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Je vous remercie pour ce témoignage détaillé en réponse à ma question plutôt intrusive. 🙏🏾
Navrée que vous n'ayez pu trouver l'accompagnement qui vous aurait apporté quelques réponses. Cela dit... Des réponses il y en a peu en réalité. J'ai l'impression que vous avez trouvé un moyen d'avancer par vous-même en construisant votre propre route.
Je comprends complètement la difficulté d'éteindre son cerveau bien que j'y sois moins sujette qu'avant mais il y a encore du boulot.
Quant au surnom, merci à qui de droit. 😁
Bienvenue et bon courage à vous ;p
Il y en a toujours pour tenter l'impossible
EviDanse. Quand je l'ai fait, en fin d'adolescence ( vers 17 ans et bcp plus vers 20 ans ) je n'avais pas conscience d'un sentiment d'autodestruction. Hormis les boucles d'oreille, pas de piercing à l'époque .Mais plutôt un désir de sentir mon corps . Plus que de l'autodestruction ( On ne se détruit pas d'ailleurs comme vous le soulignez fort justement..) le terme juste est plutôt de l'automutilation. Voire de l'autopunition dans un combat intérieur où l'on se déprécie sans aucun doute tout en voulant trouver des raisons d'avancer.
Il n'y avait aucun appel indirect car personne ne l'a jamais vu. Ca m'aurait sacrément emm... que des ami(e)s ou des adultes s'en mêlent.
Je me souviens de coupures avec des lames de rasoir, ça piquait et la peau s'écartait. Le sang ne m'a jamais effrayé . J'ai toujours trouvé sa couleur superbe et intense ( sans pour cela avoir jamais eu l'idée même fugace de le faire couler sur d'autres, humains ou animaux . ), son goût aussi , très particulier, un peu ferrique.
Il y avait une certaine excitation à percer le téton par exemple et encore plus à faire ressortir l'aiguille qui ne glissait absolument pas comme celle d'une seringue.
J'avais bien conscience que cette pratique trahissait un mal-être mais les qq psys que j'ai consultés bien plus tard ne m'ont apporté aucun éclairage .( Et comme je parle peu, il y a eu des séances où je les voyais s'emmerder encore plus que moi . Les psys - ...chologues même un ...chiâtre > le pire ! ... relèvent de l'escroquerie pour une grande part . Ca, du transfert, il y en a eu, uniquement du transfert d'espèces. Ca n'a jamais rien amélioré.).
Se faire mal procède aussi d'un rapport à soi, de l'acceptation ( ou non ) de son corps, de la visibilité de son corps par les autres, de son existence pour les autres, pour une autre.
Suite à un érysipèle sérieux à la jambe après avoir joué avec mon entrejambe, ça m'a calmé. Pensez-bien à désinfecter avant ! Ca n'a rien de superflu.
C'était surtout dans le but de calmer les esprits de ceux qui seraient venus dans l'optique de coup d'un soir ou autre chose non conventionnelle pour une femme mariée.
Ça fait un tri on va dire, j'ai plutôt vu ça dans ce sens ;)
Bonjour et bienvenue ici.
Vous avez le mur G, les groupes en fonction de vos fetish ou le Tchat général pour le tout venant
Bonne discussion et navigation ici
Mariée et enceinte :) les mots clefs pour faire venir du beau monde :) :)
Je suis sadique...oui oui :) j'aime faire mal, je pense donc que un maso doit ressentir la même chose que moi...une immense satisfaction, une onde de plaisir et de chaleur dans le corps quand je procure la souffrance ... Et lorsque je la controle, j'en regule l'intensité, cela me procure une forte erection , sentir la peau de ma soumise se tendre de plaisir par la douleur, et voir aussi la douleur sur son visage...et comble de la jouissance, lorsque elle verse sa petite larme, n'osant arreter la souffrance de peur de la perdre...suppliant de continuer, suppliant d'arreter, suppliant son cerveau de ne pas perdre les pedales...profondement la peau change de couleur, le torse montre une respiration forte, les tetons se dressent, les pigments de sa peau s'illuminent comme un feu de joie...elle est en transe, respire, souffre, aime... mon erection prend le dessus, et je l'acheve par une prise brutale, qui marque le temps de la possession et de l'emprise... Toute à moi, elle encaisse la vague de puissance que je decharge sur elle, ou en elle... Repus, je comprends que ce moment ne s'explique pas forcement, il se vit...intensement.
"Je suis une Domina actuellement dans une relation D/s avec un homme. Récemment il a formulé la demande que je me montre plus dure physiquement avec lui, que je le pousse au delà de ses limites physiques et psychologiques lors de nos séances." on le ne connait pas tu n'es pas télépahte je ne suis pas télépathe, si il n'est pas capable de dire ce qu'il veut, c'est que ce n'est pas clair pour lui. Si il n'arrive pas a verbaliser fait lui faire un travail d'écriture.
"Après avoir exploré différentes pratiques : Discipline (fessées, fouet, cravache, martinet...), asphyxie, knife play, brûlure à la cire, dénis d'orgasme et torture post orgasme entre autre, je commence à être à court d'idées, Je vous serais reconnaissante si vous aviez des idées de séances à me proposer. Je souhaiterais pouvoir lui proposer une séance qui puisse le forcer à lâcher prise entièrement" si il lache pas prise avec tout ça, soit tu lui offres pas un cadre assez sécurisant, soit ça relève de la psychiatrie de son côté, soit le BDSM n'est pas la bonne façon pour lui de lacher prise demande lui d'aller prendre des cours de yoga médidation ou sophro.
Alors dans l'idée, disons que que mon cerveau a des pensées parasites tout le temps, et c'est chiant car je les entends toutes et quand il s'éteint ça me procure un bien être qui va largement au delà que n'importe quel orgasme, donc oui je douille sévère lors de ces moments mais mon plaisir va au delà de tout, et vous remercierez la personne de ce site qui l'a choisi pour mon pseudo ^^
"Je suis tout nouveaux, j'aimerai recceuillir vos témoignages car j'aimerai m'initier à cet univers BDSM dont je ne connais pas encore les codes...
Comment avez vous commencé?
Quels conseils me donneriez vous?
Existe t il des groupes d'échanges dans les régions? "
1ère chose à faire définir ce que tu veux et ne veux pas, 2nde apprendre le vocabulaire, les protocoles, les outils de com, ces 2 étapes ne prennent pas des années mais mérite de s'y plonger intensément durant plusieurs mois.
Il y a des interviews, des podcasts, des livres sur le BDSM.
Les rencontres seront plus ou moins difficiles selon ta position et tes critères de recherche, ces derniers il faut garder en tête qu'il faudra possiblement les revoir.
"Je sais que la communication est la clé et nous communiquerons avant de démarrer la séance, mais pour éviter d'étre un peu gauche j'aimerai avoir quelques témoinages et conseils pour débuter." Bonjour tu feras des erreurs tu seras gauche c'est comme ça qu'on apprends, je te conseilles de lire un maximum sur les divers outils existants pour communiquer ( checklist, contrat etc ). Le BDSM c'est des savoirs être et des savoirs faire à acquérir ça vient avec le temps.








