NOUVELLE REGLE POUR LA RUBRIQUE "ARTICLES".
Suite à une recrudescence d'articles, il est dorenavant demandé à chacun de ne pas publier plus d'un article par jour. Merci.
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sylvie35
Si je puis me permettre une suggestion, je pense que ce serait utile d'entamer une réflexion au sujet de l'usage de l'IA sur le site (notamment dans la rubrique articles, mais pas que), car on voit que cela se développe à une vitesse exponentielle. L'IA est capable de pondre des textes au kilomètre (en à peine quelques secondes) et du coup ceux qui écrivent encore avec leurs petites mains et leurs petites têtes (plusieurs heures pour un article) risquent, à terme, d'être complètement noyés dans la masse.
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23
30/08/25

BDSM
Cette mesure de limitation n'a aucun autre objectif que de lutter contre l'abus d'IA
Et pour travailler pour certains d'entre nous dans un milieu connexe, nous pouvons vous certifier que des ajustements (dans le prompt, dans un GPT dédié) permettent de masquer les traces. Il sera très difficile pour tout le monde de trier le bon grain de l'ivraie. Donc la réflexion sur l'IA, elle est toute faite : il faut faire avec car on y pourra rien. Ici ou ailleurs.
La limitation a un article par jour aidera à limiter les pots cassés. Ensuite à chacun(e) de se faire son idée sur ce qui est produit. Il y a quand même une sacrée différence entre un article de notre Chère Méridienne et les quelques "articles" parfois aux idéologies crasses sous jacentes qu'on voit fleurir ces dernières semaines.
Bon discernement à tous ;-)

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7
30/08/25

Monsieur
Je plussoie, pas de photo du net sans précision du fait, même les photos IA retouchées par la suite (il se reconnaitra), et pas d'article IA sans mention. Presque il y faudrait une rubrique (à défaut de site) dédiée à cet outil. Je gage que les plus cérébrés d'entres nous n'y feraient pas beaucoup incursion, mais chacun sa tasse de thé
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4
30/08/25

Tamanra7
Il est clair qu'on frise l'overdose avec ces publications paresseuses. A la fin, on ne va plus rien lire, même les productions originales dont les auteurs seront découragés comme le dis clairement sylvie35 . Moi, ça me donne presque envie de gerber. Enfin, je me retiens
Déjà merci aux administrateurs du site pour cette première mesure
. Maintenant, je trouve que la communication ci-dessus est quand même très fataliste. Si déjà, une section IA et une section œuvres originales étaient créés dans les articles, ça serait top. Des règles seraient clairement établies et même s'il sera toujours possible pour des foutriquets de poster dans la section oeuvre originale, ceux qui le feront auront déjà clairement ce sentiment d'imposture au cul. Et c'est très bien. (au passage, je me rends compte que le terme foutriquet est vraiment bien choisi). Même réflexion pour le reste des productions écrites & visuelles dans les autres sections du site.


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8
30/08/25
Edité

Tamanra7
créons une task-force ha ha 

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2
30/08/25

BDSM
@Tamanra7 c'est fataliste car dans d'autres domaines professionnels, nous voyons l'IA Générative (ChatGPT, Claude...) à l'ouvrage, et que "bien" maniée, c'est indetectable (y compris de manière algorithmique car les indices laissent toujours planer le doute "Probabilité d'utilisation de l'IA : 47%" ... on fait quoi avec ça ;-) ). Quant à demander à quelqu'un qui produirait avec l'IA (pour des raisons diverses, mais sur un site BDSM/de rencontres c'est pour briller/séduire) de estampiller lui-même "foutriquet" sachant que la rubrique IA sera boudée par les lecteurs (légitimement) ...
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2
31/08/25

BDSM
Une partie de l'exposition des articles se fait via le partage par notre compte d'administrateur (puisque nous sommes "Amis" avec 80% des utilisateurs), et nous devenons donc de plus en plus sélectifs dans nos partages (Rappel d'ailleurs : certains auteurs empechent le partage, donc si nous ne partageons pas un article c'est certes parce que nous n'avons peut etre pas confiance, mais ca peut etre aussi parce que l'auteur a choisi d'en interdire le partage.. les non partagés par nous ne sont pas tous des "rédacteurs à l'IA".
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3
31/08/25

Maître SADE
Vous avez raison ! La meilleure façon est de boycotter ces articles et de leur faire savoir individuellement ! Comme ils cherchent un auditoire, ils finiront de se lasser !
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1
31/08/25

embrochés
Je me sentirais analphabète, si j’utilisais l’IA pour écrire un article
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31/08/25
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embrochés
En matière de style et d’esprit, j’espère valoir mieux que ma cafetière
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31/08/25
Edité

Azhara
Euh, l'équipe BDSM, vous avez certainement autre chose à faire que de me répondre mais quand je publie un article (ou tout du moins quand je l'édite) je ne vois pas la fonction : autorisation de partage, c'est lors de la rédaction qu'on a cette option ?
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31/08/25

sylvie35
Azhara: c'est dans les droits d'accès. Si vous mettez "visible par tout le monde" il peut être partagé. Si vous mettez des conditions plus restrictives (visible seulement par les membres du site, ou seulement par les amis, etc.) il ne peut pas être partagé. C'est dans un menu disponible en mode édition.
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3
31/08/25
Edité

Azhara
Merciiiiii
. Je n'avais pas les bons réglages moi et je me disais : je crois que la team n'aime pas ma plume (ou ne m'aime pas moi) "car elle ne me partage jamais !
Un grand merci Sylvie35. Bon ça ne changera pas la face du monde hein, mais au moins je comprends mieux.

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1
31/08/25
Edité

sylvie35
Quand on voit que maintenant même pour les commentaires et les réponses aux commentaires l'IA est de plus en plus utilisée, pour balancer des pavés imbitables qui demandent cent fois plus de temps de lecture que de temps d'écriture, on se dit que l'on nage en plein délire.
Je crois que je vais finir par bloquer tous ceux qui abusent de l'IA (moi qui ne voulais bloquer personne, il faut un début à tout...). Si tout le monde fait pareil, ils vont se retrouver entre eux à dialoguer par IA interposée, avec leurs IA qui vont commenter leurs articles générés par IA, et les IA qui vont dialoguer entre-elles sur le forum
. Le délire complet... Bienvenue dans le futur dystopique.
Tout cela est bien dommage, car utilisée intelligemment l'IA peut rendre des services, pour répondre ponctuellement à une interrogation technique ou historique, ou pour générer une image d'illustration surréaliste, par exemple. Ou même faire mon profil psychologique à partir d'un de mes articles - ça m'a bien fait rire et ce n'était pas déconnant.
Merci à BDSM de m'avoir répondu. Je suis consciente que la solution miracle n'est pas facile à trouver, si tant est qu'elle existe. Peut-être que la suggestion d'une rubrique "Articles IA" serait quand même à tester, si elle n'est pas trop compliquée à mettre en œuvre, même si j'ai effectivement quelques doutes sur le fait que les personnes concernées joueraient le jeu.

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6
31/08/25
Edité

Tamanra7
Bonjour, Merci pour la réponse bdsm et merci également de partager les contenus les plus pertinents et originaux. J'avais bien réalisé tout comme vous les progrès fulgurant de l'IA dans l'art du camouflage. Néanmoins, un essai de séparation des types de contribution est-il inenvisageable? Ne faut-il pas montrer clairement la différence de valeur entre une production originale et une production automatisée en séparant les flux ? (sans pour autant stigmatiser les utilisateurs de l'AI, bien sûr), à défaut ne faudrait-il pas demander aux publieurs utilisant en tout ou en partie de l'IA, de le signaler, par honnêteté ? Ne fut-ce que le dire, le faire comprendre,...
A la fin, chacun va faire sa blacklist, ou va même échanger à ce sujet,...
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1
31/08/25
PlaisireSoumisVS a posté un article.
Ma meilleure amie… la plus ravissante cavalière de l’écurie. Son corps athlétique, son aisance naturelle en selle, son élégance dans chaque saut d’obstacle.Et puis ces détails qui m’obsèdent : ses piercings au nez, à la langue, au nombril… et bientôt ailleurs, m’a-t-elle dit en souriant.
Chaque fois que je la vois, mon esprit vacille. Quand elle se penche devant moi, son string qui se dessine, son parfum mêlé au cuir des chevaux… je sens ma cage se tendre, mon souffle se bloquer
Elle parle de ses projets avec insouciance, moi je l’écoute, prisonnier de mon désir et de mon humiliation.
Elle n’a sans doute pas conscience de l’effet qu’elle a sur moi… ou peut-être que si. Car désormais, elle hante mes pensées, mes nuits, mes séances.
La cavalière percée est devenue mon obsession, mon mirage, ma torture délicieuse.
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sylvie35 a posté un article.
Avertissement : ce texte ne devrait poser aucune difficulté à la grande majorité des lecteurs, mais néanmoins, si vous êtes vraiment très sensible, veuillez noter que quelques passages pourraient vous heurter. Dans tous les cas, rappelez-vous que ce n’est qu’une fiction.
La plateforme ascensionnelle ralentit progressivement avant d’arriver en butée. Nue, tondue, avec des anneaux aux poignets et aux chevilles qui me maintiennent écartelée, me voilà prête à subir mon châtiment, dévorée vivante par le grand Chrysaor cendré.
Les drones de la télévision se tiennent à bonne distance, mais leurs caméras haute-définition ne rateront aucun détail. Leurs hélices semblent ralentir de plus en plus, et finissent par tourner si lentement que la sustentation devrait être impossible. C’est étrange. Je me demande si je suis dans un rêve.
Un bras robotisé équipé d’un scalpel m’entaille méchamment le ventre et les mamelles. Cela fait partie de la procédure. L’odeur du sang devrait attirer le prédateur.
Je n’en étais pas sûre, mais je le perçois maintenant : mes anneaux de maintien se sont légèrement déplacés, augmentant la tension sur mes membres. Le totalitarisme progressiste a repris les pires tortures moyenâgeuses pour punir les présumés ennemis de la démocratie. Si le grand Chrysaor ne vient pas me dévorer, je serai démembrée par ces anneaux qui continueront à s’écarter jusqu’à la rupture de mes articulations.
Un son de très basse fréquence m’amène à détourner le regard. Ce sont les battements d’aile du grand Chrysaor. Il approche lentement, très lentement. Il devrait tomber en battant des ailes aussi lentement. On dirait que le monde qui m’entoure est un film qui tourne au ralenti.
A mesure qu’il s’approche je commence à percevoir les influx nerveux qui parcourent son corps, pas avec mes yeux mais avec mon esprit. Cela confirme mon pressentiment, ce n’est pas le monde extérieur qui ralentit, c’est mon esprit, connecté à l’intelligence distribuée de mes symbiotes, qui fonctionne en accéléré. Je ressens leur angoisse, et je crois qu’ils ressentent la mienne.
Le grand Chrysaor se pose délicatement sur la plateforme et me recouvre, me réchauffe. La chaleur de son corps, la douceur de son plumage, me procurent un étrange bien être. Je m’attendais à être déchiquetée par son puissant bec et me voilà réconfortée par cet être étrange, qui a l’air si humain. Je sens sa grosse bite qui gonfle et durcit entre mes cuisses, avant de forcer l’entrée de mon con, me dilatant à l’extrême. Il est en train de me baiser, le bougre !
C’est étrange de se faire baiser au ralenti par une énorme bite dont la forme semble optimisée pour le plaisir des femelles. Je découvre des sensations qui m’étaient complètement inconnues. Je crois que, malgré les circonstances, je vais jouir. Mais non, avant que j’atteigne l’orgasme, il éjacule en moi, si fort que j’ai l’impression que l’on m’a mis un karcher dans la chatte.
Les drones de la télévision se sont trop approchés. Se sentant menacé, il fonce sur l’un d’eux et le désintègre d’un coup de bec, avant de s’enfuir à grands battements d’ailes.
J’imagine que cela doit être la panique au studio de télévision. Quoi faire ? Couper ? Laisser tourner ? Je devais être dévorée en direct, pour l’exemple, pour dissuader tous ceux qui oseraient défier le meilleur des mondes, le camp du bien, et me voilà ensemencée par celui qui devait causer ma fin.
Je remarque que les profondes entailles qui m’ont été faites sur le ventre et les mamelles cicatrisent à vue d’œil. C’est étrange. Comme si quelque chose était en train de réparer mon corps. Depuis cet accouplement je me sens plus forte, j’ai la sensation que par son sperme il m’a transmis un peu de sa puissance.
Après un moment de flottement, ce sont cette fois deux bras robotisés équipés de scalpels qui se mettent en mouvement. Je sais ce qu’ils vont faire, je l’avais vu faire sur un condamné, m’ouvrir complètement le ventre, cautériser pour que je ne meure pas d’hémorragie, et me laisser agoniser les tripes à l’air pendant mon démembrement. Le supplice doit être brutal, humiliant, marquer les esprits, pour l’effet dissuasif. Le condamné doit hurler de terreur et de douleur. Cela fait partie de la loi dite « Bouclier Démocratique » destinée à protéger la Suprême Alliance contre ses ennemis de l’intérieur.
Je me sens en complète symbiose avec les zébralyvox gémellaires, je ressens leur angoisse et leur colère. Ils voudraient m’aider mais ne savent que faire. Si seulement je pouvais avoir le pangolin fou dans l’oreillette, il me dirait quoi faire. Je pense très fort à mon Maître et cela me procure un soulagement. Si ça doit s’arrêter là, au moins il m’aura apporté le bonheur, il m’aura donné le sentiment d’exister, moi qui me sentais invisible.
Je sens que mes symbiotes également s’en trouvent apaisés. C’est incroyable comme nous sommes connectés. Des lueurs bleutées commencent à me parcourir la surface du ventre, signe d’une intense activité électrique sous-jacente. Je sens qu’ils puisent toute l’énergie nerveuse de mon corps pour accumuler une énorme charge électrique. Quand les scalpels arrivent à une vingtaine de centimètres de mon ventre, deux arcs électriques se créent, accompagnés d’un grondement de tonnerre. Les bras robotisés viennent d’être foudroyés, l’électronique de contrôle est complètement carbonisée, mes anneaux de maintien s’ouvrent.
Je me redresse et brandit le poing en signe de défi face aux drones de la télévision. « Je m’appelle Ysideulte ! ». Essoufflée par l’air raréfié et glacial de ces hauteurs, le corps encore chargé d’électricité, je respire rapidement, projetant des nuages de vapeur parcourue de lueurs bleutées et d’étincelles électriques. Le souffle de la résistance.
Ma chatte dégouline de sperme, des vapeurs mystérieuses me sortent de la bouche. Je dois avoir l’air d’une sorcière qui vient de vivre un accouplement sacré avec Quetzalcóatl, le Dieu Serpent à Plumes des Aztèques. Il se peut que cela fasse son effet sur les millions de téléspectateurs qui suivent l’évènement en direct. L’esprit des Lumières est bien loin. Le totalitarisme progressiste a remplacé la science par une religion scientiste, bouffie de certitudes et faite de dogmes qu’il est interdit de questionner. Par effet induit cela a détruit l’esprit critique et renforcé la superstition.
La plateforme se met à descendre. Mes bourreaux ont abandonné, du moins pour l’instant. J’imagine leur panique. Les équipes d’ingénierie sociale de Davos doivent déjà plancher pour trouver comment sauver la face après ce fiasco monumental.
A suivre
Contexte
L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
Image d'illustration: générée par IA
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Marion douce, voluptueuse et libérée, curieuse, des envies libertines (dans la discrétion car mariée) .:.
Kyle a posté un article.
28/08/25
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Pas grand chose de nouveau et beaucoup de généralités mais j'ai eu envie d'écrire avec mes propres mots ma vision d'une relation D/s en toute simplicité
La soumission est un formidable don de soi, une personne qui offre son corps, son intimité, son âme et même son plaisir en confiance à une autre qui saura s'en montrer digne pour tenter d'atteindre un formidable lâcher prise. Cette abnégation, retranscrite dans chacun de ses gestes, ses postures, son regard, force le respect, la personne qui ne comprend pas cela ne mérite en aucun cas d'être nommé Dom.me. Dominer requiert une conscience du pouvoir qui nous est prêté, car oui on peut frapper, utiliser, torturer, frustrer, humilier, ce pouvoir ne sera jamais le nôtre mais celui qui a été a remis entre nos mains, en conscience, et c'est une chose dont il faut prendre le plus grand soin car il peut être repris. Les limites et besoins ne doivent pas être moqués mais compris et acceptés, si certaines limites doivent être dépassées par la suite cela devra être par envie commune, même si l'envie peut parfois être de faire plaisir à l'autre, ça ne doit jamais être dû. La personne à nos pieds mérite compassion, respect, bienveillance, tendresse, caresses, câlins et dans ma conception amour.
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J'adore avoir les hommes à mes pieds afin d'user et abuser d'eux, car la gynarchie est ma nature, et vous en prendrez conscience au premier regard qui vous fera baisser les yeux et vous soumettre en un instant.
Mes mains expertes vous feront trembler de désir de par les supplices qu'elles vous infligeront et vous connaîtrez la frustration extrême de me savoir à jamais inaccessible... .:.
Hidden Side a posté un article.
Il y a des rencontres qui marquent une vie, des moments où une simple conversation peut ouvrir des portes vers des mondes insoupçonnés.
À dix-neuf ans, lors d’un long trajet en train, j’ai croisé par hasard une jeune femme de mon âge, au charme discret mais à l’esprit bouillonnant. Pendant six heures, nous avons plongé dans une discussion aussi inattendue que fascinante, explorant un sujet qui m’était alors totalement étranger : la torture, et plus précisément, les tortures sexuelles imposées aux femmes dans l’histoire, notamment durant l’Inquisition.
Ses mots, empreints de passion et de savoir, m’ont captivé. Elle parlait avec une aisance naturelle, décrivant des détails horrifique avec une vivacité qui donnait vie à chaque anecdote. D’apparence classique, elle cachait une audace intellectuelle qui m’a bouleversé. J’étais suspendu à ses lèvres, transporté par ce sujet tout nouveau pour moi, et pour la première fois, je me suis surpris à imaginer un monde au-delà de mes propres horizons. Des idées nouvelles germaient dans mon esprit, des envies d’explorer ces sujets sombres mais envoûtants, presque comme si je pouvais, l’espace d’un instant, partager ses fantasmes dérangeants.
Pourtant, dans l’innocence de mes dix-neuf ans, je n’ai pas songé à lui demander son nom ou un moyen de la recontacter. Le train est arrivé à destination, et nos chemins se sont séparés. Mais cette rencontre n’a jamais quitté mon esprit. Pas comme un regret, mais plutôt comme une étincelle originelle.
Cette jeune femme, avec son érudition sexuelle bien particulière et son regard unique, a participé à ouvrir en moi une fenêtre sur un univers que j’ai osé exploré par la suite, bien des années plus tard. Elle m’a appris que les rencontres les plus brèves peuvent parfois être les plus marquantes, et que l’esprit d’une personne peut transformer le vôtre, bien après que le train se soit arrêté.
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Clara 🌹 a posté un article.
Parée de nylon et de talons noirs, le claquement de mes pas résonne comme une promesse… mais je sais que ma vérité se trouve ailleurs.
À quatre pattes, le dos cambré, le souffle suspendu, je ne suis plus seulement une femme apprêtée : je deviens son offrande, son don, sa complice silencieuse. En attente…
C’est là, au sol, que je me révèle la plus belle, la plus juste… fidèle à lui, soumise à son regard sombre, à son contrôle, à son désir.
Talons noirs et porte-jarretelles… mais ma plus belle place reste à quatre pattes, le collier serré, la laisse tendue, ma médaille intime contre ma peau : secret précieux que seul mon Dom détient.
#texte&photoperso
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MrVinz04 a posté un article.
25/08/25
175 vues
Je ne sais pas trop pourquoi j’écris ça… Peut-être parce que j’ai l’impression que beaucoup oublient l’essentiel dans la domination. Savoir mener le jeu, prendre le pouvoir et garder le contrôle, ce n’est pas si simple. Ce n’est pas juste dire « à genoux » ou donner une fessée à sa partenaire pour croire que ca y est je domine. Je MAÎTRise
Le vrai frisson naît ailleurs. On oublie trop souvent qu’avant d’eveiller le corps, il faut captiver l’esprit. Le désirer, le faire languir, l’emmener là où il ne s’attend pas. Quand tu tiens l’esprit, le corps suit… et il se livre tout entier.
Ce que je dis là, c’est surtout pour ceux qui débutent, qui veulent essayer mais ne savent pas par où commencer. Pour les initiés, ça paraîtra peut-être trop sage…
Je ne suis pas fan des séances trop rigides, mais j’accorde beaucoup d’importance à la mise en scène : créer une ambiance, une tension… qui laisse place à l’improvisation et au jeu.
Alors, voici un petit scénario que je recommande pour un deuxième ou troisième rendez-vous. Une idée de soirée pour ceux qui veulent commencer à apprendre à mener le jeu, en misant sur une mise en scène simple mais efficace.
Avant tout, n’oubliez pas : adaptez-vous à votre partenaire tout en restant naturel et fidèle à vos valeurs. Utilisez des mots et une attitude qui vous ressemblent et qui, selon vous, résonneront chez elle.
Allez c’est parti on commence !
Invitez-la (ou convoquez-la) chez vous avec un message court et percutant : une heure, une adresse. Pas besoin d’imposer une tenue ; dites simplement qu’elle doit être élégante… et qu’elle vous surprenne. Ajoutez, avec assurance, que vous appréciez la ponctualité.
Pas de discours inutile, pas d’instructions superflues. Tu laisses volontairement un voile de mystère. Et tu sais qu’à partir de ce moment, son imagination commence déjà à travailler pour toi.
Prépare ensuite ton terrain de jeu : le salon.
Une pièce ordinaire, mais ce soir, tu en fais un espace chargé de tension.
Dispose quelques éléments soigneusement choisis, selon tes envies et sa personnalité : une cravache, des menottes, un collier, une laisse, un vibro, un plug … ou encore des cordes, une cage, une barre d’écartement. À toi d’ajuster selon les envie et le degrés que tu souhaites. Elle, en entrant, devra deviner jusqu’où tu comptes aller.
Et pour troubler un peu plus ses sens, tu ajoutes un contraste. À côté de la cravache, dépose un de ses plaisirs coupables : Kinder Bueno, fraises Tagada… Un mélange de douceur et de menace qui va la désarçonner. Sur un mur ou dans un coin discret, un simple post-it : « Place de la punie ». Une phrase anodine… mais qui fera naître mille images dans son esprit ou la faire rire si c'est une habituée du coin !
Va plus loin. Prépare une tenue soigneusement posée sur le canapé : un collant résille, un chemisier léger… c’est pour un one-shot alors ne fais pas de grosse boutique car tu pourra lui faire porter durant la soirée avant de lui arracher quand elle sera attachée.
Le moment où tu arracheras ce tissu sera intense pour toi, et une véritable montée d’adrénaline pour elle.
Ajoute un cadeau emballé avec son prénom bien en évidence et une note « « Ouvre-moi tout de suite. »
Ce n’est pas la valeur du cadeau qui compte, mais l’intention. Dedans, un objet choisi avec soin, ou une connerie qui rappelle une discussion entre vous. (Preuve que tu es à l’écoute) Et un petit mot glissé :
« Regarde bien tout ce qui t’entoure… Peut-être que ça servira ce soir… ou peut-être pas
Quand elle sonnera à ta porte , ouvres lui calmement. Pas de stress : elle sera intimidée autant que toi. Rassure la avec un sourire, fais la entrer, observe la. Puis tu la guides jusqu’au salon. C’est le moment où tu devra t’éclipser pour la lasser seule (trouve un prétexte banal).
Laisse la seule quelques instant à s’imprégner des lieux. Face à cette mise en scène, tu lui montres aussi ton audace. Les objets, la tenue, le cadeau, le post-it… Tout parle pour toi. Et pendant que son cœur s’emballera et que ses pensées s’égareront dans mille scénarios, une vérité s’imposera à elle : Ce soir, elle est à toi, c’est toi qui contrôle.
Attends quelques instants avant de revenir… Pas trop longtemps, sinon la tension retombera et tu risques de créer un malaise. Laisse-lui juste assez de temps pour absorber la mise en scène, pour que son esprit commence à tourner.
Reviens avec un beaux sourire des verre à la main en t’excusant de l’avoir fais patienter même si elle comprendra ton petit manège. Au fond d’elle, elle se dira “quel enfoiré”, mais avec ce frisson qui lui plaît.
Asseyez-vous. Buvez un coup. Engage une conversation légère. (Parles pas de boulot ou de la météo quand même) puis sondes la, demande-lui ce qu’elle ressent depuis qu’elle a franchi la porte. Laisse-la verbaliser son trouble.
Sans transition apparente, donne la première véritable consigne demander lui de se lever maintenant et de se tenir debout près d’un mur de la pièce. (Quand elle se dirigera profites à mater ses fesses, on le fait tous 😋). Puis fais la se déshabiller vêtement par vêtement… entièrement par des instructions claire, courte et ferme
Ne laisse aucune hésitation dans ton ton. Et regarde-la faire. Savoure sa lenteur, son embarras mêlé d’excitation.
Quand elle est nue, avance vers elle sans précipitation. Ralentis ton pas à mesure que tu réduis la distance, comme pour allonger l’attente. Arrivé devant elle, relève son menton d’une main, fermement mais sans brutalité, pour la forcer à croiser ton regard. Ne parle pas tout de suite. Laisse ce silence la traverser. Puis, au moment où elle s’attend à un baiser… et glisse ta main entre ses cuisses
Deux options :
Soit direct : une main posée avec autorité entre ses jambes.
Soit progressif : caresse ascendante, lente, en frôlant d’abord l’extérieur avant de remonter jusqu’a son vagin.
Dans les deux cas, regarde-la dans les yeux et demande d’une voix basse, posée ce qui la mise dans cet état.
À partir de là, tu as la clé. Tout ce qui suit n’est que déploiement :
Utilise ce que tu as préparé dans l’ordre que tu veux. Alterne intensité et pauses, pour la garder suspendue.
N’essaie pas d’épuiser tout ton arsenal : mieux vaut la laisser frustrée et avide qu’assouvie trop vite.
Conseil Important : si tu as bu, maîtrise-toi. Beaucoup se pensent dominants mais deviennent lourds, agressifs, méchants, voire effrayants après quelques verres. Si tu ne sais pas boire, ne bois pas. (Je dis cela pour mettre battu avec un mec à une soirée… ) d’ailleurs ce n’est pas seulement une règle pour le jeu : c’est une règle de vie. Rien ne ruine plus vite ton contrôle qu’un comportement imbécile et con.
Deuxième conseil : tu vas bander, évidemment. Mais ne te laisse pas guider uniquement par ta queue. Tu as aussi une langue et des doigts. Utilise-les.
Un bon cunnilingus ne fera pas de toi son soumis. Au contraire : bien exécuté, c’est une arme de domination subtile.
Exemple : Plaque-la contre un mur. Saisis ses poignets et lève-les au-dessus de sa tête, fermement, en lui ordonnant de ne plus bouger. Puis commence à descendre lentement… Sans précipitation, sans relâcher la tension.
Si tu es doué, ses mains chercheront ta tête malgré l’ordre donné, signe qu’elle perd le contrôle. Et là… arrête net, même si elle est au bord de l’orgasme. Redresse-toi, fais-la pivoter brutalement contre le mur et murmure à son oreille : Je t’avais dit de ne pas bouger.
À partir de là, ses fesses t’appartiennent.
Et si tu n’es pas un expert ? Ce n’est pas grave. Même maladroit, ton geste sera marquant, parce qu’il prouve une chose : tu as compris l’importance de varier les plaisirs et de la surprendre. Et si elle bouge, si vous éclatez de rire ? Parfait. Transforme ça en jeu. Rappelle-lui qu’elle a désobéi… et punis-la quand même tout en lui rappelant que tu mènes la danse. 😈
Comme je l’ai dit en intro, ce ne sont que des bases. À toi de modeler selon ton style :
- Tu veux être plus brut, plus animal ? Fais-le.
- Tu veux la bousculer, la malmener davantage et être sadique , fais le (c'est mon cas par exemple)
- Tu veux glisser vers l’humiliation ou la douleur ?
Trouve l’équilibre.
L’important, c’est que tout soit clair : tu contrôles, tu assumes.
Dernier conseil : Ne refais pas la même mise en scène à chaque rendez-vous. La répétition tue la surprise.
J’espère que ces conseils t’aideront. Oui, ça peut sonner comme une leçon de pseudo-expert du sexe… mais honnêtement, je m’en fiche, j’assume. Si ça t’inspire ou t’évite d’être un dominant de pacotille, mission accomplie.
Et si tu testes… reviens me dire ce que ça a donné.
Remarques: ce texte est écrits pour les hétéros car je suis hétéro... mais bien sûr il marche aussi pour les autres orientation sexuelle.
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pmision a posté un article.
Cet article, sera, contrairement aux article que j'ai pu écrire avant, plus le fruit de mon ressentie, de mes repère et de ma facon de voir les choses que celui de l'observation et de l'analyse froide.
Quand j'étai jeune, j'était très attristé et aussi un peu révolter de constater que le monde sociale était essentiellement fait de convenance et d'hypocrisie. Comme beaucoup d'adolessent, j'étai acro au porno, et même ici, je retrouvai cette hypocrisie et ces convenances. J'ai découvert le porno bdsm comme quelque chose de merveilleux, quel que chose qui échappait à tout ca.
Dans les filmes pornographique classique, il y avait toujours les mêmes cliché et tout tournait autour du triptique coit/fellation/sodo. Tout ca me semblait un peu vide et un peu ennuyant car on en avait vite fait le tour. Les émotions étaient clairement simulés et les rare fois où elles ne l'était pas, c'est quand il y avait des abus. A contrario, les videos bdsm semblé consensuelles, pures, franches, intenses et créative.
Ce qu'il y a de bien dans les milieux underground, c'est que l'on peut se rencontrer sans se juger, partager des choses non conventionnelles et de facon très intime. Quand le sexe était tabous, faire l'amour avec une femme était un engagement, une fusion, quelque chose de sacré. Plus tard, le bdsm a pris cette place pour moi car il était devenu un nouveau tabou, un nouveau partage intime dans la confiance.
Mais je ne retrouve plus ca aujourd'hui. Le monde du bdsm n'est plus vraimant underground. Il est remplis de convensions, de recherche de performance, de gens qui se jugent les uns les autres ou qui essais de se donner un style pour se valoriser.
Quand une personne choisi de se soumettre à vous, qu'elle s'abandone à vous, il nait un très fort sentiment de confiance et de plainitude. Cet état magique peut être atteint par des méthodes progressive. Pour moi le bdsm est lent, il commance par une caresse ou une parole sensible et il invite à un voyage de plus en plus profond. Partager un lien et des sensations fortes en commun. Dans la domination, l'homme devient atentionné, admiratif, bienveillant. Dans la soumission, la femme devient paisible, généreuse, dévoué, même son corp s'exprime de facon plus hérotique. Dans les jeux du style second life, les couples bdsm sont les plus fidèles et ceux qui dure le plus longtemps. Quand on partage quelque chose de profond avec quelqu'un, le liens est solide, plus solide qu'une relation convensionelle qui devient très vite une relation de circonstance et de convenance.
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Méridienne d'un soir a posté un article.
25/08/25
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La moindre allusion à ce coin de paradis entre terre et mer me devenait odieuse, mais mes souvenirs d'adolescente me revenaient avec bonheur. Le nom de Charlotte crié dans la mer à ma mémoire me faisait battre le cœur. L'une des vertus du temps calme est d'inviter le baigneur à s'éloigner du rivage, pour atteindre la distance où se produit un changement d'environnement sonore. On n'a guère conscience, au bord de ce tumulte plein de cris et de roulements de galets. Il faut nager et nager encore pour soudain, découvrir que le bruit diminue puis disparaît. Il faut que la clameur de la terre s'éteigne pour entendre bien mieux la présence de la mer, cette sonorité première. Maintenant, tandis que je progresse vers l'horizon, le frottement de l'eau et de l'air produit seulement un léger chuchotement de surface. Je nage et ma nage devient le sujet de toute chose, le seul phénomène tangible entre l'infini et moi. Je ne vois plusrien que ce casier de pêcheur signalé par un drapeu qui vacille, ou cet oiseau nageur qui plonge la tête et disparaît avant d'émerger un peu plus loin: c'est un cormoran. Je nage et je le regarde sans réflêchir; car la nage est l'unique occupation de mon être. Non comme performance sportive mais comme façon d'être à la surface des choses. Je progresse ainsi jusqu'à la la limite de la baie: ce point connu des bons nageurs où les trois arches des falaises se retrouvent dans un même alignement: porte d'Amont, porte d'Aval, et plus loin, Manne-Porte, la plus massive de toutes depuis Étretat. Par là-bas, en direction du Tilleul, la côte relève des beautés spectaculaires quand on s'y promène en bateau, longeant ces murailles verticales de cent mètres où les goélands accrochent leurs nids aux pics rocheux. Les criques se succèdent, avec leurs cascades, leurs oiseaux sauvages, leurs piscines naturelles qui forment le plus somptueux décor de toute la côte normande. Loin du rivage, il existe une autre façon d'être heureuse. Elle consiste tout simplement à se retourner sur le dos pour interrompre tout mouvement, à écarter légèrement les jambes et les bras, tel Saint-Pierre crucifié, puis à se laisser reposer nue ainsi face au ciel. Dans un silence absolu, regard tourné vers l'azur où passe un nuage blanc, l'esprit se met à planer, saisi par une rêverie où tout paraît à la la fois très distant et très présent. Par instants, je baisse légèrement le crâne et j'enfonce les oreilles dans l'eau qui, soudain, me racontent des histoires éloignées. Ce bruit de la plage que je croyais éteint revient par l'intérieur de la mer. Ma tête immergée perçoit le léger roulis des vagues sur les galets, puis un moteur de bateau qui longe la côte à plusieurs centaines de mètres: ce ne sont plus les sons de l'air mais les bruits des profondeurs qui renforcent encore cette étrange sensation de "femme-poisson" ou de sirène, les yeux rivés au ciel et la conscience dans les profondeurs. Quand enfin, je nage vers la côte, je me sens comme un navire regagnant le port après un long voyage. Ce retour n'en finit pas; l'aspiration de la mer m'a emporté plus loin que je ne le voulais; et c'est très lentement que les détails du rivage se reforment devant mes yeux. Étretat est là devant moi. La mince falaise d'amont, la plus belle quand le soleil décline par la douceur de sa lumière bleutée.
Rien n'a lâché, sauf moi. J'ai consenti. La part de moi qui a accepté de disparaître devant tant de beauté, reste pour toujours de l'autre côté de la grande vague. Tout autour, la mer m'observe. Elle attend le moment où j'aurai renoncé à la terre. Et la littérature m'envahit de nouveau, avec cette immense aiguille de de roche blanche sous laquelle Maurice Leblanc imaginait qu'on avait enfouit le trésor des rois de France, accessible par un passage secret. La pluie, le soleil, la brume ont peut-être plus d'influence sur notre comportement amoureux que nous l'imaginons. il me semble que la nature a toujours émis des messages. Et le vent. Le vent qui soulève le sable du désert, des oasis du Hoggar, et les dépose sur les arbousiers du maquis corse. L'invisible, ses sarabandes, ses fêtes, ses débauches, ses orgies des sens, la fabuleuse orchestration qui s'y déroule sans qu'on y prête attention, quelle conscience nous reste-il de l'immensité de tout cela ? Un instrument d'observation inapproprié, un organe atrophié fossile d'une fonction perdue, l'amour. Lui seul nous fait pressentir l'invisible. Et la poésie des corps. Mais c'est encore l'amour qui la suscite, l'éclaire, module son chant et fait frémir ses incantations lumineusement obscures. Le désir le conjugue au plus-que-parfait. Chaque étape initiatique de notre existence, par des liens secrets, est en relation avec un amour qui épanouit ses virtualités. Parfois, quand l'inanité d'écrire me ravage, je ne reprends confiance qu'en m'agrippant à la certitude que ce que je recherche ne réside que dans le partage, et la seule chose qui m'importe est ce qui jette mon destin dans de vastes espaces, bien au-delà de moi-même. La grande distinction d'Arletty coiffée de son turban blanc. Trois années avaient passé depuis ce réveillon où j'avais fait connaissance de Charlotte. Cette rencontre m'avait placée dans une position qui avait le caractère d'une parenthèse. Elle appartenait à un monde irréel puisque aucun des maux de ce monde ne l'atteignait. Un univers trop parfait n'est pas fait pour une femme qui veut toujours se prouver quelque chose en modifiant le cadre de son existence. Le temps passait avec une lenteur inexorable. Il semblait enfermer Charlotte dans une perpétuité du bonheur. Il me fallait des drames, des souffrances, un théâtre d'émotions, des trahisons qui ne pouvaient nullement se développer sur ce terreau-là. Charlotte, insatisfaite comme on l'est lorsqu'on choisit le chemin de la perfection, avait trouvé en moi un dérivatif à sa passion d'aimer endurer. Aimer c'est souffrir mais c'est aussi vivre. Vivre avec Charlotte ? J'y songeais, je le souhaitais et je le redoutais. Je le souhaitais parce que le sentiment amoureux qui ne se double pas d'amitié n'est qu'un état intérimaire de peu de durée, que l'indispensable amitié se fonde sur le temps qui passe, sur une accumulation heureuse de situations partagées, de circonstances vécues en commun. Je le redoutais parce que j'ai déjà fait l'expérience de prendre des trains en marche. Pas besoin d'imagination pour prévoir ce qui, tôt ou tard, adviendra, il me suffit d'avoir un peu de mémoire. Me voici, soumettant Charlotte. Nous dégustions les charmes de cette situation nouvelle dans une profonde entente mutuelle. Je la fouettais avec application tout en réfrénant son masochisme. Je ne voulais pas casser ma poupée de porcelaine. Me manquait-il une certaine cruauté ? Voici Charlotte qui s'anime d'amples mouvements à la rencontre du cuir. Voici qu'ils se confondent et s'exaspèrent et que, de sa bouche captive, elle pousse un gémissement qui me déchire le cœur. L'insensée crie et m'invite plus intensément. Ils se perdent ensemble au comble d'une tempête dont je suis le vent. Les yeux clairs s'agrandissent et leur eau se trouble. Elle ne me voit plus, son regard s'accommode au-delà. L'un après l'autre, les traits du visage changent d'ordonnance, ils se recomposent en une géographie que je ne connais plus. Sur ses lèvres qui s'entrouvent, les miennes se posent, ma langue pénètre, cherche et investit. La bouche de Charlotte accepte et bientôt requiert. Les yeux immenses se ferment et je devine qu'ils se tournent vers un monde ignoré. Mais derrière ce rivage de terre et de mer, se prolongent des histoires pleines de sous-entendus.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Deepdom a posté un article.
Je ne t’ai pas touchée. Pas encore. Je t’ai seulement tenue avec des phrases qui savent où elles vont. Une laisse de mots. Calme. Discrète. Tenace.
— Bonsoir.
Ta première phrase avait la douceur d’une porte qui se referme sans bruit. Fin de journée, écran qui chauffe un peu les doigts. Nous n’avions rien promis. Et pourtant, tout était déjà là, contenu dans le silence entre deux messages.
— Je lis depuis longtemps. Je ne sais pas comment dire… j’ai besoin d’être tenue.
Tu te décris sans t’excuser. La quarantaine. Des formes faciles à aimer. De longs cheveux blonds qui te tombent dans le dos. Une voix qui se devine dans tes mots, basse, retenue. Je reconnais cette faim tranquille qui ne veut pas faire d’ombre, mais qui ne part jamais.
Je réponds peu. Je coupe dans l’inutile. Je te fais de la place.
— Tu veux quoi ?
— De la clarté. De la douceur. De la fermeté.
Il n’y a pas de hasard. Seulement une évidence posée là, comme une main ouverte. Je te parle de limites avant que le désir ne s’emballe. Pas une liste. Un cadre. Sobre.
— Quand c’est trop, tu dis « ambre ». Si tu veux arrêter, tu dis « rouge ». Tu ne me dois pas plus que ce que tu choisis d’offrir. Je veille. Tu obéis. Je réponds.
Tu marques un temps. J’entends presque ta respiration changer.
— D’accord. Merci.
Je souris sans le montrer. La nuit s’installe. L’écran devient la seule lampe. Je referme doucement la main.
— Je ne te prendrai pas avec mon corps. Pas encore. Je te prendrai avec mes mots.
Tu laisses tomber une hésitation, une goutte claire.
— Oui, Maître.
Je te fais simple. Deux rituels pour commencer. Une respiration pour le matin. Une autre pour le soir.
— À 7 h, posture d’accueil. À genoux, ou assise si tu préfères. Tête inclinée. Dos long. Trois respirations lentes. Tu poses un mot pour ton jour. À 22 h 30, tu m’envoies trois phrases : « J’ai obéi à… » / « J’ai résisté à… » / « Demain, je… ». Ni plus, ni moins.
Tu acceptes. Tu offres ta discipline comme on laisse la porte du jardin entrouverte. Les choses commencent toujours par une poignée. Celle-ci tient bien.
Le lendemain, tu écris tôt.
— J’ai choisi mon mot : douceur.
Je ne te félicite pas. Je te confirme.
— Reçu. Continue.
Je ne presse pas. Je laisse mûrir. La tension naît d’elle-même quand le corps comprend que l’on ne le précipitera pas. L’esprit, alors, s’avance.
La troisième nuit, je donne ta première mission. Aucun effet de manche. Une instruction propre, lisse.
— Choisis une culotte. Coton si possible. Blanche si tu as. Tu la porteras chaque jour. Tu te caresseras parfois, sans jamais te prendre. Tu t’arrêteras avant de tomber. Tu respireras dans le manque. Tu la laisseras boire de toi. Tu l’emballeras ensuite. Tu la déposeras dans un jardin que je t’indiquerai. Nous ne nous verrons pas.
Silence. Le genre de silence où l’on s’entend dire oui. Tes doigts doivent trembler. Je ne t’aide pas. Je n’ajoute rien. La laisse se tend par elle-même.
— Oui, Maître.
Je t’envoie un plan. Un petit jardin discret, traversé par un banc de pierre. Lieu autorisé, calme, presque oublié. Le midi, la lumière y descend en biais et s’endort sur les feuilles. On y entend une fontaine qui sait se taire.
Les jours de denial commencent. J’écris peu. Tu écris mieux.
— Jour 1.
Tu racontes la chaleur fine du tissu contre toi. Le bord élastique qui marque la peau. La sensation quand tu croises les cuisses dans l’ascenseur. Tu dis que ton corps appelle, que tu lui réponds par la paume, deux minutes seulement, puis tu retires la main comme on retire une mèche du feu. Tu expliques sans crudité. Tu poses des mots clairs.
Je te réponds à la mesure.
— Deux minutes, puis trente secondes immobiles. Recommence une fois. Ensuite, mains à plat sur le ventre. Inspire. Laisse passer.
Tu m’obéis. Tu m’écris le soir : trois phrases. Rien de trop. C’est juste.
— J’ai obéi à la consigne. J’ai résisté à la seconde vague. Demain, je me tairai davantage.
Je sens que la culotte t’apprend. Le coton prend ce qu’il doit. Sel, tiédeur, effluves. Une signature. Tu t’y tiens.
— Jour 2.
Tu avoues une micro-désobéissance. Tu as prolongé de dix secondes sans me le dire. Une piqûre de honte, vite. Je te recadre sans fracas.
— Tu me dois la vérité, pas la perfection. Demain, tu reviendras au protocole. Tu me l’écriras en premier. Tu peux respirer.
La nuit, tu m’envoies un vocal. Ta voix basse. Un peu râpeuse. Le frottement d’un drap.
« Je porte. Ça chauffe. Ça colle. J’ai pensé à toi dans un supermarché, au rayon fruits. J’ai serré les dents. J’ai cessé. J’ai eu envie de pleurer, puis de rire. Je continue. »
Je coupe le fichier. J’écoute le silence après. Il a la forme de ta soumission. Il tient.
— Reçu. Tu fais bien.
— Merci de me tenir.
Jour 3. Le texte raccourcit. Tu économises tes mots pour économiser ta force. C’est bon signe. Tu listes ce que perçoivent tes sens.
« Coton : humide. Peau : chaude. Odeur : plus marquée. Esprit : clair par moments, impatient souvent. »
Je serre la laisse d’un cran.
— Aujourd’hui, tu ne te caresseras qu’une fois. Soir, rideaux tirés. Deux minutes. Arrêt net. Prononce tout bas “calme” à l’expiration. Trois fois. Tu te coucheras sans chercher le sommeil. Il viendra.
Tu appliques. Tu confirmes. Je te félicite sans éclat. La lumière basse fait son travail à notre place.
Jour 4. Le tissu devient un langage. Tu apprends à t’y lire. Tu indiques le sillage qu’il laisse sur ta peau quand tu t’assois trop vite. Tu notes la petite morsure de l’élastique après l’escalier. Le midi, tu dis que l’air a une odeur d’écorce humide. Tu dis que ça t’apaise. Tu répètes « calme » sans que je te le demande. Tu m’offres de toi sans t’en rendre compte. J’accepte.
— Ce soir, rien. Pas de main. Tu respireras seulement. Tu laisseras la chaleur monter puis redescendre toute seule. Tu noteras ce que ça fait à ta nuque, à ta poitrine, à ton ventre. Tu m’écriras ces trois endroits, et rien d’autre.
J’aime quand tu te retires au lieu de te fuir. C’est là que je serre fort et que tu ne casses pas.
Jour 5. Tu écris tôt. Une ligne. « La nuque : tiède, lourde. La poitrine : creuse, vive. Le ventre : docile. » Je relis. J’entends la place que tu me fais.
— Aujourd’hui, tu prépareras l’enveloppe. Papier brun. Ficelle. Une carte blanche, petite. Tes initiales au dos, en crayon gris. Pas de parfum. Pas d’artifice.
Tu enregistres un autre vocal. J’entends le froissement du papier. Le petit clic régulier de la ficelle qui glisse sous tes ongles. La fermeture d’une boîte. Son mat. Tu souffles dessus comme sur une bougie.
« C’est prêt. C’est simple. C’est à toi. »
À midi, je t’envoie l’heure et le point. En plein jour. Pas de cachette ridicule. Le banc de pierre. Côté ombre. Une pierre plate posée près du pied du banc t’attendra, comme un clin d’œil. Tu soulèves, tu glisses la boîte dans la cavité, tu remets la pierre. Tu t’éloignes. Voilà tout.
— Tu ne m’attendras pas. Tu ne te retourneras pas. Tu reprendras ta route comme si de rien n’était.
— Oui, Maître.
La veille, je te parle d’aftercare. Pas un grand mot. Une vraie chose.
— Après le dépôt, tu iras boire un verre d’eau, lentement. Tu enverras trois phrases : « C’est fait. » / « Je me sens… » / « Je respire. » Je répondrai. Je serai là. Ambre et rouge restent valides à chaque instant. Tu comprends ?
— Je comprends. Je ne veux pas ambre. Je ne veux pas rouge. Je veux oui.
Le jour dit, la lumière a cette clarté qui gomme les angles. Je suis en avance, à distance. Le jardin respire. Les feuilles font leur minuscule musique. On dirait que tout le quartier retient son souffle pour lui-même.
Une heure avant l’heure, je glisse sous la pierre, dans la cavité, un ruban blanc roulé et une petite carte : « Porte‑moi. » Rien d’autre.
Tu entres. Tes pas sont simples. Pas de théâtre. Un jean, un tee-shirt clair. Tes cheveux blonds serrés dans un élastique. Tu n’as rien de plus que l’essentiel. Je sens ta décision jusque dans ma paume. Tu fais le tour du banc comme si tu cherchais une ombre. Tu trouves la pierre. Tu la soulèves à peine. Cavité. Tu glisses la boîte, et tes doigts rencontrent un ruban blanc roulé, une petite carte. Tu les prends sans t’attarder, paume refermée. Froissement. La pierre reprend sa place avec un son feutré, plein, comme une note tenue. Rien ne déborde.
Tu restes une demi-seconde de trop. Tu te retires. Tu pars. Tu ne te retournes pas.
Je ne bouge pas. Je te laisse gagner la porte latérale. Tu disparais. Le jardin redevient un jardin. Je m’avance seulement alors. J’agenouille ma main sur la pierre. Je la soulève. La boîte est là. Elle a déjà pris la température du lieu. Je la prends comme on prend une offrande. Je la range sans l’ouvrir. Pas ici. Pas devant les feuilles.
Je m’en vais par l’autre issue. Nous gardons le jardin entier entre nous comme un témoin.
Deux minutes plus tard, ton message arrive : « C’est fait. Je me sens légère et profondément tenue. Je respire. »
Je t’envoie un vocal. Ma voix reste basse.
« Reçue. Bien reçue. Tu as fait exactement ce que je t’ai demandé. Maintenant tu vas rentrer. Une douche tiède. Le ruban au poignet gauche. Trois respirations longues. Tu t’allongeras dix minutes, mains sur le ventre. Tu laisseras descendre. Ce soir, 22 h 30, tu m’écriras tes trois phrases. Et demain, nous parlerons de ton silence au banc. »
Je garde la boîte fermée jusqu’à la nuit. Ce n’est pas une précaution. C’est une façon de respecter. J’aime le poids discret qu’elle a pris dans ma poche. Je la pose sur la table, chez moi, quand la lumière s’adoucit. Je défais la ficelle. Le bruit est presque une caresse. Le papier brun garde l’odeur du jour. La culotte est là, simple, blanche, devenue autre. Chaleur gardée, sel, effluves.
Je la prends dans ma paume, doucement. Je la porte à mon visage. Je ferme les yeux. L’odeur me traverse. C’est dense. C’est chaud. Ça monte droit. Comme une morsure lente. Elle a ton nom. Elle a ton souffle. Elle a tes silences.
Je respire plus fort. Je retiens. Puis je rouvre les yeux. Je suis là. Avec toi. Contre rien. Et c’est immense.
Je referme. La lenteur est une prière quand on sait à qui l’on parle.
Je te renvoie seulement : — Porte le ruban demain. T-shirt clair. Pauses de respiration à 10 h, 14 h, 18 h. Mot du jour : ancrage.
Tu réponds vite. — Oui, Maître.
Je coupe l’écran. Le silence tient la pièce. J’entends, dans la mémoire de mes doigts, la douceur mate du papier, le petit chuintement de la ficelle. J’entends aussi ta seconde de trop près du banc, celle où tout a basculé sans bouger.
Nous ne nous sommes pas croisés. Nous nous savons. C’est plus charnel que toutes les mains.
Demain, je resserrerai d’un cran. Rien d’autre. Rien de plus. Tu porteras le ruban comme on porte un secret qui respire. Et moi, je continuerai de te prendre avec mes mots, jusqu’à ce que tes silences disent oui avant même que tu écrives.
La laisse ne se voit pas. Elle tient. Nous aussi.
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AppelezmoiB a posté un article.
24/08/25
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On m’a récemment écrit que j’étais pas né à la bonne époque. Ça, adjoint d’un morceau de beau chapardé à la grande bibliothèque et qui faisait l’apologie d’Apollinaire. Guigui pour les intimes.
Le genre de phrase que tu relis deux fois pour l’égo et plus jamais histoire de pas t’y enfermer.
Le genre de phrase qui te fait dire qu’Onze mille verges et un Con large comme un estuaire, c’est un bon début pour une partouze et que tu serais peut-être mieux dans une autre époque B.
Va savoir.
Du coup, je me suis foutu à poil pour aérer ma peau de bête, j’ai enfilé une soumise, me suis délesté les deux poches et suis parti le corps léger en quête de savoir.
Il y en a qu’aiment pas ça, visiter les fondements.
Des qui se disent que le passé est derrière eux, à qui ça file un torticolis d’avoir à se retourner un peu. Qu’ont peur de se faire enfiler sans avoir vu d’où venait le gourdin. Des oublieux qui filent à grand pas vers la tombe et des refoulés de Sodome moi j’pense.
Qu’est-ce que ça baise dis donc avant!
Dans la fange et le satin, chez la bourgeoise et la catin, partout des chattes et des culs présentés, lézardés, défoncés, fessés, ruisselants de mots.
« Du papyrus à la pâte à papier, du vase étrusque à la porno HD, fais ton marché, y’a qu’à demander! » dirait mon pote Apothicaire, celui chez qui y’a toujours la queue. Pat’ pour les intimes.
Et puis de retour de Babel, sur le palier, je me suis souvenu de l’Ancien. Le Francoys. Celui qui monstrait aux populaces ce qu’elles avaient en elles qu’elles préféraient pointer du doigt et buter à foison. Les Salopes et les bêtes. Les putains et les gens pas nés à la bonne époque.
Oui. Jaurès aimé taper la Causette avec Hugo, Jean suis certain. Fumer des spleens dans le luxe, le calme et la volupté de l’autre, celui qui se donne des airs de beau. Idéalement croiser une centaine de ces morts vivants encore dans ma bibliothèque.
Mais tout bien pesé (la vidange d’avant départ aida c’est vrai), je suis bien né au siècle dernier.
B.
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Elle travaillait à son bureau.
Mail, clients, fournisseurs, compta, banque. Débordée. Concentrée.
Elle n'avait rien entendu venir.
Un sac noir sur la tête, un cordon qui se resserre, une très forte baffe, un coup dans le ventre.
Elle était pliée en deux, ne comprenait pas, ne savait pas, le cerveau qui disjonctait ...
Jetée sur le bureau à plat ventre, jambes écartées liées avec un lien plastique aux pieds de la table bureau, puis les mains de même de l'autre côté...
Que lui arrivait-il ? Elle avait peur.
Elle le sentait derrière elle, sa respiration, aucun autre bruit.
Que se passait-il ?
Puis sa petite jupe est relevée, sa culotte descendue, presque arrachée.
Elle n'arrive pas à parler, à crier. Son cerveau déconnecte.
Elle entend sa règle en métal. Puis les coups sur ses fesses. Fort. Très fort.
Elle crie. Elle a mal.
Mais pourquoi elle tend ses fesses. Son corps qui réagit seul. Et elle mouille.
Mais pourquoi est-elle trahie par son corps.
Elle se sens sale, se sait chienne, maso.
Mais lui qui est il ? Pourquoi elle ?
Les doigts qui l'a fouillent sans tendresse, dans sa chatte, dans son cul.
Et elle mouille, s'ouvre, se dilate, pousse.
Elle aimerait plus. Encore plus fort, plus sale, plus violent. Elle aime.
Elle se sent tellement salope. Tellement chienne. Tellement pute.
Mais pourquoi. Pourquoi est elle ainsi.
Une queue, directement dans son cul.
Il ne cherche pas à lui donner du plaisir. Juste à en prendre.
Une esclave. Voilà ce qu'elle est.
Le seul bruit qu'il fait est un grognement de satisfaction en éjaculant son sperme dans son cul.
Elle pleure, mais elle aime ça.
Elle aime tellement juste servir, être une esclave, ne pas avoir son mot à dire, elle n'est qu'orifices pour mâle...
Détachée, la cagoule est enlevée.
Le regard hagard, elle le regarde.
Puis souris, heureuse, juste totalement heureuse.
Elle aimerait tellement le voir maintenant marquer son territoire, pissant sur sa chienne.
Son maître, son propriétaire ...
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Belle performance pour la demoiselle de formation sans doute danseuse ou gymnaste, mais, à part pour la photo, pas très pratique pour le reste à part peut-être du wax play...
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26/08/25
Antoinette a posté un article.
私は全てを支配する。
Watashi wa subete o shihai suru.
Je domine tout ce qui m’entoure.
恐怖と快楽を操る。
Kyōfu to kairaku o ayatsuru.
Je joue avec peur et plaisir comme des instruments.
私は強く、揺るがぬ意志を持つ。
Watashi wa tsuyoku, yuruganu ishi o motsu.
Je suis forte, et ma volonté est inébranlable.
🔹 Utilisation :
Inspire → 私は全てを支配する (affirmation de ton pouvoir et de ta présence).
Pause intérieure → 恐怖と快楽を操る (sensibilité à l’énergie que tu crées chez l’autre).
Expire → 私は強く、揺るがぬ意志を持つ (ancrage dans ta puissance et ton contrôle).
💡 Ce mantra fonctionne comme un rituel rapide avant une seance pour te centrer dans ta force de dominatrice et ton charisme.
Avant de faire claquer le fouet amer.....
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AppelezmoiB a posté un article.
J'te préviens tout de suite machin.
Oublie la poésie.
Ce soir, j’ai la plume acerbère, les couilles bien trop pleines et l’envie de te dire des trucs qui tâchent.
Des choses dégueulasses que je trouvent belles à dire et qui te feront saigner les oreilles même si je les murmure.
Alors pose ton cul sur ta soumise, machin, ou sur une queue si t’es une machine, et accroche toi à ta perversion parce que toute entrée est définitive.
Cette femme que je vais te raconter n’aime pas les Hommes.
Elle le dit sans pudeur à l’apéro, entre deux olives et un viol de gorge.
C’est rare les femmes qui se livrent en profondeur.
Entends moi bien. Les hommes, les femmes, les blancs, les noirs, les jeunes, les vieux… Je vais pas te faire une liste.
Elle est belle quand elle dit ça. Plus encore avec son maquillage foutu, ses seins couverts de salive et la balayette qu’elle tient à la main pour ramasser une poignée de ses cheveux.
Elle s’en fout. Parce que c’est pas ça qui lui importe à elle, les Hommes.
Mais ce que je vois dans ses yeux quand je m’en sers en revanche, ça te fait comprendre les origines de son monde bien plus crument qu’un Courbet.
Une bête féroce, une fosse des Mariannes, une chose puissante qui flippe de cramer son enveloppe de femme et hurle « Arrachez-moi! Attachez moi » comme un Ulysse à son mât. Alors moi je la mâte tu panses bien! Et s’il lui faut deux mâts pour rester en flots et saloper le faux parquet, c’est tant mieux!
Je l’encule même au petit matin quand elle dort encore, juste pour revoir ça. Et pour me vider les couilles, faut pas déconner.
Moi ça me raconte un truc fort tu sais machin. Et toi aussi machine.
Parce que si tu regardes bien, j’ai dans les yeux quelque chose qui ré-sonne en écho.
Ya pas Dom sans sur-mise, t’es pas d’accord?
Alors… All in!
T’es encore là machin? Machine?
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Scalfone a posté un article.
Revenons au quotidien de notre grande amie Chantal. A ce stade en 2025 elle aura été plus en inactivité qu'au travail. Depuis 20 ans à la retraite, 10 ans pour élever ses deux filles et deux garçons et ayant fini ses études d'ingénieure à 26 ans elle vient de prendre conscience que sa retraite de cadre plus la reversion de son défunt mari donnent un pouvoir d'achat superieur à sa periode active. Au surplus elle est propriétaire de son apart à Courbevoie plus une splendide hacienda vers St Jaques de Compostelle. Aussi elle est tombée follement amoureuse d'Eveline. Même si elles ne font pas ménage commun et malgré la différence d'âge Chantal reste la guide sexuelle et caressante. Bien sur Sultan reste l'amoureux mâle unique et lorsque Eveline s'instale le pauvre Sultan peste sur le balcon on passe ses journées dehors dans son enclos de St Jacques. Eveline ne supporte pas le chien et ne veut même pas essayer une caresse encore moins un gamahuchage comme Chantal en est friande.
Bien sur qu'à 80ans Chantal avec sa stature sportive et soignée en parait 20 de moins mais quand elles sortent en amoureuses on les prend pour mère et fille. C'est sans doute ce qui a attiré la belle Eve. A l'anniversaire de Shona elle se sont flashé d'un coup d'un seul. Chantal se refaisait une beauté aux toilettes et Eveline sortait du cabinet. Elle passa sa main dans le cheveux poivre et sel et pris la bouche de Chantal. Eveline prenant la taille de sa conquette la força a de nouveau entrer au cabinet, ferma le verrou et l'embrassa de façon si passionnée que Chantal se laissa faire ; car quelque années sans tendresse ni attouchement vous laisse en position de demandeuse. A 80 balais cette assaut n'est qu'un rève pour certain-e-s mais ce soir là le temps était suspendu et les léchages, mordilleries eurent raison de cet abandon. Chantal n'est pas en reste et plonge directement dans le jean se reprend, defait la ceinture Gucci, déboutone la braguette et fonce sur cette belle et douce peau, Eveline ne porte jamais de string ou de culotte. Chantal si car depuis sa ménaupose quelques gouttes de pipi et quelques traces de feces l' obligent à garnir cette pièce de dentelle.
Sa petite chatteChantalienne coule entre ses doigts preuve que les caresses en rond sur ce gros clitoris, toutes surprenante qu'elle soient réagissent chez Eve et Chantal. Cette gluance vient sceller ce flash à présent réciproque. Eveline s'assied sur le wc, baisse la belle culotte satin de Chantal et viens la languer en lui plantant ses ongles manucurés dans le flasque fessier octogénère pour écarter ce bel anus jauni mais dispinible
Chantal reste tendue et appuie ses mains contre le mur comme pour éviter de s'éfondrer. Elle reste contractée jusqu'au moment où le majeur, l'annulaire de la main droite d'Eve s'introduisent dans ce qui fût un de paliatifs à la conception : recta.
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Popée a posté un article.
Elle devait prendre un vol international tôt le matin et avait décidé de dormir dans un de ces hôtels anonymes qui bordent les pistes.
Fatiguée par sa journée de travail et après avoir déposé sa valise dans sa chambre elle décide de se rendre au bar pour se détendre : lire un livre et boire un peu champagne.
L’heure du dîner approchant elle ferme son livre, fait mettre sa note de bar sur la facture de la chambre et remonte dans sa chambre. Couloir vides et silence.
Se faire couler un bain chaud et délassant, sortir des vêtements propres, allumer la télévision en bruit de fond.
Démaquillage, remonter ses cheveux en chignon et plonger dans l’eau mousseuse, quel bonheur !
Le téléphone sonne. Le déplaisir de devoir sortir de l’eau et aller dégoulinante jusqu’au combiné.
Une voix d’homme qui lui dit qu’il l’a vue au bar, qu’il la trouve ‘divine’ et souhaiterai l’inviter à dîner. Refus poli.
Il badine avec humour et insiste un peu. Rires et refus catégorique.
Elle s’habille, se maquille, se sent enfin apaisée et prête pour le dîner. Salon de repas quelconque, s’asseoir et commander ; intriguée quand même elle se demande qui peut bien être l’inconnu du téléphone.
Autour d’elle : 3 couples, 2 autres femmes seules et 6 hommes visiblement non accompagnés ; elle abandonne les couples, les filles et porte son attention sur les célibataires ; qui pourrait être son mystérieux correspondant ??
Après une brève divagation amusée sur ceux qui avaient retenu son attention, elle laisse là son imagination et retourne au bar.
Etendre ses jambes, regarder, rêvasser, lire un peu. Tout ce qu’elle a toujours fait avec délectation ; elle se demande si son mystérieux inconnu osera l’aborder, lui parler et surtout qu’elle serait sa propre réaction.
Grisée par le champagne, lasse, elle remonte vers sa chambre. Couloirs vides et silence.
Se déshabiller et se démaquiller à nouveau, vérifier le réveil et plonger dans des draps frais et un peu rêches.
Le téléphone sonne et sa main se tend vers le combiné, elle sait déjà qui appelle.
Il lui dit qu’elle est ravissante qu’il la désire, elle l’éconduit mollement, il s’acharne avec des mots de séduction.
Elle sait soudain, qu’elle va accepter. Parce qu’elle en a besoin. Parce que ce soir, elle a besoin que son corps nu s’abandonne au plaisir. Elle dit : « J’arrive ».
Un inconnu. Vieux, jeune ? Gros, mince ? Aucune importance. L’important est l’impériosité du désir, du corps qui a faim et soif.Se rhabiller, se maquiller un peu et y aller « la fleur au fusil ».
La chambre est au même étage et elle trouve rapidement la porte. Entrebâillée. L’ombre de la chambre et une luminosité étouffée et lointaine. Couloirs vides et silence.
Pousser la porte, s’enfuir. Bravache, elle entre doucement dans la pénombre. Elle entend un son étouffé et sait qu’il est là. Elle le voit ‘lui’ indistinctement, une ombre. Sauf son regard qui se pose sur elle. Avide, déjà.
Il la plaque contre le mur dans l’étroit sas qui mène à la chambre. Il la retient par les épaules et elle se raidit. Ils se regardent et se trouvent. Leurs souffles et le silence de la chambre. Il embrasse sa bouche avec force.
Mord sa lèvre, elle crie. Un cri comme une surprise. Un baiser vorace.
Elle s’oublie dans ce plaisir qui déjà raidit ses seins. Elle sent sa verge dure contre son ventre. Elle est presque nue. Il est habillé.
Il ouvre son chemisier et prend un de ses seins, lui mord le téton, presque furieusement. Une douleur aigue et cinglante remonte de ses entrailles et elle doit crier pour accommoder la douleur.
Elle mord le tissu de sa veste. Ecrase son visage contre son torse pour ne pas hurler.
Il la bascule par terre sur l’épaisse moquette. Il lui prend ses seins qu’il mord et ronge comme un os. Elle n’a jamais ressenti ces sensations aveuglantes entre douleur et jouissance.
Elle a besoin d’air, de respirer, d’un moment de calme mais il ne lui en laisse guère. Il ne dit presque rien. Juste des petits mots sans véritable sens.
Il lui écarte les cuisses et enfonce ses doigts en elle, d’un coup, comme on enfonce un couteau. Elle s’ouvre, sans ménagement, sans hésitation. Il s’écarte et elle entend le bruit chuintant de sa ceinture qui glisse. Elle ne voit presque rien et est juste dans le ressenti, les odeurs et les sons.
Il lui prend les bras et les étire vers le haut et elle sent le cuir qui entoure ses poignets. Il tire et force furieusement elle se sent prise au piège de l’immobilisation. Ramper. La moquette est douce mais râpe ses cuisses.
Elle se 'voit' allongée sur le sol les bras levées, étirés et noués, son chemisier largement ouvert sur ses seins meurtris, sa jupe retroussée et ses cuisses ouvertes, sa vulve palpitante et inondée de cyprine.
Il grogne et elle entend la braguette qui s’ouvre et son corps à lui qui bascule vers elle.
Sa verge la fend en deux. Sèchement. D’un coup, et elle crie. Un cri lorsqu’il butte au fond d’elle.
Il la martèle avec vigueur et ténacité. Elle savoure, s’abandonne à son rythme à lui. A ses coups qui la percent. Elle entre en transe. L’oubli de soi et se repaitre de sensations.
Elle jouit de manière fulgurante et il continue à la buriner jusqu’à l’inonder de son sperme.
Elle sent son poids sur et à côté d’elle. Les corps qui font relâche et s’apaisent épuisés. De longues minutes d’immobilité et de langueur. Il glisse ses mains vers le haut et la détache de sa ceinture.
Il prend doucement un bras et le tourne vers lui. Elle est incapable de bouger. Il caresse lentement l’intérieur de son poignet meurtri par la lanière de cuir, dépose sa bouche en un baiser mouillé et la mord !
Elle a le souffle coupé et se recroqueville. En un mouvement de tête il mordille son cou, sa nuque.
La fatigue s’abat sur elle. Elle se lève et s’en va. Comme une fuite sans même tourner la tête. Couloirs vides et silence.
Elle court presque jusqu’à sa chambre. Se déshabille en jetant ses vêtements et se glisse, humide et moite de ce corps à corps, dans les draps. Un sommeil de plomb. Sans rêves.
Assise dans l’avion elle regarde par la fenêtre, les nuages moutonneux.
Et elle voit. Elle voit la trace parfaite de morsure sur l’intérieur de son poignet. Et elle se souvient.
Il a dit : call me.
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EvaD- a posté un article.
Hétéro 6
22h.Je suis assise à ma place à table. Je vagabonde entre mes messages, fet et un roman que je ne lis que d'un œil.J'entends vaguement qu'il se brosse les dents, mais ne porte pas attention à lui.Je poursuis une discussion houleuse avec ma demoiselle, lis trois lignes, reprends mon propos. Décidément quand elles ne veulent pas comprendre! Oh bon sang, ça y est je m'énerve, ah...si elle était en face de moi je l'attraperai et lui ferait ravaler sa mauvaise humeur.Je lui envoie un message cinglant. Mais c'est qu'elle me répond en plus!Tout à coup, je sens sa main sur mon épaule. Je me dégage abruptement. Sa main vient alors enserrer mon poignet et il me relève d'un coup face à lui.
-Eva, ça suffit maintenant tu viens.
-Non!
Il tire sur mon poignet, ses yeux fermes plongés dans les miens.
-Si!
-Je n'ai pas fini mon message! Et puis pas maintenant !Mon chapitre non plus et...
Il me pousse vers la porte de la chambre.
-Avance Petite!
Je me retourne furibonde.
Mâchoire crispée et yeux fous.
-Ah non! Je ne suis pas petite!
Il me saisit par la taille et me jette sur le lit.Ses mains relèvent mes reins pour me placer à quatre pattes.Il soulève ma robe jusqu'au milieu du dos, baisse ma culotte en faisant crisser le tissu sur mes cuisses.
Je continue à râler...
-tais toi je n'ai pas précisé quel type de Petite.... Putain ce cul....
J'entends le cliquetis de sa ceinture, le bruit de son jeans qui s'abaisse.Cette attente m'énerve encore plus qu'elle ne m'excite. Mais je n'ai pas le temps de me languir. Je sens son sexe dur qui se pose sur mon cul, glisse entre mes fesses, trouve le chemin de ma fente. D'un coup de rein il me pénètre.
Ah! Oh putain...je gémis.Je grogne, animale. En quelques coups de son boutoir, je suis au bord de la jouissance. Une pensée surgit, oh mais bordel ça faisait combien de temps?4 jours?Je me sens comme prise pour la première fois de ma vie. Je me sens plus serrée que d'habitude. Ma bouche est ouverte; je halète. Je sens ma salive humecter ma lèvre, oh mais merde je bave !
-Petite putain.
Ces mots me font vriller, je cherche son sexe maintenant, je tends les reins et m'empale sur son vit.
-Attends!
-quoi? Non! Je vais jouir...
Il se dégage, pour se dépêtrer de son jeans qui entravait ses chevilles.Ce court laps de temps m'exaspère. Je suis vraiment hargneuse ce soir....Sa main s'abat sur ma fesse droite.Ouch! Ça blesse mon ego ça.Je me fais la réflexion que vu mon humeur, c'est sans doute mérité.La gauche maintenant. Aie. Putain! Mais quand est ce qu'il a apprit à frapper aussi fort?!
-tu vas voir...Je ne sais pas très bien si il répond à mon humeur ou à ma pensée.
Il lit dans mes pensées, je le sais.
Enfoiré.
Il me tanne le cul pour ce mot.
Oh le salaud.il sait!
-Écarte.
-Non.
-Écarte.
Je suis toujours à quatre pattes. De sa main droite, il force mes cuisses à s'ouvrir.Je résiste. Il m'en claque l'intérieur.Je couine, mais j'ouvre.Je l'entends farfouiller dans le panier des jouets.Je me demande ce qu' il va piocher. Pas la cravache quand même ? Oh...pas la petite trique? Oh...je n'ai vraiment pas envie là. Je deviens difficile à mater depuis quelques temps, et je n'ai aucune envie de me livrer à ce petit combat face à moi.J'entends le bruit caractéristique de l'emballage d'une capote.Le gode!
-je sais que tu en as envie.
Euh ...en vrai ...oui. mais je ne sais pas lequel il a pris.Oh putain! Celui là c'est le gros. Je le sens dès qu'il me le place à l'entrée de mon intimité.Il pousse fermement le jouet en moi. Je gémis sous la sensation qu'il est entrain de m'ouvrir. Petite douleur lancinante puis fulgurante quand mon anneau se crispe et se referme autour de l'objet. Il ne s'arrête pas là, il le retire, le repousse tout aussi fermement et plus loin. Puis il fait de petits mouvements avec qui me font crier. La douleur est remplacée par un début de plaisir.Je plaque ma main sur mon sexe, je mouille abondamment. J'ondule du bassin, en râlant sous cette prise profonde.Il laisse alors le jouet en place, s'assure qu'il ne ressortira pas et s 'invite dans mon sexe.J'ai la tête enfouie dans l'oreiller, ses doigts enfoncés dans ma bouche, je crispe mes poings sur les draps, je suis prise de tous côtés.Il attrape alors mes cheveux à la base de la nuque et me force à le regarder par en dessous.
-tu aimes ça hein ma Petite salope. Dis le ...
-oui!
-dis ce "j'aime me faire enculer et prendre par tous les trous..."
-hmmmm, je murmure la phrase
-plus fort Putain!
-oui j'aime me faire enculer et prendre par tous les trous.
A ces mots le tourbillon m'emporte et m'engloutit. Enfin je jouis comme en rupture de barrage.
Entre mes jambes , sur les draps une flaque...
Je roule, plaque sa main sur mon sexe explosé , vais mordiller son cou.
Je lui murmure un sourire dans la voix, dans les yeux et le coeur,
-je t'aime mon homme hétéro cis.
Il me répond en prenant un air offusqué mais le sourire dans les yeux:
-I'm not a number! I'M A FREE MAN!
Le fou rire nous prend autant que l'orgasme nous a saisi...
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Clara 🌹 a posté un article.
Je me cache sous la mousse comme une gamine idiote qui croit disparaître… mais vous voyez surtout votre petite chienne nue, offerte et incapable de vous échapper.
Si vous preniez cette serviette mouillée, vous pourriez me claquer les fesses jusqu’à ce que je couine et que je pleurniche comme une enfant grondée.
Ridicule, honteuse et excitée, je resterais à genoux, à vos pieds, votre gamine soumise, votre chienne bien dressée.
#texteperso
#photoperso
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