Bdsmforyou
par le 06/02/24
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C’etait une belle après midi d’automne, l’été indien comme on aime l’appeler dans notre région.

Nous étions invités dans un domaine, une propriété au milieu des vignes. Une fois le lourd portail franchi, je garais la voiture devant le perron d’une demeure de Maître, au milieu d’un parc peuplé d’arbres centenaires. Un large escalier menait à l’imposante porte d’entrée.

Galamment j’ouvris la portière à Lilly.

 

Après avoir gravi les marches, je sonnais à la porte et quelques instants plus tard,

un homme souriant d’environ 50 ans, grand et sportif m’ouvrit. Il devait guetter notre arrivée.

bonjour Marc

Bonjour Phil tu as trouvé facilement?

Oui pas de problèmes

Entre

Je le suivis en faisant quelques pas à l'intérieur dans un imposant hall d’entrée.

Je lui tendis la laisse que je tenais à la main et me mis sur le côté. Il tira dessus d’un coup sec et Lilly se retrouva à sa hauteur. Elle gardait prudemment les yeux baissés et les mains dans le dos.

Il prit le temps de la dévisager du haut en bas, d’un air connaisseur mais il ne fit aucun commentaire. Je savais Lilly anxieuse, elle redoutait cette soirée, mais cela ne la rendait que plus désirable. Avec son collier de chienne et sa petite robe noire sexy qui s’ouvrait sur le devant elle était belle à faire se damner un saint.

Mais l’homme qui nous recevait ce soir était très loin d’être un saint!

D’une voix douce mais ferme il lui demanda.

quel est ton nom?

Elle répondit d’une voix mal assurée

mon nom est Lilly, monsieur

Pourquoi es tu en laisse?

Je suis en laisse parce que je suis soumise à mon Maître, monsieur

Lilly gardait la tête baissée et répondait à chaque question avec politesse d’une voix douce.

Et quelle sorte d’animal es tu?

Je suis une chienne, monsieur

Et comment ton Maître s’y est il pris pour te rendre obéissante?

Mon Maître m’a éduquée, monsieur

Marc fit la grimace et sa réponse fut cinglante.

On éduque des enfants pas les chiennes ! quel est le bon verbe?

Lilly sembla réfléchir et elle prit son temps pour répondre.

Le verbe est dresser, mon Maître m’a dressée, monsieur

La réponse était bonne et sa voix se radoucit, mais elle restait légèrement menaçante, et Lilly se sentait jugée et observée.

Ton Maître m’a fait part des règles que tu dois suivre et m’a demandé de te punir sévèrement à la moindre faute, mets en toi en position d’attente.

Lilly mit ses mains derrière la nuque et écarta les bras, elle entrouvrit légèrement les jambes,

sa robe empêchant un trop grand écart. Elle garda la tête baissée et desserra les lèvres.

Elle avait des cheveux bruns mi longs qui encadraient un joli visage fin. Très légèrement maquillée, de grands yeux bleus et une bouche bien dessinée. Des lèvres soulignées par un gloss rouge vif qui tranchait avec la pâleur de sa figure. Un vrai collier de chien en cuir, noir et large enserrait son cou mince et la laisse en acier attirait le regard. Sous la robe noire on devinait ses seins libres pointant contre l’étoffe. Sa tenue mettait sa taille fine en valeur.

Des escarpins aux talons de 10cm lui donnait une jolie silhouette et faisait ressortir la courbure de ses fesses, à l’étroit dans cette robe moulante. Elle était sexy et attirante. La robe avait sur le devant une large tirette chromée qui descendait jusqu’en bas. Elle rendait Lilly très vulnérable car on sentait d’instinct qu’elle était nue sous sa tenue.

Visiblement Marc appréciait le spectacle et il s’adressa à moi.

depuis combien de temps est elle soumise?

Environ 5 ans mais elle n’a pas été présentée souvent.

Ses doigts se posèrent sur la tirette et il la fit descendre lentement dévoilant la poitrine de Lilly.

Il caressa les seins, doucement d’abord puis il les saisit à pleine main. Les soupesant et les pétrissant.

Il en agaça les pointes en les pinçant entre deux doigts. L’effet fut immédiat, les tétons durcirent et il eut l’air satisfait du résultat. Gardant une main sur son sein droit il questionna Lilly.

qu'ai je entre les mains?

Vous tenez mon sein dans votre main, monsieur.

répondit Lilly d’une petite voix qui cachait mal le trouble provoqué par ces attouchements.

erreur chienne, réfléchis bien avant de répondre.

Le ton de la voix avait changé et il agrippa les deux seins, les serrant fortement entre ses mains, et Lilly ne pût cacher un tremblement involontaire. Elle reprit hésitante.

 

ce sont mes mamelles que vous tenez, monsieur

Cela te vaudra 10 coups de cravache sur les mamelles pour te rafraîchir la mémoire.

 

Lilly ne répondit pas, “manquerait plus que je doive le remercier de bien vouloir me punir.

Pensa t elle. Faut quand même que je fasse gaffe à mes réponses si je ne veux pas être punie. Cela lui ferait trop plaisir. Va y rince toi l’oeil vieux pervers…”

 

Marc descendit la tirette jusqu'en bas et la robe libérée s’entrouvrit dévoilant un sexe épilé.

Il écarta les pans de la robe et effleura son sexe de sa main ouverte.

La réaction de Lilly fut immédiate, elle tira la langue et écarta les jambes afin de faciliter l’accès à son intimité. La fente de son sexe laissa apparaître les petites lèvres. Il les saisit entre les doigts en les étirant afin de juger de leur élasticité. Puis il les écarta largement tout en accentuant la pression cherchant à évaluer sa résistance à la douleur.

Malgré la souffrance Lilly ne bougea pas mais cet instant lui sembla durer une éternité.

Il s’interessa à son clitoris, fit glisser le capuchon afin de mieux atteindre le bouton, le pinça, le titilla.

Son autre main s’approcha de ses orifices. Il fouilla sa chatte d’un doigt inquisiteur puis glissa un autre puis deux entre ses fesses. Il lui arracha de petits cris et quelques gémissements mais son corps resta immobile.

 

Cet examen terminé il ordonna à Lilly d’ôter sa robe. Elle obéit promptement.

Lorsqu’elle fut nue, il donna un coup bref sur la laisse et en bonne chienne elle le suivit dans le salon.

 

 

Il la mena jusqu’au milieu de la pièce et m’invita à prendre place en face d’elle, dans un accueillant canapé en cuir. Lilly se mit aussitôt en position d’attente et ne bougea plus.

Il s’adressa à moi.

Elle connaît d’autres positions ?

Oui bien sûr il te suffit de lui indiquer un nombre de 1 à 6 et elle prendra la pose.

Celle ci est la première elle la prend en absence d’ordre, c’est la position d’attente.

Elle a aussi appris à se présenter en une phrase explicite.

Il tendit l’oreille intéressé. Il s’approcha d’elle et elle sentit son parfum ambré et il lui dit d’un ton doucereux.

je t'écoute Lilly

Lilly jeta un œil dans ma direction cherchant un appui. Je pris la parole d’une voix forte.

Présente toi.

Elle parla d’une voix basse et tremblante.

je m’appelle Lilly. Je suis soumise.

Marc l’interrompit.

Recommence en parlant plus fort. Tu dois être fière d’annoncer ta condition de soumise et pas larmoyante.

Lilly reprit d’une voix plus ferme.

Je m’appelle Lilly, je suis soumise. Mes 3 orifices sont disponibles. Usez en, et abusez en à votre guise. Si vous n’êtes pas satisfait de mes services ou pour votre plaisir vous pouvez me punir sévèrement. Je vous servirai et vous obéirai comme la bonne chienne que je suis.

Marc avait écouté avec attention.

Voilà une jolie invitation, on aurait tort de s’en priver.

Prends la pose numéro 2.

Lilly descendit ses bras et ses mains écartèrent les grandes lèvres ouvrant largement son sexe.

Marc s’approcha se pencha pour bien voir la chatte, provoquant sa gêne. Il glissa un doigt dans le trou béant et Lilly tira la langue. Il recommença l'opération à plusieurs reprises l’obligeant à chaque fois à sortir sa petite langue

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aziyad
Récit fluide, agréable à lire, vivement la suite, car très excitant. Merci
J'aime 10/02/24
Bdsmforyou
Merci oui il y a une suite et cela se corse pour lilly 🫢
J'aime 11/02/24