Salomé merci pour ce partage.Il est très rare que des pratiquants de D/s parlent de leurs plaisirs D/s et des rouages .Votre post correspond à ce que je cherche sur ce site. Des partages d expériences où sont expliquées les liens entre émotions/pensées-actions/excitation sexuelle . Cela me permet dans la construction de ma D/s de penser parfois en écho , parfois en divergence mes propres mouvements .Quant à "la masturbation intellectuelle " certains membres me renvoient aussi cela.J ai besoin de penser ce que je vis quand les émotions ou pensées qui me traverse sont négatives : auto-jugement négatif , émotions jugées indicatrices de Mal (honte, peur , haine , angoisse).Et là où j en suis je tourne autour du pot pendant des tas de discussions avec mon partenaire et des tas de posts ici, jusqu à ce que j ai un déclic qui me permet de retrouver un accord , une harmonie entre ce qui m excite et ce que je pense .
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Il a son humilité, sa joie, son innocence, sa sincérité à offrir…. C’est sûrement bien mieux que les certitudes et la suffisance de certains ! Non ?
Donc Mr Paradoxal, cela sous entend que le site BDSM est un endroit ou il n’est pas possible de découvrir et de s’ouvrir à la soumission ou à la domination.. Les néophytes doivent aller faires leurs armes, sur d’autres sites classiques comme Meetic par exemple, et revenir ensuite après quelques années d’expérience afin de pouvoir profiter des esthètes qui se trouvent sur ce site ?Je ne peux défendre cette idée, parce que pendant une partie de mon enfance et de mon adolescence j’aurais rêvé de pouvoir partager ce que nous partageons sur ce site aujourd’hui. Je me suis senti seul avec mon problème, parce que c’était un problème ! Je suis certain que je me serais beaucoup mieux construit en partagent mes rêves..C’est mon avis, et je le partage.
Bonjour églantine,je pense pouvoir vous aider...
On a mis hier, Discipline avec Bondage, car cela faisait sens (et que c'était une bévue d'ailleurs).Par contre, Discipline n'aura effectivement pas son sous forum à part.On pourrait s'interroger sur la fréquence de la Discipline sans S/M sans D/S et en dehors du Bondage. Mais on le fera pas .Merci à vous tous.
Derniers posts du forum
Je fais partie des non adeptes des rites, je dirai presque anti-rite au sens d'une figure de style obligatoire pré-établie à la relation.
J'ai beaucoup épuré au fil du temps et de la vie ma conception d'une relation BDSM, j'ai affiné, concentré, recentré. Reste des bases de spontanéité primale, reste la domination de l'autre dans ce qu'elle a de plus brut et de moins policé. Dans ce cadre là, il est difficile pour moi de m'épanouir dans des rites/rituels, dans le sens où ils s'opposent pour moi à l'instinct, à l'envie du moment. Certainement parce que je fuis le répétitif, que j'aime être surprise, que j'ai plaisir à obéir/me soumettre à l'inattendu, que j'aime justement exploser les codes, ou plus précisément j'aime que mon autre soit de cet état d'esprit là. Le cadre me brime, m'étouffe et finit par m'ennuyer.
J'ai aussi une configuration d'esprit peu sensible aux symboles en bdsm, une habitude à considérer tout acte d'un point de vue factuel, et non à l'envisager selon une portée symbolique que je ne partage souvent pas, parce que ça ne me "parle" pas.
Et puis enfin, c'est certainement parce que ma relation n'est pas D/S, mais SM. Pourtant je le suis, avec un immense plaisir, là où il décide de m'emmener...
Bonsoir Silla.
Je ne crois pas que vous devriez regretter quoi que ce soit.. On ne peut pas en vouloir aux autres de tenir compte de ce que l'on exprime..
Et quand bien même il existait une ambiguïté entre ses dires et sa volonté, vous n'auriez pu l'aider si ce n'était pas sa réelle envie. On aide personne contre sa volonté..!
J'ai lu avec grand intérêt et beaucoup d'emotion votre témoignage poignant Louvia. Il est intéressant aussi de constater que la dépression est complètement différente d'une personne à une autre. Une de mes amies a eu une dépression il y a quelques années et s'est refermée sur elle-même. Elle s'en est sortie au bout de plusieurs mois mais ce n'est qu'un ou deux ans après qu'elle m'a confié avoir souffert de se sentir délaissée. Même si elle repoussait tout le monde, ne voulait voir personne, parler à personne, elle aurait voulu que quelqu'un vienne l'arracher à cette spirale. Et ose se faire rembarrer, se faire parler de manière très agressive, mais la prenne par la main jusqu'à faire éclater tout ca. Je regrette de ne pas avoir agit personnellement.
En général, je suis adepte du fait d'essayer quand j'ai un doute. Tu pars de la bienveillance, tu es dans ton droit. Essayer quelque chose me paraît acceptable. Si cela tombe a plat, tu réajusteras. Le meilleur contre a la dépression en général ne sont pas les mots, mais l'oxygenation du cerveau et le mouvement. Mouvement qui est difficile en autonomie propre, mais via un ordre, cela peut décharger un peu la soumise du poids de l'immobilisme.