Déplacer pour recadrer votre photo

Derek

Homme Dominateur. Vit à Lyon, Rhône-Alpes, France. 37 ans.
Derek
C'est que l'ordre ne devait pas être donné. En théorie, ces moments là sont le fait d'une disponibilité. Ne pas cerner cette disponibilité est un problème. La théorie veut 100 % de disponibilité dans ce cas mais tout existe. Les impératifs, l'envie etc. MAIS il arrive a tout le monde de ne pas voir les signaux. Ca dépend aussi du degré de... chose imposée consenties (bizarre dit comme ça : p) Le H24 7/7 dépend beaucoup du cadre initial. A titre perso, je ne vois pas l'intérêt si c'est pour être autonome et avoir de la vie quotidienne comme tout le monde. Autour faire des "séances" délimité temporellement dans lesquelles les gens seront disponibles et qui arrangent tout le monde dans la segmentation mentale. Le H24 est très particulier et ne se marie pas avec tout et tout le monde. Cela appelle le contrôle total donc sous entendu que chaque seconde la soumise serait "prête à" Mais si c'est joli dans la forme, dans la pratique ça peut heurter la vie quotidienne. Donc redéfinissez votre cadre et/ou ne surinterprétez pas ce que vous avez mal fait. Elle sera plus d'humeur un autre jour. La vie, y'a des hauts et des bas. Peu de choses doivent entraîner une inquiétude totale. Autant resté zen en toute circonstance malgré un refus. + ne vous sentez jamais coupable d'une chose que vous avez le droit de faire, de proposer.
Derek
Idem que pour une séparation classique de longue durée. Le respect voudrait un dîner pour clôturer tout ça. Y expliquer calmement et en détente le pourquoi du comment, sans agressivité. L'idéal étant que ça fasse comme un dernier after-care.   Le pire étant d'être jeté comme une merde sans aucune explication voire avec de l'agressivité si on ose demander ce qu'il en est.   Et un conseil, quitte à sans doute être contre-courant : en cas de doute, bien se retenir. Puisque toute communication ratée est pire qu'une non communication en général. Ca doit être net, clair, précis, doux et intelligent.
Soyez la première personne à aimer.
Derek
a répondu à la discussion "Les pieds 👣" de Languebleue.
Si j'essaye de convoquer mon côté vanille en psychologisant l'approche, je dirai que le pied est un appendice qui est au bout de ce qui mène au sexe féminin, lorsque la fille est renversée. De dos ou de face d'ailleurs. Donc il s'agirait de la version préliminaire civilisée d'une remontée progressive de la zone évitée (Ce qui conforte la version freudienne) mais aussi recherchée (ce qui la contredit), comme un prédateur sinueux et à mon avis cérébral (Pour créer une sorte de storytelling du corps inconscient en quelque sorte). Si tu as les pieds, tu accèdes aux jambes et tu contrôle l'écartement. Comme je l'ai dit avant, une femme en dessous de nous, peut avoir le dessous des pieds relevés (les jambes relevées). Je dirai donc que ça vient de là. Sans doute symbolique en fait. Le dessous du pied est très intime d'un certain point de vue, et inclue des terminaisons très sensibles, très lié au reste du corps. Le pied peut aussi faire office de résistance, ce qui convoque la soumise rebelle qui bloque l'accès, avec son pied, ce qui challenge le dominant. Très lié à la jambe finalement, et là encore à son écartement (par la même occasion). Donc le pied c'est un peu la fameuse dernière résistance somatique, aussi, à certaines occasions. Ce qui fait que dans le cadre de la domination, ce mécanisme doit être bien compris et savamment utilisé, car très conoté. J'imagine que dans la version soumis-dominatrice, le pied est écrasant cette fois. Dans ce cas, cela n'a plus vertu d'ouverture au plat principale, mais signifie le blocage total, et que le soumis n'aura que ça, qu'il ne se contente que de ça. Bref, basé sur l'humiliation. Souvent d'ailleurs associé au sol, le plus bas possible, là ou on marche, etc.
Derek
a répondu à la discussion "Les pieds 👣" de Languebleue.
Idem j'aime bien les pieds, mais par prudence je n'aborde jamais le sujet, de peur d'être classifié soumis ou switch ou autre. Le cadre Dominant mentalement ne fait aucun doute chez moi. Je vis cette zone idem que Tindalos, comme érogène et je ne crois pas avoir besoin d'être "au pied de" pour kiffer. Difficile de définir la notion de fétiche car je n'aime pas non plus y rester 15 ans. En revanche oui, je n'aime pas descendre particulièrement à la cave. Je suis plus 1 visage, 2 sein et 3 fesses que chatte, les pieds en quatrième je dirais. Je l'ai toujours vu comme au contraire, le revers d'une femme, donc comme quand elle a les 4 fers en l'air. La partie charnue. J'ai longtemps réfléchi à comment l'intégrer à de la domination de façon maîtrisée et stylée. Mais ça reste un acte de décompression et donc de lâché prise, donc les comptes sont pas bon, Kevin. Ca match mal avec ma proposition. Un jour j'y parviendrais ( : p )
Soyez la première personne à aimer.
Derek
Objectivement, c'est la marge de la marge. Une barrière de pas mal de monde. Mais bon tous les gens sur ce site sont les moins bien placés pour émettre une limite à l'acceptable en vrai. Perso j'ai jamais essayé et n'essayerais jamais. Ce qui me gène c'est est-ce qu'on revient facilement de ça, une fois le plaisir passé ?  Sinon ça ressemble à de l'humiliation pure avec un gros regret de l'acheteur en lieu et base. Et puis en tant que Dom chier sur quelqu'un me branche moyen : p
Soyez la première personne à aimer.
Cliquez sur l'image pour rejoindre le salon
Derek
Si vous pensez qu'il n'y a que les hommes qui ne lisent pas les profils vous vous trompez : p Je constate régulièrement que c'est le cas aussi des femmes, sans doute pas dans les mêmes proportions, mais je dirais facilement 40 % quand même. Ca reste énorme et prouve que plus personne ne prend le temps de se renseigner.
Derek
a répondu à la discussion "Mise en garde" de La Miss.
Oui visiblement le schéma est le suivant : il a fait le gentil au début, puis a pensé faire un braquage en imposant sa venue. Etant compromis dans ses plans, il en a été frustré et s'est déchargé. Au bout de 5 jours je suis quand même surpris qu'il ait parlé de fonder une famille, c'était osé. Mais une règle est claire, tant qu'on a pas vu les gens en vrai, il faut faire ultra gaffe sur l'engagement. Cela dit je rajoute quand même une petite chose pour le "défendre", attention aux signaux contradictoires, beaucoup de gens sont fragiles à cette étape là de la relation naissante. Les mecs ça va se manifester par de la frustration d'être mené en bateau et chez les femmes, ergoter par manque de confiance (Souvent à juste titre car pas assez de (confort/confiance). Résultat ? Les deux comportements se répondent si tout a été précipité par l'un ou l'autre (ici lui). Un daddy inapte à la patience je pense que vous n'avez rien manqué. Gérer la frustration, son égo est le premier pilier du fait d'être un homme qui se respecte, pour rester "léger" en toute circonstance.
Derek
Damien2d > Je pense qu'une présentation franche sur un site traditionnel va faire fuir 99% des femmes (et c'est bien).  Et il faudra encore correspondre aux 1% qui restent. Pas sur qu'avancer masqué dans premier temps avant d'avancer sur terrain de l'intimité soit une super stratégie C'est pas avancer masquer, c'est amener quelqu'un dans cet univers comme un supplément à cette relation. Je l'ai déjà fait, je peux affirmer qu'en terme de % de chance, c'est plus safe que passer par un site dédié. Tout simplement car le pool est plus important. Maintenant, c'est clair qu'il faut savoir y faire. Etre naturel, franc et simple quand on en parle. En expliquer le contour, faire un petit test pour voir si la personne y est receptive. Perso, considérer que le BDSM est un met de niche est typiquement quelque chose avec lequel je ne suis pas d'accord. L'accès oui est de niche, par émotionnellement, physiquement, je pense que ça peut convenir à beaucoup plus de personnes qu'on ne le croit. Car c'est libératoire en bien des sens. Il faut juste commencer doucement. Mais j'ai envie de dire comme dans de nombreux cas sur ce site. Ne serait-ce que par le fait qu'on ne sait jamais exactement ce qu'est l'expérience réelle de la personne d'en face (Le blabla peut faire dire beaucoup de choses fausses à une personnes, attentes, désirs, prudence... etc). La communication a cette limite que la personne peut vouloir des choses qu'elle ignore et vice-versa. Donc par défaut toujours commencer soft est une bonne manière d'aborder le sujet, quitte à monter d'un cran assez vite.  
Soyez la première personne à aimer.
Derek
Harley a bien résumé, votre profil me paraît meilleur que 90 % de ce qu'on voit sur le site, malheureusement, le problème n'est pas de nature qualitative mais systémique. Une attente Versus un nombre réel de possibilité. Qui sera ridiculement faible pour les hommes sur ce site, quel que soit la qualité de leur profil. Je dirais qu'il faut voir ce site comme un moyen supplémentaire de contacter des gens partageant une activité commune. Mais dès lors qu'on se met dans une optique de résultat, cela devient compliqué, car créera de la frustration, si c'est le seul oeuf dans le seul panier. Et même en cas de contact, on échappe pas aux faux profils, aux gens qui sont là pour l'argent, aux filles qui sont là pour gonfler leur égo mais jamais rien donner de plus. Le mieux, en cas de recherche active, c'est d'aller sur des sites plus traditionnels et déblayer le terrain une fois avec la personne pour l'emmener dans cet univers. OU mieux encore, aller à des munchs, mais ce qui impliques des déplacements physiques (à voir, en fonction du lieu d'habitat).
Derek
  > Lady_M_SM   Déformation de mes propos donc pas très intéressant de poursuivre. Je n'ai jamais dit que c'était mieux avant. J'ai dit que c'est pire aujourd'hui. Sinon il va falloir citer des passages ou j'ai dire que c'était mieux ? J'ai dit en gros qu'au moins il y avait un contact peau à peau, pas que la prostitution est la panacée ultime. Et genre, comparer le niveau de voyeurisme possible d'un petit clic internet au voyeurisme du passé avec ou sans grand philosophe pour étayer, c'est un peu une blague. L'écoulement du désir est juste pas du tout le même. Sinon, il y avait 0 mépris dans mes mots, vous avez du mal comprendre. Le mépris pour le moins, est plutôt de votre côté puisque vous commencez à parler du posteur plus que du fond. Je n'invente pas, c'est vérifiable. Je poste > votre réponse > réponse sur le fond de ma part > vous êtes méprisant. (Donc le mépris du posteur vous revient) Pour rappel, vous me "branchez" originellement en me parlant de MIM et only fan comme l'équivalent de la prostitution, je vous ai juste dit que ça n'avait rien à voir. C'est tarifié oui, mais le niveau de facilité à la production n'est pas du tout le même. Ca n'engage pas du tout les mêmes choses et, à mon sens, beaucoup plus délétère pour la société en général. Car ce sont des hommes qui vont avoir du mal à aller séduire dans le vrai monde après ça. Une sorte de misère sexuelle x10. Donc c'est pire, ça oui, ça reste mon avis et y'a rien de méprisant là-dedans : ).
Soyez la première personne à aimer.
Derek
Bonjour, Derek, je souhaitais simplement rebondir sur ceci en pointant que l'on dit bien de la prostitution que c'est "le plus vieux métier du monde", je ne vois en MIM et only fan qu'une évolution de la façon dont tarif et charmes peuvent être lié. Nous évoluons, nos méthodes aussi, mais le coeur du sujet n'a pas changé. Il y a toujours eus des propositions d'argent contre service. Quel que soit le service. Ne voyez aucune animosité dans mon commentaire je vous prie, j'avais l'impression que c'était quelque chose qui vous ennuyait, vous chagrinait peut être, et je souhaitais pointer du doigt que ce n'est pas une dégénérescence quelconque du monde dans lequel nous vivons. Simplement son évolution.   La grosse différence avec la prostitution d'avant, c'est que tu bougeais jusqu'à un bordel, et tu avais des contacts avec tes pairs. Aujourd'hui payer pour des photos de pied ou des verre d'eau de bain me paraît marquer un déficit, une déliquescence inquiétante, même avec "le plus vieux métier du monde". Je parle même pas de l'illusion de certains lives, où une illusion de complicité est maintenue alors que les gens en questions ne verront jamais une once de la femme en question. Après si les gens veulent payer grand bien leur fasse, ce n'est pas à moi de juger, juste dire que cette tendance est mauvaise pour les liens sensuels car tu n'es même plus au contact d'une vraie personne.
Soyez la première personne à aimer.
Derek
Après perso je prends ça comme un bon entraînement. Un personne équilibrée doit pouvoir comprendre, deviner la raison d'un refus. Et la vie ne donne pas toujours toutes les explications. Quand c'est possible mieux vaut le faire, mais sinon c'est un bon exercice de résistance au non en général.
Derek
a répondu à la discussion "Bdsm réussi ?" de mael.
A titre perso, je considère que c'est quand la pulsion a trouvé sa bonne voie de sortie. Qu'il soit sexuel, lié à la domination, au programmé prévu, au programme imprévu, à la qualité de l'aftercare. Sans doute quand les deux trouvent une forme plus ou moins profonde de béatitude. Donc l'inverse de ça c'est : quand le verbal sort du jeu, quand tout paraît pénible, laborieux dans le cadre d'une incompréhension persistante. Les péripéties peuvent/doivent exister, mais que si elles sont le fruit ou l'origine d'un pay off. Dit plus simplement, quand rien n'est à signaler de négatif en aftercare, si ce n'est deux corps en fusion qui se reposent (éventuellement : p) Toutefois, je précise, ce n'est pas une raison pour que la soumise n'interroge jamais tout ça "de peur de" car sinon le problème peut revenir. Normalement, tout doit être connu au préalable, mais il peut toujours y avoir des réajustements. Des choses qui étaient peu encourageantes et que la soumise aime, ou au contraire des choses qu'elle voulait beaucoup, mais n'y trouve pas son compte (Parfois le fantasme dépasse la réalité). Mais a priori, si les deux sont connectés, y'a rarement de gros trous dans la raquette. Je suis persuadé qu'une soumise va parfois aimer plus certaines choses que d'autres, mais que l'ensemble prévaut sur le reste. Sauf si c'est trop, auquel cas le mot de sécurité me paraît être la bonne solution. De fait, comme si le Oui tacite, si je ne vois pas de négatif, c'est positif pour ma part. De toute façon, le corps parle tout seul pour qui est un peu observateur.
Derek
a répondu à la discussion "La gynarchie" de maitreLouis.
Un système gynarchique c'est le pouvoir aux femmes, exercé par des femmes. Si tu n'entends pas le terme opposé, c'est qu'on peut considérer à tord ou à raison, que pendant longtemps, dans la culture occidentale, la norme a été le bon père de famille qui donc, avait tendance à donner du pouvoir des choix extérieurs aux hommes. La femme elle, était la maitresse de l'intérieur (et je n'amoindri en rien cette appelation, ça fait pas mal de taf déjà. Seul l'hiver, le couple s'occupait comme il pouvait de l'intérieur, à deux). On rentrera pas dans un débat très actuel pour savoir si c'est bon ou non. Chaque époque ses contraintes, sa répartition des rôles, et ses challenge. Pour le reste, pour les questions de BDSM ou de sexualité en général, je dirais que ce qui se démarque est nommé. Ce qui ne l'est pas, n'a pas de nom propre, c'est la norme.  Ayant dit ça, je dirais qu'en BDSM y'a un côté spécifique à tout ça. C'est jouer sur la supériorité intrinsèque des femmes ou en tout cas le présenter comme telle, pour faire d'elle des déesse et les soumis des hommes, inférieur par nature. Donc selon moi, y'a une dimension d'humiliation possible si l'homme en question est justement dans un système à l'ancienne et qu'il jouit du contre-pied, du renversement de pouvoir. Bref qu'il prend du plaisir à être humilié de façon cérébral sur ce point. C'est faisable pour les soumises également, mais l'angle d'attaque devra être légèrement différent car tout ne marche pas en miroir dans cette histoire, déjà par le fait de ce qu'on attends des hommes et des femmes dans cette société...
Derek
J'ai déjà eu ce cas. Personnellement l'exclusivité a pour moi une valeur d'échange. Je ne vois qu'une soumise, donc j'utilise cette médiation pour interdire évidemment de renouer avec d'anciennes relations. De près ou de loin. Je sais comment fonctionne les hommes (peut-être différent pour une dom F) J'ai eu un cas plus subtile, des photos sur un blog fait par une précédente connaissance. J'ai laissé courrir car je considère qu'il y avait un oeuvre ancienne, et je déteste qu'on détruise les formes d'art. Surtout qu'il n'y avait aucune présence visuelle du précédent Dom. En revanche, j'ai demandé l'ouverture d'un nouveau blog si volonté de perdurer cette habitude. Tout en sachant que j'ai une règle simple, si j'y mets mon nez, ce sera toujours dans une dimension de discrétion sur la place publique, car j'ai une sainte horreur des démonstrations. Si je n'y mets pas mon nez, ça doit rester très soft, du niveau vanille pour ce genre de choses : photo dites de charmes maximum et aucune présence de ma personne.   Donc le "rab" de ce que je demande quand cela dépasse le cadre de la relation, est généralement emprunt d'une forme de mirroir. L'effort demandé est fait dans les deux sens, à des niveaux différents bien entendu. Car Dom n'est pas Soum. Imaginant que tout est dans la nature, cela depend de toute façon de ce que le soumis ou la soumise permettent à leur Dom. La limite sera donc là à la fin des fins. Enfin, pour la question des contacts, en profondeur. J'ai un reliquat fort de ce côté vanille très exclusif. Donc je n'aime pas quand le contact est gardé quand il se situe à un niveau autre qu'amical quand il n'était précédemment pas ... qu'amical. Là encore ça dépend du caractère du Dom. Certains vont te dire que ça dépeint de la prédation nette et précise, un dom sachant ce qu'il veut et ne veut pas, d'autre "un manque de confiance". Moi je n'ai aucun problème pour ne pas autoriser ces contacts. Je vois chaque relation comme une table rase, ou une table la plus rase possible à défaut. Donc ce n'est pas pour autoriser tout ce qui fut (tant qu'à faire...) Je n'ai jamais eu aucun problème avec le passé même chargé d'une soumise, mais à la condition d'une capacité de faire le ménage. Je ne crois pas à la réparation d'une relation passé. On en avait déjà parlé ici et ça avait créé une petite polémique : p Mais je le pense toujours. Si c'est trop avancé, c'est le travail d'un psy, si c'est peu avancé, ça disparaît vite. Dans tous les cas, faire table rase est un essentiel pour se sentir léger et disponible pour une suite à sa propre vie. Je suis méfiant de nature et quand on ne connaît pas les gens et leur influence passée... Je précise, je pense qu'il est de santé publique que la soumise garde tout son concert d'amitiés, c'est bon pour le moral et son développement. Donc ne pas confondre les deux. L'équivalent c'est quand même avoir un ex qui rôde dans les parages. Et personne ne serait trop chaud pour ça. Ceci posé, de toute façon, quelqu'un qui veut faire de la M fera de la M. Le Dom pose un cadre, s'il est trahit, aucun retour possible. Je ne crois pas aux "accidents". C'est souvent inconsciemment un mauvais signe et le temps de passer à autre chose.   Je suis dure bien sûr, mais au moins y'a pas de lézard, tout est clair dès le départ, et je m'astreins la même dureté.
Derek
Discussion intéressante. Pour moi l'humiliation est mentale et c'est un mets de circonstance rollistique. C'est donc quelque chose de vrai puisque réellement et pleinement ressenti, mais qui comme l'a dit Sylvie, ne touche pas au plus profond. Cela ne doit pas blesser la personne. C'est un gros décapage de l'égo, de trash talk, qui doit proccurer un immense plaisir. Tout est possible tant que l'écart entre l'acte en réalité et le "après" reste acceptable pour les deux. Aftercare exclus. Cela doit être acceptable même tout juste après l'activité. Sinon la pente est trop dure à remonter, malgré l'aftercare. Donc la limite c'est "tanguer un peu" et que l'aftercare vienne reconsolider tout ça. C'est le bon équilibrage. Cela ne doit pas cacher la montée en puissance de choses de plus en plus trash, qui masquerait aussi finalement un non sens relationnel, ou les deux finiraient par se perdre. Mais c'est aussi complexe par le fait que des gens au DEBUT d'une relation ne feront pas les mêmes choses que plus tard. Cela peut monter en puissance par la confiance. Moi mon repère c'est que la soumise continue de prendre du plaisir avec même les choses simples du début. Si c'est le cas, alors il n'y a pas d'exagération du procédé. Donc l'humiliation doit être utilisée quand elle mets les personnes dans certains états de jouissance absolue, ou comme teasing de malmenage. Tout en sachant que derrière, le dom n'est pas vraiment quelqu'un qui est là pour faire mal, mais pour faire du bien, MAIS qui va prendre un chemin détourné pour créer une  zone de soumission psychologique et/ou sexuelle. C'est tordu mais exactement ce qui doit se produire. Donc quand je dis que c'est mental, c'est que ça doit avoir du sens. Sens intellectuellement et sensoriellement. Et pour ça, cela nécessite une grande connaissance de l'autre car il faut viser juste. Y'a des doms inaptes à produire ce genre de résultats. Le truc de l'os de Tindalos est un bon exemple. On flirt le pet play, qui pour le coup, ne m'a jamais trop attiré. Si j'animalise une soumise, l'intention doit être bien plus grande que ça, dans le sens profond que je lui donne. Faut être un peu vicelard, sadique, essentiellement dans les mots, dans le ton qui est pris... Tout comme il y a divers niveaux selon moi. Qui part du fait d'être malmener. Pour cerains c'est déjà de l'humiliation, jusqu'à des choses plus avancées. Et ce n'est pas qu'un déroulé, la soumise doit y adjoindre sa propre participation, son propre actage de cette humiliation, c'est encore plus fort ainsi. Y'a des gens pour qui s'est innés et qui plie instantanément tout homme ou femme soumise. Moi je sais que faire progresser quelqu'un dans l'humiliation me proccure un énorme plaisir. Mais je suis incapable d'en prendre si la soumise ne me suis pas totalement. Ce qui m'amène souvent à délayer ce programme à plus tard, en restant soft sur ce point, pendant assez longtemps. Mais j'avoue que mon péché mignon est les fille au gros égo qui mouille rien qu'à cette simple idée qu'on les "resitue"... : p
Derek
a répondu à la discussion "La place du vouvoiement" de QueenOfHell.
Perso, j'ai déjà été témoin de choses incroyables. En l'occurence, des gens de culture totalement différente, qui comprennent instinctivement ce language et en accepte l'augure. Ce qui me fait quand même dire que peu importe le dispositif, si un lien est là, l'effort, dans un sens ou dans un autre sera fait. L'inverse doit exister : beaucoup de Soumises se trouvent des excuses à ne pas y aller, en trouvant un détail mineur prétexte.
Derek
a répondu à la discussion "La place du vouvoiement" de QueenOfHell.
Sujet plus intéressant qu'il n'y paraît.  Je suis globalement adepte du vouvoiement. Mais par contre il faut savoir pourquoi c'est demandé, pourquoi c'est fait. Et selon moi, ça ne doit être qu'une préférence personnelle et négociable. Tout en rappelant que : - Normalement l'échange de pouvoir ne commence pas dans le cadre d'une discussion informelle. Il peut y arriver des cas où la Soumise veut se mettre dans le délire tout de suite. Ca ne me dérange pas, jusqu'à un certain point. - Je considère que le Tu est admissible dans une discussion informelle internet, puisque justement, le cadre n'est pas... formel. Pas de base, pas encore. - Le Vous ça appelle de la distance naturellement. Il faut donc s'interroger sur pourquoi on veut mettre cette distance. Si c'est pour créer de la chaleur c'est rapé, si c'est pour faire "genre", aussi. Je crois que le Vous est une mise à distance qui fait partie d'une longue liste de petits éléments pouvant étayer, habiller une relation. Ce n'est pas un repose-pied complet. - Certaines soumises appelle plus facilement cette notion car l'incarne le mieux. Si y'a un côté bons potes comme ça arrive de temps en temps avant et après, ça le fait moins puisque soit les premières interractions se sont fait ainsi (Vanille puis Chocolat) soit ce côté bon pote à prit le dessus rendant désuet l'usage du vous. Et tout ça doit en plus être pondéré par la Culture d'une Soumise (Certaines couches sociales et/ou pays d'origine le tolereront mieux), ainsi que sa capacité à jouer des rôles au sens le plus large du terme. Y'a des gens pour qui un simple vous est déjà ne plus être eux-même tant ils sont rigides psychologiquement ou tout simplement qui ont l'impression que ce n'est pas "naturel".
Soyez la première personne à aimer.
Derek
a répondu à la discussion "CNC approche psychologique" de gappap.
Alors perso si c'est juste que ça, ça reste du consentement dans le cadre d'un jeu de rôle. "Faire semblant de" ? Tacitement et réellement consentir, et non consentir en apparence, pour de faux. La notion de "jeu" me semble plus compréhensible par 95 % des êtres humains qui ont connu ça petit pour la plupart. Consentement non consenti... dans le monde dans lequel nous vivons en 2023, on est à peu prêt sûr de ce se faire clouer sur place avant d'être arrivé à l'expliquer : p
Derek
a répondu à la discussion "CNC approche psychologique" de gappap.
Etant donné l'époque, le consentement a quelque chose d'équivoque dans comment on se le réprésente mentalement. Car il ne correspond pas à quelque chose de verbal dans 95 % des cas sur cette planète. Ce qu'on appelle le consentement est en réalité la tactite acceptation d'un mode d'échange d'énergie, sexuelle ou non. Et les indices pour détecter cette acceptation ne vienne pas d'un "consentement" (ce qui appelle presque l'idée qu'il faut un oui pour que ça se produise) d'une personne mais des indices qui amènent à l'évolution de cette relation. (Signaux positifs ET (très important) Absence de non) Donc on accepte le terme why not, mais souvent il sera détourné pour en faire quelque chose qu'il n'est pas et qui fait tendre les relations sur des acceptations explicites (oui / non). Pour le cas de la domination maintenant, la chance en quelque sorte c'est de pouvoir codifier ça en quelque sorte dans un contrat ou même oralement. Ca se défend totalement pour le coup, puisque c'est un rapport au monde inhabituel. Donc à titre perso, je trouve qu'un ''consentement non consenti' ne veut rien dire en réalité. Soit quelque chose est consenti oralement et tacitement et dans ce cas elle est forcément consentie.Soit tacitement elle est consentie, mais explicitement non pour diverses raisons, auquel cas on rentre dans le jeu de rôle. Mais ça reste toujours consenti. Idem pour les dérivés type : je t'hypno pour induire que je vais te "violer" = la fille d'accord pour être hypno sait à quelle sauce elle va être mangée = consenti. Elle demande qu'on la viole (ironique en soi) = consenti. C'est donc assez simple. Le troisième cas, plus trouble, c'est deux personnes incapable de détecter les signaux et qui se trompent sur l'évolution de la relation, que ça soit forcé (violeur) ou involontaire (La fille ne veut pas mais ne dit rien pour x raisons)
Soyez la première personne à aimer.
Voir les publications suivantes