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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Bonjour / Bonsoir à tous ,
Si j'écris aujourd'hui c'est qu'on m'a conseillé de partager mon histoire. Pour qu'on me connaisse mieux et moi avec. (Je m'excuse par avance pour mon expression et mon orthographe)
Pour certain cette histoire n'en sera qu'une parmi tant d'autre et n'expliquera rien, j'ai déjà essayé de la raconter on m'a dit que j'étais un fantasmeur et rien de plus. Mais cette histoire c'est la mienne et je ne la changerai pour rien au monde et j'ai décidé de la partager avec vous
J'ai essayé de rassembler mes souvenirs pour comprendre comment je suis arrivé sur ce site à parler de soumission et de domination avec vous. Aussi loin que je me souvienne la première que j'ai ressentis le goût d'avoir était dominé remonte à mes 13 ans. C'est à cet âge que j'ai rencontré celle qui est aujourd'hui mon amie la plus proche. Notre rencontre est née tout à fait par hasard dans un hôpital de Lille. Quoiqu'il en soit de fil en aiguille nous nous sommes retrouvés dans le même établissement scolaire et à partager un même créneau horaire en sport, (le vendredi après-midi de 13h30 à 15h30). Vous allez penser que je divague mais pour moi tout à commencer comme cela.
Un Vendredi après midi où nous avions aucune envie de rester en sport, nous avons décider de prendre la poudre d'escampette et de quitter la salle de sport et pour cela il n'y avait qu'un solution possible passer par la fenêtre au niveau des vestiaires mais il fallait attendre que chaque classes commencent le cours et les cours ne commençaient pas tant que les professeurs n'ont pas fermé les vestiaires à clef. Ce n'était pas la première fois qu'on le faisait mais on avait jamais été vu par d'autres élèves qui n'ont rien trouvé de mieux que de nous dénoncer. Nous avons du nous cacher dans les douches des vestiaires (des filles, vu que je l'avais rejoins) la double porte était suffisamment large pour nous laisser un espace qui nous a caché a l'arrivé du professeur. A cette instant, avec l'adrénaline peut être, mon esprit était comme inhiber (c'est assez dur d'exprimé ce que j'ai ressentis bien qu'aujourd'hui encore je m'en souviens parfaitement). Essayez d'imaginer , j'allais sur 14 ans et une charmante jeune fille de 16 ans vous plaque contre le mur entre la porte et le mur dans un espace étroit pour se cacher contre vous. Comme prévu le professeur est arrivé et cet instant était à la fois interminable et agréable, lorsque la porte c'est ouverte mon doigt se coinça (heureusement pour moi pas violemment). Réagissant très rapidement la charmante jeune fille qui était face contre moi plaqua avec force sa main sur ma bouche pour m’empêcher de me plaindre de la douleur de mon doigt, elle posa son front contre le mien et mis le doigt devant sa bouche pour me dire de me taire.
Vous direz peut être que cela est ridicule mais pour moi cette action à déclencher chez moi des pensées qui aujourd'hui m'accompagne encore. J'ai regarde ces beau yeux vert, enivré par le parfum de son corps et de sa main. C'était les deux plus belles et les plus longue minutes de ma vie et bizarrement je ne pensais plus à mon doigt....
Mais cette histoire ne se finit pas là. Cette même après-midi après notre «évasion» nous somme allés chez elle pour passer du bon temps malheureusement son père est rentré plus tôt que prévus et nous nous sommes caché dans le seul endroit où il n'irait pas, le grenier. Pour y accédé il fallait rentrer dans la chambre des parents et passer une porte fermé à clef. Il n'était pas grand mais suffisant pour installer un matelas et attendre le moment propice pour sortir mais (parce qu'il y'en a toujours) le père est entré dans sa chambre pour dormir. On c'est assis et on a commencé à parler elle était assise derrière moi les jambe écarté moi assis entre elles. Puis on rediscuta de notre «évasion». Et je lui ai dis ce que j'avais ressentis quand elle avait posé sa main sur mes lèvres, ce qu'elle a refait, mais cette fois-ci elle bloqua mes bras avec ces jambes, ça l'amusé, et la position lui donné plus de force et je faisais exprès de me débattre pour qu'elle soit plus ferme... Je ne peut pas dire combien de temps ça a durer mais cette entrave et ce geste a été pour moi comme une révélation...
Voilà, merci à ceux qui ont eu le courage de me lire, ça ma prit trois jour pour me décider à oser parler de ça... voilà j’attends vos commentaires sur cette histoire. Elle vous paraîtra niaise peut être mais si j'aime l’entrave et qu'on me fasse taire cela viens de là et mes questions sur ce que je suis ont commencé après cette aventure.
Merci à la communauté, si vous avez des questions peut être parce que je ne suis pas clair ou pour savoir autre chose je serais ravis d'y répondre. Je posterai peut être un peu plus sur moi une prochaine fois, en tout cas en parler me fait du bien car le monde juge trop sans vouloir comprendre...
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L’eunuqueQuand elle reprit connaissance, plus aucun bandeau ni bâillon. Même ses chaines et son collier lui avaient été ôtés. Un eunuque était présent, il l’aida à se lever afin qu’elle puisse se voir dans le miroir. Des anneaux perçaient ses seins, en les voyant, le souvenir des pincements ressenti lui fit comprendre son erreur d’interprétation. Son sexe totalement glabre était orné d’un tatouage, emblème de son Seigneur et Maître. Cette vision la troubla. Au souvenir de ses orgasmes, elle frissonna et eut envie de caresser ce sexe fraichement tatoué.L’eunuque, à l’amorce de son geste, lui expliqua qu’elle avait de la chance, toutes les autres avaient été marquées au fer rouge. Il supposa qu’elle devait être très spéciale pour que le Maître ait pris la peine de la décorer lui-même d’une telle œuvre d’art.Cette révélation la remplit de joie. Il avait assisté à tout. Sa culpabilité s’évanouit, il ne resta que la fierté d’avoir mérité ce traitement de faveur. Alors que son estomac commençait à protester, l’eunuque la somma de s’activer. Le Maître l’attendait dans la grande salle pour manger.Son collier lui fut remis, elle fut vêtue d’une fine tunique de mousseline transparente et vaporeuse. C’est dans cet apparat, pied nu, mains dans le dos, qu’elle fit son entrée. Elle sentait les regards portés sur elle, mais n’oublia point d’avancer les yeux baissés. L’eunuque s’arrêta, remit la laisse au Maitre et quitta la salle.Épuisée, affamée, elle attendit, immobile, prête à toute éventualité. Il y avait tant de monde, noble, vassaux, et autre ambassadeur. Allait-elle être le spectacle du repas ? À cette idée, elle se sentit défaillir, épuisée par sa matinéeLe Grand maitre la regardait, admirant son œuvre, se délectant de la beauté de ce corps ainsi offert à tous les regards. Appréciant l’effet produis sur ses invités, regard concupiscent. Cela lui plus. Il perçut la défaillance de sa belle, elle avait été si forte ce matin, sa résistance l’avait impressionnée, il était très fier de son choix. Aussi, il la mena à sa table, la fit s’asseoir et ordonna à une servante de lui servir à manger.L’assistance se tue, pétrifiée par la transgression des usages. Une soumise, assise a la table du Maître, cela ne s’était jamais vu. Des murmures de protestation montèrent, Il y mit fin, en promettant d’offrir les mécontents en soumit à sa belle. Plus personne n’osa maugréer. Quel déshonneur pour un homme libre de se retrouver soumis d’une soumise.Surprise par l’obligeance de son Maître à son égard, elle fut admirative devant son autorité inébranlable.
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- Alors t'as trouvé un chouette pantalon ?
- Oui j'en ai deux ou trois à lui faire essayer on verra.
- Mais avec la veste du tailleur moi je dis qu'il serais bien mieux avec la jupe assortie...
- Oui mais c'est MA journée, c'est moi qui décide et je lui ai promis de rien faire de trop sexy et qu'on en restait au pantalon. Puis il a bien voulut que ce soit toi qui choisisse les chaussure, avec avec la veste et le chemisier il sera quand même très féminine.
- Il a bien voulut tu parle, il avait pas trop le choix tu crois qu'il serait rentré dans tes chaussures en 37, puis t'as même pas de talon haut. Il sera plus féminine que toi ça c'est sure...
- Non mais ho je m'habille comme je veux, je vois pas en quoi ça te regarde...
- Ça me regarde que quand on va toutes les deux draguer dans un bar à chaque fois personne ne nous approche parce que tous les mecs sont persuadés qu'on est un couple de lesbiennes...
* Bhen voila, de toute façon tous les mecs de la ville ont dut passer sous tes griffe, ça te fera un nouveau terrain de chasse si tu t'y mettais un peut...
- Ha parce que toi peut être que
- Et bhen peut être oui.. Et peut être que j'avais fais un autre journal intime au lycée parce que je savais que tu lisais le premier en douce tous les jours... Bon puis si on s'y remettais, aide moi à trouver une joli lingerie.
- Ha ! Super là j'ai ce qu'il faut !
- Et c'est repartis... Tu choisira ce que tu voudras demain, c’est ma journée et aide moi à retrouver mon ptit ensemble noir pin up, avec le soutif et la culotte haute satinée, tu va voir ça va la galber comme il faut et lui faire une taille de guêpe...
- Ouais, si on aime la lingerie de grand mère d'il y a 50 ans...
- T'y connais rien, Betty Page elle avait l'air d'une grand mère ? Pour toi on peut pas être sexy si on a plus de tissus qu'un de tes mini string...
- Bon, va pour le look Betty Page alors, mais demain tu verras ce que tu verras. T'as un porte jarretelle est des bas au moins ?
- Non on a dis un collant plutôt, puis sous le pantalon on verra pas les marque des jarretelle comme ça puis si il est plus à l'aise comme ça, je le comprend...
- Dis plutôt que t'en a mime pas...
- Ho mon dieu, je n'ai pas de porte jarretelle, comment puis prétendre être une femme sans porte jarretelle hein c'est ça que tu veux dire ?
- Mais non holala tu sais très bien que tu es une très belle femme et que j'aime beaucoup.
- Tu me dis ça comme ça, et c'est à cause de moi qu'on nous prend pour des lesbiennes tu dis...
- J'y peut rien, t'es trop choupinette tu me fais craquer.Et un body collant alors ? Ca ferais bien aussi avec une joli dentelle sus le chemisier non ?
- Hmmmm, ouais, tu vois que t'as de bonne idée quand tu veux. Et puis je lui ai promis un collant, j'ai pas précisé de quel sorte.
- Voila ça c'est la bonne attitude, pus hier c'était hier, ce que tu lui a dis ça compte pas vraiment, il a signer, aujourd'hui tu fais ce que tu veux de toute façon.
Je les entendais se chamailler sans arrêt depuis sous la douche. On était chez Jeanne, la petite pet sec un peut garçon manquée d'un mètre soixante dix avec des tous petits pied mais un poitrine on ne peut plus généreuse qui malgré son look ne laissait jamais aucun doute sur son sexe malgré son style vestimentaire plutôt masculin. L'autre copine avec son style de bimbo, c'était Alice. Presque aussi grande que moi, elle avait été athlète d'un très bon niveau pendant les étude et avait aussi fait un peut de mannequina, pour la mode, lingerie et "autre chose" d'assez mystérieux dont elles n'avaient pas encore parler devant moi. Je ne les connaissais que depuis deux jours mais je savais déjà beaucoup de choses sur elles, non pas que je soit d'un naturel curieux et indiscret, mais c'est mon amie Candice qui me les avait présentées, et vivre 5minute avec ces trois là réunis, c'est comme vivre un épisode de "Sex and the city" en live.
J'entendis Jeanne rentrer dans la salle de bain. A travers le rideau de douche, je voyais sa silhouette ramasser les seuls habits d'homme que j'avais, et déposés en l'énumérant tout ce qu'elle me laisserait en sortant, que je n'aurait d'autre choix que d'enfiler pour éviter de sortir nue de la salle de bain.
- Bon ma petite Cheyenne pour aujourd'hui je te laisse une culotte et un soutient gorge style vintage tu va voir c'est sexy et confortable, enfin toi ça va serrer un peut mais faut souffrir pour être belle. Avec un collant, mais un body collant et manche longue, tu va tout avoir couvert d'un jolie dentelle tu va être superbe. Tu met le soutif dessous et la culotte par dessus sinon tu pourrais pas l'enlever, pour tu sais quoi... Le body collant est ouvert à l'entrejambe pour sortir ton machin aussi tout est prévue.
- Non mais et le reste ?
- Enfile ça et rejoint nous dans la chambre, on est pas décidées pour le pantalon et la veste du tailleur tu va faire quelques essayage, puis faudra essayer les talons que t'as amener Alice, va falloir t'entrainer un peut elle t'as gattée évidement avec des talons vertigineux...
Je n'avait même pas eut le temps de m'imaginer les talons que je devrais porter, et marcher avec surtout, qu'avant de rétorquer quoi que ce soit, elle était sortie, me laissant seule dans la salle de bain, avec ma lingerie qui était tout ce que j'avais à me mettre avant de sortir. Dans quoi je m'étais embarquée, et à partir d'un contrat de rien du tout avec mon amie Candice qui m'avait fait signer un contrat pour poser avec les fringues de son ex qu'elle voulait revendre sur ebay en utilisant mes photos... Il avait fallut que ces deux là débarquent pour me faire signer des contrat aussi, contrat bien sur qui avec Candice n'avait pas lieu de préciser ce que je devrait porter, mais qu'elle détournèrent allègrement pour m'obliger à me faire faire une épilation totale le soir même, pendant qu'elles de leur cotés faisaient une partie de poker pour savoir qui allait faire valoir son contrat la première pour me posséder toute la journée. J'avais été transformée en mise de poker et elles m'ont gagnée toutes les trois dans l'ordre ainsi désigné... Et dés la première matinée sous le contrôle de Jeanne, je pris conscience que j’allai très vite devoir mettre ma pudeur de coté...
Et me voila dans la salle de bain de Jeanne, enfilant un soutiens gorge, puis le body collant, glissant de mes pieds le long de mes jambes fraichement épilés, puis remontant sur ma taille, le fente de l'entre-jambe se plaçant toute seule, la dentelle me caressant et libérant mon "petit truc en plus" en me donnant un frisson dans tout le corps. Puis j’enfilai les manches et fini de le remonter sur tout le corps. Je parcourus quelques fois tout le collant des pieds au buste afin de l'ajuster, puis juste pour sentir la caresse de la dentelle sur ma peau toute douce. Bien sur ce n'était pas la première fois que j'enfilais de la lingerie et des vêtement féminins. Beaucoup de petits garçons qui ont une grande sœur on essayer au moins une fois, beaucoup de jeunes homme avaient essayer au moins une fois à une soirée déguisé "pour déconner". Mais moi j'avais en plus toujours eut un look androgyne, un corps filiforme, les cheveux long, héritage de ma période grundge. Que je croyais. Mais maintenant que je réalisais que j'allais devoir sortir comme ça devant deux copines que je connaissais à peine, tout en continuant de caresser cette si douce matière qui couvrait presque tout mon corps sous prétexte d'ajustement, maintenant, je crois que je prenais enfin conscience, sans vouloir me l'avouer... que j'avais toujours eut ce coté féminin en moi... Sortant brusquement de ma rêverie, je saisie la culotte, l’enfilât rapidement et elle était vraiment petite ce qui me permis de plutôt bien dissimuler la bosse qui me trahirait à y regarder de prés, et sortie de la salle de bain sans même prendre le temps de me regarder dans le miroir pour éviter d'avoir encore plus le trac. Je franchis cette porte pour passer dans la chambre ou Jeanne et Alice m'attendaient d'un pas résolut et ferme, avec un grâce naturelle toute relative mais qui fit sortir du fond du cœur, et en cœur, un "waouw" des deux copines. Ce même "waouw" qui m’embarrassait et me flattait au plus haut point en même temps, scella aussi la nouvelle route que prenais mon destins à la croisée des chemins. Il devait existait un monde parallèle ou j'étais sortie de la salle de bain toute embarrassée et pataude et ou les copines se serait amusées à me travestir pendant les trois jour qui auraient suivie, on aurait fait des photos et pleins de souvenir en commun qu'on se serait évoqués pendant très longtemps et scellant notre amitié. Mais j'étais dans ce monde ci, maintenant, ou je suis sortie la tête haute en laissant aller la féminité que je refoulais depuis si longtemps, et ce "waouw" sortie en marquant la fin du jeu, la fin du travestissement, et les deux amies se regardant comme si elle pouvaient lire chacune les pensées de l'autre, comprirent qu'elle allait aujourd'hui me pousser à faire mon premier pas dans une véritable transition.
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Chez l'homme, le sens de l'odorat est 1000 fois plus sensible que celui du goût.
Avant de devenir "civilisé" voire moderne, l'homme était un mammifère à l'odorat développé qui lui permettait de sentir et reconnaître un animal de loin, ou de détecter le désir chez un partenaire éventuel, fonctionnant de la même manière que la plupart des animaux.
Nietzsche, l’un des rares philosophes ayant valorisé l’odorat, prétendait se servir de son "flair" pour sonder les âmes et les cœurs et proclamait : "Tout mon génie est dans mes narines." D'après lui, l’odorat joue un rôle capital dans les relations sociales.
Les phéromones
On connaît l'importance des phéromones qui envoient des signaux de "disponibilité sexuelle" en deça de notre perception consciente, mais qui passent pourtant par l'odorat.
Frédéric Kijé, prof de philosophie nous explique :
"Les phéromones sont des substances chimiques spécifiques de chaque sexe. Elles sont émises par les aisselles, les tétons, le cuir chevelu, les organes génitaux. On les perçoit à environ un mètre de distance, grâce à un organe qui se trouve dans le nez, et elles jouent un rôle important dans l’attirance sexuelle. C’est peut-être pourquoi les boîtes de nuit où ça remue et transpire abondamment sont propices aux coups de foudre.
Le professeur Kirk-Smith, de l'Université de Birmingham, a mis en évidence le rôle des phéromones à partir d’une expérience assez probante :
Dans une salle d’attente, il a imprégné une chaise d’androsténol, une phéromone masculine. Puis il a fait entrer successivement 840 femmes et leur a demandé de s’asseoir là où elles voulaient. 810 se sont assises sur la chaise imprégnée d’odeur masculine ou sur les deux chaises latérales ! Dans les mêmes conditions, il a fait entrer 540 hommes : tous ont évité la chaise imprégnée de l’odeur d’un autre homme et les deux chaises latérales.
Un documentaire sur Arte, "Les mécanismes du coup de foudre" avait mis en exergue l'importance de l'olfactif dans la rencontre amoureuse. je le recommande à ceux qui ne l'auraient pas vu, s'ils le trouvent.
Il existe même aujourd'hui des parfums contenant des phéromones pour séduire efficacement. Voici un exemple que j'avais trouvé sur le net :
"SeXeS® est un parfum qui contient un mélange de phéromones humaines très concentrées, conçus pour renforcer l’attirance des femmes vers les personnes qui le portent. Où l'attirance des hommes dans la version pour femmes.
SeXeS® est un parfum contenant un mélange très concentré des 3 principales phéromones humaines ; l'androstenone, l'androstenol et l'androsterone, intégrés par les plus grands laboratoires mondiaux dans une base d’essences naturelles, d’eau et d’alcool.
L'odeur du sexe
Pour certains c'est gênant, et même rédhibitoire, pour d'autres c'est indispensable à leur libido, et ils apprécient une odeur musquée comme un œnologue un bon vin. Bref l'odeur dégagée par la sueur mais surtout par celle de l'entrejambe du partenaire laisse rarement indifférent.
C'est un mélange de sueur, de résidus de fluides, autant dus à l'excitation qu'aux actes d'évacuation, et justement des phéromones.
Certains en sont si friands qu'ils demandent à leurs partenaires de ne pas se laver quelques temps avant de faire l'amour (c'était le cas, bien connu, d'Henri IV).
Mais ces cas sont de plus en plus rares, vu l'évolution de l'hygiène depuis quelques siècles et particulièrement depuis quelques décennies, où la surenchère de la propreté obsessionnelle est devenu pour certains quasiment un problème psychologique allant jusqu'au TOC.
L'humain moderne, occidental en particulier, ne survivrait pas dans la puanteur ambiante des villes du moyen-âge !
Bref, il existe des gens aujourd'hui qui ne pourront pas faire l'amour si leur partenaire n'est pas d'une propreté irréprochable : on ne doit rien sentir (sinon les cosmétiques, savons, parfums, déodorants, etc), et pas un poil ne doit dépasser.
Cette tendance progressive serait-elle une des raisons pour lesquelles l'homme moderne a perdu ses sens olfactifs animaux ?
Mais dans les jeux de l'amour, lorsque les corps s'assemblent, que les fluides lubrifiants sont émis, leur mélange produit immanquablement une forte odeur (la fameuse "odeur de stupre"), persistante et plus accentuée que les deux odeurs respectives isolées avant leur mélange. N'est-ce pas la magie de la création qui est déjà en œuvre, prémisses de la conception elle-même, à l'image du fameux lotus qui pousse dans le vaseux marécage ?
Un court-métrage amusant :
http://www.youtube.com/watch?v=x804nD7rWiM
Pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais : l'homme trouve que sa partenaire pue méchamment de l'entrejambe et ne sait pas comment le lui annoncer.
La chute (spoiler) : lorsqu'à la fin il trouve le courage de l'annoncer, elle lui dit - juste avant - qu'elle trouve que son sperme a un tel goût de vinaigre qu'elle ne peut plus continuer leur relation.
Un fait divers : divorce pour "odeur nauséabonde" :
http://www.20minutes.fr/article/180441/Insolite-Une-femme-obtient-le-divorce-pour-odeur-nauseabonde.php
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Le point de Gräfenberg (sexologue à l'origine de la théorie, en 1944) désigne la zone antérieure du vagin à 2 cm de profondeur en moyenne, léger renflement érectile et notoirement plus sensible que le reste autour.
Plusieurs théories s'affrontent sur cette sensibilité particulière, depuis le début des années 80 où le point G est devenu un sujet public , mais il est de plus en plus évident que :
- Le clitoris (zone bleue sur le schéma), glande du plaisir féminin (correspondant anatomique du gland masculin) est plus volumineux que sa partie émergée le laisse croire, comme un iceberg, et sa partie interne s'étale jusqu'au vagin qu'elle entoure en partie, en deux branches symétriques de part et d'autre. Elle est aussi stimulable et érogène que la partie supérieure émergée, et comme celle-ci, elle entre en érection, ce qui se constate par un gonflement qui enserre la partie antérieure du vagin, et aussi qui expulse des fluides (dont la cyprine, lubrifiant naturel proche du liquide pré-éjaculatoire masculin), un mucus issu en partie du mélange de sécrétions vaginales mais aussi des glandes de Bartholin, situées à l'extérieur du vagin).
- Les glandes de Skene (en orange sur le schéma), sortes de "prostate féminine", situées autour et le long de l'urètre, sécrètent par contraction un liquide translucide ayant peut-être pour fonction chez certaines femmes, pendant un rapport sexuel, de pallier un manque de lubrification vaginale. Elles se contractent alors à mesure de la montée du plaisir, et l'écoulement (généralement peu abondant) se fait par deux petits orifices situés de part et d'autre du méat urinaire. Par celui-ci, l'urine accompagne et complète plus ou moins le flux ensuite en prenant le relais.
Une théorie veut que les glandes de Skene soient également érogènes, et qu'elles soient stimulables par la zone qu'on appelle le point G.
Aucune étude scientifique n'a encore pu confirmer ou infirmer cette double théorie. Difficile en effet de procéder à une autopsie pendant l'acte sexuel, pour examiner la nature exacte du phénomène !
Ce qui est sûr, c'est que le point G est lié au clitoris qui est érogène par seule vocation.
«Le point G, c'est l'arrière du clitoris", dit d'ailleurs Damien Mascret, médecin sexologue, "voilà qui ne nécessite pas des milliers de pages de littérature.»
Mais ce qui est sûr aussi, et que j'ai constaté, c'est qu'une stimulation particulière et précise du point G, idéalement avec deux doigts et vers le haut, provoque 4 fois sur 5 la sécrétion des glandes de Skene, jusqu'à des giclées conséquentes. C'est quasiment imparable sur la plupart des femmes (s'il y a des volontaires, je leur montre avec plaisir ! ).
L'effet obtenu est communément appelé éjaculation féminine, expression désignant normalement les sécrétions des glandes de Skene, avec ou sans émission du fameux liquide, qui s'associe ou non à l'urine, mais aussi vaginales lubrifiantes lorsqu'elles sont abondantes au point de s'écouler plus que la moyenne et de gicler sous l'effet piston de la pénétration. La contraction du vagin (surtout lors de l'orgasme) peut les rejeter en giclées même à vide.
Ce phénomène est caractéristique, mais l'amalgame est courant avec celui où l'orgasme fait uriner certaines femmes (par perte de contrôle notamment), phénomène plus répandu.
Ces deux phénomènes sont populairement confondus, et le terme de "femme-fontaine" leur est associé (la plupart des femmes se prétendant "fontaine" lancent des jets en fait par voie urinaire plus que par les deux orifices de Skène), pourtant il suffit de renifler ensuite le liquide de la "fontaine" pour comprendre, lors d'un bon débit, qu'il s'agit d'urine au moins à 80% dans la plupart des cas.
Il est donc compréhensible que ce point G soit associé aux glandes de Skene, mais à mon avis la fonction de ces dernières n'est que de se contracter (peut-être par l'effet du gonflement du clitoris) et sécréter, et celle du clitoris est d'être érogène, érectile et stimulable ; d'autant que les deux zones se superposent.
Le point G serait peut-être l'association des deux. Ce qui est certain c'est qu'il est là et bien là, à environ 2 à 3 cm après l'entrée du vagin, sur sa partie haute (plafond), un léger renflement s'y sent d'ailleurs chez beaucoup de femmes.
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En général, les deux tiers des femmes n'aiment pas, car elles se sentent impures, sales ; mais n'est-ce pas un héritage junguien du conditionnement religieux ?
Certes il y a la vue du sang, l'odeur...
Selon les médecins il n'y a aucune contre indication (excepté le fait qu'avec un écoulement de sang, les MST sont plus facilement transmissibles, même si le sang des règles est parfaitement stérile sinon) ; bien que certaines femmes ressentent des douleurs qui entravent l'excitation éventuelle. D'autres sont plus sensibles et ressentent plus de plaisir. En effet, chez certaines femmes, les zones érogènes et les corps érectiles sont plus efficacement stimulables à cette période.
Personnellement j'avais une compagne qui était autant excitée pendant ses règles qu'une femme sans pilule l'est pendant l'ovulation ; peut-être était-ce justement une réaction au tabou d'origine monothéiste qui faisait partie de son éducation, car il faut remarquer que pour les musulmans et les juifs c'est encore plus gravement proscrit que pour les chrétiens. Les femmes autant que les hommes considèrent que c'est un péché gravissime, et elles ne doivent pas être touchées, parfois même 5 jours avant et après les menstruations. Bref, pour eux, une manifestation limite sataniste.
Mais bon, ils pensent pareil de l'homosexualité (en théorie).
Mais sachant que la pilule atténue souvent la libido, la période des règles est également une semaine sans pilule, et donc où le désir est au maximum pour certaines femmes sous pilule.
Il est toujours possible d'utiliser un préservatif, qui reste efficace, d'autant plus que le sang réduit les risques d'une éventuelle rupture par son effet lubrifiant.
Surtout que la possibilité de tomber enceinte n'est pas écartée : pour peu que les règles durent longtemps et que l'ovulation intervienne assez tôt (par exemple 6e jour du cycle, si si ça peut arriver), la fécondité est alors un risque à ne pas écarter.
J'en vois déjà qui diront que le sexe pendant les règles, c'est tout de même assez limité.
En fait, au delà des problèmes de douleur, des tabous et idées préconçues cités plus haut, tout dépend de l'envie partagée, mais rien n'est impossible.
Par exemple le cunnilingus n'est pas exclu. Il suffit de garder le tampon si on est trop dégoûté, mais même sans, le clitoris est tout de même à une certaine distance de l'entrée-même du vagin, et on peut ne se cantonner qu'à lui si on est trop dégoûté.
Enfin sachez qu'il arrive souvent que le coït atténue le saignement pendant quelques heures suivant la pénétration ; ça peut s'avérer pratique. D'autre part, pour une femme qui va avoir ses règles, qui les attend sans que ça vienne, le fait de faire l'amour arrive parfois à les déclencher ensuite.
Bref, s'il y a un problème à faire l'amour pendant les règles, c'est avant tout un problème d'éducation. Les détracteurs avancerons souvent que c'est "dégueu" s'ils ont un passif religieux sans trop vouloir le reconnaître, ou s'ils ont été élevés par des parents à tabous ; certains hommes ont peur de tout ce sang aussi, ils ne sont pas habitués et préfèrent rejeter plutôt que changer leur point de vue.
En conclusion, faire l'amour pendant les règles ne comporte aucun risque particulier (sauf MST), et ne devrait pas interdire le plaisir sexuel à un couple 80 jours par an, sous le prétexte d'impureté ou de désinformation, sauf problème particulier de forte odeur.
Ensuite, il y a le cas particulier des soumis (souvent également uro ou/et scato) qui se délectent particulièrement de changer le tampon d'une dom, avec nettoyage à la langue. J'en connais un qui ne voit une amie qu'une fois par mois dans ce but précis.
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Cruel dilemme...qui retint mon attention, au point ou mon Elle se mit à bouger de cette attente...Me ramenant de suite à Son sujet....
Je tendis le bras vers cette table...le premier que ma main rencontrera, sera ce Premier....tandis que l'autre, appuya en son creux de rein, pour lui faire comprendre qu'Elle ne devait pas bouger....
Elle s'arrêta net....
Je vis ses muscles se tendre par cette pression...
Un sourire d'Ange se fit sur mon Visage...Un simple geste, pas de mot...mais juste un geste...et la voilà s'exécutant....Plaisir divin de posséder ses gestes, ainsi, d'en avoir la Clé précieuse...et en être le gardien....
Ma main saisit le verre de Vin, et je l'amenai en remplacement de ma main....
Le contact du froid, après la chaleur de mon emprise, la surprit....aussi par la brusquerie du changement...
Son corps se contracta, dans un geste de tête vers l'arrière...
Sa peau se recouvrit de ces petites protubérances de frissons...
L'instant d'après, sa tête s'enfonça doucement dans ses épaules, comme pour mieux braver cette sensation....
Ses bras se firent plus fermes dans l'emprise du dossier, au point où je voyais une partie de ses doigts devenir rouge et blanc...par cette étreinte...
J'attendis, sans la toucher, que cette sensation se fasse plus diffuse...Ou la chaleur de son corps avait pris possession de cette froideur de corps ...
Les muscles se relâchaient doucement....
Sa tête sortit peu à peu de ses épaules....
Et je retirai ce verre de son pied d'éstale ...
J'y trempai un doigt, pour en récolter un peu de liquide...juste au-dessus de sa fente, vers cet endroit « Interdit » qu'emprisonnaient à peine ses Lunes...
Je laissai perler et tomber doucement quelques gouttes...juste à la naissance de cette descente interdite...
Ses Lunes, immédiatement se refermaient comme des mâchoires sur ce corps liquide et froid venant troubler sa plus intime personne...
J'apposai mes doigts justes à l'entrée de ce couloir qu'Elle venait de fermer...pour en forcer doucement l'ouverture...
Le liquide descendit doucement, suivant les courbes de ses intimités...
Mais ces quelques gouttes n'étaient pas suffisantes...le peu de liquide disparu rapidement lorsqu'il toucha sa Fleur bien vive déjà, et se noyant dans sa Rosée qui se fait visible....
Son rein dessinait un petit creux, et j'y fis couler de ce Vin jusqu'à l'en faire un peu déborder...Ce nouveau contact lui fit fait un bref sursaut de son corps
Un filet de cette saveur vint s'écouler le long de sa hanche, qui lui provoqua un mouvement rapide du bassin...Comme pour tenter de retenir ce flux...
Ma main libre se posa sur sa hanche en léger mouvement...pour l'intimer à ne pas bouger...
Cette nouvelle sensation, chaude et cette emprise que je lui appliquai, l'arrêta....et à nouveau le sourire me fut de satisfaction de par réaction
Obéissant, suivant une nouvelle fois, sans mots de ma part, chacun de mes actes....sur Elle
Je posais le verre...
J'approchai ma bouche de ce petit lac artificiel, jouant de mon souffle chaud et de doigts pour dessiner le chemin de « libération » de cette essence divine vers sa Fleur....
Le liquide vint rapidement s'écouler entre ses Lunes...
A nouveau, je sentis leurs contractions sous ma main toujours présente en cet endroit...mais je gardais toujours la pression des doigts en ce chemin pour le garder toujours « ouvert »
Le liquide était cette fois plus important...et au contact de sa Fleur... Elle poussa un petit murmure plaisant et évocateur d'un plaisir présent en Elle...
Je tourmentais alors de ma langue ses pétales, ainsi humidifiés d'avantages....
Jouant, ouvrant, faisant glisser la totalité de ce liquide sur ses intimes parties....
J'aimai ce parfum, cette saveur divine du mélange de sa Saveur et de ce Vin....en ma bouche....un goût particulier, mais si plaisant d'en avoir la pitance....
Je la sentais, à mesure de ce tourment, prendre le plaisir de cette « torture »...Son corps réagissant, ses hanches cherchant, dans leurs danses, la prise de ma langue...
Mélange de ma bouche, de ma langue et enfin de mes doigts, je dessinais chaque intimité de sa personne...
Contournant son « Puits de plaisirs » avec subtilités et vices pour ne pas en prendre encore l'entreprise...
Sa saveur devint encore plus plaisante...
Elle dansait d'avantages encore...
Son souffle se faisait plus présent, plus significatif du plaisir venant....
Le liquide disparaissait à mesure de mes « jeux »...
C'est alors que deux doigts vinrent prendre ce qu'Elle espérait...en ses deux gouffres....
Doucement, et sans peine, ils prirent leurs places progressivement....
A mesure de leurs entreprises en Elle, Elle s'y enfonçait avec plaisir....Mais de ma main libre je devais ralentir sa volonté....que son bassin voulait prendre...
Ma main libre, s'apposa sur ses Lunes...refroidies...ce qui lui procura une contraction que je pus sentir autour de mes doigts la possédant....
Un plaisir fort savoureux, étrange emprise que l'on ressent de l'intérieur de l'autre...accentuant alors aussi, pour Elle le ressenti de mon mouvement en Elle...
Lorsque mes doigts furent à leurs limites de leurs avancés...je m'arrêtai à nouveau...contemplant cette possession de Son corps...
Je sentais son « jeu » à Elle, de contractions autour de mes doigts qu'Elle maîtrisait fort bien...et souriant, j'appréciai ces instants qu'Elle m'offrait ainsi possédée...
Je la laissai jouer d'Elle-même, savourant la montée en Elle d'un plaisir certain que son corps, par ses mouvements, me laissait entrevoir....
Et je regardais aussi cette bougie, cette flamme qui semblait suivre la Cadence de mon Elle dans ses mouvements....
Il était alors temps...qu'Elle goutte de ce Tourment qu'Elle n'avait jamais jusqu'à présent....
Ma main libre, saisit ce verre de Flamme et le déposa en lieu et place du verre de Vin....
Ses hanches, à ce nouveau contact, s'arrêtèrent d'un coup et je sentis tout son corps se contracter à nouveau....
Mes doigts ressentirent cette pression bien différente, plus forte que lorsqu'elle jouait d'Elle...
Je souris à cette nouvelle réaction...
Elle tourna la tête, pour voir ce nouvel être sur Elle et en connaître la nature...
Je la laissai faire, sachant que c'était une « découverte » pour Elle et ne voulant pas brusquer l'inconnu, je désirai qu'Elle en devine la nature....
Lorsque son regard se posa sur cet objet, un sourire se fit...ses yeux se mirent à pétiller d'envies, d'étonnement aussi...et alors, elle pinça le coin de ces petites lèvres, comme à chaque fois que je la surprenais, déroutais par mes faits et gestes....mais aussi par cette envie des plus fortes qui l'envahissait alors....
Mon regard croisa le sien, et je lui souris avec tendresse...
« N'ayez crainte, Vous le savez....Avec délicatesse, je vous offre cette découverte... »
Ses sourcils se redressèrent, ses yeux se firent plus grands...un frisson parcourra tout son corps....et je savais qu'Elle appréciait la tournure des choses....
« Fermez les yeux, ma Chère Lumière....et Savourez ces instants... »
A ces mots, Elle retourna sa tête...en fermant les yeux....
Je sentis à nouveau la contraction de son corps, quand je retirai cette bougie de son corps...
Puis, je vis tout son corps se dresser, attendant le couperet des sensations plus fortes, mais surtout inconnues pour Elle....
Je regardai juste cette Flamme, avec laquelle je jouai en cette bougie, pour que de cire elle se fasse liquide...
Je laissai quelques instants passer pour laisser flotter le temps de l'attente...mais aussi pour que son corps se fasse moins résistant....
J'approchai la bougie de l'une de ses Lunes....
Pencha légèrement la bougie....
Et attendit doucement que le liquide s'échappe...mais pour n'en faire qu'une petite goutte.
La goutte tomba...doucement....
Et à son impact....tout le corps de mon Elle se cabra...
Ses bras se tendirent, son corps se contracta avec force...et sa tête partie en arrière....
La petite goutte resta en place...je soufflai dessus...pour la solidifier...et adoucir cette première « impact » de Chaud et rendre cette première assez rapide....
« Ça va ? »
Elle ne répondit pas de suite...
A mesure, Elle se détendait...j'attendais qu'Elle me réponde....Sa tête se mit en arrière...
« Encore, Mon Seigneur et Maître....Continuez, je vous en prie »....
Je souris à ces mots...plaisir divin qu'Elle m'offrait dans sa phrase...désire absolu alors de lui offrir encore plus
« Alors, continuons... »
Je fis tomber une deuxième goutte...mais sur son autre Lune....
Sa réaction fut la même...Mais Elle ajouta, en tournant sa tête vers moi....
« Salop ! » dans un ton de plaisir et de taquinerie qui lui était quand Elle s'attendait de ma part une action et que j'en prenais un autre chemin
Je me mis à rire...
« Non, Votre Salop...Vous le savez bien....Vous m'avez fait Votre en ses Dessins, vos Dessins...et Vous m'avez donné d'être Votre Seigneur et Maître.... »
A ces mots, je fis un geste de la tête pour lui intimer de détourner la sienne...
Elle s'exécuta, tournant sa tête avec un sourire qui se dessinait...
Je fis tomber à nouveau une goutte, puis deux, puis trois....
Son corps se cambrait à chaque impact que je rapprochai, variant d'une Lune à l'autre...
Ses hanches suivaient, dans leurs mouvements brusques, le lieu d'impact de ces gouttes
Mes doigts sentaient chacune de ses contractions...
Et bientôt, de sa Rosée la présence se fit plus «entendant » ...délicieux son de l'eau...de mon « O »....
Son souffle devenait plus présent aussi....Complainte progressive de la Belle et de son Chant de plaisirs...
Je retirai mes doigts en Elle...Les portants à mes lèvres, pour savourer cette délicieuse saveur...et enfin les poser ...trempés...sur l'une de ses Lunes...
Ils enserraient cette rondeur...enfonçant doucement mes ongles...
Un frisson dont les épaules, jetées en arrière, me firent percevoir...
Et d'un coup...de gouttes, je laissai alors tomber un grand filet sur sa Lune libre....
La cire descendit doucement tout le long de sa jambe...jusqu'à la naissance de son bas...
Je répétai plusieurs fois cette action, jusqu'à y voir une dizaine de « filets « de cire...
Laissant se refroidir ces files "éphémèrement" liquident...
Je marquai une pause...
Contemplant alors ces dessins de Cire ornant cette Lune....Une œuvre éphémère, mais dont les délices étaient à la hauteur, de par le plaisir qu'Elle en avait...
Regardant l'heure, je posais la bougie sur la petite table....
Et délicatement, un a un je retirai précautionneusement chaque de ses filets...
Elle se tourna...d'un air étonné....
« Il va être l'heure....de nous restaurer.... »
Elle sourit, d'une mimique entre satisfactions, mais désir de poursuite...
« Tsts, mon Elle.... »
Elle se tourna davantage....
Je finis de lui retirer les derniers « files »
« Vous avez fini ? »
Je déposai un baiser doux sur sa Lune en signe de réponse positive.....
«Allons diner en ce Château dont Vous m'offrez la Résidene...notre table doit être mise....»
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Nous avions parlé de cela déjà, et souvent, lors de nos rencontres, le sujet revenait sur la table....
Mais, je ne suis pas de ceux qui réalisent les envies dès qu'elles sont évoquées... mais dans cette mesure qui est mienne, j'en appréhende tous les contours et surtout et avant tout la personne en elle-même....
Elle m'avait évoqué ce goût particulier, qui depuis son enfance la fascinait...
Il est vrai de qui n'a jamais trouvé amusant de jouer de cette cire, d'une bougie allumée, tombante encore chaude sur la peau.... attendre délicatement que celle-ci devienne solide et craqueler cette dernière en pliant doucement le doigt....
Elle en aimait différents aspects....
celui, premier, de cette petite douleur à la rencontre de la chaleur... mais pas si douleur que cela.... un « mal qui fait du bien » comme elle me disait...
Et celui, encore, lorsque de la solidité ce corps liquide, il se fait, soit à mesure du temps soit, plus prestement en soufflant dessus.... sentant ainsi sa peau devenir prisonnière, en quelque sorte...
Et enfin, en craquelant cette carapace éphémère, à la fois empoisonnante, solide... mais si fragile, et si lisse.... sans laisser de traces si ce n'est ces sensations disparaissant....
Elle avait mis les « grandes manœuvres » pour m'accaparer trois jours durant, pas loin de chez Elle....
Elle connaissait ce goût que j'aie des lieux particuliers, riches d'histoires et de décalés...ou tous est fait pour s'évader du temps et se retrouver hors du temps.... Couper ainsi notre routine de vie des plus mornes... pour en évacuer tous les incommodants et oublier ce métro/boulot/dodo que nous connaissons tous.... pour savourer d'avantages ses retrouvailles.... et Nous en offrir toutes les Saveurs des Sens....
Nos retrouvailles eurent lieu en un petit château de ses trouvailles.... passant sur les instants de comment elle me le fit découvrir et quelques savoureux moments qui furent avant-coureurs du sujet....
Nous étions dans notre « Chambre » à laquelle elle avait ajouté sa petite touche personnelle....
Nous étions au deuxième jour de ses trois que nous nous offrions......
Assis en ce fauteuil de Louis XV remontant bien haut dans le dos et d'une assise bien large qu'ornait deux grands accoudoirs, j'humais un Vin pour accompagner notre apéritif, avant de nous rendre dans la salle à manger ou un met une nouvelle fois raffinée nous attendait auprès de ce feu de cheminé....
Elle me faisait face, vêtue d'un ensemble bien Sombre, une robe longue, un boléro recouvrant ses épaules....
Elle souriait par avance de la suite des évènements...
Elle avait pour habitude de vouloir ce « combat » où, de Femme de Force, je la faisais plié... d'un regard, d'un geste ou plus encore... Mais où elle aspirait que de « dessus » elle l'en perde la nature pour que j'en prenne la Force et la position qu'elle escomptait de moi...
De joutes verbales en gestes, elle cherchait continuellement cet état ou en enfin elle lâchait prise, ou de Femme elle devenait mienne, mon Elle.... à mes pieds...et qu'elle ne fut plus cette femme... mais simplement mon
Elle...s'abandonnant à mes tourments...
Elle alla chercher un Loup dans ses bagages, qui avait cette particularité d'être en forme de serre-tête et d'un petit mécanisme permettant de lever et baisser ce masque à la convenance...
Elle s'avança devant moi... Ce loup levé... posant ses mains chaudes et délicates sur mes genoux... me laissant entrevoir cette vallée délicieuse que son décolleté m'y autorisait...
Son sourire se fut plus présent...
Elle commença à s'agenouiller entre mes jambes qu'elle écarta avec douceur pour se frayer un passage...
Je ne bougeais pas, répondant simplement d'un sourire et continuant, par intermittence de savourer mon verre...
Mon regard se faisait plus perçant sur le sien, devinant ses intentions en pareille situation...
Elle se cala entre mes jambes reposant sa tête sur une de mes jambes...
Levant doucement alors le regard vers le mien, Elle me dit alors :
« Faites, Monsieur Seigneur et Maître, faites de ce Loup j'en devienne Votre Elle... »
Je sourirai avec passion de ses mots résonnants... Si simple, mais si fort de son envie d'Etre...
Je me décalais du dossier de ce fauteuil pour me rapprocher d'avantages en laissant mon verre sur l'un des accoudoirs, mes mains vinrent caresser délicatement son visage...
L'une d'Elle, baissa doucement ce Loup sur son regard...
Je me souviens, en l'instant précis de la fin de course du Loup, de son regard si pétillant, éclatant, si désireux et si tendre....L'envie de plus me fut présente, mais... je voulais attendre encore... pour savourer toute l'émotion de ce regard si chargé de Désirs de sa part...
Je lui déposai un doux baiser, effleurant juste ses lèvres... Marquant un sourire prononcé de satisfaction en reprenant mon assise confortable sur ce dossier... je repris mon verre... Attendant qu'Elle agisse.... de son envie... que je devinais...
Elle ajusta sa position pour me faire bien face...
A genoux devant moi, elle reprit l'apposition de ses mains sur mes genoux...
Son regard se fit plus « entreprenant » dans son envie... Et à mesure que ses mains avançaient doucement vers sa convoitise que je devinais sans peine... mon sourire se fit plus malin...
Imperturbable, Elle avançait doucement vers ses dessins... Je la laissai venir... sirotant toujours mon Vin... tout aussi imperturbable et la fixant du regard...
Je sentis ses mains venir se poser sur cette boucle... Elle eut un moment d'étonnement... car je ne bougeai toujours pas contrairement à mon habitude en pareille situation...
Elle sourit entreprenant alors de défaire cette attache...
Quand alors je me redressai doucement... posant d'une part mon verre sur la petite table présente à côté de moi... et d'autre part, posant une main ferme sur ses deux mains agissantes...
« Tststs...Ma Chère Elle....Là n'est pas mon Dessin...Il m'en est d'autres à Vous offrir »...
En disant ses mots, de mon autre main libre à présent, je saisis son cou... serrant légèrement les doigts et la bloquant totalement...
De l'autre main, j'en saisis ses poignets... l'emprisonnant le temps d'un instant, la privant de ses mouvements certains...
Je me redressai, la repoussant tout autant et la redressant de sa position...
Son regard changea alors... d'assuré, il devient suspicieux, étonnant... avec ce petit mouvement de tête que l'on a bien souvent dans l'étonnement de la situation et où l'on sent que l'on perd doucement, mais surement le contrôle de la situation
Je souris... à cela...
Elle voulut se dégager... pour reprendre une part de contrôle... Mes mais se furent plus serrant tant en ses poignets qu'en son cou...
Je luis souris à nouveau... d'un sourire plus marqué... de ceux que l'on a tout simplement quand on devient assuré de la situation....
Je fis un pas de côtés... sans la lâcher...
Elle voulut ouvrir la bouche... pour dire des mots... Mon regard se fit inquisiteur et de ma main serrant son cou, un doigt rapidement se dégagea pour se positionner sur sa Bouche... l'intimant de ne rien dire...
J'attendi quelques secondes qu'elle prenne nature de cette nouvelle situation. Bien qu'elle ne savait pas où je voulais aller... avec Elle...
Elle voulut par plusieurs fois se défaire de cette emprise... mais je tenais bon et ferme... Tout en lui souriant... d'un air de grande satisfaction personnel...
Je sentis ses muscles se relâcher. Je relâchai légèrement mon étreinte... Mais Elle tenta alors de cette relâche de se défaire... De mon Emprise... Mais je fus plus brusque dans mes gestes, plus ferme encore qu'avant... dans l'étreinte de ses membres...
Je lui relevais également la tête, de par ma main serrant son cou ...l'obligeant presque à être sur la pointe des pieds...
Elle resta un peu pétrifiée de par la brusquerie du geste et de l'inconfort de sa position...
Son regard se fit plus dans la crainte... Je relâchai alors un peu mon étreinte... pour que son regard devienne plus doux...
Elle recommença cependant à vouloir à nouveau s'évader... et par plusieurs fois je fis les mêmes gestes...mais avec une intensité graduellement plus forte...
Elle se laissa enfin aller à ma gouvernance....Baissant la tête, se relâchant et attendant la suite des évènements....
Je souris à son premier abandon....sachant qu'il n'était qu'un Pas...et qu'il me fallait toujours veiller à ses « rebellions »....
Je déposai, cependant, un doux baiser à la commissure de ses lèvres, pour la félicité de ce Pas...
Nos regards tendres alors, s'échangeraient...
J'abandonnai mon emprise à son cou, mais me gardai bien fermement ses poignets emprisonnés...
Je guidai ses mains vers le dossier de ce fauteuil, pour qu'elles y prennent demeure...
Ses doigts se refermèrent sur le haut du Dossier
Elle pensait rester ainsi... simplement, dans cette position d'attente...mais je lui fis comprendre que je désirais bien une autre position...
Je me mis derrière Elle, apposant mes mains sur ses chevilles...et entreprenant un long chemin remontant vers ses hanches en prenant en chemin cette étoffe qui recouvrait le bas de sa personne...
Quand cette étoffe fut à ses hanches :
« Mettez-vous à genoux sur ce fauteuil »....
Elle fit sans se faire prier...Posant délicatement ses genoux sur l'assise du fauteuil et gardant ses mains bien solidement ancrées sur le dossier.
Elle courba l'échine pour trouver son équilibre...me laissant pleine vue sur ses Lunes aux formes délicieusement arrondies.
Je posai une main assurée sur le haut de ses astres fort appétissant....
Un frisson, que je pus aisément voir, la parcourra brièvement recouvrant sa peau de ces petites protubérances que provoque le choc du Chaud et froid....
Ce « Chaud et Froid »... plaisir futile parfois, plaisir intense bien des fois... Glace, Feu, Fondre, chaleur, liquide, solide...bien des mots me vinrent en tête... et je souriais simplement....
Et là.... Germaient en mon Esprit diverses images de tourments plus plaisants les uns que les autres... Me faisant marquer un temps d'arrêt dans mes Actes....
Il faut dire que je ne savais pas encore ce que j'allais faire...et que je suis plus dans le réactif des actes que le préparatif, si ce n'est dans les grandes lignes...
Elle m'en tira lorsque je vis sa tête commencer à se tourner....
Ma main libre vient se poser à sa nuque rapidement, sans serrer, juste posée...
Elle réagissait comme une chatte recevant la caresse, la tête se courbant, se tournant avec délicatesse...les épaules se balançant...les hanches se déplaçant....
Un délicieux spectacle de la Femme devenant ce petit animal docile....Adorable et n'aspirant que de caresses et de tendresses.....
Brusquement, je saisi sa chevelure, arrêtant nette ce doux manège....Bloquant sa tête dans son mouvement de tendresse...
Ma main de ses hanches descendit lentement, ne touchant que la chair des jambes....pour se faufiler dans son entre-jambes serré que l'horizontalité de cette main vint perturber l'harmonie....
« Ecartez ! »
Un simple mot, que le geste assurait...ni avec force, ni avec violence...mais juste le ton sec...pour qu'Elle fasse...
Elle écarta les jambes pour qu'elles rencontrent chacune l'accoudoir avec ce petit mouvement de rein montant et descendant....Subtil moment encore anodin... mais si évocateur parfois...
Ma main quitta les cheveux, descendit prendre place aux creux de ses reins... je m'écartais de sa personne....
Je pouvais voir cette Précieuse « Fleur au bouton d'Or », convoitise de biens des hommes... et des femmes aussi... dont le gonflement c'était fait certain, couvrant d'un Rouge plus fort que d'accoutumé....qu'une légère Rosée des Sens venait rehausser....
J'aime à voir ces premières palabres de cette Fleur, sans la touché, juste à mirer et la voir seule se transformer par les simples faits de l'imagination de mon Elle quand les images la parcouraient....quand les Sens s'éveillent en elle...
« Chaud-Froid »... « Froid-Chaud »...ces mots me revenaient...
Mon regard quittant un instant ce beau spectacle...se posa sur la petite table....
« Chaud-Froid »... « Froid-Chaud »....
Mon verre y était posé, non encore fini....Juste à côté d'une bougie d'un diamètre presque aussi gros que le verre....
« Chaud-Froid »... « Froid-Chaud »
« Froid-Chaud » ... « Chaud-Froid »
« Eau »... « Feu »
« Feu ».... « Eau »
De nouveaux mots....de nouvelles images arrivaient....
« Eau » ... « Feu »....
« Liquide »... « Solide »
« Vin »... « Flamme »....
« Liquide »... « Solide »
« Vin »..... « Bougies »
Le sourire m'était des plus grands....Mon choix de la suite avait fait son chemin
De cette main libre, mon geste fut pris d'hésitation....le temps d'un instant...
Le « froid » d'abord ou le « Chaud ».... ?
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NDLR :suite réelle et imaginée de l article d 'OPIUM intitulē la frustration1
Le reste de la soirēe fut une suite de jeux et de provocation qui prit un tour presque désagréable.Mon humeur avait changē.Je voulais goûter un moment de solitude mais elle etait restēe dans le jeu. Elle s ētait parēe de ces sous vêtements que , comme toute femme, elles imaginent irrésistibles.Mon absence de réaction avait été perçue comme une indifférence mēlēe sinon de mépris du moins d humiliation.
La situation devenait lourde , les propos acides.
Mon esprit vagabondait, tandis qu en arrière plan je la voyait passer dans ces tenues qui en temps normal sont un appel à une soirēe de stupre et de fornication.
Je restais de marbre vitupērant intérieurement contre cette soumise bien rebelle dont j ētais devenu sans le dire l esclave sexuel , rēpondant à toutes ses sollicitations, sans jamais marquer de refus.
Je me maudissais de cette contradiction que j avais moi même suscitē : la libérer de ses carcans et lui laisser exprimer envies et phantasmes sans retenue et me retrouver ensuite au service de ceux ci au grē de ses envies.....
Je décidai intérieurement que ce soir il n y aurait ni corde ni cravache ni ceinture .
Je décidais d 'allumer la tēlē afin de bien marquer mon dēsintērêt .
Elle alla se coucher, marquant par mille dētails son agacement .
Je fis de même plus tard dans la soirée.
Vers 06 h du matin je sentis sa main glisser sous mon dos et prendre dans son creux ma paire de couilles.Je sentis ensuite sa bouche venir lécher mon gland ...je restais immobile , silencieux .
Je compris ensuite òu elle voulait en venir.Brusquement elle m enfourcha. L 'idée me traversa de la désarçonner mais je ne le fis pas .Elle s activa sur moi avec la rage de celle qui veut trouver son plaisir mais je restai toujours immobile , bras étendus avec cette froide et indifférente érection qui vous transforme en pieu de bois ou métal.
Je savais sa frustration.je savais ce qu'il aurait fallu que je fasse pour remplir son plaisir : mais il aurait fallu que je me redresse la mette à 4 pattes la prenne violemment la fèsse de mille manières l 'attache etc et je n en avais nulle envie car il était 6 heures.
En désespoir de cause elle me pris brusquement les mains pour les plaquer contre ses reins. Je laissais faire .elle continua a s activer sans arracher de ma bouche le moindre son de plaisir . J attendis qu elle eut joui.je me levai sans un mot et quittai la chambre pour prendre un cafē.
Je pris mon i Pad et décidai de faire une suite à cet article d opium que j avais lu la veille,.il est dimanche , je suis sur le balcon ,le temps s est adouci.
Je réfléchis.
Je vais aller tout à l heure poser un baiser sur son anus sans un mot , pour lui dire bonjour.
Et revenir dans le respect du code et de la règle.
Bon dimanche à tous
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Maîtresse,
Ma langue, mon anus, mes mains gardent le souvenir des très beaux moments que vous m'avez autorisé à vivre avec vous. Mon corps et mon cœur vibrent en espérant retrouver votre botte, votre voix, vos ordres qui claquent.
Exigez, ordonner, je veux être votre esclave dans la plus totale soumission, vous servir, être dressé encore.
Une semaine sans vous...vous me manquez déjà. Votre voix... si envoûtante , vos tenues... si esthétique, votre corps... si parfait, votre habileté à me dresser... tout mon corps et mon être vous réclame Maîtresse.
Je rêve... votre poupée noire qui s'agite entre vos seins, votre double qui m'observe, soumis à vos moindres caprices, à espérer vos punitions et humiliations, à espérer les récompenses que peut être vous m'accorderez.
J'attends avec inquiétude et bonheur votre réponse, en attendant d'être sous vos talons.
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Bonjour Maîtresse
je n'ai pas encore - depuis notre dernière séance- pris le temps de vous remercier pour le dressage auquel vous me soumettez.
Vous savez me faire découvrir la place qui est la mienne, - à vos pieds, le rôle qui est le mien - satisfaire entièrement sa maîtresse-, et le plaisir physique et intellectuel de vivre pour ses moments.
Sous vos talons aiguilles, ou votre fessier, à l'ombre de votre cravache et de tous les instruments de soumission que vous jugerez bon, je souhaite m'abandonner totalement à votre pouvoir de maîtresse.
Je mesure la chance que j'ai de pouvoir admirer votre beauté, de pouvoir accrocher mon regard à votre silhouette gainé de matières étourdissantes, la chance de pouvoir approcher ma langue de vos superbes tenues fétichistes.
Vous m'avez offert votre champagne et je mesure aussi cette chance.
J'espère me montrer à la hauteur de cette chance que vous m'offrez, pouvoir ne plus m'appartenir, je m'en remets à vous.
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18H00. Fin de Journée et retour à la Maison.
Les clés s’enfoncent dans la serrure et je pousse la porte. Dépose mes clés mais c’est un mot qui m’intrigue aussitôt. « Je suis en haut »
Je prend dés lors mon temps.
Ote ma veste et la range convenablement. Dépose le reste de mes affaires puis enfin me dirige à l’étage. L’escalier en bois averti mon approche et mes grincements se rapprochent de l’embrassure de porte.
Une légère obscurité offrant ce qu’il faut pour admirer un magnifique spectacle.
Elle se tient à genoux sur le lit. De dos et totalement offerte.
Mi nue, le rouge du dessous des talons et des coutures de la guêpière me marque en premier mais c’est cette cravate qui me plait davantage.
Elle vient masqué ses yeux, insufflant ainsi la curiosité de ce qu’il peut arrivé.
Un sourire illumine en tout cas mon visage.
En m’approchant davantage, Je devine aussi un sourire sur son visage. Elle sait que le spectacle me plait !
Je vérifie et resserre plus fermement cette cravate et sans un mot, pieds et mains finissent liés. En veillant à se qu’elle soit stabilisé sur ses genoux écartés, j’y susurre alors ces mots à l’oreille : « Aucun cris, ni soupirs ! Qu’importe les plaisirs ! »
Prenant un peu de recul et surtout tout mon temps, je profite alors pour admirer à nouveau ce qui m’est ainsi offert !
Des jambes en résilles à cette poitrine fièrement relevée, son sourire dessiné par le rouge à lèvre est sublime.
Certes, je me prive des étincelles de son regard mais sa fossette communique tout autant !
Je commence donc par faire parcourir mon souffle sur sa peau. Le frisson qui la parcourt aussitôt fait réagir ce corps rempli de vie. Mon excitation passe d’un cran !
Vraisemblablement, le partage a lieu.
Mes mains glissent sur les bas avant de remonter jusqu à son cou vierge. Son pouls et sa respiration viennent eux aussi de monter d’un cran ! Aucun soupir !
Je libère alors la poitrine pour venir croquer dans ce fruit délicieux ! Rond et ferme, c’est l’extrémité qui s’endurcit plus rapidement qu’a l’accoutume entre mes dents !
La mise en bouche qui se déguste, j’en profite ensuite pour plonger plus bas ma main. Elle rencontre alors son intimité… chaude et humide.
Rien ne semble lui déplaire… Tout au contraire !!!
Son clito semble aussi se durcir de manière précoce face à ces caresses. Mes mouvements s’accélèrent donc, et son corps répond aux désirs recherchés.
Je commence à voir ses lèvres qui se pincent !
Son corps qui se dandine légèrement.
Le plaisir qui monte et mon insistance qui s accroît encore.
Mais voila que dans une bouche crispé résonne totalement étouffé, un très léger « Hmmmmm ».
Je cesse.
Observe son corps demandeur un instant, y embrasse son cou et ôte en même temps ce bandeau de fortune.
Se libère un regard rempli de désir !!!
Disposé et dans l’attente de l’explosion, Elle désire une suite mais m’écoute y dire :
« Reste dans cette tenue, c’est pas dit que je ne te mange pas comme dessert ! »
Et en lui ôtant ses liens : « Leçon n° 1 : La Frustration »
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Ce matin-là, elle fut réveillée par un messager bien surprenant. L'homme était nu, si ce n'est la cage enfermant son pénis. Elle comprit qu'il s'agissait d'un des nombreux esclaves du Grand Maitre.
Il lui dit que ses ordres étaient de la préparer pour le rituel de ce soir. Sans plus de détail sur le rituel, ni sur le type de préparation.
L'homme encagé parfaitement dressé commença par la déshabiller. Ses mains fines, s'attardant langoureusement sur ses courbes, elle vit son membre prisonnier, se gonfler de désir. Phallus inutilisable dans cette gangue métallique. Elle devina sur son visage la souffrance de cette érection. Mais l'homme ne cessa point. Ses mains de plus en plus agiles pinçaient ses seins. Instinctivement, elle écarta un peu ses jambes et appuya les bras sur le mur devant elle. L'esclave se mit à genoux entre ses jambes, sa langue pointue en avant.
Il la lécha, la pénétra de ses doigts, aspira son clitoris jusqu'à la faire hurler de plaisir. Immergée dans un flot de jouissance, elle perdit la notion de temps. Pas une seconde de répits, coup de langue, pincement, morsure.
Ce n'était que le matin, le rituel avait lieu à minuit. Tiendrait-elle sans s'évanouir de plaisir jusque-là.
Un vague répit la fit revenir à la réalité, elle constata avec stupeur que le grand Maitre était là. Aussitôt, elle se sentit coupable, fautive, de succomber au plaisir donné par un esclave. Mais le Maitre ne disait rien. Observant, et sa soumise et l'esclave. Le plaisir de l'une, la souffrance de l'autre. Son sexe encagé subissait le martyre.
D'un geste, il arrêta tout. Elle s'attendait à une punition violente, pour avoir joui des mains d'un autre. Mais celle-ci ne vint pas. Doucement, il lui caressa les cheveux, et l'obligea à s'agenouiller devant lui. Tenant toujours sa chevelure, il enfourna son sexe dans sa bouche. Une fois finie, il la jeta par terre, insulta la servante qui regardait, et ordonnât que l'on continue les préparatifs.
La servante prit le contrôle des opérations, d'un geste sûr, elle fixa la chaine au collier de la demoiselle. Elles déambulèrent ainsi, dans les différents corridors de la demeure du Maître, sous les regards et parfois les caresses des occupants avant d'atteindre les thermes du château. Au centre de la salle, un immense bassin, entouré de petites alcôves menant à diverses pièces, pour le moment invisible. Elle fut heureuse d'atteindre enfin ce lieu, et ne plus avoir à supporter les nombreux attouchements subis durant sa pérégrination.
Elle fut douchée, frottée, sans ménagement pour sa peau fine et blanche, qui entre l'eau brulante et la brusquerie de la servante ne tarda pas à devenir rouge écarlate. Quand il ne resta plus un seul centimètre de peau blanche, elle fut séchée avec une douceur surprenante. S'attendant à des caresses érotiques son corps se tendit légèrement, mais la servante ne dévia point de sa tâche.
Une fois sèche et totalement frustrée, elle fut étendue sur le dos sur une table en marbre qui trônait au centre d'une des alcôves. Ses bras furent menottés dans les fers prévus à cet effet au-dessus de sa tête, et ses chevilles à chaque extrémité de la table. La servante sortie, elle resta seule dans le silence des thermes déserté à cette heure. Les quelques minutes qui passèrent lui semblèrent interminables. Les fers lui mordaient la peau, et chacune de ses tentatives de changement de position virait au supplice. Tendue, endolorie, frustrée de l'absence de lubricité de cette femme, elle tressaillit quand un bruit de pas se fit entendre derrière elle. Celle-ci prenant grand soin de toujours rester hors de son champ de vision.
La servante revint munie d'ustensiles divers et variés qu'elle disposa sur une desserte non loin. Puis s'approcha de la table, lui plaça un bâillon sur la bouche, et lui banda les yeux.
La panique l'envahit, l'inconnu se déplaçait maintenant autour d'elle. Le rictus sadique de la servante en posant le bâillon la hantait. Et si, c'était une punition pour son écart du matin ? Et si elle n'était plus «Bonne» pour le rituel, et si le Maître ne voulait plus d'elle...
Tant de questions, tant d'angoisse, et aucune possibilité de l'exprimer, d'être rassurée par un regard, un sourire. Complètement affolée, elle tendit l'oreille au moindre son, vaines quêtes d'information rassurante.
Les protagonistes présents dans la salle se délectaient de sa terreur prolongeant le plus longtemps possible cette attente, avant de commencer leur travail.
Les bourreaux se mirent enfin à la tâche. Elle sentit tout d'abord une chaleur sourde sur son sexe, à la fois douloureuse et agréable. Elle se détendit doucement rassurée par cette chaleur à moitié familière. L'autre individu, prés de sa tête, en profita pour lui pincer violemment les seins. Du moins, c'est ce qu'elle s'imagina au vu de l'intensité de la douleur. Celle-ci n'était rien, comparée à celle qui suivit.
La douce chaleur sur son pubis s'était transformée en atroce douleur, elle comprit que la servante d'un geste ferme venait de lui arracher une bande de cire, ainsi que sa belle toison. Le bâillon étouffa son hurlement, au milieu des élancements elle crut percevoir une langue experte sur son clitoris, des doigts, ou tout autre objet dans sa chatte. Le mélange de douleur et de jouissance était si nouveau pour elle, qu'elle fut surprise par la puissance de ses orgasmes.
La séance dura ainsi, douleur, chaleur, brulure, jouissance extrême, simplement accompagnée d'une douce mélopée. Gémissements étouffés par le bâillon seulement audible à ses tortionnaires. Une flaque de cyprine s'étendait en sol. Seul témoignage de l'intensité de son plaisir.
Elle s'évanouit, victime d'une overdose d'endorphine tant ses orgasmes furent puissants et nombreux.
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Le consentement doit être au coeur de la relation vanille, sm, D/s ou plus largement BDSM.
La présomption de consentement des époux à l'acte sexuel ne vaut que jusqu'à preuve du contraire. La loi du 4 avril 2006, qui a entériné la position jurisprudentielle, reconnaît le viol entre époux.
Le consentement peut être considéré comme vicié, tant au civil (par ex art 1109) qu’au pénal. Pour ne pas être qualifié de la sorte, le consentement doit être libre, éclairé et exprès.
Le non-consentement sera considéré par exemple lorsqu’une personne tait sa séropositivité, falsifie ses résultats de tests VIH ou allègue une allergie au latex pour que leurs partenaires consentent, à entretenir des relations sexuelles non protégées. L'auteur trompe la victime sur la réalité de la situation. Trompée, elle acceptera les relations sexuelles mais son consentement sera inopérant parce que non éclairé.
Le consentement est vicié dès lors qu’il est établi que la victime a accepté de participer à des relations par peur.
Plus largement, le délit est constitué, lorsqu’une personne cherche, par quelque moyen ou subterfuge que ce soit, à obtenir le consentement de la victime qui l'aurait refusé si elle avait été mieux éclairée. C’est une atteinte à la liberté sexuelle.
Attention en BDSM, même sous contrat, l'indifférence du droit pénal au consentement de la victime est un principe établi. «La violence […] à caractère sadomasochiste ne pourrait être légitimée par le consentement de la victime» (Cass. crim., 2 déc. 2009, n° 09-82.447)
Il en résulte que le consentement de la victime est écarté par le juge répressif et permet de condamner l’auteur, y compris dans le cadre de relation sadomasochiste. Certains adeptes pourraient s’en offusquer mais force est de constater que cela participe à éviter certains abus.
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Je sais il faudrait que je continue mais disons que voilà... J'ai déjà fait ça.
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Pour Votre anniversaire
Abandon avec Vous
Bonheur près de Vous
Cravache sur ma peau
Deux anneaux
Et là les souvenirs remontent
Fouet qui me fascine
Grandir sans honte
Hommage à Vous Mon Maître
Inoubliable Notre rencontre
Joie à vous revoir
Kaléidoscope de couleurs sur ma chair
La confiance mutuelle entre nous
M'abandonner avec respect
Notre sincérité sur nos vies
Oublier mes peurs
Patience et partage
Quatre années à Vos cotés
Respect de notre belle relation
Signature sur ma peau
Toujours Vous dans mon coeur
Unique, précieux pour moi Vous êtes.
Vous et après Vous aucun Maître
Wagons d'émotions
Xylographie gravée dans mon coeur
Y a Vous à jamais à toujours
Zen attitude
le 25 juin 2014
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Je suis debout. Vous n'êtes encore qu'une voix. La voix me demande de retirer mes vêtements. L'ordre est donné d'une voix sans émotion. Je me déshabille. Debout, les bras derrière le dos, j'attends. A la voix se substitue une main puis deux. Vous m'examinez lentement. Je prends conscience que je suis nu. Vous me passez au cou un collier qui marquera ma position de soumis. Vous me faites mettre à genoux. Vous me donnez votre main à embrasser en signe de soumission et de la confiance que vous me permettez de vous accorder. La confiance et le respect mutuels sont en effet nécessaires. A genoux, les yeux baissés, j'entends votre voix me donner le nom qui sera le mien pour cette séance. Peut-être l'avez-vous mûrement réfléchi avant cette séance ? Peut-être l'avez-vous choisi tandis que je me déshabillais ou que vous m'examiniez ? Est-il neutre ? Est-il humiliant ? Sans doute me soulevez-vous le menton. J'ai les yeux baissés. Peut-être me demandez vous de croiser votre regard pour observer l'effet que produit ce nom en moi. Vous me demandez de le répéter ce nom qui est désormais le mien.
Par ce nom vous me demandez de me relever avant de vous suivre. Je m'exécute non sans acquiescer et vous donner le seul nom qui est le vôtre. Si j'y manque je serai fessé. Cinq coups sur chaque fesse. Le double en cas de récidive et ainsi de suite. Cinq coups supplémentaires pour chaque ordre mal exécuté.
Vous me demandez de vous déshabiller. Vous pénétrez dans la douche. Vous me demandez de vous laver. Il me faut surmonter ma timidité et conserver un geste sûr. Poser mes mains sur votre corps est un privilège et non un dû, contrairement à vous. Je suis le soumis, je dois garder ma place sous votre empire. Vous me demandez de vous sécher avec la langue.
Me suis-je bien acquitté de vos ordres ? A genoux, les yeux baissés j'attends votre verdict. Peut-être m'autorisez-vous à me masturber ? Jouir ou ne pas jouir ? Vous seul en avez la décision. Peut-être ai-je manqué à mes taches ? Je me prépare à recevoir la fessée.
A quatre pattes, je suis en attente. Vous observez, vous examinez, vous commentez. Vous m'ôtez le collier. Vous me tendez votre main à embrasser. Je vous remercie une dernière fois sous le nom que vous m'aviez donné.
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Voila plus de 10 ans que nos vies se suivent...
Nos chemins faisant parfois face à des impasses.
Mais voila à ce jour ou nous sommes!
Ensemble!
Nous traçons Notre route et allons de l'avant!
Surmontant chacun des obstacles qui se glissent devant nous!
L'Amour pour déplacer des montagnes!
Mes rêves sont ainsi les espoirs qui se cachent au loin...
Et je dois avouer que ...
Ce que je vis avec toi!
Au delà de tous ces espoirs!
C'est encore plus merveilleux!!!
Il n'est rien à redire!
Tu es mon Amie!
Des plus intimes!
Me connais... avec mes défauts!
M'accepte et m'honore de ta présence à mes cotés!
Ravivant Amour et Passion!
Les liens se sont tissés et voila que nos chemins ne peuvent être l'un sans l'autre!
Parcourir ainsi ma vie sans Toi à mes cotés est confirmé comme inconcevable!
Merci à Toi!
Mon Amour!
http://www.youtube.com/watch?v=5h3vPPgEk-4
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En pensant à Vous Mon amour de Maître
Ne trouvant pas le sommeil, j'ai dû me lever, pour me faire jouir...
Si mal au ventre et cette chaleur qui envahissait mon bas ventre
Alors, voilà ce que j'ai fait et je vous l'écris ici
Alanguie sur son lit, elle pense à lui
Lui si loin, elle lointaine et si proche
Pense-t-il à elle, elle pense à lui
A une histoire jolie, à un respect mutuel
Dire les mots, ne pas mentir, ne pas travestir
Elle est mouillée de désir pour lui
Les jambes écartées, les cuisses relevées
Impudique, je vous offre mon intimité
Le regard brulant de fièvre
Elle sent une douce chaleur l'envahir
Elle aimerait jouir, elle écarte doucement les lèvres de son intimité
Elle caresse ses jolies lèvres, elle sent le désir monter
Elle ne veut pas jouir tout de suite
Elle aime attendre et reculer au possible la jouissance
Elle aime contrôler si elle le peut le cri que lui arrache l'ultime jouissance
De ses doigts agiles et fins, elle tisse des arabesques sur son coquillage lisse
Il s'ouvre et son bouton de rose palpite
Elle mouille bien, elle aime se faire jouir doucement
Elle ne précipite jamais ses gestes, ils sont précis
Souvent les mêmes, répétés quantité de fois
Elle a très envie de jouir, elle pense à son regard
Elle devine son émoi, elle est mouillée
Le désir est latent, elle ne s'agite pas, elle fait doucement
Des petits va-et-viens sur son Mont de Vénus
Des petites vagues sur ses lèvres qui s'ouvrent
Elle a un peu chaud, elle aimerait jouir ; pas encore se dit-elle
Elle pense qu'il la regarde, la désire
Et son envie de jouir devient plus précise
Elle a faim de lui, elle écarte ses lèvres encore plus
Elle fait ressortir son clitoris, son bouton de rose
Elle lèche ses doigts, elle se caresse avec sensualité
Que c'est bon de la voir ainsi
Elle ferme les yeux et se délecte de son odeur intime
De son nectar, de son miel
Son clitoris palpite, elle a envie de jouir, elle continue ses arabesques
Ses doigts entrent dans son intimité
Ils se font plus précis, plus fiévreux
Elle sent que la chaleur imprègne son bas ventre
Elle aime sentir son bouton glissé sous ses doigts
Il roule et se faufile
Elle va jouir, elle le sent, elle se tord et cela éclate comme un feu d'artifice
Elle voit une étoile bleue
Enfin repue, elle reste allongée, fatiguée
Un bien-être l'a satisfaite
J'ai osé faire cela parce que je le voulais, je me sentais disons en manque surement
Ai-je bien fait ? Ai-je eu tort, voilà ma jouissance d'hier et je vous l'écris ici
Apprécierez vous ? Serez vous mécontent ? Serez vous 'satisfait' ? Serez vous choqué ?
Aucune idée, je vous livre mes pensées et le désir que j'ai eu hier soir
En pensant à Vous bien sur
Mots de Vous Mon Maître
Merci pour ce long témoignage de confiance dans lequel tu me livres l'intimité de tes plaisirs. Je ne suis aucunement choqué bien au contraire. Je t'imagine et l'envie monte en moi. J'aime qu'une soumise se fasse jouir devant situation à la fois d'humiliation et d'offrande. Quel style d'écriture, une merveille et une grande poésie. Les mots justes sans aucune vulgarité. J'espère que tu pourras conserver ce texte, c'est remarquable.
Le 7 juin 2010
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Elle se défie du temps et des distances
Parfois improbable se moque des différences
Elle mélange les générations et les cultures
Elle est généreuse, tolérante par nature
Elle se conjugue à l'essentiel, intemporelle
Se riant des caractères, elle est universelle
Offerte libéralement elle se montre clémente
Acceptant même alors que l'on se mente
Mais de temps à autre fragile se brise les ailes
Laissant des cicatrices aux coeurs fidèles
Elle n'est pas rare, mais une précieuse alliée
Elle se prénomme dans toutes les langues : amitié
Petit clin d'oeil à Certaines Personnes pour leur soutien divers.
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Il est des moments dans la vie qui vous permettent de faire de belles rencontres…
Parfois même de très belles et surtout sans s’en rendre compte.
Un dicton dit que c’est dans les moments de difficultés que se révèlent les vrais amis…
Néanmoins, il est possible qu’il arrive d’en trouver de nouveaux dans ces mêmes instants…
Qui eux ne jugent, ni votre passé… ni votre présent.
Il y a des personnes qui ont cette profonde gentillesse …
Tels des anges voulant donner toutes leurs de tendresses.
Tu en fais parti …
Tu es entrée dans ma vie !
Tu as sue m’écouter et me comprendre…
Sans même me connaitre, m’as donné ton amitié, sans jamais rien attendre !
Des échanges sans complexes et sans méfiance…
Te parlant de mes peurs, mes craintes et mes souffrances.
Tu m’as écouté, rassuré et cajolé…
Sans même m’avoir une seule fois rencontré.
Apres tant de messages partagés…
Vient enfin le moment de se rendre à la réalité.
Pour moi, se fis comme une évidence …
Te voyant telle une amie d’enfance.
Ce jour la nos destins se sont liés…
Et de ces instants s’est créée une belle histoire d’amitié.
Des heures de partages et de discutions…
Sans aucun tabou, ni aucune appréhension.
Toutes deux sans complexe, nous nous sommes livrées…
Sur nos vie, nos douleurs et notre passé.
Une soirée complète à se redécouvrir…
Nul besoin de se cacher ou même de mentir.
Se mettant à nue sans se poser de questions…
Sachant qu’aucun jugement n’existe dans cette relation.
Cette soirée restera à jamais gravée dans mes pensées…
Car grâce à elle, un énorme lien entre nous s’est confirmé.
Aujourd’hui, tu résides à jamais dans mon cœur…
Et en toi, j’ai pue trouver l’aura d’une grande sœur.
J ai cette envie de te savoir heureuse et épanouie…
Ce dont je ne doute pas quand je vois l’homme qui partage ta vie.
Tu es une femme extra ordinaire…
Et d’être ton amie, j’en suis énormément fière.
A très vite pour de nouvelles aventures…
C est pour nos maîtres que cela va être dur !
Car deux chipies qui ce sont retrouvée…
Du fil à retordre cela leurs promet.
A toi ma belle Hestia !!!
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Le ciel charrie de lourds nuages noirs. Violets. Quelques taches blafardes
font de nos baïonnettes, des lames de fusion mortelles. L'air sent la pluie,
le sol poussiéreux attend son du, elle a soif d'eau, elle veut boire, elle
a soif. Espérons que notre sang ne la saturera pas...
Un rai de soleil inonde soudainement mon visage, glisse sur mon bras gauche
valide, parcours un chemin hasardeux sur le sol, et s'arrête sur une ardoise
noire. Il semble m'inviter à le suivre. Je regarde en face de moi l’ennemi
est là, il attend tapi comme moi dans la poussière. L'ordre de s'entre-tuer.
Je veux ce soleil, je rampe, mes armes me gêne, je les pose, je rampe, mes
souliers m'alourdissent, je les ôte, je rampe, mon treillis me brûle, je me
déshabille en me tortillant au sol, je rampe, mes chaussettes me gratte, je
rampe, mon slip me serre, je rampe . Nu j'arrive à l'ardoise. Ma main se pose
sur la pierre chauffé par ce maigre rayon. La douceur de la lumière irise ma
main la pierre grandi sensiblement. Elle s'allonge, illuminé de soleil, je rampe
sur l'ardoise noire. Mon corps est maintenant en entier sur la pierre qui
continue de grandir. Je continue mon périple inondé de lumière mon corps continue
sa reptation.
Je suis absolument sur de devoir suivre ce chemin de pierre.
L'odeur se modifie aussi. Des parfums de fleurs furtivement enveloppent mes sens.
Je me retourne, effaré je ne vois plus le champs de bataille. La pierre s'est
transformé en chemin noir au dessus des nuages.
Hésitant je me dresse, l'ardoise est stable, je tient debout sans problème. Je
marche en suivant cette allée. ma main droite blessée effleure les nues qui
virevolte autour de moi. L'odeur de fleurs vient de là.
Je suis seul ici. Plus un bruit, mais un silence vivifiant qui me pousse soudain
à sourire. À respirer à plein poumon. Je sais que je dois continuer à avancer.
Un panneau incongru planté dans l'ardoise me signale que je traverse le 45° parallèle.
Plus loin la route de pierre se fini sur un mur de bambous. La brise les agitent
doucement. deux grosses larmes perlent au coin de mes yeux.
Madame...
vous m'avez guidé jusqu'à vous.
Je renifle un peu et m'essuie avec mon bras. Je cherche l'île des yeux. J’attends...
une main sors des nuages, et prends doucement mon bras blessé , mais je n'ai plus mal.
Je ferme les yeux, la main me guide, je flotte dans les nuages. Vos lèvres se posent
sur les miennes.
Frédéric?
Oui Madame.
Êtes vous avec moi?
Oui Madame.
Bien Frédéric...
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Ce texte relate et fait les éloges de cette drogue dont je ne peux me passer.
Je pense que tout le monde a un jour goutté ou était addicte à une substance quelque en soit la nature.
Certains vous dirons ne pas pouvoir se passer de la cigarette…
Vous ventant les mérites de son apaisement lorsque les nerfs sont à vifs et que le sang boue dans leur veines.
D’autres aimeront la sensation d’ivresse que l’alcool leurs apportent…
Cette sensation de légèreté, de déshinibition qui apparaît lorsque les degrés montent.
Puis vous avez les personnes dont seule la drogue dure leur apportent la sérénité…
Elles n’ont d’autre recours que cette poudre blanche ou cette aiguille pour pouvoir échapper à leur quotidien trop pénible.
Ma drogue est tout autre…
Mais mon addiction tout aussi forte!
Lorsque je ne l’ai pas à mes cotés... le manque se créait…
La sensation de manque alors s'installe…
Mes pensées, mes rêves ou ma raison…
Tout se bouscule et rien ne compte plus que d’avoir ma dose.
Mon esprit n’a qu’une obsession... le retrouver.
Pouvoir m’enivrer de son parfum ou de sa voie…
Me délecter de ses baisers et sa tendresse.
Cela en devient une hantise…
Ne faire que d’y penser à chaque heure et chaque seconde.
Je suis alors prête à tout pour ressentir à nouveau cette ivresse des sens…
Le retrouver est alors pour moi ma seule obsession.
Pouvoir me délecter à nouveau et enivrer mes sens à jamais…
Je suis prête à tout endurer, accepter ou changer.
Aucun remède ne peut combler se manque…
Il n’y a que lui qui puisse apaiser cette souffrance.
Une personne qui m’est cher a écrit un jour un texte qui se nomme « Histoire d’addiction »
Il est tout simplement ma drogue…
Voici Mon histoire...
Mon addiction.
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Cela fait un petit moment que nous discutons ensemble, de ce que l'on aime ou pas... déjà plusieurs rencontres, pour prendre un verre...
Aujourd hui c est shopping, je sens qu'on va bien s'amuser, j espère que le plaisir sera partagé...
On se retrouve tu es belle malgré ton manque parfois de féminité... on va arranger ça...
J opte pour un magasin avec un peu de tout côté vestimentaire... " va dans la cabine, je vais choisir..."
Un tailleur, quelque top un peu sexy, une robe, une guêpière... humm....
Je reviens avec mes trouvailles... j'entre et te montre.. tu hesites... ce n'est que pour essayer.... pour voir, pour me faire plaisir... je te laisse faire ton premier essai tranquillement.
Tu n'oses pas sortir, c'est trop provocant, trop décolleté? Je rentre dans la cabine pour te rassurer, tu es très joli comme ça... nos regards se croisent dans le miroir, je suis juste derrière toi, je pose mes mains sur tes épaules, caresse tes bras, pour te réconforter, prend ta main et t attire en dehors de la cabine... regarde comme tu es belle dans le grand miroir...
Un sourire timide apparait sur ton visage, et tes joues rougissent un peu... je me penche à ton oreille pour te murmurer que je te trouve très désirable... tu files essayer la suite... le tailleur te rends très chic et sexy à la fois, et me permet de voir tes jambes... je note que tu ne te sens pas à l'aise aussi à l étroit... reste une chose à essayer, rassure toi je ne te demanderais pas sortir avec... j'entre dans cabine tandis que tu te dévêtis... j en profite.... pour t'admirer.. et dégraffer ton soutien gorge, libérant ainsi ta poitrine.... tu hésites... tu es troublée... je me penche et dépose de petits baisers sur ton épaule...lentement les bretelles glissent sur tes bras... tes mains cachent encore tes seins.... mes mains viennent les remplacer...ils sont fermes et moelleux... je mordille ton oreilles, tu penches ta tête et semble apprécier, je te retourne et te plaque dos au mur, pour d'embrasser...
Une vendeuse passe et nous demande si tout vas bien?
"Oui,oui!" J' attrape la guêpière et t'aide à l essayer, lentement j' attache les petits crochets dans ton dos... encore une fois nos regards se croisent dans le miroir, tu mordilles ta lèvre... j'en profite pour caresser tes fesses au dessus de tes vêtements...."Il y a le string d'assorti, si tu veux?" Tu rougis et baisse les yeux... " cela te va a ravir..." Je pense qu on va la prendre.... non? "Tu crois ??" , je degraffe et te murmure un oui pleins de promesses.... avant de te laisset te rhabiller tranquillement...
La vendeuse semble un peu étonné, moi un grand sourire, " la fermeture éclair était coincé? "
Tu ressors avec les articles... "tu souhaites garder certaines choses? " , "non"
Je prends la guêpière, et file chercher le bas, tu me suis...
"Je te passerai des bas...", " ok"...
On ressort du magasin avec nos achats, tu sembles un peu ailleurs.... Je t'attire dans un coin avec moins de monde... te regarde dans les yeux... "je vais trop vite? ", "non"..."on va chez toi?" , un sourire "oui"...
On arrive chez toi, je referme la porte et t attire vers moi pour t embrasser... "je serais douce, et ferme, fais moi confiance, on ira à ton rythme...." On s'installe sur le canapé, je te prends dans mes bras..."j ai envie de t attacher et de m occuper de toi..." , "j ai pas de menottes?..."
" un foulard fera l affaire, on arrête dès que tu veux...", "euh, ok"
On va dans ta chambre, tu sors un foulard et me le tend timidement... un premier pas pour toi...ma main attrape ta main pour t attirer, mon autre main agrippe ton cou, te colle a moi, poitrine contre poitrine, ton souffle s'emballe...ta main dans ma main, dans ton dos, tu me laisse faire... juste un oui murmuré entre tes lèvres...."déshabille toi..."
Je me mets à l aise et t'attends sur le lit, le foulard entre mes mains, tu attends en culotte et n ose approcher. Je te tends une main que tu attrapes et te guide à moi... je pose ta main sur un de mes seins...que tu caresses, "n'ai pas peur..."
J entoure le foulard autour de tes poignets, place tes bras au dessus de ta tête.... t embrasse dans le cou... descend sur tes seins que je léchouille, avant de poursuivre sur ton ventre... je sens ta respiration qui s' appaise tranquillement.... j'arrive à ta culotte que je fais glisser le long de tes jambes... j'ecarte tes cuisses, malgré ta résistance....tu m'observes en fesant non de la tête... ta respiration s emballe un peu....je caresse ta chatte, tes poils tout doux et courts... mon pouce glisse entre tes lèvres....tes yeux se ferment tu mords ta lèvre inférieure....
Doucement de haut en bas, c est chaud, humide...je m'enfonce en toi, te caresse de l'intérieur... tu apprecies, te détends sous mes caresses, ton bassin accompagne mes mouvements...je glisse un autre doigt en toi, tu l'accueilles d'un oui, pleins de plaisir... de desir.... mes doigts vont et viennent en toi, tu t'ouvres un peu plus, tes cuisses bien ouvertes pour mieux m accueillir.... " encore.... continue.... ah..... oui....."
Un troisième doigts se fraye un chemin, tu jouis.... je poursuis....mes doigts s'enfoncent en toi... un peu plus... c est si bon chaud, moelleux en toi... C'est un 4 ème doigts que je glisse en t'embrassant tendrement... je glisse en toi... tu es si mouillé... si chaude.... mon pouce s attarde sur ton renflement, dressé de désir.... tu sembles en transe.... ma mains glisse en toi, mes doigts se serrent pour mieux sentir ton corps l entouré ... serré en toi... tu mouilles délicieusement sur moi....
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J'investis votre lit, audacieuse, câline
Un bandeau signe ma soumission
Le tissu en dentelle qui orne ma poitrine
S'agite au rythme de mon excitation
Dans ma position qui n'a plus rien d'humaine
Je patiente en attendant votre venue
Je vous espère tendre, vous me voulez chienne
Consentante et soumise, sans retenue
Pour sceller notre union intense et sincère
J'ai attaché votre collier à mon cou
Bien loin de m'avilir cet objet me rend fière
Et libre d'assouvir vos désirs sous votre joug
Je vous sens arriver par le bois qui craquelle
Votre main se fait douce pour me caresser
Sous vos doigts curieux, je me cambre, chancelle
Gémissant quand votre paume vient me fesser.
Entre mes cuisses offertes, vous vous posez cavalier
Je me cabre et me cambre, je suis votre destrier
Vous me tournez et cravachez ma croupe découverte
J'exprime mon bonheur de vous être ainsi offerte
L'échiquier de nos peaux conservera l'empreinte
De ce moment passé de notre folle étreinte
Je vous serai fidèle le temps de ma vie
Me jouant des années et du temps qui nous fuit
Le 2 juin 2014
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- Voir la réalité en face, les yeux dans les yeux, voilà ce qu'il me faudrait.
- Dis-moi : cela fait combien de temps que tu as replongé ? Avoue : cela allait plutôt pas mal tant que tu tenais loin de lui. Alors tu attends quoi pour te barrer en courant ?... En fait tu es subjuguée, fascinée. Mais par quoi au juste ? Pourquoi cette obsession ?
- Je crois que je sais le pourquoi : le séisme a eu lieu à distance. Je n'ai pas pu le vivre réellement. J'ai déjà laissé des hommes derrière moi, sans la moindre envie d'y revenir. Pour d'autre cela a été plus dur, il est vrai. Mais ça a toujours fini par passer. Là, rien à faire, ce fantôme est ancré en moi. Pire : je veux le garder. Souvenir, une parole de mon dernier «amour» : «En fait, il t'a tatoué : pas sur la peau, mais dans la tête. Il est là.». En entendant cette parole, j'étais persuadée que c'était faux... Je n'imaginais pas laisser sans regret cet «amour» et me replonger dans l'ancien, avec une sorte de délectation morbide.
- D'accord, je vois le pourquoi. C'est sûrement une partie de la vérité. Trouve les autres morceaux maintenant.
- A quoi cela me servirait-il ?
- A comprendre.
- Mais est-ce que comprendre me libérerait ?
- Je l'ignore, c'est vrai. Cependant, tu n'as pas répondu : qu'est-ce qui te fascine ainsi ?
- Je crois que je veux encore croire en lui. Je n'ai probablement pas vu la réalité d'assez près.
- Mais pourtant, la vérité, tu la connais.
- Je n'arrive pas à y croire... Tu crois que c'est de l'amour ? On raconte que l'amour rend aveugle.
- Je crois surtout que c'est de la bêtise. Et encore, je suis gentille. Rappelle-moi un truc : tu m'as bien dit que tu savais comment faire pour ne pas t'enfermer dans ton délire ? Alors, qu'est-ce que tu attends pour te secouer ?
- Eh bien, c'est dur. Je sais le faire mais c'est un effort constant. Ce n'est pas normal. Je sais faire, oui. Je sais faire semblant d'avoir réglé le problème. Je sais, au prix d'un effort, me tenir à distance, faire comme si, m'occuper de ce qui doit être fait, de ce qui est plus important pour moi, de ce qui m'intéresse... Mais lorsque je me pause, lorsque je me repose, lorsque je relâche mon attention : ça revient, la détresse en moins, mais c'est là ; obsédant.
Ce n'est pas normal : si le problème était vraiment réglé, je n'y penserais même plus.
Quelque chose m'échappe.
Oui, bien sûr je connais la solution. Enfin, j'ai un semblant de remède et je vais de nouveau l'appliquer. Sauf qu'en fait, il ne règle rien.
Et en ce moment je fais tout, tout sauf ce qu'il conviendrait de faire.
J'accumule les conneries. Je finirai bien par me lasser.
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Le monde s'est effondré. Incompréhension, stupeur, sidération. Souviens-toi, ce désespoir immense.
Jetée dans les sables émouvants, à te débattre, à t'enfoncer, toujours plus.
Souviens-toi, cette branche attrapée, tendue par la main de... que tenait la main Divine,
Te renvoyant vers le néant. La châtiment céleste, s'abattant. Souviens-toi, lorsque tu implorais,
lorsque tu priais Sa clémence. Rappelle-toi encore Sa colère, impitoyable, lorsqu'Il était,
le centre de ton monde.
Rappelle-toi aussi : tu t'es relevée et tu as fait front, courageusement.
N'oublie pas : c'était injuste.
N'oublie pas : tu l'as regardé et tu Lui as dit.
N'oublie pas : Tu avais Ton avis, et Tu l'as fait valoir.
Souviens-toi : Une seule chose tu Lui aurais refusé.
Souviens-toi : Il le savait, l'humiliation réelle Tu refusais.
Et il T'a fait ramper. Et il jubilait. Et il a appuyé là où ça faisait mal, affirmant que c'était Ta faute et que tu l'y obligeais.
Souviens-toi : ne parvenant à Te briser, Il a utilisé : et ta détresse et ta solitude et les difficultés que tu traversais.
Souviens-toi qu'Il savait combien tu avais besoin de Lui. Souviens-toi qu'il n'a pas hésité à Te lâcher, avec brutalité.
Souviens-toi aussi, surtout, d'une soirée, où, derrière ton ordinateur, alors que ton enfant était près de Toi, Alors qu'il était nécessaire que tu passe ce temps auprès de Ton enfant, alors qu'Il le savait - souviens-Toi bien - alors que tu Lui avais demandé, que tu Lui avais dit et répété, que Tu devais y aller, souviens-toi qu'Il t'a refusé cette simple parole : «Vas-y, nous réglerons cela plus tard.»
Et tu es restée, aussi longtemps qu'Il l'a voulu.
Tout cela pour te faire jeter comme une merde...
Ce soir là ? Un autre ?
Le soir de ce plan «virtuel» qu'il a fait, pour te démonter. A deux il s'y sont mis... C'était juste immonde et dégueulasse. Alors que tu l'aimais et n'a cessé de Lui dire. Quand bien même sa colère eut été justifiée, Rien, rien, ne Lui permettait d'agir de la sorte.
Où sont donc passés son Amour et Sa bienveillance ? Il t'a manipulée, il t'a poussé à agir de façon incohérente, Il t'a fait passer pour folle.
Et Jamais, Jamais, Il n'est venu Te demander pardon. Est-ce là, l'Homme que tu aimes ?
Oublie-le.
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Envie d'aimer. J'ai su pourtant. J'ai même aimé depuis toi. Et pourtant. J'y reviens. Lorsque je désire aimer. Lorsque je t'aperçois au tournant... Alors mes pensées vont vers toi. Tu restes l'objet de mon amour. Un amour fantasmé.
Il me reste à trouver une personne.
Quelqu'un que je puisse aimer.
Comme je t'ai aimé.
Pour t'oublier.
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Espérer une parole,
mais n'en rien espérer,
espérer mais fuir,
espérer mais savoir,
qu'il n'y a rien à espérer.
Et pourtant continuer.
Obsessionnelle.
Désir d'Amour.
Jouer avec le feu,
mais qu'attend-Il ?
Pour entrer dans la danse,
Il serait si simple de me dévoiler,
Il serait si simple de m'avancer,
vers le précipice,
vers le gouffre,
en toute conscience.
J'aime cet idiot,
Je ne l'aime pas,
Je joue.
Bon sang...
ne fait qu'un tour.
Mais qu'attend-Il ?
Pour prendre la main,
Il serait si simple,
Se pourrait-il
qu'il n'ait pas compris ?
Idiote que je suis.
Monomaniaque.
Je joue toute seule.
Je devrais...
Arfff, je l'aime.
Arfff, je ne l'aime pas.
Arfff.
Monomaniaque.
Oscessionnelle.
Probablement un peu maso.
Très cher,
donnez-Moi la main
Et dansons avec le feu.
Vade retro Satanas,
jouons ensemble.
Je Vous aime.
Je Vous déteste.
A quoi est-ce que je joue ?
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Pour chaque poison, il y a un antidote…
Parfois, le remède, se trouve dans le venin en lui-même.
Il est mon poison,
Mes souffrances,
Mes peurs,
Mes peines,
Il est mon antidote,
Ma raison d’être,
Mon réconfort,
Ma joie.
Il est tout à la fois,
La douleur du passé,
L’espoir du futur,
Les blessures et les doutes,
L’apaisement et la confiance.
Il est mon Maître
Mon ami,
Mon amant,
Mon compagnon.
Pour Lui, je ferais tout,
Donnerai ma vie,
Donnerai mon corps,
Donnerai mon être,
Parfois, c’est dans la douleur,
Que l’on se rend compte du Bonheur.
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« C’est depuis cette seconde que je vous ai aimé. Je sais que les femmes vous ont souvent dit ce mot, à vous leur enfant gâté. Mais croyez-moi, personne ne vous a aimé aussi fort – comme une esclave, comme un chienne –, avec autant de dévouement que cet être que j’étais...
Rien sur la terre ne ressemble à l’amour inaperçu d’une enfant retirée dans l’ombre ; cet amour est si désintéressé, si humble, si soumis, si attentif et si passionné que jamais il ne pourra être égalé par l’amour, fait de désir, et, malgré tout, exigeant, d’une soumise épanouie. »
Hydréane
Lettre d'une inconnue
Stefan Zweig
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Ma Reine…
C’est ainsi que j’aime nommer Lady Liliam : Ma Reine…
Ce n’est pas un simple « titre » mettant en évidence sa supériorité. C’est le fondement même de ma soumission à cette Femme extraordinaire.
Souvent, lorsque je m’exprime ici, j’ai le sentiment que mes mots n’ont pas la teneur et la portée que je souhaiterai qu’ils aient.
Alors, pour ceux qui seraient curieux de voir à travers le prisme de mon regard, voici comment je la perçois :
Il vous faudra tout d’abord faire un saut dans le temps et replonger près de 500 ans en arrière. En cette fin de moyen âge où chevalerie, loyauté, fidélité et abnégation prenaient tous leur sens.
Et entrer avec moi dans cette immense salle du trône où mon impératrice règne de toute sa magnificence.
Elle est cette Déesse inatteignable vers qui tous les regards et toutes les espérances convergent. Depuis que je suis en âge de penser, Elle est mon rêve, mon utopie.
Le simple fait d’être aujourd’hui présent, au milieu de cette foule me transporte de bonheur. Avoir simplement l’immense privilège de pouvoir la contempler, même perdu dans la masse et anonyme me transporte de bonheur.
Juste rêver qu’un jour peut-être, Elle posera son regard sur moi me semble un absolu…
Depuis toujours je me prépare, je m’entraine, je bâti ma vie et mon chemin pour être prêt à répondre à sa moindre demande. Et depuis toujours, j’attends. Patient, amoureux fou de ce rêve dont je sais qu’il faudrait un miracle pour qu’il devienne une réalité.
Je ne suis rien. Un chevalier noyé dans le flot des innombrables prétendants. Sans fortune, sans exploit pour me distinguer, sans rien d’autre que ma volonté farouche et inébranlable de la servir et de la rendre heureuse. Même si Elle ne devait jamais rien en savoir. Même si Elle ne devait jamais me connaître… Trop conscient de ne pouvoir jamais être digne d’Elle. Trop conscient de toutes mes faiblesses que ma naïve dévotion ne saurait compenser.
Et puis…
Et puis un jour, ma Reine pose son regard sur moi.
Comment Vous dire l’extraordinaire de l’instant ! Pas un mot, juste un regard ! Mais qui me dis que j’existe dans son univers !
Et comment vous faire percevoir la puissance et la force qu’un tel regard insuffle en moi ? Je lui appartenais déjà dans le secret de mon âme, mais à compter de cette instant, je me sens capable de tous les exploits pour Elle !
Moi qui ne me sentais personne, je suis tout à coup investi de toute sa force, de toute sa puissance. Plus rien ne pourra me faire peur, plus rien ne pourra m’atteindre !
Je rêve maintenant de combattre pour Elle ! De me surpasser pour Elle ! Elle m’offre par se regard un but, un sens à ma vie.
Et a se regard, s’ajouteront des mots. De sa douce voix s’adressant à moi. Me désignant une route, un chemin à parcourir pour gagner sa confiance.
Alors je vais me jeter à corps perdu dans cette quête. Fou de l’espoir insensé d’un jour peut être gagné son cœur.
Je vais poser à ces pieds tout ce que je suis. Lui offrir tout le courage et toute la volonté dont je dispose.
Jusqu’à ce premier baiser…
Vous pouvez maintenant revenir dans notre monde. Vous pouvez laisser de cotés « armures » et « chevalerie ». Regarder ce que j’écris, ce que je vis grâce à Elle avec le regard des mythes et des codes du BDSM.
Je n’en reste pas moins ce chevalier éperdu de reconnaissance, d’amour, de dévotion et d’admiration pour ma Reine…
Parce que « Ma REINE » elle demeurera toujours… Avec l’extraordinaire puissance que ce titre à pour moi….
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Mademoiselle a des envies bestiales. Mademoiselle a faim de lui. Mademoiselle aimerait faire de lui sa chose… Trop d’envies la submergent, d’un seul coup. Ils sont nus et à moitié allongés l’un sur l’autre.
« Tu te mettrais, doucement, à genoux entre mes cuisses ouvertes. Je te regarderai avec un sourire franc et plutôt carnassier. L’air de dire « je ne vais faire qu’une bouchée de toi »… Je te voudrais fier de commencer à t’offrir ainsi. Je te voudrais docile et confiant. »
Mademoiselle est pieds-nus. Elle caresse très innocemment, du bout de ses doigts de pied, sa jambe. Elle s’amuse à jouer avec ses poils. Remonte son peton lentement et le redescend, d’un long, cyclique et presque hypnotique mouvement de va-et-vient.
« Tu avancerais ta tête au plus près de ma culotte... Blanche. Ma culotte serait blanche. Ton nez serait collé à cette dernière. Tu n’aurais pas d’autre choix que de respirer mon odeur et de sentir à quel point tu m’excites. »
Mademoiselle, de ses bras, se hisse et s’allonge sur son corps nu. Plonge son regard dans le sien. Pose sa bouche juste au-dessus de ses lèvres, sans les toucher.
« Tu imagines que ma culotte serait trempée, par ta faute. Il faudrait donc que tu la nettoies. Avec ta langue. Je la retirerai et je commencerai à appliquer ma cyprine sur ta bouche, la rendant luisante et brillante. Je n’aurais qu’une seule envie : celle de t’embrasser. Mais une seule chose à la fois… »
Mademoiselle entoure son cou de ses bras et approche sa bouche de sa joue droite. Ses lèvres viennent se poser au creux de son oreille et murmurent :
« Quand ma culotte sera à nouveau toute propre, je te demanderai de te mettre debout, face à moi, de poser tes mains sur le mur et d’écarter tes cuisses. Il faudra que tu t’exécutes vite et bien. Je me saisirai de ma culotte et… »
Mademoiselle pose alors ses lèvres sur sa bouche et y fait pénétrer sa langue en forçant légèrement le passage. Elle frotte son bas-ventre au sien.
Monsieur bande.
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Trop souvent il m est arrivé d être traversé de ce sentiment de lassitude qu 'on éprouve ,y compris à l égard d'une personne chére à mon cœur, en se livrant à une activité sexuelle frénétique ou espacée.l 'usure des sens y' a sans doute sa part mais pas seulement...comme si l ´acte de fornication ne conduisait à rien de plus que ce qu il est, passé les premiers mois de découverte du territoire du corps de l ´" autre".comme s il n apportait pas un + aux deux amants.
L ' encordèrement, par un mécanisme d'ordre quasi surnaturel, par un basculement des rapports liant un couple, provoque cette magie d'unir dans une intensité sans cesse renouvelée, deux esprits et deux corps tendus, écartelés, sublimés, dans une douleur voulue aussi comme espoir d'une jouissance unique sans cesse renouvelée....cordes visiblestraçant des fils invisibles reliant à jamais deux esprits dans une complicité secrète presque psychanalytique et muette de fantasmes inavoués de passions inassouvies de bestialité réfrénée de peurs et de conformismes libérés par ....cette corde même symbole de soumission apparente..mais libératrice.
Montre moi ton attachement......attaches moi! Oui de toute ma concentration : je t attache!
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Aujourd'hui j'ai pris ma matinée sans le prévenir alors qu'il a pris un jour de repos.
Il était étonné de me voir revenir alors qu'il était tout tranquillement installé devant son ordinateur.
Je lui ai ordonné d'aller se laver bien en profondeur et de revenir habillé en pute. Il a raâé mais il s'est exécuté Smile
Je lui ais mis son collier cadenassé et j'ai gardé la clé avec moi pour la journée (= pas de sortie pour lui aujourd'hui Smile
Je lui ai parlé comme on parle à une merde, je l'ai corrigé à la cravache et je l'ai longuement enculé, en lui faisant dire à voix bien haute qu'il était une grosse salope qui aimait se faire enculer par des grosses bites bien dures, ce qui est vrai :D
Au moment de partir à mon travail, ma salope m'a accompagnée jusqu'à la porte de l'appart et quand j'ai ouvert, la lumière du palier était allumée! Quelqu'un est donc venu d'un autre étage et a allumé car il n'y a que nous sur notre palier. Peut-être à cause du bruit produit par les claques et la cravache? Alors cette personne aurait entendu ma pute dire ce qu'elle était sous mes coups de gros sextoy?... Inquiétant pour lui... mais terriblement excitant pour moi.
Bref, je l'ai insulté et giflé en lui ordonnant de faire le ménage à fond pour son jour de repos et en se godant fréquemment (photos à l'appui) et avec interdiction de toucher à mon toy (sa queue).
Il a toutefois le droit de jouir mais uniquement par le cul (et oui ça lui arrive :D) mais avec ordre de se filmer jusqu'au moment où il laperait son foutre.
Je suis partie au travail Smile
Vivement ce soir qu'il me serve de gode et me donne du plaisir...
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Tu es entrée dans ma vie, au moment où je ne m'y attendais pas...
Des envies qui se croisent et se rejoignent.
Entre nous la franchise, rien de dissimulé ou de caché.
Même pas les échéances inévitables que nous connaissons.
Cette même perception du BDSM qui nous permet de vivre une relation si profonde et si complice.
Tes mails m'ont touché ainsi que tes textes quand tu y mets dedans de la poésie. J'ai beaucoup aimé ta manière de te confier, de livrer tes émotions, de faire ressentir tes sentiments comme jamais encore, je n'avais pas pu entrevoir.
Ces échanges font partie de notre corrélation et de la découverte pas à pas.
Il est rare de rencontrer des soumises qui soient aussi inspirées dans l'écriture. Non seulement tu écris très bien, mais tu exprimes tes désirs que j'ai pu satisfaire ou non en fonction des miens, ainsi que tes émotions et cela m'a aidé pour te faire progresser, te révéler.
Au début, j'ai deviné en toi beaucoup de craintes ou de peur, puis tu t'es sentie à l'aise, rassurée, confiante et tu t'es abandonnée.
Je t'ai découverte, spontanée, respectueuse et obéissante, prête à endurer tous les sévices qu'il me fut satisfait de t'infliger, libre d'y exprimer ta douleur en les acceptant jusqu'au bout.
Tes beaux yeux bleus et ton joli sourire, font que je les garde gravé en moi.
Ta soumission, ton dévouement, ton corps offert, prêt à subir et à se donner, comment oublier ?
Notre entente faite de sincérité, de complicité et de respect ne pouvait que nous amenez à ouvrir nos coeurs.
Tu es une personne exceptionnelle et unique et bien que l'échéance de mars soit arrivée, tu restes à jamais ma seule, unique et dernière soumise dans le profond respect de notre relation.
Quatre ans passés ensemble dans cette complicité, cette évidence et le lien fort Maître/soumise.
Pendant toute cette période tu as été mon soleil, celle qui m'apportait à la fois écoute, compréhension et plaisir. Nous n'avons eu que de bons moments, nous avons découvert ensemble des lieux passionnants, des personnes, vécu de très belles et fortes émotions. Nous restons liés et c'est très important.
Une page se tourne, une nouvelle relation commence, sur des bases différentes, mais pourquoi serait elle moins belle que la précédente ?
Sache que tu as énormément compté pour moi et que notre relation reste sincère et solide.
28 avril 2014
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