par Laidy Sienne
le 04/01/23
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Au pays de l’émotion....
Il y a des gens, du soleil, des canapés, de la perversion, des vraies âmes.
On part, on revient, toujours accompagné d'un sourire, pour partir comme pour revenir.
Il y a aussi des rires, des larmes de joie, de révélation, d'éblouissement.
Bruit des fouets, des cris et des pleurs, musique hypnotique aux lumières des bougies, transe et danse accompagnant deux femmes sublimes.
Spectacle unique, magique, un privilège.
Odeurs des bougies, du feu, et des pins.
Saveurs......
Au pays de l'émotion, je suis allée.
Et je ne veux pas rentrer chez moi......
Texte personnel, ne pas diffuser.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
soumission, domination
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Merci @Motard33.
Linsoumise Parloire Ølivia de Saxe @Salomé Lady Spencer Padrona OSCURA ..... un petit retour sur ce week-end superbe. Merci à @Padrona et Linsoumise d'avoir déclenché la mise en lumière sur ce texte.
Je connais cette photo ^^
Bizz
PS: le pot descend à vu d’œil ! Je répète : le pot descend a vu d’œil!
Suggestion
Par : Berny
Bonjour Lady Gabrielle .
Saint Valentin
Vous m'avez interdit de Vous souhaiter la saint Valentin . Bien ! Mais laissez moi Vous dire mon amour .
Vous m'avez pris , ce fameux matin d'août 2005 et depuis je suis devenu enfin moi même . J'étais au crépuscule d'une vie terne , Vous en avez fait un lever de soleil , un petit matin de juin après une nuit d'orage .
Vous , seule , savez changer l'ouragan que je sais être , que je puis être , en doux alizé .
Vous seule savez , aimez me faire trembler comme un champ de blé sous les brises de juillet .
Vous seule savez manier le Fer et le Cuir comme le Ciel et l'Orage martyrisant La Terre .
Vous seule avez su voir ,dans ce brouillard nébuleux , la lueur qui présage les grands matins du monde .
Vous seule avez transformé mes ténèbres en aurores boréales .
Et , pour que notre ciel flamboie Vous avez Marié , Unis , Epousé , le rouge que Vous êtes au noir que j'étais en ce treize octobre 2012 .
Alors , je ne Vous souhaite pas une bonne saint Valentin mais laissez moi Vous dire que je vous aime .
Mais pour moi ces années de bonheur n'ont pas commencées le jour de notre mariage . En fait , elles ont commencées ce jour d'août 2005 quand Lady Gabrielle me demanda si je voulais être son soumis .
Et , récemment , il m'est venu à l'esprit que mon acceptation est le dernier acte volontaire que j'ai accomplie . Oh , bien sûr il m'est arrivé d'acheter un fer à repassé ou un aspirateur sans autorisation mais pour ce qui est des grandes étapes de notre vie , c'est bien Lady Gabrielle qui tient la barre et moi qui hisse la voile .
Il en est de même pour notre mariage . ELLE aurait voulu que je fasse ma demande en bonne et dû forme . Je crois que j'ai , à peu près , réussi cette demande . Mais , honnêtement ce n'était pas à moi de faire cette demande . C'était à ELLE . C'est moi qui possède le côté féminin dans la psychologie de notre couple . Si Si . . .
Certaines et certains d'entre vous qui nous connaissent se disent que je suis devenu fou de dire des trucs pareils . Mais non . . . Jamais je n'ai réfléchi avec plus de lucidité .
Je pense définitivement qu'ELLE aurait dû me demander en mariage . comme ELLE m'a demandé de devenir son soumis en 2005 .Parce que Je crois que la psychologie de couple traditionnelle , judéo-chrétienne est inversée chez les couple D/S ,sado-maso , BDSM . De cela , je suis quasiment convaincu .
Il faudrait demander à des philosophes BDSM éminemment plus doués que moi en philosophie ce qu'ils en pensent . Toujours est il que ces gars là devront se donner du mal pour me faire admettre une autre théorie .
Mais bon , le sado-masochisme n'étant pas la tasse de thé des philosophes , je me garderais bien d'aller dévaliser la maison LIPTON .
Redeviens sérieux berny : que croyez vous qu'aurait été ma réponse si Lady Gabrielle m'avait fait sa demande en mariage ? Comme je sais que personne ne répondra à cette question , je vais vous dire ce qu'aurait été ma réponse :
Cela aurait été : OUI OUI OUI ! ! ! évidemment .
Se sentir aimer par sa Maîtresse ? C'est mon cas . Tenez pas plus tard que dimanche dernier , j'ai dû réviser mon emploie du temps de la soirée en raison d'un brusque débordement d'amour de la part de Lady Gabrielle .
Dimanche fin d'après midi , nous rentrons d'une sortie raquettes ( il y a beaucoup de neige dans notre région et n'allez pas croire que parce que nous rentrons et sortons , nous habitons la maison des courants d'air ) nous sommes un peu fatigués , je prépare un thé reconstituant accompagné de petit gâteau de la marque ""Lefèvre Utile"" plus connu sous le nom de ""LU"" (et oui on s'instruit toujours en lisant les posts de berny ) . Je pose le plateau avec théière , tasses et biscuit devant Lady Gabrielle , je prends place à ses côtés me réjouissant de regarder "" Question pour un champion "". Quand my Lady me dit "" tu sais de quoi j'ai envie ( alors déjà Elle n'attend pas ma réponse ) d'une soirée BDSM . ""
Heu. . . oui . ah bin non Maîtresse . . . là va y avoir """ Question pour un champion ."""
Mais voyons berny , je ne veux pas te priver de ton émission , tu te met nu , à genoux , ta tête sur mes genoux à moi et tu écoutes .
J'aime beaucoup la formule """ tu sais de quoi j'ai envie """ Comme si Lady me demandait mon avis . ELLE ne me demande pas mon avis Elle me donne un ordre . Et je m'exécute . Cela fait bizarre d' être privé de voir Juju Leperse courant autour de son pupitre ou jetant ses fiches en l'air .
Enfin . . . à défaut de me concentrer sur cette émission je me suis préparé mentalement à ce qui allait suivre , et croyez moi cette préparation fut nécessaire .
Bon alors donc . . . je suis à genoux ,nu devant Lady Gabrielle , j'écoute "" Question pour un champion ""
ne me demandez pas ce qui s'est passé durant l'émission , je n'en ai aucun souvenir .
A la fin de celle ci Maîtresse m'ordonna de rester en position pendant qu'Elle préparait notre soirée .
Sa tenue hérotiquement BDSM revêtue , ses jouets préférés disposés à portée de sa main gantée de cuir , Dame Gabrielle alluma les bougies sans lesquelles , Elle considèrerait que toutes séances bdsm ne seraient pas abouties .
Figé dans la position qu'il m'était interdit de changer je commençait à greloter . j'en faisais part à Lady .
Pour me réchauffer ELLE m'administra , illico , 30 coups de fouet assenés avec une certaine hargne.
Mouvement d'humeur provoqué par le dérangement dans ses préparatifs .
L'impréparation de mon corps ne m'aida certainement pas à supporter la douleur , je me tenais donc coi , attendant calmement le bon vouloir de ma Maîtresse . Cette flagellation expresse avait , cependant , contribué considérablement à rétablir mon confort calorifique .
Quand , enfin , Lady prêta attention à l'objet de son désir , mon corps en l'occurrence , j'étais prêt psychologiquement . ELLE mit des pinces sur mes seins , un bandeau sur mes yeux , m'ordonna la position debout au milieu de la pièce , main derrière le dos . Et c'est dans cette tenue que j'écoutais l'énoncé des griefs que Lady avait à me reprocher depuis notre dernière séance . Naturellement , enfin pour ELLE , chaque grief était ponctué d'un coup de cravache sur une partie différente de mon épiderme .
Est ce que Lady Gabrielle a oublié des griefs ? Il y a de fortes probabilités . Mais , franchement , ce n'est pas important car j'ai ,tellement , été sévèrement châtié que les fautes oubliées et même celles que je n'ai pas commises ont été prises en compte .
"""Tellement châtié""" """Sévèrement """ n'exagérons rien . Je n'ai pas subis ,quoi que ce soit qui
m'aurait mené au point de rupture .
Je ne me souviens pas de la chronologie des actions mais entre deux flagellations à la cravache je reçu une fessée magistrale qui m'oblige à me poser la question suivante : """Comment Lady Gabrielle a t-elle pu me l'administrer sans avoir mal aux mains .""" Pour ce faire ELLE était assise sur mon dos , moi à quatre
pattes . ELLE utilisa mon postérieur comme d'un tamtam . Je ne crois pas que les sons obtenus par ces mains expertes , étaient destinés à envoyer quelque message obscure . Quelles oreilles auraient ils atteint?
Si tant est qu'ils purent dépassés les murs de la maison . Non . . . je crois que la musique des coups de main s'abattant sur mes fesses , depuis longtemps rougies , était destinées à charmer l'ouïe de ma Maîtresse . Tout simplement .
Naguère , Lady Gabrielle m'a avoué aimer le bruit des claquements sur mon corps . Elle possède un fouet vipère terminé par deux mèches de tissu assez longues . Quand ce fouet est utilisé correctement seules les mèches viennent frapper , provoquant un bruit sec et agréable à l'oreille De ma Dame . Moi je dois avoué que ce fouet n'engendre pas des douleurs insupportables ce qui me le fait apprécié . Fait qui n'a pas échappé à la sagacité de Lady car Elle alterne l'utilisation de ce fouet avec celle d'un autre qui est beaucoup plus silencieux et beaucoup plus méchant . Un fouet terminé par une très fine tresse de cuire . Une horreur .
Insupportable mais que je suis bien obligé de supporter . Larmes aux yeux .
Par ce soucis d'alternance , Lady Gabrielle tient à me signifier que si nos séances BDSM sont des parties de plaisir ce ne sont quand même pas des réunions de jardin ( garden-party si vous préférez ) bucoliques .
ELLE tient à ce que soit bien défini , la position de Chacune et chacun de part et d'autre du fouet .
Soyez sans crainte , Lady Gabrielle , je connais parfaitement le bout du fouet avec lequel j'ai le plus d'affinité .
Il convient de terminer le récit de cette soirée . Bien que d'autres aussi intenses émotionnellement ont eues lieu depuis .
Après cette flagellation et cette fessée Lady Gabrielle utilisa quelques bougies non plus pour éclairer le lieu où je subissais ses tortures mais pour les prolonger . Elle fit couler la cire de ces complices momentanés et complaisants sur toute la surface de mon corps . Sachant que la stature de ce corps est imposante , je compatis à la peine qui a été celle de Lady Gabrielle pour accomplir cette tâche .
Cette dernière phrase ne révèle pas la stricte vérité , au regard du sourire qui illumine son visage , je ne pense pas que Lady Gabrielle , trouve la tâche très pénible . Et que dire de ce sourire quand ELLE arrache à grand coups de martinet , la cire collée aux poils de ce corps velu comme celui d'un ours .
Ce supplice est horrible . Cela m'apprendra à désobéir à Lady . Je devais me passer le peigne rasoir pour raccourcir les poils en question . En effet Lady a renoncé à exiger mon épilation. Vous avez déjà vu un ours épilé VOUS ?
Ah que n'ai-je donc pas obéi ? Les poils eurent été plus courts , la cire de bougies eut été moins adhérante donc les coups de martinet moins nombreux .CQFD .
Berny
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Par : Lady Gabrielle
Tragédie . . . grecque bien sur .
Ulysse vivait seul depuis ce funeste jour de décembre 200 . . . . Sa femme était morte d'une longue maladie . Quel euphémisme idiot pour ne pas prononcer le mot cancer . Que l'on meurt d'un cancer ou d'une autre maladie , le résultat est le même . On est mort ! Non? Prévenez moi si ce n'est pas le cas . Je ne voudrais pas mourir complètement idiot .
Sa femme bien aimée . Cinquante ans de vie commune heureuse . Ils s'était connus en 1960 . A la sortie d'un bal de conscrits . Hélène de son petit nom , s'était rendue au bal accompagnée de sa cadette mais elles ne faisaient pas le poids face aux trois malfaisants imbibés de mauvais vin blanc . Leur cerveau d'abrutis leur commandait de ne pas rentrer bredouille . Leur """ rustrerie agraire """leur intimait l'ordre de vider
leur c. . . Ces deux jeunes filles feraient l'affaire .
C'était compter sans Ulysse qui rentrait tranquille du bal , lui aussi . Il cheminait , serein , son petit bonhomme , l' étui avec son accordéon bien calé sur le dos . Il était accordéoniste dans un petit orchestre de campagne . Il écumait les petits bals du samedi soir dans les villages environnants avec trois copains .
Les quatre amis n'avaient pas leur pareille pour faire danser vos grand parents sur les tangos , paso doble et autre valse musette de l'époque . Dans mon cas , ce sont mes parents qu'ils faisaient danser .
Ulysse allait son petit bonhomme de chemin , pensant au pot au feu de sa mère qu'il dégusterait le lendemain
en famille . Qu'il dégusterait tout à l'heure plutôt , la nuit était bien avancée. Quand soudain et tout par un coup il entendit les cris de celle qui allait devenir sa femme . Deux des trois malfaisants molestaient Hélène
alors que le troisième retenait sa petite soeur .
Ulysse avait des mains larges comme des batoires de lavandière , forcies dans le maniement du rabot et du marteau . Il était menuisier ébéniste quand il n'était pas accordéoniste . Il fabriquait moult armoires bressanes sous les ordres de son patron qui était aussi son père. Il accourut sur les lieux du viol en préparation . Le vaurien qui eu le fâcheux hasard de se trouver en première position sous la vindicte de notre tragédien reçut un coup de pied au cul si formidable que pendant quelques instants on eu pu croire qu'il s'envolait tant il se mit à battre des bras pour tenter de garder un semblant d'équilibre .
Le deuxième reçut une telle claque sur la joue gauche assénée par le batoire droit d'Ulysse qu'il dût porter une minerve durant les deux mois suivants . Le troisième larron jugea précipitamment qu'il était urgent de ne pas demander son reste . Il s'enfuit avec un empressement que n'aurait pas déjugé les turfistes du dimanche s'il avait été un cheval .
Il faut vous dire que Ulysse est un gars bâti comme les armoires bressanes qu 'il fabrique . Vous ne connaissez pas les armoires bressanes ? Vous avez déjà entendu parler des armoires normandes ?
Les bressanes n'ont rien à leur envier . C'est ainsi que nos trois imbibés rentrèrent chez eux
""" le cerveau en déroute et la bitte sous le bras """ Jacques Brel .
les trois vauriens avaient déchiré la robe d'Hélène laissant apercevoir par les déchirures des choses tout à fait agréables à contempler , Ulysse en parfait gentleman , sans connaître ce mot , lui passa sa canadienne.
Enfin . . . tout ça pour vous dire que au midi de ce jour Hélène dégustait le pot au feu de la maman de notre Ulysse et que un an , quatre mois et six jours plus tard ils étaient mariés .
Vous dire que ces deux là n'eurent jamais d'engueulade dans leur couple serait faux mais ils filèrent un amour que beaucoup de couples pourraient leur envier . Ils eurent des hauts et des bas comme tout le monde . Il faut vous dire que Hélène était née pourvue du nombre de connexions neuronales souhaité et même un peu plus . C'est bien pour ça que quand Hélène remplaça la mère d'Ulysse à la tête de l'entreprise
celle ci se développa considérablement . Mais je ne suis pas là pour vous parler de leur situation économique .
Notre patronne s'était rendu compte que son grand escogriffe lui mangeait dans la main . Et qu'il aimait ça . Elle aussi . Mais cet homme était un homme colérique et Hélène une femme à qui on ne la faisait pas.
Elle ne supporta pas la première colère de son atrabilaire ( vous n'avez toujours pas consulté vos dictionnaires ? je ne peux plus rien pour vous !!!!!! ) """"" Tu te calmes tout de suite ou je te donne des coups de trique """ La réponse du grand fusa sans détour . """ Et bien donnes les , ces coups de trique """
Hélène ne se fit pas prier . """ D'accord alors baisse ton pantalon """ .
Ce qu'il fit par défit . Il reçut les vingt premiers coups de trique de son existence . Qui furent suivis par bien d'autres au cours de leur vie . En attendant ,ils s'étaient révélés à eux même . Les mots Dominatrice , masochiste , soumis étaient peu usités à l'époque mais c'est bien ce qu'ils étaient . les sex shops n'existaient pas . Un certain général et une certaine Yvonne ne l'auraient pas permis . Toujours est il qu'ils avaient découvert une facette encore inconnue de leur personnalité . Hélène était bien une Dominatrice et Ulysse un soumis .
Les mauvaises langues disaient , dans leur dos , que c'étaient Hélène qui portait la culotte , chez eux . Les langues étaient mauvaises mais elles avaient raison . Pour leur plus grand plaisir de toute façon .
Voici la suite des aventures d'Ulysse et Hélène non pas surgis d'une quelconque guerre mais de notre belle province de Bresse ou le poulet est roi . Surtout pour nos portes monnaie .
Durant toutes ces années , ils ne furent pas rares , les moments où Ulysse vit sa femme débarquer dans son atelier , à peine vêtue d'une blouse largement déboutonnée sur ses jambes et sans rien dessous . Elle lui intimait l'ordre de se mettre en position . Il se dévêtait rapidement et se penchait sur son étau en bois .
Hélène lui pinçait les seins dans celui ci et les fesses cambrées il recevait un nombre considérable de coups de badine généreusement distribués . Il y avait beau temps que le nombre 20 avait été dépassé .
Leurs petits jeux les mettaient dans un état d'excitation tel qu' Hélène se retrouvait invariablement assise sur l'établi au milieu des copeaux de bois . Je vous laisse deviner la suite .
Tant et si bien que naquirent trois garçons de cette heureuse union . Rassurez vous aucun ne fut prénommé Télémaque . Une fille naquit en dernier . A six ans , on pressentait chez elle , le même caractère que celui de sa mère , elle menait ses trois grands frères à la baguette .
Ulysse repensait à ses 50 années de pure plaisir , sans beaucoup de bas . Il savait qu'il n'aurait pas pu être plus heureux . Ainsi c'était ça la rançon du bonheur avec Hélène ? Un chagrin incommensurable dans le veuvage . Bon Dieu : tu sais bien que le doux , le timide , le soumis se retrouve en enfer à la mort du sévère.
Souvant durant son veuvage , il revînt dans son atelier . Il revivait les séances de domination . Hélène était la seule femme qui savait et aimait le faire bondir jusqu'au 27 ème ciel sans passer par le 7 ème .
En lui pinçant les seins . Combien d'après midi avait il passé , nu, attaché à son établi , les fesses rougies sous la badine ou les orties cueillies dans le fond du jardin . Combien de fois avait elle joué avec son corps suspendu au palan , ses pieds touchant à peine le sol .
Il revivait ces moments délicieux en pleurant sachant que jamais plus il ne connaîtrait un tel bonheur . Jamais plus il ne reverrait Hélène , la seule femme qu'il avait jamais aimée , qu'il avait TANT AIMEE .
La femme qui était le sujet et le verbe et dont il était le complément .
Les enfants d'Ulysse et sa famille le voyaient décliner tous les jours un peu plus . Il tombait progressivement en dépression . Le goût de la vie le quittait plus surement que l'inéluctabilité du temps qui passe .
Une nuit , alors qu'il cherchait le sommeil et appelait avec une ferveur qu'il ne se connaissait pas , la mort qui le délivrerait de cet enfer , couché dans ce lit trop grand et trop vide il senti une douleur envahir sa poitrine , intense . . . . Cette douleur augmentait en un crescendo insupportable tandis qu'une lumière blanche éclairait sa chambre .
Une ombre floue apparut dans le halo éblouissant , marchant vers lui . La forme se précisait . Une femme , nue , belle , les seins lourds de quatre maternités mais qui avaient gardé toute leur douceur et leur majestuosité , un sexe aux lèvres tellement douces , tellement soyeuses , onctueuses : un corps de Déesse grecque . Une sensualité tellement généreuse . Le visage d'Hélène lui apparut .
Elle tenait une corde dans ses mains qu' elle nouât autour du buste d'Ulysse qui souriait , la douleur se changea en une impression oppressante . Enfin sa femme rejouait avec son corps , comme avant . Enfin il avait retrouvé sa bien aimée . Il était à nouveau heureux .Il riait presque quand soudain , dans un éclair éblouissant , Hélène et Ulysse furent projetés hors de la chambre et disparurent à jamais .
C'est ainsi que , quand on découvrit son corps le lendemain , son visage était emprunt d'un sourire absolument radieux .
Oui effectivement le mot tragédie ne convient pas . Il est vrai que la fin est un "" happy end "" malgré la mort .
En écrivant j'ai décidé de donner le prénom de mon père (véridique ) à mon héros et je n'ai pas osé appeler mon héroïne "" Pénélope "" Alors je lui ai donné le prénom d'Hélène pour rester dans la mythologie grecque . C'est à ce moment que j'ai pensé au mot """ tragédie""" car il y a la mort dans ce récit .
berny
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Par : Switcher
"Lèves toi je veux te sucer". je me levais et elle se mit à genou devant moi, avalant ma bite et commençant une pipe tout en passant ses mains sur mes fesses, ce qui m'excitait encore plus. elle me suçait tout en douceur.
Ses caresses se rapprochaient de mon anus et je la soupçonnais de vouloir y glisser quelques doigts. Elle joua ainsi un peu et bien sur je sentis qu'elle commençait à tourner ses doigts tout autour de mon cul. Elle profitait du moment où ma bite était entièrement dans sa bouche pour passer ses doigts sur mon petit trou. Je les sentais appuyer doucement, n'osant pas encore se glisser en moi. Ses caresses se faisaient plus pressentes, elle avait ralenti sa pipe pour observer mes réactions.
C'est moi qui capitula en disant dans un souffle, " Mets tes doigts dans mon cul". Elle sortit ma bite de sa bouche et me regarda "Redis-moi ça petite salope! " " j'ai envie de tes doigts dans mon cul". Elle savait qu'elle avait gagné et son sourire moqueur près de ma bite le montrait bien. "Tournes toi et mets toi à genoux, tu mouilles pas du cul, je vais devoir te lubrifier avec ma langue."
Bien que trouvant très humiliant de me placer ainsi devant elle, je me positionnais, bras croisés , serrant même un peu les fesses, honteux de lui montrer mon cul. Elle colla son bassin contre mes fesses et je sentis ses seins dans mon dos, chose qui m'excitait.. "Écartes tes fesses avec tes mains, je veux voir ton trou du cul bien exposé, petite salope".
J'hésitais encore à le faire mais je plaçais mes mains sur mes fesses. "Tu a l'air d'aimer ça. Allez écartes tes fesses que je te bouffe le cul avant d'y fourrer mes doigts."
Aussi gêné qu'excité, la queue bien dure, j'écartais lentement mes fesses, courbant le dos pour mieux les montrer. "C'est bien petite salope, je vais m'occuper de toi".
je sentis quelques instants plus tard sa bouche se poser entre mes fesses et sa langue commencer à parcourir mon sillon anal. N'ayant connu qu'une fois ce plaisir, je dois dire que ma honte fit rapidement place à un plaisir incroyable. La sensation de cette langue tournant sur mon trou et s'y glissant de temps en temps était électrisante.
Elle s'occupa ainsi de moi pendant un petit moment, enfonçant toujours plus loin sa langue qui fut rejointe par quelques doigts qui pénétrèrent sans mal dans mon cul.
Son autre main saisit ma bite et commença un mouvement de va et vient. Elle voulait me faire jouir et ça n'allait pas être long. Elle recula sa tête et glissa 3 doigts dans mes fesses. Elle me baisait littéralement le cul, ses mouvements synchronisés avec ceux de sa main tenant ma queue. Je ne pouvais m'empêcher de gémir maintenant et elle me le fit remarquer "Tu couines comme une trainée avide de sexe...Tu aimes que je te défonce le cul avec mes doigts n'est ce pas". Entre 2 gémissements je ne pu que dire "oui j'aime trop ça que tu m'encules avec tes doigts".
Elle accéléra ses mouvements et ne pouvant plus me retenir je laissais le plaisir couler de ma bite dans sa main. Sans retirer ses doigts de mon cul, elle plaqua sa main pleine de sperme sur ma bouche en disant "Lèches ton jus petite salope, je veux que tu avales tout. Et dépêches toi, j'en ai pas finis avec toi..."
Dans un instant, je vais me faire enculer par une femme et vivre un fantasme que je rêve d'assouvir depuis longtemps. Je cambre et remue mon cul devant ma Maitresse. Je sens alors le gode forcer l'entrée de mon cul.
Elle le pousse doucement entre mes fesses qui s'élargissent un temps pour le laisser rentrer. Mais le gode est très gros, 25cm sur 6.5cm me dira-t'elle plus tard, et mon cul résiste à cette pénétration. J'ai mal, mon visage se crispe. Je dois être un peu maso, car j'aime cette douleur quand je suis pénétré, c'est à ce moment qu'elle pose ses mains sur mes hanches.
Ses ongles se plantent sur mes hanches et elle commence à pousser le gode en moi, sans s'arrêter. Je sens l'action du lubrifiant en moi et j'ai l'impression que le gode déchire quand même mon conduit anal.
Lorsqu'elle marque un arrêt, j'ai l'impression de devenir une vraie salope. Pourtant je ne sens rien contre mes fesses, donc elle n'a pas tout entré. Elle passe alors ses mains sur mon dos et mes fesses, me caressant doucement. "On fait une petite pause pour que ton cul de salope s'habitue à la taille du gode".
La gêne et la douleur du gode se mêlent avec le plaisir et l'excitation que je ressens, et c'est presque inconsciemment que je me met à reculer mes fesses.
Elle sent le mouvement et replace ses mains sur mes hanches. "Regarde moi cette petite pute qui en veux plus. Elle replante alors ses ongles et je sens le gode reculer presque entièrement puis replonger encore plus en moi, m'arrachant un râle de douleur/plaisir. Elle me pilonne le cul pendant plusieurs minutes, par des mouvements amples mais peu rapides, faisant toujours un peu plus rentrer le gode.
La douleur se mêle a plaisir , sachant manier le gode et ne manquant pas de temps en temps à bien le frotter contre ma prostate. Je me sens vraiment salope et je veux qu'elle me défonce encore plus. Entre deux gémissements je lui réclame "Maitresse, s'il vous plait enculez moi plus fort, je veux sentir tout le gode en moi".
Elle n'attendait que ça et accélère ses va et vient, alternant profondeur et vitesse. Je commence à gémir comme une truie, ma bite laisse couler son jus, je perds pied et je réclame d'autres bites "Oh Maitresse c'est trop bon, baisez moi jusqu'au fond", "Maitresse je veux d'autres bites dans mon cul et dans ma bouche", "Maitresse je suis votre putain".
Le gode rentre alors entièrement en moi, je sens ses cuisses contre moi. "maintenant je vais te finir petite pute" me dis-t-elle en me relevant vers elle. Et là elle se déchaine, sortant et rentrant presque tout le gode ou me pilonnant les entrailles. Elle me traite de salope, de trainée, de lopette.
Chaque coup de gode me fais couiner, puis gémir et enfin râler. Je sens un plaisir inconnu monter en moi, je ferme les yeux et j'arrive à prononcer "je jouis...". Elle me donne l'estocade en me plantant le gode au plus profond de mon cul, lâchant ma tête et me laissant ainsi m'écrouler de plaisir sur le lit, l'entrainant avec moi.
Je crois que pendant quelques minutes je suis resté presque inconscient sur le lit. Je ne me souviens pas d'elle retirant le gode ou du fait de me mettre sur le dos.
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Par : Maxxence
Outrage - L’OLNI de la rentrée littéraire 2017.
On enfile les clichés comme autant de perles de pluie de pays où il ne pleut pas.
Si je ne l'ai pas lu mil fois, je ne l'ai jamais lu.
Pourtant, comme le paradoxe des perles de pluie, c’est rare, précieux.
Je ne suis pas qualifié pour parler style. Cependant je crois être de ceux qui apprécient, par leurs lectures du genre, que l’ouvrage proposé par Franck Spengler chez Hugo Roman est un de ces pavés qui compteras comme témoignage qui marque son temps.
Il en fut de même pour Baise-moi, pour Confessée/Noli me tangere, la trilogie de Dugas, le classique de Duriès, pour «Emmanuelle », pour « Histoire d’Ô », pour « Barbarella », pour « le con d’Irène » ou l’ »Histoire de l’Oeil ». Ouvrages confidentiels ou populaires, qui marquent une étape singulière dans le cycle perpétuelle de l'écriture amoureuse.
Un temps où le filtre n’a plus sa place.
Sans filtre, aurait été le sous titre idéal.
Pour celles et ceux, nombreux, qui ont une culture des forums sentimentaux ou sexo-sentimentaux(1) du Net, ils y retrouveront un quasi-annuaire des situations douloureuses, des situations de manipulations, des situations d’engouements et de déceptions.
C’est un chaud/froid, un sucré/salé. Qui sait, si cela ne serait pas cette cinquième saveur littéraire, l’umami du récit.
Cruel, tripale, assassin et si vivant, vibrant, chavirant. Mot à la mode, primal.
Dérangeant, c’est le mot pour exprimer le sentiment qui m’enserre à la lecture de ce récit. L'inconfort, la gène, l'au delà de la pudeur. J'y retrouves des provocations de sentiments de malaise, de troubles érotiques avec des touches d'envie de ne pas en être le témoin. Brusque ou brutal, comme pour les « 120 journées de sodome », si chère à Sade, plus contemporain avec le génialissime « Château de Cène », là ; Bernard Noël nous fait passer de la bandaison festive à l'effroie glacial. Je tente ici de vous restituer les inconforts vécus, les allégresses coupables, les audaces prescrites, les débauches contraintes.
Tout est en rime avec l'oxymore.
Le sentiment d’être dans le «dedans» de l’autre est effrayant, stimulant, dynamisant, cette posture ne me laisse jamais indifférent. J’ai l’impression d’une dualité qui est celle de l’écrivaine. J’ai des chaos émotionnels, comme la narratrice, j’ai des frissons, alors je monte le son. Il est difficile de s’endormir derrière une telle décharge. Pourtant, je garde profondément encré, un étrange sentiment de mal-être. Je suis incapable de dire que j’ai aimé, ou détesté.
J’ai été le témoin, consentent, d’une livraison sans filtre.
Cela fait écho, avec mes envies, mes habitudes d’habitué du sérail «bédéhaissèmesque» à la française. Cela pose une lumière blafarde sur la part sombre, celle que j’évite de fréquenter, qu’il nous arrive de croiser, malgré nous. Cela résonne profondément dans l’envie qui m’anime de savoir ce qu’il y à dans l’intimité de l’autre, pas en lurker(2), pas en voyeur, en explorateur de l’intimité. Moi qui aime questionner, là, j’ai bien plus de réponses que je ne puis en poser. C’est violent, cela me fait violence. Je suis impressionné, et déconcerté.
Déconcerté par le fait que l’auteure ne pose pas le moindre filtre.
Elle me fait peur. Voilà la vérité, nue, crue.
Le froid est là, dans ces peurs, ces stigmates qui montent.
Et pourtant, le chaud est là, soufflé sur des braises ardentes, sur des pulsions amoureuses puissantes, sur des ivresses de sensations, d’émotions, de folles libertés, de liens puissants qui chavire une liberté sans limite. A croire que les bornes des limites n'ont pas de frontière avec Maryssa.
J'ai une envie, simple, sincère, celle de vous recommander la lecture de cet Ouvrage Littéraire Non Identifié, d'y réagir, de vous en effrayer, sans jamais vous y perdre.
Vous aurez, peut-être, l'étrange culpabilité de l'excitation.
Maxence Lascombe, 4 août 2017
Le livre :
Outrage
Maryssa Rachel
Hugo Roman
Aout 2017
ISBN : 9782755635720
http://www.hugoetcie.fr/livres/outrage/
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https://www.amazon.fr/Outrage-Maryssa-Rachel/dp/275…
a la FNAC
https://livre.fnac.com/a10615041/Maryssa-Rachel-Out…
1. (BDSM, PolySphère, anarchi-relationnelles et compagnie)
2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lurker
Umami : fr.wikipedia.org/wiki/Umami
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Par : Hedgehog
"Clac", le bruit de la porte qui se ferme me sort de mes pensées ...
Elle est partie, elle est partie et je me retrouve seul à la merci de Mélinda et de ses désirs ... Normalement, elle devait m'obéir ! Je ne comprends pas ... Non, ça ne va pas se passer comme ça, je vais lui montr...
"Déshabille toi" me dit Mélinda d'une voix ferme et sûre.
Je reste interdit ...
"Déshabille toi !, dit-elle encore plus fermement cette fois, à tel point que j'en suis impressionné, je ne l'imaginais pas ainsi ...
"Ne me le fais pas répéter une seconde fois ..., dans ton intérêt, je te le déconseille ..." me dit-elle ensuite ... Et je sens dans sa voix combien elle prend plaisir à cette éventualité ...
Je m'exécute alors, plutôt inquiet de ce qu'il pourrait m'arriver ...
Elle sourit ...
Quel délicieux sourire ...
Je l'observe sourire tout en retirant ma chemise et mes chaussures ..., j'hésite un peu en mettant mes mains sur ma ceinture ...
"Aller, retire tout" me dit elle en me transperçant de ses yeux plein de ... plein de quoi d'ailleurs ?
On dirait comme du désir et de l'envie mélangés..., mais pas tant de bientôt voir mon corps nu que plutôt de me regarder détacher ma ceinture puis déboutonner mon pantalon ... On dirait qu'elle se réjouit de me voir lui obéir pas à pas, sans résister ...
Mais je vais résister !! Je m'arrête avant le dernier bouton ...
Son regard se durcit ...
Je m'empresse de retirer ce dernier bouton et de descendre mon pantalon jusqu'à mes chevilles ...
Je le retire, je retire mes chaussettes, me voilà à une seule pièce de la nudité complète ... Il m'est difficile de cacher le désir que sa tenue du soir et de nos discussions passées éveillent en moi ... Son regard effleure cette partie de mon anatomie puis revient croiser durement le mien pour menacer ma nouvelle hésitation ...
Je retire mon boxer et me redresse complètement nu face à elle ..., je cherchant bêtement à faire quelque chose de mes mains ..., je les place plus ou moins devant mon sexe pour essayer de cacher cette érection qui tout d'un coup me gêne un peu...
Son regard à nouveau m'en dissuade ...
Je laisse mes mains et mes bras pendre le long de mon corps.
Elle me détaille des pieds à la tête...
Le temps s'étire ...
Mon érection s'obstine à ne pas faiblir ..., je ne comprends pas ...ou alors, peut être que j'aime être ainsi à nu face à ma Mélinda ..., en même temps, j'en avais tant rêvé ...
Je n'ose plus bouger ...
"Viens par ici" me dit elle.
Sa voix reste ferme ...
J'obéis à nouveau.
Tiens, voici quelques habits, ils devraient t'aller, enfile moi ça puis rejoins moi dans le salon.
Je regarde interdit les habits ...
Bon sang ..., j'en étais certain ...
"Attends Méli, je ne vais quand mêm..."
"Silence !"
" Je t'ai donné un ordre, tu obéis, un point c'est tout. Nous avons déjà parlé de ça pendant des heures au téléphone. Tu rigolais, tu disais que tu rêvais de me satisfaire et de me donner du plaisir... Et bien il est temps. Je veux le plaisir que tu m'as promis. Habille toi maintenant et vite, tu as beaucoup de choses à faire..."
Méli quitte la pièce pendant que je me rappelle cette conversations, ou devrais- je dire, "ces conversations", lors desquelles j'ai effectivement annoncé cela en le pensant sincèrement ...
Mais bon sang, je n'avais pas imaginé ça comme ça !
Je suis seul dans la salle de bain où elle m'a amené, je regarde les habits ..., puis je regarde la porte par laquelle elle est sortie...
Je soupire alors avant de me décider à prendre les bas et à les enfiler ...,
"Franchement, j'ai l'air malin tiens ..."
Je passe la jupe ..., elle est à ma taille ..., quelle idée de lui avoir donné mes mensurations ... tout me va ..., j'enfile le chemisier avec son décolleté ...
Pourquoi ne suis-je pas surpris qu'il n'y ait pas de culotte ...?
En même temps, c'est sûrement pour lui permettre de glisser sa main sous ma jupe, hum, je sens que ça va me plaire ça !
Les chaussures maintenant ..., un faible espoir ..., non, j'arrive à rentrer dans ces chaussures à talon ..., heureusement qu'ils ne sont pas hauts ...
Bon sang, j'avais parlé de ça pour rire !
Je ne pensais pas me retrouver ainsi !
"Viens !" dit sa voix impatiente ...
Je me dépêche d'ajuster cette longue perruque rousse , d'enfiler mes gants noirs et me voilà qui sort pour la rejoindre, l'air complètement ridicule, habillé en soubrette de la tête aux pieds ... et à deux doigts de me tordre les chevilles, tout en bénissant Méli d'avoir pris des talons bas ...
Elle me regarde à nouveau, s'approche de moi puis ajuste quelques petites choses par ci par là ...
Elle se recule un peu et sourit d'un air satisfait.
"Voilà, tu es très bien, enfin à ta place."
"Ecoute, lui dis-je, voilà, c'est amusant mais francheme..."
"Décidément, c'est vrai que tu es long à la détente...", me dit elle de sa voix si ferme. "Le weekend commence à peine ... et tu vas m'obéir pendant toute sa durée ..., et crois moi sur parole, je te ferais obéir aux moindres désirs dont nous avions parlé, que tu acceptes à ma première demande ou que tu ais besoin de motivation supplémentaires pour le faire ..., dit elle en indiquant de la main une petite table dans le coin du salon.
J'allais lui répondre quand la vue de cette table me coupa toute envie de dire le moindre mot ... Il y avait là des menottes, une cravache, un ou deux petits godes et d'autres objets qui échappèrent totalement à mon cerveau après que j'ai vu le gode ceinture posé lui aussi sur cette table ...
Tandis que mes yeux restaient fixés sur lui, la voix de Mélinda raisonna dans ma tête :
"Hé ! Je te parle, ne me fais pas répéter une fois de plus !"
"Pardon Mélinda, dis je d'une voix toute tremblante, je suis désolé, pardonne moi, je n'ai pas entendu ... je ..., j'ai pensais à autre chose ..., je ne voulais pas désobéir, excuse moi, pardon ... s'il te plaît, redis moi ce que tu m'as demandé et je le ferais tout de suite !"
Elle sourit ..., son regard s'est porté sur la table puis sur moi, et son sourire semble rempli d'une incroyable satisfaction ...
Bon sang, c'est certain, quoi qu'elle me demande, je le ferais, le gode ceinture, c'est bon pour mes fantasmes hein, je ne tiens pas à le tester ...
Je la regarde alors, désormais près à obéir à ses moindres demandes tandis que je regrette maintenant qu'elle ne m'ait pas donné de culotte ...comme si ce petit bout de tissus pouvait me protéger ...
Mais quand j'entends à nouveau sa voix, je suis pris d'un léger frémissement d'inquiétude teinté d'une folle envie de ne pas la décevoir ...
"Bien, maintenant que les choses sont claires voilà ce que tu vas faire..." me dit, toute souriante, Mélinda ...
Et ma peau frissonne soudain d'une tenace d'angoisse à l'énoncé de mes futures tâches et de ses si nombreux désirs ...
Bon sang !! Le weekend commence à peine !!
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Par : M des Sens
Dans mon passé j'ai vécu, exploré, testé, goûté aussi tout les pans de ce Jardin des Sens avant d'en arriver à ce que je suis aujourd'hui...
On m'a souvent demandé...
"Mais pourquoi dis-tu que tu n'aimes pas ?"...
Et bien simplement parce que j'ai gouté...
Alors voilà un Pan de moi que vous dévoile....Et là je sais...que c'est vraiment pas pour moi... ;)..Peut-être certains seront surpris...Mais je suis ainsi ...
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(Gary Grant et Randolph Scott)
Il y a des années (pfff), alors que je ne savais si cette passion devait pleinement être le fil conducteur de ma vie, j’ai vécue une aventure je devrais dire plutôt une expérience différente.
A l’époque, je faisais mes études et je devais partir à l’armé.
Et oui je fais partis de ceux qui n’ont pu y couper. Je naviguais, en ce temps, entre les passions et une relation classique.
Cette dernière, j’en étais totalement fou amoureux…que voulez-vous…le cœur à sa raison que la raison ignore.
Puis vint le jour ou je dû me rendre à ce service d’intérêt que militaire. Et ce qui devais arriver arriva, celle qui faisait battre mon cœur me tournait sans raison le dos….
Comme si simplement elle attendait ce moment pour prendre la fuite…enfin
Coupé un peu du monde, même si j’étais sur Paris, je n’arrivais pas à l’oublier, même les passions que j’avais à l’époque avaient un gout âpre bizarrement.
C’est fou comment l’amour peut vous toucher si fort en vous.
Pendant près de 4 mois je tentais en vint de reconquérir sont cœur…
Désabusé par mes efforts, je décidais de tourner cette page.
Et je commençais à me poser moult question sur l’amour et mes relations avec les femmes.
Chaque soir, je sortais dans les rues Parisienne tentant d’oublier cette femme. Je résidais à l’époque dans le marais et de nouvelles et étranges pensées me traversaient l’esprit.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce lieu très prisé et charmant, il est surtout réputé non pas pour la demeure de Victoire Hugo, mais pour sa couleur des plus gaies et étranges d’un monde très masculin aux relations très exclusivement…masculines
A force de me promener dans ce quartier avec une coupe de cheveux des plus évoquant pour cette population…je me fis mainte fois aborder
Il est des plus surprenant de constater, que ce milieu est très ouvert et n’hésite pas à vous aborder facilement par contre vous leurs dites simplement Non, ils n’insistent que très peu…Bon nombreux devraient en prendre bonnes graines ;-)
Un soir, plus sombre que d’habitude, je cédais à une invitation dans un petit bar près de la place des Vosges car la personne, déjà plusieurs fois croisé et charmant au demeurant, m’inspirait confiance dans sa démarche simple et sans « arrière pensée »….heu un peu naïf sur le coup, mais…la tentation d’être avec quelque et de parler simplement m’était plus important que ses éventuelles arrières pensées.
Nous parlâmes ainsi pendant la grande majorité de la nuit…
Il m’expliquait comment il avait découvert son homosexualité, je lui faisais part de ma vie un peu turbulente avec les femmes …
Tout se passait comme si nous avions été de vieux amis, rien ne transparaissait de ses intensions…un peu cachées…
Puis nous vinrent à parler de mon questionnement, plus précisément à mes déboires et le fait que je ne savais pas réellement ou j’en étais dans cette sexualité qui été la mienne…
Il m’écouta avec un grand intérêt…et me proposa d’aller prendre un dernier verre chez lui…
Je refusai sur le coup…lui indiquant qu’il était des plus tard pour moi, mais que le lendemain, je serai flatté, et ne verrai pas d’inconvénient à honorer sa proposition.
Il en fut des plus charmé, bien sur, et me donna son adresse en me donnant rendez-vous le lendemain soir.
Le lendemain, je me rendis donc à l’adresse indiquée, juste à cotés de la place des Vosges…
Son appartement était cossus mais pas extravagant comme je me l’attendais d’un homme de son bord, si je puis dire…
Il avait préparé un repas à mon honneur…un repas Japonnais….
Il fut très bon, enfin si je m’en souviens bien…
Puis nous terminâmes par un verre…heu que dis-je plusieurs verres Saké assis tout deux confortablement dans un canapé de son salon.
L’ambiance était des plus chaleureuses et conviviales…
A un moment donné…je ne me souviens plus exactement quand dans une conversation…mais… sa main venait de se poser sur ma jambe…
Avec l’autre il prit soin de déposer son verre, puis le mien sur la table basse.
Nos regards se croisèrent…une atmosphère différente venait de naître…
Sa main libre vint se placer derrière ma nuque...
Je restais impassible...
Il approcha sa tête de la mienne...
Des images me parcouraient l'esprit...mais je ne réagissais pas...
Ses lèvres se rapprochaient alors peu à peu des miennes.
Et je restais sans réaction, laissant aller l’instant, sans bouger.
Il me déposa alors un baiser, un simple baiser….
Je ne sais si c’était l’effet de l’alcool ou autre mais j’étais dans un brouillard, troublé aussi par l’instant, par ce qu’il venait de faire en toute simplicité…
Il écarta son visage, me souri, avec un petit sourire de coin…comme pour dire… « Et bien tu veux ou tu veux pas .. ?».
Je lui souriais alors en retour, son visage s’illumina…
Sa tête pris alors une direction plus descendante…et au passage, il prit le soin d’ouvrir mon pantalon…Sa main vint prendre l’objet de son désire, qu’il porta à sa bouche.
Je me laissais toujours faire, mais la réaction de sa quête lui indiquait bien l’émois que j’avais…c’est parfois mieux que des mots.
Il s’appliquait avec une dextérité redoutable…montant descendant lentement mais sûrement…j’avais rarement eu un délice aussi subtile, délicat…heureusement que depuis, certaines personnes féminines m’ont prodiguées pareil tourment…si non …rires
Puis, pour la première fois de ma vie, je sentis alors en mon endroit interdit, une entrée douce et délicate…un effet des plus étranges m’envahit alors…il assurait le rythme de cette entrée avec celui du tourment.
Étrange moment, je vous avoue, et encore aujourd’hui que cette endroit est pour moi des plus difficile d’entrée bien que j’en accepte parfois l’entrée…même un thermomètre y a une difficulté grande …Vive les nouveaux thermomètres qui n’empruntent plus ce chemin.
Mais également, je sais que j’adore le faire ‘subir’ à la gente féminine ce tourment, et je comprend que parfois cela est des plus difficiles, voir impossible…
L’homme a, en cet endroit, un point important et très sensible et qui lui procure un plaisir très certain parfois plus fort que le Saint Graal et les tourments que l’on puis lui faire subir.
Puis, il vint à y introduire un deuxième doigt…toujours avec une grande délicatesse…Un plaisir certain m’envahit, il le comprit. Il activa le tourment, les frissons m’envahissaient, les tremblements faisaient leurs apparitions…
Il tenta alors un troisième doigt…mais là…je l’arrêtai immédiatement…il n’insista pas, comprenant vite que cela était déjà bien…voir trop peut-être, heu…même sur.
Il arrêta donc ses tourments, comprenant que cela n’irait pas plus loin en ce qui me concernait.
Il m’offrit alors, un préservatif, qui mit délicatement sur ce mat dressé, je l’y aidais quelque peu. Il en profita alors pour retirer ses affaires.
Il se mit alors directement à califourchon sur moi…pris en main l’objet désiré et le présenta doucement à son antre…il était aussi très ‘tendu’, mais il se grandit encore plus lorsque peu à peu, il descendit sur ma ‘fierté’...j’étais des plus étonné que sans préparation cela pouvait avoir lieu…
Mais très vite ma réaction fut sans appel…pour lui, pour nous…
Le mat peu à peu dresser perdit de sa rigidité…
Comprenant que là c’était vraiment trop, en quelque sorte…il arrêta…nous arrêtâmes.
Nous continuions s cependant à discuter, à en discuter…le reste de la soirée
Mais une chose est sur et certaine…malgré cette expérience quelque peut délicieux…je ne suis nullement fait pour ce genre de rapport…
Et donc je pris conscience que l’homosexualité, même dans l’adversité du temps, ne serait pas du tout mon chemin. Et que malgré le cœur des plus blessé, les femmes auront toujours mes faveurs et ma préférence.
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Par : #
Madame ferma les yeux, s’étira langoureusement dans le fauteuil. La tête reposant sur le coussin, elle écoutait le bruit de la maison, intérieurement, elle souriait. Elle ne l’entendait pas, même couché à quelques centimètres, il ne bougeait pas, il était là, si insignifiant dans sa présence et pourtant, si absolument fondamental. Il ne le savait pas, jamais il ne le saura. Madame voulait sa présence, elle portait en elle ce besoin vital de le posséder, mais son plaisir résidait justement dans cette distanciation entre sa nécessité intérieure et l’image qu’elle dégageait d’elle. Son indépendance, sa froideur, sa déité niaient, en apparence, sa joie de le posséder jusqu’au fond de son esprit, dans les abysses de son âme. Elle ne jouait pas, elle ne s’amusait pas. Madame désirait être démiurge et ce corps, cet esprit blotti à ses pieds, étaient la quintessence de ses années de recherche, de sa quête de l’être qu’elle voulait façonner et qu’elle avait enfin pu modeler à sa guise. Madame savait que la clarté, l’obscurité, le froid, le feu, la pluie et le vent, la cage ou le grand air, la faim, la soif, la peine, la joie, les pleurs, les rires, ne voulaient plus rien dire pour lui. Madame le savait parce qu’elle l’avait éduqué pour qu’il ne puisse plus réagir qu’à une seule appréhension, qu’une seule crainte, ne plus être en sa présence, ne plus entendre sa voix, ne plus sentir son parfum, ne plus être auprès d’elle. L’abandon était sa seule crainte. Il n’était plus qu’un petit chien sans autre attache que celle qu’il portait à la maîtresse. Pour lui, le monde se résumait à la présence rassurante, bienfaisante de celle qu’il considérait comme l’âme de son existence. C’est ainsi qu’elle l’avait voulu, c’est ainsi qu’il était devenu.
Pourquoi penser par soi-même quand un être supérieur pense pour toi ? Pourquoi choisir sa vie, quand la vie ne dépend plus de toi, mais de la main qui te frappe, qui te cajole, qui te nourrit, qui te guide ? Pourquoi lutter contre soi, quand Madame t’offre d’être sa créature ? Petit à petit, Madame franchit les barrières psychologiques qu’il le retenait encore parmi les êtres libres, puis un jour, il s’agenouilla complètement, il renonça à lui totalement et ne fut plus que la pensée en chair de la volonté de la maîtresse. Il pleura. Les larmes de sa libération se répandirent sur les escarpins vernis de madame, sur les mains bénies de la maîtresse. Elle l’autorisa sans mot à lécher et embrasser les extrémités de son corps. Ses dernières paroles, ses derniers mots furent pour renoncer à dire ou être, il avoua son attachement viscéral à madame et puis il se tut pour toujours. Dorénavant, il ne parlait plus, ne pensait plus, ne mangeait, ne buvait plus que sur ordre de la maîtresse. Elle lui était devenu bien plus indispensable que l’air qu’il respirait.
Son pied taquina un peu le corps étendu sous elle. Il ne bougea pas. Seule parfois la clochette accrochée au piercing de son périnée pouvait annoncer sa présence, seule la laisse en petits maillons d’acier pouvait tintinnabuler, mais ce n’était que des bruits d’appartenances, les sons du recueillement de son entière soumission. Madame posa son pied gainé de soie sur la bouche, il baisa l’offrande sans excitation, sans précipitation, avec la componction et la douceur exigée de lui. Madame se souvint des étapes de l’apprentissage, des efforts qu’elle déploya pour le mener jusqu’au renoncement total à lui-même. Bien sûr, il portait en lui cette structure mentale prête au renoncement absolu, mais le travail d’éducation fut long et douloureux. Il n’est jamais facile de perdre l’habitude de penser par soi et pour soi. La présence d’un esprit fort, aussi intensément ancré en soi que le lierre à la pierre peut inquiéter les plus dociles, mais quand le renoncement final survient, le soulagement est d’autant plus apaisant. Car ce renoncement est une étape vers la quiétude intérieure. Le soumis ne porte plus en lui la crainte de ne pas appartenir, il n’éprouve plus que la crainte de l’abandon. Madame inculqua dès le début de sa prise en main, la crainte dans son esprit. Craindre le mépris de madame, craindre la colère froide de madame, craindre l’oubli de madame, elle le nourrit de sa propre main, le frappa de sa propre volonté, le punit avec intransigeance, le consola avec douceur, le provoqua avec orgueil, l’éloigna sans pitié, le rappela avec mansuétude, toutes ces étapes, toutes ces actions instillaient en lui la crainte de ne pas être à la hauteur des exigences de madame et surtout de ne plus pouvoir être à ses pieds, dans ses grâces, dans sa magnificence.
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Par : Parloire
Accroché a tes lèvres, mon regard est médusé..
Comment fais-tu Insoumise ? Femme Soumise de cet instant
Scellée, ton corps sur ton âme, étirée dans ce film, isolée du lien.
Repousser tes limites, repousser.. un peu plus loin,
Un peu plus près, un peu plus serré… momifiée.
« Inspire à fond »
« HAAAAaaaaaaaaaaaPPpp !! …. »
Te voilà seule maintenant, je ferme ton cocon.. hermétique.
Respirer, respirer, respirer.. dans un sarcophage.
[…]
Les secondes trottent, pulsent dans ta tête, ton cœur défendant
Pas d’issue, pas d’air, pas de mouvements, sauf peut être
La trotteuse qui tourne et ta bouche qui aspire et souffle
Ma main posée sur ton crane, veille…
Inspire, expire,
Inspire… expire..
…. Inspire…
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
Manque… tu manques… la buée sature le film
Ton corps veut vivre.. tu cherches à sortir, spasmes d’extraction..
Soumise tu es, Insoumise. Soumise au Lien.
Bouche grande ouverte.. 10 microns de plastique te séparent de ton appel d’air
[…]
Mon index vient caresser ta bouche, faisant le tour cyniquement
La peau infime et tendue, n’appelle que mon bon vouloir
Excitation perverse, d’un contrôle immoral
Mon ongle vient doucement cisailler sur tes dents
Mon doigt pénétrant, la membrane se déchire
INSPIRE !!!!!
Frénétiquement, l’air te redonne la vie..
Respire, Respire, Respire..
Ma bouche vient embrasser ta ligne rouge
Il est temps maintenant, que mon Objet cesse de me méduser.
Écartant tes lèvres, et passant ma main sur ta gorge
Je plonge ma queue dans cette bouche, cherchant la chaleur profonde…
Soumise j’ai dit !
Tu étouffais, je vais maintenant te noyer..
Abusant mon objet offert, jubilant de puissance
Envie bestiale arque bouté par ma conscience,
Je veille sur l’objet de mon plaisir… Inspire…
Avec mon plus profond respect,
Ma soum.. vous me médusez.
Parloire
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"Tu vois, un bon Dom... c'est un Dom qui, quand il voit une soumise, ben... il veut l'attirer. Et un mauvais Dom... c'est un Dom qui, quand il voit une soumise, ben... il veut la tirer"
(c) Jidé, inspiration libre des Inconnus (sketche des chasseurs) XD
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