière, et la fessais. Un, deux, dix, vingt fessées, parfois plus sur chaque fesse, jusqu'à ce qu'elle reprenne sa position. Rapidement, j'ai investi dans des pinces à linge, car elle a rapidement appris à les apprécier. Je les disposais délicatement sur ses seins, ses lèvres intimes ou tout autre endroit de son corps qui m'attirait.
Ensuite, progressivement, je l'ai initiée à une variété de pratiques sexuelles : l'anal, la fellation, la déglutition, la gorge profonde, et même quelques jeux plus audacieux. À chaque étape de la formation, à chaque nouvelle expérience, ma Douce Soumise se donnait à moi avec un plaisir et une dévotion sans pareil. Elle en réclamait toujours davantage, souhaitant que je sois plus strict, moins tendre, à l'image de son Maître virtuel qui lui faisait réaliser des défis toujours plus exigeants, comme 200 squats pour de légères erreurs ou des jeux de cire chaude pour les fautes plus graves.
Je vis les moments les plus intenses de ma vie, et pour ma Douce Soumise, tout a radicalement changé. Elle est encore plus belle, plus désirable qu'à notre rencontre, débordant de désirs et de passion. Mon temps est désormais rythmé par des caresses, des fessées, des regards langoureux et des ébats torrides. Le 'Vanille' ce n'est plus pour nous.
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Deepdom a répondu à sa propre discussion "Un planning adapté pour ma Douce Soumise. Besoin d'idées nouvelles.".
Merci beaucoup pour votre réponse. Oui le temps du matin est extrêmement minuté et nos 3 filles se prépare assez rapidement et en autonomie. Nous débrifons énormément sur notre nouvelle vie, nos attentes et nos envie. Je suis trop tendre à son goût et j'aimerais durcir le ton être moins mari et plus Maître. Mais plus le temps passe et plus j'arrive à la guider. Le BDSM c'était mon fantasme à moi, ma Douce Soumise à voulue essayé pour ses 40 ans, maintenant son envie de se soumettre à dépassé mon imagination.
Si vous avez des idées à inclure dans mon planning je serais plus que ravis d'échanger.
Bonne journée.
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Deepdom a répondu à sa propre discussion "Un planning adapté pour ma Douce Soumise. Besoin d'idées nouvelles.".
Ho merci. Super idée je vais me renseigner. Merci beaucoup ☺️
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Un planning adapté pour ma Douce Soumise. Besoin d'idées nouvelles.
Bonjour à tous,
Je suis nouveau ici, et je ne suis pas certain si c'est le bon endroit pour mon message. Depuis une semaine, nous avons commencé la phase deux de l'entraînement de ma soumise. Elle a une volonté inébranlable d'obéir et de m'appartenir entièrement. C'est pourquoi j'ai commencé à élaborer un emploi du temps pour mieux contrôler ses habitudes.
La semaine dernière s'est déroulée de manière absolument parfaite, et ma douce soumise a vraiment apprécié suivre scrupuleusement mon planning. Pour la semaine à venir, j'aimerais continuer à élaborer son programme, et je me demandais si d'autres membres de ce forum avaient des pratiques similaires pour guider leur soumise. J'aurais besoin d'idées fraîches.
Je vais partager un document Google avec le planning de ma soumise pour la première semaine.
Planning de la semaine
Merci à tous.
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Je me souviens parfaitement de notre première séance. Ma femme venait de rentrer d'un long séjour, fatiguée mais rayonnante. À ce moment-là, j'ignorais encore son aventure virtuelle, que j'apprendrais plus tard. Quelques jours avant son retour, elle avait révélé son désir de devenir soumise, Ma soumise. Après 10 ans de mariage, c'était une révélation inattendue, mais excitante.
J'avais noté un changement chez elle, elle vivait sa crise de la quarantaine, aspirant à plus, sans que je ne soupçonne l'ampleur de ses désirs. Son retour marquait un tournant.
Durant son vol de retour, je lui avais demandé de réaliser quelques défis érotiques. Elle devait prendre des photos d'elle dans les toilettes de l'avion, se caresser discrètement sous une couverture, obéissant ainsi pour la première fois à un ordre de ma part. Puis, je lui avais demandé de séduire un steward et d'obtenir son numéro. Elle s'était exécutée, captant l'attention d'un steward qui lui offrit des boissons supplémentaires, mais sans aller jusqu'à obtenir le numéro. L'important était qu'elle ait essayé.
Une fois de retour à la maison, les enfants endormis, j'avais tout préparé pour une soirée spéciale. Sur notre terrasse, à côté de la piscine, j'avais ouvert une bouteille de vin blanc. Ma Douce Soumise s'était assise en face de moi, comme à son habitude. J'ai pris un moment pour la contempler en silence, puis, d'une voix calme, je lui ai rappelé qu'elle n'avait pas été autorisée à s'asseoir. Surprise mais obéissante, elle se leva, croisant les mains derrière la tête, se plaçant devant moi en position de soumission.
Je lui ai alors expliqué mes règles et ce que j'attendais d'elle. Elle m'écoutait avec attention, demandant la permission de poser des questions. Voir ma femme se soumettre ainsi devant moi était un délice.
Après quelques minutes, je lui ai ordonné de se déshabiller de manière lente et sensuelle. Le spectacle était captivant. Une fois nue, elle a repris sa position. Je me suis levé, m'approchant d'elle pour la caresser. Chaque caresse la faisait frissonner, intensifiant son excitation. Sa réponse à mon toucher était évidente : sa chatte était humide, un signe clair de son plaisir.
Puis, je suis passé à la fessée. J'avais déjà donné des fessées durant notre vie 'vanille', mais cette fois, l'impact était différent, plus précis. Elle mordait ses lèvres, réagissant à chaque coup. Je lui ai demandé de compter et de me remercier. '1 merci Maître, 2 merci Maître, 3... 10 merci Maître.' Après avoir vérifié son intimité, j'ai constaté qu'elle était encore plus excitée, prête pour la suite.
Sur l'autre fesse, le rituel se répéta. '1 merci Maître, 2 merci Maître, 3... 10 merci Maître.' Elle était résolue à devenir Ma Soumise. Pour la récompenser, j'ai commencé à caresser sa chatte, alternant entre douceur et intensité. Elle gémissait, son corps réagissant fortement à chaque toucher, des contractions se dessinant sur son ventre. Elle restait en position, savourant mes premières actions en tant que maître.
Notre aventure était lancée. Ma Douce Soumise était à ma disposition, s'en remettant entièrement à ma volonté. Depuis, je la guide. Je préfère le terme 'guide' à 'dressage', car elle n'est pas un animal, mais ma plus belle propriété, et elle m'a confié la tâche de faire d'elle ma soumise.
J'espère que ce récit vous a captivé. N'hésitez pas à partager vos pensées en commentaire. Écrire me permet de réaliser la chance que j'ai de vivre cette expérience. À très bientôt pour la suite.
Maître DeepDom
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Bonjour Charlie,
Pour répondre simplement à ta question j’ai toujours mis un « D » à Douce et « S » à Soumise avant même de savoir qu’il y avait un protocole. J’ai découvert récemment des topics a ce sujet qui faisait débat…
J’aime imaginer que la soumise doit respecter son Maître et que le Maître doit en retour respecter sa Soumise. Quand une femme fait un tel cadeaux à un homme elle mérite tout le respect et la bienveillance de son Maître. C’est comme ça que j’imagine le BDSM.
Après relecture je n’ai pas remarqué de Maître sans majuscule. Mais je ne suis pas encore bien réveillé donc je referais une relecture plus attentive dans la journée ☺️
Merci Deepdom pour votre narration. Votre récit me fait rêver puisque Vous cumulez les fonctions, mari et Maître et Votre conjointe, celles d'épouse et de soumise
En tant que soumis hétéro, marié, mon rêve que j'ai déjà exprimé aurait été que mon épouse, que j'aime, partage ce penchant BDSM pour faire d'elle ma Domina. J'aurais été le soumis idéal. Mais j'ai reçu une fin de non recevoir lors de l'évocation d'une perspective sado-maso !
J'ai toujours respecté mon engagement envers elle et satisfaire mes envies reviendrait à la tromper entre les mains d'une Maîtresse, pas que je n'ai pas eu encore l'occasion de franchir... discrètement, évidemment ! Vous avez de la chance Deepdom que votre femme ait évolué dans ses attentes.
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27/01/24
Novice, je lis votre commentaire, et je comprends et respect parfaitement votre engagement que vous avez envers votre femme. Je m'étais fait une raison aussi, et mon engagement en tant que mari était pour moi bien plus importante que mon envie d'explorer le BDSM. Je pensais que cela n'arriverait jamais et je m'étais fait une raison. Mais voilà, après 10 ans, ma femme ma surpris avec cette requête que j'ai immédiatement accepté. L'attente m'a permis, de murir cette envie, de savoir exactement ce que je souhaitais et surtout la manière dont je voulais appréhender ma vie de Maître.
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29/01/24
Merci Deepdom pour votre retour bienveiilant et compréhensif. Je ne vois dans le BDSM aucun vice (NO-vice... d'où mon pseudo), mais ces quatre lettres ont une connotation péjorative dans l'inconscient collectif... et celui de mon épouse ! Je suis patient pour étre mis à l'épreuve, bien que l'envie me taraude (son évolution, une opportunité discrète, un donjon...). Je ne veux pas brusquer ni détruire car je ne pourrais rien reconstuire sur mes ruines affectives.
Je vous souhaite à Vous et à votre épouse de vous épanouir et que vos pratiques D/s repondent à vos attentes respectives. Respectueusement.
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29/01/24
Bonsoir, j' ai bien apprécié votre façon d'écrire, les mots que vous utilisez. C'est très intéressant , car récemment j'ai été accepté mon penchant pour la domination, ma nature véritable. Dans ma relation vanille précédente, ça me demandait un effort de réussir à avoir un orgasme, car ce n'était pas ça dont j'avais besoin. J'ai besoin de dominer, d'être sado. Bonne soirée.
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04/02/24
Il y a six mois, notre relation était des plus classiques, 'vanille' comme on dit.
Mais depuis, nous nous sommes aventurés dans le monde captivant du BDSM.
L'élément déclencheur a été la crise de la quarantaine de ma compagne, ma soumise d'aujourd'hui.
À son retour d'un voyage, elle m'a avoué avoir rencontré un homme en ligne, et ce qui avait commencé comme une simple discussion avait évolué en une liaison BDSM le temps de son absence.
De retour chez nous, elle a choisi de mettre fin à cette aventure et m'a demandé de prendre le rôle de son Maître, pour la guider sur le chemin de la soumission.Mon intérêt pour le BDSM n'était pas nouveau.
Des années de lectures, de films et de visites sur des forums spécialisés m'avaient préparé, mais le passage à la pratique était un tout autre défi.
J'étais prêt à devenir son Maître, à l'accompagner dans son éveil à la soumission, à explorer doucement ses limites, à la guider psychologiquement et physiquement...
Nous avons dû prendre quelques semaines pour organiser notre nouvelle vie, établir des règles, notamment pour rester discrets vis-à-vis de nos enfants et de notre entourage 'vanille'. Nous ne vivons pas le BDSM 24h/24, mais c'est notre aspiration : concilier notre passion avec notre quotidien sans éveiller les soupçons, et vivre pleinement nos moments intimes.
En tant que Maître, je suis patient et à l'écoute, guidant ma soumise dans son évolution quotidienne, la poussant à explorer ses limites dans la douleur, l'humiliation, ou sexuellement.
Je suis fier de voir ma soumise aujourd'hui s'offrir à moi, de l'avoir vue réaliser son premier fist en solo, d'accepter les fessées, les pinces à linge sur ses tétons délicats, son corps, ou sur les lèvres de son vagin délicat.
Qu'y a-t-il de plus gratifiant que cette confiance qu'elle me porte ? Quelle plus grande responsabilité que de guider une femme dans son épanouissement en tant que soumise ? De la conduire dans un état de transe érotique à la découverte du 'subspace'.
Cette aventure, riche en découvertes et en évolutions, ne cesse de nous fasciner, ma soumise et moi. Pour partager cette expérience, j'ai décidé de tenir un journal quotidien. Dans ces pages, je raconterai notre parcours : comment je guide ma soumise au jour le jour, son apprentissage, nos craintes, nos désirs, et chaque nouvelle étape franchie dans notre relation BDSM.
Ce sera l'occasion de documenter notre évolution, de réfléchir sur les défis rencontrés et sur les joies que cette vie nous apporte. J'espère ainsi offrir un aperçu sincère et détaillé de notre quotidien, partageant les nuances de notre dynamique de domination et de soumission.
Au fil des jours, ces écrits deviendront le témoignage de notre histoire, un récit intime de notre transformation et de notre quête de dépassement, ensemble, dans cet univers captivant du BDSM
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Merci de vous livrer sur ce parcours exceptionnel... visiblement dans la fluidité... ca sera peut etre un bon enseignement pour bon nombre qui hésitent à passer le pas.