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la réponse est claire ! Akujo a raison, c'est au maitre ou maitresse de gérer les limites communes actées et au dela avoir une écoute permanente de la partenaire, de son état physique et mental.... car elle était dans un état second qui marquait la fin de la "partie" ! Antoinette, il vous faut se poser la question ....une fois pour toutes, la jouissance sadique doit se donner des limites, faute de quoi c'est l'accident !      
Antoinette
.Posté dans Toujours plus hard ?
C'est amusant et c'est joli. Par contre non aucune drogue. Pas même un petit joint. Non j'ai pas besoin. Faire mal c'est ma drogue et j'aime trop et donc je glisse dans toujours plus hard.  Sadique junkie...cela me fait rire mais il existe quelque chose de vrai comme pour les drogues on augmente les doses...
cruauté joyeuse
.Posté dans Toujours plus hard ?
Tout dépend de nos motivations profondes, de notre gestion de la dépendance aux endorphines, de la façon dont nos vies s'articulent...
Antoinette
.Posté dans Toujours plus hard ?
Ce qui me fait peur c'est d'avoir besoin d'aller dans toujours plus hard. Un glissement en pente douce mais qui semble irréversible.  Ce qui me paraissait hard au début me semble très soft maintenant. 
Imp89
.Posté dans Toujours plus hard ?
Il y a une pente comme vous dites. Je pense qu'il faut raison garder, parce que certaines pentes peuvent être plus extrêmes que d'autres et pourraient mener à des situations catastrophiques (je ne vais pa ré-employer le mot extrême). Une des choses qui m'inquiéte(rait) un peu, c'est une sorte de "pulsion de mort", avec des gens malintentionnés qui iraient toujours plus loin. C'est pour ça que je n'accepterais jamais de subir ou de faire subir des choses liées à l'étouffement (strangulation ou immersion dans l'eau): il y a des choses pour moi qui sont vraiment trop "borderlines" et qui pourraient "plus que" déraper. Il y a ça et malheureusement aussi pour certaines une pente vers l'occultisme, avec des cérémonies "sombres". Là, on tombe clairement dans la secte et une soumission malsaine. La chose, je pense, c'est de rester aux commandes, et de savoir dire "non" dans son propre intérêt.