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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
un trottoir terni par la pluie tu avances les yeux rivés dessustu connais le chemin, le moindre de ses petits défauts tu croises les gens...toujours les mêmes.la buraliste qui fume sa clope devant sa devanture un bonjour de politesse, geste commerciale...c'est a peine si elle sait si tu viens chez elle ou pasla femme qui conduit son fils à l’école, avec son chientoujours le même geste, un petit coup sur le colliercomme si le trottoir était pas assez largeconnasse...laisse le vivre ce pauvre clébardqu'est ce que ça peut te foutre qu'il tendele museau pour me sentir, tu te venges sur lui de l'autoritéque t'as pas sur ton gamin qui fait le con avec sa joie de vivresourit pétasse, dans 10 ans, tu risques de regretter ses 5 ans.le petit vieux assis sur son banc qui perd la boulemais qui est a l'heure tt les jours, pour fumer son cigarequi pue, son allure dégueulasse et son visage d'alcooliqueil est là, il parle tt seul, refait le monde dans de grands gestestu lui dit bonjour, par politesse, parce que tu as posé ton regard sur lui, et que lui t'as regardé passé, interloqué, comme si c’était la première fois.tu croises ce mec, trop jeune pour connaitre la vie, mais déjà trop vieux pour sourirec'est fou ce que les habitudes blazentje te croise tt les matins, toi et ta belle gueule sans sourirehey t'as quoi, 25 piges ? sourit mon pote dans 10 ansa ton tour tu verras que tes petits bonheurs se sont bien dégradés.tu croises ce couple devant l’école qui s’échangent le gaminpour la semaine, sans oublier, évidemment, de se faire des reproches.Pour le coup, être célibataire, ça va, ça te dérange pas tant que ça.L'amour qui fait les couples ,devient toujours l'amour qui ne fait plus l'amour.et de conversations angélique, on en arrive a des conversations logistique.Eux aussi...leur petits bonheurs se sont bien dégrades...désolé pour toi gamin...mais rassures toi...tes petits bonheurs se construisenttu vois ceux pour qui la journée va etre longue, ça t'ennuie. Tu te souviens du temps où ça te faisait plutôt marrer. T'as plus 20 ans et tout ce que tu vois autour de toi, te rappelle que t'es pas plus avancée.Là, en marchant, tu demandes pourquoi, tu te répètes que ça sert à rien, que t'avances pas Et que tes petits bonheurs, à 35 piges, se sont bien dégradés aussiLà en marchant, tu réalises que ça fait déjà 5 ans que tu dis ça.et tu soupires, ta vie ressemble a rien, pas plus que celle de tt ces gens que tu croiseset tu réalises, que ça fait des années que t'as pas posé une pierre sous ton aveniralors quoi ? tu fais quoi ? tu veux quoi ? a 20 ans tu aurais tt planté pour répondre a ces questionsa 35 ans t'as plus le gout de ce risquealors quoi ? tu réagis ou tu t'offres au suicide ?tu continue a survivre ou tu décides de vivre ? "oui mais" aaahh tu te défiles"non mais" arrête tu t'enfonceste voila devant ta porte, tu l'ouvres en grand regarde ce couloiret avances dedans, en te disant ...que ca serait bien que tu fasses la même chose avec ta vie.
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Tu m'as l'air si fragile... Apeurée...
Si sensible... Désorientée...
Rassures toi Monsieur est là pour te guider...
Approche voyons je ne vais pas te manger...
Ton regard émeraude me donne envie de te déshabiller...
Ta voix de petite fille sage me donne envie de t'éduquer...
Ton coté studieuse et appliquée me donne envie de t'enseigner...
Ton sourire espiègle et joueur me donne envie de te corriger...
Gares à toi si tu n'arrives pas à te contrôler...
Le loup que je suis ne fera de toi qu'une bouchée!
Docile tu ériges en moi le plaisir de la fierté !
Cabres toi... Plus obéissante à mes pieds...
Ton excitation honteuse m'en fait durement bander...
Ta récompense tu l'attends sauvage je le sais!
Parfaite symbiose entre élève et traînée...
Cadeau délicieux de me laisser te contrôler...
Sous cette jupe étudiante... De mijaurée,
Ta petite culotte m'a l'air bien mouillée...
Son élastique m'agace, il est temps de la faire glisser...
Ne bouges pas où la cravache va s'abattre sur ta croupe relevée ...
Ressens tu cette tension qui va jusqu'à contracter ton périnée ?
Oui bébé c'est bien, j'aime te sentir t'abandonner...
Décidant de fouiller lentement tes lèvres mouillées...
Tu peux mieux faire... Il va falloir persévérer...
Surtout si tu désires jouir sous ma volonté...
Ce rosebud à ton anneau te va à merveille tu sais...
Maintenant petite chienne laisse toi dresser,
Par cette laisse avance et continues de mouiller...
Ta démarche est féline, pleine de sensualité...
Stop! Prosternes toi et baises mes pieds...
C'est bien... Tu peux à présent te relever...
Debout, écartes tes cuisses que je puisse t'admirer...
Avoue que tu aimes sous mes yeux t'exhiber...
Il ne te reste plus une once de chasteté !
Sois fière de l'effet que tu me fais...
Tiens, à genoux... Viens me sucer...
Exprime moi ton plaisir de m'être dévouée...
Doucement bébé... Ne fais pas ton effrontée...
Et cambres moi mieux ce fessier!
Ou ta récompense n'est pas prête d'arriver...
Tes yeux scintillent... C'est de toute beauté...
Tu aimes avoir la bouche offerte et pleine Bebe...
Mon savoir va bientôt t'inonder...
Oui ma poupée... Je...
Noooooooooon! J'viens de me réveiller xP
Et mes draps sont faut l'avouer...
carrément trempés..!
Va falloir les changer....
Comme quoi entre fantasmes et réalité...
Garder les pieds sur terre et prendre le temps de se poser...
C'est une évidence... Une nécessité
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...et si...
Le sommeil m'emportait loin, très loin, dans ce monde parallèle où je me plais être
...et si...
L’Arpenteur poussait la porte de mes songes
que son parfum trouble mon sommeil
...et si...
Il s'approchait assez pour que son aura caresse la mienne,
assez pour n'avoir qu'a tendre le bras pour soulever doucement
cette couverture qui avec arrogance, couvre et découvre mon corps,
assez pour la soulever et la glisser jusqu'a la naissance de mes fesses
...et si ...
doucement, le bout de ses doigts écartaient mes cheveux de ma nuque
et qu'ils se glissent dessus...jusqu'a l'orée de la couverture
...et si ...
Ma peau en frissonnait...
...et si...
ses lèvres venaient me chanter doucement a l'oreille
"dors, je veille sur Toi"
...et si...
Ma peau en frissonnait de plus bel
...et si...
Ce n’était pas un songe...ou l'arpenteur s'est immiscé...
...ça, c'est une autre histoire...
shht....dors...
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Elle ma soumise à mes pieds Celle qui a accepté mon collierJe la contemple fièrement Aussi pure qu'un diamantJe la taille à mon imageEt casse son côté sageElle sera ma catinCar elle m'appartientMessieurs regardez ma soumiseElle est sous mon empriseDes étoiles pleins les yeux Comblés par nos jeux Fièrement exhibée au crépusculeGracieuse comme une libelluleJ' admire ma créatureQuelle sublime cambrure
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Lorsque nos pensées s'entremêlent,
Qu'on bloque à défaire ces foutus noeuds...
Est ce une carence de sécurité qui interpelle?
Quelle position prendre? Quel est l'enjeu?
Comme si l'esprit noué lui même les cordes,
Pourtant il est clair que les désirs concordent...
Une sensibilité exacerbée n'est d'aucune aide...
Ces mots... Serais-ce un cri étouffé pour qu'on s'entraide?
Équilibre en distorsion...
Ma vie incarnée dans ce fil barbelé,
Foutues écorchures qui me font saigner!
Mais... Quelle était la question?
C'est surement cela le fond du problème!
Besoin de comprendre ce schème...
En pleine introspection sur mes desirs,
Comment seront-ils incarnés dans l'avenir?
Peut être qu'au fond oui, il ne sert à rien de trop s'interroger...
Que seule la transparence et la sincérité me feront donner cette clef...
Que rester en corrélation avec mes fantasmes est seule vérité
Et qu'il faut que je mette mes questions de blonde en repos forcé !
*** vagabonde, saute dans les flaques, m'évade dans l'effet ricochet...
Bah oui Mimi Cracra l'eau elle aime ça xP ***
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Intention de Con-Jonction.
- Salope, catin, écarte les cuisses !!!
- Ah non, mon nom est Poison-Délice.
- Chienne, putain…
- Arrêtez, ouille, ça gratte.
- Quoi ? Hé bien ?
- J’ai des fourmis dans la chatte.
- A ce point ?
- Elle commence à me démanger.
Je vais bien vite me faire pénétrer.
- Pourquoi parlez-vous en vers ? Poétesse ?
- Oui, et même pour une histoire de fesses.
Je m’en vais vous raconter cela par ma bouche,
Ma parade, mais à la fin de l'envoi… Je couche !
Voila,
Je dégrafe doucement ma robe,
La laisse glisser lentement au sol,
Sans-sous-vêtements, je ne me dérobe,
Exhibe mes seins et mes aréoles.
J’aguiche, légère telle une luciole,
Et propose une belle escarmouche.
Je vous préviens, cher compagnon,
Qu'à la fin de l'envoi… Je couche !
Vous auriez du rester chez vous,
Bien au chaud sous votre couette.
A vous masturber comme un fou,
Ou mettre votre bel engin à la diète.
Tremblez, j’en veux à votre pilon.
Sortant ma langue de ma bouche,
Je lèche avidement votre goupillon.
Mais à la fin de l'envoi… Je couche !
Et tandis que je gobe ce joli gland,
Dans votre cul je glisse mon doigt.
Je vous sens partir nonchalamment,
Vous raidir, être dur comme du bois.
De jouir sans moi, c’est hors de question,
M’empalant sur votre paf, fine mouche,
Je vous avais prévenu cher petit con.
A la fin de l’envoi… Je couche !
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Je partage cet article, si certains s'intéressent à cette notion et souhaitent pouvoir le lire en français je peux le traduire intégralement
Subspace & After Care
by Sue Rozen ( http://femdommag.com/?p=32 )
During mentoring sessions with new or less-experienced Dommes, when I mention subspace, the reply I often get is, “What is that?”
The subspace and aftercare are topics that tops playing in SL are often unaware of. To ensure everyone is safe and happy, however, Dommes need to have a working knowledge of what subspace is, what causes it, how to identify if a sub is in subspace when playing and how to spot the signs of sub-drop.
D/s is all-encompassing in the sense that it’s not just about scenes, highs, fun, pain, control, and all the exciting things we do. It’s about real people, and their needs and wants. A conscientious dominant will know that she is responsible for her submissive’s well-being and care. Part of that responsibility involves knowing what can happen to her sub when he interacts with his dominant. As a scientist who has both personal D/s experience and the benefit of research into subjects such as human physiology and biochemistry, I’ll try to share practical tips while working in the science-y stuff.
Firstly, what is subspace?
Subspace (also called headspace, flying, or floating) is the name given to the state the submissive’s mind and body is in during a deeply involved play scene. It is an elusive and sought after space that is the holy grail of many submissives. Many types of BDSM play invoke strong physical responses. The psychological aspect of BDSM also causes many submissives to mentally separate themselves from their environment as they process the experience. Deep subspace is often characterized as a state of deep recession and incoherence.
Deep subspace may also cause a danger in newer submissives who are unfamiliar with the experience. The experience requires the dominant to keep a careful watch to ensure the submissive isn’t placing him- or herself in danger.
How does this happen? [Hold on to your seats, this is the science-y bit!]
During the scene, the intense experiences of both pain and pleasure trigger a sympathetic nervous system response, which causes a release of adrenaline in the sub’s body. Other chemical messengers such as endorphins and enkephalins (natural pain relievers) are also released, and these natural chemicals, part of the fight or flight response (the stress response of the body), produce the same effect as a morphine-like drug.
These chemicals have the effect on the brain of increasing the sumbissive’s pain tolerance as the scene becomes more intense. A sort of trance-like state is produced in the sub due to the increase of hormones and chemicals. The submissive starts to feel out-of-body, detached from reality, like he or she is floating or flying. Many submissives, on reaching a height of subspace, will lose all sensation of pain, as any stimulus causes the period to prolong. As the high comes down, and the parasympathetic nervous system kicks in (to counteract the effects of the aforementioned chemicals), a deep exhaustion, as well as incoherence may result. This is when aftercare becomes important to the well-being of the submissive.
Ok, that’s all well and good, but what does this mean in reality?
Submissives that are deeply in subspace can often have their ability to communicate impaired. This means that they may not be able to use their safewords/safe-signals when they are heading into dangerous territory. In fact they may not even be aware they are heading into dangerous territory!
This reduced or impaired ability to communicate with the tops, combined with the fact that the subs may no longer be able to feel pain due to the high levels of endorphins rushing through their bodies, could mean that subs could be hurt or damaged during scenes. If, for example, a less experienced top is dealing with a sub who has gone deeply into subspace, and doesn’t know what signals to watch for, that top may take the physical aspect of the play too far, all the while waiting for s safeword from the sub that the sub is incapable of giving.
So, what do I look out for? What are the signs that a sub is in subspace?
Just like anything else, signs of subspace can vary from individual to individual. The length of time taken to go into subspace, and the types of activities that can take a sub into subspace are often specific to the individual sub. For some, it takes a long time and quite a deal of physical stimulation, whereas for other subs, merely hearing their tops’ voices or being touched by the tops can have them floating off.
But there are a few tell tale signs: The submissive may become less verbal in communication as he enters the more “feral” state of subspace. The top may notice that the sub’s ability to speak and to use words to communicate how he or she feels is reduced, and the sub may only communicate in grunts or moans (which, let’s face it, are difficult to interpret). There are often changes in skin tone; eyes may roll back in the head. The body may go limp and floppy (which is at odds with the muscle tensing that would generally be expected with physical punishment). After a time with a sub, the top will come to recognise the signs of that individual’s subspace.
The endorphin-mixed-with-adrenaline high that is experienced by the submissive is often compared to a drug-induced high and can be addictive for the submissive. Think of it as something akin to “runner’s high.” Indeed, a sub in subspace can often beg for more of the physical stimulation that got and keeps him there without the knowledge that this could result in harm. This is where the dominant needs to keep control of the situation, and bring the sub safely down from the high.
Now that I know what to look for, what should I do?
It can be damaging for a sub in subspace, to just be left, cold-turkey as it were, without being brought safely “back down to earth.”
A dominant that is unaware of subspace and its physical and psychological impact on her sub, may just up and leave after a scene, with the sub possibly still in subspace. It’s not good enough to just untie the binds, and leave. It is the top’s responsibility to spend time bringing the sub back down: gradually lessening the stimulation, talking the sub back to earth, giving the sub affection and reassurance, telling him that he’s done good job, and giving lots of hugs and kisses to accompany the sub’s journey back down, for example.
Exhaustion will often accompany the sub coming down from subspace. So the dominant may have to provide a safe environment for the submissive to sleep and regain strength. Leaving a sub in subspace, where the sub’s still flying and buzzing in an out-of-body experience, can be dangerous. For example, imagine a sub, still in subspace trying to drive a car. They sub doesn’t have the requisite concentration and ability to perform such a complex task, and by not grounding the sub before letting him or her leave, the top could be putting the sub in danger.
Now, you may be thinking, “Well I only interact with my submissives online, I don’t need to worry about this.”
But that’s not necessarily true. Subs in cyber-relationships enter subspace just as easily and fully as those in RL situations. And as the domme in a cyber D/s relationship cannot often see her sub, she needs to rely on other methods to determine if the sub is brought down again after a scene. In this case, the voice is the best tool available to the Domme – she needs to get to know her sub’s voice intonations and how they change while in subspace, so that she can safely determine when the sub is again grounded. Where a scene is done in text alone, the communication that occurs in-scene and following the scene, in aftercare, between sub and Domme is similarly critical to the sub’s well-being.
I got the picture — But what is subdrop?
Even after the most carefully applied aftercare, some residual effects of the subspace experience can still remain with the submissive. The phenomenon of “sub-drop” is the name given to the drop or low that a sub (or indeed a dominant, but that’s another discussion) can experience in the hours or even days after an intense BDSM scene. The term subdrop is generally applied to the ”negative” effects or depressive state that a sub can experience after a scene. The causes are manifold, it can be a physical reaction to the adrenaline and endorphins leaving the body. For those raised in a very traditional environment the resulting drop may be associated with feelings of guilt or shame.
Subdrop may manifest itself in may different ways – there could be tears, irrational fears expressed by the sub, or a sub may feel sad or lonely in the hours or days after leaving the dominant. Subdrop could be compared to shock in a way, and the treatment is much the same. The dominant should provide as environment for her submissive in which the sub can express his or her feelings and receive the domme’s attention (after all, the dominant is at least party responsible for getting the sub into this place). The Domme should watch for signs of distress, and try to understand what the sub needs from her – bearing in mind that this may be different depending on the sub.
The point of aftercare is to make the sub feel accepted, wanted, safe, secure and comfortable. With consistent application, good aftercare will help grow the trust between Domme and sub, and will help the relationship to blossom and reach new heights, as the sub will know that the Domme has his best interests in mind, has an understanding of what’s happening to him and will do her best to alleviate any negative situations that may develop.
A good and caring Domme will always have the care of her sub foremost in her mind. By all means take the pleasure, that’s what D/s is about – but don’t take and give nothing back. The D/s experience should be rewarding and pleasurable for both the dominant and submissive. Dominants and submissives equipoise each other – and this balance cannot be dismissed or forgotten. It’s about mutual trust and understanding, and while both parties are charged with trying to understand each other, in this case much of the responsibility lies with the Domme to provide the lead, and the consistency which the submissive craves so much in life. The submissive however is not without responsibility in relation to subdrop and aftercare, the sub must communicate needs and feelings to the Domme openly and honestly, so that the Domme can take the necessary actions to care for her sub.
By providing good aftercare, the sub will know that the Domme provides a safe environment in which these topics can be discussed without fear and in full honesty. A Domme who understands subspace – its thrills as well as its pitfalls – can get the very best from her submissive, and therefore the best experience for herself, from which everyone wins.
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"La nature, le ciel bleu, la chaleur et le soleil qui engendre de plus en plus en moi cette envie bestiale, cette envie d’enlever une femme de sa routine journalière…
Je la cagoule et la jette à l’arrière de mon fourgon, je la bâillonne et lui arrache ces vêtements en prenant soin de ne pas toucher à ces dessous si sexy qu’elle porte chaque jour dans l’espoir de le séduire, perché sur ces talons aiguille.
Positionnée debout au milieu du fourgon dos au sens de la marche, je l’attache ; une main sur la paroi de droite le bras bien tendu et sa jambe également tendu, puis sur la paroi de gauche la main et la jambe restante. Immobilisé par ces quatre extrémités fermement maintenues et tendues, je m’attarde alors sur son cou glissant un collier relié à chaque paroi restreignant également ces mouvements de tête. (La portière claque, le moteur démarre et le fourgon prend la route. Malgré la tension son corps bouge, elle lutte pour rester sur ces talons aiguilles)
(De longues minutes défilent, le camion s’immobilise dans un chemin, la portière s’ouvre…)
Un peu paniqué elle essaye d’écouter ce qui se passe autour d’elle, sentant ma présence mais ne sachant pas à quoi s’attendre. Je lui arrache alors ces dessous sexy, laissant mes mains parcours quelque instants son corps…
Les cordes glissent encore et encore sur son corps, je lui bonde ces seins les encordes fermement, ces tétons se dressent tel un appel aux pinces, qui sont si dures qu’elle gémi aux positionnements de chacune, je les tends en les reliant aux parois. Les cordes de ces bras se détendent légèrement, d’une main ferme je la penche et avant même qu’elle n’a le temps de réagir je lui insère un crochet anal sans trop de mal…
Je saisi les cordes du crochet que je tends bien au-dessus d’elle de façon à la suspendre, laissant tout juste la pointe de ces talons aiguille effleuré le sol du camion. Les liens de ces bras se tendent à nouveau la soulevant un peu plus malgré la tension exercée par les pinces et cordes de ces tétons.
(La portière se referme, et le véhicule reprend la route)
(Le camion emprunte un chemin de cailloux, ça secoue dans tous les sens au point qu’elle ne touche par moment plus le sol, suspendu par ces liens. Il s’immobilise et la portière s’ouvre. Une fraicheur entre dans le camion, laissant entendre au loin un son d’eau telle une cascade…).
Les yeux toujours bandé elle ne sait pas ce que je fais, mais elle ressent encore ma présence quand soudainement « Clac ». Je lui assène de petits coups de cravaches sur ces fesses si bien offerte, à intervalles irrégulières laissant ainsi la peur du coup planer et son fessier rougir sous les coups.
« Clack » cette fois je lui donne un coup sur son clito et sa chatte humide tout aussi exposée et offerte, elle essaye à plusieurs reprise de serrer ces jambes mais les attaches l’en empêches, elle se sent si vulnérable ! Voilà encore quelques coups pour lui faire comprendre qu’elle n’a pas à se rebeller.
La tension des liens diminue, elle peut à nouveau tenir debout sur ces jambes encore flageolantes de ce petit voyage. Je forme avec ces cheveux une couette à laquelle je tends le crochet anal toujours en place l’obligeant à garder la tête haute et droite puis je relis à son bâillon les 2 pinces à seins qui lui soulève ça poitrine mettant à nouveau sous tension ces tétons. Enfin je la libère de ces derniers liens en prenant soin de lui menotter les mains dans le dos.
Avec un peu de violence elle descend rapidement du camion, puis nous avançons dans une clairière de gravier, mais elle piétine et se traine… ! « CLACK » un cri étouffé sort de sa bouche bâillonné et ces fesses rougissent aussi sec ! J’attache à son collier une laisse puis j’ouvre la marche la tirant ainsi comme une vulgaire chienne.
Elle sent la fraicheur s’amplifier et le sol changer sous chacun de ces pas, ces talons s’enfoncent légèrement, elle peine à avancer mais je garde un rythme soutenu. Une branche lui griffe alors le bras c’est ainsi qu’elle comprit que nous étions en forêt, le bruit de l’eau augmente…
Je la traine ainsi nue à travers la forêt, les branches les ronces et les quelques orties viennent affuter ces sens, tantôt griffé, tantôt piqué elle gémi. Nous nous arrêtons le bruit de l’eau est tout proche, je lui retire son bandeau elle se retrouve face à une petite rivière. « Saute par-dessus » lui dis-je, elle hésite et n’ose pas ! Je saute alors, puis de la berge d’en face je tire fermement sur ça laisse l’obligeant à traverser la rivière sans sauté… La voilà maintenant griffé, piqué et les pieds mouillées. Je continue de la tiré puis nous arrivons cette fois devant une étendu d’eau avec pour seul moyen de traversé un tronc d’arbre l’enjambant. Je l’empoigne de derrière par le cou, tendant son crochet et la force ainsi à passer dessus.
Le bruit d’eau telle une cascade qu’elle entendait tout à l’heure et maintenant tout proche, elle frissonne, gémi, puis s’aperçoit qu’elle est au bord du gouffre, au bord de cette cascade dégageant sa fraicheur printanière. Elle est pétrifiée, la badine fend l’air d’une telle rapidité ; « Clakk » cette fois sa poitrine rougit ce qui la ramène à elle… Je repasse devant et continue de la tiré pour qu’elle avance, la destination n’est plus très loin.
L’abri de fortune est assez grand mais pas très haut un tapis de feuille recouvre le sol, d’un coup de badine sur les jambes je la fait tomber genoux à terre, puis lui attache les mains en l’air l’obligeant à être penché en avant. Je la laisse croupir la, seule, nue, son corps meurtrit par les branches, ronces et orties.
Elle entend un moteur, et voit à travers le feuillage un camion passer non loin de l’abri de fortune. Elle panique, pense qu’elle a été abandonné, puis une autre voiture passe, encore une autre et le temps défile…
Arrivant en douceur d’un côté, absorbé par la route non loin elle ne me remarque pas, la badine toujours en main je lui assène alors un coup sur les fesses qui la fit sursauté ! Ses yeux intense, elle me fusille de son regard noir, je lis alors en elle comme dans un livre ouvert qu’elle veut m’a peau, ces yeux m’insultes de tous les noms, quel audace ! Je la retourne, défait d’une main ma ceinture de cuir et lui ordonne alors de compter à voix haute : « Unff, deufff, troifff, quatrefff, CINQFFFF » j’augmente la force des coups en lui disant que la prochaine fois qu’elle me regarde ainsi le châtiment sera d’autant plus violent «SIXFFF, SEPTFFFF, HUITFFFF, NEUFFFFF, DIXFFFFFFF ». Les larmes coulent sur ces joues mais cette fois elle a compris qui décide et qui commande, je lui détache les mains elle tombe sur le côté et reste la étendue sur le sol sont fessier rouge écarlate et bouillant.
Je la redresse et dépose un baiser sur son front puis lui retire délicatement les pinces à seins. Je sors un jeu de corde et commence à lui attaché sa jambe replié sur elle-même collant ainsi son pied à son fessier, puis la deuxième. Elle se retrouve alors genoux et mains à terre tel un animal, ces seins toujours bondé et tendu par la pression des cordes reste pendu immobile. J’empoigne la laisse puis la tire et la fait avancé comme une chienne qu’elle est à travers la forêt, ces seins rencontrant tantôt des ronces, tantôt des orties mais elle ne gémi plus, elle ne tressaille plus et elle avance au pied à l’allure que je lui demande, le vide se rapproche… Elle aperçoit des marches dessinés avec des pierres dans la pente très raide, puis d’elle-même, elle commence à essayer de les descendre, à descendre vers l’eau, à descendre vers la suite…
(Lors de sa première correction, j’en ai profité une fois la tache fini pour me dévêtir et ne garder qu’un short de bain et une paire de chaussure, je savais que je serais plus à l’aise pour la suite des événements qui devrait être normalement plus doux...)
Tout d’abord surpris puis satisfait, je la regarde descendre doucement mais surement puis elle arrive au bord de cette eau fraiche et pure, elle tourne alors la tête vers moi et de ces yeux de chienne me dit qu’elle m’attend.
Je m’empresse de la rejoindre, chose faite je lui indique le chemin (il faut passer au-dessus du tout petit cours d’eau pour atteindre le chemin de pierre qui est au milieu de celui-ci et le suivre dans les méandres de la terre vers cette cascade mélodieuse), mais elle ne prend pas la peine de sauté par-dessus l’eau et la traverse. Après quelque mètres au détour d’un virage elle l’aperçoit, vive, très fraiche, et clair la cascade coule à flot, son regard se tourne vers moi comme une demande d’aller plus loin. La tenant toujours en laisse et étant sur le seul passage pour sortir de là je sais qu’elle ne pourra se sauver, je l’a détache donc puis elle part vagabonder jusqu’à l’étendu d’eau que forme la chute. La terre est humide et glissante, elle chute à plusieurs reprise, et la voilà maintenant avec de la terre un peu partout (quel spectacle !) au bord de l’étendu le regard rivé sur la cascade, elle contemple. Discrètement je la rejoins, et d’un seul pied je la fait tomber dans cette étendu glaciale et profonde de presque un mètre.
Quel ne fut pas sa surprise une fois vautré dans ce trou d’eau, elle se trémousse pour essayer d’en ressortir mais le sol glissant la ramène dans l’eau encore et encore, je me délecte du spectacle ! Soudains je remarque qu’elle essaye d’ôter ces liens, je pensais que m’a correction avait été clair ; elle a agi comme si la leçon était comprise, mais ça ne devait pas être suffisant !
D’un pas je la rejoins dans l’eau, et lui fait comprendre qu’elle va regretter son action si impoli et défiante soit-elle, je l’attrape alors par les cheveux et lui plonge la tête sous l’eau durant 30 secondes, je la ressors et dit « tu as compris cette fois ? » ces yeux vides me regarde, un gémissement sort de derrière sont bâillon. Vraisemblablement elle n’avait pas compris, je lui plonge à nouveau la tête sous l’eau durant 1 minute, puis encore une fois. Arrivé au bout de la 3ème fois son regard avait changé, elle me remercie.
Son crochet anal est toujours à sa place, tenant ça tête en arrière tel une chienne fière et digne, j’ôte d’une main mon short et m’agenouille alors derrière elle. Ma main caressant son corps de chienne, ces seins fermement maintenu et trempant dans l’eau froide, ces tétons raidi comme la justice par la fraicheur printanière de l’eau, puis mes mains s’attarde à son entrejambe, caressant sont anus déjà bien occupé, puis sont clitoris, et sa chatte fraiche et humide !
Un doigt, puis deux et je commence les vas et viens avec ma main dans son vagin, puis trois et quatre doigt je continu toujours plus loin, plus profond voilà alors le 5ème…. Elle ne bouge pas et se laisse faire, parfaitement immobile je continue de torturer de plaisir son vagin, puis ma main rentre elle gémi de douleur/plaisir ( ?). Qu’importe c’est son moment, je lui donne une légère gifle pour lui faire comprendre de ne pas faire de bruit et je continue, le fist devient intense ça chatte mouille encore et encore et je la sens frissonnée sous mes doigts… Quel plaisir !
Au bout de quelque plus ou moins longues minutes je m’arrête et me retire, elle reste la sur ces quatre pattes, sage et immobile je la contemple. Je me rapproche alors doucement de son arrière train, l’effleurant de mon membre raidi par l’envie, elle frissonne, je lui caresse la chatte et l’anus avec ma bite et je la pénètre. Je lui donne de léger coup de rein, qui s’accentuent, de plus en plus profond, de plus en plus violent dans un rythme léger et doux, elle subit en silence. Elle tend ça tête en arrière vers moi pour me faire savoir qu’elle aime ; c’est son moment de gloire c’est ce que j’attends de lui donner depuis le début, ça récompense. Elle se dresse alors sur ces pattes arrières, je l’agrippe par les seins, et continu mon va et vient avec toujours cette cadence aussi douce et ces coups aussi dévastateur dans son vagin de chienne.
Une de mes main glisse le long de son corps mouillé jusqu’à son clitoris en érection ; je le caresse, je le frictionne, je le stimule, je l’a stimule et elle aime ça. Son arrière train tressaille, j’augmente le rythme des caresses et des coups de reins, je sens qu’elle veut gémir mais elle se retient je suis fière d’elle ! Je la libère alors de son bâillon et l’autorise à gémir, l’autorise à jouir !
Elle est là, à nouveau à quatre pattes dans l’eau, le bout de ses seins trempant tendrement elle contemple le paysage autours d’elle, heureuse, remplit de foutre. Je me relève et la libère de ces derniers liens de chienne, elle peine à se relevée je la soutiens et la ramène sur le chemin de pierre."
Une histoire imaginée de toute pièce lors d'un échange avec une douce demoiselle ici même, mais qui pourrait très bien être mise en application...
Toute remarque, critique, compliment est bienvenue =)
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A genoux, mon buste à terre...
S'insinuant foudroyant tel un éclair...
Oh oui Maitre je la sens bien !
Devenant ce docile objet, le sien...
Crapahutant, chevauchant ma croupe...
Son regard sur mes besoins sont loupe...
Oh oui Maitre je vous appartiens !
Quelle plaisir d'être sous sa fougue, d'être sa putain...
Il m'impute toute volonté, toute résistance...
Il n'est plus l'heure d'être dans la bienséance...
Oh oui Maitre j'aime votre foutre !
Un tel pied que la douleur... J'en passe outre...
Sa main sur ma nuque, forçant mon cul...
Sa force brute dans mes reins,sans retenue...
Oh oui Maitre baisez moi !
Notre osmose n'obéis qu'à nos lois...
Son pouvoir hypnotisant m'ensorcèle...
Lui appartenir me donne des ailes...
Oh oui Maitre j'aime ça!
Et dans une dernière contraction électrisante ... Pleine de lui... Me sers tendrement dans ses bras...
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Son allure domestiqué...Excitante
Ses formes acidulées...Provocante
Son regard éveillé...Fascinante
Son esprit discipliné...Confiante
Sa cambrure maîtrisée...Allumante
Ses seins pincés...Bandante
Sa respiration accélérée...Réchauffante
Ses gémissements prononcés...Brûlante
Sa bouche affamée...Pénétrante
Ses cuisses écartées...Éclairante
Sa nuque baissée...Obéissante
Ses trésors inondés...Indécente
Sa peau marquée...Réconfortante
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Bonjour, je me présente à vous comme « vache vavient »…Je suis attiré par la soumission depuis quelques années, et je viens enfin de trouver une Maîtresse avec qui j’avais pu avoir de longs échanges virtuels, permettant de mieux nous connaître, pour créer un climat de confiance, propice à l’expression de ma condition. Le temps passait, et un jour, je fus convié à un séjour en sa demeure, en son donjon pour des instants qui m’excitaient autant qu’ils m’angoissaient…
Le vendredi soir donc, je garais ma voiture près d’une maison en pierre, plutôt grande au premier abord. Je frappais trois coups rapprochés, puis deux coups plus espacés à la porte, code pour annoncer mon arrivée. Quelle ne fut pas ma surprise de voir, derrière la porte qui s’ouvrait, un homme d’une trentaine d ‘années, entièrement nu avec un collier autour du cou sur lequel on pouvait voir un anneau, mais sans rien accroché dessus. Je devinais tout suite que ce garçon, clairement soumis lui aussi, faisait partie du cheptel de ma Maîtresse. Je n’étais pas pris en traître, puisque cette dernière m’avait bien expliqué que je ne serais pas son soumis attitré, qu’elle considérait le bdsm dans le partage. Passées ces premières pensées, je me décidais à rentrer dans la maison, curieusement mon ouvreur ne disait pas un mot, et se contenta de me faire signe de le suivre. Nous traversâmes quelques pièces, puis une autre porte s’ouvrit sur un vaste espace, sur lequel il y avait une table, et surtout un mot posé dessus. J’entrais, sur un nouveau signe, puis la porte se referma, me faisant comprendre que le mot déposé m’était destiné. Je prenais en main la feuille pour y lire :
« Bonjour, vache vavient…C’est Maîtresse Wendy qui t’écrit ces mots, pour te faire comprendre que tu es proche de vivre ce qui te marquera pour longtemps, si toutefois tu vas au bout de tes désirs les plus profonds. Si tu as peur, si tu n’as pas confiance, si tu doutes de ta sécurité, tu peux faire demi tour, et repartir comme tu es venu…Si tu te sens prêt, alors mets toi entièrement nu, puis à genoux, mains derrière la tête dans le cercle tracé à la craie de l’autre côté de la pièce. Je viendrais moi même te chercher, tu te contenteras de me suivre à quatre pattes jusqu’au donjon. Tu y retrouveras soumis saturne, que tu as déjà vu, et qui termine à mes côtés un stage de trois jours intenses. Je te laisse quelques minutes pour prendre une décision, réfléchis vite et bien, petite sous merde que tu es. »
J’avais lu, mais je n’avais pas besoin de réfléchir, tant ma Maîtresse avait su frapper pile au but en me nommant de la sorte. Elle savait combien j’étais sensible au pouvoir humiliant des mots, ce qui était pour moi comme une drogue mentale, une addiction même parfois. Mais je ne voulais pas m’égarer dans des pensées profondes, je me contentais d’obéir, de me mettre nu et de me placer comme exigé. Le temps passait, chaque minute plus intense que la précédente, encore plus quand j’entendis des pas et que je vis la porte devant moi s’ouvrir. Elle était la, irréelle, c’était ma Maîtresse, Maîtresse Wendy. Trois pas derrière elle, celui que je pouvais nommer soumis saturne désormais. Sans dire un mot, Maîtresse claqua des doigts et me fit comprendre que je devais la suivre à quatre pattes, comme ordonné. Dans cette position inconfortable, je parvins jusqu’au donjon, pièce magique autant qu’inquiétante, que je ne saurais trop décrire, tant j’étais obnubilé par mes mouvements et l’envie forte de bien faire.
Maîtresse stoppa sa marche, puis en claquant à nouveau des doigts dit :
-saturne, à quatre pattes comme vavient !
Saturne s’exécuta, prestement ! Puis vient ce monologue :
-vavient, depuis le temps que nous nous parlons, je sais ton désir, celui d’être vache. Cela tombe bien, j’aime ce que représente l’animalisation dans la soumission. Au moment où je te parle, tu n’es plus que cela à mes yeux, désormais ta queue sera un pis, désormais, tu ne te masturberas plus, tu ne feras que te traire lorsque je t’en donnerais l’ordre….Comme tu le vois, saturne nous accompagne et comme je veux l’égalité entre vous, il va devenir vache, tout comme toi. Et pour que tout ça soit clair, je vais commencer par te mettre à toi, vache vavient, un collier avec une belle cloche de vache. Pour saturne, je ne ferais que l’ajouter à son anneau. Ne bouge pas !
-A vos ordres, Maîtresse !
Je reçus alors une gifle qui me déstabilisa, qu’avais je fait de mal ?
-Crois tu qu’une vache parle, vache vavient ? Non, elle meugle, et c’est ce que tu feras maintenant sous mes ordres, sauf contre ordre de ma part. Pour dire « oui, Maîtresse » ou « à vos ordres, Maîtresse », ce sera un meuglement long. Pour demander l’autorisation de parler, ce sera deux meuglements courts. As tu compris ?
- Mmmeeeeeeuuuh.
Bien, et si tu souhaites pouvoir parler ?
- Meuh, Meuh !
- Parfait, vache vavient, tu m’avais évoqué dans tes premiers courriers qu’il t’arrivait de sortir en club gay où tu faisais preuve de tes talents buccaux et manuels. Mets toi en 69 avec vache saturne, vos têtes entre les cuisses de l’autre. Vous y êtes ? Allez, je veux vous voir tous les deux vous brouter les couilles, exécution.
Je n’avais qu’une idée, obéir, et je commençais à sortir ma langue pour la laisser aller au contact de ces deux boules de belle taille, pendant que vache saturne broutait mes deux sacs à lait, d’une façon consciencieuse et en même temps, excitante…Sous l’effet du regard de Maîtresse, de cette sensation humide à l’entrejambe, je bandais déjà fort bien et je voyais bien qu’il en était de même pour mon collègue, nos deux cloches de vache qui en plus tintaient, ajoutaient au plaisir de l’instant. Le jeu dura trois, quatre, cinq minutes, je ne saurais vous dire exactement. Puis Maîtresse intervint :
- Allez, à quatre pattes, bouffeuses de couilles.
Nous reprîmes notre position initiale. Maîtresse fit quelques pas sur sa gauche jusqu’à une petite table ou trônaient une foule d’accessoires, elle revint avec quelques pinces.
-Histoire d’agrémenter la séance, nous dit-elle avec un sourire mêlé à un sadisme jouissif.
Nous eûmes tous deux une pinces sur chaque téton, devant l’effet de la douleur lors de la pose, nos deux pis avaient légèrement perdu de leur superbe. Maîtresse qui avait sans doute recherché cet effet, m’ordonna d’embrasser, du bout des lèvres, le beau pis de mon collègue…A la fin de cet ordre, Maîtresse me dit :
- Qu est ce qu’on dit à sa Maîtresse, après un ordre exprimé ?
Je ne tombais heureusement pas dans le piège :
- mmmmmeeeuuuuuh.
Bien, embrasse comme je t’ai ordonné. Je m’appliquais donc sur ce pis, mais au fond moi, il me semblait tellement incroyable d’être la, à obéir, à baiser au sens propre une queue, que je me répétais ces mots enivrants :
« je suis un lécheur de couilles, j’embrasse un membre »….Dois je me résoudre à admettre que j’aime la bite ? Moi, moi qui me sent vache, moi qui ait du mal à l’assumer auprès de ceux qui gravitent autour de moi, pourrais je avouer que les queues m’excitent ? Que je sois sous merde, ou salope, putain ou vache, tout cela était facile, ce n’était que des mots. Si j’aime traire les hommes, je vais au delà des mots, mais….ça me plaît !
Je continuais en même temps, mécaniquement, mes mouvements de bouche. Puis Maîtresse ordonna l’inversement des rôles, mais vache saturne dut non pas embrasser mais lécher mon pis. Maîtresse voulait voir la salive dessus, la langue tourner autour comme si mon membre était une glace à réchauffer. Le ressenti m’était plutôt agréable, même si j’étais sans doute plus sensible à l’humiliation de saturne qu’aux ressentis de sa langue.
Il m’était difficile de m’arracher aux questions intérieures, pour profiter totalement du moment, mais j’avais cette volonté de lâcher prise. Pouvais je y arriver ? La était le défi, la était le dépassement de soi, pour honorer ma Maîtresse et qu’elle me façonne comme elle le voulait :
Vache, sous merde lubrique, salope baisant des bites…tout ce dont j’avais rêvé, tout ce que je vivais maintenant.
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(A lire à haute voix... SI vous y arrivez. )
Si Son Sexe était aussi Savant que Sa Satanée Sainte Sagesse, Ce
Soir Sans Son insistance pour Sommeiller Sur Sa paillasse
S. aurait Sut que la promesse de Son Sigisbée, de rester Super
Sage, Était un mensonge, digne d’expression du Singe pressé de
Savourer Sa Suavité. Et C’est Sans Savoir qu’S. Cédant à
Sa malice, desserra Ses cuisses à Ses assauts. Ce Serpent, Sans
Ses vices qui Sévissent, Essaya Sans Succès de S’insinuer en Son Sexe.
Sagouin, laissant Son Sirop S’écouler Sensiblement Sans sourciller Sur
Ses dessous de Soies Satinées en Six Secondes. S. restant Sur
Sa Soif Sexuelle S’assit Sur Ses Fesses et Susurra Sans citer
Sade que Sa Soif S’étanche en Suçant. S. Saisit alors Son Serpent
Superbe et S’astreignit à en Siroter Sans Se Soucier, Ses Sucs
Salés, coulant Sur Son Sabre Sombre, Susnommés Sperme ou Semence.
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