La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 03/04/24
[Ceci est le troisième volet d'une histoire en plusieurs actes. Honnêtement, ça vaut la peine de commencer par les premiers épisodes ! Vous les trouverez ici: https://www.bdsm.fr/blog/8314/Canis-lupus-[1]/ et là: https://www.bdsm.fr/blog/8329/Canis-Lupus-[2]/  J'avais prévu que ça ne fasse que trois épisodes, et voilà que mon histoire n'est toujours pas finie, au contraire! Celui-ci est presque comme un petit intermède avant de revenir à un peu plus d'action... J'espère quand même qu'il vous plaira. Bonne lecture !] ​​​​​​​ Alors voilà, pendant presque trois ans, j’ai été sa chienne. Vraiment, je ne sais pas comment le dire autrement, j’étais son animal apprivoisé, son amoureuse domestique, une bête domptée. J’ai continué ma propre vie, bien sûr, mais en parallèle, petit à petit et de mon plein gré, je me suis mise à l’écoute des désirs de cet homme, de mon Homme, et j’ai cherché à les satisfaire pleinement. J’ai fini par venir habiter chez lui, ce qui a été beaucoup plus fluide que je le pensais sur le plan professionnel. Et j’étais sa servante, son amie soumise, son amante animale. Ce qui était précieux pour moi, c’est qu’il n’avait pas besoin d’esclave : il s’occupait très bien tout seul de son existence, aussi bien sur le plan matériel que dans son équilibre mental. Aussi, lorsqu’il me demandait quelque chose, quand il exigeait de moi un comportement, c’était presque plus dans mon intérêt : je sentais bien que les services que je lui rendais étaient superflus pour lui, et qu’ils étaient plutôt un prétexte à l’intensité de notre relation. Bien sûr, ma présence lui était précieuse, essentielle, ce qu’il ne manquait pas de me rappeler, et notre lien nous donnait du sens à tous les deux. Mais à aucun moment, aussi loin que je me souvienne, je n’ai eu le sentiment qu’il profitait de la situation, alors même que vu de l’extérieur, il en était clairement maître et bénéficiaire. Si je me suis soumise à lui de la sorte, c’est donc déjà parce qu’il en avait le pouvoir, la stature, parce que je comprenais qu’il serait un bon maître. Mais surtout, je l’ai fait à cause d’un désir qui brûlait au fond de moi, et que notre relation asymétrique venait attiser et canaliser. Je voulais sentir mon énergie bestiale, réhabiliter mes pulsions profondes, que j’avais appris à réprimer depuis ma petite enfance. Mais je souhaitais aussi les maîtriser, et m’en sentant initialement incapable, je trouvai incroyablement sécurisant de les remettre entre les mains d’une personne qui ne s’en laisserait pas effrayer, qui au contraire comprendrait la valeur de cette offrande. Et c’est exactement ce qui s’est passé pendant mon dressage, mon éducation. Car c’est bien ainsi qu’il faut appeler ce processus, en arrivant dans sa vie je n’étais qu’un amas de désirs et de comportements désordonnés. Il m’a appris, avec patience et intransigeance, à faire le tri dans tout ça, à sentir monter des actions instinctives, et à laisser un petit espace à l’intérieur de moi pour décider si je souhaitais ou pas m’y engager – pour vérifier aussi, si cela serait conforme aux règles qu’il avait établies pour moi. Ça a commencé par de toutes petites choses, des petits rituels qu’il a instaurés. Par exemple, je devais le regarder commencer à manger avant qu’il m’autorise à entamer mon repas, et ce petit décalage me mettait en contact avec mon désir de me rassasier, et ma capacité à me retenir – tout en réaffirmant l’autorité qu’il avait sur moi, sans avoir à rien forcer. Je peux même dire que, passée une réticence initiale, j’aurais aimé aller plus vite dans le processus de ma soumission. Ma position d’obéissance nourrissait en moi une libido insatiable, piquante, brutale. Le voyant se détendre sur le canapé après avoir travaillé, il pouvait m’arriver d’être soudainement prise de l’envie de me tortiller, nue à ses pieds, et de renifler l’odeur de son sexe avant de l’engouffrer dans ma bouche. Mais même cela m’était interdit : je devais attendre que l’initiative vienne de lui, toujours. Mon enthousiasme dans la sexualité était le bienvenu, mais son désir devait primer sur le mien. Lorsque je dérogeais à une règle, il ne se faisait pas prier pour me châtier cruellement, avec amour pourtant. C’est là peut-être la principale différence qu’il y eut entre mon éducation et celle de sa petite chienne, Allkö, qui m’avait laissé une si forte impression lors de notre première rencontre. Elle était douce, folle et affectueuse, et je l’ai vite considérée comme une compagne, une sœur d’apprentissage. J’ai aimé sa disponibilité indéfectible, son sérieux pendant les jeux. J’ai passé des nuits lovée nue contre ses poils, j’ai envié sa chaleur omniprésente et son odeur bestiale. Elle semblait pouvoir offrir bien plus que moi à l’homme que nous aimions toutes les deux. Avec elle, il faisait preuve d’une patience infinie, et lui dédiait un temps spécifique pour des apprentissages, éprouvants mais toujours atteignables. Surtout, il s’attachait beaucoup à la rassurer dans les situations stressantes et la récompenser pour ses bons comportements. On pourrait dire qu’il créait ainsi un conditionnement, qu’il ancrait des habitudes ou des réflexes, mais je pense au contraire qu’il l’amenait en quelque sorte à réfléchir, à prendre du recul vis-à-vis de ses instincts. Avec moi, même s’il employait des méthodes similaires, il usait aussi de la badine, du martinet et de la fessée. Il m’obligeait à me déshabiller et à l’attendre à genoux, jambes légèrement écartées et tête baissée. Si j’avais fauté, je devais porter un cilice sous ma jupe, pendant toute une journée de travail. Et même si je mis un peu de temps à le comprendre, je sais aujourd’hui que ces punitions, ces sévices, sont un honneur qu’il me faisait. Déjà, parce qu’il y prenait du plaisir, je sentais nettement son désir gonfler quand il me ligotait, me fouettait. J’ai souvent su me réjouir et me satisfaire simplement de ça : ma soumission et ma souffrance le faisaient bander, c’était plus qu’il n’en fallait pour me rendre heureuse de les endurer. Pourtant il y avait aussi autre chose : s’il maniait les impacts, les liens et l’humiliation, c’est aussi parce qu’il savait que j’étais capable de comprendre, de relier les punitions qu’il m’infligeait avec les comportements que j’avais eus, de dépasser la peur et la souffrance pour les transformer en obéissance, en connexion, en amour même. En cela, peut-être plus qu’en toute autre chose, j’étais humaine, et ses châtiments étaient une manière de reconnaître et d’honorer mon intelligence. Et puis il y avait le sexe. C’est peu dire que j’ai aimé baiser avec lui, me faire prendre, pénétrer, posséder. J’ai joui de la brûlure de son sexe dans le mien, après le feu des lanières de cuir. Le tréfonds de mon corps a vibré, alors que ma langue goulue sur ses tétons lui extorquait un râle. J’ai imploré qu’il daigne transpercer mon cul, après avoir hurlé de douleur au travers du bâillon. Il m’a laissé ruisselante, turgescente et frustrée, éprouvant mes liens les yeux bandés, sans savoir quand la délivrance d’un orgasme me serait offerte. Je sais que jamais personne ne me fera plus l’amour comme ça, comme un Maître, un Dieu, un amant miraculeux. Il m’a offert, par ce biais-là aussi, de connaître la puissance de mon corps, l’étendue de mon pouvoir physique et spirituel contenu dans ses cordes et suspendu à son dard.
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Par : le 29/03/24
"Même absent, il m'observe..." - Noir. Souffle, frémissement. Sons métalliques, froissements de cuir. La captive s'éveille, en douceur, et en cage. Elle sort lentement de sa torpeur ; ses membres s'étirent et sa peau frissonne, un gémissement s'échappe de son bâillon alors qu'elle les déploie malgré les chaînes. Hormis sa tête cagoulée, son corps tout entier palpite et tressaille ; ni l'air frais ni le sol dur ne l'empêchent plus de dormir, désormais, mais il lui faut néanmoins affronter chaque matin leurs empreintes. Non qu'elle ne s'en plaigne. - Quand bien même le voudrait-elle qu'elle ne se le permettrait pas ; courbatures et chair de poule ne sont au pire que de mineures et temporaires inconvéniences. Elle s'y est depuis longtemps habituée. De par sa force d'esprit et son désir de discipline, elle les a même apprivoisées ; le frisson matinal lui est devenu délicieux, et les douleurs musculaires des obstacles à franchir pour mieux savourer les étirements. Sans compter qu'il serait ridicule de geindre pour de telles peccadilles, quand cette même peau est subtilement tavelée de tâchées bleutées, de marques d'impact et de traces de lanières de cuir, dont chacune se fait encore ressentir... Et dont chacune fait sa fierté. - Elle se redresse. Elle s'agenouille. Elle est maintenant bien réveillée. Cela lui prend parfois un peu de temps pour émerger, ou même pour le réaliser ; en ce lieu enténébré sur lequel elle ne pose que rarement ses yeux bandés ou ceints de cuir, le jour et la nuit sont ardus à distinguer. Comme pour tout le reste, sa discipline durement acquise et ses ordres permanents ont pris le pas sur le désarroi des premiers temps, et l'exercice ainsi que l'habitude ont comblé les manques. Lorsqu'elle se redresse, elle évite désormais de se cogner aux barreaux de la cage. Lorsqu'elle s'agenouille, elle sent d'instinct la direction de la porte du cellier ; il lui faut exposer son corps nu et enchainé face à l'huis chaque matin dans l'attente et la patience... du moins chaque fois qu'elle est rangée ici pour la nuit. A l'hésitation originelle à maintenant succédé une calme et prudente expertise. Tatonnements aveugles et emmêlements de chaînons la feraient aujourd'hui davantage rougir que n'importe quelle gifle. Son dos est droit, sa tête basse, son buste relevé pour flatter sa silhouette emprisonnée. Dans la pénombre, on peut croire à une sculpture, tel un hommage à quelque nymphe tutélaire des captives d'un divin geôlier. Mais la jeune femme n'est pas de marbre ; comme toujours, la contemplation de son sort éveille chez elle aussi bien ses sens que son esprit. Ses lèvres et sa langue se font plus sensibles autour de son baillon, alors que son souffle en s'approfondissant roule dans sa gorge enserrée d'un collier. Le fer et le cuir s'échauffent de concert avec sa chair. Elle sent sa peau rosir, ses tétines se raidir, et sa fleur perler d'une frâiche rosée. Cela n'a rien d'une distraction... c'est un impératif, car c'est ainsi qu'elle est désirée, et de tels désirs sont, pour elle, des ordres. En silence, le temps passe. Son maître viendra.
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Par : le 02/01/24
Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) - Partie 3 (liens d'attache) Tu peux entrer esclave. Et te voici qui entre à 4 pattes dans notre pièce. Je suis assis sur le sofa avec une belle surprise pour toi. - Viens ici sale chienne ! Et tu obéis avec un oui Maître clairement articulé. Tu apprends et ça me remplit de fierté. Quand tu arrives, je t'ordonne de te lever et de te déshabiller pour moi. Souvenir d'Exotica, la musique en fond est du Leonard Cohen. Tu fais un strip sensuel. Je te prends par les hanches, te retournes et te force à continuer à danser alors que je positionne ton cul contre mon érection. Plus une ondulation qu'une danse mais tu me fais bander et j'ai envie de te prendre. Mais un Maître doit savoir se retenir. - A genoux esclave. - oui Maître - Voici notre nouveau jouet Et je te tends un gode de taille très raisonnable. Je ne saurais dire exactement si ton regard, à ce moment-là, est un regard de soulagement ou de dépit. - Suce-le salope comme si c'était ma queue. Tu le prends en baissant la tête. Comme une esclave emplie de déférence pour son Maître. Tu me regardes dans les yeux en même temps que tu commences à le branler entre tes seins. Tu te mords les lèvres. Tu laisses ta salive couler sur le haut du gode et tu l'engouffres dans ta bouche comme si tu n'avais pas avalé une queue depuis un mois. Suce salope. Lèche, crache, suce. Fous le toi jusqu'à la gorge. Je te regarde en me touchant pendant quelques minutes. - Fixe la ventouse au sol. Prends le dans ton cul. Pas besoin de le redire. 10 secondes plus tard, le gode est à l'intérieur et tu commences à aller et venir. Je sors le deuxième gode du set. Plus gros. Tu n'avais pas vu qu'il n'y en avait pas qu'un semble-t-il. Cette fois-ci ton regard semble agréablement surpris. - Lèche sale chienne. Jusqu'à ce qu'il soit bien lubrifié. Je vois que c'est déjà plus dur quand je te force à le mettre tout entier dans ta bouche. Tu y arrives mais au prix de quelques larmes qui naissent dans tes yeux. Mais tu sais à quel point j'aime voir ton visage ruiné, couvert de crachat, salive, sperme ou mascara. - Dans ton cul maintenant que tu es échauffée. Je te regarde aller et venir en tenant ta laisse. Tu vas exploser et je vois tes mains qui se dirigent vers ton sexe. - Arrête tout de suite esclave. Si tu exploses, c'est plusieurs heures dans la cage. Lève toi doucement et laisse le gode. Couchée sur le ventre ! Tout de suite ! Je pose mon pied sur ta joue. Tu as interdiction d'exploser. Pour qui tu te prends ?? Je sors le dernier gode. D'une taille qui commence à être moins raisonnable. Je le fixe au sol juste devant ta tête. - Je veux le voir disparaître. Tu as une minute pour t'échauffer. Et tu ne perds pas une seconde pour le lécher comme une chienne, pour le sucer de plus en plus profond. - 5 ... 4 ... Pas besoin d'aller plus loin je le vois disparaître et je te vois lutter. Tu te relèves et tu craches et tousses. - Encore sale chienne ! Et je te fais aller et venir sur le gode qui devient luisant. Le sol aussi qui reçoit ta salive. - Encore Et, quand tu as le gode tout entier dans la bouche, je pose le pied sur ta nuque. Tu essayes de te débattre Mais je maintiens ta tête fermement quelques secondes. Quand je te relâche tu as besoin de quelques secondes pour laisser la salive couler, pour reprendre ton souffle mais tu repars la bouche ouverte et tu l'engloutis encore. - J'espérais que ça te serve de leçon pour vouloir exploser sans autorisation. Mais tu es tellement une salope que rien ne peut te ralentir on dirait. Prends le dans le cul ! - Oui Maître ! Je sens l'hésitation. Que les mots que tu aurais aimé pouvoir prononcer sont il est trop gros Maître. Des larmes coulent le long de tes joues depuis l'épreuve précédente. Le gode est bien fixé, bien lubrifié semble-t-il aussi. Tu te positionnes et tu gémis quand le gode ouvre ton cul. - Continue. Les chiennes comme toi doivent pouvoir prendre n'importe quel gode dans le cul. Tu commences à aller et venir. Je tourne autour de toi. - Je veux le voir complètement à l'intérieur de toi, tu le sais. Je vais commencer à perdre patience. Nouveaux gémissements et cette fois je vois que tu l'as complètement pris. - Good girl ! Gentille chienne ! Je te vois aller et venir et je sais que seule la douleur t'empêche d'exploser. - Continue. Prends-le mais retiens-toi. Je te donne ce dernier ordre à quelques centimètres de ton visage. 2 claques - Oui Maître. Pardon Maître. - Ouvre la bouche. - Oui Maître, crachez dans la bouche ! Tu continues à aller et venir, plus vite sur le gode. Je passe dans ton dos  et je presse sur tes épaules. Jusqu'à ce que ton cul touche le sol. Je continue à presser, à pousser et je te maintiens comme ça. - Merci Maître. Je saisis la laisse et je t'amène jusqu'à la table. Je te prends par les cheveux et je t'oblige à te lever. Je glisse tes mains dans les lanières. Ta tête est posée sur la table. Tu es pliée en 2, le cul offert. Je me déshabille. Je regarde ton cul bien bien dilaté. Je positionne mon sexe et je te pénètre sans difficulté. Je prends tes hanches et je serre fort pendant que je t'encule de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je sens mon plaisir qui arrive. Je lâche tes hanches pour te malaxer et te fesser. Mais je continue à aller et venir toujours plus vite et fort. Je prends tes cheveux et je tire tes cheveux en arrière pour que tu me vois dans le miroir qui nous fait face. J'explose. Longuement. Je te remplis jusqu'à ce que je me retire. Mon sperme commence à couler le long de tes cuisses. - Tu peux exploser maintenant chienne. Tu as toujours les mains attachées. Mais je te vois rapprocher tes pieds pour pouvoir frotter tes cuisses l'une contre l'autre. Tu es tellement prête qu'il faut moins de 30 secondes pour que je t'entende. - Mais quelle chienne fait ça ? Se faire enculer et exploser sans même avoir besoin de ses mains alors que mon blanc dégouline de son cul.  
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Par : le 15/11/23
Petit rappel même s'il est complètement évident que tout le monde, maintenant, connaît cette série :D Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) Comme à chaque séance, tu réponds quand je t'appelle pour entrer dans notre pièce. A genoux, en lingerie noire. Maquillage soigné, rouge vif qui décore non seulement tes lèvres mais barre ton front d'une SALOPE. Tu es prête à être utilisée comme je voudrais. Tu as conscience que tu es ici pour ton éducation et mon plaisir. Je ne rentrerai pas dans les détails mais tu sais très bien que tu m'as déçu ces derniers jours. J'imagine que tu sais que tout va se régler aujourd'hui. Je prends la laisse et je traîne jusqu'à la table que je fais descendre. - Regarde moi. Tu sais que tu vas être punie pour ton comportement récent ? - Oui Maître, je le sais, je le sens et je le veux. Je le mérite. Je suis ta salope et je veux que tu m'utilises. Mais je comprends que je dois mériter ce droit et je suis heureuse de payer pour te servir ensuite. Si tu le souhaites, bien évidemment Maître. - Monte sur la table ! Prends ton string et mets-le dans ta bouche. Je n'ai pas envie de t'entendre dire Merci ou plus fort quand je te fesserai. Je n'ai pas du tout envie de t'entendre, d'ailleurs. Tu te mets en position. Tu as remarqué les liens sur la table. 4 liens dont la largeur est ajustable. 2 pour les mains, 2 pour les pieds. Tu vas naturellement positionner tes mains dans les menottes que je serre fort. Pas encore de baillon dans cette pièce et c'est bien dommage mais ton string fait l'affaire pour l'instant. Ni de paddle ou de fouet. Mes mains devront suffire. Et elles suffisent jusqu'à ce que ton cul soit rose foncé. La marque des mes mains disparaît au fur et à mesure que tout ton cul se colore. Je te traite de tous les noms. Je cite également tout ce que je veux ajouter à cette pièce. Un objet à chaque fois, c'est finalement trop peu. Je voudrais que ton dos, tes cuisses soient zébrés maintenant. Pas juste ton joli cul. Mes mains chauffent, je me rapproche de ton cul pour le mordre et il dégage une belle chaleur également. Sans même y réfléchir, je retire ma ceinture. Ce n'est pas tricher, de toute façon. Je l'avais sur moi et je fais les règles. Quelques minutes intenses et ton corps est zébré, des épaules au bas des cuisses. Quelques minutes de plus encore. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je pense, non, je suis certain que je n'ai jamais été aussi prêt de perdre le contrôle et je sais que tu sentiras la douleur pendant toute la séance. Sans doute même bien les soins post-séance. Je détache tes mains. Tourne-toi salope ! Dos contre la table. Remets tes mains en place. Je les menotte et j'écarte tes jambes pour fixer tes chevilles également. Tu es écartelée au maximum supportable. Ton corps est sur la table, ta tête dans le vide. Je me déshabille et m'approche de toi. Dès que je retire ton string de ta bouche, tu commences à lécher comme l'immense salope que tu es. J'en profite pour m'occuper de tes seins et de ton sexe. Pas question de les laisser jaloux de ton dos et de ton cul. Eux aussi ont le droit d'être maltraités, claqués. Je m'écarte de toi et je t'ordonne d'essayer de cracher sur ma queue. Pas facile mais je viendrai m'essuyer contre ton visage jusqu'à ce qu'il soit luisant, recouvert de salive. Encore. tant pis si ça commence à te couler dans les yeux et le long des cheveux. Je te crache dessus pour accélérer les choses. - Voilà maintenant ouvre grand la bouche. Je sais que tu ne maîtrises rien. Je sais que la position est inconfortable et que tes abdominaux ne peuvent plus te permettre de te redresser. Tu vas juste subir. Je presse mes mains autour de ton cou. Je serre jusqu'à ce que ton visage soit aussi coloré que ton cul. Tu sembles avoir du mal à récupérer et tu es obligée de déglutir et ton visage devient encore plus luisant. Ton mascara coule et ça m'excite. Je recommence. Encore et encore. Tu sens enfin que mes doigts ouvrent ta bouche et que ma main commence à la baiser. Quel plaisir de la retirer et de la sécher sur ton corps ou ton visage. J'aime que tu sois recouverte. Mais là il est temps de mettre ma queue et de te baiser encore et encore. Parfois rapidement, parfois avec une lenteur calculée jusqu'à ce que tu puisses lécher mes couilles. Parfois en agrippant tes cheveux pour forcer ta tête à aller et venir. Ton visage est blanc. Blanc de salive. Avec des très jolies nuances de mascara. Je te détache. - À genoux salope. Tu sais que tu n'auras pas l'honneur de me faire exploser. Mais tu as trop envie de recevoir mon sperme sur ton visage méconnaissable pour ne pas obéir prestement. Tu ouvres la bouche, tu tires la langue. Je viens me branler à quelques centimètres de toi. Parfois contre ta langue. Je jurerais t'entendre gémir comme la chienne que tu es. Je regrette de ne pas avoir encore équipé la pièce d'un simple verre car c'est en te regardant boire mon sperme que je voudrais finir. Tant pis, je m'arrête. Une petite distorsion des règles et je reviens 30 secondes plus tard avec une flûte à champagne. Je me tourne, je fourre ta langue dans mon cul et, en même temps que tu essayes de l'enfoncer le plus profondément possible, j'explose et je remplis le verre. Je vais me mettre dans le sofa et tu accours. Enfin accours à 4 pattes. - Maître je t'en supplie. Je veux vous boire. Je lui tends la flûte. Tu as interdiction de boire. Je reste interdit quand elle vide le verre mais je comprends quand elle la remplit en recrachant tout à nouveau. Elle bascule la tête en arrière et vide, précautionneusement le contenu sur son visage. Le dressage avance bien !
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Par : le 03/11/23
Léa était une jeune cadre dynamique d’une entreprise de conseil de La Défense. Elle était sortie de la fac de droit il y a deux ans maintenant et travaillait désormais dans le service juridique d’une firme possédant une des plus hautes tours du quartier. Son bureau était au 45e étage, bien loin des préoccupations de ceux qui marchaient au sol. Elle ne les côtoyait d’ailleurs pas. Chaque matin, elle garait sa voiture au parking situé au sous sol et montait directement par l’ascenseur jusqu’à l’open space qui lui servait de bureau. Elle avait beau avoir ce qu’on appelait “une place en or”, elle regrettait l’époque où elle pouvait sortir avec ses amies après la fac. À cette époque elle couchait avec de nombreux garçons, bien qu’aucun ne lui avait vraiment apporté de réelle satisfaction. Elle avait même essayé quelques filles, même certaines de ses amies proches, mais le constat restait le même. Mais enfin à l’époque au moins elle expérimentait.    Ce soir, comme chaque soir, elle sortit à 20h, prit sa voiture et rentra dans son appartement de Nanterre, spacieux certes mais “loin de tout”, comme lui avait dit son amie Nathalie avant de l’acheter. Comme à son habitude, elle sortit des lasagnes Picard de leur carton et les plaça dans le micro-onde. Elle s’alluma alors Netflix et se lança un episode d’une série qu’on lui avait recommandé. Elle mangea son plat devant le premier episode qui ne la séduisit que moyennement. Le second épisode n’était pas plus entrainant mais une scène légèrement érotique apparaissait à la 20e minute. Elle profita de ce rare moment pour passer sa main dans son pantalon et en ouvrir le bouton. Avant que la série ne passe à une autre scène, elle fit pause sur une magnifique image de cheveux tirés. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, de plus en plus sensuellement. Elle descendit son pantalon jusqu’a chevilles et alla chercher le vibro dans la commode de sa chambre, elle s’alluma et continua ce doux moment dans son lit. Après 20 minutes d’intense plaisir elle jouit une première fois, explosive. Elle chercha le deuxième mais la fatigue de la journée la contraint à arrêter et à aller se coucher.    Se toucher était devenu une habitude quotidienne pour Léa. Cependant l’aspect répétitif l’avait poussé à innover et depuis quelques semaines elle se filmait régulièrement en le faisant. Elle imaginait qu’on la regardait et cela l’excitait. Elle ne regardait que très rarement les vidéos mais elles étaient toutes archivées dans un fichier de son iPhone protégé par un mot de passe. Elle se disait souvent qu’elle aimerait que quelqu’un d’autre ne la filme mais elle avait trop peur pour son image et ses rares plans tinder ne lui avait pas donné le courage de demander.    Le lendemain, sur le chemin de son bureau, elle s’arrêta chez Starbucks. Ce n’était pas dans son habitude mais le café de la machine était vraiment imbuvable et tenir la matinée sans café lui semblait insurmontable. Habillée d’un grand manteau beige et d’un pantalon taille haute elle s’approcha du comptoir et commanda son café -Un Venti sans sucre et sans crème s’il vous plait, dit elle, sans savoir si elle devait tutoyer ou vouvoyer ce vendeur qui lui semblait bien avoir son age.  Quelques instants d’attente plus tard, un “Léa” se fit entendre, son café était prêt. Elle alla le chercher, le saisit et, en se retournant, bouscula un jeune homme en manteau noir, lui renversant du café dessus.  -Oh je suis désolé monsieur, dit elle désolée, sortant un mouchoir de son sac -Ah bah bravo jeune fille, répondit-il sèchement alors qu’une fois encore   Léa comprenait l’agacement de l’homme mais lorsqu’elle releva les yeux, elle vit l’homme, qui devait également avoir le même âge qu’elle à quelque chose prêt, sourire en coin. Elle compris alors que l’homme avait utilisé un ton humoristique.  Toujours avec un large sourire, il dit:  -Soit tu me paies la teinturerie, ou un verre ce soir.  Puis il accompagna cela d’un clin d’oeil.    Léa tenta de s’échapper malgré le charme évident du garçon aux cheveux mi-longs:  -C’est que euh, je termine tard le soir, bredouilla-t-elle.   -Quand on veut on peut, répondit-il, rendez vous au bar du plaza athénée à 18h, je compte sur toi, et mon manteau aussi…   Sur ces mots, il lui embrassa la main et tourna les talons avec un grand sourire.    Toute la journée, cette interaction la perturbait, devait-elle y aller? Certes elle lui devait quelque chose et le boulot était plus une excuse qu’autre chose mais tout de même, elle ne le connaissait pas. A 17h, elle décida que le fait que ce soit en bar ne la faisait pas courir beaucoup de risque et qu’elle irait simplement pour lui payer le teinturier puis repartirait. Elle quitta donc son bureau en douce prétextant une fatigue et monta dans sa voiture. Waze lui prévoyait une heure pour aller dans le centre de Paris, évidemment, à 17h30… Elle abandonna l’idée de la voiture et pris le métro. A 18h10, elle arriva enfin devant l’hotel et se dirige vers le bar. Du haut de ses talons, on l’entendait arriver. Elle ne se sentait pas dépayser dans un hotel de ce style mais le fait d’aller à un rendez vous dans un endroit comme celui ci lui faisait un sentiment étrange. Elle vit l’homme, le salua et lui proposa de payer le teinturier. -Voila 15 minutes que je t’attends, non seulement tu me dois un verre mais maintenant tu m’en dois au moins deux en lui prenant son manteau et en la poussant doucement vers le fauteuil.    Le charme et la galanterie du jeune homme eurent raison de son plan initial. Elle s’assit et tenta d’apprécier la musique jazz provenant du piano.    -Gaspard Du Daguet, enchanté, dit-il -Euh Léa Malroit, répondit comme en hésitant Léa.    Gaspard lance alors la conversation sur la beauté des moulures et deux cocktails plus tard, la conversation était maintenant equitable. Souvenirs d’enfance, études, rêves, la conversation variait sans cesse mais elle n’en était pas moins passionnante. Léa s’aperçut vers 23h qu’elle se confiait un peu trop à un inconnu et savait de dates précédents que c’était rarement bon signe. Elle proposa alors dans l’objectif de changer de sujet et d’arrêter ce déroulé de sa vie: -Tu veux venir chez moi prendre un verre Gaspard ?   Gaspard hésita et répondit:  -Non cela ne va pas être possible, j’en suis désolé, j’ai à faire ce soir.    Il se leva alors et la raccompagna vers la sortie, lui refit un baise main, lui dit un “à très bientôt” et parti   Alors qu’il s’éloignait, Léa réalisa qu’il n’avait aucun moyen de la contacter, encore un qu’elle avait fait fuir… Elle rentra alors en RER chez elle, se toucha comme à son habitude et s’endormit frustré d’un énième échec sentimental.    La nuit passa avec son lot de rêve et le réveil sonna à 7h comme à son habitude. La tête endolorie, elle se leva, se maquilla, et elle s’approcha de son dressing. Elle ouvrit le tiroir des sous-vêtements mais impossible de trouver une culotte, elles devaient toutes être au sales. Elle se dirigea alors vers le panier, rien. Dans la machine, rien. Elle ne comprenait décidément pas. Elle se dit qu’elle allait s’en passer pour aujourd’hui et se dirigea vers la pile de pantalon qui avait également disparu. Elle ne se souvenait pas avoir fait de rangement et se dit que sa femme de ménage avait du les ranger autre part. Elle n’avait pas le temps de trouver où cette incapable les avait mit. Elle saisit un tailleur jupe et enfila le bas, puis le haut, un petit manteau noir, un coup de rouge à lèvre et sortit. Une fois dehors, elle se rappela que sa voiture était toujours à La Défense… Elle s’apprêtait à appeler un taxi quand un passa juste devant. Elle monta dedans: -Tour Ivoire, La Défense s’il vous plait. Le chauffeur verrouilla les portes et démarra. Fatiguée, Léa terminait les dernières retouches de maquillage sur ses yeux. Au bout de 10 minutes de route, le taxi s’arrêta, ils n’étaient pas devant son travail. Elle s’apprêtait à engeuler le chauffeur pour son incompétence quand sa porte s’ouvrit, dernière se trouvait Gaspard dans un costume noire obsidienne qui lui tendait la main.    -Qu’est ce que tu fais là, c’est toi qui a demandé au taxi de m’amener ici, dit elle visiblement énervée, qu’est ce que tu crois, j’ai un boulot, je peux pas le rater, je vais me faire virer -J’ai appelé, répondit Gaspard d’un calme absolu, tu seras en retard, c’est cohérent avec ta fatigue d’hier -Non mai…, commença Léa  -Silence, suit moi, tu ne le regretteras pas.    Il la prit par la main et la tira assez énergiquement vers le resto juste devant. Il la fit s’assoir sur une banquette, prit une chaise et s’assit dessus à l’envers, le dossier vers Léa. Il sortit son téléphone, le pencha à l’oreille de Léa et appuya sur play.    Soudain, des gémissements furent emit sur le haut parleur, c’était la voix de Léa. Horrifiée, elle regarda le téléphone, c’était elle. C’était une vidéo d’une de ses jouissances.  -Quoi mais comment as tu pu av…, commença t-elle -Je les ai toutes, l’interrompit-il, écoute moi bien attentivement, je ne veux pas te nuire donc je te propose un marché. Tu peux aller travailler aujourd’hui, ce soir, tu rentreras, tu mettras le contenu de ce paquet -lui tendant un paquet blanc- tu te mettras à genoux face à la porte tu laissera la porte entre-ouverte. Tu m’accordes une soirée et j’efface tout, une simple soirée tous les deux contre le fait que tout tes collègues et amis voient ces vidéos, c’est équitable   Elle hésita quelques instants et dit:  -Une seule soirée et tu effaces?  -Exactement, dit-il -D’accord…, répondit-elle à contre-coeur -Tu vois que tu ne pouvais pas refuser, dit-il avec un sourire   Ils sortirent du restaurant, il lui ouvrit la porte du taxi.  -A ce soir dans ce cas, dit-il, attention aux courants d’air…, rajouta t-il avec un sourire   Se pouvait-il qu’il sache pour son entrejambe dénudé, comment était-ce possible… Pouvait-il être la cause de tout ca… Et ces pensées la poursuivirent durant tout le chemin du taxi et durant l’entièreté de la journée de travail. Même son habituelle pause série du midi ne lui permit pas de se changer les idées. 17h, il lui fallait partir avec le paquet pour ne pas etre en retard. Elle monta dans sa voiture, et avant de démarrer, elle ouvrir le paquet et regarda rapidement, de la lingerie fine, “pas étonnant”, se dit-elle. Il y avait aussi des lanières de cuire rembourrées. Elle se dit qu’elle trouverait la fonction chez elle. Elle démarra pensive. Arrivée chez elle elle étala le contenu du paquet, un justaucorps en dentelle noir, des jarretelles, un grand morceau de cuire avec un anneau et deux plus petits avec des demi-anneaux. Il y avait également un plug anal. Elle en avait utilisé un une fois donc elle le reconnaissait. Une petite etiquette y pendait “tout doit etre mit ;)” y était inscrit en écriture noire. Elle mit les jarretelles et le porte jarretelle, elle eu quelques difficultés mais réussit, puis elle mit le justaucorps, une fois ajusté, elle s’aperçut qu’elle avait oublié le plug, elle enleva tout et remit le plug avec un peu de lubrifiant et remit le justaucorps. Désormais elle ne pouvait plus l’enlever rapidement et le justaucorps, assez serré malgré la dentelle, poussait dessus. Après quelques minutes elle plaça la longue lanière de cuir autour de son cou, bien que ca ne tienne pas bien et les deux lanières plus petites autour de ses poignets.    Elle entrouvra la porte et se plaça à genoux, il ne lui avait pas donné d’heure… Elle entendit comme cela une heure avant que la porte s’ouvre. Elle sauta, ca pouvait etre n’importe qui! Mais non ouf, c’était lui. “Ouf?” pensa t-elle, “non pas ouf, tu ne le connais pas enfin, qu’est ce que tu fais”, continua la voix dans sa tête.    Un “bravo” vint interrompre ses pensées. Il enleva son manteau, passa à coté d’elle, lui caressa les cheveux. Il émit un léger rire, se baissa derrière elle et alors qu’elle sentit un souffle chaud sur sa nuque, il enleva la lanière de cuire sur son cou;  -C’est pas un collier ça ma belle, dit il en plaçant l’anneau devant sa bouche, c’est pour que je n’entende pas ta voix ce soir, continua t-il en fermant fermement le baillon autour de sa tête. Léa fut surprise mais extrêmement excitée… L’idée qu’elle n’aurait pas du accepté était au premier plan de ses pensées, mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’être excitée d’être aussi impuissante…   Il saisit les deux anneaux des poignées et leva les deux mains de Léa en l’air. Il passa un mousqueton entre les deux et y attacha une chaine.  -Debout, dit-il fermement Il se plaça alors face à elle et dit:  -Maintenant après une journée de travail,  tu vas me laver, et il prit la chaine et emmena Léa enchainée jusqu’à la salle de bain de cette dernière.  La marche était compliquée par le plug mais elle parvenait à suivre cette homme qui avait désormais tout contrôle sur elle, y compris son droit à la parole. Comment savait-il où était la salle de bain? Se demanda t-elle? Mais il semblait savoir, il ouvrir une porte, fit entrer la jeune fille, s’y engouffra également, et dit d’un ton ferme:  -Déshabille moi   Ce qu’elle redoutait allait arriver, elle allait être abusée… Effrayée mais excitée, elle enleva la chemise du jeune homme, tache qui fut compliqué par les mains attachées. Elle enleva ensuite la ceinture, ce pour quoi elle eu besoin de l’aide de son ravisseur, puis son pantalon. Il n’y avait plus que son caleçon. Elle passa les mains, puis descendit tout doucement. Son penis sortit du caleçon, il était dur comme un roc. Elle se demandait s’il elle devait être flattée ou effrayée.  Sur ces pensées qui ralentirent son action, elle senti Baptiste la saisir par les cheveux et lui dire:  -Ou tu te dépêches, ou je remplace le plug par autre chose, et ca risque de ne pas être confortable.    Prise de panique, elle s’activa. Il était maintenant nu et elle habillée comme une prostitué, ou une esclave…, se dit-elle   Malgré la situation, son ravisseur était très bel homme. Et lorsqu’elle du le laver à l’éponge, elle sentait ses muscles sous le savon. L’anneau qui maintenait sa bouche ouverte lui rappelait à chaque instant son trou du cul également ouvert de force et pensait que le seul trou qu’elle lui aurait offert la veille semblait être le seul auquel il ne s’intéressait pas. Mais elle se trompait. Aussitôt la douche terminé, encore mouillé, il sorti de la cabine à l’italienne et attacha la chaine et donc les mains de Léa en hauteur. Il descendit alors doucement et passa sa langue dans sa fente, à travers le justaucorps. Lentement il tourna en rond avec de petits cercles, passant entre les grandes et petites lèvres. Soudain, il mordit le justaucorps et en arracha un bout qui lui permettait d’avoir un accès total. Il continua et s’arrêta sur le bouton. Il le titilla, il sentait la mouille couler. Il accéléra, elle gémissait et soudain il s’arrêta. Il reproduisit le scénarios de nombreuses fois, s’arrêtant à la limite de la jouissance une dizaine de fois. Mais à la onzième, il s’arrêta pour de bon. Frustrée, Léa ne comprenait pas. Il sorti de la salle de bain quelques instants et revint avec une ceinture de chasteté petit format. Il dégagea les restes du justaucorps et fixa la ceinture. Il y attacha un cadenas qu’il verrouilla. -Ce cadenas s’ouvrira dans un mois, c’est comme cela que je l’ai programmé, dit-il, sauf si j’utilise cette clé, rajouta t-il avec un sourire en montrant la clé pendant à son cou. Avant de libérer Léa, il la regarda droit dans les yeux et dit: -Je dois y aller, demain tu laisseras à nouveau la porte d’entrée ouverte, si elle est fermée je n’insisterai pas et je considérerai que ta nouvelle chasteté te convient bien, si elle est ouverte, il n’y aura plus de demi-tour, je ferai de toi ce que j’ai envie… Puis il prit son téléphone et supprima devant elle toutes les vidéos -Le choix est le tien, ajouta il en enlevant la chaine et le mousqueton des menottes. Léa s’effondrât sur le sol de la salle de bain en silence, toujours bâillonnée, pleine de sueur, de mouille, et de bave coulant de son anneau buccal. Mais elle était surtout frustrée comme elle ne l’avait jamais été. La dernière vision qu’elle eu de la journée était celle du corps à peine rhabillé de Baptiste sortir de son appartement.    Voici le premier chapitre de l'histoire de Léa, si vous voulez une suite, faites le moi savoir en commentaire Un récit par Monsieur N.  
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Par : le 13/10/23
Première partie : https://www.bdsm.fr/blog/8979/Dresser-mon-esclave---partie-1---le-canap%C3%A9/ Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. La limite est fine. Ah, et pour cette partie, j'ai triché. J'ai mon téléphone avec moi. Mais un Maître ne triche jamais. Il fait les règles. Second texte / second  élément : une belle et grande table en bois Je t'appelle et tu arrives tout de suite. Collier, laisse et lingerie sur tes mains et tes genoux. Je crois qu'excepté couverte de ma semence, avec un baillon dans la bouche ou avec un crochet dans le cul, c'est ainsi que tu es la plus désirable. Mais ne nous laissons pas distraire. Place à la seconde séance de dressage. Je suis confortablement installé dans le canapé. Je tapote sur mes genoux pour appeler ma chienne. Tu as pour instruction de regarder le sol et je sais que tu as quand même jeté un coup d'oeil pour voir ce qui t'attendait. Une simple table. Je te laisse approcher. Tu commences à lécher mon jean à hauteur de ma queue comme si tu pouvais faire ce qui te plaît. Cette erreur te coûte une claque retentissante. - Pardon Maître, j'en avais tellement envie. - Ouvre la bouche. Tu sais que tes erreurs se payent et j'aime tellement cracher dans ta bouche offerte que je te pardonne trop facilement. - Maître, s'il vous plaît, laissez votre esclave lécher votre jean - Tu peux ! Et je vois ta langue se précipiter. Je te sens même prendre ma queue à travers jean et boxer. Je sens ta joue la presser aussi. - Notre nouveau jouet est une table. Tu te retournes pour la regarder. Une belle table en bois massif. Carrée mais suffisamment large pour que tu puisses tenir allongée dessus sans problème. Un sofa et une table. On ne dirait pas l'aménagement d'une pièce spéciale mais ça va venir. Tu as repris ton activité et tu me suces comme si j'étais nu. J'ai envie de sentir ta bouche de plus près. - Enlève mon pantalon. Non seulement tu l'enlèves dans les 10 secondes mais tu fais glisser la ceinture et me la tends avec référence. - Au cas où vous vouliez vous en servir Maître Je me lève. J'atttrape tes cheveux pour te forcer à coller ta figure contre mon bassin. Je récupère la laisse et je la passe autour de ta nuque pour pouvoir serrer encore plus fort. Je te sens t'agiter mais il faut que tu apprennes à devenir encore meilleure pour respirer quand tu peux ou avec une queue coincée au fond de ta bouche. C'est pour ça qu'on t'entraîne. Je profite de ce moment et je le fais durer. Je te libère de temps en temps pour te voir reprendre péniblement ton souffle. La salive s'écoule de tes lèvres. - Tourne-toi mon esclave. Direction la table. Monte dessus. Tu te relèves tout de suite et tu comprends que c'était une erreur. Tu te remets tout de suite à 4 pattes mais tu sais que tu paieras pour ça. Je te soupçonne même d'avoir commis cette erreur de débutante exprès. Tu es à 4 pattes sur la table, le regard tourné vers le bas. Je t'attrape par les cheveux. Première claque - Tu l'as fait exprès ? - non Maître - (seconde claque plus forte) Tu l'as fait exprès ? - quoi, Maître ? - (troisième claque, crachat) tu sais très bien quoi. Arrêter de marcher comme la chienne que tu es bien avant la table - (baissant encore plus a tête) sans doute Maître que je voulais être punie. - A 4 pattes, les avant-bras posés sur la table, la tête entre. Offre-moi ton cul bien en l'air. Tu t'exécutes et, en même temps, tu sens la table bouger. Les plaisirs de la technologie. Offrir à un Maître une esclave à parfaite hauteur de fessée. Comme souvent, je commence par te fesser à main nue. Tes fesses se colorent et, quand elles sont d'un rose suffisamment soutenu, je tends la main pour me saisir de la ceinture. Je commence par changer de cible et je m'occupe de tes cuisses, de ton dos. Tu gémis de plus en fort mais ça ne t'empêche pas, de temps en temps, de me supplier de taper plus fort. Retour à ton cul jusqu'à ce qu'il soit d'un beau rouge. - C'est fini pour l'instant mais ne bouge pas. Je sors mon téléphone pour prendre quelques photos. Puis j'enclenche la vidéo et je fais plusieurs fois le tour de la table. - Tu peux me regarder ma salope. Tu aperçois le téléphone. - Enlève ton string. Donne-le moi. Montre-nous à quel point tu es trempée. Au nous, tu réalises que cete vidéo va finir uploadée sur internet. Tu me tends le string. Je l'expose devant la caméra. Il est très facile de voir qu'il est trempé. Mes doigts se glissent contre ton sexe. Wow oui tu es carrément trempée. Ouvre la bouche. D'abord mes doigts. Oui suce-les comme si ta vie en dépendait même si ce ne sont que mes doigts. Puis le string. Voilà, c'est pas un baillon mais ça sera mieux que rien. Gros plan sur cette bouche de pute qui prend tout ce qui passe à proximité. - A genoux chienne ! Regarde droit dans la caméra. Que tout le monde te regarde exploser. Aujourd'hui c'est une séance pour te préparer à aimer les regards qui se posent sur toi. Je sais à quel point tu aimes que tout le monde sache que tu es mon esclave. Regarde la caméra, montre à tout le monde à quel point tu es bien dressée. Tu prends le bout de la laisse, tu la glisses contre ton sexe et tu tires. Tu la presses avec ton autre main et je vois tes doigts qui commencent à s'agiter contre ton sexe. Tu arrives à regarder la caméra jusqu'à ce que tu commences à gémir très fort. Ta tête bascule en arrière et il ne faut que quelques secondes de plus pour que ton corps tressaille, pour que tu exploses bruyamment. Tu reprends tes esprits, tu me regardes, - Merci Maître !      
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Par : le 04/10/23
Ne me regarde pas, salope ! Baisse les yeux ou tu prendras une décharge électrique. Oui, juste comme ça. C'est toujours si bon quand tu es dans cette cage et que je peux faire ce que je veux de toi. Juste ou injuste, peu importe. Je me demande même si te traiter injustement c’est pas mieux. Si, bien sur que c'est beaucoup mieux. Tellement bon de cracher sur ma chienne, d'utiliser l'ouverture sur le dessus de la cage pour pouvoir utiliser le vibro, le crochet ou tout autre outil que j'ai envie d'utiliser. Tu as passé l'après-midi à travailler dans la cage en attendant ton Maître. J'espère que ta visio-conférence s'est bien passé. Et que le floutage du fond a bien fonctionné. En fait non. Il faut que j'arrête de me mentir. J'espère le contraire et que tous tes collègues savent que tu es ma salope. Je viens de m'asseoir devant toi. Et non, tu ne peux pas regarder. Je suis quelques centimètres en dehors de ton champ de vision. Si tu regardes, tu sais que tu seras punie en conséquence. Et que tu m'auras déçu, surtout. Rangeons cet ordinateur portable. La journée de travail est terminée. Laisse-moi te mettre ton bâillon. Celui que je préfère. Le baillon araignée qui ouvre ta bouche en grand. Tu es superbe en lingerie de salope, en rouge à lèvres et avec mon gag préféré. Je suppose que tu as enlevé ta robe la seconde d'après ta réunion. Je suppose également que tu seras encore plus superbe avec la machine qui te baise le cul. Pas vraiment une punition pour une pute comme toi mais c'est ce que je veux ce soir. Te regarder te faire prendre par une machine. Continue à baisser les yeux et ne bouge pas pendant que je la branche et la laisse te pénétrer. La cage a une grande ouverture sur le dessus et il est tellement agréable d'y verser de la cire chaude pour te peindre. Si j''entends ne serait-ce qu'un soupir, tu prends une décharge et tu le sais. Rien de mieux que les réflexes pavloviens pour dresser sa chienne de compagnie. J'aime quand ton corps est peint. J'aime que les couleurs de cire commencent à se mélanger. La couleur qui te va le mieux est incontestablement le blanc, celui de mon sperme qui te dégouline dessus. Mais n'importe quelle "peinture" sur ton corps m'excite. La machine sexuelle te baise lentement mais le gode est GROS et tes yeux commencent à couler et ton mascara à se répandre. Ton dos est maintenant couvert de crachats et de cire. Ne me regarde pas, esclave ! Continue à fixer le sol. Je commence à me branler maintenant à quelques centimètres devant toi. Je sais que tu veux me voir. Je sais que tu es excitée. Je sais que tu veux même me prendre dans ta bouche. Je sais tout ça mais tu ne le mérites pas. Ce que tu mérites arrive. J'ouvre le bas de la porte de la cage que je fixe en haut. Tu sais que tu dois en profiter pour passer ton visage. Tu procèdes doucement pour ne pas perdre le gode qui va et vient dans ton cul. Mon pied gauche vient sur ta tête pour que ton visage soit bloqué contre le sol. Quand je sens que je vais exploser, je m'agenouille, mes genoux qui encadrent ton visage plaqué au sol.. Tu peux me sentir exploser dans ton dos maintenant. J'ai même laissé le haut de ton dos sans cire que tu puisses sentir que j'explose sur toi. Je recule et tu sais que tu dois te redresser, ouvrir la bouche pour que je puisse te la remplir au moins un peu. Je finis par exploser sur le sol. Je ne suis pas sans cœur. J'arrête la mchaine. J'enlève le bâillon. Tu peux maintenant supplier de nettoyer le sol. Je sais à quel point tu aimes que tout soit propre.
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Par : le 25/12/22
{Si vous n'avez pas lu mes articles précédents, je vous conseille de lire celui qui est cité en référence 1 en bas de page, avant de lire celui-ci. Cela vous fournira des éléments de contexte qui sont importants pour bien situer l'histoire}   Je me réveille dans cet endroit sombre et gris qui me sert de refuge. Seul, toujours seul, désespérément seul, cherchant à comprendre.   Je prends mon envol tel le Tarn fier et puissant. Mes yeux perçants saisissent les moindres détails. La souris qui court entre les herbes, la feuille qui tombe de l'arbre, à des kilomètres à la ronde rien ne m'échappe.   Je me pose dans la plaine. C'est le printemps. Je ressens la force vitale qui monte dans les arbres, qui circule dans les nervures des feuilles. Plus que la ressentir, je la vois! Mais bon sang! Qu'est-ce que tout cela signifie?   Je commence à peine à comprendre quelques bribes. Ou bien est-ce que je m'invente une histoire pour trouver une logique à tout cela? Des flashes me traversent parfois l'esprit, comme les réminiscences de vies passées. J'ai laissé des traces dans la mémoire des hommes. L'homme-oiseau ithyphallique de la grotte de Lascaux. Quetzalcóatl, le Dieu Serpent à Plumes des Aztèques. L'esprit animal que tant de tribus amazoniennes ont cherché à révéler, à apprivoiser.   Les pylônes encore et toujours [1]. L'attrait du sang. Je ne peux pas résister. L'instinct est trop fort. Je pique, je transperce, je déchire, je déchiquette. Violemment. C'est bon ! Mais cette fois il y a un changement. La femelle. L'odeur de la femelle. Le cul de la femelle. Je l'enveloppe de mes ailes. Je sens son cœur affolé. J'entends ses hurlements de terreur. L'instinct, toujours l'instinct. Il faut que je dépose ma semence en elle, il ne peut en être autrement. J'avais oublié combien c'est bon de baiser une femelle. Elle hurle mais cela ne fait que renforcer mon excitation.   Meute de drones à l'horizon. Ce n'est pas la première fois qu'ils essaient de me piéger. Je dois fuir encore et encore.   Seul, toujours seul, jour après jour. Loin de m'appaiser cet épisode n'a fait que renforcer ma douleur mentale.   Cinq femelles cette fois. Un piège ? Mais je ne peux pas résister. Je me soulage dans le cul de la première. Qu'est-ce que c'est bon ! La deuxième remue les fesses comme pour m'attirer à elle. Pendant que je l'encule un flash me traverse l'esprit. Bon sang! Ce n'est pas possible? C'est elle? Il faut que je la sorte de là. Je mets toutes mes forces dans la bataille. J'arrache ses liens. Je l'emporte dans les airs.   Cela fait des heures que je l'observe. Elle est inconsciente mais elle respire. La voilà qui se réveille. Elle sursaute, terrifiée. Je lui parle pour la rassurer. Mais elle ne me répond pas.  Ses yeux n'expriment rien d'autre que la terreur. On dirait qu'elle ne comprend rien. Mais qu'est-ce qui se passe? Mes mots sont pourtant clairs. Est-ce qu'elle est devenue sourde? J'écris sur le sol avec mon bec. Elle regarde les marques, intriguée, mais ne semble rien y comprendre.   Les jours passent sans possibilité de communiquer. Aujourd'hui elle m'a parlé pour la première fois, dans une langue étrange. Elle fait la moue. Elle semble déçue que je ne la comprenne pas. Impossible de communiquer. Je l'encule pour apaiser ma frustration.   Maintenant elle danse pour moi. Ma perception est démultipliée. Je vois le sang qui coule dans ses veines. Je vois des éclairs provenant de son flux de conscience. Je crois que je comprends de mieux en mieux. Sir Roger aurait donc vu juste ? [2] Telle la machine à vapeur qui transforme l'agitation thermique désordonnée de milliards de molécules en un mouvement ordonné, cohérent, le réseau de microtubules synchronise, orchestre des milliards d'éclairs de proto-conscience en un flux de conscience ordonné, cohérent.   Des réminiscences me parcourent l'esprit. Lorsqu'elle était fière de me présenter, nue, le spectacle de pole-dance qu'elle avait si durement préparé. Oui, c'est elle. Aucun doute n'est plus permis. Tel le fleuve qui dans la plaine transporte encore des minéraux extraits des hautes cîmes, mon flux de conscience transporte encore des bribes de mes vies antérieures, qui me reviennent parfois par flashes.   Coups de becs, coups de griffes, je l'ai bien dressée. Elle a morflé la salope, mais maintenant elle réagit au quart de tour. Je ne supporte pas qu'une femelle traîne à présenter son cul.   Je l'encule au réveil. Je l'encule au retour de chasse. Je l'encule dès que j'en ai envie. Elle hurle de terreur et de douleur à chaque fois, mais je m'en fous. Je retrouve mes sensations d'antan, lorsque cette salope hurlait sous mes coups de fouet. C'est bon! Qu'est-ce que c'est bon!   Comment communiquer avec elle? Que dois-je faire? La prendre dans mon envol et la rendre aux humains? La garder à demeure comme esclave sexuelle? Au début de la décennie, l'humanité s'est endormie en démocratie et poursuit maintenant sa longue torpeur, apeurée, paresseuse, préférant l'illusion de sécurité à la liberté, ignorant qu'elle se réveillera en dictature, ignorant qu'elle y est déjà.   Sera-t-elle heureuse parmi les humains? Ne serait-elle pas plus heureuse ici? Si je pouvais révéler ce que je suis en train de comprendre, cela provoquerait-il le sursaut qui sauvera l'humanité de sa perte? Elle saurait quoi faire, mais comment communiquer avec elle? Communiquer, communiquer, c'est là toute la clé, mais comment y arriver?   Réferences [1] Le perchoir d'Ysideulte, article publié sur bdsm.fr le 15/09/2022, https://www.bdsm.fr/blog/8145/Le-perchoir-d%E2%80%99Ysideulte/ [2] Stuart Hameroff & Roger Penrose, "Consciousness in the universe: A review of the Orch-OR theory", Physics of Life Reviews Volume 11, Issue 1, March 2014, Pages 39-78, http://dx.doi.org/10.1016/j.plrev.2013.08.002    
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Par : le 23/05/21
Chapitre 3 - le dernier Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian. Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied. Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous. Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian". Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite.  Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! "  " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club,  Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?"  ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la  blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé. Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?"  "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer. Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées. "vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application. "Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres. "ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche "La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack  dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué. Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert. "Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire... " stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur"  ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets. Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air. D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls. " ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"... Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence. Fin
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Par : le 23/05/21
Chapitre 2   Alex a executé les instructions données par son maitre chanteur et ce n'est pas sans honte et excitation qu'il s'est photographié léchant son sperme a meme le sol. Un sms l'avait felicité en retour, lui ordonnant d'aller prendre une douche mais sans possibilité de retirer le plug. Consigne qu’il avait prudement suivi. Il avait ensuite brievement diner d'une soupe puis etait allé se coucher, avec en permanence cette situation qui trotait dans sa tête... et dans son cul. Impossible de trouver une echapatoire. Vers minuit il avait essayé de se revolter en retirant son plug mais il avait recu un sms dans les secondes qui suivirent "ce serait dommage que tes collegues decouvrent en fond d'ecran une photo de toi en se connectant à leur PC" et aussitot il avait remis le plug. "attention, joues pas avec le feu". Difficile de s'endormir. Nuit horrible.   Ça vibre à répétition, il s'eveille en sursaut et realise que c'est le plug qui vibre... aussitot il recoit un sms "depeches toi, tu vas etre en retard au cabinet! Et n'oublies pas les consignes de ce matin douche et nettoyage de cul et de plug avant de le remettre". Et oui..., il est tard, il risque d'être en retard s'il ne se dépèche pas. Sans reflechir, il saute du lit prend son petit dej, la douche le plug, en prenant soin de suivre les consignes de temps. Il est prêt et part au bureau dans la précipitation. Il arrive a l'arrache peut de temps avant son premier client. Il croise Melanie dans le couloir... "ben dit donc, salle nuit on dirait et salle guelle ce matin, tu vas faire peur à ta cliente..." dit elle en partant dans un éclat de rire de concert avec Leaticia prenant son café ... sympa les filles!   La matinée se passe difficillement mais une fois bien calé et une position trouvée, il a reussi a oublier le plug, qui d'ailleurs n'a montré aucune envie de vibrer. Il est midi, et Alex part avec les filles et Paul manger un bout. Gérard est resté pour préparer son premier rendez vous de l'apres midi. Apres tout cela l'aidera peut etre a reprendre du poil de la bete... chacun est assis et commence tout en discutant lorsque le plug se met à vibrer, par secousse successive allant crescendo. Alex manque de s'etouffer, et devient tout rouge... "ben ca va pas Alex, quelque chose qui ne passe pas?" Demande Leaticia?" Alex a l'impression que tout le monde dans le resto entend ces vibrations. En plus, il ne sait pourquoi mais la situation l'excite et il commence a bander. Leaticia dit " c'est ton telephone Alex que l'on entant vibrer?"... "euh...." Un sms arrive "va te branler salope" a cette lecture, Alex sent qu'il bande encore plus "ah oui tu as raison... excusez moi je dois m'absenter quelques instants", il se leve de table le pantalon peu discretement gonflé par sa queue pour se diriger vers l'interieur du restaurant. Commentaire de Melanie, "ah oui, là je le vois bien vibrer son portable..." aussitot tous eclatent de rire, Leaticia ajoutant "on a même envie de décrocher pour lui. Le plug a continué de vibrer de plus en plus fort, arriver dans les toilettes, Alex s'enferme baisse son jean et son slip et commence a s'astiquer... bzzzz sms " et n'oublie pas de lecher ton foutre apres!". le plug lui procure tellement de plaisir combiné avec la branlette qu'il ne tarde pas à jouir. A peine fini que le plug se met a vibrer tellement fort que cela en est douloureux, bzzz sms "a genoux et leche ton foutre slave" Alex se met a genoux et leche tout le foutre sur le sol a peine propre. Le plug s'arrete. Alex se rhabille se nettoie le visage et la bouche au mieux et rejoint ses collegues a table. En le voyant arriver et en matant son jean, tout comme melanie, leaticia ironise "Ah, je te sens soulagé"... "ah Ha Ha..." dit alex. "bon on ta commandé un choux a la creme en dessert, je pense que tu adores ca!".   Une fois le repas fini, ils rentrent pour reprendre les rendez vous... rude journée aujourd'hui il finira le dernier. L'apres midi se passe sans soucis, bien qu'un peu fatigué il reussi a se concentrer. Un café a 5 heures et c'est reparti. Il a pris un peu de retard, il est 19h40 et c'est son dernir patient avant le week end. Il regarde le dossier que Leaticia lui avait posé en debut d'apres midi... non le nom ne me dit rien. Il ouvre la porte de la salle d 'attente et salut son nouveau patient. Bonjour Monsieur Grimaud, c'est a nous. Comme d'habitude il observe celui ci se lever et commence a se créer une image mentale de sa personalité et de ces maux probables. Type grand, costaud, musclé même, mine patibulaire (mais presque....), mais pas désagreable, tout droit sorti d'un film d'espionnage!. Il sourit discrêtement à cette pensée, et tend la main a Mr Grimaud, qui à son tour lui broie litéralement la main. "Enchanté mr Christiaaaaann Grimaud". "Je vous en prie prenez place, et raconté moi ce qui vous ameme?" Dit Alex en s'asseillant. "je pense que vous allez pouvoir m'aider" répond Grimaud en lui tendant une grande enveloppe blanche.   Alex prend et ouvre l'enveloppe, la photo de lui hier soir lechant son foutre sur le sol. Le sang d'Alex ne fait qu'un tour il hurle "salaud" et saute quasiment par dessus son bureau se precipitant sur Grimaud pour l'étrangler. Au dernier moment, celui ci esquive sur la droite assaine un atemi dans le foi d'alex, et lui fait un croche pied. Pris par son élan ce dernier s'écrase lamentablement au sol, accusant le choc et la douleur dans les cotes. A peine au sol, Christian est déjà sur lui lui tordant le bras dans le dos. "Alors ptit fiote on veut faire le malin" dit il en l'attrapant par les cheveux et lui cognant la tête le sol. "Tu ne peux rien contre moi, il faut que tu comprennes que tu es mon esclave" en même tant qu'il prononçait ces paroles, Christian sorti une paire de menotte qu'il passant a ses deux poignés en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. "mais qu'est ce que vous voulez à la fin...?” " c'est tres simple on te l'a dit 10 fois mais tu ne veux pas l'admettre. On ne veut que ton bien et ton accomplissement. Nous sommes un club bdsm tres fermé et nous recrutons nos membres qu'apres beaucoup de recherches et de préparations. Tu devrais etre flatté d'avoir été selectionné. Nous te suivons depuis un ptit moment et nous avons analysé ton profil avec soin, et nous s'avons tres bien que ce que tu veux c'est de te faire dominer... ton profil psychologique montre même que tu aimerais devenir esclave d'autres mecs qui t'utiliseront, te baiseront, t'humilieront.... mais pour nous pas de honte à cela, puisque cela te fera plaisir. C'est du donnant donant quoi. En plus t'es gay tu aimes etre passif voir traité comme une salope, et tu as une grosse queue, ... des comme toi on en manquait... alors qu'est ce que tu en penses?"   Accusant le coup de ce qu'il vient d'entendre il baffouille, Christian lui met une clac "ah je vois que ca rentre pas vite au cerveau... attends je vais un peu t'aider" il retourne Alex sur le dos, baisse son pantalon et lui fourre sa queue dans la bouche. Alex manque d'etouffer de surprise, meme si c'est plutot un pro dans ce domaine. Christian lui baise litteralement la gueulle et commence a bien raler. Alex se controle pour ne pas ettoufer. " tu m'excites bien toi...., tu suces vraiment comme une salope... on va voir ton cul maintenant, je suis sûr qu'il est pret à me recevoir." Christian saisit Alex et le balance a plat ventre sur son bureau puis lui baisse son pantalon et lui arrache son slip tel une bête sauvage, et lui fourre dans la gueule. Alex panique pour la suite, mais entend Christian lui dire qu'il va mettre un preservatif. Il retire le plug du cul d'Alex dans un bruit et fourre sa queue dans son cul, celle ci entre sans difficulté le plug ayant fait son ouvrage...   Christian laboure alex pendant 15minutes tantot le tenant par les cheveux, tantot lui mettant les doigts dans la bouche et finalement en lui mettant son pied sur la tete tout en l'insultant régulièrement. Alex est pris de tremblement, Christian redouble la pression et tous deux finissent par jouir en meme temps. "T'as aimé ça ptit pute hein? " lance Christian à Alex qui fini par décrocher un timide oui. A peine sa queue retirée que Christian replace le plug dans le cul d'alex. Chrisitan saisit alex du bureau le met a genoux devant lui et demande a alex de bien nettoyer sa bite. Vaincu celui ci s'execute. Puis Christian couche alex au sol et lui pisse dessus. " fait pas ta bourgeoise, on sait que tu aimes ça...et boit bien tout..." alex humilié de savoir tout ses secrets connus s'execute comme un bon soumis qu'il devient devant cet inconnu.   "bon voila le topo alex, demain c'est le week end. au dos de la photo de l'enveloppe tu trouveras une adresse ou te rendre a 14h sans faute. Tu repartiras dimanche soir a 18h00. Ton premier dressage de slave se fera durant ces deux jours. Inutile d'amener des affaires de change tu seras a poil durant ces deux jours...compris?" "Euh, mais, demain j'avais" Christian lui assene un coup de pied "ta gueule esclave... t'a pas le choix, tu ramenes ton cul demain a 14h... et pas la peine de prevenir la police ou quoi, il y a de nombreux membres dans notre club et ton dossier est partagé prêt à etre diffusé en cas probleme. De toute manière je ne suis pas inquiet on sait que tu aimes cela et que tu comprendras qu'il s'agit d'une opportunité pour toi d'être dans un club select, plutot que d'aller baisouyer a droite a gauche. Les salopes dans ton genre finissent toujours par aimer a etre slave au sein de notre groupe. Tu feras d'ailleurs connaissances d'autres prsonnes qui participeront a ton dressage. A demain. Tu peux m'appeler Maitre Christian. Compris?" Alex toujours interloqué, recoit de nouveau un coup de pied " compris?" ... "oui" ... re coup de pied "oui Maitre Christian" ..."a bien, t'apprends pas vite, mais on corrigera tout cela demain" Tient je pose sur le bureau les cles des menotes a demain. Sur ce il quitte le cabinet, laissant alex couché mains attachées dans le dos, pantalon en bas des genoux et recouvert de pisse.
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Par : le 23/05/21
Bonjour a tous, Je vous livre ce triptyque en vous donnant un peu de contexte afin que vous puissiez mieux comprendre le pourquoi du comment. Il s’agit tout d’abord d’une fiction, et en aucun cas quelque chose que j’aurais vécu d’aucune maniere que ce soit. L’origine vient d’échange avec un potentiel partenaire très joueur adorant les questions/reponses bien kinky, des jeux de hasard avec des gages... qu’il realisait a chaque fois qu’il perdait... plus souvent qu’à son tour, etant moi meme particulierement joueur et creatif. Il m’est arrivé de perdre, et l’un de mes gages devait etre d’ecrire 3 histoires. Etant tres imaginatif, j’ai preferé ecrire une meme histoire en 3 chapitres. Bon pas facile a faire sur un telephone portable... Derniere clé pour comprendre les themes, Alejandro (c’est son vrai prenom) exerce un metier decrit dans le texte, il est beau comme dieu, gay, tres soumis, adore les trucs bien crade, et la nature l’a doté d’un sexe a faire palir de honte un ane! CHAPITRE 1 Premiere histoire, special dedicace, j'espere qu'elle te plaira... Alex est un homme d'une trentaine d'année, pluto sportif avec un physique avantageux, et une situation professionelle maintenant bien etablie. Sophrologue dans un centre de soins, il recoit ses patients toute la journée. Entre deux rendez vous, il consulte ses emails, sur les differents sites de rencontre auquel il est abonné. Il est celibataire. Sa vie tourne rond, le soir il rentre chez lui apres avoir parfois pris un pot avec les collegues. Parmi eux il y a Leaticia, grande brune au regard enigmatique et aux courbes magnifiques qui se joint toujours a eux, car elle aimerait bien avoir une conversation d'un autre genre avec lui. Elle fantasme parfois, revant qu'il la prendrait sauvagement sur son bureau. D'ailleurs elle porte tous les jours, des robes , des jupes plus ou moins courte, haut moulant, ou chemisier montrant un avanageux decolté, sans compter de l'attention particuliere qu'elle apporte a ses dessous, porte jaretelles et bas quasi tous les jours. Mais Alex ne voit pas cela, car il est tout simplement gay, mais personne ne le sait, et il fait tres attention que cela ne se saches pas, de peur que cela nuise a sa reputation professionelle. Rentré chez lui, Alex passe son temps a mater des films porno gay et a tchater sur des sites de rencontres afin d'y trouver un partenaire, d'un soir, ou l'homme de sa vie. Un jour ouvrant son courrier electronique il y trouve un email lui disant qu'il savait qui il etait et qu'il publierait des photos de lui a poil, en train de sucer ou de s'engoder sur l'espace public, dans son hall d'escalier, pres de son cabinet,... il fut surpris, trouva cela un peu choquant, mais pensant plutot a une mauvaise blague, ou une tentative de phishing, il detruisit l'email sans trop y penser. Le lendemain il recevait un email de cette meme personne disant "alors ptit pd tu sembles par avoir compris mon premier email.  Ouvre la photo attaché et tu comprendras" de nouveau choqué par le ton vulgaire de la note, il clic neanmoins sur la photo attaché et manque de s'ettoufer. Une photo de lui a poil en train de se goder... il accuse le coup et lit machinalement la suite de l'email. "je sais bien qui tu es, et ton seul choix est de devenir ma salope soumise. C'est ton deuxieme avertissement" un peu assommé il doit partir au travail. Durant toute la journée Son esprit n'arrete pas de penser a ce dernier évènement. La journée se passe et il rentre chez lui toujours perturbé, avec le sentiment d'avoir mal travaillé. Certes, il a souvent fantasmé de se faire dominer par un ou plusieurs mecs qu'il aurait choisi, mais là les circonstances étaient troublantes avec l'impression d'etre en presence d'un malade mentale. Arrivé chez lui sa concierge l'interpelle. "ah monsieur Alex, j'ai eu ça pour vous aujourd'hui" et elle lui tend un colis et une grande enveloppe craft, le tout adressé a son nom. En continuant de faire la conversation avec sa concierge il ouvre machinalement l'enveloppe et regarde a l'interieur. Il referme celle ci précipitement en rougissant. A l'interieur une photo de lui a poil en train de sucer une belle bite. Il écourte la conversation et monte chez lui rapidement, en panic! Il s'enferme a double tour, puis se decide a ouvrir le paquet. Dedans il y trouve un plug commandé a distance, mais sans la telecommande sans autre explication. Il sort la photo de l'enveloppe et decouvre un texte au dos de celle ci. "C'est ton dernier avertissement ptit pute. Demain est ta derniere chance avant que ta vie public ne s'effondre. Demain, avant de partir au travail tu placeras ce plug dans ton ptit cul de salope. C'est super ce que l'on fait aujourdhui, il est couplé à mon telephone, et je peux savoir quand tu le mettras et le commander a distance, comme et quand je le voudrais. Si tu ne me crois pas, met le dans ta bouche durant une minute. Je te rappelle que c'est ta derniere chance". KO par la tournure des évènements, Alex decide de faire l'essai, apres tout... il le lave avant ... on sait jamais avec ce taré... puis le place dans sa bouche. C'est froid, un peu lourd, et il y a une petite antenne qui sort de la partie exterieure, montée d'une sorte de pierre preciseuse rose. Au bout de quelques instants, son telephone vibre. un sms..."bon choix slave, je vois que tu commences a comprendre que je ne plaisante vraiment pas". Alex recrache le plug medusé par le sms qu'il vient de recevoir. La menace prend vraiment forme et est désormais concrete. Son telephone revibre... un second sms..."changement de programme, finalement tu vas mettre le plug dans ton cul de suite. Et tu auras le droit de le retirer que demain matin pour chier, et le remettre apres ta douche tu n'auras que 40 minutes pour faire cela. Et lave bien ton cul et le plug avant de le remettre. Et n'oublies pas, ta concierge est très sympathique et bavarde, sans parler de tes collegues, Gerard, Paul, Leaticia et Melanie." Effondré et vaincu, Alex se deshabille. Le plug est assez gros, pas question de l’inserer sans preparation. Il lubrifie son cul avec sa salive, se doigte, d'abord avec un doigt, puis relubrifie, et y fourre 2 doigts, et se relubrifie encore et encore puis y fourre 3 doigts. En meme temps il suce copieusement le plug qu'il a posé sur la table basse, puis fini par se pluger, pas facile ,il est assez large avec cet electronique a l'intérieur. Il est finalement en place. De nouveau un sms..."bravo tu as fait le bon choix, tu es desormais mon esclave. D'autres instructions te parviendront, mais pour l'instant, tu vas te branler, jouir au sol, et bien nettoyer avec ta langue. Tu prendras une photo avec ta langue bien sortie et pleine de sperme et me l'enverra par sms. " a peine la lecture fini que le plug se mis à vibrer...
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Par : le 19/01/21
Un ami m’avait dit qu'un jour tu finiras dans le porno… J’avoue que cela ne m’avait pas plu car même si je regarde des vidéos coquines je n’ai jamais trouvé cette industrie très attirante. Pas assez esthétique… Toujours avec le même scénario. Et en plus j’ai toujours regardé des vidéos assez trashs et amateurs. J’ai une louve à la maison très casanière. C’est une bonne fée. Elle a de la bienveillance pour tout le monde. Elle est unique. Elle est tous les styles de musique à elle toute seule : du ganstaRap bien trash de Cypress HIll à une chanson douce d’Henri Salvador… Enfin, je t’ai sous la peau. Depuis quelque temps, tu m'as demandé de l'intensité, complicité, intimité... avec des pinces têtons et une cravache. Tu es venue te frotter contre moi pendant une période où j’avais perdu l’envi de sexe. Une déprime… Je devais être dans le vide émotionnel de mon quotidien. Tu as re-réveillé le loup qui est en moi et même mieux tu l’as fait éclore quelque chose qui sommeille en moi depuis toujours. Je parle de cette chaleur, cette envie Primaire, Bestiale qui avait déjà été au grand jour mais sans vraiment avoir trouver de répondant ou d’amatrice. Depuis nous avons parlé et surtout je t’ai préparé dans le plus grand des secrets un Dressage BDSM façons LoupGarouXXX…. L’objectif de ce récit est de partager mon dressage auprès de ma futur soumise @laylaminx J’ai prévu de le faire en plusieurs séances. Je raconterai chaque séance avec nos sensations. La suite dans un nouvel épisode…. Si vous voulez connaitre la suite merci de mettre en commentaire 🙋
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