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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Lentement, tel un serpent qui se déroule
Au creux de mes reins sa chaleur coule
Laissant sur ma peau une marque écarlate
La lueur des bougies se reflète sur mon corps
Habillée de ma seule nudité, voulant encore
Aller plus loin dans ces sombres tourments
Mon corps s'éveille au fur et à mesure
D'un jeu sensuel sans commune mesure
Au regard de Vous, Mon Maitre
Dans les sillons déjà creusés par le cuir
Sa blancheur s'infiltre sans me faire fuir
Vous Mon Maitre, Vous imposez ces marques
Sur mes yeux, une étole de soie noire
Décuple les meurtrissures naissantes
Au fil du temps qui passe sans savoir
Sensations extrêmes pour un jeu hors normes
Connu des seuls (e) initiés (e) que nous sommes
Je suis soumise à Vos jeux et désirs
A mes poignets, des liens de cuir se posent
Pour annihiler toute envie de retraite
Sans réserve aucune, en cet endroit, Vous osez
Possédée, enivrée de ces sensations
Vous me menez au plus profond de mon âme
Vers le 'plaisir' ultime engendré par la soumission
Le 27 09 2012
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Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 29 : Nadia tombe sur un os.
Extrait « … Les attaques de Nadia terminent dans le vide. Puis maintenant morgane tourne autour de Nadia comme un chat avec une souris et peu à peu elle défait les attaches du harnais de Nadia qui pour finir se retrouve nue tuméfiée mais toujours debout. Puis visiblement morgane décide de porter l’hallali. Elle fait une clé à Nadia qui se retrouve couchée sur le ventre avec morgane assise sur elle. Morgane fait un geste vers le jury. Le juge lui apporte une tondeuse à batterie et elle tond la magnifique chevelure de Nadia. Une fois la tonte effectuée elle demande à Nadia si elle se soumet. Celle-ci hésite mais morgane lui saisit les tétons et les pinces terriblement. Nadia hoquète pleure et admet sa défaite… »
Noémie et jean ont reçu une convocation pour une soirée poker.
Lorsqu’ils arrivent chez Nadia et Victor ils sont accueillis par un Victor et surtout une Nadia beaucoup moins enjoués que d’habitude.
On ressent une énorme tension et les préparations se font dans un silence inhabituel.
Arrivés dans la grande salle, tels des chevaux de western ils sont accrochés à la barre de gymnastique comme d’habitude.
La soirée commence.
Ils sont réquisitionnés par des inconnus et sont mis à contribution pour des caresses buccales à des hommes et femmes qui les regardent avec une attention inhabituelle.
A un moment la voix impérieuse retenti.
Au lieu de marquer la pause la voix dit : mesdames messieurs le rang de GODESS a été mis cause par une maitresse qui défie l’actuelle tenante du titre de GODESS.
Comme il est d’usage la GODESS en titre et sa chalengeuse vont se battre dans le ring pour un combat qui durera jusqu’à abandon de l’une des deux.
La gagnante héritera du titre de GODESS et la perdante devra céder deux esclaves à la nouvelle maitresse et se soumettre intégralement à celle-ci sans limite de temps.
Après le combat vous pourrez venir féliciter la gagnante qui sera sur le trône de GODESS jusqu’à la fin de la soirée. Un tonnerre d’applaudissement retentit.
Noémie a soudain un doute. Ceci explique peut-être l’anxiété de Nadia.
Victor vient les chercher jean et elle et ils sont amenés auprès du ring qu’ils n’avaient jamais vu jusque-là. Ils sont positionnés à côté d’un autre couple.
Là où ils sont, ils peuvent voir le ring et seront aux premières loges pour voir les combattantes.
Le speaker annonce l’arrivée de la GODESS.
Et Noémie voit pénétrer sur le ring une Nadia en sueur, signe qu’elle s’est beaucoup échauffée.
Elle est en string avec un harnais de cuir qui met en valeur ses formes.
Puis sa chalengeuse est annoncée.
Une certaine morgane.
Noémie voit alors une très grand femme sculpturale, une vrai athlète, pénétrer dans le ring. Elle a aussi un harnais et est en string.
Son opulente poitrine rend jalouse Noémie et hypnotise jean.
Le combat commence.
Au début ça semble équilibré.
Nadia compense sa plus petite taille par une énergie farouche.
Plusieurs fois elle arrive à donner de coups puissants à morgane mais celle-ci ne semble pas ressentir de douleur.
Petit à petit Noémie constate que si le combat dure c’est parce que morgane a décidé de le faire durer.
En effet maintenant à chaque attaque de Nadia elle lui donne un coup vicieux au visage ou sur les seins.
Les attaques de Nadia terminent dans le vide.
Puis maintenant morgane tourne autour de Nadia comme un chat avec une souris et peu à peu elle défait les attaches du harnais de Nadia qui pour finir se retrouve nue tuméfiée mais toujours debout.
Puis visiblement morgane décide de porter l’hallali.
Elle fait une clé à Nadia qui se retrouve couchée sur le ventre avec morgane assise sur elle.
Morgane fait un geste vers le jury.
Le juge lui apporte une tondeuse à batterie et elle tond la magnifique chevelure de Nadia.
Une fois la tonte effectuée elle demande à Nadia si elle se soumet.
Celle-ci hésite mais morgane lui saisit les tétons et les pince terriblement.
Nadia hoquète pleure et admet sa défaite.
Les choses s’emballent.
Le public applaudit la nouvelle championne et Victor prend les laisses de Noémie et jean et les donne à une femme très musclée qui les montre à morgane.
Celle-ci opine du chef.
Quelques minutes plus tard morgane siège sur le nouveau trône et les gens défilent pour la féliciter.
Nadia est couchée sous les pieds de morgane elle est enchainée avec des bracelets et un collier tout en fer.
Son visage est tuméfié et les pointes de sein sont gonflés par les coups et irisées de couleur qui ne laisse aucun doute sur les sévices qu’ils ont subi.
Jean et Noémie sont à genou aux pieds de la nouvelle GODESS.
Ce soir-là ils repartiront avec leur nouvelle maitresse.
Quelques jours plus tard ils reçoivent tune convocation de morgane. Bizarrement le lieu donné est l’adresse de Victor et Nadia.
Lorsqu’ils arrivent ils ont la surprise de voir Victor et morgane les accueillir.
Le couple de soumis les déshabille et les menottent les mains dans le dos.
Ils sont amenés au salon ou apparait une nouvelle table.
Il s’agit d’un plateau en verre qui repose sur une femme qui est à quatre pattes. Et sert de pieds à la table.
Elle est black et porte une cagoule qui cache son visage.
Noémie reconnait immédiatement Nadia.
Victor n’a eu aucune compassion pour elle et file le parfait amour avec morgane.
The winner takes all : pense Noémie.
Nadia porte toujours son collier de fer et les bracelets du même métal aux poignets et chevilles.
De lourdes chaines relient le collier à chaque bracelet.
Ça doit être difficile à porter se dit Noémie mais elle n’a pas le temps d’y réfléchir plus longtemps. Avec jean elle est mise à contribution.
Jean retrouve on job de suceur avec la bite de Victor qui fait comme si de rien n’était et Noémie apprend à brouter le minou de la sculpturale jeune femme.
Après avoir fait connaissance de l’intimité de morgane Noémie est mise à contribution pour faire l’éducation de soumission de Nadia.
Le plateau de la table est enlevé.
Noémie peut voir que Nadia porte un plug annal et un gode est enfourné dans son sexe.
Ses seins sont lestés de deux lourds anneaux de métal blanc qui tiennent avec de piercings.
Noémie n’avait jamais remarque les piercings de Nadia. En avait-elle ?
La chaine et les bracelets sont ôtés.
Morgane montre un rouleau de déménageur à Noémie et jean.
Les menottes sont enlevées et sur les consignes de morgane ils commencent à poser l’adhésif sur Nadia.
Elle est couchée sur le dos et ses genoux sont pliés au maximum.
Plusieurs tours d’adhésif sont fait à mi-cuisse et bloque les genoux de Nadia dans la position.
Elle doit maintenant plier ses bras de la même façon.
Des tours d’adhésif sont faits et désormais Nadia n’a plus la possibilité de déplier ses bras ou ses genoux.
Elle est mise à quatre pattes par jean aidé de Noémie et désormais elle ressemble à un gros chien noir.
Le plug est enlevé et à la place un énorme plug terminé par une imposante queue de cheval lui est enfoncé avec difficulté.
Elle gémit mais la cagoule n’a pas de trou pour la bouche et ses cris son étouffés.
Noémie met un collier et une laisse à Nadia.
Puis celle-ci est promenée dans la pièce par morgane très enjouée.
De petits coups de cravache aident Nadia à trotter à la vitesse souhaitée par morgane.
La cagoule est enlevée. Nadia est ruisselante e de sueur la cagoule devait être insupportable.
El est amenée aux pieds de morgane qui s’est remise sur le canapé.
Puis Nadia doit consciencieusement lécher les pieds de morgane tandis que celle-ci suce Victor qui est debout face à elle.
Au moment où Victor va jouir morgane se retire et fait mettre Nadia accroupie ce qu’elle fait avec beaucoup de difficultés. Jean et Noémie l’aident à tenir la position.
Victor fourre alors sa bite dans la bouche de Nadia qui doit le terminer et bien tout avaler.
Noémie est estomaquée de voir l’ex reine de la domination transformée en objet sexuel par celle qui lui a mis la correction du siècle. Tout ça sous le regard méprisant de Victor.
Mais le calvaire de Nadia n’est pas terminé pour autant.
Les adhésifs sont retirés et Nadia doit se tenir debout jambes et bras écartés.
Le couple soumis de Victor et maintenant de morgane apporte une collection de plugs de tailles différentes.
Noémie et jean doivent les enfoncer l’un après l’autre dans le cul de Nadia pour voir sa limite.
Le premier a la taille d’une belle queue. Il rentre sans problème
Le deuxième a la taille d’une très grosse bite. Il faut y aller avec patience mais millimètre par millimètre l’engin rentre.
Le troisième est énorme Noémie doute de la possibilité de le mettre en place. Morgane regarde son air perplexe et lui dit. Si tu n’y arrives pas c’est moi qui te le mets.
Tu verras que ça rentre.
Noémie préfère que ce soit Nadia qui encaisse ce monstre.
Elle la badigeonne de lubrifiant et en badigeonne abondamment le plug.
Nadia n’en peut plus et pleure silencieusement.
Petit à petit le monstre est inséré et lorsqu’enfin il se bloque dans le fondement de Nadia. Morgane félicite Noémie et jean.
Il y a bien un quatrième plug mais il est invraisemblable qu’on puisse le mettre à Nadia.
Morgane dit alors. Celui-là je veux qu’on lui mette dans un mois. D’ici là elle gardera en permanence celui qu’elle porte.
Elle s’adresse à Nadia.
Il va falloir que tu fasses des efforts ma petite esclave.
Celle-ci a un regard suppliant vers morgane.
Je n’ai pas entendu dit celle-ci en donnant un coup de cravache sur les seins de Nadia.
Celle-ci s’empresse de dire oui maitresse morgane.
Bien bien. Je crois que vu tes efforts je vais t’autoriser à dormir au pied de mon lit ce soir.
Maintenant tu vas nous montrer que le plug te va bien fais le tour de la pièce à quatre pattes et surtout cambres toi bien qu’on voit ta croupe d’esclave.
Nadia se met à quatre pattes et fait des tours dans la pièce.
A chaque pas Noémie sent que le plug la gêne terriblement.
A ce moment-là quelqu’un sonne à la porte.
La soumise va ouvrir et le couple ami de Victor et Nadia que Noémie a déjà vu et subit entre accompagné de deux personnes nues tirées par une laisse.
Noémie écarquille les yeux car devant elle Sidonie et Léon ont le même rôle qu’elle.
Elle subodore que Brigitte a réussi à les inviter aussi.
La semaine suivante la convocation poker arrive.
Alors qu’elle est accrochée à la barre de gymnastique Noémie entend la voix qui annonce un nouveau défi pour la GODESS.
Au moment du combat elle est amenée auprès du ring
. Une nouvelle fois elle et jean sont mis en jeu.
Morgane apparait sur le ring elle est magnifique.
Une femme forte genre catcheuse se présente comme chalenger.
Le combat commence.
Cette fois le combat est beaucoup plus équilibré.
Morgane se retrouve plusieurs fois au sol mais réussit toujours à se relever avant que la catcheuse se jette sur elle. Le combat dure et Noémie voir que morgane ne joue pas.
Puis peu à peu la catcheuse donne des signes d’essoufflement. Elle est très lourde et déplacer sa masse doit demander beaucoup d’énergie. Morgane quant à elle est toujours aussi véloce.
Le combat commence à basculer. Comme Nadia la combattante chalenger finit nue au milieu du ring et morgane la couche à terre et la bloque avec son poids la tondeuse est amenée.
Quelques minutes plus tard morgane siège sur le trône avec à ses pieds Hilda la nouvelle vaincue et Nadia qui a été amenée pour rappeler le combat précédent de morgane.
Elle est complétement soumise et porte le plug géant. L’autre vaincue porte un collier de fer et une chaine relie les colliers des deux esclaves que morgane a combattu.
Deux personnes sont données à morgane il s’agit de deux garçons qui paraissent très jeunes mais surtout leurs cages de chasteté paraissent trop petites pour contenir leur sexe énorme par rapport à leur taille.
Noémie se dit que l’appartement de Victor va rapidement être trop petit.
Ce soir-là morgane est trop fatiguée pour faire quelque chose.
Elle libère les deux couples en attendant la prochaine convocation.
Ils se retrouvent tous les quatre et Noémie afin de faire plus ample connaissance invite les deux garçons chez elle.
Une fois chez Noémie ils font connaissance.
Les deux garçons qui ne se connaissaient pas ont fait connaissance de morgane par le biais de site de rencontre.
Elle recherchait des hommes bien montés et après une période d’amour charnelle elle a peu à peu dominé les deux garçons qui presque sans prendre garde ce sont retrouvés un jour menottés et avec une cage de chasteté.
Ils aiment trop morgane pour la quitter et acceptent leurs sort.
D’hétéros purs et durs ils sont petit à petit devenus tout terrain.
Morgane leur imposant tant de la chatte que de la bite. Noémie et jean racontent leur parcours.
Pendant la conversation Noémie demande aux garçons si c’est morgane qui a les clés de leurs cages.
Ils répondent par l’affirmative mais avec un grand sourire ils avouent qu’ils se sont tait un double des clés et qu’ils peuvent les enlever quand ils veulent.
Devant l’air surpris de Noémie ils font la démonstration et deux queues énormes par rapport à la taille des garçons se dressent fièrement.
Noémie leur demande si c’est elle ou jean qui leur fait cet effet-là.
Les garçons disent que le couple leur plait.
Presque en même temps Noémie et jean prennent une queue dans la main.
Elles sont fermes et ne demandent qu’à être utilisées.
Une double fellation commence.
Pendant qu’ils se font sucer les garçons déshabillent Noémie et jean.
Ceux-ci son bientôt nus sans savoir cessé de sucer.
En même temps les garçons se retirent et retournent leurs suceurs pour les prendre par derrière.
Noémie et jean sont aux anges.
Ensuite les corps se mélangent de plus en plus.
Noémie a juste le temps de libérer jean de sa cage.
Quelques instants plus tard elle est pénétrée par trois queues en même temps et ne reconnait plus le propriétaire de chacune.
Jean est servi.
Il suce se fait sucer se fait enculer tout en suçant et en étant sucé.
Les quatre se débrouillent bien et se coordonnent parfaitement.
Les garçons jouissent presque en même temps.
Noémie pour sa part est montée plusieurs fois au paradis.
Elle pense que les trois garçons font particulièrement attention à son bonheur et elle en a presque les larmes aux yeux.
Finalement ils se couchent à quatre dans le lit de Noémie et jean et plusieurs fois dans la nuit une étincelle remet le feu aux poudres.
Les quatre jeunes gens passent une nuit formidable.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 28 : un petit couple soumis.
Extrait « … Le véhicule démarre. A peine sortis du parking Victor actionne un bouton et le ciel de toit se rétracte en laissant place à un grand toit en verre panoramique qui illumine toute la voiture.
Puis Victor s’engage sur le périphérique. Les voitures roulent au ralenti. Soudain Noémie comprend le but du jeu. Ils frôlent les camions et les routiers ont une vue plongeante sur le couple nu bondé et offert à toute vue. Noémie comprend aussi la raison du loup car souvent avec les ralentissements les routiers peuvent prendre des photos avec leurs portables. Ils passent ainsi près d’une heure dans un concert de klaxon de routiers hilares à s’exhiber nus et bondés. Le pire c’est que petit à petit la situation commence à plaire à Noémie qui sourit aux routiers et commence sérieusement à mouiller … »
Quelques jours plus tard Noémie et jean sont invités à une soirée poker par Nadia le samedi soir.
Ayant repris leurs esprits ils ne répondent pas à l’invitation même si jean ne suit que mollement Noémie dans cette décision.
Le samedi soir alors qu’ils sont tranquillement installés dans le salon la sonnerie de l’entrée retentit.
Noémie va ouvrir. Ça doit être Sidonie qui avait promis de passer dans la soirée.
Elle ouvre et tombe nez à nez avec Victor et le grand black de l’autre jour.
Avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit le grand black lui met la main sur la bouche et la fait rentrer de force dans l’appartement.
Un sac est mis sur sa tête et ses bras solidement retenus.
Pendant ce temps Victor et Nadia entrent dans le salon ou jean est resté.
Interdit il les voit se ruer sur lui et en quelques secondes il est aussi recouvert d’un sac et menotté.
Ils sont tiré vers l’extérieur de l’appartement et poussés dans un véhicule, apparemment une camionnette, car ils entrent debout
Puis ils sont couchés à même le plancher et le véhicule démarre.
Quelques minutes plus tard ils sont descendus du véhicule et emmenés quelque part.
Le sac sur leur tête est enlevé.
Ils voient Victor et Nadia qui les remercient en riant de bien avoir voulu participer à la soirée poker.
Ils sont visiblement dans une grande entrée
Noémie veut crier mais une main puissante se pose sur sa bouche.
Silence ma chérie ou tu vas souffrir.
Elle se tait.
Nadia lui et un collier de chien et Victor fait de même pour jean.
Ils accrochent une laisse et leurs mettent un bâillon boule.
Puis ils les tirent dans la maison ou l’appartement vers un très grand salon ou déjà plusieurs personnes sont installées.
Elle reconnait le copain black de Victor et sa compagne.
D’autres couples ou personnes seules discutent.
Le point commun c’est qu’ils sont tous et toutes visiblement des dominants.
Victor et Nadia les amènent jusqu’à un mur le long duquel est fixée une grande barre genre barre de gymnastique.
Il y a plusieurs personnes hommes et femmes déjà positionnées face au mur et la laisse accrochée à la barre.
Elle reconnait Brigitte.
Elle et jean sont accrochés comme les autres et Nadia lui dit. : Si on a besoin de toi on viendra te chercher.
Bâillonnée elle en peut pas discuter avec ses voisins mais elle voit que certains sont fatalistes, ils doivent avoir l’habitude, et d’autres comme elle plutôt en colère et effrayés.
Elle entend les conversations puis une voix domine le brouhaha et dit. Les tables sont ouvertes le tournoi peut commencer.
Un bruit de pas nombreux puis un certain silence s’installe.
Le temps passe lentement. Elle se demande ce qu’elle fait là.
Un de ses voisins est récupéré par un homme qui l’emmène avec lui.
Puis d’autres. Puis s’est son tour.
Victor vient la prendre et elle le suit dans la grande pièce. En fait c’est un tournoi de poker.
Victor regagne ce qui semble être sa place et met Noémie à genou sous la table devant lui.
Il lui ôte le bâillon et dirige sa tête vers son sexe qui commence à gonfler.
Elle prend le sexe dans sa bouche et commence à le sucer.
Aussitôt il devient dur et imposant elle a un mal fou à ouvrir suffisamment la bouche pour l’avaler.
Il la fait ralentir et elle passe un temps infini à sucer cet homme qui joue tranquillement au poker.
Au fur et à mesure de la fellation elle s’enivre de la puissante odeur de musc de Victor et apprécie la queue dure et douce en même temps qui palpite le long de sa langue.
Pour sa part jean a été choisi par un inconnu qui le tire sans ménagement vers une table de poker.
Il ne s’assoit pas mais se positionne derrière une femme qui est assise à la table elle se retourne et hoche la tête.
Sans ménagement l’homme fait mettre jean à genoux et le positionne sous la table la bouche dans l’entrejambe de la femme qui porte une jupe et pas de sous-vêtements.
Jean lèche la chatte en silence.
Une voix trouble le silence.
Mesdames messieurs on fait une pause de trente minutes.
Victor se lève et l’entraine derrière lui.
Il va à un bar ou un serveur et une serveuse nus servent des boissons aux joueurs.
Victor boit une bière. il tient toujours la laisse et Noémie attend sagement derrière lui comme plusieurs autres prisonniers et prisonnières dont certains sont encore bâillonnés.
Surement emmenés ici contre leur gré.
Une fois la bière bue il l’entraine dans un couloir qui donne sur de nombreuses portes. Certaines sont fermées et d’autres entrouvertes.
Il pénètre dans une pièce entrouverte. C’est une chambre avec un lit King size à l’intérieur.
Il se couche sur le lit et sans effort apparent prend Noémie par la taille et la met à califourchon sur lui.
Il la guide et elle s’empale sur le chibre énorme.
Elle a l’impression qu’elle va éclater.
Il lui dit de faire le job.
Elle commence alors à le chevaucher lentement puis elle sent monter la chaleur de son bas ventre et elle accélère le rythme.
Finalement elle explose en même temps que lui dans un orgasme mémorable.
Pendant ce temps jean a été emmené directement dans une chambre.
La femme se positionne sur le lit pour que jean à genoux continue à la brouter.
Il n’est que peu étonné quand il sent que l’homme qui les accompagnait le sodomise sans ménagement.
Plus tard une voix annonce la reprise de jeux dans 5 minutes.
Victor se retire se lève et la ramène à la barre de gymnastique.
Jean n’y est pas.
Il apparait quelques secondes après elle avec un inconnu.
Il le rattache mais presqu’aussitôt c’est le copain de Victor qui vient le récupérer.
En regardant autour d’elle elle s’aperçoit que ceux qui sont encore bâillonnés ont pour la plupart des marques de fouet ou de cravache sur le corps.
Visiblement il y a du dressage en cours pour certain.
Durant la soirée elle sera réquisitionnée deux fois encore par un inconnu puis une femme. Elle commence connaitre les dessous des tables de poker.
Visiblement le tournoi est fini. Victor et Nadia les récupèrent. Nadia est aux anges elle a bien gagné. Victor est moins loquace. Visiblement ça s’est moins bien passé pour lui.
Ils sont remontés dans la camionnette et au lieu d’être ramenés chez eux ils sont emmenés dans une maison inconnue. Surement la demeure de Victor et Nadia.
A leur arrivée un couple de jeunes gens nus et portant juste un collier et un micro tablier de soubrette s’empresse d’accueillir Nadia et Victor.
Nadia emmène Noémie dans le salon et la détache. Elle la remercie de s’être bien conduite devant ses amis et lui fait servir un verre de champagne par la mignonne soubrette.
Victor de son côté a emmené jean avec lui.
Voyant le regard inquiet de Noémie Nadia la rassure. Il va passer sa frustration sur jean. Ne t’inquiète pas il prend soin de ses propriétés.
Tard cette nuit-là Noémie est attachée écartelée sur un grand lit et Nadia, aidée de la petite soubrette, alterne les moments de douceurs avec des baisers des caresses et l’utilisation de toys partout où c’est possible avec les moments de dressage avec la cravache, les pincements de tétons et de sexe.
Finalement Noémie rompue devra lécher Nadia qui la chevauche jusqu’à épuisement et elle s’endort la bouche collée au sexe de Nadia.
Nadia voyant que Noémie dort se relève et va rejoindre Victor dans le salon. Ils se félicitent d’avoir rencontré ce petit couple si docile et se promettent de les éduquer en profondeur.
Quelques jours plus tard Noémie reçoit une convocation de Nadia. Pas une invitation mais une convocation. Jean a reçu la même chose de Victor.
Ils hésitent mais se rappellent la dernière invitation ils préfèrent obtempérer.
Ils se rendent à la convocation.
Nadia et Victor les saluent et les mettent immédiatement dans les mains du couple nu qui semble être 24/7 à leur service.
Ils sont déshabillés et le jeune couple expert en la matière leur applique un magnifique bondage shibari avec une corde rouge pour Noémie et noire pour jean.
Le shibari leur bloque les bras et les mains mais les jambes sont épargnées. Ils peuvent marcher à leur guise.
Nadia vient inspecter le travail et dit très bien. Préparez-les pour une sortie.
Aussitôt leur chaussures sont remises et ils sont enveloppés chacun d’un grand imperméable qui descend jusqu’aux chevilles.
Ils ont l’air un peu ridicule dans cet accoutrement.
Victor et Nadia mettent leurs propres manteaux et entrainent Noémie et jean vers la sortie.
On va faire un tour en ville.
Pendant près d’une heure ils déambulent dans les rues de la ville.
Noémie a l’impression que tous les gens qu’ils croisent savent ce qu’elle cache sou l’imperméable.
Elle est atrocement gênée.
Victor et Nadia s’arrêtent à un café et s’assoient en terrasse.
Ils prennent tout leur temps pour prendre leur café.
Pendant ce temps mortifiés Noémie et jean font le pied de grue sur le trottoir.
Enfin Nadia et Victor se relèvent et prennent la direction du jardin public de la ville.
L’époque est peu propice aux sorties car il fait froid et une bruine permanente humidifie le corps.
Noémie commence à cailler sous l’imperméable.
Arrivés dans un coin peut fréquenté du parc Victor et Nadia ôtent l’imperméable de Noémie et jean qui se retrouvent nus bondés à la vue de tous.
Heureusement il n’y pas grand monde dans le parc.
Pendant un quart d’heure ils se promènent dans les allées du parc.
Ils croisent quelques personnes qui les regardent avec stupéfaction.
Noémie voudrait être une petite souris pour échapper aux regards des passants.
Enfin les imperméables sont repositionnés et ils prennent la direction de la sortie du parc.
Ils rentrent chez Nadia.
En arrivant Noémie est bleue de froid.
Le jeune couple dans l’appartement les prend en charge et leur fait prendre une douche très chaude après avoir ôté les cordes.
En sortant de la douche Noémie et jean sont menottés dans le dos et amenés à Nadia et Victor.
Vous vous êtes bien comportés cet après-midi.
Vous pouvez prendre vos récompenses.
En fait de récompense ils sont autorisée à sucer Victor et brouter Nadia.
La semaine suivante ils reçoivent une nouvelle convocation.
La séance commence comme la semaine précédente mais au lieu de sortir à pieds ils sont couchés à l’arrière d’un SUV dont les banquettes arrières sont repliées.
Ils sont couchés sur le dos et rassurés car les vitres arrières du SUV sont fumées.
Nadia leur met un loup sur le visage .
Le véhicule démarre.
A peine sortis du parking Victor actionne un bouton et le ciel de toit se rétracte en laissant place à un grand toit en verre qui illumine tout la voiture.
Puis Victor s’engage sur le périphérique. Les voitures roulent au ralenti.
Soudain Noémie comprend le but du jeu.
Ils frôlent les camions et les routiers ont une vue plongeante sur le couple nu bondé et offert à toute vue.
Noémie comprend aussi la raison du loup car souvent avec les ralentissements les routiers peuvent prendre des photos avec leurs portables.
Ils passent ainsi près d’une heure dans un concert de klaxon de routiers hilares à s’exhiber nus et bondés.
Le pire c’est que petit à petit la situation commence à plaire à Noémie qui sourit aux routiers et commence sérieusement à mouiller.
En rentrant elle et bien chaude et quand Victor la pénètre quelques minutes plus tard elle peut enfin jouir en pensant à tous se regards lubriques qui l’ont échauffé.
Maintenant elle attend avec une certaine impatience les convocations.
Elle se prête au jeu et ne recule devant aucun obstacle trouvant particulièrement jouissif d’être exhibée nue et encordée.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 27 : Noémie
Extrait « …Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe. Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises.
Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre. Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce. En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean. Celui-ci le suce sans se poser de questions. Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps… »
Noémie et aux anges.
Jean a totalement capitulé et fait tout ce qu’elle veut.
Elle décide d’aller plus loin et invite leurs meilleurs amis à déjeuner.
Léon et Sidonie forment un jeune couple branché.
Noémie sait que Léon la mate avec attention et ne serait pas contre un coup de canif dans le contrat.
Sidonie est volontaire et toujours la première à tenir des propos osées.
Ce jour-là Noémie les accueille seule.
Sidonie demande ou est jean.
Noémie leur dit qu’il est puni mais qu’ils le verront sans tarder.
Ils vont dans le salon et commencent à parler de choses et d’autres.
Au bout de quelques minutes Noémie demande s’ils veulent une coupe de champ.
Les deux acceptent volontiers. Noémie agite une petite clochette qui était posée sur la table du salon.
Jean entre dans la pièce.
Il est nu avec un bâillon et une cage de chasteté posé sur son sexe.
Il porte un plateau avec trois coupes de champagne et vient se poser devant les trois convives.
Sidonie et Léon sont surpris mais regardent avec attention jean.
Il est puni pour un bon bout de temps et il est à mes ordres dit Noémie.
Sidonie et Léon prennent leurs coupes et ils trinquent avec Noémie alors que jean reste planté devant eux.
Sidonie est la première à réagir.
Dommage tu ne peux pas te servir de ça.
Elle montre le sexe de jean à Noémie.
Celle-ci répond :Il lui reste sa bouche on peut faire beaucoup de choses avec.
Sidonie admet. Elle commence à être chauffée.
Léon dit : c’est sûr mais une bonne bite c’est mieux non ?
Noémie rebondit sur le propos. Pourquoi tu veux nous faire une démo.
Elle fixe l’entrejambe de Léon.
Celui-ci regarde Sidonie qui lui dit : Aller fait nous voir ce que tu as.
Léon baisse sa braguette et un chibre libéré se dresse vigoureusement.
Noémie dit : Pas mal … elle pose la main sur le sexe érigé en regardant Sidonie qui lui sourit.
Ensembles elles déshabillent Léon sous les yeux de jean.
Léon est confiant. Il va se taper les deux gonzesses sous les yeux du cocu qui ne dit rien.
Sidonie commence une fellation puis se ravise en disant il faut qu’on compare entre la bouche de jean et la bite de Léon.
Noémie est d’accord et elle va enlever le bâillon de jean. Elle lui menotte les mains dans le dos et le fait mettre genoux devant Sidonie.
Celle-ci se déshabille et assise sur le sofa écarte les jambes en montrant à jean son entrejambes.
Il s’approche à genoux et enfouie sa tête dedans.
Léon est déjà moins triomphant.
Noémie s’approche de lui et lui fait mettre les mains dans le dos. Il accepte de se faire menotter.
Elle le met sur le dos sur la table du salon. Elle se déshabille à son tour et se met à le chevaucher.
Pendant une demi-heure Sidonie et Noémie alterne les positions.
Elles vont jusqu’au moment où Léon va craquer puis lui laissent quelques secondes avant de le reprendre.
Puis Sidonie propose d’échanger les rôles.
Le sexe de jean est libéré.
Il trique aussitôt gaillardement et est mis à la place de Léon.
Celui-ci doit maintenant faire usage de sa bouche.
Les filles s’en donnent à cœur joie sans laisser les garçons jouir.
Finalement jean et Léon se retrouvent à genoux avec chacun une cage de chasteté et ils voient les deux filles qui se font l’amour entre elles.
Après avoir bien joui les filles décident de passer à table. Jean et Léon font le service et jeunent tandis que les deux filles mangent avec joie.
Après le café les garçons sont remis à contribution pour le plus grand plaisir des deux filles.
Noémie propose à Sidonie de mater un film porno à la télé dans sa chambre.
Sidonie accepte volontiers.
Les garçons les accompagnent mais ne peuvent regarder le film car les filles regardent le film à genou sur le lit avec chacune un garçon couché sous elle et la bouche en contact direct avec le sexe de la fille.
Elles profitent du film et des langues des garçons qui ne risquent pas de leur spolier le film.
Au moment du départ Sidonie radieuse dit la prochaine fois c’est moi qui invite. Les garçons se feront un plaisir de nous servir.
Le soir Noémie autorise enfin jean à jouir. Il passe quand même comme c’est l’habitude maintenant la nuit en laisse aux pieds du lit de Noémie.
Noémie et Sidonie sont heureuses. Elles parlent beaucoup de leurs exploits.
Brigitte et Tania deux de leurs copines semblent douter de la véracité de leurs exploits.
Elles raillent ouvertement Noémie et Sidonie en présence d’autres copines.
Finalement Noémie exaspérée leur dit qu’elles peuvent venir vérifier.
Elle invite Brigitte et Tania à la maison un après-midi pour un café servi par des garçons nus avec une cage de chasteté.
Brigitte et Tania acceptent l’invitation.
Le jour J Brigitte et Tania se présentent chez Noémie.
Celle-ci les accueille avec fierté et les deux invitées ont la surprise d voir deux males entièrement nus à part une cage de chasteté les attendre dans l’appartement.
Les garçons font le service.
Brigitte est enthousiasmée.
Tania un peu plus sur la réserve.
L’après-midi se déroule bien et lorsque les invitées repartent Brigitte promet de rendre l’invitation pour se faire pardonner de ne pas avoir cru Noémie et Sidonie.
Quelques jours plus tard l’invitation arrive. Sidonie n’est pas libre.
Noémie en fait part à Brigitte qui propose que Noémie et jean viennent seuls.
Ils pourront discuter plus intimement.
Noémie se demande ce que veut dire ce « intimement » mais accepte l’invitation.
Ils arrivent chez Brigitte qui les accueille avec le sourire. Noémie se demande si Brigitte n’a pas une idée derrière la tête.
Ils pénètrent dans le salon et ont la surprise de voir qu’un couple est déjà présent.
C’est un couple de blacks entre deux âges.
Les présentations sont faites. Ce sont des amis très chers de Brigitte et elle n’a pas résisté à l’envie de les présenter à Noémie et jean.
Victor l’homme est une baraque et il a un regard et une voix imposants.
Il impressionne Noémie.
La femme est musclée et donne aussi une impression de puissance.
Elle est habillée de cuir très ajouré et sa poitrine est particulièrement mise en valeur. Il ne lui manque que le fouet se dit Noémie.
Jean aussi est subjugué par ce mâle dominant.
Il ne peut s’empêcher de le regarder avec admiration.
Malgré lui il lui trouve un charme vénéneux. Il se voit naufragé sur une ile déserte forcé de servir un maitre impérieux et exigeant qui le forcerait à une obéissance sexuelle totale.
Il le rêve exhibant une bite monstrueuse que jean devrait s’occuper en permanence avec ses mains sa bouche son cul.
Il n’arrive pas à détacher son regard du grand black.
La conversation commence.
D’abord sur des banalités, puis on en vient à parler de la visite de Brigitte chez Noémie.
Victor dit tout à coup. On n’a pas eu la chance de voir ça.
Jean tu devrais nous montrer. On aimerait aussi te voir nu avec ta cage de chasteté.
Tout en parlant il caresse la cuisse de jean.
Celui-ci rougit et regarde du côté de Noémie pour savoir que faire.
Il en meurt d’envie afin de se soumettre à ce grand black si captivant.
Noémie ne souhaite pas qu’il se déshabille mais Nadia dit à Brigitte.
Apparemment Noémie a moins d’emprise sur jean que ce que tu nous as dit.
Noémie est touchée dans son orgueil.
Elle hoche la tête en regardant jean.
Celui-ci se déshabille alors.
Victor lui demande de s’approcher jean obtempère.
Jean n’en peut plus. Seule la cage de chasteté l’empêche de bander comme un taureau.
Victor sort une paire de menottes de sa poche et fait tourner jean.
Il lui menotte les mains dans le dos.
Noémie se demande ce qui se passe mais Nadia s’est approchée d’elle et lui prend les mains.
C’est bien ma chérie tu as bien travaillé avec jean.
Il est parfait. Je suis sure qu’on peut faire beaucoup de choses avec lui.
Noémie est subjuguée par la voix ferme et envoutante de Nadia.
Le contact de ses mains lui donne des frissons.
Victor fait mettre jean à genoux.
Celui-ci s’exécute sans rechigner et lorsque Victor sort un chibre palpitant il ne résiste pas à la main de Victor qui lui prend la tête et la met au niveau du chibre.
Jean commence à sucer le black. Il a juste le temps de constater que le sexe de Victor est entièrement épilé et ça lui donne une beauté incroyable.
Noémie est surprise jean n’a pas l’air de lutter.
Brigitte a disparu.
Nadia dit bon on va peut-être passer à table.
La table est dressée mais il n’y a que trois assiettes.
Noémie se demande pourquoi quand Brigitte réapparait nue les yeux baissés et dit que le repas est près.
Victor se lève et se dirige vers la table en emmenant jean à sa suite. Il s’assoit et positionne jean à genou sous la table pour qu’il continue la fellation.
Nadia prend la main de Noémie et la fait mettre à table en face d’elle.
Brigitte fait le service. Elle est soudain très déférente envers Victor et Nadia.
Noémie mange peu elle est dévorée des yeux par Nadia en face d’elle.
Tu dois être très jolie sans tes vêtements lui dit Nadia.
Noémie la remercie. Je suis sure que tu es au moins aussi belle que Brigitte.
En parlant elle fait un geste à Brigitte qui vient se mettre près d’elle.
Nadia caresse Brigitte. Noémie est presque jalouse elle perd pied.
Tu devrais te déshabiller lui dit sur un ton autoritaire Nadia.
Noémie ne bouge pas.
Nadia se lève et prend Noémie par la main et l’entraine doucement vers le salon.
Fais voir comment tu es Belle dit Nadia d’un ton qui n’admet pas de réplique.
Noémie se déshabille sans vraiment en avoir conscience.
Elle veut faire ce que la belle Nadia lui demande.
Noémie est nue face à Nadia celle-ci se recule et observe Noémie de la tête aux pieds. Elle l’a fait se tourner pour voir l’envers du décor.
Noémie est comme enivrée.
Nadia s’assoit sur le canapé et attire Noémie près d’elle.
Elle l’embrasse à pleine bouche.
Puis elle la fait mettre à genou et ouvre ses cuisses sur sa jupe de cuir sous laquelle il n’y a aucun sous-vêtement.
Nadia passe une main derrière la tête de Noémie et l’attire vers son sexe.
Noémie embrasse ce sexe si enivrant.
Pendant ce temps Victor a terminé de manger et sort de table en emmenant jean docile derrière lui. I
ls entrent dans une chambre et Victor amène jean le long du lit et le fait mettre débout au bord du lit mais le torse penché jusqu’à reposer sur le matelas.
Puis Victor pénètre jean par derrière.
Heureusement pour jean Victor a bien lubrifié sa matraque.
Il besogne jean avec ardeur.
Jean est presque déçu de ne plus pouvoir sucer avec application le grand black.
Son odeur musquée si enivrante et le sentir palpiter dans sa bouche lui manque même si il est heureux de plaire à Victor.
Noémie est toujours ne train de lécher Nadia quand elle sent une présence derrière elle. Brigitte munie d’un gode ceinture la prend par derrière.
Noémie se demande comment elle a pu en arriver là.
Noémie a vaguement eu l’impression qu’une porte s’ouvrait. Mais elle voit avec surprise une autre femme black entrer dans la pièce.
C’est le même genre que Nadia. Une reine de cuir.
Celle-ci salue Nadia et caresse Noémie. Très belle dit-elle. Tu me la donnes.
Nadia répond non je peux bien la partager un peu mais je me la garde elle est trop belle.
Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe.
Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises.
Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre.
Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce.
En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean.
Celui-ci le suce sans se poser de questions.
Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps.
Noémie est dans un tourbillon de luxure.
Nadia lui donne des ordres et elle ses exécute sans se poser de question.
Elle lèche embrasse pelote deux corps de bronze qui envahissent tous ses sens.
Quand Nadia lui dit d’arrêter et de lui embrasser les pieds elle se met à genou et embrasse les pieds avec ferveur.
A côté d’elle elle voit que Brigitte fait de même avec la deuxième femme.
Les deux femmes se rhabillent mais Brigitte et Noémie continuent à se prosterner à leurs pieds.
Jean sent que le grand black va jouir.
Il redouble de caresses buccales et tout à coup il reçoit une grande giclée de sperme dans la bouche.
Heureusement qu’il s’y attendait car sinon il aurait été étouffé.
Il prend bien soin de tout avaler et de lécher consciencieusement le membre toujours gonflé qu’il a dans la bouche.
Victor le serre plus fort et d’un coup se vide aussi en ahanant bruyamment. Jean sent la semence le remplir. Il est presque déçu quand les deux hommes se retirent.
Victor et un grand black entrent dans la pièce.
Ils entrainent jean qui est ruisselant de sueur.
Noémie se dit qu’il a dû prendre cher. Il est toujours nu et menotté alors que les hommes sont habillés.
Victor a récupéré le 06 de jean et lui dit qu’il l’apprécie beaucoup et ne manquera pas de le rappeler pour des soirées amicales.
Noémie soudain dégrisée est perplexe.
Nadia se penche vers elle et lui susurre. J’ai parfois besoin de petites boniches pour mes soirées entre grandes fille.
Je ne manquerais pas de t’appeler.
Et les deux couples saluent Brigitte qui est en extase et quittent l’appartement.
Il faudra un peu de temps pour que Brigitte retrouve les clés de menottes et libère le couple. Noémie l’assaille de question sur ses invités.
Brigitte lui dit qu’elle les a croisés par hasard dans le train et qu’elle est immédiatement tombée amoureuse de Nadia.
Et depuis elle se plie à tous les caprices de Nadia pour lui plaire.
C’est pour ça que Victor et Nadia l’ayant entendu parler du couple souhaitaient absolument les rencontrer.
Effectivement ils étaient devenus intimes physiquement parlant.
Brigitte demande à Noémie si elle libérait parfois jean de sa cage.
Noémie lui répond que oui et qu’il était alors un bon coup.
Pour prouver ses dires elle libère jean et dit à Brigitte tu peux l’essayer si tu veux. Il a plus pris que donné aujourd’hui.
Brigitte et jean n’hésitent pas et il la prend dans le salon pour un coït mémorable.
Quand ils rentrent chez eux le soir ils se demandent s’ils ont rêvés tout ça et sinon s’il n’y avait pas quelque chose dans les boissons qui a annihilé leur volonté.
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Trop de beauté nuit parfois au succès et à la volupté dans la mythologie et dans la réalité. La ravissante Psyché
ne trouvait pas d'époux. Elle avait un corps, mais n’en savait rien, jusqu’à ce qu’Éros le touche et le lui révèle. La
légende grecque peut se lire comme une métaphore de la prise de conscience d’un corps érotique. Ce que ne sait
pas Psyché sur son corps se trouve dans son inconscient. Erreur souvent commise, penser le désir sur le mode du
manque. Pourtant, telle semble la lancinante leçon assénée de toutes parts. Nous désirons ce que nous n’avons
pas. Déjà Platon dans "Le Banquet" relatait le mythe d’Éros, fils de Poros et de Penia, jeune, turbulent et malicieux.
Il était toujours dans l’indigence et rusé comme son père, il convoyait les belles créatures qu’il traquait sans cesse.
Allégorie personnifiant l'âme, présentée comme une princesse dont la beauté provoqua la jalousie d'Aphrodite, à la
suite de la prédiction d'un oracle, Psyché fut exposée sur un rocher, destinée à être dévorée par un monstre. Éros
s'éprit d'elle, la transporta dans dans un palais magique, lui rendit visite chaque nuit, mais exigea l'anonymat. Elle
n'avait pas le droit de voir son visage. Encouragée par ses sœurs, une nuit, Psyché contempla, éblouie, le visage
de son amant à la lumière d'une lampe, mais laissa tomber une goutte d'huile bouillante sur lui, le réveillant. Éros
s'enfuit, le palais disparut et elle demanda l'aide d'Aphrodite. Celle-ci la prit à son service et lui imposa des tâches
humiliantes, dont elle s'acquitta avec l'aide occulte d'Éros. Paul Diel voyait en Psyché le symbole de la séduction
sous sa forme perverse, de la perte de l'aspiration et de l'aveuglement et en Éros, la vision de l'amour physique.
La légende fut chantée par La Fontaine, Corneille et Molière, reproduite par Gérard, David, Canova et Prud'hon.
L'Histoire ancienne, égyptienne, grecque, romaine, indienne ou nordique a toujours été source d'enseignement.
Tous les mythes avaient à l'origine pour objet de fournir une explication plausible aux phénomènes naturels et
cosmiques. Aujourd'hui, dans le langage courant, un mythe désigne un sujet irréel ou incroyable. Pour les anciens,
le terme avait une signification objective, dynamique, en rapport direct avec la réalité. Le romanesque des amours
empêchés par une dépendance quasiment infantile, Tristan et Iseult, Lancelot et Guenièvre, Héloïse et Abélard,
Juliette et Roméo, Roxane et Cyrano, touche l’âme mieux que les traités d’éducation sentimentale. En Amour, la
parole gagne toujours sur la raison. La puissance de liaison, d’invention de sens que nous appelons amour ne
nous paraît pas réductible à la seule figure d'Éros mais implique le travail de transformation de Psyché. Les ailes
du papillon, allégorie de l’âme, du souffle invisible, et d’Éros figurent leur passibilité et leur éphémérité. Ainsi, ils se
manifestent essentiellement par le mouvement, le passage, la transmutation et quand ils se posent, ils laissent
apparaître une tension affligée, la langueur du corps et l'angoisse de l’âme, une attitude pensive plus proche de
la mélancolie que du bonheur. Ils sont alors en position d’ouverture perpétuelle du devenir, d’envol et de révélation.
La pensée comme les sentiments quittent le corps, mort ou privé de cette juvénilité qui est encore associée à la
beauté, à la vitalité et à la séduction des corps pubescents dans l’indétermination réelle du désir et de la pudeur.
Les deux personnages mythiques personnifient mieux que quiconque la belle allégorie chantée par Apulée dans ses
célèbres "Métamorphoses." Éros fugitif et Psyché exilée sont dans la fougue juvénile mais ne sont pas affranchis. Ils
continuent de subir l’autorité et la jalousie de la déesse de l’amour, l'amère mère. Aphrodite est fille d’Ouranos dont
les organes sexuels tranchés par Cronos ont fécondé la mer et lui ont donné naissance dans l’écume des vagues.
Elle préside à tous les sortilèges et tromperies de la séduction. Le souvenir du tableau de Botticelli, "La Naissance de
Vénus", (1485) devrait-il en souffrir, l’icône florentine au doux visage ovale et pensif qui couvre à peine de sa chevelure
blonde l’éclat de sa nudité, une fois installée dans son rôle de déesse va se signifier par ses colères et les châtiments
qu’elle inflige aux femmes supposées ne pas l’honorer assez. Symbole des forces irrépressibles de la fécondité, son
autorité s’applique plus au désir et au plaisir qu’aux fruits de l’amour; sans complexe vis-à-vis des prérogatives de Héra,
de Déméter et d’Artémis dont elle peut déranger les plans comme elle peut égarer la raison de Zeus par les pouvoirs
de sa ceinture magique qui rendait tout le monde amoureux ou abuser des services d’Éros. Il faut aussi considérer les
représentations d’Aphrodite escortée par des fauves, pas seulement des colombes, pour saisir que ses intimations à
l’amour peuvent avoir un caractère archaïque, encore non humanisé, voire pervers, la déesse se montrait impitoyable.
Ses artifices pour conserver la suprématie de la beauté malgré la vieillesse, font d’Aphrodite le contraire d’une ingénue.
Tout en étant l'image de la joie de vivre et de la jouissance sexuelle, la protectrice des unions légitimes est présentée
avec une personnalité ambiguë voire redoutable. Elle pouvait éveiller des désirs, des passions coupables, incestueuses
ou bestiales chez les dieux et les hommes. Le mythe Éros et Psyché peut être ainsi considéré comme le récit caché de
l’affranchissement de l’amour infantile captif de la mère, premier prototype de l’amour. L’amour se réalise humainement
par la transformation très lente, conflictuelle du couple des amants furtifs en une union conjugale inscrite dans l’espace
symboliquement ordonné de la famille, en respectant la différenciation des générations, dans la durée, en survivant aux
changements imposés à la beauté ainsi qu’aux modalités de l’amour. Il s’agit d’une union capable de contenir les retours
œdipiens réactivés par le couple et de s’en délier. Un amour qui n’est plus un de ces prototypes de la psychose normale
fondée sur l’idéalisation, le clivage et le déni, ni l’amour enjôleur soumis à l’emprise d’Aphrodite, jalouse en tant que
mère et en tant que femme, de la grossesse et de la beauté juvénile de Psyché, ni l’amour évasion du groupe familial,
fuite du groupe se consumant en fusion, en sacrifice à la domination sensuelle ou à la domination de la pensée. Le mythe
traduit ainsi le passage de l'envoûtement et du subjugal en conjugal. La réalité érotique prend l'ascendant sur la pensée.
Celle ou celui qui portait la ceinture magique, symbolisant la force irrésistible des passions, était alors possédé d'un désir
insatiable. Pour un résumé du conte rapporté par Apulée, nous renvoyons le lecteur à Grimal (1963) et à Noireau (1991)
pour une étude exhaustive. Nous évoquerons ainsi deux épisodes et la double transgression de Psyché en soulignant la
profonde jalousie que la beauté virginale de celle-ci éveilla chez Aphrodite. Cette dernière chargera son fils Éros de la
venger en inspirant à la trop belle mortelle un amour profond pour le plus misérable des hommes. Psyché fut d’abord
livrée par ses parents désespérés de ne pouvoir la marier, et après consultation d’un oracle, aux soins d’un zéphyr qui
la déposa au palais de son inconnu et monstrueux futur amant. Sous condition de ne jamais chercher à voir son amour
de la nuit, Psyché vit dans un monde de rêve, de richesse, d’éclat, de sensations mais sans présence identifiable, sans
visage et sans parole. Gagnée par l’ennui puis par la jalousie de ses sœurs qui vont éveiller son angoisse, une nuit à la
faveur d’une lampe à huile, elle dévoile Éros, en laissant tomber une goutte d’huile le brûle et le réveille et ainsi le perd.
Promise à une mort atroce sur un rocher inhospitalier, la sensuelle promise comme "La Belle au bois dormant", s'éveille.
Exposée à errer et poursuivie par la jalousie d’Aphrodite, elle se livrera pour être asservie à des épreuves de prélèvement,
de différenciation, de déplacement et de rangement qui en appellent à la logique jusqu’à la plus périlleuse, aller obtenir de
Perséphone aux enfers un baume de beauté avec interdiction d’ouvrir la cassette le contenant. Une nouvelle fois trahie par
sa curiosité, elle veut connaître la substance secrète contenue, transgresse cet interdit et s’évanouit. Éros, désespéré et
prêt à affronter le courroux d’Aphrodite, réveillera Psyché d’une de ses flèches et obtiendra de Zeus et de sa mère la
reconnaissance de leur amour puis la consécration de leur mariage par la naissance de Volupté. Tout au long du récit,
cette initiation à la réalité de l’amour est placée sous la malédiction et l’emprise d’Aphrodite, qui maintient Éros lui-même et
Psyché infantilement. La désobéissance d’Éros s’unissant clandestinement à Psyché, consiste à la captiver sensuellement
et à la maintenir dans la magnificence de son palais, prison dorée, sans possibilité d’identification d’une forme humaine, ni
de parole, "sois belle et ne vois pas", dans la terreur d’une jouissance irréelle. La nuit sans rêve ensevelit les forfaits du jour.
Car les rêves sont faits de plaisirs inavouables et de chair assouvie sous le regard ébahi et jaloux de la déesse Aphrodite.
L’excitation cumulative et continue, la contrainte de répétition, les passages à l’acte et les effets en chaîne ou de contagion
déclenchés par un simple trait, effet papillon et tir de flèche. Violences exquises, puissance d’excitation, actes obscènes
qui réalisent ce qui a été exclu du psychique, mus par l’angoisse de non-séparation de cette chose maternelle dont Éros
ne peut se détacher et dont il devient l’instrument. Éros sème l’amour indistinctement, il demande à Psyché de se laisser
aimer ainsi, de se laisser faire, sans voir, sans penser dans la seule alternance de l’intimité nocturne et de cet imaginaire
diurne qui noie la singularité, qui échappe à toute emprise véritablement rationnelle, qui s’oppose irrémédiablement ou se
confond indistinctement, tout ce qui comme l’ombre n’a aucune existence et dont cependant on ne saurait à la lumière de
la vie concevoir l’absence. Sur ordre, influencé par la puissance attractive et séduisante de sa mère, Éros trouble, confond,
dissout en agissant dans une liaison non conforme, donc réputée monstrueuse, par contacts instantanés qui sèment alors
honteusement le désordre, par un jeu confusionnel, l'agitation et le trouble ne permettant ni ouverture ni mise en forme.
Leur liaison se déroule sans encombre jusqu'au jour où Aphrodite surprend les amants ensemble dans le palais d'argent.
En révélant le visage d’Éros, Psyché lui donne forme, elle transgresse sa "technique d’intimité." Paul Diel entend par là la
tentative perverse "d’intimer de force l’autre ce qui relève de sa nature la plus secrète, également de décharger de façon
compulsive, une tension instinctuelle puissante." La surévaluation de soi et de l’objet, l’idéalisation se substituent à une
authentique relation d’objet. L’objet est manipulé, "usé et médusé, dévasté et mis au rancart, chéri et idéalisé, identifié
symboliquement et privé de vie." Telle est Psyché captive d’Éros. En transgressant l’interdit de percer son intimité, elle
va briser l'érotisme. L'agissement d’Éros brise son sentiment d’isolement le transformant en rapports actifs et ludiques,
opposant son érotisme pétillant à la sensation de dépression, ou à la menace de dissolution et de désintégration. En
partageant avec Éros "la pesanteur chérie" (Milos Kundera) du sommeil, Psyché crée un espace intime. En éclairant le
monstre, elle révèle la forme d’un corps aimable, capable d’aimer, avec la perspective de se fixer émotionnellement et
d’entrer plus tard en relation sans exploiter l’autre. Aussitôt que Psyché a identifié Éros, elle le perd physiquement, mais
il devient mémorable. Réalité psychique, il devient possible d’aimer dans la durée et non plus seulement dans l’instant.
La punition céleste s'abat sur eux et comme Hercule et ses travaux, la séductrice se voit condamner à effectuer des
tâches ingrates. Rescapée de la confusion des sens entretenue par Éros, elle est condamnée à séparer pour collecter,
un tas de graines mélangées pour les ranger par espèces, prélever un flocon de laine de la précieuse toison des moutons
sauvages, puiser à la source du fleuve infernal, obtenir de Perséphone un philtre de beauté. Opérations de sélection, à
première vue incommensurables et dangereuses, elles sont exécutées grâce à des procédés minutieusement observés
et conseillés par des animaux plus indulgents que les dieux et capables de tirer parti de leurs automatismes à l’abri des
émotions. La hantise narcissique d’Aphrodite de dominer en beauté et de pallier le vieillissement punit Psyché, qui une
nouvelle fois est plongée dans un sommeil qui ressemble à la mort. L’attraction du visuel, la subjugation par l’image et
l’incapacité de faire confiance à la parole, précipitent Psyché comme Narcisse, comme Orphée, dans un désastre. En
refusant par deux fois de se soumettre aux injonctions de l’amour, par la voix d’Éros puis celle d’Aphrodite, Psyché
se pose comme tiers dans ce couple des amours. Elle demande plus à l’amour qu’un bouleversement des sens ou de
l'arrangement du sens, elle veut par la médiation de l'affect et des représentations transformer la relation pulsionnelle,
en sentiment d’intimité, en orgasme du moi. Céder, l’instant d’un éclair, la loi d’agir des hommes, après seulement faire.
Capable de frapper l'imagination de l'homme, l'héroïne audacieuse a inspiré la littérature et d'innombrables œuvres d'art.
Par-delà le caractère allégorique de la conversion spirituelle, la modernité du mythe d’Éros et de Psyché réside dans le
fait qu’il interroge moins la sexualité et la passion que les conditions de la liberté en amour, notamment chez les couples
jamais complètement affranchis des amers de la parentalité et spécialement de "l’amère mère." L’ombre de la mère plane
en effet toujours sur le couple, l’amour originaire sur les amours œdipiens et toute forme d’amour. C’est par Psyché que
l’éphèbe inconséquent est transformé en époux malade d’amour puis en père. Le prix en est alors la consécration de leur
couple et la position de mari. La sécurité du couple est propre à recréer la dyade originaire. Aboutissement d’une évasion
de sa propre famille, exil ou affranchissement, le couple est aussi quête d’une nouvelle belle-famille. C’est un au-delà
certes mais au prix de l’ambivalence de l’amour et des conflits conjugaux en assumant l'éphémérité de la vie affective,
qui impose un long travail de recréation et pas seulement une gestion des biens communs ou une résistance à l’usure.
Atteint au prix des antinomies de l’amour, qui éveille et rend aveugle, qui console et consume, cet au-delà s’oppose à une
vision totalitaire et idéalisée du couple amoureux. L’amour n’est pas un remède mais une transformation de la copulation
en conjugaison, non pas un recouvrement de la complétude mais une quête de la supplémentarité de l’intime, non pas
une comptabilité des objets du désir mais la déclinaison de variations des modalités de l’amour: Éros, Philia et Agapè.
Bibliographie et références:
- Apulée, "L'âne d'or ou les Métamorphoses"
- Henri Lemaître, "Essai sur le mythe de Psyché"
- Sonia Cavicchioli, "Éros et Psyché"
- Véronique Gély, "L'invention d'un mythe"
- Nedjima Plantade, "Psyché d'Apulée"
- Hésiode, "Théogonie"
- Jean-Pierre Vernant, "L'univers et les dieux"
- Alain Verjat, "Éros est renversant"
- Emmanuel Plantade, "La figure d'Éros"
- Pierre Hadot, "Dialogue sur l'amour"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 26 Cloé se venge.
Extrait «… il reste faire une grasse matinée tu veux le voir demande Noémie avec un grand sourire. Cloé voit là une invitation. Elle dit : ok allons le voir et elle part avec Noémie vers la chambre qui a hébergé le couple. Effectivement Jean est là. En fait de grasse matinée il est attaché en croix au baldaquin coté pied du lit, debout, un bâillon dans la bouche, un masque aveuglant sur la tête et le sexe comprimé dans une cage de chasteté…. »
Rodriguez vient de recevoir un coup de téléphone très alarmiste. Un de ces invités a été arrêté par les flics et pour sauver sa peau les a dénoncés. Une descente de police va surement avoir lieu dans la journée.
Il prévient aussitôt ses compagnons et quittent précipitamment la maison en ne donnant aucune explication.
Peu après la police se présente à la propriété. Les filles sont libérées et reconnaissent les trois garçons sur des photos que leur montre la police.
Le cœur n’y est plus et Anna et Vanessa ne sont plus les bienvenues chez Cloé qui leur reproche d’avoir »pactiser » avec l’ennemi.
Morgane veut aussi se changer les idées et Cloé se retrouve seule dans sa maison.
Elle est particulièrement en colère contre les trois truands et se jure de se venger.
Elle engage un détective privé qui a pour mission de repérer les trois gars avant la police. Celui-ci fait vite et quelques jours plus tard la planque des truands est identifiée.
Cloé se dirige alors vers ses connaissances peu recommandables et une mission de représailles est montée.
Les trois garçons se font surprendre par une équipe de mercenaires bien rodés qui surgit dans la planque et les mets en joue avec de vraies armes.
Les trois garçons supplient de ne pas les tuer et conformément aux ordres de Cloé ils sont emmenés jusque chez elle.
Là elle les fait mettre dans trois pièces dans le sous-sol.
Ces pièces ont tout de geôle.
Pas d’éclairage naturel et juste une paillasse et un pot de chambre.
Pendant un mois ils sont enfermés et juste chichement nourris. Ils ne peuvent avoir aucun contact avec les autres.
Au bout d’un mois Cloé leur donne chacun un collier et leur ordonne de le cadenasser sur eux.
Ils apprendront à leurs dépens l’efficacité des colliers que Cloé a achetés à prix d’or à la tigresse sur les conseils de Magalie.
L’un près l’autre ils sont remontés au rez de chaussée et dressés comme esclave par une Cloé revancharde qui manie le fouet avec rage.
Pour celui qui est choisi pour quitter la cellule la matinée commence par la croix de saint André.
L’homme est écartelé sur la croix et doit subir une douzaine de coups de fouet donnés par Cloé.
Puis il est attaché sur la table du salon et doit se faire sodomiser par Cloé qui à chaque passage prend un gode ceinture de taille supérieure.
Après l’engodage c’est l’insertion d’un plug annal de taille grandissante.
Plug qui sera porté jusqu’au soir.
Avant les corvées de la journée Cloé met un vagin artificiel autour du pénis de l’homme et par impulsion électrique le fait éjaculer plusieurs fois jusqu’à l’épuisement.
Enfin c’est le tour des corvées qui sont ponctuées par des léchages du sexe de Cloé qui en profite plusieurs fois par jour.
Au moment où Cloé va se coucher l’homme est attaché sur le ventre sur le lit, les jambes repliées et reliées aux bras à l’arrière du corps.
Et dans cette position inconfortable l’homme passe la nuit la bouche collée sur le sexe de Cloé qui le force à la lécher jusqu’à épuisement.
Enfin au matin l’homme est ramené dans sa cellule et Cloé prend le suivant.
Trois mois plus tard ils ne pensent qu’à une chose : satisfaire Cloé pour ne pas gouter au fouet être enfermé dans une cage minuscule ou être attaché au piquet de la niche extérieure.
Ils sont devenus très obéissants et Cloé décide de tester leur soumission.
Ce soir-là Cloé invite trois couples de ses amis libérés.
Parmi eux les deux qui avaient eu l’occasion de se partager Sophie et un jeune couple dont la femme plait beaucoup à Cloé alors que le mari est beaucoup plus réservé.
Cloé a promis une surprise.
L’apéritif et le repas se passent bien les conversations sont assez libres et il est beaucoup question de la partie de poker de Cloé et Sophie.
Puis à la fin du repas Cloé entraine ses invités vers le salon. Là elle leur dit c’est l’heure de la surprise.
Comme prévu vous passez la nuit à la maison et je vous ai préparé une chambre par couple.
Mais j’ai aussi une petite surprise pour chaque couple.
Et voyant la curiosité sur les visages elle dit un deux et trois au pied.
Aussitôt trois hommes nus imberbes portant une cage de chasteté et les mains menottées dans le dos apparaissent et se mettent à genoux devant Cloé.
Voilà vos cadeaux pour cette nuit.
Tout est permis et elle donne à chaque femme deux clés celle des menottes et celle de la cage de chasteté.
Elle fait un signe et les trois hommes viennent se prosterner un devant chaque couple.
Après le moment de surprise les femmes sourient en pensant à la nuit qui vient.
Cloé ajoute. Dans l’armoire de votre chambre vous trouverez de quoi épicer votre soirée.
Je vous demande juste de les rattacher et de remettre la cage après utilisation.
Les sourires s’élargissent et les couples saisissent la laisse de leur cadeau et se dirigent vers les chambres.
Le lendemain Cloé voit arriver deux couples visiblement très satisfaits de leur nuit.
Ils lui rendent l’esclave et racontent en partie leurs exploits de la nuit.
Les esclaves se sont montrés à la hauteur. Tant avec leur bouche qu’avec leur cul voire leur sexe.
Les deux couples sont ravis.
Puis arrive Noémie la jeune qui plait à Cloé.
Elle est juste accompagnée de l’esclave et a un sourire carnassier.
Cloé l’interroge du regard.
Noémie dit : Super l’esclave il m’a bien été utile cette nuit j’ai bien kiffé.
Et Jean il a apprécié ? demande Cloé.
Oui il a vraiment apprécié d’ailleurs il reste faire une grasse matinée.
Tu veux le voir demande Noémie avec un grand sourire.
Cloé voit là une invitation.
Elle dit : ok allons le voir et elle part avec Noémie vers la chambre qui a hébergé le couple.
Effectivement Jean est là.
En fait de grasse matinée il est attaché en croix au baldaquin coté pied du lit, debout, un bâillon dans la bouche, un masque aveuglant sur la tête et le sexe comprimé dans une cage de chasteté.
Cloé fait un sifflement admiratif.
Effectivement il n’a pas dû s’ennuyer dit-elle.
Elle fait le tour de Jean et voit qu’il a un énorme plug dans le cul.
Il reste silencieux. Oui j’ai trouvé qu’il ne faisait pas assez d’effort cette nuit dit Noémie alors il a passé la nuit comme ça pendant que je me tapais l’esclave.
On ne va pas le laisser là dit Cloé.
Noémie fait la moue.
Ne t’inquiètes pas ma chérie dit Cloé tu vas comprendre.
Elle hèle les esclaves et leur dit quelques mots à voix basse.
Elle raccompagne Noémie dans la cuisine ou les deux couples devisent ensemble sur leur nuit tout en déjeunant.
Après le petit déjeuner Cloé les invite tous au salon pour discuter avant leur départ.
A leur grand étonnement Jean est installé sur la croix de saint André.
Ils regardent Noémie qui est gonflée de fierté.
C’est sa place dit-elle. Il est très bien comme ça.
Elle se penche vers Cloé et dit il n’a pas beaucoup profité des esclaves cette nuit on peut peut être rattraper ça.
Cloé approuve et appelle les esclaves.
En quelques minutes Jean est décroché les mains liées dans le dos à genou et le torse couché en travers de la table du salon.
Il n’a plus le bâillon.
Sur un geste de Cloé les trois esclaves se ruent sur Jean.
Pendant une demi-heure il sert de vide couille.
Tant par le cul que par la bouche avec laquelle après quelques claques il fait de son mieux pour satisfaire ses bourreaux.
Les deux garçons des deux couples sont réservés.
Ils ont peut-être peur que ça donne des idées à leurs compagnes.
Celles-ci sont aux anges. Elles ne savent pas si elles doivent envier Noémie qui a pris l’ascendant sur Jean ou envier Jean qui doit quand même s’occuper de trois bonnes bites.
Après coup Jean est emmené par Noémie au bout d’une laisse pour se laver.
La matinée se passe tranquillement. Les filles sont invitées à faire de la carriole tirée tour à tour par les esclaves.
Quand vient le tour de Noémie c’est Jean qui est attelé.
Il est presque trop docile pour Cloé.
Puis l’heure du déjeuner arrive. Les convives son tranquillement installés.
Jean nu au bout de sa laisse est aux pieds de Noémie et mange ce qu’elle veut bien lui donner.
Ensuite les convives quittent Cloé en promettant de revenir surtout s’il y a des surprises.
Jean voyagera dans le coffre de Noémie qui annonce que pendant son année sabbatique Jean ne fera pas beaucoup de frais de lingerie.
Rassasiée des trois hommes mais fatiguée de devoir les contrôler, Cloé les libère enfin un matin et leur donnant l’ordre de quitter la région.
Toujours recherchés par la police et craignant les fréquentations de Cloé ils ne demandent pas leur reste et disparaissent.
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Votre odeur de peau m'attire, m'envahit.
Qui s'offre à mes songes, à mes envies.
Déclaration
De l'ombre à la lumière, je suis votre.
Et l'attachement fait de moi une autre.
Initiation
Notre histoire est une évidence.
Comblant jusqu'à nos cinq sens.
Inspiration
Au creux de ma nuque Vous découvrez.
Ce présent en acier que j'aime porter.
Satisfaction
Vous connaissez l'éclat de mes yeux.
Quand mon sourire se livre, gracieux.
Invitation
Au rythme de Vos maux, de mon coeur.
A Vous, je m'abandonne avec ferveur.
Palpitation
Il arrive qu'une image, une situation.
Requiert par son trouble, mon attention.
Emotion
Repoussant les frontières de mes inhibitions.
J'obtempère pour Vous donner satisfaction.
Humiliation
La cire coule au creux de mes reins.
Réveillant la douleur créée de Vos mains.
Soumission
A mes poignets les bracelets de cuir Vous posez.
Sans retenue aucune, en ces lieux, Vous imposez.
Possession
Sur ma peau, Vous dessinez des entrelacs.
Zébrures, je n'entends plus que Votre voix.
Passion
Le temps passe, l'envie monte crescendo.
A la mesure des marques gravées sur mon dos.
Tentation
La danse se fait sensuelle, je m'enflamme.
De ce feu intérieur qui asservit mon âme.
Domination
Vos doigts effleurent les sillons rouge sombre.
Traçant le chemin menant vers cette terre d'ombres.
Sensation
De Vous à moi, de moi à Vous, je suis soumise.
A genoux ou debout, je me soumets avec délice.
Excitation
Et quand tout cesse, que Vous déliez mes liens.
Nos corps se cherchent pour ne plus faire qu'un.
Abdication
Le 06 09 2012
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Deux ans que je porte Votre collier.
Le 6 juillet 2010 en me rejoignant sur Paris en fin d'après-midi, Vous m'avez offert ce symbole d'appartenance.
Votre emprise est positive, Notre confiance mutuelle et cela participe à mon abandon.
Vous/Nous avons été et sommes francs sur nos vies, nos envies, nos désirs.
Je suis une parenthèse dans Votre existence, j'en suis consciente, je l'ai accepté et heureuse de Vous connaître.
Je ne me fais pas de plan sur la comète ou ailleurs, je vis les instants présents avec Vous.
Les personnes libres de chez libre sont peu légion sur le site.
Il faut être capable d'accepter que certaines personnes ne soient qu'une partie de notre vie.
Il est préférable d'affronter un désir que l'on craint, que de vivre dans le soin éternel de l'éviter.
Vous êtes digne de ce titre de Maitre que je vous ai donné quelque mois après Notre belle rencontre.
Entre Vous et moi, l'attirance physique qui ne s'explique pas, elle s'exprime en complicité, spiritualité, cérébralité.
La beauté du cœur, de l'âme à mon humble avis est celle qui dure et perdure.
Parce que c'est Vous, parce que c'est moi, parce que des ressentis au travers de nos dialogues via le site au début.
Parce que le son de Votre voix et la photo que Vous m'aviez fait parvenir me "parlait".
Parce que rien ne vaut une rencontre face à face, là cela passe ou cela casse ...
Les 5 sens sont en éveil, s'il n'y a pas quelque chose de positif à la première rencontre, pourquoi un autre jour cela serait différent ?
Votre regard posé sur moi me fait me dépasser, me fait grandir, me donne plus de confiance.
Je me revois à mes débuts, aie ma nudité, certains mots, certains gestes je ne pouvais pas et puis.
Grâce à Vous, par Vous et avec Vous, Votre écoute, Votre patience et respect ont fait que j'ai pu me libérer.
Vous me connaissez bien à présent et Vous me devinez.
Sur mon visage Vous savez y lire ; par les expressions de mon corps Vous en savez encore.
Chaque rencontre est une joie ou l'échange cérébral Nous conduit à des heures de 'plaisir' partagé.
Quelque fois des aléas, la patience, l'attente et la confiance sont toujours présentes.
A Vous je suis dévouée, à Vous va ma préférence, Vous l'unique de mes pensées.
Dans ce milieu du BDSM, certains (es) désespèrent de ne pas rencontrer la personne qui convient, Vous en démontrer le contraire.
J'ajouterai que rien ne vaut la réalité, cela n'engage que moi.
Et que la communication est essentielle dans la réussite d'une relation.
Avec Vous les compliments déguisés ne sont pas de mise, simplement la sincérité de Notre lien.
Les flatteries, je n'apprécie pas, que cela soit pour Vous, pour moi, pour autrui.
J'aime ce que Nous avons construit, ce que Nous avons partagés, ce que nous partagerons encore.
Les rêves se réalisent et les désirs quand on y croit, le veux.
Quand une belle âme est là et que le feeling est présent.
Vivre ses rêves et ne pas rêver sa vie.
Chaque personne agit à sa façon, suivant ses convenances, sa vie ...
Le 28 07 2012
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o B servation
p O sition
prése N tation
domin A tion
atte N tion
ommu N ication
soum I ssion
ré V élation
acc E ptation
respi R ation
sen S ation
excit A tion
fus I on
inspi R ation
d E votion
libér A tion
e V olution
em O tion
ed U cation
sugge S tion
Le 25 juin 2012
Pourvu que l'alignement soit comme sur mon écran
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1836 : l’ordonnance PELET du 23 juin organise l’enseignement primaire pour les filles, sans le rendre pour autant obligatoire
1850 : la loi FALLOUX impose l'ouverture d'une école pour filles dans toutes les communes de plus de 800 habitants. Mais, parce qu'elle pose le principe de la liberté d'enseignement, leur éducation est principalement prise en charge par les congrégations et n'est pas la même que celle des garçons
1861 : Julie-Victoire DAUBIE est la première jeune fille reçue au baccalauréat
1882 : la loi FERRY pose le principe d’une instruction laïque, gratuite et obligatoire pour les filles comme pour les garçons dans le primaire.
L'objectif est d'abord politique : réduire l'influence de l'église et de l'enseignement congrégationniste pour les fille.
Comme le rappellera Jules Ferry dans son discours à la Chambre : "Il faut choisir, Citoyens, il faut que la femme appartienne à la Science, ou qu’elle appartienne à l’Église"
Les études secondaires restent cependant payantes et les programmes du secondaire demeurent différents pour les garçons et les filles.
1900 : à la suite de son combat acharné, Jeanne CHAUVIN est admise à prêter serment comme avocate.
Un premier refus lui avait été opposé en 1897, au motif que «la loi n'autorisait pas les femmes à exercer la profession d'avocat, exercice viril par excellence ». Ce sont Poincaré et Viviani qui porteront la loi du 1er décembre autorisant les femmes à accéder au barreau.
Une loi qui m'est particulièrement chère :smile:
1907 : les femmes mariées peuvent disposer librement de leur salaire
1924 : la loi impose des programmes scolaires identiques pour les filles et les garçons dans le secondaire
1938 : les femmes peuvent s’inscrire à l’université sans l’autorisation de leur mari.
1944 : les femmes obtiennent le droit de vote et d’éligibilité par ordonnance du Général de Gaulle
1946 : le principe d’égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines est inscrit dans le préambule de la Constitution. Mais ce n’est qu’en 1982 que le Conseil Constitutionnel lui accordera sa pleine valeur constitutionnelle, en prévoyant la censure de toute disposition législative ou réglementaire qui y porterait atteinte
1947 : Germaine POINSO-CHAPUIS, avocate au barreau de Marseille, résistante, députée MRP, proche de Schumann et de Defferre, est la première femme nommée Ministre (de la Santé Publique et de la Population). A l'époque les quotas n'avaient pas cours, et c'est sur la base de son seul engagement et de ce qu'elle était qu'elle avait été nommée à ce poste. C'est elle qui fera adopter les premières grandes lois sur la santé et la protection des mineurs.
1966 : les femmes peuvent gérer librement leurs biens propres et exercer une activité professionnelle sans le consentement de leur mari
1967 : la loi NEUWIRTH autorise la contraception
1970 : la loi supprime la notion de « chef de famille» du Code Civil
1972 : l’Ecole Polytechnique devient mixte. Anne CHOPINET, qui fut l’une des 7 femmes à intégrer l’X cette année là, sortit major au classement d’entrée. Elle intégra ensuite le corps des Mines, poursuivit sa carrière dans différents cabinets ministériels avant de rejoindre la Présidence de la République sous Chirac. Elle fut aussi la première femme Présidente d’ERAP, l’un des ancêtres d’ELF, avant le désengagement de l’Etat.
La même année, la loi consacre le principe de l’égalité de rémunération entre les hommes et les femmes pour les travaux de valeur égale. De nombreux autres textes viendront renforcer ce principe.
1975 : la loi impose la mixité dans tous les établissements publics d’enseignement
1975 : la loi VEIL autorise l’interruption volontaire de grossesse (IVG)
1975 : la loi rétablit le divorce par consentement mutuel. Il avait été institué par la Révolution en 1792, la France étant le premier État à le mettre en place, mais il fut supprimé lors de la Restauration
1976 : Valérie ANDRE est la première femme promue médecin général dans l'armée française (rang et prérogatives de général de brigade). Elle terminera sa carrière avec le rang de général de division.
1980 : la loi définit le crime de viol comme "tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte ou surprise ». Il est passible de la Cour d'Assise et de 15 ans de réclusion criminelle.
La loi SCHIAPPA du 3 août 2018 rajoutera à cette définition la notion de "menace".
1983 : une nouvelle loi renforce le principe de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes
1991 : Edith CRESSON est la première femme nommée Premier Ministre
1992 : la loi introduit dans le Code pénal le délit de harcèlement sexuel, défini comme "le fait de harceler autrui en usant d'ordres, de menaces ou de contraintes, dans le but d'obtenir des faveurs de nature sexuelle, par une personne abusant de l'autorité que lui confèrent ses fonctions".
En 2012, le Conseil Constitutionnel saisi sur la base d'une QPC supprimera ce délit pour cause de "définition trop floue'.
La loi le rétablira en définissant désormais le harcèlement sexuel comme "le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle qui soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante" et en précisant que "est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user de toute forme de pression grave dans le but réel ou apparent d'obtenir un acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers. »
1993 : la loi du 8 janvier affirme le principe de l’exercice conjoint de l’autorité parentale à l’égard de tous les enfants, quelle que soit la situation des parents (mariés, concubins, divorcés, séparés)
1999 : Christine LAGARDE, qui sera plus tard Ministre des Finances puis Présidente du FMI et aujourd'hui de la BCE est la première femme nommée Présidente du Comité Exécutif mondial de Baker McKenzie, l'un des premiers cabinet d'avocats d'affaires internationaux.
2000 : l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et aux fonctions électives est garanti par la loi
2006 : la loi du 4 avril introduit la notion (une autre à laquelle je suis particulièrement attachée :smile: bien que le problème ne se soit jamais posé pour moi) de "respect mutuel" au sein du couple
2008 : l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales est intégré à l'article 1er de la constitution.
2009 : 109 ans après que Jeanne CHAUVIN ait prêté serment, les femmes représentent 50,5% de la profession. Nous sommes 56,4% aujourd'hui
2011 : la loi Copé Zimmermann instituant "une représentation équilibrée des femmes et des hommes » dans les conseils d'administration des moyennes et grandes entreprises prévoit des que la proportion des administrateurs de chaque sexe ne peut être inférieure à 40 % dans ces sociétés. 10 ans après, la proportion des femmes représente 44% des membre des conseils d'administration des entreprises du CAC40.
Encore un effort, camarades :smile:
2017 : la loi fait du sexisme une circonstance aggravante pour les crimes et délit.
2018 : la loi rend obligatoire pour toutes les entreprises de plus de 50 salariés la mise en place d'un "index de l'égalité femmes-hommes".
S'il reste du chemin à parcourir, les chiffres sont néanmoins en progression d'une année sur l'autre (entre 83 et 87 selon la taille des entreprises).
_______________
La condition première pour une femme pour exercer pleinement ses droits c’est l’éducation.
C’est ainsi que tout a commencé.
Penser par nous-mêmes pour pouvoir être nous-mêmes.
Malheureusement, ce droit fondamental n’existe pas partout.
Et même chez nous, quand on voit ce qui se passe en certains endroits on peut légitimement être inquiet(e)s.
_______________
En Europe, et en France, l’arsenal juridique lié aux droits des femmes est largement en place.
Même si les choses sont évidemment toujours perfectibles.
Dans les entreprises, au moins celles que je côtoie, l'évolution est notable.
Et, à titre perso, non seulement cela fait longtemps que les femmes sont devenues majoritaires dans la profession que j'exerce, mais, même si au départ certains ont fait la gueule, je n'ai plus depuis longtemps de problèmes avec mes collaborateurs de "l'autre" sexe.
Il demeure la sphère intime.
Longtemps, j'ai mal vécu mes aspirations contradictoires.
Ma manière de me percevoir en tant que femme et mon attirance pour la soumission.
Comment pouvais-je concilier les deux ? Etre une femme libre et accepter d'être dominée par un homme ?
Aujourd'hui, je ne me pose plus la question.
Je suis les deux à la fois.
C'est ainsi que je me vois, que je me veux et que lui, mon mec/Maître me voit et me veux.
Et j'aime cette façon de me vivre, de nous vivre.
_________________
Les articles 212 et 213 du Code Civil de 1804 stipulaient respectivement que "les époux se doivent mutuellement fidélité, secours, assistance" et que "le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari".
Les mêmes articles, aujourd'hui, mentionnent qu'ils se doivent " mutuellement respect, fidélité, secours, assistance" et "qu'ils assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille".
Ni mon Maître ni moi ne transigerons jamais sur le respect de l'autre.
Quant à l'obéissance, quand bien même elle n'est plus dans la loi, elle n'est pas, parfois, pour me déplaire.
Mais seulement en certaines circonstances.
Et parce qu'il s'agit de mon choix, librement consenti :smile:
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 25 : Les envahisseurs.
Extraits »… Effectivement l’homme plutôt Barraqué se défend comme un diable et ils ont toutes les peines du monde à l’entraver et le bâillonner. Une fois que c’est fait, avec le pinceau de la lampe torche, ils s’aperçoivent qu’en fait il s’agit d’une femme très musclée et très dotée au niveau de la poitrine… Elles ont les mains attachées dans le dos et sont mises à quatre pattes sur le sol. Les garçons se déshabillent alors et baisent consciencieusement les deux filles. Les coups fusent et les filles finissent par faire tout ce qu’on leur demande. Elle suce bien celle-là .celle-ci aussi elle a des nibards de folie. Une fois les garçons rassasiés, ils rattachent les filles à la croix et vont se coucher en montant la garde chacun leur tour.
Yvan Olaf et Rodriguez sont décidés. Ils vont cambrioler la belle propriété isolée qui semble peu occupée.
Ils se sont bien renseignés et le système d’alarme est vieillot et peut facilement être détourné.
A deux heures du matin ils escaladent le mur d’enceinte et se dirigent vers la maison.
Comme prévu le câble téléphonique est facile à couper.
L’alarme ne pourra pas sortir de la maison.
La sirène située en hauteur n’est qu’un jeu pour Yvan qui grimpe comme un singe et pulvérise de la mousse expansive pendant un long moment sur la sirène.
Ensuite ils font le tour de la maison. Ils trouvent une fenêtre mal fermée. Ils entrouvrent la fenêtre et Olaf qui est le plus fluet se glisse à l’intérieur de la maison silencieusement.
Il visite la maison dans le noir avec juste un rai de lumière rouge qui sort d’une mini torche.
Il arrive dans le salon et est étonné de voir une grande cage avec deux jeunes femmes nues entrelacées à l’intérieur.
La cage dispose d’un cadenas. Il continue sa visite et finalement découvre deux chambres occupées chacune par une personne.
Il sent qu’il y a du pognon à tirer de là et retourne faire un compte rendu aux deux complices.
Ils décident de capturer les deux occupants libres et de leurs faire cracher la thune.
Silencieusement ils se dirigent vers la première chambre.
Heureusement elle n’est pas située trop proche de la deuxième et ils espèrent bien chopper la première personne sans réveiller la deuxième.
Ils entrent dans la chambre.
Deux d’entre eux se jettent sur le corps tandis que le troisième muni d’un rouleau d’adhésif se prépare à bâillonner.
L’affaire est rondement menée.
C’est une jeune femme qui totalement surprise n’a pas le temps de hurler ni même de se débattre.
Elle gémit dans son bâillon mais entourée de ruban adhésif de déménageur elle ne peut pas bouger d’un pouce.
Ils la balancent sur le lit et se rendent dans l’autre chambre.
Ça doit être l’homme de la maison alors ils prennent beaucoup de précautions.
Effectivement l’homme plutôt Barraqué se défend comme un diable et ils ont toutes les peines du monde à l’entraver et le bâillonner.
Une fois que c’est fait avec le pinceau de la lampe torche ils s’aperçoivent qu’en fait il s’agit d’une femme très musclée et très dotée au niveau de la poitrine.
Ils se séparent pour inspecter toute la maison à la recherche d’une personne supplémentaire qu’Olaf n’aurait pas repérée.
Après dix minutes ils sont persuadés qu’il n’y a personne d’autre.
Ils allument les lumières de la maison afin de faire le tour des trésors.
Ils sont étonnés de trouver beaucoup d’accessoires bdsm.
En plus de la cage ou sont recroquevillées les deux gamines il y a une grande croix de saint André et des photos suggestives de la grande femme nue.
Ils sont tombés sur des lesbiennes SM.
Afin de faire parler les deux habitantes de la maison ils les attachent de chaque côté de la croix de saint André dos à dos.
Les filles sont nues et particulièrement appétissantes.
Elles sont toujours bâillonnées.
Rodriguez va voir les deux filles dans la cage et les menace de leur couper le cou.
Les filles sont terrorisées.
Il leur pose alors des questions sur la maison le nombre d’occupant si quelqu’un doit venir cette nuit ou demain à la maison et qu’est-ce qu’elles font dans cette cage.
Les deux filles déballent tout sans réserve. Elles crèvent de trouille. Quand elles racontent qu’elles sont chacune esclave d’une de autres filles il commence à cogiter.
Il laisse les pauvres filles dans la cage et va discuter avec les deux autres gars.
Finalement on pourrait rester ici un peu et profiter de ces deux nanas dit l’un en montrant les deux femmes ligotées. Tu as raison on n’est pas pressé de partir ça me semble bien ici dit un autre.
Bien excités par ce qu’ils voient ils finissent par s’intéresser de près aux corps offerts sur la croix.
En quelques minutes Cloé et Morgane sont pelotées, trifouillées et descendues de leur croix.
Elles ont les mains attachées dans le dos et sont mises à quatre pattes sur le sol.
Les garçons se déshabillent alors et baisent consciencieusement les deux filles.
Les coups fusent et les filles finissent par faire tout ce qu’on leur demande. Elle suce bien celle-là .celle-ci aussi elle a des nibards de folie.
Une fois les garçons rassasiés ils rattachent les filles à la croix et vont se coucher en montant la garde chacun leur tour.
Le lendemain matin ils se retrouvent dans le salon.
Les deux gamines de la cage se serrent l’une contre l’autre terrorisées.
Rodriguez leur propose alors de ne pas les tuer mais si elles font ce qu’on leur demande elles et les deux autres auront la vie sauve.
Les filles hochent vigoureusement la tête.
La cage est ouverte et Rodriguez demande aux filles d’aller préparer un petit dej.
Elles se rendent dans la cuisine accompagnées par Yvan qui se méfie d’elles.
Les filles ne cherchent pas à se couvrir ou s’habiller elles doivent avoir l’habitude d’évoluer nues. Elles se calment et apportent sur un plateau un copieux repas pour les garçons.
Ceux-ci dévorent tout sous les yeux envieux des deux gamines.
Yvan leur dit de le suivre dans la cuisine et de se préparer quelque chose pour elles.
Ce qu’elles font avec grâce.
Les deux autres filles fusillent les garçons du regard. Rodriguez se lève et leur assène quelques claques. Olaf lui montre le fouet de Cloé et lui dit qu’avec ça il se fera moins mal.
Il s’adresse aux filles. Maintenant il va falloir répondre à mes questions vite et sans s entourloupes sinon c’est le fouet et je suis en plein forme je ne risque pas de me fatiguer.
Il arrache le ruban adhésif de la bouche des filles et commencent à les questionner.
Yvan revient de la cuisine et montre Cloé. C‘est elle la proprio dit-il. Rodriguez se concentre sur elle pour la questionner.
Deux heures plus tard Cloé est épuisée elle a tout lâché.
Les garçons sont satisfaits. Ils enferment la grande dans la cage où elle tient tout juste et appellent Anna et Vanessa pour qu’elles soignent Cloé.
Elles l’emmènent dans la salle de bain accompagnées par Yvan.
Rodriguez et Olaf s’assoient sur le canapé et se disent qu’ils sont tombés sur la poule aux œufs d’or. Deux putes pour se vider le poireau et deux gamines pour la cuisine et le ménage et éventuellement une gâterie.
C’est décidé ils vont rester ici quelque jours.
Anna et Vanessa sont rassurées les garçons n’ont pas l’air de vouloir leur faire du mal surtout si elles font tout ce qu’ils demandent.
Elles restent nues car les garçons leur ont donné l’ordre de restée nues. Il y a longtemps que ça ne les gêne plus.
Morgane et Cloé son moins bien traitées. Elles sont attachées en permanence.
Cet après-midi-là elles ont fait la liste de course pour qu’un garçon aille au ravitaillement.
Ils détiennent la CB de Cloé et en usent juste ce qu’il faut pour ne pas être dans le rouge et éveiller des soupçons.
En revenant des courses Olaf dit qu’il a rencontré des copains et qu’il les a invités pour la soirée.
Rodriguez et Yvan sont ennuyés mais c’est une bonne occasion de frimer avec leurs deux putes.
Ils préparent leur soirée.
Morgane et Cloé sont pomponnées par les deux gamines et elles sont attachées dos à dos sur la croix de saint André.
Les invités arrivent ils sont cinq.
Ils font des commentaires élogieux sur la propriété mais dès qu’ils voient Morgane et Cloé la conversation dérape.
C’est cadeau pour tout à l’heure dit Rodriguez.
D’abord on prend l’apéro on mange et après le diner elles sont à vous.
Il appelle Anna et Vanessa qui sont cachées dans la cuisine. Celles-là vous ne touchez pas dit Yvan c’est privé.
Le repas est joyeux et graveleux. Vanessa et Anna servent le mieux possible et n’évitent pas des mains aux fesses mais ça ne va pas beaucoup plus loin.
Après le repas Morgane et Cloé sont décrochées de la croix.
Elles ne sont pas rattachées mais elles sont trop prises en main pour songer à faire quelque chose. Elles ne comptent plus les bites qui les remplissent en permanence.
Après quelques baffes elles sucent sans réfléchir et font au mieux.
Elles passent de mains en mains. Les cinq acolytes se déchainent en riant.
Pendant ce temps Anna et Vanessa sont hélées par le trio de nouveaux propriétaires. Elles sont pelotées et doivent sucer et se faire monter mais sans coups et plutôt tendrement.
Elles finissent par y prendre gout et font de leur mieux pour satisfaire les trois garçons.
Le gang band dure une bonne partie de la nuit.
Enfin Rodriguez dit qu’il est temps de terminer car il n’a pas envie de tuer les deux putes. Celles-ci son prostrées au sol et ne réagissent plus.
Les cinq invités finissent par partir en promettant de revenir.
Anna et Vanessa doivent s’occuper des deux autres filles elles les mettent sous la douche et les lavent consciencieusement.
Enfin les garçons portent Cloé et Morgane sur le lit à baldaquin et leur mettent juste une menotte à un poignet et à un montant du baldaquin.
Tout le monde va se coucher. Les garçons tirent au sort et Anna et Vanessa partent chacune avec un compère.
Le lendemain les Cloé et Morgane ont mal dans tout le corps. Elles restent au lit et sont juste nourries et soignées par les deux gamines.
Le surlendemain Rodriguez passe les voir et leur dit que si elles sont particulièrement obéissantes et ne tentent pas de s’enfuir il n’invitera plus de copains pour des partouzes.
Brisées les deux filles acceptent.
Peu à peu Cloé et Morgane reprenne des forces et vont mieux.
Elles font tout pour plaire au trio.
Anna et Vanessa sont déchargées peu à peu des taches.
Une semaine plus tard elles n’ont plus de travail tout est fait par Cloé et Morgane.
Anna et Vanessa n’ont qu’une chose à faire c’est s’occuper sexuellement des garçons. Ce qu’elles font de mieux en mieux car elles commencent à les connaitre.
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Qui ça, dégonflée ? Moi ? Je voudrais vous y voir !
Je suis le gars en salopette crasseuse, dans ma jolie robe à fleurs. La belle et la bête ? C'est nous... On va dans les toilettes hommes. Il m'ouvre galamment (!) la porte d'un des cabinets ! Là, il défait les bretelles de sa salopette, la descend sur ses chevilles. Il n'a pas de caleçon ! Il s'assied sur les w.c. en me souriant. Je me rends compte d'une chose très importante : il est propre ! Ça ne doit pas arriver souvent, mais je suis sûr que Max a tout organisé et lui a dit de prendre une douche. OK, lécher un ours comme hier ou un ouvrier comme aujourd'hui : même combat. Je me mets à genoux entre ses maigres cuisses et je tire sur la peau d'un long sexe grisâtre pour dégager le gland. Je le lèche, en masquant mon manque d'enthousiasme : c'est un rôle de composition ! Jérôme me regarde faire et il décolle presque de la planche tellement ça a l'air de lui plaire. Après le léchage, le gobage, ma tête va et vient sur son sexe. Je lui caresse même le gland avec ma luette.
Il me reçoit 5 sur 5 et me dit des choses en ch'ti, genre "t'es meilleure qu'eune tartine au Maroilles". Non, ça je l'invente, mais ça m'amuse d'imaginer ça. Il dit vraiment :
— Tention, p'tite ! J'vas tout lâcher !
OK, vas-y, petit, envoie la sauce. J'avale tout comme une grande fille. Quand il revient sur terre, il me dit :
— V'savez tout avaler m'zelle ?
— Bien sûr, je ne vais pas faire des taches sur votre salopette.
— C'est mon plus beau cadeau d'anniversaire. V's êtes un ange.
L'ange calcule que s'il y a 200 ouvriers dans l'usine, ça fait une pipe par jour ouvrable, pratiquement. Je suppose que son cousin est une exception parce que sinon, va falloir que je discute avec le Max. Et avec mon beau père. Faut quand même pas exagérer, je n'ai pas épousé le fils du patron pour sucer des bites toute la journée.
Je vais aller pleurer un peu sur l'épaule de Manu, elle n'a pas de bite au moins elle ! Ce n'est pas que ce soit la meilleure pour se faire consoler, elle est plutôt rentre-dedans, mais dans le bon sens.
Je me dis que tous les ouvriers sont déjà au courant de ce que je suis devenue un cadeau d'anniversaire, mais, non... Ceux que je croise me saluent poliment et me sourient...
Je trouve Manu aux prises avec un machin à réparer... Je salue tout le monde et je l'embrasse avant de lui dire :
— J'ai besoin de toi là-haut, un appareil à réparer...
Elle crie :
— M'sieur Raymond, j'vais réparer un truc dans les bureaux.
— OK, Manu, je regarde le moteur...
On sort de l'atelier et elle me dit :
— T'as un problème, pas un truc à réparer.
Cette fille est vraiment intelligente, qu'est-ce qu'elle fait là comme ouvrière , même mécanicienne. Elle continue :
— Viens, je te montre notre petit coin, mais motus.
— J'te jure...
— Faut pas se faire voir...
Comme des Indiens on prend différents couloirs et un escalier vers les toits. On entre dans un grand placard. Manu déplace une armoire métallique et me fait entrer dans une grande pièce. Elle remet l'armoire en place. Dans la pièce il y a deux banquettes de voiture et deux matelas posés par terre. Sur le premier deux filles assez jolies nues et enlacées se partagent un joint. Sur l'autre, il y a un jeune couple nu aussi. Ils viennent de faire l'amour et boivent une bière. Deux tabatières éclairent la pièce. Ils nous regardent tous, surpris que Manu m'amène là. Elle leur dit :
— Samia est ma copine, elle ne dira rien
— T'es sûre ?
Je réponds :
— Parole... D'ailleurs, je vais me mettre à l'aise comme vous.
J'enlève ma robe et mes dessous... ! Nue, je me sens libre... Une des filles nous dit :
— Venez avec nous... Vous voulez un joint ?
Manu répond :
— Merci, après. La directrice des relations avec les syndicats va d'abord me lécher la chatte, hein poussin ?
Elle enlève sa salopette. En dessous, elle est nue. Elle a une coiffure spéciale, les cheveux coupés très courts d'un côté, par contre elle a des buissons de poils noirs sous les aisselles et sur le pubis. J'aime ça, elle le sait.
Elle se couche et me dit :
— Avant de me lécher, tu vas embrasser mes pieds. Enlève mes chaussures !
Je défais les lacets de ses chaussures de sécurité. Vous ne connaissez pas ? C'est que vous n'avez jamais travaillé en usine. Ce sont des chaussures qui ont une forme en métal sous le cuir, pour protéger les pieds. Des pieds qui ont sué dans des grosses chaussures, c'est pas évident de les embrasser, sauf que c'est Manu, alors je couvre ses pieds de baisers. Je sens la tension disparaître, je suis comme eux et elles. Manu lève le bras en disant :
— C'est bien, tu peux te shooter, ma belle.
Je m'agenouille près d'elle et fourre mon nez dans les poils de ses aisselles. Elle sent fort la transpiration, mais j'adore son odeur, elle a raison. Elle sent la femme... bon la femme qui n'a pas pris sa douche depuis 2 ou 3 jours, mais j'aime à tel point que ma chatte miaule de plaisir... Marre des odeurs d'hommes ! Les aisselles des hommes sentent la ménagerie, celles des femmes sentent la forêt tropicale.
— Tu sais que tu es surtout lue par des hommes, Samia.
Ça, c'est ma voix intérieure.
— Eh bien, je le sais la Voix, mais mes lecteurs sont des gens soignés qui sentent très bon ! Voilà !
Manu me dit :
— Étage en dessous.
OK. Je m'installe entre ses cuisses, ma langue dans son vagin, mon nez vers son clito... odeur marine et acidulée... Faut aimer. Certaines pinceraient les narines de leurs nez délicats, moi j'adore...
Les filles et le couple sont venus regarder et... participer. On me caresse les fesses... Le garçon s'installe derrière moi et me caresse la chatte avec son gland. Cette petite salope la gobe aussi sec... enfin, sec, c' est une façon de parler !
La langue dans la chatte de Manu et une bite dans la mienne, j'oublie mon enfoiré de beau-père et ce connard de Max... Manu jouit en me caressant la joue avec son pied... Quelques minutes plus tard, je la rejoins au 7e ciel et enfin celui qui me baise gicle dans ma chatte qui adore ça. Je ne connais même pas son prénom, pas très convenable, ça... Les deux filles excitées par notre numéro, font un très joli 69... La fille qui était avec le garçon s'est caressée. On me file un joint et une bière... Je suis toujours collée à Manu... On parle... Ils me trouvent super cool, on jure de ne parler à personne de ce qui vient de se passer... Je fais partie du club maintenant.
Je raconte les misères que me fait Max. Manu me dit :
— Il paraît que tu sors aussi avec des clients et ton beau-père et que ça se passe très bien...
— C'est vrai, mais...
— C'est beaucoup plus difficile de trouver une jolie fille qui plaît aux clients que quelqu'un pour discuter avec Max. Sois plus ferme avec lui...
Facile à dire. Pour terminer, on parle de Julien. Là c'est la grosse marrade : le fils du patron qui nettoie les chiottes. D'ailleurs, ils l'appellent le directeur général des chiottes. Ça lui va bien... On reste encore un peu à discuter, mais à 10 h 55, Manu me dit :
— On doit y aller, il y en a d'autres qui vont venir...
C'est super organisé.
On redescend vers les ateliers... Je dis à Manu :
— On reviendra ?
— Oui...
— Tu le jures ?
— Arrête de faire l'enfant, je t'ai dit oui.
On s'embrasse et je retourne vers les bureaux...
Alors Julien... qu'est ce qu'il devient ? Ne croyez pas que je l'abandonne. Je lui rends visite tous les matins, enfin à lui et à ses toilettes. Il était censé travailler avec Lisa la petite brebis obèse qui s'occupe de tout le nettoyage dans l'usine, mais elle a tout de suite pris le dessus sur lui. Au lieu de superviser la propreté, l'approvisionnement en papier, savon, produits de nettoyage, elle l'a mis au nettoyage des toilettes des ouvriers. Il y en a 10 pour les hommes et 10 pour les femmes. Ça permet à Lisa de se concentrer sur d'autres tâches... Garder impeccables 20 toilettes, c'est du boulot, surtout que les ouvriers et même les ouvrières ne sont pas tellement soigneux. Je suis sûre que vous vous dites "pôv' Julien, il est dans la merde !". Vous avez le mot pour rire, vous. Ben oui qu'est-ce que vous voulez il était nul dans la publicité, les relations publiques et les autres fonctions qu'il a exercées. Imaginez qu'il rate un gros contrat avec un client c'est grave, mais s'il nettoie mal des w.c., Lisa lui met son nez dedans et le punit. Bon, il y a un inconvénient à ce boulot. Il termine son travail à 15 h parce que j'ai besoin de lui à la maison. Impossible de dire au personnel : interdit de pisser et de chier après 15 h ! Max nous menacerait aussitôt d'une grève au finish, le con ! En fin de journée, les toilettes sales ne sont plus nettoyées, il doit donc arriver très tôt le lendemain matin. Il se lève à 6 h du matin ! L'horreur ! Pas pour lui – enfin, probablement, mais je m'en fous – mais pour moi ! Il m'a réveillée une fois en se levant, du coup, il dort sur un matelas près de la porte de la chambre pour se faufiler dehors sans me déranger. Avant de partir, il me prépare le petit déjeuner mais pas le café qui serait froid. Et qui doit faire son café le matin : moi ! Ouais, c'est vraiment pas marrant.
Alors comment ça se passe à son travail ? Lisa, devenue sa chef, n'est pas commode. Je l'ai encouragée dans cette voie, parce que Julien, il faut le traiter durement... pour son bien ! Pourtant, je ne le laisse pas tomber, je passe le voir tous les matins pour lui dire bonjour et... euh... aussi, parce que je suis du matin pour les toilettes. Notez que je pourrais aller me soulager dans les toilettes des cadres, ben non, je me sacrifie et je vais chez les ouvriers, juste pour lui.
Enfin, pas exactement. Je vous explique : à côté des toilettes hommes et femmes, il y a une toilette pour les handicapés, dont le préposé a la clé. On ne l'utilise jamais puisque mon beau-père ne veut pas engager de handicapés. C'est là que je vais avec Julien, comme ça, pendant que je suis occupée à... pousser, je peux lui dicter les courses qu'il devra faire en rentrant et les corvées qui l'attendent, à la maison. L'oisiveté est la mère de tous les vices, il faut qu'il soit occupé.
Il se passe des choses dans ses toilettes. Le mieux c'est que le chef du nettoyage des toilettes l'écrive lui-même. On y va ? OK.
— Julien ! Aux pieds !
Julien vient se mettre à genoux. On dirait qu'il a peur d'être puni. Bon, c'est vrai que je le corrige un peu facilement... mais pas maintenant ! Je lui dis :
— Tu vas écrire tout ce qui se passe aux toilettes, sans inventer, mais en détaillant ce qui me plaît comme quand je viens avec Diesel. Exécution !!
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" et « Samia, fille du voyage » sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Je me souviendrais longtemps de ce 16 février où Maîtresse m’a annoncé : «je suis officiellement Ta Maîtresse. Rnby tu es à moi».
Je deviens son soumis, son maso, sa propriété.
Je l'ai tellement désiré que j'en deviens fébrile, la peur m'envahit. Peut-être ai-je pris conscience de la tâche qui m'attend.
Respect et obéissance ne devraient être qu'une formalité pour moi qui la vénère, et bien non, je fais des bêtises !
Elle a beaucoup joui de moi, sa petite salope.
Je ne devrais pas le dire car mes sentiments passent au second plan, mais j'ai aussi beaucoup joui de cette intense domination aux pieds de Ma Maîtresse et de toutes ses pénétrations lors de cette fameuse première nuit.
Je reviens à ma niche empli de joie. Bien sûr Maîtresse est la seule à posséder la clé de ma cage me privant ainsi de cette jouissance masculine mais je sais que ma chatte m'apportera bien plus de plaisir.
J'avoue ma naïveté car Maîtresse n'est pas du genre à laisser son soumis dans son égoïste petit confort. Je reçois très vite, comme une claque, le nouveau défi de Maîtresse :
"Je garde la clé et tu gardes chaste ta petite chatte. Tu mets un plug que tu n'enlèveras que pour faire tes besoins"
Aïe aïe aïe abstinence absolue, je palis. Plus aucune jouissance sans la moindre idée de la durée.
Je devine bien ses sourires tant pour ce défi que pour la petite surprise qu'Elle me fait.
Pas le choix, Ma Maîtresse a tous les droits.
Les jours suivants ont été difficiles. L'impression désagréable d'être en manque permanent dès le 1er jour. J'ai vite caché tous les godes qui me faisaient jouir de plus en plus souvent. Éviter à tout prix toute tentation.
J'ai bien tenté une esquive dès le lendemain mais tellement maladroite que mes fesses ont pris chères. Maîtresse n’a pas goûté à mon humour quand je lui ai dis que mes godes protestaient.
"Qu'ils osent! " M'a t'elle répondu...
Première erreur, j’ai fait parler mes godes pour obtenir sa clémence.
«On veut notre jouet».
Oh la la ! Que n' ai-je pas dit là... Je suis le jouet de Maîtresse et de personne ni rien d'autre.
Deuxième erreur... Et en plus, je ne me rends pas compte de suite que l' orage s'est levé sur moi et je continue à faire parler mes godes :
«Allez, au moins une fois par semaine Maîtresse».
Quand enfin je prends conscience de mon erreur, sa foudre s'abat sur moi. Elle me fera payer cash ce manque de respect par une mémorable fessée au paddle et une humiliation publique, promené en laisse , la tête et les oreilles basses comme le petit toutou que je suis devenu.
Ne plus pouvoir jouir et s’asseoir, je pense que Maîtresse doit beaucoup en rire encore maintenant !
Oui, le début a été dur. Mais la situation se normalise. Je bascule toute mon énergie sexuelle vers le plaisir absolu à satisfaire Ma Maîtresse. J'ai de plus en plus besoin de sa présence, de sa mansuétude. J'ai seulement l'envie de tout lui donner pour sa seule jouissance.
Et si cela était Sa réussite de ma soumission ?
Sa domination se met en place inexorablement lors de nos rencontres mais aussi à distance lorsque je suis à ma niche.
Tous les canaux sont bons pour m'éduquer, me mettre à ses pieds, me surprendre...
Aujourd’hui dimanche, ce seront les SMS de Maîtresse qui me donneront la leçon : Apprendre à répondre correctement à ses textos.
-Tu es seul ma salope ?
-Oui Maîtresse, je fais du repassage.
-Repasse en regardant du porno de domination féminine bien hard pendant une heure.
Je m'affaire avant de répondre correctement le « bien maîtresse» attendu et il est bien trop tardif à son goût. Elle me rajoute du temps...
Je lui écris mon contentement à lui obéir mais : « Tu parles trop ! Mets-toi un bâillon».
Je vais terminer mon repassage et mon ménage en bavant partout.
J'ai fini par recevoir 30 minutes de plus de porno. Vous me direz rien de bien méchant, au contraire... Sauf que, quand vous êtes chaste de tous plaisirs et en cage , elle vous semble bien vite étroite. Je souffre tendu derrière ces barreaux.
11H15, Maîtresse me libère de ses contraintes mais Elle n’en finit pas pour autant avec moi ; un SMS suit dans la foulée.
-J’aime quand tu manges dans ta gamelle.
Manger dans ma gamelle aux pieds de Maîtresse est la place qui m’est dorénavant dévolue. Je prépare un petit repas adapté que je mange difficilement en lui adressant quelques photos pour lui faire plaisir.
Maîtresse me laisse sur une promesse urticante.
-Surveille l’arrivée des orties.
Grâce au réchauffement climatique, ils arriveront sans doute plus tôt pour satisfaire ma Maîtresse. J’imagine déjà ses grands sourires quand viendra ce petit supplice
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 24 : Le DEAL.
Extrait. » …Elles contemplent une bodybuildeuse magnifique avec une paire de seins incroyablement haut perchés qui les regarde avec appréhension. C’est Morgane. Souris Morgane ! Un pale sourire sort de Morgane. Cloé prend son fouet et Morgane sourit plus. Cloé s’approche d’elle et la pelote .vous pouvez toucher les filles c’est du ferme. Martin et Magalie félicitent Cloé pour son trophée magnifique…. Elles ne sont pas rattachées mais elles sont trop prises en main pour songer à faire quelque chose. Elles ne comptent plus les bites qui les remplissent en permanence. Après quelques baffes elles sucent sans réfléchir et font au mieux. Elles passent de mains en mains. Les cinq acolytes se déchainent en riant. …»
Cloé est contente de son trophée.
Elle a hâte de la montrer à Magalie et Martine.
Elle les invite un jour pour venir prendre un verre et voir sa dernière surprise.
Magalie et Martine sont étonnées de cet appel car ça fait plusieurs mois qu’elles n’ont plus entendus parle de Cloé.
Vanessa a dit à Anna qu’elle n’avait plus de nouvelles de Cloé et avait trop peur de lui rendre visite. Néanmoins intriguées par les paroles de Cloé Martine et Magalie décident d’aller voir Cloé.
Celle-ci les reçoit dans sa propriété.
La surprise est dans le salon.
Une croix de saint André est fixée au milieu du salon et elle est occupée par une personne.
Elles la voient de dos car le devant de la croix est orienté vers le canapé ou Cloé s’assit habituellement.
Cloé leur présente son trophée de chasse.
Elles pensent qu’il s’agit de Sophie car la forme est très musclée mais lorsqu’elles passent devant et voient la femme en face elles contemplent une bodybuildeuse magnifique avec une paire de sein incroyablement haut perchés qui les regarde avec appréhension.
C’est Morgane. Souris Morgane !
Un pale sourire sort de Morgane.
Cloé prend son fouet et Morgane sourit plus.
Cloé s’approche d’elle et la pelote .vous pouvez toucher les filles c’est du ferme.
Martine et Magalie félicitent Cloé pour son trophée magnifique.
Cloé jubile. Le plus beau dit-elle c’est qu’elle est là complétement contre son gré.
Je l’ai kidnappée et je me la garde.
Martine et Magalie se demandent si c’est du lard ou du cochon n’est-ce pas que tu es bien ma prisonnière contre ton gré et que tu voudrais bien me tuer.
Les yeux de Morgane lancent des éclairs et elle hoche la tête.
Les filles se demandent quelle réaction avoir
. Cloé ne leur laisse pas le temps de tergiverser et les emmène vers les murs du salon ou sont accrochées des photos noir et blanc magnifique montrant Morgane dans des positions extrêmement suggestives et les deux filles sont allumées par ce qu’elles voient.
Ensuite Cloé libère Morgane de la croix et ne lui laisse que les menottes dans le dos.
Elle met une musique langoureuse et Morgane se place au milieu de la pièce et commence à faire une danse extrêmement sensuelle.
Elle a bien progressé depuis le départ.
Les filles sont sous le charme mais se demandent toujours si Morgane est vraiment retenue contre son gré.
Elle a l’air de kiffer son rôle et rien n’indique qu’elle n’aurait pas pu essayer de s’enfuir depuis le temps.
Enfin après la musique Morgane montre ses prouesses sexuelles aux filles en venant loger sa tête dans l’entrejambe de Cloé.
Cette dernière leur propose d’en profiter ce qu’elles acceptent avec joie.
Magalie et Martine sont émoustillées et pelotent avec vigueur les énormes seins de Morgane qui semblent faits pour ça.
Les tétons turgescents deviennent rouge vif et Morgane gémit sous les caresses.
Elle a toujours la bouche qui lèche avidement le sexe de Cloé qui halète de plus en plus vite.
Magalie s’excite et fouille le sexe de morgane avec les doigts.
Celle-ci mouille abondamment et se tortille de plus belle sous les caresses expertes.
Magalie s’enhardit et plonge sa tête dans ce sexe qui l’attire comme un pot de miel.
Morgane râle de plaisir.
Martine est aussi au comble de l’excitation.
Cloé lui prend les cheveux et la guide à son tour vers son entrejambes.
Martine remplace morgane et goute goulument au fruit que Cloé lui présente.
Une fraction de seconde Cloé s’imagine avec Martine et Magalie comme soumises.
Ça lui déclenche un orgasme de folie.
Morgane qui a la bouche libre profite que Martine est à quatre pattes la tête dans le sexe de Cloé pour lui embrasser le sexe et le cul.
Martine est au paroxysme de la jouissance.
Par la suite aucune n’est capable de se souvenir de toutes les positions qu’elles ont testées.
Mais ça restera un grand moment dans leur mémoire.
Enfin morgane reprend sa place de soumise aux pieds de Cloé et les trois filles prennent un verre. Martine et Magalie félicitent une nouvelle fois Cloé pour sa recrue.
Puis elles repartent toujours un peu circonspectes mais très excitées par ce qu’elles ont vu et fait.
Une fois les filles parties Cloé se rapproche de Morgane. Tu as été superbe. Morgane jette un œil noir mais accepte quand même le compliment.
Cloé lui dit. Maintenant on pourrait faire un deal.
Il y a deux petites poulettes blondes que je voudrais comme animaux de compagnie.
Mais gérer trois esclaves me parait difficile.
Alors je te propose de t’associer avec moi.
On aura chacune en charge notre petite chienne.
Morgane n’avait pas pensé à ça.
Elle s’imagine avec une femme tenue à la laisse réalisant tous ses caprices. Ça la trouble.
Elle regarde intensément Cloé. Où est le piège.
Cloé lui dit tu pourras profiter de la propriété tu vois que je ne manque pas de moyens et on pourrait finir par domestiquer des hommes.
Là Cloé a bien frappé. C’est un fantasme de Morgane elle se voit avec des esclaves males membrés comme il faut et répondant à tous ses désire.
Elle hoche la tête.
Cloé sait qu’elle joue gros mais elle pense à Anna et Vanessa et voudrait bien les avoir à sa botte.
Elle détache Morgane pour la première fois depuis des mois.
Morgane se rue sur elle et la gifle violement.
Elle dit je suis ok mais d’abord il faut que je me venge.
Elle fout un raclée à Cloé qui ne peut rien contre le déchainement de violence.
Puis alors que Cloé est prostrée par terre Morgane la saisi par les cheveux et lui met la tête dans l’entrejambes.
Cloé fait acte de soumission et lèche immédiatement Morgane.
Celle-ci se calme petit à petit et une heure plus tard les deux filles réconciliées se couchent dans le même lit.
Quelques temps plus tard Anna et Vanessa reçoivent une invitation de Cloé.
Elles sont perplexes. Martine et Magalie les ont prévenues que Cloé avait une nouvelle victime et elles ne savaient pas si c’était consenti ou pas.
Anna et Vanessa sont curieuses.
Finalement elles se disent qu’elles pourraient y aller car à deux elles pourront contrôler Cloé si celle-ci dérape.
Et puis Cloé s’était très bien tenue lors de la visite cher Martine.
Elles débarquent donc chez Cloé en réponse à l’invitation.
Cloé les accueille avec une grande joie.
Elle leur présente son amie Morgane. Une grande femme très musclée avec une poitrine hors norme qui rappelle quelque chose aux filles.
On se connait dit Anna à Morgane.
Celle-ci sourit et dit qu’elles se sont souvent croisées au gymnase.
Anna et Vanessa remettent enfin Morgane.
Elle a beaucoup changé. De garçon manqué elle est passée à amazone guerrière.
Les quatre filles parlent de la pluie et du beau temps. Cloé semble très assagie.
Anna et Vanessa se disent que la première impression de Martine et Magalie n’était pas la bonne car Morgane est libre et semble heureuse de son sort.
Il doit y avoir une liaison entre elle et Cloé.
Elles déjeunent ensemble et font une promenade dans la propriété l’après-midi.
Sans s’en apercevoir Anna est accaparée par Morgane qui veut lui montrer de photos dans le salon et Vanessa par Cloé qui lui parle des bons moments qu’elle ont passé ensemble et de la merveilleuse journée chez Martine.
Les deux jeunes filles sont un peu méfiantes d’être ainsi séparées mais le ton de leurs hôtes est si enjoué qu’elles ne font plus attention.
Cloé qui avait récupéré les bijoux de corps de Vanessa lui demande si elle s’en est acheté.
Vanessa répond par la négative ça coute cher et elle n’a pas eu l’occasion d’en mettre.
Cloé lui propose de lui donner à condition qu’elle les mette devant elle pour jouir une dernière fois du spectacle.
Vanessa est touchée de tant de générosité et lorsque Cloé lui montre un beau coffret contenant les bijoux elle décide de les mettre en souvenir des bon moments surtout chez Martine quand elle a cloué le bec à Anna.
Elle n‘a rien vu venir mais quelque minutes plus tard elle et ligotée et bâillonnée comme un saucisson devant une Cloé hilare.
Je te retrouve enfin ma petite chienne dit celle-ci.
Cloé sort de la pièce et laisse Vanessa seule Vanessa se traite de cloche et espère que Anna pourra faire quelque chose pour la sortir de là.
Quelques minutes plus tard Cloé revient la chercher avec Morgane qui soulève Vanessa comme si c’était une plume. Elles se rendent dans le salon ou Anna est enfermée dans la cage. Nue.
Vanessa est à son tour mise dans la cage.
Cette dernière déjà petite pour y mettre une personne oblige Anna et Vanessa à s’enchevêtrer pour pouvoir tenir.
Elles ne sont plus bâillonnées.
Vous nous libérez quand demande Anna.
Quand on décidera répond Cloé.
Morgane et Cloé tournent autour de la cage.
Elles semblent regarder une marchandise.
Laquelle te plait demande Cloé.
Morgane dit : Elles sont top toute les deux. Peut-être celle-là et elle montre Vanessa.
Ça tombe bien dit Cloé j’ai déjà bien profité d’elle. Bon c’est d’accord Vanessa est pour toi et Anna pour moi.
Anna et Vanessa se demandent de quoi il s’agit mais au fond d’elles-mêmes elles savent qu’elles étaient venues pour ça.
En fait elles attendent du sexe en position de soumises.
Ce soir-là elles sont sorties de la cage.
Elles ont les mains menottées dans le dos.
Sur l’ordre de Cloé qui a mis une musique langoureuse elles dansent de la façon la plus équivoque possible.
Morgane apprécie et sent le désir monter en elle quand elle voit les deux corps onduler et se frôler de façon suggestive.
Elle est la première à attirer Vanessa entre ses jambes.
La petite se met à genou et enfouit son visage contre le sexe de morgane.
Elle embrasse consciencieusement et sa langue devenue experte fait grimper morgane dans l’extase.
Elle tient fermement Vanessa par les cheveux et enfonce autant qu’elle peut le petit visage contre son sexe.
Cloé fait un signe à Anna qui vient aussitôt prendre la même position que Vanessa.
Cloé apprécie l’expertise d’Anna qui la chamboule immédiatement.
Martine a été une bonne éducatrice pour elle et c’est Cloé qui récolte les fruits.
Après une demi-heure de pur bonheur morgane et Cloé sont repues.
Elles s’assoient confortablement dans le canapé et ordonnent aux deux soumises de continuer entre elles.
Anna et Vanesse ne demandent pas mieux et se jettent carrément l’une sur l’autre.
Elles se retrouvent rapidement en position de soixante-neuf et s’embrassent mutuellement avec langueur.
Cloé et morgane sont sous le charme elles voient les deux corps parfaits s’enchevêtrer et se fondre en un seul orgasme continu.
Morgane remercie silencieusement Cloé de lui avoir fait connaitre ça.
C’est décidé elle est faite pour être dominatrice.
Pour morgane les jours suivants sont l’occasion de tester ses capacités de dominantes sur les filles.
Elle a un magnifique jouet qui réalise tous ses fantasmes sans hésiter et qui les vit avec bonheur.
Elle n’a jamais autant joui et aimé une femme comme Vanessa.
Quelques semaines plus tard Martine et Magalie inquiètes de ne plus revoir Anna et Vanessa demandent à Cloé si elle sait quelque chose.
Cloé leur dit que les filles sont chez elle et les invite à venir leur rendre visite.
En arrivant chez Cloé les filles sont accueillies par Cloé et Morgane.
Celle-ci est habillée et visiblement libre. Finalement elle n’était pas kidnappée par Cloé.
Elles entrent dans la maison et sont surprises d’apercevoir Anna et Vanessa nues sans aucun bondage et visiblement heureuses de leur sort.
En partant le soir Martine et Magalie sont étonnées que leurs amies aient décidées de rester avec Cloé et Morgane mais elles ne veulent pas influer sur leurs décisions.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 23 : CLOÉ rencontre les handballeuses.
Extraits »… Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien…. Elle se rue sur la gamelle d’eau….C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée. Cloé met de la nourriture da sa gamelle… Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle… La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large. Elle tient tout juste à quatre pattes ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible. Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas. L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public…. »
Cloé est un peu dépitée. Elle n’a plus de nouvelles de Sophie. Celle-ci ne répond plus au téléphone.
Cloé qui a de la suite dans les idées décide de pister Sophie.
Elle sait que Sophie s’entraine avec l’équipe de handball le soir au gymnase.
Ce soir-là elle entre dans le gymnase et va s’assoir sur les gradins en attendant de voir les joueuses.
Celles-ci arrivent mais pas de Sophie.
Cloé décide d’attendre et la fin de l’entrainement approche quand morgane la cheffe des handballeuses aperçoit Cloé dans son coin.
Elle jauge Cloé qui lui semble bien foutue.
Celle-ci la toise du regard.
Morgane se dit qu’elle lui ferait bien le coup des jeunettes.
Elle doit être canon à poil. Elle décide d’aller la voir de près.
Cloé voit cette géante s’approcher d’elle. Elle l’imagine à la place de Sophie.
Morgane lui demande ce qu’elle fait là. Cloé lui dit qu’elle est une copine de Sophie et qu’elle la cherche.
Morgane lui répond qu’elle ne sait pas où se trouve Sophie mais que si Cloé cherche une sportive elle peut lui en montrer.
Cloé a un sourire carnassier. Oui elle cherche une costaude pour m’amuser avec elle.
Morgane est tout à coup intéressée. Elle hésite à appeler les autres car elle n’est pas sure de garder la donzelle pour elle le soir.
Elle lui propose de se retrouver après l’entrainement à la sortie du gymnase. Cloé accepte.
A la fin de l’entrainement morgane est chaude elle se voit bien forcer cette pimbeche à lui obéir sexuellement.
Cloé est tout sourire. Elle propose à morgane de la suivre pour aller prendre un verre chez elle.
Morgane est ferrée. Elle suit la voiture de Cloé jusqu’à la propriété de cette dernière.
Morgane est sidérée par le luxe de la propriété de Cloé.
Celle-ci la prend par la main et lui fait faire le tour du propriétaire.
Morgane est admirative et elles se retrouvent dans un salon ou Cloé leur sert deux verres d’un cocktail très relevé.
Morgane est aux anges et va pour se jeter sur Cloé quand celle-ci lui dit.
Attend on va aller au sous-sol tu vas voir ma salle de sport tu vas kiffer.
Morgane hésite elle culbuterait bien la donzelle maintenant mais elle est quand même curieuse de voir la salle de sport.
Morgane émet un sifflement admiratif devant les accessoires de la salle de sport.
Cloé lui fait le tour du propriétaire.
Elle propose à morgane de tester les différents agrès.
Arrivées aux espaliers Cloé demande à morgane de se mettre dos aux espaliers et de se tenir par les mains le plus haut possible.
Elle caresse le ventre de morgane en même temps.
Celle-ci commence à être sérieusement excitée et fait ce que Cloé demande.
Je peux te bander les yeux dit celle-ci en caressant les seins de morgane.
Vas-y. Cloé lui met un bandeau tout en se frottant à Morgane.
Un dernier truc et je m’occupe de toi dit Cloé.
Morgane attend.
Elle sent que Cloé monte sur un tabouret juste à côté d’elle.
Morgane se dit je suis trop grande pour elle avec mes 1m85.
À ce moment elle sent simultanément deux objets métalliques contre ses poignets.
Avant qu’elle comprenne les menottes se sont refermées. Elle veut lâcher la barre de l’espalier et baisser ses bras.
La chaine qui relie les menottes passe autour de la barre et elle ne peut pas baisser les bras.
Détache moi connasse crie-t-elle.
Cloé lui répond tu rigoles on va passer du bon temps nous deux.
Morgane essaye à l’aveugle de donner un coup de pied vers Cloé. Son pied rencontre le vide. Elle recommence.
Une menotte se referme sur sa cheville au moment où elle veut reculer le pied. Puis elle sent que sa jambe est tirée sur le côté.
Elle résiste mais peu à peu Cloé gagne du terrain.
Au bout de quelques minutes la jambe de morgane est tendue sur sa droite.
Elle est en équilibre sur sa jambe gauche quand soudain une deuxième menotte se referme sur sa cheville droite. La jambe est tirée au maximum et maintenant le poids de morgane repose sur les menottes des poignets.
C’est trop douloureux et elle se maintient à une barre d’espalier avec ses mains.
Un collier est passé autour de son cou. Elle rue mais a peu d’espace pour ça.
Le collier est tiré des deux côtés et finalement elle a le cou immobilisé.
Elle sent deux mains s’affairer sur ses cheveux. Cloé lui fait une queue de cheval.
La queue de cheval est tirée vers le haut et fixée à l’espalier.
Morgane est complémentent immobilisée.
Une pince à linge est fixée sur son nez.
Elle doit respirer par la bouche.
Cloé dit alors. Maintenant je vais te mettre un bâillon tu vas ouvrir grand la bouche ou tu ne respireras plus.
Morgane hurle et ferme obstinément la bouche mais elle doit respirer et petit à petit le bâillon boule s’insère dans sa bouche.
Au moment où elle va suffoquer elle ouvre grand la bouche pour aspirer de l’air. Le bâillon pénètre de force et est solidement attaché.
Elle croit qu’elle va mourir asphyxiée mais la pince à linge est ôtée.
Elle peut enfin reprendre péniblement son souffle.
Cloé lui enlève le bandeau.
Tu vois qu’on peut s’amuser toutes les deux ici.
Morgane jette un regard venimeux. Voyons si c’est joli en dessous dit Cloé.
Elle sort de la pièce et revient avec un cutter.
Morgane panique.
T’inquiète pas je ne vais pas gâcher la marchandise dit Cloé en souriant. Elle taillade les vêtements de morgane qui en quelques minutes est nue comme un ver.
Bon début dit Cloé.
Elle relâche un peu la tension des cordes qui immobilisent se jambes et morgane peut enfin se reposer sur ses jambes.
Bon il est tard on se reverra demain. En attendant mon retour fait de beaux rêves.
Elle quitte la pièce en éteignant l’éclairage.
Morgane panique elle est immobilisée come une conne chez une folle et n’a pas l’intention de passer la nuit ici…
La lumière s’allume.
Cloé entre dans la pièce et lance un joyeux salut ma chérie bien dormi.
Morgane enrage. Elle est lessivée et à une envie de pisser pas possible.
Cloé voit qu’elle se tortille. Elle sort de la pièce et revient avec un petit pot et le place entre les jambes de morgane.
Vas-y dit-elle si tu pisses par terre tu vas le regretter.
Morgane qui n’en peut plus se laisse aller à sa plus grande honte.
Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien.
Morgane rue mais ça ne sert pas à grand-chose.
Cloé sort de la pièce et revient avec du matériel.
Morgane voit avec crainte que c’est du matériel bdsm.
Au bout de quelques minutes elle est à quatre pattes. Trois barres d’écartement l’empêche de se relever de ruer ou de lever les bras.
Elle peut juste marcher à quatre pattes avec très peu d’amplitude.
Cloé a accroché une laisse au collier et lui dit. Maintenant la douche et le petit dej tu dois savoir faim.
Morgane râle mais les coups de fouets ne sont pas retenus et les fesses violacées elle finit par accompagner Cloé comme un petit toutou.
Elle entre à quatre pattes dans la douche italienne et Cloé la frictionne vigoureusement. Son sexe n’est pas épargné.
Puis sans la sécher Cloé la conduit jusqu’à la cuisine.
Là, une gamelle pour chien est posée dans un coin. Une gamelle d’eau est juste à côté.
Je vais t’enlever le bâillon si tu ne parles et ne crie pas sinon c’est le fouet et pas de petit déj et bien sûr je remets le bâillon.
Morgane ne dit rien mais lorsque Cloé lui ôte le bâillon elle se met à crier salope détache moi tout de suite.
Les coups pleuvent sur tout le corps et le bâillon est replacé.
Cloé attache la laisse à un radiateur et prend son petit dej en regardant distraitement Morgane.
Tu es vraiment bien foutue dit-elle on va passer du bon temps ensemble. Ton corps est fait pour être enchainé tu feras une esclave superbe.
Morgane l’ignore mais la faim et surtout la soif commencent à la tenailler. Cloé quitte la cuisine et laisse morgane seule à quelques centimètres de l’eau et de ce qui semble être des flocons d’avoine.
Quelques minutes après Cloé passe la tête par la cuisine et dit. Je sors à plus tard ma chérie.
Morgane est désespérée. Elle finit par s’endormir sur le carrelage. Finalement c‘est plus agréable que d’essayer de dormir contre l’espalier.
Un bruit et c’est Cloé qui s’annonce.
C’est moi ma chérie tu as bien réfléchit. Il va être midi.
Si tu veux manger et boire il faut me promettre d’être sage.
Morgane la regarde méprisante. Alors ? reprend Cloé.
La soif est trop forte et morgane hoche la tête.
Le bâillon est enlevé.
Cloé lui dit en même temps tu ne parles que si je t’en donne l’ordre.
Morgane opine. Elle se rue sur la gamelle d’eau.
C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée.
Cloé met de la nourriture da sa gamelle. Ça se présente sous forme de bouchées.
Morgane finit par manger et terminer la gamelle.
Maintenant je veux te voir de près et bien exposée dit cloé
Elle détache la laisse et emmène morgane derrière elle. Celle-ci doit s’évertuer pour suivre le rythme.
Arrivées dans le salon Cloé fait coucher morgane sur le dos sur la table du salon.
Morgane doit faire des contorsions dans tous les sens pour y arriver, motivée par les coups de fouets qui pleuvent. Elle est déjà bien marquée.
Etape par étape Cloé lui attache les bras et les jambes aux pieds de la table.
Elle attache aussi les genoux pour lui faire écarter les jambes.
Enfin elle attache la queue de cheval et morgane a la tête immobilisée et ne peut que regarder le plafond.
Cloé admire son œuvre. Tu es vraiment musclée.
Tu as bien fait de me convaincre de t’inviter.
En même temps elle fouille le sexe de morgane sans ménagement.
Il faudra qu’on fasse une épilation définie dit-elle.
Elle pince le bout des seins de morgane suffisamment fort pour que celle-ci geigne.
Bon on va voir si tu es bonne dit Cloé. Elle lèche le sexe de morgane qui se contracte.
Voyant ce refus Cloé va chercher un vibromasseur et le pose sur le clitoris de morgane. Celle-ci essaye de ne pas penser aux vibrations qui excitent son clitoris mais lorsque Cloé insère un gros gode et lui fait faire des va et vient morgane sent de la chaleur monter de ses reins contre toute attente.
Son souffle devient plus fort et Cloé le remarque.
Elle continue le travail et finalement morgane ne peut s’empêcher de succomber à un orgasme.
Bien ma chérie tu me plais. Dit Cloé qui n’arrête pas pour autant de fouiller morgane.
Celle-ci sent que ça repart. Puis après un temps infini pour morgane qui est en feu Cloé lui applique sur la bouche un bâillon qui possède un mini gode qui se met dans la bouche et un joli gode qui se dresse droit au-dessus du visage de morgane.
Cloé scotche le vibro en fonctionnement sur la cuisse de morgane la tête du vibro bien positionnée sur le clitoris et vient chevaucher le gode sur la tête de morgane.
Elle dit aujourd’hui tu n’as pas le droit de me brouter mais t’inquiètes pas tu te rattraperas.
Après un bon moment Cloé se retire. Mais elle laisse le vibro agacer morgane qui sent qu’une nouvelle fois elle va partir.
J’ai changé les piles ne t’inquiètes pas ça va tenir encore au moins une heure.
A toute ma chérie et elle quitte le salon laissant Morgane le gode toujours érigé sur sa tête et le vibro en fonctionnement.
Un peu plus tard Cloé revient.
Bon tu es pas mal mais il faut que je te vois bien debout.
Tu vas faire une belle statue dans l’entrée.
Elle libère en partie morgane qui se retrouve bientôt les mains menottées dans le dos la laisse du collier accrochée à une rambarde d’escalier.
Elle doit se tenir debout presque sur la pointe des pieds la tête face à l’entrée.
Très bien lui dit Cloé tu feras sensation lorsque des invités viendront ici. Morgane est figée c’est quoi ce délire se demande-t-elle.
Le repas du soir est plus tranquille. Morgane mange dans sa gamelle et Cloé n’a pas beaucoup d’occasions de manier le fouet.
Il est l’heure de dormir dit Cloé.
Elle met un deuxième collier à morgane. C’est un collier anti-aboiement très efficace et ne t’avises pas de parler ou crier car ça frite pas mal car il est programmé sur apprentissage dit Cloé.
Elle emmène morgane toujours à quatre pattes dehors. Vers une grande niche à chien.
Dans la niche il y a une couverture et Cloé attache le collier de morgane à une chaine reliée à un solide piquet elle sécurise le tout avec un cadenas.
Bonne nuit ma chérie demain on commence le sport.
Morgane est désespérée elle se demande comment elle va sortir de là. Elle finit par s’endormir après avoir pisser comme une chienne.
Le lendemain morgane fait la connaissance de la carriole et aidée par des coups de fouets non simulés elle promène Cloé pendant plus d’une heure.
Ensuite elle est promenée dans différents endroit de la maison et Cloé s’en sert comme déco.
Debout, à genou, les jambes écartées à l’extrême dans des positions suggestives qui amusent Cloé au plus haut point. Le repas de midi se passe sans coups de fouet.
L’après-midi morgane est amenée dans la salle de sport.
Cloé lui explique. Je veux que tu gardes la forme et même que tu sois plus musclée.
Pour ça j’ai programmé les matériels. Tu dois réaliser les nombre de répétitions qui sont programmées sur chaque appareil.
Lorsque tu auras fini tu te mettras ici.
Elle lui montre un point au centre de la pièce.
Et tu te mettras ça.
Elle montre un ensemble de quatre menottes qu’elle lui fixe aux poignets et chevilles. Elle défait le reste des liens sauf le collier anti aboiements.
N’essaye pas de sortir la porte est blindée. Si tu fais bien tes exercices tu pourras manger ce soir sinon c’est un coup de fouet par répétition manquante sur chaque appareil.
Si tu ne remets pas ça elle montre les menottes je ne t’ouvre pas la porte. Cloé lui souhaite un bon entrainement et quitte la pièce.
Quelques secondes après un clic se fait entendre les quatre menottes se sont déverrouillées certainement pilotées à distance.
Morgane est enfin libre.
Elle se rue vers la porte pour tenter la résistance.
Rien n’y fait.
Alors elle décide de tout casser pour essayer de trouver une barre de fer ou quelque chose d’équivalent pour défoncer la porte.
Elle va vers les appareils et détruit tout ce qu’elle peut.
Pendant deux minutes elle massacre deux appareils et va vers le troisième quand la lumière s’éteint.
Presqu’aussitôt le courant est coupé dans les appareils.
Elle est dans le noir absolu.
Elle cherche à tâtons les appareils suivants mais elle prend conscience de l’inutilité de ses actions.
Elle s’assoit en tailleur et attend.
Elle attend pendant des heures et aucun bruit ne se fait entendre.
Elle commence à avoir soif et à être fatiguée .elle s’endort sur le sol.
Elle dort mal et quand elle se réveille sa gorge est sèche comme un parchemin.
Toujours aucun bruit. Elle crie pour se faire entendre et insulte autant qu’elle peut Cloé en lui promettant mille morts quand elle la rattrapera.
Le temps passe très lentement elle a l’impression d’être là depuis des jours.
Elle ne veut pas mourir de soif et appelle Cloé.
Ok je me calme j’ai soif s’il te plait.
Une voix se fait entendre derrière la porte.
Tu boiras quand tu auras mis tes menottes.
La lumière s’allume. Morgane va tambouriner à la porte et essaye vainement de la défoncer. Rien n’y fait.
Elle veut bluffer et fait semblant de verrouiller les menottes et crie ça y est j’ai mis les menottes.
Pas de réponses.
Une bonne heure passe morgane ne tient plus de soif et de rage.
Elle finit par fermer les menottes.
Aussitôt la porte s’ouvre.
Cloé entre le visage mauvais, le fouet à la main.
Elle fouette longtemps morgane qui se tortille comme un ver pour essayer vainement d’esquiver les coups.
La douleur est intense et des stries rouges et bleues sillonnent son corps.
Piété dit-elle en pleurant.
Cloé s’arrête et met la laisse à morgane. Elle la tire sans ménagement vers la sortie. Direction la cuisine.
Cloé laisse morgane boire dans la gamelle. Elle lape consciencieusement pendant 10mn et à la langue en feu de faire ce geste inhabituel.
Cloé lui donne un coup de fouet. Ça suffit crie t’elle et elle la tire vers le salon ou une croix de saint André a été installée.
C’est pour toi dit Cloé. En quelque minutes morgane est écartelée sur la croix. Sa queue de cheval est accrochée en hauteur et morgane ne peut faire quasiment aucun mouvement à part bouger les yeux.
Tu vas rester là jusqu’à la remise en état de la salle de sport. Ça devrait durer huit jours dit Cloé. Morgane est trop faible pour réagir.
Elle n’est décrochée que pour une douche quotidienne et un passage aux toilettes. Cloé la nourrit à la main et lui donne à boire de la même façon.
Au bout de trois jours morgane est désespérée elle a mal partout et Cloé la frappe chaque fois qu’elle passe par là.
Alors que Cloé passe, morgane lui fait signe qu’elle veut lui parler. Cloé éteint le collier anti aboiements et lui dit tu as dix secondes. Morgane bredouille. C’est trop je t’en supplie arrête la croix je te promets de ne plus rien casser et de me taire même sans collier.
Cloé a un sourire carnassier. Et qu’est ce qui me dit que tu vas tenir parole. Je le jure dit morgane. Cloé rallume le collier et s’en va morgane pleure de dépit elle n’en peut plus.
Dix minutes plus tard Cloé repasse.
On va faire un essai.
Tu fais tout ce que je te dis et je réduis ta peine sur la croix.
Morgane essaye de hocher la tête autant qu’elle peut.
Cinq minutes plus tard elle est à quatre pattes avec les trois barres d’écartement limitant ses gestes.
Cloé est assise en face d’elle sur le canapé.
Pour commencer tu vas venir me bouffer la chatte dit Cloé.
Morgane hésite une fraction de seconde mais se décide vite Cloé serait capable de changer d’avis.
Elle essaye de bien faire même s’il elle n’a pas l’habitude. Cloé la flatte avec ses mains. Bonne petite esclave enfin tu te mets au travail.
Après un long temps morgane doit maintenant embrasser les seins de Cloé qui s’est mis nue. Les pieds les fesses le cul tout y passe. Morgane fait de son mieux.
Le repas du soir est calme alors qu’elle s’attend à rejoindre sa niche morgane est remmenée dans le salon par Cloé. Elle change de liens. Maintenant morgane a juste les mains menottées dans le dos. En plus du collier et de la laisse.
Cloé met de la musique.
Tu vas danser pour moi dit Cloé. Comme une danseuse de peep show.
Ça ne dit rien à morgane. Danses comme si tu voulais baiser comme une grosse pute dit Cloé.
Morgane essaie de faire une danse suggestive mais le résultat amuse plutôt Cloé.
Au bout de 10 minutes celle-ci lui dit d’arrêter le massacre et la fait mettre à genou à ses pieds.
Cloé appuie sur un bouton et un tableau mural se surélève pour laisser place à une télévision. Prend en de la graine dit Cloé et elle lance la lecture d’une prestation de gogo danseuses. Morgane regarde avec un maximum d’attention.
Tous les soirs tu t’entraineras à ça et tu me feras une petite démo dit Cloé.
Morgane opine du chef sans quitter l’écran des yeux. Les trémoussements s de la fille de la télé finissent par l’exciter.
Cloé est aussi excitée.
Cette nuit-là se passe dans le lit de Cloé.
Morgane est écartelée sur le dos et Cloé la chevauche sauvagement.
Alternant les facesitting avec des coups de gode ceinture.
Les deux filles y trouvent leur compte. C’est la première fois depuis longtemps que morgane s’endort sans être malheureuse.
Le lendemain les entrainements reprennent.
Une heure de carriole une demi-heure de marche dans la piscine et les répétitions dans la salle de gym l’heure du repas est vite atteinte.
Un soir sur deux se passe dans la chambre de Cloé.
Les après-midis sont consacrées à l’éducation musicale de morgane et à des tests de bondage décoratifs qui passionne Cloé.
Morgane prend toutes les positions jusqu’aux plus salaces sans rechigner. Elle en a pris son parti et attend sa chance de pouvoir renverser les choses. De 17 à 18h30 retour dans la salle de gym pour faire des séries.
Petit à petit morgane se doute que Cloé lui fait ingérer des aliments qui donneraient une attaque à un contrôleur anti dopage.
Elle prend du muscle partout et sa silhouette commence à ressembler à une body buldeuse. Ça ne lui déplaît pas forcement même si elle trouve que sa poitrine devient trop petite par rapport au reste.
Malgré tout Cloé est très sévère et manie toujours le fouet à la moindre occasion.
Cloé aussi trouve que la poitrine de morgane est le petit bémol de son corps d’amazone.
Elle prend contact avec des connaissances peu recommandables et obtient ce qu’elle voulait. Un jour elle dit à morgane qu’elles vont sortir.
Morgane est étonnée.
On va dans une clinique pour te faire une poitrine de ouf dit Cloé.
Morgane est effrayée. Je te préviens ils sont un peu roumains et ne poseront pas de questions s’ils te voient ligotées comme un saucisson.
J’ai payé une blinde pour ton opération. Ne me fait pas regretter.
En effet morgane voyage dans le coffre de Cloé et est prise en charge par des gens masqués qui ne posent aucune question.
Un chirurgien vient la regarder et la palper il fait des croquis et montre des projections de la poitrine future à Cloé sans jamais adresser la parole à morgane ou lui montrer de croquis.
L’opération se passe et le lendemain morgane est effarée de voir deux ballons de foot trôner sous des bandages à la place de sa poitrine.
Elle passe quelques jours dans la clinique. Les bandages sont enlevé elle n’a pas de miroir et ne peut pas baisser la tête mais elle comprend qu’elle a une masse énorme sur ses pectoraux.
Retour à la maison de Cloé.
Cloé l’accompagne jusqu’à une chambre avec un grand lit à baldaquin.
Cloé installe morgane sur le lit en prenant bien soin de lui attacher les quatre membres aux montants métalliques et solides du baldaquin.
Pendant quelques jours Cloé est aux petits soins pour morgane.
Au bout d’une bonne semaine Cloé décide que morgane est suffisamment rétablie pour reprendre leurs activités.
Elle attache les mains dans le dos de morgane et avec la laisse reliée au collier elle la fait venir dans une salle de bain munie d’un miroir en pied.
Morgane est sidérée et perplexe.
Elle constate que sa nouvelle poitrine est énorme ferme très haute et ses tétons pointent directement vers l’avant.
Elle se dit qu’elle pourrait poser deux verres de cocktail dessus sans que ça ne bouge. Lorsqu’elle marche les seins ballottent à peine.
Elle est oblige de cambrer la poitrine pour pallier le déséquilibre nouveau ce qui fait encore plus jaillir sa poitrine agressive.
Cloé est très contente. Tu vois encore un peu de muscle et tu seras parfaite.
Les entrainements reprennent. Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle.
Cloé multiplie les séances de poses dans toutes les positions et avec une imagination débordante sur les liens. A chaque fois elle prend des photos et bientôt les murs du salon sont ornés de nombreuses photos de grande taille en noir et blanc présentant morgane dans des positions de soumission ou de défi.
Morgane est un peu fière même si elle cherche toujours le moyen d’échapper à cette furie. Mais Cloé est particulièrement vigilante et aucune occasion ne s’est présentée.
Un tatoueur vient un matin et lui tatoue « trophée de chasse de Cloé » sur le pubis.
Un matin en suivant Cloé dans le salon elle y voit une grande cage pour animaux dans laquelle Cloé la fait entrer
. Une fois la porte de la cage refermée Cloé lui enlèves ses liens à travers les grillages.
La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large.
Elle tient tout juste à quatre patte ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible.
Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas.
L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 22: Cloé rencontre martine.
Extraits »… Son cœur bat à toute allure. C’est une occasion de clouer le bec à martine et Anna mais en même temps c’est faire acte de soumission à Cloé. Les regards des filles sont attirés par la porte d’entrée qui s’ouvre. Vanessa apparait timidement dans l’encadrement de la porte et n’ose plus bouger…. Martine demande à Anna de se mettre à côté de Vanessa et les deux maitresses se congratulent d’avoir de si belles esclaves. Echauffées elles montrent leur entrejambes aux esclaves qui se précipitent pour les lécher. … »
Anna et Vanessa se sont beaucoup rapprochées.
A peu près du même âge elles se ressemblent et on les prend volontiers pour des sœurs.
Elles ont aussi un point commun elles aiment être soumises à une femme.
Mais ça seule Anna le sait.
Vanessa n’est pas au courant.
Maintenant elles ne se quittent quasiment plus sauf quand Anna va rendre visite à sa copine Martine.
La soirée chez Cloé a été reportée et Vanessa ne sait pas si elle doit être soulagée ou pas.
Elle a beaucoup réfléchi à la proposition de Cloé et d’un côté ça l’excite énormément et de l’autre elle est effrayée de se montrée en situation de soumise devant une quinzaine de personnes.
Elle n’est pas sure que Sophie réponde à l’invitation de Cloé.
Même si connaissant maintenant le gout de l’exhibition de Sophie elle se doute que ça doit travailler Sophie.
Magalie a parlé de Cloé à martine qui est très intéressée par le lien entre Cloé et Vanessa.
Elle est aussi curieuse de voir cette athlète, Sophie, qui a tant marqué Magalie et Anna.
Cloé reprend contact avec Vanessa sans parler de la semaine torride.
Elle est toute mielleuse et Vanessa se laisse tenter de la revoir.
Il n’est plus question du rapport de domination même si au fond d’elle-même elle en rêve la nuit et se réveille dans un état inconvenant.
Anna parle souvent de sa copine Vanessa à martine.
Celle-ci lui dit un jour on devrait inviter ta copine Vanessa à la maison.
Anna sait que ça signifie qu’elle reçoive Vanessa nue sous la coupe de martine en arborant sa position inscrite sur un de ses seins.
Elle y réfléchit.
Elle a bien vu Vanessa dans la même position chez Cloé.
Elle ne trouve pas cela utile mais martine curieuse la relance quelques jours plus tard en lui disant qu’elles pourraient inviter Cloé en même temps car martine aimerait bien la connaitre.
Anna tergiverse et dit que Cloé et Vanessa ne se fréquentent plus maintenant.
Vanessa a fini par accepter de revoir Cloé en ville.
Elles se donnent rendez-vous dans un bar du centre-ville et sont sincèrement heureuses de se revoir.
Elles ne parlent pas du passé mais elles se donnent la main quand elles sortent du café pour se promener en ville.
Elles croisent Anna qui marche en discutant avec une grande femme.
Vanessa fait mine de ne pas les voir mais Cloé reconnait Anna et la hèle.
Les présentations sont faites.
Martine est heureuse de rencontrer Cloé et lui dit.
Finalement elles se promènent ensembles Cloé et martine discutant à bâton rompu de tout et de rien.
Au moment de se séparer Martine lance une invitation aux deux filles.
Vanessa et Anna sont perplexes mais Cloé trouve là une occasion supplémentaire de revoir Vanessa et accepte pour les deux avec joie. Une date est prise.
Anna dort mal cette nuit-là.
Elle va devoir se dévoiler devant Vanessa et surtout Cloé qui a toujours ce regard impérieux qui lui fait perdre ses moyens.
Martine est intraitable. Anna se doute que Martine veut frimer devant Cloé.
Tant pis elle fera contre mauvaise fortune bon cœur et montrera à ses amatrices une vraie soumise.
Le soir de l’invitation Cloé et Vanessa retrouvent Anna pour aller ensemble chez martine Vanessa a insisté pour que Anna les accompagne. Elle a un peu peur de rester seule avec Cloé.
Elles arrivent devant la maison de martine qui les attend sur le perron.
Elle les fait entrer et les accompagne dans le salon.
Cloé et Vanessa sont étonnées qu’Anna ne suive pas et interrogent martine du regard.
Celle-ci sourit et leur dit de ne pas s’inquiéter car Anna se refait une beauté.
Les filles sont perplexes mais suivent martine jusqu’au canapé.
Martine entame la conversation. Je suis heureuse de vous rencontrer Vanessa car je sais que tu es très copine avec Anna et ça me fait plaisir et Cloé car Magalie m’a beaucoup parlé de vous.
Cloé esquisse un sourire carnassier.
Effectivement j’ai contribué au bon fonctionnement de la boutique de Magalie et ça a été terriblement utile.
Vanessa rougit comme une pivoine.
Martine lève la tête et dit vous prendrez bien un verre.
Les filles acquiescent.
Martine hausse un peu la voix et dit Anna tu vas nous servir l’apéritif.
La porte de l’entrée s’ouvre et Anna apparait nue avec un collier de cuir auquel pend une laisse. Elle a un bijou clipé sur le sein droit et sur le gauche est clipée une étiquette.
Les filles peuvent lire l’étiquette quand Anna passe à côté d’elles.
Anna s’arrête devant les filles et les regarde.
Les filles sont estomaquées Vanessa est ébahie.
Cloé reprend vite consistance. Bravo martine ton esclave est magnifique il faut que tu me racontes.
Martine jubile et leur dit qu’Anna n’a pas le droit de parler sans autorisation et propose un martini aux filles.
Amènes nous quatre martinis dit-elle à Anna qui s’empresse de se diriger vers la cuisine.
Martine est sommée de questions par Cloé qui veut tout savoir et qui la félicite en permanence.
Vanessa reste interdite. Elle se fait toute petite.
Anna revient avec un plateau contenant trois verres et un bol.
Les filles prennent un verre et Anna pose le bol par terre et se met à genou aux pieds de martine.
Cloé n’en revient pas.
Vanessa commence à être énervée de voir que Cloé est subjuguée par Anna.
Je peux faire aussi bien se dit-elle.
La discussion est enthousiaste entre martine et Cloé mais Vanessa ne pipe mot.
Cloé se penche alors vers elle et lui dit au creux de l’oreille. Si tu veux je t’ai apporté quelque chose plus adapté pour la soirée et elle lui donne les clés de la voiture.
Vanessa se demande ce qui ne va pas dans sa tenue.
Cloé lui dit doucement : C’est dans le coffre.
Vanessa curieuse et contente de quitter provisoirement les lieux prend les clés et s’excuse auprès de martine qui est intriguée.
Une fois Vanessa partie martine dit à Cloé que Vanessa est vraiment très jolie et on doit craquer facilement pour elle.
Cloé confirme et pose encore des questions sur le lien entre martine et Anna.
Celle-ci met une musique langoureuse et montre le coin du salon réservé à Anna.
Celle-ci se lève et va danser très langoureusement.
Cloé est interdite.
Une grande chaleur lui monte de son bas ventre.
Anna vient embrasser Cloé dit martine. Anna se précipite et ambrasse fougueusement Cloé qui est totalement allumée.
Vanessa est dans l’entrée et regarde le contenu du sac de Cloé.
C’est son harnais qui a fait tant d’effet, un collier de cuir assorti ,une laisse, une petite cravache et une petite boite qu’elle ouvre intriguée.
Deux grandes créoles en or jaune et plusieurs anneaux en or composent la boite.
Elle comprend que les anneaux sont pour ses piercings où les bijoux provisoires sont toujours installés.
Son cœur bat à toute allure. C’est une occasion de clouer le bec à martine et Anna mais en même temps c’est faire acte de soumission à Cloé.
Elle entend la musique à coté et ça la décide.
Les regards des filles sont attirés par la porte d’entrée qui s’ouvre.
Vanessa apparait timidement dans l’encadrement de la porte et n’ose plus bouger.
Anna stoppe sa danse et martine reste coite.
Cloé est aux anges. Elle a gagné.
Elle avait pris ce sac dans le cas bien incertain ou elle reprendrait le dessus sur Vanessa après la soirée mais là c’est gagné sur toute la ligne.
Cloé lui dit d’avancer et de se montrer à martine.
Vanessa avance. Dans les mains elle a une petite cravache.
Cloé lui montre ses pieds et Vanessa se met à genou a ses pied en tendant la cravache.
Cloé s’en saisi et là martine félicite à son tour Cloé pour son esclave magnifique tellement belle.
Elle est hypnotisée par les piercings.
Anna a repris la danse mais le cœur n’y est plus. Elle ne savait pas pour les piercings de Vanessa et les trouve merveilleux.
Ils ressortent magnifiquement sur le corps laiteux de Vanessa.
Celle-ci gonfle sa poitrine a perdu sa timidité et elle irradie de bonheur.
Martine demande à Anna de se mettre à coté de Vanessa et les deux maitresses se congratulent d’avoir de si belles esclaves.
Echauffées elles montrent leur entrejambes aux esclaves qui se précipitent pour les lécher.
Après quelque moment Cloé et martine échangent leurs esclaves pour comparer leurs talents.
Les deux petites donnent le meilleur d’elles même.
Puis martine et Cloé sont repues et demandent à Anna et Vanessa de se finir entre elles.
Sur le tapis du salon les deux créatures de rêve fondent l’une dans l’autre elles donnent le maximum pour plaire à leurs maitresses.
Elles se caressent s’embrassent se lèchent. Anna ne peut s’empêcher de jouer avec les anneaux de Vanessa et peu voir de près qu’elle en est blindée sur le sexe.
Six anneaux qui s’entrechoquent tout autour de du réceptacle à plaisir.
Elles ne voient pas le temps passer et pendant plus d’une heure elles se font l’amour comme des folles hypnotisant les deux maitresses qui ne parlent plus.
Cloé prend une carte de visite dans son sac et la donne à martine. C’est celle de la spécialiste des piercings.
Martine la remercie.
Les deux chattes sont repues et désormais se caressent doucement.
Cloé et martine les font revenir pour s’occuper d’elles.
Les deux filles arrivent en parfaite synchro et commencent à lécher langoureusement les maitresses.
Cloé entre deux orgasmes parle de sa réception fun à martine en lui disant qu’elle est invitée avec Anna.
Martine lui répond que le deal avec Anna s’arrête à la porte des lieux.
Cloé à un sourire entendu et réitère l’invitation pour martine et Anna.
Elle souhaite aussi inviter Magalie et ses deux acolytes qui l’ont impressionné.
Martine comprend qu’exhiber les deux porte chibres serait un plus pour Cloé.
Néanmoins elle promet de réfléchir à l’invitation.
La soirée se passe merveilleusement et il est temps de se quitter Vanessa fait comprendre à Anna qu’elle doit les accompagner. Elle a un peu peur de Cloé.
Anna est d’accord et Martine qui a compris leur souhaite un bon retour.
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elle ne comprend pas pourquoi elle est la seule à avoir subi un tel traitement indigne et obscène.
les autres esclaves sont nues ,elles exhibent d’elles-mêmes leurs intimités aux nombreux futur acheteurs
venue tâter la marchandise . natacha est sur un présentoir en ces poignets sont enchaînés à ces chevilles.
le cul en l’air tourné vers la foule. elle ne peut rien cacher, le cul ouvert, son anus brun est bien mise en valeur,
sa chatte offerte est trempée par une masturbation forte rapide et violente, appliquer en public par le vendeur sur le produit pour le mettre en valeur.
elle a vu les gros godes arrivés
pourquoi ce traitement humiliant, elle comprit bien vite, ces hommes par leurs conversations perverses voulaient tester
les capacités de cette esclave pour mieux en faire une offre pour la vente aux enchères.
après l’avoir bien branlé ,le sexe était prêt pour une introduction de gode surdimentionné.
on sait qu’elle en avale de très volumineux son record est sept centimètres de diamètre .cette chienne peut faire mieux
(voir sur la présentation le gros gode que natacha s’enfile souvent)
on peut voir la réaction de sa chatte à ce nouvel ami. elle pourra sans aucun doute en absorbé bien plus large.
d’autres s’occupent de son cul après quelques godes son oeillet était jugé trop étroit,
pour en apprécier son élasticité on lui fista le cul plusieurs fois en bougeant bien les doigts à l’intérieur .
esclave réagi fortement à la douleur et à l’humiliation de cet acte dégradant par des cries étouffés par le gode qu’elle avait dans la bouche.
ce sont plus des grognements des bruits de sucions obscènes parfaitement bandant à entendre.
chacun voulait tâter et tester cette marchandise . il y avait une trentaine d’hommes tous ne pouvait mette
leurs mains dans son cul. son trou était trop serré, il y aura certainement du travail à faire dessus
ce qui lui donne une décote . en gorge profonde natacha a une note un peu prêt potable.
on lui fait sucer un bel engin, il y a dessus des marques chiffrées pour pouvoir juger de la profondeur absorbée .elle peut aller jusqu’à neuf
mais au dela, elle vomit . son exhibition a duré des heures, à part ces cries au fist anal subit de force, elle n’a pas trop réagi à cette dégradation et
c’est laissé faire comme une bonne esclave peut être par peur, mais aussi une jouissance certaine que cette salope ne peut cacher
par une abondante couler de cyprine . elle avait honte, mais son sexe trempé trahissait son plaisir inavoué .
pour les futurs acheteurs s’était une bonne chose .une esclave qui joui fait une bonne salope
dessin réalisé au crayon graphique sur un format 21x29.7
pour en savoir et en voir plus sur natacha et mes dessin mon site .http://dessindenu.onlc.fr/
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 21 : CLOÉ
Extraits « … Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie. … Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse… Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête. Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques. Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse. Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré…. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile…»
Samedi matin après le petit déjeuner Sophie que Vanessa colle toujours décide que les filles vont prendre une douche.
Elles entrent ensemble dans la douche et Sophie se fait laver et lécher longuement par Vanessa.
Puis après s’être habillée Sophie emmène Vanessa jusqu’au garage ou elle lui dit de monter à l’arrière de sa voiture et de se baisser.
Vanessa panique. Elle va m’emmener où ? Mais elle obtempère craignant une raclée.
Le voyage est court.
Vanessa ne voit rien. Lorsque la voiture s’arrête Sophie ouvre une vitre et dit à Vanessa tu restes dans la voiture jusqu’à ce que je te siffle.
Puis elle sort.
Cloé accueille Sophie c’est une grande femme musclée très fliquée qui vit dans une magnifique villa isolée avec une grand piscine.
Deux couples sont au bord de la piscine.
Cloé voit que Sophie est radieuse.
Alors c’est quoi ta surprise demande Cloé.
Sophie lui dit : J’ai une petite chienne adorable.
Ha : dit Cloé visiblement déçue et tu l’as ramenée.
Sophie lui dit : oui. Tu vas la voir.
Sophie siffle. Aussitôt Vanessa sort de la voiture et vient se positionner à moins d’un mètre de Sophie.
Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie.
Alors qu’est-ce que tu en penses demande Sophie.
Je n’en reviens pas : Dit Cloé. Tu t’appelles comment demande telle à Vanessa.
Vanessa regarde Sophie qui opine. Vanessa : répond-elle.
Les deux couples se sont rapprochés. Les deux hommes ne peuvent cacher leur émotion avec leur maillot de bain.
Cloé dit : hé bien Vanessa, tu fais de l’effet. Mais que fais-tu comme ça ? Je suis ma maitresse : répond Vanessa. Je ne dois pas la quitter de plus d’un mètre.
Sophie exulte.
Cloé est épatée. La journée se passe lentement.
Finalement Sophie fait des jaloux.
Surtout quand elle dit à Vanessa de la satisfaire sur un transat le long de la piscine.
Cloé enrage à l’intérieur. Mais fait bonne figure.
Après le repas du soir Cloé propose de faire un poker comme d’habitude mais propose que les mises soient relevées.
Tout le monde acquiesce et ils se mettent autour de la table dans le salon dédié aux jeux.
Après plus d’une heure il ne reste plus à la table que Sophie et Cloé.
Les deux couples se sont installés sur les canapés et regardent les joueuses même si les regards sont attirés par la blonde nue qui se tient debout derrière Sophie.
Cloé a un tas de billets devant elle alors que Sophie n’en possède plus qu’une petite poignée.
Le dénouement est proche. Sophie retourne ses cartes.
Elle a un full aux as par les rois.
Cloé fait une petite grimace.
Sophie fait tapis.
Cloé hésite puis suit.
Cloé demande à Sophie si elle veut miser plus. Sophie dit qu’elle n’a plus rien sur elle.
Cloé lui dit à voix basse il te reste Vanessa. Tu peux me la jouer contre tout mon pot.
Sophie ouvre de grands yeux et va pour dire non quand Cloé avance son tas de billets et rajoute une liasse sur le tout.
Sophie se dit que l’occasion de faire un paquet de fric est trop bonne et dit : C’est quoi les conditions.
Cloé répond. Tu me la laisse jusqu’à la fin du Weekend si je gagne.
Si tu Gagnes tu empoches le tapis.
Sophie accepte avec un sourire carnassier et abat ses cartes.
Cloé hésite un peu et étale un carré de dix.
Sophie est effarée.
Cloé a un sourire carnassier et fait signe à Vanessa de venir derrière elle. Vanessa ne sait quoi faire et regarde Sophie.
Celle-ci lui fait signe d’aller derrière Cloé.
Sophie reste assise et se demande ce qui lui arrive.
Les deux couples sont épatés de voir cette belle esclave changer de main.
Mais Cloé n’en a pas fini. Tu peux te refaire si tu veux lui dit-elle.
Sophie la regarde étonnée et montre ses mains vides.
On peut faire quitte ou double. Je remets en jeu le fric et Vanessa et toi tu te mets en jeu.
Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse.
Les couples se lèvent et se rapprochent de la table.
Si je gagne tu fais tout ce que je veux dit Cloé.
Sophie ne digère pas d’avoir perdu Vanessa et veut se refaire. Jusqu’à la fin du weekend dit-elle.
Oui dit Cloé. En un coup dit elle et elle brasse les cartes. Sophie distribue. Trois cartes demande Cloé Sophie respire elle a deux paires. Une carte dit-elle.
La tension est à son comble. Les deux couple se sont rapprochés jusqu’au bord de la table. Tout le monde retient son souffle. Vanessa se demande comment ça va finir.
Cloé étale ses cartes. Brelan de neufs dit-elle pas très heureuse.
Sophie blanchit et montre se deux paires.
Un long moment se passe .le temps que Sophie digère ce qui se passe.
Debout lui dit Cloé Sophie hésite mais elle ne peut pas renier sa parole.
Elle se lève. Approche esclave lui dit Cloé. Elle approche de Cloé.
A poil lui dit-elle sèchement. Sophie regarde autour d’elle six paires d’yeux la dévisagent.
Elle redresse la tête et se déshabille entièrement.
Cloé lui dit attend là.
Elle se lève et emmène Vanessa avec elle.
Elle revient quelques instants plus tard avec une paire de menottes et un foulard.
Tourne-toi dit-elle.
Sophie se retourne et sent qu’on lui met les menottes dans le dos et le foulard est noué sur ses yeux. Elle ne voit plus rien
La chaleur est montée en flèche dans le salon.
Cloé s’adresse alors aux deux couples.
Elle est à vous faites ce que vous voulez mais ne me l’abimez pas.
D’abord interloquées les couples se rapprochent de Sophie.
Une main se pose sur un sein de Sophie puis une autre puis une main fouille son entrejambe.
On la force à baisser son torse vers l’avant.
Elle sent un sexe érigé butter contre sa bouche. Elle suce la bite pendant qu’une deuxième bite se présente par derrière.
Elle reçoit quelques petites claques sur les fesses et les seins pendant que les hommes la besogne. Elle entend Cloé lui dire.
Tu nous avais dit que tu allais nous faire une surprise c’est réussi.
Cloé s’assoit sur un canapé elle fait mettre Vanessa à genou et lui indique sa chatte. Vanessa s’exécute.
Au moins celle-là ne tape pas se dit-elle.
Pendant un temps infini Sophie est baisé par tous les bouts.
Elle suce de la bite de la chatte et même du cul.
Ses seins son douloureux à force d’être pincés pétris et malaxés.
Elle entend une voix dire on va prendre un bain de minuit.
Une main lui tint un téton et le pince en la faisant avancer.
Elle est amenée au bord de la piscine.
Puis on la laisse. Elle entend les rires et les bruits aquatiques. Après un temps qui lui parait infini elle sent que le bain est terminé.
Elle entend une voix dire on la garde jusqu’à deux heures du mat et on vous l’amène.
Top là répond une voix. La nuit de Sophie est mouvementée. Elle finit par s’endormir au pied d’un lit toujours avec son foulard autour des yeux.
Vanessa s’acquitte avec conscience de sa tâche.
Cloé est douce ce qui surprend avec son corps très musclé.
Elle est très belle et totalement épilée. Vanessa est presque jalouse.
Cloé finit par se lever et l’emmène à sa suite jusqu’à la chambre.
Là les rôles s’inversent un peu et Vanessa sent que la dure Cloé du poker fait place à une femme docile qui se plie en quatre pour lui faire plaisir.
Vanessa passe une super nuit en se disant que si elle devenait lesbienne se serait avec Cloé.
Le lendemain matin les deux filles se réveillent dans les bras l’une de l’autre. Elles font l’amour gentiment comme deux chattes avides de caresses. Puis elles se décident à se lever et aller prendre un petit déjeuner.
En arrivant dans la cuisine elles voient un papier sur la table.
Les deux couples sont partis de bonne heure et ne voulaient pas les réveiller.
Pour Cloé un petit PS précise que l’esclave est dans la salle de bains principale.
Intriguées elles se rendent dans la salle de bain sou Sophie toujours les mains menottées dans le dos est attachée par une cordelette au radiateur sèche serviette.
Cloé est la première à réagir.
Bon esclave je vais te détacher et après t’être douchée tu viendras nous servir un petit déjeuner sur la table près de la piscine.
Sophie a un œil noir mais ne dit rien.
Cloé la libère et avec Vanessa elles se rendent près de la piscine.
Là Cloé demande à Vanessa quel est le deal avec Sophie.
Vanessa raconte tout depuis les coups jusqu’à la semaine qu’elles doivent passer ensemble. Cloé est choquée mais une lueur de tueuse passe dans ses yeux.
Tu me dis qu’elle est libre toute la semaine.
Oui répond Vanessa.
Dommage que je ne possède pas d’autres accessoires que cette vieille paire de menottes dit Cloé songeuse.
Vanessa lui dit la copine de mon amie vend de tels accessoires dommage.
Cloé demande : tu crois qu’elle pourrait nous dépanner.
Vanessa hésite puis à la pensée de voir le corps musclé de Sophie avec un bondage bien serré la chauffe un peu.
D’accord je l’appelle. Elle appelle Anna qui promet d’appeler Magalie.
Magalie est surprise par l’appel d’Anna mais se laisse convaincre.
Elle promet de passer dans la matinée avec ce qu’elle a.
Sophie apporte le petit déjeuner. Conformément aux ordres de Cloé elle assiste à genou au repas des deux filles.
Puis la sonnette d’entrée retentit. Cloé va ouvrir à Magalie qui a le coffre plein de gadgets.
Cloé est enthousiasmée et achète la quasi-totalité des accessoires de Magalie.
Les accessoires sont amenés jusqu’à la table près de la piscine. Sophie qui n’a rien vu doit se coucher sur le ventre et écarter les bras et les jambes.
Cloé et Vanessa se demandent par quoi commencer. Magalie et Anna sont venues avec elles pour les conseiller.
Sur les conseils de Magalie Sophie reçoit un gros bâillon boule rouge qui lui distend la mâchoire rendant son air dur encore plus sauvage.
Un corset de vinyle est ajusté à sa taille. Les lacets sont fortement serrés et la taille de Sophie est soulignée rendant son haut musclé encore plus impressionnant. Ses seins reposent sur le haut du corset et sont littéralement jetés en avant. Un lourd collier de cuir muni de plusieurs anneaux est mis autour de son cou.
Vanessa fait une queue de cheval à Sophie.
Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête.
Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques.
Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse.
Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré.
Elle roule des yeux furibonds mais ne peut pas empêcher l’action.
Les filles se reculent pour voir l’effet. Des pinces à tétons sont appliquées sur la poitrine déjà tendue de Sophie.
Cloé enthousiasmée fait des photos souvenirs.
Laissant Sophie piaffer dans sa tenue les filles consultent les catalogues de Magalie.
Celle-ci propose une tenue de soubrette qui fait l’unanimité.
Elle promet la livraison pour mercredi.
Cloé cède.
Puis les filles se lancent dans le shibari.
Encordé de partout le corps puissant de Sophie se prête à merveilles aux cordes qui soulignent tous ses muscles.
Il ne manque qu’un peu d’huile pour faire briller le corps de Sophie.
Nouvelle séance photo.
Puis Cloé se souvient qu’elle a dans une remise la carriole en osier que ses parents attelaient à un petit poney lorsqu’elle était petite.
Laissant Sophie encordée et attachée à un lampadaire les quatre filles vont jusqu’à la remise.
Magalie regarde dans ses catalogues les harnais de cuir qui pourraient être compatibles avec la carriole.
Elle montre des équipements à Cloé qui commande immédiatement.
Quelques autres gadgets son commandés.
Magalie notant la plastique avantageuse de Vanessa qui est toujours nue propose quelques articles à Cloé qui interroge Vanessa du regard. Celle-ci impressionnée opine du chef et les accessoires sont achetés.
Enfin Magalie et Anna se retirent laissant Cloé et Vanessa avec leur nouveau jouet humain.
C’est l’heure du repas. Sophie toujours encordée et muni de son gros collier de cuir fait le service. Les filles mangent de bon cœur.
Après le déjeuner c’est au tour de Vanessa d’être habillée.
Sur les indications de Magalie Vanessa arbore un harnais en cuir qui souligne sa fine silhouette. Ses seins sont ornés d’anneaux dorés .
Cloé lui fait une queue de cheval qui monte très haut derrière la tête.
A ses poignets et ses chevilles des bracelets dorés sont en harmonie avec les anneaux de ses seins.
Deux grandes créoles dorées pendent à ses oreilles.
Cloé est soufflée par le sex-appeal de Vanessa.
Sophie qui est à genou les bras menottés dans le dos est sidérée.
Machinalement elle fait les va et vient verticaux que Cloé lui a ordonné sur un gode de bonne taille.
Vanessa est aux anges.
Elle voit l’effet qu’elle fait aux deux filles et est presque désolée qu’il n y ai pas plus de spectateurs.
L’après-midi se passe autour de la piscine. Cloé et Vanessa se prélassent dans les transats alors que Sophie agenouillée et menottée passe de l’une à l’autre à leur demande pour prodiguer des caresses buccales sans se faire prier.
Le repas du soir se termine.
Sophie fait la vaisselle et vient s’agenouiller devant Cloé.
Sophie demande à Cloé. Bon j’ai tenu ma parole j’ai été ton esclave ce weekend end. Tu peux me libérer maintenant.
Cloé se penche vers elle et l’embrasse.
Tu as été magnifique. Tu es née pour être esclave.
C’est dommage de devoir habiller ton corps d’amazone tellement il est plus beau nu ou bondé.
Sophie accepte le compliment mais regarde Cloé avec insistance.
Cette dernière lui remet un bâillon boule bien serré et accroche une chaine au collier qui n’a pas quitté Sophie.
Elle emmène Sophie dans le salon où Elle accroche l’extrémité de la chaine à un énorme radiateur en fonte.
Tu es trop belle pour être libérée comme ça.
J’ai décidé de te garder comme esclave plusieurs jours jusqu’à ce que je décide de te libérer.
Sophie rue et se débat ses yeux furibonds lancent de éclairs elle émet des borborygmes à travers son bâillon.
Cloé sort un petite cravache et donne un coup sur les fesses de Sophie qui sursaute mais revient à la charge.
Cloé manie la cravache. Tant que tu ne te calmes pas tu en recevras dit-elle. Sophie revient plusieurs fois à la charge mais les coups maintenant bien portés commencent à lui rougir la peau.
Voyant l’inutilité de ses ruades elle finit par se calmer.
Cloé la félicite et lui dit de baiser ses pieds.
Sophie hésite mais un coup de cravache la décide.
Cloé lui dit maintenant je vais t’enlever le bâillon mais si tu dis un mot cravache et bâillon pour la nuit.
Sophie lance un regard noir. Mais lorsque Cloé lui enlève le bâillon elle ne dit rien.
Maintenant tu peux m’embrasser les pieds dit Cloé.
Sophie hésite mais finit par embrasser les pieds de Cloé. Au bout de quelques minutes Cloé lui dit plus haut.
Sophie lui lèche les mollets puis les cuisses. Puis s’enhardit vers l’entrejambe de Cloé. Qui s’ouvre un peu.
Sophie passe sa frustration sur la chatte de Cloé qu’elle lèche avec avidité.
Cette nui là les trois filles sont dans le même lit.
Mercredi dans la matinée Magalie arrive avec des colis.
Sophie attend auprès de la piscine.
Elle est à genou un manche à balai dans le dos passe par la saignée des coudes qui sont solidement attachés au manche.
Sa queue de cheval est liée au manche par un cordon en cuir très tendu qui l’oblige à tenir sa tête le plus en arrière possible.
Un lien part du milieu du manche et est attaché à un anneau qui sert habituellement pour tenir la bâche hivernale de la piscine. Elle porte le bâillon boule rouge.
Magalie apprécie le spectacle et facilite Cloé pour la présentation de Sophie.
Sophie endure la posture douloureuse mais est très fière de plaire à la spécialiste. Elle s’efforce de rester complétement immobile.
Les colis sont déballés et Vanessa va chercher la carriole qui a été dépoussiérée et graissée dans la remise.
Sophie voit arriver la carriole avec un peu d’appréhension. Ce n’est quand même pas pour moi. Elles me prennent pour un cheval.
Magalie et Cloé font lever Sophie et l’équipent du harnais de ponygirl. Les lanières de cuir sont ajustés sur tout son corps elle doit mettre des bottines noires qui lui semblent très confortable même si le talon très surélevé lui donne l’impression d’être sur la pointe des pieds.
Un mors en cuir remplace le bâillon boule.
Puis elle est attelée à la carriole.
Là elle veut protester mais les trois filles utilisant les rênes et tirant sur les lanières finissent par l’atteler.
Les brancards de la carriole sont ajustés au niveau de sa taille et désormais elle ne peut pas bouger sans bouger la carriole.
Cloé tient les longues rênes à la main et les rênes son reliées aux deux côté du mors.
Elle tire sur les rênes ce qui tire la tête de Sophie qui refuse de bouger.
Cloé prend lors un fouet de cocher des mains de Magalie et lui fait claquer le fouet sur les fesses.
La douleur est supportable mais Sophie sait que Cloé ne cèdera pas.
Rechignant elle avance et la carriole s‘ébranle. C’est plus facile que prévu pour Sophie elle s’attendait à plus de résistance. La carriole n’a que deux roues comme un petit sulky et le siège double est en osier.
Cloé passe les rênes au-dessus de la tête de Sophie et va s’installer sur le siège.
Une fois installée elle dit aller hue !
Sophie ne bouge pas mais un claquement de fouet au-dessus de sa tête la force à avancer.
Elle va tout droit ne sachant pas où aller.
Au bout de quelques mètres le mors est tiré sur la gauche.
Elle comprend et se dirige vers la gauche.
Cloé jubile et lui fait faire des changements de direction pour finalement revenir devant Magalie et Vanessa qui sont impressionnées.
C’est une bonne bête leur dit Cloé. Maintenant on va voir ce qu’elle a dans le ventre.
Et elle fait repartir Sophie. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile. Néanmoins elle fait de son mieux.
Après quelques minutes de train d’enfer Cloé la fait ralentir.
Maintenant Sophie trotte en maitrisant bien son souffle.
Cloé l’arrête près des filles qui chacune leur tour font une promenade plus calme avec Sophie.
Au bout de près d’une heure Sophie est harassée elle ruisselle de sueur et n’en peut plus.
Cloé décide que la séance a assez duré et qu’elle recommencera chaque matin pour permettre à Sophie de garder la forme.
Sophie est dételée ses lanières sont retirées mais elle garde les mains menottées dans son dos. Les filles la dirigent vers la piscine.
Sophie reprend son souffle et attend alors que les filles déballent le costume de soubrette. Vanessa est presque vexée que le costume soit plus aux mensurations de Sophie qu’aux siennes.
Elle aurait bien joué ce rôle mais ne dit rien.
Cloé lui demande de doucher Sophie et Vanessa tirant Sophie par la laisse amène celle-ci sous la pomme de douche extérieure de la piscine et la lave consciencieusement.
Sophie ronronne sous le lavage de Vanessa qui ressemble plus à des caresses qu’a autre chose. Elle se laisse faire docilement.
Magalie montre alors à Cloé un carton contenant une tenue de soubrette à la taille de Vanessa. On ne sait jamais dit-elle. Cloé est ravie.
Sophie séchée, les filles lui font essayer la tenue de soubrette.
Ça lui va bien mais Sophie est trop musclée pour la tenue. Ses formes ne sont pas mises en valeur.
Magalie sort alors un paquet qui fait bruit métallique. Un harnais de chaines de grosse maille avec des bracelets métalliques brillant est testé sur Sophie.
Elle est splendide on dirait une combattante des arènes romaines.
Les chaines sur son corps musclé font ressortir une impression de puissance contrôlée incroyable. Les filles sont admiratives.
Deux petites chainettes partent des mamelons pour rejoindre le collier du cou en haut et deux autres vont jusqu’à l’entrejambe de Sophie ou elles sont tenus par des pinces aux grandes lèvres de Sophie.
Elle se dresse fièrement devant les trois filles voyant l’effet qu’elle leur fait.
Elle-même mouille abondamment et ça n’a pas échappé aux filles qui lui ont mis les pinces.
Vanessa est remuée mais toujours un peu jalouse que Sophie attire tous les regards.
Cloé se tourne vers elle et en souriant lui montre le paquet que Vanessa n’a pas encore vu. Elle va voir le paquet et comprend.
Ce midi c’est toi qui fais le repas dit Cloé.
Vanessa prend le paquet et file avec vers la cuisine.
Magalie et Cloé tournent autour de Sophie qui se pavane inconsciemment.
Sous prétexte de vérifier la bonne tenue des chaines les mains s’égarent de plus en plus sur la peau de Sophie.
Quand Vanessa transformée revient avec un plateau contenant un apéritif et des accompagnements elle voit les deux filles autour de Sophie la pelotant et l’embrassant et Sophie qui ronronne de plaisir
Magalie Cloé et Sophie regarde la nouvelle venue. Vanessa est superbe.
Elle a un petit tablier qui ne cache que le nombril, un porte jarretelles auquel sont accrochés des bas résille du plus bel effet. Des escarpins avec de talons de 25 cm de haut qui la force à se tenir sur la pointe des pieds.
Ses chevilles son menottées l’une à l’autre ne laissant que quelques centimètres de libres pour qu’elle fasse de tout petit pas.
Un collier autour du cou duquel patent deux chainettes qui sont clipées sur les seins.
Les poignets sont menottés l’un à l’autre et une barre passe dans son dos et passe dans la saignée de ses coudes ne lui laissant qu’une minuscule amplitude de mouvement.
Elle tient un plateau sur lequel sont placés deux verres et entre les verres les clés de ses menottes.
Elle ne peut s’empêcher d’avoir un regard envieux vers Sophie même si elle voit qu’elle-même fait de l’effet aux trois filles.
Cloé lui dit approche ! Vanessa tout sourire approche.
A genou ! ordonne Cloé. Le sourire disparait.
Elle s’agenouille avec difficulté en tenant toujours le plateau devant elle.
Cloé prend les clés et les jette dans la pelouse.
Puis elle prend les deux verres et en donne un à Magalie.
Pose ce plateau et embrasse mes pieds dit-elle. Vanessa rougit mais s’exécute immédiatement.
Cloé s’empare du petit fouet de cocher et lui donne trois coups sur les fesses.
Vanessa a les larmes aux yeux mais continue à lécher les pieds de Cloé.
Tu vas nous servir à table et après la vaisselle tu reviendras ici et tu te mettras dans cette position jusqu’à mon retour.
Vanessa opine en continuant à lécher.
Aller lèves toi et vas-y. Vanessa se tortille pour se relever et part à tous petits pas vers la maison.
Cloé et Magalie boivent leurs verres en devisant sur la grâce féline de Sophie.
Celle-ci est aux anges.
En plus la petite peste en a pris pour son grade.
On y va finit par dire Cloé elle prend la laisse et entraine Sophie derrière elle.
Le repas est bon. Vanessa les yeux rouges sert le mieux possible. Elle nourrit Sophie à la fourchette car Sophie est toujours menottées par derrière.
A la fin du repas Vanessa fait la vaisselle puis sort de la maison pour se diriger vers la piscine.
Magalie prend congé des filles en félicitant Cloé pour ses gouts et Sophie pour son superbe corps. Cloé remercie Magalie pour les accessoires et la raccompagne.
Restée seule avec Sophie elle lui demande si elle ne lui en veut pas trop de l’avoir mise en esclave au-delà du pari.
Sophie réfléchit et dit qu’elle lui en veut quand même. Cloé lui propose alors de la libérer. Sophie réfléchit et dit si tu veux on peut continuer encore un peu.
Cloé reste silencieuse. Il lui semblait bien que Sophie kifait certains moments de sa situation mais au point t’en redemander.
D’accord répond-elle. Tu vas manger sévère.
Sophie fait sa bravache. Pourquoi tu as d’autres idées pour moi.
Cloé réfléchit à toute allure. Oui mais ça va être plus hard.
Sophie ne répond rien mais une grosse chaleur vient de son bas ventre.
En attendant tu vas venir me brouter la chatte dit Cloé de but en blanc.
Tu m’as bien chauffée tout à l’heure ma petite pouliche.
Sophie vient lentement s’agenouiller la tête dans les cuisses de Cloé.
Vanessa enrage. Elle n’a aucune idée du temps qu’elle a passé la tête contre le carrelage de la piscine.
Cloé l’a oublié.
Tout ça pour cette mastoc qui parade comme un cheval de cirque.
Elle ne peut cependant pas s’empêcher de revoir le corps musclé de Sophie tirer avec ardeur la carriole et suivre ses mouvements de poignets sur les rênes.
Dominer cette amazone lui a fait prendre un pied pas possible.
Cloé arrive tranquillement.
Vanessa ne bouge pas d’un iota.
Cloé s’assoit sur un transat et regarde Vanessa qui ne bouge toujours pas et n’ose pas regarder de son côté.
Viens là dit Cloé. Vanessa s’approche d’elle en restant sur ses genoux.
Alors on est jalouse de Sophie dit Cloé.
Vanessa ne répond pas. Une petite claque sur les fesses et Cloé dit j’attends ta réponse.
Oui dit Cloé elle est trop belle et vous n’aviez d’yeux que pour elle.
Je ne t’appartiens pas dit Cloé par contre toi tu m’appartiens.
Vanessa ne répond rien Cloé dit .On dit oui maitresse. Oui maitresse répond Vanessa un peu soulagée d’intéresser enfin Cloé.
Bon va chercher tes clés dans la pelouse. Après tu me rejoindras on a du travail pour faire le grand jeu à Sophie.
Vanessa se demande ce que c’est que ce grand jeu mais va, toujours à genou, dans la pelouse vers l’endroit où se trouvent les clés.
Quand Vanessa revient après avoir retrouvé les clés elle rencontre Cloé qui lui dit de la suivre.
Elles descendent dans le sous-sol que Vanessa ne soupçonnait pas.
Une porte dérobée s’ouvre sur un escalier qui mène à un couloir possédant plusieurs portes.
Cloé ouvre l’une d’entre elle. Elle donne sur une salle de sport bien équipée. Tapis, rameurs, espaliers barres fixes etc.
Mais elle ne jette pas un œil à tout ça car Sophie ruisselante de sueur est suspendue par les mains à une barre de traction.
Elle touche le sol à l’extrême pointe de ses pieds mais ne peut pas se reposer dessus.
Elle doit se maintenir à la seule force des bras.
Deux pinces mordent ses tétons et une chainette est tendue entre les tétons et la barre.
Sophie ne peut pas lâcher au risque de s’arracher les tétons déjà bien irrités par la tension extrême.
Sophie est extrêmement concentrée et Vanessa ressent la douleur qu’elle doit supporter.
Ca n’est plus soft mais là c’est difficile à voir.
Cloé fait le tour de Sophie.
Celle-ci n’a pas de bâillon.
Cloé dit qui commande ici.
Sophie répond c’est Cloé.
Cloé lui donne un coup de cravache. Maitresse Cloé.
Maitresse Cloé se reprend Sophie.
Et qui est une esclave obéissante.
C’est moi maitresse Cloé répond Sophie.
Bien dit cette dernière. Maintenant on va jouer à un jeu toutes les trois.
Elle enlève les pinces au grand soulagement de Sophie et de Vanessa qui est subjuguée.
Puis Cloé menottes les mains de Sophie dans le dos et fait pareil avec Vanessa qui ne veut pas subir les foudres de Cloé et reste silencieuse.
Cloé les met face à face sur le tapis central qui doit faire 10M2 voilà celle qui met l’autre hors du tapis a gagné.
La perdante aura un gage qui durera tant que je l’aurai décidé. Vanessa est affolée. Sophie est bien plus costaude qu’elle. Sophie la regarde durement.
A mon top. Allez !
Sophie se rue vers Vanessa qui parvient à esquiver le choc frontal.
Pendant quelques secondes Vanessa parvient à éviter Sophie comme un toréador avec un taureau.
Cependant Sophie finit par l’acculer dans un coin du tapis et l’éjecte durement.
Vanessa tombe sans se faire mal.
L’impact du corps de Sophie lancé l’a déjà bien meurtrie.
Perdu lui lance Cloé. A partir de maintenant je veux que tu me broute le minou en permanence quoi que je fasse même si je bouge. Sinon c’est la cravache.
Vanessa ne réfléchit pas et vient se mettre à genoux devant Cloé et lui embrasse goulûment la chatte.
Bien dit Cloé. Et toi Sophie on n’en a pas fini.
La soirée est difficile pour Sophie qui doit subir des écartèlements mises en tension et coups de fouets jusqu’à ce que Cloé soit fatiguée.
Vanessa toujours à quatre pattes ou à genou se colle en permanence à Cloé pour la brouter.
Finalement Cloé va se coucher.
Sophie est attachée en croix face au lit de Cloé.
Ça ne va pas être facile de dormir pourtant elle est rompue.
Vanessa colle toujours Cloé et se couche sur le ventre la tête entre les cuisses de Cloé son gage n’étant toujours pas levé.
Magalie a promis à Cloé de trouver une idée plus hard pour ses esclaves.
Celle-ci l’a appelé hier soir entre deux séances. Malheureusement elle n’a pas vraiment d’idée.
A ce moment-là elle jette un œil à Tristan qui lui fait sa gâterie orale du petit déj le sexe toujours dans sa cage.
Claire se pointe à ce moment avec Frédérique.
Un éclair traverse Magalie et si on lâchait nos deux bites ambulantes sur les esclaves bien entravées.
Ça pourrait être valable. Elle en parle à claire qui est ok Tristan ne dit rien mais jubile ça fait 4 jours qu’il n’a pas pu ne serait-ce que bander il est prêt à tout.
Cloé est ravie de l’appel de Magalie. Elle les attend à la maison.
Joyeuse elle harnache Sophie qui a les yeux rougis par le manque de sommeil et la peau commence à être multicolore avec les coups qu’elle a reçu.
Ses seins sont particulièrement sensibles après la torture d’hier soir.
Vanessa les a accompagnées jusqu’à la remise car elle est toujours gagée.
Cloé lui dit que le gage est suspendu pour la promenade mais attache la laisse qui équipe désormais Vanessa à la carriole.
Elles partent en promenade équestre.
Cloé est très dure avec Sophie. Elle la pousse à bout et les coups de fouets fusent.
Après une demi-heure alors que Sophie peine à tenir debout la promenade s’arrête Sophie est dételée déharnachée et conduite à la pomme de douche ou elle est fixée pas la laisse le temps qu’elle arrête de suer avant d’être lavée.
Vanessa a repris son gage.
Magalie s’annonce et Cloé va à sa rencontre.
Magalie descend de la voiture avec deux hommes ou plutôt un homme et une grande femme qui sont nus tous les deux.
Cloé pensait que Magalie apporterait deux portes chibres bien montés.
Elle est un peu déçue. Quand la grande fille se retourne vers Cloé celle-ci a un choc.
Cette fille arbore un énorme chibre tendu qui contraste avec sa poitrine opulente.
En plus des grands bijoux de seins et de nez sont son unique tenue.
Cloé rêve de voir Sophie avec de tels bijoux.
L’homme qui est aussi nu est un grand gaillard qui arbore aussi un chibre énorme.
Tout cela laisse Cloé rêveuse.
Elle n’aurait rien contre une partie à quatre avec les trois personnes qu’elle a en face d’elle.
Alors qu’en penses-tu. dit Magalie. Cloé la félicite et s’approche pour voir les portes chibres de près.
Formidable dit-elle. On va préparer les filles.
Sophie est lavée séchée et emmenée dans le salon.
Là Cloé l’attache à quatre pattes au milieu de la pièce.
Les trois barres d’écartement aux pieds et mains et une reliant le tout l’empêchent de faire tout mouvement.
Sa queue de cheval est tirée par un cordon qui l’oblige à se cambrer et la tête est à la verticale.
Elle n’est pas bâillonnée mais a un écarteur de bouche qui l’oblige à avoir la bouche béante.
Elle a une cagoule aveuglante.
Vanessa est toujours dans l’entrejambe de Cloé.
Une fois Sophie préparée les deux garçons font leur entrée .Ils ont pour ordre de ne pas être tendres avec Sophie.
Soudain ils se déchainent.
Sophie prend deux claques sur les joues et une énorme bite pénètre sa bouche.
Suce la bien lui dit Cloé. Sophie s’exécute.
Une claque sur les fesses la fait sursauter elle sent aussitôt un gourdin palpitant la prendre par derrière.
Pendant une demi-heure elle est prise par devant derrière elle craint pour son cul mais elle sent qu’on lui insère du lubrifiant avant qu’elle soit littéralement défoncée par un des hommes.
Vanessa entend mais ne peut pas voir ce qui se passe elle est toujours en train de brouter Cloé qui mouille come une fontaine.
Puis à un moment Cloé repousse Vanessa et dit aux deux hommes c’est son tour maintenant.
Vanessa se retourne et est effarée. Au début elle ne voit que les bites monstrueuses puis elle a le temps de voir que Frédérique a tous les attributs d’une femme avant d’être forcée dans la bouche et dans la chatte.
Soit à la hauteur Vanessa di Cloé
Vanessa y met tout son cœur même si les assauts sont incroyables.
Elle ne sait plus si c’est la douleur ou le plaisir mais finalement elle ne peut plus compter ses orgasmes et le nombre de décharges des deux gaillards infatigables.
Enfin la ruée se calme.
Vanessa s’écroule par terre mais est rappelle à l’ordre par Cloé et elle retourne lui bouter la chatte à quatre pattes.
Sophie est lessivée.
Elle a mal partout mais en même temps elle n’a jamais sautant joui de sa vie. Et elle se sent bien attachée comme ça devant un paquet de monde.
Cloé annonce la fin. Voilà les filles votre temps d’esclave est bientôt finit. Allez-vous laver et vous mettre en tenue pour nous faire un bon repas. La dernière épreuve sera après le repas.
Vanessa détache Sophie et elles vont ensembles vers la salle de bains. Au passage Sophie voit enfin ses bourreaux. Elle est stupéfaite par l’apparence de Frédéric et ses bijoux de corps qui la font rêver.
Le repas se passe dans la salle à manger. Vanessa à revêtue son costume de soubrette et Sophie ses chaines d’esclave gladiatrice. Tristan est subjugué par ce bel animal.
Après le repas Magalie et ses deux acolytes se retirent après avoir promis à Cloé de se revoir plus souvent.
Les trois filles se retrouvent seules. Cloé les invite à enlever leur tenue ce qu’elles font un peu à regret même si les dernières heures ont été particulièrement plus dures que ce qu’elles auraient pu penser.
Cloé leur dit qu’une véritable esclave doit arborer en permanence les signes de sa condition. Et c’est le dernier test qu’elle veut leur faire passer si elles l’acceptent. Les deux filles se regardent sans comprendre.
A ce moment-là Cloé va vers la porte de la maison et revient avec une femme qui tient une grosse mallette du genre mallette médicale.
C’est une pro du piercing dit-elle en présentant la femme. Les filles commencent à comprendre.
Alors une volontaire dit Cloé. Les filles hésitent se regardent. Dans leur tête elles voient le corps orné de Frédérique. Toujours bravache Sophie saute le pas et dit moi.
La femme l’invite à se coucher sur une table. Sophie fait la fière mais se demande si c’est bien raisonnable. Le regard envieux de Vanessa la décide définitivement. Elle se couche.
Une demi-heure plus tard elle a les seins et le nez percés. C’est douloureux mais elle en a vu d’autres. Elle va pour se relever mais la femme la retient et s’approche son sexe.
Sophie panique un peu mais le regard de Vanessa suffit à la calmer.
Son clitoris est maintenant percé et ses deux grandes lèvres aussi. Des bijoux provisoires sont insérés dans les piercings. Cloé est aux anges. Sophie se relève et toise Vanessa. Elle souffre mais ne veut pas le montrer.
La femme regarde Vanessa qui semble se recroqueviller. La femme va refermer sa mallette quand Vanessa se jette à l’eau. Et sous le regard enjoué de Cloé monte sur la table.
Elle possède maintenant les mêmes attributs que Sophie.
Les larmes coulent de ses yeux mais elle reste fière.
La femme donne alors les consignes pour les cicatrisations et se retire.
Cloé est particulièrement fière de son dressage.
Elle prend les filles dans ses bras et les félicite.
Je fais une grande réception dans quinze jours. Il y aura un quinzaine d’invité.
Je serais ravi de pouvoir montrer mes magnifiques esclaves ce jour-là.
Sophie et Vanessa ne répondent pas.
Elle s’imaginent parées de beaux bijoux en or et avec leur tenue préférée se pavane devant un parterre épaté.
On en reparle leur dit Cloé et elle ouvre une bouteille de champagne pour clore cette semaine de folie.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 20 : Anna rencontre l’équipe de handball féminine.
Extraits »… Maintenant plusieurs filles malaxent le sexe les seins et le cul d’Anna. Celle-ci se débat mais ça semble surexciter les filles. Anna cesse de se débattre… La cheffe dit : Quel joli trophée. J’ai une idée on va s’entrainer au tir au but et celle qui marque peut disposer du trophée une minute. Les filles applaudissent. Anna est tirée par la laisse jusqu’ aux gradins du terrain de hand. … Anna réunit les liens qui l’attachaient et avec mille précautions commence à attacher la géante dans le lit. D’abord elle fait un tour des poignets avec du lacet puis les pieds… «
Quelques mois après sa mésaventure Anna se décide à remonter la pente.
Elle fait un peu de sport. Le soir avec deux filles qu’elle a rencontré elles vont au gymnase pour faire un peu de gymnastique.
Anna excelle aux agrès. En général lorsqu’elles sortent de la douche l’équipe féminine de handball entre pour venir s’entrainer avant la fermeture du gymnase.
Ces filles impressionnent Anna car ce sont des costaudes. Fortes musclées et pas trop féminines.
Elles ne se parlent pas juste un signe de tête pour dire bonsoir.
Ce jour-là Anna se retrouve seule au gymnase. Elle va quand même se défouler et après une bonne suée elle va vers les vestiaires. Elle se déshabille et va prendre sa douche.
Comme elle est seule elle ne prend pas soin d’enfermer ses habits dans un casier.
Lorsqu’elle sort de la douche elle se dirige vers l’endroit où se trouvait son sac.
Le sac n’est pas là.
Nue avec juste une serviette elle commence à chercher son sac quand soudain l’équipe de hand apparait.
Elle salue comme d’habitude les filles mais celles-ci ne font pas mine de partir s’échauffer.
Elles la matent visiblement.
Mal à l’aise Anna se fait toute petite.
L’une des filles, un vrai garçon manqué, la hèle. Alors mon cœur on a perdu quelque chose.
Anna dit qu’elle ne trouve plus son sac avec ses habits.
Les filles s’esclaffent.
La grand fille s’approche d’Anna et dit. Tu n’as pas besoin d’habit avec un petit cul comme ça.
Avant qu’Anna n’ai compris la fille attrapent un coin de la serviette et la tire brutalement. Anna se retrouve nue face aux filles.
Les sifflets fusent. Anna se cache les seins et le sexe avec les bras.
Les filles se rapprochent. Deux d’entre elles attrapent chacune un bras d’Anna et la force à les écarter.
Elle est exposée aux regards qui s’allument peu à peu.
Mais c’est qu’elle est appétissante dit l’une.
La cheffe approche d’ana et lui attrape le sexe avec la main. Celle-ci crie mais une grosse main la bâillonne.
Maintenant plusieurs filles malaxent le sexe les seins et le cul d’Anna.
Celle-ci se débat mais ça semble surexciter les filles. Anna cesse de se débattre.
. Tu dois être un bon coup dit la cheffe et elle commence à essayer de faire mettre Anna à genou.
Celle-ci résiste mais la cheffe reçoit du renfort et Anna se retrouve vite à terre.
La cheffe enlève on short et sa culotte et approche son sexe de la tête d’Anna.
Aller montre nous comment tu broute ma belle.
Son visage est projeté de force dans l’entrejambe de la cheffe.
Elle garde la bouche fermée. Une main pince son sein et la douleur devient insupportable. Suce et ça s’arrête entend-elle dire.
Elle ouvre la bouche et embrasse la chatte. Le pincement se réduit.
Anna sent qu’on lui lie les bras dans le dos. Puis un lacet est mis autour de son cou.
Les filles s’écartent pour regarder Anna. Elle est à genou et n’ose pas bouger.
La cheffe dit : Quel joli trophée. J’ai une idée on va s’entrainer au tir au but et celle qui marque peut disposer du trophée une minute.
Les filles applaudissent. Anna est tirée par la laisse jusqu’ aux gradins du terrain de hand.
Elle est attachée couchée sur un banc.
Les filles commencent à jouer.
A chaque tir réussi une fille vient se faire lécher par Anna.
Certaines préfèrent brouter Anna ou la caresser.
Au bout d’une demi-heure la cheffe regarde sa montre et dit. Il reste un quart d’heure. Celle qui met le plus de but gagne le trophée.
Un quart d’heure plus tard une fille très jolie mais hyper musclée rugit de joie.
Elle vient détacher Anna du banc en gardant les mains liées et le lacet autour du cou.
Les filles applaudissent. Puis elles vont se doucher.
La gagnante emmène Anna avec elle sous la douche et la savonne méticuleusement puis la sèche.
Les filles se rhabillent et une à un quittent le gymnase.
La gagnante Olga rhabille Anna mais ne la détache pas.
Elle lui bâillonne la bouche avec un tee shirt et la traine derrière elle vers la sortie.
Anna se dit qu’on va les voir.
Dehors c’est déjà la nuit il est tard et les deux filles arrivent jusqu’à la voiture d’Olga sans être vues.
Anna est montée dans la voiture couchée en travers de la banquette arrière.
Voyage.
La voiture s’arrête Anna entend une porte de garage automatique qui s’ouvre la voiture entre dans le garage.
Anna est sortie de la voiture et tirée pas la laisse emmenée dans un petit salon.
Olga la déshabille et commence à lui faire l’amour maladroitement sans la détacher.
Anna plaint cette fille qui est si gauche. Elle ne doit pas souvent conclure se dit-elle.
Elle a presque pitié et petit à petit elle prend les choses en mains même si celles-ci sont toujours attachées.
La fille est aux anges. Anna a l’impression que la fille est à son premier flirt.
La fille l’emmène ensuite dans sa chambre ou elle couche Anna contre elle.
Elle n’a pas parlé depuis le départ du gymnase.
La fille s’endort. Anna a remarqué qu’un de ses liens devenait lâche.
Elle s’escrime dessus et bientôt elle libère sa main. La fille dort toujours. Anna se libère entièrement et regarde le visage angélique de la fille endormie.
Anna réunit les liens qui l’attachaient et avec mille précautions commence à attacher la géante dans le lit. D’abord elle fait un tour des poignets avec du lacet puis les pieds.
Elle attache ensuite les brins libres qui vont des poignets jusqu’aux pieds du lit. Elle ne tend pas les liens pour ne pas réveiller la fille. Puis c’est au tour des pieds.
Elle termine le deuxième quand la fille fait un geste en dormant un lien se tend et immédiatement la fille se réveille.
Anna fonce au lien d’un poignet et tire de toutes ses forces pour le tendre.
La fille rugit et se débat elle a une force herculéenne.
Anna réussi quand même son coup elle va de l’autre côté et tend le deuxième lien.
La fille rue se cabre et se débat comme une furie mais toujours en silence.
Les deux bras sont totalement immobilisés.
Anna entreprend de tendre les liens des jambes il lui faut 10 mn pour y arriver en profitant des moments ou la fille reprend son souffle.
La fille est écartelée. Anna est ruisselante de sueur. Le combat a été dantesque.
La fille la regarde sans ciller.
Anna lui dit alors tu vois ce n’est pas cool de faire ça à une inconnue.
La fille la regarde toujours sans parler.
Anna met sa main sur un sein de la fille pas de réaction Anna caresse le corps musculeux. La fille la regarde toujours fixement. Anna s’enhardit et approche de l’entrejambe.
Elle sent que la fille se crispe légèrement Anna met la main sur le sexe.
La fille laisse échapper un soupir. Anna y va franco et caresse le sexe. La fille halète un peu.
Anna la pétrit carrément et la fille tortille comme une furie.
Anna arrête et approche ses mains du cou et du visage de la géante qu’elle caresse.
La géante gémit et cherche les caresses.
Anna se met à cheval sur le corps athlétique au niveau du nombril de la fille. Celle-ci la regarde fixement. Anna remonte petit à petit elle a l’impression que le fille se tortille pour aider la lente reptation.
Enfin le sexe d’Anna est au niveau de la bouche de la fille.
Celle-ci respire fort et doucement pose sa bouche sur le sexe d’Anna.
Anna lui caresse le visage. La géante ouvre alors la bouche et suce maladroitement le sexe d’Anna .elle lui dit : Doucement on a le temps.
Lèche profondément et n’oublie pas ça elle met le doigt sur son clitoris.
Obéissante la fille fait ce que lui demande Anna. Pendant près d’une demi-heure Anna se fait brouter par la fille.
Anna jouit plusieurs fois et sent que la fille est à chaque fois au bord de l’orgasme.
Il est tard Anna lui dit maintenant je vais te libérer mais tu me laisse t’attacher les mains dans le dos on dormira ensemble ce soir il est trop tard pour que je rentre.
Un hochement de tête.
Anna met son plan en œuvre et vient se pelotonner contre les seins de la fille qui semble aux anges.
Plusieurs fois dans la nuit la fille l’embrasse comme elle peut. Anna se décide à se remettre à califourchon sur la fille qui aussitôt la broute avec la plus grand attention.
Anna la masturbe avec la main la fille gémit et se laisse aller.
Au réveil Anna voit que la fille la regarde en adoration.
Anna l’embrasse la fille réagit fougueusement.
Anna la détache et la fille la serre dans ses bras. Elles prennent un petit déjeuner ensemble. Au moment où Anna va partir la fille lui souffle tout bas revient s’il te plait.
Deux jours plus tard Anna retourne au gymnase ou elle revoit ses amies.
Elles font leur gym et en sortant de la douche elles voient arriver les handballeuses.
Certaines pouffent en regardant Anna mais lorsque la géante leur parle à voix basse les rires se figent net.
Les amies d’Anna sont impressionnées par les carrures des handballeuses. Elles plaisantent entre elles et Vanessa une petite blonde dit. Ça doit faire drôle de se faire choper par ces filles.
Michelle la brunette regarde les athlètes , songeuse.
Vous voulez voir ce que ça donne leur dit Anna.
Ses amies gloussent. Tu crois qu’elles nous sauteraient dessus comme ça ?
Vous voulez ou pas demande Anna.
Les filles la regardent étonnées. Tu crois que ça nous fait peur. Tu te trompes.
Anna leur dit on n’a qu’à essayer.
Ses amies la regardent rêveuses.
Tu saurais les décider toi Anna. Ok dit Anna préparez-vous à une sacrée expérience.
Puis elle se dirige vers la cheffe des handballeuses.
Bonjour dit-elle. Mes amies pensent que vous n’oseriez jamais vous en prendre à elles. La cheffe la dévisage. Et toi tu en reveux.
Anna n’a pas le temps de répondre que la géante s’approche et dit. Je l’ai gagnée elle est à moi. Et elle passe sa ceinture autour du cou d’Anna en lui faisant des gros yeux.
Anna comprend qu’elle veut donner le change et se laisse faire.
Il nous reste les deux autres dit la cheffe et elle se dirige vers Michelle et Vanessa qui commencent à flipper.
Le team suit la cheffe et en quelques secondes Michèle et Vanessa sont nues pelotées attachées et obligées de lécher des sexes impatients.
Anna sur la demande de la géante s’est déshabillée et se laisse promener tirée par son collier improvisé.
Les victimes sont amenées dans les gradins elles font les fières mais se font quand même toute petites.
Le challenge recommence. A la fin de la séance les deux gagnantes se mettent à califourchon sur leurs victimes sanglées sur les gradins.
Elles font de leur mieux pour satisfaire leurs propriétaires.
Les autres filles partent peu à peu.
Anna part avec la géante. Elles passent une nuit heureuse Anna commandant et la géante entravée réalisant tous les désirs d’Anna.
Le surlendemain Anna retourne au gymnase.
Elle croise Michèle qui lui raconte sa soirée lesbienne involontaire.
Elle ne garde pas un mauvais souvenir mais ça n’est pas sa tasse de thé
Vanessa n’est pas là. Lorsque les handballeuses arrivent Anna pose la question à la géante. Il n’est rien arrivé à Vanessa ?
La géante perplexe se dirige vers Sophie, celle qui avait « gagné» Vanessa.
Celle-ci sourit et lui dit qu’elle est chez elle et que tout va bien. Elle vient voir Anna et lui propose de venir voir Vanessa
. Anna qui commence à être inquiète accepte de voir Vanessa pour se rassurer.
Sophie lui donne son adresse et lui dit qu’elle peut passer ce soir elle verra Vanessa.
Le soir venu Anna accompagnée de Michelle se rend chez Sophie.
Celle-ci les reçoit cordialement et leur indique que Vanessa est là car elle devait garder le jouet de Sophie au chaud pendant l’entrainement.
Les filles sont intriguées. Sophie les mène dans sa chambre qui est vide. Puis Sophie ouvre la porte de sa garde-robe.
Là, à genou, les mains liées dans le dos se trouve Vanessa qui les regarde en clignant des yeux.
Une corde va du tour de son cou jusqu’à la barre horizontale sur laquelle on pend les habits.
Les genoux sont légèrement écartés et les filles peuvent voir que Vanessa est empalée sur un gode.
Sophie lui dit de dire bonjour à ses amies. Vanessa leur dit un bonjour timide.
Sophie lui dit. Montre-nous comment tu réchauffes mon jouet.
Vanessa commence alors des mouvements de haut en bas sur le gode.
Les filles n’en croient pas leurs yeux.
Sophie toute fière annonce qu’elle a passé un pacte avec Vanessa qui restera avec elle une semaine avant la reprise de ses cours.
Vanessa acquiesce du chef.
Bon alors si tout va bien on va vous laisser tranquille dit Anna.
Sophie les raccompagne jusqu’à la sortie de la maison puis revient vers Vanessa.
Bien ma belle tu as bien fait de faire ce que je t’ai dit sinon tu aurais reçu une raclée d’enfer.
Vanessa se recroqueville dans son cagibi.
Aller souris moi dit Sophie. Vanessa sort un petit sourire contraint.
Bon je vais te libérer un peu mais tu ne t’éloigne pas de plus d’un mètre de moi ou que j’aille dit Sophie. Vanessa opine. Oui maitresse on dit. Oui maitresse dit Vanessa.
Sophie la détache. Bien entendu tu restes nue et tu portes ce beau collier pour chien que je t’ai acheté à l’animalerie du coin.
Vanessa se laisse mettre le collier et suit Sophie comme un toutou.
Elle passe la soirée à chercher sans cesse d’être à moins d’un mètre de Sophie. Pour finir elle se colle à elle en permanence.
Ce soir-là elle est attachée au pied du lit de Sophie qui lui promet une promenade le lendemain.
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La fessée peut être aussi punitive , par des claque sèche mais aussi la fessée , si douce si forte reçue ou donnée ..installer sur mes cuisses ..
Mes mains qui prennes possession de ces fesses offertes .. des mains caressantes qui claquent d’abords doucement , de plus en plus forts , s’arrêtant , pour caresser des fesses qui deviennent de plus en plus chaudes ..
Entendre des gémissements , des cris , des Madame encore , je vous en prie ..
Recommencer , le /la sentir se trémousser , être au bord de la jouissance ,
Caresser cette chaleur appuyer ou les traces des doigts sont la ..
Voir ses fesses prendre une belle couleur de feu
les sensations sont fortes des deux côtés ..
Il ou elle jouira , de cette fessée que je donne toujours avec plaisir ..
La /le consoler ensuite de cette forte émotion et recommencer encore ..
Lady H
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