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Bravo pour avoir répondu favorablement à ma proposition. Je compte sur mes "collègues" adeptes de ces petits jeux pour alimenter cette rubrique qui manquait !A vos plumes !
Je viens de poster une vidéo soft sur mon mur.Il s'agit d'une élégante sauterelle cuissardée qui s'amuse avec son ami.Dites-moi ce que vous en pensez.Merci à vousGC
marcusio39a a dit...Bien bonjour a tout les lecteur homme ou femme,il est vrais que de recevoir une fesse sur les jambe ou debout éprouve un sentiment et un ressenti par cette chaleur qui viens âpre celle reçu par le main te suite a cette excitation exerce une fellation avec sa bouche te une excitation manuelle apport un plaisir a celui qui revoir ou et celle qui subie ou agi, et plus donc si madame ou aime donne et explique les façon le faire ou et explique comme agir en exécutant une fellation ,Merci, mais essaye d'écrire en langage normal et pas SMS stp. On rate une partie de tes ressentis et témoignagesGC
Une parenthèse "sérieuse" pour tenter d'expliquer cette passion bien étrange pour "la fessée", la flagellation et autres penchants du même ordre et après on rigole, promis !Aimer la soumission, la domination, aimer donner ou recevoir la fessée... c'est grave docteur ? Pourquoi développe-t-on un penchant vers la soumission ou la domination ? Pourquoi est-on enclin à trouver une source de plaisir en subissant ou en infligeant une souffrance ? C'est la faute à Œdipe prétendait Freud. Aujourd'hui, les psy-trucs et autres psy-machins sont d'accords sur un point:Tout se joue dans l'enfance et même au cours la première enfance aux stades successifs de notre construction de futur adulte sexué et en particulier au cours de la construction de notre "moi" sexuel.Lorsqu'un enfant subit un châtiment corporel, il garde dans son corps et dans son psychique la mémoire de cette violence, et quand cette violence prend la forme d'une fessée, elle touche à 'l'intime', à la pudeur et stimule une zone érogène . Se mêlent alors: "interdit", honte, humiliation, douleur, plaisir... Si la fessée, la "tournée de martinet" s'accompagne d'une atteinte à la pudeur, ce qui est le cas quand la fessée est humiliante (fessée déculottée par exemple, fessée en public...), l'enfant verra sa sexualité future affectée par ce vécu douloureux ou non. En clair, un enfant victime de violence risque d'avoir un comportement violent; un enfant qui a subi des violences à caractère sexuel même en apparence anodines, verra sa sexualité orientée.Il y a sans doute parmi nous de nombreuses victimes de punitions corporelles, de fessées qui peuvent témoigner de la manière dont cette violence ont durablement affecté leur développement psychologique et sexuel.Le caractère à priori violent de la fessée ou de la correction plus ou moins douloureuse et humiliante, qu'on soit victime ou témoin, marque à tout jamais et détermine l'orientation sexuelle.Alors... c'est grave docteur ?
Bon, je me lance.J'ignore si les quelques châtiments corporels reçus dans mon enfance ont influencés ma vie sexuelle..Ce que je peux affirmer, c'est que c'est bien la fessée qui m'a amenée au BDSM parmi vous.D'abord dans le libertinage, quand un homme (coucou!) m'a envoyé un "bonsoir" auquel je n'ai pas répondu, puis un "il y a des fessées qui se perdent". Cela m'a intriguée, chez moi on dit plutôt des claques... Alors j'ai dialogué avec lui, on s'est rencontrés, et il a su faire rougir mon postérieur, mieux qui quiconque jusqu'à présent!Puis quand ma psy m'a prescrit un médicament homéopathique, le Staphysagria, je suis allée voir les indications sur internet, et je me suis arrêtée sur une petite ligne qui disait que ce remède était donné aux enfants "qui cherchent la fessée"...Je peux comprendre que c'est un désir bien plus inavouable que d'autres, comme par exemple le bondage ou la sodomie, car il y a ce sentiment de honte qui est bien plus fort dans ce domaine.Bon, voilà, maintenant c'est fait, je l'ai avoué : J'AIME LES FESSEES!!!A vous les autres!
Comment développe-t-on une éristible attirance pour la fessée ?C'est simple. Voici le cas de "A":A 4 ans ou 5 ans, dans la maison voisine "A" , une gamine de 7,8 ans est en vacances chez sa grand mère. "A" entend souvent celle-ci menacer la fillette du martinet. Un jour que "A" passe devant le portail de la maison voisine: il perçoit des bruits de claques et entend des cris et des pleurs. Il regarde ce qui se passe et aperçoit dans le jardinet la vieille dame qui flanque une correction à la gamine qu'elle tient sous son bras, la culotte sur les genoux. Un autre jour il entend la grand mère dire à la gamine qu'elle va recevoir le martinet. Il se précipite derrière la haie qui sépare les deux maisons .Il voit la gamine qui se cache dans le jardin, vite découverte et assiste pour la première fois à une "tournée de martinet" qui fait voler sa jupe. L'année suivante, la petite voisine est à nouveau en vacances chez sa grand-mère."A" est autorisé à aller jouer dans le jardin avec elle. Pour une raison oubliée, celle-ci crache sur "A" qui se met à hurler. Sa grand-mère accourt. "A" montre le crachat. Elle attrape la gamine par un bras et la tire vers un coin du jardin où pousse des orties. Elle en prend avec son mouchoir et cingle les mollets et les cuisses que la jupette découvre. Hurlements et pleurs de la gamine qui trépigne et se frotte frénétiquement les endroits piqués .De quoi marquer un gamin ! Non ?
Pour moi, la fessée est très différente d'une flagellation (quelque soit l'instrument utilisé). Je ne la perçois jamais comme punitive (vous aurez mal à la main avant que j'ai mal au fesses!). Je n'ai jamais été "battu" dans mon enfance, et pourtant, j'ai très vite percu la subtilité des émotions que procure une douleur. Je ne suis pourtant pas maso: Ce n'est pas la douleur en elle même qui m'inspire, mais plutôt le "chemin" ou elle m’entraîne: La crainte, puis la lutte, vient alors ce que j'appel "le plafond de verre" (ce moment ou la douleur semble insoutenable)et enfin la délivrance: Un sentiment d'invulnérabilité, de toute puissance sur mon propre corps qui n'est plus alors que le réceptacle de la puissance de celle qui me Domine... Un moment d'une telle vérité que plus rien n'existe autour. Ou chaque coup qu'elle assène à ce corps qui s'est abandonné me dit combien j'ai de l'importance pour elle, et combien elle veille sur moi. Et ou chaque coup que je reçois lui hurle sans l'ombre d'un doute combien je l'aime...Alors je ne sais pas si aimer la flagellation est "grave docteur", mais je m'en fou! lol. Je ne pourrais pas m'en passer! Et paradoxalement, même si je connais ce chemin par coeur, je le redoute toujours...
nina a dit...a fessée calme les ardeurs, elle tue la colère, elle ramène à la raison, elle donne du bien-être, elle ramène la sérénité au sein du couple, elle apporte une excitation, elle transcende celui ou celle qui la reçoit, elle soulage celui ou celle qui la donne. En trois mots, vive la fessée! je n'aurais pu dire mieux , tu as dit tout se que l on pouvais ressentir
Fort bizarrement ma dernière féssée s'est fort mal passé, bon il faut bien avouer que ce jour là rien ne marchait, c'est la maman qui généralement donne la féssée, on est typiquement dans la symbolique du petit garçon quii est puni pour ses bêtises. Féssée, gifle voilà des gestes qui physiquement ne sont pas extrême mais qui sont chargés d'une part affective très grande.
Ayant vécu la fessé quelques fois, oui je peux dire que j'aime ça Une sensation de soumission oui mais un lien surtout, une sensation de douleur mais aussi d’euphorie, malgrès l'expression de douleur sur el visage il peut y avoir aussi le rictus du plaisir.