Ultimathule35
par le 16/02/24
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Tu as gainé tes formes généreuses de quelque dentelle et voile transparent

Je devine quelque lingerie bien choisie, piège à peine dissimilé pour ton amant

A cette vision, mon cœur bondit d’amour, tu devines mon désir ému

Je te voulais séduisante, je te vois désirable, je te veux déjà nue, 

Tu es si belle, amante séduisante, hôtesse prévenante, maitresse délurée

Cette soirée est si douce mais si interminable de promesses inavouées

Alors je jouerai ton jeu, comme si c’était la première fois, je veux te conquérir 

Plus que nos mains, nos mots d’abord innocents trahissent l’envie de séduire

Comme deux adolescents, nous retrouvons l’émotion de la première fois, 

Comme deux amants, nous savons l’issue de cette rencontre avec émoi

 

Je vois chaque courbe de ton corps comme un nouvel horizon à conquérir

Je veux chaque parcelle de ta peau comme un territoire que je veux asservir

A chaque mouvement, tes bas crissent comme un archer sur mon impatience

À chaque pas, tes fesses à peine couvertes ondulent avec éloquence

A chaque regard, tes yeux sourient et enjôlent mon cœur avec défi

A chaque mot, tes seins frémissent et m’haranguent en autant de préavis 

Tu es chatte qui joue avec la souris, je suis souris qui rêve de dévorer le chat

Je suis serviteur soumis à sa maitresse, tu es lionne en habits de geisha

A la lueur des bougies, tu deviens rêve, tu deviens ombre mystérieuse

La moindre courbe de ton corps se gave de cette lumière parcimonieuse 

Je me repais de ta vision merveilleuse, je profite de ces instants préliminaires

Je frémis à notre future escarmouche, mais je suis déjà soumis à mon adversaire

Je sais déjà que je vais me rendre à ta raison, me soumettre docilement à ta loi

Je serai esclave servile de ton plaisir, tu seras concubine gardienne de ma foi

Mais avant de te concéder cette future victoire, il nous faut ouvrir la joute

Je dois lancer l’offensive, fourbir mes armes malgré mon inexorable déroute

Je suis mâle et tel est mon destin, je suis amant et telle est ma raison

Tu es femme et telle est ton attente, tu es amante et je te dois passion

J’effleure tes épaules fines vers ton cou frémissant à mes chuchotements

Je mordille tes lobes et lèche tes oreilles, tu trésailles de ravissement

Mes lèvres effleurent tes joues rosies et trouvent ta bouche entrouverte

Je t’embrasse et je savoure cette victoire de te trouver presque déjà offerte

Mes mains découvrent ton dos vers la douceur de tes fesses rebondies

Ta peau si fraiche me fait chavirer, ta chair si douce me met en appétit

Tes doigts viennent à la rencontre de mon désir, je te suis déjà dévoué

En quelques passes adroites, nous voici nus et nos corps sont libérés

 

Tu t’exhibes devant moi, mon désarroi t’amuse, tes mains soulignent ta nudité

Mes yeux rencontrent tes seins, ton ventre, tes cuisses et ton pubis rasé

Cette vision me trouble et je viens poser mes lèvres sur ton secret révélé

Tu agrippes mes cheveux pour guider mon visage contre ton ventre dévoilé

Puis tu rejoins le lit pour mieux m’attirer dans le piège de ton envie

Tu empoignes mon être, tu caresses mon membre dressé, tes yeux me défient

Tes mains flattent mes couilles frémissantes, tes lèvres effleurent ma queue, 

Je m’accroche à tes cheveux, je regarde ta langue gravir mon épieu,

Soudain tu me gobes brutalement avec gourmandise et tu souris de me posséder

Je me rends à ta domination, je m’offre à ta possession, je suis ta chose, ton jouet

Ta bouche sur mon membre est si douce et chaude que mes sens me dévorent

Nos regards se croisent, alors que sans aucune pudeur tes mains m’explorent

Tes yeux m’interrogent avec provocation, tes doigts cherchent d’autres voies

Tu revendiques mon plus intime comme ton fief, je me soumets à cette nouvelle loi

Tu brandis le membre factice que je te destinais, ton nouvel allié traitre à ma cause

Ce gourdin prêt à en découdre, je le sens déjà en moi, je suis déjà sous son hypnose 

J’implore toutefois ta clémence mais je suis déjà impatient de recevoir l’artifice 

Tu es clémente, tu consens à lubrifier la chose pour assurer sa faculté de glisse

Tu affutes ta dague et tu l’enfonces en moi sans pitié en instrument de ton office

Je te reçois par son entremise, je t’accueille avec humilité tant tu forces mon orifice

A chaque offensive de ta bouche répond une charge du gredin expert entre mes reins

Je ne sais te résister, je ne sais te remercier, je ne sais que t’encourager, moi le pantin

Je caresse tes cheveux, je ne peux encore te montrer autrement combien je t’aime

Mon corps entier tremble de plaisir, mais je sais que ce n’est que le premier thème

Tu jubiles de cette empalement réciproque, duel sans vaincu mais à deux vainqueurs

Pourtant ton exploit n’est qu’un avant-goût de futures batailles aux enjeux supérieurs

Tu joues avec le feu qui me consume, tu ris de me voir pantelant sur ton glaive, déjà défait

Me sentant défaillir, tu t’écartes de mon fleuret et tu me tends un sourire brillant et satisfait

Non, c’est trop facile, tu exiges un adversaire à ta valeur, tu réclames la contre-offensive

Tu veux à ton tour subir ma charge, tu veux être à ma merci, subir ma loi possessive 

 

Doucement, tu me quittes pour mieux m’inviter à t’assiéger, tu revendiques ton plaisir

Ton acolyte me délivre et s’écarte avec respect, pas trop loin, il peut encore servir

Tu t’étends sur le dos, ton ventre impudique exhibé, tes doigts jouent dans ta fente

Tes pieds gambadent sur mon ventre et s’emparent de ma queue si obéissante

Tu m’ordonnes de m’incliner, je deviens ton vassal, tu exiges preuve de ma dévotion

Je m’agenouille entre tes cuisses impatientes, ta fontaine dispense déjà sa douce potion

Alors que tu caresses ton ventre, que tes doigts initient ta vulve aux futurs mystères

Tu me souffles de te montrer adoration, tu m’intimes de te baiser depuis la terre 

Mes lèvres entament l’ascension de tes jambes et glissent vers ta source inexorablement 

Je suis la courbe de ta cheville, tu m’enserres de tes jambes, tu m’attires fermement

Le bas me fait barrage mais m’excite à la fois, bientôt j’atteins ta peau au goût de brise

Tu gémis lorsque je rallie ce nouveau territoire, tes cuisses me poussent en terre promise

Je parviens enfin au but, je flaire ta nudité, je goûte ta féminité, je suis au commencement

Je lape ton essence avidement, je suce ta chair et lèche ta substance avec ravissement

Ma langue s’aventure vers le plus intime de toi, mes doigts te fouillent et ton corps se tend

Tu saisis tes fesses pour t’écarteler encore et élargir la voie à mes hommages insistants

Tes reins ondulent du désir de mon exploration, tes gémissements se font encouragements

Ton sexe palpite du plaisir de ma perquisition, tes halètements deviennent commandements

Tu m’enjoins de te caresser au plus profond, tu m’ordonnes de maintenant te pourfendre

Je ne sais où te combler, dois-je me multiplier ? Je ne sais de quel instrument te prendre

Finalement je m’assure d’un précieux duo d’auxiliaires zélés, à ton impérieuse requête

J’enduis les duettistes et te pénètre doublement, alors que tu encourages ma conquête

Tu te laisses aller à cette double pénétration avec volupté, au comble du renoncement

Je me délecte du spectacle de ton corps ainsi supplicié, au comble du ravissement

Tu m’appelles près de toi, je te rejoins, tu me réclames et je m’approche plus

Ta demande est décidément gourmande, mais soit, j’autorise que tu me suces

 

Tu es belle ainsi criblée et j’exulte de te soumettre ainsi à mon asservissement

Je te vois esclave et je me crois bourreau mais l’évidence s’impose finalement

Je ne suis pas seigneur de ces tortures, tu es seule maitresse de ces instants précieux

Même alors que tu jouis avec violence et sans retenue, je ne suis qu’un laquais envieux

Haletante, tu réclames, tu appelles, tu convoques, tu m’ordonnes de te prendre

Je décide de me venger de ton plaisir, je veux l’initiative, je vais te faire attendre

Je chasse alors mes assistants tortionnaires devenus importuns et libère tes intimités

Ma langue tyrannique affole ton précieux bouton et je caresse ton minou détrempé

Avec délectation, je lèche une dernière fois le nectar de ta source en guise d’adieu

J’entreprends alors l’assaut de ton corps sans défense, seulement armé de mon pieu

Je rampe et arpente ton territoire nu, ma poitrine effleure ton chaton encore béant

Je ne suis pas pressé, je sais que bientôt mon sabre y trouvera un fourreau accueillant

J’atteins les douces collines de tes seins gonflés, tu me tends tes fiers mamelons

Je m’attarde, je mordille l’un, je lèche l’autre, je suce et je gobe tes tendres tétons

Puis je gravis ton cou, je croque tes lobes avant de conquérir ton visage

Tu me souffles des mots d’encouragement, je souris de te voir si peu sage

Je caresse tes lèvres de ma langue, je caresse tes lèvres de mon hampe

A bout de désir, tu coupes court à mon jeu, tu m’empoignes, impatiente

Un instant suspendu, tu sembles hésiter sur la destination du précieux membre

Tu palpites encore au souvenir de mes deux gredins, tu les sens encore te fendre

Je me glisse entre tes cuisses, je me présente contre ta vulve radieuse, tu frémis

Je me glisse entre tes fesses, je me propose contre ton œillet épanoui, tu gémis

Finalement à mon grand dam, tu guides résolument mon pal vers ta chatte 

Comme je tergiverse, tu t’empares de mes fesses et m’enfonces à la hâte

Tes râles accompagnent ma poussée, ton corps se cambre pour me recevoir

Je commence à aller et venir en toi et tu gémis sous mes coups de boutoir

Ton sexe est si humide, si chaud, si accueillant, tu m’encourages à t’enfiler

Je te baise avec amour, je te fais l’amour avec violence, je t’aime à te déchirer

Mais cette bataille aussi n’a qu’un temps, bientôt nous aspirons à d’autres mêlées

Doucement, tu m’invites à basculer, je t’obéis et glisse hors de toi sur le coté 

Tu m’enfourches brutalement, telle une amazone dans une farouche chevauchée, 

 

Je te réclame patience et retenue, il est trop tôt pour exulter, je réclame ta pitié

Tu reviens à la raison, tu m’accordes répit et tu me montes alors avec chasteté

Tu joues de ton bassin, tu ondules en me souriant et te cambres, tu es majesté

Sur le champ de nos batailles, le calme salue ton avantage, la trêve est bienvenue

Mon amour, accordons-nous un instant de douceur, viens le long de moi avec retenue

Je caresse tes seins, tu caresses mon torse, je caresse tes fesses, tu m’embrasses

Nos sexes se fondent doucement, nos corps communient tendrement, je t’enlace

Dis-moi tes envies, chuchote-moi tes désirs, murmure-moi tes exigences

Je serai ton majordome servile, le domestique appliqué à ta seule jouissance

 

Tu me prends au mot, tu acceptes mon allégeance, tu seras donc ma souveraine

Tu te redresses, me domines de ta splendeur et décides de ma nouvelle peine

Je suis condamné à souffrir encore ton serviteur infatigable tandis que tu me recevras

Ma foi, cette condamnation me sied, j’imite la résignation accablée mais j’en salive déjà

De nouveau ton regard me défie, je te donne ma bénédiction et je me réjouis

De nouveau, tu convoques ton lieutenant qui doit être convenablement enduit

Je sens le coquin guidé par tes soins entre mes fesses, je feins le refus mais je capitule

Ton regard indomptable me transperce aussi fort que ton artifice implacable m’encule

Finalement, tu te lasses de me chevaucher, tu abandonnes mon dard pour te retourner

Tu te renverses pour m’offrir ton cul à lécher, et tu t’emploies à mieux me sodomiser

Je deviens fou lorsque tu me tends l’autre coquin et m’invites à te rendre la pareille

Mon application paye, vous êtes si humides qu’il n’est nul besoin d’enduire l’appareil

Alors que ma langue te lèche la chatte, le précieux auxiliaire me relaie au plus profond de toi

Sans autre forme de procès, ta bouche confisque mon phallus tendu tandis que je te bois

Tu me suces goulûment, tu me branles avidement, mon cul s’offre à ton appendice

Tes reins accueillent mon gode, je te masturbe ardemment, je te lèche avec délice

 

Alors que notre frénésie porte nos corps et nos âmes vers d’autres rivages

Notre plaisir nous rejoint au plus fort de notre soumission réciproque et sauvage

Tu te cabres comme une pouliche effrayée alors que tu laisses éclater ta jouissance

Ton plaisir m’inonde alors que ta bouche libère ma sève qui explose avec puissance

Ton plaisir s’écoule sur mon visage alors que tu t’effondres sur mon corps

 

Ma semence s’écoule de tes lèvres alors que tu me dévores

Je flatte ta croupe fourbue, mes mains pleines de ton essence caressent tes reins

Tu embrasses mon étalon harassé, tes doigts pleins de ma liqueur massent tes seins

Ta fontaine éventrée s’offre à mes derniers baisers, tu joues de mon manche brisé

Tu rampes pour venir te blottir dans mes bras, tu agaces mes tétons encore dressés

 

Je caresse tes fesses et glisse distraitement un doigt au plus humide de ta raie

Tu ondules pour ma faciliter l’accès à cette issue en toi trop rapidement délaissée

Tu poses ta cuisse en travers de moi, ton sexe ruisselle sur mon ventre

Tes doigts cajolent doucement ma verge déconfite et tremblante

 

Attention, je crois que ça pourrait me redonner envie de toi… 

 

 

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