Je te visualise bien ma Sœur 😂
Le paradoxe des maso comme dit Laquaisdesbrumes.
Je suis assez d'accord. D'ailleurs j'ai pu vivre des schémas similaires en thérapie et dans ma relation D/s car les deux étaient en simultané. Les deux apportent une lecture différente sur soi et permettent d'évoluer dans son rapport avec soi, à son histoire et aux autres.
Messages
Ce qui revient souvent dans les différentes expériences liées à la.douleur masochiste.
Merci pour votre apport.
Vous répondez à mon commentaire précédent à Laquaisdesbrumes.
En plus de "laver son humeur noire et apaiser" comme vous dites, je ne sais pas si c'est lié; mais à la suite d'une récente séance d'impacts légers, m'adonnant à mon plaisir solitaire ressource, j'ai pu constater que mes orgasmes étaient bien plus puissants alors que la séance avait eu lieu bien des heures avant.
Merci beaucoup Ossaum !
Merci pour cet écrit et à ton Loup de t'avoir incité à poser ces mots.
Bravo à toi pour ton parcours. Je me retrouve beaucoup dans certains de tes mots et te souhaite d'avancer encore toujours plus au plus prêt de toi.
(C'est peut-être pas très français mais je vais laisser ainsi en espérant que ça te parle).
Je suis curieuse des sensations ressenties si vous en avez le souvenir. Je me demande si la pulsion d'autodestruction que vous décrivez et que certaines personnes peuvent avoir n'est pas un besoin d'évacuer quelque part. Parce que la destruction dans son sens littéral n'a pas eu lieu (et c'est tant mieux). Désolée si je fais remuer des trucs pas cools.
Merci pour ce retour.
En effet je ne me vois pas vivre ce type de relation sans une personne de confiance. Une confiance qui s'est construite et qui permet de connaître l'Autre profondément.
C'est rassurant de lire que c'est possible.
Merci aussi pour les détails. C'est vrai quoi ! On ne parle jamais de la morve qui coule. Grâce à toi si l'occasion se présente, je pourrais être moins "control freak" comme dit Louve Solidaire, sur la question.
Je crois que sur ce point on se rejoint.
Je parlais de me refuser de lâcher plus haut. Et je pense que c'est le point clé. Ma première relation était une relation initiatique et éphémère. Nous le savions. La différence d'âge et les projections de vie différentes...
Donc même si je lui faisais confiance, je ne pouvais me permettre de lâcher complètement. J'avais besoin de me dire et savoir qu'il serait là demain.
Parce que ma définition de l'appartenance porte les stygmates de mon passé.
D'ailleurs je n'ai pu avoir de réels orgasmes avec lui qu'une fois la relation terminée. Notre relation n'était plus dans un entre deux et la confiance était installée mais sur la question des impacts et de la douleur, elle n'a pas été plus approfondie je pense justement parce que je n'étais pas prête à vivre ça avec Lui.
Sur ce point je ne peux me prononcer, personnes sportives sont des aliens pour moi :D
En réalité, beaucoup de pratiques que l'on trouve dans le BDSM, font surgir des émotions ou des sensations que l'on trouve dans le quotidien vanille.
Sauf que certaines personnes ont besoin de cette dimension BDSM pour pouvoir les vivre.
Merci pour votre réponse !
Est-ce que le cocktail "peur de la douleur + ressenti" est toujours le même qui vous fait basculer ?
Est-ce une douleur intense qui vous fait basculer ?
Désolée pour toutes ce questions. Je me fatigue moi-même 😅
D'autant plus que je mets du temps à répondre en retour. D'ailleurs, aucune réponse n'est obligatoire.
Belle soirée.
J'ai justement cherché un sujet similaire sur le forum sans trouver.
Il n'y a pas une réponse universelle mais une propre à chacun(e).
Merci à vous pour avoir pris le temps de lire et de faire votre propre retour ;)
Merci pour cette réponse très détaillée.
J'aime bien le pallier brat qui montre que vous vous connaissez et avez confiance (dans votre relation avec vous-même et dans le Lien).
Et que la complicité est un ingrédient enrichissant la relation.
Merci pour ce partage et cette eau à nos moulins !
L'endroit que tu choisis pour souffrir, sur ton corps ou aussi dans ta tête ?
J'imagine que tu parles plus d'une douleur ordre émotionnelle ? Et non comme cité plus haut, les rencontres des orteils avec les coins de meubles ?
J'aime beaucoup ce que tu écris là !
Merci !
Bonjour,
Pas mal de conseils ici : https://www.bdsm.fr/blog/8622/D%C3%A9buter-une-relation-BDSM/
Si vous avez des questions plus précises, on est là !
Bonjour Kuro,
C'est compliqué sans vous connaitre et sans le connaitre.
J'ai créé un jeu qui peut donner des idées, mais ce sera forcément à adapter car c'est à destination d'une soumise (je réfléchis à une version pour soumis).
Néanmoins, avez-vous rempli une liste de préférence BDSM pour en savoir un peu plus ?
Par exemple : https://intime-photographie.fr/incontournable/limites-bdsm et https://intime-photographie.fr/incontournable/limite-bdsm-expert pour la version plus poussée.
Concernant l'intensité, les mesures de précautions citées précédemment sont à écouter. Mais, il est possible de jouer sur le temps plutôt que l'intensité, par exemple.
Je vais compléter ma réponse, il y a des jours où je le vis comme un exutoire, où je veux aller jusqu'à ne plus pouvoir, dans ce cas mes pleurs, mes cris, me font un bien fou... Le BDSM n'est pas thérapeutique mais il peut contribuer et aider à ouvrir les vannes différemment...
Maitre SADE un peu comme Ogmios vous n'êtes pas tout à fait dans le sujet. Ici il n'est pas question de jugement ou de vivre ou pas son masochisme, soft ou hard. Je parle de ressenti intérieur, pas de maladie ni du nombre de pratiques, ni juste de la douleur physique etc. car je pense qu'il y a un aspect très cérebral qui se joue... :)




