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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Nichdali est une passionnée d'ésotérisme, de méditation, de yoga, bref, elle ne peut plus baiser que suivant les préceptes du tantrisme. Faut pas être pressé. Faire l'amour avec Nichdali peut durer des heures et même des nuits entières. Il n'est pas rare qu'elle commence la pénétration le soir et que l’orgasme et la libération de sperme ne soit que pour le matin. Elle a un Yoni très musclé et une fois un pénis inséré, c'est elle qui décide de le relâcher ou pas. Elle en fait sa propriété tout le temps de la pénétration. Cela peut être très jouissif pour un homme, mais aussi très douloureux parfois. Comme Nichdali adore faire l'amour, c'est devenue une experte.
Le problème c'est qu'elle a voulu se faire sauter par un beau noir avec une pine énorme. Ce dernier en a vite eu mare des préliminaires et il a défoncé Nichdali par tous les trous comme un sauvage. Et Nichdali a explosé les orgasmes en lâchant complètement prise sous les coups de ce pal monstrueux. Fini son approche tantrique du sexe. Elle est devenue l'esclave de la bite d'Amir, le lion indomptable du Cameroun. Et Amir ne se contente pas d'une seule femme, il faut qu'il en bourre plusieurs différentes chaque jours. Et toutes jouissent très fort et toutes sont accros.
Nichdali la fière féministe, féru d'amour tantrique n'est plus qu'un garage pour la bite d'Amir et elle doit obéir, être disponible quand son maître veut et comme il veut. Et Amir est un pressé, il a de belles chattes à visiter. Elle doit être la huitième sur sa liste, peut être plus loin encore. Elle pense être tombée bien bas. Elle qui était contre la polygamie, le patriarcat, la toute puissance du mâle dominant.
Et maintenant Amir en veut plus, il lui donne de copieuses fessées, il l'attache et parle même de la fouetter bientôt. Elle tremble, elle est prise au piège. Elle ne peut plus s'échapper. Elle jouit trop et trop fort ! A peine Amir la touche, elle brame. Son maître a du lui jeter un sort, il doit être marabout ou sorcier ! C'est incroyable, dès qu'il est là, elle n'est plus rien, sauf une chatte, un cul et une bouche ouverte.
Et Amir a fait ce qu'il a dit. Il a attaché Nichdali et il a sorti un fouet terrifiant. Nichdali a hurlé, supplié, pleuré. Rien à faire, Amir lui a labouré le dos. Puis il l' a détachée et il est parti sans un mot. Nichdali sent la douleur brûler. Elle sanglote. Puis elle se calme. Elle se souvient de ses séances de méditation....la paix revient. Sa douleur devient plaisir.
La morale de cette histoire, c'est qu'avec les soumises le fouet est le meilleur des préliminaires.
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Jean Michel se travesti depuis tout petit. En cachette d'abord, puis ouvertement avec l'aide de sa mère. Celle ci l'avait découverte un jour en train d'essayer sa lingerie et l'avait trouvée très mimie. c'est elle qui lui a appris à s'épiler, se maquiller et à vivre en fille. Une parfaite complicité et entente. Sa mère y est allé au culot et a réussi à le faire inscrire comme une fille dans une école mixte et cela a très bien fonctionné. Jean Michel a disparu, si tant est qu'il ait existé un jour et a laissé place à Jemma. De toute façon son micropénis ne bande pas et même en sport il a fait parfaite illusion avec les filles.
Devenue grande Jemma, qui est intelligente s'est trouvée un bon job comme cadre dans une grande société de commerce international. Seulement voilà, son chef de service la trouve fort jolie et semble dingue d'elle. Jemma a toujours réussi à éviter les aventures, de peur d'être découverte. Elle ne se sent bien qu'avec les garçons. Dans sa tête elle se sent femme et donc hétéro.
Lucas, son chef de service parvient une fois à la coincer dans l'ascenseur. Il n'en peut plus, n'en dort plus. Il sait que Jemma est la femme de sa vie. Alors il lui vole un baiser. Il ne reçoit pas de gifle. Jemma est rouge, troublée. Son premier baiser....et Lucas qui recommence. C'est si doux, si bon.
Suivent les premiers rendez vous, les premières sorties, les premiers restos. Lucas est sage. Il se contente de l'embrasser, de peloter un peu tendrement, mais reste très sage. Ils partent un week end ensemble. Jemma sait que cette fois elle va devoir y passer. Sa regrettée mère, lui a appris une chose: ne jamais avoir honte de ce que l'on est et assumer la différence. Elle se dit que si Lucas l'aime et la veut pour femme, il devra l'accepter comme elle est.
La première nuit d'amour est un enchantement. Lucas la dépucelle en douceur. Il aime son micropénis qui ressemble à un gros clito et qui reste mou, juste gonfle t-il un peu sous les caresses. Il adore ses petits seins et ses fesses bien musclées. Il est encore plus fou d'amour.
C'est là que Jemma se surprend. Lucas revient nu de la salle de bain et elle trouve ses fesses jolies. Elle le prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée. Lucas est un peu récalcitrant au début et pourtant très vite il adore. Il jouit même sur les jambes de Jemma.
-pourquoi as tu fait cela? Dit Lucas en se massant les fesses. En plus tu m'as fait jouir très fort.
-Je ne sais pas. J'ai eu envie. J'aimerai t’attacher aussi, Utiliser une cravache, un fouet, des pinces. Bref je sens cela en moi et c'est très fort? Je n'y peut rien. C'est comme mon besoin d'être en jupe depuis tout petit.
-Tu es une dominatrice....
-Oui mon Lucas et tu aimes cela, regarde, cela te fait bander. Tu ne peux pas cacher ta nature. Tu as envie d'être totalement soumis à ta femme. Allons viens, je vais t'attacher et te punir un peu. A genoux mon chéri et obéis, c'est la place que tu souhaites près de moi.
-Oui maîtresse
- C'est bien, tu vas commencer par m'embrasser les pieds et bien les masser. Après tu me feras encore l'amour. J'ai adoré. Tu me rempliras bien de sperme; je sens que cela me fait beaucoup de bien.
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Charlotte est vaincue, nous le savons déjà. L'important est de savoir comment elle chutera, si tant est que l'on puisse
parler de chute pour une femme pressée de consentir. Peut-être le plus important est-il d'ailleurs de savoir où elle
chutera car elle a perdu, depuis le début, sa superbe et l'initiative. Elle sait que c'est inéluctable mais elle n'est plus
en mesure de décider du jour ou de la nuit. Ce n'est pas la première fois, c'est la seconde. La première a été une cruelle
déception, une déception unique dont elle conserve un souvenir humiliant. Elle est sortie frustrée de cette épreuve qui
ne lui a pas appris le plaisir et a laissé en elle une défiance animale à l'égard des femmes dominatrices. Or, par une
fatalité assez fréquente, elle est retombée une fois encore sur une femme qu'elle est assez lucide pour ranger dans la
catégorie détestée. Néanmoins, elle peut espérer que cette séductrice aux mille ruses saura lui faire partager ses émois.
Il y a dans chaque femme aux abois de l'amour une part de fragilité. La passion, la jalousie, le dépit et la fureur entrèrent
en même temps dans sa vie et l'occupèrent toute entière. La victoire de Juliette avait fait écrouler ses espoirs, mais elle
avait encore fortifié leur amour. Une espèce de violence l'avait saisi sur l'instant. Le temps passé à l'attendre s'était
transformé, non en une absence de temps, mais en un temps qui n'était plus tendu vers ce seul espoir: la revoir, et qui
s'était comme affaissé en s'abandonnant à une doucereuse déréliction. Le monde de l'amour malheureux est à la fois
orienté et absurde; orienté, parce qu'il est tout plein d'un seul être; absurde, parce que cette présence envahissante
n'est pour nous qu'une absence et qu'elle ne semble être là que pour nous faire subir un vide. Charlotte était sortie du
monde de l'indifférence pour entrer dans un monde où la passion l'avait contrainte par la force à donner un sens aux
choses. Tandis qu'elle rêvait d'étreintes sublimes au clair de lune sur la plage de Donnant, ou dans des draps blancs dans
la chambre de l'hôtel du Phare à Sauzon, furieusement mélancolique, sa séductrice méditait une leçon d'amour dans un
endroit où sa victime ne pourrait rêver et, refusant un affreux décor, fermerait les yeux pour ne penser qu'à elle. Elle avait
la certitude qu'elle serait définitivement écrasée par la laideur et la promiscuité d'une maison sordide de rendez-vous.
Quand Charlotte, à bout de force, fut enfin capable de renoncer à ses rêves pour la recevoir, elle la conduisit dans une
une maison de rendez-vous près de la Place Saint-Sulpice, non loin de l'église. Cette maison se distinguait à peine des
autres dans une rue bourgeoise sans boutiques à cela près que ses volets étaient clos. L'entrée par une lourde porte en
bois donnait sur un petit hall où la réceptionniste ramassait la monnaie, contre sa discrétion, remettait une clé avec un
numéro correspondant à l'étage et prévenait la femme de chambre en appuyant sur la sonnette. L'ascenseur ne marchait
plus depuis longtemps et dans l'escalier, elles croisèrent un couple qui descendait; une femme légère et un gros homme
rougeaud qui semblait satisfait et arborait un sourire béat. Charlotte baissa la tête et supporta avec un haut-le-cœur la
femme de chambre du palier qui les accueillit avec un regard complice, en leur confiant les deux serviettes et le savon
bleu. La chambre elle-même était sinistre avec ses rideaux tirés, l'armoire à glace hideuse, le grand lit de bois marron,
le lavabo et l'obscène bidet. Charlotte ne retint plus ses larmes. Elle était très loin de la plage de Donnant, de celle des
Grands Sables, près du village de Bordardoué, ou des promenades romantiques dans la vallée de Chevreuse. En fait,
elle ne comprenait pas ce que Juliette voulait, ni pourquoi, elle lui infligeait ce supplice. Quand elle la déshabilla, elle
demeura passive, le regard perdu. Juliette eut la surprise de découvrir un ravissant corps de jeune fille, une douce poitrine,
de jolies et longues jambes. Son sexe était une discrète ombre claire au bas du ventre. Sa maîtresse fut émue, un vague
remords la saisit. Elle la caressa debout, contre elle, plus pour calmer sa honte que pour la voir défaillir dans ses bras.
Charlotte fut à la fois consentante et paralysée. Juliette acheva de la déshabiller. Elle la poussa vers le lit sur lequel
elle tomba et se retourna n'offrant que ses reins et ses fesses naïves dont la vue soudaine provoqua sur le visage de
son amante un sourire impatient où le désir l'emportait sur la satisfaction. Les coups pleuvirent mais elle ne dit rien.
Elle n'eut pas très mal. Elle espérait seulement un châtiment plus brutal, plus violent et plus sauvage. Elle savait bien
que cette attente pouvait mener Juliette à la passion. Elle serait là, discrète, calme et amoureuse. Alors sa maîtresse
finirait par l'aimer de nouveau. Les passions sont traversées ainsi de zones calmes et douces où souvent l'horreur des
bouleversements cède la place, pour quelques heures à des apaisements illusoires qui ne font rien d'autre que nous
rendre à une vie normale, mais qui nous apparaissent, par contraste, comme des sommets de félicité. La passion tend
à se perpétuer. Qui n'a vu le monde changer, noircir ou fleurir parce qu'une main ne touche plus la vôtre ou que des
lèvres vous caressent ? Mais on est où nous le sommes, on le fait de bonne foi. C'est tellement peu de choses que ce
n'est rien. Mais on n'avoue jamais ces choses-là. Comme c'est étrange cette douleur infligée par les corps, parce que
des souffles se mêlent et qu'une commune sueur baigne ses plaisirs, une âme au loin, une imagination souffrent des
tortures incroyables. Mais parler en amour, c'est agir. Juliette passa ses bras autour du cou de Charlotte. Elle l'enlaça à
contrecœur tandis qu'elle posait la tête contre sa poitrine. Elle l'embrassa dans le cou et se serra contre elle. Glissant
la main dans ses cheveux, elle posa ses lèvres timidement sur sa joue puis sur sa bouche, l'effleurant délicatement
avant de l'embrasser passionnément. Involontairement, elle répondit à ses avances. Elle descendit très lentement ses
mains dans son dos, et la plaqua contre elle. Ce fut dans la clandestinité et la laideur qu'elles s'aimèrent tendrement.
La nuit qui tomba fut un ravissement sous les grands arbres éclairés par les lampadaires aux globes de verre laiteux.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Demain, j'aurai trente-huit ans. Plus que deux années avant le seuil psychologique de la quarantaine. Je m'appelle
Florence. Je suis mariée, mère de deux enfants, infirmière à temps partiel et hétérosexuelle convaincue. Mon mari
Xavier et moi sommes assez conservateurs dans la vie, comme au lit, jamais d'extravagances. Je dirais que cet état
de fait repose beaucoup plus sur un choix que sur nos intérêts personnels. Bien que Xavier ait depuis très longtemps
désiré expérimenter l'amour à trois avec une autre femme, je ne partage pas son engouement puisque l'amour au
féminin ne m'attire pas. Et puis surtout, mon tempérament jaloux me ferait cruellement souffrir si mon mari s'ébattait
devant moi avec une jeune femme de son choix. Toutefois, puisqu'un couple en harmonie doit vivre de concessions,
j'ai accepté pour mes quarante ans l'intrusion d'un troisième partenaire dans notre lit, à la condition que ce soit un
homme. Nos discussions et négociations se sont échelonnées sur plusieurs semaines, ponctuées d'ébats torrides et
sauvages à mesure que notre excitation montait d'un cran. Je crois donc qu'il me reste deux années de sursis pour
me faire à l'idée qu'un autre homme va me pénétrer et me faire l'amour en présence de Xavier. C'est pourquoi le
cadeau qu'il me remet me laisse médusée. Outre les traditionnelles fleurs que j'apprécie toujours autant, j'ouvre la
très grande carte qui les accompagne. Quatre photographies d'hommes torse nu se disputent la place à l'intérieur.
Elles sont collées sur un rabat que je soulève. Dessous, les mêmes hommes entièrement nus et en érection.
- Seigneur, fais-je en éclatant de rire.
- Tu peux choisir ton cadeau, ma chérie.
- Xavier, je croyais qu'on avait conclu que ce serait pour mes quarante ans.
- Je ne peux plus attendre. Pourquoi pas, tout de suite ? Comme cela, ce serait une vraie surprise.
Pour être une surprise, c'en est une. Je sens mon cœur battre très fort, la première carte tremble entre mes doigts.
Le premier cliché représente un homme bien foutu, avec une queue qui dépasse beaucoup les bornes de l'imagination.
Les deux suivants, blonds, sont juste assez musclés, très athlétiques, mais peut-être un trop jeunes pour inspirer mes
idées sournoises. Le dernier, du style bad boy, avec une queue de cheval et un tatouage sur les pectoraux, affiche une
verge longue et mince. Il aurait pu m'intéresser si mon choix n'était pas déjà fait.
- Tu choisis ton cadeau, celui qui te plait, comme dans un catalogue.
- Et après ? Je peux baiser avec le mec de mon choix ...
- Oui.
- Faire tout ce que bon me semble ?
- Absolument.
- Je sens comme une arnaque.
- Pas du tout, Florence. Nous en avons déjà discuté.
- Je sais, mais je ne comprends toujours pas, tu ne m'aimes plus, c'est ça ?
- Au contraire, c'est parce que je t'aime.
- Alors, quelle est la condition ? Que tu aies ton tour ? Je t'ai déjà averti,
je ne coucherai pas avec une autre femme.
- Je sais.
- Alors ?
- Tu le sais. Je veux vous regarder.
- Cela devait être moi et un autre. Et une caméra. Un point, c'est tout.
- Je sais, je veux être là.
- Tu crois que notre couple est assez solide ?
- Sans aucun doute, alors quel est ton choix ?
- Tu le sais bien, mon chéri, la plus grosse queue.
C'est moi qui vais reconduire les enfants à l'école. Je leur souhaite un bon voyage et je reviens à la maison comme
en transe. Je n'ai pas dormi de la nuit, ne songeant qu'à annuler tout cela et à reprendre mes rêveries érotiques en
faisant l'amour. Malgré tout, plus les heures sans sommeil se succédaient, plus je devais admettre que j'en avais
très envie. Au réveil, je me suis rendue compte que je ressentais comme une sorte de trac: allais-je le satisfaire ?
Après tout, je n'ai plus vingt ans mais je reste assez désirable. Les séances de cardio training et la pratique régulière
de l'équitation ont contribué à me conserver un corps féminin attirant. Mes jambes sont longues et mes cuisses sont
musclées. Je suis perdue dans mes pensées lorsque je repère la voiture inconnue qui stationne dans l'allée de notre
maison. Notre visiteur très particulier est arrivé. Mes jambes me portent difficilement jusqu'à la porte d'entrée. Il est
sous la douche, m'annonce Xavier. Je me réfugie rapidement dans notre chambre, où je me déshabille avant de me
réfugier sous les draps. Le miroir au plafond, fraîchement installé par mon mari pour lui permettre de mieux suivre
mes jeux adultères, me renvoie l'image d'une femme inquiète, nerveuse, mais terriblement excitée et sexy. Bientôt,
j'enfile un déshabillé en satin noir. Je descends au rez-de-chaussée dans la cuisine pour me faire un café.
Quand je me retourne, ma tasse brûlante entre mes mais, je sursaute et j'étouffe un cri de surprise en découvrant
notre visiteur assis dans la salle à manger. Il est plus âgé que je ne le croyais. Ses cheveux gris sont coupés très
courts, presque à ras. Sa chemise ouverte sur son torse musclé exhibe une toison similaire. Ses pectoraux sont
saillants, son ventre plat discerne encore l'athlète qu'il a dû être. En fait, il est beaucoup plus séduisant que sur la
photo. Il se lève. Il est très grand, carré, un mur impressionnant. Il s'approche de moi et me serre la main.
- Je m'appelle Kevin.
- Et moi, Florence.
Je me fais couler un bain chaud dans lequel je m'immerge totalement. je revois ses yeux, son torse. Et je me touche.
Je me masturbe sous l'eau. Puis j'entends des pas dans le couloir, des pas qui se rapprochent. Comme dans un
mauvais rêve, je vois la poignée de la porte tourner lentement. Sauf que je n'ai pas peur, je suis terriblement excitée.
Il entre, nu. Je savais qu'il viendrait, mon invitation n'avait rien de subtil. Bien qu'il ne soit pas en érection complète
et qu'elle conserve une certaine souplesse, sa queue me fait écarquiller les yeux de stupeur. Une grosse veine la
sillonne du gland au ventre, en passant par l'un de ses testicules. Je me demande quel effet ça fait de la sucer, de
rouler la langue sur cette proéminence. Je vois dans ses yeux, dans ses mouvements suaves, dans sa manière de
me regarder, la bête de sexe implacable. Il ne me laisse pas le temps de me sécher. Il fond sur moi, me saisit par les
hanches et me plaque contre la table sur laquelle, je pose mes mains. Je le surveille dans la glace embuée; ses yeux
détaillent mon dos, mes fesses et le reflet de mes seins. Son regard fouille le mien, ardent comme un bûcher. Il ne
fait que plier les genoux et sa verge en semi-érection me pénètre comme une habituée. Je pousse un hoquet de
plaisir en sentant ce glaive charnel se frayer un passage en moi. Elle durcit au fil de ses mouvements. Elle prend de
l'ampleur en moi, c'est une sensation enivrante. Je me cramponne à la table. Je n'avais jamais pensé que d'être
pénétrée par un autre homme après tout ce temps avec le même pouvait être si radicalement différent. Mes seins
frémissent au-dessus de la table, soumis à la vibration régulière de mon corps. Enflés par la gravité, ils s'étirent, les
aréoles s'assombrissent, une veine saillante palpite près de mon mamelon gauche, scindant mon aréole en deux.
Kevin revient m'habiter, maintenant très dur et proéminent. Je mouille tellement que mes fesses dérapent sur la table.
Hallucinée, je surveille son sexe qui écartèle mes lèvres, je regarde toute sa longueur s'enfoncer lentement en moi.
Mes sécrétions abondantes refoulent sur mon entrecuisse et dégoulinent le long de mes jambes. Je me sens remplie,
écartelée et possédée. Je m'agrippe à ses hanches, labourant sa chair, et je mords dans son épaule pour extérioriser
le plaisir qui me consume. Je le repousse enfin, mon vagin reste malgré tout, grand ouvert une fois qu'il est sorti. Je
saute au sol et je le prends par la main entre mes doigts glissants. Sa verge est d'une longueur inimaginable.
- Mon mari veut nous regarder, dis-je d'une voix rauque.
Dans le couloir, sa gigantesque queue cogne contre ma cuisse. Mon désir me bat aux tempes, je me sens étourdie.
Xavier a dû nous entendre car il nous attend déjà dans la chambre, installé dans un fauteuil. Je m'agenouille devant lui
et Kevin présente son long et épais pénis à mes lèvres. Je l'admire un bon moment avant de le lécher sur toute sa
longueur, jusqu'à ce que son gland mouillé de ma salive glisse bien dans mon poing. J'ai l'impression que ma bouche
va éclater pour l'engloutir. Les deux hommes respirent fort. Mon mari a défait son pantalon et a extirpé son pénis pour
se masturber. Kevin, les mains posées sur ses hanches, surveille l'écartèlement de ma bouche sur son membre. Il
me conduit au lit et je me place à quatre pattes devant Xavier. Kevin s'accroupit derrière moi pour lécher ma vulve
irritée par l'intrusion massive de son pénis. Mon mari et moi, nous nous dévisageons. Ce que je lis dans ses pensées
m'émeut profondément. Je suis la plus belle femme qu'il ait jamais connue. Mes jambes me trahissent. Terrassée par
un afflux intense de plaisir, je m'affale sur le ventre en geignant. Kevin en profite pour me pénétrer de nouveau. En
rassemblant mes forces, je parviens à me redresser sur mes genoux et mes mains. La levrette est l'une de mes
positions favorites. C'est maintenant moi, qui avance et recule sur sa queue magistrale. Je m'exécute toujours face à
mon mari qui plonge son regard dans le mien, guettant les variations de mon plaisir. Je lui offre donc sur l'écran de
mes yeux l'intensité des émotions que me fait vivre cette pénétration par un étranger membré, doué et très endurant.
Ma lubrification épaisse, blanchâtre et visqueuse continue de se répandre sur mes cuisses. Comme mon souffle se
fait rauque et que je m'immobilise, laissant libre cours à Kevin dans ses intenses va-et-vient, Xavier s'approche et
s'agenouille devant moi. Habile, Kevin joue avec moi, m'amenant à l'orée de l'orgasme, avant de se retirer soudain
de mon vagin. Avec une grande facilité, il s'enfonce dans mon rectum. Je serre les dents, je tremble comme une
feuille. Je serre dans mes poings les draps du lit, en proie à une sensation de déchirement de ma chair. La chambre
est envahie d'une odeur de sexe brutale, pénétrante, étourdissante. Elle est aussi remplie de gémissements, de cris
et de soupirs. J'ai aussi besoin de voir Kevin me sodomiser, s'enterrer dans mes entrailles au plus profond. Quand il
redevient doux, mon plaisir se transforme, devient lancinant, s'étirant à n'en plus finir. Quand j'ouvre les yeux, à bout
de souffle et de résistance, je constate que mon mari n'a pu résister à la vision de son épouse fidèle sodomisée.
Il est grand temps de penser à moi, exclusivement. Ce n'est plus un spectacle pour mon mari, qui a récolté ce qu'il
souhaitait. C'est désormais ma satisfaction qui doit primer. Je m'avance sur mes mains et sur mes genoux, jusqu'à
ce que son membre soit éjecté de mon anus. Je le repousse sur le dos et je le monte avec des gestes lents. Je
m'assieds sur lui, en prenant appui sur son torse pour le prendre graduellement. J'incline la tête pour nous regarder
dans le miroir du plafond. J'ai peine à me reconnaître; mes yeux sont hagards, mes traits sont tirés, une mèche de
cheveux noirs colle à mon front moite. Mes seins portent les marques de ses doigts, mes aréoles brunes celles de
sa bouche. Je suis trempée de sueur. Je cesse de monter et de m'abaisser sur lui, pour osciller sur son bas-ventre.
j'enroule mes chevilles autour de ses jambes, je prends ses mains dans les miennes en enlaçant ses doigts. Xavier
se redresse. Il sait que c'est ma position fétiche, celle que j'adopte toujours à l'imminence de l'orgasme.
J'ai l'impression que sa verge s'enfonce jusque dans ma gorge. Je me démène sur lui, de plus en plus fort, selon
un rythme effréné, exacerbant la friction sur mon clitoris, gémissant à chaque oscillation de mon bassin, ma voix
monte d'une octave. Mes forces sont décuplées, les muscles de mes bras saillent sous l'effort. L'orgasme m'arrache
un long cri à fendre l'âme. Je me prosterne au-dessus de Kevin pour qu'il me pétrisse les seins, malmenant leurs
pointes sensibles, insufflant ainsi à ma jouissance un degré accru que je croyais inatteignable. J'ai besoin de douceur
après ce marathon épuisant. Je me soulève, à bout de souffle. Son pénis jaillit de mon vagin et je reste assise un
moment sur son ventre, tandis qu'il continue à me pincer les mamelons. Puis, je m'avance vers lui, vers son visage.
Ma vulve laisse sur son ventre une traînée blanchâtre. Je viens m'asseoir sur sa bouche en me cramponnant à la
tête du lit. Il lèche ma vulve irritée et rougie. La douceur de sa langue me soutire quelques longs soupirs. Puis ses
lèvres débordent encore vers mon anus, grand ouvert en raison de la position que j'adopte. Sa bouche couvre mes
deux orifices, je savoure sa moiteur, sa chaleur, sa caresse mouillée de ma cyprine. C'est à lui maintenant d'avoir
du plaisir. J'utilise mes deux mains bout à bout pour prendre sa verge encore dure. Je regarde mon mari, mon
excitation ne s'est pas tarie. Lisant l'approbation de Xavier dans son regard, je dois sucer Kevin. Je m'exécute
aussitôt, léchant d'abord son gland, puis son long manche et ses testicules. Lui ne se fatigue pas de laper ma vulve
et mon anus, qu'il badigeonne allègrement de sa salive tiède. Du bout de ma langue, je suis le tracé sinueux de sa
veine proéminente. Il est dur comme le roc, doux comme la soie. Lentement, je veux l'amener à la jouissance.
Prenant conscience que la méthode douce ne pourra seule venir à bout de son endurance, je reprends mes deux
mains pour le masturber. Je suis récompensée par la désertion de sa bouche sur mes parties génitales, remplacée
par ses mains sur mes hanches. Dans un long râle, il jouit. Je ferme ma bouche sur son gland en pinçant mes
lèvres pour qu'il éjacule au fond de ma gorge, buvant ses jets réguliers et abondants. Pour le plaisir de mon mari,
je laisse échapper un peu de son sperme, qui coule de mon menton en filaments visqueux et sur sa verge. Puis,
je roule sur le dos, mon pied droit sur le thorax de Kevin. La belle a vaincu la bête. Il me suggère de recommencer
en me caressant ma cheville. Des yeux, je cherche l'assentiment de Xavier, qui hoche doucement la tête. Je bouge
mon pied pour caresser sa verge, qui commence déjà à retrouver son aplomb. J'ai juste besoin de quelques minutes
pour refaire mes forces. Kevin se lève pour prendre une douche. Je regarde encore mon mari, cherchant à décoder
ses pensées. Dans son regard, je lis de l'étonnement, un curieux apaisement mais également une grande tendresse.
- Comment vas-tu ? lui ai-je demandé en roulant sur le ventre ?
- Très bien, tu es splendide. Il fallait que je te voie avec des yeux de spectateur.
- Tu es aussi conscient qu'on ne pourra jamais égaler cela au lit, n'est-ce pas ?
- Tu as encore beaucoup de progrès à faire dans un tout autre domaine, Kevin revient mardi prochain.
- Plus que jamais, j'ai le goût de me donner en spectacle.
- Alors mardi prochain, pour laisser libre cours à tes fantasmes, Il t'attachera et il te fouettera, Florence.
- Crois-tu que je sois masochiste ?
- La douleur est en même temps du plaisir et la souffrance de la joie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Lors de chaudes journées d'été, j'ai trouvé la fontaine idéale où me désaltérer. Dans l'intimitié
de notre chambre à coucher, je bois à sa fontaine les fruits de son caprice. Parfois, c'est moi
qui initie les choses car la simple pensée de sa saveur unique me fait saliver. Toutefois, le plus
souvent, c'est elle qui éprouve le besoin pressant d'être soulagée. C'est un rituel connu de nous
deux, amorcé par une phrase convenue que seule ou moi peut prononcer. Pour la première fois
aujourd'hui, Florence la mentionne devant nos invités, un couple d'amis à elle que nous avons
finalement conviés à un souper après maintes hésitations. "Je suis comme une petite truite sur
l'asphalte", déclare-t-elle avant de se lever de sa chaise et d'entrer dans la maison. C'est la
phrase convenue, celle qui m'annonce le besoin irrépressible de mon amoureuse. Je m'excuse
auprès de nos invités, car Florence est entrée sur les chapeaux de roues. Il y a probablement
plusieurs minutes qu'elle rumine en silence, espérant que son besoin s'éteigne, jusqu'à ce que
sa situation devienne insoutenable. Je la suis dans la maison où elle a déjà disparu dans les
ombres du couloir. Je la rattrape enfin. Elle porte une robe légère qui virevolte sur son corps.
Le dessous de ses pieds nus est brûlant et ses épaules hâlées sont couvertes d'une myriade
de taches de rousseur. Elle ne se retourne même pas lorsque je l'interpelle, enfilant rapidement
les marches de l'escalier, puis bifurquant en haut vers notre chambre à coucher.
Florence sème derrière elle un nuage fleuri et l'odeur plus marquée de sa passion. La fenêtre de la chambre est ouverte,
la brise chaude crée un courant d'air salutaire qui me rafraîchit. Tout en me souriant d'un air coupable, elle retrousse sa
robe et descend sa culotte jusqu'au plancher. Je remarque que sa fourche est mouillée. Elle la tient un moment à bout
de bras pour que je constate son état d'urgence. Rien qu'à voir ses yeux, je comprends qu'elle n'en peut plus. Puis, je la
monte sur le lit comme s'il s'agissait d'un piédestral. Elle se place à quatre pattes et remonte sa robe, exhibant sa croupe
bien haute. Elle laisse ses bras reposer inertes sur le matelas, en enfouissant son visage dans un oreiller. Je grimpe
derrière elle, je fais durer le suspense en léchant d'abord ses jambes, de la cheville au creux du genou. Puis, je suçote
ses cuisses accueillantes, tout près de leur troublante jonction. Elle se trémousse d'impatience, alors que je refoule la
mienne péniblement. Un grognement d'exaspération meurt dans l'oreiller. Elle est enfin à ma merci.
Je sais que dans l'état où elle se trouve, ça ne prendra que quelques minutes avant que je puisse déguster mon cocktail.
J'essaie donc d'étirer la sauce parce que je savoure ces moments tout autant qu'elle. Je glisse mes mains sous sa robe,
sur son dos soyeux, réchauffé par le soleil. Je caresse ses omoplates, le chapelet osseux de sa colonne vertébrale, la
rondeur exquise de ses hanches. Je lèche aussi le creux de ses reins, moite et salé, avant de presser mon visage contre
ses fesses. Car c'est d'abord son odeur intime qui m'attire, qui titille mes papilles, qui me fait perdre mon contrôle. Je
caresse du bout de mon nez sa vulve dont les grandes lèvres ressemblent à des quartiers de pêche juteux. Son duvet
très fin chatouille mes narines, son arôme m'envahit, me fait tourner la tête, déchaînant en moi un flot d'émotions.
Je veux que ma bouche et ma langue lui communiquent ma fièvre de renouer avec sa vulve chaude, douce et savoureuse.
Je lèche donc à grands coups, tout autant que je dévore son fruit mûr. Sa réaction est immédiate, brutale, bruyante.
Heureusement, l'oreiller en isole les plus violentes démonstrations. Autrement, la fenêtre ouverte aurait permis aux gens
de la rue et à nos invités de deviner les activités en cours. Sa vulve devient vite un lac où je me désaltère, une barboteuse
tiède pour mes doigts fébriles. Ouvertes comme des écluses, ses lèvres libèrent un ruisseau, un torrent qui se déverse
dans ma bouche conquise. Je n'ai qu'à ouvrir mes lèvres et à laper son miel, mon visage niché au chaud entre ses cuisses,
ma main gauche en coupe sous son ventre, et deux doigts de la droite occupés à la fouiller, à la recherche de cette zone
critique qui déclenchera le déluge tant attendu. Puis, tel un geyser, au moment où mon majeur repère et active ce point
mystérieux, une éruption se produit dans ma bouche, m'étouffe de son abondance. Je bois à la source, mes lèvres
arrondies autour de ce grand puits, mon nez appuyé sur son anus plissé. Je me détache seulement lorsqu'elle a cessé de
couler, mon visage tout barbouillé de cette débâcle, tandis que Florence s'effondre sur le ventre, épuisée.
Alors, je me dégage et je me lève. Elle découvre ma grande silhouette et ma chemise ouverte jusqu'au ventre, le pantalon
d'où darde ma queue et aussi le désordre émouvant de mes cheveux. Elle ne bouge plus, me sourit simplement pour fêter
mon allure si imposante. Je tiens contre sa joue un fouet que j'abaisse pour en effleurer son épaule. Je me déshabille et je
frôle à peine sa fente trempée, et j'engouffre mon sexe aussi loin que possible dans sa gorge. Mes jambes se raidissent,
s'enfle la mer de sang qui bouillonne en lui, y brûle le liquide qu'échaudent les mots que je ne dis pas. Je bouge le fouet de
droite à gauche. Les lanières de cuir effleurent sans doute ses cuisses. Désormais, je le manie avec une violence rare. Je
sens son corps tressaillir plus vivement que d'habitude; par instants, la saccade la soulève. Elle souffre des zébrures. Elle
monte au ciel, je l'imagine, elle s'envole, les yeux grands ouverts de l'extase qu'elle m'offre. Florence me sourit. Elle remet
une nouvelle culotte sèche, recoiffe sommairement ses cheveux et nous retournons avec regret auprès de nos invités.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Bruno possède un incroyable magnétisme animal. C'est ainsi depuis sa naissance. Déjà au berceau il était silencieux, mais il en imposait. Un pouvoir étrange et rare. Ado ce n'est pas les grands qui venaient l'emmerder. Il n'avait pas besoin de se battre.
Tout le monde lui foutait la paix car il savait inspirer la peur. Un solitaire qui attirait déjà le plus jolies filles, car ces dernières adorent se faire peur. Sauf que en présence de Bruno elles devaient toutes baiser leurs culottes et se faire prendre de la façon dont il avait envie et quand il avait envie. C'est simple, en sa présence c'est comme si elles étaient complètement nues et sans la moindre volonté.
Elle adoraient cela, sentir la peur dans le ventre. C'était déjà en soi presque un orgasme. Aucune barrière, aucune protection, aucune règle, le magnétisme animal est comme un champ de force. A l’intérieur, la proie se dissout dans une obéissance totale. On voit cela chez les loups, il suffit au mâle dominant de montrer les crocs et d'émettre un râle de gorge pour voir ses rivaux mâles se coucher et s'autocastrer chimiquement par la peur et voir les femelles écarter pour se faire prendre, elles aussi bien obéissantes par la peur.
Seule la femelle dominante ne se couche pas, mais veille à voir les autres femelles bien obéir. Bruno est ainsi, il transpire cela et ses rivaux se couchent et se castrent eux-même chimiquement par la peur et les femelles se donnent sur un claquement de doigt.
Ce n'est pas leurs corps qui sont à nus devant ce dominant, mais aussi leurs âmes. Bruno s’est mis en couple avec Nadia, une femme dominante et ils règnent sur un harem de soumis et de soumises. Ils aiment passer une soirée à l'improviste chez un couple de leur harem.
Bruno, baise l'épouse devant son mari. Ce dernier est fouetté copieusement par Nadia et mis au piquet avec le cul rouge sang. Après l'épouse doit bien lécher Nadia pour la remercier. Bruno la fouette car il trouve toujours que c'est mal fait. L'épouse va rejoindre son mari au piquet avec elle aussi un cul bien rouge sang. Un joli spectacle.
Bruno et Nadia viennent de partir. Les deux soumis ont bien chaud aux reins. Ils sentent les marques des lanières en cuir brûler. Ils ont pour ordre de rester ainsi, culs nus, debout, au piquet, au silence pendant une heure, sans bouger. Ils font cela et la douleur se transforme doucement en plaisir. Ils ont besoin d’obéir et d'être bien disciplinés par le fouet. Ils aiment sentir la peur qui leur noue le ventre, c'est une forme de jouissance. La morale de cette histoire c'est que les dominants n'ont pas besoin de morale.
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-Ben oui mon chéri, tu es cocu, et alors?
-Cela me fait très mal, Nath, de savoir qu'un autre homme te touche.
-Ne fait pas cette tête mon loulou chéri, mon amant me baise très bien et il en a une grosse.
-C'est juste une question de taille?
-Pas du tout sauf que Mika, mon amant sait très bien se servir de sa grosse et je peux plus m'en passer.
-Tu veux qu'on divorce?
-Non, je tiens à toi, pour plein d'autres choses que la baise. Cela tu sais pas faire.
-C'est sympa pour moi, je croyais que je te faisais jouir.
-Tu sais, j'en ai parlé à Mika et il ne veux plus que tu me pénètres. C'est son domaine réservé maintenant. Par contre il t'autorise à me lécher le minou et à bien me nettoyer. Il veut bien aussi que je te sodomise pour te faire jouir.
-C'est maintenant l'amant qui décide de tout?
-Oui, lui c'est un dom et toi mon chéri, tu es un soumis et il est temps que tu restes à ta place de soumis. En plus Mika veut t'obliger à porter une cage de chasteté. Il ne veut plus que tu bandes en ma présence. C'est lui qui gardera la clé.
-Et si je refuse.
-Ne dis pas de bêtises, un soumis cela obéit et ne discute pas. allez, je vais te donner une bonne fessée et te sodomiser, après tu te sentiras bien mieux et à ta place.
-Non, pas la féssée.
-Mais si mon loulou chéri, et tu vas devoir me dire merci.
----------------
La morale de cette histoire c'est qu'un soumis est toujours coupable et qu'il n'est jamais assez puni
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-Cessez donc de vous plaindre mon cher. Soyez donc heureux d'être cocu et réjouissez vous que votre épouse prenne son pied avec son amant.
-Je ne peux pas. Mon coeur souffre. Je vous voulais à moi, rien qu'à moi, dans la fidélité du mariage.
-Mais je vous reste fidèle. Vous êtes toujours mon époux, le seul. Eux...ce sont mes amants. Ce sont de bons sexe-toys , ils me font bien jouir. Mais c'est tout, je ne vis pas avec eux.
-Ah j'enrage de savoir cela. Je suis prêt à me jeter par la fenêtre lorsque je vous entend parler ainsi.
-Mais non, mon cher, ne dites pas de bêtises. Ce sont des cornes que vous avez, pas des ailes.
-En plus vous vous moquez, c'est insupportable.
-Que diriez vous si je vous posais une cage de chasteté? Peur être vous sentiriez vous mieux dans votre tête. Cocu et chaste vous irait bien. Juste un bon mari qui entretient bien sa femme et sa maison.
-Vous n'y songez pas?
-Oh si, j'y songe tellement bien que j'en ai acheté une pour vous toute en acier. très solide, avec un beau cadenas. Allons, baisez votre pantalon que je puisse vous la poser.
-Jamais, j'accepte d'être cocu, mais je refuse la chasteté.
-Vous voyez mon cher, vous êtes en plein progrès. allons, baissez votre pantalon !
-Non, cela je ne peux pas. Ne plus pouvoir bander. Mais je vous désire tant.
-Allons, promis, je vous libérerai....quand il me plaira et vous m'aimerez encore plus pour cela.
-Vous croyez ?
-J'en suis certaine.
La morale de cette histoire, c'est qu'il faut toujours punir doublement un soumis.
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Juliette est une amante unique, passionnée, ambivalente et infatigable. Coulée d'un bloc, elle n'en est pas moins
diablement féminine, gracieuse, aguicheuse. Car elle aime les hommes. Elle adore plaire et séduire, elle veut avant
tout se sentir désirable et désirée. Quand elle le veut bien, ses yeux coquins ne font aucun quartier. Peu bavarde sur
ses pratiques sexuelles, elle n'en demeure pas moins très ouverte d'esprit et même si elle n'a jamais essayé la chose,
elle est une bisexuelle convaincue. C'est lorsqu'elle se met sur les genoux et les coudes que je préfère alors Juliette
Inconditionnellement. Moi positionné derrière, avec une vue imprenable sur ses atouts éclairés par une lumière tamisée.
Ses formes harmonieuses sont alors projetées en ombres voluptueuses sur les draps frais. Entre ses atouts et ses
courbes vénérables, ce sont ses fesses musclées que je préfère devançant de peu, ses seins superbes et hauts placés.
Tout comme sa poitrine, ses reins sont délicieusement attirants, ils s'abandonnent parfois lorsqu'elle est amoureusement
passive et qu'un désir primitif se réveille en moi. Alors il n'y a pas meilleur sort pour moi que de les admirer, juste avant
de les embrasser et de les lécher, pour y frotter mes joues, ma barbe naissante ou mes lèvres gourmandes. C'est ainsi
que commence un doux ballet sensuel, durant lequel son corps unique ondule sur mon visage. Après un long examen
de son fessier qui satisfait mes yeux curieux, j'embrasse son anus comme s'il s'agissait d'une seconde bouche, d'abord
doucement avant d'y impliquer ma langue. Je prends parfois une pause pour contempler ses fesses luisantes de ma
salive, à son grand mécontentement, car Juliette se met à grogner de protestation, en dodelinant ses fesses de gauche
à droite. Je les recueille dans mes mains pour les calmer, tandis que je replonge ma langue le plus loin possible dans
son rectum caverneux et humide. Elle gémit alors, en reprenant ses mouvements d'avant en arrière pour mieux y faire
pénétrer ma langue. J'aime particulièrement la sentir réagir, frémir quand je lèche le profond sillon de ses reins, quand
je me rapproche de cet épicentre que représente son anus extensible et succulent, tel un festin royal, un buffet divin.
Au moment où je suce son muscle, Juliette agite frénétiquement ses grands pieds, telle une Lolita diabolique, sortie tout
droit de l'imagination de Nabokov, rien de plus sensuel et de plus délicat. Ses gémissements se font aigus, perçants,
totalement différents de ceux qu'elle peut émettre quand elle est pénétrée traditionnellement. Je me sers de ma langue
pour dilater, agrandir et ramollir les intimes sphincters couronnant son orifice étroit. Doucement, j'enfonce mon index,
suscitant chez elle un long grognement, une plainte d'approbation qui m'amène bientôt à extirper mon doigt de son logis
pourtant très accueillant pour y substituer ma langue besogneuse. Juliette s'arc-boute. Je pose mes mains sur son
dos large, admirablement bâti. Puis, je reprends mes mouvements pour la dilater, toujours plus, jusqu'à ce que son anus
friand de caresses forme un grand cercle ouvert, dans lequel je peux désormais insérer trois doigts sans forcer. Bientôt,
elle ne pousse que des gémissements plaintifs, étouffés. Avec une seule main, je pénètre ses deux orifices, mon pouce
dans son vagin et quatre doigts dans son cul offert. Quand elle se cambre, j'éprouve l'envie pressante de la plaquer contre
moi, pour étreindre son corps fabuleux, en plaçant une main en coupe sous son ventre, ma queue massive logée entre
ses fesses, à l'orée de son sillon anal pour la sodomiser. Toutefois, sachant ce qu'elle préfère, je résiste à la tentation en
conservant mes doigts toujours actifs dans ses deux orifices, ma bouche posée sur son rectum, prête à prendre son tour.
Je substitue donc ma langue à mes doigts dans son rectum en m'attendant à ce que Juliette crie grâce à tout instant,
en se livrant, mais elle s'accroche, tenant à pousser son orgasme jusqu'au bout, à prolonger le plaisir, à tirer le maximum
de sa jouissance. Comme dans un rêve, j'entends son feulement monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier
s'exhale de sa chair sur laquelle mes lèvres se posent. La source qui filtre de son ventre devient fleuve. Elle se cambre de
tous ses muscles. Un instant ses cuisses se resserrent autour de ma tête puis s'écartent dans un mouvement d'abandon
brutal. Elle devient outrageusement impudique, ainsi plaquée contre moi, les seins dressés, les jambes ouvertes et repliées
dans une position d'offrande totale, me livrant les moindres recoins de sa chair la plus étroite. Quand elle commence à
trembler de tout son être, je viole de nouveau de ma langue précise l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abat sur elle avec
une violence inouïe. C'est lorsque je roule ma langue en elle que Juliette éclate, qu'elle se met alors à pousser des cris
stridents, très gratifiants pour moi, si bien que je la garde en bouche jusqu'à ce qu'elle se taise, apaisée et comblée.
- Hé, hé, Xavier, fait une voix dans mon oreille.
Je sors de ma torpeur. Je ne suis plus dans la chambre rafraîchie par la douce brise estivale,
mais dans un salon éclairé aux bougies. De la cuisine, proviennent des bruits de vaisselle.
- Hé, mon homme, es-tu dans la lune ?, plaisante Juliette en me tendant une coupe de champagne.
Elle porte une robe en coton d'été au décolleté enchanteur. Il n'y a qu'elle pour porter si bien un tel décolleté.
- À quoi pensais-tu ? me demande-t-elle en s'asseyant contre moi.
- À rien, me suis-je contenté de répondre, comme tout homme se borne à faire dans ces conditions.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Bilou est une matonne et elle adore son métier. C'est elle qui a demandé à s'occuper des "pointeurs" et partout où Bilou passe, ....Toujours à l'heure, impeccable, bien mise, avec une jupe courte pour montrer ses jambes et pas de culotte. Les "pointeurs" le savent et ils se sont donnés le mot, mais cela fait partie de son plaisir, les faire baver. SI Bilou adore son job c'est parce que cela lui procure de doux orgasmes cérébraux.
Les violeurs sont des impuissants, en plus avec les drogues, ils bandent plus du tout. Alors, cela l'amuse. Elle aime les amener à la douche et les obliger à se déshabiller devant elle, à se laver devant elle, à bien se savonner les parties et le cul. Ils ont honte de ne plus bander. Elle écarte bien les jambes devant eux. Le pire c'est son sourire moqueur. Et elle jouit seule, sans se toucher.
Sa punition favorite, c'est la douche en particulier, devant elle qui "surveille".
Elle aime aussi le soir faire des inspections en privé dans les cellules des "pointeurs". Elle y va toujours seule. Elle n'a pas peur de ces psychopathes, bien au contraire, ce sont eux qui ont peur. Elle les oblige à se mettre nus et à se confesser. C'est fou comme ils obéissent bien ces "pointeurs". Ils sont en confiance avec Bilou. Elle ne cafte jamais et elle sait les écouter. Elle a plus de résultats que les religieux de service à la prison. Bilou a un étrange pouvoir sur les détenus incarcérés pour des problèmes sexuels, elle en fait ce qu'elle veut, sans jamais crier. Elle ordonne et ils obéissent en tout et pour tout, sans jamais discuter.
Parfois, en privé, dans une cellule, elle montre sa chatte et se fait lécher.
-tu vois, c'était pas si compliqué de contempler un joli minou et de le respecter.
Et tous vont bien mieux dans leur tête. Juste regarder un beau minou et accepter leur propre impuissance. Tout se passe dans la discrétion avec Bilou. Elle sait les mettre à l'aise.
-Il faut réparer et payer pour ce que vous avez fait et vous soigner. Cela c'est le discours du directeur.
avec Bilou c'est:
-je veux pas savoir ce que vous avez fait avant. Par contre, avec moi vous ne sortirez pas d'ici tant que je ne serais pas certaine que vous ne recommencerez pas.
Cela, ce n'est pas le job de Bilou. Mais elle a été violée jeune et elle a choisit ce métier pour cela. Au début elle voulait se venger. A présent, elle ne veut plus rien; juste elle aime son job et elle le fait bien.
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Parce que la liberté est comme une prison,
Et que servir et obéir est plus qu’une vocation,
Je suis en quête d’une personne protectrice
Qui pourra toutefois réveiller ses désirs de sévices.
A celle ou celui qui saura m’apprivoiser,
Avec tendresse, amour et fermeté,
J’offre mon corps, mon âme et mon cœur,
Pour devenir son support de plaisir et de douleurs.
Mon dévouement sera ainsi total,
Ma flamme intérieure s’embrasera au niveau maximal,
Sortant enfin de l’obscurité
Illuminée par son aura pour l’éternité.
Vous qui lisez ces lignes,
Si d’aventure, votre curiosité piétine,
D’en savoir plus sur une adoption,
D’une petite chose en perdition,
En manque d’affection,
De correction,
Et d’éducation,
Alors suivez votre intuition
Et envoyez un message pour entamer la conversation.
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Je pagaie tranquillement, savourant la chaleur du soleil sur ma peau. Mon amoureux est assis à l'avant du
canot, et moi à l'arrière. Quand il manie la rame, les muscles roulent sous la peau de son dos lisse. Il émane
de lui une force rassurante, voire excitante. Il y a vingt minutes, j'ai retiré discrètement mon chandail et mon
soutien-gorge, ce qui fait que je pagaie désormais les seins nus. Je suis fondamentalement exhibitionniste,
me limitant la plupart du temps à imaginer que je me dévoile à tout vent, et que des inconnus me détaillent
avec de grands yeux. Sauf que cet après-midi, j'ai décidé de passer de la pensée aux actes et je me sens
terriblement bien. La brise chaude caresse mes aréoles, glisse sur ma poitrine excitée. Je frissonne malgré
la chaleur, la chair de poule apparaît sur mes jambes. Mon amoureux ignore que je me suis dénudée, je
préfère lui réserver cette surprise qui le laissera pantois. Je sais qu'à un ou deux kilomètres en aval, il y a
une petite crique où nous pourrons nous arrêter pour batifoler en pleine nature. Quelques minutes, plus tard,
aux confluents d'une autre rivière, nous croisons d'autres canoteurs à qui je fais signe de la main. Je m'amuse
de leur mine intéressée. Il s'agit de deux hommes pour qui je représente sans doute le clou de la journée.
-Tu as vu leur mine ?! On dirait ... , commence mon amoureux, en se retournant vers moi. Bon sang, s'écrie-t-il
en découvrant ma poitrine nue sous le soleil.
Il veut me rejoindre sur mon banc, mais je le repousse gentiment.
- Allez, continue à ramer. Tu t'amuseras plus tard.
Nul besoin de dire qu'il pagaie comme un damné pour atteindre la crique, où la profondeur de l'eau doit faire tout au
plus cinquante centimètres. Voilà une heure que j'attends ce moment, depuis que j'ai dénudé mes seins. Je suis déjà
bien mouillée et prête pour amorcer les jeux. Je mets pied à terre après avoir posé ma rame dans le fond du canot.
L'eau peu profonde, tiède et sombre, me cerne les chevilles. Le sable est dur et doux sous mes orteils. Le clapotis de
l'eau est apaisant, tout comme le soleil qui tombe derrière les montagnes à l'horizon. Mon amoureux se tient à deux
mètres de moi, quand je descends ma culotte de maillot sur mes jambes, découvrant mes fesses dont la beauté a de
quoi émouvoir. Mon teint hâlé et ma chevelure sombre me prêtent des origines latines que je n'ai pourtant pas. Mon
nez fin et ma bouche ample donnent souvent de mauvaises idées à mon amoureux, comme en ce moment précis.
Je recule, les yeux fixés sur lui, jusqu'à ce que l'eau de plus en plus fraîche me ceinture la taille. Il se déshabille, puis
il nage vers moi en touchant le fond du bout de ses mains. Quand il se dresse sur son séant, je remarque le coup de
soleil sur ses bras et ses épaules, jusque sur ses omoplates. Ses cheveux noirs sont mouillés sur sa nuque, son pénis
en érection vibre sous son ventre. Sa peau brûlée doit trouver un certain soulagement dans l'eau fraîche de la crique.
Il me rejoint en marchant, des gouttes d'eau dévalant de sa verge dressée. Son torse que j'aime caresser pendant l'acte
est irréprochable et lisse. En raison de son diamètre hors norme, son sexe ne devient jamais aussi dur que celui de mes
soupirants précédents, conservant ainsi une certaine souplesse qui nous autorise un éventail de positons nombreuses.
Ma préférée, lorsque le confort le permet est celle où je suis couchée sur mes omoplates, mes jambes repliées, un
genou de chaque côté de mes oreilles et lui debout dos à moi. Quand il insère son pénis dans mon vagin, je bénéficie
d'une vue rapprochée sur ses fesses et ses testicules. C'est une pénétration très profonde, une position délinquante et
acrobatique qui brise la routine. Pour le moment, sous le soleil couchant, nous luttons un moment sous l'eau. Quand
mon amoureux prend le dessus, je me mets à jouer avec son pénis et lui agrippe mes seins quand il en a la chance.
Je tente de lui échapper, je cours dans l'eau qui éclabousse mon corps nu, et je me hisse enfin sur une roche plate au
milieu de la crique. Debout, les bras élevés au-dessus de ma tête, je pousse un grand cri de victoire, attendant que mon
amoureux vienne me conquérir. Il ne perd pas de temps à me rejoindre, muni de sa virilité glorieuse en érection.
Il me fait un croc-en-jambe pour me forcer à m'étendre. Ses lèvres survolent les miennes, sa langue chaude s'insinue
dans ma bouche. Ses mains puissantes et précises caressent mes seins, ses doigts étirent leurs pointes, me soutirant
de courts gémissements. Il glisse sur mon corps, telle une couleuvre, pour s'arrêter sur mon sexe mouillé. Sa bouche
s'accouple à ma vulve, sa langue me pénètre, me lubrifie, me fait vibrer de plaisir. Je joins mes mains aux siennes, sa
barbe rugueuse frotte sur mes cuisses sensibles. Puis, mon amoureux s'appuie sur ses mains, me surplombant de toute
sa carrure. Il laisse son gland flirter avec mes lèvres enflées, mouillées par sa salive. C'est le moment que je préfère dans
nos relations sexuelles, quand il prend tout son temps pour me pénétrer, quand il écarte mes nymphes avec le bout de
son sexe. Ses yeux rivés aux miens, concentrés et allumés, se moquent de moi, jusqu'à ce qu'il me pénètre enfin.
J'appuie mes mains sur son dos brûlé, je plante mes ongles dans sa peau et il gémit de douleur. J'aime aussi la position
du missionnaire. J'aime le sentir en moi, mes yeux ancrés dans les siens, mes mains voyageant de son dos à ses fesses,
mes jambes relevées bien hautes en l'air. Je geins fort, je sais qu'il aime m'entendre, car quand je suis plus bruyante, sa
vanité s'en voit réconfortée. Et avec le temps, j'ai appris à apprécier mes propres gémissements, à entendre la vibration
extatique de ma propre voix jusqu'à ce que l'orgasme la brise par son intensité. Connaissant fort bien mes préférences,
mon amoureux roule sur le dos, ses yeux voilés de plaisir. Je m'installe sur le dessus, sur son érection prodigieuse, en
contrôle de la situation. Je caresse ses épaules, ses pectoraux et ses bras, tandis que j'oscille sur sa verge. C'est une
position qui a rapidement raison de moi, car la friction de mon clitoris sur son bas-ventre devient vite intolérable.
Je me cambre, une sensation de chaleur m'envahit, me monte au visage et me gagne toute entière. L'orgasme est
alors imminent, je cherche ses mains et je les étreins presque à les briser. Lui accompagne mes mouvements, en
ondulant son bassin, accentuant encore la pression sur mon clitoris. Il réussit à patienter, à surveiller mon orgasme
pour minuter le sien au mien. L'envie subite lui vient alors de me sodomiser car il sait que je suis très anale. Je guide
alors son sexe vers ma voie la plus étroite. Cela me permet de retarder ma jouissance et de le fortifier également. Je
crie encore quand il se tait, puis tous mes muscles se relâchent comme l'orgasme s'enfuit lentement. Je courbe le dos,
rassassiée, mes genoux à vif en raison de la friction de ma peau contre le rocher. Il se redresse sur ses coudes, et je
pose ma main sur son thorax pour le forcer à se rallonger. Je me glisse sur lui, jusqu'à ce que je vienne m'asseoir sur
son visage. J'adore me faire lécher après, lui n'est pas rebuté à laper son sperme directement de ma vulve suintante.
Je tente de réfréner mes spasmes au moment où il me lèche en gémissant. Je suis si à vif que sa langue me fait encore
sursauter, je peine à demeurer immobile sur sa bouche très active. Je me soulève un peu, ma vulve se trouve alors à
quelques centimètres de sa bouche. Puis j'insère deux doigts pour l'ouvrir et permettre un meilleur égouttement de nos
nectars mélangés. Je lui badigeonne d'abord les joues, puis le nez, avant d'orienter de nouveau ma fontaine charnelle
sur sa bouche toute grande ouverte. Une fois que je suis vidée, je m'étends sur son flanc, ma tête dans ma main, et je
caresse sa verge qui perd de sa splendeur avant de la prendre amoureusement entre mes lèvres pour la laver.
- Personne ne peut se douter à quel point le canot peut-être un loisir sensationnel déclare mon amoureux.
- Si, eux, dis-je en pointant un groupe de quatre canoteurs amassés sur une butte, d'où ils ont pu surveiller
nos ébats. Deux d'entre eux applaudissent d'ailleurs, les bras relevés au ciel, alors que les autres dressent
une tente près du lieu où nous monterons la nôtre.
Je me lève, je fais la courbette, toute nue. Je suis franchement excitée, désinhibée.
- Tu crois qu'ils ont tout vu ? me demande mon amoureux, ne cherchant lui non plus à se camoufler.
- J'espère bien. Et si ce n'est pas le cas, on pourra recommencer cette nuit.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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