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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Comme je m’y attendais, Maîtresse Caroline jouit plusieurs fois en utilisant ma langue. J’aime profondément l’honorer ainsi, c’est pour moi une réelle récompense et Maîtresse le sait. Parfois, entre deux cours, elle revient à son appartement, pour se faire prodiguer un rapide cunnilingus par son esclave soumis, puis elle repart, apaisée, me laissant dans un état d’excitation indescriptible, le visage maculé de sa mouille qui m’enivre. Je crois que la liqueur de ma Maîtresse a sur moi l’effet d’une drogue, dure. Lorsqu’elle me refuse son sexe délicat, pour l’offrir à Ennia par exemple, ou pour se caresser en m’ordonnant de regarder, c’est une intense humiliation et une frustration terrible pour moi.
Maîtresse exige que je la fasse jouir avec ma langue chaque matin. Je suis le premier levé, cela va de soit. Je prépare son petit déjeuner, et à l’heure ordonnée, je glisse ma bouche entre les cuisses de Maîtresse. Le plus souvent, Maîtresse jouit rapidement, ses mains empoignant mes cheveux pour mieux me plaquer contre elle. Elle m’abreuve alors de sa jouissance, forte et abondante. Le week-end, Maîtresse Caroline aime prendre son temps. Je dois l’honorer longuement, et user de ma langue aussi bien sur son clitoris que son œillet mauve. Elle aime aussi que je m’attarde dans son sillon pendant qu’elle se masturbe. Je dois avouer que voir Maîtresse Caroline jouir, entendre Maîtresse Caroline jouir, ressentir son plaisir, son corps qui se tend, ses halètements, tout cela est suffisant pour vivre.
Elle est d’une beauté qui me bouleverse. Et je sais que c’est un honneur que de pouvoir assister à cela. Que me le permettre est une marque de confiance que m’accorde Maîtresse Caroline.
Après ses orgasmes successifs, Maîtresse m’ordonne de lui servir un alcool, puis de m’agenouiller à ses pieds, regard baissé, cuisses ouvertes et mains derrière le dos. Ensuite, elle joue du bout des orteils avec ma cage, ce qui a pour effet de m’exciter douloureusement. Je n’ai toujours pas encaissé la frustration de ma jouissance avortée dans la bouche d’Ennia, et je gémis, les larmes aux yeux.
-Ma chienne, je crois que tu as compris n’est-ce pas ? Ennia va nous quitter. Je la cède à un Maître de mes amis. Nous nous sommes rencontrés il y a 3 mois, lors d’une soirée SM, et il a flashé sur ma pute rousse. Il la reçoit régulièrement, pour la tester. Normalement, elle entrera pleinement à son service la semaine prochaine. Tu n’es pas trop déçu ?
Je suis sans voix. Je pleure silencieusement. Anéanti. Je n’arrive pas à croire ce que Maîtresse Caroline m’annonce. Et son sourire me crucifie.
-Tu m’appartiens ma chienne, mon esclave soumis. Ennia aussi, enfin pour quelques jours encore. Et je fais de vous ce que je veux. Peut-être que je te vendrai toi aussi. A un couple gay dominant, tu aimerais ? Devenir une bonne lope, une bonniche putain à demeure… Réponds moi quand je te pose une question ?!!!
Maîtresse Caroline me gifle sèchement. Je pleure toujours mais j’ose lever mes yeux et les planter dans son regard.
-Divine Maîtresse, je vous supplie de me garder auprès de vous. Vous êtes ma raison de vivre, ma déesse, ma sublime Déesse. Dans la vie, je n’ai qu’un seul but : vous vénérer. Aussi, je vous supplie de m’emmener encore plus loin sur les chemins de vos fantasmes, de vos désirs Maîtresse Caroline. Je vous suis fidèle, votre pute, votre salope, votre esclave soumis. Faites de moi ce que vous voudrez Maîtresse, mais je vous en supplie, ne m’abandonnez pas. J’ai tout abandonné pour vous, j’ai choisi cette vie pour vous Maîtresse Caroline. Cependant, je ne le regrette pas un seul instant. Je suis heureux avec vous. Je vous aime Maîtresse Caroline, intensément.
Maîtresse me regarde longuement, sans un mot. Puis elle me tend sa main que je m’empresse de baiser du bout des lèvres, en signe d’allégeance.
-En attendant, esclave soumis, va préparer mon bain, et ensuite tu te mets en cuisine. J’ai faim !
Après le repas, Maîtresse Caroline ne s’intéressa plus à moi. Je finis de nettoyer la cuisine, puis la salle de bains et je pris la pose, aux pieds de Maîtresse, attendant qu’elle daigne m’adresser la parole. Nous avions un rituel. Si je souhaitais interroger Maîtresse, je devais me placer ainsi, et attendre son bon vouloir. Mon temps d’attente était parfois court, parfois très long, et parfois même Maîtresse partait sans s’être intéressée à moi. Cette fois, Maîtresse attendit près de 10 minutes, le temps de fumer 2 cigarettes en lisant un magazine.
-Oui ma pute ?
-Divine Maîtresse, puis-je rejoindre Ennia ? Je.. j’aimerais… j’aimerais la voir, j’ai besoin de la voir, je vous en supplie Divine Maîtresse Caroline.
Elle prit tout son temps pour me répondre.
-Va. Je suis dans un jour de grande bonté, et vu qu’elle va bientôt nous quitter… je t’accorde une dernière nuit avec elle. Détache-la, prends soin d’elle comme tu veux, et tu peux même passer la nuit avec elle. Du moment que demain matin, le service est effectué comme il doit l’être. Je ne tolérerai aucun manquement, tu le sais ma chienne. Ce soir je suis crevée. Allez… dégage de ma vue, et va rejoindre ta pute rousse.
Je me jetais aux pieds de Maîtresse, les baisant en la remerciant…
-Mais dégage maintenant ! Tu me gonfles avec tes jérémiades. Vite avant que je ne change d’avis !!!
Je ne me fis pas prier davantage et je rejoignis Ennia. Mon amour s’était réveillée, attachée, meurtrie par la correction infligée par Maîtresse Caroline. Doucement je la détachai et la conduisis à la salle de bains, en la soutenant de mon mieux. Je lui fis couler un bain, et la ramenai dans la chambre. Nous n’avions pas échangé un mot. Juste des regards. J’entrepris de la masser délicatement avec une crème apaisante, en insistant sur les marques de cravaches qui zébraient sont corps. Maîtresse avait vraiment eu la main lourde.
Ennia s’abandonna à mes mains expertes et plongea dans un demi-sommeil, m’offrant son anatomie en soupirant.
-Caresse moi… fais moi jouir avec tes doigts, mais très lentement. Ensuite j’ai envie que tu me lèches s’il te plaît… j’ai envie de ta langue.
Ennia était une soumise, mais c’était une femme. Et par là supérieure au mâle soumis que j’étais. Je devais donc lui obéir, quand bien même aucun ordre n’était nécessaire pour que je me mette au service du plaisir de celle que j’aimais à la folie. J’aimais intensément Maîtresse Caroline, mais avec Ennia, mon amour était plus profond, quelque chose d’absolu qui explosait lorsque je la regardais, lorsque nos peaux se rejoignaient, nos langues se mêlaient, nos soupirs de plaisirs à l’unisson, ou simplement lorsque je pensais à elle. Sa seule présence me rendait heureux, et ce plaisir qu’elle me réclamait était un cadeau de la vie, le plus beau à mes yeux.
Je la fis jouir longuement, lentement et avec une infinie tendresse. Aucun de nous n’avait remarqué la présence de Maîtresse Caroline, adossée contre la porte de la chambre. Elle nous regardait avec une intensité rare, jouant avec une clé entre ses doigts, LA clé, celle de ma cage.
-Approche!
Pas un mot de plus. Maîtresse Caroline me libéra, non sans mal car faire jouir Ennia m’a bien entendu excité comme un fou. Je me mis à genoux, et en plantant mon regard dans celui de ma Dominatrice, je pris sa main entre les miennes pour la baiser respectueusement. Pas besoin de merci, Maîtresse Caroline pouvait lire dans mes yeux toute ma reconnaissance et à quel point son geste me touchait au plus profond. Je retournai auprès d’Ennia, assise à genoux sur le lit. Elle aussi me regardait avec une intensité rare. Elle m’invita à prendre la même position, face à elle.
-Caresse toi pour moi…. je veux que te regarder te masturber, et surtout jouir. Je veux garder cette image de toi. Je t’aime. Et je ne sais pas si je te reverrai.
J’ouvris la bouche pour répondre, les larmes aux yeux, mais Ennia posa un doigt sur mes lèvres.
-Je t’en supplie, ne dis rien… s’il te plaît, c’est ainsi. Je t’aime, j’aime Maîtresse Caroline, mais je suis une soumise et je vais avoir un nouveau Maître. J’ai un nouveau Maître. Je pars dans 2 jours. Je vais arrêter l’école, ne dis rien par rapport à cela aussi, s’il te plaît. C’est mon choix. Maintenant caresses-toi…. donne moi ton plaisir je t’en supplie, j’en ai besoin…
A genoux, cuisses ouvertes, j’obéis. Ennia vint à côté de moi, et tout en regardant ma main aller et venir, elle me murmura à l’oreille, m’encouragea, me réclama son dû, gémit de plaisir en sentant le mien monter…
-Jouis, oui…. laisse toi aller, donne moi ton foutre mon amour, branle-toi pour moi… viens, viens maintenant….
J’hurlai en éjaculant, la main d’Ennia venue caresser mes testicules m’avait donné le coup de grâce. Elle recueillit ma semence dans la paume de sa main puis la porta à sa bouche avant de me renverser sur le lit et de m’embrasser, passionnément. Nous nous enlaçâmes longuement, et corps contre corps, le désir finit par renaître. Nous fîmes l’amour comme lorsque Maîtresse m’offrit Ennia, cette sublime première fois qui scella mon destin de soumis. Une ultime étreinte, perdus l’un dans l’autre, pleurant, riant, jouissant, heureux et amoureux. Peu importait demain, peu importait tout.
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Ennia s’agenouille à mes pieds, plante ses yeux dans les miens et pose ses lèvres sur mon gland. Par nos regards soudés, nous nous retrouvons. Je peux à nouveau lire l’amour qu’elle a pour moi, le désir…. mais j’y lis aussi de la détresse, de la peur. Serait-ce la menace de Maîtresse Caroline ? Je ne crois pas, elle en a vu d’autres. Il y a autre chose, de plus profond, de plus insidieux. Je bande comme un fou. Maîtresse me maintenait en cage depuis 6 jours, avec des excitations quotidiennes pour « me maintenir en état » précisait-elle. J’avais envie de jouir, et surtout je ne voulais pas qu’Ennia soit cravachée. Ainsi, je me doutais que Maîtresse Caroline, et peut-être aussi Maîtresse Chloé, serait sans pitié.
Je me concentre sur mon plaisir. Ennia connait parfaitement les caresses les plus efficaces. Maîtresse Caroline donne le timing, toutes les 30 secondes. Une façon, sans aucun doute, de nous mettre la pression et de nous déconcentrer pour que je ne puisse jouir à temps. Je ne veux pas y penser. Retourner dans ma cage après avoir goûter à la bouche de mon amour, assister ensuite à sa punition, cela serait au delà de mes forces. Ennia accélère le va et vient de ses lèvres, au même rythme que sa masturbation. Ensuite, son autre main caresse mes bourses, un doigt se faufile entre mes fesses. Ses yeux soudés aux miens, ses doigts qui serrent, accélèrent encore, la pointe de sa langue sur mon frein, je sens le plaisir monter, du plus profond de moi, alors que Maîtresse Caroline entame le décompte, à haute voix bien sûr, des dernières 30 secondes.
Jouir, je ne veux qu’une chose : jouir. Me vider, exploser, hurler de plaisir. Mais alors que la voix de Maîtresse Caroline, à laquelle s’est jointe celle de Maîtresse Chloé, égrène les 10 dernières secondes, Ennia stoppe net sa caresse. Ses yeux pleins de larmes regardent mon incrédulité, ma détresse. Je hurle « Noooonnnnnn pitiéééé » mais le couperet tombe : Zéro ! hurlent en cœur mes Maîtresses, affichant un large sourire.
Je m’effondre au sol, en proie à une crise de larmes. En effet, je pleure mon désir coupé net, ma jouissance à peine approchée, mon incompréhension la plus totale. Je ne suis rien. Même pas un animal à qui l’on accorde un peu de plaisir. C’est l’impression d’être au sol depuis une éternité, alors que cela ne fait qu’une ou deux minutes, lorsque la voix de Maîtresse Caroline me ramène à la réalité :
-Chloé, chope le par ses pinces à sein et relève le. Faut le remettre dans sa cage maintenant. Mais d’abord, il faut qu’il débande, et je ne connais qu’un moyen !
La douleur me fait obéir et suivre les mouvements de Maîtresse Chloé. Je me retrouve debout, bras maintenus dans mon dos, queue dure et dressée. J’ai peur, je suis déboussolé, mais je bande encore très dur. Bien trop pour remettre la cage en place. Maîtresse Chloé tient mes poignets d’une main et se saisit de la pince qui torture mon téton droit. Un quart de tour suffit à m’envoyer une violente décharge dans la poitrine :
-Ecarte les cuisses salope, offre bien ta queue à ta Maîtresse ! Elle va te passer l’envie de bander !!!
Elle éclate de rire lorsque Maîtresse Caroline saisit la base de ma hampe, pour la maintenir à l’horizontal, et que la cravache vient frapper mon gland offert. Je hurle, je rue, mais Maîtresse Chloé tient fermement mes poignets et la pince fait son office. De plus, la douleur de mon téton s’ajoute à celle des coups sur mon gland, ma hampe. Sept coups suffisent à venir à bout de mon érection. Enfin, ma queue débande, et Maîtresse Caroline remet en place ma cage de chasteté.
-Et voilà. On est reparti pour une semaine, ou peut-être même plus, hein ma pute ? Tant pis pour toi, tu as eu ta chance !!!
Je sanglote, et cela ne semble pas vouloir se calmer.
-Et arrête de pleurnicher. T’es une petite pute, MA PUTE, et c’est moi qui décide. J’en ai marre de t’entendre ! Tu vas assister à la punition de mon autre pute, même pas capable de faire gicler un soumis en manque ! Va falloir t’améliorer, sinon ton futur Maître va remettre en cause son achat. Il est déjà moyennement satisfait de ses tests avec toi. Et ça, crois moi, tu vas le payer. Tu m’as fait honte ! Tu m’as humiliée, MOI ! TA MAITRESSE !!! Tu vas payer très cher, je vais te faire sucer tout le personnel d’un chantier, pour t’entraîner. Tu n’es qu’une truie, juste bonne à mettre à l’abattage. Et moi qui croyais avoir dressé une bonne soumise !!!
La colère de Maîtresse Caroline ne semble pas feinte, même si je pense que l’arrêt de ma fellation avait été ordonné par Maîtresse. Tout était convenu et Ennia n’avait pas le choix. Je n’ose comprendre ce que j’entends. Ennia, Maître, achat, tests…. serait-ce là l’explication de ses absences de plus en plus régulières ? Maîtresse Caroline céderait Ennia à un autre Maître ??? Je refuse de comprendre. Impossible. Ennia, mon amour, celle qui a fait que je suis là aujourd’hui, soumis encagé d’une sublime Dominatrice nommée Caroline. Ennia… je ne peux admettre, accepter de la perdre. Je veux passer mes jours avec elle, ma vie ou ce qu’il en reste.
J’en suis là, perdu, lorsque le premier coup de cravache s’abat sur les reins d’Ennia, attachée, nue, debout sur la pointe des pieds au milieu du salon, les chevilles maintenues par une barre d’écartement. Maîtresse Caroline a fait installé un anneau solide au plafond, et elle adore l’utiliser pour y suspendre Ennia ou moi-même.
-Position parfaite pour une bonne correction ! : dit-elle.
Bonne n’est pas le mot qui convient. Violente oui. Les coups pleuvent sur Ennia. Reins, seins, cuisses, dos, ventre, sexe…. Maîtresse Caroline ne lui épargne rien. Ensuite, elle s’acharne sur sa vulve et ses fesses, en la maudissant de lui avoir fait tant honte. Ennia hurle dans son baillon boule, le visage ravagé par la douleur, les larmes… je ne l’ai jamais vu ainsi. Elle ne cherche pas à résister. Ne peut pas. La douleur est trop intense. Maîtresse Caroline se révèle incroyablement cruelle, une cruauté à la hauteur de sa colère. La punition dure un bonne vingtaine de minutes.
Lorsque je détache Ennia, elle s’effondre dans mes bras et je dois la porter dans la chambre. Maîtresse Caroline m’ordonne de l’installer sur le lit, en lui attachant bras et jambes en croix. J’ai juste le droit de lui ôter son baillon. Aucune chance de l’apaiser, de caresser son visage, encore moins de déposer un baiser tendre sur ses lèvres, Caroline et Chloé surveillent l’opération. Ennia ne réagit pas, dans un état second après la violence de sa correction.
-C’est bon, ça suffit. T’inquiète pas elle va survivre ta chienne adorée… Maintenant tu reviens au salon. Tout cela nous a particulièrement excitées, et nous, on a pas encore joui. Tu as encore du travail ma salope. Faire jouir tes Maîtresses. N’est-ce pas la plus belle des récompenses ?
-Oui Maîtresse Caroline, c’est un véritable honneur de vous donner de plaisir !
Je dois commencer par Maîtresse Chloé. Elle doit partir mais pas sans avoir eu sa dose de jouissance. Je viens à quatre pattes enfouir ma langue entre ses cuisses. Maîtresse jouit rapidement, et abondamment. Ensuite, je prends soin de bien la nettoyer, comme elle aime à l’être. Au fil des semaines, Chloé s’est installée peu à peu chez Maîtresse Caroline. Elle vient de plus en plus souvent, et reste parfois pour la nuit. Ma Maîtresse et elle se sont découvert une vraie complicité dans la perversité, le sadisme et le dressage de chienne comme moi. Elles rivalisent d’imagination, même si Chloé reste un peu en retrait, Maîtresse Caroline menant la danse la plupart du temps. Je me demande ce dont Maîtresse Chloé serait capable, si elle pouvait se révéler librement, sans la présence de Maîtresse Caroline.
Enfin, ma Maîtresse prend congé de son amie et revient vers moi, à genoux au milieu du salon. Elle n’a pas encore joui et je sais qu’elle va réclamer son dû, plusieurs fois, pour mon plus grand plaisir je l’avoue. Faire jouir Maîtresse Caroline est une chose dont je ne me lasserai jamais. Sa liqueur est une drogue, abondante, délicieuse… et le face-sitting dont Maîtresse raffole est la plus sublime des tortures à mes yeux.
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1ère rencontre avec mon Maître
Notre relation dure depuis peu de temps, à la base nous ne devions pas être dans une relation D/s, mais plus dans l'apprentissage, l'éducation et découverte du monde BDSM pour ma part. Mon Maître, puisque maintenant je peux l'appeler comme ceci, a décidé tout en connaissance de cause de me prendre sous son aile, pour m'apprendre et me faire découvrir... Au début, nous avons échangé par message, mail.... Puis par un puis plusieurs appels téléphoniques.... J'étais déjà dans une relation BDSM mais pas comme je me l'étais imaginée... La rencontre et les échanges avec mon 1er Maître m'ont fait peur.... J'en ai discuté avec mon Maître actuel et ce dernier m'a dit que cette relation n'était pas faite pour moi au vue de mon passé et qu'il fallait que je stoppe car cela allait me détruire plus qu'autre chose....je l'ai écouté mais en tant que protecteur et ami.... Puis les semaines ont passé, nos échanges ont continué de plus en plus dans l'éducation et ce qui arriva, arriva...nous avons décidé de passer de l'autre côté à savoir lui mon Maître et moi sa petite soumise....nous ne l'avions vraiment pas envisagé, ni même prévu mais notre relation est fluide, simple, une complicité s'est installée entre nous et nous n'arrivons plus à ne plus être dans cette relation amicale.... Nous avons pris goût à nos petits appels, nos petits rituels, défis et punition qu'il est difficile aujourd'hui d'envisager autre chose... Une confiance totale s'est installée entre nous, je lui dis tout.. Alors cela peut paraître bizarre aux yeux de certain ou certaines mais ce n'est qie du virtuel entre nous, et nous prenons énormément de plaisir à cela, et qui sait peut-être qu'un jour le virtuel deviendra réel... Et là la soumise qui l'aura faite de moi pourra mettre en pratique ce qui lui a inculqué mais avec une grande appréhension pour elle car nouvelle dans ce domaine.... J'espère qu'à la lecture de cette petite histoire mon Maître ne m'en voudra pas de ne pas lui avoir envoyé avant le contenu et comprendra le devenir après ces 3 semaines à moitié off que nous avions convenu ensemble... Merci pour votre patience et votre soutien dans ce nouveau chemin qui s'ouvre ou s'offre à moi à vos côtés
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Annelore,
Ma petite Belge, ma collaboratrice et mon "prototype".
Annelore était ma collaboratrice quand je travaillais en Belgique, grande 172, fine 50 kg et une jolie petite poitrine.
Elle portait souvent des cuissardes qui allongeaient encore son corps et mettait en valeur la rondeur de ses petites fesses.
Pour la remercier de l'obtention d'un marché, je l'invitais à dîner à BRUGES. Ne connaissant pas encore bien cette ville Belge, je lui laissais le choix de l'établissement. Lors du repas nous sommes sortit du cadre professionnel pour parler de nos vies respectives et j'ai pu aussi découvrir qu'Annelore aimait le bon vin de la France comme elle disait avec son accent FLAMAND.
Après le repas elle me fit déambulé dans les rues de BRUGES pour me faire découvrir cette jolie petite sous les éclairages des réverbères.
J'osais poser ma main sur son cou, elle tressaillie légèrement et nous continuâmes à marcher. Au coin d'un mur, je la tournais vers moi et l'embrassais langoureusement tout étonné qu'elle me rendre mon baiser, j'avais déjà 50 ans et elle 28 ans. Ce soir la je ne pu que dans la voiture toucher son sexe humide mais elle me refusa l'entrée chez elle.
Ce ne fut que partie remise car la semaine suivante, nous fîmes l'Amour sur son canapé. Je la découvrais avide de sexe, elle aimait les caresses, les jeux de mains de langues les pénétrations par tous ses orifices. Notre relation commençait. Après quelques semaines de jeux banaux, un soir lors de nos ébats elle me demanda de lui serrer le cou fortement insistant pour que mon étreinte soit de plus en plus forte. Au moment ou je voyais ses yeux se révulser j'arrêtais.
Le lendemain nous en discutâmes et Annelore porta à ma connaissance le fait qu'elle avait été l'une des victimes de DUTROUX beaucoup plus jeune et que ses parents n'avaient pas voulu que cela se sache . Elle en gardait un traumatisme certain et aimait être violenté dans les actes sexuels.
C'est ainsi qu'elle devint mon "prototype", celle de toutes les expérimentations ou il fut rare qu'elle me dise non. Nous profitions de nos Week end dans ma propriété de Sologne pour passer par Paris, nous arrêtant fréquemment chez (Pascal, qui devint une relation amicale) le Patron de Cris et Chuchotement (Superbe établissement et une pensée pour lui en cette période de COVID). Que de soirées ou elle était l'attraction, l'objet de toutes les attentions, le jouet des perversités des autres Femmes et Hommes. A travers elle, je me mettais en valeur Moi.
Nous avons arpenter PIGALLE, l'Ambassade de Russie et rencontrer de nombreux (ses) Hommes, Femmes, Couples en France et en Belgique.
Elle voulu franchir une étape en cherchant des relations tarifées me demandant de passer des annonces pour la vendre par téléphone. Elle aimait se livrer dans les hôtels de luxe comme bas de gamme. Elle aimait être PUTE dans l'acte mais jamais dans l'habillment. Sa tenue préférée était la Nudité.
Cette période a eu une fin, d'où la rédaction au passé.
Peut-être un jour viendrais ici narrer en détail l'une de nos soirées.
Jean
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Vous vous placez ensuite, debout, entre mes cuisses. Vous passez vos mains derrière ma tête et défaites mon bandeau délicatement. Je cligne alors des yeux, mets quelques secondes à me refaire à la luminosité... Vous attendez que je sois pleinement remis, puis au moment ou nos regards se croisent, vous retirez doucement votre bustier... Je suis hypnotisé par cette vision, je ne vous quitte plus du regard... Vous me regardez, amusée, puis vous baissez la fermeture éclair de votre minijupe, que vous retirez tout de suite... Il ne vous reste plus que votre petite culotte, terriblement sexy, vous passez vos pouces sous l'élastique et la baissez tout doucement le long de vos cuisses me dévoilant ainsi votre intimité... Cette vision me ravit et m'excite.
Vous me regardez droit dans les yeux, puis placez un de vos pieds sur une de mes cuisses pour bien signifier que je vous appartenais, appuyez bien sur la cuisse, puis commencez a passer langoureusement les mains sur votre poitrine afin de me chauffer encore plus, vous titillez vos tétons, vous arborez un immense sourire et me dites d'une voix encore plus aguicheuse qu avant :
" Ce que tu vois te plaît ? Imagine que ce soit tes mains."
" Oui Madame" je réponds tout en bougeant sur ma chaise, frustré intérieurement de ne pouvoir bouger et mais a la fois très heureux d'etre sous votre contrôle.
Vous descendez alors les mains le long de votre ventre, passez vos mains sur vos cuisses en frôlant votre entrejambe. Votre regard devient alors encore plus coquin, vous me fixez intensément du regard, puis vous caressez votre sexe, ... Je n'en perds pas une miette, vous jouez avec moi, mon excitation, je suis totalement sous votre contrôle... Vous augmentez la pression sur ma cuisse...
Après quelques secondes, vous arrêtez, vous reposez votre pied par terre, vous vous retournez, d'une main vous écartez une de vos fesses, me dévoilant ainsi votre magnifique petite rondelle, et d'une voix autoritaire " lèche" Je m'exécute immédiatement, je me penche en avant et commence a donner de petits coups de langue rapide dessus. Vous passez votre autre main derrière ma tête et me la plaquez contre vous. J'intensifie mes actions, mes coups de langue deviennent plus profonds... Votre pression sur ma tête augmente, vous vous penchez bien en avant pour bien me laisser accès, j'aime m'occuper de vous comme cela... je m amuse à faire rentrer ma langue en vous, vous avez l air d apprecier enormement cela.
Soudainement, vous vous retournez a nouveau, vous positionnez vos mains sur mes épaules et me plaquez contre le dossier de la chaise. Vous passez vos jambes de part et d'autre des miennes, je les resserre sans que vous l'ordonniez, vous commencez a vous baisser, vous prenez fermement mon sexe et le placez contre le vôtre... Et d'un coup vous faites rentrer ma queue en vous... vous commencez par des mouvements amples et longs me dites a l oreille" surtout ne jouis pas tout de suite", vous plantez vos ongles dans mon dos, me griffez... Je ne peux rien faire, si ce n'est vous regarder, vous commencez à gémir, le plaisir se lit dans votre regard. j essaye de garder les yeux ouverts, j ai tendance a les fermer sous votre effet... Vous variez les angles ; la vitesse a votre guise.. Vous me donnez de grands coups de bassin, vous m'utilisez comme un gode, un jouet sexuel et j'adore cela.... Vous passez de temps en temps votre main délicatement sur ma joue... Je sens l'excitation de votre sexe couler le long du mien... vous me chevauchez, me baisez divenement bien... Vos mouvements s'intensifient encore en vitesse et en force, vos gémissements s'amplifient... Vous allez me faire jouir.... Je me retiens au maximum, vous le sentez et me dites " vas y tu peux".... En entendant ces mots, je me relâche et joui en vous poussant un immense cri de plaisir... Vous restez sur moi, et venez m'embrasser fougueusement.
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On frappe, il ouvre.
Elle, là. Il dit rien. Il l'attrape par les cheveux. L'a met à genoux... déboutonne son jean...sors sa queue, sans caleçon...plus simple, pas encore toute dure...suces...une baffe, elle ouvre sa bouche. Il la prend... comme on prend une chatte...elle suffoque, il durcit...il la relève, tournes toi salope.
Il lève sa robe... déchire son collant...arrache sa culotte...sa chatte coule...il le voit...ça coule sur ces cuisses...il lubrifie ces doigts avec. Enfonce sans ménagement son pouce dans son petit trou...ces autres doigts dans sa chatte qui les avalent avidement. Elle gémit...il l'a doigte fort...elle est bloquée contre la porte...elle se branle le clito...elle jouit...il est fâché, il voulait pas...pas tout de suite...il l'a remet à genoux...sa queue un peu molle face à son visage...
E
lle, attend...un jet, petit...puis plus soutenu...il lui pisse dessus...sur le pas de sa porte...le visage...le cou...la bouche...ouvre la...une baffe, elle s'exécute...il lui pisse dedans... elle recrache...il l'a relève...arrache son décolleté...sors ces seins. Frôle ces tétons avec son sexe à nouveau dur...il l'a veut...devant d'abord...il aime sa chatte mouillée...sur sa table...en l'ordonnant de se branler...si elle ralenti elle se reçoit une baffe...son corps se cambre...elle jouit encore...il l'a retourne...il enfonce un truc...elle ne sait pas quoi...
Il avait prévu le coup et caché une bouteille de chantilly...il l'enfonce et appuie...l'a fourre de crème...en glisse dans sa raie....lèche...l'a fourre à nouveau et lui baise son cul... lubrifié avec la crème...c'est sale....ça coule...il lui ordonne de pisser...il sent son urine couler...sur ces cuisses...descendre jusqu'à ces jambes... ça l'excite terriblement...il jouit si fort...qu'il laisse de profonde griffure sur son dos à elle...
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3 semaines ont passées, je fais la manicure de Madame avec vernis, elle aime que je l’épile son sexe lisse comme le mien, je la masse. A chaque visite je fais des fellations et je suis sodomisée avec ou sans capotes. Madame est contente elle entre sans difficulté sa main dans ma chatte. Mercredi dernier Madame m’a prévenue qu’elle aurait une amie pour manger et je devais venir à 10h30 pour préparer sa venue. C’est la première fois que je verrai une personne chez Madame. Je suis troublée.
A 10h30 je sonne 2 coups, Madame m’ouvre, je referme la porte. Je me love dans ses bras, câlineuse elle m’embrasse sur la joue.
-Tu vas te préparer, jupe noire aujourd’hui, mon amie est Olga tu verras elle est très gentille. Tu la sers et obéi si elle te donne un ordre. Tu mets la table pour 2 couverts, toi tu manges avant à la cuisine. Quand elle sonne tu lui ouvre tu dis « bonjour Olga », il y a une bouteille de blanc au frigo tu nous sers l’apéritif. Puis tu nous sers le melon avec le jambon crus qui est déjà préparé. A 12h30 on livreur va venir apporter un plat préparé avec sa garniture. Saumon et pomme nature. Pour le dessert il y a de la glace dans le petit congélateur du frigo. A toi de bien nous servir sinon tu connais la cravache elle sera à ma portée de main. Quand nous mangeons tu seras à ma gauche immobile à côté de moi. Après la glace tu sers le café avec des mignardises
11h45 la sonnerie retentie j’ouvre une magnifique Dame, cheveux brun mi-long en tailleur, chemiser, de jolis souliers à talon hauts. Encirons 175cm pour 72 kilos, de jolies jambes gainées de bas noirs.
Bonjour Madame Olga,
Bonjour Pat dis-moi seulement Olga en me caressant la joue.
Je précède Olga et je frappe à la porte du salon et j’ouvre et j’annonce Olga à Madame referme la porte et je prépare l’apéritif sur un plateau.
Quelques olives, quelques chips, 2 verres et la demi bouteille de blanc. Je frappe à la porte une voix m’invite à entrer, Madame est assise sur un fauteuil, Olga sur le canapé, je pose le plateau sur un guéridon, mets des sous verres pose les verres dessus, posent les olives et chips pose 2 serviettes à coté, prend la bouteille et commence à servit Olga, puis Madame, je dépose la bouteille sur le guéridon et je viens à gauche de Madame immobile et debout.
Les 2 dames se font santé, Madame glisse une main sous ma jupe et s’amuse avec mon god sans aucune gêne.
Olga j’ai ma soubrette Pat à mon service depuis plusieurs mois je la forme à devenir une bonne soubrette soumise. Elle est divine dans les tâches ménagères. Elle a appris à bien sucer les mâles, sa chatte est assez ouverte pour ma main. Je la gave de sperme de certains amants. Pas vrais Pat.
Oui Madame
- Tu aimes ça
- Oui Madame
- Quand j’ai ma main en entier dans ta chatte tu couines de plaisir !
- Oui Madame.
- Aller ressert nous un peu de vin et mets-toi à côté d’Olga.
Je sers et mets-toi à gauche d’Olga,
Les 2 dames discutent Olga glisse sa main entre mes jambes remontes jusqu’à l’entre 2 cuisses je frémies c’est la première fois que je vois une personne chez Madame et en plus elle me pelote. Sa main est très douce, elle sent ma gêne. Elle serre ma cuisse pour me faire comprendre que je ne dois pas avoir peur.
Chez Madame j’ai été prise par des hommes, ils ont joui dans mes 2 trous et la une femme me pelote sa main est sur mon god , elle appuis dessus, Madame veut surement m’offrir aussi aux femmes pour que je sois à tous.
-Madame décide passer à table. Je sers le vin, l’eau, l’entrée. Ça sonne à l’entrée surement le livreur.
-J’ouvre un livreur avec un sac, bonjour c’est les 2 repas commandés. Je dis merci le livreur est surpris de voir une soubrette masculine travesti. Je referme
-Je débarrasse l’entrée fais le service du saumon et reste au côté de Madame.
-Pat tu es contente de servir Madame ?
-Oui Olga. Je suis très contente Madame est une bonne patronne.
-Tu n’avais avant jamais été la soubrette de quelqu’un ?
-Non Olga, mais j’aime depuis toute petite servir.
-Madame a fait de toi une femelle tu aimes ça ?
-Oui Olga, Madame a su trouver en moi ma féminité ?
-Tu aimes alors offrir ta bouche et ta chatte à des inconnus ?
-Oui Olga, c’est Madame qui décide, je lui obéi.
-Quel sentiment as-tu pour Madame ?
-je l’aime toujours plus Olga.
Je reprends le service, sers le café.
Bon Pat Olga veut que tu te donnes à elle sans aucune limite. Je sors faire des courses. Madame se lève, Olga me prend la main et m’amène dans la chambre ou il y a le chevalet.
Elle m’embrasse à pleine bouche, déboutonne mon chemisier. Je fais de même elle s’amuse avec mes petits tétons, elle a une jolie poitrine je lèche ses tétons elle me pince les tires je subis mais c’est bon. Elle relève ma jupe caresses mes fesses, me donne des claques dessus, je lui défais sa jupe elle tombe elle a un joli fessier.
Embrasse-moi les fesses descend-moi mon string et lèche moi ma chatte anale comme tu aimeras que je te fasse. Elle a une douce odeur d’amande je lèche insère ma langue. Ecarte-moi les fesses, mouille bien. Je suis à genoux, Olga me demande de fermer les yeux. J’obéi, Olga se tourne et elle me met un doigt dans la bouche je le suce puis son doigt ressort elle me met un sexe d’homme et me bloque la tête et crie « suce Pat, suce-moi, Madame veut que tu m’obéisses suce encore, fait moi bander Pat, je comprends qu’Olga est une transgenre. Son sexe est dur, elle s’active encore plus dans ma bouche elle jouit son jus coule Avale-Pat tu aimes ça, tu me l’as dit. Tout va très vite je suis perdue dans ses bras je la caresse ses seins me plaisent je joue avec mes doigts. Elle s’amuse aussi avec mes tétons, me demande si j’aimerai une poitrine comme elle, oh oui Olga petite comme vous. Mais c’est Madame qui décide.
Les minutes passent j’ai la tête sur ses jambes je joue avec son sexe doucement Olga m’encourage, son sexe commence a durcir elle pousse ma tête pour que je le suce encore. Il est dur très dur Olga me crie à 4 pattes donne-moi ta chatte. Elle retire le god, entre dans ma chatte me pilonne sans ménagement je ne suis qu’une poupée elle jouit de nouveau. Se calme puis me retourne, Nettoie-moi maintenant comme tu sais le faire. Je gout est un peu acre. Elle m’encourage. Son clito est lisse j’ai des souvenirs de ma première fois sur le chevalet qui me revienne. Rompue Olga m’installe sur le chevalet sans m’attacher, me remet le god, prends le martinet et joue avec les lanières, elles passent sur moi vont et viennent Olga me donne un grand coup de fouet je sursaute et recommence à me caresser avec les lanières. Ferme les yeux, Olga alterne caresse et coup de fouet, Madame entre, Je saute au cou de Madame l’embrasse Merci Madame vous m’avez offerte à Olga aujourd’hui c’est la même personne qui m’avait dépucelée Madame. J’ai reconnu son odeur sa douceur des mains.
Olga se rhabille embrasse Madame « tu as de la chance d’avoir Pat, continue à la former » se tourne vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Puis s’en vas
Tu ranges tout Pat, et te rhabilles et après tu me laisses seule il est 19h tu as baiser tout l’après-midi. Je l’embrasse et elle quitte la pièce.
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2 semaines se sont passées, Madame m’a acheté un collier avec un anneau inscrit PAT, je dois toujours le porter, il est en acier chromé Mes cheveux poussent Madame m’a fait percer les oreilles et j’ai 2 petits faux diamants, c’est discret vu que mes cheveux cachent les oreilles.
Je sers Madame, fait ses tâches ménagères, chaque semaine elle m’offre à des hommes. Je suce, j’avale, je suis sodomisée, Madame à bien élargie ma chatte elle entre sa main facilement et est fière de moi.
Après avoir servi le café à Madame fait la vaisselle Madame m’ordonne le chevalet. Installée Madame m’attache me parle, me tors les tétons, mets les pinces, relève ma jupe contemple mes fesses nues dans se slip ouvert ou mon petit clito est rangé, caresse les fesses, joue avec le god me donne des coups de cravache pour me conditionner. Tout cela en me parlant.
Pat tu es splendide ainsi sur ce chevalet tu l’aimes ce chevalet, tu t’y installes, tes tétons avec ces pinces, ha ces fesses fermes, et ta chatte avec ce god cela me fait mouiller Pat. Et vlan 3 coups de cravache pour finir Madame me mets les écouteurs. Enlève le god je sens le gel froid dans ma chatte Madame installe le god gonflable et puis plus rien. Je perds la notion du temps.
Les lanières du fouet me rappellent Madame s’amuse à le passer sur mes tétons, mes fesses entre mes jambes, la caresse est douce agréable puis un violent coup de fouet sur mes fesses Madame s’amuse, Madame me veut offerte à elle.
Madame me retire les écouteurs. J’entends le fouet quand madame me donne un coup, Tout d’un coup Madame me parle « Pat tu vas avoir 2 amants aujourd’hui tu vas bien les sucer. En même temps 2 bouts de pénis sont sur ma bouche je sors ma langue suce l’un puis l’autre, pendant qu’un est en bouche l’autre se frotte contre mes joues puis inversement. Un est lisse petit mais gros l’autre moins gros mais long il va jusqu’au fond de ma bouche. Ils grossissent je ne sens plus qu’un pénis dans ma bouche. Madame parle m’encourage voila Pat tes amants sont bien dur ils vont te prendre en même temps par ta bouche et ta chatte au même moment le deuxième me sodomise. Les va et vient commence, Madame m’encourage, suce bien offre ta chatte sent comme c’est bon Pat.
Je commence à être fatigué de la bouche Madame me donne des coups de fouets sur les tétons, m’encourage l’amant dans ma bouche commence à râler il jouit Madame m’ordonne te tout avaler il est dans ma bouche je ne peux bouger le liquide acre coule j’avale par saccade, il sort je respire « Avale Pat il en reste » il remet son sexe dans ma bouche et continu. L’autre amant me pilonne de plus en plus fort la chatte il me lime puissamment il jouit Madame l’encourage à me féconder « vas y vide toi en elle, après je lui mets son god elle gardera comme ça ton jus longtemps » il me pilonne encore puis sort de ma chatte Madame aussitôt me mets le god que je dois garder sa semence. Installe les écouteurs et le calme revient.
Je n’ai aucune idée du temps à attendre quand Madame me prend le clito et y passe une corde autour puis l’enlève, je commence à bander, Madame me donne des claques sur le clito il grossit. Pause. Tout d’un coup Madame me prend le clito et le plonge dans un bas rempli de glaçons, je débande aussitôt, Madame reprends mon clito s’y amuse mets une corde puis une autre. Puis de nouveau le calme.
Je sens une main qui me détache les pieds et les mains, mes écouteurs sont retirés
-Pat tes 2 amants ont envie que tu les suces et que tu les branles. Ils veulent de nouveau jouir .
Les yeux bandés. Un pénis sur ma bouche puis le deuxième.
-Pat prend en 1 dans chaque main. Je m’exécute.
-Voilà c’est bien tu suce l’un pendant que tu branles l’autre. Voilà tu apprends vite ma fille.
Les 2 sexes grossissent. Ma bouche me fait mal avec le gros. Alors je suce plus le petit fin et doux. Madame me rappelle à l’ordre en me donnant 2 coups de fouet sur les jambes.
Le gros commence à s’agiter dans ma bouche il accélère les va et vient il va jouir. Ses mains me prennent la tête et il s’enfonce en jouissant dans ma bouche.
-Tu y es Pat, avale tout tu aimes ca je sais, continu à bien le pomper que tout son jus sorte, continu à branler l’autre t’arrête pas il va venir aussi jouir dans ta bouche. Continu. Il se retire de ma bouche ma main le tient toujours, je mets l’autre dans ma bouche je le branle en le suçant, il durcit Madame continue à m’encourager.
- vas-y, fait le jouir aussi ta bouche. Je m’active plus vite il sent venir la jouissance et comme l’autre me prend la tête et s’enfonce au fond son jus coule il me baise, Madame continue à parler.
- ça y est Pat tu as fait jouir 2 nouveaux tes 2 amants. Tu aimes je le sens. Maintenant tu vas bien les nettoyer tous 2. Lèche bien mets ta langue dans leurs méats. Ils aiment tu sais.
Puis Madame me questionne devant mes amants.
Alors ma chérie tu aimes les queues, oui Madame. Tu aimes leurs jus oui Madame.
-Dis moi tes sensations sur tes 2 amants.
-ils ont une odeur différente, l’un est plus court que l’autre et un est plus gros que l’autre. L’un est lisse l’autre moins. Un est sans poils, l’autre des poils. Ils savent me prévenir quand ils jouissent. Je sent couler leurs jus au fond de ma bouche. Un est plus liquide que l’autre.
-que dis-tu à tes amants Pat.
-Merci à vous deux. Madame m’éduque à devenir une femelle a queues, je garde en vous vos semences. Je serai contente que vous revenez tous 2 me féconder. Cela fait plaisir aussi à Madame.
Bon tu peux lâcher les 2 queues ils doivent partir. Tu ne bouges pas, je les raccompagne.
Les minutes passent, je reste assise là, ma bouche pâteuse, le god me gêne dans ma chatte.
Madame ouvre ferme la porte, m’enlève le bandeau et m’offre un verre d’eau.
Debout devant moi je bois le verre en entier et lui dit « merci Madame »
Puis Madame me saisit et m’embrasse à pleine bouche, me serre, me caresse partout. Je me sens fière de son apprentissage sur moi. Je lui dis « merci Madame » et je l’embrasse encore plus.
Je repars contente de me sentir fécondée la chatte pleine de jus les cuisses serrées pour bien garder le god.
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Nous nous réveillons côte à côte pour la 1ère fois, et quel bonheur de me retrouver à côté de mon Maître, depuis le temps que nous attendions cela.
Je regarde s'il est réveillé...à mon grand bonheur il dort encore...j'en profite pour m'extirper du lit pour aller prendree une douche avec tous mes orifices soient propres quand mon Maître se réveillera.
Sans faire aucun bruit, ou de mouvement brusque, je me glisse tout doucement de nouveau dans le lit...puis je me colle à lui, fesse sur sa queue...il a senti la chaleur de mon corps contre lui et se réveille doucement... Sa main parcourt mon corps et me fait frissonner tellement les sensations sont fortes, puis prend une de mes mamelles dans sa main et commence à titiller mon téton pour le faire durcir et pouvoir le tirer afin que la sensation de douleur et de plaisir montent en moi... Ce qui fut rapidement le cas.
Il m'ordonne de me mettre sur le dos afin de pouvoir accéder à tous mes orifices, je m'excute immédiatement...me demande d'écarter les jambes afin que ses doigts puissent caresser ma chatte et me faire mouiller à souhait... Il ne lui faut pas longtemps pour y arriver... Il m'enfonce 3 doigts et mon corps se cambre de plaisir... je dois rester dans cette position car il adore quand je me cambre... Et sa bouche prend mes tétons tour à tour afin qu'ils pointent et qu'ils puissent profiter de ces belles mamelles... Je suis fortement excitée que je ne rends même pas compte que j'en jouis de plaisir... La femme fontaine que je suis c'est laissée avoir à son propre jeu...mais normal mon Maître connaît les moindres réactions de mon corps... L'excitation en moi ne s'arrête plus que je supplie mon Maître de bien vouloir me laisser venir sur lui afin de lui faire sentir mon envie...il acquiesça rapidement et le mouvement de mon bassin...lui fait durcir sa queue encore un peu plus à chaque mouvement que quand je la sens bien dure et en moi, j'en crie de plaisir....ce qui m'a value une fessée car je n'avais pas prévenu mon Maître de cette montée en jouissance....
La fessée fût appréciée et adorée, la mise en levrette a fait raviver l'excitation en moi, qu'en bonne soumise, je présenta de nouveau mes fesses pour que mon bon Maître puisse prendre à son tour le plaisir et la jouissance dont il se contient depuis le début....nous avons malgré tout ceci pris notre pied ensemble alors que cela m'était interdit par mon Maître
En guise de punition.... J'ai eu droit à être mise au coin et à être fessée par la cravache de mon bon Maître
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L'importance du dialogue OU bien choisir son partenaire.
« Alors que la jeune femme s'emporta, répondant à l'affront de son conjoint, elle lui agrippa la mâchoire. »
Cette même scène peut être vécue de façons très différentes par les deux partenaires.
Elle pourrait donner des résultats catastrophiques ou exactement l'inverse.
Elle peut démontrer quelque chose de cohérent ou alors, de non-souhaitable.
Cas No1: La jeune femme est furieuse, vexée ou blessée. Elle traduit un message de mécontentement. L'homme ressent du plaisir.
Cas No.2: La jeune femme joue avec son conjoint, elle sait qu'il aime se faire dominer. Il s'agit d'un jeu et c'est consensuel.
Cas No.3: La jeune femme aime dominer et essaie une approche avec son conjoint. Il n'aimera pas.
Cas No. 4: La femme est furieuse, vexée ou blessée. Elle traduit un message de mécontentement. L'homme n'aimera pas.
4 cas différents, 1 situation hors contexte.
Quelles sont vos observations? Je veux faire travailler vos méninges.
Il s'agit d'un exercice IDÉAL pour les débutants.
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J’ai cru un instant que notre malédiction sévissait à nouveau quand ta cheville a lâché en début de semaine. Par chance, à la énième entorse, tu t’en remets assez vite, en tout cas, suffisamment pour que nous puissions quand même profiter tous les deux de ces jours ensembles…
Comme cela nous arrive quand nous avons un peu de temps devant nous, les « hostilités » commencent ce vendredi par un shooting photo. Et dire que tu n’aimais pas te faire photographier quand nous nous sommes rencontrés. La première fut épique … en milieu naturel, en plus ! Avec ce beau soleil sur fond de ciel bleu quasi pur, il eut été dommage de ne pas profiter du jardin pour mettre en avant ta dernière robe. Violette, lacée par un ruban sur la poitrine, vaporeuse à souhait, transparente juste ce qu’il faut pour suggérer sans tout dévoiler. Et pour rehausser le tout, tu optes même pour les plateformes noires, malgré ta cheville encore sensible. Pour le coup, aujourd’hui, c’est moi qui tourne autour de mon modèle obligé de rester immobile. L’appareil crépite jusqu’à partir en rafale à certains moments …
Changement de tenue pour les escarpins suivants. Tu redescends avec une jupe longue et noire qui laisse apparaître au gré de tes pas la fameuse paire de Louboutin dont tu me parlais depuis des semaines. Elles sont discrètes mais il faut reconnaitre qu’elles sont jolies. Du coup, mon objectif se sent obligé de focaliser sur elles ;-) . Nous terminons avec une dernière tenue, toujours accordée avec ces talons noirs à semelle rouge, cette fois étendue sur le lit. Tu sembles préférer ce dernier cadre, des plus reposants et confortables.
La séance se termine par l’idée que tu avais en tête depuis que tu as fait l’acquisition de talons quasi identiques à ceux que tu m’avais offert il y a quelques mois. Ainsi, mes bagages se sont vus lestés d’une boite à chaussures pour venir te rejoindre. Telles deux victimes de la mode, nous faisons toute une série de clichés avec nos talons respectifs, rouges pour les tiens, noirs pour les miens.
Il était temps de faire une pause bien méritée avant de passer à la suite, une soirée placée sous le signe des essais. Ces derniers mois de confinement ont été propices à quelques achats de nouveaux jouets que tu voulais ardemment tester sans délai.
Cela commence très classiquement par le collier à pointes que tu me tends. Une fois que je l’ai mis en place, tu me tends les bracelets que je boucle sur les chevilles et les poignets. Tu termines en me tendant le bâillon-pénis, qui fait son retour. Tu me fais bien rire en me faisant remarquer que j’ai mordu dedans la fois précédente : comment dire ? Pas vraiment le choix ? Alors seulement tu me fais mettre en place sur le lit, couché sur le dos, les jambes repliées au bord du matelas. J’ai l’impression que tu prends de plus en plus goût à cette disposition. Une fois n’est pas coutume, tu me laisses le bénéfice de la vue. Néanmoins, ainsi allongé, je ne peux guère voir que ton visage, sûrement pas tes mains, ce qu’elles attrapent et ce qu’elles font. Envie subite d’endosser le rôle de dentiste, tu t’amuses à me poser une question alors que je ne peux plus répondre de manière audible Tu extrais alors de ta valise à cordes deux cordelettes roses qui finissent par relier de près chevilles et poignets sans oublier quelques tours de cuisses. Pour être sûre de la solidité de tes liens, tu infliges quelques coups sur mon sexe avec ton mini paddle en cuir. Comme tu l’espérais, je me tortille immédiatement dès la première morsure. Visiblement tu es satisfaite de ton test : les contraintes ont résisté. Tu peux donc passer aux choses sérieuses. Il manquait tout de même une petite touche de nouveauté. Tu viens mettre en place ces nouvelles pinces faites d’une paire de fines baguettes métalliques dotées de petits anneaux permettant de moduler le mordant à ta guise. Inutile de les serrer beaucoup pour que leur effet se fasse sentir. Sur le moment, comme souvent avec les pinces, la douleur est « transperçante » avant que le corps, tout du moins les tétons s’habituent à cette présence. Les années passent mais je reste toujours aussi réactif aux morsures quelles que soit la nature des pinces. Ce nouveau modèle est presqu’aussi pinçant que les japonaises, sans même insister. C’est dire… Pour t’assurer de mon confort afin de profiter à fond de tes tourments du soir liés à tes essais, tu glisses un coussin sous ma tête avant de t’installer sur ton « trône » du jour, face à mon entrejambe, a priori juste à la bonne hauteur pour t’amuser et en profiter sans encombre, surtout que ton coffre aux trésors est juste à côté. Il suffit de piocher dedans en fonction de l’inspiration de l’instant.
En entendant claquer les gants sur tes mains, je devine sans difficulté que tu te prépares à tester ta nouvelle sonde. J’ai beau ne plus être inquiet à ce sujet, je préfère ne pas essayer de regarder. Elle me semble bien bien longue par rapport à l’autre. J’ai la sensation que tu peines à faire pénétrer cette longue tige boursouflée toute en silicone. La suite va me prouver que mes sens m’ont largement égaré. Les seuls quelques centimètres que je pense être entrés font leur effet. J’ai rapidement le sentiment de ne plus rien contrôler. Par moments, je crois même que je suis en train de me vider. Mais a priori, il ne doit rien en être : tu ne fais pas le moindre commentaire sur le sujet. Quand tu déclenches les vibrations, mes couinements se poursuivent de plus belle, virant même aux gémissements … de plaisir ; le peu de maitrise que je pouvais encore penser avoir s’est évanoui. Impossible d’échapper à ce fin « serpent » vibrant qui s’est insinué en moi. En revanche, les différents modes de vibration ne changent pas réellement la sensation procurée. Ou alors je ne suis déjà plus en état de les distinguer ! Lorsque tu arrêtes cette divine torture, il me faut de longues minutes avant de revenir sur terre alors que je suis resté confortablement étendu sur le lit. Même la caresse raisonnable du petit martinet sur mon pénis et mes testicules ne suffit à pas me sortir de cette délicieuse torpeur.
Toujours pourvue de tes gants, tu titilles mon pénis désormais calmé et apaisé : c’est a mi-chemin entre la griffure et le massage : pas désagréable du tout comme sensation. La présence des gants change totalement la sensation procurée : j’y goûte bien volontiers. Un bien agréable moment de simili-douceur.
Après cet intermède tactile, tu passes à la suite. En sentant le contact du stylo sur mes cuisses, j’en conclus que tu as finis pas retrouver l’inspiration qui te fuyait il y a quelques jours encore pour écrire quelques mots à mon sujet … sur le-dit sujet ;-) Comme à chaque fois, il faudra que j’attende de voir les photos pour découvrir ce qui t’es passé par la tête.
Toujours assez largement offert, il était trop tentant de ne pas abuser de la situation. Je devine le contact en cuir d’un petit paddle qui vient tourmenter mes couilles et mon pénis. Ma zone sensible par excellence. Impossible pour moi de retenir le moindre couinement et de ne pas me tortiller, du moins essayer. Les gants, une fois retirés, prolongent efficacement tes mains pour continuer dans le même esprit. Le tourment est simplement plus doux. D’ailleurs, je pense que je sursaute moins sous les impacts. C’est dire. En revanche, je redeviens extrêmement sensible lorsque tu dégaines la spatule en bois. Tout du moins c’est elle que je crois reconnaitre. De là, à prendre un pari …. C’est quand même terrible d’avoir les sens perturbés malgré le fait que tu m’aies laissé la vision libre … Toujours est-il que le plat rigide du bois sur mon intimité la plus chère est des plus « stimulant » !
Place au nouveau jouet suivant délicatement appelé « Anal Intruder » par son vendeur. On devine mieux sa forme lorsqu’on l’appelle cockring à double boules anales, tout en métal et pesant son poids selon tes dires ! Voici qui annonce une charmante parure pour ton soumis. Si l’anneau passe très bien autour du pénis, il en va bien différemment lorsque tu arrives à la base. Impossible de faire passer les testicules. Et mon excitation soudaine n’aide pas ! Qu’à cela ne tienne ! Tu ne vas pas te laisser arrêter par si peu. Quelques noix de lubrifiant sur la tige et tu poursuis la mise en place. J’ai l’impression que tu galères pour arriver à trouver le chemin. A croire que j’ai une anatomie hors normes. Après quelques efforts raisonnables, je sens se présenter la première boule qui semble pénétrer sans trop d’encombres, rapidement suivi de la seconde. Je sens que tu pousses sur l’ensemble pour t’assurer qu’il est bien en place. Je n’ai guère l’impression qu’il risque de s’échapper tout seul. Ainsi équipé, mon excitation est à son paroxysme. En plus, tu prends un malin plaisir à venir appuyer régulièrement sur cette pièce de métal qui m’envahit tout autant qu’elle me leste. Je n’ose imaginer l’effet que cela doit procurer une fois debout. Très, très efficace : l’adaptation n’a, semble-t-il, rien gâché ! Ainsi tendu, tes griffes sur ma tige sont des plus efficaces. Avant de l’enlever totalement, tu m’amuses un moment à faire coulisser la tige métallique et ses deux excroissances. Je reste aux anges ... C’est alors que tu me fais retirer le bâillon. Mais comble de sadisme, tu t’amuses immédiatement à me faire parler. Sauf que les premiers mots qui sortent sont tout bonnement inintelligibles. Cela déclenche un des fous rires dont tu as le secret, et, surtout, tu continues à m’interroger …
Il reste tout de même le plus délicat à essayer. Je dois reconnaître que cela faisait longtemps que j’avais un œil sur cet engin diabolique qu’est le humbler. Et cela a fini par piquer ta curiosité aussi. Désormais, il faut passer à l’action. Plus facile à dire qu’à faire ! Mélange d’excitation et d’incompatibilité anatomique (encore une fois ! Décidément, je finis par croire que je suis totalement anormal !), il s’avère impossible de le mettre en place lorsque je suis à quatre pattes. Il en faut plus pour nous freiner. Je m’installe sur le dos, les cuisses les plus relevées possible. A quatre mains, cela devrait peut-être faciliter la mise en place. C’est un peu mieux mais encore pas le top. Mais tout de même suffisamment pour bien sentir la tension dès lors que je laisse redescendre très délicatement mes cuisses. A quatre pattes cela doit être terrible …. Restrictif à souhait. Il faut peut-être que nous trouvions un tuto ;-)
Dimanche matin, nous remettons le couvert avec une deuxième séance photo. A défaut d’aller à l’église, tu as enfilé une vaporeuse petite robe noire toute en suggestion avec ses voiles, et surtout tes nouveaux escarpins noirs à semelle rouge. Le jardin représente une nouvelle fois un parfait écrin pour mon modèle et mon appareil photo à la limite de la surchauffe. Avec la climatisation, il fait meilleur dedans. D’ailleurs, la chambre se prête bien mieux à l’idée que je voulais développer : variations de menottes présentées avec les talons aiguilles. Je crois que nous avons fini par faire le tour de la question. Pour une raison que j’ignore, comme à peu près une fois par an, la séance dérape en délire peluche. L’ours en peluche est croqué à toutes les sauces … Nous essayons de finir plus sérieusement avec les plateformes rouges, mais pas question de se lever avec. Il est encore trop tôt pour celles-ci. La fin de la séance m’est consacrée : il fallait bien faire l’essayage des nouveaux boxers en vinyle. Comme cela tu m’auras vu dedans en direct.
Une pause était plus que nécessaire avant la soirée. Il fallait bien se reposer un peu. Côté tenue, tu as prévu une légère variation. Le collier, incontournable, est le premier à prendre place, suivi de près par les bracelets de poignets. Enfin tu me tends la cagoule. Il devrait donc logiquement y avoir de longues lanières au programme. Une fois installé à genoux au milieu du lit, tu viens fixer mes poignets au niveau de l’anneau du collier. Nous avons la même idée au même instant : je t’entends dire que je ressemble à un chien ainsi présenté. Ni une ni deux, tu attrapes l’appareil pour immortaliser cette transformation d’un nounours en chien !
Je ne suis pas surpris que tu commences par essayer le dernier jouet à avoir rejoint ta panoplie. Déjà hier, alors que nous vérifions comment cela fonctionnait, tu étais impatiente de savoir l’effet que cela allait avoir ailleurs que sur ma cuisse. Dans la position que tu m’as fait prendre, tu as libre accès à ta cible favorite. Après avoir oint mon intimité du gel spécial électro, tu commences à promener ton stick électrique sur ma verge. Tout d’abord la sensation ressemble à une sorte de brûlure très localisée et très fugace. Elle est identique sur les testicules. Un peu plus tard, la sensation change totalement, peut-être as-tu changé les réglages. Cette fois, c’est totalement différent : l’électricité semble courir sous la peau quelques centimètres autour du stick. C’est un effet inattendu mais tout à fait plaisant, quoi que difficile à décrire précisément. Finalement, en s’y prenant correctement, cette nouvelle extension de ton kit d’électrostimulation pourrait trouver une bonne place dans ta panoplie.
Après cette électrisante mise en bouche, je me roule en boule l’espace d’un instant. Il n’en faut pas plus pour dégainer tes griffes, enfin retrouvées avec une longueur conséquente. J’en suis toujours aussi friand, au point de ronronner dès lors que tu parcours mon échine, depuis les fesses jusqu’au cou, depuis les flans jusqu’au creux du dos, sans oublier le haut des bras. Je ne m’en lasserai jamais.
A une phase de douceur succède une série de douleurs. Je pensais que tu voulais « traiter » ces vieilles ceintures avant de t’en servir. Finalement non ! C’est bien l’une d’entre elles que je sens claquer sur mon postérieur à plusieurs reprises. Visiblement, il va falloir s’y adapter : je crois deviner que tu as subi un dommage collatéral. Mes sens m’égarent encore une fois lorsque tu dégaines une baguette dont je n’ai pas souvenir d’y avoir déjà goutté. Trop flexible pour correspondre aux baguettes en bois que je connais. J’opte alors pour une cravache. Pourtant, jamais je ne ressens l’impact si spécifique de sa tête. Ce n’est qu’à la fin de la soirée, en jetant un œil sur le plancher que je comprends enfin ce qui était si mordant sur mes fesses : une simple tige de seringat (merci le jardin !). Moins lourd et plus fin mais au mordant certain. De quoi me revigorer, si c’était nécessaire et de continuer à faire monter la température. Mes capteurs sont toujours aussi déréglés quand je confonds le long strap clouté avec une des spatules en bois. Tu en uses longuement et j’imagine aisément que je dois commencer à virer au rouge et à chauffer l’atmosphère de la pièce. La situation est telle que j’en oublie même la petite cravache en forme de cœur qui l’a précédé.
En guise d’apaisement, tout est relatif, tu laisses tes griffes acérées autour de mon sexe. Ma réaction est immédiate : je couine. J’hésite aussi entre « l’obligation » de garder la position et le réflexe de me tortiller pour tenter d’y échapper … en vain. De toute façon, ce serait mal te connaitre que de penser que cela t’arrêterait. Bien au contraire.
Une courte fessée à mains nues marque ton retour dans mon dos. Cette fois, je n’ai pas de doute, c’est bien une cravache qui se promène entre mes cuisses, tantôt frôlant astucieusement mes couilles, tantôt claquant l’intérieur de mes jambes. On dirait que je résiste mieux à ce traitement que certains autres. Pourtant c’est toujours en zone hyper réactive !
Un flogger que je n’ai ni reconnu ni mémorisé prend le relais. Le lourd contact qui suit me rappelle immédiatement la « caresse » du martinet. Celui-ci procure un mélange très spécial de sensations, à la fois cet impact imposant et la fine et délicate morsure de chacune des lanières. J’aime beaucoup. Mais question morsure, rien ne vaut ce qui vient derrière. Tu dégaines un de tes fouets qui vient zébrer mon dos de belles marques rouges. Malgré les morsures provoquées, je dois reconnaitre que je ne regrette jamais ces moments-là. La cagoule avait donc bien son utilité : tu ne fais jamais rien au hasard.
Pour conclure cette belle soirée, tu me refais pencher en avant, la tête plantée dans le couvre-lit et le postérieur bien tendu. Ainsi, tu peux allègrement y déposer de multiples gouttes de cire. J’aurais tendance à dire que tu cherches à en faire couler un peu partout sur cette zone des plus charnues. Tu finis même par empoigner mon sexe pour atteindre l’arrière de mes couilles avec ta cire chaude. Étonnamment, la sensation fugace de brûlure est moins importante à cet endroit précis que sur mes fesses. La cravache ne semblant pas être des plus efficaces pour assurer le « décirage », j’entends que tu quittes la pièce avant de revenir et de présenter sur mon corps une sorte de racloir qui fait sauter la plupart des gouttelettes solidifiées, en réalité la plus petite de tes spatules métalliques, pour une fois en mode délicatesse. Pour le coup, je dois reconnaitre que j’ai eu beaucoup moins de souci sous la douche pour finir le nettoyage.
Presque épuisés, nous nous étendons côte à côte, moi libéré de mes contraintes et reprenant mes esprits, toi reprenant des forces. Néanmoins, tu me gratifies à nouveau de délicieuses et frissonnantes griffures qui me font ronronner de plus belle. Cela ressemble à un pêcher mignon.
Lundi
Pour conclure mon séjour à tes côtés, tu as imaginé une séance de shibari. Hier, tu m’as dessiné une esquisse de ce que tu avais en tête. Pourquoi ce thème des losanges ? Mystère ! Toujours est-il que c’est le motif central de ta réalisation du soir. Commençant par équiper mon buste avec une première série de losanges colorés et concentriques, tu poursuis sur mes membres, une fois étendu sur le lit. Bras et jambes doivent eux aussi former des losanges. De fait, la position devient petit à petit moins confortable. Pourtant il semblerait que la situation ne me laisse pas insensible. Difficile de le cacher… Le résultat est un mélange d’esthétique et de contrainte, car, malgré tout, les différentes cordes enserrent de près tout mon corps. Je n’ai pas vu le temps passer pourtant quand je me relève, libéré de tes cordes, je découvre que deux heures au moins se sont écoulées. Pas étonnant que tu sois épuisée …. Comment te remercier pour tout cela ?
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Pendant 3 semaines ce fut presque la même chose. Madame devient toujours plus sévère avec moi, sa main entre en entier dans ma chatte, elle joue de la cravache, ma tenue de soubrette évolue au fil des jours. Madame a acheté plusieurs slips ouverts derrière et mes chemisiers ont été modifiés, 2 petites ouvertures aux niveaux des seins laissent apparaitre mes tétons, Madame s’amuse avec. Une fois propre changé et après avoir servi le café Madame me dit « va sur le chevalet et attends-moi » Oui Madame.
Quelques minutes après Madame m’attache les mains et pieds, me mets le bandeau et glissa à mon oreille « tu vas aimer ma soubrette » et installe le casque. Me mets les pinces aux tétons.
Elle relève ma jupe me donne 3 coups de cravache, s’amuse avec le god que je porte toujours chez elle. Le retire et me sodomise avec le god-ceinture pour bien m’ouvrir. Ses 2 mains sur mes hanches. Un doigt me caresse la bouche pour l’ouvrir d’où vient ce doigt ? Ma bouche le suce par habitude et il se retire aussitôt remplacé par sur sexe d’homme mou. Ma tête bloquée je ne peux bouger. La surprise passée le pénis commence à me baiser la bouche pendant que Madame me laboure la chatte. Ce sexe grossis il entre et sort de ma bouche, Madame m’avait appris à bien sucer son god-ceinture je fais de même. Je le trouve énorme dans ma bouche, je suffoque, il se retire et s’amuse avec ma bouche. Madame m’enlève le casque des oreilles. Tu vois Pat il va jouir dans ta bouche il bande bien, tu vas aimer ce sperme comme tu aimes le tien. Suce bien mets la langue fait comme je t’ai appris. Elle était immobile dans ma chatte. L’homme accentue les va et vient puis il jouit, je manque de m’étouffer, Madame m’encourage avale Pat (Le gout de se sperme ressemblait au mien). Lécher-le, nettoie avec ta langue applique-toi. Puis l’homme se retire, Madame me glisse à l’oreille « tu es magnifique Pat, tu tout prit et tout avaler ».
Tu as aimé Pat. Pas de réponse Madame m’administra une claque sur les fesses et cria
Tu as aimé Pat » Oui Madame nouvelle claque Tu as aimé.
Oui Madame j’ai aimé.
Elle me remit le casque sur les oreilles, se retira de ma chatte installa le god gonflable et après l’avoir bien gonflé, je suis restée seule.
J’ai dû m’endormir quand plusieurs coups de cravache sur mes fesses me réveillent.
L’homme remet son pénis dans ma bouche il est mou. Il commence ses va et vient, pour le faire durcir Madame me retire les écouteurs elle m’encourage de nouveau à bien le faire durcir. Des mots te voilà femelle Pat, tu suces bien, il bande, ta bouche est faite pour ça. Sent comme il est dur, Madame dégonfle le god le retire et elle dit vas-y baise lui la chatte maintenant, l’homme entre sans difficulté dans ma chatte béante et entame des va et vient.
Madame me caresse le visage me parle « Tu aimes ca Pat après ta bouche c’est ta chatte qui va être fécondée, Tu es faites pour ca Pat. Pat parle-moi dis-moi des mots.
Oui Madame j’aime être sodomisée, je suis à vous Madame je suis heureuse de vous appartenir j’aimerai vous embrasser Madame pendant qu’il me pilonne.
Madame prend ma bouche, le baiser est long très passionné, elle joue avec mes tétons qui me font très mal. Me caresse le visage. Se retire de ma bouche me lèche le visage. Tu es très belle Pat sent comme ton amant te baise offre toi plus encore à Lui, remue tes fesses. Et Madame m’embrasse de nouveau Mon amant accélère le rythme et joui. Madame n’arrête pas le baiser, l’homme se libère de ma chatte. Madame me caresse le visage retire les pinces aux tétons. Me remet le casque et je suis seule. Je n’ai plus de notion du temp. Ma bouche est pâteuse, le baiser de Madame était très puissant. Ma chatte est vide pas de god juste le jus de mon amant.
Madame commence à me détacher enlève les écouteurs et le bandeau j’ai du mal à voir.
Madame met mon god il ne tient pas il ressort aussitôt. Madame s’en amuse. Ta chatte c’est bien ouverte Pat, je te reprends ce god et te donne un plus gros. Celui-là reste. Tu le garde à la place de l’autre.
Madame me regarde droit dans les yeux me parle me caresse le visage.
Pat je suis fière de toi, tu m’as fait confiance depuis le début tu suces très bien, te voilà dépucelée j’ai vu que tu aimes ça j’ai aussi joui en te voyant faire la femelle, tu as assumé ta place de soubrette soumise. Tu seras régulièrement fécondée, fouettée fouillée punie Aujourd’hui tu as perdu ta virginité. Tu as gouté au plaisir. Embrasse-moi Pat. Je lui saute au cou et l’embrasse longuement.
En l’embrassant je lui dis « je vous aime Madame »
Ton amant du jour veut revenir Pat il te trouve à son gout Donne-moi ton avis sur lui.
Il a des mains très douce son sexe est lisse petit et gros, il a fait attention à me donner du plaisir, son sperme est comme le mien doux. Il pince les tétons différemment de vous Madame il sait faire l’amour, il sent bon. Moi aussi Madame j’aimerai qu’il revienne.
On verra Pat. Tu ranges tout et pense à porter ton god chez toi
Je range le chevalet, nettoie les jouets, les habits me change et repart avec mon nouveau god dans ma chatte heureuse d’être devenue une femelle Heureuse d’être à Madame.
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