La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 14 heure(s)
Troisième rendez-vous médical : retour chez la chiropractrice :      Voici le compte rendu de ce rdv, qui ne sait pas passer comme je le pensais. Je ne suis pas étonné j’ai toujours fait des plans sur la comète avant les rdvs et fait tellement de spéculation que j’en ai une vision erronée à chaque fois comme pour le rdv chez ma médecin traitante. Mais bon je suis habitué maintenant, ce me frustre encore plus et finalement je crois que j’aime cela.     Donc je m’équipe avant de partir : la cage, le body, le collier ou les pinces sont cadenassé et le plug lapin. Puis je prends la route pour 30 minutes environ, j’ai un peu de gène au niveau du collier car il est serrant, il ne m’étouffe pas mais il sait te faire rappeler qu’il est la et en plus il est assez lourd. La route un peu chaotique car pas mal de travaux mais rien d’insurmontable, et j’arrive à son cabinet avec 2 minute d’avance seulement. Il y a du monde dans la salle d’attente commune au centre, et du coup je referme un peu mon blouson pour pas qu’il voit le collier.     5 min plus tard elle vient me chercher, on entre dans son bureau et une fois la porte fermée je lui tend la lettre que j’avais encore écrit tout seul, c’est là à mon avis que j’ai été trop loin. J’ai passé tellement de temps à la peaufiner que je ne me rendais pas compte de mes demandes les plus absurde les unes aux autres. Elle lut la lettre et la reposa sans me dire quoique ce soit par rapport à cette dernière.     Puis elle me posa des questions sur mes douleurs etc., puis me dit d’enlever juste le manteau et les chaussures, me fait mettre debout et me fait faire des mouvements pour voir ce que j’ai dit au niveau gène et douleurs. Puis elle demande de m’allonger sur la table, tout habillé. Petit moment de panique, elle va me manipuler avec les pinces en place, bien que la douleur pour moi soit un bonheur, mais là cela faisait déjà 30 minutes que je les portais et le frottement de mes habits plus les tirages du au collier mes tétons me faisaient déjà bien souffrir.     Je tente alors de m’exhiber et empêcher une douleur atroce au niveau des tétons, en lui disant que je suis équipé, elle me répond qu’elle sait car c’est notifié dans la lettre mais que cela ne gênera pas la séance de manipulation. Donc je m’exécute en m’installant, et elle commence ses manipulations, au bout de 5 minutes elle commence à faire craquer mes vertèbres du haut et l’appui de la table plus l’enfoncement de ses mains me font souffrir énormément.     Ensuite elle fait des rotations de mes épaules, et là sur la deuxième, je craque et je lui dis que j n’en peux plus la douleur des pinces est atroce et lui demande si on peut retirer le collier et les pinces. Elle accepte je retire donc mon pull, et lui dévoile mon haut de corp dans son body avec les pinces et le collier. Au début elle demande comment s’enlève les pinces, je lui dis en appuyant dessus, et sans ménagement elle appuie dessus et me les retire une douleur forte mais jouissif.      Elle prend la clé du collier et le retire, ne sachant quoi faire je lui demande si je remets mon pull elle me dit oui. Et je me réinstalle sur la table, nous discutons de tout et de rien et lui présente mes excuses pour le spectacle pathétique que je lui offre elle me répond qu’elle a vu bien pire. Puis nous parlons un peu de ma relation fictive avec maitre Éric, et un fois les manipulations terminées, elle me fait mettre debout et marché pour voir si cela va mieux, et effectivement ça va mieux. Elle me demanda de me rhabiller, elle me dit que j’ai le droit de lire la lettre, chose que je fais.     Je fais mine de lire car je la connais par cœur la lettre et je fais l’étonner en lisant que je dois remettre l’équipement retirer. Je lui demande donc si elle veut bien me remettre le collier elle accepte, et je replace moi-même les pinces, ne voulant pas aller trop loin. Mais je reste sans pull le temps de régler la séance. Et de replacer une date ultérieure pour traiter mon épaule droite.     Je me rhabille, mais avant de remettre mon blouson, je tente de lui montrer mon plug lapin, en lui disant que ce matin mon maitre m’avait puni et que j’avais saigné et je lui demandé de regarder si cela était encore visible. Elle refusa car c’est hors de son domaine de compétence. Puis je pris la route pour chez moi.     Mon prochain rdv ce n’est pas médical mais c’est un massage, rien de pervers, et la dernière fois j’avais ma cage mais j’étais sur le ventre, mais là c’est un massage crane et sur le dos en sous-vêtements. Dois je remettre la cage quitte à ce qu’elle la devine à travers le tissu, ou dois-je y aller directement en petite culotte et cage ? dites-moi. Je me prosterne à vos pieds Sophie
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Par : le 27/11/25
Il y a des histoires qui arrivent sans prévenir, qui cognent, qui accélèrent, qui prennent toute la place avant même qu’on ait le temps de dire stop. La mienne avec elle… dix jours, peut-être quinze. Une durée minuscule, et pourtant j’ai mis bien plus longtemps à en sortir. Vous qui lisez… dites-moi : avez-vous déjà vu quelqu’un brûler plus vite que vous ? Elle, c’était ça. Une Sicilienne au sang chaud, au cœur trop large, à la sincérité brute. Le genre de femme qui ne marche pas : elle fonce, elle déborde, elle veut tout avant même de savoir comment respirer. En deux jours, elle avait déjà écrit vingt pages sur notre première rencontre, telle qu’elle l’imaginait. Vingt pages de fièvre, de franchise, de désir. Je devenais, ligne après ligne, à la fois un refuge, un danger, et une obsession. Et elle avait tout verrouillé. Profil fermé, bloqué, scellé. Plus personne ne pouvait lui parler. Elle n’en voulait qu’un : moi. Et je n’ai pas vu venir ce besoin d’exclusivité totale : pas si tôt, pas si fort. Il y a même eu cette petite dispute. Rien de violent, non, juste cette pointe de jalousie parce que je répondais encore à deux soumises, poliment, sans enjeu. Pour elle, c’était impensable. Une menace. Un risque. Une trahison prématurée. Elle vivait déjà dans un “nous” que je comprenais… mais dont je n’avais pas mesuré l’urgence. Elle voulait être ma soumise officielle. Elle me l’a dit au téléphone, d’une voix qui tremblait comme si l’attente elle-même lui faisait mal. Elle voulait rapprocher notre rencontre, me presser, raccourcir le délai, comme si chaque heure comptait. Je vous regarde encore. Soyez honnêtes : qu’auriez-vous fait ? Moi, j’ai essayé de la contenir. De la calmer, l’apaiser, la ramener au sol. Parce que je tenais à elle. Je peux l’admettre sans détour. Je l’ai adorée. Je l’ai voulue. Je me suis projeté. Et la vérité… c’est que j’avais déjà commencé à tout réorganiser. Mon calendrier, mes week-ends, mes obligations. J’avais prévu de la rejoindre beaucoup plus tôt, de faire sauter chaque contrainte pour qu’elle n’attende pas un mois. Je voulais lui offrir ce qu’elle réclamait avec tant d’ardeur : l’exclusivité, le statut, le lien officiel. Pas pour lui faire plaisir : parce que je le voulais, moi aussi. Et j’avais trouvé le moment parfait. Le lendemain du coup de fil était son anniversaire. Je m’étais dit que ce serait mon cadeau : le geste qu’elle n’osait même pas espérer. Celui qui l’aurait fait trembler. Celui que j’avais choisi en silence. Mais son anniversaire justement… a été le début de la fracture. Elle m’a écrit après le déjeuner en famille. Puis plus rien. Un silence lourd, inhabituel. Un vide qui s’étirait. Et quelque chose, sans prévenir, venait de basculer. J’ai essayé de la ramener. Pas en force. Pas en l’inondant de messages. Je ne voulais ni la brusquer, ni la harceler. Je pensais qu’elle avait besoin d’un peu de temps, d’une respiration, d’un espace. Je lui ai laissé cette place, tout en veillant à rester présent. Mais rien n’y a fait. J’étais impuissant. Je n’ai pas su trouver les mots, ni la manière, pour la rejoindre là où elle était tombée. Puis tout s’est effondré. Les excuses. Le téléphone cassé. Le retour fragile. Puis la chute brutale. Dix jours. Pas un mot. Pas un souffle. Et finalement, le blocage ; le pseudo changé ; les photos plus provocantes, comme si elle repeignait un masque pour effacer ce qu’elle avait laissé voir de vrai. Elle est partie comme elle était entrée : en brûlant. J’ai longuement réfléchi. Parce que malgré la brièveté, oui… elle m’a marqué. Elle m’a surpris. Elle a réveillé un coin de moi que je croyais immobile. Vous qui êtes encore là… je vous pose une dernière question. Pas pour elle. Pour vous. Avez-vous déjà vécu un lien si rapide qu’il n’a pas eu le temps d’être solide ? Un feu qui vous a pris par surprise, vous a chauffé le cœur, puis vous a laissé avec le goût d’une histoire trop courte pour être vraiment terminée ? Moi, j’ai compris ceci, pas en théorie, mais dans la peau : Le feu qu’on ne nourrit pas s’éteint. L’intensité n’est qu’un début. La continuité est la preuve. Et l’exclusivité… n’est jamais un cri. C’est un engagement qu’on construit, lentement, dans le calme, dans la durée. Je laisse ce texte ici. Pour moi. Pour déposer ce qui brûlait encore. Et pour vous, qui lisez… Dites-moi. Vous êtes du genre à foncer jusqu’à tout perdre ? Ou de ceux, de celles, qui pensent que le vrai désir, celui qui marque, celui qui transforme, se construit dans le temps, pas dans la précipitation ? Dom, soumise, curieux… je vous lis.
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Par : le 27/11/25
« Panagiótis Crapoulós. Directeur du département d’ingénierie sociale. Suprême Alliance Démocratique. » Comme chaque matin, je m’arrête quelques secondes pour contempler le magnifique écriteau en or massif, dont les lettres cursives, en relief, ornent la porte de mon luxueux bureau. J’ai dû sucer quelques bites pour être nommé à ce poste prestigieux, à seulement 31 ans, mais cela en valait la peine. Les réseaux gays sont puissants et incontournables au sein de la suprême alliance démocratique. Mon département occupe plusieurs étages, au niveau équatorial de la Lune jaune de Davos – celui qui offre la meilleure vue. Toc, toc, toc. « Entrez ! » « Bonjour Monsieur Crapoulós. Mon chef m’a dit que vous vouliez me voir. » Belle plante. Tailleur élégant, jupe suffisamment courte. En voilà une jeunette qui sait se mettre en valeur. « Oui, approchez-vous, je vous en prie. » Elle se dirige directement vers la chaise qui fait face à mon bureau. J’adore ce test, elles tombent toutes dans le piège. « Vous ais-je permis de vous assoir ? Restez debout. Je viens de recevoir votre évaluation à mi-parcours. Ce n’est pas brillant. » « Désolée Monsieur. Je ne comprends pas. J’ai pourtant fait de mon mieux. » « Je crains de devoir mettre un terme à votre période d’essai. Mais la balle est dans votre camp. » « Que voulez-vous dire, Monsieur ? » « Vous pourriez commencer par vous montrer respectueuse. Tenez-vous bien droite, bras le long du corps, et baissez les yeux quand vous vous adressez à votre directeur. » Cette cruche ne brille pas par ses compétences, mais elle est canon et très ambitieuse. J’aime jouer avec mes subordonnés, voir jusqu’où ils sont prêts à aller, quelles humiliations ils sont prêts à accepter. Je pressens un beau potentiel chez celle-ci. « C’est déjà mieux. Vous voulez travailler chez nous, n’est-ce pas ? » « Oui Monsieur, je suis prête à donner le meilleur de moi-même. » « On ne va pas se mentir, vous ne nous serez pas d’une grande utilité… Mais vous êtes une femelle, vous avez d’autres atouts. Comme je vous disais, la balle est dans votre camp. A vous de voir. » Je jouis intérieurement de sentir leur révolte contenue quand ces prétentieuses qui se prennent pour des femmes à la carrière prometteuse se font désigner pour ce quelles sont – des femelles. Je pensais qu’elle était trop bête pour se sentir gênée et rougir, mais je me suis trompé. C’est excitant de la voir piquer un fard pendant qu’elle m’assure avoir bien compris. Je crois qu’elle a compris, en effet. Il ne me reste plus qu’à pousser mon avantage. J’adore ce jeu pervers. « C’est bien. Vous pouvez compter sur moi pour vous conseiller. Je songeais justement à vous nommer responsable de l’équipe discrédit & dénigrement. Cheffe d’équipe à 19 ans et avant même la fin de votre période d’essai, c’est pas mal, non ? » « Oh, oui, Monsieur. Merci beaucoup. Je ne vous décevrai pas, je travaillerai dur. » « Oubliez ça et déléguez. Je vous le conseille. » « Ils n'ont pas déjà un chef d'équipe ? » « Si, mais je lui attribuerai une promotion, ce qui libèrera le poste. Ce sont des gens très compétents, vous verrez. » « Qu’est-ce qu’ils font dans cette équipe ? » « Identifier des saltimbanques grotesques, des personnages médiatiques vulgaires et ridicules, des extrémistes, des illuminés. En faire les porte-paroles des opinions qui nous gênent. Par biais cognitif, les gens associeront ces causes gênantes à la vulgarité et aux délires d’illuminés. » « Ah, c’est ingénieux ! » « Oui ça l’est. Pourquoi s’épuiser à discréditer une idée en la réfutant sur le fond alors qu’il est beaucoup plus efficace de l'associer à des personnes repoussantes. Par contagion, le côté répugnant du porte-parole se transmet à l’idée elle-même. On l'empoisonne en la faisant endosser par un personnage grotesque ou extrémiste. » « Vous êtes drôlement intelligent, Monsieur. » « C’est une vieille méthode. Je ne l’ai pas inventée. La nouveauté c’est qu’ici la suprême alliance démocratique nous fournit des moyens humains et technologiques exceptionnels pour mettre l’ingénierie sociale à l’œuvre. Mais revenons à nos affaires. Je mets cela sur le compte de votre inexpérience, mais à l’avenir je vous prie de vous présenter dans une tenue correcte quand je vous convoquerai dans mon bureau. C’est le b.a.-ba » « Excusez-moi, Monsieur. Oui, j’ai compris, j’éviterai les jupes trop courtes ». « Aïe aïe aïe… Ce n’est pas gagné. Je pensais que vous aviez compris, mais je vois que j’ai décidément affaire à une vraie gourde. » « Pardon Monsieur. C’est bon, j’ai compris cette fois. » « On ne dirait pas. » J’adore la voir rougissante et déboussolée. Je crois que ma braguette va craquer. Elle commence, maladroitement, à déboutonner son chemisier. Après un moment d’hésitation, elle poursuit en faisant tomber la jupe. Puis s’interrompt, attendant sans doute que je lui dise que c’est bon comme ça. Mais de cela, il n’en est pas question. Je veux la voir à poil. Je ne vais quand même pas la nommer chef d’équipe à son âge et malgré son incompétence crasse en échange d’une simple exhibition en sous-vêtements. Ce n’est pas écrit « pigeon » ici ! Après un long silence, comprenant sans doute que mon silence est un ordre, elle dégrafe enfin son soutien-gorge. Ce que je découvre n'est pas mal du tout. Mais je ne suis pas là pour la complimenter. « Tu as déjà les mamelles tombantes. C’est rare à ton âge » J’aime passer au tutoiement quand j’ai ferré ma proie, histoire de la mettre à sa place. « Ce n’est pas de ma faute. Désolée Monsieur » Je suis peut-être allé un peu trop loin. Je ne dois pas trop l’humilier tout de suite si je veux profiter au maximum de toute la perversité de la hiérarchie que je suis en train d’installer. Le management pervers est un art subtil. « Mais j’aime bien. Ca fait femelle et c’est excitant. Ne t’inquiète pas. Sautille un peu, que je vois comment tes mamelles se comportent. » Les mouvements de ses mamelles quand elle sautille, c’est à craquer ! Je sors discrètement ma bite turgescente qui commençait à me faire très mal, coincée dans mon pantalon. « C’est bon », lui dis-je, la voyant déjà essoufflée. Long silence à nouveau. « Est-ce que je dois enlever la culotte aussi ? » « Qu’en penses-tu ? » « Je pense que oui » me répond-t-elle après un moment d’hésitation. « Alors, pourquoi est-ce que tu demandes ? » « Désolée. Je suis un peu intimidée. C’est la première fois que je fais ça. » Grosse déception en découvrant une toison brune, dense et mal entretenue. Je l’aurais imaginée plus coquette que cela et prenant soin de son intimité. « Franchement, comment oses-tu venir au travail comme ça ? Tu n’as aucune dignité ? Aucun respect pour toi-même ? J’aime travailler avec des personnes sérieuses et responsables, pas avec des gens qui prennent le boulot en dilettante » Pas de réponse. Yeux baissés et lourd silence. Je crois qu’elle encaisse le coup. Je rentre ma bite, non sans mal. « Viens, je vais te faire visiter l’étage direction » La cruche entreprend de se rhabiller. « Qu’est-ce que tu fais ? » « Euh… Je dois y aller toute nue ? » « Tout le monde est en salle de téléconférence pour assister en direct à la retransmission de l’exécution publique d’Ysideulte [1]. Les couloirs sont vides ». « Oui, je sais. Si vous ne m’aviez pas convoquée, j’y serais allée aussi. Cela ne vous intéressait pas ? » « Non, ça finit par me lasser ces exécutions publiques. » « Moi j’aime bien regarder. Au début ça me choquait, mais maintenant que je sais qu’ils ont ce qu’ils méritent, ces ordures, j’aime les voir agoniser les tripes à l’air. » En réalité, je ne suis pas certain qu’absolument tous les employés soient en salle de téléconférence, mais j’aime la petite décharge d’adrénaline procurée par le risque. Si on croise quelqu’un elle en sera quitte pour une bonne humiliation. Quant à moi, cela alimentera les bruits de couloir, mais je n’en suis plus à ça près. Et cela flatte mon égo de montrer comment je dresse les nouvelles recrues. Une petite idée me vient à l’esprit. « Mets les bras derrière le dos. Je vais te passer les menottes, comme ça si on croise quelqu’un tu auras l’air d’être là pour un interrogatoire. Tu sais que les présumées ennemies de la démocratie sont conduites à poil jusqu'à la salle d'interrogatoire, je suppose? Elles craquent plus vite quand elles sont humiliées. » Personne à l’horizon, mais qu’il est jouissif de promener cette cruche complètement nue dans les couloirs cossus de l’étage moquette. Plus que tout je la sens honteuse de sa toison intime hirsute et négligée, qu'elle ne s'attendait certainement pas à devoir montrer aujourd'hui, et sa gêne manifeste m'excite.  Au milieu du couloir principal, une bifurcation mène à une plateforme qui offre une avancée saisissante sur l’extérieur et une vue impressionnante sur Davos et la région. La jeunette grelotte, nue dans le vent glacial, mais apprécie le point de vue exceptionnel, habituellement réservé aux V.I.P. La Lune jaune, tout comme sa voisine la Lune grise, flotte dans les airs, grâce à un colossal système de sustentation magnétique. En contrebas, les impressionnants débris de la Lune rouge sont encore présents [2]. Nous avons conservé sa carcasse en l’état pour rappeler à tous les citoyens la cruauté des ennemis de la démocratie et entretenir la peur. « Vous étiez ici quand l’attaque a eu lieu, Monsieur le Directeur ? » « Oui, j’y étais. Cela nous a tous marqués. » « Je me demande comment cette femme s’y est prise pour causer un tel désastre. » « Ysideulte ? Ce n’est pas elle qui a fait ça… » « Ah bon ? C’est qui alors ? Les Aliens ? » [3] « Le pangolin fou. » « Vous me faites marcher… Il n’existe pas. A la télé ils ont dit que ce sont des fake news. » Deux mois qu’elle travaille au département d’ingénierie sociale de la suprême alliance démocratique et elle croit encore le discours médiatique. Décidément, j’ai déniché une gourde de première… « On a toutes les raisons de penser qu’il existe, mais on n’arrive pas à le capturer. Ysideulte était une coupable tombant bien à propos et on a brodé le narratif là-dessus. Dis-moi, tu as bien compris qu’ici on établit le narratif officiel, ou bien ce n’est pas encore clair pour toi ? Tu m’inquiètes un peu, là… » « Euh, non, je crois que j’ai compris, mais je n’avais pas fait le lien. » « Bon, ce n’est pas grave, de toute façon je ne comptais pas sur tes compétences. Par contre j’attends de toi une présentation et un comportement irréprochables à l’avenir. Tu commenceras par prendre rendez-vous au plus vite chez l’esthéticienne pour qu’elle te débarrasse de cette horrible toison. C’est honteux de venir travailler comme ça. N’oublie pas que je peux te convoquer dans mon bureau quand bon me semble et que j’attends de toi une présentation impeccable. » « Je ferai le nécessaire Monsieur. » « Et oublie le soutien-gorge. C’est parce que tu en as abusé que tu as déjà les mamelles tombantes à ton âge. Laisse les libres de leur mouvement, ça leur fera du bien. » En fait j’adore la forme de ses mamelles, mais pour l’heure il est important qu’elle se sente rabaissée. « Je me demande pourquoi il n’a pas détruit les autres Lunes… » dis-je, dubitatif. « Il n’en avait peut-être pas les capacités ? » « On a perdu la maîtrise de tous les systèmes informatiques et énergétiques ce jour-là. Le pangolin fou a même pris le contrôle des canons électromagnétiques qui étaient censés nous protéger. Il pouvait faire ce qu’il voulait. C’est étrange qu’il se soit limité à détruire la Lune rouge. » « Je ne sais pas, Monsieur. Tout cela me dépasse. » « Je m’en doute. Ca reste une énigme. J’y repense souvent et il y a un truc qui ne colle pas. Qu’est-ce qu’il y avait de spécial dans la Lune rouge ? Toutes les archives numériques ont été détruites lors de l’attaque. » Je me perds dans mes pensées. De toute façon ce n’est pas elle qui va m’aider. Je me demande pourquoi je lui parle de tout cela. « Tous ces morts et cette destruction... J'étais choquée quand j'ai vu cela à la télé. » « Il n'y a eu que quelques blessés légers malgré des dégâts matériels colossaux. Comme s'il avait voulu épargner les humains. Cela aussi, c'est étrange... » « Allez, tourne-toi, je vais te retirer les menottes et on va descendre à l'étage inférieur pour que je te présente officiellement à l'équipe discrédit & dénigrement. Je te montrerai également ton futur bureau de cheffe d'équipe - il est très confortable, tu verras. » Ces paroles lui glacent le sang, mais elle s'efforce de garder une contenance. Elle sait, comme moi, que l'étage inférieur est probablement vide en ce moment, mais la perspective, même hautement improbable, d'être présentée nue à ses futurs subordonnés la terrifie. « Tu n'as pas l'air enchantée d'être promue... » « Comment pourrais-je me faire respecter après cela, Monsieur le Directeur ?  » « Ne t'inquiète pas, ce sont des gens très disciplinés, et mes décisions sont respectées ici. De toute façon, ils découvriraient très vite que je ne t'ai pas nommée pour tes compétences, donc autant que les choses soient claires dès le début. Ce sera beaucoup plus simple pour toi, je te l'assure. » Silence... Elle fait la moue, mais n'ose pas me contredire. « Tu préfères peut-être retourner te rhabiller à mon bureau ?  Comme je te l'ai dit la balle est dans ton camp. Ton avenir ne dépend que de toi. » Je viens de pousser mon avantage tout près de la limite, mais, comme je le pressentais, j'ai bien ferré ma proie. Malgré un moment d'hésitation, elle choisit de me suivre. En retour je la complimente ostensiblement et lui promet un brillant avenir au sein de mon département.  Dans l'ascenseur qui descend à l'étage inférieur, en désignant son pubis hirsute, je lui fais remarquer qu'il n'est pas sérieux de se rendre sur son lieu de travail aussi négligée le jour où on va être présentée à sa future équipe. Mon sourire peut laisser penser à une taquinerie, mais il est suffisamment ambigu pour lui rappeler que le risque n'est pas complètement nul de trouver ses futurs subordonnés dans leurs bureaux et que si par malchance cela arrive elle va réellement être présentée à eux complètement nue, de manière très solennelle, par le grand directeur en personne. Surtout, le ton de ma voix indique sans ambiguïté que je me délecte de cette perspective et qu'à ce moment  précis je le désire ardemment. Souffler le chaud et le froid est le b.a.-ba de l'emprise mentale. Je sens son stress immense lorsque je frappe aux portes les unes après les autres. Ses jambes flagellantes et l'expression de son visage montrent à quel point elle appréhende ce qui pourrait arriver. Au troisième bureau, elle sursaute et met immédiatement les mains devant sa chatte en croyant entendre « Entrez ! ». Mais c'est une fausse alerte, qui nécessite cependant un rappel à l'ordre. « Garde les bras le long du corps et baisse les yeux pendant que je te présenterai. Bien cambrée, épaules redressées pour mettre tes mamelles en valeur ! Je ne veux pas d'une attitude avachie. Je te présente comme responsable d'équipe, bon sang ! Tu es la première qui a l'honneur d'être présentée par le directeur en personne. Sois-en fière et ne me fais pas honte. Ca a l'air de quoi de cacher ta chatte comme une ado immature ? Pense à l'image que tu donnes ! Comme je te l'ai dit, j'attends de toi un comportement irréprochable. J'espère que tu ne m'obligeras pas à te le répéter. » Elle encaisse sans rien dire, mais me fait oui de la tête, l'air penaude. Nous ne rencontrerons personne, mais ce jeu de pouvoir et d'humiliation m'a terriblement excité. C'est infiniment plus jouissif que le sexe banal. De retour à mon bureau, je m'assois confortablement et je lui demande de tourner lentement sur elle-même pour que je puisse mieux l'évaluer. Elle est sacrément bête et dotée d'une ambition inversement proportionnelle à son degré de compétence, mais elle n’est pas mal du tout et je bande encore plus dur en pensant à tout le bon temps qui s'annonce. Je vais y aller progressivement pour faire durer le plaisir. Dans les prochaines semaines, je l’humilierai de plus en plus, je lui donnerai des ordres contradictoires juste pour le plaisir de la voir en pleine déroute, et quand je n’y tiendrai plus je lui mettrai la bite dans tous les orifices. Mais chaque chose en son temps – ne brûlons pas les étapes. « Tu es lesbienne. » « Euh… Non Monsieur », me rétorque-t-elle, surprise. « Ce n’était pas une question. A présent tu es lesbienne et tu t’arrangeras pour le faire savoir à tout le monde dans le département. Je dois prendre en compte les indicateurs de management inclusif quand je nomme une responsable d’équipe. Sais-tu que l’année dernière mon département a reçu le premier prix du management inclusif et bienveillant ? J’ai même été nommé manager de l’année grâce à mes actions de lutte contre la discrimination et le management toxique. Je compte renouveler l’exploit cette année » « Ah d’accord. Félicitations Monsieur. C’est bien mérité. » Toc, toc, toc. La porte s’ouvre… « Putain ! Qui vous a dit d’entrer ? Qu’est-ce qui est écrit sur la porte ? Entretien en cours – ne pas déranger. Vous ne savez pas lire, Ducon ? » L’abruti ne peut masquer sa gène en découvrant la jeunette plantée nue devant mon bureau. « Oh ! Vraiment désolé Monsieur le Directeur » … et la porte se referme aussitôt. Mais l’importun hurle derrière la porte, avec une voix complètement paniquée. « Pardon d’insister Monsieur Crapoulós, mais on a un très gros problème. Il faut absolument que vous veniez en salle de téléconférence. » Et merde… Je me doutais bien qu’un jour ou l’autre il y aurait un problème avec ces retransmissions en direct. Je leur avais bien dit de faire du différé. Je me demande ce qui a bien pu se passer, mais pas le choix, je dois mettre un terme à cet entretien prometteur et laisser la donzelle se rhabiller, en l’assurant qu’elle semble bien partie pour une carrière exemplaire. « J'arrive. Attendez deux minutes » Je consulte rapidement mon agenda. « J'ai un créneau de libre mardi prochain à 10 heures. Présente-toi ici et je t'accompagnerai à l'étage inférieur pour te présenter officiellement à l'équipe discrédit & dénigrement dans leur salle de réunion. Je viens de leur envoyer un mail pour les prévenir. Je te donnerai la parole après t'avoir présentée. Prépare un diaporama détaillant ton parcours et ton expérience professionnelle. N'hésite pas à embellir. Tu sauras faire ça, j'espère ? » « Oui, Monsieur le Directeur, vous pouvez compter sur moi. C'est bien noté » Je ne doute pas qu'elle saura embellir son expérience et ses compétences, quitte à mentir effrontément. Ce n'est pas l'ambition et le culot qui lui manquent. Elle a bien grugé les RH qui l'ont recrutée en période d'essai.  « J'ai convoqué l'équipe à 10h15 dans leur salle de réunion. Cela te laissera largement le temps de te dessaper, et nous aurons même un peu de temps pour discuter avant de descendre ensemble. Mais sois ponctuelle, et j'espère que cette fois il ne te faudra pas une éternité pour te mettre à poil. » Je vois son visage se décomposer, mais elle n'ose rien dire. Voilà de quoi la faire cogiter en se demandant si je compte réellement la conduire complètement nue jusqu'à la salle de réunion ou si elle sera autorisée à se rhabiller avant de sortir de mon bureau. Je me délecte de la graine d'angoisse et d'incertitude que je viens de semer. Ce qui est sûr c'est qu'elle se présentera épilée cette fois, ou tout au moins avec la toison intime soigneusement taillée, au cas où... « Qu’est-ce qui se passe ? », m’enquiers-je auprès de Ducon, qui m’accompagne au pas de charge jusqu’à la salle de téléconférence. « Ysideulte a survécu et tout a été retransmis en direct. » « Putain, mais quels glands ! Pourquoi ils n’ont pas coupé ? » « Il y a eu des évènements bizarres. Tout le monde panique. » Quand j’arrive dans la salle, la retransmission est encore en cours. Ysideulte est descendue de la plateforme et défie les forces de sécurité qui la tiennent en joue, n’en menant pas large. Quelle femme impressionnante! Je n'ai généralement aucun respect pour les femelles, mais je dois reconnaître que je donnerais cher pour l'avoir à nos côtés, dans le camp du bien.  « Est-ce qu’il faut l’abattre, Monsieur ? » « Ca ne va pas? On passerait pour des cons. Des forces de sécurité surarmées tellement terrifiées devant une femme nue et désarmée qu'ils ouvrent le feu dans la panique ! Vous imaginez l'image que ça donnerait ? Faites-la reconduire en cellule et on avisera. » « Et appelez-moi en urgence ces idiots de Best Mind Fucking television ! Qu’ils coupent immédiatement la retransmission, bordel ! Et qu’ils nous mettent un reportage terrifiant sur la menace Alien, pour faire diversion ! » Je n’en peux plus d’être obligé de gérer des abrutis pareils. Une fois la retransmission coupée, je demande à voir l’enregistrement. « Je ne le crois pas… Le grand chrysaor cendré l’a baisée ? » Il faut croire qu’il n’avait pas faim, préférant se vider les couilles plutôt que se remplir l’estomac. « Oui Monsieur, mais ce n’est pas le plus bizarre. Après il y a eu ces éclairs… Je vais vous montrer. » « Ils partent de son ventre ? Qu’est-ce que c’est que ce truc ? Est-ce que vous pouvez me passer la vidéo image par image ? » C’est bien trop puissant et trop précisément dirigé pour être un simple phénomène électrostatique aléatoire. Les bras robotisés ont complètement fondu sous l’effet de l’impact et l’électronique de commande a été instantanément carbonisée. L’énergie devait être gigantesque. « Il n’y a pas que ça, Monsieur. Poursuivez à vitesse normale. Stop ! Attendez, revenez un peu en arrière. Ralenti. » Un silence de mort règne dans la salle. Je n’en crois pas mes yeux. Ses plaies se referment à vue d’œil… Mais qui est cette femme ? Pourtant elle a l’air fragile et il faut avouer qu’elle est bandante. Si elle n’était pas aussi inquiétante, je me la taperais bien. « Bon, les amis, on a effectivement un très gros problème. Réunion immédiate avec tous les chefs d’équipe en salle de gestion de crise. Il faut pondre un narratif pour sauver la face et le transmettre aux médias en urgence.  » à suivre...   Contexte et Références L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). [1] Voir « Le souffle de la résistance »  https://www.bdsm.fr/blog/11290/Le-souffle-de-la-résistance/  [2] Voir « Les Lunes de Davos »  https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/   [3] Voir « Arnaquofion - Les Queutards de l'Espace »  https://www.bdsm.fr/blog/11207/Arnaquofion---Les-Queutards-de-l'Espace/   Image d'illustration: générée par IA  
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Par : le 27/11/25
Ce soir-là, au restaurant, l’air semblait vibrer d’une électricité légère, presque ludique. Toute la journée, une audace nouvelle m’avait effleuré, un souffle d’insolence tendre qui me donnait des allures de funambule défiant son propre vertige. Maîtresse Elie, elle, observait ce frémissement avec un calme souverain, comme une reine amusée par la danse d’un papillon autour de sa couronne. Je croyais bousculer ses certitudes, ébranler un instant l’édifice de son autorité. Je me trompais. Lorsque je laissai tomber quelques mots bravaches, une provocation drapée d’ironie, elle ne s’emporta pas. Elle se leva, effleurant mon épaule d’un geste à peine perceptible, et murmura d’une voix douce : « Très bien, Sabine… si tu le dis. » Ce souffle porta avec lui un parfum familier, un élixir auquel mes sens n’ont jamais su résister. En un instant, mon assurance se fendilla. Mon odorat, traître premier, se laissa happer par cette essence qui m’enlace toujours avant même que ses mains ne m’atteignent. Quand elle revint, son geste trouva le chemin de ma peau, glissant sous le tissu de ma chemise avec une lenteur calculée, telle une brise disciplinée. Sa main, à la fois ferme et bienveillante, pinça un téton et raviva chaque fibre de mon être. Elle n’avait besoin ni de mots ni d’efforts : c’était un rappel, silencieux mais absolu, de la place que je prétendais oublier. Puis ce fut sa voix. Elle parlait de tout et de rien, de ces banalités qui, dans sa bouche, deviennent des sortilèges. Ses intonations, ses infimes variations, le mouvement de ses lèvres, … tout conspirait à me désarmer. J’écoutais sans réellement entendre ; je chutais déjà. Elle prit son temps. La lenteur était sa vengeance, la maîtrise son arme la plus élégante. Quand elle se pencha pour m’embrasser, ce fut avec une intensité qui renversa mes dernières certitudes. La douceur de ce contact fit vaciller ma fausse désinvolture ; le goût même de sa présence me rappela que je n’avais jamais cessé d’être sous son empire. Elle se redressa ensuite, se détacha de moi comme on retire une étoffe au ralenti, et regagna sa place avec cette démarche souveraine qui toujours m’assomme. Je la suivais du regard, impuissant à faire autrement. Alors elle lança l’assaut final. « Tu voulais soutenir mon regard ? Alors profites-en… tu ne pourras pas le refaire de sitôt. » Son regard se planta dans le mien, acéré mais lumineux. Sous la table, un contact précis, à peine un appui mais d’une maîtrise totale, acheva de faire chanceler le peu de contenance qu’il me restait. Je tentai de résister, mais son doigt, léger sous mon menton, redressa mon visage. « Ne quitte pas mon regard, Sabine. » Sa voix… un velours qui brûle. Mon esprit… une forteresse dont elle connaissait toutes les portes. Mes sens, un chœur soumis à sa baguette et à sa volonté. J’étais ivre. Non de vin mais d’Elle, dans toute sa splendeur et toute sa magnificience. Ivre de sa présence. Ivre de sa volonté. De cette puissance tranquille qui fait céder en douceur toutes mes défenses. Un ultime regard, un dernier mouvement de lèvre, une insoupçonnable augmentation de la pression de son pied sur mon sexe tendu à l'extrême et le tsunami pouvait se répandre entre mes jambes en même temps que je ne pouvais contenir un râle orgasmique, son regard victorieux planté dans le mien, penaud. Aussitôt sa sentence tomba, simple et limpide : « Tu vas te lever, Sabine, et aller régler l’addition. » Sa voix ne commandait pas : elle scellait. Son regard ne demandait pas : il possédait. Je me levai, le cœur battant, traversant la salle avec la conscience aiguë de l’instant, de ce qu’elle venait d’accomplir sans jamais hausser le ton, sans jamais brusquer, simplement par la force d’un empire qui dépasse les gestes. Mon entrejambe gonflé laissait apparaître une auréole honteuse et personne se tournant vers moi ne pouvait l'ignorer. Payer la note fut un acte à la fois banal et immense. J’étais redevenu ce que je n’aurais jamais dû cesser d’être : son sujet, son dévoué, sa propriété douce et consentante. Je revenais à elle humblement, la tête plus légère, l’âme plus claire. Elle, déjà, retrouvait son trône invisible, celui qu’elle n’avait en vérité jamais quitté. Son regard me cueillit une dernière fois, un mélange de tendresse et d’autorité. Mon châtiment serait long. Mon abandon serait total. Et jamais plus, depuis ce soir-là, je n’ai songé à défier son pouvoir.
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Par : le 24/11/25
Deuxième rdv : ma médecin traitante le 18 novembre 2025.      Petit retour en arrière lors de notre dernier rendez-vous pour plus de compréhension, ce rendez-vous fut le 14 octobre 2025, mon ex qui me donne des ordres de temps en temps m’avait imposé de porter ma cage lors de ce rdv. Ce que je fis donc dans son cabinet, je lui parlais de mes douleurs aux genoux, et chose que je n’avais pas pensé, c’est qu’elle allait m’ausculter et que je dus retirer mon pantalon pour l’examen de mes genoux, une fois sur la table je regardais rapidement mon boxer et la forme de la cage était plus que visible. Mais elle ne sembla pas perturbée plus que cela.      L’examen fini je pus me rhabiller et je lui redemandais le compte rendu de l’urologue que j’avais vu en décembre 2023, concernant le port de la cage sur le long terme est il dangereux, car je ne retrouvais plus le mien. Elle me le sorti et je profitais de l’occasion pour lui demander si le port prolongé de pinces à tétons était dangereux, elle demanda la durée plus précisément et je lui répondis que cela peut aller de quelques heures à potentiellement des jours. Elle répondit que pour elle il n’y avait pas de risque majeur, attention quand même si des blessures ou des irritations apparaissent il faut les retirer et laisser guérir. Fin du rdv d’octobre.       Passons maintenant au rdv du 18 novembre, pour info je discutais déjà avec un maitre sur ce site qui semble vouloir faire mon éducation en virtuel, c’est mieux que rien. Je lui fis part de ma volonté de dévoiler mon côté soumis/esclave à mon médecin, à travers une lettre et mes accessoires. Je devais porter cage, plug et la culotte comme pour la chiropractrice, mais avec les pinces en plus. Je montrais la lettre à mon maitre qui la trouvais très bien et il suggéra que j’y aille les fesses bien rouges. Donc dans les jours qui ont précédés le rdv je me fessais avec divers objets à tel point que des bleus sont apparu.        Voici un résumé de la lettre pour la médecin, en gros je me présentais comme mon maitre et que lors de notre dernier rdv, j’avais demandé si le port de pinces était dangereux, mais que j’avais oublier de préciser que c’étaient des pinces spéciales BDSM, que dans le compte rendu de l’urologue elle déconseillait l’usage de plug d’urètre car risque de sténose, et je demandais quel était le pourcentage que cela arrive et surtout si c’est long à guérir. Je demandais aussi si à 40 la circoncision est encore faisable, car on le trouver anormalement long. Si le port de plug anal sur long terme était dangereux, et qu’elle matière privilégier, silicone ou métal. Que j’avais dit que je pesais 80Kg et qu’il doutait de moi et demandais que je sois pesé. Je précisais aussi que pour les besoins de l’examen la clé de la cage était dans l’enveloppe, ainsi que la tige urétrale qui était vendu avec la cage. En fin de lettre je demandais si elle pouvait me faire un retour écrit et je poussais le vice plus loin encore je lui demandais si elle pouvait me prendre en photo avec mon tel pour preuve que j’obéis bien.        Donc le jour J, le matin je me fis un lavement anal, dans le cas ou elle demanderait à voir le plug qui est au fond de moi, j’aurais déjà suffisamment honte comme cela sans qu’en plus un morceau fécal soit collé au plug. Puis je vaquais à mes occupations en attendant l’heure du rdv qui était à 16H. il est 13h30 ma femme part travailler et moi je commence à vouloir annuler tout ce que j’avais prévu pour la révélation de mon côté soumis. Alors dans un ultime élan de courage, je pris la décision de m’équiper et de faire 2-3 magasin avant d’aller chez le médecin.         C’est donc ainsi qu’à 14H10 je sorti de chez moi avec la cage, le plug la culotte, pas de chaussette un jeans, les pinces un t-shirt, un pull et mon manteau. Pour le plug j’ai finalement choisi le métal car il a un diamant bleu et qu’il est plus que voyant. Et je pris la voiture en direction des magasins que je devais faire. A l’intérieur des boutiques je faisais comme si de rien n’était et personne ne me regardais de travers. Juste à la sortie du 2 -ème j’avais mal positionné la pince sur le téton droit du coup je dus m’isoler sur un parking vide afin de la replacer correctement. A 15h30 j’avais fini de faire ce que j’avais à faire, je me suis donc rendu sur le parking de chez le médecin et attendais en voiture qu’il soit l’heure.         Je réfléchissais à quand lui donner la lettre, après avoir vu les résultats des divers examens que j’ai passé, ou au début de la consultation. J’étais toujours en train d’y réfléchir quand ce fut mon tour. C’est au moment où elle ferma la porte, que je choisi de lui dire en début de consultation. On s’assoit et elle demande le sujet de ma venue, je lui dis que c’est pour les compte rendu des IRM, mais qu’avant cela j’avais une lettre pour elle. En lui donnant, je lui explique que je suis en relation de soumission et que mon maitre lui avait écrit ceci. A ce moment mon cœur battait tellement vite et fort que je suis sur qu’elle pouvait l’entendre.         La lecture de la lettre me semblait interminable, puis une fois fini de lire, et me dit que non pas de photo ni de compte rendu écrit car il y a le secret professionnel, chose que j’avais oublié. Puis elle commença par expliquer que pour les pinces elle avait dit cela mais sans réellement en connaitre la finalité, pareil pour la circoncision que là il faudrait consulter un urologue, et concernant le plug urétral il se range du coté du spécialiste. Encore une fois je m’étais équipé pour rien car pas d’auscultation. C’est à ce moment qu’un coup de génie me traversa l’esprit. Je lui demandais quand même si elle pouvait contrôler ce que mon maitre demandé, car je ne voulais pas me faire punir. Elle accepta, et demanda de me déshabiller.         Je jouais le jeu en m’excusant de me présenter ainsi à elle que j'avais honte mais que j’obéissais aux ordres, elle dit qu’il n’y avait pas de soucis. Je commençais par retirer le haut manteau pull t-shirt, ses yeux se sont légèrement écarquillés quand elle vit les pinces. Puis j’enlevais mes chaussures et mon pantalon, pour la première fois je me retrouvais en mode soumis, devant une personne non BDSM et en plus c’est ma médecin. Je lui présentais encore mes excuses pour mon accoutrement, et elle me tendit la clé de la cage, pour que je la retire. Je savais que dans la lettre je demandais à que ce soit elle qui la retire mais je n’ai pas relevé j’ai donc enlevé la cage et m’allongea sur la table.         La situation devait être caucasse à voir, le médecin debout et moi allongé pincer aux seins depuis 2H maintenant et la douleur était très forte, avec la bite à l’air. Elle mit des gants et demanda si elle pouvait toucher, je lui dis que maintenant que j’étais ainsi vêtue, je n’y vois pas d’objection, cela la fit rire. Donc elle palpa mon prépuce me décalotta, et me demandais si cela faisait mal. Je lui répondis que là maintenant non mais que parfois en érection oui, et que j’avais surtout mal c’était lors du port de la cage car le prépuce frottait sur le tissu. J’en profitais aussi pour lui demander pour les pinces, maintenant que j’y suis autant tout faire d’un coup.         Elle me redit que pour elle tant qu’il n’y a pas de blessure ou de microcoupure, elle n’y voit pas de souci particulier. Elle demanda tout de même si j’avais mal là, je lui dis que oui car les pinces dans ce sens-là est une première. Elle demanda de voir comment elles étaient mises en temps normal. Je retirai donc la pince cotée gauche et lui montra comment je les posais. Elle réitéra son diagnostic, puis me permis de me rhabiller, je me penchais bien en avant pour qu’elle puisse voir le plug diamant et mes fesses bien marquées par mes coups, mais elle n’en dit rien. Je me retrouvais début nu avec une seule pince sur le sein droit et l’autre dans la main.         Je demandais si la lettre précisait si je devais remettre mes accessoires ou pas. Elle me demanda si j’avais lu la lettre je lui dis que non car mon maitre me l’avait donné fermer. Elle lu en diagonale et dit que ce n’était pas précisé. Je lui dis que je vais les remettre de peur d’être puni. Alors que je refermais la cage et que je passais la culotte. Je lui demandais si je pouvais la lire, c’est donc debout à moitié nue et accessoirisée que je lus la lettre et je fis semblant de m’offusqué qu’il avait aussi parlé de mon poids. Elle me proposa de me peser pour qu’elle puisse mettre aussi mon dossier à jour. Je pèse 78.5 kg.         Et je fini de me rhabiller et nous discutâmes de la raison officielle de ma venue les résultats des IRM. A la fin du rendez vous elle posa la question concernant ma femme. Je lui répondis qu’elle connaît mon passé de soumis mais qu’elle n’est pas attirée par cela et qu’elle ne veut pas en entendre parler. Elle comprit. On se leva et avant d’ouvrir la porte, je m’excusai une dernière fois de l’étrangeté du rdv, qu’elle me répondit qu’il n’y a pas de gêne à avoir. Et je demandais dans le cas où mon maitre m’ordonnerait de mes mettre en sous vêtement comme aujourd’hui tout le long de la consultation, si cela la dérangerait, elle me dit non pas de problème. Et je rentrai chez moi         J’ai vraiment une médecin en OR, car je ne sais pas si beaucoup aurait accepté cela. Pour notre prochain rdv, maitre Éric(moi), à déjà écrit une lettre, lui présentant mes excuses pour avoir oublier le secret professionnel, et que si cela ne la dérangeait pas j’aimerais que je sois en mode Sophie durant la durée du rdv et idem pour les suivants. Je ne sais pas quand je vais la revoir. Mais je pense rapidement car j’ai discuté avec ma femme de mon prépuce que je trouve long et moche et que ça ne la gêne pas que je me fasse opérer. Du coup il me faudra un courrier de sa part pour l’urologue. Je vous tiens informé. je me prosterne à vos pieds Sophie
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Par : le 24/11/25
         Ce récit 100% authentique fait suite au récit le retour de Sophie. Cela s’est réellement passé.           Alors déçu par le fait que la rencontre avec le potentiel dominant n’est pas eue lieu, car on avait prévu que si l’on matché bien. Il m’accompagnera lors d’un rdv avec ma médecin traitant et me ferait faire des choses qu’un homme lambda ne ferait pas. Je décidais que je vivrais cette expérience de honte, stressante et douloureuse par moi-même. Comment et bien en me rendant à mes rdvs médicaux en tant qu’homme mais en Sophie en dessous avec une lettre écrite par mon maitre imaginaire Éric (-moi si vous voulez). Premier rendez-vous médical : chez la chiropractrice le 14 novembre 2025.        Je passais quelques jours à rédiger une lettre à donner à la praticienne, le cas où je devrais me mettre en sous-vêtements, lors de la séance. Ou en gros, j’expliquais que j’étais soumis à une personne et que pour ma punition, je devais me rendre à ce rendez vous avec ma cage, un plug anal et la culotte de mon témoin. Et je lui disais aussi que si la cage était problématique, la clé était dans l’enveloppe et qu’on pouvait l’enlever le temps de la séance.        Il me fallait 30 min pour me rendre à son cabinet, et pendant ces 30 minutes, le stress ne cessait de monter. En plus en arrivant j’avais envie d’uriner mais les toilettes étaient hors service. Je devais prendre mon mal en patience. J’avais volontairement choisi un praticien femme, et qui plus est, est très jolie, mais là n’est pas la question, pourquoi une femme, surement la crainte qu’un homme me juge plus qu’une femme, ou comme je l’ai déjà dit pour moi la femme en générale m’est supérieure en tout, et devoir me montrer vulnérable, faisait naitre un sentiment d’excitation bien que le stress + la cage m’empêcher d’avoir une érection, mais aussi un sentiment de honte. Honte car un homme n’a pas de tels accoutrement en temps normal.       Cependant la séance se déroula très bien, première phase des questions pour cibler, mes douleurs et les attentes et la deuxième partie les manipulations. Et je n’ai pas dû à trop me déshabiller. Je dus juste enlever manteau, pull et chaussures. Première frustration, mon plan de lettre est à l’eau, je passai tout le reste de la séance à retourner la situation à mon avantage, sans trouver réellement. C’est en me rhabillant, que j’ai parler du fait que sur les avis des différents chiropracteurs que j’ai consulté, nombreux était ceux qui parlé de devoir se mettre en sous-vêtements, au moins la première séance.      Elle me dit que non ce n’est pas obligatoire, et que cela dépend surtout ou est ciblé la douleur. Juste avant de la payer, j’a eu le courage de lui donner la lettre, en lui disant que je suis en relation de soumission avec un maitre, et qu’il avait écrit cette lettre le cas où j’aurais dû me déshabiller plus. Elle la prit la lu, et me répondit que quelque soit la tenue cela ne la dérangerait pas, et elle mit par écrit ses mots pour mon « maitre ». Et nous fixâmes un autre rdv 15 jours plus tard qui est le 1er décembre.       Le chemin du retour fut plein de pensé et d’imagination pour notre prochain rdv, après avoir écrit une lettre pour la remercier de sa réponse, j’ai poursuivi en disant que je n’avais pas totalement respecté ses directives et que pour cela il doit se montrer plus sévère envers moi. Je devrais donc me présenter à elle avec le body violet, la cage, un plug (soit le silicone pour être bien rempli, ou soit le lapin pour une honte maximale), le collier BDSM a serrure, les pinces sur les tétons mais la chaine fixée au collier. Et que si des accessoires sont gênant pour la séance les clés sont dans l’enveloppe. Je ferais bien sur un compte rendu de ce rdv. Je me prosterne à vos pieds Sophie
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Par : le 23/11/25
Le BDSM n’est pas une seule vérité.   Il est une montagne à gravir,   un seuil à franchir,   une délivrance à accueillir.     À travers trois textes, j’ai voulu partager ma vision.   Trois regards, trois facettes, trois chemins qui mènent au même sommet :   celui de la confiance, de la responsabilité et de la libération.     - La montagne et la corde : la domination comme guidance et protection.   - Les menottes et le seuil : les objets comme portes vers l’abandon.   - L’impact et la délivrance : l’art de libérer par le rituel et le soin.     Ce n’est pas un jeu de pouvoir.   C’est une ascension, une traversée, une rencontre.   Et comme en montagne, le sommet n’a de valeur que lorsqu’il est atte int ensemble.  
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Par : le 23/11/25
Oui le titre est accrocheur, et si vous avez lu mon texte pauvre Sophie, vous vous direz que je retombe dans mes travers de double personnalité, mais il n’en est rien. Il y a 1 mois environ une annonce sur le groupe 76 avait attirait mon attention, un maitre qui vient dans la région et qui cherche une personne soumise. Cela faisait quelque temps maintenant que je reprenais mes défis au travail mais dans une zone restreinte car il y a des caméras partout maintenant. Et je me sentais frustré car encore une fois c’est moi qui me donne des ordres et par conséquence, dès que cela devient un peu trop « difficile » je fais marche arrière. Donc je décide de lui envoyer un message pour, savoir s’il était prêt à me prendre sous ses ordres. Après discussion banal, il accepta, et on programma une rencontre, cependant étant donné que je suis marié, je cherche à protéger ma femme, donc je demandais s’il était possible qu’au moins les premiers temps un usage de préservatifs, même pour la fellation. Il refusa d’office sans pouvoir négocier. Vous me direz que moi esclave, je n’ai pas le droit de demander quelque chose. Mais là, cela touché ma femme indirectement. Et s’il y a bien une chose que même un dominant aura toujours la deuxième place, ma femme est ma déesse, même si elle ne veut pas entrer dans le monde BDSM. Au début j’accepté la rencontre sans capote, mais plus cela aller et moins j’avais envie de le faire. On rajoute à cela le sentiment de trahison en trompant ma femme, bien qu’elle me laisse faire mes « conneries » comme elle les appelle tant qu’elle n’est pas au courant, et que mon sperme lui est réservé, cela tombe bien je suis soumis/esclave et je porte toujours ma cage de chasteté lors de potentiel rencontre. De plus ma femme fut en arrêt maladie, et voulait m’accompagner lors d’une IRM qui avait lieu juste avant la rencontre avec ce dominant. De ce fait j’ai retenté l’usage de capote et il n’a toujours pas voulu. Du coup pas de rencontre et un blocage normal de sa part envers moi. Dans le même temps, j’ai recontacté un dominant ou j’ai eu une séance il y a environ 1 an et demi, ou au moment de le sucer, j’ai dit stop car son handicap me rappeler mon grand père et je bloqué dessus. En lui présentant mes excuses pour mon comportement lors de notre séance et lui annonça que j’étais prêt à le sucer uniquement si je ne voyais pas son handicap. Il me répondit que cela est faisable et qu’on verrait ça après ses congés. Je lui demandais s’il connaissait un coin exhibe ou il pourrait me balader en laisse. Il a dit oui et que nous organiserions cela. Pour le moment ce n’est pas encore fait. Fort de tout cela je ressorti ma malle de Sophie, la ou sont rangé mes ustensiles BDSM. Et je revois pour la première fois depuis longtemps, la culotte de mon témoin de mariage que je lui avais volé quelques années auparavant. Soudain l’envie de me retravestir refait surface. Je le sais maintenant au fond de moi, je veux être une lady boy, enfermé à vie dans sa cage de chasteté, je suis prête à prendre des œstrogènes, me faire poser des implants mammaires, bref tout ce qui pourrait faire de moi un homme aux yeux de l’administration, mais une femme aux yeux de la société. J’ai donc fait ressortir Sophie, enfin pas comme avant ou j’accusais Sophie, de prendre possession de mon corps pour me faire faire des choses non conventionnelles. Sophie est de retour mais uniquement en tant que nom de soumis. Car bien évidement si je devais rencontrer un dominant je ne dirais pas mon nom véritable afin de protéger ma famille et ma place sociale si on peut dire ainsi. Donc j’avais plusieurs rendez-vous médicaux à faire, et je voulais profiter d’eux pour que je passe en mode Sophie, il va de soi que lors des IRM, je ne portais rien de BDSM pour ne pas avoir de soucis lors de l’examen. Potentiellement je m’achèterais bien une cage en plastique avec verrouillage par plomb unique et voir si cela passe à l’IRM. Mais pour le moment j’en ai plus à passer. Et j’avais rendez-vous chez un chiropracteur, puis j’avais repris rendez-vous avec ma médecin traitant pour les bilans des divers examens passés ou Sophie serait de la partie, mais cela fera l’objet d’un texte à part. Et cette semaine j’ai craqué, j’ai racheté de quoi me féminiser et me remplir en ayant honte. Les photos sont sur mon profil.
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Par : le 21/11/25
  Si vous lisez bien... si vous zoomez sur le mot sucer... vous y trouverez un autre mot... lécher. Oui oui! Allez-y regardez... su(lé)c(h)er! Vous voyez... j'avais raison! ;)   Mon Homme commence à se relâcher... à se relaxer... à se détendre... et sa queue durcit de succion en succion... du pied il me pousse et je tombe à la renverse... sur les fesses... puis le dos et je me tiens relevée sur les coudes. Les carreaux sont froids... il prend sa queue en main... et l'astique en me regardant... puis il lève la jambe... je le vois d'une main jouer avec sa queue... et de l'autre il serre ses couilles... je vois bien qu'elles sont pleines... mais il me fait languir... il se cale un peu plus dans son fauteuil... puis relève sa jambe plus haut et la replie sur son ventre et son torse... la main qui tenait ses couilles glisse jusqu'à une fesse et il les ouvre... et dans le même élan... il contracte et relâche son anus... comme une petite bouche... qui m'appelle...   Mon Homme ne parle pas beaucoup... il est primal, instinctif... il fait des sons... de satisfaction, d'impatience, d'envies... mais je sais le lire... il veut que je lui lèche l'anus... mais... j'ai une crainte... un moment d'égarement... de refus... et si... il ne s'était pas essuyé de la journée? Il s'impatiente... pose ses pieds par terre et me gifle... j'en vois des étoiles... puis pour me sortir de ma torpeur... il me crache au visage...   Il se cale à nouveau dans son fauteuil... prend une gorgée de son alcool... je m'approche de ses fesses avec hésitation... lentement... et hypnotisée par sa masculinité... j'embrasse ses fesses... et je renifle... soumise oui... mais pas complètement idiote... l'odeur est forte... mais pas nauséabonde... mon Homme est resté assis une grande partie de la journée... il a beaucoup marché aussi... il sent la sueur... ça me plaît. J'aime sentir sa masculinité... alors je m'approche... plus près... je suis devant son anus... sur mes genoux... mes fesses posées sur mes talons... le cou cassé vers l'arrière. Je ne le touche pas... juste ma bouche... et ma langue... je sens son anus agripper ma langue quand il le contracte... après plusieurs minutes à lui faire un analingus bien baveux... il repose ses pieds par terre... relâche sa queue... il est bandé comme un âne. Me voir avilie et sentir ma langue dans son anus l'aura excité... Enfin!  
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Par : le 21/11/25
PREMIÈRE RELATION D/s j'avais 23 ans. Elle 26. Elle était en couple lors de notre rencontre... mais s'ennuyait. Nous étions potes. On prenait de temps en temps des verres ensemble. On allait en boite. Petit à petit, une alchimie s'est faite et on est enfin sorti ensemble. Très rapidement, son mec l'ayant appris, il l'a foutue dehors (elle habitait chez lui) et naturellement, je lui ai ouvert la porte chez moi. Petite blonde, aux cheveux très longs, des petits seins, bien fermes, un joli petit cul. Toujours habillée girly et court. Au bout d'une semaine, un matin de WE, au réveil, elle me dit : "j'aimerais que tu me fasses mal, physiquement" J'ai été pris de court par sa phrase. Je ne savais quoi répondre. Au début j'ai compris qu'elle désirait que je la frappe, alors, je lui ai posé la question. Sa réponse m'a encore déconcerté. "Non, sauf si c'est gentil, mais j'aimerais que tu laisses une trace sur moi. Une trace profonde". Je ne comprenais toujours pas où elle voulait en venir. "Que veux-tu exactement, car je ne comprends pas ce que tu souhaites". Elle avait son idée derrière la tête. Elle est sortie du lit, nue, pour aller chercher une clope et l'allumer. "Tu en veux une m'a t elle demandé ?". J'ai répondu oui. Elle revient alors dans le lit avec nos deux cigarettes allumées et c'est là qu'elle me balance... "j'aimerais que tu te serves de ma bouche comme cendrier et qu'a la fin, tu écrases ta clope encore incandescente sur un de mes seins, celui que tu veux !" A savoir qu'à cette époque, je ne savais pas ce qu'était un Dominant et que ce genre de pratiques existaient. Je suis donc resté sur le cul. Il me semble, d'après mes souvenirs, me rappeler lui avoir demandé si elle était bien sûre d'elle. Sa réponse fut positive. Et je ne sais pas pourquoi, mais l'idée à commencer à m'exciter. Elle a rajouté : "Avant de faire ça, ordonne moi de me toucher, de me caresser". Lui donner un ordre !! Chose qui ne m'était jamais arrivé avec une femme. Et chose qui a déclenché chez moi encore plus d'excitation. En conséquence, mon premier ordre en tant que dominant a été : "Retire le drap que je te vois nue et caresse toi, doigte toi" ! Elle m'a regardé, m'a souri et s'est exécutée. J'ai récupéré sa cigarette et l'ai laissée se consumer dans le cendrier. La mienne, toujours en main, commençait à avoir beaucoup de cendres au bout. Mon deuxième ordre a alors jailli naturellement : "ouvre la bouche". Ce qu'elle a fait sans rechigner. J'ai approché ma cigarette au-dessus de sa bouche et ai tapoté dessus afin que les cendres tombent dans sa bouche. Elle n'a pas bougée. Elle est restée la bouche ouverte tout en continuant à se toucher. Je voyais son excitation monter Dans ma tête, tout se mélangeait... Mais l'excitation du moment prenait le pas sur la raison. J'ai donc continué à ma servir de sa bouche comme cendrier. Elle était presque terminée. Je lui ai alors reposé la question "es-tu vraiment sûre de toi ? Désires-tu vraiment que j'écrase la fin de ma cigarette sur un de tes seins ?" Elle m'a fait un signe positif de la tête. J'ai donc pris ma cigarette et l'ai écrasée, comme pour l'éteindre, sur son sein gauche, juste en dessous du téton. J'ai vu dans ses yeux la douleur... mais surtout, je l'ai entendu jouir comme je ne l'avais jamais encore entendue. "Trop bien, merci. Mais j'ai mal !!" furent ses premiers mots. Je suis vite parti chercher des glaçons pour lui appliquer sur l'endroit de la brûlure, puis lui ai dis d'aller se nettoyer, se désinfecter et de prendre une douche... Puis de mettre de la pommade à l'endroit douloureux. Ce premier épisode a évidemment engendré des conversations sur le pourquoi du comment. Elle m'a dit, qu'en fait, elle aimé être utilisée, elle aimait qu'on lui ordonne de faire les choses, en quelque sorte, elle m'a dit qu'elle aimerait être un objet sexuel, une esclave. J'avoue que j'y ai pris goût et que mes penchants de Dominant sont sortis. La suite n'a été qu'une prolongation. On avait mis en place un "jeu", histoire de vérifier si elle désirait vraiment être un objet sexuel et une esclave. D'abord sur un WE, puis si concluant, sur 1 semaine, puis sur 1 mois, puis sur 6 mois, ...​​​​​​ Le vendredi précédent ce premier WE, j'avais établi une sorte de contrat, sur une feuille de papier (Internet n'existait pas encore à cette époque, 1993 !). Sur ce contrat, je me rappelle avoir mis vaguement : je soussignée XXX, désire être l'objet sexuel et l'esclave de YYY. Je devrais obéir à tous ses ordres, sans discuter. Je ne connaissais pas encore la définition du mot "safeword", mais il était écrit dans ce "contrat" qu'au moment où elle dirait STOP, le jeu s'arrêtait. Elle revenait alors du travail, ce vendredi soir. Le "contrat" était posé sur la table du salon. Elle l'a lue, l'a signée. Je lui ai demandé de se lever, de se déshabiller en ne gardant que ses sous-vêtements et ses chaussures. Puis je lui ai demandé de se mettre devant la glace du salon, les mains croisées derrière la tête, coudes bien tirés en arrière. Je me suis approché d'elle, et avec l'aide d'une paire de ciseaux, ai découpé sa culotte. - "Quand je te le dirai, tu iras prendre une douche et tu te raseras entièrement le sexe. Je ne veux plus aucun poil dessus. C'est compris" - "Oui Monsieur" Puis je lui ai posé une question sur ses seins. - "Comment trouves-tu tes seins ? Petit, moyens ? Sur une note de 1 à 10, 1 étant des oeufs au plat sans jaune et 10 étant l'équivalent de Pamela Anderson, quelle note leur donnerais-tu ?" - "Je dirais moyen, Monsieur. Avec une note de 5" - "OK, et au niveau fermeté, tu penses qu'ils sont bien fermes ?" - "Oui Monsieur, vu leur taille, ils ne tombent pas" - "C'est ce que l'on va vérifier". Reprenant ma paire de ciseaux, j'ai découpé les bretelles de son soutien-gorge, puis l'ai découpé par devant, entre ses seins. Le soutif est tombé par terre. - "Je dirai plus qu'on est sur une note de 4. Par contre, je confirme pour leur fermeté" dis-je en lui malaxant les seins avec une certaine poigne et en lui étirant les tétons. "Donc, vu leur taille et leur fermeté, tu n'as plus aucune raison de porter de soutien-gorge. Cela t'est dorénavant interdit. En sortant de la douche, tout à l'heure, tu prendras un sac poubelle dans le lequel tu mettras tous tes soutiens-gorge et tu iras le mettre à la poubelle. C'est bien compris ?" - "Oui Monsieur." Et c'est ainsi que nous sommes rentrés dans ce jeu. Elle n'a jamais dit STOP. Elle n'a plus jamais porté de soutien-gorge. Elle en voulait toujours plus, entre autre son grand plaisir était de dormir entravée (un pote apprenti gendarme, m'avait filé une paire de vraies menottes. Je lui mettais tous les soirs, les bras attachés dans le dos. Elle jouissait sur mon ordre lorsque je lui ordonnai de se masturber. Sa jouissance était bien plus forte que pendant une pénétration sexuelle. A sa demande, on a aussi testé les aiguilles plantés dans ses tétons, alors qu'elle était suspendue. Elle avait adoré. Moi, un peu moins... Mais je la voyais prendre du plaisir, alors... Mon plus grand regret est de ne pas avoir réussi à lui faire aimer avaler mon sperme. Elle recrachait... Elle n'aimait pas ça du tout... Grosse frustration pour moi. Et la vie nous a séparé... Elle a eu une promotion pour partir en Australie dans le secteur bancaire. Moi, je suis resté dans le sud de la France en tant qu'ingénieur.... Voilà, voilà... vous savez tout de ma première relation D/s
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Par : le 21/11/25
  Je crois sincèrement que sucer n'est pas un art. Le cinéma, la musique... ça se sont des arts. Sucer est une obligation. Sucer est un devoir. C'est la façon la plus sincère et la plus intime qu'un Homme a de démontrer à sa femelle qu'il lui fait confiance... pensez-y un moment... l'Homme met ce qu'il possède de plus précieux dans la bouche de sa femelle. SA queue... SES couilles... elle pourrait l'abîmer avec ses dents... l'Homme lui fait confiance... c'est une belle preuve de respect qu'il a envers elle... même s'il l'insulte copieusement et la dégrade à tous les jours... elle se doit de l'honorer... Sucer son Homme n'est pas un dû... c'est un privilège qu'il lui accorde... tout comme lorsqu'il lui signifie par un crachat ou une gifle qu'il lui permet de le prendre dans sa bouche...   À genoux entre ses cuisses... je lèche ce cylindre de chair, de sang, de vie, de puissance et de masculinité. jusqu'à son gland... je le tiens entre mes lèvres, je passe ma langue rose dessus, fais des cercles sur son gland... une fois que ma salive s'est bien mélangée à son pré-éjaculat, j'avale... et vite je me rends compte que toute cette journée passée enfermée dans son pantalon l'a rendue très goûeuse. Il a uriné plusieurs fois sans s'essuyer... comme il fait toujours... il la secoue... n'empêche, j'ai son gland dans la bouche... et j'avale cette mixture de salive et de goût de rance... puis... j'avale... comme on m'a appris à le faire...   Une petite succion... elle se raidit un peu plus! Il n'est pas complètement bandé... je ne l'intéresse plus? Il en a une autre en tête? Il pense à sa secrétaire? La stagiaire? La nouvelle employée de la cafétéria dont il me parle tout le temps? Je place mes petites mains sur ses hanches... et je l'avale... j'aime sentir sa chair molle dans ma bouche... sentir la masse de chair me remplir la bouche... mes lèvres descendent jusqu'à son pubis, mon nez dans ses poils... je reste là un moment... respirant par le nez... sa sueur de la journée... Oui! Mes mains sur ses hanches... car sucer ne se fait qu'avec la bouche... c'est comme ça qu'on m'a appris... sinon c'est branler... je suis une suceuse après tout...   Je referme la bouche autour de cette masse de chair... prenant soin de ne pas mettre les dents dessus... mes glandes salivaires fonctionnent à plein régime. J'avale encore cette mixture de vieille pisse et de salive... cette action à suscité chez mon Homme une réaction. Soudainement ma bouche se fait plus petite... non! C'est lui qui commence à bander!  
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Par : le 20/11/25
Est-ce que je suis une fellationniste ou fellationneuse? C'est important de savoir... Attendez... je vais faire simple... je suis une suceuse! Oui! C'est plus simple... et ça me représente mieux... j'aime sucer! Sucer un Homme est un honneur... un privilege.... Avoir la permission de défaire la ceinture puis de baisser son pantalon avec le boxer puis de libérer sa verge de son confinement... encore molle... chaude... la regarder, respirer son odeur... et là... lorsque ma petite main prend les couilles en les serrant légèrement et que je constate l'effet que je fais sur la verge... que le resserrement des muscles des fesses la fait gonfler une première fois... je souris... satisfaite de plaire à mon Homme, de répondre docilement à ses attentes... oui mon plaisir passe par les yeux aussi... je remplace ma main, qui se trouve sur ses couilles, par ma langue... les 2 pauvres couilles... enfermées toute la journée... elles méritent de respirer... et de se relâcher... mon Homme, assis dans son fauteuil préféré... l'alcool tant mérité après sa dure journée... que je lui ai préparé et qui est sur la petite table... je le regarde... il me regarde... et mouille ses lèvres au verre...   La verge prend vie... elle s'est un peu redressée... elle repose maintenant en partie sur la paroi de mon nez... je sens une prèmiere grosse goutte de pré-éjaculat se former et couler près de ma paupière inférieure... une légère succion et j'ai un testicule en bouche... j'entends mon Homme prendre un respire... il est content de sa suceuse... mon Homme se redresse un peu et se penche au dessus de sa verge et laisse couler un long crachat, mélangé à son alcool, sur sa verge... la bave visqueuse coule le long de sa verge... jusqu'à ses couilles... je sors son testicule de ma bouche et, avec assurance, d'un coup de langue... je remonte sur le filet baveux que je prends en bouche et l'avale... c'était son signal pour que je commence à le sucer... ou plutôt... LA sucer... sa verge semi-molle...   Vous me direz si vous voulez la suite...  
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Par : le 20/11/25
Préface à la Quatrième Partie : L’Éveil et le Serment   La leçon est terminée. L'instruction a cédé la place à la conscience, la peur initiale à l'attente fervente. Désormais, l’abandon n'est plus un acte ordonné, mais un état d’être. Cette partie marque la véritable intégration du lien à la vie. Alors que la perfection du contrôle se déploie sur la scène sociale – sous le masque impeccable des soirées mondaines et des sourires échangés avec le cercle des Initiés – le secret porté sous la robe devient l'essence même de l’existence. Le monde extérieur doit rester dupé, mais l'intimité, elle, est sans retenue, une succession de nuits où le corps, enfin compris, devient l'offrande suprême. Ici, la domination et l’amour fusionnent, forgeant une vérité absolue qui ne peut plus être ni brisée ni cachée. Le jeu touche à sa fin, car il devient destin.   Chapitre 46 : L'Ancrage de l'Extase La confirmation était achevée. Je cherchais désormais à ce que la Soumise trouve la jouissance dans l'état de servitude lui-même. Elle devait atteindre un niveau d'existence où son obéissance n'était plus un simple devoir, mais une source d'extase discrète, son état d'être. Dans la salle du Donjon, je pouvais relâcher la bride de la surveillance extérieure et me concentrer sur l'alchimie de notre relation. Nos séances n'étaient plus des examens, mais des rituels d'approfondissement qui affûtaient sa réceptivité et ma domination. Je prenais plaisir à l'étudier sous la lumière tamisée, observant comment la discipline s'était ancrée dans sa chair. Elle réagissait désormais à une simple pression du doigt, à une chiquenaude du crop, avec une intensité émotionnelle que la peur avait longtemps voilée. Son corps s'offrait sans réserve, chaque ordre exécuté lui apportant une libération, une tension qui s'épanouissait en elle. Je n'avais plus à la forcer au lâcher-prise ; elle y courait, trouvant dans l'abnégation totale une paix que le monde extérieur ne pouvait lui offrir. Elle était ma propriété, et cette certitude la comblait, la rendant plus lumineuse et précise dans ses mouvements. Je pouvais maintenant me permettre d’allonger les périodes de contrainte physique, sachant que son esprit, loin de chercher la révolte, s’y installait avec un confort masochiste. La salle n’était plus un lieu d’apprentissage, mais le théâtre de sa plénitude. Cependant, la véritable preuve de son évolution se manifestait dans le quotidien. Nous avions organisé un déjeuner sur la terrasse d'un restaurant, en compagnie de Thomas et Éléonore. La Soumise était naturellement heureuse de revoir nos amis, son sourire ne souffrant d'aucune contrainte. Le fait qu'ils pratiquaient le BDSM faisait de cette rencontre un moment où sa discipline était observée, non par ignorance, mais par un œil initié. Je l'observais sans cesse. Son rôle était d'incarner ma propriété. Elle ne se permettait jamais de s'asseoir avant mon signal. Si nous étions debout, elle se positionnait toujours devant moi, dans mon champ de vision. Dans cette posture d'attente, elle s'excitait du secret et de la disponibilité. Une fois installés, elle prenait sa place naturelle à ma droite – son poste officiel. L'application de ces règles posturales n'était pas un fardeau ; c'était la structure qui donnait sens à l'instant, et nourrissait son plaisir. Thomas et Éléonore savaient que ce maintien n'était pas fortuit. Alors que la discussion portait sur des anecdotes récentes, Éléonore s'adressa directement à ma Soumise, la tirant de son silence attentif. "Je te trouve incroyablement stable. Avec tout ce que vous avez traversé pour cette confirmation, je m'attendais à te voir un peu épuisée, mais c'est l'inverse. Tu rayonnes." Éléonore posa son verre. "Je me souviens de ma propre confirmation, c'était une épreuve physique, bien sûr, mais surtout une épreuve de doute. Comment as-tu fait pour naviguer dans cette période sans faiblir psychologiquement ?" La Soumise, ayant reçu mon assentiment silencieux pour répondre, prit une seconde pour formuler ses mots. Sa voix était calme, mais portait une conviction nouvelle. "Je n’ai pas faibli parce que le doute n’était plus permis, Éléonore. Le doute, c'est ce qui rend l'obéissance difficile. Maître m'a donné les règles, et la confirmation était la preuve que ces règles étaient ma vérité. Ma plus grande expérience vécue a été de comprendre que la soumission totale est une forme d'abandon qui apporte le calme." Thomas, écoutant attentivement, intervint : "C'est beau, ça. L'abandon qui apporte le calme. Moi, ce sont les voyages qui m'ont ancré. Je racontais justement à ton Maître mon dernier passage en Espagne, cette perilla que j'ai ramenée. Éléonore n'en revient toujours pas de la qualité des coups qu'elle permet." Éléonore sourit, un regard complice vers ma Soumise. "C'est vrai. Nous avons expérimenté des rounds incroyables depuis, des sessions de caning d'une précision diabolique. Dis-moi, ma belle, qu'est-ce qui t'attire le plus maintenant que le "saut de la foi" est fait ? Quelles expériences futures espères-tu ?" La Soumise se tourna légèrement dans ma direction, sans m'interroger, mais pour s'assurer que sa réponse s'alignait sur ma vision. Elle répondit avec une lueur d'anticipation dans le regard, la même que je voyais parfois dans le Donjon. "J'attends l'approfondissement, Éléonore. Je sais que Maître va m'emmener là où l'épreuve devient intégrale. Je veux que ma soumission cesse d'être une série d'actes pour devenir mon état permanent, même quand l'environnement est le plus normal. Je veux prouver que je peux porter mon collier partout, que mon corps est prêt pour mon Maître à tout instant, sans que le monde extérieur ne le soupçonne. Je veux que la discipline soit invisible." Elle avait articulé Son propre désir avec une clarté désarmante. Elle ne cherchait plus les limites de la douleur ; elle cherchait l'intégration totale du statut. Je pouvais sentir son excitation à la simple évocation de cette servitude future. Sa réponse était la validation suprême. Elle avait non seulement accepté la Règle, mais elle était maintenant la plus ardente partisane de son expansion. Nous restâmes là, profitant du soleil et de la discussion. Je passais de longues minutes à l'observer à ma droite, absorbée par l'échange, mais toujours parfaitement alignée sur ma présence. Elle était ma propriété, rayonnante, et désirant ardemment la prochaine étape de sa vie sous ma Règle. Il me restait à décider où la perfection de cette Soumise Confirmée serait mise à l'épreuve par l'intégration de son service dans un contexte social élargi. Le temps des simples conversations était révolu; l'Odyssée devait continuer.   Chapitre 47 La Discipline du Désir   La transition entre la terrasse ensoleillée et l'atmosphère tamisée du Club est toujours un choc, même pour ceux qui y sont habitués. Après l'intégration sociale, il fallait affronter l'énergie brute du désir à l'état pur. Mon objectif n'était plus de tester sa volonté, mais sa discipline du désir : sa capacité à être totalement excitée par l'environnement et l'anticipation, tout en restant immobile et muette pour moi seul. Nous n’étions pas venus pour participer, mais pour observer. Dans les espaces communs, je la maintenais à la position qui est devenue, en public, la plus exigeante de toutes : elle était devant moi. Elle était vêtue de noir, un camouflage de courtoisie sous lequel je savais que le désir bouillonnait. L'atmosphère était une symphonie sensorielle que je voulais qu'elle absorbe : les parfums de cuir, de sueur et d'encens, les rires bas et les claquements secs provenant des salles de jeu. Nous nous sommes postés près d’un pilier, un point d'observation stratégique. Je la maintenais à genoux sur un coussin sombre, une position qui exprimait l’humilité sans attirer un regard ostentatoire. Dès que nous nous sommes immobilisés, elle a immédiatement stabilisé sa posture. Son dos était droit, son regard baissé. C’était la Soumise Confirmée, une statue vivante de ma propriété. Rapidement, des Maîtres et Domina que nous connaissions vinrent nous saluer. "Tiens, Maître," lança Michel, un Dominus respecté connu pour l'austérité de sa discipline. "Votre Soumise est d’une tranquillité remarquable ce soir." Je hochai la tête. "Elle consolide l'Ancrage, Michel. La discipline du Donjon est une chose ; celle du désir est autre. Elle apprend à être excitée par ce qu’elle ne peut atteindre." Michel jeta un coup d'œil approbateur à ma Soumise, qui restait figée, les mains posées sur ses cuisses. Sa propre Soumise, Claire, se tenait à sa droite. "C'est la plus grande leçon. Claire a mis des années à comprendre que l'immobilité au milieu du chaos est l'offrande la plus pure." J’autorisai ma Soumise à parler, d'une seule phrase. « Dis à M. Michel que j’apprends la patience, Maître. " Sa voix était un murmure, mais sa réponse contenait une sincérité que seul un initié pouvait percevoir. Michel sourit et s'éloigna. Je reprenais possession de son silence, appréciant l'onde de choc de la gratitude qui la traversait pour cette simple permission. Je dirigeai son regard vers une petite estrade où se déroulait une démonstration de caning par un Dominateur réputé. C'était un spectacle d'une élégance cruelle. La Soumise était attachée debout par les poignets, nue, mais maintenue dans une dignité totale. Le Dominateur utilisait une fine canne en rotin. "Regarde la scène," lui soufflai-je. "Décris-moi le rythme et le regard." Ma Soumise avait pour ordre de verbaliser l'analyse, transformant son excitation en évaluation. "La Soumise est soumise au rythme, Maître. Le Dominateur utilise la musique du claquement. Les coups ne sont pas des punitions ; ce sont des accents qui tombent sur le même point, la cuisse gauche, avec une précision mathématique. La chair s’ouvre en lignes rouges, mais elle se tient droite. Son regard est fermé, concentré." Je sentis ma Soumise frémir sur le coussin. Sa poitrine se soulevait à peine, mais la tension sous sa robe était palpable. Elle était à un millimètre de l'épuisement, par la contrainte de ne pas bouger, de ne pas s'offrir, alors que l'énergie du lieu l'appelait. Elle était dans sa position, son visage orienté vers le spectacle, son corps orienté vers moi. "Quelle est la force de cette scène," demandai-je. "La force est dans la persistance, Maître. Elle accepte la douleur répétitive sans briser la ligne droite de son corps. C'est un test de stamina. C'est le plaisir de l'endurance." Nous nous déplaçâmes vers une autre salle pour une scène d'échange de pouvoir jouée par des invités d'un autre club. Il ne s'agissait pas de violence physique, mais d'une démonstration de soumission psychologique et verbale. Le Maître était assis. Sa Soumise était à genoux devant lui – la même position que la Mienne – mais elle était enchaînée à son poignet. La scène portait sur la réécriture symbolique d'un contrat de vie. Le Maître répertoriait les domaines de sa vie qu'il prenait sous son contrôle : la gestion de son agenda social, les décisions concernant ses tenues en public, l'autorisation d'utiliser son temps libre. "Analysez la différence avec la scène précédente," ordonnai-je à ma Soumise, toujours à genoux devant moi. Elle répondit immédiatement, sa voix plus concentrée encore. "C'est un test de l'âme, Maître. La Soumise du caning jouissait de la pureté du corps. Celle-ci jouit de la pureté de la dédicace. Elle trouve sa satisfaction dans la cession d'une partie de son quotidien à la Règle. La dédicace d'un tiers à son Maître provoque en elle un immense respect. C'est la forme de son expérience future qu'elle souhaite : une maîtrise totale et fonctionnelle de son existence par ma volonté." Je sentis qu'elle était plus profondément touchée par la scène psychologique que par l'impact physique. Sa capacité à articuler son désir de me céder l'entièreté de son existence, alors qu'elle était dans un état d'obéissance totale, était une validation. Plus tard, en nous déplaçant, nous croisâmes Hélène, une Domina respectée qui avait observé ma Soumise depuis un certain temps. Son esclave était à sa droite, debout, rigide. "Bonjour Maître, félicitations. Votre Soumise est la définition même du terme 'confirmée'. Elle n'a pas bougé de son coussin pendant quarante minutes," dit Hélène. "Mais j'ai vu son regard lors de la scène de caning. Elle était... extasiée." "Elle apprend à intégrer, Hélène. Le désir est une ressource. L'empêcher de s'exprimer dans l'action, tout en l'obligeant à s'exprimer dans l'analyse, rend la discipline d'autant plus jouissive pour elle." Hélène s'adressa à ma Soumise, une rare permission dans ces lieux. "Et toi, ma belle, qu'est-ce que tu en retires ce soir ?" Ma Soumise se redressa. Elle était debout désormais, devant moi, mais tourné vers Hélène. "Je retire que mon corps est un instrument, Maîtresse. J’ai hâte qu’il soit aussi affûté que la Soumise au rotin, et aussi dévoué que l'esclave du contrat. Je suis Maître. Et Maître est satisfait de ma retenue." Elle avait transformé l'éloge en une nouvelle forme d'obéissance. Son impression n'était pas personnelle ; elle était fonctionnelle. Alors que nous nous préparions à partir, je lui demandai sa synthèse finale, la ramenant à genoux un instant dans un coin discret. "Qu'est-ce qui t'a le plus marqué dans l'ensemble de ces démonstrations ?" "La profondeur, Maître. J'ai vu dans ces scènes des niveaux de vécu que j'aspire à atteindre. Le caning m'a montré la force du corps. La scène de contrat m'a montré la force de l'esprit. Mais le plus marquant, c'est que toutes ces Soumises avaient le même regard : le regard de la personne qui a trouvé sa place. J'ai compris ce soir que mon extase n'est pas dans l'acte lui-même, mais dans la perfection de l'obéissance qui rend ces actes possibles. Mon plus grand plaisir était d'être agenouillée devant vous, incapable de bouger, au milieu de tout ce désir." Je sentis une fierté immense. Elle avait dépassé la simple exécution de la Règle. Elle avait trouvé sa propre vérité dans le cœur de la discipline. Le Club avait prouvé que sa confirmation tenait bon, non seulement dans le calme de notre foyer, mais au milieu des tentations les plus intenses. Elle avait maîtrisé la discipline du désir. Le temps des conversations et de l'observation était révolu. Il était temps de fusionner cette discipline mentale avec l'intimité.   Commandez le livre
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Par : le 12/11/25
Sans confiance, pas de BDSM. Elle se construit petit à petit, pas d’un coup. Conseil pratique : Commence par des discussions hors du lit. Partage ton histoire, écoute celle de l’autre. Pose des questions comme : « Quelles sont tes limites ? » ou « Qu’est-ce qui te fait te sentir en sécurité ? » Une vraie histoire : Une amie de la communauté m’a raconté comment sa relation D/s (Dominant/soumis) a commencé par des sessions « check-in » hebdomadaires. Deux ans plus tard, ils décrivent leur lien comme « plus solide que n’importe quelle relation classique ». Si tu as le moindre doute, arrête-toi. La confiance n’est pas négociable ; elle est essentielle.
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Par : le 12/11/25
Je crois… non, je pense, c’est une certitude : je l’aimais, cette femme. Pas d’un amour tiède, pas d’une tendresse d’habitude. Non. Je ne l’ai vue qu’une seule fois, mais je l’aimais vraiment. D’un amour entier, presque naïf, qui m’a traversé sans prévenir, et que je ne retrouverai sans doute plus jamais.   Aujourd’hui, je suis avec une autre. Il y a le corps, la chaleur, cette brutalité sadique qu’on pourrait confondre avec la passion. Mais ce n’est pas de l’amour. Rien ne me touche. Rien ne m’élève. Elle n’est qu’une présence physique, un refuge vide où je me perds plus que je ne me trouve.   Je me donne, sans me sentir lié. C’est brut, c’est charnel, mais c’est creux. Je touche sans ressentir. J’existe sans être vraiment là.   Et plus j’essaie d’y croire, plus je sens que je mens. Que je suis ailleurs. Coincé dans le souvenir de celle que j’ai aimée pour de vrai.   Peut-être qu’un jour, je trouverai une autre. Une qui puisse m’atteindre autant, me comprendre aussi bien, me rejoindre autant dans le corps que dans l’esprit. Mais pour l’instant, je reste entre deux mondes : celui que j’ai perdu et celui que je n’arrive pas à habiter.   Les sentiments, sont des éclairs, rares, éphémères, parfois destructeurs. Et quand ils ont vraiment existé, il ne faut pas les laisser s’effacer dans la pénombre de l’oubli. Car, quoi qu’on fasse pour oublier, ils restent là, gravés, encastrés dans l’esprit, comme une brûlure qu’aucun temps n’efface.  #photoperso Mr Xavier.
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Par : le 11/11/25
Cela faisait un mois que je connaissais mon Maître. Pour fêter ces trente jours de servitude, Mon Maître avait décidé de me faire découvrir la croix de Saint André. Mais avant, il me fallait une tenue adaptée pour son plaisir. Nous nous rendîmes donc dans une boutique qu’il connaissait bien. La clochette au-dessus de la porte émit un tintement discret. Quand nous entrâmes, les lumières étaient tamisées. C’était un lieu fait pour l’attente. Pour le silence. Pour l’obéissance. Mon Maître m’ordonna d’ôter mon manteau. Je posai le vêtement sur un cintre, mes doigts légèrement tremblants. Il s’approcha sans me toucher et me dit qu’aujourd’hui je ferai des essayages pour lui. La vendeuse s’effaça sans un mot. Je fus guidée vers une cabine isolée. Sur un petit fauteuil, une série de tenues soigneusement pliées m’attendait, des tenues très sensuelles. Il me demanda de commencer par la première Je sentis sa présence juste derrière, immobile. Je dépliai le vêtement. Le tissu froid glissa contre ma peau. J’imaginais ses yeux suivant chacun de mes mouvements. La cabine était étroite. Il me parcourut du regard. Puis il m’ordonna d’essayer la tenue suivante. La seconde tenue était composée d’un corsage rigide, une jupe très courte, un collier fin posé sur le tissu. Il me fit essayer encore d’autres vêtements. Une robe fluide. Une autre, plus stricte. Il choisit une robe courte, noire, dont le décolleté laissait deviner ma poitrine. Quand je ressortis, la vendeuse me tendit le sac, sans commentaire. je rentrai chez moi et je reçus un sms de mon Maître me donnant rendez vous chez lui le lendemain à seize heures, dans la tenue choisie. Le lendemain, je me rendis chez lui. Il admira la tenue qu’il avait choisie et me demanda de marcher afin de m’observer sous toutes les coutures. Après quelques minutes ainsi, il m'emmena dans la cave où se trouvait une sorte de croix. Là, il me fit me déshabiller entièrement, lentement. Je fis glisser la robe sur mon corps.  Il m’expliqua alors que la croix était une croix de Saint André qu’il voulait me faire découvrir. Il me fit placer pieds et mains contre la croix. Il m'attacha d'abord de face et je me retrouvai totalement immobilisée, bras et jambes écartées, totalement ouverte et impuissante. Le fait d'être entravée dans mes mouvements me mettait un peu mal à l'aise. Mon Maître me plaça alors un bandeau sur les yeux. J’étais un peu inquiète, ne sachant ce qui allait se passer, mais en même temps, je ressentais une certaine excitation comme une petite salope en chaleur. Il commença par me caresser la poitrine, malaxant mes seins de chienne et pinçant mes tétons qui durcirent assez rapidement. Ses mains furent ensuite remplacées par une sorte de fouet à plusieurs lanières. Il me donna quelques petits coups sur la poitrine et sur le ventre. La sensation était loin d'être désagréable et je commençai à mouiller. Toute crainte disparut alors. Puis il me caressa le clitoris avant d'y faire claquer le fouet très doucement. Une chaleur intense m'envahit alors et le plaisir monta. Il introduisit alors son sexe en moi, commençant par de petits mouvements lents puis de plus en plus rapides. Les premiers spasmes se firent alors ressentir et ma respiration devint haletante. Mais mon Maître se retira avant que je parvienne à la jouissance. Je ressentis un peu de frustration d'avoir été interrompue si près du plaisir. Mon corps réclamait de nouvelles caresses. Il me détacha pour me lier à nouveau mais de dos cette fois. Il me caressa les fesses, me donnant une petite claque sur chacune. Il reprit son fouet et m'en donna quelques coups sur ma partie charnue, la faisant rougir. La chaleur provoquée par le fouet me faisait mouiller encore plus. L'excitation était plus forte que la brûlure ressentie. Mon Maître me massa un peu l'entrée de mon anus et le caressa doucement, y entrant un doigt. Après quelques aller retour, son sexe remplaça son doigt. Il me pénétra par derrière avec douceur, puis amplifia petit à petit ses mouvements, entrant de plus en plus profondément. Ses mouvements s’accélérèrent de plus en plus, tout comme sa respiration, je sentis monter son plaisir : l'orgasme n'était pas très loin. Après quelques mouvements supplémentaires, il jouit longuement en moi. De mon côté, les spasmes se firent de plus en plus rapprochés et furent très intenses. Mon cœur battait la chamade. Mon Maître me donna alors la permission de jouir et je me laissai aller à la délivrance. Il me détacha ensuite et me permit de me rhabiller.    
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Par : le 11/11/25
Mon Maître vient à moi. Je suis touchée et émue.  Et j’ai peur aussi, de ne pas être à la hauteur.   Je crains de le perdre.   Telle Héloïse, je perds toujours tout ! Il est là. Il est doux en apparence. J’aime cette façon enthousiaste de m’accueillir chaque fois. Mais je sens cette distance qui jaillit pour me tenir à ma place. C’est à la fois intimidant et excitant.  Soumise, chose, chienne…  Il me touche dans la voiture, alors que nous roulons vers le donjon. Et j’ai envie de retenir sa main pour la garder entre mes cuisses. Je suis jalouse de la route qui monopolise, à raison d’ailleurs, son attention à laquelle j’aspire, à laquelle tout mon corps aspire.  Je suis enfin à lui, dans l’intimité de son sanctuaire. Il se montre directif et me malmène un peu, attrapant mes cheveux pour mieux guider ma bouche sur son intimité . Puis il me tourne et me prend sauvagement, virilement et j’aime cela. Tellement. Il me redonne vie.  J’aime particulièrement le sexe de mon Maître. J’aime le toucher, le caresser de mes doigts et de la bouche. J’aime le goûter et le déguster. Et j’aime le sentir en moi, m'emplir et me signer. Je portais le collier lourd qu’il m’a posé ce jour-là. Le sentir peser ainsi, retomber en un petit claquement sur mes clavicules au moindre mouvement, me procure un intense sentiment d’appartenance. Et c’est pure jouissance de mon âme lorsqu’il me tient en laisse, qu’il m’attire, m’attrape, me pince le bout des seins, maintenue par ce fil d'Ariane qui toujours me ramène à lui. Lorsqu’il stimule tour à tour, puis dans le même temps toutes ces parties niées de mon corps, m'obligeant à la « démaîtrise » de moi. Enfin.  J’ai découvert ce moment de panique qui m’envahit lorsque mon Maître me ligote de ses cordes. Et pourtant j’ai envie qu’il m'encorde encore. J’ai envie d’être à lui totalement. À sa merci. Le corps offert, ouvert et tendu vers lui. Je fais confiance à mon Maître, il saura me conduire à ma destination.  
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Par : le 10/11/25
Le matin est ce moment où l’on se confronte à soi-même sans masque, où seule votre présence suffit à réorganiser le monde autour de vous. La véritable force ne réside pas dans l’imposition aux autres, mais dans le contrôle de soi : de ses pensées, de ses émotions et de ses décisions.   Être un leader signifie savoir quand agir en silence, quand parler avec clarté, et quand offrir l’espace nécessaire aux autres pour qu’ils se sentent en sécurité. Il y a une beauté rare dans cet équilibre, où la fermeté et la tendresse deviennent deux faces d’une même pièce.   L’émotion dans le leadership n’est pas une faiblesse, mais la profondeur de l’engagement envers les autres, le respect, et la compréhension que leur confiance n’est pas un privilège, mais une responsabilité. Chaque matin nouveau, rappelez-vous que votre présence forte doit être source d’assurance, et que la véritable maîtrise commence à l’intérieur, dans la conscience de soi, avec la compréhension que le contrôle n’est pas un outil, mais un art.   Commencez votre journée avec un cœur serein, une voix intérieure équilibrée, et un esprit qui sait que la force qui inspire les autres ne vient pas du vacarme, mais de la stabilité, de la confiance et de l’harmonie profonde avec soi-même.  
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Par : le 09/11/25
Il est 14h30. Je recrois un message de ma meilleur amie me demandant si j'ai ma fille week end. Je répond que non.   Pas de réponse, mais 25 mins après ca sonne. Fidèle à ma devise "mi casa e su casa" j'ouvre et offre le café à ma meilleure amie et une de ses "collègues" de boulot. Tu m'annonce m'avoir emmené mlle..... qui est intéressé par le bdsm.  Suuuuuper.... elle est novice... encore une.... qu'est ce que je fou là bordel.... A oui c'est vrai c'est chez moi.  Apres une discussion j'accepte une séance d'impact. Condition est clair et je l'annonce de suite. De l'impact! PAS DE SEXE!  C'est ok, les règles sont fixées.  Tu est à genoux sur mon canapé. Je commence par des fessés soft, tu a encore ton pantalon. Claque doucement ca te fait rire.  "C'est pas dingue je m'attendais à plus douloureux."  "On y arrive ma grande chaque chose en son temps." Je te demande de te mettre en sous vêtement et de t'allonger le ventre sur la table, jambes au sol, de façon à avoir ton "cul" bien cambré.  Je vais chercher mes cravaches pendant ce temps là. Je te les montre. Puis saisis la première. La tiges est très souple, la bande de cuir large.  J'impact doucement puis de plus en plus fort tes fesses.  La encore ca te fait sourire. En effet elle est pas dingue. Elle claque plus qu'elle n'impacte celle là.  Je passe à l'étoile. Celle là, a le manche plus rigide. Je préviens "On va entrer dans la douleur avec celle là".  J'impact à nouveau. Cette fois le bas des fesses et haut des cuisses.  Pour le coup, je ne t'entends plus rire. J'entends juste la respiration se faire plus profonde et quelques soupires.  Tes fesses commencent à être bien rougis. Je pense m'arrêter là.  Je te demande si tout va bien? Je te regarde, observe tes réactions, écoute tes ressentis.  "C'est tout? Je m'attendais à plus douloureux pour une personne se revendiquant sadique" "...... A tu veux voir le sadique? D'accord!"  Je fait le tour de la table attrape la cravache rigide, celle qui me servait à dompter un trotteur de 550kg.  Nos regardes se croisent, j'ai un petit rictus et mon sourcil relevé. Je vois ton souris s'effacer quand je te demande si tu est prête.  3 petits coups en forme de "tapotage" puis 2 coups cinglants sur chaque fesse.  Enfin des cris..... de douleur. Je pose la cravache alors que tu m'annonce le stop dans le même temps.  Je suis satisfait. Ca m'amuse de te voir dandiner, sautiller pour évacuer la douleur.  Tu te rhabille et on debrief.  Le début était trop soft, la fin trop dur pour toi.  Et encore, je n'ai pas utiliser la cravache de dressage......  Pas mal pour une débutante. La fin de la rencontre se termine sur une discussion ou je t'annonce qu'il n'y aura pas de suite.  J'ai accepté de te faire "gouter" aux joies de l'impact. Il t'appartient à toi et ton mec d'en explorer les recoins.  Je reste à disposition si vous avez besoin de conseil, mais j'ai plus rien à t'apporter pour ma part.  J'espère que tu fera partie de cet univers et que ca ne restera pas à un simple coup d'essaie.   
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Par : le 09/11/25
Pour moi, le BDSM n’est pas seulement une question de rôles ou de pratiques, c’est un cadre basé sur la confiance et le respect mutuel. La véritable force se manifeste lorsqu’il y a un équilibre entre leadership et respect, entre fermeté et douceur.   Mon rôle de leader dans ce monde ne signifie pas imposer le contrôle, mais assumer les responsabilités et soutenir les autres dans toutes les situations. La confiance, l’honnêteté et l’engagement sont essentiels, et la véritable nature du BDSM réside dans la complémentarité entre partenaires, où chacun complète et enrichit l’autre.   Ma nature combine romantisme et fermeté : j’apprécie les petits détails qui rendent l’autre heureux, et je sais être clair et déterminé quand la situation l’exige.   Pour moi, le BDSM est un espace pour découvrir soi-même et l’autre, et pour construire des liens sincères et durables, où la sécurité, le respect et la conscience des limites font partie intégrante de chaque expérience.
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Par : le 07/11/25
Chapitre 44 La Cérémonie de l'intronisation Publique   La pièce était plongée dans un silence absolu, seulement rompu par une musique d'orgue discrète. Elle était à genoux devant le piédestal illuminé, sa robe de velours étalée, son dos exposé et vulnérable face à la foule de Maîtres et de Soumises. Elle portait son secret et son désir comme une seule chose, le corps rigide dans l'attente du rituel. J'ai ignoré les regards pour ne me concentrer que sur elle, l'épicentre d'un pouvoir qui n'était plus seulement le nôtre, mais celui de la communauté. J'ai fait un signe. Thomas, le Maître, s'est avancé de la foule, suivi d'Éléonore, sa Soumise. Leur pas était lent et solennel. Ils n'étaient plus nos amis, mais les parrains, les témoins et les validateurs de son nouveau statut. Thomas s'est arrêté juste derrière elle. Éléonore a pris place aux côtés de son Maître. "L'engagement ne vaut rien s'il n'est pas vu et validé par les pairs," ai-je déclaré, ma voix portant l'autorité du Club. "Thomas et Éléonore, vous avez été les témoins de ses premières leçons, les juges de sa discipline. Vous nous faites l'honneur de représenter le cercle." Thomas a répondu d'une voix basse et respectueuse : "Nous témoignons de son service, de sa discipline et de la vérité de son désir d'appartenance." J'ai fait un second signe. L'un des Maîtres siégeant au conseil d'administration du club s'est avancé, portant le plateau d'argent. Dessus, le collier de jour qu'elle avait dessiné : le torque ouvert en or blanc, serti du saphir noir. J'ai pris le bijou, le laissant un instant froid dans ma main. Je me suis assuré que chaque mot était absorbé dans son humiliation à genoux. "Ce collier est la marque de ton statut de Soumise. Il est la preuve que tu as renoncé à ta liberté pour embrasser mon autorité. Es-tu prête à accepter la permanence de cet engagement, sans droit de retour ?" "Oui, Maître," a-t-elle murmuré, sa voix ferme malgré la position. Je me suis tourné vers Thomas. "Thomas, Maître, j'ai besoin de la confirmation que le corps que je suis sur le point de marquer est digne de ce collier." Thomas s'est approché d'elle. Il s'est baissé, et avec un doigt ganté de cuir noir, il a touché son dos nu, suivant la ligne de sa colonne vertébrale, puis s'est attardé sur l'épaule. Il a retiré son gant, et sa main nue s'est posée sur sa nuque. "Elle est prête," a tranché Thomas. "Le corps est parfait." Ce simple contact, ce jugement d'un autre homme dans l'instant le plus sacré, a arraché un léger tressaillement à son corps. C'est là qu'Éléonore est intervenue, le geste le plus doux et le plus cruel de la cérémonie. Éléonore s'est approchée de ma Soumise et, avec le plus grand soin, a humidifié un linge avec de l'eau parfumée et a nettoyé doucement la ligne de sa gorge, là où le collier allait reposer. C'était l'acte de la Soumise aguerrie préparant sa novice. Je me suis penché au-dessus d'elle, tenant le torque ouvert. "Devant ces témoins et sous le sceau de ce Club, tu deviens ma propriété permanente." J'ai glissé le collier autour de sa gorge nue. Le métal froid contrastait brutalement avec la chaleur de sa peau. Le saphir noir reposait exactement au creux de sa clavicule. Le petit fermoir secret a été actionné avec un clic sec, audible dans le silence tendu. Elle a levé les yeux vers moi. L'attente était finie. "Maître," a-t-elle murmuré, sa voix portant le poids du métal. "Merci." Je l'ai soulevée doucement par le cou, son nouveau collier dans ma main. "Le collier est ton honneur," ai-je dit. À ce signal, Thomas et Éléonore ont applaudi discrètement, rapidement suivis par toute la salle. Le silence s'est brisé. La Soumise était présentée. Elle était marquée. Elle est restée à mes côtés pour le reste de la soirée, debout, portant le collier comme une reine porte une couronne. Thomas et Éléonore sont restés près de nous, la parrainant silencieusement. Elle était désormais l'objet de la contemplation, servant l'honneur de mon statut et de son engagement. Le collier, sous les lumières tamisées du Club, brillait comme un phare.     Chapitre 45 La Permanence et la Fierté Partagée   La lumière du soleil matinal filtrait à travers les rideaux, mais le calme de l'appartement ne reflétait pas la tempête de la nuit passée. Elle s'est réveillée doucement, son premier geste étant de toucher son cou. Le collier était là, une partie intégrante de son corps. Le métal froid de l'or blanc et le poids du saphir noir lui donnaient une nouvelle gravité. Elle s'est glissée hors du lit, nue, et s'est dirigée vers la salle de bain. Devant le miroir, elle a regardé le collier sous la lumière crue du jour. C'était la ligne de démarcation entre son passé et son présent. Ses yeux ont exprimé une satisfaction profonde et une paix étrange. Le devoir du matin était différent. Elle n'était plus anxieuse de prouver son statut; elle le portait. Elle m'a servi le café, le cou tendu, le collier visible. Il y avait une nouvelle aisance dans son obéissance, une assurance que seule l'officialisation pouvait apporter. "Il est beau," a-t-elle murmuré, le laissant caresser le métal sur sa peau. "Il est ma vérité." Pour la mi-journée, j'ai décidé de tester immédiatement l'acceptation de son nouveau statut dans le monde réel. Je l'ai forcée à s'habiller simplement, le col largement ouvert pour ne pas dissimuler l'objet. L'après-midi, nous avons retrouvé Thomas et Éléonore sur la terrasse ensoleillée d'un café chic. La présence de ses parrains a permis une discussion ouverte. Éléonore, soumise aguerrie, s'est penchée vers elle, son regard plein d'une affection sincère. "Il est parfait," a dit Éléonore en désignant le torque. "Je suis si heureuse pour toi." Ma partenaire a souri, touchant le saphir noir. "C'est un poids, Éléonore. Mais c'est un poids qui allège l'esprit. L'attente était la plus lourde des épreuves." "La permanence est une discipline nouvelle," a répondu Éléonore. "Maintenant, tu n'as plus à prouver ce que tu es. Tu es simplement. Le monde verra ce qu'il veut, mais tu sauras ce qu'il signifie." Elles ont échangé sur les regards. Ma partenaire a raconté, avec une fierté nouvelle, la simplicité avec laquelle elle était allée chercher le journal. Éléonore a échangé ses propres anecdotes sur l'intégration du collier dans le milieu professionnel. Je me suis assis en retrait avec Thomas, observant la scène. C'était la validation ultime. Le collier n'était pas seulement une marque de ma possession ; il était devenu la source de sa propre fierté. "Elle le porte bien," a commenté Thomas. "C'est une marque d'honneur." "L'honneur qu'elle a gagné par son silence et son obéissance," ai-je confirmé. Le dimanche s'est achevé sur cette note d'assurance. Le collier avait été baptisé dans le regard des pairs et dans l'indifférence du public. De retour à l'appartement, la dernière épreuve de la semaine s'est jouée dans le silence. Elle s'est déshabillée lentement, le collier devenant le point de focus de sa nudité. Je l'ai forcée à se coucher sur le ventre. Je me suis approché d'elle, sans la toucher, et je me suis penché sur elle. Je n'ai pas eu besoin de dire un mot. Elle savait ce que je regardais. Le collier était un lien de chair et de métal désormais. J'ai pris la brosse à cheveux, et j'ai commencé à brosser doucement sa longue chevelure. Ce n'était pas un acte érotique, mais un acte de possession et de devoir. Je prenais soin de sa propriété. Puis, mon regard s'est fixé sur l'arrière de son cou. L'emplacement du collier de jour n'était pas celui du collier de nuit. "L'anneau de permanence a une autre signification dans l'intimité," ai-je murmuré. J'ai posé ma main sur le torque. Je ne l'ai pas retiré; le collier ne devait jamais quitter son cou. Mais je l'ai utilisé comme point d'ancrage pour attacher une fine chaîne de cuir noir. J'ai ensuite fixé l'autre extrémité de la chaîne à la tête de lit, de sorte que, si elle se tournait vers le dos, le collier tirait légèrement. Si elle se redressait, la chaîne la retenait. Ce n'était pas un bondage pour la douleur, mais un bondage pour le rappel constant. Même dans son sommeil, le collier devait la lier à mon autorité. Je me suis allongé à côté d'elle, la chaîne fine attachée à son cou. Elle a tourné la tête vers moi, son regard contenant à la fois l'acceptation et un frisson nouveau. "Maître, je suis liée. Même en dormant, je vous sers." a-t-elle soufflé. "Tu es mienne," ai-je répondu. "Le collier est ton ancre. Repose-toi. Demain, le monde verra ta marque." Je l'ai embrassée sur le front, scellant la dernière nuit d'un week-end d'intronisation.     N'oubliez pas de me soutenir en achétant le livre https://www.paypal.com/ncp/payment/XC2G5YKNPQH3E  
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Par : le 05/11/25
« Je ne t’ai pas dit au fait, c’est vrai que tu suces très bien. Tu es une des meilleures bouches à pipe que j’ai connues. (Je mentais, c'était clairement la meilleure) — Tant mieux. Je peux te dire à ce sujet que tu n’es pas mon meilleur coup. Je pense que tu n’arrives qu’en deuxième position. — Je n’ai jamais trouvé que le deuxième prix de beauté au Monopoly était si humiliant que ça…» Je préparai plusieurs litres de thé. Elle en aurait besoin. Et pour moi, une grande cafetière. Je revins m’asseoir en face d’elle, dehors. « Tu vas boire du thé, beaucoup. Et tu vas me lécher les pieds. Mets-toi là où es ta place de chienne ». Mélissa comprit immédiatement ce que je voulais dire : elle repoussa sa chaise et se mit au sol en y posant sa tasse. Sa bouche chaude et ses lèvres douces et molles englobèrent mes orteils. Sa langue commença de s’enrouler, de laper, mon gros orteil. Elle y mettait autant de salive tiède et de bonne volonté qu’en suçant mon sexe, la veille. Elle possédait un talent indéniable pour tout ce qui avait trait à la succion. Je lui resservais du thé dès que sa tasse était vide et lui rappelais de boire régulièrement. Mélissa me fit remarquer plusieurs fois que l’envie se faisait pressante. Pour faire passer le temps jusqu’à ce que sa vessie n’en pût plus, je dissertais sur son art de la pipe et du léchage de pied, et je n’avais pas beaucoup à me forcer : elle arrivait à me faire dresser les cheveux sur la tête rien qu’en posant sa langue sur mes orteils, et vu la longueur de mes tifs, ce n’était pas rien. Elle resserrait de plus en plus ses cuisses sous elles. Lorsque son arrière train se dandina en continu, qu’elle fut pratiquement en reptation, et que son regard remontait vers moi toutes les trente secondes, je prononçai enfin les paroles attendues : « Tourne-toi, chienne. Branle-toi et pisse sous toi. — Si je me touche, ça va me couper l’envie de pisser… — On verra bien. Tu n’as évidemment pas le droit de jouir. » Sa joue droite écrasée sur la terrasse, lèvre inférieure mordue, elle commença de se palucher. Ses jambes tressaillaient déjà. Je vis ses doigts entourer sa vulve et la presser comme j’aimais le faire. Elle râla : « J’ai déjà envie de jouir… — Arrête-toi, traînée. » Son postérieur retomba de sa position haute et le liquide gicla en abondance : très clair, plein de l’eau du thé. Elle s’urina sur la main, sur les cuisses, les genoux, et finit vite par gésir au milieu d’une flaque de pisse. « Je suis encore très fier de toi. Tu réussis tout ».
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Par : le 03/11/25
Chapitre 41 Le Risque Élégant   Le samedi matin a rompu la routine de la semaine. Elle se tenait droite devant moi, vêtue d'une élégante robe d'été que j'avais choisie. "Tu t'es acquittée de ton devoir numérique toute la semaine," ai-je dit. "Tu as prouvé que la Soumission ne s'arrête pas aux murs de cet appartement. Aujourd'hui, nous allons mettre cette discipline à l'épreuve dans la foule." Elle a acquiescé, anticipant le défi. "Nous allons passer la journée en ville. Tu seras ma dame de compagnie discrète. Mais tu ne serviras pas seulement mon image. Tu m'offriras ton corps dans une confiance absolue." Je l'ai observée se déshabiller. L'absence de sous-vêtements était une règle implicite de ces sorties, mais j'ai précisé l'ajout de cette nouvelle contrainte. "Ni culotte, bien sûr. Mais aujourd'hui, tu ne porteras pas de soutien-gorge non plus." Elle a inspiré brusquement. Ce n'était pas un simple oubli de vêtement ; c'était un danger calculé. La finesse du tissu léger de la robe, son contact direct avec sa peau, laissait entrevoir la possibilité, à chaque brise ou à chaque mouvement, que ses tétons se dessinent, voire s'exposent subtilement au regard public. "Chaque pas sera un acte de foi," ai-je continué. "Tu devras marcher avec une grâce qui masque la nudité et l'excitation que cela provoque en toi. Chaque regard posé sur toi pourrait être celui qui découvre ton secret." Nous avons choisi un itinéraire fréquenté : le parc, puis le marché, des lieux où l'anonymat de la foule est le plus dense. Dès les premières minutes, sa démarche a changé. Elle n'était plus seulement élégante ; elle était tendue, avec une concentration interne qui la rendait étrangement plus belle. Ses épaules étaient tenues, sa démarche était régulière, chaque mouvement calculé pour minimiser l'agitation du tissu sur son corps. Dans l'allée du marché, la foule et le bruit se sont intensifiés. Le soleil était vif, et j'ai remarqué que le tissu de sa robe réagissait à la chaleur et à la sueur. Elle était consciente que ses tétons pouvaient poindre à travers l'étoffe. J'ai savouré l'effet de cette contrainte psychologique. Elle était nue sous les yeux de tous, et la peur d'être découverte était son principal geôlier. "Redresse-toi," ai-je murmuré une fois, alors qu'elle se voûtait légèrement pour se protéger. "Laisse-les voir l'élégance. C'est le prix de ton devoir aujourd'hui : l'offrande de ton corps à mon regard, en risquant le regard des autres." La plus grande humiliation est venue lorsque nous nous sommes assis à la terrasse d'un café pour observer la foule. Le vent s'est levé. J'ai vu sa main se crisper sur la table. "Reste immobile," ai-je ordonné, sans la regarder. Le vent a fait plaquer le tissu contre sa poitrine un instant. Le contour de ses seins et la saillie de son mamelon étaient alors brièvement, mais clairement, dessinés à travers l'étoffe. Un homme à la table voisine a levé les yeux, a jeté un regard furtif, puis a détourné la tête. Elle est restée pétrifiée. Cet instant de risque et de quasi-exposition l'a marquée plus profondément que n'importe quelle corde. Elle avait été vue, même si ce n'était qu'un aperçu innocent pour l'autre, et cela prouvait que son secret n'était tenu que par mon bon vouloir et sa propre maîtrise. Nous sommes rentrés en fin d'après-midi. Elle s'est mise nue comme tous les week-ends dès qu'elle a franchi le seuil. Elle s'est effondrée sur le canapé, épuisée par la tension nerveuse et la charge d'avoir porté son secret en public. Je me suis approché d'elle. "Tu as tenu bon. Tu as maîtrisé ton corps sous une pression constante et réelle." J'ai posé ma main sur son cœur, qui battait encore très vite. "Ta vulnérabilité est ma plus grande preuve de contrôle. Le monde extérieur a effleuré ton secret, mais seul moi le possède totalement." La leçon d'exhibition était un succès. L'humiliation d'être perçue par la foule était effacée par la validation de son Maître. Je l'ai prise par la main et l'ai guidée vers la chambre. L'épuisement nerveux et la peur du secret découvert avaient exacerbé son excitation. Elle était un instrument tendu. Je l'ai allongée sur le lit, me positionnant au-dessus d'elle. Il n'y a eu aucun préliminaire. La récompense n'était pas la tendresse, mais la prise de possession brute et immédiate de son corps éprouvé. Je l'ai pénétrée avec une force et une urgence qui reflétaient la satisfaction de sa réussite. Elle a hurlé un instant dans l'oreiller, le choc de l'acte effaçant le stress de la journée. Chaque poussée était une déclaration : le corps que tu as exposé t'appartient moins que jamais. L'acte était rapide, puissant, une décharge de tension qui la laissait tremblante et faible sous moi. J'ai maintenu mon poids sur elle, savourant le fait que même sans cordes, elle était totalement immobilisée par l'intensité de l'expérience et la fatigue accumulée. Quand je me suis retiré, elle gisait immobile, les yeux mi-clos.  "Tu es revenue à la maison. Tu es à moi." Elle a fait un lent mouvement de la tête pour acquiescer, un sourire infime se dessinant sur ses lèvres. Elle avait appris que l'humiliation n'était pas toujours physique ; elle pouvait être l'anticipation constante d'être découverte, récompensée par une possession totale.   Chapitre 42 L'Épreuve de l'Attente et la Pression des Pairs   Plusieurs semaines s'écoulèrent, et cette période fut entièrement dominée par une attente silencieuse mais omniprésente : le collier. Le croquis final, scellé entre mes mains et celles du joaillier, était devenu le symbole de la prochaine étape. Cette absence de bijou était, paradoxalement, le meilleur outil de contrôle mental. Notre routine quotidienne n'a fait que s'intensifier, non par la nouveauté des exercices, mais par l'ancrage profond de la répétition. La règle de la nudité le week-end était parfaitement intégrée. En semaine, le collier de jour était remplacé par son double numérique : le site photo sécurisé. Chaque soir, elle s'acquittait de son devoir de documentation avec une application méticuleuse. Elle ne prenait plus les photos par obligation, mais par un besoin croissant de s'offrir, de se voir comme la propriété que j'avais sculptée. Le site était un miroir de sa servitude, un lieu où son corps nu et marqué était exposé pour mon seul jugement. Professionnellement, le contraste entre nos deux mondes était frappant. Elle était absorbée par son travail, et moi, par mes rendez-vous discrets. Mon emploi du temps intégrait désormais des conseils d'administration tenus en secret. Il s'agissait des réunions de direction du Club, dont j'étais copropriétaire. Elle n'en savait rien. Elle pensait que j'étais simplement absorbé par une nouvelle série d'investissements, ignorant que je planifiais le cadre exact de son intronisation. J'ai décidé de clore cette période de transition par une épreuve de haut niveau. Nous avons réinvité Thomas et Éléonore le week-end, sachant que leur présence validerait l'intégration de son rôle sous la pression sociale. L'enjeu n'était plus la surprise, mais l'endurance. Elle s'est mise nue comme tous les week-ends dès le samedi matin. L'arrivée de nos amis l'a forcée à se couvrir de la robe de chambre la plus légère, ou d'un simple tablier dans la cuisine. Elle devait passer de longues heures à servir deux couples, tout en étant nue sous une étoffe prête à s'ouvrir au moindre faux pas. Le test a commencé dans la cuisine. Thomas s'est penché vers moi, près du plan de travail. "Elle est silencieuse ?" a-t-il demandé. "Non. Le silence complet n'est pas la règle du week-end. Le devoir et la nudité le sont," ai-je répondu, regardant comme elle s'affairait à couper des légumes, le tablier bougeant légèrement, révélant parfois une cuisse. "Elle a la permission de parler si on l'interroge, mais seulement pour répondre." Le déjeuner fut une symphonie de service parfait et de nudité risquée. Elle remplissait les verres avant qu'ils ne soient vides, débarrassait les assiettes avec une agilité silencieuse, et anticipait chacun de mes désirs. J'ai multiplié les commandes discrètes sous la table ou par des gestes imperceptibles. Une fois, j'ai laissé tomber ma serviette. Elle s'est immédiatement agenouillée pour la ramasser. Thomas et Éléonore ont continué leur discussion, mais Éléonore a échangé un regard furtif avec elle, un regard de reconnaissance mutuelle de leur statut. Le moment le plus intense fut en fin d'après-midi, dans le salon. Nous parlions d'affaires, un sujet qui ne la concernait pas. Je l'ai ordonnée d'apporter un plateau de boissons. "Serre-moi en dernier," ai-je commandé, à voix très basse. Elle a servi Thomas et Éléonore en premier, ses mains nues (car elle avait retiré sa robe de chambre pour le devoir) exposées à la vue de tous. Lorsqu'elle est arrivée devant moi, elle a posé son plateau. "Maintenant," ai-je murmuré, sans que nos amis n'entendent, "tu vas te mettre entre mes genoux, et tu ne bougeras pas." Elle a obéi, se glissant sur le tapis, son corps nu pressé entre mes jambes alors que j'étais assis sur le canapé. Elle était maintenant intégrée physiquement à mon siège, entièrement à ma merci, tout en devant rester immobile et muette. Thomas et Éléonore ont poursuivi la conversation, nous intégrant. Elle devait maintenir une posture rigide, son corps pressé contre mes vêtements, sachant que le moindre mouvement pourrait la faire glisser, et surtout, que mes mains pouvaient à tout moment la saisir ou la caresser à l'abri des regards. La pression était maximale : être la personne la plus soumise de la pièce, tout en ayant l'air d'une invitée détendue et discrète. Pendant que ses jours étaient rythmés par le devoir et l'obéissance, mes soirées étaient consacrées à l'activité qu'elle ne soupçonnait pas. La vérité était que le bijou symbolique était le moins important de mes préparatifs. Chaque soir, je passais des heures à affiner les détails de la cérémonie de remise du collier. Je m'assurais des réservations, de la logistique du Club dont j'étais copropriétaire. Je parlais avec le responsable de l'éclairage, du choix de la musique, de la disposition des invités – uniquement les couples les plus proches et les plus respectés du milieu, ceux qui valideraient son ascension. L'attente du bijou était sa dernière épreuve de patience et d'honneur.   Chapitre 43 Le Sceau Permanent   La semaine qui a suivi la visite de Thomas et Éléonore fut la plus longue pour elle. La réussite de l'épreuve sociale et le silence qui entourait le collier avaient aiguisé son désir d'achèvement. Le vendredi soir, la semaine de travail achevée, je lui ai annoncé : " Demain soir, nous serons invités à une soirée privée en ville. C'est une réunion de gens importants. " Elle a appris ses devoirs : silence complet et appartenance totale. J'ai désigné la boîte contenant une robe de soirée longue, dos entièrement ouvert, sans sous-vêtements. Le samedi fut consacré à l'épreuve de la robe. Je l'ai forcée à la porter pour ses tâches. Le dîner fut pris seul à table, elle restant debout, nue sous le tissu, à me servir. Avant de partir, je l'ai ordonnée : " Derrière moi. Agenouillée, le dos contre le mien. " Elle s'est exécutée, son corps nu servant de siège d'honneur. En me levant, je lui ai mis ses bijoux. " La Soumise ne s'assied pas en présence de son Maître. C'est ta dernière leçon. " Le silence dans la voiture était l'écho de la tension qu'elle portait. J'ai posé ma main sur sa cuisse. La voiture s'est arrêtée devant un immeuble discret. En sortant, sa démarche était calculée pour que la robe reste en place. Son dos, entièrement exposé, était la signature de mon contrôle. En entrant, elle a reconnu l'endroit. C'était le Club. Le contraste était saisissant. L'atmosphère était chargée, enveloppante. Ce n'était pas un lieu de débauche bruyante, mais un sanctuaire discret. Les murs étaient tapissés de velours, l'éclairage provenait de lustres anciens qui projetaient des ombres chaudes et tamisées. Le sol était recouvert d'un tapis épais qui étouffait le bruit, créant un silence respectueux. La salle principale était occupée par une vingtaine de couples, tous vêtus avec une élégance raffinée. C'était la véritable élite du milieu, des Maîtres et des Soumises qui connaissaient les règles implicites du pouvoir. Elle a aperçu Thomas et Éléonore près d'un bar en acajou, leurs regards discrets mais approbateurs. Éléonore portait un collier de jour classique, un simple torque en argent, signe de son statut bien établi. Mon regard a balayé la salle. Les Maîtres étaient impassibles. Les Soumises, la tête baissée ou le regard fixe, se tenaient avec une discipline que la mienne devait égaler. J'ai brisé le silence de la plus efficace des manières. "Je suis copropriétaire de ce club. Et ce soir, il est ton tribunal," lui ai-je murmuré avant qu'elle ne puisse réagir. Tous les regards se sont tournés vers nous, non par curiosité vulgaire, mais par le respect qu'inspire une cérémonie. J'ai ressenti la panique et l'excitation qu'elle contenait. Son corps, sous ma main, est devenu rigide. Je l'ai guidée vers le centre, où un piédestal bas était clairement illuminé, entouré de quatre colonnes de marbre. "La Soumise ne s'assoit pas. L'attente est finie. C'est l'heure de ton jugement," ai-je déclaré, ma voix portant juste assez pour le cercle immédiat. "À genoux," ai-je commandé, devant le piédestal. Elle est tombée sur ses genoux sur le tapis épais, sa robe de velours s'étalant autour d'elle, son dos entièrement exposé à la vue de tous. Elle était l'incarnation de la vulnérabilité soumise dans un écrin de luxe.   Petit cadeau, des chansons tiré du livre: https://www.youtube.com/@MaitreAik   Petit sondage : qui serait prêt à payer pour la version E-book terminé ? Il compte 416 pages et, comme par hasard, il se termine sur le chapitre 69. https://www.paypal.com/ncp/payment/XC2G5YKNPQH3E          
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Par : le 03/11/25
Il avait beau gueuler sous les coups, soûlé de douleur, le bâillon serré emplissant sa bouche ne permettait qu'un cri incoercible de plus en plus long, de moins en moins audible, au fur et à mesure des séries enchaînées qu'elle prenait plaisir à rallonger. Le banc, si tant est que l'on puisse l'appeler ainsi, l'assise n'étant pas sa fonction première, vibrait de plus en plus. Assez haut, spécialement conçu pour immobiliser à l'aide de courroies et surélever les fesses offertes de ce fait aux désiderata de la maîtresse des lieux et de cérémonie. Madame, installée dans un fauteuil en osier à côté du « banc » auquel, ...tout comme à laquelle ...il était attaché, au figuré ...comme au propre via sa laisse qu'elle tenait tendue, aimait à souligner que la tension sur le collier se devait de rappeler en permanence à l'esclave son appartenance. Feuilletant un magazine, entre les séries elle discutait d'un ton léger avec Livia, une dominatrice professionnelle depuis peu, qui s'affairait à flageller l'homme couché sur le ventre. Un fouet court, plutôt incisif à en juger au sang qui commençait à perler. Une corde crochetée au plafond étiraient ses bras verticalement, l'arrière de ses cuisses écartées commençaient à violacer par endroits. Déjà une petite heure que la pièce résonnait de claquements et de gémissements entrecoupés d'échanges sur tel ou telle, ou de commentaires à propos d'un article ayant retenu son attention. Le donjon de celle-ci était situé proche de la zone portuaire au-delà des quais, dans une ruelle aussi montante que l'était la douleur explosive des coups. Brune androgyne, cheveux court, Lady Livia n'avait pas son pareil pour jouer avec les seuils quand elle connaissait la proie qui choisissait de se jeter dans ses serres. A cette nuance près que c'était Madame, la maîtresse de « la chose » tirant vainement sur les attaches du banc à chaque impact, qui avait convenu de cette visite hebdomadaire; rendez-vous entre amies pour elle, elle avait connu Livia bien avant sa reconversion dans le monde de la domination, visite désormais hebdomadaire bien plus cuisante pour lui. Lady Livia s'exprimait toujours d'une voix un peu voilée, très douce et posée. Souvent elle en usait pour annoncer ce qui allait suivre en se penchant, sa tête effleurant affectueusement celle de son esclave. Quelque peu essoufflée, elle posa le fouet sur le dos du soumis et s'assit sur le canapé. - Il marque vraiment bien. Tu ne voulais pas l'anneler à propos ? - Aujourd'hui ? - Tu m'avais parlé d'une guiche non ? Je te dis ça car il est dans une position idéale pour ça. - Je n'avais pas prévu ça pour aujourd'hui. Mais pourquoi pas .Vas-y, je vais te regarder faire, tiens ! L'amie de Madame sortit une boîte métallique d'une armoire et enfila des gants médicaux. Elle s'assura que tous le matériel était réuni. - Si tu veux venir voir pour choisir l'anneau ; je n'ai plus beaucoup de choix comme je ne le propose plus Un anneau d'emblée n'est pas très conseillé. Qu'il n'hésite pas à désinfecter souvent. On en reparle en fin de séance... Madame choisit un anneau en D . - Tu as de la chance, c'est le dernier. Cela dit, un anneau ça peut toujours se changer ... A l'aide d'une compresse, elle badigeonna longuement l'entrejambe et bien plus largement encore. - J'utilise de l'alcool à 90°, c'est un peu piquant sur les marques. Il ne va pas rester tranquille bien longtemps... Regarde ça commence. La morsure de l'alcool ne tarda pas dans les écorchures du dos aux genoux. Il trembla quelques minutes dans ses liens. Livia saisit et tira la peau juste à l'arrière du sexe avec une pince chirurgicale .Sans attendre, elle enfonça prestement l'aiguille dans la peau pincée par les deux triangles ajourés des extrémités de la pince L'esclave se raidit fortement .Un peu de sang coula. - Dommage que ça ne coule pas plus longtemps, il verrait ce que c'est que de faire sa journée avec du sang entre les jambes... Après avoir posé l'anneau, elle se retourna vers Madame en ôtant ses gants. - Un thé ? Aussitôt libéré du banc, Lady Livia mousquetonna les poignets à l'arrière du collier de l'esclave et délaissant la laisse, elle accrocha directement son collier à un barreau du cadre de lit. Les deux femmes s'attablèrent et discutèrent de tout et de rien. Le temps passant, les rires et la conversation se tarirent doucement. Dès lors, on entendit plus que chuchoter et soupirer. Elles se levèrent et se dirigèrent vers le lit. Apercevant le regard du soumis au pied du lit, qui détourna immédiatement la tête, maîtresse Livia se releva, deux gifles à toutes volée claquèrent dans la pièce , puis elle lui masqua les yeux. Les ébats des deux femmes reprit son cours, entre soupirs et halètements, entre cris et silences. L'après-midi tirait à sa fin, l'esclave à genoux tirait sur son collier. - Je suis trempée Livia, ça coule de partout. Se relevant, Madame se dirigea vers son soumis immobilisé et plaqua son sexe sur sa bouche. - Lèche mon chien ! Elle se tourna pour lui offrir l'autre part plus sombre que son pubis. Il ne fallut pas plus qu'une légère hésitation de l'homme au pied du lit pour que Livia la remarque et intervienne. Elle demanda à son amie de s'écarter. Et d'un calme le plus absolu... - Il faut que tu effaces en lui toute idée d'hésitation ou de refus. Dresse-le à obéir sans réfléchir, ….comme un réflexe. Qu'il ne pense plus à ses dégoûts Qu'il n'ait plus le choix... S'abattit alors une grêle de sifflements mêlée de claquements Sa cravache virevoltait autour de lui comme un essaim de guêpes qu'il ne pouvait pas voir. Son buste et ses bras n'étaient plus que boursouflures, comme une feuille nerveusement raturée..  Puis, l'orage passé, elle s'assit essoufflée sur le lit et adossa doucement l'homme sur ses jambes et lui caressa le visage. Repassant ses cheveux derrière son oreille, elle sourit et s'adressa à la maîtresse de l'hésitant. - Recommence, tu verras . Il réfléchit trop je t'assure... Je suis sûr qu'il va s'appliquer cette fois-ci....  
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Par : le 01/11/25
Je ne cherche pas le sexe avec douceur. Je le méprise.   Ton corps ne sera pas une marchandise. Il est mon territoire, mon objet d’art.   Le monde s’accroche aux plaisirs creux. Toi, je te façonnerai, jusqu’à ce que ton naturel caché apparaisse.   Ma violence n’est pas un jeu : c’est mon langage, ma façon d’être.   Mon contrôle n’est pas une option — c’est ton air.   Ma discipline n’est pas une limite : elle sera ta destinée.   Chaque ecchymose est mon sceau. Chaque ordre, une vérité. Chaque abandon, une offrande.   Tu n’échapperas pas. Je réclame tes peurs, tes rêves, tes silences. Ton âme est mienne.   Tu te lèveras chaque matin consumée par moi. Non parce que je veux ta chair… mais parce que je détiens ta vérité.   Ton obéissance est ma victoire. Ton amour, ma domination. Ton abandon sera ma gloire.
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Par : le 31/10/25
Chapitre 39 L'Honneur Numérique   Le lundi matin. La reprise après le week-end intense était douce, mais la tension n'avait pas disparu ; elle s'était sédimentée, transformée en une certitude calme. L'anneau brillait à son doigt. Après la Croix d'André, le Kinbaku en balançoire, et l'analyse partagée, elle ne portait pas seulement un anneau : elle portait une identité. Elle était dans la cuisine, préparant mon café. Ses mouvements étaient fluides, efficaces, le service étant désormais une seconde nature, non un fardeau. Je suis arrivé derrière elle, mes mains sur ses hanches. J'ai respiré l'odeur du baume à la vanille qui persistait sur sa peau. "Tu as survécu au week-end," dis-je doucement. "Mieux : tu as brillé dans ta soumission." Elle s'est tournée, le corps serré contre moi, son regard rempli d'une gratitude silencieuse. "Ce week-end, tu as créé de l'art. Et cet art ne doit pas être enfermé. Il doit être une source permanente d'honneur et de devoir." Je l'ai guidée vers mon bureau. L'ordinateur portable était ouvert sur un écran de connexion sobre et sécurisé. "J'ai mis en place un serveur personnel et sécurisé pour toi," expliquai-je. "Il contient tous les clichés de la séance artistique." Elle a regardé l'écran, les yeux élargis par la surprise. C'était une validation immense, bien plus précieuse qu'un bijou. C'était la preuve que j'avais immortalisé sa beauté dans l'abandon. "C'est ta récompense. Tu as désormais un accès constant à la preuve de ta perfection. Tu peux les visionner à tout instant. Tu peux même les montrer, si tu le désires et avec ma permission, pour témoigner de l'œuvre que tu es devenue." C'était une forme de liberté accordée au sein de la servitude, qui soulignait à quel point l'honneur de sa position dépendait entièrement de mon jugement. J'ai ensuite pointé une icône spécifique sur le site. "Cette section, c'est ton espace de devoir. C'est ici que tu vas désormais gérer les photos."     Chapitre 40 La Création du Signe Permanent   L'après-midi du lundi s'est déroulée avec une douceur trompeuse. Après le travail, ma Soumise est revenue à l'appartement. La routine domestique a été exécutée avec une précision nouvelle, presque religieuse, comme si chaque geste était un rappel des leçons de la veille. Je l'ai faite s'asseoir dans mon bureau, près de la grande table où j'avais étalé des planches de croquis, des échantillons de métaux (argent, or blanc) et des pierres semi-précieuses. "Le week-end a marqué ta progression," ai-je commencé. "L'anneau à ton doigt est un signe discret. Aujourd'hui, nous allons concevoir un symbole d'appartenance plus affirmé, un bijou qui témoignera de ton rôle." Elle a regardé les matériaux avec une concentration totale, comprenant immédiatement la portée de l'exercice. "Nous allons créer ton collier de jour ensemble. Il sera une œuvre d'art discrète, compréhensible uniquement par ceux qui ont la clé de notre univers." L'échange fut passionnant. Ce n'était pas un ordre, mais un défi de conception. "Je veux de l'argent ou de l'or blanc, Maître. Quelque chose de pur qui se fond avec tout," a-t-elle suggéré, sa voix marquée par le respect, mais animée par l'excitation artistique. "Bien. Pureté et résistance. Mais nous devons intégrer le signe. Le O-ring est trop évident pour un port 24/7 au bureau. Nous avons besoin d'un message caché," ai-je répliqué, pointant un croquis de torque simple, sans pendentif. Elle a réfléchi un instant. "Et si le collier lui-même était un simple cercle, très fin, un torque ouvert, et que la discrète zone de fermeture, au lieu d'un fermoir classique, était une petite barre de sécurité que vous seul pouviez libérer ?" J'ai souri. L'idée d'un collier techniquement verrouillé qui ne laissait rien paraître était parfaite. "Excellent. La fermeture est le contrôle. Nous utiliserons un mécanisme de barre et de douille à ressort, presque invisible. Quant au symbole..." J'ai pris un stylo et j'ai esquissé un pendentif très petit, en forme de larme inversée serti d'un saphir noir. "La Soumise doit être belle. Nous ferons un petit pendentif de saphir noir serti sur un motif très fin. Mais la vérité sera dans le détail. Regarde." J'ai retourné la planchette. Sur l'intérieur du collier, là où il serait en contact permanent avec la peau, j'ai écrit en minuscule : 'Propriété de MA'. "L'inscription est le vrai collier. La promesse silencieuse et permanente, que seule ta peau connaît." Ses yeux se sont remplis de larmes. Ce bijou ne représentait pas la punition, mais la reconnaissance suprême. Nous avons passé deux heures à affiner le dessin, la courbe du torque pour qu'il soit à la fois confortable et ferme, la taille exacte du saphir. La collaboration artistique était la finalisation psychologique de son éducation. C'était la preuve qu'elle méritait l'honneur et la confiance de porter mon signe. J'ai finalement signé et daté le croquis final. "C'est parfait. Je vais le faire réaliser par mon joaillier. Tu le porteras quand il sera prêt, et il sera le complément de ton nouveau devoir, le site photo. Ce collier t'accompagnera partout, renforçant le serment que nous partageons." J'ai pris son visage entre mes mains. "Retiens cela. Il ne symbolise pas une fin, mais le début d'une permanence dans ta vie." Elle a hoché la tête, ne trouvant pas de mots, trop submergée par le poids de cette nouvelle marque d'appartenance. La semaine de travail qui a suivi a été marquée par cette double attente : celle, physique, du bijou unique en cours de fabrication, et celle, mentale, du devoir numérique qui m'était dû. Le site sécurisé n'était pas seulement une galerie de clichés de notre séance artistique ; c'était un journal de servitude qu'elle était seule responsable de tenir à jour. Son nouveau devoir était simple : chaque jour, elle devait y ajouter une nouvelle photographie. L'objectif n'était pas l'art, mais la documentation de l'obéissance. Parfois, c'était un cliché de l'anneau de soumission sur un document de travail important, rappelant sa position au milieu de ses responsabilités professionnelles. D'autres jours, c'était une photo d'elle, seule dans notre appartement, partiellement dévêtue, exposant le lieu où le corps où les cordes avait laissé leurs traces, ou simplement se présentant comme un objet disponible à mon regard privé. La discipline était subtile, insidieuse. Elle était constamment consciente de la nécessité de se surveiller elle-même, de se voir à travers mes yeux, afin de pouvoir capturer l'image de son propre asservissement. Elle devait se déshabiller, se positionner et photographier sa vulnérabilité, tout cela seule. Le site est rapidement devenu son collier mental. Où qu'elle soit, elle savait qu'elle portait la responsabilité de cette mémoire et de cette offre quotidienne. L'écran de l'ordinateur était un miroir de sa possession. Elle m'envoyait un message laconique chaque soir : "Devoir du jour accompli, Maître." Sa démarche en rentrant était plus mesurée, ses silences plus profonds. L'éducation était passée de la douleur et de la corde à la possession psychologique continue. Elle était désormais son propre gardien, son propre photographe de servitude. Le monde extérieur n'y voyait qu'une professionnelle brillante et discrète ; moi, je voyais la femme qui, seule dans le calme de mon bureau, s'offrait nue à mon regard numérique. La fin de la semaine est arrivée, laissant derrière elle une trace de nouvelles photos sur le serveur et une attente palpable pour le bijou qui cimenterait cette nouvelle vérité. Elle avait prouvé que sa soumission était désormais un réflexe interne. "Gérer ?" demanda-t-elle, avec un léger tremblement. "Oui. Chaque semaine, tu devras y ajouter de nouvelles photos de toi, prises par toi-même, que ce soit pour documenter la discipline physique reçue ou simplement pour me témoigner de ta nudité et de ta disponibilité. C'est ton nouveau devoir. Tu devras t'assurer que ce site est toujours à jour, toujours parfait." Elle a immédiatement saisi l'implication. Ce n'était pas un simple album photo. C'était une tâche permanente de vulnérabilité et d'obéissance qui franchissait les murs de la chambre de jeu. Le site était devenu son nouveau collier, discret et numérique. "Oui, Maître. Je m'en occuperai avec le plus grand soin." L'heure de partir pour le bureau était arrivée. Elle s'est habillée avec une attention renouvelée, chaque vêtement n'étant qu'une couverture éphémère sur la soumise nue et photographiée qui était en elle. Je l'ai raccompagnée à la porte. Je lui ai pris la main et j'ai tourné son annulaire vers la lumière. "Cet anneau t'identifie. Ce site te rappelle qui tu es. Ces leçons sont désormais une partie de toi. Va. Et n'oublie jamais que même derrière l'ordinateur de ton bureau, tu es sous ma surveillance." Elle m'a regardé, l'excitation et la peur dans son regard se mélangeant à l'acceptation sereine. Elle s'est inclinée, un geste désormais naturel, et a murmuré son acquiescement avant de disparaître dans le couloir. Le week-end de l'éducation était terminé. Le travail de l'intégration venait de commencer.   Petit sondage : qui serait prêt à payer pour la version E-book terminé ? Il compte 416 pages et, comme par hasard, il se termine sur le chapitre 69. https://www.paypal.com/ncp/payment/XC2G5YKNPQH3E  
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Par : le 31/10/25
Fantasme ? Réalité ? Ou simplement expérience vécue légèrement romancée ? Je laisserai à chacune et chacun se faire son opinion.   Il existe des lieux où le silence respire autrement. Le nôtre, à Maîtresse Elie et à moi, n’a rien d’un décor secret : c’est un espace mental, un terrain de confiance et d’abandon, où le monde extérieur s’efface. Quand je franchis la porte de notre donjon, je cesse d’être l’homme que les autres connaissent. Celui qui dirige, qui décide, qui prend des initiatives. Je deviens Sabine, non par travestissement, mais par vérité : une part de moi que Maîtresse Elie a révélée, patiemment, jusqu’à ce qu’elle s’impose comme une évidence. Ce soir-là, j'attendais à genoux. Le sol était froid et la lumière douce. Tout semblait immobile, suspendu. Je croyais être prêt. La porte s’ouvrit dans un souffle. Maîtresse Elie entra. Sa présence changea l’air autour de moi ; elle portait cette autorité calme qui ne réclame rien, parce qu’elle sait déjà être obéie. Je ne vis rien d'autre que ses escarpins. Mon regard ne pouvait se lever sans y être invité. Elle fit lentement le tour, observa, silencieuse. Puis sa voix tomba, claire, sans colère : — Tu as mis ton collier seule. Je me figeai. Un détail pour le monde ; un déséquilibre pour nous. — Je voulais être prêt, Maîtresse, balbutiais-je. — Prêt... répéta-t-Elle. Tu crois qu’être prêt, c’est agir sans attendre ? — Je pensais bien faire… — Non, Sabine. Tu as voulu décider. Et ici, ce n’est pas ta tâche. Ses mots n’étaient pas des reproches, mais des pierres posées pour reconstruire un chemin. Elle m’observa longuement, puis dit : — Tu veux tout anticiper, tout contrôler. Le monde t’a appris à survivre ainsi. Mais ici, tu apprends autre chose : la confiance. Ce collier n’est pas un bijou ; c’est une promesse. Quand mes mains le ferment, tu me laisses t’accompagner. Quand tu le poses toi-même, tu romps le rituel. Ce n’est pas un ordre que je te retire, Sabine : c’est un lien. Je sentis mes épaules s’affaisser quand le collier quitta mon cou. Le poids de ses mots me traversait comme une marée lente. — Les règles, continua-t-Elle, ne t’enchaînent pas. Elles te guident. Elles t’apprennent à respirer dans la contrainte, à trouver la paix dans la précision. Tu ne cherches pas la perfection : tu cherches la conscience. Elle fit un pas vers moi et posa la main sur ma poitrine. — Ici, tu n’as rien à prouver. Tu n’as pas à être fort. Tu as à être vrai. Je fermai les yeux. Je crus entendre la porte intérieure que je tenais fermée s’entrebâiller. Maîtresse Elie m’écarta d’un geste, puis désigna le mur. — Là. J’y allai, sans un mot. Elle me fit tenir debout, immobile, le front contre la surface froide du crépi. L’attente devint méditation et douleur. Les secondes s’allongèrent, puis se fondirent dans quelque chose de plus vaste que le temps. Quand enfin sa voix s’éleva de nouveau, elle semblait venir de très loin : — Qu’es-tu ici, Sabine ? — Je ne suis rien Maîtresse. — Quelle est ta place Sabine? — À Vos pieds, Maîtresse. — Et que cherches-tu ? — À Vous faire confiance. Un silence, puis une main sur ma nuque : chaude, ferme. — Non Sabine, à être toi. Elle ne m’écrasait pas ; elle m’ancrait. — Alors respire, dit-Elle. Je respirai. Et tout se remit à circuler. Elle me fit me retourner. La lumière de la lune dessinait sur le sol un halo pâle. D’un geste, Elle posa sur la table une tunique noire et blanche. Ce soir, cette nuit, je serai son serviteur, son esclave. — Enfile-la. Le tissu glissa sur ma peau comme une promesse d’apaisement. Maîtresse Elie ajusta un pli, redressa mes épaules. Ses gestes n’étaient pas possessifs, mais précis ; chacun d’eux me ramenait à moi-même. Elle s’assit ensuite, silencieuse, et me regarda. Je restai debout, face à Elle, incapable de détourner les yeux. L’air vibrait entre nous, chargé d’un courant invisible. Ma respiration se fit plus lente, mon regard plus flou. Puis, sans qu’Elle ne l’ordonne, mes genoux plièrent. Je tombai, non de faiblesse, mais d’évidence. Les larmes vinrent, d’abord discrètes, puis franches. Ce n’était pas la douleur ; c’était la délivrance. Maîtresse Elie se leva et posa sa main sur ma tête. Pas un mot. Sa présence seule suffisait à me faire lâcher tout ce qui me restait de résistance. Soudain le liquide chaud coula, me lava, me purifia. La pression de sa main m'empêcha de redresser ma tête. Mon visage n'aurait pas l'honneur de son Champagne Doré ce soir. J'avais fauté. Quand Elle retira sa main, le silence était devenu doux. Je levai les yeux : son visage baignait dans la lumière. Elle sourit à peine. — Respire, murmura-t-Elle. Je respirai. Et dans ce souffle, Sabine retrouva son centre. — Ce soir tu vas apprendre. Sans réflexion, pas par l'esprit, mais par la chair. — Merci Maîtresse. — Mais avant tu vas laver à genoux ce que tu as sali. La serpillère et le saut récupérés, je récurais le sol lentement, patiemment, précautionneusement. Pendant ce temps Maîtresse Elie partit prendre une douche. Le temps me sembla une apaisante éternité. Quand elle revint, silencieuse, alors que j'étais de dos, je ne sentis que la chaleur du martinet sur mes fesses. — Tu n'es pas suffisamment lisse. Tu pensais que je ne le remarquerais pas? — Aucun son ne sortit de ma bouche. — Compte et remercie. A chaque claquement je comptais et remerciait Maîtresse Elie à voix haute, de plus en plus fort, en harmonie avec la puissance des coups. Je ne sais quand le compte s'arrêta. Je n'habitais plus mon corps, j'étais ailleurs. D'un simple geste de la main elle me fit me mettre à 4 pattes. — Retourne-toi. Lentement, je me retournais puis me cambrais pensant que la sodomie viendrait. Je sentis le froid de l'acier. Maîtresse Elie n'allait pas m'enculer, elle allait prendre possession et occuper. Lentement la pression aumenta. Elle ne lubrifierait pas. Je devais m'ouvrir à elle. Je respirais lentement, me détendant et doucement le rosebud entra. A la douleur ressenti je compris que c'était le plus gros. — A genoux maintenant. Dans cette position je reçu ma cage que j'installa. Tout érection et tout plaisir me serait interdit ce soir, mon sexe enfermé dans son carcan d'acier. — Va me préparer à manger. En tenue de soubrette, le cul occupé et le sexe encagé, je la servis toute la soirée. Sans un mot. Plus tard dans la nuit Elle prépara et versa du thé. Le parfum du jasmin emplit la pièce. Elle sait que je déteste ça. La leçon se poursuivait, longue, lente, intense. Elle m'invita à m'assoir face à elle. Je n'osais la regarder. Elle vit mon inconfort sur le rosebud et sourit. Elle ne me libèrerait pas. — Comment te sens-tu ? demanda-t-Elle. — Léger, Maîtresse. Et calme. — Tu as pleuré. — Oui, Maîtresse. Je crois que je ne savais pas que j’en avais besoin. — Les larmes, dit-Elle, sont le langage du corps quand les mots sont trop lourds. Je pris une gorgée de thé, les mains encore tremblantes. Je détestais vraiment ça, réprimant des hauts le coeur de peur d'être à nouveau puni. — Vous m’avez rappelé ce que j’oublie. — Et qu’as-tu compris ? — Que la règle n’est pas un carcan, mais une direction. Que l’obéissance n’est pas servitude, mais confiance. Et que, dans Vos yeux, Maîtresse, je retrouve ce que j’oublie du monde : la paix. Elle me regarda longuement, puis répondit : — Ce que nous faisons ici n’est pas un jeu, Sabine. C’est une école de soi. Chaque geste, chaque silence t’apprend à être présent. Quand tu doutes, tu avances. Quand tu cherches la perfection, tu t’égares. Je hochai la tête, incapable de parler. — Tu dois être digne de moi, ajouta-t-Elle doucement. Mais tu dois surtout être vrai! Je ne veux pas ta soumission aveugle, mais ta lucidité. Je murmurais : — Merci, Maîtresse. Elle remit une mèche de mes rares cheveux en place. Geste simple, presque banal, mais d’une tendresse immense. — Ce soir, Sabine, tu as appris à lâcher sans fuir. C’est une victoire silencieuse. Garde-la. Nous restâmes ainsi, un long moment, sans parler. Le thé refroidissait. La nuit, dehors, semblait retenir son souffle. Et dans cet espace suspendu, je compris que ce que j’avais vécu n’était pas une soumission, mais une rencontre : celle de ma volonté et de ma confiance, réunies sous le regard bienveillant de Maîtresse Elie. Quand je sortis de la pièce, le monde ordinaire reprit sa place. Mais quelque chose en moi, au-delà du rosebud, demeurait : la trace d’un geste, la douceur d’un regard et la certitude que la vraie liberté se trouve parfois dans le courage d’obéir — non par faiblesse, mais par amour de la clarté.
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Par : le 28/10/25
Ce texte est un fragment de vie, à la fois intime, douloureux et humain. Il ne parle pas directement de sexualité, de domination ou de jeux, mais de ce que l’on porte en nous, parfois sans l’avoir choisi. Dans le monde BDSM, on parle souvent de trauma comme point d’origine ou comme moteur. Voici le récit d’un homme, moi, confronté deux fois à l’IVG, à la prématurité, au handicap, à la perte. Ce témoignage s’inscrit dans la suite de mon texte "Certaines personnes pensent que les hommes sont insensibles…", pour rappeler que la sensibilité masculine existe, même si elle prend parfois des formes silencieuses ou viriles. Ce n’est pas un appel à la pitié. C’est une parole déposée, pour ceux que cela pourrait toucher, faire écho ou simplement inviter à réfléchir. Merci à ceux qui prendront le temps de lire. À 20 ans, j’étais un étudiant un peu bohème, amoureux et insouciant. Ce fut l’été des grands départs : un vieux combi Volkswagen bricolé avec amour, ma compagne, ma petite sœur de 17 ans et mon meilleur ami. Direction la Grèce, via l’Italie, Venise, la côte adriatique, Thessalonique, Athènes… des paysages inoubliables, des galères mécaniques, des moments suspendus hors du temps. Ma sœur et mon meilleur ami sont tombés amoureux pendant ce voyage. Ils sont toujours ensemble aujourd’hui, mariés. De mon côté, tout semblait aller pour le mieux avec ma compagne, jusqu’à ce qu’elle commence à vomir sur le chemin du retour. Verdict du médecin : elle est enceinte. Nous étions jeunes, étudiants, pas prêts. Ce fut notre décision à tous les deux : l’IVG. Ce n’était pas la première fois pour moi. J’avais déjà vécu cela auparavant. Mais cette seconde fois a laissé une empreinte plus profonde, plus sombre. Nous avons continué notre vie malgré tout. Mariés, diplômés, nous sommes partis enseigner à Tlemcen, en Algérie. J’y faisais mon service militaire sous le statut de coopérant. Là-bas, nous avons décidé d’avoir un enfant. Après plusieurs fausses couches, Anne tombe enceinte. Nous rentrons en France pour les vacances d’été, elle en est à quatre mois et demi. Le gynécologue nous dit qu’un cerclage aurait été nécessaire mais… il part en vacances. Alors, on fait au mieux. Jusqu’à cette dernière consultation, juste avant de repartir. Là, tout s’accélère : fauteuil roulant, perfusion de sulbutamol. Je m’en souviens comme si c’était hier. Anne-Sophie naît à cinq mois et demi. 900 grammes. Elle tient dans une boîte à chaussures. Trois mois et demi d’hôpital, de soins, d’attente. Et puis un verdict, tombé comme une enclume : à 14 ans, nous avons appris qu’elle ne marcherait jamais. J’avais 25 ans. Anne-Sophie a aujourd’hui 43 ans. Elle est mariée, elle travaille, elle a fait construire sa maison. Une battante, forgée par la volonté et l’amour de sa mère, décédée d’un cancer quand notre fille avait 16 ans. Nous étions déjà divorcés, et c’est elle, Anne, qui a fait l’essentiel de son éducation. Elle lui a transmis cette force. Pourquoi je parle de tout cela sur un site BDSM ? Parce qu’on oublie trop souvent que les hommes aussi vivent des traumas. Parce qu’on invisibilise la douleur de celui qui ne porte pas l’enfant, mais qui accompagne, qui souffre, qui doute, qui perd aussi. Parce qu’il faut parfois toute une vie pour comprendre ce qui s’est inscrit en nous à ce moment-là. Un feedback médical, bien après la naissance d’Anne-Sophie, a mis en lumière tous les facteurs de risque d’une naissance prématurée. Parmi eux : l’IVG. Pourtant pratiquée dans les règles. Pourtant décidée à deux. C’est peut-être là que réside le paradoxe le plus cruel. Un choix fait pour préserver la vie, qui plus tard revient comme un boomerang. Pas comme une faute, non. Mais comme une cicatrice. Une faille. Une empreinte silencieuse. Alors oui, j’avais 25 ans. Et cette histoire reste, encore aujourd’hui, un traumatisme.  
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Par : le 27/10/25
J'ai déjà publié cette confession sous un autre pseudo qui a été banni... Une histoire d’avortement… avec un peu de pyjama dedans J’ai un lourd passif avec l’avortement. Une histoire de famille, un peu taboue, un peu cachée… et pourtant bien réelle. Je suis l’aîné d’une fratrie de six enfants. À dix ans, j’avais déjà une bonne idée de ce que « grande famille » voulait dire. Mais un jour, paf : maman tombe enceinte du septième. Oui, le septième. Notre médecin de famille, toujours prompt à faire de l’humour de salle d’attente, s’est fendu d’une blague : « À chaque fois que votre mère lave le pyjama de votre père, elle tombe enceinte ! » Sauf que cette fois, ça n’a pas fait rire maman. Elle a répondu, bien sérieuse : « Soit vous trouvez une solution, soit je divorce. » C’est ce qu’on appelle un ultimatum propre et net. À l’époque, je n’ai rien su. Juste que notre grand-mère est venue s’occuper de nous, et que mes parents sont partis en voyage en train. Pourquoi ? Je ne me souviens plus du prétexte donné, mais en tout cas, ils sont partis. Quelques jours plus tard, papa est revenu. Seul. Et là, il nous annonce qu’il doit repartir, en voiture cette fois, pour aller chercher maman. Comme il n’avait pas envie de faire le trajet seul, il m’a demandé de l’accompagner. Et c’est pendant ce voyage qu’il m’a tout expliqué. J’avais 10 ans… Nous voilà donc partis en Citroën Traction Avant, en plein hiver, direction Genève, pour rejoindre la clinique où ma mère était hospitalisée. Les détails de la suite se sont un peu effacés avec le temps, mais je me souviens du jet d’eau de Genève, immense et hypnotique… Je me souviens aussi des paquets de cigarettes, bien moins chers qu’en France, et de mon père, qui fumait encore à l’époque, tout surpris en ouvrant un paquet : cinq fausses cigarettes à l’intérieur. Tromperie sur la marchandise, version helvétique. Et puis il y avait cette clinique. Je me souviens surtout de la porte de la chambre de ma mère. Une porte monumentale, recouverte de cuir avec des clous dorés. Elle menait à un sas, lui aussi doté d’une porte identique. Impossible d’ouvrir la seconde si la première n’est pas fermée. Un système de confinement presque solennel, entre mystère et asepsie. Ce sas, c’était comme un entre-deux mondes. Celui de l’enfance… et celui de ce qu’on ne dit pas. J’avais 10 ans. Et puis, bien plus tard, il y a moins d’un an, j’ai posé une question toute simple à ma mère : « Comment avez-vous payé tout ça ? » Elle m’a répondu calmement, comme si elle me donnait une recette oubliée : « C’est un grand-oncle à nous qui a donné l’argent. » Un nom perdu dans la généalogie, mais une aide bien réelle. Ce genre de choses qu’on tait, qu’on enterre comme les souvenirs. Mais qui finissent toujours par refaire surface.
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Par : le 26/10/25
  "Bonjour" - Bonjour. Le ton glacial ne fit aucun doute sur l'enthousiasme innée de cette mégère qui se trouvait être la voisine du dessus. Toujours à se plaindre en plus d'être antipathique. Passé cette rencontre, Il s'engouffra dans l'ascenseur, laissant la vieille chouette quitter le hall de l'immeuble. Lorsqu'Il se trouva devant Sa porte d'appartement, une agréable odeur vint Lui taquiner les narines et chatouiller l'estomac. Mais Il se ravisa : seul le logement adjacent étant capable de produire un tel bouqet. Dans le sien, il y avait d'autres plaisirs ; mais celui du palais n'en faisait pas partie, à Son grand damne. Le silence L’accueillit. Aucun parfum ne flottait chez Lui. Il s'étonna d'être le premier à rentrer à une heure si tardive. Personne, dans la cuisine ; rien d'étonnant. Posant Ses affaires, Il se dirigea vers le salon où Il découvrit Ses 2 chats roulés en boule sur le canapé. Ses fauves se réveilleraient en moins de 2 dès lors que la boite de pâté s’ouvrirait. Personne ici. Personne dans la salle de bain, quoique... la douche humide et une discrète odeur de savon trahirent une récente utilisation. Rien d'aberrant en soi. Cependant, Il commença à s'inquiéter de cette étrange situation. Pas de SMS reçu, pas d'appels en absence. Il ne restait plus qu'une pièce à inspecter avant le coup de fil : la chambre. Il s’arrêta sur le seuil, rengaina lentement le téléphone et se détendit pendant que le cœur fit un sprint.   Elle se trouvait là, devant le lit, de manière à n'être vue qu'au dernier moment. Il s'approcha lentement, sidéré par la totale surprise qu'elle Lui avait réservée.Lui dire Bonjour aurait été vain : une large boule mauve obstruait sa bouche, fermement maintenue par un harnais de tête. Sous les lanières, un bandeau noir cachait ses yeux. Il remarqua la laisse sur le lit, négligemment posée, prête à être clipser au collier qu'elle portait. D'habitude, sa pose était de Son ressort mais exception avait été faite ce soir.Il ne toucha pas à ce Bijou mais fit le tour pour mieux admirer Sa soumise, impassible. Cette absence d'émotion avait un exquis parfum érotique. Il n’y eut aucun doute concernant son état d'esprit et ses désirs. Désirs qu'Il eût l'intention de satisfaire, obéissant étrangement à un ordre implicite, intransigeant, puissamment exprimé par la servitude qu’elle montra. Comment faire autrement ? Sa prise d'initiative L'avait délicieusement pris de court ; la récompense devint obligatoire.   Elle patienta à genoux, menottée dans le dos, droite afin d'offrir ses seins à Son Propriétaire. Assise sur ses talons, Il ne put que distinguer les escarpins noirs qu'elle portait. En revanche, les bas gris brillaient de tout leur éclat.Sa main passa tendrement dans les cheveux, rituel pour dire Bonjour. Il l’admirait ; elle, et sa dévotion. Ses yeux dégustaient le cadeau qu'elle Lui offrait : elle-même. Sa main passa tendrement dans les cheveux, rituel pour dire Bonjour. Il l’admirait ; elle, et sa dévotion. Ses yeux dégustaient le cadeau qu'elle Lui offrait : elle-même. Il posa sur chacun de ses seins 2 pinces reliées par une chainette. Elles serraient suffisamment pour attiser des sensations sans générer trop de douleur. Il recula et contempla. Puis, Il fixa la laisse à ce lien et tira Sa soumise. Lentement, elle Le suivit jusqu'à ce qu'Il la prenne dans Ses bras pour la relever. Son sexe était humide quand Il posa la main dessus. Elle poussa un gémissement, Il mit un doigt. Elle se contorsionna, Il rajouta un autre doigt. La chaleur de sa chatte était très agréable, encouragent la pénétration. Les 3 phalanges rentrèrent aux doux sons de plaisir qui sortirent derrière le bâillon. Puis, ceux-ci se redressèrent, tels des crochets pour chatouiller une zone très érogène, juste derrière le pubis. Difficile de rester stoïque, railla-t-Il en la dévisageant. Cet intense préliminaire se provoqua aussitôt des petits soubresauts. Pendant quelques minutes, Il alterna des pressions fortes rapides avec des plus douces sans négliger d'autres parties du vagin. Enfin, Il posa Son pouce sur le clitoris pour décupler les sensations. Il la prit dans Ses bras et accéléra les mouvements de Ses doigts. Elle se débattit avec ses menottes et attaqua la boule qui semblait l'étouffer. Qu'importe. Ce qu'Il voyait Le régalait. Qu'elle se batte, gémisse de désirs davantage : Il serait encore plus satisfait. Elle était à Sa merci, Il aimait qu'elle lâche prise, au rythme du plaisir qu'Il infligeait. Puis, Il la remit à genoux et entreprit de retirer le harnais de la tête. Elle semblait apprécier d’être libérée de cette boule et profita ainsi d'un moment calme, malgré la forte excitation qui brulait sa chatte. Soudain, une main saisit fermement le menton, l'autre l'arrière de la tête. Le message était clair : ouvrir la bouche, en grand. Il la pénétra de Se queue durement enhardie depuis qu'Il avait découvert Son jouet à disposition. Ses mains la maintenaient toujours fermement imposant à nouveau le rythme. Il était rapide, long, presque brutal. Elle savait comment elle devait jouer avec Sa queue mais elle savait également qu'il existait des moments où cela n'était pas nécessaire. Être baisée par la bouche en était un. Elle s’appliqua à rester bien ouverte, accueillante, prenant soin de placer les lèvres correctement. Mais Il ne l’accepta pas ; Il lâcha le menton, pinça le nez, reprit la baise, bestiale. Les râles n’étaient pas sensuels, tout juste trahissaient-ils l'intensité de la fellation qu'Il s'offrait. Les coups de butoir restaient frénétiques. Ce sexe qui emplissait sa bouche cherchait à se rendre plus loin vers la gorge, provoquant de léger haut-le-coeur. Mais sucer et accepter cette manière de faire était son travail, sa raison d'être en tant que soumise. Elle prit un double-plaisir à s'abandonner ainsi et à satisfaire les envies de son Propriétaire. Secrètement, elle espérait qu'Il en profiterait longtemps ... Cependant, Il n'était guère résolu à satisfaire ce désir caché : Il continuait de la baiser en profondeur. Par moment, Sa queue attaqua ses joues, entrainant sa tête sans ménagement. A force d'être secouée, les pinces commençaient à piquer. La douleur se mélangeait au plaisir, les sensations s'intensifièrent. Brutalement, Il se retira tout en forçant une pression sur la bouche pour lui ordonner de rester encore grande ouverte. L'apothéose. Immobile, elle reçut le sperme qu'Il accordait, généreusement, de lui donner, jusqu'à la dernière goutte. Elle resta un moment, impassible, attendant sagement la suite des événements. Il était en train de se rhabiller. Peut-être la regardait-Il, satisfait ? Faussement "méprisant" ou alors, avec un grand sourire. Elle tressauta quand Il retira les pinces ; cet acte est toujours un peu douloureux. Mais elle s'appliqua à garder la même position, redoutant la punition qui aurait suivie. Elle l’attendit. Elle l’attendit, cet ordre … le final. Mais au lieu de s'en délecter, sa bouche fut à nouveau obstruée par une boule, plus petite que la précédente. L'effet fut immédiat : le sperme qui reposait au fond se dispersa partout, n'ayant nulle part où couler. Elle était condamnée à garder le jus, sa chaleur, son goût, son odeur. Prisonnière du bâillon, elle ressentit à la fois une étrange humiliation monter en elle et la fierté d’assouvir les fantasmes pervers de son Maitre. Cependant, Il n'en avait pas fini avec elle. Quelque chose de frais se posa sur son sexe mouillé puis se mit à vibrer. Le vibromasseur avait beau accaparer son esprit, elle entendit Ses pas s’éloigner. Elle avait également espéré qu’elle fût utilisée via son vagin, mais Il s'était contenté d'éjaculer dans sa bouche.   A présent, elle devrait jouir, de force, seule.
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Par : le 22/10/25
— Bon, allez ! À la douche, maintenant. Et tâche de pas en foutre partout… Je me lève avec précaution, puis la suis dans une coquette salle d’eau, joliment décorée. Pas vraiment le temps d’admirer les faïences : Myriam retire ce qui lui reste – pas lourd, des bas et un soutif – et je me retrouve soudain baba devant une splendides paire de seins. En plus, ils ont l’air d’origine ! Comme dans un rêve, j’ôte le reste de mes vêtements et la rejoins dans sa douche à l’italienne, carrelée en carreaux cassés. Je m’approche d’elle, me presse contre son corps nu et appétissant, lui maculant le ventre de résidus spongieux. — Ben c’est malin, ça ! s’énerve-t-elle, avant de me claquer les fesses du plat de la main, de façon retentissante. Pour la peine, tu vas devoir me laver ! Et avec un grand rire, elle ouvre le mitigeur à fond. Un torrent gicle aussitôt du plafond de douche à effet pluie. — Oh putain ! Mais c’est glacé ! hurlé-je, ce qui la fait rire encore plus fort. — Ça tombe bien, c’est comme ça que j’aime, me crie-t-elle dans l’oreille. Puis, passant ses bras autour de mon cou, elle m’enlace et plaque sa bouche sur la mienne, sa petite langue de vipère forçant mes lèvres à s’ouvrir. Nos corps ruissellent sous l’onde glacée, nos bouches s’emboîtent, sa salive et la mienne se mélangent à l’eau de la douche tandis que je lui rends son baiser. À tâtons, elle arrêta le jet, avant de s’arracher à mon étreinte, essoufflée. — Dis donc, va falloir que je prenne des cours d’apnée, avec toi ! Je baisse les yeux. Je n’embrasse pas très bien. Manque de pratique, sûrement… — Et ben, Patrick, fais pas cette tête-là ! T’es vexé ou quoi ? Je ne réponds pas, perturbé par mon éternel manque de confiance en moi. Myriam, elle, ne perd pas le nord. Elle me tend un flacon de gel douche : — Faut que tu me récures, à présent ! Allez ! J’attends ! Le plus sérieusement du monde, je débouche le flacon et verse une bonne rasade de savon liquide dans le creux de ma main. Comme elle me tourne le dos, je lui savonne la nuque, les épaules, le dos, les flancs, le haut des fesses. J’ose même passer mes mains savonneuses sous ses aisselles pour m’occuper de ses gros seins. Qu’est-ce qu’elle a la peau douce ! Pour les parties intimes, j’hésite un peu… Comment le prendrait-elle, si je me permettais ce genre de privautés ? — C’est bien sage, tout ça ! Je te rappelle que tu m’en as mis plein sur le ventre… et maintenant, ça a coulé dans ma chatte. Allez ! Lave-moi, esclave ! La prenant au mot, je m’accroupis à ses pieds et lui savonne les mollets, avant de m’attaquer au creux des genoux et remonter vers ses cuisses, bientôt toutes blanches de savon. — Ça suffit ! Plus haut, maintenant… Elle écarte les cuisses, posant un pied sur mon épaule tout en appuyant sa main contre le mur. De là ou je suis, j’ai une vision saisissante de sa vulve toute lisse, parsemée de gouttelettes d’eau, qui paraît encore plus bombée et ouverte en l’absence de poils. Évidemment, je bande. Elle aussi se régale, vu le spectacle que je lui donne avec ma barre à mine pointée vers elle. — Insiste bien partout, sinon je te fais finir avec la langue… Le petit jeu qui s’est installé entre nous me trouble. Je ressens un plaisir intense à me laisser diriger, et même humilier par l’infirmière. C’est une nouveauté pour moi, et je pressens que Myriam pourrait pousser sa domination assez loin sans que je me rebelle. Je commence par le ventre de la donzelle, que je débarrasse en quelques gestes de tous ces vilains filaments verdâtres. Puis je frotte son ticket de métro, doux comme une barbe de quelques jours. Myriam s’impatiente, ondule du bassin. Oui ! J’y viens ! Ça m’amuse de la faire mariner un peu… Je reprends du savon liquide, le fait mousser dans mes mains, puis m’occupe sérieusement de ses muqueuses impatientes, que je récure dans les moindres détails. Là-haut, ça se tord et ça gémit. Sa chatte coule en abondance. Des débordements odorants, sans cesse renouvelés, que je me fais un plaisir de recueillir avec les doigts. — Le … le petit trou aussi, ordonne Myriam, en dégageant son pied de ma clavicule. Elle se tourne dans l’autre sens, se cambre, écartant ses fesses à deux mains, ses gros seins plaqués sur la faïence de la douche. Les joues de son con baillent sur une blessure rose vif, d’où suinte un liquide nacré. Juste au-dessus, la rosette de son anus palpite doucement, comme une petite bouche impatiente. Position classique pour une fouille corporelle très poussée… Et moi, je suis là, tout rouge, le souffle coupé, contemplant les merveilles étalées sous mes yeux sans pouvoir agir, empoté que je suis. Il faut dire que c’est la première fois que je contemple le côté pile d’une dame. — Mon cul te plaît ? — Oui ! — Alors, qu’est-ce que tu attends ? J’ai envie. Profite-en, idiot … Conforté par le timbre rauque de sa voix, je m’enhardis. Mais au lieu d’attaquer ma cible de manière frontale, je ruse un peu et plonge deux doigts dans sa chatte, les faisant coulisser quelques secondes dans son con très humide avant de les ressortir dégoulinants de sécrétions. Un lubrifiant très convenable, vu le traitement qu’elle souhaite se faire administrer. Je pose mon majeur sur le petit trou brun glissant. Myriam frissonne, avant de m’encourager en s’ouvrant encore plus. Je pousse un peu. Sa rondelle s’épanouit aussitôt sous la stimulation digitale, acceptant sans problème l’intrusion de mon doigt, qui s’enfonce jusqu’à la garde. Avec surprise, je constate que le canal lisse et chaud de son rectum est aussi large qu’une caverne – j’en touche à peine les parois ! De la place en perspective pour du gros calibre. D’autre part, la souplesse de son anus confirme clairement, s’il en était besoin, que Myriam adore se faire prendre par derrière. Je me prends à rêver… Poussant mon avantage, je lance mon index dans la bataille. Il rejoint bientôt son partenaire de jeu dans le fondement docile de l’infirmière, où ils entament ensemble une série d’allers-retours. Se faire fouiller le cul n’a pas vraiment l’air de l’offusquer. Bien au contraire ! Elle accompagne mes doigts, agitant son bassin d’avant en arrière pour mieux les sentir. Encouragé par les gémissements de la belle, j’immisce mon annulaire dans son anneau accueillant, qui se dilate pour recevoir ce troisième envahisseur. Elle devient glissante tandis que je la pilonne – une fine pellicule de mucus clair, légèrement poisseux, inonde mes doigts. J’y crois pas ! Elle mouille du cul ! Elle n’est pas en reste, se doigtant furieusement la chatte. À travers la fine paroi qui sépare son cul de son con, non loin de mes doigts, je sens ses phalanges qui s’activent sur un rythme endiablé. Elle accompagne sa masturbation de grognements sourds, rythmés, gutturaux. C’est sûr, Myriam a un sacré tempérament ! Ses cris montent soudain dans les octaves. En se rapprochant, ils deviennent une sorte de longue plainte très aiguë. Bien que ce soit un peu crétin, je ne peux m’empêcher de penser aux bruits que fait Gladys, la petite chatte angora de mes parents, quand elle a ses chaleurs. Tandis que Myriam beugle à nous arracher les tympans, un truc incroyable se produit soudain. Un jet très dru gicle en abondance de son con, comme si on avait lâché les vannes d’un barrage ! Ça ne dure que quelques secondes, mais c’est très puissant ; comme un mini geyser ! Ça ferait presque penser à une éjaculation particulièrement forte. Je n’avais jamais entendu parler de ce phénomène et je ne sais pas du tout quel est ce liquide qu’elle a éjecté – pas de la pisse en tout cas, car c’est translucide et ça n’a aucune odeur. Plus tard, si j’ose, je lui demanderai de m’expliquer ce qui s’est passé… En tout cas, j’ai adoré la voir jouir ainsi, comme une folle. Bizarre, mais carrément excitant ! Myriam est en train de redescendre. Elle retire la main de sa chatte en frissonnant. L’imitant, je laisse glisser mes doigts hors de son cul. Son anneau se rétracte un peu, mais reste ouvert, légèrement distendu. J’espère que je ne lui ai pas fait mal ! — Oh ! Bon dieu ! C’était fort ! Elle vacille, avant de s’asseoir en tailleur sur le sol de la douche. La jouissance à l’air de l’avoir crevée ! J’admire en silence son corps magnifique, terriblement bandant, tandis qu’elle appuie sa chevelure sur la faïence et ferme les yeux. Elle ne bouge plus. Ça dure un bon moment, au point que je me demande si elle ne s’est pas assoupie. Ma queue, toujours bandée, me rappelle douloureusement à la réalité. Qu’est-ce que je fais, à présent ? Je me branle et je gicle sur elle ? — Et toi, pauvre Patrick ? Je t’ai un peu oublié, dans tout ça ! finit-elle par dire, ouvrant un œil. Tu aimerais jouir à ton tour, j’imagine ! — Et ben… — Alors voyons ce qu’on peut faire pour toi, dit-elle, un sourire coquin aux lèvres. Et là, elle vient vers moi à quatre pattes, une lueur lubrique dans le regard. Décidément, elle a la santé, l’infirmière ! Tant mieux, ça m’évitera de devoir faire ceinture… Elle s’agenouille devant moi, profitant que je sois toujours accroupi pour prendre ma bite en main. À deux mains, même. Ce n’est pas évident de me branler, vu la taille. Je lui montre comment j’aime, et elle prend vite le coup. Se penchant en avant, elle gobe comme elle peut la pointe de mon pénis, en pourlèche le gland à grands coups de langue, tandis que ses mains s’activent de part et d’autre de ma colonne, me branlant de plus en plus fort. De temps à autre, elle flatte mes couilles, avant de reprendre sa masturbation. Avec un tel traitement, je ne devrais pas trop tarder à venir ! Je repense à ses fesses écartelées, à son anneau souple, qui coulissait si bien sous mes doigts. Si j’osais… — Myriam… — Oui ? demande-t-elle, relevant la tête, avant de repousser sa chevelure épaisse d’un geste élégant. — Et bien, j’ai jamais… J’aimerais… — Tout ce que tu veux Patrick, tu n’as qu’a demander ! — Est-ce que je pourrais… jouir sur ton cul ? — Mais c’est que tu te dévergondes, là ! fait-elle, avant d’ajouter, voyant que je deviens tout rouge : C’est une très bonne idée, j’adore ça ! Toujours à quatre pattes, elle se tourne, et, sans que je n’aie rien à lui dire, attrape ses fesses à deux mains et pose ses gros seins sur le sol. Cette femme est vraiment « hot » ! Cambrée et écartée comme elle l’est, elle m’offre une vision paradisiaque de tous ses trésors. Ça me permet d’ailleurs de constater que son « petit trou » a repris des dimensions raisonnables, ce qui me rassure. Je m’approche d’elle, à genoux, et pose mon gland sur la zone tendre entre son anus et l’entrée de son vagin. Je presse doucement, tout en commençant à me masturber. — Regarde bien, ça va te plaire…, glousse-t-elle. Heureusement qu’elle m’a prévenu ! Son popotin se crispe un peu, et, soudain, son anus s’ouvre comme une petite bouche avide, me laissant apercevoir les stries rosées de son rectum. C’est plutôt surprenant ! Ma queue, elle, apprécie les performances anales de l’infirmière. Mon casque écarlate se tend encore un peu, grossissant notablement. Ça me donne envie de… de… et bien, de sodomiser Myriam. Je ne résiste pas à cette invite. Je pèse doucement contre l’anus ventriloque, le sentant qui se crispe et se détend en rythme, mâchonnant la pointe de mon gland décalotté, qui pénètre peu à peu. Perdant soudain toute retenue, je pousse plus fort. Myriam grogne, surprise, mais ne s’esquive pas, attendant simplement de voir ce qui va advenir – jusqu’où je vais pouvoir m’enfoncer en elle. Pas aussi loin que je l’espérais, en fait. Les rebords du casque écartèlent son cul au possible, mais ne franchissent pas l’obstacle. Tout autour de la peau fripée de mon gland, ça force, mais les muqueuses refusent de céder. Il nous faudrait bien plus d’entraînement et des tonnes de gel… Tant pis, je vais me contenter de branler la tête de mon nœud dans son trou. Distendue comme elle l’est, je ne peux pas lui en demander plus, c’est déjà un bel exploit de sa part ! Je suis sur le point de gicler au fond de sa caverne, quand la sonnerie du téléphone nous tire de notre hébétement coïtal. Ça sonne, et ça sonne … Cette stridence me perturbe, je m’énerve et ne viens pas. — Désolée, Patrick… Je vais devoir répondre. Elle se retire doucement, éjectant l’arrondi de mon gland avec un petit bruit mouillé, puis court décrocher le téléphone. Au bout de cinq minutes, elle n’est toujours pas revenue. Moment de solitude, assis seul dans sa douche. Je me finis, ou bien j’attends qu’elle, elle ait fini ? Je sors de la salle de bain. Myriam, le combiné à l’oreille, fait les cent pas dans son salon, l’air préoccupée. Elle parle avec animation. Des mauvaises nouvelles ? Elle m’envoie un baiser, pose la main sur le téléphone et me dit : — Vas m’attendre dans mon lit. Si tu es sage, on reprendra là où on s’est arrêté. J’ai un gel qui fait des miracles… Et, sur cette promesse délectable, elle me montre la direction de sa chambre sans cesser de converser avec son interlocuteur invisible. Aaaah ! Sa chambre… Sur les murs, toujours des photos en noir et blanc. D’un autre genre, cette fois. Des couples, parfois des couples de femmes, dans des positions sans équivoques. Des scènes très hard, avec tout un attirail de cuir et de métal : baillons, cravaches, fouets, liens, menottes, godes plus énormes les uns que les autres. Le sujet principal de ces clichés trashs ? Myriam. L’infirmière a l’air d’apprécier les traitements choc ! Au milieu de la chambre, un grand lit à baldaquin, plein de coussins et de fanfreluches. Et dans une vitrine de verre, à côté de ce baisodrome pelucheux, une collection un peu spéciale. Des bites par dizaines, de toutes tailles, hyper réalistes, sur lesquelles sont tatouées des initiales. Pour Myriam, le moulage des parties génitales est une passion de longue date. À moins qu’elle ne consomme ses « modèles » en quantités astronomiques ? Des trophées assez pertinents, en tout cas, pour une mangeuse d’homme ! Je me glisse entre les draps et, patiemment, je l’attends. Je l’attendrai très longtemps. Pour finir, je m’endors. Quand j’ouvre un œil, il fait déjà jour. Myriam n’est pas là. Sur une chaise, près du lit, mes vêtements, soigneusement pliés. Un mot est posé sur la pile : Patrick, Désolée pour ce très long coup de fil. Tu dormais, quand je suis entrée dans la chambre. Je n’ai pas voulu te déranger. Et puis, ce matin, je débute très tôt mon service, tu comprends ? Cette soirée m’a beaucoup plu ! J’ai hâte d’avoir fini « l’entraînement », afin de pouvoir prendre ta queue en moi… des deux côtés ! Myriam, Ton infirmière dévouée PS : Tu n’auras qu’à tirer la porte derrière toi en partant. --oOo-- Je me suis enfui comme un voleur. D’ailleurs, c’est ce que j’étais, un voleur, vu que je lui avais dérobé un string à l’entrejambes un peu douteuse, mais qui fleurait bon la chatte. Pour mieux me masturber en pensant à elle, une fois chez moi. Avant de l’appeler pour fixer notre prochain « rendez-vous ». Le soir même, j’ai composé son numéro, les doigts tremblants, des images plein la tête. Du genre « film classé X ». Je n’ai pu parler qu’à son répondeur. Dommage. Sa voix restait sexy, mais un brin crispée. Deux jours plus tard, elle ne m’avait toujours pas rappelé. Mon message téléphonique était resté sans suite. Inquiétude. Je l’appelai plusieurs fois, laissant message sur message, sans autre résultat que de saturer cette stupide machine. Ridicule ! Une semaine s’écoule. Toujours aucune nouvelle. J’ai contacté son travail. On m’a répondu qu’on ne pouvait pas me la passer. J’ai insisté. À chaque fois, c’est pareil, elle n’est pas là. Pas là, mais pour qui, pour moi ? Je suis allé devant son immeuble, j’ai sonné plusieurs fois, pas de réponse. Interphone en panne ? En planque dans la rue, j’ai surveillé les allers et venues, dans l’espoir de la revoir. Aucune trace de Myriam. Déception. Aujourd’hui, pour tromper l’ennui, et peut-être aussi chasser l’angoisse, je suis allé faire un tour à pied dans Clermont. En passant devant un sex-shop, du côté de la gare, une affiche me tire l’œil. On y parle de « femmes fontaines ». Intrigué, émoustillé à l’idée que ça puisse avoir un rapport avec Myriam, je veux en savoir plus. Me documenter, c’est me rapprocher d’elle. Je pousse la porte et entre dans la boutique. Et là, bien en évidence sur un présentoir de satin, éclipsant tout le reste de la marchandise, je la vois. Ou plutôt, sa réplique en silicone. Ma bite ! Énorme, hyper détaillée, presque vivante. En arrêt devant la vitrine, je suis stupéfait, j’essaie de comprendre. Cette copie de ma queue a forcément été réalisée à partir du moulage de Myriam. Oui, mais comment est-elle arrivée là ? — Beau spécimen, n’est-ce pas ? C’est un moulage grandeur nature. Vous imaginez ! Un type entre deux âges s’est approché, l’air chafouin, un faux sourire plaqué sur le visage. Le gérant. Où bien un vendeur quelconque. — Vous êtes intéressé ? C’est pour vous-même ? Je pense qu’une taille plus « normale » serait mieux adaptée et… Je ne veux pas en entendre plus. Bousculant deux clients surpris, je me rue hors du sex-shop. J’ai peur de comprendre… Si Myriam ne me rappelle pas, c’est que plus rien ne l’intéresse chez moi. Pour la simple et bonne raison qu’elle s’est emparé de la seule chose qui ait capté son attention : ma bite. Dont elle doit d’ailleurs user et abuser, pour son plus grand plaisir. Mais sans moi au bout. J’aurais voulu hurler ma rage au monde entier, ma douleur d’avoir été trahi. Ça faisait si mal ! Au lieu de ça, je suis rentré. Puis je me suis longuement masturbé en reniflant l’odeur de sa chatte. L’ombre de son désir….   FIN (… provisoire ?)
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Par : le 22/10/25
Capitre 37 L'Esthétique de la Soumission   Le samedi après-midi était calme. Après le débriefing matinal et les soins prodigués, le corps de ma Soumise s'était détendu. Elle était habillée d'une simple robe de chambre que je lui avais choisie. La réussite de sa semaine et l'intensité du bondage avaient affûté sa réceptivité. C'était le moment idéal pour une leçon moins axée sur la douleur et plus sur l'honneur de son nouveau statut. Je l'ai installée dans mon bureau, près de la grande fenêtre qui offrait une belle lumière naturelle. J'avais étendu sur le sol une étoffe de velours noir qui absorberait toute la lumière, mettant en relief le moindre détail. "Tu as prouvé que ton corps est capable d'obéir dans la contrainte. Maintenant, tu vas m'offrir la beauté de cette obéissance," annonçai-je, mon ton étant plus celui d'un artiste que d'un Maître punisseur. Elle s'est agenouillée, son regard fixant le tas de cordes de chanvre teinté posé à mes côtés. Elles étaient de différentes couleurs, rouge profond, noir de jais, et beige naturel. L'outil était le même que la veille, mais la finalité était différente. "Aujourd'hui, le bondage est artistique. Il n'est pas destiné à l'immobilité, mais à la célébration de ta forme et de ton abandon. Tu vas être mon œuvre, ma muse, la représentation vivante de la Soumission." Je l'ai dévêtue, exposant sa peau sans la moindre trace de hâte. J'ai commencé par des motifs de corde complexes, utilisant le noir et le rouge pour créer un harnais délicat mais structurant autour de sa poitrine et de ses hanches. Chaque entrelacs était une ligne de force qui soulignait la courbe de son corps. Le chanvre naturel servait à lier ses poignets devant elle. Chaque minute intensifiant sa posture et ma vision. J'ai pris mon Nikon et j'ai commencé la série de clichés. Au fil du temps, j'ai ajusté et varié les motifs de cordage sur son corps, explorant les lignes et les ombres que le chanvre teinté dessinait sur sa peau. J'ai exploré différentes postures et angles, transformant sa vulnérabilité en un objet de contemplation parfait. Pendant que je prenais mes clichés, je lui parlais. "Regarde la beauté que ton abandon crée. Ce corps n'est pas seulement le mien pour le plaisir ou la punition. Il est mien pour l'art. Il est mon trophée. Et ce trophée, il faut savoir l'honorer." Elle ne pouvait pas répondre, mais les larmes silencieuses qui coulaient le long de ses tempes n'étaient pas de la tristesse, mais le lâcher-prise face à la reconnaissance de cette nouvelle forme de servitude. Lorsque j'eus terminé, je m'assis et l'observai, le temps de la laisser s'imprégner de la fierté de l'œuvre accomplie. "C'est suffisant. Tu as été un modèle parfait." Je me suis approché, et j'ai défait les nœuds un à un, avec une lenteur calculée. L'acte de déliaison était aussi important que l'attache. Elle est restée un instant immobile, les traces rouges du chanvre teinté restant sur sa peau comme les traces d'un tatouage temporaire. Elle se redressa et, sans même se couvrir, me demanda d'une voix pleine :   "Maître, pourrai-je revoir les photographies un jour ?" "Oui," répondis-je, sa demande étant la validation ultime de son succès. Nous nous sommes installés confortablement sur le canapé, elle toujours nue mais enveloppée d'une simple couverture. J'ai rapidement transféré les clichés sur l'ordinateur et lancé le diaporama sur le grand écran. Nous avons regardé et analysé les photos. Ce n'était plus la brutalité du jeu, mais le silence attentif de deux artistes analysant leur œuvre. "Ici," expliquai-je, pointant l'écran. "La tension du corps est excellente. Le chanvre rouge crée une diagonale puissante. Mais il faudra maintenir la tête un millimètre plus haute la prochaine fois, cela accentuerait l'angle de soumission." Elle hochait la tête, son regard critique et dévoué. "Je vois, Maître. Je peux faire mieux." La séance d'analyse était le point culminant de sa validation. Elle avait vu, de ses propres yeux, la preuve que son corps était un instrument d'art et de domination. "La beauté de ta soumission est désormais immortalisée."   Chapitre 38 L'Abandon Vertical   Le dimanche après-midi. Le soleil filtrait à travers les rideaux, mais l'atmosphère dans la chambre de jeu était concentrée. L'analyse des clichés de la veille avait rendu ma Soumise plus attentive encore, plus désireuse d'exceller dans chaque rôle que je lui attribuais. Elle était prête pour le sommet de l'abandon physique. J'avais préparé la pièce en conséquence. Au plafond, un grand anneau en forme de Triskel en métal sombre attendait. Sa forme symbolique, spirale de mouvement, ajoutait une dimension presque rituelle à l'espace. Elle s'est agenouillée devant moi. Elle portait toujours l'anneau à son annulaire droit ; le signe de sa servitude en public n'était jamais retiré. "La leçon d'aujourd'hui est la suspension," ai-je commencé. "La plus haute forme de confiance et de soumission. Il ne s'agit pas de retenir le corps au sol, mais de le confier entièrement à mon autorité, même face à la gravité." J'ai utilisé le même chanvre teinté que la veille. J'ai commencé par des liens méticuleux, non douloureux, mais extrêmement sécurisants. J'ai attaché le harnais autour d'elle, les cordes s'enroulant autour de ses cuisses, sa taille et sa poitrine, assurant une parfaite répartition de la pression. Quand l'encordage fut complet, j'ai attaché les cordes de ses chevilles, de ses hanches et de ses poignets à des points différents du Triskel, les laissant pour l'instant lâches. Le processus de suspension serait progressif. Je l'ai fait se tenir directement sous l'anneau. J'ai saisi la première corde, celle de ses hanches, et j'ai tiré pour qu'elle supporte une partie de son poids. Puis j'ai tiré sur la corde de ses bras, tendus au-dessus de sa tête, la forçant à se dresser sur la pointe des pieds. Enfin, la corde des chevilles a achevé l'œuvre. Elle a senti la tension, puis ses pieds ont quitté le sol. Elle était suspendue, debout dans le vide, son corps maintenu dans une position de crucifixion douce. La première phase fut purement esthétique. "C'est magnifique," ai-je murmuré, faisant le tour. "Tu es la ligne parfaite. Regarde l'absence de force nécessaire. Tu es immobile non pas par contrainte de la corde, mais par l'abandon de la volonté." Le temps s'est étiré. La pression des cordes et l'inconfort de l'apesanteur ont commencé à s'installer. Elle était obligée d'accepter cette sensation sans broncher. Sa respiration était la seule chose qui lui restait, et elle me l'offrait. Après un long moment, j'ai décidé que l'esthétique avait rempli son rôle. Il était temps de transformer cette confiance en un service ultime. J'ai modifié la tension des cordes avec une précision chirurgicale. J'ai relâché les liens supérieurs qui la tiraient vers le haut, tout en resserrant les sangles sous ses cuisses et son bassin. J'ai ensuite déplacé les points d'attache sur le Triskel pour l'incliner. Elle a senti son corps basculer doucement. Je l'ai mise en position horizontale, son dos soutenu par les cordes, son bassin légèrement relevé, ses jambes écartées et immobilisées par le chanvre. Elle était suspendue devant moi, exactement comme une balançoire humaine, totalement vulnérable. J'ai relâché les cordes de ses mains pour lui permettre d'agripper les liens qui maintenaient ses cuisses, un simulacre de contrôle qui soulignait son impuissance. Elle était l'offrande parfaite, suspendue à la hauteur idéale, la lumière caressant son sexe exposé et tendu. La suspension créait une tension musculaire interne qui exaltait sa réceptivité. Je me suis approché d'elle, sans hâte. Mon approche était une cérémonie de prise de possession. J'ai écarté délicatement l'entrée de son sexe avec mon pouce. Elle était déjà humide, anticipant l'inévitable. J'ai pénétré sa vulnérabilité suspendue avec une lenteur exquise, enfonçant mon verge en elle jusqu'à la garde. Son corps a réagi par un spasme réflexe, mais la corde a absorbé la secousse, la maintenant stable dans la position de réception forcée. Je l'ai tenue ainsi, sans bouger, jouissant de la sensation de son enveloppement parfait et de la vision de sa jouissance. "Regarde où tu es," ai-je murmuré, mon souffle contre son cou. "Tu n'es rien d'autre que le point central de mon désir. Tu es suspendue uniquement pour moi." J'ai commencé le mouvement, d'abord avec un rythme lent, possessif, la laissant s'habituer à l'idée qu'elle ne pouvait rien faire d'autre que recevoir. Puis, j'ai augmenté la cadence, frappant son corps suspendu de coups secs et profonds. Les cordes, loin de la protéger, transformaient chaque impact en une vibration à travers son corps, le balancement intensifiant le plaisir et l'agonie. Elle criait mon nom. Ses larmes coulaient sur le côté de son visage, non de la souffrance, mais de la sublimation de l'abandon. Je l'ai poussée à un orgasme puissant, la tension des cordes empêchant toute fuite. Son corps s'est arqué dans le harnais de chanvre, le son de nos corps en suspension remplissant la pièce. Mon éjaculation était le sceau final de ce week-end de formation. Je suis resté un instant, la tenant en suspension, mon poids soutenu par sa propre soumission. "La leçon est finie," ai-je murmuré. J'ai relâché la tension des cordes une par une, la posant doucement sur le lit que j'avais glissé sous elle. Le contact du linge frais, après une telle contrainte, a été une délivrance. Elle s'est effondrée, le souffle coupé, mais le sourire de la victoire de son abandon était sur son visage. Le week-end avait été long, intense, et il avait transformé sa soumission en une force inébranlable.   Voilà !!! Les inquiétudes de la page blanche sont finies. Le livre est terminé ! Il compte 372 pages A4 et, comme par hasard, il se termine sur le chapitre 69. Petit sondage : qui serait prêt à payer pour la version E-book ou plus tard pour la version papier ?                    
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Par : le 22/10/25
Chapitre 6 – Promenons-nous dans les bois… Lorsque nous nous promenions Philippe aimait me provoquer. Le plus souvent, il me demandait d’enlever mon soutien-gorge et mon string. Je m’exécutais dans la voiture. Le but était de m’exposer, tout en roulant, à la vue des routiers qui du haut de leur cabine pouvait se rincer l’œil au passage. Bien entendu, Philippe prenait un malin plaisir à rouler lentement pour se faire doubler par les poids lourds et n’hésitait pas à relever ma robe pour bien découvrir mes cuisses. Ce petit jeu l’amusait. Toutefois, au fond de moi, je subodorais qu’il avait envie de me faire franchir une nouvelle étape.  Profitant d’un vendredi après-midi où je n’avais pas cours, Philippe m’a proposé d’aller faire une balade en forêt de Saint Germain en Laye. Pour lui plaire, je ne portais pas de soutien-gorge afin d’avoir les seins libres, comme il disait. J’avais enlevé mon string dans la voiture. Il avait dû glisser derrière un siège car je ne le retrouvais pas au moment de descendre. Je partis donc en promenade nue, sous ma petite robe légère, main dans la main. Assez rapidement, Philippe me lâcha la main et me prit par la taille. Il commença à me caresser les fesses. Philippe les adorait, il les trouvait parfaitement à son goût. J’avais même le sentiment qu’il faisait une fixation dessus, mais j’appréciais lorsqu’il les attrapait à pleines mains pour me prendre en levrette. Il y avait un peu de monde qui marchait dans l’allée principale s’enfonçant dans la forêt. Lorsque nous croisions des inconnus, Philippe n’arrêtait pas pour autant ses caresses. Il semblait ne ressentir aucune gêne. Ce n’était pas mon cas, mais je me laissais faire. Tout à coup, je sentis sa main relever ma robe, et empoigner ma fesse droite. Le rouge me monta instantanément aux joues. J’étais terrassée par un sentiment de honte que je n’avais jamais ressenti jusqu’alors de manière aussi vive. Je n’osais même pas me retourner de crainte d’apercevoir quelqu’un derrière nous, observant notre manège. Mais, dans le même temps, à ma grande surprise, j’étais excitée. Philippe me regarda en souriant et me demanda : Alors tu aimes ça, hein ? Oui, mais… Il me coupa net la parole et me dit. Ton cul est magnifique, il faut le montrer. Montrer à tous les hommes comme tu es belle et salope à la fois. Je suis restée sans voix, tout à la fois choquée et excitée par ses mots. Peu après ces paroles, il s’engagea dans un chemin étroit où la végétation était plus dense. Qu’allait-il encore imaginer comme jeu ? Tout à coup, il me prit dans ses bras, me serra contre lui et commença à m’embrasser à pleine bouche. Je sentais son membre en érection contre ma cuisse alors que ses mains pelotaient différentes parties de mon corps. Il défît les trois boutons du haut de ma robe et sortit mes seins pour les embrasser, les lécher, mordiller mes tétons et tirer très fort dessus. Il savait que j’adorais ça. Je commençais sérieusement à mouiller. Bien que très excitée, je ne perdais pas de vue le chemin que nous avions emprunté, anxieuse d’apercevoir des promeneurs avancer vers nous. J’ai subitement croisé le regard d’un homme qui se tenait à distance, appuyé contre un arbre en train de contempler le spectacle que nous offrions. J’étais une nouvelle fois terriblement gênée. J’ai immédiatement demandé à Philippe d’arrêter en le prévenant qu’un homme nous observait. Il me déclara avec un sourire de contentement accroché à ses lèvres. C’est tout à fait normal qu’il nous regarde. Montre-lui comme tu peux être salope, une belle salope. Tu n’as rien à craindre, je suis là » Il replongea aussitôt sa tête dans ma poitrine, ses mains soulevant entièrement ma robe, m’exhibant en laissant entrevoir mon intimité. Ensuite, je sentis ses doigts pénétrer sans ménagement dans mon vagin et il se mit à me doigter. Je lâchais quelques gémissements qui eurent pour résultat de l’exciter encore plus. Je ne savais plus que faire, l’arrêter net ou le laisser me faire jouir à la vue de tous.  Malgré moi, je ne pouvais détacher mes yeux de l’homme appuyé contre un arbre qui n’avait pas l’intention de lâcher son poste d’observation, profitant de ce spectacle gratis. Philippe me doigta de plus en plus vite, allant jusqu’à mettre plusieurs doigts. Ses caresses insistantes, ce témoin de nos jeux sexuels, m’excitèrent au point de me déclencher un orgasme si puissant qu’il me secoua et déclencha des cris de jouissance impossible à contenir. Philippe était aux anges. Tu vois que tu aimes ça, montre-lui maintenant comme tu suce bien. Un vent de panique souffla à l’évocation de cette idée, mais je ne me sentais pas la force de refuser. Je m’exécutais toujours nue, en m’agenouillant, ouvrant sa braguette pour libérer son membre bien dur. Je me suis ainsi retrouvée seins nues, les fesses à l’air dans la forêt de Saint Germain en train de sucer Philippe pendant qu’un voyeur se branlait, ne loupant pas une miette de ce spectacle improvisé. Un moment, j’ai même redouté que Philippe n’appelle le voyeur afin que je le suce. Mais centré sur son plaisir Philippe ne tarda pas à jouir. Contrairement à son habitude, il n’éjacula pas dans ma bouche. Il préféra se retirer, m’attraper par les cheveux et jouir sur mon visage. De grands jets chauds dégoulinèrent alors jusque sur mes petits seins dont les tétons pointaient fièrement. C’était la première fois que je recevais son sperme sur mon visage. Je restais ainsi un moment, abasourdi par l’enchaînement des évènements. Philippe me releva pour m’embrasser et me déclara. Qu’est-ce que je l’aime ma petite salope. N’aies pas peur, il est reparti après avoir lâché son foutre. J’étais couverte de sperme, honteuse, mais fière d’avoir accompli jusqu’au bout ce défi. Nous sommes rentrés et avons pris une douche ensemble. Ensuite, il me fit l’amour très tendrement. J’ai toujours une pensée émue à l’évocation de cette première exhibition et à l’orgasme que Philippe m’a procuré devant témoin. A suivre
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Par : le 21/10/25
Il avait alors cherché à nouer des relations plus durables, avec les contraintes que cela impliquait vu ses disponibilités. Il y avait eu des rencontres étonnantes ; cette soumise confiée par son Maitre parce qu'il avait trouvé une autre soumise qui lui convenait mieux physiquement ; quelques femmes mariées qui avaient envie de ressentir des frissons ; une dominatrice qui s'était révélée être une des meilleures soumises qu'il n'avait jamais eues ; des couples où le mari voulait voir sa femme soumise à un autre mais qui posait tellement de limites que cela devenait impossible, au point que certaines cachaient à leur mari qu'elle le voyait en cachette ; des relations plus longues, quelques mois au lieu de quelques jours, où il pouvait s'épanouir le temps de quelques rencontres. Il s'était fait un petit groupe d'amis, tous dominateurs comme lui, ils avaient tous ensemble aménagé un donjon, avaient partagé quelques rencontres avec leurs soumises respectives, toujours en cachette.  Puis il y avait eu le clash, sa femme le surprenant en pleine discussion avec une de ses soumises, incompréhension, menace de divorce, tempête dans leur couple. Ils avaient essayé de surmonter, avaient même tenté les jeux bdsm ensemble, mais cela ne fonctionnait pas ainsi entre eux. Finalement, il avait fait profil bas, lui laissant croire qu'il s'était assagi, menant avec elle une vie heureuse et coquine, mais avec des périodes où il cherchait des partenaires de jeu pour partager d'autres envies.  Pandémie, confinement, il avait été sage par obligation, jusqu'à croiser une jeune soumise, qui ne savait plus ce qu'elle cherchait. Abandonnée par son maitre sans nouvelles depuis plus d'un an, elle était en train de sombrer. Il avait cru pouvoir renouer quelque chose pour elle et avec elle, l'avait aidée à remonter la pente, mais l'empreinte de son précédent Maitre était trop forte, elle voulait être libre mais appartenir de manière permanente.  En quelques semaines, tout était consommé, ils avaient repris l'un et l'autre leur chemin et leur quête.  Et c'était là que Laura était apparue. En passant sur un site fétichiste, il avait laissé un message sur son profil et à sa grande surprise elle avait répondu. Elle, mariée, en cachette de son mari, débutante, se cherchant, avec ses peurs, ses tabous, ses envies. Lui, marié aussi, en cachette de sa femme, avec son expérience, ses envies aussi.  Ils avaient vite senti qu'il se passait quelque chose. Une alchimie sur leurs envies, sur leur manière de voir les choses. Il apaisait ses craintes, tout en la poussant à oser. Elle, inconsciemment peut-être, l'excitait, lui donnait de plus en plus envie de la dominer et de la faire s'épanouir.  Leurs manques de disponibilité, leurs conjoints respectifs, tout concourrait à les empêcher d'aller plus loin. Pourtant, un jour, elle avait dit oui à une rencontre. Alors qu'il pensait lui offrir un café, elle avait répondu en lui proposant une chambre d'hôtel, chambre d'hôtel qui s'était avérée contenir un mini donjon parfaitement équipé. IL avait testé jusqu'où elle pensait aller, lui proposant de lui indiquer par sa position une version soft ou une plus dure.  Il s'était interrogé, puis avait décidé de jouer le jeu jusqu'au bout. Et bien lui en avait pris, il avait découvert cette après-midi-là une femme étonnante. Débutante mais sachant ce qu'elle voulait, craintive et ayant peur de lui mais lui demandant de la gifler, lâchant prise comme jamais à une première rencontre. Osant se laisser attacher, malmenée, jouissant sous ses doigts et sa bouche. Ils s'étaient séparés repus, apaisés, mais les sens en feu et pour elle les fesses un peu plus rouges qu'à son arrivée.  Restait maintenant à concrétiser dans le temps. Mais c'était là que les difficultés les attendaient, difficultés de plannings respectifs, de disponibilités. Il y avait eu quelques ratés dans leurs rendez-vous. Mais ils avaient persévéré. Un jour Laura lui avait montré la photo de jolis accessoires sexy qu'elle avait acheté. Jolies tenues, ce petit harnais qu'elle portait ce soir, et puis un ensemble de soumission, à la fois chic et sexy, cuir rouge et métal doré, collier et bracelets, une laisse et un martinet. Son mari semblait enchanté de ses achats, et il avait fini par lui dire qu'il ne manquait plus que le dominant. Il leur avait fallu trouver une ruse pour que Pierre soit présenté comme le résultat d'une recherche d'un dominant correspondant aux attentes du couple, mais finalement ils avaient fait connaissance, et sympathisé, même si les rencontres étaient rares, il y avait entre eux 3 une grande complicité. 
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Par : le 21/10/25
Retour au présent, avec le rendez-vous chez Myriam, l’infirmière fétichiste, qui attend de pied ferme son nouvel étalon, à la fois timide et hors-norme. Saura-t'il se montrer à la hauteur de ses exigences ?   ---- Voici donc les dispositions d’esprit dans lesquelles je me trouve, lorsque je sonne chez Myriam ce soir-là. Driiiiiiiiiiiing ! — Ouais, c’est Patrick, et je… — Quatrième étage, porte de gauche. Le grésillement de la gâche électrique se fait entendre, insistant. Je pousse la porte vitrée, pénétrant dans un petit immeuble tarabiscoté, typique du vieux Clermont-Ferrand. Une odeur âcre de choux plane dans l’air. Pas d’ascenseur. Pas grave. Je monte les étages quatre à quatre et arrive devant le palier de l’infirmière, à peine essoufflé. La porte est entrouverte. — Entre… J’obéis, refermant derrière moi. L’infirmière m’attend dans son salon, en robe du soir décolletée, allongée plus qu’assise dans un canapé bas couvert de coussins. L’éclairage est tamisé. Ici et là, quelques lampes basses colorent la pièce de lueurs rouges ou violettes. Myriam a fait brûler de l’encens, fermé les volets, tiré les rideaux. Une musique tsigane joue quelque part en sourdine. Une pièce étonnante, ce salon, dont un pan entier est colonisé par des étagères chargées de livres. La couleur ocre des mûrs, peints à l’éponge, souligne les photos noir et blanc accrochées un peu partout. Des jeunes femmes. Nues. Photographiées dans des positions érotiques qui frisent parfois l’obscène. Sur certains clichés, je reconnais une Myriam plus jeune, au sortir de l’adolescence. Ce lieu dégage une atmosphère de maison close. Du moins, c’est à ça que ça me fait penser. — Approche. Mets-toi à l’aise… Des yeux, je cherche un siège, un fauteuil. Il n’y en a pas. Intimidé, je pose une fesse sur le canapé, à bonne distance de mon hôtesse. Mon excitation est en train de retomber. Je ne me sens pas du tout à ma place, ici. Pourtant Myriam a fait des efforts pour me plaire. Elle est même assez attirante, maquillée avec discrétion comme elle l’est, ses lèvres charnues mises en valeur par un gloss éclatant. Elle a troqué ses grosses lunettes contre une paire de lentilles de contact, qui donnent une profondeur nouvelle à son regard bleu azur. Ses cheveux noirs, mi-longs, retombent avec grâce sur ses épaules nues. — Tu veux boire quelque chose, Patrick ? — Hum… de l’eau, si vous avez. — Pas d’alcool ? Très bien, c’est mieux pour l’érection… Aargh ! Voilà qui me rappelle que je ne suis pas là juste pour mes beaux yeux. Mais plutôt pour le plaisir des siens. — Je voulais vous dire… heu… je suis pas sûr que… — Que quoi ? susurre-t-elle, décidant de se rapprocher. — Que… vous et moi… vous savez, quoi ! Crac-crac ! — Pourquoi donc ? Je te plais pas assez ? — Je suis du genre… timide. C’est pas certain que j’arrive à… à bander, conclué-je, soudain très mal à l’aise. — Ce serait horriblement décevant, déclare-t-elle, solennelle. Mais je suis certaine que ça n’arrivera pas. Elle se lève, vient se planter devant moi et relève lentement le bas de sa robe, dévoilant peu à peu ses jambes gainées de nylon noir ajouré, que je trouve tout de suite très sexy. J’admire le galbe de ses mollets, la beauté de ses cuisses, à la fois fines et musclées. Myriam a vraiment de très belles gambettes ! La robe continue de monter. Comme hypnotisé, je suis le trajet du tissu, qui me dévoile à présent le haut de ses bas – des autofixants, avec une jolie jarretière de dentelle. Ça fait un peu pute, et c’est ça qui est excitant, justement. Encore un chouïa, et je vais apercevoir sa petite culotte… Et là, c’est le choc ! Son bas-ventre est nu. Entièrement nu. Pas le moindre sous-vêtement, pas plus que de poils pubiens, pour dissimuler les grandes lèvres de son con, aussi glabre que la paume de ma main. Son mont de Vénus est presque aussi lisse, hormis une mince bande noire et rase qui désigne comme un point d’exclamation la naissance de son clitoris. Assez gros, son bouton fait saillie entre les plis roses de sa vulve, huilée par une substance visqueuse et odorante. Malgré moi, je me penche en avant. Sa fourche est à moins de cinquante centimètres de mon nez. À la fois plus forte et plus subtile que les senteurs d’encens, une fragrance caractéristique me parvient, en provenance directe de sa chatte. Elle s’est caressée juste avant que j’arrive ! Bien plus tard, elle m’avouera qu’elle s’est fait jouir tout l’après-midi, en frottant ses cuisses l’une contre l’autre tout en pensant à ma queue de cyclope. Cette vision oblitère soudain tous mes doutes. Je la veux. Et elle, visiblement, n’attend que ça. Mon sexe enfle démesurément. Je vais devoir me mettre rapidement à l’aise, si je veux éviter la fracture du pénis ! Je fais sauter les boutons de mon jean, libérant mon membre de toute entrave. Il se déplie aussi sec. Je tends alors la main vers le fruit juteux, si joliment fendu, qu’elle expose dans une totale absence de pudeur. — Tss, tss… Doucement, jeune homme. Avant qu’on aille plus loin, j’ai quelques conditions à poser ! Surpris, j’interromps mon geste. Des conditions ! Quelles conditions ? — Ce soir, il s’agit simplement de faire connaissance… — Mais, je croyais que… — Tu es tellement gros qu’il me faudra un sacré entraînement, avant de pouvoir te prendre en moi. Myriam laisse retomber sa robe et farfouille derrière le canapé, excitée comme une gamine. Quand elle se redresse, elle tient à la main un long tube de plastique gris. — Fait sur mesure pour ton membre, par un de mes amis. Une pièce unique. — Heu… et qu’est-ce que c’est ? — Je t’explique : ce truc va servir à faire un moulage de ton « monstre », une copie en silicone, pour que je puisse m’exercer avant, y aller progressivement. — Je vais devoir fourrer ma queue là-dedans ? — Je sais, c’est pas très seyant. Désolée, mais c’est pour la bonne cause ! Qu’est-ce que c’est encore que cette idée tordue ? J’ai décidément du mal à la suivre, cette nana-là ! — Donc, si tu es prêt, nous allons commencer par une prise d’empreinte ! — Et… heu… qu’est-ce que je suis censé faire ? — Rien, je m’occupe de tout ! Ça ne me rassure guère. La dernière fois qu’on m’a dit un truc dans le genre, ça ne s’est pas vraiment bien terminé ! Coupant court à toute discussion – mon érection parle d’elle-même – Myriam dégrafe sa robe et s’installe tout près de moi, dans le canapé. Je me rends alors compte à quel point elle est svelte, et combien sa poitrine rebondie paraît imposante, en comparaison. Sous la pression de ses seins, son soutif menace d’exploser à tout moment ! Vrais ou faux, les seins ? Pour l’instant, ça ne me préoccupe pas, j’ai bien d’autres choses en tête. Comme par exemple ne pas oublier de respirer, lorsqu’elle adopte une position à me faire sauter les yeux des orbites : allongée sur le dos, elle remonte les genoux sur sa poitrine puis écarte lentement les cuisses, me dévoilant les détails intimes de sa moule, cette béance rosâtre qui fend un bassin par ailleurs large et épanoui. Sous mon regard incrédule, elle commence tranquillement à se branler. Je n’ai jamais eu l’occasion de mater une femme en train de faire ça. Même pas Chloé ! Épilée comme l’est Myriam, c’est une des choses les plus indécentes qu’il m’ait été donné de voir. Tout en se malaxant les tétons d’une main, elle se caresse la chatte de l’autre, enfonçant parfois ses doigts dans son vagin, avec des petits bruits mouillés. J’ai chaud, je suis en nage. Captivé par les effets physiologiques de la masturbation sur l’anatomie féminine, je suis comme paralysé. Je ne sais pas si Myriam m’autorisera à toucher, à palper ce corps qu’elle offre à ma vue, mais en tout cas, j’en ai très envie… Et bien sûr, je bande de plus en plus fort. Ce dernier détail n’a pas échappé à l’infirmière, qui m’observe les yeux mi-clos, sans cesser de se caresser. — Ça te plaît ? — Raaahh ! — Je suppose que ça veut dire « oui ». Tu sais, toi aussi tu peux y mettre les doigts… Je tends une main tremblante vers sa fourche, caressant tout d’abord ses cuisses, ses fesses, m’approchant peu à peu des lèvres épaisses de son sexe. Devant ce tableau, je n’ose presque plus respirer. Mes phalanges dérapent sur le liquide clair et visqueux qui suinte en abondance. Myriam tressaille, prend mes doigts entre les siens et les pose d’autorité au cœur de l’action. — Là… Tripote-moi là ! Si elle me le demande, alors… Je lisse doucement ses nymphes écarlates et gonflées, qui s’ouvrent aussitôt, me dévoilant l’orée de son vagin, tel un rideau s’ouvrant sur le théâtre des opérations. Je me contorsionne pour approcher mon visage de sa chatte, sans trop coincer ma bite sous moi. Myriam soulève les fesses, approchant avec obligeance son intimité de ma bouche. Une impulsion me traverse l’esprit : souder mes lèvres à sa vulve, boire directement à la source de son plaisir. Les narines saturées par le parfum acide de sa mouille, ma bite pulsant sous moi, j’ai la tête qui tourne. Trop tôt, trop vite ! D’abord mes doigts… Mon index se faufile sans problème dans le triangle d’ombre découpé par ses petites lèvres glissantes. Mieux encore, il paraît être comme aspiré. Waouh ! C’est drôlement large, là-dedans ! Avec curiosité, je fais tourner mon doigt dans sa grotte, occasionnant un peu plus haut un hoquet de plaisir. Myriam accélère le rythme de ses caresses sur le capuchon de son clito, l’écrasant de plus en plus fort. Je suis sur la bonne voie ! M’enhardissant, je propulse un deuxième doigt entre les parois chaudes et élastiques de son vagin, déclenchant des miaulements d’approbation. — Yeeees ! Bouge tes doigts… à l’intérieur. C’est ça, Patrick ! J’enfonce, tourne, ressors, deux, puis trois, puis quatre doigts dans son con, sans la moindre difficulté. Et je n’ai pas précisément des mains de pianiste ! Plutôt prometteur ! Je commence à retrouver espoir. Il y a – peut-être ! – une chance que ce vagin extra large puisse s’accommoder d’une pénétration de ma part. Je vais enfin pouvoir faire l’amour à une femme sans craindre de lui faire mal… — Ta bouche… Lèche-moi ! Elle ne me laisse pas le temps d’hésiter. Se redressant sur les coudes, elle m’empoigne par les cheveux et plaque mon visage sur sa chatte, m’écrasant le nez contre son bouton. Ce contact la fait bondir. Je suis comme électrisé par son désir, parallèle au mien. J’adore ce côté directif, le fait qu’elle me guide sans chichis vers ce qui lui plaît, selon ses envies. Continuant d’agiter mes doigts en elle, je lape tout ce qui se trouve à proximité de ma bouche. Ce ne doit pas être si mal, car je sens les parois de son con se crisper sur ma main, se contracter spasmodiquement. Quelques secondes plus tard, elle se met à crier en soulevant le bassin. — Oh oui ! Oh Ouuuii ! Ouuiiii ! Ouuuuuiiiiiiiii ! Putain, c’est boooon… Au moins, Myriam ne se prive pas d’exprimer son plaisir ! L’entendre jouir ainsi, c’est carrément excitant ! Essuyant du dos de la main mon menton couvert de jus, je la regarde atterrir, reprendre son souffle. Elle est vraiment désirable, une jambe repliée sous elle, les cuisses toujours écartées, le con trempé et bien ouvert. Elle tourne les yeux vers moi, me lance un sourire radieux. — Ça t’as plu, de me bouffer la chatte ? J’opine du chef, trop ému pour parler. — À mon tour de m’occuper de toi… Après m’avoir fait ôter mon jean et mon slip, elle me demande de m’asseoir sur le bord du canapé. Je suis à moitié allongé sur une flopée de coussins orientaux, la trique à l’air. Très à l’aise, Myriam attrape un récipient sur la table basse derrière nous, avant de s’installer, à genoux entre mes jambes. Elle ouvre le pot et y plonge les doigts, qui ressortent luisants d’une crème beige à l’odeur bizarre. — C’est quoi ? — Un truc à base de camphre mentholé. Tu vas voir, ça va te plaire. Elle saisit ma bite entre ses mains, des mains qui me paraissent soudain très chaudes, comme si une sorte de feu couvait sous sa peau. Elle se met en devoir de me décalotter, mais doit s’y reprendre à plusieurs fois tant ses doigts sont glissants. Une fois mon gland découvert, elle le parcourt de la langue, le lèche amoureusement, essaie de l’enfoncer dans sa bouche. Elle parvient à en caser une partie entre ses lèvres distendues. Je sens sa langue flatter mon bout, taquiner mon méat, ses petites dents pointues agacer le derme sensible de mon casque écarlate. Pendant ce temps, ses mains exécutent une danse endiablée sur ma colonne, me graissant peu à peu sur toute ma longueur. Une chaleur infernale contamine ma queue, qui n’a jamais bandé aussi fort. — Attention… je… je crois que je vais gicler ! À mon grand regret, Myriam éloigne ses lèvres, cessant la succion effrénée de mon bout, qui pulse de désir inassouvi. Après avoir repris une bonne dose de crème dans le creux de la main, elle entreprend de me masser le gland, forçant sur ses pouces pour bien faire pénétrer l’onguent dans les plis du prépuce. La sensation est délirante. Comme si on avait plongé ma bite dans de la poix chaude, une substance magique qui, au lieu de brûler ma chair, l’aurait enveloppée d’un plaisir à la limite de la douleur. Elle s’est tellement bien occupé de mon nœud que je suis sûr de briller dans le noir comme une torche fluorescente, si elle éteint la lumière. Elle interrompt ses caresses, se penche une nouvelle fois en arrière et pèche sur la table une lanière translucide. Sans me laisser le temps de dire ouf, elle entoure la base de mon pénis avec le lien, me comprimant de toutes ses forces. — T’inquiète pas si ça serre. Y’a pas de danger… Un afflux de sang se produit dans mon membre, qui se gonfle encore plus et prend une teinte violacée, telle une baudruche de cauchemar. Bon dieu ! J’étais pas assez épais comme ça, pour elle ? Quand elle se saisit du long tube de plastique gris qu’elle m’a présenté tout à l’heure, je comprends enfin à quoi tout ça rime. Myriam me voulait au maximum de ma forme, au moment de « prendre l’empreinte ». Quelle vicieuse ! Ç’en est diabolique ! Elle dégage la base du tube et en coiffe mon nœud dressé à la verticale. L’intérieur du cylindre est rempli de gel. Au fur et à mesure qu’elle l’enfile sur mon membre, j’éprouve des sensations étonnantes, à l’opposé du traitement qu’elle vient de me faire subir : l’impression de m’enfoncer dans quelque chose de froid et d’humide. Le contraste n’est pas déplaisant ; bien qu’un peu poisseux, c’est agréablement frais. Une fois le cylindre bien en place, elle me demande de rester immobile une minute ou deux, avant de défaire le cockring improvisé à la base de mon sexe. Les battements de mon cœur cessent de retentir dans mon gland oppressé, au bord de l’explosion. Ma bite dégonfle peu à peu, libérant un interstice entre moi et mon « empreinte ». Myriam, très concentrée, un petit bout de langue dépassant entre les lèvres, entreprend de retirer le moule avec précaution, comme une James Bond Girl désamorçant une tête nucléaire. Où une petite fille en train de démouler un drôle de gâteau… — Voi-là ! Parfait ! Mon sexe réapparaît à l’air libre, au mieux de sa forme. À part qu’il est enduit d’une matière glaireuse, et recouvert de filaments verdâtres. Pas très ragoûtant ! — Bon, allez ! À la douche, maintenant. Et tâche de pas en foutre partout…   (À suivre…)
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Par : le 19/10/25
J'ai été condamné à une bastonnade, une peine que je dois accepter comme je le sens.   J'ai été reconnu coupable d'avoir harcelé une jeune femme de 18 ans, et sa famille m'a donné le choix entre recevoir la bastonnade devant eux ou porter plainte à la police.   Je ne veux pas avoir de casier judiciaire, alors j'ai choisi la bastonnade.   On m'a enfermé nu dans une petite cave toute la nuit pour que je puisse réfléchir à ce qui va se passer. Je suis réveillé par deux des frères de la jeune fille, qui me prennent chacun par le bras et m'emmènent aux toilettes en me disant de m'assurer que mes intestins et ma vessie sont vides. Cela ne me surprend pas, mais ils me conseillent aussi de me masturber. Je n'ai pas compris au début, mais j'ai ensuite compris qu'ils voulaient m'empêcher de ressentir de l'excitation ou de prendre du plaisir à ce qui allait m'arriver. Les deux frères sont revenus environ dix minutes plus tard et ont inspecté le contenu de la cuvette des toilettes. Ils ont constaté que le préservatif était plein. Ils m'ont donc menotté et m'ont traîné brutalement vers un espace plus grand où se trouve un banc avec des sangles et une douzaine de chaises disposées autour.   Je vois aussi une caméra vidéo sur un trépied.   L'un des frères sort son téléphone portable et je l'entends appeler pour dire que tout est prêt. Je suis debout, nu, menotté, et les personnes qui vont regarder entrent une à une. Il y a quelques amis des frères, deux filles que je suppose être des amies de celle qui s'est plainte, vu leur âge, et un groupe d'hommes et de femmes beaucoup plus âgés, peut-être des amis de la famille ou des proches.   Les deux frères m'enlèvent les menottes et me penchent sur le banc, face contre terre. Mes mains sont attachées à des chaînes au sol de chaque côté du banc, et mes genoux sont maintenus écartés par une barre d'écartement. Mes pieds sont également écartés, attachés à deux autres chaînes derrière moi.   Le père de la jeune fille se lève et lit ma sentence : « Tu recevras 50 coups de force sur les fesses et les cuisses avec une lourde tawse, et 50 autres avec une canne dragon. Tu les recevras tous, quelle que soit ta réaction ; que tu cries ou que tu supplies, cela ne changera rien, mais si tu t’évanouis ou que tu perds connaissance, cela cessera jusqu’à ce que tu reprennes conscience et que ça recommence. Tu as choisi cela et il n’y a pas d’issue.»   Je ne m’attendais pas à une telle violence. J’en avais imaginé une douzaine, voire une vingtaine, et j’ai senti une vague de peur et de panique me saisir l’estomac.   J’ai senti une vague d’amusement parcourir la foule qui me voyait tester la solidité de mon attachement, luttant pour voir s’il serait possible de sortir, et réalisant que c’était impossible. J'ai commencé à comprendre pourquoi ils m'avaient obligé à aller aux toilettes, car dans cet instant de peur, j'aurais bien pu évacuer les lieux en réalisant que cela allait réellement arriver. Ce n'était pas un fantasme, et il n'y avait aucune issue.   Le premier à utiliser le tawse en cuir fut l'un des frères. Il se tenait derrière moi, sur le côté, pour avoir suffisamment d'espace pour balancer son bras.   Je ne le voyais pas clairement, ce qui rendait difficile d'anticiper le coup, mais je sentais qu'il avait reculé d'un pas et s'était jeté, avec le tawse, sur mes fesses.   J'avais déjà subi des châtiments corporels, mais celui-ci était d'une férocité bien différente. Le tawse était en cuir épais, donc lorsqu'il a atterri, je n'ai pas ressenti d'impact immédiat, bref et brutal, mais rapidement, une vive douleur ecchymosante a semblé expulser l'air de mes poumons, suivie d'une sensation de brûlure à retardement sur la peau. Mes fesses tremblaient et me brûlaient, mais j'étais si serrée qu'il était impossible de me retourner. Il a attendu avant de porter le deuxième coup, censé faire pleinement effet. Je n'arrêtais pas de penser : « Comment vais-je pouvoir en encaisser 50 ? Un seul, c'est une véritable agonie ! » Mais je me suis souvenue que je n'avais pas le choix. Quoi que je dise ou fasse, je les recevrais.   Il a reculé de nouveau et, cette fois, il a enchaîné rapidement les coups à pleine puissance, se laissant juste le temps entre chaque coup de reculer puis de lancer le coup.   J'ai fait de mon mieux pour ne pas faire de bruit, et lorsqu'il est arrivé à 15, je grognais et gémissais.   Il s'est arrêté et a passé le tawse à quelqu'un d'autre. Pendant un instant, j'ai à peine réalisé qui c'était, essayant d'effacer la douleur qui me brûlait, mais j'ai entendu sa voix.   À ma grande surprise, c'était la mère de la fille. Je me suis consolé en pensant qu'elle n'aurait pas la même force et la même force dans le bras, donc ce serait plus facile à prendre, une position différente de celle de son frère, plus près et un peu au-dessus de moi. Au début, je n'ai pas compris ce qui se passait, mais j'ai vite compris. Mes genoux étaient maintenus écartés par une barre d'écartement et j'étais épuisé, le ventre contre le banc, ce qui signifiait que mes testicules dépassaient de mes cuisses. Je n'arrivais pas à croire que quelqu'un puisse les viser avec une tawse, mais c'était exact.     5,000 / 5,000   C'était exactement ce qu'elle avait l'intention de faire. Je n'ai pas pu me retenir et j'ai crié « Non, pas là, non, s'il te plaît, pas là », mais elle a ri sèchement. L'effet du tawse sur mes couilles était complètement différent : une sensation écrasante, brûlante, écœurante ; à tel point que si j'avais mangé quoi que ce soit, j'aurais sûrement vomi. Bien que ses coups fussent probablement un peu plus doux, l'effet était encore plus grand et je me suis retrouvé à hurler du fond du ventre, de manière incontrôlable. Elle m'a aussi donné 15 coups, et lorsqu'elle s'est arrêtée, j'ai réussi à sangloter légèrement plutôt qu'à hurler, et j'entendais les spectateurs l'encourager ; certains riaient presque, d'autres, plus excités, disant des choses comme « Fais hurler ce sale bâtard et qu'il le supplie », « C'est vrai, donne-lui ce qu'il mérite ». Mes fesses étaient en feu et, même si je ne les voyais pas, j'imaginais que mes couilles devaient être bleues. L'autre frère prit alors la tawse et m'en appliqua dix sur chaque cuisse, de l'arrière du genou jusqu'en haut, les deux dernières de chaque côté, juste au-dessus de la partie la plus sensible où les quinze premières étaient tombées. Plus tard, lorsque j'ai revu une photo de moi, j'ai vu des lignes parallèles de l'arrière de mon genou jusqu'à la taille, de larges lignes rouges et furieuses, avec des ecchymoses bleues. Cela aurait sûrement suffi pour une punition normale : ma sentence stipulait que je recevrais la canne après cela, et ils ne semblaient pas d'humeur à s'arrêter tout de suite. Ils m'ont laissé attaché, à vif et exposé devant le groupe de spectateurs, pendant ce qui m'a semblé une éternité, mais qui n'a probablement pas duré plus de cinq ou dix minutes. Je sentais les profondes ecchymoses causées par l'impact de la lourde lanière de cuir se former profondément dans mes fesses, et l'attente était insoutenable, car j'étais terrifié à l'idée de la douleur que la canne allait provoquer en touchant les parties déjà sensibles et brûlantes. Une partie de moi pensait qu'ils allaient peut-être y aller doucement avec la canne, voire décider de ne pas l'utiliser étant donné les dégâts causés par la sangle. Ces espoirs furent vite anéantis lorsque mon père s'approcha de moi, brandissant une canne Whippy, la faisant chanter dans l'air en quelques coups d'essai. « Maintenant, tu vas recevoir 50 coups de canne », dit-il. « 15 avec M. Whippy pour te piquer et te picoter, puis 15 autres avec une canne moyennement lourde, et les 20 derniers avec une canne dragon lourde. » Il se tourna vers les spectateurs. « Quelqu'un voudrait-il parier sur la canne qui le brisera complètement ? Quelqu'un pense-t-il que ce sera avant les 20 derniers ? En tout cas, il va toutes les recevoir. » J'entendais la foule bavarder avec excitation, visiblement indifférente à mon état, juste curieuse de voir si j'allais crier, sangloter et supplier, et à quel moment. Le premier coup de canne légère et fouettée me brûla les joues ; une sensation bien différente du bruit sourd de la sangle. C'était comme un mince filet de feu qui me brûlait la peau et je savais que si j'en avais beaucoup, ils pouvaient saigner, surtout aux croisements des lignes de la canne. Sa technique avec cette canne était différente de celle des autres avec la sangle. Ils y étaient allés lentement, espaçant les coups d'environ 10 secondes, ce qui laissait le temps à la sensation d'ecchymose de se développer. Le père donna un coup de canne rapide et violent par rafales de cinq coups, comme si une nuée de frelons me piquait. Chaque groupe de cinq était placé à une hauteur différente. Le premier groupe était au milieu des fesses, le deuxième plus haut, juste en dessous de la taille, et le troisième à l'endroit sensible du bas des fesses, juste au-dessus des jambes. Ça piquait et brûlait comme du feu, surtout sur les bleus qui se formaient encore, mais je réussis à serrer les dents. Je ne dois pas trop satisfaire les spectateurs. D'un autre côté, je savais que, pour le moment, Cane avait créé des lignes parallèles, plutôt que des lignes entrecroisées, évitant ainsi la pire douleur qu'une canne puisse infliger. Il se dirigea vers une table et prit la deuxième canne. Il avait dit que c'était une canne moyenne, et que si c'était une canne moyenne, je détestais imaginer à quoi ressemblerait une grande. Il y alla plus lentement avec celle-ci, prenant le temps de viser une série de lignes parallèles qui couvraient toute la zone cible de haut en bas. C'était déjà une torture lorsque certaines d'entre elles franchissaient les marques de la canne plus légère ou même atterrissaient sur la ligne existante. Je ne pouvais m'empêcher de grogner à chaque coup, et lorsque j'en ai eu 15, les grognements et les cris étaient presque continus, mais il a continué lentement et méthodiquement, s'assurant que mon derrière était rayé comme un zèbre. Une fois cette série de 15 coups terminée, il a appelé les frères et leur a demandé de vérifier que mes mains et mes jambes étaient toujours fermement attachées et immobiles. « Il faut s'assurer qu'il ne puisse pas trop bouger pendant ces 20 derniers coups avec la canne Dragon », leur a-t-il dit. « Il est peut-être fou de douleur et aura du mal à s'échapper. » Cela confirmait parfaitement, comme s'il y avait eu…   « Il faut s'assurer qu'il ne puisse pas trop bouger pendant ces 20 derniers coups avec la canne Dragon », leur dit-il. « Il est peut-être complètement fou de douleur et aura du mal à s'échapper. » Cela confirmait totalement, comme s'il n'y avait eu aucun doute, que j'allais me reposer et que rien ne pourrait l'arrêter. Il retourna à la table et prit une longue et lourde canne épaisse qui ressemblait à celles que j'ai vues dans des vidéos de bastonnades officielles en Indonésie, par exemple. « 20 coups à venir avec celle-ci », dit-il. Je sentais mes fesses se contracter d'impatience, et si mes genoux n'avaient pas été aussi serrés, ils auraient tremblé. « Prêt ? » demanda-t-il en reculant de quelques pas, puis il se précipita vers moi, accélérant la force de son bras. Rien de ce qui m'était arrivé auparavant n'égalait la douleur lancinante de ce coup, qui s'abattait sur les ecchymoses et les coupures que la sangle et les autres Canes avaient laissées. Je ne pus m'empêcher de crier, un hurlement qui semblait provenir du plus profond de mon estomac, comme si la douleur du Coup me tordait les intestins. En m'arrêtant de crier, je commençai à haleter très rapidement, comme pour refaire le plein d'air qui m'avait été expulsé de mes poumons par mon cri. « Compte-les », m'ordonna-t-il, conscient qu'avec mes cris et mon halètement, ce serait difficile. « Si tu en rates un, tu en auras un autre », dit-il froidement, et je réussis à lâcher « un ». Il est peut-être difficile d'imaginer à quel point cela aggravait les choses. J'essayais de me concentrer pour gérer la douleur, et c'était déjà très difficile ; mais devoir dire le nombre à chaque fois a brisé ma concentration. Il laissait environ 30 secondes entre chaque coup pour que l'effet soit complet et que je ressente une terreur croissante, car même après les trois premiers, je n'imaginais pas comment je pourrais le supporter. Les cris et les hurlements se transformèrent en une sorte de hurlement continu, les hurlements n'étant que le point culminant du crescendo, et j'avais vraiment du mal à me souvenir de prononcer les chiffres. À 13 , j'oubliai, et il me dit : « Je n'ai pas entendu, donc ça ne compte pas. » Et peut-être que dans mon imagination, il me sembla que le coup suivant était le plus dur de tous. À 15 , je tremblais autant que mes attaches le permettaient, et je sentais déjà le sang couler le long de mes jambes. C'est à ce moment-là que j'ai finalement craqué. « S'il vous plaît, s'il vous plaît, j'en peux plus… Je vous en supplie… S'IL VOUS PLAÎT, ARRÊTEZ, je ne referai plus jamais une chose pareille », hurlai-je. Il marqua une pause et se tourna vers les spectateurs. « J'arrête ou j'en rajoute 5 ? Donne-lui 10 ? » leur a-t-il demandé. J'ai entendu des voix crier « 10 encore, 10 encore ». Personne n'a crié « stop ».   Je ne peux pas dire honnêtement comment j'ai réussi à passer ces 10 derniers, si ce n'est que je n'y suis pas vraiment parvenu, car je ne pouvais absolument rien faire pour m'arrêter.   Je n'avais jamais réalisé la réalité d'une sanction judiciaire, et maintenant je sais ce que c'est. Je ferais n'importe quoi pour l'éviter à nouveau, même si, avec le recul, il y a quelque chose d'excitant dans le fait que je n'avais aucun contrôle. Mais la peur et la douleur étaient si intenses et les semaines de suivi si longues que j'espère ne plus jamais revivre cela.  
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