La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 08/09/14
Après une soirée, chez des amis, assez ennuyeuse. Je décida de rentrer et comme souvent, quand une personne se lève pour partir, d'autre en profite pour en faire de même. Après avoir saluer pour rentrer chez moi, je ferme la porte derriere mon amie, qui me dit "Tu rentre chez toi ou tu sors?""Non je rentre, je m'ennuie un peu. Je vais surement me coller devant la télé""Tu veux venir chez moi, j'ai une bouteille de vin" Aussitôt j'accepte l'invitation, pas forcement envie de dormir. Les heures défillèrent tellement vite, que je m'aperçu que la bouteille etait vide. On avait parlé de beaucoup choses, de nos ex, mais surtout de nos expériences et fantasmes. Tout cela devenait excitant et tentant, le plus marrant c'est qu'on aurait beaucoup de mal à s'entendre, 2 dominateurs et aucun soumis, dommage.Une fois couché sur le canapé, bien evidement je dormais sur place, trois verres mon suffit à ne prendre le volant, je ne tardis pas à m'endormir.Mon rêve devenait très interessant, mon amie sortie de la chambres en fine lingerie et moi je n'avais plus de boxerune demi érection et elle se pencha pour me mettra mon sexe dans sa bouche...hmmm... cependant je ne pouvais pas les bras, comme cloué. Elle fit clisse ses levres et sa langue, le long de ma verge, jusqu'à la resortir et me masturber en chuchotant "reveille toi" au bout de 2 ou 3 fois j'était tellement excité mais un peu dans le coltar et ouvrit les yeux, elle etait nue et moi les mains attachées au pied du canapé, elle mit ma tête dans son entre jambe. Ce parfum et ce goût me donna envie de la dévorer à fond. Je lechais, mordillait et passait ma langue entre ses levres pour l'enfoncer dans son vagin. C'est agaçant de servir d'objet quand on refuse de l'être à la base. Elle me dit " doucement, sort ta langue". Je m'executa et elle frotta son clito sur la pointre de ma.langue. Ces gemissements m'excitait et me frustrait. Attaché et ne rien pouvoir faire ma vengance sera aussi agrèable pour moi. Je sentais qu'elle venait et "ne t'arrete pas, tu vas me faire venir, hmmoui" Elle se tordi dans un jouissement, un rale de plaisir. Je sentais ses petits jets de qui me giclait en bouche. J'esperait que les menottes ne soit pas solide pour me detacher, mauvaise sirprise, elle retourna se coucher et moi toujours attaché.
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Par : le 04/09/14
Cela remonte à 6ans, je venais de rencontrer ma petite amie (qui est devenue mo ex, après 3ans) et elle venait manger à la maison. Je lui sort le grand jeux, ambiance tamisée et bon repas.Après une heure de repas, on passe au dessert, mais on manque de sujet, elle me dit qu'elle est excitée à l'idée de ce qui va suivre."Ah oui, mais ce soir c'est moi qui décide du déroulement de la soirée" lui répondis je avec une pensée toute excitante aussi"Je démande à voir, je t'avoue que j'aurais aimée que ce soit plus brutal la dernière fois, surtout que j'ai remarqué ta façon de me prendre les mains pour que je reste immobile"Dans ma tête tout se mit en place et j'executa mes pensées.je posa ma petite cuillère et me leva, la pris par la main et l'emmena dans la chambre. Elle vit les barreaux au lit, je retira ma ceinture. Et lui dit:"Met toi en sous vetements, maintenant"Doucement elle enleva ses habits, pour dévoiler une lingerie fine. Je la poussa sur le lit et lui attacha les mains aux barreaux. Un sourire se dessina sur son visage. Je retira sa petite culotte pour lui mettre dans la bouche. Je pris ses jambes pour les remonter à ses épaules. Ses fesses s'écarta et me laissa dévoila ton anus et ses lévres légèrement humide.Je lui donna une fessée qui marqua mes doigts sur sa peau. Ma langue passa sur ses levres et mon pouce à l'entrée de son rectum...Vous aimez le début?Je suis nouveau, venez me découvrir. Demandez moi la suite
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Par : le 26/07/14
- Alors t'as trouvé un chouette pantalon ? - Oui j'en ai deux ou trois à lui faire essayer on verra. - Mais avec la veste du tailleur moi je dis qu'il serais bien mieux avec la jupe assortie... - Oui mais c'est MA journée, c'est moi qui décide et je lui ai promis de rien faire de trop sexy et qu'on en restait au pantalon. Puis il a bien voulut que ce soit toi qui choisisse les chaussure, avec avec la veste et le chemisier il sera quand même très féminine. - Il a bien voulut tu parle, il avait pas trop le choix tu crois qu'il serait rentré dans tes chaussures en 37, puis t'as même pas de talon haut. Il sera plus féminine que toi ça c'est sure... - Non mais ho je m'habille comme je veux, je vois pas en quoi ça te regarde... - Ça me regarde que quand on va toutes les deux draguer dans un bar à chaque fois personne ne nous approche parce que tous les mecs sont persuadés qu'on est un couple de lesbiennes... * Bhen voila, de toute façon tous les mecs de la ville ont dut passer sous tes griffe, ça te fera un nouveau terrain de chasse si tu t'y mettais un peut... - Ha parce que toi peut être que - Et bhen peut être oui.. Et peut être que j'avais fais un autre journal intime au lycée parce que je savais que tu lisais le premier en douce tous les jours... Bon puis si on s'y remettais, aide moi à trouver une joli lingerie. - Ha ! Super là j'ai ce qu'il faut ! - Et c'est repartis... Tu choisira ce que tu voudras demain, c’est ma journée et aide moi à retrouver mon ptit ensemble noir pin up, avec le soutif et la culotte haute satinée, tu va voir ça va la galber comme il faut et lui faire une taille de guêpe... - Ouais, si on aime la lingerie de grand mère d'il y a 50 ans... - T'y connais rien, Betty Page elle avait l'air d'une grand mère ? Pour toi on peut pas être sexy si on a plus de tissus qu'un de tes mini string... - Bon, va pour le look Betty Page alors, mais demain tu verras ce que tu verras. T'as un porte jarretelle est des bas au moins ? - Non on a dis un collant plutôt, puis sous le pantalon on verra pas les marque des jarretelle comme ça puis si il est plus à l'aise comme ça, je le comprend... - Dis plutôt que t'en a mime pas... - Ho mon dieu, je n'ai pas de porte jarretelle, comment puis prétendre être une femme sans porte jarretelle hein c'est ça que tu veux dire ? - Mais non holala tu sais très bien que tu es une très belle femme et que j'aime beaucoup. - Tu me dis ça comme ça, et c'est à cause de moi qu'on nous prend pour des lesbiennes tu dis... - J'y peut rien, t'es trop choupinette tu me fais craquer.Et un body collant alors ? Ca ferais bien aussi avec une joli dentelle sus le chemisier non ? - Hmmmm, ouais, tu vois que t'as de bonne idée quand tu veux. Et puis je lui ai promis un collant, j'ai pas précisé de quel sorte. - Voila ça c'est la bonne attitude, pus hier c'était hier, ce que tu lui a dis ça compte pas vraiment, il a signer, aujourd'hui tu fais ce que tu veux de toute façon. Je les entendais se chamailler sans arrêt depuis sous la douche. On était chez Jeanne, la petite pet sec un peut garçon manquée d'un mètre soixante dix avec des tous petits pied mais un poitrine on ne peut plus généreuse qui malgré son look ne laissait jamais aucun doute sur son sexe malgré son style vestimentaire plutôt masculin. L'autre copine avec son style de bimbo, c'était Alice. Presque aussi grande que moi, elle avait été athlète d'un très bon niveau pendant les étude et avait aussi fait un peut de mannequina, pour la mode, lingerie et "autre chose" d'assez mystérieux dont elles n'avaient pas encore parler devant moi. Je ne les connaissais que depuis deux jours mais je savais déjà beaucoup de choses sur elles, non pas que je soit d'un naturel curieux et indiscret, mais c'est mon amie Candice qui me les avait présentées, et vivre 5minute avec ces trois là réunis, c'est comme vivre un épisode de "Sex and the city" en live. J'entendis Jeanne rentrer dans la salle de bain. A travers le rideau de douche, je voyais sa silhouette ramasser les seuls habits d'homme que j'avais, et déposés en l'énumérant tout ce qu'elle me laisserait en sortant, que je n'aurait d'autre choix que d'enfiler pour éviter de sortir nue de la salle de bain. - Bon ma petite Cheyenne pour aujourd'hui je te laisse une culotte et un soutient gorge style vintage tu va voir c'est sexy et confortable, enfin toi ça va serrer un peut mais faut souffrir pour être belle. Avec un collant, mais un body collant et manche longue, tu va tout avoir couvert d'un jolie dentelle tu va être superbe. Tu met le soutif dessous et la culotte par dessus sinon tu pourrais pas l'enlever, pour tu sais quoi... Le body collant est ouvert à l'entrejambe pour sortir ton machin aussi tout est prévue. - Non mais et le reste ? - Enfile ça et rejoint nous dans la chambre, on est pas décidées pour le pantalon et la veste du tailleur tu va faire quelques essayage, puis faudra essayer les talons que t'as amener Alice, va falloir t'entrainer un peut elle t'as gattée évidement avec des talons vertigineux... Je n'avait même pas eut le temps de m'imaginer les talons que je devrais porter, et marcher avec surtout, qu'avant de rétorquer quoi que ce soit, elle était sortie, me laissant seule dans la salle de bain, avec ma lingerie qui était tout ce que j'avais à me mettre avant de sortir. Dans quoi je m'étais embarquée, et à partir d'un contrat de rien du tout avec mon amie Candice qui m'avait fait signer un contrat pour poser avec les fringues de son ex qu'elle voulait revendre sur ebay en utilisant mes photos... Il avait fallut que ces deux là débarquent pour me faire signer des contrat aussi, contrat bien sur qui avec Candice n'avait pas lieu de préciser ce que je devrait porter, mais qu'elle détournèrent allègrement pour m'obliger à me faire faire une épilation totale le soir même, pendant qu'elles de leur cotés faisaient une partie de poker pour savoir qui allait faire valoir son contrat la première pour me posséder toute la journée. J'avais été transformée en mise de poker et elles m'ont gagnée toutes les trois dans l'ordre ainsi désigné... Et dés la première matinée sous le contrôle de Jeanne, je pris conscience que j’allai très vite devoir mettre ma pudeur de coté... Et me voila dans la salle de bain de Jeanne, enfilant un soutiens gorge, puis le body collant, glissant de mes pieds le long de mes jambes fraichement épilés, puis remontant sur ma taille, le fente de l'entre-jambe se plaçant toute seule, la dentelle me caressant et libérant mon "petit truc en plus" en me donnant un frisson dans tout le corps. Puis j’enfilai les manches et fini de le remonter sur tout le corps. Je parcourus quelques fois tout le collant des pieds au buste afin de l'ajuster, puis juste pour sentir la caresse de la dentelle sur ma peau toute douce. Bien sur ce n'était pas la première fois que j'enfilais de la lingerie et des vêtement féminins. Beaucoup de petits garçons qui ont une grande sœur on essayer au moins une fois, beaucoup de jeunes homme avaient essayer au moins une fois à une soirée déguisé "pour déconner". Mais moi j'avais en plus toujours eut un look androgyne, un corps filiforme, les cheveux long, héritage de ma période grundge. Que je croyais. Mais maintenant que je réalisais que j'allais devoir sortir comme ça devant deux copines que je connaissais à peine, tout en continuant de caresser cette si douce matière qui couvrait presque tout mon corps sous prétexte d'ajustement, maintenant, je crois que je prenais enfin conscience, sans vouloir me l'avouer... que j'avais toujours eut ce coté féminin en moi... Sortant brusquement de ma rêverie, je saisie la culotte, l’enfilât rapidement et elle était vraiment petite ce qui me permis de plutôt bien dissimuler la bosse qui me trahirait à y regarder de prés, et sortie de la salle de bain sans même prendre le temps de me regarder dans le miroir pour éviter d'avoir encore plus le trac. Je franchis cette porte pour passer dans la chambre ou Jeanne et Alice m'attendaient d'un pas résolut et ferme, avec un grâce naturelle toute relative mais qui fit sortir du fond du cœur, et en cœur, un "waouw" des deux copines. Ce même "waouw" qui m’embarrassait et me flattait au plus haut point en même temps, scella aussi la nouvelle route que prenais mon destins à la croisée des chemins. Il devait existait un monde parallèle ou j'étais sortie de la salle de bain toute embarrassée et pataude et ou les copines se serait amusées à me travestir pendant les trois jour qui auraient suivie, on aurait fait des photos et pleins de souvenir en commun qu'on se serait évoqués pendant très longtemps et scellant notre amitié. Mais j'étais dans ce monde ci, maintenant, ou je suis sortie la tête haute en laissant aller la féminité que je refoulais depuis si longtemps, et ce "waouw" sortie en marquant la fin du jeu, la fin du travestissement, et les deux amies se regardant comme si elle pouvaient lire chacune les pensées de l'autre, comprirent qu'elle allait aujourd'hui me pousser à faire mon premier pas dans une véritable transition.
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Par : le 10/01/14
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Heartbeat », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) 1- Je suis bloquée à 26 ans psychologiquement depuis 10 ans.... 2- À force de le répéter à tout le monde, on dit que je suis formidable. 3 - Je suis addicte aux séries américaines, et totalement frigide aux fictions françaises 4 - Je tiens pas en place, je voyage dès que je peux. Il faut donc m'attacher pour me garder sur place 5 - Je fais du volley et du badminton 4 fois par semaine afin de me défouler et taper dans quelque chose 6 - J'adore les guilis aux pieds et dans le dos. Je m'en lasse pas. 7 - Je dors avec ma première peluche (elle a été refaite plusieurs fois) 8 - Mon meilleur amant fut mon meilleur ami 9 - j'habite Bordeaux et j'aime pas le vin 10 - Je suce encore mon pouce (à défaut d'autres choses ) 11 - Je fais les meilleures lasagnes du monde ( enfin presque...), mes amis m'obligent toujours à en faire 12 - Je suis maniaque et bordélique dans certains domaines. Bref, paradoxale 13 - Je suis susceptible mais avec un grand cœur donc pas rancunière 14 - Au strip-poker, je joue depuis l'âge de 14 ans et je perds pas....ou on me laisse gagner (à méditer) 15 - Mes amis sont primordiaux dans ma vie, n'ayant pas de famille, ils sont ma référence. 16 - À cause de mon boulot, j'ai perdu un bébé et depuis je n'arrive plus à y croire. 17 - J'aime pas le café mais je ferai un effort si George le demande 18 - Je ne suis pas frileuse sauf à l'intérieur. Toujours paradoxale 19 - J'adore la lingerie sexy 20 - L'âge tardif à laquelle j'ai perdu ma virginité. Je me suis bien rattrapée depuis qu'on se rassure. 21 - J'adore faire une sieste quand je peux...
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Par : le 19/11/13
Une fois le service fini, elle me fit m’assoir à table sur le banc en face d'elle. Nous nous instamment tranquillement, buvant nos café, et elle me donna mon profil pour mon rôle à jouer. Je m’appelle donc Virginie Desbas, jeune fille timide et réservée, qui sort juste de son école de secrétariat mais qui n'a pas eut son diplôme à cause d'une orthographe déplorable et d'une maladresse compulsive. En plus de ça, je ne sait pas m'habiller correctement, j'ai beaucoup de mal à m'assumer et à me mettre en valeur et je m'habille comme un sac, en garçon manqué et passe au mieux inaperçue partout ou je vais. J'ai loupé des douzaine d'entretiens d'embauche de secrétaire et je fais des ménage pour gagner de l'argent en attendant mais personne ne veut me garder à cause de ma maladresse et je casse plus d'objet que je n'en nettoie. C'est donc mon entretiens de la dernière chance, la patronne est connu pour avoir des méthode plutôt originales et se basant plus sur la motivation que les compétences et toute celles qui sortent de chez elle trouvent des emploie de secrétariat prestigieux au prés de patrons, fonctionnaires et politiques très haut placés. Je pris cinq minutes pour lire mon script et essayer de me mettre dans le rôle, et ça n'allait être ni facile ni très agréable... Je prenais le temps d'assimiler le texte lorsque je senti qu'elle perdait patience : - "Hum hum... Bon s'il te fait une demi heure pour lire quelques lignes va falloir revoir tes cours de secrétariat depuis la base..." Me dit-elle en me faisant sortir de mes penser... - "Mais c'est pas du tout moi ça comment veux-t-tu que je joue cette pauvre fille..." - "Ho t'inquiète pas, tu lui ressemble beaucoup plus que tu ne le crois. Bon aller hop, on passe aux choses sérieuses si tu veux bien." - "Bhen, c'est juste un rôle hein c’est pas vraiment sérieux..." - "Et ce n'était pas vraiment une question... !" Nous commençâmes donc l'entretiens. Elle me demanda des choses classiques, nom prénom, etc.. Mes études, mes expériences... Rien de bien hors du commun. Mis à part le fait que j'étais habillé(e) en mini tailleur jupe, et que je n’arrêtait pas durant l'entretiens de devoir rabaisser un peut ma jupe trop courte. Elle n’arrêtait pas de remonter à cause des talons bien trop haut et très inconfortable que je n'arrivais pas à oublier et je ne pouvais m’empêcher de remuer les jambes, mais avec bien 15cm de talons, j'avais les cuisses collées à la table, je ne pouvais pas croiser les jambes une sur l'autre et je remuais de plus belle. Elle continuait pendant ce temps de jouer son rôle d'employeuse, elle avait toute une série de questions sur tout un paquet de fiches et je me dit que ça risquait bien de prendre toute la journée, dans cette tenue. Pour couronner le tout, ma veste n'avais plus de boutons, elle n’arrêtait pas de s'ouvrir largement comme je n’arrêtais pas de bouger, et je commençais à être de plus en plus mal à l'aise. Mon chemisier était très visiblement transparent, c'était la première fois que je portait un soutient gorge, devant mon amie et j'avais le nette impression de me retrouver directement exposée devant elle en lingerie... Et plus j'essayais de refermer ma veste et de trouver une position pour la garder en place, plus ma jupe remontait, et plus j'essayais de garder ma jupe en place, plus ma veste se retrouvait ouverte et ma lingerie exposée... Je répondais machinalement à ses questions, quand une en particulier me ramena brutalement à la réalité, me fis rougir et me mis plutôt mal à l'aise : "Est-ce que vous compter tomber enceinte durant votre contrat de travail ?" Je me mis soudain à bafouiller une réponse négative bien sur, la fixant dans les yeux, cherchant sa réaction en demandant pourquoi cette question... - "C'est une question de routine pour n'importe quelle femme, tu peux répondre "oui" ce n'est pas pour ça que tu échouera dans l'entretiens, mais l'employeuse doit le savoir pour s'en arranger à l'avance. Mais je répondis toujours par la négative, ne pouvant assumer ni imaginer ce rôle. - "Ho aller, tu peux être honnête, tu DOIS répondre "oui", pour que je puisse continuer l'entretiens et prévoir l'arrangement." J'arrivais donc finalement à dire "oui". S’ensuivit toute une série de question toutes plus gênantes les unes que les autres. A quel moment, avec qui, si j'avais un homme dans ma vie, si je comptais faire une insémination pour l'élever seule, ou si j'étais lesbienne. Jusqu'à quel moment je comptais travailler au fil de ma grossesse, si je comptais prendre un congés maternité ensuite, etc... Toutes ces questions me mettaient horriblement mal à l'aise et en plus de gigoter sans arrêt à cause de ma tenue, j’avais maintenant des tics nerveux... Mais je ne remarquais pas à quel point cela commençait à l'agacer et à la déconcentrer elle même. Je commençais à me gratter les lobes d'oreille, je les avais percées il y a longtemps, mais je n'avais jamais mis de vrais boucles de femme, et leur poids se faisait sentir et elle remuaient à chaque mouvement. Je sentais le rouge à lèvre comme une fine couche humide et n’arrêtais pas d'essayer de les passer une sur l'autre. Le fond de teint, particulièrement sous le nez me démangeait tout le temps. Le mascara sur les cils les rendait si long et épais que je n’arrêtais pas de cligner des yeux. Tout cela n'avait rien de naturel pour moi et me gainait horriblement. Lorsqu'elle se coupant en pleine question en me demandant si je voulait faire une petit pause, question à laquelle je répondit immédiatement oui. - "Bien, fini ton café, va aux toilettes si tu as besoin et on va juste papoter tranquillement pendant une heure pour se détendre." Je suivis son conseil et reviens m'assoir à ma place un peut plus détendue. Elle se mis derrière moi, me positionnant me dos bien droit, les jambes droites et collées, le buste bombé, les bras le long du corps, les mains sur les cuisses et la tête haute. - "Bon on va faire une pause, tu va te détendre, et garder une position convenable sans gesticuler ni me déconcentrer sans arrêt !" Me dit-elle sur un ton amical, mais qui me faisait tout de même comprendre un début d'agacement. Je dit que j'allais faire de mon mieux et je l'entendit s'éloigner un instant me lançant un "Ne bouge pas !", depuis le couloir. Lorsqu'elle revint je l'entendit se positionner juste derrière moi, j'allais me retourner par réflexe lorsque que je senti sa main sur ma joue pour tenir ma tête droite en position, et elle me murmura à l'oreille : "On va voir si tu arrive à rester tranquille cinq minutes." Juste cinq minutes... Mais ça me paraissais interminable. Ne pas bouger en attendant quelque chose n'est pas difficile et j'ai suffisamment de patience. Mais ne pas bouger en cherchant consciemment à ne pas bouger est une autre histoire.. Et le temps passe comme au ralentit. Je l'entendait faire les cents pas derrière moi, se marmonnant des choses à elle même, je la sentais me frôler, tout faire pour me déconcentrer. Je sentais ma jupe serrée sur mes cuisses, genoux contre genoux... Sentant le douceur de mes bas l'un contre l'autre même si je faisais mon possible pour éviter tout mouvement involontaire le plus imperceptible qui soit. Les talons très haut et trop petits qui ne se faisaient jamais oublier, mes jambes serrer l'une contre l'autre qui poussaient mes cuisses au plus haut à appuyer contre la table qui n'était pas prévus pour abriter des jambes si haut en talons aiguilles. Ma veste entre-ouverte et mon soutien-gorge quasiment à découvert devant supporter le poids de ma poitrine d'emprunt... Soudain je senti un souffle dans mes cheveux. Elle me soufflait dessus prés de l'oreille droite, je n'avais pas l'habitude d'avoir les cheveux lâchés et j'ai le malencontreux réflexe de les refaire passer derrière mon oreille d'un geste de la main. Je compris de suite mon erreur, mais n'en réalisa pas immédiatement les conséquence. Elle s'empara de mon poignet et y glissât une corde et avant que je puisse réagir l’enroulât autour de mon bras en m’immobilisant dans cette position. - "Même pas cinq petite minutes sans bouger, à peine une petit quelque chose te déconcentre, et je demande à mes secrétaire de rester concentré, et disponible pour moi, à tout instant. Il va donc falloir travailler sur ces vilains réflexes et cette déconcentration si tu veux vraiment travailler pour moi..." - "Hey.. mais... ! Qu'est-ce que tu fais... ?!" - "Tu veux travailler pour moi où pas ? VIRGINIE !" Dit-elle en appuyant sur le prénom de mon personnage, je compris qu'elle voulait que je reste dans le rôle... - "Oui madame." Répondis-je d'une vois tremblante sans imaginer, sans même chercher à comprendre, ce qui se passerait ensuite. - "Bien, alors première leçon, rester tranquille, détends toi et laisse moi faire, je te garantie que tu sera une bien meilleure secrétaire après mes leçons." Sur ce, je la laissa faire, sans rajouter un mot de plus, je me réfugia dans mon rôle, me disant que cette situation des plus improbable ne m'arrivait pas à moi, mais à Virginie... Et que si cela était vraiment en train d'arriver à virginie, dans cette tenue, j'aimerais bien voir ça en spectatrice... heu spectateur... Voila que je commençais à m'embrouiller moi même... Je laissais donc la scène se dérouler paisiblement, je ne disais pas un mot et je m'imaginais la scène depuis l'autre coin du salon, détaché, et trouvant cela terrible ment excitant, sexy, sensuel, nouveau... Elle pris ensuite l'autre main de Virginie, la mienne en fait, la plaquât contre mon dos et tira une corde entre mes deux poignets, immobilisant de ce fait mes deux bras. - "Ça va comme ça ? Tu es à l'aise ? Ça fait pas mal ?" Me demanda-t-elle, me ramenant directement à la réalité, prenant réellement conscience que c'était mon corps qui se faisait ligoter, et que j'étais bel et bien à l’intérieur à ressentir tout ce qui m'arrivait. - "Oui c'est bon, je suis pas super à l'aise mais ça ne fait pas mal." Répondis-je d'un air timide. Elle tira un peut plus sur la corde, jusqu'à ce qu'un petit "Ha !" timide mais présent ne m’échappe. - "Ca fait mal là ?" - "Non ça va encore, mais c'est vraiment pas confortable..." Je le senti faire un geste sec dans mon dos, elle venait de faire un nœud à cette endroit scellant ainsi la position de mes bras, pour un temps qui me semblerais interminable. - "Bien ! C'est quand c'est comme ça qu'on retient une leçon et que tu t'en rappellera." En effet, impossible d'oublier la corde, c'était inconfortable, bien plus que le début de l'entretiens, mais cette fois je ne pouvais plus gesticuler, et ce n'était qu'un début... S'ensuivit ensuite quelques cordes pour sécuriser ma positions, elle passa quelque fois autour de ma poitrine, dessus, dessous, m'enlaçant à chaque passage, son étreinte douce et chaleureuse, et en même temps forte et très présente. A chaque passage de corde, en m’enlaçait un peut plus fortement, à chaque fois qu'elle s'éloignait, la corde serrer un peut plus, comme si son étreinte restait en place pour que je ne puise plus penser qu'à ça. Elle me ligotait le corps, mais elle ligotait aussi mon esprit, la sensation trop présente des cordes me retenait à l’intérieur, je ne pouvait plus m'échapper dans mon esprit pour imaginer Virginie, j'étais coincée à l'intérieur de Virginie, j'étais Virginie. Elle me faisais un petit sourire en coin à chaque fois que nos regard se croisaient, et j'étais tout de même heureuse de la voir s’amuser comme ça, cela faisait longtemps que nous n'avions pas eut, mine de rien, une conversation aussi longue, que nous ne nous étions pas amusé comme ça, comme si nous retrouvions nos jeux d'enfants, à rigoler ensemble pour un rien, et sans mot dire, nous comprendre d'un simple regard... Et malgré mon inconfort, ma situation que je trouvais gênante au possible, habillée en femme, secrétaire hyper sexy, en train de me faire ligoter, quand nos regard se croisaient, le miens ne pouvait vouloir dire que "Vas y continue et amuse toi !" Elle passât ensuite sous la table, et je referma instantanément, de gène, mes jambes l'une contre l'autre. Le temps de me faire ligoter les bras et la poitrine, je ne me contrôlai plus, et mes jambes avait reprise une position plus confortable, écartées et ouverte, mais on ne peut plus embarrassante quand elle arriva à se tenir sous la table juste en face de moi, et j’imaginai un instant ce qu'elle avait put voir. Si un jour elle m'avait dit qu'elle se tiendrais à un moment donné sous une table, à regarder sous ma jupe, mes jambes écartées et ma culotte bien visible... Sans dire un mot, elle commençât a passer une cordes autour d'une cheville, puis autour de l'autre, mais je ne sentais pas mes deux cheville se serrer. Au lieu de ça, je la vie se tourner d'un coté du pied de la table, puis de l'autre coté à un pied opposé du banc... - "Non, non non. Tu es plus à l'aise avec les jambes écartées ?" Avant même qu'un seul mot ne sorte de ma bouche, elle tira d'un coup sec sur les deux cordes de chaque coté. Chaque cheville fut tirés à l'opposé l'une de l'autre, mes jambes s'écartèrent, et je rougie instantanément. Elle avait laissé une trentaine de centimètre entre chaque cheville, et elle fit un nœud de chaque coté, au pied de la table et du banc, de manière à ce que mes jambes se retrouvent coincé à une certaine distance l'une de l'autre, ne pouvant ni plus les rapprocher, ni moins... - "Je veux que tu sois à l'aise pendant la pause, si tu es plus à l'aise comme ça, grand bien te fasse." Elle se relevas pour venir s’assoir en face de moi. "Et puis tu as une si jolie culotte, j'aurais eut tord de m'en priver . Bon on avait dit une heure de pause, alors tu va tenir la pose maintenant." Je rougie de plus belle, mais elle avait le chic pour me détendre, et pendant une heure, nous nous mimes à discuter de tout et de rien, comme deux adultes qui se retrouvent à une réunion d'anciens élèves avec plein d’anecdotes à se raconter. Comme si de rien n'était, ma position actuelle ne semblait pas plus inappropriée que ça, et en devenait simplement ludique. Elle mangeait sa tarte pendant que je la regardait. - "Tu a le droit de manger aussi." Me dit-elle d'un ton joueur en me coupant un bout de tarte dans mon assiette. Je m’amusais aussi de la situation, j'essayais de me pencher pour manger sans les mains, mais des cordes reliaient mes chevilles à mon dos et m’empochaient de me pencher suffisamment, je n'arrivait même pas à lécher mon bout de tarte, mais j'arrivais à la faire sourire. Au bout d'une heure, une minuterie se mit à sonner. - "Bien ! T'es prête à reprendre ?" Me lançât-elle d'un air enjouer. - "Héhé, oui madame." Elle se leva et se tins derrière moi, en passant chaque cordes de mon dos en revues, tirant de ci de là pour voir si tout restait bien en place. - "Tu as bien retenue la leçon pour la position j'espère." - "Oui, c'est bon j'ai bien compris là." - "Tant mieux..." Je commençais à avoir des fourmis partout, et ma condition me revins à l'esprit après ce petit moment de détente, et je trouvais ma position bien plus inconfortable que je l'imaginais après qu'elle m’aie fait ressentir de nouveau chaque corde. Elle se replaçât sous la table, j'avais les chevilles écartées, mais je serrait mes genoux autant que possible. Elle mis chaque main sur une cheville, testant là aussi les cordes. - "Et pour tes jambes..." Elle se mis doucement à me caresser les chevilles, elle remontât doucement les mollet, je sentais ses mains par dessus le voile de mes bas, sa caresse me donnât un frisson dans tout le corps. Elle remonta jusqu'à mes genoux. Et elle les écarta d'un geste net. - "Et tes jambes, tu compte toujours poser les jambes écartées ? A montrer ta culotte à n'importe qui ?" - "Heu non madame, j'ai bien retenue la leçon, on ne peut mieux." - "Tu vas garder les jambes bien serrées même si ce n'est pas confortable alors ?" - "Ho oui madame, promis et je n'en bougerais pas cette fois." Elle redescendis alors ses mains sur mes chevilles, et elle défit doucement les nœuds. Sans même me toucher, je sentais ses caresse à travers la corde qui glissais sur mes jambes, le léger crissement sur mes bas me fit replonger un instant dans mon monde de fantasmes. Des bas si doux sur de belles jambes si douce également, à même la peau, une peau de bébé bien épilée... Elle s'affairait à commencer à me libérer pendant ce temps, et je me disais quand même que ce n'était pas trop tôt. Je pouvais m'habituer à la tenue de secrétaire, mais être ligoter comme ça tout une heure, plus le temps qu'elle avait mis à me ligoter depuis le début... Je n'était pas mécontenta de pouvoir recommencer à bouger un peut. Je me dégourdissait un peut les cheville en faisant des petit rond le temps qu'elle me libérait enfin. - "Ho mais je sais que tu les serrera, et que tu ne bougera plus. Parce que je vais te l'apprendre maintenant." Mes chevilles étaient libre, mais j'avais toujours une corde noué autour de chacune d'elles. Et d'un coup sec, elle tira sur une cordes et me chevilles se retrouvèrent collée l'une à l'autre sans aucune autre possibilité de mouvement. Elle se relevant, se mis derrière moi, en tenant à la main un long bout de corde, celui relié à mes chevilles. Elle le fit passer à ma verticale sous al table et sous le banc, et fit remonter la corde jusque dans mon dos, en serrant bien plus cette fois, forçant mes pied à revenir en arrière jusqu'à ce que le hauteur de mes cuisses colle à la table, et sécurisa cette position d'un nouveau nœud. Elle ne me libérait pas, elle m'enfermait dans une nouvelle position. Elle sécurisa sa prise avec plusieurs allés et retours entre mes chevilles et mon dos, la passant même autour de ma poitrine de sorte qu'en tirant sur mes jambe la pression se faisait sentir sur ma cage thoracique. Elle se releva, vérifia son ouvre une dernière fois. - "Bien !" Je me retournais vers elle d'un air interrogateur... - "Il est 10H30, on a encore bien 2H d'entretiens pour se matin, on a pris du retard avec tout ça mais ça peut aller..." Me lançât-elle amusée et en fredonnant tout en retournant s'assoir en face de moi pour trier ses fiche et recommencer l'entretien d'embauche de sa secrétaire...
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Par : le 03/11/13
Aujourd'hui je me réveille, comme tous les matins, en homme heureux. Pourtant je suis comme vous, j'ai mon travail, mes responsabilités, mes factures à payer, mes soucis de santé, mes projet interminables, mes rêves qui ne se réalisent pas... Je ne suis pas heureux parce que j'ai gagné au loto, ni parce que j'ai trouver l'amour sur qui je fait reposer toute ma vie, ni parce que j'ai du pouvoir et de l'influence sur les autres Non, en fait je suis comme vous, la grande majorité, la classe moyenne, qu'on exploite un peut d'un coté, qu'on chouchoute assez de l'autre, celle des gens qui ne se révoltent pas, qui ne s'indignent pas, de ceux qui pensent que la moralité est une question de majorité et d’homogénéité. Vous ne me remarqueriez même pas dans votre rue, dans votre supermarché, dans votre métro, ni même dans votre hall d'entrée d'immeuble. Je marche parmi vous, et pourtant je ne suis pas des vôtres. Je suis heureux, simplement parce que j'ai choisi de l'être. Et aujourd'hui je me lève de bonne humeur, mais aussi de bonne heure, un peut trop peut être même, mais je vais rendre service à une amie. Elle m'avait contacter en début de semaine pour me demander de passer la journée de vendredi avec elle afin qu'elle s'entraine à faire passer des entretiens d'embauche, étant donné sa récente promotion elle recherchais une secrétaire et avait besoin de tester son affirmation à un post à responsabilité, et son autorité et juger de la pertinence de ses questionnaires. Je fit donc ma toilette, pris un petit déjeuné copieux, en caféine surtout, et me mis en route pour rejoindre mon amie chez elle. C'était un jour férié, et il n'y avait presque personne sur la route, et pour une fois, je prie le bon chemin du premier coup, peut être que pour une fois je serait ponctuelle... Mais je me suis rappeler que la montre sur ma voiture retardais d'au moins dix minutes, je n'allais toujours pas déroger à ma réputation de "toujours en retard"... Et ça ne manqua pas, j'arrivais finalement devant son lotissement et je sonnais le bouche en cœur à sa porte, et elle me recevait d'un glacial "Tu es en retard !" qui me laissa pantois car ça ne lui ressemblais pas... Mais elle ne put se retenir longtemps de pouffer en voyant ma tête déconfite, me pris dans ses bras pour me saluer chaleureusement en me disant qu'elle commençais simplement à s'entrainer à jouer la patronne autoritaire. Elle me fit m'assoir en face d'elle à table finissant son café tout en m'en proposant gentiment un à moi aussi. Chose que je ne refuse jamais. "Hé bien il faudrait en refaire, si tu peux attendre 5minutes je vais te mettre directe dans le bain. Je vais devoir jouer la patronne autoritaire, ça ne sera pas facile parce que tu sais que je t'apprécie beaucoup, alors prends ça un peut comme du théâtre, ou un jeu de rôle..." Me dit elle en me présentant le déroulement de la journée dans les grandes ligne. Le matin entretient sur les compétences, l’après midi test de motivation et en suite on se ferais une soirée détente entre nous deux, plateau télé et série sympas confortablement pour évacuer le stress de la journée. "Bon on est partie !?" Me demanda-t-elle soudainement pleine d'entrain, limite à trépigner d'impatience comme une petite fille le matin de noël. - "Si tu veux être une bonne secrétaire, il va falloir que tu fasse du bon café." - "Heu, bonNE secrétaire ?" - "Oui, je veux unE secrétaire, alors tu va aller enfiler ça !" Et elle pris un cintre auquel je n'avais même pas fait attention qu'elle avait placé sur l'étagère avec une jupe courte, une veste de tailleur, un chemisier en satin. Elle m’accompagnât à sa chambre, ou sur le lit m'attendait un ensemble de lingerie blanc, culotte et soutient gorge, une paire de bas, et une paire de faux seins en silicones, et au pied du lit, une pair d'escarpins au talons vertigineux. - "Bon dépêche toi de te changer et va faire la café si tu veux avoir le temps de le boire avant qu'on commence. Je sais que tu sais mettre tout ça et que tu es déjà toute épilée je t'ai croisé hier dans la rue alors que tu allais à ta fête d'Halloween... en soubrette!" D'un coup mon cœur se mit à pomper tout mon sang dans ma tête, jusqu'à ce qu'il m'en sorte par les yeux et les oreilles peut être... Mais nous n'étions pas dans un dessins animé de tex avery, c'était la vrai vie... - "Ho t'en fait pas pour ça, tu sais avec moi tu fais ce que tu veux, je t'aime comme tu es même si c'était juste un déguisement ou si c'était plus sérieux que ça pour toi, ça t’allait super bien, j'étais juste jalouse que t'aille t'amuser en soubrette hyper sexy sans m'en avoir parler parce que j'aurais bien aimer venir. Enfile ta tenue de secrétaire et dit toi que c'est une partie de ma revanche pour pas m'avoir laisser profiter de tes belles jambes cette soirée." Sur ce elle me laissa seule et tranquille dans la chambre, un peut devant le fait accomplie. J'allais donc devoir jouer La secrétaire pour la journée, et au premier jugé de la jupe, courte, une secrétaire vraiment sexy. Je commençait donc à enlever mon haut, commencer par mettre le soutien gorge, en ajustant et réajustant les faux seins à l'intérieur pour essayer d'obtenir un résultat le plus naturel possible. Je pris ensuite une grande respiration et me décidais enfin à enlever mes tennis, jean et caleçon, pour ne plus me retrouver qu'avec un simple soutient-gorge, en train d'enfiler les jambes une après l'autre dans la culotte, sentir le lycra satiner glisser contre mes jambes épilée pour finalement se retrouver en place sur un organe qui ne savait surement pas ou se mettre, ni quoi penser, de se retrouver pour la deuxième fois en moins de 24H dans une affriolante lingerie trop petite et inconfortable pour lui... J'enfilais ensuite les bas, qui se font toute douceur remontant précautionneusement le long de mes jambes, me caressant plusieurs fois de bas en haut pour faire remonter la jarretelle en haut de la cuisse et avoir un rendu lisse du tissu. Je ne mis pas la jupe ni le tailleur ensuite, mais j'enfilais les talons. Je me mis debout, et malgré leur hauteur, plus grande que toutes les paires que j'avais mises jusque là, je pouvais néanmoins marcher avec un minimum d'aisance, et je me surpris à m'admirer devant le haut miroir de la chambre, des pieds à la tête, à admirer non pas avec narcissisme, mais à admirer la femme que je pouvais être, que je pouvais devenir, avec une superbe lingerie, avec mes jambes et ma taille fine qui me valent des taquineries des copines qui me les jalouses à la plage, où les raillerie des autres hommes qui prennent ma féminité naturelle comme une atteint à leur virilité légèrement surestimé. Mais ce matin, dans cette tenue, je me dit que la nature est bien faite. Plus que de l'admiration, c'est de l'acceptation que je voyais dans ce miroir. Ne voyant pas le temps passer, comme à mon habitude... Je me décida enfin à enfiler la jupe, comme revenant doucement à la réalité en sortant d'un beau rêve. Le chemisier en satin, que je trouvais magnifique, étant un peut aussi fétichiste de cette matière, mais je n'était pas à l'aise, mes mouvements limité par l'amplitude du vêtement, les manches trop courte non adaptées à mon bon 1m80, et mes mouvement d'épaule volontairement limités de peur de craquer le tissus dans mon dos qui reste tout de même, génétique oblige, un dos d'homme... Je sorti donc en faire par à on amie, qui me le fie enlever sur le champs, me retrouvant en soutient-gorge devant elle en train de m'expliquer qu'il était primordial pour la journée que je soit totalement à l'aise dans ma tenue et libre de tout mouvements. Elle allât donc dans la chambre fouiller dans son armoire et revins avec un autre chemisier un peut plus ample, sans manches, dans un tissu magnifique et que j'imaginai déjà très doux à porter, mais qui me fit rougir instantanément à l'idée de devoir le porter toute la journée tellement il était transparent. Je l'enfilais tout de même de bon cœur, il était très agréable à porter et mes mouvement n'était plus entraver de nulle part, quand à être à l'aise, oui... mise à part le fait de me sentir exhibée, ma poitrine, dans son soutient gorge, complétement offerte à la vue.de tous. Enfin nous allions dans la salle de bain, elle me prêtât un peut de son maquillage et me regarda patiemment m'affairer à ma tache avec toute la concentration que ma faible expérience me demandais. Me peignant le visage avec l'expression d'une petite fille qui s'applique de son mieux sur son cahier de devoir à dessiner ses première lettres et oubliant tout le reste de son environnement. Une fois cette étape fini et satisfaisante, je me mis enfin à ma première tache de secrétaire. Même si je me disais qu'il s'agissait d'un horrible stéréotype, que de penser que faire la café et le servir à sa patronne fait partie intégrante des taches de la secrétaire, je le fit de mon mieux et commençait à m'habituer aux chaussures, à a nouvelle posture cambré à cause de ses hauts talons en faisant des aller retour entre la cuisine et le salon, pour faire le service, apporter les tasses, le sucre, "oubliant" les petites volontairement les petites cuillère pour profiter un peut plus longtemps, un peut plus loin, chaque pas avec ses talons et avec cette jupe courte qui n'en finissait pas de vouloir remonter à chaque enjambée, m'amenant un peut plus loin dans ma condition de secrétaire au service de ma patronne et grande amie pour la journée.
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Par : le 12/03/13
Il est 14h30 en ce beau jours de février, je fais du shopping et flâne dans les rues à la recherche de bonnes affaires. Un dom me voit déambuler avec mon petit tailleur et mon foulard, je donnant un air de bourgeoise. J'entrez dans un magasin de lingerie, et en ressors une vingtaine de minutes plus tard un petit sac à la main. Vous prenez une petite ruelle afin de me rendre à ma voiture lorsqu'il, J'approche de moi par derrière et attrape les mains par derrière, me passe une paire de menottes, et passe sa main sur ma bouche pour empêcher de crier. Me vous prends fermement par les bras et oblige à le suivre jusqu'à un van. Ouvre la porte et me jette à l'intérieur, je commence à crier, ils attrapent mon foulard qui me passe en guise bâillon. Me passe alors une corde autour des chevilles, qu'il sert assez fort pour m' immobiliser totalement. Il finit par me mettre un sac sur la tête pour que ne puissiez rien voir et démarre le van. Nous roulons durant une vingtaine de minutes pendant lesquelles ils entendent me débattre et pousser de petits cris étouffés. Lorsque le véhicule s'arrête, je me sors du van en me portant et me porte, je ne vois toujours rien et cessez de me débattre, mais les liens étant fort, je ne peux que subir. Ils me posent, et m' enlèvent le sac qu'avez sur la tête, j' ouvre les yeux et découvre une chambre sombre. Ils passent alors un collier, puis une laisse qu'ils attachent à un crochet présent au sol. Cela ne sert plus à rien que je débatte, je suis maintenant dans mon nouveau domicile... Ce mot me fait tressaillir et je me vois me débattre, de plus, belle pour essayer de défaire de ces liens. À partir de maintenant, je suis à lui, sa petite bonne personnelle et espère que je vais m'acquitter de ta tâche avec le respect que je lui dois!!! Je le regarde l'air implorant, mais rien n'y fait. Ils apportent un sac, je l'ouvre et me montre une tenue de soubrette. Tu vas enfiler ça, ce sera dorénavant ta tenue officielle, pas question que tu portes autre chose sans ma permission. Ils sortent alors un fouet du sac, et me le montre en effleurant délicatement mon visage, mes seins et le faisant claquer doucement sur mes fesses. Si tu désobéis, tu seras punie comme il se doit, est-ce bien compris ? Le regarder, mais je ne bouge pas. Ils claquent alors une fois le fouet un peu plus fort sur mes fesses et je fais un hochement de tête en signe d'approbation. Maintenant, je vais ôter ton bâillon, je vais t'expliquer quelques règles, cela ne sert à rien de crier, personne ne t'entendra ! S'exécute et enlève mon foulard de ma bouche et me prend le visage pour me forcer de le regarder. Que me voulez-vous ? Laissez moi partir ! Tu es maintenant ma bonne personnelle, et rien de ce que tu pourras dire ou faire n'y changera, et tu dois dorénavant m'appeler Monsieur Non, laissez-moi partir, s'il vous plaisent Ils fait claquer le fouet une nouvelle fois sur mes fesses, un peu plus fort encore et ajoute. Appelle-moi Monsieur, je viens de te dire ! Et je ne veux t'entendre dire que : oui Monsieur ! Oui Monsieur, je finie par ajouter dépitée et prenante conscience que je viens de perdre ma liberté. Je vous détache alors les liens de vos jambes et prends en main la laisse. Je vous fais lever et accroche la laisse à un crochet que je fais monter. Vous voila maintenant prisonnière, le collier montant et attirant votre corps avec. Je, vous lièvre ensuite de vos menottes et m'assois sur un tabouret face à vous. Maintenant, j'enfiler cette tenue de soubrette. Puis je devrai faire tout ce qu'ils m'ordonnent, sans hésiter et la seule réponse possible est Oui Monsieur, sauf s'ils me posent une question, oui, J'ai compris Monsieur s'approche de moi et me passe un bracelet en cuir à chaque poignet. En profite pour ouvrir la fermeture éclair de ma jupe qui tombe instantanément à terre, laissant découvrir mes dessous, des collants sous lesquels on peut distinguer un string noir. Arrache mes collants et vous demande d'ôter votre string, vous hésitez une seconde, puis regardant le fouet d'un coin de l'œil vous l'enlever difficilement, car le collier vous tire vers le haut et provoque pour vous un équilibre précaire. Lèche ta culotte ! Vous me regardez une nouvelle fois l'air implorant, mais vous voyez bien que rien n'y fera et vous portez lentement votre culotte à la bouche et commencer à sortir votre langue très doucement. Mieux que ça ! Hésitante, vous lapé petit à petit chaque morceau de votre sous-vêtement, sentant votre sexe. - Bien, maintenant enfile la tenue de soubrette ! Me la tends et je commence à enfiler les bas blancs, un porte-jarretelle et un string de la même couleur. Ensuite, je descends, la laisse et la prends à la main pour que je puisse enfiler la robe après avoir complètement arraché ma veste, chemisière et soutien gorge. Je l'enfile et ils finirent d'ajuster les derniers détails, le petit tablier devant et le bandeau dans les cheveux, vous voilèrent maintenant prête. Je passe une chainette d'une dizaine de centimètres dans les liens à vos poignets et l'attache au collier, vous laissant dans l'impossibilité d'utiliser vos mains. Ensuite, je finis par mettre un bracelet en cuir à chacune de vos chevilles, que je relie par une chaîne d'une trentaine de centimètres. Vient me baiser les pieds ! Quelques secondes d'hésitations et voila qu'un nouveau coup de fouet arrive sur mon postérieur. Oui Monsieur, je dis agenouillée et je commence à embrasser ses pieds. Bien, très bien voila qui est mieux ! À partir de maintenant, tu t'appelles Morticia et tu ne répondras qu'à moi, est-ce clair ? Oui Monsieur. Ils fait claquer le fouet une fois délicatement sur mes fesses puis me dirigent vers une table ou sont poser différents objets. Ils posent le fouet et reviennent vers moi avec une cravache à la main. Tu sembles avoir besoin d'un peu d'éducation Naty, cela tombe bien, je n'avais plus d'élève en ce moment ! Oui Monsieur, mais que voulez-vous faire de moi ? C'est moi qui pose les questions morticia ! Vous dis-je en faisant claquer la cravache sur vos fesses. Oui Monsieur, pardon Monsieur - Bien, je vois que ça commence à rentrer dans ton esprit. Pour répondre à ta question, je vais t'éduquer pour que tu sois une bonne soumise, faisant le ménage, obéissant aux ordres de son maitre, car c'est ainsi que tu dois te comporter. Je vous fais vous relever, et vous demande de faire un tour sur vous-même. Vous vous exécutez et tournez sous mon regard bienveillant. Ils commencent à soulever délicatement ma robe avec la cravache et me tapotent tour à tour mes fesses, mes cuisses, puis remonte vers mes seins et mes mains toujours prisonnières. Ils attrapent la laisse et me fesses avec une main assez fortement. On dirait que tu aimes bien ça Morticia, tu n'en as peut-être pas reçu assez jusqu'à maintenant. Penche-toi en avant que je voie ta croupe. J'obéis dans un timide oui Monsieur et me penché en avant laissant découvrir mon joli fessier légèrement rougi. Ils commencent à me donner des séries de 10 coups de cravaches sur chaque fesse, vous poussez de petit cri et ne voulant plus vous entendre, je vous mets votre string noir dans la bouche et vous remets le foulard par-dessus. Ils continuent alors ses séries de 10 coups de cravache par fesse, et je vois votre derrière rougir au fur et à mesure. Ils découvrent maintenant mes seins qui subissent le même traitement, vos petits cris étouffés laissant deviner que vous être très sensible de cette partie. Oui Monsieur. C'est très bien Morticia, tu as même l'air d'y prendre goût. Je vais t'enlever le bâillon, tu seras plus à l'aise pour la suite. M'ôte le foulard et sors le string de ma bouche et va chercher un anneau qui me place dans la bouche et m'attache derrière la tête. En profite pour remettre mon string à l'intérieur de l'anneau. N'est-ce pas plus agréable Morticia. Je hoche de la tête en signe d'acquiescement.À genou, maintenant on va voir si tu sais te servir de ta langue!!! Vous semblez effrayé, mais obtempérez et vous vous poser devant moi à genou. Je sors alors mon sexe de mon pantalon et le laisse tomber devant votre visage. Avec la laisse, je vous tire vers lui afin qu'il touche votre visage, ce qui semble vous déplaire fortement. Je vous assène alors un coup de cravache sec sur les fesses, vous semblez avoir compris et laissez maintenant mon sexe caresser votre visage sans sourciller. Ils ôtent le string de ma bouche, me le fais sentir, et me demande maintenant de lui montrer mes talents de bouche. Quelque peu résigné, vous avancé vers mon sexe que je pose sur l'entrée de votre bouche, vous léché délicatement mon gland, votre langue est le seul membre que vous maitrisez encore. Ils enfoncent alors profondément son sexe dans ma bouche ce qui me fait hoqueter, et commence à me laisser aller à de doux va et vient. Tu t'y prends très bien Morticia, tu as l'habitude, on dirait. Ils accélèrent le rythme et en quelques minutes durant lesquelles ils prennent soin de faire claquer la cravache sur mes fesses chaque fois que votre détermination semble fléchir, je jouis a fond sur ma poitrine d'un jet puissant. Ils sortent sont sexe et le laisse trainer sur ma poitrine, étalant sa semence sur mes saints. Je vous félicite pour ce premier test auquel vous avez brillamment réussi. Me dirige alors vers la table et rapporte une ceinture de chasteté, qui me passe sous mon regard apeuré. Je l'enfile malgré moi et ils ferment à clé, cela semble vous gêner horriblement, mais vous ne dites rien de peur de représailles. Oui Monsieur. M'emmène ensuite dans une cage dans laquelle ils me faire entrer à quatre pattes, puis une fois à l'intérieur, m'attache chaque cheville d'un coté de la cage ce qui me laisse les jambes légèrement écartées. Ils ensuite mon foulard qu'ils placent sur ma bouche après avoir enlevé préalablement l'anneau. Ils enlèvent enfin les chainettes reliant mes poignets au collier pour me passer une paire de menottes dans le dos. Vous voilâtes prête pour votre seconde étape. Pour finir, place mon string sur ma tête, l'emplacement de mon entrejambe soigneusement positionné sur mon nez afin que je puisse humer au maximum ma propre intimité. - Tu vas passer la nuit ici Morticia, je passerai te voir en me couchant. Ils éteignent la lumière, et sortent de la pièce vous laissant prisonnière, dans le noir avec rien d'autre à attendre que mon retour. Fin
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