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legeretedeletre

legeretedeletre

Homme Dominateur. 62 ans. a une relation BDSM.
Extrait de son book
swanny33
Très bon anniversaire Monsieur, Que votre soirée soit douce et intense également.
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a mis a jour son propre profil.
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@femmefemelleEsclave Les petits bouts de messages parfois écrits rapidement en fonction du temps disponible n'expose pas toujours la profondeur du raisonnement et de la pensée.. Je ne parles même pas des SMS ou des tweets qui en une phrase donnent mille façons d'interpréter les choses….. Sauf en général celle que l'auteur a voulu imprimer dans son propos. :-) Merci pour votre compréhension.
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Précisions @tous : Le contrat rassure certaines personnes, pour ma part je n'en ai jamais eu besoin mais j'en ai rédigé un jour pour une femme qui avait besoin de ce cadre là. le contrat donne un élément d'appréciation mais pas de preuve car le consentement doit être permanent y compris pendant les actes eux mêmes. En clair, tout dominant est passible de la correctionnelle dès lors qu'il lève un martinet, une canne, un fouet ou tout autre instrument sur un autre être humain dans le cadre d'une relation BDSM et dès lors que le soumis ou la soumise se fait faire un certificat médical et dépose plainte. Tout élément de preuve (SMS, copie d'écran d'annonces, emails et photos préalables échangées, …), y compris donc le fameux contrat peuvent être des éléments d'appréciation pour la justice pour nuancer les choses dans un sens ou dans un autre. Mais même si le Dominant établi la preuve du consentement INITIAL de la personne avec qui il a "joué" il pourra rarement faire la preuve formelle que le consentement a été continu PENDANT la séance à défaut d'enregistrement vidéo ou quelque chose de similaire. En clair il suffit qu'un(e) soumis(e) prétende avoir exprimé son désaccord à un moment ou un autre et de prétendre que le Dominant a continué son acte malgré sa désapprobation pour vous envoyer dans la plupart des cas devant la correctionnelle où l'on sera dans une évaluation de la situation dans un mode parole contre parole. Sur le principe, beaucoup de Dominant(es) n'imaginent pas qu'il vivent extrêmement dangereusement, notamment lors de rencontres avec des partenaires parfois non réguliers ou en tout début de relation, dès lors qu'ils sont face à des personnes déterminées à aller en justice si cela s'st mal passé ou …. les faire chanter ce qui doit arriver aussi. Sur un autre plan à la marge du sujet ici, l'aspect sulfureux du BDSM, la notion de culpabilité victimisante notamment chez les femmes, qui se seraient laissées entraînées beaucoup plus loin qu'elle ne le souhaitaient réellement, tout cela associé à la peur d'avoir son identité révélée dans une affaire de justice, fait le lit des "indélicats", qui existent aussi, et fait leur impunité relative. On est assez proche dans l'esprit et la paralysie de l'action des victimes en justice, des situations de femmes battues ou de viol dans la société. Aux états unis beaucoup d'organisations qui publient des vidéos BDSM sur le net prennent la précaution d'interviewer en vidéo la "victime" avant la séance en exposant clairement ce qui va se passer, puis tournent l'intégralité de la séance et la clôture avec une nouvelle interview de la "victime" qui exprime tout le "plaisir" qu'elle a ressenti et que oui c'était génial. Cette démarche n'est pas innocente du coté de ces organisations en regard des lois américaines sur le sujet. Encore une fois, je ne fait pas l'apologie du contrat qui n'a que peu de valeur juridique et surtout n'amène pas grande protection juridique au "tortionnaire" mais certaines personnes en ont besoin pour s'abandonner au moins au début de la relation car il décrit de manière écrite les devoirs et droits de chacun, un espèce de cadre de départ en quelque sorte. Même dans une relation de Maitre à Esclave, le consentement est de même nature et tout le folklore qui consiste à dire que l'esclave n'a plus le droit à sa liberté et ne peux être libérée que par Maître, c'est "quequette balayette" non seulement l'esclave peut partir quand elle veut mais si le Maître s'y oppose de quelque manière que ce soit cela s'appelle séquestration, alourdi par tortures et viol s'il continue la relation de manière unilatérale Dans tous ces cas là, Voilà les choses précisées.. :-)
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@FemelleFemelleEsclave Bonjour ai-je dis le contraire quelque part ?
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@Lilo "J'aurais souhaité que des soumis et soumises sachent partager leurs doutes sur ce sujet qu'est de bien vivre la douleur... " Désolé mais ce genre de phrase me fait toujours réagir... sourires... Si tu n'aimes plus cela ou si tu as des difficultés temporaires ou définitives, ben ne le fait plus. Au nom de quoi une personne qui souhaite se soumettre à une autre doit elle vivre la douleur ? Il semble gravé dans le marbre de l’inconscient collectif que les soumis(es) doivent impérativement passer par la case souffrance pour être un(e) bon(ne) soumis(e). Une soumise peut trouver sa raison d'être dans sa servitude et pas dans le fait d'être fouettée chaque jour. Quand on est dans une relation DS pure et aussi investie soit-elle, une simple punition est souvent un aveu d'échec et pas que pour la soumise mais aussi pour le Maître .. La mixité des pratiques SM et DS conduisent à des amalgames où certaines se croient obligées de subir physiquement des pratiques qui leur sont insupportables au simple fait que cela se fait quand on est soumise et qu'il n'y a pas d'autres alternatives. Demander à "sa soumise" d'aller sans d'autres raisons que le désir unilatéral du Maître à la croix de Saint André, l'y attacher et la zébrer au fouet des chevilles jusqu'aux épaules c'est autre chose. Cela s'appelle du SM et certainement pas une preuve de soumission. Si les deux partenaires s'y retrouvent en terme de désir et de vécu c'est tant mieux mais si l'un des deux subi cela sans AUCUN plaisir, cela ne marche pas, de même que le faire uniquement pour l'autre, cela ne marche pas plus au bout d'un moment. Il y a mille manières de vivre une relation DS même sans la moindre violence, n'oublions ps que l'on est dans le consentement mutuel et quand le consentement n'est plus "aussi" vrai si tant qu'il l'ait été préalablement, il faut savoir en parler, sinon on s’occasionne des souffrances pas forcément physiques mais autrement plus profondes et douloureuses, et à fortiori en face à un conjoint ou un mari où la peur de perdre la considération de l'autre est un frein à la parole. Subir oui mais de manière volontaire et en y trouvant AUSSI son plaisir, sinon à quoi bon? Dans notre cas particulier, Julie ne supporte plus depuis quelques temps l'intensité du fouet comme à nos débuts pour tout un tas de raisons que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître :-) Bon et alors? Je profite de certaines ami(es) qui adorent cela et qui viennent à la maison régulièrement pour me payer ma séance de single tail intense... Il n'y a pas de problèmes puisque nous en parlons et trouvons des solutions...
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@Agrippa34 Pourquoi désespérante ? :-) On est toujours en balance entre les désirs profonds et la peur de perdre quand il y a divergence dans un couple. Quand la peur de perdre l'emporte ce n'est jamais pour très longtemps car la frustration devient insupportable au bout d'un moment, sauf si ce que l'on possède et veux sauvegarder a plus de prix à que sa propre frustration. Un couple solide et qui tient l'un à l'autre trouve toujours des solutions dans un parcours aussi intense, dans le cas contraire la frustration de celui qui désire l'absolu finit toujours par l'emporter à un moment ou un autre. Ce n'est pas désespérant, c'est la vie tout simplement.. sourires... Maintenant, je te rejoins sur le fait qu'on manque un peu de détails de la part de Lilo .; sourires..
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swanny33
Bonjour Monsieur, Merci pour votre demande que je me vois dans l'obligation de refuser. Votre recherche n'est pas la mienne. Je vous souhaite de trouver celle qui vous correspondra.
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A la relecture je viens de m’apercevoir que certaines phrases étaient assez mal construites et n'étaient peut être pas très éclairantes, je n'ai pas trouvé le moyen de modifier un post après son envoi, je supposes que tu rectifieras de toi même et que si ce n'est vraiment pas clair tu sauras me demander des précisions... sourires...
legeretedeletre
Bonjour Lilo, il est très difficile de répondre à cette question autrement que par un déphasage entre les partenaires, déphasage qui doit être discuté entre vous et solutionné si tant est qu'il puisse l'être. La découverte de ses penchants masochistes est toujours un bouleversement important chez une personne qui entre en "BDSM". Chaque personne est différente, même s'il existe comme partout quelques tendances communes qui permettent de catégoriser les comportements, les désirs profonds. Tu sembles au vu de ton profil et du texte ici, qui ne dit pas grand chose sur toi, si n'est dénoncer ce qui te perturbe, quelqu'un qui s'est orienté vers une démarche d'absolu dans ta soumission. Tu souhaites aller plus loin dans ta souffrance et ton masochisme pour celui que tu as choisi, c'est un mécanisme assez courant chez les masochistes et de sauvegarde mentale que de se dire que ce que l'on fait c'est pour l'autre, que c'est une offrande. J en'ai aucun jugement de valeur ici mais sans doute que les premières questions que tu devrais te poser à ce sujet seraient : - Est ce que je souffre pour le plaisir de l'autre uniquement et dans le cadre du don de ma soumission et de mon corps? - Est ce que je ne souffre pas simplement parce que j'aime réellement cela et que cela va chercher en moi un besoin profond à satisfaire, que c'est nécessaire à ton équilibre et comble un manque quelque part ? (même si évidemment cela se fait au travers d'une relation à l'autre celui qui domine). - Est ce que finalement ce n'est pas une recherche d'abandon total et de recherche de tes limites qui serait le moteur de ta libido actuellement? La réponse à ces questions associées à une discussion approfondie avec ton dominant devrait pouvoir t'éclairer un peu. Après tout lui n'est peut être pas intéressée pour t'emmener plus loin que ce qu'il te fait déjà "subir" ou peut être à contrario est-il d'accord et intéressé pour t'emmener de plus en plus loin, jusqu'à tes limites ou à tout le moins à la découverte de celle que tu es peut être réellement et que tu sembles vouloir aller découvrir, visiblement. Oui, j'ai vécu ce genre de déphasage à plusieurs reprises avec Julie ma femme et soumise. Nous en avons parlé des heures et, finalement nous sommes toujours ensemble (sourires) mais nous avons réorienté notre couple pour pouvoir accueillir quelqu'un qui puisse satisfaire mon besoin de posséder de manière totale et absolue. Si tu tiens à ton Dominant, je suppose qu'il est important que vous échangiez sur vos différences d'orientations éventuelles et si vous êtes solides, je suppose que vous trouverez des solutions, sinon par expérience je ne donne pas cher de votre relation quand je te lis ce que tu écris. sourires... ML
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Bonjour Phil et bienvenue
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Merci Antone d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
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Bonjour Neko, bienvenue ou plutôt re bienvenue :-) Trop loin pour toi sans doute et puis pas sûr que nous ayons toutes les autres affinités présentes mais si tu es de passage par chez nous avec ton futur Maitre nous pourrions découvrir ensemble ma collection de singles tails. Tu es la bienvenue aussi sans collier ... rires... au plaisir d'échanger sur cette passion commune ;-) ML
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Bonjour à tous, Voilà un moment que je suis inscrit ici et je viens juste de m’apercevoir qu’il y a un topic de présentation donc je sacrifie à la tradition de la présentation :-) Je me prénomme Luis. Je n’ai pas arrêté de boire ni de fumer la semaine dernière, mais j’ai une libido dominante, dirons-nous, depuis environ 35 ans. Comme le temps passe ! :-) Je viens d’une époque où l’on publiait dans les journaux gratuits des petites annonces du genre « Mr sev. et aut. Ch F très complémentaire » afin de tenter d’échapper à la censure de ces journaux où l’on trouvait plutôt des annonces du style « Mr bcbg ch dame cultivée pour jardin secret », il faut dire que ces dernières passaient plus aisément en parution. Ah l’attente en poste restante pendant des semaines ! Avec parfois la bonne surprise de recevoir une ou plusieurs lettres dans lesquelles on découvrait les écritures manuscrites de l’aspirante à votre joug ou parfois celle de quelqu’un qui n’avait rien compris à votre annonce mais qui y répondait quand même... c’était parfois très drôle. Puis vint l’épopée du minitel et de certains sites encore aujourd’hui présents sur internet, outil aussi merveilleux que ruineux, qui mettait à portée de message de quelques dizaines de caractères un nombre de gens conséquents avides de rompre leur isolement BDSM. Il y avait beaucoup moins de fakes et de gens se contentant d’échanges épistolaires à cette époque, car au prix de la minute de connexion cela faisait cher le fantasme virtuel. Mais cela a amené aussi une espèce de réduction et d’immédiateté dans l’approche que l’on retrouve aujourd’hui sur Internet de manière exacerbée et où l’on juge aujourd’hui en moins de 15 à 20 secondes en moyenne de la pertinence d’un contact à la lecture de quelques lignes de profils, d’un post ou d’un message sans réellement aller au fond et un minimum à la rencontre de l’autre. Bref, tout au long de ces années passées et avant même que l’on parle de milieu BDSM en France, j’ai fréquenté quelques femmes, c’est un euphémisme, beaucoup plus rarement quelques hommes, penchants « naturels » hétérosexuels aidant, qui m’ont accordé leur confiance. J’en ai épousé deux et Julie partage ma vie aujourd’hui depuis 7 années en tant que soumise et épouse. Ensemble nous avons mené un projet de gite BDSM en grande aquitaine où nous passons beaucoup de notre temps aujourd’hui, mon employeur parisien étant suffisamment compréhensif pour me permettre de travailler très souvent à distance. Internet a bien des avantages finalement. Pour parler de moi un peu plus intimement, j’ai sans doute, avec le recul, commis beaucoup d’erreur dans la manière dont j’ai abordé la domination. J’ai été très longtemps et essentiellement focalisé sur les actes et les pratiques, ce qui certes m’a permis de maitriser techniquement à peu près tout ce qui se fait dans le BDSM, mais qui ne m’a fait entrevoir finalement assez tard ce qui fait l’essence même de ce type de relations. Heu... Je parle d’une vraie relation DS profonde et investie, hein ! et pas de pan pan cul cul, sodomie puis coupe de champagne, ou tout autre set de pratiques pouvant être exécuté dans l’ordre que l’on souhaite. Ce qui soit dit en passant, je ne dénigre pas, à chacun ses plaisirs, ses désirs ou ses contraintes de vie. Non, je parle du gain pas à pas, rencontre après rencontre, de cette confiance « aveugle », qui vous fait obtenir l’obéissance du même nom, et qui amène à ce que d’aucuns appellent le « lâcher prise ultime ». Au ce stade, je parle du transfert de l’autorité qui responsabilise complètement le Maître et à l’inverse permet à celle qui se soumet de s’abandonner totalement, et non pas juste quelques minutes ou quelques heures le temps d’une séance ou d’un acte qui prends place dans une temporalité finalement très éphémère dans la globalité de la relation, mais de manière beaucoup plus rémanente et persistante. De la séance BDSM comme une composante de la libido vers l’art de vivre BDSM avec une entièreté évidente, la porte s’est donc entrouverte il y a quelques années. Après de longues discussions avec Julie, nous avons décidé de ne pas entrer dans un mode dit 24*7 ni dans un mode très ritualisé ou protocolaire d’abord parce qu’à l’usage c’est totalement incompatible avec le mode de vie que nous nous sommes choisis et avons bâtis avec le temps, et qu’in fine nous préférons préserver la relation telle qu’elle est aujourd’hui. Nous nous sommes souvent demandé d’ailleurs si nous étions un couple BDSM avec une composante vanille ou un couple vanille avec une composante (forte) BDSM, le débat n’est toujours pas tranché. Sourires.... C’est aussi la raison essentielle pour laquelle nous avons ouvert, assez récemment, nos horizons afin d’accueillir une femme qui aurait envie de tenter de vivre ce type d’expérience et d’être guidée vers une soumission extrême (et je ne parle pas forcément de SM extrême ici) et vers le transfert de pouvoir amenant à l’appartenance totale. Et hop ! voilà un peu de moi et de mon parcours :-) Au plaisir d’échanger, c’est toujours un plaisir en fonction de mes disponibilités. ML
legeretedeletre
Merci Elle.a de rappeler ce qui relève du bon sens et c'est très bien de rappeler, enseigner ces points. Avec toutefois quelques bémols, en ce qui concerne la première approche notamment sur les sites et autres forums (avant la première rencontre physique qui devrait bien sûr avoir lieu toujours en lieu public et neutre). Je fournis mon téléphone dès les premiers contacts, non pas tant pour vérifier qu'il s'agit bien d'une femme mais plutôt pour m'assurer du sérieux de mon interlocutrice / interlocuteur. Il y a des gens qui s'inventent des mondes et qui se nourrissent de fantasmes et de virtualité sans jamais avoir l’intention de passer à l'acte à aucun moment. C'est sans doutes la seule manière de vivre ce dont ils rêvent et je respecte sans problème. Le soucis c'est que la plupart n'annonce pas la couleur dès le début, entretenant même la virtualité jusqu'à la limite du possible. j'ai eu droit à des accidents de voiture de dernière minute, des amputations (si! si!) , des mères ou des pères décédés, des enfants à l’hôpital qui justifiaient les appels impossibles ou différés indéfiniment, et ce même si vous vous apprêtez à traverser la France pour rencontrer cette perle rare. Le téléphone n'est pas une sécurité absolu, j'ai même eu droit à une dame un jour (il y a longtemps) qui m'avait téléguidée jusqu'au lieu de rendez vous après m'avoir fait traversé une grande partie de la région parisienne et qui a coupé brutalement la communication, ne répondant plus jamais après que je sois arrivé sur le lieu de rendez vous, où bien sûr elle n'était absolument pas présente. J'espère qu'elle a eu un orgasme puissant dans son délire... :-) Et puis les hommes qui se font passer pour des femmes, les femmes qui se font passer pour des couples... etc... etc... Quand vous proposez une relation réelle et sérieuse et qu'en face tout en montrant un intérêt manifeste, vous vous retrouvez néanmoins avec des heures et des heures, des jours et des jours voire des semaines d'échanges épistolaires pour finalement s’apercevoir que celle d'en face n'avait jamais eu l'intention de vous rencontrer en IRL, Ben oui ! C'est chronophage, décourageant et je conçois que certaines puisse se sentir pressées parfois par moi ou d'autres dominant(e)s ayant vécu les même affres et ils sont, je pense très nombreux. Donc depuis que j'ai adopté la méthode, je gagne un temps fou pour éliminer les fakes, fantasmeurs(es) de tout poil, et cela déménage ! J'ai du avoir depuis le mois de septembre dernier environ un centaine de contacts nouveaux avec un intérêt visiblement partagé et au moins quelques échanges tchat ou mails préalables pour chacun d'entre eux et..... il n'y a eu que deux appels. Ces relations n'ont pas eu lieu car il y avait tout un tas de raisons qui ont fait ensuite que nous n'avons pas avec ces personnes continué la démarche, surtout lié au fait que la relation proposée ne collait pas avec ce que c'est personnes souhaitaient vivre in fine. 1 à 2% d'appel, avec déjà un peu de temps consacré en amont à chaque contact, c'est déjà TRES chronophage et c'est un ratio assez constant depuis quelques années où je pratique le "appelle moi ici xxxxxxxxxx". Cela m'a permit aussi de faire quelques très belles et rares rencontres aussi, bien sûr. Donc oui, Un dominant peut sembler pressé d'avoir un contact vocal mais n'est ce pas, in fine, la meilleure façon de ressentir l'autre avec la voix et les mots, de parcourir efficacement et rapidement les affinités principales? En même temps, comment puis je concevoir à un moment ou un autre, qu'une femme ou homme puisse se sentir motivé(e) pour s'agenouiller face à moi et ne soit même pas foutu d'avoir une conversation téléphonique préalable? CQFD Evidemment donc, je rejoins assez Epicure dans son post de juillet 2017... Mais s'il a 1 appel sur 10 il va falloir qu'il me dise comment il fait, pfuiiitttt 1sur 10 c'est une Jolie performance.... :-)
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