La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/04/24
Bonjour Maîtresse reine, je vous écris cette lettre pour vous dire a quel point je vous suis dévoué et fidèle. Par la suite, je publierai cette lettre avec votre accord pour que les gens qui la liront sachent que ma soumission est totale en ver vous. Voilà quelques années, maintenant, que je suis votre soumis et cela me conviens très bien vous m'avez aidé pour trouver ma place au sein de notre couple, la place de l'homme est aux pieds de la femme, c'est ma conviction, j'aime vous voir et vous savoir supérieur à moi, moi l'esclave qui a mi ma vie entre vos mains le jour ou nous avons signé ce contrat qui nous lie. J'aime la manière que vous avez à me traiter à jouer avec moi, le ton autoritaire que vous prenez pour me dresser, votre sévérité pour corriger mes fautes. Je me plie à vos moindres désirs, je suis prêt à tout pour vous, je suis votre petite chienne en chaleur, j'aime quand vous me promenez en laisse dans le jardin ou dans des lieux insolites. J'aime quand je dois faire la pute pour vous quand vous m'exhibez en cam face à des gens que vous me dominez sauvagement devant eux. Vous me répétez sans cesse que j'ai un petit sexe et que ce n'est pas avec cette ridicule bite que je vous ferai jouir et que je ne suis pas digne d'avoir une érection en vous regardant sous peine de me faire torturer la chose qui me sert de sexe. Vous prenez votre pied chaque fois que vous me sodomisez avec votre god ceinture, je dois dire que moi aussi, j'aime quand vous me pénétrez sauvagement, je gémis je cris mes jambes trembles mon cul sert plus que mon sexe. J'adore sucer votre god ceinture après qui soit passé dans mon cul vous me le faite nettoyer et je le fais volontiers, tout comme je dois nettoyer avec ma langue vos pieds votre chatte et votre anus après une grosse journée de travail. J'apprécie également le fait que vous lâchez des pets dans ma bouche pendant que je vous leche l'anus. J'adore l'odeur que vous dégagez, j'aime vous renifler, c'est un parfum divin, je ne m'en lasse pas, c'est un réel plaisir de sentir vos odeurs. Cela fait un moment que je suis votre urinoir vous vous amusez à m'uriner dessus ou dans la bouche ou simplement que j'essuie votre chatte après pipi avec ma langue et j'apprécie aussi et depuis peu nous nous essayons a la scatologie, c'est moi qui vous ai demandé de me réduire un WC humain avec vos excréments. Bien que vous m'avez déjà réduit à esclave sexuel, je ne me sentais pas encore à ma place, je voulais être encore bien plus dégradé. Je vous ai alors soumis l'idée de faire vos besoins totalement sur moi, je vous ai même supplié de m'accorder cette faveur. Vous m'avez accordé seulement le droit de vous léchez le cul juste après que vous aillez fait vos besoins dans un WC sans vous essuyer, cela m'a bien plus oui, je l'avoue.Mais aujourd'hui, je vous le répète, je vous en supplie encore une fois, dégradez moi au plus haut point, souillez moi de vos excréments, je suis prêt a vous lécher même les pieds plein de votre caviar. Je me suis exercé seul dans la douche, j'en ai fait une vidéo, les photos sont publiées. Sur la vidéo, vous me verrez jouer avec mes excréments et tout étalé sur mon corps cela m'a beaucoup excité. merci Maîtresse Reine votre souis et esclave.       
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Par : le 28/03/24
Un week-end où je m'ennuyais, j'ai décidé de sortir boire un coup et faire de nouvelle rencontre. Je suis allé dans un bar à bière, il y avait pas mal de monde de la musique une très bonne ambiance, je me cale dans un coin, je passe ma commande, on me sert et je commence à boire. Derrière moi, il y a une table avec deux très jolies filles de 25 28 ans. Elles sont de natures plutôt joyeuses, je dirais de les entendre rire. Ça doit faire une demi-heure que je suis arrivé quand soudain une des deux filles vient m'aborder à ma table. Elle me demande si j'attends quelqu'un ou bien si je suis seul, je lui réponds que je suis seul que je suis venu boire un coup pour me détendre de la semaine. Elle me proposa de les rejoindre à leur table s'il n'y avait pas d'inconvénient. Je les ai donc rejoints, je paye ma tournée et on commence à discuter pour faire connaissance. Au bout de quelques bières, la glace se brise, on rigole bien tous les trois ensemble, il y a un bon feeling. Puis peu à peu l'alcool monte et les langues ce délies et les discutions tourne vite au tour du sexe elles m'avoue quelles sont lesbienne, je leur réponds que je n'ai aucun préjugé car moi-même, je suis bisexuel et le courant passe encore bien mieux entre nous trois, je me sens tellement bien, que je ne sais pas si c'est l'alcool ou bien la bonne ambiance qu'il y a entre nous que ma langue parle plus vite que mes pensées, je leur avoue que je suis également soumis. Soumis le mot est lâché je me mort les lèvres, je réalise ce que je viens de dire, je me dis elles n'ont peut-être pas entendu et là le drame elles me regarde et me font quoi tu es soumis, j'ai honte, je bégaye, je cherche une excuse, mais rien y fait elle le très bien entendu.  Je regrette d'avoir trop parlé les deux me passe a la questionnette et me demande plus de détails. Je bois un bon coup avoué pour avoué, je leur dis tout.  Je leur raconte toutes les pratiques que je fais dans le BDSM que ce soit avec des hommes ou bien des femmes le plaisir que j'y prends le fait de me faire diriger de me laisser aller aux désirs de mon ou ma partenaire tout en racontent mes ébats, je vois une des deux filles qui se mort les lèvres au moment même ou je leur raconte la fois où l'on m'a pissé dessus. Les filles se regardent, ce font un signe de la tête et me propose d'aller boire un dernier verre chez elles. Une fois arrivé chez elles on reprend la discussion sur l'uro avec des detailles plus précis qui ma deja pissé dessus ou on ma pussé dessus savoir si j'en ai deja avaler je leur reponds que oui j'aime la pratique uro et que je n'ai pas de limite avec. Je leur demande pourquoi toutes ces questions ? Elles me répondent. Aimes-tu les odeurs fortes ? Je leur dis que jusqu'à maintenant un seul partenaire homme aimait se faire renifler la bite odorante et que ça ne m'avais pas déplus. Elle s'échangea encore un regard encore un signe de tête avant une autre question. Et me demanda et la pratique scato tu as déjà fait ? Je leur répondis que non que j'en avais déjà entendu parlé, mais que je n'i jamais osé sauté le pas. Ça te dirait d'avoir ta première expérience scato avec deux lesbiennes en tant que soumis ? Et là, avec une voix tremblotante, j'ai répondu oui le oui d'un soumis qui ne peux qu'accepter la demande de ses maîtresses. Elles se sont mises debout face à moi, une s'est mise derrière moi elles mont attrapé sauvagement et ont commencé a me d'habiller en me brutalisant tout en m'insultant et me disent que j'allais regretter d'avoir dit oui. Une fois au sol et nu, elles m'ont attaché les mains derrière le dos avec des menottes elles portais toute les deux des bottes hautes noire, j'étais à genoux face à elles, je devais lécher leurs bottes pendant qu'elles s'embrasser langoureusement. Puis elles m'ont fait mettre la tête au sol le cul cambré les jambes écartées, j'avais peur, je ne savais pas ce qu'elles aller me faire ce n'était pas comme les séances auxquelles j'avais l'habitude elles étaient imprévisible et j'avais raison. Une fois dans cette position tête au sol jambes écartées, j'ai reçu un grand coup de pied dans les couilles, j'ai hurlé de douleur, je me suis couché sur le côté en position fœtale, je me tordais de douleur elle m'ont obligé à me remettre dans la même position pour recommencer, je les supplier, mais pas le choix, je me remis en position, je tremblais de peur, car je ne savais pas quand elles aller frappé.Comme j'ai dit, je tremblais littéralement de peur que je n'ai pas pu me retenir, la pisse a commencer à sortir toute seule. Je les ai entendu se moquer de moi, mais ce n'est pas pour autant qu'elles ont arrêté leur torture.  Puis une s'est mis à quatre pattes les fesses écartées et l'autre s'en est donné à cœur joie avec son plus gos god ceinture pour me sodomiser. Quant à celle qui s'est mise à quatre pattes, je devais lui renifler le cul. Elle avait le cul qui sentait très fort, elle me le collait sur mon nez, je devais renifler fort. Sa chatte pareille une très forte odeur et toute poilue aussi. Puis j'ai dû me mettre sur le dos et toute les deux m'ont pisser dessus et j'ai dû boire leur champagne doré. Puis une s'est assise sur mon visage plein de pisse elle a collé son trou du cul sur ma bouche grande ouverte et a commencer a pousser au départ des pets en son sorti puis très vite de la merde a commencer peu à peu à remplir ma bouche, j'avais des haut-le-cœur. Elle frotta son cul merdeux sur ma figure pour en étaler le plus possible quant à l'autre, elle m'a chié sur le torse qu'elle commença à étaler avec ses pieds. Ses pieds remplis de sa merde, elle me les fit lécher elle enfonça tous ses doigts de pied dans ma bouche comme une gorge profonde. Elles m'ont recouvert le corps de merde des pieds à la tête, plein de merde plein de pisse les mains attachées dans le dos souiller et dépravé les couilles éclatées par les coups de pied. En réalité, j'ai adoré cette séance scatologie.  Elles m'ont laissé attaché dans cet état pendant qu'elles sont allées prendre leur douche puis j'ai eu le droit à prendre la mienne. (Ce récit n'est pas du vécu, c'est un fantasme)     
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Par : le 06/03/24
Cette histoire se passe dans un club libertin, avec pour thème le BDSM. Mais cette soirée est particulière, chaque Dominants ou Dominatrices doivent présenter leurs soumis ou soumises à tout les autres invités, avec une liste de choses à subir qui est adapté pour chaque soumis soumise. Puis les soumis soumise sont mis à disposition à tous les membres Dominants Dominatrices. Le ou la soumise se retrouve au centre de la pièce et doit se laisser faire sans parler, sans crier, la seule chose qui lui ait autorisé, c'est de gémir. Puis viens mon tour, ma maîtresse me mène en laisse au centre, je suis nu les yeux bandés les mains liées de devant, j'ai peur, je marche d'un pas hésitent ma Maîtresse tire des coups secs sur ma laisse pour me faire avancer, j'arrive au centre, je sens des mains commencer à me toucher ce ne sont pas les mains de ma maîtresse, celles-là sont plus masculines, on tire très fort sur ma laisse pour me faire mettre a quatre pattes, je me retrouve dans cette position comme un chien apeuré on e fait écarter les jambes en me donnent des coups de pieds sur chaque chevilles je sens leurs mains sur moi jai les yeux encore bandé leurs doigts frole mon anus et mon sex, quand soudain on me leve le bando sur mes yeux la je vois au tour de moi une dixene hommes viril tres bien vetu classe ma maitresse avait choisie pour moi de beaux mals et au tour encore les autres Dominant Dominatrcies qui asite au spectacle assis pour d'autres debout flute de champagne a la main qui rigole ce regoussent de me voir dans cette situation. J'ai honte, c'est la première fois que je suis humilié devant d'autres personne, je suis là, a quatre pattes, nu, je ne bande pas mon sexe est mou, j'ai les couilles qui pendent on tir fort dessus les spectateurs ce moque de la taille de mon sexe. Puis je sens un doigt s'introduire dans mon anus un autre devant moi sort son gros sex de son pantalon et me le met dans ma bouche, il appuya sur l'arrière de ma tête pour me la mettre au fond de ma gorge quant à celui qui me doigtait le cul, il m'enfonça sa grosse bite. Il était dix à passer à tour de rôle dans mon cul et dans ma bouche un coup celui qui me sodomisait me la faisait sucer et celui que je suçais me sodomisait. On me fit allonger sur le dos les jambes en l'air un qui me sodomisait et un autre qui vient au-dessus de moi pour me cracher à la figure et un autre qui m'enjambe écarta ses fesses et vient poser son anus sur mon visage. Il frotta son cul pour étaler le crachat de l'autre et me dit de lui renifler le cul comme si j'étais un chien. Ils sont passés un tour chacun à me faire sentir leur parfum anal chaque mal avait une odeur différente. Je devais renifler et lécher. Quand soudain un me demanda d'ouvrir la bouche, il colla son anus sur ma bouche grande ouverte et lâcha un pet, je ne devais pas bouger et me laisser faire j'ai juste crispé les yeux, il se leva me mis des petites tape sur la joue en me disant brave chien. Puis ils se sont mis les dix autour de moi, et on commençait à m'uriner dessus à tour de rôle puis ma Maîtresse est intervenue, elle a apporté deux entonnoirs, un dans ma bouche et l'autre dans mon cul. Je vous rappelle que je suis toujours allongé sur le dos. C'étaient des entonnoirs avec un long tuyau. Ils ont continué à pisser, mais cette fois-ci dans les entonnoirs. J'avalais leur pisse au fur et à mesure, je sentais l'urine remplir mon cul, c'était comme un lavement anal, mais a la pisse. Une fois fini des jets de pisse qui sortait de mon cul, mon cul qui était bien dilaté. Pour certains, ils m'ont giclé sur le visage d'autre dans la bouche et d'autre dans mon cul. J'ai fini accroupi le visage au sol dans leur pisse plein de sperme et le cul dilaté avec du foutre qui en dégoulinait.  ( Ce si est un récit non vécu, c'est juste un fantasme)                                    
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Par : le 10/02/24
Bonjour à tous, je vais vous raconter l'expérience où j'ai pris le plus mon pied avec ma femme. Il y a quelque été de ça m'a femme qui aussi ma dominatrice et moi, nous avons décidé de partir faire une balade en quad en forêt. Après une bonne heure de balade nous nous sommes arrêté dans un coin calme sans personne pour nous reposer, enfin ce que je croyais. Ma femme a décidé de faire une séance de domination soumission en plein air en pleine nature, elle m'ordonna de me mettre nu à genoux devant elle, chose que j'ai faits immédiatement. Elle était assise sur le quad face à moi, elle me regardait avec mépris, et me dit d'un air autoritaire: "retire mes chaussures délicatement et renifle mes pieds larbin". J'ai donc fait ce qu'elle m’a dit, j'ai reniflé ses pieds qui étaient nus dans ses baskets avec la chaleur elle sentait des pieds et elle souriait en me regardent faire. Je lui reniflais ainsi que léché les pieds avec passion, elle me l'ait frotté sur mon visage pour que l'odeur reste sur moi puis elle se rapprocher de moi pour me crachera la figure et m'envoyer un bâton à travers les bois pour que je cours comme un chien pour le lui rapporter. Elle a continué ma séance de dressage en me faisant renifler sa chatte humide et son anus transpirent tout en asseyent sur ma figure elle les frottait toujours pour que les odeurs restent sur moi elle crachait en même temps et tout en se frottent elle étalait sa bave sur toute le surface de ma figure jusqu'au moment où elle s'est arrête et a collé sa chatte poilue et humide de mouille et se salive au niveau da ma bouche et s'est soulagé de son liquide doré et chaud dans ma bouche tout en me disent:"n'en perd pas une gouté larbin". J'étais recouvert de pisse de bave et de ses odeurs intimes. Elle m'a ensuite obligé à me faire moi-même pipi dessus, puis elle m’a fait mettre à 4 pattes sur le quad lui offre mon cul et à commencer à me pénétrer avec ses doigts pour finir avec 4 de ses doigts dans mon anus, elle faisait des vas et viens de plus en plus vite je gémissais comme une chienne j'avais les jambes qui en tremblaient, elle me demandait de crier que j'aimais ça et que j'étais et que je suis toujours je tiens à le préciser une grosse salope. Et pour finir après m'avoir bien défoncé le cul elle m'a sucé en me titille le bout des seins chose qui m'excite énormément pour me faire gicler dans sa bouche et me le recracher dans la mienne et sur la figure. Voilà une de mes expériences le plus où on a pris notre pied.   PS: jhomme soumis.
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Par : le 30/06/23
Ce n'est que très récemment que j'ai pris conscience de son emprise sur moi. Son petit sourire narquois a le don de me faire chavirer. À flots dans les limbes du désir, je rassemble les quelques pans de bois restant de mon ego pour me construire un radeau. Je n'ai que peu d'espace afin de me maintenir hors de ces eaux troubles. Seul sur cette Méduse, face à moi-même, je dérive et m'enfonce dans les ténèbres. L'obscurité a quelque chose de rassurant. La quiétude qui y règne me permet de m'abandonner et de dépasser mes peurs. Perdre certains sens en décuple d'autres. Plus ma vue se trouble, plus mon toucher s'étend. J'ai l'impression que mon corps est aussi sensible qu'une digitale. Je m'ouvre par défaut et me referme dès que l'on m'effleure. Dans ce mouvement incessant entre tension et relâchement, j'y laisse un pétale. Ce n'est que dans sa chute qu'il raconte l'histoire de mon tourment. Lorsqu'il tombe, je me sens dans le plus simple apparat. Maintenant, que je suis dénué de tout artifice, que la beauté n'est plus sublimé par l'emballage, je me sens bien. Je ressens toute cette sève accumulée dans la tige tendue. Elle ne demande qu'à jaillir. Pourtant, c'est elle qui me maintient : moi, la fleur.  Ce n'est qu'au moment où le pétale touche les eaux que l'onde se multiplie. Les forces qui s'exercent me dépassent. Est-ce bien un simple pétale qui entraîne la création de ces arcs infinis ? Comment d'une simple moue, peut-elle m'atteindre si profondément ? Je ne souhaite pas le savoir par peur d'en briser la mystique. Qu'adviendrait-il si je trouvais la réponse ? J'y perdrai sans doute mes racines, celles qui me permettent de m'abreuver de Son essence. Elle est ma terre, mon socle, mon terreau, Je serai la chair, Patrocle, un héros, Lumière surgit, m'ôtant le bandeau, Pour elle, je vis, jusqu'à mon tombeau.
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Par : le 23/06/23
À mesure que l'aurore chatouille la rosée, la roseraie du jardin de ma Dame dévoile ses couleurs chatoyantes.  Cette humidité perlée s'ajoute à celle déjà présente sur l'épiderme de mes cuisses. Le contraste de température des deux fluides provoque en moi un excès d'excitation. Pourtant raisonné par cet habitacle métallique que ma Dame m'oblige à porter, je ne peux m'empêcher de gémir tant mes sens sont stimulés. Seul au milieu des plantes, agenouillé dans ce gazon recouvrant l'humus, je suis une statue. Mes bras sont tendus par des liens raccrochés à la structure métallique de la roseraie. Je donne à ma Dame la vue qu'elle désire en lui faisant dos. Pendant qu'elle sirote son Nicaragua dans la véranda, elle s'amuse de mon isolement.  Je dois bien en convenir; ce lever de soleil est magnifique.  La chaleur recommence à monter en moi tant la lumière caresse mon corps nu. Les épines de roses logées entre mes omoplates me rappellent à l'ordre comme ma Dame sait le faire. C'est ainsi qu'elle me marque de son sceau. La douleur se calque sur le battement de mon cœur qui ralentit de plus en plus depuis qu'elle est partie. Pendant que la lumière révèle le reste de la flore, c'est la faune qui se réveille. Les oiseaux gazouillent, s'abreuvent et jouent dans une des vasques du jardin. J'aimerais aussi pouvoir me libérer de cette étreinte et m'envoler... "- Tu les envie n'est-ce pas ? À quoi te servirait cette liberté à toi ? Et pour aller où ? Dit fermement la Dame aux Roses, qui s'était rapprochée à pas feutrés. - Nulle part, Madame, dis-je piteusement en cachant ma surprise. Que ferais-je sans vous ? - Tu n'irais pas bien loin, c'est certain, dit-elle sèchement. Au moins, tu as le mérite de le reconnaître. Décidément, mes chéries ont vraiment un bon effet sur toi." Au même moment, je sens comme une pression sous ma nuque. La Dame appuie avec la semelle de sa botte sur les épines restées ancrées dans le haut de mon échine. Je ne puis m'empêcher de mordre ma lèvre inférieure afin d'étouffer la moindre plainte. Plus elle appuie, plus les épines déchirent ma chaire laissant couler de légers filets vermillons que je sens rouler jusqu'à mon bassin. Après que mon cou se soit contracté de douleur, me faisant lever la tête et contempler le ciel, ma tête retombe. Je ne vois plus que mon torse suintant et cette cage entre mes deux jambes. Après un rictus sonore, appuyant un peu plus son emprise, la Dame s'en retourne dans sa véranda. Éreinté, je ferme les yeux et m'assoupis peu après.
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Par : le 07/11/20
Kikou est comptable dans une grande société du quartier d'affaire. Il vit seul depuis qu'il a rencontré Maitresse Anaïs, une dominatrice de grande beauté qui l'a réduit en esclavage, marqué au fer rouge et obligé à ne vivre que pour elle. Maitresse Anaïs décide de tout, pense pour lui. Il n'a qu'une chose à faire, c'est obéir et faire diligence pour servir. Avec le confinement, Kikou a été contraint au télétravail. Maitresse Anaïs lui a imposé de venir se confiner dans son luxueux pavillon dans le quartier résidentiel chic. Elle a les moyens, ceux de ses esclaves. Kikou a le numéro 36 marqué sur sa fesse droite. Il obtempère. Etre reçu par Maitresse Anaïs est un signe de grande faveur. Arrivé chez sa Maitresse , il doit se doucher, se mettre nu, passer son collier d'esclave. Il est déjà sous cage de chasteté et pluggé. Il prend son service et ses ordres d'une assistante de Maitresse Anaïs. Une lesbienne fort jolie, nue et toute dévouée comme lui. Tout se passe dans un grand silence et une propreté de clinique. Tout est impeccable. Kikou est en stage de recyclage. Il sait qu'il va souffrir. C'est une autre assistante lesbienne qui lui impose le programme défini par Maitresse Anaïs. Cela a commencé par de dures séances de fouet. Kikou est lacéré. Son dos le brûle. A présent il doit nettoyer le parquet à quatre pattes, nu. Tout le monde l'ignore. Il n'a pas le droit de regarder plus haut que son éponge et son seau. Maitresse Anaïs le reçoit. Il lui baise les pieds. Il n'a pas le droit de regarder plus haut que son superbe mollet. Elle n'est pas contente de son esclave et donc lui impose des punitions. Son assistante note et ne manquera pas de les lui administrer. Kikou remercie et se retire comme un chien, avec son plug bien visible dans les fesses et sa cage de chasteté qui pend. Il n'est plus que le numéro 36... plus un humain...même plus un esclave...Numéro 36 dans le cheptel de Maitresse Anaïs. Il est définitivement castré. Il n'a plus droit aux orgasmes. Son moi a disparu dans un grand calme intérieur. Il est dans la paix du non désir.
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Par : le 03/09/19
*TAC*...*tac*.......*tac*..........*tac*....... C'est ainsi qu'elle me laissa seul à ma souffrance, mon étreinte, mes contusions. Je la voyais s'éloigner doucement dans ce couloir qui, bien que sombre, semblait s'éveiller au martèlement du parquet gémissant -lui aussi- car planté par les longues épines sous ses talons. Encore tiède, je ne savais plus vraiment où je me trouvais. Quelle importance... Dans l'état actuel de mon corps, me faire descendre d'un tel mécanisme reviendrait à m'asséner le coup de grâce. Mes membres tremblaient encore. La peur, l'excitation... Tout semblait flou... C'est alors que j'essayais de me souvenir des 6 dernières heures précédant ce concerto de talon haut qui sonna pour moi un retour crû à la réalité. Je la revoyais élancée... ma Dame aux Roses... Mais ne lui dites pas que j'ai dis cela... Elle n'est nullement ma propriété car je suis la sienne. Cela n'empêche pas qu'elle soit une belle plante mais elle me punirait durement pour l'avoir désirée sans son accord. Où en étais-je... Élancée... Oui... Un peu comme ce lierre qui s'agrippe à ces murs de grès sur les bords de Loire. Elle commence par vous recouvrir tendrement au début, se mêlant à vous comme une pincée d'épice : elle rehausse votre palette par ses teintes de couleurs vives, ajoute sa part de naturel et s'enquit de vous découvrir insatiablement. Ce n'est que lorsqu'elle vous a totalement recouverte, que tous vos murs sont verts, que vous ne voyez qu'elle, que le choix s'impose comme limpide: le choix de ne plus en avoir et d'être sous l'emprise de la plante grimpante que voici. L'entendant revenir, je tente de chasser mes pensées et de reprendre mes esprits. Elle revient se délecter de ma frustration qui contribue à sa beauté car la rose est couverte d'épine et ne demande qu'à piquer.
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Par : le 24/12/15
Les deux jolis mamelons aux larges auréoles framboise jaillissant hors de leur prison firent sourire Ambre qui entrepris ensuite de réclamer à sa propriétaire de petits mouvements de la tête, des mains et des jambes. Totalement rassurée par cet examen rapide, elle dit à voix haute qu'il n'y avait plus là matière à inquiétude et qu'après une bonne nuit de sommeil tout serait oublié, mises à part quelques ecchymoses et courbatures. Et elle proposa même à la jeune femme, en tournant les talons, de les soulager dans les jours à venir par quelques uns de ses massages magiques. Un peu plus loin dans le fossé, un grand panier d'osier laissait dépasser la tête d'un jard splendide. Mais le volatile ne bougeait plus et sa tête faisait un angle bien étrange avec le reste de son corps. Il n'avait pas eu la même chance que sa maîtresse! Un peu troublée par ce joli corps féminin entraperçu, et fatiguée aussi par sa journée de travail, Ambre installa dans sa cour un grand baquet d'eau fraîche et n'eut pas la patience d'attendre longtemps qu'elle réchauffe au soleil pour se mettre nue et y plonger toute entière. Une lourde chaine entre les jambes Ses ablutions furent vite expédiées et elle s'allongea bientôt avec délice sur sa confortable fourrure de massage devant l'âtre où crépitait un feu vif, avide d'un sommeil réparateur et pressée aussi de retrouver en songe les bras puissants de son forgeron préféré. Mais à l'instant même où il se décidait enfin à l'entreprendre en la prenant aux hanches pour une pénétration qui s'annonçait bien vigoureuse, il lui sembla vaguement qu'on toquait à la porte. Un moment, elle crut avoir mal entendu, mais le heurtoir reprit du service et elle se leva en maugréant. Passant une pelisse de renard sur ses épaules nues, elle entrouvrit prudemment la porte. Là, se tenait un homme, manifestement confus de la réveiller à cette heure tardive. Vêtu d'une longue cape de laine et portant bâton de marche, il dissimulait sous un chapeau de feutre un visage marqué par la fatigue. Totalement immobile mais nullement menaçant, il semblait attendre qu'elle décide pour lui. Accepterait-elle de l'héberger pour la nuit ou bien le repousserait elle dans la solitude du soir! En fait, il s'en remettait totalement à son esprit de décision et aussi à sa bonne étoile. Elle sourit intérieurement à cette vue et se dit que décidément ses amies les étoiles avaient bon goût et lui envoyaient justement l'aide qu'elle espérait. Sans mot dire, elle s'effaça pour le laisser entrer et le fit asseoir. Remarquant au passage de discrets cliquetis métalliques, elle ne fit aucune remarque et lui proposa un morceau de fromage, un quignon de pain et un gobelet de vin rouge. Le regardant attentivement pendant qu'il mastiquait avec lenteur ce dîner bienvenu, elle remarqua qu'il gardait sa grande cape ostensiblement fermée, malgré la chaleur régnant dans la pièce. Instinctivement, son tempérament de maîtresse femme lui commanda d'en savoir plus. S'approchant de lui, elle écarta doucement les pans de laine et découvrit un homme arborant une tenue paysanne, mais partiellement nu, une lourde chaîne pendant entre ses jambes. A ses poignets, des marques profondes témoignaient clairement d'une mise aux fers sévère et prolongée. Poursuivant avec calme ses investigations, Ambre s'agenouilla devant son visiteur du soir et examina avec attention la chaîne qui lui battait les chevilles. Le dernier maillon était difforme, tordu, manifestement cassé par des efforts musculaires frénétiques et répétés. L'autre extrémité avait été forgée de façon à venir enserrer les testicules du prisonnier. Elle frissonna en imaginant le terrible coup de marteau qui avait aplati la pièce métallique pour la maintenir définitivement en place, sans toutefois causer le moindre dommage aux parties génitales du prisonnier. Manifestement il y avait là un vrai savoir faire de la part d'un bourreau très habile! En ces temps reculés, les châtiments pratiqués par les celtes étaient laissés à la discrétion des offensés et pouvaient s'avérer d'une rare cruauté, à l'égal des terribles pratiques chinoises. En outre, le lien entre faute et châtiment était souvent direct et l'on était souvent puni par où on avait pêché. Quelques siècles plus tard, la promulgation de la première version de la loi salique (IVe ap JC) imposera une modification de ces pratiques en portant dans la sphère publique la prononciation des peines par un représentant du roi. Et cela sur la base d'un inventaire précis de tous les dommages pouvant être causé (meurtre, mutilation, vol…). Exit donc les fantaisies terrifiantes de certains notables locaux et toutes ces règles particulières établies par chaque conseil d'anciens. Mais pour l'heure, c'est encore Elcmar, seigneur de Rohan et époux de la sublime Dana, qui prononce chaque jeudi (jour de la semaine destiné à traiter les affaires juridiques chez les celtes) les sentences à venir. Obscure et sombre couleur prune Petit et malingre, cet homme méchant au visage ingrat et à la voix de fausset s'est rapidement fait connaître dans toute la contrée pour la férocité implacable de ses jugements. Avec lui, le bourreau ne chôme pas, faisant même preuve d'une grande inventivité dans les supplices pratiqués, suivant en cela, disent les mauvaises langues, les conseils avisés et un tantinet sadiques de la belle Dana. Et Ambre de reconnaître la signature de celle-ci dans cette façon récente et tout à fait particulière d'enchaîner les condamnés de sexe masculin. Elle sait aussi les attirances anales de la redoutable Dame et n'a guère de doute sur ce qu'a pu subir son visiteur du soir, côté pile. Prévenante, c'est après avoir plongé la main dans le petit pot d'onguent opiacé disposé près de la cheminée, qu'elle va tenter d'apaiser le feu qui lui dévore l'anus, malmené très récemment en prévision probable d'une exécution par empalement. Ignorant la composition exacte de la médecine qu'elle se procure en forêt chez une vieille rebouteuse, elle l'applique cependant avec conviction et douceur, en connaissant l'efficacité rapide, et aussi certains de ses effets secondaires tout à fait intéressants quand on aime les plaisirs de la chair. C'est bien connu, l'intimité d'une femme, c'est l'origine du monde. Celle d'un homme, c'est au contraire une porte fermée, tendre et délicate, mais d'une obscure et sombre couleur prune, à laquelle la plupart des civilisations n'ont accordé qu'un rôle strictement fonctionnel. Ambre sait pourtant qu'il en est tout autrement, et qu'avec un sésame approprié on peut s'y glisser toute entière, ou presque. Elle aime sentir cette chair palpitante, qui s'échauffe encore davantage lorsqu'elle saisit brusquement l'un ou l'autre des tétons disponibles du mâle qu'elle soumet. Lorsqu'elle mène ainsi bataille, arrachant victoires sur victoires au point d'y mettre la main entière, elle sent aussi monter du côté de son ventre à elle de fortes envies de visite. Elle résiste tant qu'elle peut, poursuivant parfois son avantage jusqu'à doter son entrejambe d'un gigantesque fac similé. L'esthétique de l'ustensile lui déplaît souverainement mais la sensation quand elle pénètre l'homme n'est pas du tout déplaisante. Le retournement de situation est complet et c'est avec grand plaisir qu'elle laboure avec vigueur le sillon masculin, attentive aux gémissements de contentement qui lui parviennent bientôt aux oreilles. Toute à ses pensées frivoles, elle frissonne soudain et réalise que le feu dans la cheminée a bien baissé. Allongeant le bras vers le haut du bahut, elle en ramène un collier de cuir, des bracelets munis d'un gros anneau ainsi qu'une laisse de corde tressée. - « je ne veux rien savoir de ton passé» dit elle «ni d'où tu viens ni pourquoi tu portes cette chaine». - «je te propose de demeurer ici aussi longtemps que tu voudras, tu y seras à l'abri de ceux qui te poursuivent. Mais tu seras aussi mon esclave. Tu garderas tout au long du jour et de la nuit ce collier et ces bracelets. Et dorénavant c'est moi qui déciderait ce qui est bon pour toi, dans quelque domaine que ce soit.» ajouta t'elle en secouant légèrement la chaine. Hésitant un court instant, il tendit finalement le cou, puis les chevilles et les poignets, auxquels elle fixa solidement le cuir. A l'anneau du collier, elle accrocha la laisse, puis décida que c'était l'heure de dormir et le guida jusqu'à l'étage. FIN
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