Messages
#
.Posté dans Une soumise revêche
Bonjour Schazoé Pour votre problème N°1 , ce que vous cherchez c'est extérioriser votre douleur intérieure c'est cela ? Concernant les "jouets" à disposition, certains font largement plus mal que d'autres , y compris dans les martinets : la badine, la canne, la paddle en bois (pas en cuir)....Quelques bons coups bien donné devraient vous satisfaire je pense ;-) Concernant la gifle, je trouve très bien que votre dom ne soit pas enclin à le faire étant donné votre passé traumatisant . Il prends soin de vous et ne veut pas vous faire de dommage. Puis-je vous demander une chose ? Pourquoi aimeriez-vous plutôt associer la gifle à un rappel à l'ordre (et donc à une punition comme dans votre enfance) plutôt que de l'associer à du plaisir et donc transformer sa signification ? (c'est sans jugement) Amicalement
Magaligalinette
.Posté dans Une soumise revêche
Bonjour, Une forte gifle il en est hors de question qu'un homme m'en mette une par contre en effet une petite claque sur le visage en train de lui faire une fellation en le regardant dans les yeux c'est complètement différent que les gifles cela est complètement différent. D'ailleurs j'ai vraiment du mal a comprendre le plaisir qu'une femme a de se voir infliger des coups sur le visage .
Depuis un certain temps nous la pratiquons. Et ca me fait toujours peur mais il associé ca au plaisir. Et je dois bien avouer que je suis FAN, j'adore. Ca intervient généralement pendant une fellation. Et ca me fait frémir.
swanny33
.Posté dans Une soumise revêche
Bonsoir Schazoe, Je ne répondrais que sur la pratique de la gifle. Je ne supporte absolument pas la gifle et c'est une pratique qui est un tabou absolu ! Pourtant j'ai eu une enfance très heureuse et choyée. Donc aucune relation de cause à effet ! tout au moins me concernant. Je sais aussi que c'est une pratique que je ne tolérerai jamais. Je n'ai aucune honte ni gène à le dire et l'imposer. Il y a suffisamment d'autres moyens, un Dominant respectueux et intelligent respectera toujours cela. C'est ce que fait le vôtre et c'est très bien. Ne focalisez donc pas , ni ne culpabilisez , votre Dominant vous connait et sait très bien s'adapter semble t il . Continuez sans crainte votre cheminement, la gifle n'est qu'un détail et nullement une obligation. Bonne soirée
Dame Meg
.Posté dans Une soumise revêche
Réussir à s'aimer, ce n est pas facile.... J ai moi même du mal. Et il m est donc difficile à comprendre que l on puisse m aimer... comme si ce n était pas possible. Je vous rejoins donc en ce sens où on a besoin d'une punition... pour essayer de se pardonner certaines choses.... La douleur pour oublier la colère en nous, pour lâcher prise.
Hamadryade
.Posté dans Une soumise revêche
Question très difficile et j’ai peur que ma réponse vous heurte alors que ce n’est absolument pas ma volonté. Selon moi vous faites l’erreur de considérer le BDSM comme une thérapie possible à votre mal être et je crois que ça ne peut être qu’une impasse. Beaucoup de personnes en ce monde portent des stigmates mentales d’un passé douloureux quel qu’il soit, beaucoup aussi souffrent de complexes physiques importants, beaucoup sont des êtres abîmés par la vie. Mais chercher la rédemption, le soin, le dépassement de ses propres problèmes dans une relation, BDSM ou non d’ailleurs, n’est pas la bonne solution. Pour qu’une relation fonctionne, ici ou ailleurs, il faut avoir su en amont se guérir de ses failles, ou au minimum avoir réussi à combler les plus importantes. La phrase est très bateau mais elle est pourtant vrai « avant de demander à quelqu’un de nous aimer, il faut apprendre à nous aimer nous-même ». Tant que ce travail sur soi n’a pas abouti, on ne fait qu’aller d’échec en échec, on en ressort encore plus abîmé et on va systématiquement vers ce qui est le pire pour nous et qui nous enfonce de plus en plus. J’ai très longtemps été prisonnière de cette spirale du désamour de moi, allant jusqu’au mépris de moi-même et au rejet de celle que j’étais. Cela me poussait à me diriger vers des personnes qui ne me correspondaient pas du tout, et que, sans même en avoir conscience et sans que ce soit pour le moins volontaire, je méprisais. En fait, étant alors totalement convaincue que j’étais moi-même totalement méprisable, je ne choisissais que des partenaires que je jugeais suffisamment méprisables et peu exigeants eux-mêmes pour pouvoir les imaginer capables d’accepter quelqu’un comme moi dans leur vie. Et à chaque fois bien évidement la relation était vouée à l’échec, même avec énormément de persévérance et des énormes couleuvres avalées sans broncher. Puis un jour je me suis effondrée, j’ai vraiment touché le fond du fond, et soit je réagissais soit …. La seconde option n’était pas envisageable et j’ai donc été forcée de me prendre en main. J’ai trouvé par chance une psychologue avec qui le dialogue est très bien passé et j’ai vidé mon sac, j’ai tout lâché, toutes les souffrances passées, toutes les douleurs accumulées. Et même si ça n’a pas été miraculeux dans l’instant, j’ai pu, grâce à elle, évacuer le plus gros de la noirceur qui m’envahissait. Et ensuite le temps à fait son œuvre. J’ai continué à travailler sur moi, je me suis tout simplement appuyée sur l’aide qu’elle m’avait apporté au cours de ces mois de thérapie et j’ai continué à avancer dans la bonne direction. Aujourd’hui, pratiquement 2 ans après, tout n’est pas parfait, mais je ne me méprise plus, je sais ma valeur dans de nombreux domaines, certains restent encore un peu difficiles, mais ce n’est rien du tout en comparaison de ce que je pensais de moi-même avant ce passage par la case psychologue. Aujourd’hui je suis une soumise qui fuit la punition, qui ne la recherche jamais, et l’idée même de pouvoir décevoir mon Maître au point qu’il ait besoin de me punir me traumatise. Ce ne sont pas les coups de cravaches ou les gifles que je redoute, mais tout simplement de savoir que je l’ai déçu. Et cette idée est bien plus insupportable pour moi qu’un « passage à tabac ». Aujourd’hui lorsqu’il marque mon corps, il le fait pour son plaisir et le mien s’en trouve décuplé. Quand je regarde mes marques elles sont le souvenir d’instants de délice et non le souvenir d’une faute commise. Ça fait une très grande différence dans les sensations que l’on ressent, la fierté et le bonheur surpassant largement la culpabilité et la honte de n’avoir pas su bien se comporter. J’ai bien peur qu’aucune punition puisse vous guérir de votre passé, vous seule avait cette capacité là, et pour y arriver une aide professionnelle extérieure me paraît impérative. En tout cas ça l’a été pour moi. En souhaitant que vous puissiez trouver une sérénité réconfortante à l’avenir et en espérant que mes mots ne vous aient pas blessée.
Maître des Lys
.Posté dans Une soumise revêche
La chance Schazoé est d'être en les mains de ce Maître dont le premier talent semble s'exprimer par l'écoute, l'étude devrais-je dire : quels sont les traumatismes du passé, quelle est l'actualité émotionnelle du moment et quelle lecture faire du comportement lorsque vous êtes réunis.. Sur cette base le champ des possibles s'élargit naturellement en confiance. Ainsi le besoin d'extérioriser une douleur ou une humeur, d'exprimer un désir ne nécessite que l'usage de quelques mots qui seront normalement bien saisis : inutile alors de jouer à la peste pour provoquer une punition, le risque étant de recevoir comme punition l'absence de punition (ma méthode préférée dans ce cas).. Une séquence SM bien relevée (bien plus badine que cordes) devrait alors répondre au besoin d'exprimer ce cri intérieur.. Quant à la voix sur un début de déraillement, on oublie trop souvent que c'est, avec les yeux, un outil d'une redoutable efficacité pour repositionner dans l'axe.. Concernant la seconde question on touche là, selon moi, à l'humiliation, chose des plus délicates car destructrice. Dans ma façon de faire, une humiliation (gifle, uro, paroles difficiles,...) est préparée à l'avance et écrite sur mesure, déroulée si le moment s'y prête, terminée par un "fin de la séquence", aftercare et obligatoirement débriefing.. Ceci interdit l'humiliation sur un coup de sang. Ainsi Schazoé si la gifle (pratique que j'affectionne aussi peu que les aiguilles, sauf si cela m'est demandé) renvoie à une exploration et non plus à une humiliation : retour au premier point, Lui proposer d'y travailler, ce qu'Il fera probablement de façon progressive : la gifle devenant un des domaines de vos jeux.. Pour finir, et toujours à titre de témoignage, c'est à la soumise en mes mains de me demander une punition pour une bêtise qu'elle aurait commise, me faire une proposition de modalité que j'amende en plus ou en moins rude. Une autre forme de correction s'apparente à la méthode anglaise pour des révision de positions, réalisation d'un défi en ma présence, ou autre obéissances, est l'usage de la trique, de la badine ou, le plus souvent, de la cravache : sémantiquement le mot "rectification" sera préféré à "punition".. Bonnes découvertes Schazoé..
Et je suis tout à fait de cet avis! très souvent c'est dû à un mal être chez la soumise à ne pas négliger. Car ça peut s'aggraver.
#
.Posté dans Une soumise revêche
Bonjour à vous, Je suis plus partisane de fouiller pour savoir ce qui motive la personne soumise qui cherche la punition : - est ce un besoin d'attention ? - est ce la manière dont elle aime interagir ? - a-t-elle un problème dont elle n'a pas osé parler ? - cherche-t-elle à provoquer afin d'avoir une réponse forte pour extérioriser sa douleur comme Schazoé etc
Bonjour, je me permets de répondre même si ce sont des réponses de dom que vous cherchez. Mon maitre utilise de moins en moins la punition physique dans ce genre de situations. Sauf quand en fait mon besoin de révolte est juste dû à un mal être. A ce moment il concède à me donner ce que je demande. Sinon les punitions où je peux l'envoyé paitre sont du coup inefficace. Aujourd'hui j'ai suffisamment de dévotion pour répondre au son de sa voix. Un 'suffit' à la bonne intonation et je m'applatis immédiatement. Mais au début il m'attachait simplement jusqu'à ce que je me calme. Ou bien un seul mais puissant coup de cravache était très efficace. Pas de plaisir à tirer de la punition. Juste une marque douloureuse. En revanche la menacer de changer de soumise c'est très extrême. Il l'utilisait parfois et j'en suis marquée. encore aujourd'hui ça me terrifie. Et quand il est pas là ça m'arrive d'en cauchemarder. Très cordialement. ps: mon maître utilise une autre techniques très efficace. Il m'ignore, reste froid et distant. Ça m'est très douloureux et est suffisant. En effet signifier que l'ai déçu dans mon statu de soumise est de base très douloureux. Comme je suis bornée les premières minutes je m'entête puis je reviens en rampant dès que j'ai saisi que ce que j'ai fais été décevant pour lui.
Haha! J'aime bcp! Mais la bifle c'est déjà expérimenté. Mon maître sait l'utiliser quand il le faut ^^. Peut être très humiliant en fonction de la situation. Juste exquis.
someone
.Posté dans Une soumise revêche
Étant donné que la baffe ne vous sied guère, peut-être que le biffle s'en trouvera a votre avantage, je m'explique : en prenant en compte cet organe, dépourvue de tout os et trouvant son imposance par ce simple fluide sanguin qui décuple son volume par simple gonflement tel la basique réaction d'une éponge sèche dans de l'eau, l’expérimentation de cette pratique sexuel avec votre maitre avant de passer a cette pratique brutale qui consiste en un choc entre l’organe préhensile effecteur situé à l’extrémité de l’avant-bras et relié à ce dernier par le poignet et la partie joufflue sur la partie supérieure du corps, qui est le siège du cerveau et des principaux organes des sens pourrai peut étre constituer une étape dans l'acceptation de la baffe. Ps : N'y voyez ici qu'une alternative (rigollote? j'avoue ! que je me suis un peu amuser à écrire (: ) hors du contexte sortie d'un cerveau légèrement fatigué par les bars de la rue de la lappe et l'heure tardive o:)
Merci à vous surtout! Merci d'avoir pris le temps de me lire et de répondre à mes craintes. Bien sûr mon maître lira tout ce que j'ai posté mais avoir une réponse de quelqu'un d'extérieur de temps en temps me permet de m'éclairer sur comment font et pensent les autres. Ainsi que sur un point important, après discution avec quelques maître je me rends compte que le miens sait être très patient. Je le savais déjà, certes, mais en tant que soumise on quand on donne beaucoup et on aime voir à quel point son maitre donne en retour. Et inversement, quand il donne on aime le rendre fière. Je sais qu'il me guidera sur bcp de points d'ombres qui me terrifient encore. Je vous souhaite la meilleur des continuation.
#
.Posté dans Une soumise revêche
Merci de votre réponse... Il y a une partie du chemin que vous aurez également à faire...Mais je suis certaine que vous y parviendrez... Bon cheminement à vous
Bonjour je publie ce nouveau poste à la suite de la lecture de celui intitulé 'la gifle'. Houuu la gifle... Encore jamais vraiment reçu de mon maître. Il sait je pense à quel point ce pourrait être traumatisant. Hier il m'a légèrement claquée derrière la tête parce que je cherchais l'affrontement. J'étais particulièrement déprimé suite à un mauvais déroulement de nos jeux. En effet c'était la 1er fois où je me sentais (vraiment) prête pour ajouter une 3ème personne pour un début en douceur avec au programme juste un peu dévoilement de mon corps. Comme je suis très complexée de mon corps pour moi l'exhibition est un sujet ... compliqué. Mais je me sentais prête. Donc on en parle à notre potentiel partenaire et manque de bol il était pas intéressé. Du fait que j'étais déjà maussade, ce refus m'a remué. Étant de mauvais poil j'ai cherché la punition toute la soirée. Et j'ai fini par la trouver. Bizarrement ça ne m'a pas suffis. La est mon problème. Quand je suis dans des états comme celui la j'ai beau avoir mal (très mal, j'ai la peau plutôt dure et je ne suis pas une plaintive . Hier on en est venu à la cravache et au martinet tout de même.)ça ne me suffit pas, voir ça me donne envie de me rebeller encore plus. Jusqu'au moment du coup tellement fort que je me résigne et me calme(tout de même frustrée, mais moins). Problème n°1 que faire? Je ne marque pas vite et pourtant je suis couverte de marques de dents, cravache et martinet et ça ne me suffit pas à extérioriser ma douleur. Tout ça pour en venir au fait qu étant petite j'ai pris pas mal de beignes et que j'ai vécu une expérience traumatisante qui font que je suis terrifiée à l'idée qu'on touche mon visage. Il lui a fallut 3mois avant de pouvoir. Aujourd'hui en ce qui le concerne il n'y a plus aucun problème. Il a un libre accès. Voilà ma 2eme question est ce que je devrais tenter le plaisir de la gifle car cela me fait un peu peur? Mais après la lecture du poste je me dis que cette petite mais néanmoins significative humiliation suffirait peut être à me calmer et me ramener à l'odre. (Même si en vérité mon maître s'y prends très bien quand il veut me faire comprendre que la limite est atteinte. Et il n'a pas besoin de cravache. Sa voix suffit.) Merci à tous
Dire que mon retour au château de ma tante fut différent de ce qui était prévu.   Fin mars ma tante m'a proposé de venir passer le premier week-end de mai au château et l'idée de flâner dans le parc me plaisait beaucoup. J'ai le souvenir d'une immense forêt dans laquelle j'aimais me balader. Je repense à ce vieux tronc d'arbre sur lequel j'aimais m’asseoir et rester durant des heures à écouter ses doux murmures tout en dégustant avec plaisir les différentes essences qu'elle m'offrait, la sensation du temps qui se fige était bien présent, malheureusement comme toute bonne chose, celle ci a une fin et l'obligation de rentrer au château m'imposait de quitter cet endroit merveilleux, même si, en consolation, je devais traverser les jardins à la française du parc et je dois dire que cette « consolation » était agréable, la richesse des couleurs des plantes et arbustes présent dans ses jardins nourrissaient mon jeune esprit.   Le château, bien grand mot pour désigner une maison de maître du XVIII ème siècle, même si je dois reconnaître que cette grande battisse est aussi impressionnante qu'intrigante, son imposante façade en pierre taillé et ses fenêtres en arcade lui donne un charme incomparable.   Maintenant à ce tableau existait, et existe toujours, une petite ombre, celle que je surnomme la « peste » ou la « princesse » et qui n'est autre que ma cousine il paraît qu'un jour ses parents lui ont donné le prénom d'Amélie, personnellement je trouve que la peste lui va bien mieux. Un heureux (ou non) hasard à fait que nous sommes nés le même jour, ce qui fait que nous avons le même age, enfin à quelques heures prêt et ma « chère » cousine adore me rappeler qu'en étant née deux heures plus tot elle est plus grande que moi et qu'elle est l’aînée et donc je dois lui obéir en faisant ce qu'elle me dit de faire, sinon elle se fera un plaisir de s'occuper de mes fesses. La première fois où elle me sortit se laïus elle fut vexée devant mon énorme fou rire, enfin je me demande si c'est mon fou rire ou mon invitation à allé se faire paître qui la vexa le plus.   Ce qu'il faut savoir, c'est que mon oncle et ma tante ont a disposition plusieurs brigades de domestiques et qu'un régime très particulier est en place. En effet la fessée déculottée est la norme au château et ceux à la moindre erreur. Elles peuvent être administrée par la gouvernante, mon oncle et ma tante et peut importe qui est la pendant que l'un des trois applique la punition. Dire que le rituel autour de chaque fessée était digne d'une pièce de théâtre est un euphémisme, d'abord avec ma tante, le ou la punie devait se déculotter devant ma tante et rester devant elle pendant qu'elle était sermonné, j'imagine très bien la honte ressentit par la femme ou l'homme ayant son sexe dénudé devant les yeux de la maîtresse de maison. Après le sermon, la personne devait s'allonger comme un enfant sur les genoux de ma tante et la fessée pouvait, enfin, débuter. Vue la couleur des fesses du ou de la punie je pouvais en déduire que ma tante était une artiste dans ce domaine et bien qu'appréciant le travail de certains artistes, je n'avais aucune envie de découvrir celui de la tante, je suis quasi certains que je n'apprécierait pas la qualité de son art et j'aime mon cul quand il est frais et blanc, ah et pour finir, ma tante complétait le coté honteux de la punition par un temps au coin cul nue. Mon oncle n'était pas du tout dans le cérémoniale, il préférait le coté rapide et efficace de la chose, la punie (oui il ne fessait que les dames) devait se trousser rapidement et se pencher sur le bureau pour qu'il puisse appliquer son office rapidement, contrairement à ma tante qui utilisait sa main ou une brosse a cheveux, lui utilisait les verges, quant à la gouvernante elle adorait humilier le ou la punie, en effet avant chaque fessée elle inspectait l'intimité du ou de la punie, et plus elle avait de publique plus elle insistait sur ce point la. La fessée en elle même était administrée de façon originale, le vilain ou la vilaine devait s'allonger sur une table et relever ses jambes vers le ciel, offrant au spectateur une vue royal sur son anatomie.   Après un long, très long voyage, j'arrive enfin au château. Je suis accueillis par deux personnes, le garçon me salue rapidement et s'occupe de mes bagages et la jeune femme m'invite à la suivre et à entrer dans le château, madame ma tante nous attends. En entrant dans la salle de réception, une douce et agréable odeur d'essence florale vient flirter avec mon nez. Ce doux parfum m'avait manqué et l'idée d’aller me perdre à nouveau dans la forêt me plaît beaucoup, dommage que je doive attendre un échange d'amabilités et de banalités avant de faire ce qui me plaît, égoïste ? Ah mais complètement et j'assume parfaitement cela.   Je suis la demoiselle et plus nous nous approchons d'une porte plus l'écho d'un bruit familier résonne et je devine rapidement ce que c'est, en arrivant devant la porte, la demoiselle releva l’arrière de sa jupe et baissa sa culotte, m'offrant la vue de ses jolies fesses...rouge, sans se retourner elle ouvre la porte et va se mettre face au mur, de mon coté j'entre dans la pièce et mon intuition fut bonne, une fessée était en cours de réalisation, ce que je n'avais pas deviné c'est ce qu'il y a autour de celle ci, en effet, assise sur une chaise ma tante donnant la fessée à une domestique et face au mur deux personnes, une jeune femme et un jeune homme, tous les deux ont leurs fesses nues et rouge, tableau assez familier pour moi, ayant par le passé assisté aux nombreuses fessées distribués par ma tante, à un détail prêt, que fait cette jeune femme, à genoux, la tête entre les fesses de la fille au coin ? Qui a eu cette idée surprenante ? En soit cela ne me déplaît pas, au contraire cette idée est plaisante, même si j'aurais préféré être à la place de la demoiselle. Mon esprit est tellement occupé, qu'il n'a pas remarqué que la peste (oui ma cousine) est présente.   Amélie : Bonjour Alex (oui c'est mon prénom et il est vrai que je ne l'ai pas mentionné jusqu'ici)   Alex : Bonjour Amélie (oui l'idée de l'appeler la peste me brûle la langue)   Amélie : tu ne vas pas jouer, encore une fois, les chevaliers blanc et osé dire qu'elle n'a rien fait ?   Alex : Elle ? Rien fait ? De quoi parles tu....heu attends c'est pas....   Amélie (me coupant la parole) : Si c'est bien la même demoiselle que tu a défendu il y a quatre ans, défense qui m'avait valu une douloureuse punition   Alex : douloureuse, deux paters et trois ave maria, je pense que niveau douleur ce fut bien plus supportable qu'un passage sur les genoux de ta mère   Que c'est il passé il y a quatre ans ?   La peste (ma cousine pour ceux qui ont oublié) aimait dénoncer les domestiques pour qu'ils soient fessées et satisfaire son petit plaisir. Un jour, en revenant d'une de mes nombreuses escapades buissonnière, je surpris une des domestique sur les genoux de ma tante, de mon point de vue j'avais ses fesses en vues donc, à ce moment la, je ne savais pas qui était punie. Ma cousine jubilait et profitait de l'occasion pour me raconter ce qui c'était passé. Ayant un doute sur la personne allongée sur les genoux de ma tante, je fis le tour pour voir le visage de la demoiselle, ma cousine surprise me fit remarquer que le spectacle se passait sur ses fesses et non sur sa tète. De mon coté en découvrant le visage de la fille je savais qu'elle ne pouvait pas avoir fait ce qu'on lui reprochait, en effet, celle qui était entrain de se faire rougir le cul n'était autre que la jeune et jolie demoiselle avec laquelle j'avais passé une parti de l’après midi. Tel un chevalier blanc je fis interrompre ma tante en lui expliquant qu'il y avait erreur sur la personne, surprise elle s’arrêtât et me somma de m'expliquer et d'être convaincant au risque d'être le prochain sur sa liste. Au fur et a mesure que je racontais mon histoire je pouvais voir ma cousine se décomposer, son mensonge allait être découvert et le pire c'est que c'est son cousin, qui allait être à l'origine de cela. Bien qu'au début ma tante eut des doutes sur ce que je racontais, elle à même fait allusion a un sentiment amicale que j'aurais envers la demoiselle et sa beauté, elle comprit, au vue de la réaction de sa fille, que la vérité n'était pas celle qu'on lui avait vendu. La jeune fille fut relevé et invité a quitter la pièce et ma cousine eu droit à une remontrance et du réciter quelques prières.   Amélie : bref, la tu ne peut pas sauver son cul de la main punitrice et c'est une bonne chose   Alex : je vois que tu prend toujours ton pied en regardant les domestiques se faire rosser le cul   Amélie : et encore tu ne m'a pas vue quant je claque le cul des garçons   Alex : quant tu quoi ???   Amélie : oui régulièrement je m'occupe des garçons et j'adore sentir leur queue bouger sur ma cuisse quant je les fesses.   Et c'est parti, elle m'explique comment elle fesse les, je cite, vilains garnements en prenant soin d'appliquer la méthode maternelle, déculotter et sermonner le puni, avec quelques différences, notamment, sur le fait qu'elle humilie le puni sur la taille de son pénis, elle a d'ailleurs découvert qu'un des garçons qu'elle a eu entre ses mains apprécie la fessée. Elle à même conclut un marché avec lui, elle peut le déculotter et le fesser quant elle veut, en échange il a le choix entre se masturber devant elle, voir elle le masturbe.   Amélie : ah et sache que tes fesses peuvent être les prochaines à découvrir mes talents de fesseuse   Alex : dans tes rêves ma belle cousine (belle en effet, du haut de son mettre quatre vingt avec une belle chevelure brune et de magnifique yeux bleus, et elle sait qu'elle est belle et n'hésite pas à mettre en avant ce que la nature lui a offert)   Amélie : ne soit pas aussi sur de toi mon mignon, trois jours c'est long ici.   De son coté ma tante termine son office et place la seconde demoiselle au coin les fesses à l'air et est ordonnée à une domestique de se mettre à genoux avec sa tête dans les fesses de la punie. Ma tante vient vers moi, me fait la bise plus un câlin, je suis assez surpris de cette familiarité, n'étant pas habitué à cela de sa part.   Ma tante : Bonjour Alex, a tu fais bon voyage ?   Alex : bon voyage, mais qu'est ce que c'est long pour venir jusqu'ici   Ma tante et ma cousine rigole de bon cœur   Ma tante : en effet pas tout à coté de chez toi, désolé d'avoir du t'accueillir de cette façon   Alex : (oui je vais te croire) je suis habitué ici, la fessée étant une activité quotidienne, j'aurais été surpris de pas en voir une à mon arrivée   Amélie : si tu veux, tu peut je me porte volontaire si tu veux participer à cette activité   Alex : tu veux que je te donne la fessée ?   Amélie : non idiot, ici c'est moi qui donne les fessées, je ne la reçoit pas, on ne donne pas la fessée aux princesses (ah ouais ? Laisse moi deux minutes, je suis sur que je te trouve une ou deux princesse qui en ont reçu)   Alex : la où je suis surpris, c'est les deux demoiselles qui ont leur visage dans les fesses des deux punies   Ma tante : cela fait partie de la punition, chaque demoiselle punie doit subir l'humiliation d'un nez dans ses fesses   Amélie : d'ailleurs, pour la jeune fille que tu viens de placer au coin, je pense qu'Alex devrait remplacer la domestique qui vient de prendre place.   Oui, ma peste de cousine vient de trouver un moyen de venger « l'offense » qu'elle a subit quatre ans plus tot et proposant que la jeune fille, qu'elle avait accusé à tord, à l'origine de sa punition subisse une humiliation supplémentair, evidemment ma tante trouve cette idée lumineuse et devant ma réticence, m'odonne de lui faire honneur en allant me mettre a genoux derriere cette demoiselle. La peste a gentiment rappelé que « réticence » n'était pas un nom pour une queue, devant la tete de ma tante, elle pointa ma bite qui, elle, adorait l'idée d'allé dire bonjour à ce superbe cul nue. Je prend donc place et reste dans cette position un long, tres long moment, et oui j'aime cela, je suis aux anges avec ma tete entre les fesses de la demoiselle. A suivre Que va t il se passer ? Est ce qu'Amelie va s'occuper des fesses d'Alex, au contraire est ce qu'Alex va claquer le cul de cette odieuse cousine, ah moins qu'autre chose ne ce présente, nottament dans ce bois... ps: n'hésitez pas à me dire en commentaire si vous avez aimé ce texte, si quelque chose ou un personnage a marqué votre esprit ou tout autre chose.