La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 10/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 14 : Dimanche 6 Je me réveille, j’ai le sexe de mon Maître dans la bouche. Je me suis réveillée deux fois dans la nuit. Le sexe était sorti de ma bouche, j’ai tout de suite rectifié la position. Mon Maître se réveille. Je commence à le sucer mails il m’arrête : -    J’ai envie d’uriner. -    Moi aussi. Vas-y d’abord puis va dans le bas à douche, tu te mets à genoux et la bouche ouverte. Je sais ce qu’il veut. Après avoir satisfait mon besoin personnel, je prends la position adéquate. Mon Maître arrive, place son sexe entre mes lèvres et commence à uriner. Ce n’est pas un exercice facile, réceptionner le liquide et l’avaler. J’y arrive presque. Je ramasse avec mes doigts les gouttes sur mes seins puis je lèche mes doigts. Nous retournons dans la chambre et je continue ce que j’avais commencé. Mon Maitre ne bouge pas, il sait que je vais faire ce qu’il aime, lécher les bourses, gober les couilles, lécher le gland et, enfin, absorber la queue au maximum. Ma tête bouge verticalement. J’arrive à absorber la totalité du sexe, j’en aime le contact avec le fond de ma gorge. J’aime aussi recueillir la semence le plus profondément possible. Mon Maître m’a bien formée. Mon Maître a posé ses mains sur ma tête pour accompagner mes mouvements. Je présume qu’une pipe est un grand bonheur pour l’homme, c’est aussi un grand bonheur pour la femme que de sentir dans sa bouche les sensations de son partenaire et, en particulier, suivre son orgasme. Mon Maître est très résistant dans cet exercice. Ma bouche continue de monter et de descendre sur le sexe. Et, puis, c’est l’étincelle, je reçois en cadeau un jet de liquide qui réjouit mas papilles. Je me délecte, je déguste et je finis par avaler. -    Merci, Maître. Nous nous levons et prenons notre petit-déjeuner. Je pense à s2 qui doit se morfondre dans la cave. Mon Maître me tend la clé : -    Va chercher s2. Je rentre dans la cave. S2 est assise sur le sol : -    Bonjour, madame. Je la prends par la laisse et l’emmène au salon. -    Bonjour, Maître. -    Va prendre une douche ! -    Oui, Maître. Mon Maître s’adresse à moi : -    Tu la reprends en main ! -    Oui, Maître. S2 revient toujours à quatre pattes. Je l’invite à venir se restaurer. Mais elle doit rester à terre. Elle a le droit de se servir de ses mains. Je lui jette un morceau de pain et dépose un bol de café sur le sol. Quand elle en a terminé, je la reprends par la laisse et l’emmène aux toilettes. Je défèque, je me relève, me tourne vers s2 : -    Je veux que ta langue remplace le papier hygiénique. Je veux avoir le rectum tout propre. On ne m’a jamais obligée à le faire mais je l’aurais fait pour plaire à mon Maître. S2 s’approche de moi, prend une fesse dans chaque main et sa langue commence à me lécher. Apparemment, elle a bien effectué son travail. Je vérifie avec du papier hygiénique, j’ai un cul tout propre. -    Va te rincer la bouche et rejoins-nous dans le salon. -    Oui, madame. S2 revient à quatre pattes dans le salon. Le Maître décide d’une sortie. S2 va garder son collier. Je garderai mon boléro. Nous nous habillons. S2 porte un teeshirt et une jupe, tout comme moi. Pas de soutien-gorge ou de culotte ni pour l’une ni pour l’autre. Je dois marcher devant avec s2, le Maître est à quelques pas derrière nous. S2 et moi-même nous devons nous tenir par la main, s’arrêter souvent pour s’embrasser à pleine bouche, puis nous rendre dans un parc où nous devons nous asseoir sur un banc, s’embrasser, nos jupes étant retroussées et laissant voir nos pubis. Nous nous rendons au marché, c’est la foule du dimanche matin. Nous suivons à la lettre les recommandations, nous nous tenons par la main, nous nous embrassons souvent. Nous constatons des réactions diverses, certaines très hostiles, d’autres plus égrillardes. Nous arrivons dans un parc et choisissons un banc. Nous nous embrassons, nos jupes sont relevées. Plusieurs hommes passent devant nous plusieurs fois, l’un d’entre eux s’assoit sur le banc d’en face et nos gesticulations lui plaisent. Deux hommes se présentent en nous proposant d’aller dans un hôtel, une femme nous injurie. Le Maître a suivi toute la scène et a même fait quelques photos. Il nous fait signe de le rejoindre. Il nous indique que nous allons nous rendre dans un restaurant. Le repas se passe bien. Notre Maître nous gâte. Il rappelle les rudiments de la tenue d’une soumise, les cuisses doivent être légèrement écartées, la jupe ne doit pas être rabaissée, quand la soumise se penche en avant, elle ne doit pas mettre la main sur le devant du teeshirt. Il nous rappelle que toute pudeur doit être exclue. Nous terminons le repas et rentrons. Tout de suite, nous nous déshabillons. Le Maître est nu, s2 garde son collier et sa laisse et j’ai toujours le boléro. Le Maître prend une corde et nous lie les pieds. Une autre corde nous relie sous les seins. Nous sommes s2 et moi dos à dos au milieu du salon. Le Maître s’empare du fouet et nous frappe tour à tour. Nous devons compter les coups et remercier à chaque fois. Le Maître a commencé par nos seins, il continue par le sexe, puis les cuisses. Il termine en donnant à chacune une bonne paire de gifles. Puis il nous laisse comme ça un bon moment. Nous commençons à nous ankyloser. Notre Maître vient nous délivrer. Nous nous retrouvons tous les trois sur le lit. Notre Maître m’ordonne de le sucer. Il met directement sa verge dans ma bouche. Il fait se positionner s2 devant lui. Puis quittant ma bouche, son sexe pénètre dans le cul de s2. Mon Maître s’adresse à moi : -    Va sucer s2 ! Je plaque ma bouche contre le pubis de s2 et ma langue atteint son clitoris. Je dois me cramponner à cause des mouvements du Maître dans le cul de s2. Elle a un orgasme. Est-ce que c’est le Maître ou bien moi qui en est la cause ? Certainement les deux. Nous continuons ainsi, s2 avec un sexe dans le cul et une langue dans le sexe. S2 a un second orgasme. Le Maître rugit, il vient de jouir, son sexe quitte le cul de s2, il distribue les rôles : s2 doit lui nettoyer le sexe avec sa langue et je dois aller récupérer son sperme. Tandis que s2 a pris en bouche le Maître pour nettoyer son sexe, je place ma bouche à l’entrée du cul de s2. Je lèche pour récupérer le précieux liquide. Une fois en bouche, je fais circuler le sperme pour bien le déguster et je déglutis. Le Maître a fait connaissance avec la bouche et l’anus de s2 mais pas avec son vagin. Le Maître s’adresse à ses deux soumises : -    Maintenant, vous partez. S1 garde le boléro et s2 garde le collier et la laisse. Rendez-vous samedi prochain. Nous répondons en chœur : -    Oui, Maître. Nous allons embrasser les paumes des mains de notre Maître. S2 ne sait pas comment me dire au revoir. Je lui dis d’embrasser mes pieds ce qu’elle fait. Nous nous rhabillons puis nous partons. J’ai passé avec mon Maître et s2 un excellent weekend. L’entente avec s2 est parfaite. Vivement samedi prochain !
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Par : le 10/06/20
Marc entre les jambes de Bianca introduit doucement sa langue dans la fente de ses lèvres ouvertes. Il sent son sexe durcir mais ne s arrêtera pas car cet instant est dédié au plaisir de Bianca en récompense de sa docilité. Maître Trépuissant est sévère mais juste, toute attitude servile est récompensée par un moment de plaisir intense. Bianca pousse de petits cris de jouissance parfois interrompus par un silence très long. C’est à ce moment là que sa cyprine coule le plus. Marc a appris à coup de martinet à satisfaire la jeune femme. Lorsqu’il a commencé à servir le couple de dominants il était aussi débutant que l’est Baptiste aujourd’hui, ses cuni étaient brusques et trop courts. Il a compris qu’il ne connaissait rien au plaisir féminin. Il a dû observer un soumis expérimenté et répéter les mouvements de sa langue bien des fois sur un sexe féminin en plastique pour bien en comprendre la géographie. Dame Méphista a de très grandes lèvres un peu épaisses contrairement à celles de Bianca qui sont si fines. Le vagin de la petit esclave s’ouvre moins , même lorsque ses cuisses sont écartées au maximum , son périnée est très musclé car c’est une vraie sportive. Elle participe à de nombreuses courses cyclistes locales et régionales et en a gagné quelques-unes malgré une rude concurrence . Tout ce sport régulier fait qu’elle peut tenir à genoux de longues périodes, elle s’y entraîne tous les jours. Marc souffle doucement avec son nez sur l orifice de Bianca qui jouit de plus en plus. Ses longs doigts souples jouent avec le bouton dressé. Ce petit appendice est une source intense de plaisir qu’il a appris à stimuler en le faisant tourner doucement entre son pouce et son index pendant que sa langue se dirige vers la fleur étoilée à l arrière. Il masse l entrée avec délicatesse puis introduit un doigt humide de la cyprine qui coule et inonde sa bouche. L anneau se desserre. Plusieurs va et vient délicats vont permettre l introduction d un deuxième puis d'un troisième doigt. Peut-être aura-t-il la chance de sodomiser cette femelle si son Maître est satisfait ? Il a compris que faire jouir l esclave lui fait obtenir le droit de la prendre par l arrière. Le Maître se réserve le vagin et c’est lui qui décide du moment de l éjaculation de Marc. Ce fût très difficile au début de retenir son plaisir et de ne pas jouir. Il a reçu de nombreux coups de martinet et de fouet pour son incapacité à contrôler sa jouissance, mais depuis quelques mois maintenant, il en a acquis toute la maîtrise, par de longs entraînements et le port d’une cage pour de longues périodes allant jusqu’à un mois. Il aime sentir le contact du métal sur son membre qui tente en vain de se redresser. Bianca s envole sous l’effet du cuni de Marc. Son Maître caresse sa tête et ses épaules. Il connait les réseaux nerveux cachés et sait les exciter par un effleurement très léger. Ses doigts semblent être devenus des papillons qui parcourent le dos de la jeune femme dont l état de jouissance augmente très vite. Son sexe offert à la bouche expérimentée de Marc, sa peau stimulée par les doigts de son Maître, la petite esclave est aux anges, elle a bien mérité cette récompense. Malgré tout son entrainement sportif ses cuisses lui font mal d être restée si longtemps a genoux au début de la séance de dressage de ce week-end. Mais elle sait ne rien manifester, elle l’a appris à coups de fouet sur son dos et ses cuisses. Il lui a été excessivement difficile de réprimer ses sourires de plaisir et ses rictus de souffrance. Maitre Trépuissant est intransigeant sur tout ce qui concerne les expressions faciales. Nulle expression sur le visage ne doit trahir la douleur ou le plaisir, il doit rester semblable à un masque de carnaval. Marc et elle ont eu bien du mal à contrôler leurs muscles car les réflexes sont très difficiles à contrecarrer et Baptiste ne sait pas du tout le faire, on lit sur son visage tout son ressenti. Marc introduit un quatrième doigt dans l anus de la jeune femme, son sexe se tend mais est contraint par sa cage qu’il porte avec un certain plaisir voire un plaisir certain. Croiser une jeune femme dont le vent relève la robe et révèle que le port de culotte n’est plus une obligation l excite régulièrement lorsqu’il prend un bus qui traverse la plaine venteuse de Versailles. Beaucoup de jeunes filles qui paraissent si timides ont jeté leurs sous-vêtements et n’en portent plus. Les seins pointent sous les t-shirts de coton fin et le vent coquin soulève les petites jupes évasées laissant apparaître les fesses nues. D y penser Marc a de nouvelles érections, un mélange de plaisir et douleur irradie de son sexe emprisonné. Bianca inonde sa bouche de son miel et crie de plus en plus. Marc s applique avec ses doigts et sa langue. Le Maître est satisfait du plaisir donné, il se lève lentement et pousse Marc du pied pour qu’il se recule un peu . Il tient entre ses doigts une petite clé dorée qu’il fait tintinnabuler telle une clochette. D’un claquement de doigts il ordonne à Marc de se mettre à genoux et celui-ci s empresse de se redresser, les mains sur la tête et le dos bien droit. D’un petit tapotement sur le dos bronzé de Bianca, elle comprend qu’elle doit se mettre à genoux dans la même position face à l’homme qui va la prendre par derrière. Le Maître lui remet la clé et elle déverrouille la cage. Le membre emprisonné surgit dressé. Une légère poussée de Maitre Trépuissant met en contact la verge tendue et la bouche ouverte de la jeune femme penchée. Il s ensuit une gorge profonde que Marc contrôle. Quelle belle récompense que cette fellation pour la soubrette ! Puis Bianca se retourne sur l’ordre de son Maître. Elle présente sa croupe tendue et prête à se faire prendre à l’homme à genoux qui attend l’ordre de s exécuter. Le dominant jubile, il ressent toutes les tensions sexuelles présentes dans la pièce. Les deux dominas le regardent avec attention, debout entre le sexe de Marc turgescent et l arrière-train tendu dans une belle position d offrande de Bianca qui attend sans laisser paraitre la moindre émotion. Julie tient toujours son p’tit soumis contre elle dans une attitude protectrice et maternelle. Le jeune homme observe et enregistre dans sa mémoire impressionnante tous les mouvements et expressions de la soubrette Marc. Il sait que celui-ci est un modèle pour lui, il aspire à aussi biens se contrôler. Il admire son contrôle de soi. Ses cunis sont acceptables mais la maîtrise de Marc est impressionnante. Dame Méphista joue négligemment avec un rosebud qu’elle a pris sur la table parmi les ustensiles de plaisir mis à sa disposition. Elle observe son époux avec une grande tendresse mêlée d admiration. Il a le don de la mise en scène et elle se saisit d’une tablette blanche pour immortaliser la scène : Monsieur debout dont on devine l érection à la tension du tissu de son pantalon, la petite esclave qui tient la position d offrande à ses pieds, et le soumis juste vêtu d’un tablier blanc de soubrette relevé par son sexe tendu à genoux mains sur la tête baissée, le regard dirigé vers les chaussures de son Maître. La splendeur de la domination, la noblesse de l offrande des soumis, le plaisir partagé, tout cela sera immortalisé dans cette photo. Dame Méphista est satisfaite, son après-midi promet encore de nombreux plaisir. Maitre Trépuissant tapote la tête de Marc, il l’autorise à prendre Bianca comme se prennent les hommes. Pas question de pénétration avant pour le soumis ! Déjà bien de lui laisser l arrière ! Le dominant sourit intérieurement, la prochaine étape sera la sodomisation de Baptiste par Marc. Mais il ne laisse rien paraître, il est trop tôt, le p’tit soumis n’est pas prêt, ni physiquement, ni mentalement. Aller trop vite est une erreur de débutant, les soumis ont des étapes à franchir, rien ne sert d aller trop vite, ou il s’enfuira, traumatisé pour longtemps. Ce n’est pas le but du jeu, chacun doit y trouver son compte, mais le p’tit soumis de Julie est prometteur, il est plein de bonne volonté. On sent qu’il a eu une maîtresse auparavant qui lui a inculqué quelques bases. Bien que plongé dans ses pensées Maître Trépuissant n’en oublie pas de contrôler Marc. La verge de celui-ci fait des aller-retour puissants dans l anus de Bianca qui recommence à jouir. Elle relève la tête et ses yeux brillants cherchent ceux de sa maitresse qui lui rend son regard avec un grand sourire satisfait. C’est un signal : la petite esclave peut se lâcher, crier et laisser son visage s agiter en tous sens. D’un claquement de doigts le sexe s’arrête sur le bord de l orifice, un cri jaillit, la cyprine inonde le parquet, et Marc recommence ses mouvements. Plusieurs fois le Maitre interrompt les va et vient pour faire connaître à ses Esclaves le plaisir des pénétrations répétées. Baptiste bave devant la scène, une grosse tache de salive s étale sur le petit top de Julie mais celle-ci s’en désintéresse. Sa grotte s humidifie au rythme des mouvements du sexe de Marc. Elle sent son anus s’ouvrir et se fermer et ses seins se tendre. Son plaisir est grand et sa main glisse sur le dos de son soumis. Baptiste se tend et se frotte contre sa maîtresse tel le chien qu’il est devenu. Sa queue est contrainte, un mélange de plaisir et de frustration l’envahit, il se sent enfin en lacher-prise, l observation du couple aux pieds de Maître Trépuissant lui donne un plaisir cérébral intense. Dame Méphista tourne son téléphone vers son amie Julie qui ne bouge pas et prend quelques photos du jeune couple au sol.
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Par : le 09/06/20
Elle prit l'ascenseur, les paumes moites, le cœur battant à tout rompre. Pour accompagner son string, elle s'était offert un soutien-gorge très pigeonnant, dont le voile léger couvrait à peine ses seins. Et la caresse de son corsage sur leur pointes dressées ajoutait encore à son excitation. Un porte-jarretelles assorti et une paire de bas noire. Tout ce qui restait à savoir, c'était le rôle qu'elle allait jouer, l'assistante ou la soumise ? À cette perspective, un désir violent assaillit ses reins. Au creux de ses cuisses, la dentelle du string était déjà humide. Des réactions dont Juliette ne saurait rien. Ses doigts serrèrent la poignée. Les pensées se bousculaient dans son esprit, de plus en plus confuses. Peu importaient les risques. Elle s'aimait trop en femme audacieuse pour s'arrêter en si bon chemin. Pensait-elle à elle au moins ? Sa Maîtresse était passionnée et ne vivait que pour sa passion: le sadomasochisme. Cette philosophie représentait à ses yeux un mode de vie idéal. Elle adorait alterner les douleurs et les langueurs, les délices et les supplices. Charlotte est très masochiste. Juliette peut tout obtenir d'elle, la forcer, concrétiser tous ses fantasmes. Un mélange de curiosité et de détresse surgissait en elle mais le jeu des situations insolite l'excitait trop pour se dérober. Ce soir, elle s'offrirait en esclave sexuel docile et insatiable. À peine la porte franchie, une voix lui ordonna de se présenter, ce qu'elle fit instantanément. Pour que tous les spectateurs puissent apprécier son obéissance, elle se retourna lentement. Des voix emplissaient l'espace sans qu'elle fût capable de dire à combien de personnes elles appartenaient. Six ou huit, peut-être davantage. Un doigt força brusquement ses reins avec violence. Surprise par la douleur, elle réagit avec insolence en tentant d'échapper à l'index qui continuait à vouloir s'insinuer en elle. Celui qui la violait ainsi, sans préparation la menaçait durement. Les hommes en face de Charlotte regardaient les jambes gainées de soie, et de chaque coté des cuisses, le reflet voluptueux des jarretelles. Les bottes en cuir affinaient sa silhouette. Insensiblement, elle écarta les genoux, leur laissant voir leur face intime et leur reflet. Elle suivait derrière les cils baissés leur impatience, attendant que le compas de ses cuisses soit assez ouvert pour dévoiler le pubis et, au-dessous, son sexe dans toute sa splendeur, bouche fermée et rose, au fond du sillon ombré du mont de Vénus. Elle sentit deux mains se plaquer sur ses reins, la presser, soulever sa jupe et des lèvres se coller à sa chair, tandis que deux autres caressaient ses seins avec ardeur, érigeant leurs pointes douloureusement. À nouveau, on lui demanda de se tourner. Un long silence suivit. À nouveau, ses reins furent violentés, ses fesses subirent l'ardeur caresse de mains nerveuses, son anus fut frôlé par un doigt inquisiteur, son sexe fut caressé par un index pénétrant. Soudain, sous sa main qui pendait le long de ses cuisses, elle sentit un phallus raidi et palpitant. Elle le prit, tandis que l'homme caressait son sexe avec passion, elle lui prodigua quelques douces caresses de ses doigts effilés. Le désir s'empara de lui. Il se plaqua contre son ventre et chercha, debout contre le mur, à glisser sa verge entre ses cuisses ouvertes. La soirée avait commencé. Subitement, elle se dégagea, se tourna; il la plaqua face au mur, affolée, elle sentit le membre glisser entre ses reins; elle goûta la sensation de cette chair conquérante et raidie; lui, la bouche à son oreille, lui ordonna de s'ouvrir, en lui pinçant un sein d'une main, l'autre fouillant les fesses et son entrecuisse. Brûlante, un désir tenace la tenaillait d'être sodomisée par cet inconnu qui semblait si maître de lui. Mais il se redressa et lui glissa son sexe entre les doigts tandis qu'il lui torturait les mamelons. Charlotte se complut à caresser le membre au gland turgescent, la verge nerveuse et renflée dont elle sentait les veines saillantes. Rien ne l'arrêterait dans son désir d'abnégation. Puis, il lui ordonna de s'agenouiller et de le prendre dans sa bouche; elle suça avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous sa langue. Le phallus était long et épais. Elle ouvrit la bouche et engloutit le sexe jusqu'à la gorge; elle eut un hoquet tant il avait été enfoncé loin. Alors, dans la pièce silencieuse, s'éleva le bruit de la succion. Charlotte n'était pas très experte, elle préférait sucer les femmes, mais c'était peut-être un charme de plus. Avec effroi, elle pensa soudain à la déchéance de se retrouver ainsi agenouillée devant ce ventre nu, à sucer cette virilité inconnue. Elle releva la tête, mais il la saisit par les cheveux et la força à engloutir le phallus entre ses lèvre sensuelles, sous le regard lascif des invités. Alors, au contact de cette main dominatrice, elle oublia tout, et ce fut une profusion de caresses instinctives qui enveloppèrent la colonne de chair; les lèvres sucèrent les moindres recoins de ce vit. Le phallus devint si volumineux qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge d'un liquide qu'elle prit à coeur à boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Elle vit la pièce tourner autour d'elle et se retrouva à plat ventre sur un lit de fer. On la déshabilla totalement. On lui lia les chevilles avec des lanières de cuir, puis ses poignets que l'on écarta en croix, comme ses cuisses. Ainsi écartelée, elle était offerte à des inconnus. Charlotte allait être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, sous la lumière qui rendait son corps impudique. On la cingla brusquement avec une cravache. L'homme ne voulait pas lui faire mal, il voulait l'amener à ce degré d'excitation qu'il savait procurer, pour en faire après son esclave et celle de ses invités. Il savait que cette croupe consentirait à se laisser forcer par des verges inconnues, mais il voulait que tous profitassent cérébralement de cette Vénus callipyge. Et les cinglements résonnèrent dans le silence, couvrant les soupirs de désir des hommes penchés sur ce corps dans l'étreinte puissante du cuir. Les reins furent vite rouges et une chaleur intense irradia la chair de Charlotte, amenant une intense excitation à ses intimités déjà exacerbées. Sa tête était en feu, tenaillée de douleur, elle gémissait de douces souffrances. Elle résista longuement à son ordre quand il voulut qu'elle écartât davantage les cuisses, et quand elle ne put plus résister, elle céda; tel un pantin désarticulé, elle offrit le spectacle du sillon sombre de ses reins qui allait être forcé. Le silence retomba et Charlotte, les yeux clos, goûtait la sensation de ces regards sur ses intimités secrètes, comme une caresse imperceptible frôlant ses chairs, béantes. Elle ne sentit que la caresse du phallus qui s'insinua soudainement. Il fut violent, poussant de ses reins, il força sous son gland compressible et humide, l'étroite bouche à s'ouvrir. Et ce fut l'acte délicieux tant espéré de Sodome. Un long cri strident; elle s'y attendait pourtant, haletante, les tempes battantes. Elle réalisait lentement la pénétration forcée de ce membre en elle. D'un seul coup, il s'était enfoncé; sa voie étroite dilatée, distendue, lui faisait mal, mais en elle, était le priape enflammé, elle le devinait fouiller ses reins. L'inconnu avait poussé dur. Oubliant la souffrance du viol, et fermant les yeux, elle laissa échapper un cri, mais au fur et à mesure que l'homme sentait venir la volupté, le bruit de son intimité exigüe déchirée par le membre, s'amplifia, devint plus précipité; il y eut quelques râles chez l'homme auxquels se mêlèrent les plaintes de la jeune fille, puis ce fut le silence dans la salle sous le regard satisfait des invités. Elle reçut la semence saccadée puis l'homme se retira, libérant Charlotte. Il venait de jeter dans ses entrailles sa sève gluante et chaude. Son anus, tout empreint de sperme accepta sans peine un second membre qui la pénétra profondément entre ses reins; le membre lui sembla colossal mais elle se laissa sodomiser par cet inconnu car tel était son devoir. Un troisième voulant se frayer également un chemin au plus étroit la fit hurler. Elle cria, comme sous le fouet. Quand il la lâcha, gémissante, dans un éclair, elle se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait crié sous le choc du phallus de l'homme comme jamais elle avait crié. Elle était profanée et coupable. Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à la soumission mais aussi à la délivrance. Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans une chambre et on l’étendit sur un lit. Charlotte avait été encore une fois, méritante, docile et obéissante. Elle ferma les yeux et s'endormit. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 09/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 13 : Samedi 6 Samedi après-midi. J’arrive chez mon Maître, il est habillé. Je me déshabille et vais lui baiser les paumes. Dans le salon une jeune femme nue est allongée sur le ventre, de tout son long. Ses bras et ses jambes sont écartés. Je ne vois pas sa figure, elle est blonde et a un magnifique fessier. Mon Maître s’adresse à moi : - C’est Laurence. Nous nous sommes contactés sur internet, c’est notre première rencontre. Elle vient juste d’avoir dix-huit ans et, ce qui est incroyable, elle m’a assuré être vierge devant et derrière et elle n’a jamais sucé. Je ne comprends pas pourquoi mon Maître me donne toutes ces explications. Il continue : - Nous venons de signer un contrat d’appartenance, elle n’a émis aucune restriction, elle est donc ma propriété exclusive. Je ne comprends toujours pas. Mon Maître poursuit : - J’ai donc maintenant deux soumises. Je dois donc établir une hiérarchie. J’ai décidé que tu seras soumise numéro 1, je t’appellerai s1 et Laurence sera soumise numéro 2, on l’appellera s2. Tu auras donc autorité sur s2, elle devra t’obéir. Je lui ai déjà expliqué le processus. - Elle est d’accord ? - Elle n’a aucun avis à formuler. Je vais donc te la confier. Je veux que tu la dépucèle devant et derrière et, quand je te le dirai, elle me sucera. Je veux aussi que tu lui fasses faire connaissance avec le fouet, la cravache ou ma ceinture. Pour le reste, tu fais comme tu le sens. - Mais, Maître, je ne pourrai pas ! - Tu le feras, je te l’ordonne ! - Bien, Maître. - Pour commencer tu vas quitter ton collier et lui passer autour du cou. Tu porteras le boléro qui est sur la chaise. Une soumise numéro 1 doit porter un vêtement léger. - Bien, Maître. Aura-t-elle le droit de jouir ? - Bien entendu, elle doit apprendre le plaisir. Par la suite, elle saura ce qu’elle perd en en étant privé. - Bien, Maître. Je quitte mon collier, je me baisse vers s2 et lui passe le collier autour du cou. Elle me dit : - Merci, madame. Je vois que mon Maître a bien commencé l’éducation de sa nouvelle soumise.et je suis étonnée de m’entendre appelée madame. Je revêts le boléro, symbole de ma promotion. Ce boléro me couvre les épaules et le dos, il s’arrête à la taille, il ne ferme pas laissant à découvert mes seins, mon ventre, mon pubis et mes fesses. Je vais essayer de faire pour le mieux, je suis maintenant à la fois soumise et dominante mais je suis avant tout la soumise de mon Maître qui me fait confiance. Je m’approche de s2 : - Debout ! Je découvre une belle jeune fille. Des seins assez volumineux et un pubis agrémenté de poils. Je regarde mon Maître qui me dit : - Elle a désobéi. - Maître, si vous avez ce qu’il faut, je la rase. Mon Maître part et revient avec de la mousse à raser et un rasoir. J’entraîne s2 sur la table. - Couches-toi sur le dos et écarte les cuisses. Je commence le rasage en faisant bien attention à ne pas couper la chair. J’ai réussi. Je peux admirer son pubis lisse. Mon Maître a filmé le rasage. - Et derrière, Maître ? - Oui. Je fais mettre s2 à plat ventre sur la table et je m’attaque aux poils de sa raie. Je fais attention, je réussis sans aucune entaille. Je lui fais lever les bras, les aisselles sont rasées. Je vérifie les cuisses et les jambes. Aucun poil. Mon Maître apprécie. Je fais remettre Laurence debout. - Tu te mets à quatre pattes ! - Oui, madame. En prenant la laisse je la fais déambuler. Je la fais se cambrer pour mettre en valeur son fessier. Ses seins ballotent de gauche à droite. J’ai une impression bizarre, je suis soumise et dominatrice. J’ai toujours été plus ou moins dominée, je ne pensai pas être un jour dominante. Je me sens à l’aise entre mon Maître et s2. Nous parcourons l’appartement puis nous arrivons dans la chambre. Le gode-ceinture repose sur le lit, il a été lubrifié ce sera mieux pour un double dépucelage. J’ai placé le gode sur mon ventre. Mon Maître nous a suivies et a commencé à filmer. - Mets-toi à genoux dans le lit ! - Oui, madame. Je me place devant s2 et lui présente le gode devant sa bouche. - Suce ! Elle n’a pas le temps de me remercier. Je lui enfonce le gode dans la bouche. Je procède progressivement et j’enfonce le gode de plus en plus. Elle se met à tousser. Je la laisse faire. - On recommence, tu dois t’habituer à avoir la bouche pleine. - Oui, madame. J’enfonce à nouveau le gode et, cette fois, elle résiste. - C’est bien, tu fais des progrès. - Merci, madame. Je la contourne et vérifie l’état de son vagin, il est sec. Avec mes mains, je la maintiens aux hanches, je place le gode devant son sexe et le gode entre dans son vagin. Je vais y aller progressivement. Je commence des va-et-vient puis le gode progresse. J’accélère le mouvement. Cette action me fait mouiller. Je jour un rôle de mâle et je réagis en femelle. Le gode entre maintenant complètement. S2 gémit puis jouit. Je continue de plus belle. Puis je me retire pour attaquer le second dépucelage. Le gode est à l’entrée de son cul. S2 se contracte, elle sait ce qui va lui arriver. - Détends-toi, laisses-toi faire. Je vais y aller doucement. - Oui, madame. Mes mains attrapent ses fesses et les écarte pour laisser la place au gode. Je le fais entrer très lentement, une première sodomie doit être réussie et c’est difficile de la subir. Le gode se fraie un chemin. La sodomisée se détend un peu. Le gode pénètre de plus en plus. Maintenant, s2 s’est relâchée et se laisse faire. Je poursuis encore un moment cette sodomie puis je retire le gode. Je contourne s2 et viens présenter le gode devant sa bouche. - Lèche et suce ! Elle a un mouvement de recul. Je sais que je lui impose un exercice difficile mais ça fait partie de l’éducation d’une soumise. J’attrape s2 derrière la tête et lui approche la bouche du gode. Doucement mais fermement ! Elle ouvre la bouche et sa langue commence à sucer le gode. - Nettoie-le bien ! Quand je vois qu’elle a bien léché le gode, je le lui enfonce à nouveau dans la bouche. - Tu ne devras plus avoir de réticence les prochaines fois. - Non, madame, je vous le promets. - Maintenant, couches-toi et attends. - Oui, madame. Mon Maître m’adresse la parole : - De quoi avais-tu peur ? Tu te débrouilles pas mal. - Merci, Maître. Voulez-vous qu’elle vous suce maintenant ? - Pas tout de suite. - S’il vous plaît, prêtez-moi votre ceinture. Mon Maître se défait de sa ceinture et me la tend. J’appelle s2. - Je croyais t’avoir dit de te déplacer à quatre pattes ! - Pardon, madame. - Tu seras punie. - Oui, madame. Aussitôt elle se met à quatre pattes. - Viens me lécher les pieds ! - Oui, madame. S2 commence à me lécher les pieds. - Mieux que ça et n’oublie pas de passer ta langue entre les orteils ! - Oui, madame. Elle s’applique, je suis satisfaite de ta prestation. - Mets-toi debout. Je vais te donner des coups de ceinture. Chaque coup devra être compté à haute voix et tu devras me remercier. Je commence les coups et me souvenant de ce qu’aime mon Maître, j’en donne vingt-cinq, cinq sur les fesses pour commencer, puis cinq sur le dos, cinq sur les seins, cinq sur le sexe et cinq sur les cuisses. Dès les premiers coups, mon Maître m’a dit de frapper plus fort. Quand j’ai terminé, je lui ordonne de se remettre à quatre pattes. Je vois mon Maître se déshabiller, son sexe est bien dressé. Je sais ce qu’il veut. J’attrape s2 par les cheveux et la traîne dans la chambre où elle a été doublement dépucelée. Mon Maître est couché sur le dos. Je m’adresse à s2 : - Je vais t’apprendre à sucer un homme. - Oui, madame. - Je serai à côté de toi pour te guider. Ton Maître voudra jouir dans ta bouche. Tu recueilleras son sperme. Tu n’arrêteras pas de sucer, c’est le Maître que se retirera. Tu montreras au Maître sa semence sur ta langue. Tu feras tourner le sperme dans ta bouche puis tu avaleras. Enfin, tu remercieras ton Maître. - Oui, madame. S2 se place la bouche vers le sexe de son Maître. - Tu commences par sucer les couilles puis tu les gobes. Attention à ne pas faire mal à ton Maître. S2 approche sa langue des couilles et commence à lécher. Puis elle les gobe l’une après l’autre. - Bien, maintenant, tu prends la queue en main et tu lèches le gland, tu lui donnes des petits baisers. Elle s’applique. Le sexe du Maître grossit. - Maintenant, tu mets le sexe dans ta bouche. Tu dois penser que c’est un sucre d’orge. Tu lèches et tu essaies de faire avancer le sexe dans ta bouche. Tu effectues des va-et-vient. Et tu lui caresse les couilles en même temps. Je vois sa bouche monter et descendre le long du sexe. Quand elle est au plus bas, ses lèvres touchent le pubis du Maître. - Quand le Maître éjaculera, il ne faudra pas reculer, il faut lui montrer que tu es heureuse de recevoir son sperme. Je sais que mon Maître est résistant. S2 continue ses mouvements de bouche. Pour le moment, elle réussit sa première pipe. Enfin, le Maître jouit dans la bouche de s2. S2 ne se retire pas, elle continue de sucer. Le Maître se retire, s2 ouvre sa bouche et tire la langue pleine de sperme, elle ferme la bouche, se délecte du sperme et finit par avaler. - Merci, Maître. J’encourage s2 : - C’est bien, tu as fait une belle pipe. - Merci, madame. Mon Maître se rajuste. Je m’adresse à s2 : - Maintenant, c’est à mon tour, tu vas me sucer. - Oui, madame. Je me couche sur le dos, les cuisses écartées. S2 se met en position, sa bouche effleure mon pubis, je place mes mains sur sa tête pour l’encourager. Je vois mon Maître en train de filmer. S2 s’enhardit. Sa langue est au contact de mon clitoris. Je suis comme électrisée. S2 continue, c’est délicieux ! J’ai rapidement un orgasme. Mais j’invite s2 à poursuivre, sa langue devient de plus en plus insidieuse. J’ai un second orgasme. Je demande à s2 d’arrêter. Je suis comblée. Mon Maître a dégotté une excellente recrue. Pendant un instant, je pense que je pourrais être évincée, mais non, mon Maître peut très bien avoir deux soumises. La présence de s2 me plaît et mon Maître fait ce qu’il veut. Mon Maître me demande si je veux rester avec lui pour la soirée et pour la nuit. J’accepte avec plaisir. - Et s2 ? - C’était prévu qu’elle reste. Il me propose de préparer le dîner avec lui. J’accepte. Je prends s2 avec la laisse, elle marche toujours à quatre pattes. Je lui dis de s’allonger au pied de la table. Mon Maître et moi nous nous activons. Mon Maître prend deux chopes dans lesquelles il urine. Il m’en tend une et appelle s2 pour lui donner l’autre. S2 s’assoit par terre et commence à déguster le contenu de sa chope. Je bois également la mienne. Mon Maître dresse la table avec seulement deux couverts, je vais donc manger en face de lui. Il remplit les assiettes en même temps qu’une écuelle remplie d’aliments pour chien qu’il dépose sur le sol. Il s’adresse à s2 : - Mange sans te servir de tes mains. - Oui, Maître. Nous commençons notre repas. La hiérarchie est établie. En tant que s1 je suis à la table du Maître et s2 mange sur le sol. Quand nous avons fini les repas, le Maître me demande de regarder si s2 a bien mangé. De petits résidus jonchent le sol. Je m’adresse à s2 : - Avale tous les morceaux que tu as laissés. - Oui, madame. Le repas terminé, le Maître s’adresse à s2 : - Va te nettoyer la bouche, débarrasse la table et rejoins-nous dans la chambre. Mon Maître me fait allonger sur le ventre, écarte mes jambes. Je le sens derrière moi, je sais ce qu’il veut. Son sexe me frôle la raie des fesses. Il m’a soulevée et il emprisonne mes seins qu’il pétrit et pince. Il me fait mal mais j’aime ça. Il me souffle à l’oreille : - Je te permets de jouir. Et, soudain, son sexe pénètre mon cul. Petite douleur qui précède le bonheur de sentir mon Maître en moi. S2 arrive à quatre pattes dans la chambre. Elle s’assoit à côté du lit où son Maître est dans s1. Mon Maître continue de me labourer. Il m’arrache un orgasme. Puis il jouit dans mon cul. - Merci, Maître. Mon Maître s’adresse à s2 : - Va lécher le cul de s1 pour récupérer mon foutre ! - Oui, Maître. S2 se place derrière moi et sa langue pénètre mon cul, elle le lèche pour récupérer le sperme de son Maître puis elle avale. - Merci, Maître. Merci, madame. Le Maître lui fait signe de venir nettoyer son sexe ce que s2 s’empresse de faire. - Merci, Maître. Il commence à se faire tard. Je me demande ce qu’a prévu mon Maître pour la nuit. Il me tend la laisse, ordonne à s2 de se mettre debout et nous partons tous les trois vers un escalier que je connais bien. Nous arrivons à la cave. Le Maître s’adresse à s2 : - Tu vas dormir là. S1viendra te chercher demain matin. Et nous laissons s2 dans la cave inconfortable où j’ai passé trente-six heures angoissantes. Nous remontons. Mon Maître m’ordonne d’aller me doucher. Puis il en fait autant. Je l’attends debout au salon. Il m’emmène dans la chambre. Il s’adresse à moi : - Viens ! Couches-toi. Il se place à mes côtés sur le dos. - Prend mon sexe dans ta bouche. Je veux que tu dormes comme ça. Tu ne me suces pas. - Bien, Maître. Je place son sexe dans ma bouche, la tête appuyée sur son ventre, il a une main protectrice sur ma tête, je suis heureuse. Je m’endors.
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Par : le 09/06/20
Aux premiers jours de mois de mai 1717, Le rude hiver venait définitivement de tirer sa révérence, abandonnant enfin la presqu’île aux premières chaleurs. Bien-sûr personne encore n’osait l’avouer, comme pour ne pas attirer le mauvais œil, mais ni Mamert, ni Pancrace, ni Servais n’effrayaient plus personne. La lumière brillante de son éclat d’or sur les jeunes pousses pleines de vigueur, et la douceur qui montait délicatement du sol en bouffées humides et enveloppantes, les avaient remisés pour un an à leur place d’épouvantail. Leurs chères fleurs encore recroquevillées et désormais sauvées du plus terrible des dangers, sauvegardées de cette funeste brûlure, les fragiles rameaux pouvaient enfin à leur guise s’ébattre sous le vent qui les berçait, agitant gaiement leurs petites feuilles au-dessus des inflorescences à peine écloses. En tendant l’oreille, on eût pu les entendre rire, ivres de leur jeunesse et de leur insouciance. Cela ne suffisait pourtant pas à combler le cœur d’Élisabeth. Une fois n’était pas coutume, la jeune vigneronne ne parvenait pas à se délecter de ce spectacle enthousiasmant, de ce renouveau porteur de tant d’espérance. Une étrange lassitude la prenait, un manque confinant presque à l’indifférence, comme une lente mélancolie, dont on ne saurait dire si elle est agréable ou douloureuse. Elle se languissait de ses yeux brillants, de leur absence bien-sûr, mais plus encore de tout ce dont ils étaient privés. Alors les tâches lui devenaient plus pénibles, le feu dans ses bras lorsque la journée se refusait à finir, plus mordant, les tiraillements dans sa chair à l’heure de trouver le repos, plus lancinants. Un indéfinissable chagrin que personne n’écrirait jamais mieux qu’un illustre poète prénommé Alphonse, près d’un siècle plus tard. Les brises de l’estuaire, à peine chargées de l’odeur acre de leurs embruns, venaient pourtant comme une douce caresse, dansant avec les rayons d’un soleil hésitant qui n’osait pas encore vous mordre. Les pousses juvéniles dressées de tout leur pied de hauteur, se retenaient encore d’exhaler trop fermement leur suave parfum de souffre, encore embarrassées par leur ingénuité. A peine aidés par le souffle que la marée lointaine venait de se décider à ramener dans leur dos, cinq tintements parvinrent depuis la chapelle de la grande maison, jusqu’à la petite troupe de femmes, sonnant le glas de leur labeur journalier. Guillerettes, et d’un pas plus alerte qu’à l’aller, toutes se précipitèrent résolument vers les allées sablonneuses, puis dévalèrent en torrent joyeux vers leurs havres de paix, coincés entre vignes et prairies, comme si elles allaient se jeter à l’estuaire. Élisabeth, elle aussi, se laissa entrainer par ce flot instinctif, incapable comme à l’accoutumée, de lutter contre le courant et de s’accrocher encore un peu, à un cep, ou à un autre. Les petites maisons de bois et de pierre étagées, se trouvaient toutes pelotonnées les unes contre les autres, dans un alignement approximatif. Elles regardaient sereines l’apaisant flot brun de l’estuaire, laissant échapper quelques légères bouffées de fumée grise, comme de petites dames âgées prises par la lubie de se doter d’une pipe. Élisabeth salua sa mère qui gardait l’entrée de la chaumière, assise sur un banc de pierre, profitant de ces premiers jours enfin décidés à s’étendre. Elle était attelée à un méticuleux ouvrage de raccommodage. La jeune femme monta à leur chambre, elle ôta son tablier, le replia avant de le déposer délicatement sur une chaise toute simple. Elle s’allongea, désireuse de se délasser un peu sur sa couche, en quête d’un illusoire répit : un simple moment de paix, avant de redescendre, si vite, et de s’atteler à la préparation du repas. Elle n’en eut pas le loisir. — Élisabeth ! Tu as de la visite, héla sa mère, de sa voix chevrotante de femme fatiguée par le labeur et par le poids des ans. Poussant un soupir, la jeune femme se redressa, lissa les plis de sa jupe de serge noir, tira sa chemise en lin blanc puis rajusta son corset de droguet. Sa mère l’attendait au pied de l’échelle de meunier, d’un hochement de tête, elle la poussa à se hâter. Qui donc pouvait bien venir la visiter ? Pourvu qu’il ne s’agisse pas d’un laboureur à la vue basse et aux pensées étroites, qui se vît poussé par d’autres vers un courage accidentel. Elle franchit la porte et s’immobilisa sur le seuil, saisie par cette silhouette lumineuse à la chevelure dorée, lui tournant le dos, le regard sans doute perdu, au-delà des larges prairies de palus, au cœur des vaguelettes brunes de l’estuaire. — Bonsoir Monsieur le Comte, sourit-elle discrètement, masquant autant que possible son regard attendri et l’émoi qui gagnait sa poitrine. Vous voilà rentré de Versailles ? — Bonsoir chère Élisabeth. Ce jour même. Je n’ai même pas pris la peine de changer d’habit, avoua-t-il en se retournant, le regard rempli d’un éblouissant éclat. Comme s’ils n’osaient s’en dire plus, ils laissèrent un instant s’exprimer le chant des fauvettes et des loriots, écoutèrent le vent bruisser dans les feuilles du gros chêne sur l’esplanade des ouvriers. — Savez-vous monter ? demanda le Comte. — Assez bien, je crois. — J’aimerais vous montrer quelque chose, proposa-t-il, lui tendant le bras pour qu’elle y posât sa main. Elle lui refusa cette marque d’affection, mais vint simplement se placer d’un pas décidé à son côté, comme pour prendre le chemin d’une aventure. Ils gagnèrent les écuries proches, marchant de front et d’un pas alerte, sans doute sous des regards curieux, cloitrés derrière leurs fins volets ajourés, et dont ils ne prenaient même pas conscience. Le Comte poussa la lourde porte aux teintes d’ocres rouges, éclatante sur son écrin de pierre ciselée presque éblouissante de blancheur. Déférant, il l’invita à entrer, comme on ouvre le passage à une Dame à laquelle on fait grand honneur. Elle pénétra l’obscurité des écuries, indifférente à cette dévotion pourtant inhabituelle. Le port incliné, il contempla ses chaussons de cuir râpés, d’où naissaient d’élégantes chevilles, laissant à peine deviner le galbe délicat de ses mollets, couverts de leurs bas de laine pourpre. Sur son passage il s’empourpra, confus, et incapable de percevoir le frisson de désir, délicieusement dissimulé, qui parcourait la jeune femme. Deux chevaux anglais, à la robe luisante, les attendaient entre deux stalles au milieu du bâtiment : une pouliche baie et un hongre alezan. — J’ai quelque-chose pour vous, signifia-t-il d’emblée, se jetant presque sur un long paquet de linge, qu’il prit soin de déballer avec précaution. Il en sortit une paire de hautes bottes, brillantes à travers l’obscurité percée d’un rai de lumière poussiéreuse, émanant de la porte entrebâillée. Talonnées et montantes, entrouvertes au creux poplité, et parcourues sur tout le mollet par un délicat lacet de cuir noir. Élisabeth ne dit mot de sa surprise et de son émerveillement, elle pourtant si étrangère aux luxueuses parures. — Puis-je ? — Je vous en prie, acquiesça-t-elle, s’asseyant délicatement sur un petit banc abandonné devant une stalle vide. Elle souleva précautionneusement ses jupes, avança son pied gracile, et étendit lascivement sa jambe, pointant ses orteils couverts en direction du Comte, resté immobile. Il admirait sa grâce, cette élégance racée et pourtant innée. Son œil brillait d’une lueur exquise, aux flambeaux de son admiration se mêlaient sans doute les étincelles de son désir, espiègle de se livrer à ce subtil badinage. Il déposa délicatement le chausson de cuir, et enserra doucement le petit pied tendu, il remonta méthodiquement la parure de cuir jusque sur les mollets, et resserra un à un les liens à travers leurs œillets. Le même manège s’opéra pour la seconde botte, ponctué de regards à la taquinerie évidente, confinant au défi de le pousser encore plus loin. Il s’apprêtait à nouer les brins du lacet de l’élégante jambe gauche, tâche ardue, ainsi privé de la vue de son projet, lorsqu’Élisabeth se redressa d’un bond. — Je le ferai moi-même ! lança-t-elle, le sourire aux lèvres, et le regard perçant. Elle posa son talon sur le petit banc de bois grisé, releva ses jupes, presque à dévoiler la base de sa cuisse, puis noua habillement le précieux corsetage, en deux magnifiques boucles brillantes et tombantes sur la base de son mollet. Le jeune Comte, frôlant l’étourdissement, agenouillé aux pieds de la jeune femme, ne manquait rien de ce délice, sans doute enivré de ce désir mêlé de honte, dont il avait, d’une innocence feinte, fondé le théâtre. Élisabeth, ainsi érigée devant le Comte agenouillé, la jupe n’était plus de serge, mais devenue velours aux délicats reflets moirés, sa chemise s’était faite soie, étincelante des reflets de la lumière troublée des poussières en suspension. Elle devenait Comtesse, sans en porter ni le titre, ni en avoir l’ascendance. — Où allons-nous ? interrogea-t-elle guillerette, comme si elle refusait de se laisser envahir par les émotions qui la débordaient pourtant. — C’est une surprise, lui répondit-il, joueur, alors qu’il posait une couverture sur le dos de chaque cheval, avant de se saisir d’une selle de cuir munie de deux fourches courbes à l’avant, reposant sur une des portes d’un enclos. — Vous montez en amazone ? lui demanda-t-elle rieuse, se saisissant à son tour d’une autre selle, plus commune, et la calant sur le dos de la pouliche baie, avant d’entreprendre de la sangler. Le Comte éclata de rire, reposant la selle pour en choisir une plus à sa convenance et la placer sur le hongre, laissé à sa disposition. — Où avez-vous appris à monter ? demanda-t-il. — C’est ma marraine, feu Madame votre tante, qui me l’a enseigné. Lui portant tout l’honneur lié à son nouveau rang, il l’aida respectueusement à prendre place sur sa monture, ouvrit en grand les portes principales des écuries, puis conduit posément les chevaux jusque sur l’allée pavée, de l’autre côté des demeures des ouvriers. Il monta en selle à son tour et initia leur lente remontée, au pas, entre les premières règes de la pièce des socs et le parc arboré de la grande maison, où sur les vertes pelouses, quelques tilleuls se laissaient ébouriffer par le vent ; longeant une charmille fournie derrière laquelle se cachait encore le jeune cèdre du Liban qui un jour, présiderait à cette assemblée. Il guidait leur déambulation, sans prendre le moindre pas d’avance sur la belle qui chevauchait à ses côtés, sans mot dire, inspirant profondément l’air frais venu du large, qui leur arrivait de front, après avoir survolé jusqu’à eux, forêts et marécages. Ils tournèrent le long des chais, puis ils redescendirent contre le ruisseau de Juillac, au bas de cette terre dont ils étaient issus, nourricière, source de leur existence autant que de leur essence. L’étroite bande de prairie longeant la jale, leur servait désormais d’avenue, leur permettant de contempler d’en bas, la splendeur de la croupe de graves, aux précieuses règes éclairées d’une lumière dorée. Ils quittaient le domaine, par les chemins de traverse, laissant derrière eux le vignoble. La voie sinuait, une fois bordée de prairies peuplées de jolies vaches aux robes bicolores, pigaillées et beyrettes, une autre de taillis touffus, débordant de feuillus diaprés. Le fil de l’eau, à peine un souffle, berçait de sa douce mélodie la sérénité de leur promenade. — Vous passiez beaucoup de temps avec ma pauvre tante ? — Ma mère m’amenait lui tenir compagnie, lorsque j’étais enfant. J’aimais beaucoup, c’est elle qui m’a appris à lire, à monter à cheval, et mille autres choses. — C’est elle qui vous a enseigné les vignes ? osa-t-il à peine demander, intrigué. — Non, rit-elle. C’est mon père, et puis j’y ai presque grandi. Dès que mes jambes purent me porter, il m’emmenait partout. Le soir lorsque tous rentraient, il continuait à me montrer, à me faire voir les choses qui ne se voient pas, à me les faire entendre sans me les dire parfois. J’étais un peu comme vous en fait. — Sans doute un peu, confessa-t-il gêné. Leur déambulation aux allures de promenade romantique, se berçait du bruit de l’eau, du souffle du vent dans les frondaisons, des sabots des chevaux qui couchaient précautionneusement les brins d’herbe hirsutes. A peine quelques craquements dans le bosquet attenant, osaient-ils venir troubler cette douce symphonie champêtre. La bande herbeuse remontait désormais le long d’un bois de chênes et de hêtres, plus fourni. Un éclair fauve parcouru de noir, traversa devant eux, osant à peine se fendre d’un regard entre crainte et défi provoquant. L’animal s’engouffra à la hâte au cœur de l’épais taillis, pour y disparaître complètement, surprenant les chevaux, tentés de se cabrer. De quelques légers mouvements de ses cuisses fermes, Élisabeth maîtrisa sa monture sans montrer le moindre signe de surprise, presque impassible. Un sang-froid que le jeune compte, employé à reprendre le contrôle de son destrier, ne perçut pas. Soucieux de sa compagne, il finit même par poser une main rassurante sur son avant-bras dénudé, geste instinctif, protecteur et symbolique de son attention envers la belle vigneronne, désormais promue Comtesse de son cœur. La cravache claqua net dans un fracas de cuir, sur le dos de la main du jeune homme. D’un réflexe, il la retira, contrit par son impudence. Inquiet, il osa à peine croiser le regard d’Élisabeth. Elle le fixait, sereine, le dos bien droit, allant même jusqu’à lui offrir un sourire attendri. — Maîtrisez vos émotions Monsieur le Comte. Je veille à ma monture. Comme s’il devait trouver un moyen de se soustraire à son trouble, il proposa d’une voix étrangement peu assurée, d’emprunter un petit sentier qui courait entre deux bosquets, à quelques pas de là, et qui semblait vouloir grimper sur le sommet d’une croupe naissante.
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Par : le 08/06/20
Eole avait séduit Thétis, la fille de Chiron, qui se trouva enceinte et fut changée en jument par Poséidon, qui voulait la protéger de la colère de son père. Après la naissance d'Ocyrrhoé, en grec ancien ????(?)??, Thétis fut placée parmi les étoiles, sous l'aspect de la constellation du Cheval et l'enfant, ayant retrouvé sa forme normale, fut baptisée Arné par son père qui la confia à Desmontès. Plus tard, elle fut séduite par Poséidon, et Desmontès, ayant découvert qu'elle attendait un enfant, l'enferma dans un tombeau après lui avoir crevé les yeux. Elle y mit au monde les jumeaux Boeotos et Eole, que Desmontès fit exposer sur le Mont Pélion pour être dévorés par les fauves. Mais ils furent recueillis par un berger d'Icarie. Devenus adultes, Poséidon, leur révéla le secret de leur naissance et leur ordonna de délivrer leur mère et de tuer Desmontès; puis il rendit la vue à Mélanippe qui épousa Métapontos, le roi d'Icarie, qui adopta Boeotos et Eole. Mais peu après, le roi décida de répudier son épouse et de se remarier. Prenant le parti de leur mère, les jumeaux tuèrent la nouvelle reine, Autolyté, et s'enfuirent. Dans la cité de Sicyone, on célébrait son honneur, les "mélanippies". Le viol de Mélanippe par Poséidon se rapporte sans doute à la prise de possession par les Eoliens des centres préhelléniques du culte du cheval. Elle était une des Amazones, sœur d'Antiope. Dans la mythologie grecque, Mélanippe est la fille du centaure Chiron et de Chariclo. Son histoire n'est attestée que dans les Métamorphoses d'Ovide. Elle est également connue sous le nom de Hippe ou Évippe. Chiron est un centaure mais il ne fait pas partie de la famille des centaures rustres nés de l'union d'Ixion et de la nébuleuse Néphélé. Cronos convoitait la belle Océanide Phylira et pour déjouer la surveillance de son épouse Rhéa, il se métamorphosa en cheval pour l'approcher. C'est pourquoi Chiron était mi homme mi cheval. À sa naissance sa mère fut si choquée de voir l'aspect monstrueux de son enfant qu'elle implora les dieux de la transformer en tilleul. Chiron vivait dans une grotte du mont Pélion en Thessalie connue sous le nom de grotte de Phylira. Il était sage, bon et instruit. Il parcourait les forêts et les bois où il acquit la connaissance des simples et des étoiles mais il possédait bien d'autres sciences, notamment la médecine ou le tir à l'arc que lui avait enseigné Apollon. De même Artémis lui avait donné des cours de chasse. Il fut un excellent précepteur pour de nombreux jeunes héros: Jason, Asclépios, et ses fils Machaon et Podalirios, Actéon, Achille ou Enée furent instruits par ses soins. Il fut parfois aidé par Phénix à qui il avait rendu la vue que lui avait ôtée son père. Il épousa la nymphe Chariclo, fille de Cychreos et Stilbe, qui lui donna trois filles et un fils. Endéis, future mère de Pélée. Chiron accueillit ce petit-fils et l'éleva au mieux. Il enseigna même à Pélée comment faire la cour à Thétis, qui grâce à ses bons conseils deviendra sa femme. Toutefois elle passe aussi pour la fille de Sciron (roi de Mégare) et de Chariclo. Chiron sauva Pélée qui avait été capturé par les centaures alors qu'il avait été abandonné sans armes par Acaste. Chiron assista aux noces de Pélée et d'Harmonie et il fit cadeau d'une lance qu'Achille emporta à la guerre de Troie et qui servit à soigner Télèphe blessé lui aussi par une flèche empoisonnée d'Héraclès. Ocyrrhoé, fleuve rapide, nom qui fut choisi par son père car elle naquit près d’un cours d’eau tumultueux, avait hérité de sa mère du don de prophétie. Elle apprit rapidement les secrets de son père. Un jour en pleine transe elle prédit au jeune Asclépios (Esculape) confié à son père, qu'il aurait le pouvoir de guérir les mortels, et même de les ressusciter. Il provoquera, ainsi, la colère des dieux et sera foudroyé par Zeus (Jupiter), avant d’être ressuscité. Puis elle se tourna vers son père et commença à prédire ses souffrances, empoisonné par le sang de l’hydre. Mais les dieux l’empêchèrent d’en dire plus et la métamorphosèrent en cavale. Elle est présentée comme une nymphe par Pausanias. Melanippe ou Hippé, jument noire fut séduite par Eole alors qu'elle chassait sur le mont Pélion. Pour ne pas faire voir sa grossesse à son père, elle s'enfuit dans les bois et elle demanda aux dieux de la transformer en jument. Elle est parfois confondue avec la précédente. Quant à son fils, Carystos, il fut le fondateur éponyme de la ville de Carystos en Eubée. Il passe parfois pour le père d'Aristée. Son nom lui aurait été donné par sa mère, parce qu'elle la met au monde au bord d'un fleuve tumultueux. Elle possède en outre, à sa naissance, le don de prophétie tout comme sa mère. Elle se rend un jour à la caverne de son père et là le trouve en compagnie d'Asclépios encore enfant. Elle prédit au jeune dieu son destin, lui révélant qu'il aura le pouvoir de ressusciter les mortels mais qu'il provoquera, en l'utilisant, l'ire de Zeus par qui il sera foudroyé, avant de connaître une nouvelle existence. Elle révèle aussi à Chiron qu'il perdra son immortalité, pour ne pas souffrir éternellement par le poison de l'Hydre. Cela le fâcha. Comme elle s'apprête à en dire davantage, elle est changée en jument par la "colère divine", en punition de son indiscrétion. Cette métamorphose constituait également le sujet d'une tragédie perdue d'Euripide. Mélanippe est la reine des Amazones. Elle est aussi la sœur d'Hippolyte. Elle acquit sa liberté au prix du baudrier qu'Eurysthée avait demandé au héros. Mélanippe signifie cavale noire. Elle est la fille de Chiron. Elle aussi nommée Évippé. Séduite par Éole ou par Neptune, elle se réfugia dans une grotte du Pélion, pour échapper au courroux paternel, et fut métamorphosée en cavale par Diane, qui la plaça an nombre des constellations. D'autres traditions la font fille ou mère d'Éole, et disent que Chiron lui fit crever les yeux, mais que Neptune lui rendit la vue. Suivant Hygin, c'est pour avoir méprisé Diane, que Mélanippe, qui jusqu'alors s'appelait Thétis, fut changée en cavale. La constellation de Mélanippe, qui monte sur l'horizon au moment où le centaure Chiron achève de se coucher, est désignée plus ordinairement sous le nom de Pégase. Elle est surtout connue pour être la mère d'Éole et Béotos, homonyme distinct des deux précédents conçus avec Poséidon. Quant à son père, Chiron, Il mourut à la suite de la bataille entre Héraclès et les autres Centaures. En soignant Elatos, il se blessa avec la flèche empoisonnée d'Héraclès qui l'avait touché. Zeus l'honora en le plaçant au ciel sous la forme de la constellation du Centaure. Bibliographie et références: - Apollodore, "Bibliothèque" - Hésiode, "Théogonie" - Homère, "Iliade" - Hygin,"Fables" - Ovide, "Héroïdes" - Ovide,"Métamorphoses" - Pausanias, "Description de la Grèce" - Pindare, "Odes" - Pindare, "Pythiques" - Strabon, "Géographie" - Virgile, "Enéide" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/06/20
Ma Maîtresse m’a dit, je pense que tu es un véritable enculé, cela te fait bander quand je te mets deux ou trois doigts dans le cul et tu aimes te faire prendre avec mes godes ceinture. J’ai envie de te faire enculer par un mec. «Non pitié Maîtresse pas cela» - « Mais si, et je suis sûr que tu vas aimer ça, d’ailleurs je ne t’ai pas demandé tons avis et j’ai déjà envoyé une annonce : «Couple cherche Homme, âge indifférent, bisexuel, actif et directif pour s'occuper de Monsieur. Madame spectatrice.» Il fallait envisager une première expériencensous l'angle des contraintes homosexuelles de mon soumis. C'est en tout cas comme ça que j'avais accepté de faire paraître cette annonce sur différents sites. Mais je crois que mon soumis n'était pas dupe. J’ai reçu un courrier innombrable. Et j’ai correspondu avec un certain « Maître ». Il nous avait envoyé des photos, ( la quarantaine, gueule carrée. grosse bite). Je fantasmais déjà sur cette rencontre. Il avait bien précisé qu'il était dominateur et qu'il n'était pas question de subir la sodomie ou même de sucer un homme. Il n'aimait que la possession et la pénétration. Il exigeait aussi que je sois présente et me demandait, à moi, quelles étaient mes envies. - Ton fantasme, c'est d'être enculé, et bien, je suis d'accord même si ce ne sera pas cette fois-ci. Puisque ici, c’est pour te faire plaisir. Je me souviens très bien de ce qu'il m'a répondu: - C'est uniquement pour me faire plaisir? Le fantasme récurrent de mon soumis: être appelé enculé et l'être aussi, fantasme que je partageais de plus en plus et que je souhaitais réaliser au plus tôt. En effet, c’est d’une véritable envie tant intellectuelle que physique dont je parle. Quand je dis que Maître aimait posséder, je voulais bien entendu parler de soumission à ses ordres, devenir des objets de plaisir. Mon soumis allait être pénétré par un homme, moi étant spectatrice. Je demande à mon soumis de s’habiller avec une mini jupe en cuir et un string. Mon soumis confirme nos échanges sur Internet et son envie d'être sodomisé en ma présence. Le Maître demande alors si mon soumis est d'accord pour lui obéir en tout et lui précise qu'il n'y aura pas de violence et qu'il pourra toujours dire le mot qui arrêtera tout.il me regarde pour chercher mon approbation mais je garde une attitude neutre. Il dit: - Oui, je suis d'accord mais il faudrait aussi avoir l'approbation de ma maîtresse. Se tournant vers moi, il me pose la même question, je réponds après un petit moment d'hésitation : - Oui, je suis d'accord pour t'obéir. Il se lève et rejoint mon mari, assis dans le divan. Je suis en face dans un fauteuil. Il se débraguette et présente sa queue au niveau du visage de mon mari et lui dit, d'une voix soudain changée: - Suce-moi la bite! il ouvre la bouche et engouffre la bite (de belle dimension!); une main sur la hampe, l'autre lui massant les couilles. mon soumissemble accepter. Je vois la queue aller et venir dans la bouche de mon soumis qui y mettait vraiment du sien pour lui aussi, c’était une première ! Tout à coup, il s'adresse à mon soumis: - Tu m'as bien dit que tu allais m'obéir en tout, sans discussions ? - Oui, répond t il, je vais t'obéir en tout. Ainsi je serai dans son dos. Jusqu'au moment de la pénétration, c'est toi qui dirigeras nos ébats; De plus, je veux que ce soit toi qui guides ma bite dans ton anus. Compris? - Oui, oui, j'ai compris ! - C'est vraiment ce que tu veux? Attention , il n'y aura plus de marche arrière même si tu demandes d'arrêter, moi je ne le voudrai plus. Tu veux vraiment être enculé ? Réponds clairement ! - Oui, je veux vraiment être enculé pour la première fois ce soir et je ne compte pas t'arrêter en cours de route. - Eh bien, continue ce que tu as commencé alors ! J'avoue que la situation m'excitait au plus haut point, j'avais déjà envie de cette queue que je sentais contre mes fesses, pour ensuite glisser la main dans mon string. Il voulait prendre les opérations en main et donc fait comprendre à mon soumis d'accélérer le mouvement. Je remarquais qu’il avait une érection incroyable; ça lui plaisait vraiment. - Voilà, tu es un soumis vraiment un enculé à présent ! Au même moment,, prenant mes fesses à pleines mains, s'est enfoncé d'un coup. Je ne sais plus combien de fois j'ai joui, mais c'était fabuleux ! il se moquait , le traitant d’enculé, de lope. tellement il était excité, il a joui dans son string sans même se toucher !! Je ne pouvais rêver de meilleures preuves de son réel plaisir à être enculé! sous l’œil brillant de mon soumis lopette.
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Par : le 08/06/20
C’était un soir d’automne, un de ces soirs ou le vent soufflait plus fort que par habitude. Mathilde pouvait encore sentir la présence de la créature dans sa chair. Alors que plusieurs jours s’étaient écoulés depuis sa dernière apparition. Mais ce n’était pas à lui qu’elle pensait, mais à cet homme, cet inconnu de qui le mauvais génie prit apparence, s’habillant de ses qualités de son verbe et de son corps. Mathilde avait besoin de l’ombre malfaisante. L’immonde créature était le seul lien avec le sujet de son songe. Elle était résolue et décidée à fuir… Fuir son mari fuir sa famille fuir sa vie, il n’était plus question de faire marche arrière… Il lui fallait partir, comprendre ce qu’elle avait vécu ressentit par l’intermédiaire de ce démon. Tout cela avait un but ou alors son âme resterait à jamais errante, sans autre voie que l’aliénation. Mais il hésitait . au point de l’éviter .. Elle s’adressait à lui uniquement de nuit, à la dernière heure précédant l’aurore, le devinant parfois ou simplement en l’imaginant tout en espérant sa présence. Cela faisait maintenant plusieurs mois, que son calvaire durait. Malmenée, humiliée, attachée, Mathilde semblait absente. Son regard perdu ne prêtait plus attention à son environnement, et son esprit s'était détaché de la vie qui fut la sienne ces 3 dernières années. Elle attendait dans la pénombre un signe pour détecter sa présence, décidée de lui demander une nouvelle fois son aide. Cette nuit-là encore elle essaya de l’attirer à elle sans y parvenir et se lamentant sur son sort. - Ainsi tu me tortures ô créature, dit-elle , et mon âme perdue dans les tourments et l’angoisse, te cherche te réclame. Depuis ce jour ou tu es venus sous son apparence me séduire. Ou j’ai cru devenir folle, puis honteuse de mon état, mais au fil des semaines tu m’as apprivoisé rassurer et je me suis laissé enfermer entre tes griffes. Protégée en sécurité j’ai libéré mes plus folles pulsions. Que craignais-je donc ? Puisque tu n’étais que songe, rêveries obscènes charnelles ou le sensuel était toi. Il me suffisait d’ouvrir les yeux pour que la lumière me libère. Aurais-je pu deviner ne plus souhaiter les ouvrir? Et puis vint ce jour ou tu m’a tout révélé et tes aveux ont ailés mes sentiments et mon rejet de la fatalité. Lui comme moi condamné par notre attrait pour le doux comme pour le sévère. L’un bourreau l’autre victime et utilisant le même instrument. Et finalement il me fallut bien du temps pour comprendre que c’était l’instrument qui m’utilisait. Par ta main, celui dont j’ignorais il y peu encore, jusqu’à son existence, me couvrait de folles caresses et martyrisait ma chaire dans de délicieux moments de parfaite complicité et pourtant, me confis-tu, tous ne cherche qu’à le fuir. Et par mon âme soumise à sa volonté, accepter son désir et le servir est l’unique but de ma vie. Qu’il me donne ou me prive de son amour pourvu, que la, dans un coin, prêt de lui, il me garde. Aurais- tu pu deviné qu’en cela est mon idéal? Aurais tu prévu que l’infime atome humain présent en toi donne naissance à l’amour et plutôt que le détruire tu l’as laissé fleurir. Et ressentir la compassion le remord la peine, t’oblige à me guider vers lui. Voilà ton défi, toi aussi porte ton fardeaux pour ta rédemptions et ton retour vers le créateur. Ma décision est ferme. Je pars, j’irais à sa recherche, je ne sais où le trouver ni même dans quelle direction aller. Et au-delà des champs et des prairies et même des mers s’il le faut, aussi loin qu’il pût être je vais à lui. Et si tu ne me guides pas, ô ombre des interdits, dans ma recherche, alors laisse-moi me donner la mort elle sera bien plus douce que la folie dans laquelle tu me condamnes, entend ma douleur, guide-moi à lui. Puis alors qu’elle allait s’endormir elle entendit un murmure - Oui ô Mathilde me voilà mais pour un court instant, persévérante tu es et peut-être que c’est le moyen qui te mènera à lui. Mais attend attend jusqu’à la pleine lune puis nous aurons une longue route. Et une nouvelle fois encore il disparu. Oui j’attendrais lui répondît-elle sans promesse sans espoir je serais là et s’endormi.
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Par : le 08/06/20
Un air doux remplit sa chambre. Elle est le lieu de toutes les libertés, de toutes les expressions. Spacieuse, blanche, pour seuls meubles, en bois naturel, une commode ronde et une simple coiffeuse avec deux miroirs. Un grand lit au centre, encadré de voiles blancs qui accompagnent le moindre vent, deux grands fauteuils blancs au cadre en bois. La nuit est magnifique. Elle est au même diapason de son attente. Il n'y a qu'une heure qu'elles sont couchées, chacune dans une chambre, quand Charlotte perçoit du mouvement dans le couloir, puis dans sa chambre. Le clair de lune jette son halo fantomatique dans la pièce. Bien qu'elle tourne le dos à la porte, Charlotte aperçoit dans la glace Juliette qui s'avance vers son lit. Elle est nue, ses seins fermes et hauts placés ainsi que ses jambes galbées et bronzées lui confèrent une silhouette indéniablement désirable. Elle soulève le drap et se glisse dessous. Une légère brise tiède agite le rideau à la fenêtre. Juliette se blottit dans le dos de son amie, telle une amante. Charlotte peut sentir ses cuisses brûlantes et ses mamelons durs contre sa peau. Le désir comme tous les sens s'éveillent. - Tu voulais enfin que je te l'avoue ? J'ai très envie de te faire l'amour. Charlotte se retourne brusquement, Elle porte juste un tanga en soie noir. - Juliette ! - Quoi ? Ne me dis pas que tu ne t'en doutais pas, quand même ! Charlotte s'allonge dans le lit en ramenant le drap sur sa poitrine. - Je croyais que c'était un jeu, Juliette. - Eh, bien non, je n'ai jamais été aussi sérieuse de ma vie. Charlotte examine Juliette pour s'assurer qu'elle est sincère. - Je ne suis pas lesbienne, affirme-t-elle au bout d'un moment. - Comment tu le sais ? - J'ai un amant. - Et alors ? Tu as déjà essayé ? s'amuse Juliette. - Tu sais bien que non. - Alors, laisse-moi faire .. Après, tu prendras ta décision. Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle. Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme. Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque. L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte. Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir. Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésistible; j’entends son souffle. Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce. Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant: - Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi. Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis. - Tu apprendras à me connaître. Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis. Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras. Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact. Un affectueux sourire se dessine sur sa figure. - Tu es toujours trop pressée. Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent. Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle. - J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ? Son rire mélodieux me répond. Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir, de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inétanchable de plaisir et de passion. Son bras me décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles. Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille. Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher. Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu. Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin. Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille. D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne. Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements. Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu. Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent. Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite. Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente. Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but: le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi. Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale. Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes. Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle, me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever. D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage. L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance. Elle roulèrent sans un mot sur le sol carrelé de la salle de bain. Leur envie réciproque de se posséder les transforma en lutteuses. Elles s'encastrèrent l'une contre l'autre en s'embrassant et en se griffant, seins contre seins, ventre contre ventre, en un combat furieux. - Raconte-moi ce que tu ressens quand ton amant commence à nouer des cordes autour de toi demanda Juliette. Quelle sensation cela procure de se retrouver nue et vulnérable ? - J'ai peur. Et en même temps, je suis impatiente. - Il te caresse en t'attachant ? - Non, il est comme absent. - Il t'a déjà fouettée ? - Non, jamais. - Et tu le regrettes ? - Peut-être, oui. Charlotte fut surprise de sa propre réponse, comme si ce n'était pas elle qui avait répondu mais une autre. Sans attendre, Juliette dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde de chanvre qu'elle attacha à un anneau au plafond, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le sifflement des lanières en cuir d'un martinet. - Qu'est-ce que tu fais ? - Je répare un oubli, répondit Juliette. - Tu veux que je te bâillonne ? Charlotte secoua la tête. Non, elle ne voulait pas être bâillonnée. Elle voulait sentir la douleur lui monter jusqu'à la gorge pour y exploser. Cela devait faire partie du rituel. Il fallait que quelque chose sorte d'elle. Elle osa un regard par dessus son épaule. Indifférente, bien campée sur ses jambes fuselées, ses seins dressés tressautant au rythme de ses larges mouvements. Juliette éprouvait la souplesse du ceinturon en en fouettant l'air. Ainsi nue et armée, elle ressemblait à une déesse antique. Charlotte ferma les yeux. Elle désirait être fouettée et Juliette seule pouvait lui faire subir cette épreuve. Ce serait non seulement s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre femme de surcroît. Accepter ses coups, encaisser à travers elle, la fureur de toutes les femmes. Juliette la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que son amante continuât à l'aimer, elle souhaitait seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi et attendait muette. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. Juliette cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts sur ses reins meurtris, elle attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'elle couvrit de baisers. Elle aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur. Charlotte s'abandonna. Charlotte avait accepté secrètement non sans abnégation de se soumettre définitivement à Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/06/20
J’ai toujours été sensible aux odeurs. Je ne sors jamais sans porter une eau de toilette ou un parfum. Et je veille en permanence à être d’une hygiène irréprochable, sauf quand je n’ai pas le choix, à l’issue de nos séances, après avoir été utilisée par mon Maitre. Mais j’ai toujours été attirée par l’odeur des Mâles. Pour moi, elles font partie de leur virilité. Il ne s’agit pas de jeux « crades » pour autant : la scatologie et tout ce qui tourne autour, très peu pour moi. Mais j’aime l’odeur de leur sueur, de leur sexe, qui pour moi font partie de leur virilité. J’aime renifler longuement les aisselles de Maxime, les embrasser avant de les lécher. J’aime le fumet qui s’en dégage, parfois délicat parfois soutenu lorsqu’il rentre d’un jogging ou d’avoir fait du sport. J’aime me placer à ses côtés, lui debout, les mains posées sur sa tête, moi le visage enfoui dans ses aisselles et qu’il me laisse m’imprégner de l’odeur de sa sueur, le sentir puis l’embrasser avant d’y goûter. J’aime m’agenouiller à ses pieds, pour renifler son slip ou son boxer, sentir ce mélange d’odeurs de sueur, de pisse et de foutre, qui caractérise le Mâle. Puis, après lui avoir témoigné mon désir, lui retirer son boxer du bout des lèvres et des dents, humer son entrejambe et sa toison pubienne avant de lui lécher longuement les couilles, la queue, le gland. J’aime l’Homme, sa virilité, et tout ce qui contribue à en faire un Mâle.
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Par : le 07/06/20
Aux mensurations usuelles, le commissaire priseur ajoutait chaque fois longueur du pénis en érection pour les mâles, le diamètre introital pour les femelles. Il précisait, si besoin, les appartenances sexuelles d'origine, mais pour des soumis, le sujet n’avait pas véritablement lieu d'être. Je remarquais que, contrairement aux légendes, aucun esclave n’était marqué au fer. En revanche, ils étaient tous tatoués à la fesse, à l’intérieur des cuisses, sur le pubis ou en quelque autre endroit sensible. J’en fis la remarque à Sarah, ajoutant que ces marques indélébiles pouvaient décourager un acheteur. Elle me répliqua que les esclaves ont tous leur histoire propre et qu’il convient de la respecter, c’est pourquoi les marques devaient, si possible, être apposées côte à côte. - Et pourquoi ne pas avoir fait marquer Cléo ? - Qui vous dit qu’elle ne l’est pas ? - Chhhhhuuuuuttttt ! souffla-t-on dans notre dos tandis que le second lot se présentait. Cléo était la cinquième. Elle s’aligna en fin de rangée, sans vraiment attirer l’attention puisque les regards étaient rivés sur la première du lot : une sublime noire qui dépassait tous ses compagnons d’infortune, hommes compris, d’une demie-tête. Son port altier, ses seins menus et ses longues cuisses musclées laissait imaginer une princesse des sources du Nil. Accrochées à ses tétons, son nombril et son sexe, des cascades de minuscules disques d’or scintillaient sur sa peau sombre, accentuant la majesté de sa démarche par leur lent balancement. Sa démarche féline tout au long du catwalk donna l’impression d’un ralenti cinématographique, le public retenait sa respiration. Sarah elle-même était subjuguée. Suivaient un mâle et deux autres jolies femelles. Un serpent noir et or enserrait de ses trois anneaux la base du sexe du mâle. Les deux femelles étaient bâillonnées et tenues par une laisse aux anneaux de leurs tétons. Une discrète plaque de métal doré fixée par un jeu de piercings à leurs grandes lèvres garantissait leur chasteté vaginale. L’une des deux femelles avait le crâne rasé. Les regards qu’elles se lançaient me firent imaginer une complicité. Si ses compagnons portaient la tête haute et assumaient fièrement leur condition, Cléo paraissait au contraire accablée d’être réduite au sort qui était le sien. La piqure d’aiguillon sur la fesse que lui administra une vigile la rappela à l’ordre, elle se redressa et exposa plus avantageusement sa poitrine, comme on lui avait appris à le faire, ce qui, dans son cas, n’avait pas beaucoup d’incidence mais restait charmant. La bataille fit rage pour emporter la princesse nubienne. Les chiffres voltigeaient dans l’air comme des avions de papier lancés par une classe d’école dissipée. Je crois me souvenir qu’elle fut adjugée à un prix représentant une année de salaire pour moi, ce qui, en toute honnêteté, ne me parut pas excessif. Elle échoua finalement aux pieds un homme d’âge mûr, auquel elle n'octroya pas même un regard. Beaucoup de femmes, mais aussi d’hommes, réclamèrent de toucher de cockring du mâle et le prix de ce dernier s’envola à son tour. Sans atteindre toutefois celui de la princesse nubienne, il parut largement satisfaire la vendeuse. Les deux filles qui suivaient, avaient certes des qualités et elles partirent rapidement. Ils finirent au service de deux couples. J’eus l’impression qu’elles souffraient d’être séparées. Les deux couples étaient ravis. - Ce sont deux soeurs, me chuchota Sarah… Vint enfin le tour de Cléo. Le commissaire priseur s’attacha à préciser qu’il ne s’agissait pas d’une vente mais d’une location comme il arrive parfois. Pour Cléo, la location était fixée à une semaine. Cléo défila en mettant toute sa sincérité dans l’exercice. Elle écarta les cuisses à l’extrémité du catwalk et passa les doigts sur sa fente et pétrissant ses seins de l’autre main. Il était évident que sa fraîcheur, son naturel, étaient ses meilleurs atouts. Plusieurs mains se levèrent, hommes et femmes confondus. Soudain, je réalisai que rien ne s’opposait à ce qu’elle soit achetée par un homme. - Evidemment, me répondit Sarah. Ce serait sa réelle punition. - Tu sais, s’il fallait qu’elle soit prise par un homme, la première fois, j’aurais préféré que je sois par moi. J’aime beaucoup Cléo. - Je sais. Vous l’avez prise l’autre fois, à travers moi… - Ce n'était que symbolique. Tous les deux, nous aurions pu l’amener à subir puis accepter puis aimer le sexe de l’homme. Une vraie éducation, en quelque sorte. - Monsieur, sans vouloir vous offenser, permettez-moi de vous dire que vous êtes désespérément idéaliste. Vous aimez Cléo parce qu’elle vous échappe. Parce que vous ne l’avez pas prise, elle, mais son image. C’est le drame des hommes, ils n’aiment que ce qu’ils n’auront jamais. Pendant que nous échangions, les enchères sur Cléo furent emportées par une jeune femme. J’en fus soulagé. Sarah eut une réaction d’agacement. Je dus lui saisir le poignet et la maintenir à sa place pour qu’elle n’improvise je ne sais quel scandale. - Sarah, il ne s'agit que d’une semaine. Nous reprendrons tout comme avant lorsqu’elle rentrera. Je te le promets. Elle se blottit contre mon épaule pour pleurer. - Je l’aime, vous savez ? - Oui. Pendant qu’elle dissimulait son chagrin dans les plis de ma veste, je glissais ma main entre ses bas, sous sa minijupe. Il faisait assez sombre et l’assistance était trop accaparée par la suite de la vente pour s’intéresser à nous. Son entrejambe fiévreuse accueillit mes caresses avec gratitude. Sa fente s’entrebâilla devant mon intrusion. Un musc empoissa mes doigts, par d’insensibles mouvements du bassin, Sarah quêta mes faveurs. J’hésitais… Cléo et son acheteuse quittaient la salle. J’eus à peine le temps de détailler son acheteuse : grande, fine, les cheveux courts, en Jean’s sous un manteau long, vraisemblablement du même âge que Cléo... Néanmoins, tout en ne sachant rien des conditions de la location ni de l’identité de l’acheteuse, je fus rassuré de constater qu’il s’agissait d’une lesbienne. - Vous voulez me rendre folle, Monsieur ? supplia Sarah. - Oui, bien évidemment, lui répondis-je agacé. La vente était peut-être finie mais le commissaire priseur n’en avait pas complètement terminé. Alors que les conversations battaient leur plein, on entendit son marteau réclamer le silence. Mesdames et messieurs, ainsi que le veut la tradition, une esclave acquise avec le bénéfice des ventes va être mise gracieusement à votre disposition durant trente minutes, suite à cela, nous vous demanderons de bien vouloir quitter la salle et surtout rester en contact avec nous dans l’attente de la prochaine vente ! En même temps qu’il achevait son speech, deux vigiles, un homme et une femme firent entrer une jeune femme nue et bâillonnée. Elle était blonde, avec de longs cheveux en tresse, et dans ce qui restait de lumière sa peau ressemblait à de la soie. On la fit s’agenouiller au centre de la salle. Le public se referma peu à peu autour de cette offrande vivante. - C’est toi qui devrait être à sa place, dis-je à Sarah - Vous avez raison, Monsieur, répondit-elle en faisant tomber son bustier et sa minijupe. Des hommes s’approchèrent d’elle, des femmes s'emparèrent d’elle. Sarah fut pénétrée simultanément par la bouche et le vagin par plusieurs fois deux hommes qui jouirent en elle tandis qu’elle faisait éjaculer d’autres hommes en les branlant. Sarah lécha et suça, fut léchée et sucée, par autant de femmes qui forcèrent sa chatte avec leurs mains entières. Mais Sarah ne fut pas sodomisée. Car c’était mon privilège. Je la relevai exténuée et dus la porter jusqu’à la voiture. Elle ne prononça pas un mot jusqu’au lendemain après-midi. Et moi non plus.
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Par : le 07/06/20
Comme à Perpignan Je commence à trouver gonflant Tous ces gens Qui ne tiennent pas leurs promesses Qui se foutent de mes fesses Me frustrant de leurs caresses Complicité féminine Amours clandestines Je reste féline Ce ne sera pas des hormones Qui me transformeront en gorgone Je vis l'instant présent Le savoure pleinement Tant pis pour ce fichu garçon Incapable de décision Qui voulait maîtriser la situation Tous ses projets étaient bidons Je les vivrais autrement Son cerveau était passionnant Il a raté le bon moment...
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Par : le 07/06/20
Chapitre 12 : Dimanche 5 Dimanche après-midi. Je me rends chez mon Maître. Quand j’arrive, je vois mon Maître, habillée, et une femme vêtue uniquement d’une cape ouverte sur le devant laissant voir une poitrine imposante, un ventre plat, un pubis totalement glabre et des cuisses imposantes. Elle porte des chaussures à talons. Cette femme est vraiment impressionnante. Sa tenue me fait penser que c’est une dominante. Je vais baiser les paumes des mains de mon Maître. Mon Maître tend à cette dame un fouet et l’extrémité de ma laisse et il me dit : - Je te confie à Elvire. Tu dois lui obéir comme à moi. Tu l’appelleras madame. - Bien Maître. Bonjour, madame. Madame Elvire s’adresse à moi : - Tu restes toujours à quatre pattes, tu te relèveras seulement quand je te dirai. - Bien, madame. - Je vais te promener. Je dois donc marcher à quatre pattes, madame Elvire accompagnant notre marche par de petits coups de fouet sur les fesses. Nous faisons ainsi le tour de l’appartement. Nous revenons au salon. Mon Maître est prêt à filmer. - Tu restes accroupie les fesses sur tes jambes. Tu laisses tes bras ballants. Madame Elvire se baisse et me pince les seins. J’ai un petit cri vite réprimé par un coup de fouet sur les seins. - Je ne veux pas t’entendre. Elle reprend ses pincements sur les seins, elle les triture. Elle me fait mal mais je ne bronche plus. Cette douleur s’atténue et je ressens du plaisir. Je commence à mouiller. Elle s’approche de moi me présente son pubis. - Caresse-moi délicatement. Mes mains s’avancent. Je commence à faire aller mes mains sur son ventre. Madame Elvire écarte les jambes. Mes doigts s’enhardissent jusqu’à effleurer son sexe. - Tes doigts. Ne sois pas timide. - Bien, madame. Je rentre le majeur de la main droite dans son vagin qui est très humide. Mon doigt entre plus profondément. Madame Elvire se raidit et a un orgasme. - Suce ton doigt ! - Merci, madame. Elle m’entraîne vers le bac à douche. Elle me fait accroupir. - Ouvre ta bouche. Elle présente son pubis au-dessus de ma bouche et commence à uriner. J’essaie de recracher le moins possible. Elle paraît satisfaite. Mon Maître a suivi et à filmé la scène. J’ai quelques gouttes d’urine sur la poitrine. Je dois les recueillir avec mes mains et lécher mes mains. Nous revenons au salon. - Allonge-toi le buste sur le sol et écarte tes fesses avec les mains ! - Bien, madame. Elle s’approche de moi, et me plante son talon droit dans l’anus. Je me retiens de réagir. - Allonge-toi le dos sur le sol ! - Bien, madame. Elle me présente son talon droit et m’ordonne de le sucer ce que je fais. Elle passe au-dessus de moi et présente son pubis devant ma bouche. - Suce ! Je n’ai pas le temps d’acquiescer tant elle s’empresse. Je peux à peine respirer. Je prends contact avec son clitoris et j’avance ma langue dans son vagin. Elle jouit assez vite. Elle s’éloigne et rejoins mon Maître. Ils prennent des rafraîchissements. Madame Elvire revient vers moi avec une écuelle remplie d’eau. - Mets-toi à plat ventre et lape ! Tu dois tout boire et je ne veux aucune goutte par terre. - Oui, madame. Je m’applique à laper. Je finis l’écuelle mais quelques gouttes sont tombées à terre. - Lèche ! Je lèche le sol. Je me remets à quatre pattes et je suis entraînée dans la chambre. Sur le lit est posé un gode-ceinture. Madame Elvire me le présente : - Suce ! Enfonce-le bien dans ta bouche ! - Oui, madame. Le gode a dû être lubrifié, il a un goût étrange. Je commence par lécher le sex-toy puis j’essaie de le rentrer au maximum dans la bouche. Puis madame Elvire s’harnache. - Tu t’accroupis sur le lit. - Oui, madame. Elle se place derrière moi et, sans me prévenir, me l’enfonce dans le cul. La douleur est violente. Mon Maître filme la scène. Je reste stoïque. Madame Elvire effectue des mouvements pour faire coulisser le sex-toy. La douleur initiale a fait place à une certaine douceur puis à du plaisir. Mais je dois me retenir de jouir. Ce traitement est assez long. Madame Elvire vient se placer devant moi. - Maintenant, tu suces ! Et avec des mouvements des reins, elle enfonce le sex-toy jusqu’au fond de la gorge. Ma bouche est alors béante. Madame Elvire effectue des mouvements de va-et-vient. Madame Elvire s’adresse à mon Maître : - Je te la rends. - Elle n’a pas eu sa dose de cravache ou de fouet. Pourrais-tu la battre ? - Donne-moi ta ceinture. Mon Maître enlève sa ceinture et la tend à madame Elvire. Elle s’adresse à moi : - Lève-toi ! - Oui, madame. Les coups de ceinture atteignent toutes les parties de mon corps. Je compte et remercie à l’occasion de chaque coup. Madame Elvire a beaucoup d’énergie, ses coups me font vraiment mal. - Maintenant, dis-nous au revoir. - Au revoir et merci, madame. Je vais embrasser les paumes de mon Maître, je me rhabille et l’en vais. Mon corps me fait mal. Mon anus est douloureux. Mais j’ai bien rempli ma mission.
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Par : le 07/06/20
Son cerveau à lui, elle s était mise à en rêver. Son cerveau à elle, il s était mis à en rêver. Son corps à elle le faisait bander Sa voix à lui la faisait mouiller Ils se sont mis à échanger, Elle était fascinée Ils se sont mis à se parler Il était intrigué Des scénarios ont été imaginés Des tas d idées se rejoignaient Elle le provoquait Il la punissait Elle lui répondait Elle continuait Sévère il devenait Il s'est mis à la fesser Ses fesses rougissaient Son rire éclatait Jamais il n'arrivait À le faire cesser Ce rire le faisait bander À s'endormir il l'aidait Un instant il oubliait Les tracas de la vie vraie Se prenait à rêver Qu'elle le rejoignait Trop fier il a été Elle a raccroché.
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Par : le 06/06/20
Tes lèvres sont calices Offerte en caprice J'y cueille la rosée Perlant à leur ourlet Tes cils sont pistils Délicats et graciles Orée de ton azur A l'éclat d'aube pure Ta langue se fait liane Enlace ma peau diaphane Y goûte mon pétiole Lové à ma corolle A cette invitation Je sors de mon cocon Mes pétales froissés Par tes baisers lissés Je plonge avec délice Comme en un précipice Happée par le désir Volonté d'assouvir Vraiment légère et délicate Que cette approche intime Qui invite à des voluptés De plus en plus coquines Surtout ne pas résister Et se laisser emporter... Le 05 06 2020
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Par : le 05/06/20
Fille de Saturne et de Rhéa, épouse de Jupiter, reine du ciel, déesse du mariage, en latin Juno, a été assimilée à la déesse Héra des Grecs. Ses surnoms: Juno, Lucetia et Lucina ou la brillante, indiquent qu'à une période, elle fut une déesse lumineuse chargée de protéger la sainteté du mariage et de présider sous le nom d'Eileithya aux accouchements, vénérée lors des "matronalia". Elle était aussi "Juno Regina", associée à Jupiter et Minerve; "Juno Pronuba", protectrice du mariage; "Juno Moneta", donnant de bons conseils; "Juno Caelestis, la correspondante d'Astarté et enfin "Juno Sospita", divinité tutélaire des femmes. On la représentait sous les traits d'une femme majestueuse tenant un sceptre et une patère ou un foudre, attribut de son mari; les Romains célébraient sa fête au printemps lors de cérémonies grandioses, les "junonales". Le plus ancien des dieux était le Ciel ou Coelus, qui épousa la Terre, ou Titéa. De ce mariage naquirent deux filles, nommées Cybèle et Thémis, et un grand nombre de fils, entre lesquels Titan, l'aîné de tous, Saturne, l'Océan, et Japet, sont les plus célèbres. Coelus, qui redoutait la puissance, le génie et l'audace de ses fils, les traita avec dureté, les persécuta sans relâche, et enfin les emprisonna dans des cachots souterrains. itéa n'osait se déclarer en leur faveur. À la fin pourtant, touchée de leur sort, elle s'enhardit, brisa leurs chaînes et leur fournit des armes. Saturne attaqua ce père cruel et occupa le trône du monde. Jupiter, parvenu à l'âge de l'adolescence, envisageait avec douleur l'esclavage où Saturne gémissait, et il se prépara à le délivrer. Il rassemble une armée, attaque les Titans, les précipite de l'Olympe, et fait asseoir de nouveau son père sur le trône. Mais Saturne jouissait peu de cette gloire : il avait appris des destins qu'un de ses fils le détrônerait; et cette pensée, empoisonnant son existence, lui faisait voir d'un oeil de jalousie la valeur que déployait Jupiter dans un âge encore si tendre. La crainte ferma son coeur aux sentiments de la nature; il dressa ses embûches à un fils digne de son amour. Jupiter, adroit, actif et courageux, évita les pièges, et, après avoir vainement essayé toutes les voies de conciliation, ne garda plus de ménagement, livra bataille à Saturne, le chassa du ciel et s'établit pour jamais monarque des cieux. Junon, soeur et femme de Jupiter, était la reine des dieux, la maîtresse du ciel et de la terre, la protectrice des royaumes et des empires. Elle présidait aux naissances et aux mariages, et accordait aux épouses vertueuses une protection particulière. Mais son caractère était impérieux, son humeur difficile et vindicative, sa volonté opiniâtre; elle épiait jusqu'aux moindres actions de Jupiter, et faisait retentir le ciel des cris que la jalousie lui arrachait. Jupiter, époux dur et volage, employait souvent la violence pour étouffer les plaintes de son épouse. Il poussa même la barbarie jusqu'à lui attacher une enclume à chaque pied, lui lier les mains avec une chaîne d'or, et la suspendre à la voûte du ciel. Les dieux ne purent la dégager de ses entraves : il fallut recourir à Vulcain qui les avait forgées. Un traitement de cette nature augmenta les ressentiments de Junon, qui ne cessa de persécuter les favoris et les amantes de Jupiter. L'infortunée Io fut le principal objet de son courroux. Cette nymphe, fille d'Inachus, était un jour poursuivie par Jupiter, qui, pour l'empêcher de fuir, couvrit le pays d'un épais brouillard dont elle se trouva enveloppée. Junon étonnée de ce phénomène descendit sur la terre, dissipa le nuage, et découvrit Io qui venait d'être métamorphosée en vache. Mais comme la nymphe sous cette nouvelle forme conservait encore des charmes, Junon, feignant de la trouver de son goût, la demanda à Jupiter avec tant d'instances qu'il n'osa la lui refuser. Maîtresse de sa rivale, elle en confia la surveillance à un gardien qui avait cent yeux, dont cinquante veillaient, tandis que les autres cédaient au sommeil. Argus ne la perdait pas un instant de vue pendant le jour, et la tenait pendant la nuit étroitement liée à une colonne. Jupiter n'avait qu'un moyen de débarrasser Io de cet incommode satellite: il appelle Mercure, et lui intime de le tuer. Mercure aborde Argus au commencement de la nuit, lui raconte des histoires amusantes, enchaîne un récit à un autre, l'endort à la fin, et lui tranche la tête. Privée d'Argus, Junon déchargea toute sa colère sur la jeune vache, bien innocente du crime : elle lâcha contre elle un insecte malfaisant, un taon; qui, la piquant sans relâche, la j etait dans des transports convulsifs. Harcelée, ensanglantée, cette malheureuse parcourut dans sa fuite la Grèce et l'Asie-Mineure, traversa à la nage la méditerranée, et arriva en Egypte, sur les bords du Nil. Epuisée de fatigue, elle supplia Jupiter de lui rendre sa première forme, et elle mit au monde un fils nommé Epaphus. Junon, qui regrettait toujours le fidèle espion tué par Mercure, prit ses cent yeux, les répandit sur la queue du paon et perpétua de cette manière son souvenir. Orgueilleuse autant que jalouse, Junon ne pardonna pas au troyen Pâris, fils de Priam, de ne lui avoir pas adjugé la pomme d'or, et elle devint l'ennemie du peuple troyen; les Grecs, au contraire, furent les objets constants de sa faveur. Les Proetides, filles de Proetus, fières de leur excessive beauté, osèrent se comparer à Junon, qui punit leur orgueil en les rendant insensées et maniaques. Leur folie consistait à se croire des génisses, à pousser comme elles des mugissements, et à se cacher au fond des bois pour éviter le joug de la charrue. Le devin Mélampe, médecin habile, offrit de les guérir si leur père s'engageait à l'accepter pour gendre et à lui accorder le tiers de son royaume. Proetus agréa ces conditions; et Mélampe ayant réussi épousa la plus belle des trois soeurs. Le culte de Junon était universel, et la plus grande solennité présidait à des fêtes. On l'adorait surtout à Argos, à Samos et à Carthage. Elle est représentée assise sur un trône, avec un diadème sur la tête et un spectre d'or à la main; un ou plusieurs paons sont à ses pieds. Quelquefois deux paons traînent son char; derrière elle Iris, fille de Junon, messagère des dieux, portait leurs ordres sur la terre, sous les eaux et jusqu'aux enfers. Vouée en même temps à des fonctions plus pénibles, elle assistait les femmes agonisantes, et coupait le fil qui attachait leur âme à leur corps, remplissant, au nom de Junon, ce pieux devoir. Elle avait de nombreux sanctuaires, notamment, sous l'épithète de Moneta, c'est-à-dire la déesse qui avertit, ou celle qui fait souvenir, elle recevait un culte sur la Citadelle, l'Arx, le sommet Nord-Est du Capitole. C'est à Junon Moneta que l'on attribue le salut de Rome lors de l'invasion gauloise, en 390 avant notre ère. Les oies que l'on élevait dans l'enceinte de son sanctuaire donnèrent l'alerte, et permirent à Manlius Capitolinus de sauver la Colline et de repousser à temps l'envahisseur. Junon était honorée encore sous d'autres épithètes: sous celle de Lucina, elle préside à la naissance des enfants; en cela, elle rappelle plutôt Ilithye qui en a charge. On ne devait assister aux offrandes faites à Junon Lucina que tous noeuds déliés, car la présence d'un lien, noués dans les vêtements des assistants pouvait empêcher l'heureuse délivrance de la parturiente pour qui le sacrifice était offert. Dans les arts, le type figuré de Junon est le même que celui de la Héra grecque. Cependant, on relève quelques traits dans certaines représentations romaines. Le type de Juno Pronuba nous est connu par des bas-reliefs de sarcophages; celui de Juno Lucina, par des monnaies; celui de Juno Sospita, par une belle statue du Vatican; ceux de Juno Regina et de Juno Cælestis, par de nombreuses monnaies et plusieurs statues. Les modernes ont conservé à Junon sa physionomie imposante. Un tableau d'Audrea Sacchi (Vienne) nous la montre assise sur un char tiré par deux paons. Dans un tableau de Natoire (Louvre), elle est assise sur de légers nuages, au-dessus de l'arc-en-ciel. Un tableau de Paul Véronèse (Bruxelles), qui décorait autrefois le plafond de la salle du conseil des Dix, à Venise, montre Junon versant ses trésors sur la ville de Venise. Junon se parant de la ceinture de Vénus a été peinte par A. Coypel. Le peintre Antonio de La Gandara réalisa un tableau de la statue de Junon située au jardin du Luxembourg. L'épervier et l'oison lui étaient aussi consacrés. Bibliographie et références: - Dumézil, "La Religion romaine archaïque" - Haudry, "Juno Moneta" - Noailles, "Junon, déesse matrimoniale des Romains" - Ovide, "Fastes" - Ovide, "Héroïdes" - Ovide,"Métamorphoses" - Pindare, "Odes" - Renard, "le nom de Junon" - Virgile, "Enéide" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 05/06/20
Chapitre 11 : Samedi 5 Samedi après-midi. J’arrive chez mon Maître. Je vais baiser les paumes de ses mains. Il s’adresse à moi : -    Aujourd’hui, on part en voiture. On ira dans un café. Tu dragueras un homme et tu l’emmèneras chez un de mes amis où tu feras l’amour avec lui. Il y a des caméras dans ce local et vous serez filmés. -    Oui, Maître, je peux vous poser une question ? -    Je t’écoute. -    Je devrai le faire payer ? Ce sera pour le faire chanter ? -    Pas du tout, tu es ma soumise, tu ne te prostitues pas, je veux simplement pouvoir te visionner en train de faire l’amour. Tu feras tout ce que vous avez envie de faire. Tu dois oublier que tu es filmée. Mon Maître m’ordonne d’enlever mon collier. -    Quand nous serons dans le bar, nous serons mari et femme. Exceptionnellement, tu me tutoieras. -    Je n’oserai pas, Maître. -    Tu le feras, c’est un ordre ! -    Bien, Maître. Nous partons donc tous les deux. Nous allons reconnaître le local de l’ami de mon Maître. Ce local comporte un canapé suivi par des caméras. Puis nous allons dans un bar. Mon Maître m’a confié les clés de ce local. Mon Maître me fait asseoir sur une banquette face à la salle. Il se place sur un côté de la table. -    Prend bien soin d’écarter les jambes. -    Oui, Maître. -    Quoi ? -    Oui, mon chéri. Nous commandons nos boissons. Mon Maître et moi entamons une discussion fictive. Un homme situé presqu’en face de moi me fixe et me sourit. Mon Maître s’en est aperçu. Il me chuchote : -    Réponds à son sourire et écarte les cuisses ! L’homme me fait un clin d’œil. Mon Maître me chuchote : -    Réponds mais il doit croire que je ne m’en aperçois pas. Le regard de l’homme se fait plus insistant. Mon Maître me dit : -    Maintenant, tu viens m’embrasser, tu t’en vas et tu fais signe à cet homme de te suivre. Je me lève et m’adresse à haute voix à mon Maître : -    Chéri, je te laisse. À tout-à-l ’heure. J’embrasse mon Maître sur la bouche, je sors du bar en faisant signe à l’homme d’en faire autant. L’homme me rejoint sur le trottoir. -    Bonjour, je suis Laurent. -    Bonjour, je suis Florence. Laurent est un bel homme, brun, les yeux marrons. Je le prends par la main : Je l’emmène au local. Arrivés, je vais m’asseoir sur le canapé. Laurent s’assoit à côté de moi m’attire et m’embrasse. J’aime le goût de sa bouche. Nos langues font connaissance. Nous nous levons, puis il commence de me déshabiller, le teeshirt d’abord, il n’est pas surpris, il avait vu que je n’avais pas de soutien-gorge, puis ma jupe, il est étonné de me voir sans sous-vêtement. Il me caresse les seins puis se penche pour les sucer. Je lui enlève sa veste puis sa chemise. Son torse est poilu. Je lui caresse la poitrine. Je lui enlève son pantalon puis son slip. Il enlève ses chaussures et ses chaussettes. Nous sommes enlacés. Je descends ma bouche sur sa poitrine, j’atteins son nombril. Je me mets à genoux et lui caresse les couilles. Ma bouche atteint son sexe que je commence à lécher. Sa queue prend une belle dimension, je prends en bouche ce sucre d’orge et commence des va-et-vient. Son sexe remplit bien ma bouche, je me délecte. Mais Laurent ne veut pas en rester là, il m’agrippe par les hanches, me renverse sur le canapé, m’écarte les cuisses et sa langue atteint mon clitoris. J’ai déjà beaucoup mouillé, il doit se régaler. Laurent est vraiment un as en cunnilingus. Il me fait jouir. Puis il se redresse, nos bouches se joignent et son sexe pénètre mon vagin. Que c’est bon ! Sa queue va et vient en moi, je suis comblée. Il est insatiable. J’ai l’impression que son sexe me transperce. Il me caresse les seins, je lui caresse le dos. Nous ne faisons qu’un. J’ai un nouvel orgasme. Puis mon amant se vide en moi. Quand il se relève ma bouche attrape son sexe encore vigoureux pour venir cueillir les dernières gouttes de sa semence. Il s’assoit sur le canapé, me fait venir à califourchon sur ses genoux. Je sens le sperme dégoulinant de mon sexe sur ses cuisses. Nos bouches sont unies, nos langues s’emmêlent. Apparemment mon amant récupère très vite, je sens son sexe sur mon ventre. Je me lève, du sperme coule sur ses cuisses que je me mets à lécher. Son sperme est parfumé. Je n’en laisse pas une goutte. Ma main se dirige vers son sexe et je commence à le branler puis, n’y tenant plus, j’ouvre la bouche et engloutit son sexe. Je suis gourmande, j’aime avoir son sexe en bouche. Puis j’arrête ma pipe m’appuis sur le canapé en tournant le dos à mon amant. Je suis penchée, l’invitation est très claire. Je lui laisse le choix de la porte d’entrée. Laurent se place derrière moi, son gland semble hésiter, haut ou bas. Enfin, il se décide pour le haut. Je sens un sexe pénétrer mon cul. Mon amant entre précautionneusement puis plus hardiment. Je suis remplie. Laurent caresse mes seins puis vient caresser mon bas-ventre. Je suis ravie. Mon amant me procure un orgasme. Il finit par s’épancher à moi. Je me retourne et ma langue vient nettoyer son sexe. Nous nous asseyons sur le canapé, fatigués et repus. Laurent me demande si on pourrait se revoir. J’hésite, ne sachant pas ce que voudra mon Maître. Je lui dis que ce sera difficile avec mon mari. Nous nous rhabillons. Il me griffonne son numéro de téléphone, nous échangeons un dernier baiser. Je rejoins mon Maître qui est resté à la même place dans le bar. Il me tend mon collier que je remets. -    Tout s’est bien passé ? -    Oui, Maître, je vous remercie. -    Tu t’es bien envoyée en l’air ? -    Oui. Le monsieur a demandé à me revoir. Je tends à mon Maître le papier où Laurent a écrit son numéro de téléphone. -    On verra. On retourne au local. Je veux voir tout de suite la vidéo. Nous sortons du bar et rejoignons le local. Mon Maître se déshabille et m’ordonne d’en faire autant. Il prend la télécommande en main. -    Pendant le visionnage tu me suceras. Pas de préliminaire. Tout de suite gorge profonde. -    Bien Maitre. Mon Maître s’assoit sur le canapé, je m’agenouille devant lui. La vidéo a débuté. Je prends le sexe de mon Maître en bouche directement en en absorbant le plus possible. Son sexe ne ressemble pas à celui de Laurent, il n’a pas le même goût non plus. Mon Maître s’adresse à moi : -    Ne bouge plus. Contente-toi de garder mon sexe dans ta bouche. Je suis dans l’incapacité de répondre. J’arrête tout mouvement. Le sexe de mon Maître rapetisse et grandit successivement dans ma bouche, certainement à la vue de ma scène d’amour avec Laurent. Je reste patiente en gardant ce sexe dans la bouche. Le temps me paraît arrêté. J’entends mon Maître poser la télécommande. Son bassin commence alors à osciller, son sexe grandit et il jouit dans ma bouche. Nous nous rhabillons et rejoignons la voiture et regagnons le domicile de mon Maître. Je dois me déshabiller/ -    Je suis content de toi, tu es une bonne baiseuse. -    Merci, Maître. -    Je garde cette vidéo, je la montrerai à des amis. Ils auront peut-être envie de te rencontrer. -    Comme vous voudrez, Maître. -    Va chercher la cravache ! J’ai droit à mes vingt-cinq coups que je compte et je n’oublie pas de remercier. -    Maintenant, tu dégages. À demain. Je vais baiser les paumes des mains de mon Maître, je me rhabille et m’en vais. Je suis satisfaite de ma journée. J’ai eu beaucoup de plaisir avec Laurent, j’ai donné satisfaction à mon Maître qui me fera peut-être faire connaissance avec d’autres partenaires. Vivement demain !
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Par : le 04/06/20
Chez moi, vendredi prochain, tu auras droit à cela, je te l'ai promis. Rendez-vous à dix-huit heures précise, sinon correction. Tu porteras ce que je t'ai demandé: des chaussures à talons hauts et une robe courte découvrant tes fines jambes brunies qui me reviennent. Si tu as mis un string ou un soutien-gorge, je suspends le jeu. Un arrêt irréversible. Tu es en retard ma Juliette qui longe les murs du boulevard, tantôt poussée, tantôt ralentie par ton désir qui t'éclabousse. Tu es venue en bus. La moiteur du skaï de la banquette rouge sous ton sexe ouvert. Ton sexe ouvert, mouillé, déjà prêt. Tu traverses la place ronde. À trois-cents soixante degrés, des terrasses de café. Des hommes. Leurs yeux comme des jumelles sous le fottant tissu à pois blancs de ta robe bleu. La main d'un vent taquin frôle l'intérieur de tes cuisses. Ils devinent tes seins. Ton désir te fait honte. Bientôt, tu marches très vite jambes serrées, une main tenant ta robe volage. Tu caches tes seins. Ton ventre lisse avance vers moi qui t'attends. Je t'attends sur le canapé, à l'angle. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de dix-neuf heures, Juliette en retard sonne à la porte. Trop facile, pas de punition, je ne suis pas dupe. Nonchalante, elle pousse la porte entrouverte. À double tour, la referme. La voici introduite dans la pénombre fraîche de mon salon, par une très jeune fille nue, complice de nos jeux. En fond sonore, du Satie, les Gymnopédies; c'est la "fête des enfants nus". Doucement le piano pour entendre le bruit de tes pas quand sur le parquet point de hongrie, tu te déshabilleras lentement, une épaule après l'autre, ta robe glissera sur le sol. Doucement pour écouter le clapotis de ton sexe entre mes doigts. Je décroise mes jambes. Viens ici. Mes paumes claquant deux fois sur mes cuisses te prient d'avancer. Plus vite Juliette. L'œil de ton nombril, je le vois, de si près maintenant. Retourne-toi. Assieds-toi. Non, pas comme ça. Pas de profil. Ne me présente pas tes fesses. Pas de fessée. Tu ne le mérites pas, c'est trop facile d'arriver en retard. Tu me présentes ton dos. Le dessin de tes omoplates, ailes de papillon. La rivière de ta colonne vertébrale coule entre tes reins creusés par le désir. Le relief de tes vertèbres, des cailloux polis sous mes doigts. Assieds-toi. De dos, tu te présentes. Ta cuisse qui s'ouvre en arc de cercle. Lentement, joueuse. Ton sexe danse sur l'arête de mes genoux. Je sens l'écartement de tes lèvres, la pointe de ton clitoris. Ta nuque balancée qui dit tantôt non, tantôt oui. Mes doigts s'égarent dessus dessous les lèvres de ton sexe. Tu te laisses dompter trop facilement. Ainsi, tu le désires, tu exiges vraiment ce que je t'ai promis ? Tes yeux se retournent vers mon sourire. Te taire. Le silence, nous l'avons décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Tes longs cils recourbés de chatte. La fente des pupilles. Tes yeux rieurs. Juliette ne sait pas ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût. Comme le sperme des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque passe le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours nue, de dos sur mes genoux. Bientôt, mes en synchronie, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur ton épaule. Te taire. Tes mains à l'envers ont fermé les crochets en métal. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par la nuque. Te renverse sur le canapé. Je te dévores. Tu te débats. Tu me supplies. Juliette n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur ton entrecuisse à peine ouverte. Ton désir est envahissant, toute les lèvres de ton sexe, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Le feu innonde tes reins. Tu es foudroyée. Tu me gicles au visage des flots de plaisir. La jouissance est à nouveau proche d'enfler ton ventre. Elle te pénètre. Mes mains sous tes fesses pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui nous bascule. Un baiser qui énerva chaque projectile de jouissance. Assouvie nuit pareille à nulle autre, jamais Juliette ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Dehors, il pleuvait, et le catalpa de la place près de la fenêtre se courbait et se redressait sous le vent. Des feuilles pâles, mouillées, se plaquaient sur les vitres. Il faisait noir comme au cœur de la nuit. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 04/06/20
Quand elle se présenta à la porte, Juliette se sentait nerveuse; sa Maîtresse lui avait ordonné de s'offrir à une inconnue rencontrée par hasard dans un restaurant chic. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette nouvelle épreuve inattendue, ses jambes tremblaient. Autour d'elle, tout s'écroulait. Elle ne savait plus: aurait-elle la force et le courage d'appuyer sur le bouton de l'interphone et de se soumettre à tous les fantasmes d'une étrangère ? Seule face à elle-même, elle demeura là, interdite de longs instants. Tout se bousculait dans sa tête. Mais finalement, elle pensa à sa Maîtresse, à la force du lien qui les unissait, et surtout à la fierté qu'elle éprouverait quand tout serait fini. Elle réussit à contrôler les battements de son cœur et elle pressa sur le bouton. Aucune voix ne répondit, mais la porte s'ouvrit. Elle pénétra dans l'entrée de l'immeuble et se dirigea vers l'ascenseur. Il était encore temps de faire demi-tour, mais maintenant elle ne voulait plus reculer. Elle frappa à la porte, sans même sans apercevoir. Elle étouffait, mais l'inconnue apparût. Elle était réellement superbe et devait avoir son âge. Au comble de l'émotion et de l'excitation, elle commit sa première faute, en oubliant de se déshabiller. L'inconnue le fit pour elle, avec grâce et naturel. Puis, elle retira à son tour son jean et son chemisier. Son corps était absolument parfait. Juliette se sentit soudainement complexée. Elle connaissait ses imperfections, que Ka-Sandra ne manquait pas de critiquer cruellement. Elle avait des petits seins. Et ses cheveux trop courts lui donnaient un air de garçon manqué. En se surprenant dans le reflet d'un miroir, elle se rassura. Son bronzage la rendait attirante mais timide et nue, les mains croisées sur le pubis, elle avait l'air d'une escort-girl inexpérimentée. L'inconnue se leva, se dirigea vers Juliette en la fixant du regard. Arrivée près d'elle, brusquement elle la gifla violemment. Juliette recula protégeant son visage rougi de ses deux mains. - Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait. - Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ? - Oui. - As-tu retiré ton plug anal ? - Oui - Parfait, prends celui-ci et enfonce le profondément dans ton cul, mais à sec, sans préparation. - Mais, c'est impossible. Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau. - Oui, oui ne vous énervez pas. Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, l'inconnue n'avait pas choisi un gros. Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle. - OK viens t'asseoir près de moi. - Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir. Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras, tu t'y feras très vite. - Maintenant, allonge-toi sur le ventre sur le canapé. Curieusement, la voix de l'inconnue était devenue plus chaleureuse, presque amicale. Elle massa les fesses de Juliette avec application, en faisant glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta, ôta le plug anal et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Elle présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Juliette releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. L'inconnue vida la moitié de l'huile dans le rectum déjà dilaté. – Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal; elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation. L'inconnue enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Juliette n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. Elle avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche; elle était dans cet état second où l'appréhension des gestes de de l'inconnue conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnant, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Juliette se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvement du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. L'inconnue le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Juliette s'accouda et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face au canapé. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux, L'étrangère devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle pensait fort à sa Maîtresse qui lui reprocherait. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Juliette avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus; la chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. L'inconnue admirait Juliette qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Elle enfonça alors l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Juliette se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours cette vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. Juliette avait l’anus bien dilaté et l'inconnue écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier dévoilant la nudité des deux jeunes femmes. Le corps de Juliette réclamait toujours davantage; le devinant, l'inconnue ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel, pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de l'inconnue. Alors Juliette, détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant; la décharge fut intense et l'orgasme violent. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. L'inconnue sentit la jouissance envahir Juliette par saccades, les contactions la lancèrent en la fluidifiant jusqu'aux premières dorsales. Elle l'empala de son poignet encore plus profondément. Le cri résonna en écho. Les chairs résistèrent, s'insurgèrent puis craquèrent et se fendirent en obéissant. Juliette desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. Elle hurla encore une fois. Sa jouissance fut si forte que son cœur battit à se rompre. Alors l'inconnue retira très lentement son poignet. Juliette était suppliciée, extasiée, anéantie mais heureuse et détendue. Elle avait lâché prise sans aucune pudeur jusqu'aux limites de l'imaginable mais à aucun moment, elle s'était sentie menacée ni jugée. Au pays d'Éros, elle serait libre dorénavant. - Je suis donc anale ... soupira-t-elle. - En doutais-tu ? lui répondit l'inconnue. - Vous reverrais-je bientôt ? demanda Juliette. - Certainement, ma chérie. Mais n'oublie pas le plug anal, tu le porteras désormais en permanence. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/06/20
Ce sont des amis qui ont pour habitude de se retrouver et de boire un verre chez Jean,. Celui ci possède une belle maison avec un grand parc et de beaux arbres. Une dizaines de couples qui se retrouvent souvent le week end, jouent aux cartes, aux boules, (aux parties de boules aussi). Une sorte de club non officiel ou parfois les partenaires s'échangent pour le plaisir du sexe. C'est Gaston, le mari de Béa qui a eu l'idée de ce jeu de la culotte, un soir où il avait un peu forcé sur l'alcool. -Qui peut reconnaitre l'odeur intime de sa femme? Un jeu simple, toutes les femmes ont enlevé leurs culottes et ont bandé les yeux des hommes. Tous ont du sentir et essayer de reconnaitre la culotte de leur femme à l'odeur. interdiction de toucher. Presque tous se sont plantés. Un résultat bien surprenant. Peu d'hommes savent reconnaitre leurs femmes à l'odeur. Ce ne sont pas que des rires et des blagounettes qui ont fusé.... Puis Béa a dit que puisque c'était comme cela, les hommes devaient embrasser les chattes des culottes choisies et ceux, le plus grand nombre, qui s'étaient trompés devaient exécuter un gage sur ordre de leur femmes respectives. Le jeu de la culotte a fini en partouze. La cyprine a coulé à flots ce soir là. La morale de cette histoire c'est que les hommes sont de mauvais chiens pour sentir le cul de leur femmes.
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Par : le 03/06/20
La réplique de Sarah était si choquante et, par contraste, elle l’avait énoncée d’une façon si sereine qu’elle me resta gravée longtemps à l’esprit. J’avais lointainement entendu évoquer ces ventes aux enchères d’esclaves mais je n’avais jamais vraiment cru à leur réalité. Ce qui me rappelait la menace de Sarah était de constater, chaque fois que je les retrouvais ensemble, que ce qui les liait ne me semblait plus être de l’ordre du désir ou de l’amour, mais du simple pouvoir de l’une sur l’autre. Les baisers, les caresses, tous les gestes délicats avaient disparu. Sarah avait la jouissance de Cléo comme on parle de la jouissance d’un bien, d’une maison, d’un objet. Elle en avait l’usage. Cette froideur, je l’identifiais dans les paroles et les gestes sans tendresse de Sarah, je la reconnaissais dans l’humilité presque exagérée de Cléo comme dans ce malaise qui flottait imperceptiblement en leur présence. Cléo passait ses nuits nue, à même le sol, menottée et tenue par une laisse au pied du lit de Sarah. D’après ce que j’en appris, son service consistait toujours à laver, épiler et habiller sa maîtresse ou à lui lécher l’entrejambe chaque fois que Sarah en ressentait le désir mais elle ne bénéficiait en retour d’aucune caresse ni récompense. Bien au contraire, les punitions tombaient à une fréquence redoublée. Plus les jours passaient et ma compassion envers Cléo s’affirmait. Les marques rouges sur ses fesses, ses seins ou son bas-ventre se renouvelaient assez vite pour ne jamais paraître s’effacer. Pourtant, si les claquements du fouet ne parvenaient au travers des cloisons, jamais je n’entendais Cléo se plaindre. Un soir, je pris Sarah à part et lui intimai de se tenir à ma disposition dans ma chambre, sitôt dîné. Elle s’exécuta. Une petite heure plus tard, je la découvris splendidement nue, auréolée de sa crinière rousse, cuisses entrouvertes et tête baissée. Elle me présenta le fouet. - J’imagine que vous allez en avoir besoin. Plutôt que je prendre l’objet, je saisis Sarah par le menton et la forçai à me regarder dans les yeux tandis que mon autre main empoignait vigoureusement son sexe. Aucune réaction de douleur ne la trahit. Stoïque, elle accepta sans la moindre faiblesse que je brutalise sa vulve, tout juste laissa-t-elle un peu de sa liqueur suinter entre mes doigts. - Je ne peux pas te le reprocher mais je te le dis tout de même. Tu es beaucoup trop dure avec Cléo. Elle a compris. Les punitions ne suffisent pas, une soumise doit également être récompensée si tu veux la corriger. - Monsieur, avec tout le respect que je vous dois, c’est à moi de juger… La gifle qui s’abattit sur sa joue lui coupa le souffle. Elle m’écouta en ouvrant des yeux stupéfaits. jamais, je ne l’avais frappée au visage. - Je ne te demande pas ton avis, mais de m’écouter. Je n’attends pas seulement d'une soumise qu’elle soit à ma disposition et qu’elle m’obéisse, j’attends qu’elle se comporte de façon irréprochable envers les autres. Cela inclut Cléo, bien évidemment. Tu ne cherches qu’à te venger de l’affront qu’elle t’a fait. Pas à la dresser. À ce compte, Cléo reprendra vite sa liberté. Sarah hocha la tête. Une larme courut sur sa joue encore rosie par la gifle. Je lui menottai les poignets et l’attachai, les bras au dessus de la tête, à la chaîne fixée a une poutre, en veillant à ce qu’elle ne repose plus que sur la pointe des pieds. Le fouet claqua sur son flanc, s’écrasa sur ses seins, zébra ses fesses, sillonna ses cuisses, claqua sur son ventre, mordit sa vulve. Sarah se tordait en gémissant mais ma colère était loin d’être épuisée. Ce qui, sans doute, la sauva, fut, en dernier recours, d’implorer ma pitié. La sincérité de sa voix me bouleversa. Elle me parut alors si fragile que je laissai tomber le fouet, que je lui caressai lentement le dos et les fesses. Elle comprit et se cambra. Je la plaquai contre moi, de dos, la forçant à s'offrir en lui tirait les cheveux en arrière et simultanément lui enfonçai deux doigts dans l’anus. Je la travaillais ainsi plusieurs minutes, asservissant le mouvement de son corps à celui de ma main. Son corps ondulait, sa croupe s’ouvrait mais les ondes de plaisir qui remontaient au long de son ventre mourraient avant de la liquéfier. Elle ne céda que bien plus tard, alors que je m’épuisais, et c’est avec un long rauque qu’elle s’abandonna toute entière aux doigts qui la fouillaient. Une suite de secousses agitèrent son corps avant qu’elle ne s’affaisse, inerte. Je ne la détachai pas. Au moment où je quittai la chambre je l’entendis uriner sur elle. Les jours s’écoulèrent dans un climat de tension impossible à dénouer. Outre le conflit entre Sarah et Cléo, les problèmes au travail me minaient le moral. J’avais beau passer des coups d fil à longueur de journée, publier des offres, rien en venait. Les anciens collègues n’avaient rien à me sous-traiter, d’autres avaient changé de métier, les secrétaires faisaient barrage lorsque je tentais d’accéder à leur patron. Je pris l’habitude de prendre mon café le matin et lire le journal dans un bar tout proche pour échapper à l’atmosphère de la maison. cela faisait longtemps que je ne le fréquentais plus, depuis l’arrivée de Sarah du moins, et je fus heureux d’en retrouver l’ambiance. Les odeurs et les conversations était toujours les mêmes, le café n’avait pas changé de goût ni le patronne de brushing. C’est à ces petites choses que la vie tient. D’un commun accord, il fut décidé que chacun prendrait son week-end de son côté. Il ne faisait aucune doute que Cléo allait rejoindre sa nouvelle fiancée mais personne ne le lui demanda. Pour ma part, je me faisais le plus souvent inviter chez des amis afin de recréer un réseau social trop longtemps laissé en jachère. Quand à Sarah, elle restait à la maison. Pourtant, environ un mois plus tard, un samedi, Sarah m’annonça que se tenait le soir même une soirée, dans un certain lieu privé où nous devions nous rendre tous les trois. - Pour une vente aux enchères, précisa-t-elle. Au cours de la semaine, plusieurs courriers recommandés m’étaient parvenus, toujours avec les mêmes mauvaises nouvelles. Les clients me lâchaient les uns après les autres. ce ne pouvait-être l’effet du hasard. Un bruit avait couru, quelqu’un avait fait pression… - Vous voyez bien, Monsieur, nous avons besoin d’argent… - Tu lui en as parlé ? - Non, elle ne doit rien savoir. Combien vous faut-il ? - Beaucoup. - Elle vaut bien cela. Il nous fallu une petite heure de route pour atteindre une banlieue retirée de l’Est de Paris où nous découvrîmes après de longues recherches une villa moderniste, composées d’éléments de béton rectangulaires et peinte en blanc, avec de très larges baies vitrées qui donnaient l’impression de tout voir de l’extérieur. Un petit parc boisé la protégeait des regards trop curieux. Sarah passa un appel pour que la grille nous soit ouverte et, au moment de descendre de voiture, elle nous remis, à Cléo et moi, un masque. Cléo n’était vêtue que d’une longue robe dorée parfaitement transparente, sans aucun dessous, elle lui passa une laisse au collier. Il fallait suivre un long bassin éclairé pour atteindre l'entrée. Deux vigiles gardaient l'entrée. Thérèse leur présenta nos invitations. Elle semblait beaucoup tout à fait familière des lieux ou alors extraordinairement sûre d'elle-même. Nous fûmes dirigés vers une grande salle où quelques dizaines de chaises avaient installées face à une estrade en T dont la plus longue branche séparait l’auditoire en deux. Sarah disparut avec Cléo tandis que je m’installai au hasard. Il y avait bien déjà une trentaine de personnes, hommes et femmes, et la porte d’entrée ne cessait de s’ouvrir sur de nouveaux arrivants. Tous les visages étaient cachés. Parfois d’un simple loup, d’autres fois, d’un masque qui dissimulait entièrement le visage. Il était assez facile de distinguer les maîtres et maîtresses, les soumis ou soumises, les lesbiennes, les homosexuels de par leur simple tenue, même si, d’une façon générale, les femmes étaient tous assez peu vêtues. Sarah, revenant seule et s’asseyant à mes côtés, prit les devants, sachant mon ferme hostilité à son projet. - Monsieur, j’ai réfléchi à ce que vous m’avez dit et j’y adhère. Cléo ne va pas être vendue. Disons que je vais seulement la louer et dans des conditions très précises. Elle reviendra bientôt, je vous le promets. Rassuré, je déposais un baiser sur les lèvres de la belle rousse qui, en remerciement, se tourna vers moi avec un mouvement qui remonta suffisamment sa mini-jupe pour me laisser admirer l’anneau de son sexe. Vingt minutes plus tard, la salle était comble, un homme en smoking fit son apparition sur l’estrade et prit place derrière un pupitre. - Mesdames et messieurs, dit-il, je vous remercie d’être venus aussi nombreux à cette vente aux enchères. C’est une vente exceptionnelle, la première depuis un an, parce que nous avons tenus à vous présenter un lot de vingt-cinq esclaves mâles et femelles d’une très grande qualité. Ce sont tous des specimens particulièrement recherchés que nous destinons à un public qui en saura en apprécier la valeur. Vous connaissez tous le principe d’une vente aux enchères, je ne l’expliquerai donc pas. Le règlement devra se faire immédiatement et nous nous portons garants de la vente, comme toujours. Faites entrer le premier lot ! Deux solides gaillards firent leur apparition sur la droite, encadrant cinq esclaves mâles et femelles. Cléo n’en faisait pas partie. Tous les esclaves étaient couverts d’une longue tunique blanche et portait un collier au cou. Le premier fut avancé sur le devant de l’estrade et sa tunique fut dégrafée révélant un athlète d’une rare beauté. Il devait avoir une trentaine d’années, il était brun et son corps épilé disposait d’une robuste musculature. L’un des gardes le fit pivoter de façon à ce que l’on puisse l’admirer de dos comme de face puis il s’empara de sa verge et le branla vigoureusement afin que le public constate ses capacités. L’esclave ne sourcilla pas. Il fut ensuite poussé sur le catwalk pour défiler au milieu du public. Une femme leva la main. - Je vous en prie, madame, fit le commissaire priseur. La femme prit dans sa main les bourses du jeune homme, les cajola, les pressa, les serra augmentant l’érection d'une façon qui souleva un murmure d’admiration dans la salle. Plusieurs mains se dressèrent lorsque les enchères commencèrent et les chiffres valsèrent à une vitesse vertigineuse. Malheureusement pour elle, ce ne fut pas celle qui avait mis en valeur les capacités du garçon qui l’emporta mais un homme élégant qui se tenait à l’écart. Vint ensuite une jeune femme qui fut soumise au même rituel. C’était une beauté méditerranéenne tout à fait séduisante, avec une chevelure, des sourcils et des yeux très bruns, des seins très lourds, des hanches harmonieuses et un sexe très discret. Un acheteur voulut vérifier son étroitesse, on lui procura un godemichet de taille modeste, la fille, qui était trop étroite, se laissa sonder avec une bonne volonté qui, là-encore, conquit le public. Le premier lot partit rapidement à des prix raisonnables. Les acheteurs se réservaient pour la suite, les esclaves proposés étaient visiblement habitués à l’exercice ce qui laissait imaginer qu’ils avaient déjà plusieurs fois changé de mains.
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Par : le 03/06/20
Le jour J arrive... Lili a bien préparée sa tenue , sa coiffure , sa posture , les jouets sont lavés et posés de tel sorte que Monsieur puisse en disposer. Lili a réfléchie depuis plusieurs jours et sais ce qu'il lui reste à faire dès qu'il rentre dans l'appartement. Il sonne , elle ouvre tête baissée et le débarrasse. Elle revient et demande l'autorisation de le toucher, il acquiesce surprit . Elle s'approche de son pantalon et ôte sa ceinture , lui pose dans la mains , se remet à 4 pattes avec ses mots : j'ai réfléchie Monsieur et je mérite la ceinture pour ne pas avoir été sage.... Lili accompagne ses mots de pleurs , elle est peu résistante à la douleur et cela lui paraît insurmontable. Lili aime faire ce qu'elle veut quand elle veut avec qui elle veut.... Lili se sent forte mais dès qu'elle est en sa présence , elle doit s'y résoudre elle devient sa chose... Lili a lu beaucoup sur le sujet car comment peut-on sciemment se laisser faire de la sorte, comment ne pas se rebeller, est ce normale ? Suis je déconnectée de la vie ? Oh Lili s'est bien rebellée au début car tout ceci n'était qu'un jeu , elle pensait être plus forte et prendre le dessus . il lui a laissé du temps mais il y a eu La punition pour définir qui contrôle et qu'il n'y avait aucune chance que Lili gagne. Lili ne savait pas jusqu'à cette rencontre improbable qu'elle aimait être soumise , qu'elle avait ce besoin de ne plus contrôler , de lâcher prise sur son quotidien et d'avoir ce moment qui lui appartient. Lili pleure car elle le sait il n'est pas venu pour la câliner mais laisser son côté perver s'épanouir sur sa chose. Souvent dans les conversations il lui demande à qui elle appartient et c'est à Lui. PS : confuse si il y a des fautes , je manie plus facilement ma langue avec dextérité que la langue française à mon grand regret.
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Par : le 03/06/20
Depuis le réveil, le temps ne me laissait pas le dépasser. Comme d'habitude, lever, envoi un message à mon fiancé, déjeuner, faire sa toilette, regarder l'heure, se dépêcher. Dialogue intérieur : "P**** il est déjà telle heure, je suis en retard, speed toi, je vais pas y arriver, allez ma belle vas y" en même temps que je finis la douche, je m'habille rapidement, fais mes papiers, vérifie que j'ai rien oublié, mets mes chaussures, prends mon sac, dois aller chercher ma voiture derrière la maison car il y a des travaux, presque à la voiture. A ce moment là, "Madame, je crois que la porte de votre maison est ouverte", "Quoi, oh p*****", je cours et vais la fermer, regarde l'heure, "10h20", "je vais être en retard". Excès de vitesse, respect approximatif du code de la route, bientôt arrivé et… les flics, il ne manquait plus qu'eux. "Bonjour Madame, veuillez couper la musique, le contact et me donner la carte grise et verte de votre voiture". "M. l'agent, j'ai pas le temps je suis en retard, j'ai un rendez vous". "Vous ne seriez pas en train de faire une obstruction à la justice ? ". "Non" "Bon vous avez rendez vous où et à quel heure ?", "Dans le rue en face des pompes funèbres", "Rue de Dunkerque ?" "Je sais pas le nom de la rue et à 11h". Il regarde sa montre, "vous feriez bien de vous dépêcher, votre heure est passée". "Merci monsieur l'agent et bonne journée". Je suis très hyperactive le temps du rendez vous, je ne peux pas remplir un litre et demi de lait dans une bouteille de 1 litre, ah bon ? Toute secouée du rendez vous qui s'est fini tard, je rentre chez moi, il est midi et demi passé et toujours pas mangé. En arrivant, je vois mon dom sur sa moto, il a l'air inquiet. "Bonjour tu étais parti ?" "Oui j'avais un rendez vous". Je ne savais pas s'il viendrai car il faisait la girouette donc je ne l'attendais plus. Je suis overbooké mais je ne vais pas le mettre dehors. S'il savait mes comportements de ce matin en plus… Nous descendons à pied chez moi, des ouvriers goudronnent devant chez moi. J'ouvre la porte, enlève mes chaussures et mon sac, me prépare à manger et mange. Il enlève ses chaussures, son blouson de motard et s'assoit sur une chaise. Quand j'ai fini mon repas, il me chuchote à l'oreille, nous devrions monter en chambre. Ce que je fis quelques minutes plus tard. Peu de temps après, mon dom qui contenait sa colère jusque là, enlève sa ceinture, me saisit et me plie sous son bras, de sa main libre il me fouette les fesses vigoureusement sur le pantalon, j'ai déjà mal, je voudrais crier mais aucun son ne s'échappe de ma bouche. Il me déshabille rapidement le jean et la culotte, me pousse sur le lit et continue de me donner des coups de ceinture cul nu, j'ai mal. Il me dit "tu as certainement mal mais tu ne pleure pas encore", je ne sais plus où me mettre. Je sais que j'ai cherché. Il colle ensuite un sex toy sur mon armoire et m'ordonne de faire une gorge profonde, j'essaye mais n'y arrive pas, il me dit comment faire mais je ne peux pas car sinon j'étouffe. Je lui dis "je n'y arrive pas et ce n'est pas la peine d'insister". Il retire le sextoy, reprend son sac et s'en va en me disant "quand tu saura dire "oui" je reviendrai sinon ce n'est pas la peine." Cela fait deux ans que je connais mon dom et fais des séances avec lui, c'est la première fois qu'une séance se passe comme ça, je ne pensais pas que ça puisse arriver.
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Par : le 03/06/20
Lorsqu'elle s'éveilla, le soleil déjà haut dans le ciel, s'était engouffré dans la chambre et la transformait peu à peu en étuve. Juliette rejeta les draps humides entortillés autour d'elle. Le radioréveil lui indiqua qu'il était plus de onze heures. Tout le monde avait dû partir au travail maintenant. Une journée comme les autres commençait dehors. Elle avait mal dormi. Elle se mit à trembler de façon nerveuse, elle savait qu'elle jouait gros maintenant, il lui aurait été facile de couper court à cette relation de soumission et de poursuivre sa vie de femme d'affaires à laquelle rien ne résistait, mais son estomac se serra, la chaleur du désir l'envahissait, l'irrésistible envie de découvrir un univers totalement inconnu pour elle, celui de l'abnégation. En s'habillant, toutes les bonnes résolutions de la nuit s'étaient envolées. Elle rendit les armes. Lorsqu'elle arriva à son bureau, Juliette portait un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant que Chloé ne lui impose des tenues provocantes; celui-ci, gris anthracite était composé d'une jupe droite lui arrivant juste au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur un collier de perles fines; sous ce chemisier, un soutien-gorge balconnet transparent aux baleines rigides, rehaussant ses seins aux larges aréoles brunes; comme l'avait exigé sa nouvelle maîtresse, sous sa jupe, rien qu'une paire de bas fins noirs, un porte-jarretelle de la même couleur, et un plug anal destiné à l'élargir. Elle sentait l’étau se resserrer sur elle, et pourtant cet étau, c'est elle qui l'avait mis en place, elle une femme de pouvoir, fière et crainte de tous, une femme de décisions, froide en affaires, distante avec ses subordonnés. Laurence avait exigé d'elle qu'elle séduise Chloé, la jeune stagiaire que Juliette venait d'embaucher. Elle y parvint facilement car cette jeune fille, sous ses apparences innocentes, était en fait une jeune femme très libérée qui avait compris tout l'intérêt qu'elle pourrait tirer de la situation. Bien que n'étant pas lesbienne, elle accepta cette relation inédite, mais elle se rendit vite compte que Juliette, sous ses attitudes hautaines avait des comportements qui laissaient deviner qu'elle était d'une nature soumise, alors elle décida de la tester. Juliette se sentant prise à son propre piège, se retrouvait maintenant à quarante-deux ans à la merci de ces deux gamines de vingt-trois et dix-neuf ans, mais paradoxalement de ce piège démoniaque elle jouissait, son esprit rejetait cette situation mais son corps la demandait. C'était une femme qui avait beaucoup de classe, se tenant très droite, toujours habillée avec élégance, ses cheveux châtains souvent coiffés en chignon; sportive elle avait gardé un corps ferme et bien proportionné avec une poitrine superbe. Arrivant au bureau son sang se glaça quand elle vit Laurence souriante dans le hall qui discutait avec Chloé, un café à la main. - On va aller à ton bureau on a des choses à te dire. Tremblante elle les précéda, les deux jeunes femmes s'assirent, Juliette allait s'asseoir quand Laurence la stoppa. - Reste debout. - Ecoutez, j'en ai assez de tout ça, on est allé trop loin, je ne vous en veux pas mais restons en là, je vous prie, je reconnais que c'est un jeu excitant mais je ne veux pas que ça interfère dans ma vie professionnelle. - C'est justement de ça que nous discutions avec Laurence, ne t'inquiète pas, nous n'en voulons pas à ton argent, tout ce qui se passe et qui se passera entre nous est strictement privé, on veut juste te faire comprendre qu'une femme comme toi n'est qu'une femme ordinaire, tu te crois supérieure ? Alors on va te faire comprendre la vie, tu m'as souvent humiliée, traitée comme une moins que rien mais en vérité, tu es juste une salope. - Je t'avais prévenue, je t'ai demandé si tu savais à quoi tu t'engageais en acceptant de m'appartenir, tu as dis oui il me semble... Alors, tu es à moi, point final. - Tu es une salope, dis-le. - Je... Je suis une salope. - Voilà au moins c'est clair, alors écoute bien ce que je vais te dire. J'en ai mare de toi, j'ai plus envie de te voir, maintenant tu es devenue une vraie gouine et j'aime pas les gouines, je préfère les bites bien dures, alors je te donne à Laurence, c'est une brave fille mais elle a envie de s'amuser un peu avec toi, donc tu l'écouteras comme si c'était moi. Ok ? - À toi de jouer, Chloé. Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à ses bureaux, Chloé étant à l'accueil, lui fit un clin d'oeil, Juliette détourna le regard faisant mine de n'avoir rien remarqué. Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte de son bureau. - Oui entrez. Chloé entra et referma la porte. - Tu m'ignores ? - Non Chloé, mais nous sommes au bureau ici, c'est différent. - Différent de quoi ? Tu me prends pour une imbécile ? Tu veux que j'appelle Laurence ? - Non ne fais pas ça, je ne veux pas me facher avec elle et puis tu es une amie maintenant, je te prie de m'excuser, je ne voulais pas te vexer. - Ton amie ? Je vais te montrer si on est juste amies. Chloé s'approcha d'un pas vif et l'embrassa à pleine bouche fourrant sa langue au plus profond de sa gorge, puis lui mordit les lèvres. Juliette, les mains posées sur son bureau, crispa les papiers qu'elle avait sous les mains. Chloé lui lui saisit la main droite et la lui fourra entre ses cuisses. - Vas-y branle moi. Juliette était morte de peur et résista. - Tu veux que je te le dises plus fort ? Ça ferait mauvais effet non ? Juliette céda, Laurence jouissait de la situation, elle sentait que sa patronne cédait à ses caprices. - Plus vite, mieux que ça. Chloé, pendant ce temps malaxait la poitrine de Juliette, par dessus son chemisier puis elle lui saisit sa main et la fourra sous son string. - Tu sais très bien où il faut caresser, je n'ai plus envie de te le demander, je veux un orgasme. Elle s'appliqua sur son clitoris, puis au bout d'un moment, Chloé lui prit la main fermement et l'amena sur le canapé en cuir du bureau, elle la positionna la tête sur un accoudoir, puis elle écarta les cuisses et se positionna à cheval au dessus de sa tête. - Vas-y suce moi, et fais le bien. Juliette lui suça le clitoris, Chloé s'accroupit un peu plus de façon, à ce que sa patronne ait la bouche et le nez fourrés dans sa vulve, puis la jeune fille se retourna, se baissa et lui mit ses fesses au niveau de sa bouche puis elle écarta ses cuisses avec ses deux mains, sa position était inconfortable, mais ça valait le coup. - Suce moi le cul, Laurence m'a dit que tu le faisais bien. Pendant ce temps, Chloé se caressait le clitoris et Juliette, elle aussi se caressait le sien. Rapidement elles jouirent toutes les deux puis Chloé se releva et se retourna vers elle. - Laurence avait raison, tu es une vraie salope, mais avec moi tu vas l'être encore plus, d'abord quand on aura des relations, je ne veux plus que tu te caresses, tu te caresseras quand j'aurais fini et je te surveillerai. Ton but ce sera de me faire jouir, moi je m'en fous de toi, tu auras le droit de te caresser, après toute seule. C'est ok ? - Maintenant, enlève tout ce qui te reste. Mets-toi toute nue, couche-toi à plat ventre, croise les chevilles et mets les mains dans le dos. Allez. Exécution. Tandis que, s'étant agenouillée, Juliette obéissait en silence, elle entendit Chloé sortir de son sac un objet qui tintait de façon métallique. - J'ai acheté quelque chose pour toi. Un beau jouet. Tu vas adorer, j'en suis sûre. Donne-moi tes bras. Deux claquements secs et les poignets de Juliette furent pris dans les collets d'une paire de menottes. Chloé la poussa à plat ventre, lui plia les jambes à l'équerre et emprisonna ses chevilles de la même manière. - Ce ne sont pas des menottes ordinaires, espèce de chienne. Tu vois, il y a quatres bracelets accrochés au même anneau. Voilà ce qui s'appelle être pieds et poings liés. Cela te plait ? Si je voulais, je pourrais être vraiment cruelle avec toi, Juliette. Contrainte ainsi, je saurais bien te faire hurler en te fouettant jusqu'au sang. Mais tu aimerais trop. Dans le fond, ça t'excite beaucoup d'être soumise ainsi. C'est parfait, tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble. Puis Chloé se dirigea vers la porte et avant de sortir se retourna pour contempler Juliette. Le lendemain matin, lorsque elle arriva au bureau, elle était vétue de son tailleur gris anthracite, classique, jupe très au dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons hauts. Chloé, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'oeil, elle lui répondit par un petit sourire géné. Cinq minutes plus tard, on frappait à sa porte, sans attendre de réponse, Chloé entra et referma la porte puis vint s'asseoir sur une chaise en face de Juliette. - Bon, je suis contente de toi, je vois que tu commences à t'y faire, on va passer à l'étape suivante, tu vas aller chercher des cigarettes mais ensuite tu t’assiéras à une table et tu commanderas un café, je ne serais pas loin de toi mais on fera comme si on ne se connaissait pas, je vais t'appeler, tu mettras un écouteur à l'oreille, on sera en ligne et je te donnerai des instructions. Rassure-toi, on est dans ton quartier et je ne te demanderai pas des choses extravagantes. Juliette fit un geste de la tête pour montrer qu'elle avait compris. Elle arriva donc dans le bar-tabac et acheta les cigarettes puis elle alla s'asseoir au fond de la salle et commanda un café. Ce jour-là elle avait opté pour une jupe classique noire au dessus des genoux et une veste cintrée grise. Sous cette veste, elle portait un chemisier blanc en satin. Tenue tout à fait classique sauf que Chloé lui avait interdit de porter un soutien-gorge, la poitrine de Juliette était ferme de sorte qu'on devinait bien les pointes à travers le chemisier, vu la taille généreuse de cette poitrine, lorsqu'elle marchait, elle ne pouvait empêcher un balancement de ses seins. Cela ne dura pas longtemps, une habituée de la brasserie qui l'avait observée depuis le début se dirigea vers elle pour lui demander l'heure, puis lui demanda si elle pouvait s'asseoir à sa table. Accepte, entendit-elle dans l'écouteur. La femme qui devait avoir une trentaine d'années portait un jean et un tee-shirt, elle était séduisante, avec des cheveux coupés courts; elle commanda un café, puis souriante, commença à lui parler de tout et de rien, observant d'une manière très peu discrète sa poitrine entre sa veste entrouverte. Juliette rougit de cette situation, elle n'avait pas l'habitude de parler à une inconnue. Enlève ta veste, entendit-elle dans son écouteur. Hésitant un moment elle finit par obtempérer. Bientôt, l'inconnue sortit un mouchoir et s'essuya les lèvres, la poitrine de Juliette à travers ce léger chemisier satin était plus que devinable. Alors prenant cela pour une invitation, elle s'approcha d'elle et lui glissa à l'oreille: - J'habite à côté, tu viens ? Elle entendit dans son écouteur: - Accepte et surtout, céde à toutes ses exigences. Retire discrètement ton plug anal et donne le moi. Je crois deviner ses fantasmes. Tu vas passer un bon moment avec elle. Elle aime l'anal et l'urolagnie. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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