La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 20/04/24
Dong Li-Blackwell, appelée plus simplement Dong Li, est une artiste prolifique résidant à Brighton, au Royaume-Uni. Née en 1984 à Daqing, en Chine, Dong s’est forgé rapidement une petite réputation dans le monde artistique, se spécialisant principalement dans les aquarelles et explorant souvent le thème du nu féminin, dans des postures ne craignant parfois pas l’indécence et s’aventurant pour certaines œuvres dans la représentation de postures bondage/shibari. Dong Li-Blackwell utilise principalement l'aquarelle, technique qui se prête merveilleusement bien à la représentation du corps humain, en particulier le nu féminin. L'aquarelle, qui permet en effet de  capturer à la fois la transparence et l'intensité des couleurs, est utilée par Dong  Li pour jouer avec la lumière et l'ombre, soulignant la délicatesse et la vulnérabilité des formes. L'eau, élément central de cette technique, facilite une fusion des couleurs qui peut évoquer la fluidité et la douceur de la peau quand les postures sont pourtant bien cru.  Le choix du nu féminin et du shibari dans certaines de ses œuvres est une exploration de la forme et de la posture, mais on peut aussi y voir une manière de questionner les thèmes de la liberté, de la contrainte. Dong joue avec les conventions et les limites, tant dans ses sujets que dans sa technique. Bien d’autres artistes avant elle ont exploré le nu féminin par le biais de l'aquarelle, citons Egon Schiele, réputé pour ses représentations crues mais sensibles du corps humain, œuvres où la vulnérabilité et l'intensité se rencontrent. De même, Gustav Klimt a utilisé des techniques mixtes qui incluaient souvent l'aquarelle pour ajouter une dimension de douceur et de sensualité à ses célèbres compositions dorées. Au fil des années, Dong Li-Blackwell a participé à de nombreuses expositions qui ont été autant de preuve de connaissance pour son travail exceptionnel. Parmi ses réalisations notables, on note les honneurs que lui ont fait la Winsor & Newton Royal Watercolour Society à la Bankside Gallery de Londres en 2012, ainsi que plusieurs distinctions à la Northeast Normal University en Chine. Sa capacité à capturer l'intensité des corps a également été reconnue par Saatchi Art en 2013, où elle a été élue « Artiste à suivre ». L'œuvre de Dong Li-Blackwell, avec sa maîtrise de l'aquarelle et son exploration audacieuse du nu féminin et du shibari, invite à une réflexion sur la nature de l'art comme expression de la condition humaine. Ses tableaux, tout en subtilité et en intensité, captivent et provoquent. D’autres œuvres sont à découvrir sur son site internet : http://www.dongli.co.uk/ et sur les principaux réseaux sociaux.  
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Par : le 31/07/23
A la fois brillant, entrepreneur, sportif mais prêt à tout pour fuir un quotidien insupportable, avec cette fragilité et ce refus de s’adapter aux normes sociales établies. Louis a longuement trouvé un refuge dans une épaisse carapace d’indifférence et d’adaptation. Il nomme si bien cette période « l’hibernation ».  Il voyait son paradoxe, cultivant l’excellence, recherchant l’intensité dans tous les sports extrêmes pour se sentir vivre tout en contrôlant admirablement ses émotions. C’est assez touchant la manière dont il évoque ce processus de questionnement existentiel, sa quête réelle de sens, lui qui vous parlera si bien de Yung.    Navigant sans protection, Emilie aime tant se réfugier dans son imaginaire, créative, passionnée. Elle a cette splendeur, cette sensibilité sans égard et la puissance de ses émotions. Elle vous observe lentement, scrutant le moindre détail. J’ai toujours apprécié sa douceur et son exigence.    Ils ont en commun ce désir absolu d’arrêter de penser et de détester l’ennui. Je dirai que je n’avais jamais vu une aussi faible tolérance à l’ennui avec ce besoin permanent de nouveauté, de stimulation et d’intensité.    Ils s’étaient rencontrés depuis quelques années sur un site d’adultère et avaient progressivement laissé leurs cerveaux fonctionner pour s’auto-entraîner dans un nouveau monde sans limites. L’alternance était leur jeux, perdre le contrôle, le reprendre, apprendre, s’abandonner, découvrir… soumis ou dominant à la recherche de l’extase sensorielle.    J’ai toujours trouvé formidable leur liberté. Cette harmonie face à la complexité, leur analyse pour personnaliser l’instant et ressentir nos émotions.    Ils semblaient totalement complices et fusionnels à la fois. Nous étions dans leur danse sans jamais pouvoir pénétrer dans leur espace. Ils parlaient peu, toutes leurs attitudes, mouvements, décisions, se jouaient dans une forme d’intuition, de connivence pour stimuler nos esprits et maximiser nos plaisirs. On voyait qu’ils prenaient aussi du plaisir à nous voir transcendé.    Nous avions fait leur connaissance alors que notre couple battait de l’aile. Ils offraient leur talent à dominer des couples. C’était une expérience spirituelle pour eux. Ils n’étaient pas un couple comme les autres, ni des dominants stéréotypés. Ils avaient leurs règles du jeux, celles de la spontanéité et de l’absence de scénarios établis. Louis nous avait expliqué qu’il me transporterait vers un chemin qu’il ne connaît pas encore et qu’il essayerait de faire participer ma femme.   Je recherchais à être dominé mais je ne me sentais pas assez en confiance pour y aller seul. J’avais réussi à convaincre ma femme de m’accompagner. Nous avions répondu a quelques questions sur nos pratiques et tabous.    Nous nous retrouvions la première fois dans une cabane améliorée, poutre en bois, atmosphère de chalet. Cet espace était au milieu de la nature. Ils aimaient nous emmener dans ce lieu en forêt que nous réservions pour une journée.    Ma femme était réticente et j’étais gêné de voir son attitude. Elle était pourtant prête à jouer un peu. Émile allait la guider pour d’abord me dominer légèrement puis s’abandonner.    Nous nous sommes retrouvés nus et ils nous ont mouillé et huilé le corps. L’idée était qu’on se regarde avec nos corps brillants.  Nos mains furent attachées en l’air, nous étions tous les 2 proches pour se toucher par nos corps, légèrement suspendus. Je découvris alors les coups d’un martinet léger, puis d’un martinet plus lourd. C’est Louis qui donnait les coups. Je me retrouvais à crier et à mettre ma tête entre les seins de ma femme. Ce moment était d’extase, les coups étaient de plus en plus fermes et je découvrais de nouvelles sensations.    Émilie détacha ma femme et me banda les yeux. Elle accompagna ma femme à parcourir mon corps avec ses mains puis l’invita à nouer fermement mon sexe avec une cordelette. Il y avait beaucoup de bruit dans la pièce. Nous ne devions pas parler. J’entendais des chaînes, des bruits métalliques … d’un coup, une goutte brûlante de cire me tomba sur le corps. Émilie montrait à ma femme comment utiliser la bougie et dessiner sur mon corps.  Cette sensation me coupait le souffle, entre plaisir et supplice.  Ma femme respirait intensément. Je sentais son plaisir et j’étais excité à cette idée.  Voyant mon sexe en érection, Emilie lui demanda de verser des gouttes de la bougie sur mon pubis. C’est Louis qui la stoppa voyant que nous allions très loin et que j’étais presque en apnée depuis 30 s. Je crois que c’est le plus grand souvenir de la soirée, un souvenir d’une première fois que j’ai encore à l’esprit.    Ils m’enlevèrent le masque et mon corps était marqué de ces gouttes noires et rouges. Je fus détaché et ils m’ont demandé de m’allonger sur le dos. J’ai mis du temps à reprendre mes esprits.    Louis pris un couteau aiguisé et m’enleva la bougie sur mon corps. Mon sexe lui, a été frappé par un petit martinet léger. J’avais vraiment l’impression de m’abandonner et de ne plus savoir où je suis.    Ma femme était trempée et voyant son excitation Émilie lui demanda de venir s’assoir sur mon visage pour que je la déguste longuement.   Pendant ce temps, Louis m’attachait avec les cordes de shibari l’intégralité de mes membres. Je n’avais que ma langue pour s’occuper de ma femme.    Je revois encore Camille et Emilie se regarder lorsque ma femme eu un orgasme sur mon visage.    Emilie demande alors à ma femme de se mettre accroupi et de m’uriner dessous. Nous avions dit que nous ne voulions pas de jeux uro. Cette idée était totalement tabou dans nos esprits. Ma femme semblait avoir perdu totalement le contrôle. Je vois sa résistance et une forme de complexe à cette idée et j’adore. Émilie agit plus fermement sur ma femme en lui mettant des pinces sur les seins et en lui exigeant d’uriner. Ma femme subit des coups de badine sur les fesses. Émilie n’arrêtera pas sans cette urine chaude sur mon corps.  De petites gouttes puis un jet chaud me parcourent le visage. Je dois ouvrir la bouche et remplir ma bouche. Je ne sais plus quelle quantité j’ai avalé mais j’ai senti cette humiliation et ce plaisir si intense d’être entravé et trempé.    Mon sexe fut détaché par ma femme et les principaux noeuds sur mon corps par Camille. Ils nous laissèrent enlacés et allongés tous les 2 dans cette humidité en quittant la pièce. Nous avions perdu la notion du temps. Je découvris que nous avions été dans cet espace sans limites pendant plus 2 h.                 
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Par : le 15/07/23
Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne. Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine. Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa. Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte. Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa. Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie. Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil. Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie. Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud ! ..................... Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition. La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient. Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie. Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle. Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage. Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa. Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé. Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté. Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix. Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir. Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa. Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie. Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses ! Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper ! Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies. Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable. Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements. Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien. Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions. LE LENDEMAIN Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin ! Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti. Tiens, ils ont sorti le pilori ! Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ? A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée. Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa. Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie. D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire. A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières. J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort ! La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise. Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope ! Ce n’est pas vrai ! Tu exagères ! Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir ! Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi. Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie. De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût ! Salope !!!!! On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils ! Oh non, pas ça, j’ai trop honte ! Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées ! Non.... Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière ! Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie. ................... Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument. Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement. Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café ! Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ? Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée. L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées ! J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc Pour demain soir si cela ne vous dérange pas ! .............. Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité. Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge ! Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes. Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa. Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir. Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu. Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas ! Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main. Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa. Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie. Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets ! Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main. Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon. Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse. Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi ! Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer. Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage. Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal ! Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie. Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro. Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc. Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie. Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée. Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse. Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu. Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense. En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler. A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler. Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment. Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel. .......... Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle. A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game. Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas. Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa. Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse ! Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot. Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer. Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre. Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices. Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations. Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça ! Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses. Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler. Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet. Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir ! Salope ! Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses ! Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa. Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou. Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet. Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne. Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents. C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée. Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher. Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa. Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels. Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation. Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée. Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir. Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins. ............. Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission. En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ? Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa. Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds ! Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises ! Tu es soumise parfois ? Demande Julie. Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps. Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine. Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine. Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture. Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ? Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ? Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ? En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier. Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées. Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ? Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut ! Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer. A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard. Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein. Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie. Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur. Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux. Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert. Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu. Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe. Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement. Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse. Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas. oonnn en eu us ! Supplie Julie. Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous. Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ». ................ Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon. Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ». Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied ! Volontiers ! Répond Léa très motivée. Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle ! La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées. Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus..... Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse. Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce ! La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête. Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée ! En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité. J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa. J’en pense que j’ai horriblement honte ! Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra..... Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation. Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où... En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit. Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose ! Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie. Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure. Aie ! T’es folle ou quoi ? Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy ! Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère. Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon. Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile ! Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore. A L’ATTENTION DES LECTEURS Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique. DERNIER JOUR DE VACANCES Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne. http://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/eco.html A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ. Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine. Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise. Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine. Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc. Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée ! Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles. Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse. Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour. Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée. La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur. Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle. Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie. « ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ». Mais tu es maso des fesses toi ! Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ? En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie. Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait. C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur. Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages. Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge. Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses. Elles virent au bleu à certains endroits ma puce. Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie. Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser. Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément. Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée ! Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin. Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées. Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses. EPILOGUE Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel. FIN TSM Note de l’auteur • Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes. Visiter le SITE du gîte fétichistes en cliquant ICI Visiter le gîte fétichistes en vidéo sur Youtube
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Par : le 20/04/23
Vacances épuisantes en gîte fétichiste Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps. Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?  Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon.... Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».  Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité. Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple ! - Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire. Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.    Trois moins plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses. Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! ! - Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM. Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir. - Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ? - Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ? - Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libèrera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça. - Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte. A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant... Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie. Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir. En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit.. « Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions. Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle. Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia. - Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia. - Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental ! - Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !         - Il vous l’a fait aussi ? - Oh, il m’a fait bien pire ! La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes... N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer. TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !  - Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée. - Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.  Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme. - Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit. - Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL. - J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia. - Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie. - Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM. - Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée. - Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.   - Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ? Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique. - Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ? Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure. - Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ? - J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ? TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé. - Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ? - Comment ça me libérer ? - Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher ! - Est-ce obligé ? - Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement ! Prise dans la tourmente des évènements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir. Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges. Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les première parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret. C’est ce pipi couche qui déclancha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce. - Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé ! - Je ne suis pas un bébé !  Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM. Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat vint lui faire un câlin. Il y en a quatre, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie. Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia. Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses. - Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine. Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher. - Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé. - Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice. - Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager. - Dans cette tenue ? - Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez ! A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol. - C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?      - Heu.... - Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations. Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus. «  Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi. Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon ! Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou cadenas des chaînes. - J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous ! - Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie. La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi. - J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver. - Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie. - J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes. - Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ? - Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ? - Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois. - OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider. - Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir ! Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug. Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon. Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas. Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.   - Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ». - Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie. - Et, ça va pas la tête ! - Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir ! - Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne ! - Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez ! - Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !     Cinquante mètre plus loin, Très Sympathique Mec lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue. - La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ? - Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir. - Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée ! - Heu.... je n’ai pas dit oui ! ....................... Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.   - Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia. - Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie. - Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ? - Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée. - Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise. Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard. - Aie, qu’est-ce que vous faites ? - Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ? - Absolument ! Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car sa seule expérience de spanking avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise. Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité. - Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie. - La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ? - J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ? - Avec une couche ? - Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur. - Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers. - Ouiii ! Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.  Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.   Le Très Sadique Mec abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne. Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet. « Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ». Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport. - Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ? - Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante ! - Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit. Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres. - Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison ! EPILOGUE Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?   FIN Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes Espagne en juin 2023.      
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Par : le 11/01/23
[NdA: il y a une première partie à ce texte, à mon sens ça vaut la peine de la lire pour se mettre dans l'ambiance, mais ça n'est pas obligé!] J’entends la porte de la maison s’ouvrir, et des pas dans l’escalier. Je me rends compte brutalement que je n’ai pas du tout anticipé la manière dont nous allions nous saluer : nous pourrions être aussi bien des amants que des inconnus, ou des amis de longue date. Si bien que j’hésite entre de nombreuses possibilités : serrer sa main ? le prendre dans mes bras ? embrasser délicatement, ou langoureusement sa bouche ? Je n’en sais rien… Il se passe de longues secondes pendant lesquelles mon cerveau soupèse des informations contradictoires, et n’envoie plus aucune directive à mon corps, qui reste planté là, immobile. Pendant ce temps, il s’approche de moi doucement, un léger sourire sur les lèvres. Il a l’air calme, il est beau. Il porte des vêtements simples, élégants mais adaptés à la vie rurale, et arbore une petite barbe de trois jours qui lui donne beaucoup de charme. Surtout, sa démarche assurée et son regard pétillant me séduisent immédiatement. Je remarque qu’il est un peu plus petit que moi. Il arrive en face de moi, je n’ai toujours pas bougé d’un cil. Il approche sa main de mon visage, effleure ma joue, et saisit délicatement le côté de ma tête, sous la tempe et à la base du crâne. Puis il vient déposer un baiser léger, sensuel, sur l’autre joue, assez proche de ma bouche. Il enlace ma taille et me glisse à l’oreille « Bonjour ». Il fait un pas un arrière, prend ma main dans la sienne, et me regarde avec intensité. Son regard, ses yeux bleu-vert sont beaucoup plus beaux que tout ce que j’ai pu voir sur les photos qu’il m’a envoyées. Libéré de son dilemme, mon cerveau décide de se remettre en marche, je lui réponds son salut. Il m’entraîne dans l’escalier, et j’accorde enfin un peu d’attention au contact de sa main sur la mienne : sa peau est légèrement rugueuse, celle de quelqu’un qui manipule des outils, mais néanmoins plutôt fine et élégante, et surtout très chaude, rassurante. Il tient ma main un peu plus longtemps que ne le justifierait le simple fait de me guider vers sa maison, et joue très légèrement avec mes doigts, en caressant la pulpe de manière à peine sensible. L’étreinte de sa main est toutefois très galante, pleine de retenue, juste ce qu’il faut pour éviter de marquer franchement une relation amoureuse. Il me fait découvrir sa maison, faire le tour du propriétaire, comme il l’aurait fait avec un vieil ami venu lui rendre visite. Puis nous passons à table. Il a préparé mille petits mets délicieux, à la manière libanaise, et nous faisons un festin de saveurs, de couleurs et de textures. Pendant le repas, je suis tellement concentrée sur la qualité des plats, les sensations sur ma langue, que j’en oublie presque de lui prêter de l’attention, de chercher à lui plaire, de jouer avec l’ambiguïté de notre rencontre. Une fois ou deux, je lui lance un regard et découvre qu’il m’observe un peu en coin, amusé de mon oubli dans la gourmandise. Lui semble maîtriser la situation, à la fois seigneur et maître d’hôtel, comme s’il était habitué à une telle profusion d’émotions culinaires. Le café me dégrise un peu, et nous sortons prendre l’air. Les alentours sont très beaux, d’une grâce singulière dans laquelle le sauvage se mêle adroitement au domestique, à moins que ce ne soit l’inverse : ici des vergers dépareillés, enchevêtrés mais étrangement ordonnés ; là un jardin dont le plan incompréhensible semble sorti de l’imagination d’un génie ou d’un fou. Ailleurs encore, un chemin qui s’engage dans un bosquet semble une sente de sanglier, mais s’avère finalement ouvert et agréable, s’aventurant entre des arbres majestueux et inquiétants. Tout au long de notre promenade, nous parlons de tout et de rien, bras-dessus bras-dessous, nous avons l’air d’un marquis et une comtesse devisant galamment. Mais moi, je n’ai rien de la comtesse, et sentir la chaleur de cet homme juste à côté de moi, à portée de main et pourtant inaccessible, me met les nerfs à vif. Aussi, je suis perturbé par sa toute jeune chienne qui nous accompagne, et qui est le pendant chaotique de notre comportement civilisé : elle farfouille partout, pisse dans un coin, suit une trace odorante pour l’abandonner quelques secondes après. Elle lui saute dessus, et se fait vertement tancer, mais réitère pourtant son geste. Il s’amuse à exercer les quelques commandements qu’il lui a appris à respecter : « assis », et elle s’assoit. « Viens », et elle s’approche, mais s’arrête aussitôt qu’il lui lance un « stop », la queue hésitante et le regard interrogateur. Je suis fascinée, presque mal à l’aise de l’obéissance de cette petite créature, qui par ailleurs a tout de la bête sauvage. Et en même temps, une part de moi se laisse impressionner par l’autorité qu’il exerce sur elle. Je m’avoue timidement que je voudrais être à la place de cette chienne, quitter les oripeaux de la fille sage et jolie. Oser m’approcher jusqu’à sentir son entrejambe, et me faire punir pour cette audace. Lui sauter dessus et lécher son visage. Obéir s’il me commande de me coucher à ses pieds, de me mettre à quatre pattes et de présenter ma croupe. Pendant que je m’échauffe toute seule dans ma tête, je me demande où il en est, lui. Il a l’air imperturbable, sûr de lui, mais je crois deviner qu’il ne s’agit que de la surface. Durant nos discussions à distance, à certaines heures de la nuit, nous avons échangé sur nos fantasmes, nos désirs crus, viscéraux. Je cherche la trace de l’homme qui m’a fait mouiller ma culotte en me parlant de sexe comme si j’y étais, et je m’énerve de le sentir si propre, si distant à présent que ça y est, j’y suis ! Nous rentrons à sa maison, et comme il fait un peu frais il allume la cheminée. Il part aux toilettes, et moi je continue à construire ma frustration : « qu’est-ce que tu fous là ? », je me dis. « Alors ça y est, un feu de cheminée, et maintenant, c’est quoi ? Un scrabble, une tisane et dodo ? ». La flambée réchauffe mon ventre, mes seins. Je sens confusément que je laisse les forces profondes prendre le dessus sur ma raison, que j’autorise mon désir, ma colère et ma peur à débrancher mon cerveau. Il rentre dans la pièce, je le regarde fixement. Je relève ma robe, dégrafe mes bas. Puis je retire ma culotte, lentement, exposant ma chatte poilue et odorante. Il n’est qu’à quelques pas de moi, je lui lance ma culotte à la figure. Il la rattrape, la hume, son regard devient piquant, je vois une faille s’ouvrir en lui. Je défais la ceinture de cuir qui enserre ma taille par-dessus ma robe, et la lance également dans sa direction. Il s’en saisit et immédiatement, l’utilise contre moi avec force et précision. La lanière claque contre ma cuisse, m’arrache un cri. Il réitère son geste, et je sens une douleur cinglante sur ma fesse. J’ai à peine le temps de penser quelque chose comme « ah, tu veux jouer au dompteur ? ». Je saute sur lui, l’étale sur le canapé, j’arrache littéralement sa chemise. Je me demande furtivement si j’en ai arraché les boutons, s’il faudra la réparer demain. Je découvre son torse et ses épaules, les lacère avec mes ongles, mais je lui laisse les manches à mi-hauteur, ce qui contraint ses mouvements. Je monte mon bassin sur lui, et retiens ses bras avec mes jambes. Saisissant sa tête dans ma main, je l’embrasse, je le flaire, je le mords, et lui pousse des petits gémissements d’animal pris au piège. Ça me fait instantanément mouiller. Assez rapidement, je meurs d’envie de lui donner mon sexe à renifler, à goûter : toujours à califourchon sur lui, je pose ma chatte sur sa bouche, et tenant son crâne dans ma main, je le force à me lécher. Tout s’aligne en moi, tout prend sens, le trajet et la longue attente, les discussions interminables et le regard brillant, le jardin, la chienne. L’amour lové à l’intérieur de moi bondit comme un dragon hors de sa boîte. Mon clitoris exulte, mon sexe inonde son visage, étouffe ses cris haletés. Je me penche un peu en arrière, et de ma main libre je défais son pantalon, caresse son sexe tendu au travers du caleçon. Il se redresse soudain, et je bascule à la renverse, manque de me cogner sur le sol. Le temps que je comprenne ce qui s’est passé, il s’est débarrassé de sa chemise et de son pantalon, et il bondit sur moi. Nous roulons par terre, entremêlés, et pendant un moment nous ne sommes plus que grognements, griffes, crocs, langues. Nous arrachons sans nous en rendre compte la plupart des vêtements qu’il nous reste. J’ai l’impression de prendre le dessus, et je brûle d’envie de remettre sa langue sur mes lèvres. Mais il me saisit soudain par les cheveux et par la gorge, m’arrachant un cri de douleur, et me force à plat ventre avec le poids de son corps. Une de ses mains tient mon visage, étouffe mes cris sur ma bouche, tandis que l’autre attrape ma ceinture, celle qui a tout commencé, et l’enserre autour de mes coudes, dans mon dos. Je jappe, me débats, mais je ne peux que constater que l’étreinte est sérieuse : juste avec cette petite lanière de cuir, habilement liée, il est en train de gagner le combat. Je rugis carrément, impuissante et furieuse. Lui, il s’est relevé, et il rigole, ce qui me met encore plus hors de moi. Son sexe est dressé, je trouve cet homme magnifique et terrible, j’ai envie de le dévorer, ou d’être dévoré par lui. Il prend son temps pour aller chercher une corde dans un tiroir, et achève avec art de me posséder. Il lie mes poignets l’un avec l’autre, et les remonte sur mon dos en passant sa corde sous mes aisselles, puis derrière ma nuque. Ça me fait mal, un peu. Surtout, dans cette position, mes mains sont incapables de lui interdire l’accès à mon sexe et à mon cul, je me sens offerte de manière vertigineuse. J’essaie quand même de gigoter, de me débattre, je me relève et me jette sur lui à corps perdu. Mais je suis une proie facile : il arrête mon élan en saisissant mon visage dans sa main, et pince mes tétons avec rudesse. Un cri m’échappe, j’essaie de mordre sa main. Il me reprend par les cheveux, me force à m’agenouiller par terre, le buste sur le canapé. Il décide de se remettre à lécher ma chatte, et bien que j’en meure d’envie, je serre sa tête entre mes jambes pour refuser la caresse, dans une tentative désespérée de contrôler un tant soit peu la situation. Il se redresse, pousse un soupir d’insatisfaction. Pendant quelques instants, il pose sa main sur mon sacrum, le pouce sur mon anus. Alors, sans le vouloir, je me détends, me relâche instantanément. Je me sens me déposer au creux cette main, signer ma reddition dans la chaleur de sa paume. A présent, je le sais, il a tout pouvoir sur moi et c’est exactement ce que je désire, profondément. Ça ne m’empêche pas de hurler quand il met une grande claque sur ma fesse, puis sur l’autre. Enfin, à l’aide de cordes supplémentaires, il assujettit mes chevilles aux pieds du canapé, maintenant mes jambes écartées. Cette position est tellement humiliante que j’ai un soubresaut de révolte, je crie et lui lance des insultes : « Salaud ! salaud ! », je ne sais plus dire que ça. Alors, il fourre dans ma bouche ma propre culotte pleine de mouille, et la maintient en place avec un foulard. Sans que je maîtrise quoi que ce soit, des larmes coulent de mes yeux, je le supplie dans mon bâillon de m’enfourner, de me transpercer. Il prend son temps et moi je meurs de frustration, je brûle de mon désir bestial et dompté. Je ne sais pas ce qu’il fait, qu’est-ce qu’il attend pour me baiser ? Je secoue mes liens mais je suis toujours aussi prisonnière, ma chatte est béante et ruisselante, exposée et implorante. Il pose sur mon clitoris un vibromasseur, je ne m’y attends pas, je décolle d’un coup. Il se rend compte que je pourrais jouir là, maintenant, alors il le retire un peu, puis le remet, c’est incroyablement, exceptionnellement délicieux et terriblement cruel à la fois. Et puis il me pénètre, de toute la longueur de son sexe. Je suis tellement mouillée, tellement ouverte que la capote ne me gêne même pas, et qu’à vrai dire un pénis deux fois plus gros serait rentré sans mal. Mais j’aime le sentir en moi, mon cœur s’ouvre et mon corps s’abandonne. Il alterne stimulation du clitoris et pénétrations saccadées, de plus en plus appuyées et rapides, et ça me rend dingue. Je veux les deux en même temps, je l’implore mais ça ne sert à rien, je remue mais ça n’avance à rien. Il finit quand même par me satisfaire, règle le vibro au maximum et me baise sauvagement en agrippant mon dos avec ses ongles. Ses doigts enserrent ma gorge et contraignent ma respiration, je ne sais plus qui je suis, un cri se construit au profond de mes entrailles et cherche à remonter à la surface en gerbes explosives. Je me rends compte qu’il laisse couler de la salive sur mon anus, comme s’il voulait se mettre à m’enculer. C’est la goutte d’eau, je suis prise de spasmes, je jaillis, mon sexe l’avale et il jouit aussi, presque surpris de s’être fait attraper. Nous mêlons de longs hurlements rauques et sauvages, nous partageons un immense frisson de toute l’épine dorsale. Il aplatit son ventre sur mon dos, nous sommes tous les deux ruisselants de sueur. Mes mains toujours liées en profitent pour attraper ses tétons et les pincer, il gémit, il rigole et moi aussi, dans le prolongement des secousses de l’orgasme. Son sexe toujours en moi, il défait mon bâillon, puis lentement se retire. Il m’embrasse, me mordille, me caresse, mais ne me détache pas encore. J’ai les coudes, les épaules et les poignets en feu, mais le corps tellement vibrant d’énergie que je pourrais tout endurer. Il me regarde avec des yeux amoureux, exactement le genre de regard que j’ai rêvé qu’il pose sur moi. Prenant un air coquin, il me dit « je me demande si je ne vais pas te garder comme ça encore un peu… j’aime que tu sois ma salope, ma petite chienne, j’aime savoir que je peux te baiser quand je le décide. Je commence juste ton dressage, il y a du boulot ! ». Moi, sa petite chienne ? Non mais… Je lui lance mon regard de louve le plus convaincant, et il éclate de rire. Il m’embrasse avec tendresse, et défait mes liens tout en massant délicatement chaque partie de mon corps, au fur et à mesure qu’il le libère. Pour finir, il me prend dans ses bras, et je me laisse aller totalement, complètement, peut-être plus encore que pendant l’orgasme. J’ignore totalement combien de temps se passe ainsi. Quand je reviens à moi, je suis allongée sur le canapé près du feu, nue, une couverture douce et chaude est posée sur moi. Une odeur délicieuse traverse la pièce, je meurs de faim. Je me lève et découvre la table dressée pour deux, promesse de nouveaux délices culinaires. Je me sens heureuse, intensément amoureuse de cette homme doux, puissant, merveilleux. Quelque part en moi, je me demande s’il n’aurait pas été plus juste qu’il me fasse manger dans la gamelle, au pied de sa chaise.
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Par : le 08/11/22
Nous ne sommes pas spécialistes du bondage et encore moins du shibari (même si nous aimerions), mais nous nous interessons à ce sujet. Nous avons pas mal écumés le web et les forums pour essayer d'y voir plus clair. J'avais pris pas mal de notes, fais des copier/coller. J'ai essayé de synthétiser ce que j'ai lu et ce que j'ai compris. N'hesitez pas a commenter pour corriger une anerie ou pour faire valoir un avis différent (on se la jouera humble ;) ). Bondage ou shibari ? Le bondage est une version que l'on pourra appeler "grand public" de l'art japonais des cordes, qui s'appelle le shibari. Le bondage comme le shibari offre une expérience incroyablement sensuelle et érotique. Attacher ou se faire attacher permet d'explorer la soumission et la domination sous une forme plus apaisée (qui n’empêche pas l'extase) que les pratiques purement SM ou DS. Si pour les jeux BDSM, on explore surtout le volet SM par l'utilisation de cravache, martinet ou fouet, et de pinces en tout genre, le shibari se pratique uniquement avec des cordes en jute. Si vous êtes moins puristes et que vous souhaitez tester l'attachement et l'immobilisation sans pratiquer l'art du Shibari, mais juste "jouer", vous pourrez vous faciliter une partie de la prise de contrôle de votre partenaire en utilisant des bracelets en cuir avec des anneaux où vous ferez passer les cordes. Ces bracelets en cuir permettent de facilement prendre accroche autour des poignets ou des chevilles. L'autre point d'attache très prisé dans le bondage est le cou, là encore si vous n'êtes pas encore un pro du bondage, vous pourrez vous faciliter la vie en ayant recours à un collier en cuir, doté d'un ou plusieurs anneaux en inox dans lesquels vous pourrez faire passer votre corde. Il faut que les débutants soient très prudents. Passer la corde au cou de quelqu'un cela ne s'improvise pas... on devrait même dire que cela ne se fait pas, c'est autour des épaules, de la tête que cela se passera; Débutant, commencer avec un peu de cordes et des colliers et bracelets, plus tard, quand vous serez plus expérimenté, vous pourrez vous en passer et pratiquer les immobilisation de votre partenaire justes avec les cordes. Outre la simplicité des colliers et menottes (que les spécialistes du bondage trouveront regrettable), leur utilisation permet, pour les débutants, de ne pas prendre trop de risques en serrant à l'excès ou de manière inadéquate les poignets ou le cou de leur partenaire. Avec ou sans bracelets, avec les cordes, vous pourrez donc attacher, à l'aide d'un anneau votre partenaire juste pour l'immobiliser (maintenir les bras dans le dos attachés au niveau des poignets, forcer à écarter les jambes ...) ou vous pourrez jouer avec votre environnement (l'attacher à un lit, l'encorder à une rampe d'escalier ...). La plupart des menottes sont avec une boucle en acier inoxydable, mais vous en trouverez aussi qui se fixe avec du velcro. Dans les ersatz à disposition, on citera également les sangles (en général en nylon), prévues essentiellement pour les immobilisation sur un lit dans le cadre d'expérience de domination/soumission. Les remplace à la fois les cordes et les menottes puisqu'elles disposent en général de sorte de attaches en velcro pour attacher les chevilles et les poignées. Les premiers accessoires pour commencer dans le bondage Il vous faudra de la corde. Beaucoup de corde. Les puristes du shibari vous conseillerons souvent une corde de jute de 6-8 mm. La jute est une fibre naturelle qui est solide et durable, mais elle peut aussi être rugueuse pour la peau suivant la manière dont elle est préparée. En fonction de vos envies et celles de votre partenaire, vous pourrez jouer ou non avec la douleur en choisissant une corde plus ou moins douce et plus ou moins lisse. Il vous faudra également disposer d'une paire de ciseaux ou mieux d'un sécateur ! Évidemment, on ne découpe pas les liens après chaque utilisation. Par contre, un moyen de découpe efficace et rapide est toujours à prévoir en cas d'urgence (malaise, personne en soumission qui panique ou qui fait un malaise ...). N'importe quels ciseaux ou sécateurs fera l'affaire pour peu qu'il puisse trancher la corde efficacement. Il faut toujours en avoir sous la main. C'est tout sauf accessoire pour mettre fin dans l'urgence un bondage. Nous n'évoquerons pas dans cet article les accessoires BDSM qui n'ont rien avoir avec le bondage, stricto sensu. Certaines pratiquants aimeront s'adonner à des jeux et avoir recours à une cagoule pour la tête de la personne immobilisée pour la déshumaniser, d'autres mélangeront le bondage avec des pratiques SM (comme la pose de pinces sur les tétons ou sur le sexe de la personne soumise, le recours au masque pour les yeux, au collier de soumission, au bâillon pour la bouche...). Les types de cordes pour le bondage et le shibari Pour le shibari, il existe deux principaux types de cordes utilisées dans le shibari : hanayama et asanawa. Les cordes hanayama sont faites de jute tressé et mesurent généralement trois mètres de long. Les cordes asanawa sont faites de jute torsadé et mesurent généralement six mètres de long. Les deux types de cordes sont tout aussi efficaces pour le bondage, c'est donc vraiment une question de préférence personnelle de l'encordeur/encordeuse comme de l'encordé.e. Si votre envie vous incite à plus de simplicité, vous pourrez opter pour des cordes plus simples et donc pas cher, comme les cordes en nylon. Mais cela se manipule moins bien, c'est moins confort sur la peau, et vous vous privez de l'odeur toute particulière des cordes en jute. Quelle(s) longueur(s) pour les cordes de bondage ? Vous aurez besoin de longueurs de corde différentes pour chaque personne, même si vous utilisez le même type de corde. Ne vous souciez donc pas d'obtenir la "bonne" longueur Concentrez-vous plutôt sur l'apprentissage de la manière d'utiliser l'excédent de corde éventuel. A moins d'une exigence spécifique, la plupart des encordeurs travaillent avec un jeu qui contient 2 ou 3 longueurs standard : 3m :  Parfait pour les poignets ou les chevilles, ou pour attacher les membres aux poteaux de lit, des choses comme ça.   C'est ce qu'on appelle parfois une "corde courte". 4,5m :   Cette corde est appelée "demi-corde" et peut être utilisée autour des cuisses ou des genoux, comme ceinture de taille ou lorsque vous devez tirer une corde. 9m :   Très bien pour faire des harnais et les longues courses.   On l'appelle parfois simplement "corde". Quelle(s) épaisseurs pour les cordes de bondage ? Cela dépend ! :). Chacun ses goûts, mais on peut préciser quand même que : Le diamètre le plus prisé est de 6 mm, La corde de 5 mm offre plus de finesse dans l’exécution et propose un esthétisme particulier. Pour les suspensions on choisira souvent du 8mm, vous verrez de nombreuses personnes utiliser des suspentes de 6 mm également. Cela dépend aussi du gabarit de votre partenaire. Si votre partenaire est plus grand, vous pouvez utiliser une corde de 8 ou 10 mm pour le travail au sol (bondage non suspendu). Cela répartit la force sur une zone plus large et peut être plus confortable. Le seul inconvénient des cordes plus épaisses est que les nœuds ont tendance à devenir encombrants rapidement... Quelles cordes acheter des cordes pour le bondage et où ? Il y a quelques éléments à prendre en compte lors de l'achat d'une corde de shibari ou de bondage. La première est le matériau dans lequel la corde est fabriquée. Les matériaux les plus courants sont les fibres naturelles comme le chanvre ou le jute. C'est le choix des puristes. Les pratiquants curieux pourront opter pour les fibres synthétiques comme le nylon ou le polyester. Les cordes en chanvre et en jute sont à la fois solides et durables, mais elles peuvent être agressives pour la peau. Elles ne sont pas non plus très élastiques et cela va avoir tendance à compliquer le bondage en suspension. La corde en nylon est, c'est un avis personnel, moins facile à travailler et moins agréable au toucher. La corde en polyester se situe entre le nylon et le chanvre/jute en termes de résistance et d'élasticité, ce qui en fait une corde polyvalente. Mais seul le chanvre et la jute sont utilisés par les puristes La deuxième chose à prendre en compte est le diamètre de la corde. Les diamètres les plus courants sont 6 mm, 8 mm, 10 mm comme on l'a vu et plus rarement le 12 mm. Là encore, chaque diamètre présente des avantages et des inconvénients. Les cordes plus fines sont plus faciles à nouer, mais elles ne sont pas aussi solides que les cordes plus épaisses. Les cordes plus épaisses sont plus adaptées aux jeux de bondage lourds, mais il peut être plus difficile de faire des nœuds complexes avec La troisième chose à prendre en compte est la longueur de la corde. Les cordes de bondage sont généralement vendues en longueurs de 3 mètres (10 pieds), 7,6 mètres (25 pieds), 15 mètres (50 pieds) ou 30 mètres (100 pieds). Évidemment, plus la corde est longue, plus elle est polyvalente. Cependant, les grandes longueurs de corde peuvent aussi être plus difficiles à travailler, donc si vous débutez, il est préférable de s'en tenir à des longueurs plus courtes jusqu'à ce que vous ayez le coup de main . Si vous êtes un pratiquant du BDSM qui cherche juste à tester le bondage, vous pouvez vous rabattre vers des cordes peu chères que vous trouverez par exemple dans les grandes surfaces (genre Leroy Merlin ou Castorama). Si vous souhaitez mettre plus de noblesse dans votre pratique, achetez des cordes en chanvre ou en jute. Nous vous conseillons de les acheter dans des boutiques spécialisées (ou sur leur site internet). Les cordes de boutiques BDSM ou Shibari ont subit des traitements compatibles avec leur utilisation. Faire un stage de bondage (voir de shibari) ? On trouve de plus en plus de formation ou de stage pour apprendre à jouer avec les cordes, avec plus ou moins de sophistication, des encordages simples à ceux plus artistiques des maîtres du shibari. Ce peut être une bonne idée de faire un stage, d'une part car cela permet de savoir si l'activité vous plait, mais cela vous permet vraiment de vous sensibiliser aux règles de sécurité, et au dela d'apprendre ce qu'il faut faire, une formation vous apprend ce qu'il ne faut pas faire, et à parer aux urgences, si votre bondage tourne à la catastrophe. C'est important pour vous (pour apprendre) mais aussi et surtout pour votre partenaire qui vous fait confiance en vous laissant l'attacher. Soyez prudents !
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Par : le 03/10/22
Il me suffit de penser au bondage, sans même le vivre pour entrer dans une profonde excitation. Quand je pense au bondage, ce sont avant tout les sensations qui me font fantasmer. Les liens serrés autour de mes poignets, de mes chevilles ou qui enserrent ma poitrine. Je pense à ce que je ressent quand la corde rugueuse frotte contre ma peau nue. Le contrôle que mon Maître exerce sur moi. C'est cela que j'aime dans le bondage : les sensations. J'aime me sentir attachée (j'aime aussi d'ailleurs être enchaînée). J'aime savoir que je ne suis pas libre de partir ou de faire ce que je veux. Je ne me qualifie pas comme une soumise mais je sens bien que la sensation de la contrainte m'excite terriblement. Je suis entièrement à la merci de mon partenaire quand il m'attache et cela me procure un sentiment intense de bien-être. C'est une sensation unique que je ne peux ressent en nulle autres circonstances. Les liens qui me maintiennent captives me donnent l'impression d'être des plus vulnérable et cela ajoute une vraie dose d'excitation quand Il me possède sexuellement. Je sais que mon partenaire peut me faire ce qu'il veut, et cette idée me plaît beaucoup. C'est pour cette raison que je fantasme souvent sur le fait d'être pris au piège des cordes et de ne pas pouvoir m'échapper. Cela me fait mouiller terriblement. Le bondage est une pratique sexuelle (oui, je le considère comme une pratique à part entière) qui me procure beaucoup de plaisir car elle est pour moi basée sur les sensations qui s'emparent de moi quand il m'encorde, quand les noeuds se font et se défont. J'aime tant cette sensation de me liée et à la merci de mon partenaire, car cela ajoute un frisson d'excitation à toutes nos pratiques (qui ne sont pas spécialement SM d'ailleurs). Il y a une charge cérébrale intense dans "mon bondage à moi"... Mon amant n'est pas un grand spécialiste du bondage, et a découvert cette activité en même temps que moi. Un jour, je pense que je m'en remettrai à un maître shibari pour aller un peu plus loin, notamment explorer les sensations des suspensions. Mais cela ne se fera pas tant que je serai en couple, et comme je n'envisage pas un seul instant de le quitter ...
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Par : le 16/08/21
Voici enfin arrivées ces deux semaines en ta compagnie. Depuis le temps que dure notre relation, c’est la première fois que nous allons pouvoir passer autant de temps ensemble. Je m’en délecte d’avance. Même si j’affirme depuis des semaines qu’en cette satanée année, ce ne sont pas de vraies vacances, ce séjour restera spécial quoi qu’il en soit. Signe d’un regain de forme notable doublé d’une certaine motivation, pour ne pas dire d’une motivation certaine, tu me proposes dès le deuxième soir de procéder à quelques essayages de tes dernières trouvailles. Je savais qu’elles existaient sans savoir à quoi elles pouvaient ressembler. Si pour la parure blanche, il faut remettre à plus tard, le temps d’adapter la taille, il en va, en revanche, différemment pour la noire. J’ai l’impression de ne pas encore avoir assez minci pour y rentrer. Pourtant tu as bien raison, le corset sombre avec ses motifs floraux blancs finit par bien s’ajuster sur mon corps de « mannequin ». J’ai de nouveau un doute lorsque tu me tends le string coordonné. C’est vraiment un petit modèle, surtout que ce genre de situation ne me laisse jamais de marbre. Pourtant, là encore, tout finit par se mettre en place. Et cette matière translucide souligne mon anatomie tout en ne dissimulant rien de mes sensations : quel lubrique et impudique nounours je deviens à cet instant précis. Tant qu’à y être, tu me fais chausser les talons avant de me faire prendre diverses positions lascives sous le regard curieux et attentif de ton objectif. La modiste semble ravie de son œuvre. En tout cas l’expression de ton visage l’exprime. Je reconnais, je le suis tout autant par cette mise en bouche. De toute façon, j’aurais peine à affirmer le contraire. C’est aussi l’occasion de me prélasser ainsi légèrement vêtu sur le nouveau drap en vinyle violet : protecteur, rehausseur de couleur, contact spécial. Je sens qu’il ne va avoir que des avantages. Validé malgré cet essai rapide ! Mercredi, le grand jour est arrivé ! Enfin, plutôt un jour spécial, et même deux pour être précis. Tu as organisé une visite pour nous permettre d’expérimenter des choses qui ne seraient pas (ou du moins pas encore) possible dans ton antre. Direction plein ouest, les pins, la chaleur, …, en cette chaude journée pour de nouvelles aventures. Sans surprise, l’accueil qui nous est réservé est des plus chaleureux et nous faisons alors la connaissance de la soumise de notre hôte. Passées les agapes du déjeuner, nous pouvons nous attaquer aux choses sérieuses, ou moins sérieuses (tous les points de vue sont possibles). Galanterie ou pas, il se trouve que ma « collègue » de soumission ouvre le bal sous les assauts des différents fouets de sortie, principalement ceux que tu as apportés. Il ne fait pourtant pas froid. Pourquoi donc vouloir directement faire monter autant la température. J’attends patiemment mon tour en profitant du spectacle et des marques roses et rouges qui commencent à joliment orner son dos et son postérieur. C’est troublant de se retrouver spectateur plutôt qu’acteur. Je suis totalement détendu et décontracté en attendant mon tour. La confiance aide beaucoup même si c’est une double première pour moi, à la fois dans la pratique et dans le fait ne pas être en ta seule présence. Visiblement, ma pudeur des débuts s’est bel et bien envolée. Depuis quelques années, tu as pris goût aux cordes pour mon plus grand plaisir. Oui mais voilà, tu n’avais pas la possibilité de me suspendre. Il faut dire que c’est loin d’être si simple : il faut la technique et un environnement adéquat. D’où l’intérêt de cette visite amicalement encordeuse … et plus. Tout est là : de solides poutres, une barre de suspension spécialement conçue pour cela et l’expertise qui va avec. Pour une première dégustation, nous choisissons tous ensemble de faire simple. Il ne s’agirait pas de tout gâcher en se lançant trop vite dans la difficulté. Ce sera donc tout simplement à l’horizontale sur le dos. Il n’y a, a priori, pas besoin de plus pour goûter à ces aériennes sensations, toutes nouvelles pour moi. Autant le levage au niveau des cuisses et des chevilles ne me gênent pas le moins du monde, autant la première tentative à hauteur du torse me donne une soudaine sensation d’oppression, comme un berceau de bois qui viendrait me broyer. Rapide retour sur une surface stable pour bien repositionner les cordes et l’ascension peut reprendre. Cette fois, je ressens l’inévitable emprise des cordes autour de mon corps, mais plus du tout cette première sensation gênante et désagréable. Grâce à la cagoule qui n’était pas prévue pour cela, j’ai l’impression de me concentrer encore plus sur l’instant présent, d’intérioriser à fond ce moment. Chaque seconde qui passe, la très légère appréhension des tous premiers instants se mue en un agréable instant. Illusion ou pas, j’ai l’impression de me balancer dans le vide. Ce n’est pas encore la sensation d’être un oiseau mais c’est clairement agréable de flotter ainsi, même contraint. De se sentir bercé, presque tout léger. Je ne te remercierai jamais assez de m’avoir permis de goûter à cette nouvelle sensation. Toutes les bonnes choses ont une fin : atterrissage en douceur avant de passer à une suite, cette fois partagée. Pour une fois, les marques sont au rendez-vous : tu ne manques pas l’occasion de les immortaliser. Comme quoi je marque … parfois. On a juste toujours pas l’explication du quand et du pourquoi ;-). Une soumise, un soumis, deux compagnons d’(in)fortune, deux cerveaux dominants, il eut été dommage de ne pas en profiter pour un tableau commun. Chacun avec notre bien légère tenue en vinyle noir, nous nous livrons à leurs cordes et à leur imagination fertile. Dos à dos, main dans la main, nous nous retrouvons partiellement suspendus, en presque parfaite symétrie, chacun faisant le pied de grue … ou de héron ;-). J’avoue que c’est une sensation nouvelle de sentir cette chaleur dans la main, d’entendre ma partenaire de cordes s’inquiéter de mon état. Tout compte fait, ce n’est pas désagréable du tout de partager ce genre de moments, quand bien même la contrainte des cordes reste quelque chose d’individuel. Je confirme aussi que l’humain n’est pas fait pour être un « monopède », pas plus que le nounours d’ailleurs. Il est quand même beaucoup mieux sur ses deux pattes … au moins. Faites vite les photographes, je fatigue ! Histoire de ne pas faire de jaloux, mon tour est venu d’être « réchauffé ». A mon plus grand regret (temporaire), le préchauffage avec ta toute nouvelle langue de dragon ne s’est même pas inscrit dans mon esprit, souvenir probablement submergé par le flot qui a suivi. En revanche, la longue tapette à clous a réussi à ne pas se faire oublier : il faut dire qu’elle a des arguments « percutants », tout à fait adaptés à un postérieur rebondi et avide. A priori, par la suite, il semblerait que j’expérimente surtout les dernières acquisitions de notre hôte. Si la queue de dragon du fouet court se révèle bien impactante lorsqu’elle vient atterrir tantôt sur mes épaules, tantôt sur mon dos ou encore sur mes fesses, le fouet arc-en-ciel me fait plus penser à un lourd flogger. A choisir je prendrais plutôt le « cracheur de flammes » ! Il semblerait que je sois dans un contexte favorable, mon endurance tout comme ma réceptivité se révèlent bien meilleures que la dernière fois, ce qui serait pour te satisfaire. Atmosphère décontractée de vacances ? Changement d’air ? Inconsciente volonté d’être à la hauteur devant nos hôtes pour que tu sois fière de moi? Un peu de tout cela probablement. Du coup, ce moment dure, dure, … s’étire en longueur. A tel point je suis presque surpris par toutes ces chaudes traces rouges et boursouflures sur mon dos lorsque je les découvre en photos. De l’intérieur, je ne soupçonnais pas une telle intensité. Disons que je me laissais aller à l’instant présent et profitais de ces nombreuses morsures, lâchant ici et là quelques grognements de satisfaction. Et dire qu’il est de notoriété publique que je ne me marque pas. A priori, quelque chose a dû changer. Et en bien ! Sinon, vive la cagoule ! Mon oreille gauche sifflerait presque encore de quelques claquements « proches ». La cravache qui t’est proposée n’est pas spécialement stimulante malgré sa tête en coeur, du moins tant que tu t’en tiens à son usage classique. Mais évidemment, tu ne résistes pas à montrer à un de tes « nombreux » petits plaisirs : la version ventilateur d’extrême proximité sur mon intimité avec un modèle plus standard. Impossible d’encaisser sans réagir, malgré les spectateurs : je ne peux pas faire autrement que me tortiller et couiner. Voici qui conclut à merveille cette première journée. Que demander de plus ? Des personnes sympathiques, un esprit décontracté. Il n’en faut pas plus pour que tout le monde s’amuse. Le petit-déjeuner est propice à phosphorer, bien évidemment pour produire des idées sadico-perverses. Pauvre soumise, c’est elle qui va pâtir de ces deux imaginaires démoniaques. Pour ma part, je suis simplement mis à contribution pour les préparatifs. Si seulement le barbecue n’était pas resté tout près de la terrasse… Il n’en fallait pas plus à nos deux esprits encordeurs pour envisager de la mettre à la broche au-dessus du grill. Je reconnais que le résultat final est plutôt visuellement réussi : je sais, c’est facile à dire quand on voit cela d’un œil extérieur et distant. Il était évident que je finirais par être mis à contribution. Ou plutôt que je finirais par être le centre des attentions. Il faut dire qu’un jardin tranquille et suffisamment dégagé se prête parfaitement à ce que tu espérais depuis longtemps déjà. Difficile d’exploiter tes plus longs fouets dans la quiétude protectrice et rassurante de ton antre. Quant à moi, je reconnais que le pépiement des petits oiseaux et la douce caresse sur ma peau des quelques souffles d’air matinaux offrent un environnement des plus emballants, déjà qu’il ne m’en fallait pas beaucoup pour être motivé par le programme esquissé. Simplement paré de ma cagoule en cuir, encore plus indispensable en ce jour, je me positionne au milieu de la pelouse, les orteils dans l’herbe. A partir de là, je suis bien incapable de dire ce qui se passe vraiment autour de moi. La seule certitude, c’est que je suis assailli de diverses manières : une langue de cuir vient me claquer régulièrement dans le dos, un bien long brin de cuir vient régulièrement enserrer mon torse … il y a même un fouet qui ose venir passer par-dessus mon épaule pour venir s’acharner sur ma main. Le fouet arc-en-ciel semble appliqué de manière légèrement différente : un ou deux brins viennent claquer avec un léger retard. Ca claque, ça mord, ça cingle, ça virevolte, mon esprit s’envole et se délecte … Pour autant, comme hier, je me sens particulièrement réceptif, et je me laisse bercer par cette vivifiante fouettée extérieure. J’ai l’impression qu’il y a un passage de relais dans mon dos. Les cibles visées et la façon d’impacter sont différentes, peut-être moins variées. Il faut dire que tu es plutôt du genre à ne pas faire de jalouses entre les diverses parties de mon corps. Ce que je n’aurais pas soupçonné, certainement plongé dans mes sensations, c’est que vous vous êtes mis à quatre mains pour vous occuper de moi pendant quelques minutes. Limite inattentif le nounours ! Il faut dire qu’à ce moment-là je suis plus dans l’intensité des impacts que sur leur fréquence. Effet chauffant efficace après de longues minutes offert à vos tourments respectifs, je suis en nage, mais ravi de l’être... La pause est la bienvenue, sous une bonne douche régénérante. Visiblement tout le monde en a bien profité, Maitresse comme moi.
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Par : le 29/07/21
Au delà des aspects esthétique et de douleur, le bondage est un bon moyen d'imprimer des sensation, des sentiments en s'appuyant sur un code kinésique naturelle. En effet, chaque posture renvoie à un type de sensation. Je vous propose d'en voir quelque uns. 1- Le rabattement On peut attacher quelqu'un pour qu'il soit plié ou courbé vers ses jambes par devant ou bien courbé vers l'arrière. a- Attaché rabattu vers l'arrière Cela impose de s'offrir sans pouvoir résister, cette posture donne un fort sentiment de vulnérabilité b- Attaché rabattu vers l'avant Cette posture a un coté rabaissant, c'est un bon moyen de punir ou de donner un sentiment d'inferiorité 2- Les mains Attacher les mains donne un grand sentiment de réduction à la passivité, une personne qui a les mains attaché ne pense plus à agir. a- Les mains attachés devant Cette position donne le sentiment d'être là pour suivre, pour se laisser guider b- Les mains attachés derrière On revient à un sentiment de vulnérabilité, on ne peut plus se defendre 3- Les jambes Quand on attache les jambe d'une personne, elle perd sa mobilité, cela l'infantilise énormément. A- devant ou derrière? a- Les jambes attachés devant Quand les jambes sont attachés devant, on peut les regarder, on se contemple soit même, cela donne un genre d'introspection. b- Les jambes attachés derrière Cela donne un sentiment de déséquilibre, de peur et de perte de contrôle, rien de telle pour stresser. B-jointes ou écartés a- Les jambes attachés jointes lorsque les jambes sont attachés jointes, la neutralisation est plus forte mais c'est aussi plus sécurisant b- Les jambes attachés écartés cela est plus anxiogene 4- Publique ou privé a- publique En publique, la notion de statu s'exprime automatiquement. Quand on attache une personne en publique et que tout le monde la regarde, elle peut avoir le sentiment de ne plus être au même niveau que les autres mais une sorte d'animale en dessous. Le sentiment qui en résulte est à la foi un sentiment de solitude (à moins que d'autres soit attachés en même temps) et de libération. b- privé En privé, c'est la confiance qui prime. Une personne que l'on attache en privé est obligé de donner sa confiance. 5- Matière du lien a- Foulard Il a un coté festif et amusant b- cordes La corde peut presque être perçu comme une partie de son propre corps quand elle reste suffisamment longtemps c- métal Il a un coté tragique, il est froid et absolut. Il fait peur car il est impitoyable. 6- La privation sensoriel a- les yeux Bander les yeux de quelqu'un et l'obliger a avancer l'oblige beaucoup à la confiance et le place en position d'hypervulnérabilité. b- les oreilles Si la personne ne peut plus entendre, elle se sent isolé comme si elle était dans une sorte de rève. c- le nez On en a tous fait l’expérience avec le masque, tout semble avoir moins de goux, tout semble plus terne sans ordeurs. 8- L'obstruction des orifices a- le baillon La personne ballonné ne peut plus parler, c'est bizard de voir a quel point ce bondage est inacceptable pour l'esprit. Une personne ballonné cherchera toujours a s'exprimer. Bref, je ne comprend pas trop... b- l'anus L'anus bouché, c'est un sentiment de fragilité et de proximité 9- La respiration a- au début Au début, bloquer la respiration envoi un signale fort. C'est plus le moment de rigoler. C'est une façon très brutale d'imposer le sérieux et le calme. b- à la fin, c'est de l'anxiété et de la terreur (à moins d'avoir affaire a quelqu'un de suicidaire ou qui n'aime plus la vie) 10- La durée a- Longue durée Le bondage longue durée est méditatif, on peut y perdre la notion du temps. Il peut aussi être très inconfortable et supplicié b- courte durée un bondage trop cour n'a pas le temps d'exprimer tout ses effets, on aura d'avantage la sensation qui accompagne le passage d'un état libre à un état restreint une foi encore, la présence d'un publique combiné à la durée ont un fort pouvoir d'amplification.
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Par : le 05/05/21
Événement pénible que cette pandémie avec ce maudit confinement qui l’accompagne. Le moral n’est pas au beau fixe. Mais Ma Maîtresse me fait quand même venir un après-midi. La joie m’envahit, je vais pouvoir être à ses pieds. Il n’est pas difficile de deviner le plaisir que Ma Maîtresse éprouve à retrouver son soumis car sans tarder Elle prend possession de mon corps. Elle me met à nu au propre comme au figuré. Je n’ai pas oublié mon collier mais Elle le réajuste. Je sais pourtant qu’Elle accorde une grande importance à la présentation. Je mets les bracelets de poignet et c’est encore Ma Maîtresse qui me les lie l’un à l’autre. J’ai peur qu’Elle se braque de devoir me reprendre si souvent mais la perspective de me frustrer la réjouit suffisamment pour échapper à ces foudres. Et pourtant, je n’échappe pas à la punition pour lui avoir proposé une photo perso trafiquée en rajoutant des marques sur mes fesses. Elle est tellement nature que ce genre de retouche ne peut que la contrarier. Quelle idiotie ! Je suis honteux. C’est avec la cravache que Maîtresse vient chercher un pardon que je tarde à lui donner. Ce n’est que par l’humiliation de ses crachats en pleine figure que je comprends enfin. «Ah quand même» soupire-t-Elle après que j’ai bredouillé «Pardon Maîtresse, je ne le referais plus jamais». Déjà mes fesses sont bien rougies ! La cravache est cinglante surtout sur mes cuisses et la punition est bien rentrée en moi. Ma Maîtresse ne me punit pas pour le plaisir. Elle préfère mon abandon par sa domination. Que je sois son jouet la comble bien plus que ces nécessaires punitions. Maîtresse sort ses cordes et m’attache à la rambarde de l’escalier. Un crochet anal lui sert de point de départ. Minutieusement, Elle tresse la corde entre mon corps et les montants en bois. Je sens monter son excitation mais Elle reste concentrée sur son bondage. Je fais de plus en plus corps avec le bois de l’escalier. Les mains au-dessus de la tête, Maîtresse termine par un mors de corde qu’Elle insert entre mes mâchoires. Je suis réduit au silence et totalement à sa merci. Ce n’est pas pour me déplaire. Je ressens parfaitement son plaisir montée par ses sourires, par ses questions auxquelles je ne peux répondre que par des grognements. Ma Maîtresse m’a demandé de lui apporter un objet de mon choix. Je lui proposais un long paddle en bois car, lui ayant présenté en photo, Elle m’avait dit bien l’aimer. Sur ce point pas d’erreur, ses impacts sur mes fesses m’en apportent la confirmation. Maîtresse est heureuse et elle arrive même à me faire rire entre les coups. Elle a pris le relais avec sa cravache qui atteint plus facilement les points sensibles de mon corps. La douleur augmente autant que le plaisir de Ma Maîtresse. Dans son excitation grandissante, elle me gratifie d’un beau sourire à travers les barreaux de la rambarde. Je fond littéralement de plaisir et j’essaye de lui renvoyer ce sourire tel un miroir. L’effet en est largement atténué par le mors de cordes. Je commence à piocher de plus en plus dans mes ressources, il me faut toute ma volonté pour ne pas sombrer et aussi cette envie de satisfaire Maîtresse qui est plus forte que tout. Maîtresse apprécie ma peau durcie par le paddle et la cravache. Elle me griffe le dos, me mord les flancs. Je la sens déjà tellement excitée que je suis presque surpris quand elle commence patiemment à défaire mes liens La pression retombe un peu. Je n’ai même pas le temps d’apprécier ma liberté de mouvement retrouvée que Maîtresse enchaîne par un nouveau bondage Elle m’attache les jambes, les poignets dans le dos et je me retrouve de nouveau à sa merci. C’est à genoux que je me présente difficilement face à Elle. Maîtresse me pose des pinces sur la pointe des tétons. Leur pose est malaisée car je n’ai pas de beaux gros seins féminins. Maîtresse les dominent néanmoins comme tout mon corps. La douleur s’estompe rapidement avec la privation de circulation sanguine. Elle m’arrache des gémissements que je ne peux cacher et son excitation reprend de plus belle. Maîtresse  tire la chaînette qui les relie, claque ses doigts et la cravache sur mes tétons hyper sensibles ; la douleur est vive. J'anticipe bêtement le  claquement suivant  en grimaçant. Maîtresse en rit et se moque : «Rnby, tu me fais quoi là à grimacer avant même que je te touche?  Tu me fais ta chochotte !». Waouh, je suis déjà ailleurs, manipulé comme une marionnette. Ma Maîtresse réussit malgré tout à m’arracher de nouveaux rires. Comment fait-Elle pour que ses supplices me paraissent si doux ? Elle est heureuse tout simplement. Je lui abandonne la maîtrise de mon corps. C’est à la fois stressant et valorisant. D’un côté ,je ne sais jamais où cela peut aller avec une telle imagination et de l’autre je satisfais ses désirs. Aujourd’hui son imagination est débordante. Maîtresse se détourne finalement de mes tétons et décide de me faire couler  en secouant ma cage qui devient vite étroite. Mes couilles se remplissent, Maîtresse les serre mais je ne pourrais gicler, la faute à tous ces supplices assurément. Finalement, Elle m’arrache les pinces sur mes tétons par des mouvements vifs et saccadés. Mes tétons sont de nouveau hyper douloureux en retrouvant la vie. Ils n’ont pas le temps de souffrir , Maîtresse me presse  les testicules puis donne  58 pichenettes comme le nombre de jours de chasteté du moment. Je chavire complètement, je n’en peux plu tellement la douleur est vive. Arrivé à ce stade, Ma Maîtresse est comblée, Elle vit ces instants passionnément. Je me sens vidé, pas loin de perdre pieds mais trop fier pour lui avouer ou trop envie de la satisfaire, je ne laisse rien paraître et finalement je reviens sur terre. Maîtresse m’amène contre la banquette, pose ses talons sur mon dos, prends la cravache et le paddle. Confortablement installée, Elle me fouette les fesses intensément tout en prenant grand plaisir à me forcer à tenir une conversation sensée. A chaque impact douloureux, ce sont des «Aïe» de plus en plus fréquents qui coupent mes phrases. Ma Maîtresse en sourit de bon cœur, Elle en profite pour accélérer les coups de cravaches avec force maintenant. La cravache claque sèchement sur ma peau rougie. L’excitation de Maîtresse est grandissante et encore plus forte quand j’implore sa pitié. Et pourtant le rythme ne faiblit pas, mes aïe de plus en plus bruyants ne laissent pas de doute sur mon ressenti. Maîtresse prend bien trop de plaisir pour s’arrêter là. Dans son emballement, Elle me retourne sans ménagement et me chevauche avec passion. Je ressens cette incroyable ivresse, comme une véritable transe et je ne veux surtout pas que cela s’arrête. Je suis son objet. Mes fesses deviennent sa planche de jouissance, Elle s’accroche sur mon dos en me griffant profondément. Son excitation est tellement communicative que je commence à gémir. Maîtresse m’intime le silence «tais-toi» car ces moments de passion lui appartiennent, même si Elle m’entraîne dans son sillage. Je serre des dents pour que cet emballement ne s’arrête jamais. Et puis Maîtresse lâche un grand soupir en s’abandonnant de tout son poids sur mon dos. L’émotion retombe et je n’ose pas bouger de peur d’interrompre ces moments de pur bonheur. Maîtresse se relève calmement. Mon cœur bat la chamade. J’ai atteint des sommets émotionnels par le simple fait de participer à l’excitation de Ma Maîtresse. Elle a une nouvelle fois obtenu mon total abandon. J’ai capitulé à ses pieds et je n’ai plus de force. Elle m’a tout pris et je n’ai surtout pas résisté. Ces heures ont été intenses et malheureusement l’horloge humaine va bien trop vite dans ces moments là. Je dois la quitter à contre cœur, tellement je suis comblé d’avoir vécu ces précieux instants et d’avoir servi ma sublime Maîtresse.
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Par : le 04/02/21
Corde s'enroule Immobilise le corps Libère l'esprit MainDeVelours, 02/02/2021
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Par : le 20/12/20
Pour ceux à qui la lecture ne fait pas peur, un maître en la matière d'histoire de chatouille :) Première d'une histoire nommé "la chapelle". Menu à bord : bondage, chatouille, fétichisme des pieds, orgasme, etc... Petite mise en garde : l'histoires présentent des aspects sexuels suscpetibles de heurter la sensibilité d'un public non averti même si nous sommes tous sensé être majeur :) Ne pas oublier également qu'il s'agit d'une fiction ! Il doit bien être deux heures du matin, se dit Virginie en jetant un regard sur sa montre. Celle-ci avouait largement deux heures et demie. La nuit sans lune conférait au campus endormi des allures inquiétantes. En bas sur le parking, deux phares s'allumèrent, immédiatement accompagnés du toussotement d'un moteur fatigué : Virginie reconnut aussitôt la 2CV de Vincent. Ce dernier lui avait proposé de l'emmener chez lui mais elle avait décliné son offre, prétextant qu'elle préférait prendre l'air avant d'aller se coucher. Ce soir, elle n'éprouvait aucune envie de relation sexuelle. Et puis elle devait se lever tôt car son premier cours avait été exceptionnellement avancé à huit heures. Heureusement, demain soir commençaient les vacances de Pâques. Virginie comptait en profiter pour se reposer tranquillement, n’ayant prévu aucune autre activité que de se la couler douce pendant deux semaines. Dans un vacarme effrayant, la 2CV s'éloigna vers la grand route, s'évanouissant bientôt dans la nuit. Virginie enfouit ses mains au fond de ses poches et s'éloigna dans l'allée sombre et silencieuse. Elle marchait d'un pas léger, laissant son allure se rythmer de l'alternance des zones d'ombre et de lumière laiteuse de l'éclairage public. Sa mémoire la ramena aux principaux événements de la soirée, surtout à ce gage que lui avait fait subir cette vipère de Sabine : - Et si nous lui chatouillions les plantes de pieds ? avait-elle proposé non sans malice. Malgré ses protestations, Virginie avait été forcée de se coucher sur le dos, à même le sol du salon. Quatre volontaires, dont elle ne se rappelait même plus les noms, lui avaient immobilisé les poignets et les chevilles. En revanche, elle se souvenait parfaitement de Sabine et Catherine qui s’étaient agenouillées chacune devant un de ses pieds immobilisés. Puis, avec des mouvements parfaitement synchronisés, elles lui avaient soigneusement dénoué les lacets de ses tennis avant de les lui retirer. Virginie se souvenait de ce regard complice qu’elles avaient alors échangé, tandis que d’un geste brusque elles arrachaient les chaussettes de leur prisonnière, découvrant ses deux pieds nus superbes aux formes parfaites. - Très mignons ! avait lancé Sabine. Voyons à présent s’ils sont aussi également très chatouilleux. Et tandis qu’elle prononçait ses derniers mots, ses doigts s’étaient mis à effleurer délicatement la peau nue et vulnérable qui s’offrait à eux, aussitôt imités par ceux de sa complice. Catherine s’était occupée de son pied gauche, assez maladroitement d’ailleurs, et lui avait chatouillé surtout la base des orteils. Virginie n’avait éprouvé aucune difficulté à soustraire par de petits mouvements vifs son pied nu des attouchements les plus réussis de son bourreau, apparemment néophyte en la matière. Sabine, en revanche, avait fait montre d’une adresse peu commune. Elle avait commencé par immobiliser d’une main ferme les orteils de son pied droit, avant de se mettre à lui chatouiller du bout des ongles le creux de sa plante de pied. Immédiatement, la sensation avait été quasi insoutenable et Virginie s’était abandonnée à des rires nerveux mêlés à quelques hurlements lorsque Sabine touchait un point particulièrement sensible. En se remémorant ces événements, Virginie ne pouvait empêcher une irrésistible excitation de monter en elle à nouveau. Car elle cultivait depuis de longues années et dans le secret le plus absolu des fantasmes de chatouilles où elle jouait invariablement le rôle de la victime de supplices les plus étonnants. De toutes les parties de son anatomie, ses pieds étaient sans conteste ce qu’elle possédait de plus parfait. Elle leur consacrait chaque jour plus de temps que nécessaire à leur prodiguer les soins qu’ils méritaient à ses yeux. Elle ne marchait presque jamais pieds nus et portait toujours des chaussettes afin de ne laisser aucune chance aux callosités qu’elle considérait comme le pire de ses ennemis. Le résultat était à la mesure de toutes ses attentions : à vingt et un ans, ses pieds étaient restés ceux d’une adolescente et le soir, en regardant négligemment la télévision, elle se plaisait à caresser parfois pendant des heures leur peau douce et satinée en nourrissant un étrange sentiment de fierté et de satisfaction. Le fantasme des chatouilles représentait déjà pour Virginie un vieux compagnon. Il lui était venu vers l’âge de douze ans. Sa tante possédait une résidence secondaire en province où sa famille se réunissait une dizaine de fois par an. C’est là, dans la chambre mansardée de ses deux cousines, Stéphanie et Gaëlle, qu’elle découvrit sa surprenante fascination pour les chatouilles et les pieds nus. Elle découvrit également assez rapidement qu’elle se montrait de très loin la plus vulnérable des trois à ce supplice. Ses cousines décidèrent alors qu’elle serait désormais la victime toute désignée de leurs petits jeux innocents. Vers quatorze ou quinze ans, Stéphanie proposa un jour de pimenter les supplices en attachant leur prisonnière avec des cordes et en la bâillonnant. Gaëlle et sa complice devinrent rapidement des expertes dans cet art dont Virginie apprit plus tard qu’il s’appelait bondage. Il est vrai que les lits à barreaux de cuivre qui ornaient la chambre se prêtaient tout particulièrement à ces pratiques. Ligotée et bâillonnée, Virginie vit alors ses séances de chatouilles à la fois s’intensifier et se prolonger. Durant ces quelques années, Gaëlle et Stéphanie explorèrent avec méthode tous les raffinements possibles des supplices des plantes de pieds. Elles appréciaient avec une délectation sadique découvrir progressivement les pieds nus de leur infortunée victime : Virginie était ainsi presque toujours attachée en tennis et en chaussettes blanches (un rituel presque imposé, auquel tout manquement était sévèrement puni), que ses deux bourreaux lui retiraient ensuite avec une délicate lenteur directement proportionnelle à leur excitation. Stéphanie avait depuis longtemps jeté son dévolu sur les creux des plantes des pieds de Virginie, où la peau plus blanche trahissait chez elle une sensibilité ahurissante. Elle en connaissait chaque millimètre carré et toutes les façons de les effleurer pour arracher à Virginie les hurlements étouffés les plus aboutis. Gaëlle n’était pas en reste et était devenue l’experte de la base des orteils où les chatouilles plongeaient Virginie dans un état quasi second. Puis, vers l’âge de dix-sept ans, les réunions familiales se firent moins nombreuses et les jeunes filles abandonnèrent leurs jeux érotiques. Virginie ne s’en plaignit pas car elle commençait à redouter le moment inévitable où leurs ébats prendraient un tour moins anodin. En fait, ce fut elle qui arrêta, ou du moins fit tout pour cela, à partir du jour où Stéphanie parla de faire intervenir un garçon dans un prochain supplice. C’était l’époque des découvertes amoureuses et ses cousines lui avaient confessé récemment leur première expérience sexuelle. Virginie, moins pressée, ne voulut prendre aucun risque car elle ne connaissait que trop bien la perversité de Gaëlle et surtout de Stéphanie. D’ailleurs, ce fut à cette époque que Virginie déménagea. Elle perdit de vue ses cousines et le souvenir des séances de chatouilles endiablées s’estompa peu à peu. Certes, elle continua de cultiver ses fantasmes avec une obstination que les années n’atténuaient pas, mais le rêve avait désormais tout entier prit la place de la réalité. Sur ces considérations, le temps avait passé sans que Virginie s’en aperçoive et elle approchait à présent de chez elle. Elle s'engouffra dans la ruelle voûtée qui donnait accès à son immeuble. Pressant le pas, elle gravit rapidement les quelques marches de l’entrée avant de sursauter brusquement : derrière elle, surgissant de nulle part, une silhouette venait de se précipiter à son tour dans l'allée. Elle s'en voulut aussitôt de se montrer aussi craintive. Elle pénétra résolument dans le hall étroit et ralentit par habitude en passant devant sa boîte aux lettres. - Mademoiselle ! S’il vous plaît… Virginie se retourna d'un seul geste : la silhouette mystérieuse accourait droit vers elle. C’était une femme. L'inconnue s'immobilisa à deux pas : - Excusez-moi, je cherche la rue Montfort, mais je pense m'être égarée. Pouvez-vous m'aider ? - Bien sûr, répondit Virginie. Mais c'est à l'autre bout du campus, près de la Faculté des Lettres. Il y en a pour au moins trente minutes à pied. - J'ai un plan dans ma voiture, garée au bout de l'allée. Pourriez-vous m’y indiquer le chemin à suivre pour m'y rendre. Il fait nuit et c’est la première fois que je viens par ici... - D'accord, fit Virginie. Allons-y ! - Merci beaucoup. Il y en a juste pour une minute. Virginie n’avait pas pour habitude de prendre le risque d’accompagner ainsi une inconnue à une heure aussi tardive, mais elle était encore plongée dans les souvenirs de ses fantasmes d’adolescente et elle avait répondu machinalement sans réfléchir. A présent, il était trop tard pour faire demi-tour et elle emboîta le pas de l’inconnue. Arrivée au bout de l'allée, la jeune femme indiqua l’extrémité du parking : - Venez, ma voiture est juste là. Elle entraîna Virginie avec elle, longeant la file des voitures immobiles. Au moment où Virginie arrivait à la hauteur d'une fourgonnette de couleur sombre aux vitres opaques, les portes arrières du véhicule s'ouvrirent brutalement. Quatre silhouettes surgirent de la camionnette et se précipitèrent sur Virginie. Celle-ci n'eut même pas le temps de pousser un cri, et encore moins d'esquisser un geste de défense, qu'elle se retrouva ceinturée par ses agresseurs déterminés auxquels l’inconnue avait prêté immédiatement main forte, une main plaquée sur la bouche et entraînée sans ménagement à l'arrière du véhicule dont les portes se refermèrent aussitôt. Dans le feu de l’action, elle sentit à peine la fourgonnette démarrer dans un hurlement rageur du moteur. L’affaire avait été soigneusement préparée et rondement menée, car malgré l'instabilité de la fourgonnette et ses tentatives désespérées pour se libérer, en quelques secondes, Virginie se retrouva les poignets menottés aux ridelles du plafond . On la bâillonna soigneusement et un bandeau noir fut posé sur les yeux. Malgré le vacarme du moteur lancé à plein régime, une voix féminine se fit entendre distinctement : - Et bien, qu’est-ce que vous attendez ? Déshabillez-la ! Virginie sursauta lorsqu’une autre voix, toujours féminine, lui murmura presque dans l’oreille : - J’ai parié avec elle que tu avais de petits mamelons bruns. Elle préfère les roses. Mais elle ignore que je suis une tricheuse et que je t’ai déjà vue nue sous la douche. Virginie connaissait cette voix, mais son esprit chahuté ne réussissait pas à se concentrer suffisamment pour mettre un nom sur le timbre familier. Elle n’eut d’ailleurs guère le loisir de poursuivre ses réflexions car les événements se précipitaient tout autour d’elle. Malgré ses protestations, étouffées par son bâillon, ses agresseurs commencèrent à lui retirer ses vêtements. Ses poignets étant attachés au plafond, sa blouse et son soutien-gorge lui furent déboutonnés puis découpés au ciseau. Deux petits seins ronds et fermes pointèrent fièrement deux mamelons bruns aux proportions quasi parfaites. - Tu as perdu, lança la voix familière à sa complice. - Je le vois, répondit la première voix. De toutes façon, elle aurait été à toi pour la première épreuve. Virginie n’osait en croire ses oreilles tant ces propos paraissaient irréels. La seule chose dont elle était persuadée à ce stade, était que le hasard n’était pour rien dans ces événements : tout avait été soigneusement préparé et cette voix familière sur laquelle son esprit ne parvenait pas encore à mettre un visage devait certainement être au centre des explications. Virginie cherchait désespérément dans ses souvenirs récents un indice, mais ses agresseurs ne lui laissaient guère le temps de se penser. - Allez, reprit la voix familière. Voyons si ce que tu nous caches encore est à la hauteur de ce que tu nous offres déjà ! Et pour la seconde fois de la soirée, mais à présent dans des conditions nettement plus inquiétantes, on retira à Virginie ses tennis et ses chaussettes. Son jean puis son slip glissèrent le long de ses jambes, et elle se retrouva complètement nue. Sa nudité soudaine la figea dans une immobilité quasi parfaite, tandis qu’elle poussait de petits gémissements nerveux à travers son bâillon. Après avoir négocié de nombreux virages, la fourgonnette semblait s'être à présent engagée sur une autoroute, ou une route nationale. Profitant de la stabilité relative et nouvelle du véhicule, les agresseurs poursuivirent leur entreprise. Virginie étouffa un cri de réprobation : deux mains venaient de se poser sur ses seins et s’étaient mises aussitôt à rouler entre leurs doigts le bout de ses mamelons. Malgré la peur panique qui lui enserrait le ventre dans un étau, elle ne resta pas longtemps insensible à l’adresse redoutable des doigts inconnus. Ses bouts de seins réagirent naturellement dans un réflexe irrépressible, pointant fièrement d'excitation une rigidité manifeste. Virginie sentit alors un corps se coller juste derrière elle. Deux bras enlacèrent ses hanches et deux mains froides vinrent se poser sur son ventre, juste à hauteur de son nombril. Sa peur monta encore d’un cran dans un tourbillon d'images terrifiantes, et en même temps, elle ne pouvait empêcher l’excitation de la submerger peu à peu. Elle serra les poings et tira sur ses menottes dont les chaînes se tendirent dans un cliquetis métallique. Les mains qui lui caressaient le ventre descendirent lentement et inexorablement vers son pubis. Virginie haletait de désir et d'effroi. Les mains glissèrent doucement sur les bords de son pubis, et vinrent s’arrêter sur l'intérieur de ses cuisses, les extrémités des doigts effleurant ce qu’elle avait de plus intime. L’humidité apparente de son sexe ne laissait aucune place au doute quant au résultat des caresses érotiques dont elle était l’objet. - On dirait qu’elle est déjà toute excitée, fit la voix derrière elle. Sa ravisseuse entreprenante s’adressa ensuite directement à elle avec une révélation étonnante qui atteignit Virginie plus violemment encore qu’un direct à l’estomac : " Alors, petite fille, on dirait que tes fantasmes se réalisent. Mais nous n’en sommes qu’aux préliminaires, et tu seras sans doute surprise de découvrir tout à l’heure ce que nous sommes capables de faire à tes mignons petits pieds nus qu’on dit si chatouilleux. " Virginie n’osait y croire. Mais comment avaient-elles pu savoir ? Soudain, la vérité lui apparut si simple et évidente, et un visage vint en même temps se poser sur la voix familière : Stéphanie, la cousine des jeux interdits. Stéphanie qui en savait assez sur son compte pour expliquer en partie tout au moins sa situation actuelle. Virginie ne pouvait en revanche pour l’instant dévoiler à ses agresseurs qu’elle avait reconnu l’une d’entre elles, son bâillon la forçant à un silence d’esclave soumise aux outrages les plus pervers. La voix derrière elle reprit à l’attention de ses complices : - Je vais y aller. Attrapez-lui les chevilles ! Plusieurs mains empoignèrent fermement les chevilles de la prisonnière pour lui immobiliser les jambes. Virginie tenta un instant de se débattre mais devant l'inutilité de ses efforts, elle abandonna presque aussitôt toute résistance. Comme elle s’y attendait, les doigts habiles de Stéphanie, pour la première fois, lui touchèrent directement le sexe. Ils lui écartèrent d’abord les lèvres avant de la pénétrer tout simplement. Virginie crut s'évanouir tant l'excitation était forte. Tandis que les doigts impudiques et audacieux avaient commencé un va-et-vient somme toute assez banal, Virginie sentit le pouce de Stéphanie s’approcher presque imperceptiblement de son clitoris. Lorsqu’il le toucha enfin, Virginie poussa un long gémissement, tandis que ses reins se cambraient irrésistiblement. Ses bourreaux éprouvaient à présent les plus grandes difficultés pour continuer à l’immobiliser. - Mes amies, exulta Stéphanie, voici la perle rare que je vous avais promise ! Mais je crois qu’elle est en train de surpasser nos espoirs les plus délirants… - Tu crois pouvoir la faire jouir ? interrogea la voix du devant qui semblait commander à tout le groupe. - Si je n’y arrive pas dans les minutes qui suivent, je veux bien prendre sa place, ironisa Stéphanie qui intensifia au même moment soudain ses caresses. Virginie haletait, alternant râles de plaisir et hurlements de dépit étouffés les uns comme les autres. Elle était tout à la fois emportée par l'excitation violente et révoltée par sa nudité violée sans restriction. Les pensées les plus folles se bousculaient dans sa tête, cherchant à comprendre, à expliquer le pourquoi de cette situation absurde qui la voyait attachée, nue dans un fourgon qui filait dans la nuit vers une destination mystérieuse et menaçante... Soudain, sans qu'elle l'eut pressentit, l'orgasme vint la frapper de plein fouet, lui arrachant un cri d'abandon que son bâillon étouffa à peine et qui provoqua chez ses bourreaux d'autres cris, de satisfaction, qui vinrent lui faire un étrange écho. Virginie jouit ainsi durant de longues secondes, interminables, rythmées par les vagues de plaisir qui déferlaient en elle et l'emportaient en un tourbillon insensé de chaleur et de violence. Enfin, les derniers spasmes lui arrachèrent un ultime gémissement, tandis que les doigts coupables se retiraient de son orifice le plus intime et qu’on lui relâchait les chevilles. Elle resta un instant pendue, inerte, comblée, imaginant sans peine les regards avides pour lesquels les moindres détails de son anatomie ne recelaient désormais plus guère de secrets. Près de l’oreille de Virginie, la voix de Stéphanie rompit le relatif silence qui avait suivi son orgasme : - J’espère pour toi que tu es toujours aussi chatouilleuse des pieds. Sinon, avec un sexe aussi sensible, tu ne résisteras pas longtemps à nos traitements. Mais à ce qu’on m’a dit, il paraîtrait que les années, loin d’émousser ta sensibilité, l’ont plutôt exacerbée. https://www.bdsm.fr/blog/4931/La-bo%C3%AEte-infernale---Petite-histoire-%C3%A0-ma-soumise-(6)/
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