par Abyme
le 16/03/15
J'aime
Je couche une phrase
sur le papier
avec langueur et délicatesse
elle s'étire, se déploie
étale ses lettres de noblesse
De ma plume
je l'éveille
je l'anime
et la caresse
jusqu'à ce qu'elle parle
qu'elle dise tout
les quatre vérités
les points sur les i
D'une virgule
elle se cambre
s'épenche
et m'invite enfin
à me taire
alors
à point nommé
je tombe sous le sens.
Filo
sur le papier
avec langueur et délicatesse
elle s'étire, se déploie
étale ses lettres de noblesse
De ma plume
je l'éveille
je l'anime
et la caresse
jusqu'à ce qu'elle parle
qu'elle dise tout
les quatre vérités
les points sur les i
D'une virgule
elle se cambre
s'épenche
et m'invite enfin
à me taire
alors
à point nommé
je tombe sous le sens.
Filo
Posté dans: Art/Dessin/Poésie/Musique
Suggestion
Par : BDSM
"La Vie selon Ann" a fait sensations au dernier Festival de Cannes. Ce long métrage a été réalisé par Joanna Arnow et promet, d'après les critiques cinématoghraphiques, de secouer les milieux cinématographiques. L'approche est assez sulfureuse pour une recette plutôt simple : explorer la vie d'une femme new-yorkaise. Présenté à la prestigieuse Quinzaine des Cinéastes au Festival de Cannes en 2023, ce premier long métrage de Joanna Arnow se fait donc très attendu tant par les cinéphiles et que par les critiques.
Décrit comme une "comédie BDSM", le film dépeint la vie d'Ann, interprétée par Joanna Arnow elle-même, à travers un prisme à la fois intime et provocateur. S'y succède une série de scènes de soumission, qui se font parfois alibis pour aborde bien des aspects de la vie sexuelle, mais pas seulement, puisque vie professionnelle et vue familiale y sont également abordé. Les premières critiques attisent d'ores et déjà la curiosité quant à cette approche particulière qui devrait donner au film un caractère fragmenté et expérimental, et finalement sans doute très psychologiques, de par son exploration des complexités et des contradictions inhérentes à la vie de son personnage principal.
Il se dit que la performance de Joanna Arnow y est particulièrement remarquable, car elle se met à nu, tant sur le plan émotionnel que physique. Le film explore des thèmes tabous et questionne les normes sociales avec audace, repoussant les limites du genre cinématographique en combinant humour, vulnérabilité et exploration de la sexualité.
Lors de sa présentation au Festival de Cannes, "La Vie selon Ann" a en tout cas fait parlé, suscitabs des réactions contrastés et des débats déjà passionnés. En dévoilant des aspects souvent cachés dans l'intimité de la vie d'une femme, le film bouscule et provoque, interrogeant sur les dynamiques de pouvoir, les désirs et les choix personnels.
Attendu pour sa sortie le 14 février 2024, "La Vie selon Ann" est un film à ne pas manquer, par curiosité à ce stade, pour ceux qui cherchent à explorer les limites du cinéma contemporain dans le cadre BDSM qui nous est cher.
341 vues
Par : ChatMOnYou
(Réédition du 04/02/2016 -> 23/03/2024 - 683 Vues)
.
Naître, respirer et en pleurer..
Découvrir, marcher et tituber..
Grandir, se connaitre, et se la jouer..
Aimer, disparaitre, se torturer..
Assumer, se noyer, en plaisanter..
Partager, posséder, ou s'isoler..
Vieillir, se débattre, et ignorer..
Evoluer, oublier, se résigner..
Fusionner, pourrir, fertiliser..
Imprégner, modifier, s'aventurer..
Brûler, geler, s'atomiser..
Stagner, sillonner, être aspiré..
Rejeter, s'agglutiner, et tourner..
Créer, détruire, coloniser..
Dévorer, souffrir, se réveiller..
Ressentir, servir, s'illuminer..
et enfin Vivre...
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
731 vues
Par : Varuna-6
Je t'ai connu très jeune, trop jeune peut être.
À l'époque je n'ai pas compris,
Pas compris la boite de Pandore que tu représentais.
C’est ainsi, porté par les affres des hormones de mon jeune âge,
J'ai voulus tout découvrir, tout essayer, :
Tu t'es quelque peut épanouis.
J'ai aimé, j'ai pleuré :
Tu m'as haï autant que tu m'as chérie pour ça.
Je me suis découverte,
Et toi aussi.
J'ai eu peur,
Tu as ri : de toi, de moi, de nos actions, des Autres.
Et puis je t’ai relégué au fond de mon être,
Il m’as fallut ça pour te comprendre, nous comprendre.
Je me suis questionné, énormément,
J’ai fait de l’art de l’introspection un véritable toc !
D’où viens-tu ?
Suis-je normal ? D’où me viennent ces envies ?
Es-ce vraiment mes envies ? Mes besoins ?
Ou es-ce le résultat de mon formatage précoce ?
Et tu une partie de moi à découvrir ?
Ou un parasite à bannir ?
Je ne t’ai pourtant jamais vue comme un fardeau ou un secret,
Mais par tous les diables : qu’es se que tu es compliquée à vivre !
En fin de compte, même si je t’ai bâillonnée,
Tu étais là, grattant sous la surface,
Me poussant à te laisser sortir !
Nous avons grandis, pas forcément en symbiose.
Maintenant je te protège, farouchement.
Si l’un de ces corbeaux au plumage encore plus faux que leurs ramages s’approchent,
Je montre les crocs.
Comprend moi aussi :
« Chat échaudé craint l’eau froide » !
N’oublie pas que la confiance se gagne,
Elle ne se donne pas !
Toi qui a tant besoin de lâcher prise,
Qui ne demande qu’à t’épanouir,
Qui me supplie de ne pas résister à cet appel de te libérer…
Ne te fâche pas petite chipie,
Je fait des progrès pour te laisser mener la danse.
De se que j’ai compris,
Tu as le même feu que moi,
C’est peut être aussi pour ça que nous avons besoin,
Autant toi que moi,
Dans notre tourbillons extatique,
D’émotions incontrôlée,
D’une aura d’où émane autant de force que de sécurité,
Pour que nous puissions nous embrasser.
Nous avons aussi en commun cette soif d’apprendre,
De nous comprendre,
De nous transcender.
Alors,
Mon amour,
Même si le chemin est encore long,
Je te promet de tout faire pour que nous prospérions.
254 vues
Par : Thutale
_ Thutale :
Complice de longue date, partenaire, cher amant,
Vous qui m'avez vue peu à mon avantage, bien
Moins assurée que derrière mon écran. Je viens
Vous implorer face à l'assemblée. Ci-devant,
Homme sans pitié, j'avoue tous mes méfaits
Et ose rendre compte des méthodes par lesquelles
Vous fîtes avec aisance repentir la donzelle
Parfois d'un seul mot, d'un regard, sans fessée.
Vous m'avez, plus souvent qu'à mon tour,
faite agenouillée devant tous au grand jour,
dans le coin d'une chambre ou encore à vos pieds
d'où je dus sucer votre membre dressé.
Destrier, obligée à vivre à quatre pattes
Avec autour du cou un beau nœud de cravate :
Vous osâtes chevaucher ma croupe incandescente
Votre vit dur planté en cul comme une hampe.
Vous avez attaché votre esclave indocile
A des crochets, toute droite, bras levés, et les cils
Baissés. Des larmes plein les joues. Sachant sévir :
Pour chaque rébellion vous me fîtes gémir.
A présent que vient l'heure de régler nos comptes
Si je ne puis jurer de mon obéissance
Accordez cependant que j'implore clémence :
Un doux frisson de peur me parcourt - j'en ai honte.
_ L'homme ombrageux :
Point de merci, il est trop tard !
_ Thutale :
................................................... Ah donc, monsieur,
C'est sans espoir ? Je dois m'attendre à la fessée ?
_ L'homme ombrageux :
Pour avoir, jeune femme, voulu me freiner
Vous serez en sus flagellée. Baissez vos yeux
Impudents sur mes pieds. Je veux à ce visage
voir un air repentant. Et cessez de parler.
Quand vous serez pluguée, rosebudée, harnachée,
Au travail à la longe : oh vous serez bien sage.
Court vêtue, ma soubrette, vous me servirez.
Je vous doterai vite des us dont vous manquez
Encor. Bien indécente, humiliée à mes pieds,
Je vous apprendrai à réclamer le fouet.
Vous allez m'obéir, femelle par trop fière,
Bien gentiment. A mon rythme et à ma manière.
_ Thutale :
(à part soi) Ouh le mytho... (tout haut) Y parviendrez-vous ? je l'ignore.
Mais avant ... permettez que je fantasme encore !
Je viendrai à vous nue, le corps cerclé de chaîne
Cliquetante. J'aurai la peau d'une blancheur
Eclatante, l'âme ravie, le feu à l'aine :
Charmante. Vous me voudrez pour amante sur l'heure
Je vous adjurerai de ne point me faire mal
De laisser là vos mœurs barbares. Sans botter
Mes fesses tendres. "Aussi vrai que je suis mâle !"
Tombant agenouillé, vous poursuivrez : "Beauté,
Beauté des cieux qui virent notre rencontre !
Belle enfant, mais je ne puis y songer sans honte
Mes mains tremblant vers vous ne veulent que bercer
Ma langue laper, mon membre vous ravir, et...
oui... des paroles douces couleront de mes lèvres.
Je tresserai pour vous des couronnes de fleurs,
Vous donnerai le bain, vous masserai des heures
Et vous ferai connaître les plus brûlantes fièvres."
_ L'homme ombrageux :
C'est cela. Courez vite que je ne vous attrape
Chaton, et vous troussant ne vous mette une tape.
Vous chanterez sous peu une toute autre musique
Attendez que je vous sodomise petite...
_ Thutale :
Oh, je sais fort bien ce que vous m'allez dire :
Que "Rien ne pourra atténuer blablabla"
Mais puisque mon destin est scellé par vos ires
Que pourraient y changer deux vers de plus, ou trois ?
_ L'homme ombrageux :
Votre intérêt vous le mesurerez tantôt :
Trop tard. Poursuivez ces persiflages farauds...
Bientôt vous vous tordrez de désir devant moi.
Nous le savons tous deux : vous vous tordez déjà.
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Par : Varuna-6
Mais oui "qui suis-je ?"
"Qui sommes nous, vraiment ?"
Et bien ...
Je suis l'énergie incandescente du Feu,
Je suis le pragmatisme et la résilience de la Terre,
Je suis virevoltante et insaisissable comme l'Air,
Je suis le calme mêlé à la force de l'Eau,
Je suis, pour finir, doté d'un Esprit comme tout à chacun.
Je suis de celle qui s'extasie à la vue d'un oiseau, posé sur les pierres de la rivière.
Je suis celle qui hurle à plein poumon dans la forêt.
Je suis celle qui regarde plus qu'elle ne voit, celle qui écoute plus qu'elle n'entends.
Je suis celle dont le doute s'insinue avec perfidie dans ses pensées, tissant ses toiles d'araignée.
Je suis celle qui rie comme une enfant, savourant les moments de bonheur.
Je suis celle qui se méprise, celle incapable de fixer son reflet qui la dégoûte.
Je suis l'animal qui se fît à son instinct, qui sent et qui ressent.
Je suis la petite fille qui court faire un bonhomme avec les premières neige sans mettre de gants.
Je suis là Brat qui va taquiner jusqu'à faire perdre la tête.
Je suis le monstre, froid, cyniques et insensible qui méprise.
Je suis celle qui donne sans compter, dont la loyauté n'est plus à démontrer.
Je suis la louve tapis dans sa tanière, où l'éclat des crocs percent par l'interstice de ses peurs.
Je suis de celle qui rend les armes et qui s'apaise dans les cordes.
Je suis ce cerveau qui à besoin du paradoxe de Fermi, du Bozon de Higgs, de l'allégorie de la caverne pour être stimuler.
Je suis de celle qui s'oublie pour savourer le regard heureux de ses proches.
Je suis la soumise, à genoux, qui attend patiemment, dans la confiance et l'abandon.
Je suis franche et directe à en faire grincer des dents.
Je suis douce et fragile à en faire pleurer les pierres.
J'ai, comme vous, 1001 masque. Mille et une facette.
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Par : Abyme
Pour écouter la version en musique :
https://soundcloud.com/filo-deva/hot-chorus
Dans ce texte-métaphore, la femme est transposée à l'image d'une guitare de rock, avec quelques allusions hermétiques au milieu du rock, comme "Cry Baby" qui est une marque de pédale wahwah (celle qu'utilisait Hendrix je crois), ou le larsen, quelques jeux de mots avec le nom des notes, etc.
Texte & musique : Filo
Tous instruments : Filo
Excepté lead guitare final : Vava.
Lorsque j'avais publié mon recueil de poésie en 2008, j'avais joint au livre un CD du même titre que l'ouvrage (Eloge de la limite) où je lisais quelques-uns de mes textes, mis en musique. Hot Chorus en faisait partie, bien que portant sur le chant parfois plus que sur le parler.
Dans cette interprétation, l'intonation joue ostensiblement sur une articulation virile et autoritaire.
Le passage où on entend des gémissements féminins provient de l'enregistrement authentique d'une ex pendant un cunnilingus.
La progression musicale entre la première partie plutôt calme, et la seconde très dynamique correspond à l'acte amoureux, avec les préliminaires, la montée, et l'apothéose finale.
Le côté "gainsbourgien" est assez volontaire.
Filo
225 vues
Par : BDSM
Une journaliste de Marie Claire est en train de boucler un article sur le BDSM (bouclage de l'article prévu pour le 4 septembre). Elle s'est rapproché de l'équipe de modération car elle a besoin (urgemment donc) de témoignages. Ci dessous son appel à témoin :
Journaliste au magazine Marie Claire, je recherche des témoignages anonymes de femmes en couple pratiquant le BDSM avec leur mari ou compagnon, pour illustrer un sujet (accroche: le succès de 50 Shades of grey, un best seller américain qui raconte une histoire d'initiation au SM dans un couple. Le livre sort en France en octobre 2012 aux éditions Lattès).
Je recherche donc des témoignages de femmes en couple, débutantes ou expérimentées pratiquant le SM avec leur mari ou compagnon.
D'avance, merci à toutes celles qui me répondront. Pour me contacter: ici. Pseudo: Marie Claire.
Délai: je dois rendre mon papier le 4 septembre, c'est hyperurgent!
Si vous pouvez l'aider ... l'expérience doit être interessante
266 vues
Par : Abyme
Une danseuse
en tutu
joue l'allumeuse
et moi le bourru
elle me chauffe
et j'halète
je l'apostrophe
pour qu'elle m'allaite
elle mate
ma braguette
puis me flatte
la baguette
je lui susurre
du chaud pain
une ouverture
sans baratin
alors elle m'offre
sa gorge déployée
la belle a du coffre!
me voilà augmenté
la vorace
m'astique
pourvu, de grâce!
qu'elle ne mastique
lorsque irrépressible
se met en branle
la montée indicible
j'en tremble
mais la gloutonne
n'en a cure
elle me ramone
me transfigure
alors j'expectore
mon désaveu
et elle pérore
d'un sourire baveux
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Par : KAPA🅒•••🔺rt
Allen Jones est un artiste britannique né le 1er septembre 1937 . Connu pour son style audacieux et controversé, Jones est entre autre reconnu pour ses œuvres explorant des thèmes fétichistes et BDSM. Après des études à la Hornsey College of Art et au Royal College of Art de Londres, Allen Jones émerge sur la scène artistique dans les années 1960 en tant que membre du mouvement pop art britannique. C'est à cette époque qu'il commence à développer un style unique et provocateur, marqué par des représentations graphiques et colorées de figures féminines idéalisées et sexualisées. L'une de ses séries d'œuvres les plus célèbres et controversées est "Hatstand, Table and Chair",créées à la fin des années 1960. Dans cette série où la femme se fait objet stricto sensu, Allen Jones réalise des sculptures prenant la forme de femmes nues, vêtues de bottes à talons ou de bas résille. Ces pièces érotisées de femmes soumises, simples objets, ont suscité des débats intenses sur le sexisme, l'objectification des femmes et la représentation des fantasmes masculins dans l'art. Les critiques ont souvent accusé Allen Jones de renforcer des stéréotypes sexistes et de perpétuer une vision dégradante des femmes dans ses œuvres. Malgré les controverses, l'artiste a toujours défendu son travail en affirmant qu'il cherchait à explorer la fascination de l'humanité pour l'érotisme et la sexualité. Au-delà de la série "Hatstand, Table and Chair", Allen Jones a continué à produire des peintures et des sculptures qui se concentrent sur la sensualité et la sexualité. Sa carrière artistique prolifique lui a valu une reconnaissance internationale, avec des expositions de ses œuvres dans des galeries et des musées du monde entier, notamment en Europe et aux États-Unis. En dépit des critiques persistantes, Jones est considéré comme un artiste majeur du mouvement pop art et son impact sur l'art contemporain est indéniable.
Des livres sur Allen Jones
#AllenJones
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Par : KAPA🅒•••🔺rt
David Marquez est un graphiste de bandes dessinées, nominé pour le prix Eisner, actuellement sous contrat exclusif avec Marvel Comics. Parmi ses œuvres, on retrouve la bande dessinée à succès du New York Times, "Miles Morales: The Ultimate Spider-Man", ainsi que "All-New X-Men" et "Invincible Iron Man" (lancé en octobre 2015). Il est également l'auteur de son premier roman graphique auto-publié, "The Joyners in 3D".
Pour produire son style hautement précis et technique, David réalise la majorité de ses dessins intérieurs de manière numérique, à une résolution presque quatre fois supérieure à celle d'une page de bande dessinée classique. Dans le cadre de son processus, il crée ensuite des épreuves en noir et blanc en giclée, imprimées à la même résolution incroyablement élevée que celle à laquelle elles ont été dessinées.
Certains de ses dessins jouent avec les icones fétichistes/BDSM intrinseques aux personnages de comics, notamment Batman/Catwoman.
Certaines de ses oeuvres pour la BD sont par ailleurs proposées à la vente en exemplaire unique, par le biais de son site web ( www.davidmarquez.com
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