par mael
le 07/11/20
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Kikou est comptable dans une grande société du quartier d'affaire. Il vit seul depuis qu'il a rencontré Maitresse Anaïs, une dominatrice de grande beauté qui l'a réduit en esclavage, marqué au fer rouge et obligé à ne vivre que pour elle. Maitresse Anaïs décide de tout, pense pour lui. Il n'a qu'une chose à faire, c'est obéir et faire diligence pour servir.
Avec le confinement, Kikou a été contraint au télétravail. Maitresse Anaïs lui a imposé de venir se confiner dans son luxueux pavillon dans le quartier résidentiel chic. Elle a les moyens, ceux de ses esclaves. Kikou a le numéro 36 marqué sur sa fesse droite. Il obtempère. Etre reçu par Maitresse Anaïs est un signe de grande faveur.
Arrivé chez sa Maitresse , il doit se doucher, se mettre nu, passer son collier d'esclave. Il est déjà sous cage de chasteté et pluggé. Il prend son service et ses ordres d'une assistante de Maitresse Anaïs. Une lesbienne fort jolie, nue et toute dévouée comme lui. Tout se passe dans un grand silence et une propreté de clinique. Tout est impeccable.
Kikou est en stage de recyclage. Il sait qu'il va souffrir. C'est une autre assistante lesbienne qui lui impose le programme défini par Maitresse Anaïs. Cela a commencé par de dures séances de fouet. Kikou est lacéré. Son dos le brûle. A présent il doit nettoyer le parquet à quatre pattes, nu. Tout le monde l'ignore. Il n'a pas le droit de regarder plus haut que son éponge et son seau.
Maitresse Anaïs le reçoit. Il lui baise les pieds. Il n'a pas le droit de regarder plus haut que son superbe mollet. Elle n'est pas contente de son esclave et donc lui impose des punitions. Son assistante note et ne manquera pas de les lui administrer. Kikou remercie et se retire comme un chien, avec son plug bien visible dans les fesses et sa cage de chasteté qui pend. Il n'est plus que le numéro 36... plus un humain...même plus un esclave...Numéro 36 dans le cheptel de Maitresse Anaïs. Il est définitivement castré. Il n'a plus droit aux orgasmes. Son moi a disparu dans un grand calme intérieur. Il est dans la paix du non désir.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
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Bon week end à toutes et tous. Juste des petites histoires pour divertir pendant ce confinement qui contrairement au premier ne semble pas très efficace. Le Virus est déjà partout et il semble proliférer. Prenez soin de vous. Lorsque un barrage craque...il ne sert à rien d'essayer de le consolider mais au contraire se mettre le plus possible à l'abri.
Suggestion
Par : Switcher
je me suis déjà fait enculer par des femmes avec des godes ceinture,mais le plaisir ne doit pas le même qu’avec une vraie bite. Pourrais je donc prendre du plaisir avec des trans. Mais jusqu’où ? Il fallait que je le sache…
J’entrepris donc de poursuivre mon exploration du genre, et de mes limites.
Je consultais donc des sites de trans à la recherche de celle qui me plairait le plus.
A l’heure dite, je me présente au domicile de la belle avec un peu d’excitation et beaucoup d’appréhension.
Elle m’ouvre la porte. Première bonne surprise, elle est belle, très féminine et très sexy.
Passé les formalités d’usage, elle me donne une serviette de toilette propre et je me dirige vers la douche.
Douche finie, je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain.
Elle est allongée sur le lit, tallons aiguilles, bas, et belle lingerie. Elle me fait signe de venir la rejoindre.
Je lui explique que c’est la première fois avec un trans, elle me rassure aussitôt avec des mots doux. Puis elle m’allonge sur le lit, se penche sur moi.
Très vite, elle glisse sa main sous la serviette, mon sexe est déjà dur, elle m’excite.
Presque machinalement, je descends ma main vers son string pour la caresser. Elle ne bande pas encore mais je sens son sexe qui commence à durcir. J’imagine que d’avoir à faire à un novice doit l’exciter un peu.
Elle retire son string pour libérer sa queue puis se place en 69. Elle commence à me sucer. Mon excitation ne fait aucun doute, mon sexe est dur et sa bouche l’engloutit sans difficulté, elle sait y faire.
Je me retrouve avec sa queue sous les yeux. Machinalement, je commence à la branler doucement.
« Suce moi » me dit-elle…
J’obéis. J’avance ma bouche, met ma main à la base de sa queue et commence à la sucer. Je suis plutôt excité d’avantage. Passé les premiers va et vient, je prends confiance et pousse plus loin son sexe dans ma bouche. Elle apprécie visiblement. Sa queue devient toute dure, elle guide ma tête de sa main, sans arrêter de me sucer.
Puis je sens un de ces doigts caresser mon anus, d’abord doucement, avant qu’elle ne l’enfonce lentement pour me préparer à la suite.
Je ne peux plus lâcher sa queue. La sentir grossir dans ma bouche m’électrise. J’accélère le mouvement de ma main comme si je voulais la faire jouir.
Mais ce n’était pas encore le moment. Avant il fallait passer à la casserole…
Après quelques minutes de ce 69 excitant et surtout qu’elle m’ait bien ouvert le cul avec deux doigts, elle m’allongea sur le dos et passa un coussin sous mes fesses.
Je ne contrôlais plus rien, j’étais son jouet.
Elle a relevé mes jambes, enfilé une capote, placé sa queue à l’entrée de mon cul et m’a pénétrée doucement.
Dire que je n’ai pas eu mal serait mentir, mais c’était aussi jouissif. Tout en s’enfonçant en moi, elle branlait ma queue. Et elle rentra toute sa queue dans mon cul.
Voilà, je l’avais fait, pour la première fois, je me faisais enculer.
Elle resta quelques instant figée au fond de moi avant d’entamer un lent va et vient. La douleur s’estompa , le plaisir prenant la relève au fur et à mesure qu’elle allait et venait dans mon cul.
Après que minutes dans cette position, elle se retira, me retourna sur le ventre et me pénétra à nouveau. Plus fort, plus violemment, plus vite… Je me laissais faire, je ne réfléchissais plus. Sa queue me faisait du bien. J’en voulais encore.
Elle me pilonna pendant de longues minutes en me susurrant des mots crus :
« Tu aimes que je t’encule . Tu aimes que je défonce ton petit cul serré »
Je ne répondais même plus, j’étais submergé par le plaisir.
Elle se retira, s’allongea sur le dos et me fit s’asseoir accroupi sur sa queue. Dans cette position, elle m’a possédé encore plus loin. Sa queue me provoquait un plaisir intense, je la voulais encore plus loin dans mon cul.
En même temps quelle me prenait, elle branlait ma queue qui était gonflée comme jamais.
J’allais de plus en plus vite sur son sexe, je sentais que j’allais exploser, et elle aussi.
« Vas y , bouge, je vais jouir »
Elle a eu en un spasme puissant, elle jouissait dans mon cul.
Cette sensation m’a fait jouir violemment, d’autant qu’elle me branlait toujours. Je me suis vidé sur son ventre puis écroulé sur elle.
Je suis resté comme ça plusieurs minutes sans bouger, je ne pouvais plus. " Tu l’as fait… Et tu aimes ça. Tu es une vraie petite lopette et je vais t'enculer tous les semaines pour que tu deviennes une vraie salope.."
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Par : M des Sens
(Photo du Net)
(En refaisant mes écrits, je recroise un vieux texte....Il y a presque 10 ans...Comme quoi les mots et Maux reviennent étrangement)
Dans cette passion si forte ou le rôle de tout à chacun est définit bien souvent par des critères très spécifiques, il y en a un qui parfois m’échappe…et pourtant si présent
Celui de la personne Dominante, souvent associé à celui de la froideur parfois sans cœur….
On lit si souvent la détresse des personnes s’abandonnant, rarement celles de ceux qui guident…
Hors, je pense, et aujourd’hui cela est mon cas, que très souvent ces maux sont aussi les nôtres.
Ce Don si précieux qui nous est fait et qui parfois nous échappe, ne nous laisse pas sans émois.
La douleur de perdre celui ou celle qui nous a fait cette précieuse offrande est, je pense, aussi ressentit comme la pire.
Le cœur perdu, blessé, douleur, sur lesquels peut-être avons-nous du mal à décrire, sont bien là.
L’engagement dans nos actes et dans notre amour est parfois tel, par la démesure des sens que nous déployons pour garder ce Don si précieux, que lorsque l’autre reprend son offrande nous en souffrons avec la même démesure que cet engagement.
Je risque de choquer certains en disant ses mots, mais oui, je le dis haut et fort…
Le départ de l’autre est certainement plus fortement ressentis par nous, et parfois nous amène à renoncer ce qui fait de nous l’essence de notre passion.
Pour ma part, je ressens aujourd’hui cette douleur, profonde, brulante, marqué à jamais par cette défaite.
Certes il n’en demeure pas moins les passions vécues, présentes en notre mémoire mais il nous faut, il me faut du temps pour panser ses blessures…pour regoûter peut-être à nouveau à ce fruit passionnelle et passionnant…
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Par : Elle.a
Lorsque je suis loin de lui, j'oblige mon soumis à entonner l'excellent "Tata Yoyo" debout devant son réfrigérateur ouvert, à l'heure la plus chaude de la journée.
Il se doit d'être en tenue d'Adam, le sexe plié à angle droit grâce à l'objet de son choix, sous le regard attentif de son berger allemand.
Il se doit bien évidemment d'être le plus droit possible, la main au képi, et le doigt sur la couture de l'absence de pantalon.
Tout ceci sous le chaperonnage de sa grand-mère qui m'envoie la photo avec le journal du jour pour preuve de son assiduité.
Je précise que je reviens dans 4 semaines.
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Par : Parloire
Accroché a tes lèvres, mon regard est médusé..
Comment fais-tu Insoumise ? Femme Soumise de cet instant
Scellée, ton corps sur ton âme, étirée dans ce film, isolée du lien.
Repousser tes limites, repousser.. un peu plus loin,
Un peu plus près, un peu plus serré… momifiée.
« Inspire à fond »
« HAAAAaaaaaaaaaaaPPpp !! …. »
Te voilà seule maintenant, je ferme ton cocon.. hermétique.
Respirer, respirer, respirer.. dans un sarcophage.
[…]
Les secondes trottent, pulsent dans ta tête, ton cœur défendant
Pas d’issue, pas d’air, pas de mouvements, sauf peut être
La trotteuse qui tourne et ta bouche qui aspire et souffle
Ma main posée sur ton crane, veille…
Inspire, expire,
Inspire… expire..
…. Inspire…
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
Manque… tu manques… la buée sature le film
Ton corps veut vivre.. tu cherches à sortir, spasmes d’extraction..
Soumise tu es, Insoumise. Soumise au Lien.
Bouche grande ouverte.. 10 microns de plastique te séparent de ton appel d’air
[…]
Mon index vient caresser ta bouche, faisant le tour cyniquement
La peau infime et tendue, n’appelle que mon bon vouloir
Excitation perverse, d’un contrôle immoral
Mon ongle vient doucement cisailler sur tes dents
Mon doigt pénétrant, la membrane se déchire
INSPIRE !!!!!
Frénétiquement, l’air te redonne la vie..
Respire, Respire, Respire..
Ma bouche vient embrasser ta ligne rouge
Il est temps maintenant, que mon Objet cesse de me méduser.
Écartant tes lèvres, et passant ma main sur ta gorge
Je plonge ma queue dans cette bouche, cherchant la chaleur profonde…
Soumise j’ai dit !
Tu étouffais, je vais maintenant te noyer..
Abusant mon objet offert, jubilant de puissance
Envie bestiale arque bouté par ma conscience,
Je veille sur l’objet de mon plaisir… Inspire…
Avec mon plus profond respect,
Ma soum.. vous me médusez.
Parloire
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Par : M des Sens
Il arrive que les gens mentent sur leurs vrai personnes..
J'ai toujours eut du mal avec cela...Et je comprend pas pourquoi certains sont ainsi...que cela soit dans les paroles, les actes, ou leurs vrai nature...
Est-ce un jeu, est-ce une façon de se faire mousser ?....
Je reste toujours assez incrédule lorsque cela arrive,
Que dire ?...Et que faire contre ?...
Enfin....Des discutions récentes m'ont ramenées à cette expérience...Étrange....d'un faux-semblant, ou devrais-je dire...sur le fait que l'on peut tromper les gens sur sa vrai nature...mais qu'à un moment le masque tombe...Et le résultat est forcément à l'opposé de l'attente première....
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C’était il y a 13 ans, je m’étais inscrit sur un site dédier à cette passion désirant renouer avec mon passé auquel j’ai tourné le dos pendant trop longtemps…
Très vite, je fis la connaissance d’une charmante personne…les échanges devenant de plus en plus plaisant, sans entrer dans les détails, ni interrogatoires habituelles dont j’ai une sainte horreur, surtout pour faire connaissance….
Je l’invitais alors à changer de moyen de communication pour que nos échanges soit plus plaisant.
Nous continuâmes ainsi, au travers de MSN, nos échanges toujours plus envoutant, où nous parlions aussi bien de notre vie de tout les jours, en bien comme en mal, que cette passion qui nous permis de nous connaître.
Bien sur nous en profitâmes aussi pour se présenter visuellement l’un à l’autre, par l’intermédiaire de nos photos.
Il est vrai que c’est quand même plus plaisant de mettre un visage sur une personne qui vous charme par ses mots et de voir si l’adéquation physique avait la même résonance que les écrits.
Et ce fût le cas également.
De fil en aiguille, le charme comme souvent agis, et de part et d’autre, l’envie de sortir de ce carcan protecteur de notre vie se fit ressentir. Il est vrai qu’après près de 2 mois de discussions quasi quotidiennes, il faut faire un pas vers ceux qui nous attirent ;-)
Je lui proposais alors de nous rencontrer en réel, dans un endroit publique, pour garantir, à nous deux, une certaine sécurité…on ne sait jamais réellement à qui on a affaire ;-).
Le rendez-vous fut pris dans un café parisien, échange de numéro de portable pour être sur de ne pas se rater.
Je fus le premier à arriver dans ce café. Il faut dire que j’étais en avance, et surtout je déteste faire attendre les gens, ce qui est des plus normal aussi.
Et puis aussi la galanterie est une chose important même si beaucoup l’oubli aujourd’hui…Il ne faut jamais faire attendre une femme, même si, nous le savons souvent, les femmes sont très souvent en retard.
(J’imagine mesdames qui me lisez, le dessin d’un sourire sur votre visage en lisant cela, mais nous, hommes, savons que c’est surtout une manière de nous séduire, et je vous l’avoue, nous l’adorons…heu cependant sans trop d’excès aussi …rire)
Je pris une place dans un recoin afin que nous puissions être des plus au calme…Et je commandais un café…
Mon téléphone sonna, c’était Elle, une voie douce et charmeuse, qui m’emplit le cœur d’un espoir sans retenu…
« Je serais là dans 5 minutes, je vous pris de m’excuser pour mon retard »…
« Je vous en pris, gente amie, le plaisir de votre rencontre vaut bien ce petit désagrément ».
Au bout de 5/dix minutes, je vis une femme élégante franchir le seuil de la porte de ce café.
Je la reconnue de suite, je me levais pour lui indiquer ou je me situais…
Elle était vêtue, je m’en souviens encore, d’une jupe-portefeuille, noir dessinant ses hanches avec délicatesse et d’un chemisier blanc, laissant entrevoir une belle dentelle, tout aussi blanc, mettant ses monts en valeur mais sans excès.
Elle avait les cheveux long d’un noir cendre qui recouvraient ses épaules délicieusement…Ainsi qu’un petit foulard, tout aussi blanc, qui recouvrait son cou.
Elle savait ma préférence en ce genre de tenue, mis à part le foulard, et je savais qu’elle l’avait fait pour moi….
Je lui fis signe de la main, un sourire illumina son visage, et commença à avancer vers moi.
Elle savait également que je faisais beaucoup attention à la démarche, un pécher mignon de ma part, et je remarquais un certain excès dans cela. Mais ce fut délicieux de la voir s’avancer doucement, le pan de la jupe laissant entrevoir des chaussures à talons et de jolie bas blanc…
Chaque pas était assurément mesuré, chaque pied, à mesure, passant toujours l'un devant l’autre, montrant un déhanchement bien contrôlé, mais des plus subtile…d’ailleurs, je m’amusais à observer la foule environnante…je n’étais pas le seul à mirer cette belle créature s’avancer…
Il est vrai que je suis très attaché, pour ne pas dire exigeant, tant à l’aspect de la personne que la démarche de celle –ci. C’est quelque part, en tout cas pour moi, une chose très importante, plantant ainsi le « décor » et séduit, éveille les sens…
Elle prit place face à moi, après avoir déposé les 4 bises délicatement sur mes joues, tout émue, comme je le fus aussi de pouvoir La voir en chair et en Os.
Elle commanda un thé au citron, qui lui fut servis rapidement, et nous commencions à parler librement, à faire réellement connaissance.
Sa voie était douce et envoutante, à mesure qu’elle discutait, elle jouait avec ce foulard autour de son cou, montrant ainsi une certaine émotion, timidité délicieuse…
Je remarquais encore, lorsqu’elle buvait ou parlait, avec des gestes toujours prononcés, voir trop féminin…ainsi qu’un maquillage certes délicieux, mais encore une fois un peu trop excessif.
Certes j’aime que la femme soit maquillée, les yeux bien mis en valeur, une bouche bien dessinée, mais là…
Au bout d’un moment, je lui fis remarquer…
Elle baissa les yeux, rougit…et baissa la tête…
Pris alors son foulard par un bout et tira doucement dessus.
Peu à peu, je vis alors apparaître son cou…
Je la sentais un peu déconcerté, voir effrayée…un peu tremblante…
Je la rassurais quelques peu…
Mais je compris alors, lorsqu’elle redressa la tête, le pourquoi de son tourment…
Une pomme d’Adam….
Et oui…Elle est en fait, ni plus ni moi qu'une "SheMale", une rencontre du Troisième Sexe....
Je fus des plus surpris, car nous avions tant parlé, partagé, ...
pourquoi m’avoir caché ce secret…
d’autant que justement nous évoquions que cette passion était toujours basée sur le respect et la sincérité….
les bases indispensables d’une belle relation…
Nous en parlions alors longuement, mais elle comprit que même si j’étais des plus charmé tant par ses mots, sa personne, sa plastique…. que cette relation ne dépasserait jamais le stade de l’amitié..
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Par : Lady Gabrielle
La douleur est un thème qui me tient à coeur .
La douleur et le marquage au fer rouge.
Je suis une personne travaillant dans le milieu médical. Je suis également une Dominatrice d'où le paradoxe entre l'idée de calmer la douleur professionnellement et de l'infliger pour le plaisir.
(le mien et celui de la personne que je domine).
Dans tous les cas, je ressent un immense plaisir.
Comme soignante, j'éprouve une grande satisfaction de voir les patients qui me sont confiés, éprouver du soulagement à la suite des soins que je leur prodigue. Il en est de même quand je domine mon soumis, quand je lui administre « les douleurs qu'il aime ».
Douleur : sensation pénible, désagréable ressentie dans une partie du corps : sens premier.
Pour moi soignante , une seule et unique définition : Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en termes d'un tel dommage.
J'exerce ainsi ma profession dans le respect de la vie et de la personne humaine. Je respecte la dignité et l'intimité du patient et de sa famille. Ce qui implique que je dois reconnaître la personne et sa souffrance dans le respect de la vie.
Il y a aussi bien d'autres définitions de la douleur , moi j'en rajouterai une : sensation agréable et transcendante ressentie par certains êtres humains dans différentes parties du corps. Cette sensibilité que l'on ressent permet d'éprouver du plaisir. C'est la douleur en tant qu'objet de plaisir.
Celui ou celle qui subit la douleur a besoin de l'exprimer par des cris, des pleurs, des gémissements ou mêmes des rires. Cela constitue une décharge émotionnelle qui soulage le corps humain. C'est une nécessité d'exprimer l'émotion créée par la douleur . Le fait de pleurer crier ou autre , calme et apaise. Cela permet l'intégration de la douleur par le corps et la rend supportable .
Dans le cas des masochistes comme le sont la plupart des soumis, y compris le mien , la douleur est souhaitée admise, intégrée à leur mental, recherchée. Elle leur est indispensable. ATTENTION dans la limite de leur douleur et de leur préférence en cette matière. Mais toutes les Dominatrices de qualité savent cela. Cependant, nous les Dominantes savons toutes que les limites de nos soumis sont faites pour être dépassées; et nous les dépassons allègrement avec le consentement de nos soumis.
Il suffit pour obtenir ce consentement de leur laisser le choix « FRANCHIR CETTE FRONTIERE OU PAS ? ». Dans la majorité des cas , ce consentement nous est acquis, sinon au moment même ,du moins quelques temps plus tard. Car les soumis ont à coeur d'offrir ce « DON DE SOI » à leur Dominatrice . Ils ne subissent pas uniquement de manière égoïste.
Le Marquage au fer rouge de mon soumis berny nous a demandé des mois de préparation psychologique. A l'origine , je voulais qu'il porte un tatouage mais cela ne nous convenait pas vraiment .
Berny souhaitait quelque chose de plus définitif . Il pensait déjà au fer rouge tout en le redoutant. L'idée m'a séduite et franchement , MESDAMES, quel cadeau de la part de l'homme qui vous aime . J'ai rapidement accepté. Il a fallut faire fabriquer le fer et organiser la cérémonie. Cela a demandé du temps et de la persévérance. Le jour du marquage arriva , néanmoins lors de cette fête, berny a bougé au moment du contact du fer et gémit. Je n'avais pas appuyé ni gardé le contact avec la chair de berny suffisamment longtemps. Ma marque s'est estompé en quelques mois.
Lors de la cérémonie du renouvellement de son serment d'allégeance, le 12 JUIN 2010, chez Maître FARELL, je ne voulais pas qu'il bouge, ni qu'il crie ou gémisse. Je voulais qu'il soit fort , de cette force intérieure que les hommes savent éprouver et offrir quand ils sont amoureux.
Je voulais que cette douleur que je lui infligeais soit sienne, soit nôtre, qu'elle soit son amie , de par l'amour que nous éprouvons l'un pour l'autre. Je voulais que MA marque soit indélébile. J'ai donc appuyé et prolongé le contact du fer rouge sur la peau de berny.
Il a fallut 4 semaines de soins avant de laisser la brûlure à l'air libre. A chaque changement de pansement , berny me demandait de lui appliquer de l'alcool. (son côté maso) .Sa manière à lui de prolonger cet instant.
Durant le jours qui ont suivi, nous avons beaucoup parlé. Berny a analysé ce qui l'avait fait, pour me donner satisfaction .
Il a fait appel à sa force mentale , d'auto persuasion, d'auto hypnose.
Il s'est aidé de son stress qui a accéléré les battements cardiaques et de sa respiration, en profitant pour forcer le rythme de celle ci. Chacun sait que la respiration joue un rôle primordial dans le contrôle des émotions et des réactions physiques.
La présence du public, était influant aussi. Il ne voulait pas faillir .
Je terminerai en remerciant mon soumis pour l'offrande de son corps et de son âme.
White Lady
.
Je viens apporter mon témoignage sur le marquage au fer qui ne vaut que par ma vérité et ma réalité . En aucun cas je ne prétends que cela est LA vérité universelle . Ce n'est qu'une histoire vécue entre Maîtresse Gabrielle et moi . Mais quelle HISTOIRE . . . Il est certain que chaque couple D/s vivra cette aventure différemment .
Tout d'abord nous sommes , Maîtresse et moi des êtres humains , ce qui régit notre union (libre en l'occurrence pour l'instant) c'est l'amour . Ensuite nous sommes Dominatrice et soumis . Nous vivons comme tous les couples amoureux , des moments extraordinaires , d'autres qui le sont moins .Comme tout le monde .
Quand je dis (union libre ) Ce n'est pas exact , je me sens lié à Maîtresse , par l'amour mais aussi par quelque chose de plus , qui n'appartient qu'à nous autres , les gens du BDSM . Quelque chose que les profanes ne comprennent pas .
Les Dominatrices exigent plus de l'homme qu'ELLES aiment , les soumis donnent plus à CELLE qu'ils aiment .
Cocteau disait "" Il n'y a pas d'amour ,il n'y a que des preuves d'amour """ . Je ne suis pas d'accord avec ça : il y a les deux .
Quand on aime quelqu'un on veut le lui prouver .
C'est ce que j'ai voulu faire en même temps que faire mentir la désillusion contenue dans cette citation .
Un jour Lady m'a posé la question : < Que serais tu prêt à faire pour me prouver ta soumission > Je n'ai pas répondu , je ne savais pas . Nous étions au début de notre relation . ELLE m'a laissé du temps pour Lui apporter ma réponse .
ELLE souhaitait me faire tatouer , cela ne nous semblait pas assez fort .
Bientôt , l'idée du marquage au fer s'imposa dans mon esprit . En effet , quelle preuve d'amour est plus forte ? plus symbolique ? plus significative ?
Quand j'ai proposé cela à Maîtresse , ELLE fut horrifiée , puis séduite . Mais cela ne s'est pas fait en un jour . Il a fallut des mois de préparation psychologique .Moi aussi j'étais horrifié par le marquage au fer . La première fois où j'ai vu cette pratique remonte à mon enfance . C'était dans une bande dessinée "" Barbe rousse "" ( souvenez vous Pilote , Astérix ,) Eric son fils était marqué au fer avant de partir aux galères . Puis Jean Gabin alias Jean Valjean dans ""Les Misérables"" qui se brule lui même . Il y eut d'autres scènes de films ou de passages de livres qui m'ont marqué .J'étais fasciné .
Voilà l'origine de ma proposition à ma Maîtresse . Le cheminement mental a été long pour y arriver . Ma motivation première était "" le don de soi "" à une Personne bien précise . S'est ajouté à cela d'autres sentiments et évènements : amour , envie de vivre ce que je suis , séparation , ne plus perdre de temps , être vrai , accorder mes prétentions avec mes actes , aller au bout de mes choix . . .
La douleur n'a pas été si terrible que ce que l'on peut penser . Entre le moment où Ma Lady avait décidé de me marquer et le jour de la cérémonie , il s'est écoulé environ une année . Nous avons beaucoup parlé de cet acte . J'étais donc particulièrement bien préparé psychologiquement . Cela n'empêche pas ,cependant , l'appréhension , notamment durant les dernières heures avant l'instant crucial . J'ai été marqué deux fois , la première fois j'avais bougé , en raison de la peur , du stress , du manque d'assurance de Maîtresse peut être ( ça ne doit pas être évident de tenir le fer rouge et de l'appliquer sur un être vivant ).
La deuxième fois ,chez Maître Farrell nous étions mieux préparés . Maîtresse m'avait demandé de ne pas bouger ni crier ni gémir . Inutile de dire que j'ai dû faire appel à toute ma volonté pour lui donner satisfaction . Grâce à la volonté et à la détermination on peut TOUT .
La douleur que l'on ressent alors n'est pas la même que celle ressenti lors d'une brûlure involontaire . Et je sais de quoi il est question : je me suis brûlé très souvent au cours de ma carrière professionnelle ( chef de cuisine )
Là , elle est admise , souhaitée , offerte !!! La différence est fondamentale .
Pour moi, la douleur :
"La douleur est pour moi, un moteur. J'en recherche certaines comme j'en redoute d'autres. celles ressenties en périodes BDSM sont évidemment mes préférées. Cependant toutes les parties de mon corps ne réagissent pas de la même manière face à la douleur qu'on leur inflige. Mon sexe et mes côtés supportent difficilement les coups cinglants, alors que les pincements et broyages leurs conviennent parfaitement.
Je pense que chaque être humain est différent face à la douleur ainsi que le seuil de douleur est différent pour chacun. certains ont une résistance physique considérable alors que d'autres sont très douillets. Entre ces deux extrêmes , il y a certainement toute une échelle de valeur.
Les masochistes ont des préférences dans les pratiques SM dont ils ne sont pas responsables. Certains préfèrent les coups d'objets frappants, d'autres les pincements, d'autres les piqûres etc...
Outre les douleurs volontaires en BDSM, il y a celles qui sont provoquées par le hasard des accidents de la vie. Il est évident que les traumatismes imortants ne sont pas ma recherche, tels que fractures, entorses, plaies. Cependant après un tel évènement quand les soins appropriés ont été prodigués, mon esprit se libère de tout stress et la douleur devient exquise. Quand les calmants commencent à agir, le bien être envahit mon corps , alors je le regrette presque.
Il m'arrive souvent de pratiquer un exercice mental afin de canaliser la douleur dans l'attente de soins et de médicaments. J'essaie de l'apprivoiser par la manière de respirer, je me décontracte et j'isole la partie en souffrance du reste de mon corps, de séparer mon esprit de mon enveloppe corporelle. L'auto suggestion est très efficace.
Je me demande toujours ce que ferait une autre personne dans une telle situation. La réponse est invariablement positive, elle résisterait. Donc , moi, je ne peux faire moins, et je me pose une question fondamentale : suis je ou non Masochiste ? Alors, j'essaie de tranformer la douleur incapacitante en douleur plaisir. A partir de là, je rejoints mon état de masochiste et mon cerveau se met à fabriquer les endorphines qui vont aider mon corps à supporter la douleur.
Il y a un autre aspect de la relation à la douleur. Dans une période de souffrance, mon esprit me dicte l'attitude à avoir. Les connections de mon cerveau se mettent en action pour me dire que j'ai mal. C'est que j'existe, que je suis vivant , que j'ai un combat à mener. C'est dans l'adversité, la douleur , les échecs que je me sens le plus vivant, car mon nstinct m'oblige à réagir, à faire en sorte d'améliorer la situation. Je crois que cela s'appelle "l'instinct de survie".
Nous avons tous des méthodes personnelles pour apprivoiser la douleur. Pour ma part, j'en ai une qui consiste à penser à quelqu'un ou à quelque chose d'agréable. Là encore, le plaisir créé par les souvenirs va m'aider à atténuer les effets insupportables de la douleur. Les pensées érotiques ainsi que les fantasmes qui provoquent chez moi le désir sexuel et qui m'invitent à me masturber, et au final l'orgasme sont des moyens très éfficaces contre la douleur.
Je crois que tout être humain voire même tout animal a ses propres auto défenses. Car vivre pour MOI signifie obligatoirement souffrir et chaque être vivant se prémunie comme il le peut contre la souffrance.
La présence du public m'a également beaucoup aidé , je ne voulais pas faillir devant l'assistance . Je m'en étais refusé le droit .
Je terminerai en remerciant Ma Lady , cette marque est la sienne , la mienne . c'est pour ELLE que j'ai subi cette douleur , par ELLE je suis fier de cet acte .
berny
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Par : Sisyphe_44
La manipulation est l'un des pièges majeurs des relations dans le SM... Elle est majoritairement le fait des hommes, la femme étant de ce fait la cible.
Découvrir que l'on est manipulé ou bien qu'on l'a été est particulièrement pénible à gérer; autant prendre quelques précautions.
J'attire l'attention des membres féminins du site, novices ou non car personne n'est à l'abri, sur cet article que je trouve intéressant :
CINQ façons de désarmer un manipulateur
Rédactrice : Claire C.
Vous êtes sous l’emprise de cette personne toxique, et peut-être même que, l’air de rien, vous en faites toujours un peu plus dans l’espoir de le/la satisfaire, de vous acheter un peu de répit, un peu de paix sociale? Peut-être même que plus cette personne vous dévalorise, plus vous vous acharnez à tenter de lui faire plaisir…
Il est temps de regarder les choses en face : vous êtes en relation avec un manipulateur, un vrai, voire un magistral, un pathologique.
Voici des erreurs classiques dans les relations excessivement empreintes de manipulation qui sont autant de stratégies d’échec et de véritables moyens de s’enfermer dans la spirale sans fin de la dévalorisation, de la perte d’estime de soi, des mauvaises relations, et de vous transformer en brebis à la merci du prédateur :
Laisser faire
Croire qu’il ou elle “changera”
Jouer les Sauveurs
Lui trouver des excuses
Essayer de lutter
Pour vivre une vie heureuse, il est très important de conserver un réseau d’amis et de connaissances, solidaire et influent. Néanmoins, parfois nous confondons les influenceurs et les manipulateurs et il peut être difficile de faire la différence.
Il est rare de trouver ceux qui consacreront du temps et de l’énergie dans quelque chose qui ne leur apportera rien personnellement. Tout comme dans les affaires, nous calculons le retour sur investissement dans nos relations, cela ne se passe pas forcément de cette façon, mais ça arrive.
Les manipulateurs savent comment obtenir ce dont ils ont besoin au détriment des autres. Ils trouvent des moyens de contourner le système (ou vous) à leur profit, donc même si votre retour sur investissement est faible, vous prenez toujours un moment pour investir dans la relation.
Les manipulateurs passent beaucoup de temps et d’énergie à créer un environnement où ils peuvent contrôler le résultat, pour que leurs besoins soient constamment comblés par d’autres. Le plus gros problème d’une relation manipulatrice, c’est que souvent nous ne savons même pas ce qui se passe, et nous la laissons continuer.
Voici 5 façons de désarmer un manipulateur :
Voici quelques caractéristiques des manipulateurs :
* Leurs besoins priment sur tous les autres.
* Ils s’attendent toujours à ce que vous soyez disponible d’un moment à l’autre.
* Ils sont souvent dans une crise qui nécessite une action immédiate.
* Autre indicateur clé d’une relation manipulatrice : quand d’autres amis commencent à remarquer le déséquilibre entre les concessions mutuelles avec quelqu’un d’autre. Faites attention aux gens qui vous entourent et à leurs remarques. Il est souvent plus facile de voir les choses avec un regard extérieur.
* Dites non et restez ferme
Vous pouvez seulement contrôler vos actions. C’est important car vous ne pourrez pas changer le comportement d’un manipulateur, mais vous pouvez arrêter d’être leur victime. Cela se produit quand vous commencez à dire « non. »
On nous manipule parce qu’on laisse faire et refuser d’être manipulé est la première étape pour rompre le cercle. Les manipulateurs sont bons dans ce qu’ils font, donc faites attention à leur réponse. Ils sont susceptibles de dire ou faire des choses pour vous toucher. Nous devons rester fermes dans notre « non », sachant que c’est le premier pas pour nous libérer de leur influence.
* Reconnaissez le problème
Personne ne devrait être étonné d’apprendre que l’on doit reconnaître qu’il y a un problème avant de pouvoir le résoudre. Le premier signe qui indique un problème, c’est lorsque l’on sort d’une rencontre avec quelqu’un et que l’on ne se sent pas tout à fait bien et que l’on s’interroge sur les résultats. Si vous vous posez des questions et que vous avez des doutes sur quelque chose que vous avez promis ou accepté, il serait peut-être temps de commencer à remettre en question les motifs de la demande.
* Posez des questions
Dans une relation manipulatrice, il y a les exigences sans fin qui pèsent sur vous. Elles sont généralement formulées de sorte à ce que nous nous sentions privilégiés d’avoir la possibilité d’aider.
Comme un manipulateur se nourrit du contrôle, il est utile d’enlever une partie de ce contrôle en vous recentrant sur eux en posant des questions. Le type de questions peut aider à les sensibiliser à la valeur unilatérale de la demande et peut signaler que vous êtes conscient de leur comportement. Par exemple :
Je vois à quel point cela t’aide. Mais peux-tu m’aider à comprendre ce que cela m’apporte ?
Dois-je dire un mot concernant la tournure que cela prend ?
Est-ce que pour toi cela ressemble à une demande raisonnable ?
Est-ce que tu trouves juste de me demander de faire… ?
Lorsque vous posez des questions d’approfondissement, vous mettez la lumière sur la vraie nature de leur demande. S’il existe une conscience de soi, alors en principe ils verront la situation pour ce qu’elle est et modifieront leur demande ou la retireront complètement.
* Utilisez le temps à votre avantage
Les manipulateurs sont bons dans ce qu’ils font et auront toutes sortes de réponses à nos objections. Ils savent aussi qu’ils ont plus de chance de nous faire accepter leur projet s’ils ne nous laissent pas le temps de réfléchir. Au lieu de répondre immédiatement à leur demande, utilisez le temps à votre avantage.
« Laisse-moi te rappeler. »
Cette déclaration nous permet d’avoir la situation à notre avantage. Elle nous donne la possibilité de vraiment évaluer la situation et nous permet de trouver une façon raisonnable et respectueuse de refuser si c’est ce que nous voulons.
Nous restons dans une relation pour toutes sortes de raisons, mais nous devrions y rester seulement si elle nous est bénéfique.
* Une des choses à faire pour améliorer nos relations est de nous rendre mutuellement service.
Ainsi, alors qu’une personne importante pourrait avoir besoin de plus d’attention et d’aide en raison d’un changement important dans la vie, avec le temps la relation honore les besoins de chacun.
Inutile de dire qu’un manipulateur n’adhère pas à cette philosophie. Rappelez-vous qu’il est normal de créer des limites et de dire « non » pour notre bien-être. Après tout, nous sommes mieux préparés pour aider les autres lorsque nous nous faisons passer en premier.
Claire C.
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Par : #
Le noir. Rien que lui. La bouche ouverte et baveuse sur une boule de cuir attachée fermement autour de mon cou. Les mains menottées autour d’une tringle métallique. J’entendais Ses talons claquer le parquet ciré depuis un long moment désormais. Elle aimait m’abandonner piteusement, nu et encagé, dans un placard où flottaient Ses robes légères et Ses guêpières de dentelle noire. Son parfum m’envahissait, me faisait frémir. Dès que je l’entendais s’approcher, je pensais qu’Elle allait venir ouvrir la porte pour tourmenter un peu plus celui qui éprouvait une Frustration et un Plaisir difficiles à décrire.
Lorsqu’enfin Elle vint constater si je bavais toujours et si je coulais irrépressiblement, Elle se saisit de ma cage, l’entoura de Ses mains, et fit glisser Ses doigts pour effleurer un gland qui n’attendait que ça pour grossir et se frotter aux barreaux métalliques et froids. Elle aimait me voir couler. Deux semaines que je n’avais pas joui. Son sourire en coin, et Sa voix pour me dire que je n’étais pas prêt d’être libéré me faisait tressauter. Je n’étais pas au bout de mes peines. La porte se referma.
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Par : HCL
Ainsi les cordes étaient venues, vous étiez là, à même le sol, dans cette position d’’exhibition encore essoufflée de l’instant précédant.
Poignets attachés à un bambou de fort diamètre, passant le long de vos bras, les cordes en serpent constricteur, vous y ont immobilisées : Crucifiée. Vos jambes, repliées, obligées à garder la position par le chanvre en d’esthétiques circonvolutions se terminant à vos chevilles. Un dernier brin, pure contrainte perverse, liant le bambou à vos chevilles, vous ouvrant délicieusement, offerte à ma vue dans cette pose impudique : Ecartelée.
Oh… ce n’est pas là une recherche affolante dans les nœuds, pas même dans les passages de cordes, ou les figures, non… Tout cela a été très vite. Un corps à corps tendu, farouche, ou vous ne vouliez céder ni par désir ni par devoir, mais par abandon après avoir lutté, sans vous rendre, me demandant de gagner pied à pied votre corps, votre nudité, vous n’aviez que faire de l’état dans lequel vous seriez, que faire que je dusse pour cela déchirer vos vêtements, pas plus d’attention aux marques de mes mains sur vos poignets, sur votre corps, qu’importe cette lutte, ces traces, vos cris… A vous abandonner, vous ne vouliez pas vous offrir, je devais vous conquérir pour vous posséder.
Votre souffle est encore court, vos yeux fermés. Assis là, entre vos jambes, je profite de la vue, mettant à mal les derniers remparts de votre pudeur de mon index explorateur savourant le satin de votre peau et cette douceur humide entre vos lèvres. Il vous reste encore quelques forces sans doute, vous tentez de vous y soustraire, balbutiant des « non » et autres suppliques dont vous savez très bien qu’ils n’ont pas lieux ici…
Un cri de surprise mêlé de douleur vient contraster avec les murmures que vous aviez juste avant, ma main s’est abattue à plat sur votre pubis, pour vous intimer cette fois l’ordre de votre reddition sans concession. L’exploration reprend alors doucement, séparant lentement vos lèvres, agaçant votre clitoris, le pinçant, le malaxant doucement, cherchant ce bouton sous capuchon, faire éclore le bouton de rose, le sentir doucement gonfler, et voir vos ondulations revenir, mais cette fois sans chercher à fuir mes gestes. Des soupirs naissent alors que je grogne aux plaisirs grandissants.
Vos joues s’empourprent, et là une autre chaleur vient à vous et commence à vous inonder. Continuer lentement cette découverte, ce corps que vous m’abandonner pour la 1ere fois. Je suis le chemin tracé par le trouble naissant, jusqu’à sa source, pour la fouler, la pénétrer un peu plus, plus profondément. Vous sentir vous contracter pour emprisonner mes deux doigts inquisiteurs, vous relâcher aussitôt, comme pour mieux les avaler en vous, cherchant de votre bassin à accompagner leur mouvement, ou à le refreiner, m’offrant ainsi une carte au trésor pour y trouver ce point précis…
« Venez »… « Venez »… D’abord à peine audible, ce mantra roule dans votre bouche, entre incantation et supplique… votre demande de plus en plus pressante, de plus en plus impérieuse… « VENEZ ! »
« Chut… Pas encore », je veux profiter de ces caresses, tour à tour, mes doigts vous fouillent, puis vous écartent, vont et viennent, accélèrent ou s’arrêtent un bref instant… …avant de s’enfoncer comme un coup de poignard se plantant dans votre sexe jusqu’à la garde. Votre corps se tend, se crispe, vos poings se serrent, votre appel ne vient plus de votre bouche, les mots n’ont plus de sens, vous vous évadez dans un ailleurs, vous vous êtes enfin rendu entièrement.
Soyez mienne, maintenant que vos défenses ne sont plus là, je vous possède enfin, ma bouche est avide de vous, elle coure sur votre peau, elle avale vos seins, elle les mord, les suce, les étire, je vous dévore, je m’enivre de vous, et sans plus de façon me plante en vous, sans même avoir pris le temps de me dévêtir. Vagues de plaisirs, elles montent, marée aux parfums âcres de nos effluves. Notre corps à corps n’est plus un combat, nous dansons, portés par cette transe. Vos mots confus, inaudibles, insensés, ne sont plus que des cris animaux, félins, feulement, primal exutoire du plaisir d’avoir perdu pied de ne plus être vous, de me sentir en vous.
Nos chairs mêlés, nos esprits égarés, à bout de force je me suis perdu en vous, nos folies sont venues à bouts de notre résistance à la fin de notre endurance. Allongé sur vous, agonie délicieuse, je cherche l’air, apnée impossible, je sens votre cœur raisonner dans ma poitrine, le mien explose dans mes tempes...
Aujourd’hui, vous et moi devons nous…
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Par : #
Sur le lit, un foulard de soie noire et un mot : -Déshabillez-vous et nouez ce foulard sur vos yeux !.
Je m'assois .
A défaut de voir, j'entends à peine la ville . La circulation au loin, rien d'autre...
RER, station Nanterre ville. La rue Rigault, à deux pas, n'avait pas été difficile à trouver.. Les indications étaient précises . « Soyez à l'heure, j'y tiens ! ».
La chaleur des premiers jours de juillet laissait la place à la douceur du soir.
A l'affût du moindre bruit, assis nu sur cette banquette, je n'ai pas froid.J'attends, j'écoute. Mon attention retombe au fil des des minutes qui passent.
Sans que je m'en sois rendu compte, je sens une main m'inviter à me lever. On me guide. Chuchotements. Après quelques pas, j'entends 2 voix de femmes échanger sur ma personne.
Il m'est posément ordonné de m'agenouiller. Des doigts s'activent à enlever le bandeau qui m'aveugle.
« Ne vous retournez pas ! »
Devant moi, une table basse, un parquet et tout le mur qui me fait face couvert de miroirs : une salle de danse ! La pièce est très faiblement éclairée, je ne distingue rien de plus.
De l'extérieur, en arrivant à l'adresse indiquée, j'avais découvert une villa bourgeoise, flanquée de pavillons de banlieue , entourés de tilleuls. Après avoir sonné, on ne répondit point à mon bonsoir mais il me fut demandé, par l'interphone, de suivre scrupuleusement les indications que je trouverai .Un mur séparait le jardinet de la rue.Une courte allée menait à la porte de la maison.
….un studio de danse. Qui aurait imaginé un studio de danse à l'intérieur de cette maison ?
Deux femmes discutent de tout et de rien dans mon dos. Une voix sèche, mais qui me plut tout de suite, m'ordonne de déboucher une bouteille de demi-sec et d'ouvrir un paquet de biscuits de Reims au rose presque rouge. Les deux femmes s'entretiennent de voyages, de Gordes, de la chaleur de la journée...
On me fait comprendre qu'il me faut servir les flûtes tête baissée.Madame m'intime alors de me tourner vers la table , de m'agenouiller , en ayant soin de garder la tête inclinée, le dos de mes mains sur mes fesses.
J'attends.
Leur conversation a cessé. Je ne les voie pas.
Un long moment s'écoule.
Quelque peu ankylosé, je commençe à fléchir. Un sifflement très court, cueilli par la douleur, je crie.Un jonc vient de me cingler les reins.
Une main aussitôt me caresse la nuque et, à peine sussuré au creux de mon oreille, un « chchchut »
très doux me calme.
« Gardez bien les yeux fermés. » Je m'exécute .
« Les mains ! Gardez les mains dans le dos ! »
Plus rien de nouveau, un temps indéfinissable passe, ...le silence.
Au loin, hors, une rame de métro repart.
Me croyant délaissé, j'ouvre les yeux .
A la seconde même, une gifle magistrale me sonne littéralement : bourdonnements, la moitié du visage en feu.
« Qui vous a autorisé d'ouvrir les yeux ? Je déteste que l'on déroge à ce que je demande, sachez-le. »Cette même voix sèche de tout à l'heure, ni élevée, ni énervée, ...très calme ! . Mais qui, bizarrement, me rassure aussi...Je referme de suite mes yeux .
« Gardez -les ouverts. »
Face à moi, deux yeux de glace vive me regardent.Je baisse les miens . Une irrépressible envie de découvrir son visage me tenaille et elle, de me fixer.
« Levez les yeux, regardez-moi, je vous le permets ! »
Son expression est dure mais je n'y sens pas de menace ; au contraire, sa calme assurance me rassérène.Ce n'est qu'au bout de quelques minutes qu'elle m'enjoint à nouveau de baisser les yeux, d'une voix très douce qui me désoriente..
« A genoux, le dos de vos mains comme tout à l'heure. ».
De nouveau, les minutes s'égrènent , d'abord longues puis le temps se dissipe. Je n'en ai plus idée.
Mes genoux commencent à me faire mal.
Les deux femmes ont repris leur conversation .Elles bavardent et plaisantent.
« Resservez -nous donc deux flûtes. »
Après les avoir servi en boisson et gâteaux, Madame me demande si j'ai faim, si j'ai soif...
Après l'avoir remercié de cet égard et désireux de manger et de boire, Madame me demande, de sa voix dure, d'ouvrir la bouche. Toujours agenouillé, comme un oisillon au nid, elle me donne la becquée et recrache la pâte mastiquée des biscuits dans ma bouche ouverte . Aucun dégoût, au contraire.Je savoure.
« Rouvrez » D'entre ses lèvres, s'écoule dans ma gorge le champagne qu'elle venait de boire, sur mon visage aussi, sur le torse et par terre sur le parquet.
« Léchez ! »
Madame recommence plusieurs fois, et ô combien je goûte cette attention. Son amie, plus jeune, s'empare d'une cravache et me donne l'ordre de me tourner et de me placer à 4 pattes.Je sens le cuir me fouiller, m'incliner et me relever la tête . Elle s'attarde sur le sexe, l'entrejambe ...l'anus.
Aucun commentaire, pas un mot. Désormais, la rue est calme.Seul le passage d'une voiture vient troubler le silence .
Au vu d'un geste de sa main, je m'empresse de rejoindre Madame près du mur de miroirs. Toujours , je me suis demandé si ce n'était pas une glace sans tain. La tête fixant le sol, je l'entends cracher . Une main me tire brutalement par les cheveux et de placer mon visage à quelques centimètres du glaire . Elle attend que le filet s'allonge.
« Maintenant !»
La main serrant les cheveux de ma nuque me plaque la face sur la salive et en essuie le verre froid . De nouveau un autre glaire, au sol. L'autre femme le serpille de mes lèvres.
Mes tempes, mes joues, mon front poissent... Je ne suis plus à moi-même.
Las d'éponger, la bouche sèche et le pouls s'affolant, je reste allongé sur le sol. Madame verse un verre sur ma queue et veut que je me branle...
Peine perdue.Je débande.
« Restez-là , reposez-vous.»
Trop de fatigue, trop de sensations nouvelles et souterraines qui remontent et s'invitent.
« Vous allez vous rhabiller. Combien de temps mettez-vous pour rentrer ? Appelez-moi en arrivant .» La nuit était bien avancé, j'ai attrapé un des derniers RER dans la moiteur de cette nuit d'été, j'étais bien, léger, j'avais son regard de ce bleu si clair en moi.
Il y aura peu de séances avec Elle. J'avais 25 ans et je voulais me détruire et m'abîmer dans la souillure pour me dégoûter du sexe, ne plus être dans le manque, et Elle, me tirait par le col hors de l'eau. J'aimais quand Elle m'appelait, tard le soir, de New York, de Reykjavik ou d'Amérique du sud. Elle suivait son mari.Sa conversation portait très peu sur les séances et le sm.
S'esquissait dès lors une déchirure dans la grisaille des jours .
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