La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 8 heure(s)
« Je ne t’ai pas dit au fait, c’est vrai que tu suces très bien. Tu es une des meilleures bouches à pipe que j’ai connues. (Je mentais, c'était clairement la meilleure) — Tant mieux. Je peux te dire à ce sujet que tu n’es pas mon meilleur coup. Je pense que tu n’arrives qu’en deuxième position. — Je n’ai jamais trouvé que le deuxième prix de beauté aux Monopoly était si humiliant que ça…» Je préparai plusieurs litres de thé. Elle en aurait besoin. Et pour moi, une grande cafetière. Je revins m’asseoir en face d’elle, dehors. « Tu vas boire du thé, beaucoup. Et tu vas me lécher les pieds. Mets-toi là où es ta place de chienne ». Mélissa comprit immédiatement ce que je voulais dire : elle repoussa sa chaise et se mit au sol en y posant sa tasse. Sa bouche chaude et ses lèvres douces et molles englobèrent mes orteils. Sa langue commença de s’enrouler, de laper, mon gros orteil. Elle y mettait autant de salive tiède et de bonne volonté qu’en suçant mon sexe, la veille. Elle possédait un talent indéniable pour tout ce qui avait trait à la succion. Je lui resservais du thé dès que sa tasse était vide et lui rappelais de boire régulièrement. Mélissa me fit remarquer plusieurs fois que l’envie se faisait pressante. Pour faire passer le temps jusqu’à ce que sa vessie n’en pût plus, je dissertais sur son art de la pipe et du léchage de pied, et je n’avais pas beaucoup à me forcer : elle arrivait à me faire dresser les cheveux sur la tête rien qu’en posant sa langue sur mes orteils, et vu la longueur de mes tifs, ce n’était pas rien. Elle resserrait de plus en plus ses cuisses sous elles. Lorsque son arrière train se dandina en continu, qu’elle fut pratiquement en reptation, et que son regard remontait vers moi toutes les trente secondes, je prononçai enfin les paroles attendues : « Tourne-toi, chienne. Branle-toi et pisse sous toi. — Si je me touche, ça va me couper l’envie de pisser… — On verra bien. Tu n’as évidemment pas le droit de jouir. » Sa joue droite écrasée sur la terrasse, lèvre inférieure mordue, elle commença de se palucher. Ses jambes tressaillaient déjà. Je vis ses doigts entourer sa vulve et la presser comme j’aimais le faire. Elle râla : « J’ai déjà envie de jouir… — Arrête-toi, traînée. » Son postérieur retomba de sa position haute et le liquide gicla en abondance : très clair, plein de l’eau du thé. Elle s’urina sur la main, sur les cuisses, les genoux, et finit vite par gésir au milieu d’une flaque de pisse. « Je suis encore très fier de toi. Tu réussis tout ».
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