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Gallifrey
.Posté dans Toujours plus hard ?
Le cerveau est un système adaptatif. Quelle que soit la pratique, il s'adaptera, et il en faudra toujours plus pour procurer la même sensation. On n'y peut rien, c'est un mécanisme automatique sur lequel notre volonté n'a pas de prise. Seul moyen de s'en sortir, varier les pratiques, mêler cérébral et physique. Quand l'adaptation à une pratique est devenue trop forte, laisser l'oubli agir et y revenir plus tard, ou l'aborder sous un autre angle. En quelque sorte, leurer le mécanisme d'adaptation.
Antoinette
.Posté dans Toujours plus hard ?
Ce n'est pas si simple. J'ignore ou est la limite et c'est justement cela qui me fait peur. Et nous sommes deux....maso aussi veut toujours aller plus loin.  C'est pour cela que je ne pratique que ce qui ne présente pas trop de risques sur le plan physique. Le risque nul n'existe pas.  C'est sur le plan mental la glissade, aussi bien pour maso que pour moi....toujours plus hard. Comme si le plaisir s'éloignait ?  Qu'il faille toujours plus pour l'atteindre ? 
Antoinette
.Posté dans Toujours plus hard ?
C'est exactement cela. Et maso aussi s'adapte. Il est même le premier à réclamer toujours plus.  Il s'adapte aussi en supportant bien la douleur ce qui oblige  à aller plus loin.  Et puis il existe une sorte d'ivresse commune.  J'aime quand la séance est finie, que l'on se détend, que l'on prend un verre.  La redescente est un très bon moment avec un lien incroyable.  J'adore.   
mael
.Posté dans Toujours plus hard ?
De toute façon il me semble que c'est la recherche de toujours plus de sensations et de plaisir qui pousse à aller toujours plus loin. C'est vraiment difficile d'aller contre cela, surtout si l'on ne sait pas où se trouve la limite puisque cette dernière est toujours repoussée.    
Bonjour, Aller plus loin, oui. Mais en ce qui me concerne jamais trop loin, mon Maître y veille. Comme le dit Carpo, avec parfois des retours pour redécouvrir des pratiques que l'on semble connaître par cœur, parce que dans notre avancée on peut les voir autrement. Comme vous le dites Antoinette, un équilibre extérieur au BDSM est nécessaire, notamment pour pouvoir prendre du recul.