Bonjour Lady Hydre,
Je suis rassuré d'apprendre que vous n'êtes pas résignée. Je trouve que le monde manque cruellement de personnes comme vous, et les gens comme moi en souffrent, mais pas dans le bon sens du terme. :worried:
Les weekends BDSM que vous évoquez ont l'air très intéressants, j'aime bien votre utilisation des points de suspension, cela stimule l'imagination.
Messages
Merci Carpo pour ce texte. Encore un sujet qui peut sembler anodin, comme vous le dites en introduction, mais dès que l'on creuse un peu, on se rend vite compte qu'il y a matière à reflexion. C'était très instructif et intéressant à lire, et que dire des commentaires concernant votre terrasse... :smile:
Je suis perplexe concernant la technique du "dos à l'urinoir", j'ai beau avoir de l'imagination, je n'arrive pas bien à me représenter la scène.
Bonjour Sly , je ne suis pas résignée, heureusement , j'ai eu deux belles rencontres permis tous ces soumis , deux histoires qui furent très enrichissantes pour eux et pour moi ... sourire , je garde que le meilleur ...
et j'ai eu cette chance aussi de faire des week-ends BDSM à côté de d'autre Dominas et soumis ou nous avons beaucoup exploré ...
L.H
Merci pour ce post léger et bienvenu.
Avec mon ancien Maître...
Désolée pour les détails peu séduisants mais bon...
C'était pendant une tentative de gorge profonde. Il est allé un peu trop loin dans la gorge à un moment où je n'étais pas dans la bonne respiration. Du coup réflexe nauséeux, je me suis relevée rapidement et j'ai recraché ma salive sur lui. J'étais hyper gênée et désolée, mais ça s'est finit en fou rire. J'ai surtout trouvé ça drôle que pour une fois ce soit moi qui lui "crache" dessus. Il l'a ressorti de temps à autre pour me remettre dans un état de gêne. Voilà pour ma petite participation.
@Neilerio
Je vous rejoins sur beaucoup de points.
Ce que vous dites sur les “Dom” qui se déclarent prêts à switcher juste pour obtenir un peu de sexe rapide reflète bien une dérive que l’on croise trop souvent. Comme si le BDSM n’était qu’une variante du libertinage, une case à cocher pour se donner l’illusion de vivre quelque chose de transgressif.
Et oui, “disparaître dès que les choses deviennent réelles” est un grand classique.
Il est facile d’aimer l’idée, beaucoup moins d’assumer la réalité et la constance qu’elle demande.
Je crois cependant que c’est précisément parce que beaucoup fonctionnent ainsi que ceux qui empruntent ce chemin avec sincérité se démarquent d’autant plus.
Le BDSM demande un engagement, une maturité, une honnêteté… Peut-être que cela ressemble à une image d’Épinal, comme vous le dites, mais pour moi c’est aussi un rappel nécessaire.
Parce que si l’on retire ces piliers, il ne reste rien de solide, juste des jeux d’ego et des promesses creuses.