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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Le jour J était enfin arrivé, Paris gare de Lyon destination Montpellier. Après environ 3h30 de Tgv, j'arrivais dans cette très jolie ville du midi de la France. J'accoste un taxi et l'invite à me transporter à l'Hotel. J'ai comme le sentiment qu'il connait l'établissement et m'adresse un petit sourire moqueur. Je n'ose aller à l'accueil.... Un homme, la quarenteine me reçoit
- Bonjour, votre nom s'il vous plait ?
- Yann
- Entendu, réservation 3 semaines, c'est votre première fois ! Veuillez déposer votre valise derrière le comptoir, durant votre séjour elle ne vous servira à rien. Déshabillez vous complètement.
Mon coeur bat à cent à l'heure, je suis à peine arrivé, j'ai à peine prononcé trois mots, je suis déjà sous l'emprise de cet homme. Sans résistance, je retire mes vêtements. Sans pouvoir me contrôler, sans savoir pourquoi, une légère érection me comble de honte.
- Bon on va pouvoir te poser ta cage,..., ici tu n'auras pas le droit de bander sans autorisation, mais bon, à présent j'ai l'habitude de m'occuper des petits branleurs de ton espèce.
Sans avoir le temps de souffler, il me pose des menottes dans le dos, m'attrape par les couilles, m'attire dans une petite pièce voisine. Je reçois une gifle, ma bitte est plongée dans une espèce de saladier rempli d'eau gelée avec glaçons. Je débande très rapidement et mon sexe reprend la taille de celle qu'il avait quand j'étais petit enfant. Cet homme, m'informe être Leon, le concepteur de ma cage de chasteté.. Cette dernière m'est rapidement imposé et épouse parfaitement les courbes de mon pénis réduit au repos. Je n'ai jamais autant ressenti une honte pareille de ma vie.
- Je termine quelques derniers réglages et te voilà encagé pour trois semaines minimum. Nous allons à présent rejoindre le bureau de la Directrice qui est aussi mon épouse. Suis moi.
Entièrement nu, à peine arrivé depuis moins de 30 minutes, les mains attachés dans le dos, je suis celui qui m'a posé à l'instant une cage de chasteté. Après avoir traversé plusieurs couloirs, Leon frappe à une porte.
- Entrez indiqua une voie féminine.
- Ahhhh, voilà notre petit nouveau, ...., yann, c'est bien cela ?
- oui en effet, je suis Yann de Paris et ...
- Tout d'abord, jeune homme, ici, avec moi ce sera 'Madame' et tu ne parleras qu'après autorisation.
Mort de honte, à poil devant cette parfaite inconnue, en cage, les mains dans le dos, je ne pouvais que répondre.
- .... Oui Madame
- Parfait !!!! Je suis Emmanuelle, l'épouse de Léon, j'ai hérité de cet établissement qui malheureusement a failli faire faillite. Un jour, avec mon époux nous avons décidé du concept de cet hôtel unique au monde. Ici les touristes masculins sont dans l'obligation de porter une cage de chasteté qui contrôle leurs sexualité et tout au long de votre séjour la nudité y est obligatoire. Certains, comme toi, viennent seules. D'autres passent leurs vacances avec leurs épouses mais doivent suivre le même règlement. Il existe trois types d'hommes ici.
Le touriste, alors la seule règle infligée est la nudité et le port de la cage. Les soumis, en plus de devoir vivre nus et de la cage, ils doivent également m'obéir en tout. Et les esclaves, ces derniers sont alors assujettis à toutes les femmes qui résident à l'hôtel.Je t'invite à m'indiquer dès à présent à quelle caste tu souhaites appartenir.
Ses yeux sont rivés sur moi et attendent une réponse. Je ne sais quoi dire, je n'ai jamais pensé à tout cela. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que mon sexe veut sortir de cette cage avec une naissante érection. J'espère que cette femme ne va pas s'en apercevoir. J'ai, il est vrai, toujours fantasmé sur la soumission. Aucun son ne sort de ma bouche.
- Alors que décides tu ? On va pas y passer la nuit.
Elle se saisit de mes testicules.
- Répond de suite ou je t'arrache les couilles.
- Arghhhhhhh, .....,
C'est alors, sans même avoir réfléchis, que je lui avoue accepter être en plus d'être un touriste, devenir aussi son soumis.
- Très bien, ainsi tu resteras parmi nous durant les trois prochaines semaines, mon époux a confisqué jusque là ta valise devenue inutile, tu devras vivre nu, en cage et surtout m'obéir durant ton séjour. Puisque tu as choisis la soumission, en plus de la cage, mon époux va te poser un collier.
C'est ainsi, tenu en laisse, que Monsieur Leon m'emmena à ma chambre. Cette dernière était très simple. aucune armoire, je pus observer la présence de nombreux mousquetons aux murs.
- Puisque tu as choisis la soumission, lorsque tu seras ici seul, afin d'être sur que tu ne puisses pas utiliser tes mains, la nuit, tu seras attaché. Pour tes besoins, je t'emmènerais aux toilettes. Tu prendras tes repas dans la salle réception et toujours accompagné d'une tiers personne. Il commence à se faire tard, je vais te préparer pour la nuit. En plus de Madame, tu me dois aussi entière obéissance.
Je n'en croyais pas mes oreilles, en si peu de temps, j'étais déjà dressé. Monsieur Leon m'emmena aux toilettes et la mort dans l'âme je dus me soulager devant lui. Il m'emmena à la douche et cette fois j'eu les mains attachés sous la pomme. C'était la première fois qu'un homme s'occupa de ma toilette au moyen d'un gant savonneux.
- Ici, ceux qui ont fait le choix d'être soumis, doivent également passer leurs nuits avec un plug. Pour ta première fois, je vais t'en placer le plus petit.
Son doigt me farcit alors mon anus d'un gel, puis m'introduisa le soit disant plus petit plug de sa collection. Je fus alors couché, les mains attachés à la tête de mon lit, en cage de chasteté avec un plug dans mon cul jusque là encore vierge.
-Dort bien, je viendrai te chercher à 8h pour ton petit déjeuner, bonne nuit yann !
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Quel doux plaisir et quel satisfaction divine de voir une soumise naitre et prendre un collier.
Elle si forte et indépendante de nature, une battante. Elle femme fatale, à en damner, faisant tourner bien des tète à tournoyer sa jupe immaculée sous les premiers rayons de soleil rendant fier son maitre.
Qui aurai cru que cette chienne lubrique aurait pu accepter mon collier il y a quelques temps désormais ? Personne et pourtant ce fut une évidence lorsque nos regards se croisèrent.
Une étreinte intense s’en suivit ou le maitre senti la femme forte qu’elle était glisser et renaitre en tant que chienne lubrique, dévouée, corps et âme au fur et à mesure des coups de rein qui la pilonnais, que les cris de plaisirs résonnèrent, que cette ceinture lui cinglait la croupe. Une croupe s’offrant encore plus à chacune de ces caresses de cuir.
A ce moment-là elle comme moi savions que le contrat était scellé. Et que bien des plaisirs aller découler de son abandon, de sa renaissance.
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Ça ne me gêne pas que tu penses avec ta queue.
J’y pense bien, moi.
Parce que j’en ai besoin.
J'aime lire ton désir dans tes yeux,
mais j’ai encore plus besoin que tu me le manifestes physiquement.
Avec ta queue raide, dure comme l’acier,
que tu enfonces en moi.
_______________
Bien sûr, je ne te résume pas à ta queue et à tes couilles.
Et nous ne serions pas ensemble si tu n’étais capable que de penser avec ta queue.
Mais je n’ai pas honte de dire que ta queue, tes couilles me sont indispensables.
Comme ton odeur, le goût de ta peau, ta bouche, tes mains, ton foutre.
Ton corps.
Toi.
_______________
Peu m'importe dès lors ce que penseront de moi les coincés de tout bord.
Parce que j’ai besoin de toi.
Et notamment de ta queue, de tes couilles.
Pour oser vivre.
Pour pouvoir vivre.
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Ardente passion qui transcende nos âmes, enflamme nos corps
Nous attirons inexorablement l'un vers l'autre comme des aimants
Bientôt, nous serons réunis à nouveau, mon Maître bienveillant
Nous scellerons cette rencontre par des accords et des encore
Chair exigeante, expressive, possessive, exclusive
Nous entraîne vers ses tentantes et délicieuses rives
Puissance de l'appel de nos êtres trop longtemps en attente
Luxuriante, sauvage comme une forêt vierge à l'aube naissante
Ah ! Ces grains de notre peau qui s'échauffent lentement
Sous nos doigts avec délicatesse sont effleurés tendrement
Notre quête de plaisirs et de joies intimes ne fait que grandir
De tous les tabous, nous n'hésiterons pas à nous en affranchir
N'attendons plus un instant pour vivre notre ardente passion
Sur tous les temps, par tous les temps nous la pratiquerons
Telle une bourrasque, dans sa belle et saine fulgurance
Elle favorisera un autre éveil de nos corps et nos intimes sens
Octobre 2016
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Ecoutez, entendez la musique.
Qui me lancine comme un générique.
Qui vibre dans ma peau énigmatique.
Et me sublime encore, oh supplique.
Voyez mes effets sur ma cambrure.
Appliquez-vous bien à sa lecture.
Cravachez mes hanches en écriture.
Je n'y porterai pas de censure.
Touchez, goutez-moi à fleur de peau.
Pour me délivrer de tous mes maux.
De ma bouche jailliront en échos.
Avec tous mes plaisirs, dans mes mots.
Venez me prendre, posséder mon corps.
Et m'emportez sous un ciel d'accords.
Sans retenue, de plus en plus fort.
Livrons-nous dans un corps à corps.
Arrachez tout, soufflez un murmure.
Délivrez-moi de mon armure.
Et de vos mains toutes accordées.
Mettez-moi en en émois endiablés.
Ecoutez, lisez en mes parcelles.
Et sachez les trouver sensuelles.
Elles jouent une symphonie d'aquarelle.
Livrée à mes appas fusionnels.
Le 15 octobre 2016
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Madame, que je n'ai toujours pas vue, mais dont je sais maintenant son pouvoir, ainsi les mains attachées dans le dos et reliées au collier, me fait tourner sur moi même, dans un sens, puis dans l'autre. Jusque là j'avais encore quelques repères, sur la configuration de la pièce ou nous sommes, mais maintenant, je ne sais plus.
La peur me gagne, et l'excitation que je ressentait a disparue, comme mon érection,
Soudain au travers du bandeau, je perçois des éclairs, on me photographie, sous tous les angles. Une main a saisie mon sexe flasque, honteux, pendant que les éclairs continuent, et retrousse le prépuce, un doigt passant sur le gland sans ménagement, douloureusement.
les éclairs cessent, mais maintenant ce sont les deux mains qui s'occupent de mon sexe. Je sent qu'un lien se serre à sa racine, et je pense furtivement que j'ai eu une bonne idée de me faire épiler avant de venir. Les liens séparent mes bourses, et elles aussi, se retrouvent attachées.
une traction sur ces liens m'oblige à avancer, me dirige, mon cerveau est focalisé sur mon sexe, douloureusement emprisonné, quand mes jambes heurtent ce que j'imagine être la table basse.La traction se relâche.
Des doigts ouvrent ma bouche, remplacés rapidement par ce que j'imagine être un gode, qui commence un va et viens. Il va de plus en plus profondément, une main sur ma tete m'empochant de m'y soustraire. je bave, et j'ai des hauts le coeur a chaque fois qu'il touche le fond de ma gorge
"bientôt, ce sera un vrais sexe d'homme que tu vas sucer".
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Sauvage nous sommes,
Extase nous donne,
La pensée charnelle,
De deux Etres,
Faisant du corps à corps,
Pour se dévorer,
D'une sensualité,
Qui monte au degré,
De sexualité libérée,
Oh ! oui la sensation,
Des vas et viens,
De deux organes,
Qui se complètent,
Qui s'emboîtent à la perfection,
Un souffle, un orgasme, un cri,
Hum ! c'est bon,
Jusqu'à en hurler,
Hurler de plaisir pour elle,
Gémir d'extase pour lui,
Et sa délivrance.
14 octobre 2016
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Envie de vous revoir
Envie de vous retrouver
Vous m'apprendrez des pratiques osées
Doucement pour ne pas m'effrayer
Je me ferais douceur le soir
Conservant cette lueur d'espoir
Sur mon corps, vous tracerez votre sceau
Avec hâte, je viendrais vers vous
A vos pieds, debout ou à genoux
Vous serez Le Maître aimé
D'une bourrique passionnée
Sur mon corps vous graverez votre sceau
Puis l'heure viendra, ou je me soumettrai
A vos désirs, même si une larme je verserai
Je serais alors votre soumise dévouée
Pour que vos plaisirs soient comblés
Vous possédez les clés de ma soumission
le 30 aout 2016
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La grosse Madame Wang nous dit :
— Encore des Occidentales ! Pourquoi vous ne restez pas chez vous ? On a besoin ni de putes, ni de voleuses.
Je lui dirais bien qu’on ne demanderait pas mieux de repartir chez nous, mais je n’ose pas. Les autres filles continuent à coudre à la machine ou à la main. Madame Wang nous donne un morceau de tissu assez rigide, une grosse aiguille et du fil épais en disant :
— Brodez-moi un A.
Moi, je sais coudre. Je suis une Rom et il m’est souvent arrivé de devoir recoudre des vêtements déchirés et même de ravauder les chaussettes de mon père avec un gros œuf en bois, comme dans l’ancien temps. Inge a l’air de se débrouiller aussi, par contre Giulia n’a jamais tenu une aiguille. Avant, il était le comte Julien de Préville et Monsieur avait des domestiques.
Toutefois, broder un A ce n’est pas si facile que ça, quand on ne l’a jamais fait et mon A ne ressemble pas à grand-chose. Inge, c’est un peu mieux. En revanche, Giulia est nulle. On reçoit tous les trois des coups de baguette en bambou sur la paume des mains, c'est vraiment douloureux et n’améliore pas la dextérité... Ensuite, c’est des coups sur les mollets et on finit comme les autres filles par être à genoux sur notre banc, le pantalon sur les talons, les fesses en l’air... Madame Wang passe parmi les rangées, elle donne des conseils pour coudre, tout en caressant les derrières des filles qui savent coudre et en frappant sur le cul des filles qui ne savent pas.
En fin de journée, on sait toutes plus on moins coudre à la main et à la machine. Madame Wang nous dit :
— Je n’ai pas eu temps que de vous apprendre plus. Demain, les ouvrières qui vous choisiront vont continuer votre apprentissage...
Elle passe derrière nous et ajoute :
— Je me rends compte que je vous ai ménagées ! Vos grosses fesses d’Occidentales sont à peine marquées.
Quelle sale garce ! Si je passe mes doigts sur mes fesses, je sens les marques en relief. Elle ajoute :
— Maintenant, on va faire des tests de docilité. Il va falloir m’obéir à la seconde, sinon vous serez punies plus sévèrement... Pour commencer, je veux voir Giulia sur l’estrade.
Elle obéit tout de suite, comme les autres elle a dû enlever son pantalon, mais sa pudeur est sauve grâce à son tee-shirt. Justement, Madame Wang lui dit :
— Enlève le haut et croise les mains dans la nuque.
Dès que c’est fait, la timide Giulia redevient Julien, un homme. Enfin, disons plutôt qu’il cesse d’être une femme. La grosse se met à rire avant de dire :
— Mais qu’est-ce que c’est, ce petit machin qui pendouille en haut de tes cuisses ?
Il répond :
— C’est... mon sexe... Madame.
— Ça, un sexe ? Mon neveu de 6 ans en a une plus grosse.
Julien n’est pas con et il est champion pour se faire bien voir, il répond :
— Il arrêté de grandir quand j'avais 5 ans, Madame.
— D’accord, tu es un petit garçon, mais pourquoi es-tu avec les femmes, alors ?
— Ce n’est pas moi qui...
— Tu ne voudrais pas retrouver la virilité... de tes 5 ans ?
Malgré mon stress, j’ai envie de rire. Julien répond :
— Oui Madame, j’aimerais bien.
— Parce qu’un petit garçon tout nu devant les filles, c’est pas convenable, même si ce sont des putes. Tiens, je t’ai apporté des vêtements. Habille-toi.
Elle lui donne un sac. Julien en sort des vêtements et s’habille... en homme ? Pas vraiment. Il enfile d’abord une petite culotte avec des rangées d’oursons, puis une chemise blanche avec des manches courtes. Ensuite un pantalon qui s’arrête au-dessus de genou. Il est retenu par des bretelles avec également des petits ours, comme sur sa culotte. Il y a aussi un petit nœud papillon avec un élastique. Pour terminer, il enfile des chaussettes blanches montantes, des chaussettes noires et une petite casquette. Madame Wang lui dit :
— Content d’être redevenu un petit garçon ?
— Oui Madame.
— Maintenant, tu vas t’asseoir par terre et jouer avec ce qu’il y a dans ce sac.
Julien s’assied, puis sort des blocs, des animaux et des personnages en plastique. Il commence à jouer. Oh ! qu’il est mignon. Madame Wang lui dit :
— Fais-moi un beau château, petit.
— Oui Madame.
— Bien... Les filles, enlevez votre tee-shirt et venez vous mettre autour de moi.
On le fait immédiatement. C’est le genre qui sait se faire obéir à la seconde. Elle nous dit :
— Maintenant, déshabillez-moi.
On se regarde... Heureusement, une brune murmure :
— Vous deux, les chaussures. Vous, le pantalon. Nous deux, le kimono.
Madame Wang est grosse, je devrais même dire très grosse. C’est un sumo femelle dans un kimono de soie bleu plus très frais. Deux filles enlèvent péniblement la veste du kimono, deux autres à genoux baissent le pantalon, elle lève à peine les pieds pour le faire passer. En dessous, ses sous-vêtements essaient tant bien que mal de contenir la graisse qui a envie de s’étaler. Quand on enlève sa culotte qui monte jusqu’au-dessus du nombril, son ventre peut enfin prendre ses aises et il s’étale sur son pubis. On défait le soutien-gorge et ses mamelles prennent aussi la clé des champs et passent à l’étage en dessous. C’est... fascinant ! Elle dit à une fille :
— Va chercher le matelas qui est dans cette armoire et mets-le ici.
Elle désigne l’estrade. Ensuite, elle dit :
— Qui a déjà couché avec une fille ?
Hou là ! C’est sans doute pour la lécher. Sans réfléchir, je lève la main en disant :
— Moi, Madame.
— Et quelle est la fille qui te plaît le plus ?
Si je dis elle, tout le monde va croire que je me fous d’elle et gare à mes fesses. Alors je dis la vérité en désignant une fille :
— Ailla, la jolie rousse, Madame.
Je désigne une ravissante fille, dont j’ai vu le nom sur le collier. Sa longue chevelure, les poils de ses aisselles et de son sexe sont comme des flammes, non pas roux, mais presque rouge... Elle a des yeux bleus, des seins en poires avec des bouts très pâles, une taille mince : une beauté ! Madame Wang dit :
— Je vous ferai faire quelque chose en rapport avec vos talents.
Elle se couche sur le matelas d’un mouvement souple. Je pensais qu’on devrait l’aider, mais non, elle est agile ! Elle se relève sur un coude, dans la pose d’une odalisque... d’une tonne et désigne deux filles en disant :
— Vous deux, vous allez embrasser et lécher mes pieds... et vous sucerez mes orteils.
Ses pieds ne sont pas des plus appétissants. Est-ce que les filles vont refuser ? Oh non, elles obéissent immédiatement. Personne n’a envie de déplaire à une odalisque d’une tonne. Elle désigne deux autres filles en disant :
— Vous deux, vous êtes mes bébés, donc vous allez me téter.
Les filles obéissent. L’une d’elles se glisse sous son bras pour atteindre le sein qu’elle doit sucer et qui se balade plus bas. Il reste Inge, Ailla et moi. Moi, tout sauf lécher sa chatte. Sainte Sara, aidez-moi, même si vous m’avez laissée tomber ces derniers temps. Elle nous dit :
— Poussez-vous toutes, pour que la suivante s'installe.
Elle désigne Inge du doigt en disant :
— Toi, la blonde, lèche-moi la chatte.
Ouf ! Ce n’est pas moi ! Mais, bien qu’il soit marqué "pute" sur son tee-shirt, j’ai remarqué que Inge était une fille réservée, certainement pas une pute. Cependant, elle a suffisamment peur de cette femme pour se glisser entre ses cuisses épaisses. Elle colle sa bouche à la grosse vulve (oui, on ne peut pas parler de chatte dans son cas).
Ces cinq filles minces qui s’affairent à lécher une grosse, on dirait des fourmis autour de leur énorme reine... Deux fourmis s’occupent de ses pieds, mais bien. Elles sont assises par terre et tiennent un pied à deux mains, en commençant par le couvrir de baisers puis en léchant les orteils. Les filles des nichons la tètent, comme deux jolis bébés qui seraient allaités par une grosse truie. Et Inge lui lèche la vulve... pauvre fille, elle va sentir la chatte négligée jusqu’à la fin des temps !
Il reste Ailla et moi. La grosse lui dit :
— Toi, tu as l’air d’être la plus maligne. Vous allez vous mettre de chaque côté de mon visage et vous allez vous embrasser, flirter, baiser, le plus près possible de ma figure. Compris ?
— Oui Madame.
Et pourquoi ce serait elle, la plus maligne ? La plus décidée, je le reconnais, puisque c’est elle qui a dit comment déshabiller la grosse. Celle-ci ajoute :
— Faites-moi mouiller, sinon, vous serez punies et j’ai pas mal d’imagination pour ça.
Oh ! Je n’en doute pas ! Heureusement, cette fille me plaît vraiment. Elle me dit :
— Mets-toi à genoux, tout contre le visage de Madame.
Je fais ce qu’elle dit. Elle se met à genoux aussi. Sa touffe rousse est contre la joue de la grosse. Moi, je suis épilée...
Elle m’enlace, nos seins se font des bisous. J’adore sentir la peau d’une fille pour la première fois contre la mienne. Comme il fait chaud, elle est moite, moi aussi, on mélange nos sueurs. Elle m’embrasse, je cède... oui, elle est le chef, mais un chef qui a la peau douce et qui sent la forêt et les animaux sauvages. Malgré le stress, je mouille. Nos langues font connaissance, ce n’est plus nos sueurs qu’on mélange, mais nos salives... Elle quitte ma bouche, un filet de salive tombe sur le visage de la grosse. Je lui demande :
— Tu me permets d’embrasser tes aisselles ?
Elle est surprise, mais lève les bras, deux flammes jaillissent de ses aisselles. Je fourre mon nez dedans... L’odeur est violente, mais ma chatte a un spasme de plaisir. Elle rit et me donne une claque sur la tête en disant :
— Tu me chatouilles, sale petite bête.
Oui, d’accord, je suis la sale petite bête qui aime sa maîtresse. On se caresse les seins, on se suce les bouts à tour de rôle. La grosse a l’air d’aimer, elle regarde intensément, tandis que les ouvrières s’activent sur son corps. Moi, tant de stimulations, j’aurais déjà joui... six fois ! Ailla me dit :
— Je vais me mettre à quatre pattes au-dessus du visage de Madame Wang pour que tu me lèches...
Quand elle est en position, je vois qu’elle a bien écarté ses cuisses pour que sa chatte soit très près des lèvres de la grosse. Ma partenaire me dit :
— Commence par me lécher le trou du cul et mets beaucoup de salive.
Aaah... bon. Oh oui, elle suppose que la grosse a envie de se faire arroser par ma salive et par ses sécrétions... Je me mets à quatre pattes et je fonce sur son anus, la langue en avant. D’accord, c’est spécial, mais j’aime son goût et son odeur. Je barbouille son cul de salive... La grosse est baptisée, là... Quand je lui ai bien débarbouillé l’anus, Ailla me dit :
— La chatte maintenant.
Je descends d’un cran et j’enfonce ma langue entre ses grandes lèvres... Oh ! C’est la mousson, là... La grosse pousse sur les fesses de ma rousse, de façon à ce que sa chatte soit très près de sa bouche. Pas facile de glisser ma langue, mais j’ai compris ce qu’elle aimait et à chaque fois que je lèche, je passe sur sa bouche et son nez pour la barbouiller de ma salive mélangée aux sécrétions de Mailla. La grosse jappe un peu. Manifestement, elle aime ça. Si ça se trouve, j’aurai un beau bulletin. Ailla apprécie aussi, elle se cambre vers ma langue... J’arrive à prendre son clito et à le sucer, tout ça à quelques centimètres de la bouche de la grosse. Pas facile, mais spectaculaire. Je suis sûre qu’on pourrait monter un numéro et se produire dans les plus grands music-halls. Ailla jouit, assez sobrement. De sous sa chatte, Madame Wang me dit :
— Toi, dégage.
Oh, t’es pas polie, toi ! Je bouge, elle prend Ailla par les hanches et l’assied carrément sur son visage. Là, elle se trémousse sur le visage de notre maîtresse. Qu’est-ce qu’elle est belle ! On dirait une mince et gracieuse Valkyrie rousse chevauchant un hippopotame.. Madame Wang jouit sans que je m'en rende bien compte. Elle s’ébroue et commence à se relever. On l’aide à remettre sa tunique en soie trop étroite.
A suivre.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Dans toute rencontre règne l'inattendu
Où se croiseront, s'entrecroiseront de fol espoirs et atomes crochus
Quel que soit le scénario que l'on peut imaginer
Absolument rien ne se passera tel que l'on pourrait l'avoir pensé.
Le coeur est en émoi, mes sens en éveil
Je peux entendre le sang bouillonner dans mes oreilles
Quelques gouttes de sueur perlent sur mon front
Mon être est dans un total abandon.
Sur ce quai de gare où la foule se presse
Me voilà envahie d'une étrange ivresse
Tout à l'heure, dans quelques secondes, je serai prête
A revoir celui que j'ai longtemps attendu : Mon Maître.
On peut gloser à l'infini
Sur cet instant inexplicable
On peut gloser
Sur cet instant indéfinissable...
Le 30 aout 2016
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1) Timide et réservé, il n a pas été simple d écrire ce portrait.
2) Conçu par accident , si la pilule avait existee je ne vous écrirai pas, c est surtout la manière
Dont je l ai appris qui m interpelle.
3) je suis né prématuré à 7 mois ( 1kg350 ) sûrement lié aux circonstances.
4) j étais un enfant solitaire et indépendant.
5) Un frère plus jeune ( désiré ), il compte pour moi , je suis fière de lui,
L écart d âge de 5ans est trop important .
6) Des résultats scolaires moyens , je suis plutôt manuel , j adore la mécanique.
7) Les joies du scoutisme, partage , vie en communauté, campements en extérieur
Dormir à la belle étoile en forêt sont des moments à vivre .
J ai souvenir de moments très sympa.
8) Le pensionnat durant trois ans autre expérience humaine , à 50 par dortoir
L eau gelait l hiver dans les lavabos....( une autre époque, un modèle d éducation )
9) 16 - 18 ans les fameuses sorties entre copains , les boîtes, les concerts sous chapiteaux
Plutôt saint Bernard, j en ai raccompagné dans des états pas possible...
10 ) 16 ans ma Mobylette Motobecane , partir en été entre copains, Berck, l année suivante
St Gilles croix de vie, Arromanche, Etretat, sacré balade au départ de Cambrai.
11 ) Parents modestes, bosseurs, presents, sans effusion d amour , il ne m a rien manqué
Materiellement je la reconnais.
12 ) Service Militaire en outre mer , une superbe expérience, nos îles sont magnifiques.
13 ) Mon 1er emploi , les trois huits en continu, il faut le faire pour savoir.
14 ) Ma première fois , non c est secret,
Première voiture une deudeuche et oui! .
15 ) Rencontre avec mon épouse, mariage, notre premier enfant décéde une semaine après sa naissance , une terrible épreuve à vivre.
16 ) Vaincre le mauvais sort et espérer de nouveau
17 ) Heureux papa de deux filles que j adore.
18 ) Un chat sauvé après qu'il est été jeté d'une fenêtre de voiture , sa légèreté la sauvé,
Un chien véritable complice , le fluide animale ceux qui savent comprendront.
19 ) Le travail, important pour subvenir aux besoins de la famille et à la réalisation des loisirs
Avec le recul je me dis avoir perdu en présence auprès de mes enfants.
20 ) Je suis très calme , à l écoute, emphatique, altruiste , gentil, les gens en ont profité
Je le sais et ça aide à grandir de la savoir, .... je reste moi-même tout simplement.
21 ) Courageux , volontaire , je ne baisse pas les bras , suis fidèle en amitié .
22) Sportif , beaucoup de marche , du vélo, natation , cuisine et bricolage.
23 ) Les enfants quittent le foyer, le nid est vide, les mamans connaissent, une nouvelle étape est
a créer.
24 ) Chaque enfant est différent, acceptation, ouverture d esprit, sans jugement , ils nous forcent à
évoluer, c est bien et important.
25 ) Deux petits enfants que du bonheur.....!!!
26 ) Réseaux sociaux, amitié virtuelle, important pour mon équilibre, respect de cette amitié virtuelle qui peut blesser énormément, savoir relativiser, prendre garde.
27 ) La maladie permet l introspection et nous rappel que le temps passe très vite.
28 ) Chaque tranche de 20 ans est une tranche de vie
Celle de 0 à 20
Celle de 20 à 40
Celle de 40 à 60
Je suis un jeune premier dans ma quatrième vie .....sourire
29 ) Réaliser ou presque ce que je n ai pas sût faire avant, tant de choses sont à vivre et découvrir.
30 ) La lecture , importante pour moi , permet l évasion.
31 ) Le passé est le passé.....
Ne pas regretter ses choix , Profiter du présent, et aller de l avant.
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J’ai toujours préféré les originaux aux copies.
La queue d’un Mâle plutôt que ses possibles substituts.
Même à l’époque où je n’avais pas à domicile le « matériel » approprié.
Et où parfois, faute de temps, je devais me résigner au plaisir solitaire.
Alors, à fortiori aujourd’hui :smile:.
Et ce même s'il en existe de plutôt bien faits.
De matériaux, de tailles, d’usages différents.
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Des sculptures phalliques en pierre existent depuis l’aube de l’humanité.
Objets purement symboliques ou à fonction utilitaire ?
Les femmes et les hommes étant ce qu’ils sont, je ne doute pas que certains aient aussi servi à des travaux pratiques :smile:
Même si je n’ai jamais essayé ce type de matériau.
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L’origine même du mot est controversée.
La désignation grecque d’olisbos ("phallus de cuir") étant passée de mode, certains le rattachent au latin « gaude mihi » (réjouis toi), là où d’autres y voient une déformation de l’espagnol guadamacile, de l’arabe ghdamsi, « cuir de Ghadamès, ville de l’actuelle Lybie autrefois réputée pour sa maîtrise de la technique du cuir.
Si aujourd’hui, modernité oblige, la plupart sont en matière plastique siliconée, outre la pierre, le marbre, il en existait en bois, ivoire, cuir, métal parfois, ou encore verre de Murano, destinés tant à des usages esthétiques que pratiques.
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La légende veut que Cléopâtre, amante insatiable, en utilisait de papyrus roulés remplis d'abeilles vivantes.
En Europe, au Moyen Age et en dépit des interdits de l'Eglise, ils étaient considérés comme un moyen "acceptable" pour les femmes de se donner du plaisir, le seul qui permette de garantir la légitimité de leur descendance en évitant qu'elles n'aillent rechercher le plaisir avec des amants de rencontre pendant que leur époux guerroyaient.
La pudibonderie victorienne en fit un moyen de traiter "l'hystérie féminine". A l'heure de l'industrialisation, cela donna "le marteau de Granville, du nom de Joseph Mortimer Granville, qui en déposa le brevet en 1883.
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Bon, pour ma part, la mécanisation du plaisir m'a toujours laissée sceptique, et je ne vois pas l'utilité de recourir à une machine infernale pour traiter de certains "troubles" que des techniques plus "naturelles" permettent de "guérir" sans difficultés.
Mon côté écolo, sans doute :smile:
Je préférerai toujours la chaleur vivante de ton outil à toi à la froideur du contact initial des différents substituts à ce qui contribue à ton charme.
Et au plaisir mécanique provoqué par le gode celui de jouir au rythme de ton désir à toi.
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Mais c'est à toi, puisque tu es mon Maître, de décider de l'usage que tu fais de mon corps et de mes trous :smile:
Et, puisque je l’ai voulu ainsi, je n’ai pas d’autre choix que de me plier à tes perversions, pour les offrir au modèle que tu as choisi pour me besogner ou m’en servir sous ton regard amusé pour m’empaler devant toi à défaut de l’être par toi.
Alors, à défaut de soigner cette "hystérie féminine" dont je ne veux surtout pas guérir,
je reconnais quand même que c'est un instrument intéressant pour me "préparer" à la seule chose qui compte vraiment :
vibrer au rythme de ta queue en moi.
Et jouir de me savoir à toi.:smile:
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