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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Le dos bien cambré, à quatre pattes.
Elle attend, totalement offerte, impudique.
Vile envie de sa bite de psychopathe.
Rentrée dans son con, sa chose phallique.
Elle le sens au fond, claquant sur ses fesses.
Tantôt dans sa chatte ouverte, ruisselante.
Tantôt dans son cul, faisant d’elle une déesse.
Elle le veut de suite, elle n’est pas patiente.
Levrette moi, dans un lit, un canapé ou à même le sol.
Avec passion, force, douceur ou rudesse, rend moi folle.
Fais de moi ta chose, rentre et sort, ne sois pas casanier.
Je te veux derrière et en moi, moi monture, toi cavalier.
Tiens-moi par les anches, que ça claque, culbute-moi.
Plus fort, encore, te sentir là, je suis ta pute, toi le roi.
Levrette-moi dans le con, bien au fond, bien entendu.
A m’en faire mal, arracher mes larmes, dans mon cul.
Dans la chambre, le salon, sur la terrasse ou à l’hôtel.
Où tu veux, quand tu veux, mais levrette-moi… BORDEL !!!
Poison-Délice (acrosticheuse) pour MademoiselleLilith.
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QUOOOIII ???
Moi ? Vous faire une fellation ?
Je vous trouve bien gonflé de me demander telle chose.
Mais je vous devine en plus en train de parlez à d'autres.
Essaieriez-vous d’attiser ma jalousie par hasard ?
Je vous devine pianotant sur votre clavier avec toutes ces catins, essayant de vous exciter,
mais peine perdue... Ce soir, vous m’appartenez.
Je ne vous ferai pas de crise de jalousie, je vous ferais simplement lâcher votre clavier.
Je me mettrais à genoux entre vos cuisses et tirerai sur votre pantalon où je vous devine à l’étroit.
De mes doigts fins et blancs je saisirais cette colonne de chair, remontant doucement, et tantôt la décalottant.
Un coup de langue judicieusement appliqué sur votre frein,
histoire que vous compreniez que j’ai bien pris les choses en main.
Je vous sens tendu, mal à l’aise, laissez moi faire, détendez vous, laissez moi gober ce joli gland qui brille sous ma salive.
Doucement l’avaler, vous prendre en bouche,
vous inciter à vous étendre sur votre couche,
me voila faisant des aller retours sur ce pieu, suavement,
en salivant, avalant, ma langue gourmande l’enveloppant.
Voyez vous mon regard qui se plante dans le votre, mes billes derrières les mèches noires qui tombent devant les yeux. Ils brillent, sont légèrement brumeux et humides, vous ne savez si c’est de désir ou si j’ai avalé tellement profondément que j’en ai touché ma glotte de votre bite.
Toujours est-il que je continue et je m’applique.
Je sens vos contractions s’amplifier,
plus rapidement je vous avale,
dans des bruits de sucions épouvantables,
je vous veux au fond de ma gorge,
votre nectar coulant, tel un sucre d’orge.
Voila que je vous sens vous répandre dans ma bouche, sagouin que vous êtes. De longs jets chauds et brûlants inondent ma gorge. En bonne élève, je me mets en devoir de passer ma langue partout, je ne vous en laisserai pas une goutte,
votre nectar est mien, n’en ayez aucun doute.
Je lâche votre bite, un filet de salive ou de sperme nous unis encore, je m’en débarrasse bien vite d’un coup de langue. Je me redresse, fière, nue, remet en place mes mèches devant mes yeux et vous tourne le dos, m’éloignant en faisant claquer mes talons aiguilles sur le parquet, vous laissant à vos rêves et votre souffle court. Je sais que vous n’avez d’yeux que pour mon cul.
Je tourne la tête et vous regarde en coin,
Alors ? Je vous avais bien dis que je vous ferais oublier vos catins…
N’est elle pas belle votre petite putain ?
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Je vais dire la vérité toute la vérité. Je vous aime bien chers lecteurs
mais vous n'êtes pas naifs, je vais quand même arranger ça à ma sauce.
Cette histoire, même si je ne suis pas le seul acteur il faut bien
comprendre que je suis le modeste narrateur et en tant que tel j'ai tous
les droits.
Presque trois mois que je ne suis pas venu au club. Le club est un endroit,
c'est un décor magique certes. Mais un décor. Ce sont les gens séjournant
un moment , une vie, un instant qui anime le décor. La passion est la,
l'ambiance est excellente. Aux cotés de néophytes beaux de candeur, sont
installés quelques aficionados, fiers, sur, magnifique. Un même sourire
flotte sur leurs lèvres, énigmatique, mélange d'invitations et de pente à
gravir.
Je me défini comme soumis. Quand on est «soumis» c'est un choix! afin
de vivre une vie et, ou, une sexualité. Mais comme beaucoup! on est
souvent soumis tout seul. Soit que ceci ou soit que cela, mais moi je suis
content car je peux aller au club, pas quand je veux, des fois, je suis
pris ailleurs. Mais je suis content quand je vais au club.
Une chance sur deux pour qu'Elle soit la.
Évidement vous souriez cher lecteurs.... Je ne tourne pas autour du pot!
j'explique.
Oui bon! J'y vais parce que j'ai envie de la voir, bien sur. Je compte
sur votre discrétion hein!
Vous la verriez, assise au milieu des habitués, attentive, sérieuse,
souriante. La température corporelle augmente sensiblement. La vision devient
centrale et les gestes mécaniques, rassurez vous chers lecteurs, je pense que
c'est un effet du club. Les poumons n'en finissent plus de se gonfler. Un
problème de ventilation certainement.
J'aperçois une domina qui avait la dernière fois joué de la badine sur mon
corps, meurtri après son passage. Pas rancunier du tout....Je me déplace
pour la saluer elle et son compagnon.
Nous sommes trois soumis « seul».
Accompagné de la Maîtresse des lieux, Elle, nous demande un strip-tease au
milieu de la salle. La musique très Lully n'est pas adapté mais bon.... les
trois! de la 7eme compagnie essaient de faire quelque chose qui ressemble...
à rien! Sur ordre nous entamons une ronde afin de divertir les yeux des convives,
pour mettre de l'entrain, ces dames nous fouettent et nous fessent. Le fouet
sur les orteils......... aie! Une horreur. Je crois que cet épisode comique
met tout le monde en joie. Un peu de repos nous est offert.
Un quatrième garçon se joint a nous, Elle le connaît bien, elle heureuse de le
voir, Elle à l'air de beaucoup l’apprécier.
Je me rappelle de notre danse d'entrée en matière, ensuite l'ordre des choses,
le déroulement des aventures m'échappe un peu. Je sais que la domina de la
dernière fois me demande si je veux bien l'accompagner au fouet, j'essaye....
J'ai mal, je supporte moins que la dernière fois et le fouet est douloureux
pour moi. Dans la soirée nous réessayerons deux fois. Cette Dame fouette sur
les conseils de son compagnon. Elle aime apprendre visiblement.
Ça joue dans le club, c'est beau, fascinant. Aucune vulgarité, une
concentration palpable. Je suis un couple des yeux, jeune et déjà aguerri,
jouant sérieusement elle enroule ses fouets autour de son soumis. C'est une
danse hypnotique, sans fin... souple et inspiré.
A quel moment me met elle des bracelets de cuir rose tout mimi. Je ne sais
pas. Mais là ma tension a nettement augmenté. Les bras suspendus Elle alterne
martinet, ongles, caresses, joue sur les tétons qui gonflent, je perd la tête,
j'aime cette douleur, j'aime ces bras qui m'enlace je ne voie rien, je vis cet
instant, de pur bonheur. Les gémissements, la peau qui se raye, ça aurait pu
durer, durer.
Un claquement puissant fouette l'air.
La douleur est atroce. Le maître des lieux rigole de bon cœur.
Elle me détache doucement. Un peu de sang s'écoule.
Je regarde M ce faire martyriser le cul par la Dame au fouet.
Le troisième larron du trio de tête est pris en main par la Maîtresse de maison.
Il à une queue énorme... soupirs.
Cette dernière est malmenée savamment, re-soupirs.... on doit la sentir passer....
Le quatrième veinard est un petit gars sympa comme tout. Nous nous retrouvons tout
deux très intimement liés par les bourses, cul a cul. Elle nous fesse copieusement,
son genoux gaîné de bas vient frotter ma joue. Elle attrape mes tétons, je gémis de
bonheur. Quatrième en prends pour son grade. J'écoute mon compagnon de lien, je sent
ses sursauts, sa souffrance et ces gemissements. Quelque chose de froid, passe sur
mes fesses. Puis des caresses plus que piquantes arrivent, je pense à du piment,
meuh non!
Avec effroi j'imagine la chose quand elle m'attrape les bourses, un gants garnis
de picots acérés.
Je ne bouge plus ma phobie de piqûres, est la, sous-jacente, ça ne dure pas. Merci!
Elle s'occupe de nous deux a tour de rôle. Nous gémissons, mais en aucun cas
nous subissons, trop heureux d'être la entre ses mains.
Il y a ceux qui jouent autour de nous et ceux qui nous regardent. La salle est
petite pour nous tous par moment. La Maîtresse de maison nous démontre son adresse
au fouet, pauvre troisième larron... Mais quelle bite.
Nous nous reposons d'autre jouent, le clou du spectacle pour ma part et quand
Quatrième fut mis au pilori. Car....
Je la regarde, travailler le corps de son soumis. Elle est belle, concentrée,
cela dépasse mon imagination. Je me rempli la cervelle de ses mimiques, sourires
et autres facéties qui font hurler quatrième. Sa façon de dire «mais voyons»
qui donne des sueurs froides. Sa détermination au moment de frapper juste ou elle
veut . Derrière son soumis parfois devant, attentionné et sadique Quatrième crie,
se tortille sous la cire, implacable, Elle va au bout du processus, Quatrième
rend grâce, sous ses mains.
Au vu de sa sortie du pilori, il a joui mentalement. Il est heureux. Comme je le
comprends.
Elle a le mot de la fin. Vous vous en doutez bien!
ce fut celui-ci, dit avec une satisfaction évidente.
waouh! Ça fait du bien.
Merci
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L'odeur ambiante pourtant aseptisée titille son imagination,
Serais-ce ce beau jeune homme qui zieute sur ses jambes en toute discrétion?
Ou bien ces portes closes derrières lesquelles elle imagine se faire prendre..?
Contractant son périnée, un peu de tenue très chère!
Elle sent les regards dérangés des femmes,
Ceux des hommes excités, elle aime...
Jouant sur sa chaise avec de petits déhanchés,
Musique aux oreilles, elle ne peut pas s'en passer!
Un ambulancier poussant son chariot passe,
Son regard perçant voudrait il relever ma jupe?
Le temps est long, trop long! ça l'agace...
Elle aimerait en attendant avoir la bouche pleine, ne soyez pas dupe!
L'infirmière l'appelle enfin, elle l'a suit...
A quatre pattes? Que nenni!
Ouvrant cette porte, envie troublante...
Il faut qu'elle se déshabille, pensées indécentes...
S'allongeant sur ce lit qui grince,
Ses seins pointent... Ou sont ses pinces?
Laissant son shorty en évidence sur le lit,
Serais-ce une invitation, l'envie de dire oh oui...
Cette chemise de nuit a un petit côté sexy,
La ficelle au dessus de ses fesses est détachée...
Glissant ses doigts sur les rebords du lit,
Elle s'imagine chienne attachée...
Soudain, un homme rentre d'un pas décidé,
Son regard est dur mais son sourire brillant,
Refermant la porte, elle espère à clef...
Il s'approche d'elle, au niveau de ses cuisses légèrement écartées...
A vrai dire, elle l'écoute mais ne retient rien,
Ses doigts la font plus que mouillée...
Et s'il avait envie de serrer sa main sur son cou..?
Elle l'imagine derrière elle tout d'un coup...
A-t-il envie de la douiller en tirant son coup?
Elle sent ses yeux caressaient ses seins...
Mais... C'est qu'il continue et descend jusqu'à ses reins!
Le désir est palpable... Monsieur j'ai très envie de vous...
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Son corps palpite au rythme de ses hanches...
Son souffle saccadé l'excite à outrance...
Va-t-elle tenir la cadence?
Elle aime qu'il fasse rougir ses fesses blanches...
Allongée sur le ventre, buste incliné,
cuisses encordées, l'anneau dilaté...
Elle aime la sensation du bâillon dans sa bouche...
Il aime défoncer profondément sa pute farouche...
Elle sent tout d'un coup ce vibro la faisant tant gicler...
Aucun doute, il prend plaisir à la torturer...
La rendre objet sous sa perversité...
De son foutre l'immaculer...
Il s'approche de son visage, ses yeux sont bandés...
Il détache son gag-ball sur lequel elle a bien bavé,
La bite de Monsieur doit être nettoyée...
Sans un mot elle s'exécute telle une traînée,
Gare à la gifle si ça laisse à désirer...
Empoignant ses cheveux, il s'engouffre...
Ses sanglots coulent, sa gorge devient gouffre...
Docile, à sa merci, il aime en abuser...
Il se décharge avec délice à l'inonder...
Sa petite salope a intérêt à tout avaler...
Il détache son bandeau pour mieux l'admirer...
Son regard scintille comme des cristaux...
Ce noir coulant contraste avec le rouge de ses joues...
Sa respiration de chienne affolée commence à se calmer...
Son plaisir animal suintant émane de sa peau...
Il ne peut s'empêcher de venir mordre sa lèvre,
Elle frémit, le voyant comme son unique orfèvre...
Il glisse sa main sur sa joue, poursuivant sur son dos...
Soudain elle entend ce bruit métallique qui s'approche de sa peau...
Elle exsude de plus bel à l'idée d'avoir mal...
Cette attente désordonne tous ces sens...
Se rendant plus offerte et cambrant avec indécence...
D'un coup sec, oui... elle le sent bien ce crochet anal...
L'attachant ensuite à ses cheveux, il contemple sa putain...
"Clic" s'allume une cigarette et la caresse de sa fumée...
Instinctivement bouche ouverte, devient son cendrier...
Elle aime quand il y jète sa cendre avec dédain...
Écrasant sa cigarette tout en la fixant durement,
Elle sait pertinemment ce qui l'attend...
L'entracte fut de courte durée...
Et le spectacle ne fait que commencer...
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Un peu de sincérité, c'est rare.... je prends mon courage. ..
Certains échanges me manquent, et l'idée que d autres y ont droits. ..c'est dur... trop douloureux, trop visserale... j'essaie de ne pas y penser... sans quoi je serais déjà partie, loin... j'aurais fuit.Fuire pour ne pas souffrir, pour oublier, sécher mes larmes, panser mon coeur...
Oui oublier, ne plus y penser, pour ne plus avoir mal... me libérer, briser mes chaines ... Hurler, ma douleur, mes craintes, ma rage... je ne t'aime plus, je te hais... je me hais ... souffrir, s'ennivrer dans la douleur.
Je reste dans le flou. .. ne pas savoir, c'est parfois mieux?
Mon masochisme? Peut-être ne le suis je pas... je doute... le serais je, un jour?
Des souvenirs, qui finissent par être douloureux. .. s'envoler... mais oublier, oublier, éffacer... faire disparaitre la salamandre.... diluer ce rêve utopique...pour qu'il disparaisse, s'évanouisse...
Se retourner et fuir courir loin, très loin....
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j'ai écris quelques mots, quelques pensées,
j'ai raconté la Chienne qui bouillait en moi
cette envie de te sentir entre mes reins
et de ta paume sur mes fesses.
j'ai dicté tes mots tes gestes ta violence,
j'ai raconter mes cambrures et mes doigts impudique
mon souffle qui s'allonge qui se raccourci qui se saccade
qui devient anarchique au rythme que me donne ces pensées indécentes
j'ai décris mon plaisir, hurler mon orgasme...
et t'ai envoyé ca...au boulot......
....pour te faire chier....
je fout le bordel dans ta tête
je te dérange dans ta concentration
tu as une réunion dans peu de temps
tu te sens a l’étroit...
...et ça te fais chier...
je t’énerve, tu me déteste,
tu me réponds que je vais ra-ma-sser
j'arriverai presque a te decrocher un "Salope!"
et moi je te repond..."j'espere bien"
...pour te faire chier...
t'enrage hein !
...fallait pas t'approcher d'une louve...
...fallait pas t'enticher d'une chieuse...
Maintenant tu peux apprécier pleinement tes propres mots.
"Abandonnes toi.... Ta vengeance n'en sera
que plus sauvage"
J'ai tapé sur mon clavier.... Suite et ....Foudre.
http://www.bdsm.fr/blog/2941/j-039-ai-tap%C3%A9-sur-mon-clavier-suite-et-foudre/
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Pour ceux qui auraient raté l'introduction, et même pour les autres d'ailleurs, avant de lire ce texte, je vous conseille de revenir un moment sur celui-ci :
http://www.bdsm.fr/blog/2914/j-039-ai-tap%C3%A9-sur-mon-clavier/
J'ouvre la porte de la maison, rentre et referme derrière moi, geste machinal, à peine trahissant l'état dans lequel je suis. Le claquement faisant même trembler le chambranle.
Je marmonne, scotché à mon smartphone, outil de malheur ne me quittant jamais ou presque, finissant de taper un mail pro. Je suis devenu expert en la matière pour pouvoir faire chaque geste du quotidien sans lâcher cet objet des mains... Connecting people... ouais, ils nous ont bien en…cordé avec leur merde.
Je jette ma veste sur le canapé, la sacoche de mon pc portable également. Je n'ai pas encore levé les yeux, mais je sais qu'Elle est là, à quelques pas. Je la devine dans mon champ de vision. Elle est posée contre le meuble de l'entrée, les mains de chaque côté de ses hanches, appuyées sur la tablette. Cette pose qui lui fait remonter les épaules, comme si elle les haussait, comme s'il y avait vraiment besoin de renforcer son côté désinvolte.
Elle porte un T-shirt... Non, elle porte mon T-shirt, celui des "Celtics Hangover", évident... C'est mon préféré.
Mais en y réfléchissant, est ce que ce n'est pas parce qu'elle l'a toujours sur le dos (cul ?) et qu'il lui va si bien que je l'aime autant? Surtout quand comme aujourd'hui, elle ne porte rien d'autre que ça...
Je lève enfin les yeux sur elle et m'en approche. Ma main se pose sur sa joue, caressante, puis, passe dans son cou, et serre un peu plus. Remonte à ses cheveux, les saisis en crispant les doigts dedans, entremêlés dans sa tignasse et la tire sèchement en arrière pour basculer sa tête, amenant ma tête au-dessus de la sienne. Elle sourit.
- On dirait que je t'ai énervé là...
Je ne bronche pas, à peine mes mâchoires qui se décrispent un peu pour que je puisse articuler posément :
- Ainsi donc Mademoiselle réclame mon attention...
Son attitude est déjà différente. Son regard est moins rieur, bien que pas moins provocateur, son sourire ne s'efface pas mais prend une autre expression, elle frémit.
- Mademoiselle réclame toujours votre attention.
Je ne réponds même pas et finit de descendre ma tête jusqu'à ce que mes lèvres rejoignent les siennes... à peine le temps d'un léger baiser et je plante mes canines dans sa lèvre inférieure. Elle grogne, rugissement de la Louve surprise, et je vois ses yeux s'ouvrir très grands. Dès lors, les 2 animaux sont de sortie...
-Grogne, profites en... Tu as raison, ça ne va pas durer.
Sa réaction ne se fait pas attendre, elle n'a jamais eu l'intention de se rendre si facilement, je sens ses griffes se planter dans mes côtes. Je lui saisis immédiatement les poignets, et hôte ses mains de mon corps, ma poigne ne souffrant aucune résistance.
- Tu as 30 secondes pour être en tenue, dans la salle de jeu... A ta place... Ne me fait pas attendre !
Je la vois s'y diriger, sans un mot, mais sans me quitter des yeux. Je la suis, à quelques pas derrière, m'arrêtant à l'entrée de la salle pendant qu'elle poursuit. La regardant enlever le T-shirt et le balancer, prendre dans le tiroir du gros meuble noir sa pince à cheveux, son collier et sa laisse.
Elle arrive nue devant sa chaise, y pose le collier et la laisse le temps de s'attacher les cheveux, puis les reprend, un dans chaque main, s'asseyant dans sa position habituelle. A califourchon sur la chaise, le dossier face à elle, les coudes posés dessus. Cambrée, son cul rebondi s'offre à ma vue.
Je la rejoins, récupérant au passage un objet dans un autre tiroir du meuble, sans le lui montrer, je le fourre dans ma poche. Je continue d'avancer vers elle, en déboutonnant ma chemise, arrivant en face d'elle torse nu.
Elle me tend les mains et j'empoigne le collier d'abord, le refermant sur sa gorge, j'adore la façon dont il lui est parfaitement ajusté, plissant presque la peau de son cou. Puis je viens y joindre la laisse. Pas un mot... juste mon regard, pas méchant, mais sérieux.
Son regard se fait profond, plus taquinerie, elle sait que Monsieur est là.
La laisse en main, mon coude se bloque contre mes côtes et le lien d'acier se tend, secouant son cou, puis le reste de son corps... Je m'écarte d'elle...
La laisse toujours tendue, m'amusant à la voir tenter de garder l'équilibre sur la chaise, une fesse, une demi fesse encore posée dessus et son cou qui s'étire pour suivre le mouvement...
Jusqu'à ce que je fasse un pas de plus et même un très léger petit coup de poignet sur la laisse qui l'a fait chuter sur le sol. Premiers mots depuis que je suis entré dans la salle... secs, cinglants.
- Suis-moi.
Elle se retourne et se met à 4 pattes, sa tête contre ma jambe. Elle la lève et me fixe, attendant que j'avance pour me suivre sans jamais me dépasser. Mes pas sont lents, je lui laisse tout le temps d'imaginer le sort que je lui réserve.
Nous avançons ainsi jusqu'à la table basse, bois massif, solide, semblant taillée dans la masse même du tronc d'arbre, d'une seule pièce... Rien à voir avec celle "Ikea" du salon… Elle ne casserait jamais celle-ci...
- Grimpe ! A plat ventre sur la table.
Appuyant mon ordre par un coup de poignet tirant sur la laisse.
Elle s'exécute, sans mot, une patte après l'autre dans la lenteur que j'aime voir, puis baissant d'abord son torse pour enfin étaler ses jambes, les bras le long de son corps, la joue posée sur la table, bien à plat sur le ventre.
Ma main se pose avec une vraie douceur sur son cul rebondi... une vraie caresse… Les doigts qui dessinent cette courbe.... Et.... La plus piquante, la plus brulante, la plus claquante des fessées que je ne lui ai jamais donné.... juste une seule, mais elle m'en a même fait vibrer le bras. Je regarde sa peau et son corps se tendre pour la "digérer" pendant que je vois apparaitre sur sa fesse la marque de mes doigts, rouges vifs, aussi nette que si je les avais dessinés au feutre.
Elle s'en mord la lèvre et son souffle se coupe, elle ne s'attendait pas à une telle force d'entrée. Elle contracte les fesses, comme légèrement inquiète sur la suivante.
Ma main se repose sur elle, au même endroit et glisse avec douceur tout le long de sa raie, puis de ses lèvres intimes, puis remonte de l'autre côté, passant sur son clito, son pubis, et la paume se posant à plat sur son bas ventre, entre la table et elle. L'avant-bras collé à son sexe... et avec force, la décolle de la table vers le haut...30 ou 40 cm d'un coup, sans me soucier de la douleur que l'appui de ma main sur son ventre peut lui causer.... jusqu'à ce que ses genoux puissent la soutenir d'elle même, le cul levé, la tête écrasée sur le bois. Je retire la main de son corps et vient lui appliquer une autre fessée, beaucoup moins forte celle-là. Comme une tape de satisfaction de la voir comme ça, celle qui dit "Bien, bonne fifille".
Je la laisse dans cette état, et me déplace pour que de sa tête tournée sur le côté elle puisse me voir... debout en face de son regard... le regard de prédateur, le regard qui ne lui laisse planer aucun doute sur ce qui va se passer. D'une façon ou d'une autre, elle va prendre... et prendre cher.
Je sors de ma poche l'objet que j'ai pris dans le tiroir, toujours bien à sa vue... un gros rouleau de scotch US toilé, noir... et de mes deux mains, ouvrant les bras d'un geste sec et un sourire aux lèvres, j'en tire une grande bande. Je découpe une bande d'une trentaine de centimètres que je tiens d'une main, tandis que l'autre empoigne sa laisse... Je la tire sans ménagement, jusqu'à ce que sa tête soit plaquée complètement sur la table, la joue incrustée dans le bois dur... Je tends la laisse jusqu'au pied de la table et je la lie avec le scotch.
Ses sens s'affolent, je vois sa respiration s'accélérer, sa peau battre au rythme de son pouls, son odeur qui change.
Puis c'est au tour de ses chevilles, je me déplace... Elle ne peut plus me voir, mais le bruit qu'elle connait à présent lui fait savoir exactement ce que je fais... Une bande de scotch, une cheville, un pied de table... puis l'autre côté.
J'attrape ensuite un poignet, le ramène dans son dos, au-dessus de ses reins... le temps d'attraper l'autre et l'amener au même endroit... et toujours ce même bruit du scotch qui se déroule du rouleau.
... Mais pas celui qui suivait, de la déchirure de la bande... pourtant ses poignets se lient l'un à l'autre par l'étreinte du scotch qui les entoure,
1 tour, 2 tours, puis 3....
Toujours pas déchirure... et le bruit du scotch qui se déroule encore... la morsure de la colle puissante qui se fait sentir sur toute sa taille, son ventre, qui la ceinture... et revient sur ses poignets liés, par l'autre côté de son corps.
Je me recule et contemple mon tableau... Je n'ai pas besoin de lui demander ce qu'elle ressent, je le sais. Je reconnais bien ces frémissements de sa peau, le parfum qui se dégage d'elle à présent, cette odeur de petite Chienne... et son intimité luisante, mouillant même ses cuisses.
Je reviens à sa vue, debout en face de son regard... le rouleau dans une main, et de l'autre je viens lui empoigner les cheveux... fermement... Mes yeux se font rieurs, et sévères à la fois... Dominants tout simplement... Je penche la tête, proche de la sienne, un léger sourire...
- Et maintenant, dis-moi petite fille... Est-ce que Moi, j'ai ton attention?
- Oui Monsieur.
- C'est la seule chose que je voulais entendre.
J’extirpe une dernière bande de scotch toile du rouleau, 15 cm... Et la lui applique sur la bouche.... Terminant ainsi la discussion et disparaissant de son champ de vision en me dirigeant derrière elle. Le bruit d'une braguette qui s'ouvre. Le claquement de 2 corps l'un contre l'autre...
Tout est réunis à présent en un seul élément, bestial, animal, brutal... Le Loup, La Louve, Sa Lune...
Cette fin d'après-midi ne sera décidemment ni calme, ni romantique.
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Par LibelluleLea (Fetlife) https://fetlife.com/users/850232/posts/2347947
LibelluleLea: Mes photos de suspension te font rêver, tu voudrais essayer, lis ça d'abord:
(ps : je ne suis pas parano, c'est suite là la mort d'une jeune femme dans les cordes que j'écris cela)
10 questions à se poser avant de se faire attacher.
sur les personnes en jeu
1) On ne boit pas, on ne se drogue pas avant du bondage et ceci est valable autant pour l'attacheur que les attachées (qui ont besoin de bien "sentir" leur corps et les éventuels problèmes, ce que l'alcool et les drogues masquent). Attacher ou être attaché c'est comme conduire.
2) faire attention à ses piercings ou particularités (maladie, problèmes de circulation, manque de souplesse) et en informer le bondager
Perso, je fais du yoga avant pour avoir une bonne respiration, un corps échauffé et un conscience plus précise des sensations de mon corps.
3) Avant de me faire suspendre pour la première fois par quelqu'un, je le regarde travailler sur une autre personne pour vérifier que nous avons les mêmes règles de sécurité.
sur le matos
4) Toujours avoir, à portée de main (pas à 10 mètres), un instrument efficace non pointu pour couper les cordes.
5) Contrôle et entretien régulier des cordes et du matos en général
6) Vérifier la solidité du point de suspension avec un poids supérieur à celui de la/les personnes qui seront suspendues (le bondager peut par exemple s'accrocher avec les mains et se laisser tomber)
sur "prévoir les principaux risques avant pour être prêt à réagir"
7) Toujours se poser la question "Si la/les personnes attachées ont un malaise, est-ce que j'ai les capacités de réagir de façon brève et efficace? "
Exemple: Moi qui pèse 40 kilos, je peux me faire suspendre par un homme seul costaud. En cas de problème il peut me porter dans ses bras tout en coupant la corde.
En revanche, je ne ferai jamais de "double suspension" (avec une autre fille suspendue elle aussi) avec un homme seul, parce que si nous tombons dans les pommes en même temps (oui c'est rare mais possible) , tout seul Il ne peut pas aider les 2 femmes.
8) Et si c'est l'attacheur qui fait un malaise, quelqu'un peut-il appeler les secours? sinon est-ce que j'ai les moyens de le faire ?
sur "les choses que je peux encore contrôler dans les cordes"
9) Dire non. Non à une corde sur une articulations, un vaisseau, un nerf. Non à une corde autour du cou (même non serrée, même sans nœud coulant, certaines sont déjà mortes pendues comme ça)
10) Le bondager doit contrôler périodiquement la couleur, la température, la force, la sensibilité et la motricité de mes doigts et de mes extrémités. Moi, de plus, une fois dans les cordes, je bouge de temps en temps les doigts, les poignets si je peux, les pieds pour activer la circulation.
Si une des conditions au dessus n'est pas remplie, remettre la séance à plus tard. Il vaut mieux être déçu que mort, dans le coma, handicapé ou blessé.
Le bondage est une passion, mais ça ne veut pas dire qu'on doit y risquer sa vie.
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Tu ne portes plus mon collier
Comment faire pour t'oublier
Tu laisses un grand vide
Tout me semble depuis si fade
Il faut que je tourne la page
Même si ça me fou en rage
Envie de claquer tes petites fesses
Que des rougeurs apparaissent
Hélas, aujourd’hui impossible
Sans toi je ne suis plus Maitre
Je suis redevenu un homme ordinaire
Qui se remémore nos instants formidables
Mes envies au placard
Je verrai ça plus tard
Pour l'heure il faut t'oublier
Et malgré tout avancer
C'est enfouit au fond de mon âme
Mon cœur qui bat à la chamade
Mon corps qui te réclame
Mon esprit qui cherche une parade
Il est temps de faire mon Deuil
Mes souvenirs dans un linceul
C'est ma façon de te dire au revoir
Et de mettre fin à notre histoire
Adieu petite Peste.........
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Moment de détente, de douceur... j ai laissé tes mains parcourir mon corps. Etaler la crème partout, masser pour la faire pénétrer.Tes mains glissant sur ma peau, me delassant jusqu'au bout des orteils, de mes doigts, au creux de mes cuisses... et en moi.. . Je te laisse faire... prendre mon corps... ton sexe glissant en moi.... au fond... je t'acceuille en gémissant... ouverte, offerte...te laisse jouer avec et dans mon corps... je me rebelle un peu entre tes doigts... ne pas exploser... et pourtant je me liquefie... m'ouvre un peu plus... tu me retiens fermement, cuisses ouvertes relevées... je mouille... ton sexe revient en moi... tes doigts entre mes fesses je gémis, m'abandonne à ton emprise... tes mains sur ma nuque... ton sexe cogne en moi encore et encore...avant de me remplir....
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Qu'elle devienne mienne
Pas seulement chienne
Une compagne, ma soumise
Je ferais de toi ma promise
Je serais un Maitre comblé
Avance à pas feutrés
Prosterne toi à mes pieds
Comme je te l'ai enseignè
Hier Louve apeurée
Aujourd’hui dépravée
Collier posé, laisse tendue
Demain sans doute impudique
Prends ta place à quatre pattes
Deviens féline ma chatte
Avance sans peur en toute confiance
Fie-toi à ma bienveillance
Une relation sans trahisons
Juste de la passion
Moi le Maitre passionné
Toi la soumise assoiffée
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