A propos du groupe
John_Dildoe
Créateur

Il s'agit essentiellement pour le dominant (ou la dominante, vous l'aurez compris) d'avoir la mainmise sur les orgasmes du dominé. Pour faire court : fini la masturbation et l'orgasme sans le consentement du dominant. Le dominant décide où, quand, comment, ce qui exacerbe énormément le sentiment D/s. Le dominant peut imposer le port d'une ceinture ou d'une cage de chasteté (selon le sexe du dominé), dont il gardera la clé, symbole de son emprise et du contrôle qu'il a sur la sexualité du dominé. Beaucoup de déclinaisons sont possibles, selon le goût ou les envies, la complicité de la relation : durée d'abstinence fixée ou non, pouvant varier d'une journée à plusieurs mois, "libération" à acquérir selon d'autres critères que la durée (tâches à accomplir, jeux de hasard, comportement du dominé), et n'interdit pas nécessairement la pratique d'actes sexuels (au contraire !). Beaucoup de créativité possible pour renforcer la servitude du dominé et le pouvoir du dominant : déni, frustration, voire humiliation... Cette pratique peut être envisagée à distance. Elle est très intéressante à pratiquer dans un couple qui se connait déjà bien. Elle peut entrer dans des jeux de cocufiage. Elle se marie parfaitement aux pénétrations côté sombre. Comme dans toute relation D/s, une bonne entente et une bonne communication est importante pour sentir et déterminer le cadre du "jeu" :) Pour les hommes, beaucoup de dispositif de chasteté (cages) sont disponibles sur le marché : silicone, métal, plastique, cuir. Mesdames, je suis certain que nombre d'entre vous feront des soumis heureux en expérimentant ça :)) Pour les femmes (ceintures) celà parait un peu plus compliqué... Et je suis moins informé. Et celà parait un fantasme essentiellement "dominé masculin"... Mais tout existe ! Au plaisir d'en discuter ici avec vous !

Voir également :
Chasteté masculine
Cage de chasteté
Candaulisme/cocufiage/cuckolding
Domination féminine

Le candaulisme
Soumettre un homme
La gynarchie
Cage de chasteté

 

 

Mur de commentaires

Cela faisait longtemps que j’en rêvais. À chaque fois que j’y pensais, j’avais des papillons dans le ventre, mes tétons devenaient plus sensibles et je mouillais dans ma cage que, étant sans propriétaire, je portais pour moi et de manière irrégulière. J’ai rencontré Marc en ligne il y a un an, le 5 décembre 2024 pour être précis. Et d’un plan cul au départ, notre couple a évolué vers une relation Maître/soumise. Pour lui, je suis très vite devenue Ava, sa lope. Il faut dire que j’étais une lope bien avant de le rencontrer, mais il a été le premier à me donner un surnom. Lui a toujours été actif. Très actif, même. Marc est équipé de ce que l’on peut qualifier de « monster cock » : 28 cm, 29 s’il est très excité. À côté de ça, avec mes 16 cm, je n’ai plus qu’à fermer ma gueule et me mettre à genoux. Son pieu magnifique me fait jouir et lui appartenir un peu plus à chaque coït. Il a fait de moi son esclave alanguie, affamée, excitée, en manque permanent. Il n’a pas eu beaucoup de mal à me rendre accro, il lui a suffi d’une seule sodomie, la première. Il n’a même pas eu à me dire « ferme ta gueule et ouvre la bouche ! » pour exiger une fellation, d’abord parce que son élégance naturelle lui interdit d’utiliser des mots désobligeants pour me dominer, ensuite parce qu’il lui a suffi de sortir sa queue la première fois pour que je me jette littéralement à ses pieds et l’avaler goulûment. J’ai toujours aimé sucer, mais avec lui c’est carrément devenu une addiction. Il me faut ma dose de queue et de protéines, partout, tout le temps, par tous les temps, en voiture, devant la télé, sous la douche, au lit, au cinéma, à la cave, pendant les repas, au bureau (nous avons un bureau à la maison), bref PARTOUT, ce dont il n’a aucun mal à me gratifier tous les jours, et plusieurs fois le week-end : Marc a de gros besoins et une libido constamment en éveil. Mais à sa domination sexuelle, Marc a ajouté une manière plus subtile de faire de moi sa soumise. Il sait parfaitement me « retourner » la tête et me « travailler » psychologiquement pour rendre docile et obéissante. Cela s’apparente à ce que certaines sissies appellent l’hypnose : il m’encourage, me persuade, me force sans en avoir l’air. Et moi, je le suis car je veux être une bonne soumise, je veux lui donner du plaisir. Ainsi, la première chose qu’il ait faite est de me féminiser. Pas entièrement, il n’est pas branché trav, mais juste ce qu’il faut pour faire ressortir ma féminité : des serre-tailles, des bas, des culottes et des hauts talons. Ainsi « équipée », je suis « sa petite femme », toujours disponible de la bouche et du cul. Octobre 2025 approche et son fameux Locktober, un mois pendant lequel toutes les soumises et tous les soumis se doivent d’être en chasteté pour leur Maître, leur Maîtresse, ou simplement pour elles ou eux-mêmes. « Locktober is coming… and you won’t ! », affirme le fameux slogan. Une promesse de frustration mensuelle, une période de défi pour la plupart, mais aussi et surtout une marque d’obéissance. Car ça lui plaise ou non, la cage est pour un soumis un symbole d’appartenance, de fidélité et de soumission. Encore plus si son Maître ou sa Maîtresse en détient la clé, ce qui est le cas la plupart du temps. Le mercredi 1er octobre à 00h01, Marc m’enfilera ma cage et me maintiendra pendant un mois en chasteté permanente, c’est-à-dire 24/7, à la maison, au travail, en balade, au fitness, pendant le sexe, la nuit, avec seulement une heure de liberté par jour pour mon hygiène et/ou pour me soulager de l’excitation, si toutefois il me le permet. Une première pour moi qui n’ai jamais porté ma cage qu’une fois pendant 8 heures d’affilée et certains autres jours 3 ou 4 heures. Si je l’appréhende un peu car j’aime bander et jouir par éjaculation, je suis prête à relever ce défi. D’un autre côté, je dois l’avouer, ces derniers temps, je jouis plus par le cul et par éjaculation prostatique qu’autre chose. La cage sera donc une soumission réelle contre laquelle je ne pourrais rien, même si je supplie Marc de me la retirer. Il m’a même dit qu’il réfléchissait à une chasteté définitive, le mois d’octobre passé. La perspective ne me déplaît pas, tant qu’il s’occupe de ma bouche et de mon cul. Une sorte de négociation à sens unique qui me fait sourire et que j’apprécie chez Marc : il me laisse avoir un avis et ne m’impose rien. En apparence. Car cette chasteté définitive serait tout à son avantage : je serais sa fidèle et obéissante esclave car il détiendrait ma clé. Nous sommes également convenus que, à partir d’octobre, il complèterait mon éducation par un bondage régulier. Là aussi, j’ai toujours adoré le bondage, mais n’ai jamais été attachée régulièrement, tout au plus par jeu, et ponctuellement, avec un homme que je fréquentais il y a longtemps. Marc m’attache de temps en temps, pour pimenter nos jeux. J’adore particulièrement qu’il me bâillonne strictement avant de me faire l’amour. L’être tous les jours, en revanche, sera une grande première. Avec la chasteté permanente, ce sera un pas de plus vers une soumission réelle, tangible, totale, inéluctable, irréversible. Un TPE (Total Power Exchange), comme disent les Anglo-Saxons, un transfert total de pouvoir. Locktober arrive, donc… Pour moi, cela va être une fête, un « Locktober Fest » :O). Je serai réduite à l’impuissance (littéralement), au silence et à l’immobilité par mon Maître, mon faiseur de lopes, mon révélateur de vraie voix*, et me concentrerait, comme il le dit, sur « l’essentiel », c’est-à-dire sur son plaisir, mais aussi sur ma bouche et mon cul, sans être distraite par des érections inutiles. Cela faisait longtemps que j’en rêvais. Ce rêve va enfin devenir réalité. J’en mouille d’avance. * Ma manière d’être et de m’habiller, ma gestuelle et ma voix, tout chez moi est masculin. Jusqu’à mes amis et ma famille qui me croient hétéro jusqu’au bout de la queue. Personne, pas même mon frère et mon meilleur ami, ne soupçonne que, dans l’intimité, je suis une lope prête à me mettre à genoux devant une jolie queue et à me féminiser (un peu) pour un homme, en portant bas, culottes et talons aiguilles. C’est mon jardin secret et je le vis très bien. Donc nul besoin de coming out. Marc a été le premier homme à faire monter ma voix dans les aigus. C’est ce qu’il a fini par appeler ma « vraie voix », une voix que l’on ne peut cacher derrière des apparences, une voix alternant gémissements et cris, et dont les aigus sont proportionnels à la dilatation de l’anus, une voix qui se fait vite féminine, suppliante, qui accepte sa soumission. Le calibre de Marc y est évidemment pour beaucoup - il n’a aucun mérite, avec ses 28 cm - mais je ne sais pas, avec lui, je me sens différente. La perspective d’une fellation ou d’une sodomie me donne des papillons dans le ventre. Le fait de ne pas savoir ce qu’il me réserve m’émoustille. Son regard pénétrant me fait rougir comme une pucelle. Dernièrement, il m’a dit vouloir s’appliquer à me faire parler des langues inconnues. J’en mouille d’avance comme une femme. Sa femme.
12 personnes aiment ça.
lolomaso78
joli texte et c est un encagé qui le dit
J'aime 08/11/25
Cœur de fer
Joli récit, mots bien choisis, bel hommage à son maitre
J'aime 08/11/25 Edité
kebal83160
tres bo recit et tres heureux pour vous
J'aime 15/11/25