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Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Suite de ma nouvelle Tiraillement.
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue, j'étais prise par les démons de mon passé.
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J’étais là enchainée à l’attendre. A attendre qu’il s’occupe de moi, à attendre ses doigts sur ma peau, à sentir sa bouche gourmande, à attendre le son de sa voix.. à attendre sa présence.
Sa punition a été à la hauteur de mon insolence. Il savait me remettre à ma place et j’aimais cela. J’aimais cette force qu’il avait à gérer toute situation, à me sentir protégée.
Quel si doux sentiment que de pouvoir s’en remettre à quelqu’un. La vie est si difficile à devoir tout gérer. Mon intelligence émotionnelle est ma force. Quand il a su par ses actes me montrer ce qu’il était je savais que je pouvais m’abandonner complètement une personne saine, équilibrée.
J’avais fait quelques rencontres avec des personnes ne me convenant pas ou d’autres malsaines qui cachaient bien leur jeu. Mais lui.. c’était dans sa nature, son intelligence et son éducation. Il était bienveillant.
Allongée sur le lit je soupirais. IL entra. Je faisais mine de dormir.
Je sentis sa main passée sur mes cheveux. Il me frôlait avec la pulpe de ses doigts.. Doucement il descendait sur mon cou. Je commençais à faire entendre le plaisir de cette caresse. IL continuait sa route sur mon flanc. Quand il arriva sur mes fesses il les pris de pleine main.
- A moi…
Je ne disais aucun mot. Je savourais ce moment. Mon cœur battait si fort.
Il embrassa alors en même temps mes fesses.
Il se plaça face au lit et pris en main mes chevilles. Il ota ma chaine qui me liait au lit dont il avait la clé. IL me tira alors à lui.
Je me cambrai. Il mit alors sa main sur ma bouche.
- Maintenant, tu vas me demander pardon me chuchota t il à l’oreille.
- Ta bouche a dit tellement de vilaines choses qu’elle va me montrer comment elle sait se faire pardonner.
Il prit alors mon visage entre sa main et me força à le regarder. Il était très sévère à ce moment là.
- Tu as compris petite chienne.
Mon visage avait dû traduire l’émoi qu’il me provoquait. Je hochais de la tête pour dire.. oui
- C’est bien, dit il en appuyant sa main sur mon visage.
- Allez a mes pieds.
Je descendais alors du lit pour me mettre à ses pieds. Je lui tenais la jambe en le regardant de manière imploreuse. Il me fit marcher à ses côtés jusqu’au salon.
- Au pied.
Il avait préparé sur la table quelques douceurs. Je mourrais de faim. Je le regardais en souriant.
Il me gifla.
- Qui t’a permis de sourire ! tu souris alors que tu es une vilaine chienne. Tu ne mérites même pas que je te donne à manger.
- Pardon, Monsieur. Je suis désolée.
Je baissais alors le regard.
- Expose moi ton cul.
Il s’était assis sur son canapé. Il tenait alors un verre de vin dans sa main.
- Quelle belle posture de petite chienne… Quelle œuvre d'art tu es.
Il passait sa main sur ma croupe. C’est là que je sentis quelque chose de métallique sur mon anus.
Sans aucune préparation il posa cette boule pour insister à le faire entrer dans mon fion.
- Chut.. regarde ma belle. Ca rentre doucement.. tout doucement… Hum…
Il posa son verre sur la table. Avec douceur il me caressait les cheveux. Il prit la brosse à cheveux qu’il avait visiblement préparé . Il m’attacha les cheveux.
- Vois tu, dans mon indulgence, je vais te donner à manger. Mais comme tu manques de réelle éducation, je suis obligé de bien ajuster ta posture.
- Voilà.. parfait.
Il tira alors sur la corde pour m’enfoncer au mieux la boule.
- Allez retourne toi.
Je marchais à quatre pattes pour me retourner. Ma tête était dressée hautement. Je ne pouvais la baisser sans que je m’étrangle.
- En voilà une belle chienne dit il en vérifiant encore son installation.
Il prit mon menton dans sa main.
- Ouvre ta bouche et sors ta petite langue.
Il me tendait alors la cuillère. JE devinais ce qu’il avait préparé un bon risotto aux champignons.
- Allez viens chercher…
- Non non reste à ta place.
J’allongeais alors ma tête appliquant moi-même la torture à mon petit anus.
- Voilà c’est bien…
- Allez encore.
- Hum.. mais quelle bonne petite chienne toute sage.
- Merci… Monsieur.
- De rien petite chienne.
Il m’offrait également un doux verre de vin. Sa clémence présageait une soirée des plus délicieuses. Quoi que.. sa douceur était comme le velours mais cachait une main de fer.
Il s’était avancé sur le canapé. Il se levait. Ma tête était alors a hauteur de ses cuisses. Il ôta sa ceinture en cuir.
- Sens son odeur ma belle… Sens l’odeur de la punition qui va s’abattre sur ton cul de salope.
Je trésaillais. Je sentis le premier coup s’abattre.
- Merci.. Monsieur…
Un second.. un troisième..
- Merci Monsieur.
- Je te l’ai dit la peau pale n’est pas admise sur un cul.
Il prenait un plaisir à me faire rougir tout en calmant le feu. Je me devais de rester stoïque. Parfois son assaut était si cinglant que je baissais la tête, me rappelant aussitôt de me remettre en position.
Puis il se rassit. Il me passa sa ceinture autours du cou pour me maintenir.
- Tu vois je suis obligée de te tenir bien serrée.. si tu avais été sage…
Oui si j’avais été sage, il ne me punirait pas.. mais j’adorais ça qu’il me punisse.
Il defit son pantalon et ôta également son calençon.
Il se rassit.
- Allez viens la sentir.
Il me faisait alors sentir sa queue. J’ouvrais alors ma bouche.
- Non, non .. renifle !
Puis sans aucun ménagement il l’enfonça dans ma bouche. Il me tenait par la queue de cheval. Naturellement je me redressais. Il mit alors sa main sous la gorge. Il commença a me baiser la bouche.
Il ne se retenait plus. IL ne me laissait aucun répit. Il me besognait tant que j’en bavais. Puis quand il appuya de ses deux mains sur ma tête il me força à la garder en bouche.
- Hum quelle salope…
- Tiens…. Tiens..
Je n’étais plus que son petit trou à bites. Il me faisait faire des va et vient si rapide avec ma tête pour avoir la cadence qu’il souhaitait. J’étais sa bouche à masturbation. Puis encore une fois il me la mit dans ma bouche pour la garder.
Il tira alors sur la corde de mon crochet. Il me caressait la tête en même temps.
- Allez sage… tout doux..
Je bavais et je voulais qu’il cesse cette douce torture. C’est là qu’il enfonça encore plus sa queue dans ma gorge. J’avais envie de vomir. Je commençais à tousser. IL se retira.
Il me tapa sur chaque joue.. et repris possession de ma bouche. De nouveau avec cette frénésie il appuya ma tête contre lui pour me baiser fortement comme il baise ma chatte ou mon cul.
- Bonne chiennasse ! quel trou à bites..
Il replaca sa main sous ma gorge.
- Mais comme tu baves petite chienne.
Là doucement il entrait sa queue jusqu’au bout me faisant encore presque vomir puis la ressortait.
- Hum regarde comme tu la prends bien..
Une fois encore au fond, il me pinca alors le nez tout en tenant ma tête. Doucement j’avais qu’une envie c’est respirer. Je me dandinais pour me défaire de cette emprise, pour juste respirer.
- Voilà respire !
Il s’amusa à me gifler avec sa queue.
Il me redressa et se leva. Ma tête était penchée en arrière.
Il passa alors derrière moi et me donna des coups de pieds leger dans les fesses.
- Alors tu ne remercies même pas ton Maître de te faire gouter à sa queue.
C’est là qu’il tira à nouveau sur la corde.
- Petite pute ingrate.
- Pardon.. Monsieur.. je..
- Ta gueule.
Il saisit alors un écarteur et le mit dans ma bouche.
- Je ne te demande même pas de répondre. Juste d’être un trois trous à baiser.
Il me banda les yeux.
Il me redressa. Ma position était des plus inconfortables pour marcher ainsi. Il me guidait.
Sans ménagement il me jeta, ventre contre le lit.
Il saisit sangla mes bras ensemble puis m’attacha les mains.
Il prit possession de la ceinture et serra bien fortement. Il me prit alors par la chatte.
- Tiens petite pute.
Il me redressait en me tenant par la ceinture. Je ne pouvais rien faire si ce n’est que subir ses assauts.
Il relacha la pression sur la ceinture et mis ses mains sur mon dos. Ma tête était maintenue droite, bien ouverte et baveuse.
- Regarde toi ! il te manque juste encore une bite pour te prendre par la bouche. Ta chatte est si trempée… quel bonheur… Tu baves encore de partout petite pute.
Il me chevauchait, encore et encore. Il s’amusait alors la corde.
Il se retira à nouveau et me claqua les fesses
- Hummm brave chienne.
Il me leva la tête et y plaça sa queue…
Ma mâchoire était un peu douleureuse.
- Un bon trou sans dent.. c’est parfait. En plus tu fermes en même temps ta gueule de pute.
Il baisait encore et encore ne me laissant aucun repis.
Quand il eu finit de me besogner, il ota la corde attachée à mes cheveux et retira le crochet anal.
Il me releva par la queue de cheval puis me jeta sur le sol.
- Allez présente moi ton fion mieux que ça. Je ne devrais même pas à avoir à te le dire.
Je mis alors ma tête au sol tout en relevant mon postérieur. Il faisait le tour de moi. Il mis ses orteils dans ma bouche.
- Tiens lèche…
Je ne pouvais même pas râler ni protester, ni même bouger. Mes contraintes était si bien faites que je ne pouvais faire qu’obéir.
Il s’amusa encore à me donner des coups de pieds sur le cul . Il s’assit. Il passa alors son pied sur ma chatte et mon fion.
- Je vois que ton petit cul est déjà ouvert.
Il me pris par les bras et le leva à nouveau. Dressée droite face à lui il retira mon écarteur bucal.
- Merci.. Monsieur.
Il me retourna contre lui et serra la ceinture tout en maintenant sa main sur ma bouche.
- Je vais te casser le fion. Je ne veux pas t’entendre. Compris.
- Remonte bien ton cul de chienne.
Il se positionna. Les pieds de chaque coté me tournant le dos.
Il écarta mes fesses et y planta son dard. Il était presque assis sur moi. Cette position était terrible. Je le sentais terriblement me prendre.
Il me tenait les fesses bien écartées.
- Hum tu es légèrement serrée.
Il prenait son temps dans cette position à faire des allers et venues.
Il se retourna. Il mit un pied sur mon cou et me sodomisa cette fois ci avec force.
Il ne me laissait aucune seconde. Il me tringlait si fortement.
Il se retira. Tout en écartant encore mes fesses.
- Oh.. ce trou..
- Demande moi de t’enculer.
- Monsieur, je vous en prie, enculez moi.
- Dis moi que tu es une bonne chienne
- Monsieur, je suis votre petite chienne. Je vous en prie prenez moi encore par tous les trous.
- Oh oui petite pute..
- iens prends ça salope de chienne.
Il me posa au sol. J’étais complètement allongée. Il ouvrit mes fesses et à nouveau me pilonna le fion.
Il me tenait par le cou me forçant à mettre ma tête en arrière. Il pouvait me la mettre ainsi plus profond.
Je couinais.
- Ta gueule !
Ses coups étaient si fort.. je ne pouvais m’en empêcher.
Il me prit alors la gueule avec ses mains et pilonna, encore et encore.
- Oh mais regarde moi ça…
Il regardait mon fion restant ouvert après son passage.
Il me tira à nouveau par la queue de cheval.
- Alors petite effrontée.
- Tu aimes ta punition ?
Je ne savais que répondre il me faisait passer par tant de sensations. Entre douleurs et plaisirs. Il se saisit alors de ma gueule.
- Alors.. ?
Il me gifla..
- Petite catin dévergondée.
Je souriais.. il me gifla à nouveau.
Il me jeta sur le lit. Il me releva les cuisses et m’attacha les mains derrière elle.
- En voilà un petit cul à disposition.
Il inséra 3 doigts dans mon petit cul et tourna encore et encore.
- Je pense qu’un jour je pourrais peut être me masturber dans ton cul de salope.
Je frémissais à cette idée. Mais je savais que dans sa bouche ce n’était que pour me faire mouiller davantage.Il me sodomisa encore et cette fois, il ecartela ma chatte.
- Gourmande. Tu aimes ?
- Oui Monsieur.. j’aime quand vous me fourrez par le fion et la chatte.
- Prise par le cul et fistée par le chatte.. hummm.. voilà ce qu’il te faudrait.. ne t’en fait pas on va faire de toi la meilleure des salopes pour y arriver.
Il éjacula sur ma petite chatte. Il défit alors mes liens.
- Ecarte ta chatte.
- Humm , tu es si dégouillinante.. ta mouille, mon sperme.
- Ramasse un peu de sperme avec tes doigts.
- Non.. je.. ne peux pas.. Monsieur.
- J’ai dit , ramasse du sperme avec tes doigts.
Il savait mon aversion pour le sperme. C’était lié à un traumatisme subi plus jeune. Au fil des années, j’avais réussi à chasser ces démons mais pas complètement. Il le savait. Il savait que c’était une de mes limites.
- Je te laisse deux choix.. soit tu le gouttes.. et tu en prends un peu… soit tu te caresses avec.
J’avais tellement envie de me dépasser, d’aller de l’avant..
Il s’était rapprochée de moi.
- Quoi que tu choisisses, sache que je suis fière de toi.
Je posais alors mes doigts sur mon sexe. Je sentais alors son sperme encore chaud sur le bout de mes doigts. Comme une enfant, j’en mis juste un peu sur mes doigts. Il me caressait alors la joue.
- Tu es si belle ma belle Nina.
Je portais alors mes doigts dans la bouche. L’odeur du sperme me donnait une envie de vomir. IL m’avait fallu tant d’années pour accepter d’en avoir sur moi et en moi. Là il me faisait franchir une étape.
Doucement je mis le sperme dans ma bouche tout en le regardant dans les yeux. IL me regardait avec tant de tendresse. Je léchais alors doucement mes doigts.
Je n’aurai pas pu faire plus mais c’était une victoire pour moi aussi petite soit elle car il y avait encore du chemin.
- Je suis très fière de tes progrès tu sais. Il me tenait par le menton et me prit contre son torse.
- Caresse toi maintenant.
Je sentais son souffle contre moi. J’aventurai mes mains vers mon clitoris. Je me caressais toujours avec ma main droite. J’avais besoin d’un stimuli pour cela.. sa voix… A chaque fois que je me caresse, j’ai besoin d’imagination être prise de manière si animale, si bestial.
J’aime entendre mon partenaire m’insulter. Cela n’est pas pour moi des insultes dans ce contexte là. C’est ma liberté d’être qui je suis. Pourquoi est ce que j’aime autant les mots crus. Peut être parce que lorsqu’on se regarde dans un miroir et si on se met à nu, on connait l’animal qui est en soi. On le libère, il se déchaine de pouvoir simplement être.
Il me parlait au creux de l’oreille ..
- Petite salope, tu aimes te caresser.. tu aimerais que pleins de mâles soient là à te regarder te branler.. Tu voudrais qu’ils te touchent partout, qu’ils te prennent par ta petite chatte de pute, par ton fion de salope.. et pendant ce temps , je te prendrais par la bouche tout en les regardant te baiser bien fort.. tu aimes ?
- Oh oui.. Monsieur..
- Tu aimes quen je fourre mes doigts dans ta petite chatte ou ton petit fion pour que je t’écartèle.
- Oh oui Monsieur j’adore tant ça..
- Que j’engouffre ma main dans ta chatte et que je te baise avec..
- Oh.. Monsieur.. encore.. encore..
- Que je commence ensuite à travailler ton petit cul,.. n’est ce pas sac à foutre ?
- Dis moi ce que tu es ?
- Je suis votre chienne Monsieur, votre putain..
- Et qu’ est ce qu’on fait au petite putain.
- On les éduque, on les baise..
- Oui on les baise car elle ne sont ..
Je sentais les spasmes venir..
- Elles ne sont bonnes qu’à ça.
Il sentait mes contractions. Il mit alors sa main sur ma bouche
- Allez jouis salope… jouis…
- Ma petite chienne, allez je t’ordonne de jouir comme une bonne putain.
Il me maintenant fermement. Les spasmes étaient si intenses.
Il enleva la pression de sa main. Doucement une larme coula… je pleurais de plaisir.
- Tu es merveilleuse. J’aime te voir prendre ton plaisir. Tu es comme un ange. Je te vois t’envoler pour m’échapper quand tu t’abandonnes ainsi. J’aime te voir retomber et te retenir dans mes bras..
Je me lovais alors contre lui.
- Merci à vous .. de me permettre d’être…
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Charlotte était allongée près de moi et je ne pouvais penser à meilleure occupation
que de la dévorer des yeux. Le soleil du matin qui entrait par raies obliques entre les
lamelles du store rehaussait le brun luisant de son corps. Elle était assoupie sur le
ventre; le haut de ses bras étirés au dessus de sa tête était bronzé et ses aisselles
blanches. Je glissai un doigt sur la courbe sinueuse de son dos et sa peau satinée
se couvra d'un frisson. Elle était grande et très brune. Une femme idéalement belle.
Bientôt, mon regard s'attarda sur ses cuisses écartées et immanquablement, une
tension sourde s'empara de moi. La mer et le soleil l'avaient déjà dorée davantage.
Ses cheveux, ses sourcils, et ses reins semblaient poudrés d'or, et comme elle
n'était pas maquillée, sa bouche était du même rose que la chair rose au creux de
son ventre. De mes lèvres, je léchai sa peau en dessinant ses omoplates avant de
laisser glisser le majeur jusqu'au creux de ses reins. Je frôlai l'oeillet secret qui déjà
cèdait aux effleurements. Fugacement, la tension se relâcha, les chairs se distendirent,
pour se raffermir aussitôt, comme brusquées.
Mes doigts contournaient les formes plissées qui sertissaient l'anus. Ils lissèrent les veinules lentement, les unes
après les autres, consciencieusement. Je la vis qui aprouva d'un mouvement de reins, une cambrure pour l'instant
étudiée, maîtrisée. Rien du domaine de l'abandon. Ils se confinaient encore dans la séduction. Ou en tout cas,
le crut-elle. L'amante ne trichait pas. Elle était. Sexuelle. Mais je l'imaginai elle, bien trop jeune pour le savoir.
Bientôt l'anus ne se défendit plus. Il rougit en acceptant, s'humidifia, larmoya une liqueur d'acquiescement, frémit au
moindre toucher et enfin sursauta. Je ressentis la naissance d'une jouissance s'inscrire dans les va-et-vient de ce
ce trou qui appellait. La sève s'écoula et lubrifia l'orifice pour permettre le passage. Voilà, elle ne joue plus, elle le sait;
elle peut maintenant tout imposer, froidement, à ce corps qui ordonnait l'intromission. Je supposais qu'elle aimerait être
capable de hurler les mots et les actes qu'elle attendait.
- Un doigt. Enfonce. Juste là. Non pas si vite. Ressors. Reviens lentement. Un doigt. Au bord. Juste un peu plus loin
que l'extrémité. Arrête lorsque tu sens ton doigt happé. Là. Oui. Voilà. Pas plus loin. Elle marqua un temps parce
que le plaisir surgit, intense. Je l'entendis s'essoufler.
- Caresse l'intérieur du pourtour comme si tu voulais dessiner un cercle. Elle mouilla ses lèvres, en prononçant
ces mots.
- Ressors maintenant et ose deux doigts. Doucement. Non. Laisse-le t'accepter, pourquoi forcer ?
Elle se rembrunit, chercha à dégager son visage d'entre les draps. L'amante s'irritait parce qu'elle ne supportait pas
l'affront d'un quelconque échec. Elle savait. Elle voulait savoir, ne rien apprendre de sa partenaire.
La douleur vive s'était évanouie alors je la vis qui hésitait: devait-elle reprendre le fil de ses paroles sussurées ?
Allait-t-elle l'accepter ? Elle désirait de la faire oser pour elle, pour qu'elle puisse dérouler le fantasme d'une femme.
Une femme objet. Bien sûr, il est à craindre que pour une autre, cela ne se passerait pas comme cela.
Elle se tairait. Mais Juliette la voulait obscène, pour mieux la prêter. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses doigts.
Elle reprit:
- Enfonce le doigt et viens forcer l'anneau en faisant rouler l'index sur le majeur. Oui. Comme ça. Doucement.
Sens-tu ? Il s'ouvre.
Il courtisait ses hôtes, il les choyait, savoureusement. Le giclement séminal accompagna les mots venus se fracasser
comme une éclaboussure. Le coeur s'était déplaçé au fondement du corps. Il battit, se contracta et se rétracta comme
l'aorte qui donne vie. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux.
Je sentais la jouissance envahir Charlotte peu à peu. Le désir brûlait, et retombait, suspendu à la prochaine salve.
L'amante fut à cet instant forcément animale. Elle exigea tout, tout de suite. Elle écarta les doigts et en introduisit
subrepticement un troisième. Là, la femme soumise s'attenda à ce qu'elle eut exigé un quatrième puis un cinquième.
Elle se trompait. Mesurait-t-elle seulement combien, elle se trompait ? L'amante est toujours dans la force.
La prouesse n'est bien souvent qu'un détail. Elle l'empala d'un mouvement violent pour se caler en terrain conquis,
profondément. Le cri résonna en écho venant lécher les parois d'une chambre que l'on imaginait forcément sombre.
Les murs étaient d'un blanc clinique; un matelas flanqué à même le sol pliait sous les corps nus, brunis par le
soleil, soudés et parfaitement imberbes.
Maintenant, elle allait supplier.
- Oui. Enfonce encore. Plus. Je voudrais tout. Non, tout. La main, le poignet, le bras. J'aimerais connaître cela.
Les chairs résistèrent, se plaignirent, s'insurgèrent puis craquèrent, obéissantes. Elle desserra les dents
de son index meurtri, bleui par la morsure. La jouissance sourde venait de loin, d'un tréfonds dont elle ne
soupçonnait pas l'existence. Elle hurla. Qu'elle voulait le poignet. Qu'elle voulait plus encore. Qu'elle irait le
chercher, elle même si Juliette ne cèdait pas. Je vis la fureur s'emparer du corps, et le vriller, l'hystérie libérer
toute l'énergie de l'organisme. D'un mouvement brusque, le poignet venait d'écarteler ses reins, elle avait joui.
Elle était suppliciée, anéantie mais extasiée, épanouie et heureuse.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Juliette dirigeait la galerie "Obadia" à Paris, consacrée aux seules œuvres de son mari,
l'illustre Xavier Obadia. Il avait su flairer la demande, saisir l'air du temps, anticiper la
tendance; son entregent et son goût des mondanité enrubannées l'avaient intronisé
peintre idéal et à la mode. Il gagnait beaucoup d'argent, en dépensait plus encore,
suffisamment intelligent pour s'avouer l'éphèmère de la gloire et savourer les aubaines
de cette notoriété de circonstance. Lorsque Juliette l'avait épousé, dix ans plus tôt, elle
s'en rappelait une insolence ébouriffée, un regard fièvreux, une naïve ambition au
charme inattendu. Leur amour échappait aux conventions. Il était silence, patience
et observation. Il était une couleur particulière, de celles que son pinceau traquait.
Ses infidélités permanentes, et pas du tout discrètes, Juliette les étudiait par le regard
de l'artiste. Leur maison s'émouvait du passage d'éphèbes graciles, d'étranges vestales,
de rieuses ingénues, de corps fébriles du plaisir à venir. Son corps n'en était pas laisé.
Xavier jouait en virtuose de l'alphabet de ses sens. Et Juliette retenait longtemps la
fièvre lancinante de ses reins, de sa vulve et de son ventre, les couleurs de la femme,
comme elle les appelait.
Ce soir, Juliette était trop lasse. Elle prétexta une indisposition et s'épargna la vingtième réception de la
semaine, ballets d'entrechats indispensables à la carrière de son mari. Elle décida de flâner dans Paris.
Elle quitta le quartier des Halles et ses vitrines serties de vieille pierre. Elle remonta vers le sixième
arrondissement, traversa les boulevards animés et factices de l'habillement bon marché. Bientôt ses pas
la guidèrent place Saint Sulpice. Devant une galerie, elle s'arrêta, agressée par une toile, une charge
injurieuse en ce lieu. Un couple était représenté, nu, très flou, et leurs reins, leurs jambes, indiciblement
liés, si amoureusement mêlés, impossible à attribuer. Ils étaient la fusion, leurs miracle d'amour. Ce n'était
plus l'ennui qui oppressait Juliette, mais la beauté, la vérité étalée. Sa courageuse indécence. La lucidité du
trait appurait les couleurs, servait comme si elle l'avait rêvé l'irisé, le sombre et le lumineux de chaque ton,
la gamme des sentiments.
- Ça vous plait ?
Une voix féminine, retenue, aux inflexions inquiètes. Juliette posa le visage sur le son; une jeune fille dans les
vingt ans, des cheveux blonds, étonnaments courts, des yeux dilués d'être si bleus. C'était Jean Seberg dans
"À bout de souffle" vendant le Herald Tribune sur les Champs-Élysées. La passivité de Juliette s'évanouit devant
cette fragile silhouette génitrice d'un monstrueux talent. Immédiatement, elle décida que Xavier ne l'aurait pas.
Cette fille serait à elle. Elle ne concéderait pas cette pureté-là.
- Vous vous appelez ? Je ne vois pas de nom sur cette toile.
La jeune fille sourit, s'excusa presque:
- Non, non ... je n'étais pas sure, je m'appelle Charlotte.
- Tu as un fabuleux talent, tu es le talent. Je t'emmène. Juliette s'illumina. Elle était née pour être prise en charge.
C'était inscrit. Elle était marquée du sceau de la servilité, d'une soumission juvénile et sauvage. Elle était le
contrepoint d'un flamboyant tyran. Celui que se découvrait Juliette. Elle trouva une chambre dans un hôtel coquet.
Elle rassura le réceptionniste, alarmé par le bric-à-brac et l'absence de bagages, en réglant une semaine d'avance.
La pièce était sobre, tendrement nimbée du soleil en fuite. Juliette prit le tableau, le posa en évidence sur une tablette,
tira les rideaux, s'installa sur le lit et affronta la toile.
- Déshabille-toi et rejoins-moi.
Charlotte s'agenouilla devant Juliette, déboutonna tranquillement ses vêtements, plus experte à ces maniements qu'au
rangement de ses outils. Ses cheveux courts frôlaient les cuisses hâlées et désirables de Juliette. Tout était évident. Elle
était maintenant allongée. Elle précisait l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. La caresse était légère presque
rêvée. Le réveil de Juliette était, lui, réel. Envahissant. Elle écoutait les lèvres de son sexe, l'émergence de sa pointe, la
moiteur en ses plis, les battements de sa matrice.Lorsque le feu innonda ses reins, que la jouissance s'avança, Juliette
se redressa brusquement, saisit le mince visage, le plaqua contre ses seins, affamés par cette nuit des temps abstinents.
Docile, Charlotte mordilla la pointe érigée du sein, la lècha de son souffle. Un orgasme la saisit par surprise. Elle était trop
attentive aux infimes sensations oubliées et rameutées pour anticiper la vague qui la submergeait. Bientôt, elle se cambra
rageusement, cria ses silences amassés, colla ses mains sur sa vulve. Les eaux débordèrent, elle les recueillit. L'orage
s'apaisa. Elle se leva, alla vers les boîtes de peinture dispersées sur le sol. Elle en prit une, l'ouvrit et parcourut de ses
doigts mouillés les poudres que l'humidité délayait. Les mains badigeonnées de couleur, elle se tourna vers Charlotte.
Elle sillonna de ses doigts les courbes de la jeune fille, imprima de son miel teinté le chemin vers le plaisir. Charlotte était
barbouillée de jaune, de bleu, et de rouge. Sauf le délicat pubis, presque imberbe, tant le duvet était fin et doré. Ce n'était
plus Jean Seberg mais Jeanne Hébuterne, la compagne de Modigliani.
Juliette dessinait le corps de la jeune fille. Elle enlaçait la vulve d'évitements redoublés. Elle se redressa, le corps entier
était fêté de couleur. Charlotte gémissait, se tordait, réclamait une caresse plus appuyée, une accélération qui libérerait
cette jouissance insupportable d'imminence. Quand la soie fut nappée de sang, elle s'approcha du clitoris, en coloria le
bout, trophée de guerre ou d'amour. Le modèle pleurait ce plaisir douloureusement retenu, cet ouragan aliéné. Peinture
terminée, Juliette récompensa la toile humaine d'une profonde succion de la rose pyramide. Elle l'enserra de ses lèvres
assoiffées de jeunesse, savoura la madeleine de ces gouaches tants aimées jadis.
Charlotte fut foudroyée. Elle gicla au visage des flots de plaisir. Pour la soulager, l'exciter et la rejoindre à la fois, Juliette
se coucha sur elle, frotta ses chairs qui perdaient le désir à celles qui en poussaient les portes, mêla son duvet brun à la
mousse vénitienne d'une vie à peine croquée. Le vagin qui avait avalé une partie de sa main l’appella de nouveau. Elle
la pénètra, de sa langue, de ses doigts, suivant la respiration de son amante. Quittant ce lieu humide pour continuer le
chemin des délicieuses découvertes, non sans laisser son index au chaud, touchant enfin son but, le petit orifice.
- Qu’est ce que vous faites ? questionna Charlotte, la voix rauque et tremblante.
- Laisse toi faire, chérie.
La basculant sur le ventre en écartant son genou pour lui dispenser une caresse buccale. Juliette la lècha
consciencieusement. Passa et repassa sur l’anus qui se détendit peu à peu. Tourna, contourna et retourna.
Son doigt pénètra bientôt son intimité, jouant avec la pulpe de l’index contre son petit anneau. L'orgasme
était à nouveau proche, d'enfler son ventre elle croyait pénétrer la jeune fille. Leur friction frénétique l'armait
d'une verge spirituelle et lui ouvrait un sombre royaume. Elle colla ses mains sous les fesses de Charlotte
pour la fouiller encore plus loin, pour l'empêcher de se dérober à l'extase qui les unirait.
Leurs cris moururent en un baiser de leurs bouches, un baiser sauvage et cannibale, brutal et dévorant
comme la secousse qui les avaient basculées. Un baiser qui ne conciliait pas mais exacerbait encore chaque
projectile d'orgasme. Juliette roula à coté de la jeune fille, rassemblant ses sensations après cette confusion.
La tête en arrière, perdue dans la symphonie des sens, elle leva les paupières. Le tableau l'attendait. C'étaient
elles sur la toile. L'imbrication des sexes et des jambes, c'étaient leur chahut renversé. Le nouage animal des
jouissances, la guerre des bustes, leur haine révoltée crachaient sa répulsion soudaine. La sienne pour la
jeune fille. Juliette pressa l'oreiller sur le visage de Charlotte, solidement aggrippée aux montants du lit.
Les élans s'espacèrent. Quelques spasmes l'agitèrent encore. Et tout devint calme. Comme avant. Elles
s'endormirent. Quand elles ouvrirent les yeux, la nuit était installée sur la ville. Elle écarta les rideaux, saluée par
une lune pleine qui innonda la chambre. Juliette se rhabilla, couvrit la frêle silhouette du drap, l'abandonna en
compagnie de l'astre blanc pour cette nuit sans fond. Elle ne croisa personne. Accourut à l'air libre. Savoura la
paix des rues étroites qui enlaçaient Saint Sulpice. Elle rentra chez elle, heureuse. À l'autre bout de la ville, un
clair de lune berçait la pâleur d'une jeune fille à qui la vie ne volerait pas sa pureté, puisque volée à la vie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je suis à nouveau désolée pour ces éventuelles fautes que j'ai commise. Je ne me suis pas relue.. J'étais retenue attachée au lit.
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Voilà plus d’une demi heure qu’il m’avait contrainte à rester dans le salon avec interdiction de venir le déranger. A peine rentrée dans son appartement, il avait m’avait collée contre le mur et me serrant la gorge.
Il m’avait relevée la jupe pour y fourrer sa main à travers ma petite culotte.
- Hum.. je voulais voir si e fait de voir ton dominant te faisait mouillée ma petite chienne..
Il inséra quelques doigts pour me fouiller
- Tu aimes ça que je te doigte.
Je prenais tellement de plaisir quand il était ainsi que j’en fermais les yeux.
- Regarde moi petite chienne.
J’ouvrai les yeux, il me regardait droit dans les yeux. Il me pénétrait de plus en plus fort.
- A genou.
- Dis bonjour à ton Maître comme il se doit.
Il appuyait sur ma tête pour m’inviter à lui baiser les pieds. Assiste sur mes jambes, je me recroquevillais pour honorer mon maitre. Je lui baisais alors les pieds
- C’est bien ma petite.. continue. Sors moi ta petite langue.
Je léchais alors ses pieds. Je sentais son regard sur moi à observer tous mes faits et mes gestes. Cela me rendait folle d’être ainsi à ses pieds. Il me stoppa en appuyant son pied sur mes cervicales.
- Brave chienne. Suffit.
Il s’abaissa. Il me prit par les cheveux et me releva la tête en arrière.
- Tu as été bien vilaine tout à l’heure quand je t’ai appelé. Je n’apprécie pas le ton que tu as pris avec moi.
Il me tira alors par les cheveux et me jeta sur le canapé. Il me saisi la gueule avec sa main et la serra bien fermement.
- Tu sais que je vais devoir te punir.
- Je.. Oui Monsieur.
- Baisse tes yeux, je ne t’autorise plus à me regarder. Je ne veux même pas t’entendre.
Il saisit le gag ball.
- Ouvre ta gueule.
Une fois bien positionné il le sangla bien serré.
Il me caressait alors le visage puis me gifla tout en me resaisissant à nouveau par la gorge. Il serra, serra.
- Oui tu vas être bien punie ma petite.
Je souriais. Il me retourna comme une poupée de chiffon. Il déboutonna ma robe pour me la mettre sur la taille et ôta mon soutien gorge. IL me para de bracelets à mes poignets et à mes chevilles. . Il tira alors fermement sur les tétons
- Voilà de quoi te maintenir comme il faut.
Il me sangla un collier de maintien si serrait qu’il m’étranglait doucement.
Il attacha mes poignets dans le dos. Il me releva en me tirant par le bras.
Il me força a être sur mes jambes, le dos courbé. IL appuyait bien fermement dessus.
- Interdiction de bouger de là.
Il me claqua les fesses et me laissa ainsi. Le temps passait. Mes jambes commençaient à être bien douloureuses. Je me sentais alors délaissée. Je changeais alors de position pour me soulager. Il était dans sa chambre. J’entendais parfois ses pas pour me remettre ensuite en position.
Je savais que j’allais être punie pour mon ton désinvolte de cette après midi. J’étais relativement énervée. Je lui ai répondu en haussant le ton sans réussir à me calmer.
Le temps passait. Quand je l'entendis au loin.
- Viens maintenant.
Mes genoux étaient en souffrance. un peu endoloris. Je me relevais avec difficultés les bras attachées. En arrivant à sa chambre. Je toquais alors à sa porte. Un long silence.. puis une seconde fois.
- Entre.
J’ouvrai la porte avec mes mains en me tournant. Sans trop faire de bruit, je pénétrais dans la chambre. Il était posé sur son lit avec son ordinateur.
Je me mis à genou devant lui.
Il m’ignorait pendant quelques secondes.
- Tiens voilà mon petit trou à bites qui rentre.
- Tu sais ce que cela signifie ?
Je le regardais en baissant les yeux. Il se leva de son lit et retira mon gag ball. Il me caressait le visage.
- Brave petite chienne.
J’aimais sa caresse. Je me disais qu’il était d’une telle clémence.
- Releve toi…Viens par ici..
- Viens là…
Je m’étais rapprochée du lit. Il était assis face a moi. Il me caressa mes seins, les gifla.. puis à nouveau les caressa. Il prit mes tétons entre ses doigts et les pressa.
- Tu sais ce qui arrive aux filles qui sont très vilaines.
- On.. les punit Monsieur.
- Oui, on les punit.. et je vais te punir comme il se doit.
Il ouvrit le tiroir de son chevet et sortie des pinces à tétons. Il prit en premier mon téton droit.
- Je ne veux rien entendre compris !
Je montrais en silence mon mécontentement.. Puis il fit de même avec mon téton droit..
Il sous pesa mes seins et s’amusa un peu avec. Mes tétons étaient reliées pour une chaine.
- Je ne sais pas encore quel poids je vais mettre sur cette chaine.
Je le regardais d’un regard suppliant. Mais je méritais cette punition… J’étais des plus dociles.
- Allez bouge moi un peu tes seins..
Je me dandinais pour faire valser un peu mes seins. Je sentais les poids des pinces sur mes tétons.. IL ne ratait pas une pointe du spectacle.
- Non non, on ne grimace pas..
J’essayais de ne pas faire de grimaces malgré ma douleur.
Il mis sa main sur mon ventre pour me stopper.
- Prête mon petit trou à bites ?
- Oui.. Monsieur.
- Tourne toi.
Il détacha mes poignets tout en les tenant bien serrés dans ma main.
- Voilà.. respire maintenant.
Il avait enlevé le collier de maintien. Je respirais à nouveau correctement. Cela m’avait rendu bien docile, bien calmée. Puis il détacha mes poignets.
- Voila.. dit il en me massant les bras.
- Merci.. Monsieur.
- Mains dans le dos !!
Il me caressa la gorge et me recoiffa ave douceur. Puis il me gifla.
- Tu as aimé m’attendre petite chienne ?
- Oui.. Monsieur.
Il dirigea sa main vers ma culotte .
- Oh mais quelle humidité.
- Pas autorisée a bouger… ?
- Oui, Monsieur..
- Obligée d’attendre ?
Il continue à caresser mon entrejambe.
- Oui, Monsieur,
- A être punie ?
- Oui Monsieur.
- A avoir ta petite culotte bien trempée.
- Oui.. Monsieur.
- Ta petite chatte parle pour toi.. Mes doigts sont remplis de ta mouille.
- Ta petite chatte est aussi contente que toi de me retrouver, on dirait.
- Oui.. monsieur.
- Attendant d’être utilisée toute la journée ?
Dans un souffle je répondais.
- Oui Monsieur.
- C’est ça ta réponse ?
Il me gifla tout en m’enfonçant un doigt dans la chatte
- Oui Monsieur, j’ai attendu toute la journée pour que Monsieur m’utilise et utilise ma chatte et mes autres trous.
Il me caressa doucement la joue.
- Voilà C’est bien mieux. Une réponse bien formulée.
- Allez ouvre ta bouche.
Il passa ses doigts dans ma bouche pour que je les lui nettoie. Il mit un doigt dedans.
- Allez suce bien petite salope.
Je suçais alors avec délectation son doigt. Puis il fit ainsi l’ensemble de ses doigts.
- Bien… voilà Doucement !!!
- Allez sur les genou, ventre contre le lit.. que je puisse regarder ton petit cul précieux de princesse..
Il prit alors la culotte en une seule main pour bien me la mettre au niveau de la raie. Il s’amusait ensuite à tirer sur le tissu..
- Oh.. si humide.
Je talais de plaisir.
- Tu aimes ça ?
- Oh oui Monsieur….
Il descendit soudainement ma culotte pour la faire tomber à mes genoux..
- Garde bien tes cuisses ouvertes pour qu’elle tienne ainsi..
Il prit de pleine main mes fesses avec ses mains. Il les caressait, les palpait, les griffait.
- On va travailler à l’amélioration de ton comportement de putain.
- Humm Oui Monsieur…
- Tu vas être parfaite pour me satisfaire ?
- Oh .. hum.. oui monsieur, répondais je alors qu’il me caressait les cheveux.
J’appréciais toutes ces attentions.. c’était si délicat.
- Pour devenir bien éduquée ?
- Hum.. Oui Monsieur..
- Bien docile ?
- Hum.. Ouiii Monsieur .
Ma voix était comme un murmure sensuel.
- Juste comme j’aime ?
- Oui.. Monsieur..
Il me caressait à nouveau les fesses. Quand soudain il me les claqua si fortement.
Puis il les malaxaient à nouveau pour ensuite mieux me fesser.
- Tu sais des fesses si blanches c’est interdit ?
Il me fessa à nouveau, encore et encore puis pour me soulageait me malaxait encore fortement les fesses, puis il les écartait..
- Oh regarde moi ça.. qu’’est ce donc ?
- Le fion de votre petite chienne Monsieur.
- Oui.. le fion de ma petite chienne.
- Oh mais qu’est ce que cette chatte dégoulinante..
- Petite gloutonne.. tu veux te faire fourrer aussi bien le cul que la chatte…
- Hum.. oui Monsieur…
Il me caressa à nouveau doucement le dos, le visage, les cheveux. J’étais aux anges.
Puis soudain il me fessait à nouveau de plus belle.
- Allez sur le lit. Mets toi bien au fond.
Il me calla dans des coussins.
- Enleve ta culotte
Il attacha mes poignets de chaque coté à une chaine qui elle était reliée à un anneau fixée sur une longue barre au mur faisant la largeur du lit. Puis il positionna mon cul pour ensuite m’ouvrir les cuisses comme une barre d’écartement et les enchaina de la même manière a chaque anneau de cette barre.
Maintenant, il est temps de te corriger comme il se doit. Il mis dans ma bouche un bâillon relativement épais et mou.
Mes jambes ainsi écartées, mes poignets attachés également de chaque coté. Il avait un accès à tout mon corps. Ma chatte était exposée tout comme mon petit fion.
Il prit alors sa cravache.
Il commença par mettre quelques petits coups dessus. Je criais tout en serrant des dents le bâillon. Je ne pouvais pas fermer mes jambes. J’étais là faite pour subir ma punition si méritée.
- Oh regarde moi ces petites lèvres qui sont déjà si gonflées…
Il la cravachait encore ainsi que mon entrecuisse. Puis pour calmer le feu il me caressa…
J’étais alors toute trempée.
- Laisse moi te décorer un peu.
Il prit alors des pinces à linge. Il commença à en mettre une au niveau intérieur de mes bras. Puis une seconde juste à coté. Il fit de même à l’autre bras.
- Hum si j’en mettais sur tes seins.
Je grossissais des yeux. Ils sont déjà si fragiles..
Il prit alors la pince pour la diriger sur mes seins tout en me regardant. Je râlais en faisant non de la tête. C’est là qui la fixait au dessus de mon sein a la jonction avec mon aisselle.
- La nature aime l’équilibre.
Il fit de même de l’autre coté. Je commençais à lever les yeux au ciel pour contrôler ma douleur. Mes yeux commençaient à s’humidifier.
Me surprenant il plaça alors une pince sous chacun de mes tétons. Je hurlais.
- Crois tu que je puisse en remettre quelque part ?
Je ne pouvais répondre mais mon regard suppliait non.. Après tout avais je le choix ? il me punissait.
Il reprit la cravache et me donna encore un coup sur la chatte me faisant pleurer.
- Tout doux… il me caressait alors le visage et cessa mes larmes avec ses doigts.
Il mit à ma hauteur une autre pince.
Il me dit au creux de mon cou..
- Je t’avais dit qu’un jour nous travaillerons les pinces.. sur ta chatte. Je vais commencer par les grosses lèvres.
Il saisit une de mes grosses lèvres et y plaça doucement la pince. De même de l’autre.
Puis il écarta les pinces pour mieux écartées ma petite chatte.
- Hum comme tu es bien décorée…
- La prochaine fois, je t'écarterai la chatte avec les pinces que j'attacherais. et je te doigterais ainsi puis te prendrait la chatte.
Il reprit sa cravache en la passant sur les pinces pour les bouger. J’avais mal, mes yeux étaient toujours larmoyant et sa voix douce me rassurait.
- Alors où dois je concentrer ma cravache ?
Il tapotait doucement avec sur chacun des endroits où il avait mis des pinces ?
- Les seins je crois c’est ce que tu préfères.
Je pleurais, je faisais non de la tête. Je mettais ma tête en arrière pour me concentrer sur autre chose et ne plus penser à cette douleur que je voulais maitriser. Je pensai à ses caresses.
- Je veux te voir couiner comme une petite chienne ce soir. Ce sera la plus douces des musiques pour mes oreilles me dit il d’une infinie tendresse en cessant à nouveau mes larmes.
Il me torturait ainsi avec sa cravache. Je mordais de plus en plus dans mon bâillon.
- Allez repire.. inspire.. calme toi.
Sa voix me guidait m’amenant sur les chemins du plaisir. Je savais que la douleur allait être un réel plaisir. Je ne m’attendais pas à cette fermeté qu’il avait ce soir.
- Tu vois où t’as conduite ton insubordination. Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même.
Puis il continua de plus belles a faire semblant aussi à me donner des coups forts qui se terminaient par des caresses de cravaches.
Puis il reprenait sa torture. Comment pouvait il être si pervers et sadique et un visage si doux et une voix si angélique.
Il me caressait à nouveau les cheveux.
- Humm tu es si belle quand tu es punie..
Je le regardais droit dans les yeux avec ce regard invoquant son indulgence.
- Crois tu que tu peux m’adoucir avec ce regard de chienne implorante ?
Il me remit alors un coup sur une de mes pinces à sein.
- Ne crois pas ça ! bien au contraire, je serais pire.
- Mais j’adore car ça te rend encore plus sexy et désirable.
Puis avec douceur il enleva chacune de mes pinces en commençant par les bras. J’en avais oublié leur pincement. Les enlever laissa place à un picotement qu’il calma en me caressant . Il était redevenue tout doux…
- J’y suis allée fort. C’était pour ton bien. Que tu comprennes. Comprends tu ?
Je hochais de la tête… une affirmation.
Je sais que ma punition était bien méritée. C’était la pire punition qu’il m’avait donné.
Chaque pince enlevée était un soulagement, mais je craignais toujours les tétons et ma petite chatte. Quand il les enleva au niveau de mes tétons, il y déposa sa bouche pour les cajoler de sa bouche. Je chavirais.
Quand il se pencha sur la chatte, il les retira rapidement. Je hurlais.
Encore une fois, il me replaçait à ma place.
Il prit un miroir qu’il plaçait face a mon sexe.
- Je veux que tu puisses voir..
Je voyais ma chatte complètement trempée. Malgré tout ce par quoi je suis passée. La douleur a laissé l’excitation me pénétrait comme si je voulais qu’on m’absoudre de mes péchés..
- Je veux que tu regarde comment je te doigte, comment je te fais juter petite fontaine.
Il commençait par mettre un doigt. Il s’amusait à le tourner.
- Un doigt, ce n’est rien pour ta gourmande de chatte.
Il en rajouta un second à son majeur déjà enfoncé.
- Humm comme tu es trempée.. c’est si bon..
De l’autre il me caressait le clitoris.
Il en rajouta un troisième. Je sentais à l’intérieur de ma chatte le mouvement de ses doigts.
- Je t’interdis de jouir petite putain.
Il me torturait à contrôler ainsi mon désir.
Oh quatre doigts.. regarde ça.
Je voyais dans le miroir ses doigts s’engouffrer dans mon intimité. Il tournait sa main paume vers le lit, puis paume vers le plafond. Soudain, il tentait d’engouffrer son pouce.
- Tu es un peu étroite ma petite chienne.
Il poussa aussi fort que possible.
- Regarde .. regarde on y est presque !!!
Je hurlais.. puis il retira alors son petit doigt et son pouce et entreprit de me baiser avec.
- Allez lâche toi.. petite chienne.. lâche toi.
Il me dit cela en me giflant si fortement. Puis quand je commençais à gicler, il me serra le cou.
Je giclais de partout. Je me sentais toujours honteuse.
- Oui allez.. tiens prends ça..
- Allez putainnnnnnn…
Il me tenait par la chattte bien fermement.
Il passa sur mon visage ses doigts bien trempés.
- T’es qu’une putain
Il me détacha. Et m’ôta le bâillon.
- Allez va retourner faire ta pénitence petite chienne. Tu ne mérites pas que je t’honore de ma queue. Mais sache que tu es déjà sur le bon chemin de ta repentance.
- Je vous remercie.. Monsieur.
Il me tira par les cheveux pour me sortir de sa chambre. Je comprenais que je ne dormirais pas avec lui. Il me jeta dans la pièce où il aimait me jetait quand je n'étais pas sage.
Il m'enchaina alors à mon lit pour éviter que je ne m'aventure dans d'autres pièces…
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Dans la mythologie grecque, Dionysos, en grec ancien ???????? / Di?nusos ou ????????,
Diónysos est le dieu de la vigne, du vin et de ses excès, de la folie et de la démesure. Ce fils
de Zeus et de Sémélé eut une naissance peu ordinaire; sa mère fut foudroyée pour avoir
voulu admirer son amant dans toute sa splendeur. Zeus arracha des entrailles de sa mère
le corps du bébé et le cacha dans sa cuisse pendant trois mois, d'où l'expression, "sortir de
la cuisse de Jupiter", nom latin de Zeus, et il en sortit le jour prévu pour sa venue au monde.
C'est pourquoi on le dit né deux fois et selon la légende, cornu et la tête couronnée de
serpents. Zeus confia alors Dionysos à Perséphone, qui l'emmena chez le roi Athamas
d'Orchomène et sa femme Ino, qui lui firent porter des vêtements féminins pour échapper
à la fureur de la déesse. Hélas, la trop rusée Héra frappa de démence ses deux parents
nourriciers et, dans un excès de folie, Athamas confondit son fils Léarchos avec un cerf
et le tua. Alors Zeus transforma Dionysos en chevreau et le transporta sur le mont Hélicon,
où les nymphes prirent soin de lui. Il vécut heureux en pleine nature, en compagnie des
Ménades, des Satyres et des Silènes. On dit que c'est là qu'il découvrit la vigne et l'art de
fabriquer du vin. Quand il devint adulte, Héra le reconnut et, par un de ses maléfices, le
rendit fou. Il se rendit à Dodone consulter l'oracle dans l'espoir de trouver un miracle à
son mal, traversant la montagne à dos d'âne. Guéri, Dionysos parcourut le monde pour
faire connaître la vigne et le vin, accompagné de sa suite. Il ensigna aux Egyptiens la
culture de la vigne, fut reçut à Pharos par le roi Protée.
Là, il emporta son premier succès militaire contre les Titans d'Héra: il rétablit sur son trône le roi Amon en
s'alliant avec les Amazones établies chez les lybiens, en face de Pharos, petite île au large du delta du Nil.
Quant à la haine de la déesse et l'hostilité rencontrée par Dionysos tout au long de ses voyages, elles sont
le reflet de l'opposition des conservateurs à l'emploi rituel du vin ainsi qu'aux coutumes extravagantes des
Ménades qui, de la Thrace, avaient gagné Athènes, Corynthe, Sicyone, Delphes et d'autres cités évoluées
avant que le culte du dieu soit approuvé et que des fêtes officielles soient instituées en son honneur.
De là, il fit route vers l'Inde en passant par la Syrie où il affronta Damascus, le roi de Damas, qui avait détruit
ses vignes, et l'écorcha vif; il traversa l'Euphrate sur le dos d'un tigre envoyé par son père; il rencontra Adonis
et Aphrodite au Liban; il régna au Caucase, sur le chemin du retour, il dut combattre les Amazones qu'il repoussa
vers Ephèse; toujours accompagné des Ménades et des Satyres, il revint en Europe en passant par la Phrygie, où
Rhéa le purifia des meutres qu'il avait commis durant la période de démence, et l'initia aux mystères de Cybèle.
Dionysos rentra en Grèce sous l'aspect d'un bel adolescent. En Etolie à Calydon, il tomba amoureux d'Althéa,
fille du roi Œnée à laquelle il donna une fille, Déjanire.
En Béotie, Dioysos incita les femmes de Thèbes à participer à ses orgies sur le mont Cithéron, se fit arrêter et
enchaîner à un taureau par le roi de Thèbes, Penthée, qui enferma les Ménades. Celle-ci s'échappèrent et, en
état d'ivresse et de transe religieuse, déchiquetèrent le roi sous la conduite de sa mère, Agavé, qui rendue folle
et transformée en Ménade, lui arracha la tête. Mais certaines femmes refusèrent de se plier aux rite orgiaques:
ce fut le cas des filles de Minyas, Leucippé, Arsippé et Alcathoé. Dionysos les effraya tellement qu'elles perdirent
la raison. Les Béotiens finirent par reconnaître la divinité de Dionysos et le dieu s'embarqua pour Naxos.
Finalement, Dionysos se retrouva sur l'Olympe, assis à la droite de Zeus, Hestia lui ayant cédé sa place à la table
divine. Il ne lui restait plus qu'à descendre aux enfers, enlever sa mère Sémélé et la transporter au ciel où elle
devint immortelle sous le nom de Thyoné. Héra dut se soumettre et accepter en silence la présence de son gendre
qu'elle avait pourtant poursuivi de sa haine vengeresse. Dans l'Olympe, il participa au combat des dieux et des
Géants, tuant ses ennemis avec son thyrse.
Pour les Grecs de l’Antiquité, Dionysos a été le dieu par excellence de l’extase, le dieu du délire sous toutes ses
formes et dans tous ses effets, positifs aussi bien que négatifs. Si le concept du dionysiaque devient, à l’époque
moderne, un synonyme universel de l’extatique, du délire séduisant et dangereux dans tous les sens du terme,
ceci n’est donc pas sans relation avec la tradition antique. Or, si les écrivains postérieurs et plus particulièrement
les écrivains modernes ont tâché, dans des créations libres, de mesurer l’écart entre les spécificités de l’extase
dionysiaque et sa généralisation, les historiens modernes de la religion grecque ancienne furent confrontés au
problème suivant: tenir compte non seulement des particularités de l’extase dionysiaque, mais aussi du fait que
l’extase est une expérience humaine universelle qui ne se restreint pas à des cultures, des époques ou des
sphères géographiques données.
Quant à Dionysos, il est présenté, dans le premier passage de la tradition littéraire où il figure, dans le chant VI de
l’Iliade d’Homère, comme le "délirant". Ce qui est significatif, c’est non seulement qu’il apparaît ainsi, dès le début
de la tradition, comme dieu de l’extase, mais surtout que c’est lui-même qui est dans le délire. Or, dans l’Iliade
homérique, ceci n’est pas, en soi, une épithète au sens strict du terme ou une marque distinctive de Dionysos,
mais le relie au moins à un autre dieu, au dieu de la guerre, Arès, qui, dans la même épopée, est caractérisé
également comme "délirant."
Mais dans le cas de Dionysos, son état délirant est intégré dans un scénario où on le voit entouré de femmes,
désignées comme ses nourrices et décrites comme exécutrices d’un rite auquel le dieu délirant participe en
personne. Par rapport à toutes les autres présentations de divinités, chez Homère et dans la tradition ultérieure,
ce fait est exceptionnel. C’est comme si l’état exceptionnel de Dionysos, son extase, sanctionnait un statut
exceptionnel, sa proximité extrême par rapport aux humains et plus particulièrement aux femmes, et sa
participation en personne à leurs activités rituelles.
Déjà, le fait que le mot "ménade" soit utilisé à des fins comparatives montre bien que l’épopée homérique
présuppose la familiarité du public contemporain avec son usage technique, de sorte qu’il n’est pas nécessaire
d’expliquer en détail comment il faut se représenter un comportement de "ménade". Andromaque s’élance
comme une ménade, Il n’est pas nécessaire ici de mentionner Dionysos, bien que ce soit son culte dans lequel
on voit des femmes s’élancer en "ménades". L’extase dionysiaque est d’abord l’affaire du dieu lui-même, et
peut être transférée par lui à des humains. Cette extase est, tout comme Dionysos lui-même, un phénomène
spécifiquement grec qui est attesté dès le premier témoignage littéraire grec du VII ème siècle av. J.-C.
Le culte de Dionysos fut pratiqué dans la Grèce toute entière dès le VI ème siècle avant notre ère, sous une
multitude de surnoms. Certaines Dionysiaques revêtaient un caractère champêtre ou populaire: processions,
banquets, phallophories. On exécutait des rondes sacrées en l'honneur du dieu. Ces fêtes ont très largement
contribué au développement du théatre et joué un rôle prépondérant dans la poésie lyrique. Les chefs-d'œuvre
du théatre grec ont été présentés aux grandes dionysies et aux lénéennes. La folie atteignait son paroxysme,
les participants déchiraient, lacéraient tout ce qui ce trouvait à leur portée: animaux, êtres humains. Après la
folle excitation, succédait la prostration et tous sombraient dans un sommeil profond. Les orgies étaient
réservées aux initiés et tout particulèrment à des associations de femmes, les "Klodones" et les "Mimallones."
Dionysos fut identifié avec Zagreus, dieu d'origine phrygienne, thrace ou crétoise, dont on faisiait le fils de Zeus
et de Perséphone, qui fut élevé par les Curètes crétois, et enlevé par les Titans. Zagreus jouait un rôle important
dans les rites orphiques et dans les mystères d'Eleusis. On y représentait le drame de sa passion, et de sa mort
suivie de sa résurrection miraculeuse. L'idée dionysienne fut plus tard dégragée par les cultes populaires,
notamment à Rome où le culte de Bacchus, l'équivalent latin du dieu, finissait dans des orgies délirantes au II ème
siècle avant notre ère.
Dionysos a été représenté par de nombreux artistes: Boucher et Poussin. Ses amours avec Ariane ont inspiré
Le Titien, Jules Romains, Carrache, Michel-Ange, Rubens et Van Dyck.
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Bibliothèque"
- Bacchylide, "Dithyrambes"
- Euripide, "Les Bacchantes"
- Hérodote, "Histoires"
- Hésiode, "Théogonie"
- Homère, "Iliade"
- Ovide, "Fastes"
- Pindare, "Pythiques"
- Platon, "Phèdre"
- Théophraste, "Histoire"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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C'est le déconfinement. Julie mouille déjà. Il est 00h01. Elle en peut plus. Elle enlève sa petite culotte trempée, passe une mini jupe raz la moule et enfile des bottines sexy. Un bon rouge à lèvre provoc, elle se sent prête pour aller retrouver ses amants. Dans un rayon de 100 km, sa chatte en feu n'est pas en manque.
Elle commence par bob, un gros cretin mais une pine d'enfer. Dès qu'il voit Julie, il bande comme un Grizzly. Au moins Bob est pas compliqué. Et comme il a les couilles pleines, il se décharge d'un coup dans le petit cul de Julie. Bob a du bide. Il sait pas viser. Là il a sodomisé Julie qui a hurlé de plaisir et de douleur. Bob n'aime pas les préliminaires. Il baise d'abord et discute après.
Julie reprend sa virée. Elle sent le sperme chaud de bob qui coule le long de ses jambes nues et elle adore suinter du cul. A présent il 00h 35 et c'est Jeannot qui l'attend avec impatience. Plus con que Bob , ce Jeannot. Lui veut toujours l'épouser et en faire sa femme au foyer. Beurk. Heureusement, il est tellement amoureux qu'il baise bien. C'est un excellent lécheur de minou, un buveur de cyprine. Et Julie est style chutes du Niagara quand elle jouit. Jeannot se soule avec. Son défaut c'est qu'il éjacule trop vite. Heureusement, c'est une mitraillette à dix coups. Julie adore contracter son yoni sur la pine en feu de Jeannot. Elle sait lui pomper tout son foutre et le laisser sombrer dans un sommeil profond. Julie peut s'éclipser, sans quoi il parlerait encore de mariage.
01 17. Julie remonte dans son cabriolet. Cette fois elle suinte par devant et par derrière. Son siège en cuir est trempé. Merde des poulets ! Ah ce sont Albert et Nico, deux potes. Elle se gare. Ils saluent en souriant.
-Julie! tu nous a manqué !
Julie leur met la main sur les braguettes bien gonflées.
-Vous dites ça, mais je demande qu'à voir.
Par chance les deux poulets ont leur estafette...Ils se font pomper le dard à l'abri. Julie adore les déguster. Du bon sperme, c'est excellent pour la santé. Les flics veulent la sodomiser.
-Non, non, une autre fois. Je suis pressée.promis.
Elle a donné rendez vous a Seb, pour 02 00, mais Julie en bonne garce aime arriver en retard....Seb est à point. Il en peut plus.
-Mais tu as encore trainé où salope ! tu dégoulines de sperme .
Julie ne réponds pas. Elle adore les mots crus. Elle débraguette Seb et s'empale debout. Seb explose vite son sperme. Il retourne Julie et lui donne une fessée monumentale.
-Salope, pouffiasse, guenon, pute à pas cher, gouine crado, pétasse....
Plus Julie se fait botter le cul et insulter et plus elle jouit. Elle décide de finir sa nuit avec Seb. Au moins lui sait parler aux femmes et ne la demanderas pas en mariage.
La morale de cette histoire c'est que les femmes sont toujours plus salopes qu'on ne croit.
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Elle serrait de plus en plus fort chaque côté de la table.
La nappe blanche se froissait à mesure de ses crispations.
Elle avait les yeux fermés…un léger pincement de sa lèvre, retenait les sons de plaisirs qui ne demandaient qu’à en sortir…
Elle se tortillait lentement, langoureusement …
Je la regardais ainsi profiter de cet instant….
Nous ne disions rien, le brouhaha du restaurent couvrait tout juste son souffle haletant…et de ce plaisir subtil ..Invisible aux yeux autres…mais dont je me délectais avec un vil plaisir
« Vous n’allez pas bien, Madame ? Vous vous sentez bien ?» Dit le serveur, qui venait d’arriver à notre table…
D’un coup, elle ouvrit les yeux.
Se cambra en arrière pour affronter, en silence, ce délicieux tourment…
Ses joues se parèrent d’un parme délicieux…
Et me jeta un regard entre détresse, désespoir et gène…et presque rage…
Je souris, je lui souris de façon taquine…
Elle cligna des yeux en esquissant un sourire et tournant lentement sa tête de droite à gauche, comme pour dire « Mon Salop, quel vicieux tu fais là »
« Non, ce n’est rien…Elle a simplement pris, on va dire un choque…un peu fort » répondis-je au serveur, en le regard dans les yeux, tout en continuant de sourire…
J’approchais ma main dans le même instant de celle de S. Qui s’empressa de me la prendre, presque à me la broyer…Je faisais mine de ne rien sentir…Mais la Garce, elle se vengeait dans cette pression…
« L’alcool était un peu fort, peut-être, dans ce… Colonelle ? »
« Certainement…Je pense que nous allons prendre, tout deux un café…Gourmand..Histoire qu’elle éponge un peu… », répondis-je…
Elle me fusilla du regard, tout en faisant non-non de la tête…Mais un mouvement qui voulait surtout dire « Tu m’as bien eu… »
Nous nous étions rencontrés quelques mois plutôt dans le train. A cette époque, je faisais quasi quotidiennement l’aller-retour vers Paris, prenant le premier et le dernier train.
On rencontre souvent les mêmes personnes à ces horaires sur ces trajets longs et les habitudes s’encrent rapidement.
D’un café au bar, ou d’une pause clope à l’arrêt le plus long ou encore, lorsque le train reste immobilisé sur un quai. Les discussions se font plus aisément de fait.
Elle travaillait entre Paris et Niort, où elle demeurait, dans un poste à haute responsabilité.
Ce qui m’amusait d’elle, c’était ses tenues, certes toujours très élégantes, mais toujours en pantalon.
Arf ..et pourtant, d’une petite blonde aux yeux gris, un bel ensemble robe, chemise…lui aurait valu plus de « regards », surtout qu’elle avait les arguments pour…et cela lui aurait été d’une arme fatale dans certaines négociations…
Mais, ce n’était pas vraiment son style…Et, comme elle me disait, cela évite aussi les mains baladeuses dans le métro…
Je l’avais plus revue pendant un temps, ne prenant plus le train avec la même régularité…
Je l’avais recroisé dans Niort, en faisant les boutiques…d’un café prit, s’en suivit d’autres puis des restaurants…Et ce qui devait arriver…Arriva.
Ce jour-là, nous nous étions donné rendez-vous sur La Rochelle de bon matin. Et comme, un couple tout beau tout neuf, vous y allions pour faire les boutiques et passer du temps ensembles…
Profitant de l’été et des simples plaisirs de la vie et d’une ville au bord de Mer.
Je lui avais dit :
« Nous allons faire les boutiques ensemble et on va te choisir quelques tenues plus…féminine à mon goût pour toi »..Et elle avait acquiescée avec plaisir cette proposition. D’autant que je ne m’étais pas caché de mes goûts à ses yeux en ce Monde des Sens et celui de l’élégance des femmes.
(Je crois d’ailleurs, c’est en partie de la manière dont je lui avais parlé de ce Monde qui l’avait incitée à aller plus loin dans notre relation assez fraîche…)
Je fais partie de ces hommes qui adorent faire les boutiques à deux, et même seul…
Je trouve cela tellement plaisant et cela lie vraiment les deux personnes.
D’autant que je ne suis pas homme à rester les bras ballants attendant que Madame choisisse et ne faire que portier…Loin de là…Je vais fouiller, farfouiller, alpaguer les vendeurs/vendeuses pour débusquer l’objet qui pourrait lui plaire et me plaire.
De plus, mon vil plaisir est dans ces boutiques de lingerie, où je vais, sans honte aucune, discuter « chiffons » avec les vendeuses pour trouver une belle pièce. Cherchant le confort, en l’objet de convoitise, pour le corps de la Belle qui m’accompagne et pour qui sera cette pièce.
C’est amusant de voir combien cela déconcerte au départ les vendeuses…mais après, cela devient un plaisir véritable que de parler d’une pièce où, par exemple, une couture serait désagréable au sein, car trop prohiminant ou de baleines trop débordantes pouvant « blesser » l’entre-seines…
Dans l’une des boutiques, nous avions trouvé une belle robe longue, légèrement échancrée sur le côté jusqu’au genou…Taillant sa taille avec délice et mettant ses « Arguments », bien tenus par un serrage du genre Corset, pour le haut, en valeur juste de façon provocatrice, pouvant laisser entrevoir ses beaux arrondies…
Nous prenions un café sur le Vieux port, à l’heure du quatre heure…
« Ce soir, j’ai envie de dîner au Domaine, à Niort. Tu as une belle robe…c’est le moment de la mettre… »
J’aime bien ce restaurant à la sortie de la ville, niché dans une maison de pierre ou parfois l’été, on peut trouver une place en extérieur pour y manger des plus agréablement...
Un peu guindé certes, mais j’aime son atmosphère feutrée et puis, on y mange bien…ce qui ne gâche rien…
« Ok » me dit-elle
« Bien je te prose que l’on s’y retrouve vers 21h, je vais appeler pour réserver et je te confirme cela… Vu l’heure, cela te laissera le temps de rentrer chez toi et te préparer…mais faut pas tarder quand même »
Elle sourit
« Toi, tu as une idée derrière la tête…Ce n’est pas que le dîner qui t’intéresse »…Me dit-elle
Je lui souris en retour
« Déjà, de profiter de toi avec cette belle robe…Le reste…ben c’est le reste…on verra comment le vent tourne »
Elle rit…
Nous nous séparâmes après ce café pour que chacun s’en retourne chez lui. Et se prépare pour le dîner…
Je lui envoyai un SMS pour lui confirmer l'heure, après avoir pris soin de réserver une table.
A l'heure dite, j'étais sur le parking.
Attendant son arrivée...
Elle ne tarda pas...
Lorsque je la vis descendre de sa voiture, je voyais un peu la gène qu'elle en avait de cette robe, dont elle n'avait l'habitude.
je me rapprocha d'Elle...
Lui tendis mon bras, pour qu'elle s'y accroche.
Elle le prit.
Et s'en aida pour mieux descendre de sa voiture.
Je m'amusai de la voir mal à l'aise ainsi vêtue..
Je la réconfortai d'un doux baiser...pendant qu'elle réajustait cette étoffe qui lui allait vraiment bien...
Un couple de clients, nous voyant, enfin la voyant ainsi...lui envoyait un sourire envieux...enfin surtout la Damoiselle..Le Monsieur avait plus la langue pendante..Ce que d'ailleurs lui fit remarquer sa Damoiselle...
Nous leurs sourions en retour...d'un sourire voulant dire "Merci, c'est gentil"
On se regarda alors...Et on éclatât de rire..
"Allez, ma chère S...Allons dîner"
....
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Autour de la grande table de chêne de l’auberge, toute la joyeuse compagnie se régale. Les soumis ont eu l’autorisation de se rhabiller un peu. Les parties viriles de Guillaume ont été prestement immobilisées avec une lanière de cuir. Il restera ainsi jusqu’à ce que son épouse l’autorise à les libérer. Dame Blanche a remis sa robe longue sur son jupon, mais garde les jambes soigneusement écartées au côté de son époux le Duc. Les servantes soumises Fanchon et Mariette portent juste leurs chemises de dessous en coton blanc et sont accessibles aux mains baladeuses des amis du duc. Leur cyprine continue de suinter sur le banc .Marcelin et Jehan se font un plaisir de les exciter alors qu’elles se sustentent en tentant de ne pas montrer leur plaisir. Babette et Jannot aident Martin au service tout en grignotant au passage. Des éclats de rire jaillissent, des sourires fendent les visages, tout le monde est très heureux de cette sortie au bois . Dame Blanche sort de sa réserve après que le duc lui ait murmuré quelques mots à l’oreille « Cette après-midi sylvestre m’a apporté beaucoup de plaisir ma belle duchesse. » et sa grande main se glisse sous sa robe et explore son entrejambe « ainsi qu’à vous me semble-t-il ? ». Dame Blanche sourit aux anges et le duc la regarde avec beaucoup de tendresse . Nul besoin de réponse, le visage de la jeune femme ne sait pas mentir.
Après un dernier verre de vin tout le monde se lève et se réajuste. Babette et Jannot ramassent les sacs et les vêtements épars et rejoignent les autres dans la cour. Le duc monte dans le cabriolet et tend les rênes de son cheval à Guillaume. Chaque couple enfourche un cheval, et la compagnie s’éloigne avec force cris. De la poussière s’envole et virevolte dans la cour, les poules se sont réfugiées sur le tas de fumier et Martin à la porte salue tout le monde bien bas. Jannot fait tourner lentement la voiture et Babette s’installe sur le plancher dans la cabine. Le duc toujours souriant lui caresse un peu la tête d’une main tandis que l’autre joue avec la pointe d’un sein de son épouse. Celle-ci commence à respirer de plus en plus vite. Le sourire moqueur du duc l’empêche de se laisser aller à exprimer son plaisir trop bruyamment. Elle sait qu’elle doit rester silencieuse. C’est la douce torture qui lui est imposée à chaque fois, cela ne cessera que lorsque son seigneur et Maître l’autorisera. Elle se retient et serre les lèvres en souriant à son époux. Babette sent qu’on lui tire les cheveux et relève la tête, les yeux baissés , la bouche ouverte et la langue pendant à l’extérieur. La salive qu’elle n’a pas le droit d’avaler coule le long de son menton sur la jambe du duc qui sourit de sentir son pantalon s’humidifier. Il regarde Babette et la félicite de sa bonne tenue. La jeune femme en bave encore plus, les compliments de son Maître sont si précieux car si rares que de les entendre la fait baver encore plus. Un filet de salive pend que le duc recueille du bout des doigts. Il le remonte jusqu’au visage de sa jeune esclave et en enduit ses joues. Le nez de Babette se fronce un peu mais un pincement de joue lui fait cesser toute expression de dégoût. Elle baisse un peu la tête dans un signe de soumission repentante. Une caresse la réconforte très vite. Le duc n’est pas fâché. Il pince alors plus fort le sein et Dame Blanche laisse échapper un cri de surprise et de douleur mêlées. Les sourcils du duc se froncent mais il garde son petit sourire narquois et ses lèvres se rapprochent de la bouche de la jeune duchesse « Chut, voyons, tais toi. » et avec avidité ses dents saisissent les lèvres entrouvertes et sa langue va chercher celle de son épouse dans sa bouche. Les deux muscles baveux s’enroulent l’un dans l’autre et le plaisir jaillit en même temps pour les deux amoureux. Il tire les cheveux de son esclave qui baisse la ceinture de son seigneur et sort son sexe déjà raide quelle s’empresse d’avaler. Les bras de l’homme enserrent le torse de la duchesse sans cesser de l’embrasser. Ses mains descendent vers ses reins puis ses doigts remontent lentement au centre. Il appuie doucement sur chaque petite bosse osseuse dans un léger mouvement rotatif, de chaque côté de la colonne. Blanche sent un courant la parcourir. Immobilisée par les bras puissants elle ne peut bouger et subit cette jouissance passivement. Arrivés en haut du dos les doigts se déplient et vont masser les omoplates avec des petits cercles. Le corps de Dame Blanche se tortille sous les vagues de plaisir, ses pupilles se dilatent et son souffle se fait plus rapide. Elle atteint un orgasme très rapidement, et ce premier est suivi d’une cascade d’autres. Le duc jubile. Son sexe sucé par Babette lui fait presque mal tant il retient son plaisir. Il connaît son épouse et sait qu’il doit se garder pour elle s’il veut vraiment la conduire au sommet. Très habilement il remonte robe et jupon sur la banquette. Dame Blanche l’aide en se soulevant un peu. Puis il repousse Babette, se redresse et pénètre sa femme d’un grand coup. Après quelques va-et-vient profond il jouit très vite. Son esclave glisse sa bouche sur le sexe plein de sperme ducal et à petits coups de langue le recueille. Le duc embrasse encore sa femme en la caressant dans les moindres recoins de sa peau. La langue de Babette se faufile dans l’intimité du petit trou avant qui dégouline d’un mélange équilibré de sperme et de cyprine. Elle mordille le petit bout de chair gonflé de plaisir, l’aspire et le relâche. Son nez souffle sur le mont de Vénus et ses doigts explorent la cavité arrière de sa maîtresse, ils forcent un peu l’anus de Dame Blanche qui , malgré la bouche de son seigneur sur la sienne , arrive à émettre des sons de plaisir. Les orgasmes se succèdent et le duc sent son sexe se redresser, alors la petite esclave s’en saisit et le pompe avidement. Elle avale le foutre qui en jaillit et sent sa grotte s’inonder de plaisir puis elle retourne s’occuper du sexe féminin qui semble haleter.
Apres ces instants de plaisir partagé, le duc tape sur le côté de l’habitacle et la voiture s’arrête. Il sort prestement et se hisse à côté de Jannot qui lui tend les rênes. La voiture redémarre vivement dans une secousse qui le fait éclater d’un rire joyeux.
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Je suis désolée pour les éventuelles fautes, .. je ne suis pas relue... J'étais en selle.
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ll posa sa main sur ma cuisse.
- Je suis si heureux de t’emmener en sortie.
Il agrippa ma cuisse puis remonter sa main sur ma chatte pour la pincer.
- Hum tu mouilles déjà, petite coquine que tu es.
Je souris avec ce regard intense qui en disait long.
- Je t’emmène dans un endroit que tu vas apprécier. Je sais que tu aimes les animaux.
- Vous savez toujours me faire plaisir je me réjouis. Un indice sur le lieu.
- Eh bien, tu pourras faire une belle promenade avec eux..
- Je ne vois vraiment pas.
Il mit le clignotant pour prendre une toute petite route . Nous arrivions vers un sublime lieu. Un petit château que j’en perdais mes mots.
- Waouh comme c’est magnifique.
- Ca l’est. J’ai trouvé le bon moment pour t’emmener ici. C’est un lieu qui est dédié aux jeux. Le propriétaire est une connaissance qui peut mettre à disposition certaines parties pour s’adonner aux sévices les plus…
Il ne termina pas sa phrase. Je trépignais de découvrir ce lieu.
A son habitude, il avait toujours cette galanterie à me traiter comme une princesse ( qu’il adorait ensuite dépravée comme il se doit bien sûr). Il m’ouvrit la porte.
L’entrée se faisait par une porte sompteuse en bois sculpté où une tête de lion tenait un heurtoir.
La porte s’ouvrit.
- Bienvenu cher Monsieur.
Un homme d’une cinquantaine d’année ouvrit la porte. Il était relativement petit et simple.
- Monsieur S. J’ai une réservation pour cette après midi.
- Ah oui, je vois. L’autre convive est déjà arrivé. Je vous demande de mettre vos téléphones dans cette boite. Nous souhaitons une discrétion totale sur notre lieu. Nous mettons à votre disposition tout le nécessaire pour la protection des éventuels accessoires que vous souhaiterez utiliser.
- Oui bien sur, cela va de soi. Je vous remercie pour votre agréable accueil cher Monsieur.
Je le regardais dans les yeux.
- L’autre convive ?
- Tu n’as pas besoin d’en savoir plus, juste à te taire à partir de maintenant et écouter. Tu vas passer j’en suis certain un agréable moment ma petite chienne dit il en me tenant par les fesses.
- Par ici, cher Monsieur. L’homme lui indiqua le chemin vers une petite pièce pour déposer nos affaires.
- Parfait.
Monsieur s’entretenait avec l’homme loin de mes oreilles indiscrètes.
- Allez viens, faisons un tour. Le parc a l’air superbe.
- Oh oui j’adore merci Monsieur.
Il me prit par la main et nous faisons un tour dans le parc de ce sublime château. Non loin je vis une dépendance. Nous nous dirigions vers elle.
Une écurie. Il me dirigea vers elle. En voyant le premier box, je ne pue m’empêcher de caresser le premier cheval.. il y avait une rangée de 6/7 box.
En passant au troisième, je vis ce dernier bien différent des autres.
- Entre.
Je le regardais, surprise.
C’est là qu’il décrocha des bracelets pour ensuite me lier les mains.. Puis il me les attacha à un système de poulie me les faisant remonter au dessus de ma tête. J’étais presque sur la pointe des pieds.
Il s’était mis derrière moi me tenant par le cou, me le faisant basculer en arrière.
- Hum.. ma douce petite pouliche. Je crois que tu n’auras plus besoin de tes vêtements.
Il tira sur la fermeture éclaire arrière de ma robe bustier. Elle tomba au sol.
Il s’amusait à me faire tournoyer tout en me claqua bien les fesses. Sans aucun ménagement il descendit ma culotte et la laisser à mes chevilles.
- Commençons ton débourrage ma petite pouliche.
Je souriais jusqu’au moment où je le vis avec un long fouet. Il vit mes yeux grandir en me le passant devant les yeux. Je me débattais. Je criais, je ne voulais pas de ça. Mes jambes tentaient une évasion impossible.
Soudain j’entendis le son du fouet claquer dans le vide. Je sursautais. Puis une seconde… et une troisième. Il me saisit par les cheveux en les tirant en arrière.
- Tout doux ma belle… Crois tu que j’allais te fouetter malgré mon envie terrible de te marquer.. Mais j’aime te voir sursauter sur le fil. Le son du fouet éveille les sens. A réveiller les tensions nerveuses. Maintenant je sais que j’ai toute ton attention.
Ma respiration était forte.
- Oh Monsieur, bonjour !
La voix d’une femme, celle de Madame X.
- Bonjour à vous Madame X.
- Je suis ravie que nous nous retrouvions dans ce lieu plein de vices. Je vois que votre pouliche est presque prête à se faire débourrer. Mon étalon lui est fin prêt.
Elle était habillée en tenue de cavalière. Elle avait un pantalon, des bottes, une cravache. Elle était très belle ainsi. Elle tenait un homme avec une longue. IL était habillée avec un pantalon noir moulant et par le haut un harnais en cuir mettant en avant son torse complètement épilée. Au niveau de son sexe, un gode ceinture avait été rajouté. Il était énorme.
- Je connais votre expérience en matière d’éducation d’équidés. Je vous laisse vous occuper de cette jeune pouliche. Elle n’a bien sur jamais été monter.
Elle pénétra dans le box. Elle attacha son soumis à un anneau. Il était à quatre pattes. Je voyais que ce gode qui le membrait comme un étalon. Elle l’avait mis également une queue de cheval ainsi que des mords.
Elle lui caressa le dos et lui tapota le cul en partant.
- Sage !
Elle se dirigea vers moi avec un sourire très vicieux.
- Regardons cette belle pouliche. Tu m’avais manqué. J’ai fait part à mon propriétaire de toutes mes envies à ton sujet. Je lui ai dis que mon étalon recherchait une pouliche. Faisons toi belle pour lui…
Elle me caressa avec sa cravache pour me faire redresser la tête. Elle parcourra ensuite mon corps.
- Ecarte tes jambes.
Elle frotta la cravache sur ma chatte puis y donner un coup. Je ne pue m’empêcher de les refermer.
Elle commença ensuite à bien me cravacher sur le corps un peu partout. J’étais en train de danser sous ses coups.
Soudain, elle s’était mise face à moi et avais pris les tétons. Elle les pressa tout en les tira à elle. Naturellement j’avançais vers elle.. Je couinais doucement..
- Allons te parer.
Elle me mit un gode dans la bouche.
- Humidifie ça bien.
- Mieux que ça !!
Elle l’enfonça bien au fond de ma gorge.
- Cambre ta croupe.
J’essayais tant bien que mal de me cambrer.
- Monsieur, pourriez vous écarter les fesses de votre pouliche.
- Mais avec plaisir Madame X.
Il écartait mon cul sans aucun ménagement. Elle introduisait alors le gode dans mon cul. Une queue de cheval bien fournie en sortait.
- Tu es très belle ainsi Lane.
Elle avait apporté un harnais splendide. Elle me le fit passer par la tête. Les lanières en cuir faisait ressortir mes seins. Il y avait différents anneaux d’où partaient des lanières mettant en avant le corps. ?
Elle passa ensuite le harnais au niveau de mon sexe. La lanière était réglable et se divisait en deux parties. Mes lèvres lisses étaient alors encerclées. Le harnais devait se fermer par l’arrière.
Elle passa alors la queue de cheval ce qui le fit se relever. Puis avec délectation, elle s’amusa à bien relever le tout pour augmenter la tension au niveau de mon sexe et de mon petit cul.
- Hum, elle pourra bientôt concourir pour le prix élégance mon cher..
- Oui, je crois..en effet.
Elle me tira les cheveux en arrière puis me mis un mors dans la bouche.
- Tout doux.. tout doux.
- Les pouliches n’aiment pas qu’on leur mette des mords et bien ajuster ensuite ton licole.. Il faudra bien le serré sinon elles s’amusent parfois à l’enlever.
Elle le serra en effet bien fermement.. Il y avait de part et d’autres des anneaux. Une seconde partie au mort était une lanière passant autours de mon front et au niveau de mes yeux des œillères.
- Voilà faisons passer sa crinière par là. Voilà je peux le fermer. Reste ensuite le collier de maintien. Voilà..
Elle s’éloigna satisfaite. Mon maitre me sourit.
Elle tata l’enjambe de son soumis.
- Hum alors on est excité. Oh ca bande bien. Puis elle le cravacha. Tu as envie de monter cette pouliche hein ?
Il hénissait comme pour montrer son intérêt.
Nous allons pouvoir l’emmener au manège. Ah j’oublais de quoi faire marcher notre pouliche.
- Monsieur, je vous prie de la détacher.
- Allez met ces chaussures.
Il s’agissait de cuissardes vernies noires.
- Je vais vous montrer comment on dresse. Vous pourrez ainsi répéter ces mouvements régulièrement pour la préparer à un concours.
Elle me sangla les bras dans le dos ainsi que les poignets.
Il me saisit par le licole. Je ne pouvais plus parler. Elle avait pris son soumis également par le licole. Il marchait droit. Il était relativement grand. Je dirais 1m85, pas trop fin. On devinait qu’il prenait soin de lui. Je ne pouvais voir son visage qui était cagoulé.
Nous arrivions dans la manège.
Elle nous attachons son soumis et moi à une longue . Elle tenait dans sa main un fouet léger destiné au dressage des cheveux.
Elle nous ordonna de marcher en levant bien les jambes.
- Je vous veux coordonner. Aller en avant.
- C’est bien.. continuez…
Elle s’amusait à donner des coups en l’air avec sa perche.
- Maintenant au trot allez..
Elle fouetta mes fesses.. Elle faisait ce petit son de bouche qu’on fait quand on voit les chevaux ou qu’on veut les faires avancer.
Son soumis lui ne suivait pas trop le mouvement. Elle le fouetta avec une telle force qu’il se mit bien au trop comme il le fallait.
Nous faisions plusieurs exercices pour travailler à notre démarche. J’apercevais mon maitre assis en train d’observer mon dressage.
- Lane, plus de grâce.
- Voilà c’est bien.
Elle tira sur les longes pour les raccourir et nous rapprocher.
- Allez suivez-moi.. il faut vous trouver la bonne selle.
Nous nous dirigions vers une salle de donjon revisitée avec un univers équestre. Sur le mur était accrochée des selles décoratives. Ca sentait le cuir. Au mur était accrochait plusieurs martinets, des fouets et autres ustensiles. Au milieu de cette place deux chevalets, destiné à y mettre des selles ou ce que vous voulez bien imaginer. Ici on pouvait s’autoriser toute
fantaisie. On voyait également des anneaux au sol. Des chaines , des barres d’écartements.
C’était un réel paradis que d’avoir l’honneur d’être dans un lieu comme celui-ci.
Il y avait un banc relativement haut. Elle ordonna a son soumis de s’y allonger sur le dos.
- Je vais faire de toi une jolie licorne. Je suis certaine que tu vas apprécier. Un animal si rare.
- Merci Maitresse essaya t il de dire.
Elle enleva son mords et lui mis un baillon avec une queue dessus.
Elle me fixa alors des rennes à mon baillon au niveau des anneaux.
- Toi, viens ici. Empale toi dessus.
Elle me tira et me forca a bien m’empaler.
- Baise toi allez.
Je ne pouvais pas parler, je bavais doucement. Elle s’amusait à cravacher les couilles de son soumis pendant ce temps là..
- Allez à quatre pattes Pouliche.
Elle sorta le mors de ma bouche.
- Prends le sexe dans la bouche.
Elle me tendit alors le gode relativement volumineux afin que je le prenne en bouche.
Elle m’empoigna par les cheveux et me força a bien le prendre..
- Allez applique toi, mouille le bien.
J’avais du mal tellement il était gros. Elle releva alors ma queue de cheval au niveau de mes fesses et me cravacha à mon tour.
- Encercle la bien fort avec tes pattes ma licorne et baise lui bien sa chatte avec ton dard.
- Il va te montrer comment on baise bien. C’est un excellent étalon. Putain mais applique toi avec ce gode. T’es qu’une pétasse.
Elle me maintenait la tête dessus. Je bavais à presque ne plus respirer ensuite. Elle me releva ; Je sentais la licorne me pilonner avec sa bouche. Il me maintenait bien fermement.
Madame releva a nouveau ma queue de cheval et écarta mon fessier.
- Allez active toi ma licorne.. Hummm cette pouliche remplit par le cul et par chatte.. un gode dans la bouche… T’es une bonne petite putain dit elle en me tapotant bravement sur les fesses.
- Suffit Licorne.
Elle me redressa par les cheveux et tant bien que m’avança vers la queue de l’étalon.
- Tourne toi.
Elle tena le gode dans sa main. Allez.. Dans ta chatte.
Je faisais les gros yeux.
- Je ne te demande pas ton avis.
Elle avait saisi un martinet. J’obtempérais. Avec mon gode dans le cul, il m’était difficile de mettre ce gode dans la chatte. Il m’écartelait.
Elle écarta bien mon entrecuisse.
- Tu vois ça rentre.
Elle me gifla et me remis le mords en bouche.
- Allez chevauche
Elle retira le gode du soumis.
- Sors ta langue Licorne.
- Lèche, nettoie ta maitresse.
Elle saisit alors les rennes pour me rapprocher d’elle. Elle me gifla les seins, elle les pinçait.
- Leche mieux que ça Licorne si tu veux une belle récompense.
J’entendais sa langue laper le sexe et le cul de Madame. Elle bougeait son bassin de manière à se faire plaisir.
- Suffit…
Elle redescendit.
- Range ta langue. Plus bougé.
Elle m’aida à descendre et me fit mettre à quatre pattes.
- Bon choisissons la bonne selle.
Elle fit mine de réfléchir.. Ah voila..
Elle prit alors une selle qui était accrochée au mur et la posa sur mon dos et la sangla. Je sentais les étrier tomber de coté.
- Alors Monsieur, comment trouvez vous votre pouliche ? elle s’est déjà fait fourré sans trop objecter et là, elle accepte la selle sans rechigner..
- Humm.. cela donne envie de se saisir des rennes et de bien la chevaucher. Mais je vous en prie, c’est vous l’éducatrice. Je vous laisse le soin de vous en occuper.
- Je vous remercie cher Monsieur. Avec un tel spécimen croyez moi, je m’en occupe avec douceur et fermeté.
Elle grimpa alors sur la selle, prit les rennes en main.
- Allez hum.. avance..
Elle fit mine de me chevaucher avec ma selle. J’avançais alors à quatre pattes, elle sur mon dos.
- Stop ! Reste bien comme ça, bien cambrer.
Elle saisit son soumis par le licole. Elle fit de même avec lui. Une bonne selle également pour lui.
Elle se promena avec lui le chevauchant sans aucun état d’ame et le cravachant si fortement. Il semblait avoir besoin d’une grande discipline. Quand il arrivait à ma hauteur elle descendit de sa selle.
- Oh mais regarde qui nous retrouvons… Va y sens la.
Il venait alors vers moi pour me sentir de partout, il se frottait contre moi.
- Je vais vous laisser. Toi Galope bien sa chatte. Je veux l’entendre bien hennir. Ne lui accorde aucun répit. Tu as le droit de la maltraiter si besoin.
Elle se retira et alla s’asseoir à coté de mon Maitre.
- Il est toujours plaisant de voir comment les animaux baisent entre eux dit elle à Monsieur.
- Allez Lane, Cambre toi bien, me dit mon Maitre avec une voix rieuse.
Je sentis alors le soumis commencer à mettre le gode dans ma chatte. Il l’enfonçait doucement puis le retirer doucement. Il écartait bien mes fesses pour j’imagine regarder comme il rentrait dedans. Puis soudainement il m’agrippa par les seins et me chevaucha si fortement.
- Allez prend les rennes, bien au fond je t’ai dit !
Il prit alors les rennes pour me cambrer. Je bavais. Je le sentais si fermement dans ma chatte… Il y avait une telle frénésie.
- Lane, fais toi bien baiser comme une bonne pouliche. J’aime te regarder te faire prendre ainsi. Une pouliche de compétition..
Il s’était approché de moi.. Il me caressait le dos, comme pour me rassurer. Il prit alors mon sein droit dans ses mains..
- Hum regarde comme il valse au rythme de ta cavalcade..
Il s’approcha alors de mon cul. Le soumis se stoppa. Il retira alors le gode de mon cul.
- Leche son cul dit sa Maitresse.
Mon Maitre écarta mes fesses et ne ratait pas une miette de ce soumis en train de me lécher le cul.
- Je t’autorise à la pénétrer avec ta langue et à te nourrir de sa cyprine. Vu comme elle bave. Ce sera ta récompense.
Je sentais sa langue rentrer doucement dans mon anus. IL se délectait. Il me bouffait littéralement la chatte et le cul.
- Hum, c’est un excelllent nettoyeur ma chère. Il la lave correctement.
- Oui en effet c’est un bon nettoyeur et un excellent cireur de pompe. Vous savez combien j’aime l’hygiène et la propreté.
- Voyez ce que ça donne deux chevaux qui se retrouvent.. intenable.. ils ne pensent qu’à baiser.
- Continuons à profiter de ce spectacle.
- J’aime quand ma pouliche exhibe ses attribus. Je pense qu’il faudrait travailler sa chatte et son fion davantage pour accueillir au mieux la queue de votre étalon.
- Oui je conviens. Elle avait du mal tout à l’heure.
- Suffit maintenant.
Elle écarta l’étalon de mon cul. Elle nous enleva la selle.
Elle retira alors le code ceinture de son soumis et ouvrit la braguette. Elle le branla doucement.
JE voyais les yeux du soumis s’égarer avec cette caresse. Tu as bien mérité ta récompense. Elle va aussi te nettoyer…
Elle me releva et me mit le ventre contre le chevalet. Elle m’attacha les chevilles avec les anneaux au sol tout comme mes poignets. Elle attacha ensuite ma queue de cheval a ma taille.
Ma bouche était ainsi bien maintenu relevé.
- Ouvre ta bouche, sors la langue..
Elle inspecta l’intérieur de ma bouche.
- Viens là toi.
- Mets ta queue dans sa bouche.
- Allez baise moi sa bouche. Tu peux lui faire ce qu’il te plait.
IL mit alors sa main au niveau de ma gorge. Avec mes oeilleres, j’avais une vue imprenable sur ses couilles et queue. Il avait un sexe d’une si grande taille.
Il m’enfourna puis saisit les rennes et les ramenait vers lui pour me donner le rythme.. Je l’entendais râler de plaisir.
Quand je sentis les doigts de Madame pénétrer mon petit fion, je fondis de bonheur. C’était si.. intense. Elle y metta deux doigts de chaque mains pour écarter mon fion.
Mon maître s’était rapproché.
- Lane, tu n’es pas encore assez ouverte…
Il me morda la fesse et inséra un doigt entre les doigts de Madame.
- Oh j’ai une idée Monsieur.. si nous la doigtions ensemble ?
Elle décida de s’occuper alors de ma petite chatte. D’abord elle la lécha..
- Hum quelle cyprine délicieuse. Je suis sure que mon étalon l’a bien apprécié.
Avec son savoir faire elle me caressait tout en commençant à me pénéter la chatte. Elle faisait des mouvement circulaires..
- Tu es déjà bien ouverte petite pute. Elle tournoyait doucement.
Mon maitre observait Madame qui allait probablement me fister la chatte.
- HUmmm… Quatre doigts.. petite gourmande…. Comme tu mouilles…
- Bite en bouche dit elle… ne bouge plus.
C’est là qu’elle commença à me fister. Elle commençait à bien enfoncer sa main et à me marteller la chatte. Je sentais la queue pénétrer jusqu’à ma gorge. J’avais tant de mal à me contenir. Je voulais me défaire de cette queue.
- Laisse la respirer et replonge à nouveau sans bouger.
- Tu n’as pas intérêt à le mordre.
Elle s’était redressé et me baiser avec son petit poing dans ma chatte.
- Prends bien ça dans ta putain de chatte de salope
Elle faisait des va et vient si fort..
Je sentis alors mon maitre me mettre des doigts dans mon cul. Je n’aurai pu dire combien. Je me sentais comme cette jument qui est fatiguée après une longue chevauchée.
Quand elle ressortit son poing, je pleurais. Je ne savais même pas pourquoi.
- Arrête de sucer maintenant.
- Détache là dit elle au soumis.
Le soumis me détacha.
- Retourne toi. Allez plus vite.. C’est bien de prendre son plaisir pour se faire baiser mais un peu d’écoute serait la meilleure des reconnaissances.
Elle me tira par les cheveux.
- Ecarte des cuisses.
J’étais a moitié allongée sur le chevalet. Mon maitre était derrière moi. Il ne tenait dans ses bras. Il me mordait le cou.
- Hum j’espère que tu prends du plaisir ma belle. Tu es si belle ainsi.
- Toi mets toi à genou.
Il s’était mis à genou.
- Ouvre ta gueule et sors ta langue.
Elle prit possession alors de ma chatte et avec un doigté merveilleux me rendait complètement folle.
Mon maitre me baillonna la bouche de sa main tout en pressant contre lui avec son bras plié autours de mon cou.
- Allez jute petite salope. Tiens.. regarde moi ça…
- Regarde comme tu gicles ma petite pute.
Tout mon corps tremblait. J’avais des spasmes. Le soumis ne perdit aucune goutte de ma jouissance.
Allez leche bien le sol, je ne veux pas que tu laisses le nectar perdu.
- Oh merci Maitresse…
- Tu le mérites tu as été bien sage.
- Allons remettre la pouliche au box.
Mon maitre me prit alors par la longue tout en me caressant le dos. Madame était si stricte.
- Petite ingrate, tu as pris du plaisir, sans que mon étalon ne puisse lui en prendre.
Elle me jeta alors dans le box. Elle enleva alors mon harnais. J’étais complètement nue. Elle me prit par la gueule et me jeta sur le ventre au sol sur la paille.
- Etalon, je te laisse cette pouliche. Tu peux en faire ce que tu veux durant 10 Min.
- Oh merci Maitresse pour ce présent.
- Je te laisse avec ta queue de cheval qui te gode si bien ton fion.
Il s’était mis à ses pieds pour les embrasser.
- C’est bon arrête.
Elle le rejeta à coup de cravache. Elle posa son pied sur mon dos.
- Tu la prendras uniquement par le cul ou la bouche. Sa chatte est bien sensible maintenant.
Ils sortaient tous les deux du box et le refermait. Ils étaient là à observer.
- Oh regardez mon cher. L’étalon semble vouloir prendre la pouliche.
- On dirait qu’elle n’est pas d’accord.
Je me débattais mais le soumis me pris les mais dans le dos. Il les attacha. IIl se saissit d’une sangle accrochée et la passa sous ma taille.
L écarta mon cul et y glissa sa queue. Il s’empara de la sangle de sa coté. Il réhaussa ainsi mon cul.
Il ne me parlait pas, je sentais juste son souffle d’étalon en chaleur.
Il me martelait fortement le fion.. Il avait une telle endurance. Il ne tenue pas longtemps.
Il éjacula sur mes fesses.
Il se releva. Je le vis aller vers l’entrée du box à quatre box.
- Releve toi.
- Hum tu l’as bien baisé..
- Lane, tu es une sacrée pouliche. Je pense que dans le monde équestre, tu vas faire une entrée fracassante. Trouver des étalons à ta hauteur.. Mais il y a encore du travail…
Il me laissa ainsi dans la paille. Je sentis des personnes passées pour me regarder étendue nue dans le box.
- Est elle à disposition ?
- Non elle ne l’est pas pour le moment.
- Ah vous en êtes le propriétaire ?
- Oui en effet.
- Pourriez nous avoir vos coordonnées, j’organise prochainement un concours..
- Avec plaisir…
Il revint me chercher au bout d’un moment. J’étais si fatiguée, si écartelée…
Je remis ma robe avec bien des difficultés, mes bras endoloris. Chatte à l’air et salie par ce sperme sur mes fesses.
- Demain, nous reprendrons ces exercices. Nous allons avoir un concours à préparer…
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La sodomie, étonnant à quel point cette pratique présente depuis la nuit des temps dans l'histoire
de l’homme, laisse encore à l’heure de l’hypersexualisation, planer un voile de mystère sur elle.
Sans doute, à cause des nombreuses idées reçues à connotation négative: avilissante, violente,
douloureuse, ou encore sale, elle ne tentait que peu de couples. Aujourd'hui, le coït anal est en
voie de démystification. Il intrigue, il excite, il repousse et dégoûte, de moins en moins; dans tous
les cas, la sodomie laisse rarement indifférent. Fantasme récurrent chez l'homme, pratique prisée
par de plus en plus de femmes, la pénétration anale n'est plus taboue. Aucune pratique n’est
dégradante en soi: des corps interagissent, c’est tout. On peut avoir l’intention de dégrader sans
passer par la sodomie. Quand on connaît sa ou son partenaire, il est facile de savoir si l'anal est
utilisé pour humilier, ou au contraire procurer un plaisir sexuel intense. La pénétration anale peut
alors devenir un moment de partage égalitaire et de complicité extatique. Elle est ce que nous en
faisons, ce que nous y projetons, en conciliant consentement, échange mutuel et hygiène.
Plus les couples sont épanouis sexuellement, plus ils considèrent le corps de leur partenaire comme sacré et
sensuel dans son ensemble. Certains ont appelé cela l’âge d’or sexuel. Chaque partie du corps devient alors
source de volupté, rendue érogène par le partage et le désir mutuel. Pourquoi dès lors ignorer la région anale ?
Il s’avère que cette dernière est pourvue de très nombreuses terminaisons nerveuses. Pour les hommes, la prostate
toute proche joue un rôle dans la capacité à obtenir des orgasmes souvent ressentis comme étant plus forts, plus
puissants. Pour les femmes, la région vaginale peut aussi se retrouver stimulée de manière indirecte lors d’une
pénétration anale. Outre la charge émotive et érotique particulière liée à la pratique, le partenaire peut aussi en
profiter pour stimuler le vagin et/ou le clitoris qui se trouvent entièrement dégagés. Certaines femmes ressentent
également de véritables orgasmes anaux, qu’elles décrivent généralement comme particulièrement puissants.
Dès l'antiquité, la sodomie était bien présente mais relevait chez les Grecs d'un moyen très codifié d'assurer
l'éducation d'adolescents mâles. Rappelons qu'un individu n’avait pas de "sexualité", il se livrait à des pratiques.
En Grèce, on parlait des "aphrodisia", qui relèvait du "domaine d’Aphrodite", mais simplement pour se référer aux
choses du sexe et non à un ensemble de discours qui aurait formé un champ de sexualité.
L’idée de relation sexuelle où les partenaires étaient égaux, où une pratique pouvait être le fait de l’un ou de l'autre
partenaire, n’existait pas. Par ailleurs, il n’existait pas non plus de pratique bonne ou mauvaise, louable ou condamnable
en soi, comme ce fut le cas, un temps, de la sodomie, entendue au sens de pénétration anale. Dès lors, il n'est pas
étonnant que les Grecs n’aient pas élaboré ni construit une catégorie hétérosexualité. Dans la majorité des cas, ils étaient
bisexuels. Mais cette norme était beaucoup plus admise pour le sexe masculin que féminin. Dans le milieu aristocratique
de la Grèce archaïque, les hommes vivaient la pédérastie, tout en étant hétérosexuels, dans le cadre du mariage.
Malgré la tolérance des peuples germaniques, les lois barbares du Haut Moyen Âge ne font aucune référence à la
sodomie; dans la société chrétienne du Moyen Âge et jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, elle entraîne la peine de mort
dans la plupart des États européens. Au VI ème siècle, de crime contre la dignité, elle devient un crime contre l'ordre
naturel défini par Dieu et pouvant mener jusqu'au bûcher. Durant tout le Moyen Âge, elle est considérée comme une
hérésie, et est combattue, notamment par l'Inquisition, sous le nom de "bougrerie."
De nombreux personnages historiques, monarques, princes et ducs en France et à l’étranger furent à tort ou à raison
soupçonnés d’être sodomites comme Henri III et ses mignons, Louis XIII et le Régent pour n'en citer que quelques uns.
Au siècle des Lumières, Montesquieu, puis Voltaire et Cesare Beccaria se sont interrogés sur la sévérité de la peine
mais ne semblent pas avoir contesté un caractère anormal à cette pratique. En Angleterre, Jeremy Bentham, dans son
"Essai sur la pédérastie", qui parut à titre posthume, suit une argumentation utilitariste et défend une dépénalisation
de la pédérastie en général et de la sodomie en particulier.
L’abolition du crime de sodomie en 1791 résulte d’un long processus social et répressif. D’abord, on observe un
glissement dans la définition de sodomie, qui vers la fin du XVIII ème siècle désigne globalement l’homosexuel masculin.
D'autre part, on observe au cours de cette période une mutation des discours sur les pratiques sexuelles et affectives.
Celles-ci sont analysées dans le cadre d’un débat sur la nature. De même, l’apparition de la sodomie masculine dans la
littérature licencieuse semble bien avoir pour motivation de distinguer des plaisirs ressentis particuliers. D’autre part, le
crime de sodomie est très rarement appliqué: pour sodomie pure, la dernière fois en 1750.
La répression policière prend le dessus, dans un contexte de visibilité des subcultures sodomites. Finalement l’abolition du
du crime de sodomie en 1791 consacre une évolution faisant passer la sodomie d’un acte interdit à un personnage blâmé.
En 1791, la France est le premier pays à dépénaliser complètement l'homosexualité, l’Assemblée constituante de 1789 ne
retenant pas le "crime de sodomie" dans le code pénal. La peine de mort pour sodomie est remplacée par les travaux forcés
en Autriche en 1787 et en Pennsylvanie en 1786. Elle est décriminalisée en 1962 dans l'Illinois; en 1967 au Royaume-Uni,
enfin en 1969, en Allemagne de l'Ouest.
Pourquoi l’attirance pour l’anal est-elle mal jugée et courante à la fois ? L’équation est simple, le tabou représente l'interdit.
Dès lors, quoi de plus excitant que de transgresser un interdit ? Pour beaucoup d’hommes, sodomiser, c’est très souvent un
symbole de puissance phallique. C’est être puissant, fort, et surtout, faire quelque chose que tout le monde ne fait pas. C'est
excitant et crée une complicité avec la partenaire. De la même manière, en sens inverse, pour d'autres, c'est un bon moyen
de stimuler la prostate et d'atteindre un orgasme. Ce n'est pas forcément l’homme qui pénètre, et on ne parle pas toujours
de sodomie. Cela signifie que la plupart de nos réticences sont fondées sur une mauvaise image, à force de répéter que
l’anal est sale et dangereux, on finit par y croire.
Lorsqu'il s'agit d'une pratique sexuelle inédite pour l'un des partenaires, l'autre peut échanger sur sa propre expérience.
Lorsqu'aucun des deux amants ne s'y est jamais essayé, ils peuvent en parler ensemble. En tout état de cause, il est
déconseillé d'initier une sodomie sans en avoir parlé au préalable. En communiquant sur la pénétration anale, l'homme et
la femme, ou l'homme et l'homme démystifient le sujet en mettant des mots sur ce tabou. Si certains restent hermétiques
au coït anal, d'autres au contraire peuvent s'y laisser aller plus facilement.
Pour une première fois, il est utile de commencer par des préliminaires bien choisis. La zone anale reste intime et sensible,
il est donc important de la ménager. Le massage de l'anus peut représenter une bonne entrée en matière, dans la mesure
où cette zone du corps très innervée, bien stimulée, peut être à l'origine d'un plaisir sexuel incitateur. Cette étape permet en
outre de dilater l'anus pour faciliter la pénétration qui s'en suit. La femme peut aussi stimuler la prostate de son partenaire:
en partageant l'expérience de pénétration anale, les amants se retrouvent sur un pied d'égalité qui favorise éventuellement
le coït anal qui s'en suit. Les plus audacieux tentent aussi l'anulingus, également source d'extase lorsqu'il est réalisé dans
de bonnes conditions d'hygiène.
Les préliminaires exécutés, le couple peut entrer dans le vif du sujet. Mais pour une bonne première expérience, et la
possibilité de la réitérer, les partenaires doivent se préparer en amont. Pour pallier aux obstacles d'ordre hygiénique, il est
important de se laver avant, du moins de passer aux toilettes. Une fois la zone propre, pas de risque de débordement et
donc de honte. Utiliser des préservatifs sur les pénis, doigts et outillages peut limiter initialement aussi l’angoisse. Pour
que les choses soient faites dans les règles de l’art, un lavement préalable est idéal. Ne jamais passer de l’anus au vagin.
Si le danger de la sodomie non protégée ne réside pas dans une grossesse non désirée, il existe néanmoins: le rectum
véhicule des bactéries qui peuvent être sources d'infections. D'autre part, les MST se transmettent par coït anal. Dans
ces conditions, il est utile de porter un préservatif lors de la pénétration anale.
Dans tous les cas, la sodomie demande un peu de douceur, de patience ou tout au moins du tact. En effet, l’anus est un
sphincter qui n’a pas pour but premier d’accueillir un pénis en mouvement. Naturellement, cet orifice fait en sorte de retenir
ce qu’il contient car sinon, ce serait l’incontinence. Si on brusque le passage, ça peut être extrêmement douloureux. De
plus, la sensation n’est pas agréable pour tous, surtout quand on reste dans la partie inférieure de la cavité anale, qui est
particulièrement innervée. Dans cette optique, il paraît de toute façon indispensable d'utiliser un lubrifiant.
Dans les faits, comment maximiser vos chances de réussir une sodomie ? On ne le répètera jamais assez mais en matière
de sexualité, l’envie et le partage sont primordiaux. Rien ne sert de tenter l’approche si votre partenaire est contre. Cette
pratique demande une vraie détente corporelle si elle se veut agréable et bien vécue. Outre le fait de se mettre dans les
bonnes conditions mentales, les préliminaires sont essentiels. Même dans le cadre d'un jeu SM, où la simulation rituelle
de la violence consentie est le point d'orgue d'une séance entre adultes responsables et majeurs.
Le bienfait de la sodomie va parfois jusqu'à rebooster la libido en berne d'un couple. Parce que le coït anal représente
un fantasme de l'homme ou de la femme, parce que les partenaires sont enfermés dans une routine sexuelle ennuyeuse
ou lorsque le couple ressent le besoin d'aller voir ailleurs pour explorer de nouvelles voies du plaisir, la pénétration anale
peut venir au secours des amants pour un renouveau bénéfique, engendrant parfois des orgasmes encore plus puissants.
La pénétration anale peut relever de l’humiliation ou de la rédemption, du profane ou du sacré, du don ou de l'égoïsme,
de l’amour ou de l'acharnement, du plaisir ou de la douleur. Elle est ce que nous en faisons, ce que nous y projetons.
Justement, parce que nous manquons parfois d'imagination ou de références, pourquoi ne pas créer les nôtres ?
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ils s'agit là bien sur d'une fiction. Je suis navrée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. je suis assise sur mon canapé quand j'ai entendu sonner.
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Il m’avait dit que des amis devaient passer à la maison et que je devais les accueillir. IL venait récupérer un colis qu’il avait chez lui.
J’étais tranquillement posé sur le canapé en mode cocooning. Je profitais de mon après midi cool pour me détendre sur son sofa. J’étais en train d’écrire comme à mon habitude.
La sonnette retentit, me sortant de la tête de mon ordinateur. Je pestais. Quand j’écris tout s’enchaine. Je n’aime pas être stoppé dans mon élan.
C’est là que j’ouvrrai la porte.
- Bonjour Mademoiselle. Je suis l’amie de M.
- Ah oui il m’a dit que vous passeriez. Par contre il ne m’a pas dit où il a laissé le colis.
- Ne vous inquiétez pas, il m’a dit où il était.
- Ah c’est parfait. Je vous en prie entrer.
Sans que je puisse l’apercevoir, je vis un autre homme sur le coté rentré également.
Il avait un style qui me mettait un peu mal à l’aise mais si Monsieur leur faisait confiance.
J’appelais Monsieur. Mais il ne décrocha pas.
Soudainement, pendant que j’étais concentré sur le téléphone, je sentis l’homme m’agripper en me baillonant par la main.
- Tout doux petite chienne. Plus tu te débats, plus que je ferais mal. Est-ce cela que tu veux.
Je hochais de la tête que non.
Il m’attrapa les bras et les mis dans mon dos. Avec une manœuvre de son pied il me fit me mettre au sol.
Son compagnon s’avança et me maintenant le cou avec son pied au sol. J’étais alors à plat ventre ne pouvant réagir.
Je me débattais mais il était bien trop fort. Un des hommes me mit du ruban sur la bouche et l’autre fit de même autours de mes poignets. Puis on me mis une cagoule.
Puis il m’attacha également les cheviles. Je me retrouvais contrainte, à leur disposition. Dans ma tête Je n’avais pas le choix. Je devinais que Monsieur avait préparé quelque chose pour moi. C’est ce que je me disais pour me rassurer.
- Tu as trouve entendais-je ?
- Oui c’est bon, là où il m’a dit.
L’homme me souleva pour me redresser. Il me maintenait ferment pour ne pas que je tombe.
- On va bien s’amuser je crois.
Je ralais à travers mon baillon.
- N’est ce pas trésor. On va bien s’amuser me dit il me pelotant les seins.
L’homme me souleva et je sentis qu’on me mit dans une sorte de coffre. Je sentais au fond de ce coffre une couverture. J’étais ainsi recroquiviller dans cette boite. Puis je sentis un cadenas la refermé. JE hurlais même si je personne ne pouvait m’entendtre. J’essayais de taper contre la boite.
- Calme toi petite salope. Tu n’as pas d’échappatoire. Je te conseille de te calmer.
Au bout de quelques minutes l’homme s’adressa à moi.
- Nous allons te sortir d’ici. Si tu bouges, que tu manifestes ta présence, je te garantis cela va très mal se passer. Vas-tu rester sage ?
Je fis un oui à travers mon baillon.
Je sentis alors la boite se soulever. Pour être mise sur un truc à roulette. Tous les sons était décupler.
J’entendis alors la voisine dire.
- Bonjour Messieurs.
- Bonjour Madame.. bonne journée à vous.
Ils se montraient d’une telle politesse. Nous devions être dans le sous sol du garage. Monsieur avait du leur donner le code. Ce qui me rassurait au fond.
Je compris que la porte d’un van s’ouvrait et qu’on me transportait quelque part.
Je m’étais calmée avec le dent. Mais mon dos me faisait mal tellement j’étais mal installée dans cette boite.
La voiture s’arrêta. La porte s’ouvra et là encore on me traina dans ma boite.
- Mets là là c’est parfait.
On ouvrait le cadenas. On me releva.
- Je vais te détacher. Je vais enlever ta cagoule. Ne tente rien compris ?
Je hochais à nouveau la tête.
Il découpa le ruban.
- Va y ote ta cagoule.
EN otant la cagoule, je vis que j’étais dans une sorte de lieu presque desafecté aménagement en forme de loft garage. Des poutres métalliques et des chaines de partout.
- Tiens bois.
Je pris le verre avec bonheur. Ma gorge s’était assechée.
Un des hommes s’approcha de moi et m’emprisonna de ses bras ;
Il me reniflait
.
- Hum _elle sent si bon.. elle sent la petite fleur de campagne qu’on a envie de cueillir.
- De l’autre, il saisit mon sein et le pressa.
Il me rejeta contre une table. Je me retournais. Je mis mes mains contre la table. Il portait tous un masque. Je ne pouvais pas les distinguer sauf leur regard.
Un des hommes vena vers moi et me bouscula sur la table afin de me mettre sur le dos.
- Tiens moi cette pute.
IL me tenait les mains fermement au dessus de la tête. Il tenait à sa main une paire de ciseau.
C’est là qu’il commença à découper mes vêtements.
Je commençais à crier. L’autre me gifla.
- Bouge pas petite salope.
Sa gifle était si forte que j’étais presque sonné. Les bras maintenus, je n’offrais plus aucune résistance. IL commença à découper mon t shirt.
- Va – coupe ce soutien gorge. Je veux voir ses mamelles de chienne.
IL m’immobilisa la tete en me tenant le menton si fort puis il me lecha la bouche.
- Tu vas être notre petite esclave sexuelle. Allez avoue que cela t’excite..
Il commença à découper mon pantalon.
Mes yeux étais apeurée.
- J’aime voir les petites chiennes apeurées qui après quémande auprès de la main qui les bats davantage. Tu nous en redemanderas.
Il me tapotait le visage.
JE me retrouvais ainsi nue dans cet endroit lugubre à la merci de ces hommes.
L’homme pris mes tétons et les pressa bien fermemant.
Je voulais hurlais.
- Ta gueule pouffiasse.
Il me gifla à plusieurs reprises
L’homme qui me maintenait, je sentais son souffle au niveau de mon cou. Il me dit.
- Je vais prendre un plaisir à te faire fermer ta petite gueule avec ma bite.
- Je te propose qu’on la prenne à tout de rôle histoire de la calmer.
Il m’avait attaché les mains qu’il avait relié au pied de la table.
- Tu vas pouvoir hurler autant que tu veux. Personne ne va t’entendre à part nous.
Il s’approcha et me prit par le cul.
- Oh mais regardez cette putain. Allez prends ça
…
Je sentais chaque coup si fort. Je fermais les yeux…
C’est là que l’autre homme me força a ouvrir les paupières.
- Laissez moi .. je vous en prie laissez moi.
Puis il me mit sa bite dans ma gueule.
- Hum quelle bonne disposition à se faire prendre. Quelle pute. Ferme ta gueule.
IL m’avait pris tous les deux à tours de rôles. Il m’avait aspergé de leur sperme. J’étais écoeurée, salie, souillée.
Un des hommes me releva. Je titubais. Il me prie par les cheveux et me traina au sol. Epuisée par leur abus sexuel, il me déposa comme une poupée dans la boite et referma le couvercle.
Je cogita au traitement qui allait venir. J’entedis alors des sons. Le couvercle s’ouvrait.
Tout en regardant avec mon regard de petite chienne terrifiée, il me caressa le visage avec une certaine douceur. La lumière du néon m’aveuglait. Je clignais des yeux.
- Alors petite chienne de quoi as-tu envie ? on est là pour toi.. tu as le choix.. sodomie, gorge profonde, double pénétrations.. On peut appeler d’autres potes pour faire une tournante. Je suis sûr que tu aimerais ça.
Il s’amusait à taper contre la boite pour augmenter la tension régnante.. Je devinais son sourire sadique et pervers.
IL me sorta de là toujours en me tirant par les cheveux.
SA poigne était si forte que je me soumettais naturellement. Il me tenait en même temps par la gorge.
- Avance..
Il me jeta sur un banc sur le dos. Il plaça ma tête. L’autre surveillait tous les gestes. J’étais relativement dociles Il s’agissait d’un meuble où de chaque coté il y avait des trous destinés à des poignets. Il m’emprisonnait les poignets dedans.. J’étais ainsi bloquée. Allongée sur le dos, la tête légèrement en arrière. Il avait attaché mon cou au meuble afin que je ne bouge pas.
Ensuite, il s’occupa de mes chevilles. Il les attacha pour qu’elles restent bien entière mettant à disposition chacun de mes trous.
Un des hommes vint tout de suite me mettre sa queue dans ma bouche. IL me tenait bien la gorge comme pour m’inciter à m’appliquer. Il s’amusa à butter sa bite contre ma joue.
Je sentis alors l’autre me doigter.
- Je vais te faire juter petite salope. Tu mouilles déjà tellement.
Il passait ses doigts sur ma chatte.
Sans aucun ménagement il inséra plusieurs doigts avec des va et viens si intense . je n’arrivais pas à me retenir. Je râlais face à ce stimuli si intense.
- Oh mas regarder moi ça… mais qu’est ce que tu jutes…
- Ferme lui bien la gueule quitte à y mettre tes couilles dit son ami.
Il prit possession de ma chatte. J’avais mal. Il m’avait déjà pas mal pilonnée avant. Je bougeais comme je pouvais. C’est là qu’il me donna un coup de jus avec son appareil sur le ventre, mais je continuais à me débattre.
Il se retira.
- Ah oui tu veux la jouer comme ça.
- - Garde bien ta queue dans sa bouche.
- - Si jamais tu le mords, je vais te déchirer tellement le cul. Tu ne marcheras pas pendant plusieurs jours.
Je me souvenais de la grosseur de son membre. Au son de sa voix, je savais qu’il ne plaisantait pas.
Il commença à mettre quelques petits coups sur ma chatte. Je ne supportais pas cela. Je faisais attention de ne pas mordre la bite que j’avais dans ma bouche. Il riait.
- Ne bouge pas..
J’essayais d’esquiver cela mais rien n’y faisait. Il riait d’un rire assez sadique.
Puis il repris sa place et me besogna bien profondément. Il éjacula sur ma chatte et s’amusa à l’étaler.
Il me laissa là salie.
Au fil du temps à autre il repassait et me prenait parfois par la bouche, le cul ou la chatte. J’étais entièrement à leur disposition. Je n’avais plus la notion du temps.
J’entendais leur voix se demandant ce qu’il allait faire avec moi.
- Je t’avoue que moi ce qui me fait tripper c’est de voir ses yeux apeurés quand je la baise. J’ai envie de lui détruire son petit cul. Je pense que je vais m’amuser à l’élargir après. Tu veux regarder.
- Ah oui clairement ! elle a l’air sacrément chiennasse.
- Et toi qu’est ce que t’aimerai bien lui faire ?
- Que dirais tu si on la labourait bien ensemble ?
- Ah oui excellente idée..
- SI on appelait M et D.. Je suis certain qu’il aimerait profiter d’une si bonne chienne.
Je le vis sortir son téléphone.
- Eh Salut M. Que fais tu de beau ? J’ai une super proposition à te faire. J’ai une bonne chiennasse qui a envie de bien se faire baiser . Ca te tente ?
La conversation dura quelques minutes.
Je me demandais ce qu’il allait faire de moi. J’avais envie que Monsieur soit là. Je commençais tout doucement à pleurer.
- Salut D. Ca te dit de venir baiser ? j’ai pour toi une bonne petite chienne. Si tu voyais son petit cul..
Il se rapprocha de moi. Il se mit à ma hauteur.
- Oh pas besoin de pleurer petite chienne. On va te donner plein de bonheur. Sache qu’on va être 4 à s’occuper de toi. Quelle femme n’aimerait pas ça..
Il mima alors avec son bassin un mouvement de va et vient pour me montrer ce qui allait m’attendre.
Il me libéra alors de ce meuble. Il m’attacha les poignets bien fermement et m’enchaina le cou. Puis il me dirigea vers le fond de la pièce. Je vis un vieux matelas. Il me jeta dessus. Puis attacha la chaine au mur.
Il me recouvra la tête avec une toile de jute.
- Hey Salut M.. salut D.. ravis que vous soyez à notre petite sauterie.
- Nous ne pouvions que dire oui..
- Viens je vais te montrer la chiennasse. Je te dis pas les trous qu’elle a. Elle a une de ces bouches ! Bon elle a du mal avec nos grands membres mais ça se voir qu’elle aime la bite.
Je commençais alors à bouger, consciente de ce qui allait se passer.
- Je vous en prie arrêter.
- Ferme ta gueule de pute.
Au bout de quelques minutes il revint. Il enleva la toile et me regarda dans les yeux
- Je vais te rendre bien docile.
C’est là que je le vis avec un sac en plastique. Il le mit sur ma tête.
- Non non..
Il serra bien le sachet avec ses mains autours de mon cou. IL m’embrassa à travers le plastique. J’étais écourée.
Je haletais. Je sentais que l’air commençait a se rariver. Le plastique se collait à mon visage.
Soudain, il releva le plastique tout en étant sur moi.
- Allez respire salope.
Je pris une bonne bouffer d’air puis me il renouvella l’opération.
Cette fois là il commençait à le garder un peu plus longtemps.
Quand il m’accorda à nouveau de l’air, je reprenais mon souffle. Il s’amusa ainsi à contrôler mon air. Je me sentais doucement partir, sans force.
- Messieurs. Regardez moi cette chienne bien docile.
Je sentis différente mains me peloter de partout sans trop retenir ce qui se passait. On me tirait sur le matelas pour me mettre dans différentes positions. On me claquait les fesses, on me baisa par la bouche. Je me retrouvais à genou. Un des hommes me faisait sucer un autre tout en me donnant le rythme.
- Allez enfonce bien cette queue dans ta gueule de pute.
- Tiens.. voilà bouffe…dit l'autre.
Ma bouche s'ouvrait naturellement. J'ouvrais ma bouche comme une bonne chienne. Je sortais ma langue.
Tandis qu’on me forçait à m’appliquer un autre me doigtait le cul. Tout en me tirant par les cheveux il me redressa. J’avais encore de la salive qui bavait de ma gueule. IL me jeta la tête au sol et releva bien mon cul. Tout en étant debout, il écarta mes fesses et enfonça en étant fièrement dressée sa bite dans mon cul.
- Putain de salope. Je vais te donner.
IL tenait mes fesses en même temps qu’il me prenait le cul. Tout doucement il sortait sa queue pour mieux ensuite l’enfoncer. Il y prenait un plaisir.
- Messieurs regarder moi ce trou du cul.
Un des hommes s’était saisi de ma main pour que je le branle avec. Je sentais aussi des doigts s’attarder sur ma chatte. J’étais là sans être là a subir cet assaut de queues.
A tout de rôle, il me prenait le fion.
- Voilà, tu es parfaitement élargi. On croirait que ton petit fion va parler tellement il est ouvert.
Ils s’amusaient à me baiser comme leur petit jouet.
Je me sentais complètement perdue avec ce besoin d’être réconfortée en me demandant quand tout ça allait se terminer.
Ils me recouvraient de leurs spermes. Je me sentais si sale. Je ne rêvais que d’une chose. Une douche chaude et les bras de mon Maître.
- Vous avez vu Blanche Neige.. Sa peau si blanche et laiteuse.
Je les entendais rire. Ils m’avaient bien utilisée. Une fois leur œuvre accomplie, on me détacha. On me rejeta dans la boite comme si on se débarrassait après l’utilisation d’un produit
J'J'étais nue, attachée et baillonnée. L’homme referma le couvercle.
- Bye bye petite salope. A bientôt. Sache qu'on garde un œil sur toi.
Je me sentais presque heureuse d’etre remisée ainsi. Je pouvais reprendre mon souffre. J’entendais à nouveau la porte d’un van s’ouvrir. On me déplaçait. Je compris que c’était la fin.
J’entendais la sonnette.
- Nous avons un colis pour Monsieur.
Je reconnais la voix de Monsieur. JE me sentais pleine de joie à l’idée d’etre avec lui.
- Je vous en prie déposer le ici.
Voici la clef pour l’ouvrir.
- Bien. A bientôt Messieurs.
J’entendis le cadenas cédé. Il ouvrait la boite. Il ota mon bandeau. Il me regardait droit dans les yeux avec son sentiment de fierté. Il me caressait le visage. IL me libéra la bouche qui était douloureuse.
Il me souleva de la boite. En étant toute attachée, il me conduisait vers la salle de bain. Il m’avait préparé un bain aux huiles essentielles. Il me déposa dedans.
Chaque mouvement m’était si pénible. J’avais mal partout. Mes muscles étaient endoloris.
, ma chatte irritée, mon fion me faisait aussi mal. Ma mâchoire m’était aussi douloureuse.
C’est dans le bain qu’il ota mes liens. IL s’était accroupi et me regarda dans les yeux.
- Tu ne me remercie pas ?
Dans un souffle.. je hochais la tête.
- Tu sais, j’étais là, je te regardais te faire prendre, malmenée, insultée et baisée. Tu as été une bonne petite chienne bien brave. Tu es ma fierté.
Je n’arrivais pas dire un mot. Tellement j’étais fatiguée.
Il m’embrassa sur le front.
- Je vais m’occuper de toi ma douce Nina. Tu le mérites terriblement !.
Il me sorta du bain. Il me secha et m’enveloppa dans la serviette. Je titubais. Ma tête partait en arrière. Il me borda au lit. Il me prit dans ses bras et m’embrassait d’une infinie douceur.
Je me retournais pour me blottir contre lui. Je ressentais cette intensité de lui appartenir. C’était toujours de plus en plus fort.
- Demain, tu m’écriras tout ce que tu as subi et comment tu as ressenti les choses.
Je m’endormis ainsi dans ses bras.
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Une fois n’est pas coutume, cet article nous l’avons écrit à deux. Certains passages ne concernent que moi. Pour d’autres, Maxime a souhaité s’associer à mon propos. Mais il considère, contrairement à moi, que ses sentiments, sa relation avec moi, ne concernent que nous. Je n’ai pas sa pudeur mais je respecte ses choix.
(Laure)
Je mesure au terme de ces deux mois de confinement combien je suis privilégiée.
Je n’ai pas choisi d’être ce que suis, d’avoir eu la chance de naître dans un milieu favorisé, d’avoir pu faire les études que je voulais, de faire un métier qui me passionne et me permet d’être indépendante.
Je sais surtout la chance qui a été la mienne de rencontrer celui dont je partage aujourd’hui la vie, mon compagnon, mon Maître, Maxime, brillant, charismatique, amoureux de la vie, exigeant et sensible, tendre ou bestial selon les moments, qui m’a rendue accro à lui et permis de rentrer dans sa vie.
Mais je ne suis pas naïve, ni vivant dans ma bulle.
(Laure et Maxime). Nous savons combien ce confinement a été dur pour beaucoup, interdits de sortir, confinés à plusieurs dans quelques m2 dans des hlm de banlieue.
Nous savons l’explosion des violences conjugales (non désirées ????), l’aggravation du chômage, les débuts de mois avec les comptes dans le rouge, la crainte du lendemain.
Nous savons le sort des anciens livrés à eux-mêmes, les morts en masse dans les EHPAD, la tristesse de ces vies qui s'achèvent dans la solitude.
Nous savons surtout ce que nous devons, ce que nous devons tous, à tous ceux qui nous ont permis de tenir, les soignants épuisés, les salariés des supermarchés, les éboueurs, les livreurs et tous ceux que nous oublions.
(Laure) J’ai honte d’avouer que jusqu’alors j’étais comme beaucoup, je les ignorais, je ne les voyais pas ou plus, profitant de cette vie de privilégiée qui était la mienne.
Désormais, mon regard sur eux a changé, et je sais que c’est à eux que nous devons le respect et l’admiration. Parce qu’ils ont tenu. Parce qu’ils étaient là, debout, pour nous.
Cette leçon, je ne suis pas prête de l’oublier.
(Laure et Maxime) Nous ne savons pas quel sera notre monde après le déconfinement.
Nous ne pouvons qu'espérer que ceux qui nous gouvernent sauront tirer les leçons de ce qui s’est passé, même si au vu de ces deux mois, on peut rester sceptique.
(Laure) Ce que je sais par contre, c’est que ces deux mois que nous venons de passer auront définitivement changé beaucoup de choses dans ma vision du monde et que me concernant la leçon aura été salutaire.
(Maxime) ce que je sais moi, c’est que ces deux mois que nous avons passé ensemble ont été pour moi deux mois de pur bonheur. Sans toi, sans ta présence, je ne sais pas comment j'aurais tenu. Merci à toi, d’être ce que tu es.
Prenez soin de vous.
Laure et Maxime
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Cela fait deux mois que nous sommes confinés, que je vis chez « lui », Maxime, mon mec, mon Maître.
Lorsqu’il m’a proposé de venir m’installer chez lui, quelques jours avant l’annonce officielle du confinement, j’ai hésité.
Jusqu’ici, j’avais toujours vécu seule, profitant de mes amants et désormais de lui mais sans jamais cohabiter, oser franchir le pas de la vie à deux. Mes seules expériences avaient été avec Maxime, pendant les vacances, mais dans un cadre différent, à l’hôtel, passant l’essentiel de notre temps dehors et ne profitant que la nuit de nos corps et de la chambre que nous partagions.
J’ai hésité, toujours cette peur de m’engager, de sortir de ce confort que je m’étais construit, la peur de ne pas être à la hauteur, que nous devenions un « couple normal », englué dans le quotidien.
Mais j’ai quand même dit oui, prête à tenter l’aventure, parce que c'était lui.
Ce qui ne devait durer que quelques semaines à finalement duré deux mois, à quasiment ne pas sortir, si ce n’est pour faire les courses, repasser chez moi le temps prendre d’autres vêtements, au cabinet récupérer des dossiers.
Et je ne regrette rien, au contraire.
Maxime a été comme à son accoutumée, compréhensif, tolérant, aimant, me laissant prendre mes marques dans cet environnement qui était le sien, empiéter dans sa vie et la bouleverser.
Et mon Maitre a joui de moi chaque nuit, et souvent dans la journée, pour « décompresser », soumettant mon corps à ses désirs, me laissant épuisée mais comblée de lui.
A l’heure du déconfinement, même s’il demeure « progressif », nous avons fait ensemble le bilan de ces deux mois.
Je lui ai dit que pour moi ça avait été une période comme hors du temps, que j’avais vécue comme une parenthèse magique, que j’avais apprécié chaque instant passe à ses côtés, à le découvrir dans son environnement, à prendre davantage encore conscience de ce qu’il représentait pour moi.
J’avais apprécié nos nuits de sexe tout autant que nos échanges, nos discussions après la baise, sa tendresse, nos moments de fou rires, la manière dont il m’avait laissée libre de m’organiser comme je le souhaitais.
De son côté il m’a dit que pour lui, ça n’avait pas été simple au début que de laisser entrer dans sa vie un tourbillon tel que moi, qu’il ne s’imaginait pas qu’une femme puisse prendre autant de place, être à ce point bordélique mais qu’il lui avait bien fallu s’adapter et assumer.
Qu’il m’avait lui aussi découverte différente, lorsque j’étais en télétravail, au téléphone ou en visio, professionnelle, efficace, ne mâchant pas ses mots.
Et, dans le même temps vis à vis de lui, drôle, aimante, pétillante et soumise chaque fois qu’il me voulait ainsi.
Mais que lui aussi avait pris goût à cette vie à deux, à cet enrichissement réciproque de que nous étions chacun grâce à nos différences et nos désirs partagés.
Il m’a proposé de continuer l’aventure avec lui, de continuer de partager sa vie, cette vie à deux, dans la proximité de nos corps et de nos sentiments.
En me laissant le choix.
Cette fois-ci je n’ai pas hésité à lui répondre oui.
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Juliette avait cru, ou voulu croire, pour se faire pardonner, que Charlotte serait
farouche. Elle fut détrompée aussitôt qu'elle voulut l'être. Les airs pudiques
que prenaient son amie, fermant la porte du boudoir où elle mettait et ôtait ses
jupes, étaient précisemment destinés à l'aguicher. Quand l'aidant à s'habiller,
elle la laissait saisir ses seins, fermes et hauts placés, l'embrasser et la
caresser, les yeux fermés, encore moite de son bain, en gémissant. Elle se
réveilla, la tête pleine d'images, elle revoyait Charlotte, attachée, fouettée,
sodomisée, râlant de plaisir sous les coups de cravache de Xavier. Sous la
douche, glissant le pommeau entre ses cuisses, elle se besogna, en
s’imaginant baisée et flagellée par des inconnus.
Elle ne se doutait pas que son fantasme allait se réaliser le soir même au Cercle. Lorsqu'elles entrèrent dans le
salon, un homme, assis dans un canapé, jouait avec le sexe d'une nymphette. Du pommeau de sa cravache, il
la masturbait à travers sa culotte de coton blanc.
Charlotte glissa à l'oreille de Juliette:
- C'est Chloé, une nouvelle. Je soupçonne Xavier de vouloir en faire son esclave, une vicieuse de prédilection.
La fille semblait sortie tout droit du pensionnat. Brune, les cheveux courts, de grands yeux bleus, la lèvre boudeuse.
- Chers amis, je vous présente Chloé, une petite perverse qui va découvrir les délices de la condition de soumise.
Aujourd'hui, elle va faire connaissance avec la cravache.
Xavier fit signe à Chloé de s‘approcher. Elle resta debout devant lui, les yeux baissés. Après un long silence, il dit le
plus naturellement du monde:
- Tu es une gamine vicieuse. Et les vicieuses méritent une correction.
Une Maîtresse apporta une boîte de godes, un foulard et une cordelette. Chloé fit mine de se déshabiller.
- Garde ta culotte.
Chloé obéit avec un frisson d’angoisse. Cependant, ce n’était pas désagréable, au fond, d’avoir peur. En tout
cas, cela ne l’empêchait pas de mouiller. La Maîtresse lui banda les yeux. Elle lui attacha les poignets, l’amena
sous une poutre, fixa la cordelette à un crochet.
Chloé se retrouva les bras en l’air. Elle dut se dresser pour que ses pieds reposent sur le sol. La position faisait
saillir ses fesses musclées et ses seins haut perchés. Après l’avoir attachée, ni la Maîtresse, ni Xavier ne donnèrent
signe de vie. N’y tenant plus, la petite demanda au bout d’un moment:
- Maîtresse, Maître, s’il vous plaît, où êtes-vous ?
Elle cria. Un objet métallique froid vint se poser sur sa nuque. Elle réalisa qu’il s’agissait du pommeau de la cravache.
Xavier le glissa le long de son dos en épousant les arêtes de la colonne vertébrale. Il jouait avec les nerfs de la fille.
Arrivé aux creux des reins, il fit le tour de la taille et se retrouva devant elle. Le pommeau de la cravache s’attarda sur
le nombril avant de remonter entre les seins. Chloé s’efforça de demeurer impassible, mais comment dissimuler son
excitation, quand on a les mamelons tendus, et que l'on devine une tache humide s’élargir dans sa culotte ?
Xavier jouait, il lui tapota la pointe des seins et lui caressa les aréoles avec le pommeau de la cravache. Ensuite, il
redescendit au nombril, et de là dans l’entrecuisse de Chloé. Elle écarta les jambes autant que le lui permettait sa posture.
Le pommeau s’introduisit dans la fourche. Il appuya sur le fond de la culotte comme s’il voulait la pénétrer avec la
cravache. Le tissu épousa les contours de la chatte et chaque attouchement provoquait un bruit mouillé.
- Tu es trempée, petite salope. Tu as vraiment le feu au cul.
Xavier poursuivit son jeu un moment avant de se reculer. Maintenant Chloé implora:
- Encore, Monsieur. C’est bon.
Pour toute réponse, elle reçut un coup de cravache sur le haut de la cuisse. Il n’avait pas frappé fort. Assez, cependant,
pour arracher un cri à Chloé et lui faire redouter la suite. Il passa derrière elle, glissa la tige de la cravache entre les
cuisses et entama un va-et-vient. Elle se démèna au bout de la corde en se mordant les lèvres pour ne pas gémir de
plaisir. Ce n’était pas de l’orgueil. Elle craignait seulement de recevoir un nouveau coup de cravache.
Il la branla ainsi un long moment. Xavier jouait avec tous les endroits sensibles du corps de sa victime: les seins, les
fesses, le bas-ventre. Même à travers la culotte, il parvint à la rendre folle en caressant son clitoris, ses petites lèvres,
les bords de son vagin. Chloé n’en pouvait plus. Au fond, il lui sembla qu'elle préfèrait être fouettée. Elle se mit à geindre
et immédiatement la cravache s‘abattit sur sa cuisse. Plus fort cette fois. Elle poussa une plainte. La cravache striait ses
fesses, lui arrachant un cri strident. Alors les coups se mirent à pleuvoir, ou plus haut, ou plus bas pour laisser des traces.
La cravache s‘abattit sur ses cuisses, ses fesses et son ventre. Chloé se tordait au bout de la cordelette. Elle ne criait
plus, elle sanglotait, une sourde plainte s‘échappa de sa bouche, à la fois de douleur, mais surtout de plaisir.
À plusieurs reprises, Chloé crut s‘évanouir mais Xavier s’arrêta au dernier moment. Il cessa de la fouetter et s’agenouilla
devant elle. Il baissa sa culotte et lècha les grandes lèvres. Chloé se tortillait au bout de la cordelette. Il dut l’immobiliser
en la prenant par les fesses. Il se livra à un long et cruel travail de sape. La chatte en feu, elle n’avait plus peur de crier,
à présent, quand la langue de Xavier s’attaqua à son clitoris et à ses petites lèvres.
Chloé était à demi-évanouie quand il lui enfonça un gode dans le vagin. Elle cria et eut un orgasme d’une violence
inouïe. Au point qu’elle l'urina. Xavier se plaça derrière elle. De ses doigts , il sépara les fesses et plaça l’extrémité du
gode sur l’anus. Encore secouée par les frissons de sa jouissance, elle gémit de douleur et de plaisir pendant que ses
deux sphincters anaux cèdaient. Bientôt, le gode fut enfoncé jusqu'à la garde. Les muscles l'empêchèrent de sortir
de l’anus. Xavier le lâcha et en prit un autre, plus gros, en métal, qu’il introduisit dans le vagin. Il le fit aller d’avant en
arrière, comme une verge. Chloé eut un second orgasme presque aussi violent que le premier.
Il lui retira les godes et la détacha. Il lui ôta son bandeau et la conduisit jusqu’au canapé où il l’allongea. Chloé eut du mal
à reprendre ses esprits. Les muscles de ses bras et de ses jambes étaient douloureux et ses jouissances semblaient l'avoir
anéantie. N’empêche, elle était contente d’échapper à la fessée, bien qu'au fond, une part d’elle-même se sentit frustrée.
- Messieurs, je souhaiterais que vous complétiez mes premiers enseignements. Elle est à vous.
Aussitôt, des mains se précipitèrent sur Chloé, palpèrent chaque recoin de son corps. On lui écarta les cuisses. Des
doigts inquisiteurs forcèrent son intimité, pincèrent ses seins, s'attardèrent sur les marques de fouet laissées sur sa peau.
Un homme sollicita l'autorisation de Xavier pour forcer la bouche de sa soumise. Il y consentit. Elle fut contrainte d'accepter
le membre qui se présenta avec violence à ses lèvres, et qui s'enfonça très vite au plus profond de sa gorge. Suffoquant,
respirant à peine, elle suçait la verge sous les insultes, pendant que les mains d'autres hommes la fouillaient sans relâche.
Spectatrice de la scène, Juliette n'en pouvait plus, son excitation était parvenue à son paroxysme. Elle n’avait qu’un désir:
être prise, pénétrée, saccagée par des hommes en rut. Une ravissante blonde aux cheveux courts, assise à côté d'elle sur
le canapé, lui caressait l’intérieur des cuisses, effleurant son sexe déjà moite. Elle sentait la cyprine couler dans son intimité.
La main posée sur celle de la blonde, Juliette écarta les jambes, guidant les doigts de la femme sous son string. Elle se
laissait branler langoureusement. Un homme sortit son sexe, le donna à sucer à sa compagne, puis força de sa verge raide
la bouche de Juliette pendant que la blonde se lèchait les doigts avant de les plonger profondément dans le vagin innondé.
Xavier intervint:
- Juliette, je constate que cette séance t'a plu, je dirais même excitée.
Et s'adressant à la responsable du Cercle:
- Béatrice, déshabillez notre amie.
La maîtresse des lieux lui ôta sa robe, lui laissant seulement des bas noirs tenus par un porte-jaretelle, puis la
débarassa de son string , qu'elle tendit à Xavier. Il le porta à ses narines, et le renifla:
- Tu n'es qu'une femelle en chaleur, Juliette. Béatrice, emmenez cette chienne au salon bleu, elle n'attend que cela.
Juliette sentit cette tension voluptueuse, cette lourdeur lui tordre le ventre lorsque elle pénètra dans le petit salon, où
des participants, tous masqués, une vingtaine, masculins surtout, cinq ou six femmes, déambulaient dans la pièce.
Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante brune aux cheveux courts, commençait à se déshabiller;
sa jupe flottait au gré de ses mouvements; par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une
cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine; elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes
au regard de l’assistance; elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans
un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta; le soutien-gorge descendu fit apparaitre l'aréoles de ses seins.
Elle s’exhibait sans retenue; deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient
déjà fièrement dressés; il les caressa et les malaxa sans douceur; le second attoucha ses fesses; elle était maintenant nue.
De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée; les doigts fouillèrent son
vagin et son anus; elle demanda à être prise; un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença
des mouvements de va-et-vient; un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge.
On attacha Juliette à une croix de Saint-André. Des lanières en cuir maintenaient ses poignets et ses chevilles au bois,
ainsi que ses aisselles et le haut de ses cuisses. Le point de jonction se trouvait juste au-dessus de ses épaules nues.
Sa tête était libre, elle pouvait regarder autour d'elle. Elle savait que les participants pouvaient tous voir sa vulve offerte.
Béatrice examina longuement les seins insolents, elle posa ses mains sur les globes fermes et de douces caresses les
parcoururent. Juliette ferma les yeux, se laissant griser par le reflet du miroir de l'intimité qu'elle offrait impudiquement
aux invités. Alors la maîtresse des lieux prit un martinet au poil soyeux et, doucement, effleura un mamelon d'une lente
caresse sur la pointe extrême; une sensation délicieuse envahit le corps de Juliette, parcouru de frissons.
Alors bientôt, Béatrice leva le bras et une méthodique flagellation commença. Les coups étaient dosés, mesurés pour ne
pas blesser Juliette qui, les yeux clos, sentait monter en elle une chaleur intense; sa poitrine était secouée par des coups
de plus en plus secs, comme une caresse de feu qui irradiait sa chair. Les seins devenaient de plus en plus marqués.
Une chaleur intense innonda la poitrine de Juliette comme une boule de feu; ses seins, plus violemment heurtés, se
choquèrent dans un bruit mat, les lanières s'entouraient autour d'eux, giflaient la chair, écrasaient les pointes en cinglant
les aréoles. La maîtresse des lieux, après trois derniers coups, cessa de la flageller pour écarter ses cuisses. Elle plongea
ses doigts humides dans l'intimité moite, constatant non sans fierté, que Juliette avait réellement joui. Les portant à sa
bouche après, elle les lècha longtemps entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine.
Deux femmes ayant assisté au spectacle de la flagellation, s'approchèrent de Juliette. Elles commencèrent par la caresser
puis la pénétrèrent à l'aide de godes de plus en plus épais. Fesses tendues, bouche tordue par la jouissance impérieuse,
Juliette râlait doucement, goûtant avec ferveur le cruel supplice raffiné; mais le gode, plus gros encore, distendait la chair,
tandis que la main de l'invitée appuyait à peine pour faire pénétrer le phallus en elle. Et un autre prit la place dans la gaine
gluante, distentue mais docile et souple; l'anus plissé disparaissait derrière le renflement émergeant au milieu de l'olisbos.
Bientôt, les deux femmes se déshabillèrent, et se ceignirent chacune d'un gode-ceinture. Elles s'approchèrent de Juliette,
les hommes formèrent un cercle autour des trois. La croix de Saint André fut alors mise en position horizontale. les deux
femmes sodomisèrent Juliette avec force dans un intense bruit mat de succion. Sur un signe, tous les invités se levèrent
en silence et vinrent contempler le spectacle. Ce fut une dizaine d'hommes qui se succédèrent, remontant et frappant au
fond de ses reins. Charlotte, éberluée, assistait pour la première fois à une séance de soumission de sa propre Maîtresse.
Pour Juliette, la douleur ressentie lors de la double pénétration se transforma en jouissance. Le corps marqué par de
longues estafilades, elle avait gémi sous les coups de Béatrice comme jamais une femme ne l'avait fait gémir, crié sous
le choc des membres des invités, comme jamais elle avait crié; elle devait leur être soumise et les accueillir avec le même
respect avec lequel elle accueillait une Domina; elle était là dans la soirée pour servir de réceptacle à la semence des
hommes qu'elle devait recevoir par tous les orifices, sans jamais protester ni même trahir un quelconque sentiment.
Sur le chemin du retour, épuisée mais heureuse, Juliette s'endormit sur l'épaule de Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'ai préféré ouvrir une bouteille de champagne..
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Cheveux au vent, je conduisais mon cabriolet. Une Z3 couleur vert anglais. J’adorais le coté rétro qu’elle avait. Il aimait me voir conduire. Main sur le volant. Un accès parfait à toutes ses caresses. Nous partions en week end au Luxembourg pour son anniversaire.
J’avais pris le soin de tout organiser pour le surprendre, que nous passions du bon temps. Il ne faisait pas trop chaud c’était si agréable. Nous empruntions toutes les petites routes. J’avais réservé un hôtel spa en pleine nature, invitant à une détente totale.
Cela faisait 1h30 que nous roulions. Nous étions partis en fin de matinée de Strasbourg.
Au feeling de mon humeur, en passant dans cette forêt, je me suis dis voilà un endroit parfait pour mon pique nique.
J’humais cet air si agréable sentant la nature. C’était si agréable. Seul les oiseaux se faisaient entendre. Je lui souriais.
- Ne bougez pas dis-je d’un regard bien complice.
- Non, je ne bouge pas, je te laisse faire.
J’allais lui ouvrir la portière avec mon coté espiègle.
- Après vous Monsieur.
En sortant de la voiture, il me claqua avec affection mes petites fesses.
J’ouvrais alors le coffre. J’avais tout préparé avec minutie.. Le vieux panier en osier, de vrais couverts, des assiettes en porcelaine, mes verres à vins et mes coupes de champagne. Il m’était d’ailleurs inconcevable, comme lui d’ailleurs, de boire de si bonnes choses dans des verres de merde.
J’étalais alors la nappe blanche rayée de bleue, j’y déposais de cousins. J’installait une petite table que je recouvrais également d’une nappe blanche. Un Pique nique chic !
Je voyais son regard amusé.
- As-tu besoin d’aide ?
- Non , je vous remercie. C’est très gentil à vous mais vous me connaissez dans ces moments là. Je veux que tout soit parfait, surtout quand il s’agit de vous.
- Tu es adorable ma petite Nina.
C’était le diminutif qu’il m’avait donné. Celui de mon véritable prénom.
J’étais à quatre pattes en train de bien tout disposer pour ne mettre aucune saleté. J’avais oté mes petites chaussures. Ma petite robe légère se retrouva sur mes fesses. La brise s’était amusée à la faire valsée. D’un d’air timide je la rabattais.
- Oh, tu étais très bien avec ta robe sur la taille riait il
Il me taquinait toujours car j’étais tellement concentrée et maladroite quand je voulais tout mettre en place. Il comprenait que c’était un exécutoire pour moi.
Lui indiquant par la main sa place.
- Monsieur.. votre table est prête. Me permettez vous de vous servir du champagne ?
- Oui, bien volontiers.
Je me saisis de la bouteille que j’avais mis bien au frais dans un sac prévu à cet effet et les bons pains de glaces. Champenoise d’origine, on va dire que j’ai une aisance naturelle à les ouvrir.
Je laissais le bouchon cédé. Nous le regardions ensemble s’envoler. Je le servais puis j’en profitais pour me servir aussi.
C’était dans ces moments où j’aimais ces instants où nous échangions de tout, nous débattions.. et le coté soumise était en général mis de coté. Même si.. je ne pouvais m’empêcher de le vouvoyer.
J’avais préparé un bons plateaux de charcuteries et de fromages que j’avais sélectionné avec soin. IL méritait ce qu’il y avait de mieux.
- Je te félicite pour tout ce que tu as préparé. Tu es vraiment douée ! J’adore. Merci.
Il m’avait rapproché de lui pour m’embrasser tendrement tout en maintenant une petite tension en s’agrippant par mes cheveux.
Ce champagne était si bon.. un repas au champagne. Voilà que la bouteille se finissait.
- Viens là…
IL tenait la bouteille dans ses mains et la posa à coté de lui.
J’aimerai qu’on mémorise au mieux cette délicieuse bouteille. Il commença à mettre la bouteille à nue.
- Empale toi dessus, je te prie.
Je le regardais, tout en rougissant.
- Par le cul, je précise ! Pas besoin de lever ta petite robe.
Je me retrouvais alors debout. IL tenait la bouteille pour ne pas qu’elle tombe. J’installais mon anus sur le goulot de la bouteille. Je poussais un petit cri.
- Allez enfonce le bien.
Je sentais doucement le bout de la bouteille s’insérer en moi.
- Hum tu peux mieux faire.. allez encore.
Je l’écoutais, je forçais davantage la bouteille.
- Maintenant baise toi avec.
Il me regardait alors faire des va et viens.
- Stop ! plus bougé.
IL souleva ma robe pour s’assurer que la bouteille était bien au fond.
- Garde ta robe sur la taille et caresse toi.
Tout en le fixant, j’aventurai mes doigts sur mon clitoris. Je n’aimais pas me caresser devant qui que ce soit. IL le savait. Je pense qu’il me punaisait des libertés que j’avais prise .
- En voilà une bonne petite chienne. Tu aimes avoir le cul bien rempli.. Regarde moi !
J’avais baissé les yeux. Je les relevai
- Oui, monsieur j’aime avoir le cul bien rempli.
Allez à quatre pattes, bouteille au cul.
Il s’était alors relevé.
- Hum quel magnifique porte bouteille.
Avec son pied, il appuyait la bouteille par le culot pour mieux me l’enfoncer.
- Allez continue de te baiser..
Je continuais les va et va. A chaque fois il poussait davantage. J’avais du mal.
- Tête au sol.
Il tenait son verre de champagne dans les mains.. c’était un détail que j’avais retenu.
J’entendais qu’il le posa sur la table.
Il prit la bouteille entre les mains. Il commença a la sortir..
- Hum, j’aime quand tu t’ouvres ainsi… Ecarte bien tes fesses.
J’obtempérais pour lui présenter mon cul. Il me glissa à nouveau la bouteille dans le fion.
- Tu aimes te faire prendre ainsi ?
- Oui .. Monsieur.
- Je me doute bien. Regarde moi tu bas de mouille.
Il retira la bouteille et la présenta à ma tête. Il posa le doigt en me regarda :
- Voilà jusqu’où elle est rentrée petite salope. J’espère que nous pourrons mieux faire la prochaine fois. Hum en voilà un bon début de week end. Il replaça la bouteille. Reste comme ça !
Au bout de quelques temps.
- Relève toi et range tout. Ensuite tu iras te cambrer sur le capot de ta voiture.
Je m’exécutais.
Une fois en place, il défit sa ceinture.
- Pas un bruit, compris.
Je baissais la tête..
- Oui Monsieur.
Il me donna la fessée avec sa ceinture. Elle avait le don de laisser de sacrées marques. Ces coups étaient parfois des plus doux, parfois des plus cinglants. Il m’apaisait aussi en passant sa main pour me les cajoler.
Il me passa la ceinture autours de mon cou et s’assura de bien le serré pour me dresser comme il le faut.
Je sentais son souffle et son excitation. Sa queue était son gonfler. En pleine frénésie IL jeta mon ventre contre le capot. Il avait pris mes bras et s’en servi pour me prendre encore plus profondément. Il râlait de prendre son pied. C’était si animal. Il repris alors la ceinture et m’étrangla avec pendant qu’il jouissait bien au fond de mon cul.
- Petite putain. Tu rouleras ainsi… Allez en voiture.
J’étais complètement sonné par l’assaut qu’il avait eu à l’égard de mon cul. J’avais perdu de ma superbe.
- Donne moi les clés. Je vais conduire.
A l’arrivée à l’hotel, notre chambre était assez spacieuse avec des poutres apparentes. J’aimais sélectionner des hotels laissant place aux jeux.. Il avait toute une valise avec ce qu’il faut pour nous adonner à nos jeux.
- Va te laver m’ordonna t il.
J’allais à la douche. Je le sentis alors venir derrière moi. Je me déshabillais.
Il me saisit par les cheveux et me poussa sous la douche me forçant à m’agenouiller.
Il avait enclenché la douche. IL me plaqua alors contre le mur en me tenant les bras au dessus de la tête. IL me baisa la bouche. Il aimait me la faire garder bien au fond. Il pinça alors mon nez pour me faire ouvrir mieux la bouche.
Soudain, il me prit par la gorge et y aller sans aucun ménagement. Il me releva. Je le regardais droit dans les yeux avec un sourire satisfaite.
Il me gifla.
- Baisse tes yeux.
Je remis alors ma tête en place et je le regardais
- Baisse tes yeux, petite salope.
Il me regifla. Il me tena la gueule avec sa main. Il me redressait j’étais sur la pointe des pieds.
- Tu sais ce qu’on fait aux petites putains ?
Il introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Il me doigtait bien intensément.
- Tu en as besoin, n’est ce pas. Tu aimes être doigtée ?
Je baissais le regard.
- Réponds moi.
Il tenait toujours fermement ma bouche..
- Oui Monsieur j’aime être doigtée..
- Bien…
Il s’était alors agenouillée. Il plaça au mieux son bras en dessous.
- Allez empale bien.
Il m’avait présenté 4 doigts ; J’adorais le sentir ainsi ça me rendait complèment folle.
Il repris rapidement le contrôle. Savamment doigtée il jouait avec ma chatte puis il commença à la fistée.
Je ne pue m’empêcher d’hurler..
J’étais alors empalée sur son bras..
- Regarde ça… sale putain..
Quand il ressortit sa main. J’étais alors vidée..
- Allez lave toi. Prépare toi pour le diner.
Je prenais ma bouche. Quand je ressortis, je vis alors des boules de geischa posées sur le lavabo.
Je m’employais à les mettre dans ma chatte. Cela me stressait déjà car quand je mouille déjà tant, j’avais peur de les perdre en marchant.
Nous allions au restaurant de l’hôtel. L’ambiance était bien feutrée c’était si agréable.
- Tu nous a organisé un superbe week end.
- Je vous remercie.
- Maintenant tu vas aller à la chambre. Tu vas faire couler un bain chaud et tu m’attendras nue comme il se doit.
- Oui Monsieur.
Je sortais alors de table pour me diriger vers la chambre.
Il y avait une sublime baignoire avec pattes de lion. Je tournais les robinet. Je testais l’eau pour m’assurer que la température était agréable.
Il revenait après 20 min. Je me demandais ce qu’il avait fait. J’étais à coté du lit a genou, les mains ouvertes. L’attendant.
- Enlève moi les chaussures je te prie.
Il s’était assis sur le lit. Avec mes mains je m’avançais pour retirer les lacets.
- Non défaits les avec ta bouche .
- Oui.. monsieur..
Avec mes dents je me saisis des lacets pour tenter de les défaire, mais je n’y arrivais pas.
- Espèce de conne, incapable d’enlever correctement un lacet…
- Lèche les chaussures je te prie dit il en claquant des doigts.
Je me baisais pour bien lui lécher les chaussures. Il observait pour s’assurer que j’effectue au mieux ma table.
- Bien , retire les chaussures et mes chaussettes.
- Défais mon pantalon.
- Déboutonne ma chemise.
- Enlève mon boxer.
Une fois ma tache accomplie, je me remise à genou à attendre ce qu’il voulait.
Il s’était levée en allant vers ses affaires. Il me montra mon collier. Il me le mit. Comme a son habitude il le serra bien fortement. Il y mis la laisse puis me tenant à court il se rapprocha de moi pour me pincer à nouveau les lèvres.
Il me posa des bracelets au niveau de mes poignets, de mes chevilles.
- Mets tes bras au dessus de ta tête.
Je m’exécutais quand je vis qu’il sortait les pinces à tétons. Il me vit alors faire les gros yeux.
- Oh oui je vais bien m’occuper du travail de tes seins et de tes petits tétons fragiles.
Il y déposa des pinces et s’amusa à y attacher des petites sonnettes.
- Allez petit quatre pattes, on avance.
Il me faisait alors marcher dans la chambre pour ensuite me conduire jusqu’à la salle de bain.
- Bouge pas.
Il revint alors avec un gode ventouse et un gros plug. C’est à ce moment là que je perdis mes boules de geisha ; J’étais honteuse.
- Je reconnais bien ma petite chienne qui ne sait pas se contenir.
Il posa l’énorme plug au sol et colla l'autre au carrelage un peu plus loin.
Il mit alors la laisse dans mes mains.
- Garde la bien ainsi en présentation. Tu resteras à genou le plug dans ton cul.
- Oui, Maitre.
Il se glissa alors dans le bain avec le verre qu’il s’était préparé. Il saisit la laisse pour ne pas que je parte.
- Allez baise toi comme tu sais si bien le faire. Encore une fois je m’éxécutais.
- Tu n’es pas assez bruyante, mets y plus de puissance, de force que tes sonnettes
montre combien tu t’atèles à ta tache.
- Voilà c’est mieux…
Il souriait et profiter de son bain.
- Suffit maintenant.
- Retourne toi, gode toi la bouche et présente moi ton petit cul élargi.
- Humm .. tu es très belle tu sais, ainsi.
Il me tenait toujours par la laisse.
- Merci.. Monsieur..
- De rien petite putain.
Au bout d’un moment, il sortit de son bain.
- Viens me sécher.
Je le séchais aussi bien que je pouvais profitant de son corps que j’adorais. Je m’étais alors agenouillée tenant par mes mains sa cuisse. JE me blottissais contre lui.
IL me caressait les cheveux.. en signe d’affection..
Il ressaisit ma laisse.
- Allez gode en bouche. Suce le comme si c’était ma bite. Quand je reviens, je veux quetu les toujours en gueule tu penses que c’est possible ?
Je bougeais de la tête en faisait une affirmation.
Il ressortit me laissant ainsi.
- Bien, tu n’as pas bougé. C’est parfait. Je n’ai pas entendu tes petites clochettes. Allez viens.
Il avait installé des cordes. Il m’attacha les bras dans le dos à hauteur des coudes puis des poignets. Il la tendit en la passant sur la poutre. J’étais alors ainsi mains et bras attachés partant par l’arrière. Une position relativement inconfortable qui me faisait me pencher en avant.
- Mords.
IL me présenta le gag ball.
- Voilà.. une belle posture. Prête à se faire enculer.
Il passa sa main sur ma chatte.. Ah oui.. bien trempée…
Il avait dans ma main sa badine. Il la passa entre mes jambes pour me forcer à les écarter.
- Tu vas compter.
1… difficilement prononçable.
Le premier coup s’abattit sur mes cuisses.
2..
Toujours sur mes cuisses mais un peu plus haut.
Il faisait monter la tension me caressant avec ou parfois faisant mine de me frapper.
3… ..
Sur la naissance de mon cul.
4..
Sur mes fesses
5..
Sur mes fesses.
6..
Sur mes fesses.
Je hurlais à travers le gagball ..
Ils s’approcha pour me calmer.
- Chut… ce n’est que le début.
7.. sur mes cuisses.
Je les refermais.
- Ecarte tes cuisses de putain.
8…
Il me remit un coup au même endroit.
- Voilà de jolies petites marques bien rouges. Tu es ma petite œuvre d’art.
- Regarde ce que j’ai pour toi.. IL me montra des pinces pour mes lèvres..
Je me dandinais.. jamais il ne m’en avait posé. J’étais sensible.
- Je vais te laisser le choix.. Soit c’est les pinces sur ta chatte ou du poids sur des seins.. Je te laisse réfléchir.
Je ne savais pas quoi choisir.. sensible de partout.
- Je vois que tu n’arrives pas. D’accord.. Tes petites lèvres.
Je fis mine que non…
- Be voilà, ce n’est pas compliqué de faire un choix. Tu devrais me remercier d’être si indulgent avec toi.
- Merci.. Monsieur.
IL retira les petites clochettes et y fixa des poids.
- Ne t’inquiète pas, ils ne sont pas lourds me murmura t il.
Je mordais dans mon gag ball à en baver. De sa main, il m’enleva ce filet.
- Et ça bave. Bon maintenant que vais-je faire ? Est-ce que je te laisse ainsi ? Est-ce que je te baise ? ou est ce que je te doigte..
- Hum je vais te baisser. Je crois que c’est ça qui va te faire bouger au mieux tes seins histoire que tu ne prennes pas des aises par rapport à mon indulgence.
Il me prit alors par la taille et me baissa en premier lieu ma chatte. Mes seins bougeaient tant. Je voyais les poids se balader. Tout en me baissant il me claqua les fesses.
- Mais je crois que le trou que je préfère c’est ton fion de salope.
Il plaça son gland dans mon cul et me pilonna. Un coup.. puis un autre.. puis encore un autre bien au fond. Il prenait totalement possession de mon cul. Il éjacula . IL se retira.
Il écarta mes fesses.
- Je veux te voir suinter du cul avec mon foutre. Mon petit sac à foutre.
Il s’installait alors sur le fauteuil et me laissa ainsi… Mon cul allait se remplir au fil de la soirée.
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(Réédition du 09/05/2020 -> 20/04/2024 - 1352 Vues)
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Parce qu'il est plus facile de se mettre à 4 pattes pour son plaisir, que de s'agenouiller devant un homme pour son bien être, la vision du BDSM est souvent abstraite ou au mieux exotique dans le regard d'une femme mariée.
04 - Qu'est-ce qui pourrait révéler le potentiel de Soumission d'une femme mariée ?
En prenant en compte les réactions pulsionnels inhérentes à toutes les femmes (Mariées ou non) dans leurs désirs à se Soumettre, 3 principaux points sont à identifier :
Leurs rapports aux notions de "feeling", de "respect", "d'exclusivité".
- "Feeling" : Si une femme se base sur la notion de "feeling" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle ne veut absolument pas se Soumettre, mais se mettre en appétit.
Elle revendique son droit d'entamer ou de cesser toutes relations à sa guise, non pas par exigence et "instincts naturels" à la porter en avant et vers le haut, mais symbolise en ce mot son manque d'intellect à savoir véritablement ce qu'elle fait et où elle va.
Couramment utilisé par les Masochistes dites "brat" ; Elles vous attisent autant qu'elles vous protègent à vous signifier que votre relation ne sera pas perenne, car ce n'est assurément pas dans leurs désirs.
- "Respect" : Si une femme se base sur la notion de "respect" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle se cherche en tant que femme dans le regard de l'autre, pas à se Soumettre.
Une imposition qui revendique son droit à être sacralisé par rapport au travail accompli dans ses actes, mais symbolise sa méconnaissance d'elle même, et souhaite qu'on lui décerne une médaille en chocolat pour ses bons et loyaux services.
Souvent hors-sujet, sèche, voir flétrie dans ses propos, elle n'aura de cesse de vouloir se trouver des raisons à continuer et à justifier son parcours de vie dans son couloir de principes, plutôt qu'avoir la volonté d'évoluer dans la Soumission.
- "Exclusivité" : Si une femme se base sur la notion "d'exclusivité" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est que c'est la peur qui la motive dans la plupart de ses décisions, pas la Soumission.
Principalement adepte du développement personnel, la stabilité d'une relation est pour elle un confort propice à ne plus se justifier de son manque d'assurance à enfin être "casée".
Ce n'est pas dans ses objectifs de se donner les moyens d'introspection à trouver sa place dans sa vie, et d'enfin pouvoir évoluer. Son désir est à se cacher dans des attroupements superficiels pouvant la soutenir dans ses désirs enfantins.
Il est important de garder en tête que garder le "contrôle" (Notamment de l'image) pour une femme est devenu au fil du temps, un fer de lance et une plaie, qu'elles ne peuvent se défaire librement dans leurs plaisirs.
Et si celles-ci n'admettent en rien leurs incapacités à déposer les armes d'elles mêmes, alors que c'est le premier pas vers la Soumission, leurs causes est à profiter, s'évader, et se justifier... Pas à évoluer dans l'extrême.
Il n'est pas nécessaire de posséder de Soumise(s) pour être Dominant, comme il n'y a pas besoin d'être possédée par un/des Dominant(s) pour être Soumise.
L'homme Dominant n'est pas un exutoire pour femmes véloces dans leurs propos, et se révélant paresseuse dans leurs parcours de vie.
La Soumission anoblie, mais n’absout jamais.
05 - Que recherche une femme mariée dans une relation extraconjugale ?
Se sentir Chienne. Un point d'entrée à arpenter un site de rencontres.
Se sentir Acceptée. Un point d'entrée dans leurs exhibitions.
Se sentir Exister. S'ouvrir ouvertement et physiquement dans leur sexualité.
"Ressentir que l'on vous trouve équilibrée sous tous rapports, alors qu'un aspect de vous primitif et vorace à juste besoin de se faire défoncer sans aucune vergogne, à en crier de douleur et de plaisir."
Il est beaucoup plus aisé de se familiariser avec cette formule pour les femmes mariées, que les femmes en roues libre voulant se garder de cette image, dans leurs utopies d'unions qu'elles désirent parfaite.
Sachant cette notion, il est d'autant plus plaisant pour la femme mariée de pouvoir solliciter les faveurs des hommes de par son accessibilité et son ouverture d'esprit, tout en ayant le plaisir d'agacer et de coiffer sur le poteau leurs concurrentes.
Alors que les femmes célibataires transpirent leurs idéologies d'exclusivité, comme si le plaisir qu'elles pouvaient donner était leur bien le plus précieux à délivrer dans l'intimité..
Les femmes mariées s'éjectent de leurs responsabilités, avec comme seul argument qu'elles l'ont bien méritées.
Arborer fièrement de porter à bout de bras une famille, et se sentant vitale à sa pérennité.
Un contraste avec leurs craintes, de ne plus pouvoir assurer leurs activités et obligations personnelles et professionnelles.
Une destinée à se donner bonne conscience dans un acte de plaisir extrême et salvateur, à pouvoir endurer leurs routines qu'elles se sont elles-même imposées.
06 - Quelles sont les ressources déployées par une femme mariée pour son plaisir BDSM ?
Se servant habituellement de la vanité et de la faiblesse de ses prétendants pour plaire, elle se trouve un renouveau dans un désir de jouissance frontale avec les Hommes Dominants.
Un cadre BDSM posé, elle sera ouverte à l'expérimentation, aux échanges et pratiques aussi bien virtuelles que réelles.
Et c'est d'ailleurs à ce stade que l'on s'aperçoit bien vite qu'une femme mariée n'a jamais le temps dans ses obligations, mais le trouvera toujours dans son excitation.
Elle sera disposée à suivre vos directives vous enviant votre indépendance, votre liberté d'action et vos choix de vie, lui octroyant une bouffée d'air frais supplémentaire à vous déléguer sa libido.
Sujet à des contrariétés dans son cocon familiale, elle oscillera aussi bien entre sa passion de vous séduire et vous fidéliser, qu'à vous exprimer sa colère, sa déception et son amertume pour ses proches.
Un moment clef qui déterminera l'orientation de votre relation, à qu'elle vous voit en amant confident, ou en Dominant sachant garder ses distances.
Par causalité, la force "par défaut" des femmes mariées n'est pas de se livrer dans un travail de Soumission, mais à s'abandonner dans leurs pulsions.
Se voulant contraintes de nature, leurs capacités à se mouvoir vers le BDSM, n'a d'égale que le lestage de leurs mariages qu'elles lustrent à leurs pieds.
Un boulet qui les rendent "canons" et accessibles aux regards des un(e)s, comme clairement superflues et handicapées aux regards des autres.
La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5419/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-3) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 3)
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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« Ce n'est pas ce qui entre dans votre bouche qui est mauvais, mais ce qui en sort ». Ainsi parle le pasteur Ron à ses brebis, dans son splendide ranch de l'Utah. Les lois fédérérales et d'état s'arrêtent aux barrières de son ranch. Chez lui, la loi, c'est lui. Il est ouvertement polygame avec quatre épouses superbes, qui en tout, lui ont donné douze enfants robustes. Là il vient d'inviter les familles des ranchs amis, qui tous font partie de la même secte que lui, à une Covid Party.
Ils ont été les premiers à s'opposer en armes aux mesures de confinement contraires à la constitution. Ils défendent le droit de porter des armes, de travailler et circuler librement et de mourir comme bon leur semble, y compris du Covid 19.
Le pasteur Ron a la voix très forte et il est écouté par ses brebis qui reconnaissent sa voix.
-Ce monde est infesté de démons. Ils sont partout et fort rusés pour se dissimuler. Pouvez vous m'en citer ?
-Oui, nos fonctionnaires, tous infestés de démons qui nous rackettent d'impôts pour se faire des vies peinardes à répandre leur mal. C'est un cancer qui peut gangrener des états comme la Russie de soviets ou la France de Napoléon ou De Gaulle.
-Oui, nos militaires, tous à vouloir nos soutirer des impôts pour nous protéger soit disant.
-A quoi les reconnaît on alors, s'exclame le Pasteur Ron.
-C'est toujours pareil, nous taxer et réduire nos libertés pour nous « protéger ».
Sur ce ils célèbrent une petite messe suivant les coutumes de leur secte et partagent une collation frugale faite d'eau fraiche, de galettes de céréales et de fruits, tous produits par le ranch du pasteur Ron.
Après vient le temps de la Covid Party. Tous s'embrassent sur la bouche. Un vrai baiser, avec les langues qui se frottent.
-Nous te rendons grâce Seigneur tout puissant. Voici que par ces baisers nous venons de te montrer que nous respectons ton commandement. Nous nous aimons les uns les autres. Nous ne craignons, ni virus, ni rien. Notre foi nous protège. Bénie soit ta volonté.
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Il avait fait moins chaud que de coutume. Xavier, qui avait nagé une partie de
la matinée, dormait sur le divan d'une pièce fraîche au rez de chaussée de la
villa. Charlotte, piquée de voir qu'il préférait dormir, avait rejoint Juliette dans
son alcôve. La mer et le soleil l'avaient déjà dorée davantage: ses sourcils,
ses cuisses, ses seins et son pubis semblaient poudrés d'or, et comme elle
n'était pas maquillée, sa bouche était du même rose que la chair rose au
creux de son ventre. Pour qu'elle pût totalement la contempler, Juliette eut soin
à plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les maintenant ouvertes en
pleine lumière. Les volets étaient tirés, la chambre obscure, malgré des rais de
clarté à travers les bois mal jointés. Charlotte gémit plus d'une heure sous les
caresses de Juliette, et enfin les seins dressés, les bras rejetés en arrière,
serrant à pleine mains les barreaux de bois qui formaient la tête de lit à la
grecque, commença à crier lorsque Juliette se mit à mordre lentement la crête
de chair où se rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres.
Juliette la sentait brûlante et raidie sous sa langue, et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendît d'un
seul coup, moite de plaisir. Puis elle la renvoya dans sa chambre, où elle s'endormit, sans penser au lendemain.
Elle était réveillée, quand Xavier vint la chercher. Il lui rappela, mais il lui paraissait peu probable qu’elle sût, en
toute connaissance de cause, à quoi elle s'était engagée, lorsqu’elle l’aurait compris, il serait trop tard pour qu’elle
échappât. Après une route interminable, Juliette arrêta la voiture devant le portail d'un manoir Régence où un
homme nous attendait; le temps de reprimer son angoisse, Charlotte se retrouva les yeux bandés; elle portait une
une robe droite noire, avec une fente arrière arrivant jusqu'à mi-cuisse; en dessous, un corset rigide rehaussait
ses seins, révélant les aréoles brunes, et la naissance des pointes, en faisant saillir le ventre, des bas fins et noirs
tenus par un porte-jarretelles; elle était chaussée de talons hauts; sa Maîtresse lui attacha les mains derrière le dos.
Le temps de réprimer son angoisse, une poigne énergique et brutale enserra ses bras frêles et la conduisit dans une pièce
qu'elle imagina minuscule, sorte d'antichambre où elle attendit un long moment; nous fûmes conduites dans un petit salon;
je me glissai derrière elle, et soulevai sa chevelure, en faisant glisser la fermeture éclair de sa robe, de la nuque, jusqu'au
bas du dos, le vêtement tombait à ses pieds, tandis que je dégraffai ses bas en les faisant glisser le long de ses jambes.
Le serre-taille rejoignit le reste de sa parure à ses chevilles, dénudant totalement Charlotte; elle conservait, fixée au centre
de ses reins par trois chaînettes d'or tendues à une ceinture de cuir autour de ses hanches, un bijou imitant un sexe dressé,
destiné à distendre le cercle de chair, et à rendre encore plus aisé l'usage de cette voie; jugée trop étroite, pour la prêter, sa
Maîtresse avait cru bon de l'élargir afin qu'elle fut doublement ouverte; ainsi forcée, elle en portait un chaque jour plus épais.
Une présence se manifesta soudain l'arrachant de sa torpeur; on la poussa pour descendre les marches d'un escalier
tortueux; l'odeur de la terre humide emplissait ses narines; au bas de l'escalier, se trouvait une cave avec son odeur
caractéristique de moisissure; une véritable cave comme une esclave doit l'aimer; on retira la ceinture de cuir et on la fit
asseoir sur une chaise en bois hérissée d'un volumineux godemichet de sorte qu'il la pénétre profondément entre ses reins.
Empalée dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient l'odeur des anciennes prisons, on glissa sur sa
tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée
au niveau de la bouche; elle ne fut pas fouettée tout de suite; les seins et la bouche offerts, dans cette froide pénombre
où ne pénétrait aucun bruit, tremblant de froid, elle ne vit jamais les deux hommes qui entraient ni la jeune fille soumise.
Quelqu'un l'appela "Numéro 2" et s'adressa à elle en la traitant de "sac à foutre"; Charlotte apprit qu'elle était là pour
servir de réceptacle à la semence des Maîtres, qu'elle devait recevoir par tous les orifices prévus par la nature, sans
jamais protester ni même trahir une quelconque émotion; c'était une femme ravalée au rang d'objet muet et servile;
un homme s'approcha de la chaise; Charlotte devina qu'il tenait au poignet, un martinet aux lanières en cuir.
On la porta sur une table où elle fut allongée sur le dos et solidement ligotée; elle attendit quelques minutes dans la
position infamante de l'esclave offerte et consentante; les hommes s'approchèrent d'elle et brusquement elle sentit
des dizaines de doigts la palper, la fouiller, la dilater avant que les sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer;
elle fut malmenée, saccagée, sodomisée; mais Juliette interrompit brutalement la séance qui lui parut trop douce.
Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui
chauffer le corps avant d'autres impacts plus sévères. Du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle reconnut la
morsure particulière au creux de mes reins. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un
aspect presque rassurant. Maniée avec nuance et précision, chaque coup reçu lui semblait différent du précédent,
selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire, sur toute la longueur de la tige.
Le Maître la flagellait avec une rigueur impitoyable et elle oublia toutes ses bonnes résolutions pour se mettre
à crier sous la morsure impitoyable du cuir. Son corps se tendait en une supplication muette, mais éminemment
éloquente. Bientôt, comme elle le pressentait, la douleur qui la tenaillait se mua en plaisir, alors elle ne put se
retenir davantage, ses reins se cambrèrent, propulsant ses cuisses et son ventre en avant, dans un orgasme si
violent qu'elle crut défoncer la croix qui la retenait prisonnière. Honteuse et fière, elle avait joui.
On détacha Charlotte de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que le temps de
préparer l'épreuve suivante; on lui lia les chevilles avec des lanières de cuir reliées par des chaînes au murs de pierre et
on emprisonna ses poignets dans des bracelets d'argent pendus que l'on écarta en croix, comme les cuisses; elle était
ainsi offerte dans cette position humiliante, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique.
Les seins et le ventre offerts, et le lugubre silence; rien qui lui était d'autant de secours que le silence et les chaînes; se
lassait-elle ? Non; à force d'être outragée, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux outrages, sinon au fouet à force d'être
fouettée; on lui ôta la cagoule; Charlotte parut fascinée par la noblesse des lieux; c'était une cave voûtée splendide, aux
murs de pierres apparentes; des cierges ornaient chacun des angles dont les flammes tremblaient sur l'or des pierres.
Pendue aux bracelets qui lui sciaient les poignets, écartelée à en sentir les jointures de ses cuisses endolories, elle ne
pouvait faire un mouvement, ni tourner la tête pour voir la jeune soumise; "Numéro 2" s'approcha de Charlotte; après un
moment, on retira la cagoule qui l'aveuglait; elle aperçu la jeune fille, à peine plus âgée qu'elle; elle avait un corps parfait
et un visage délicat; un homme lui murmura à l'oreille qu'elle devait se servir d'elle comme bon lui semblerait.
Flattée, "Numéro 2" entendait amener Charlotte à merci; elle commença par lui caresser l'intérieur des cuisses; la jeune
soumise semblait sûre d'elle, faisant preuve d'une tranquille détermination; elle ne ressemblait plus en rien à une esclave
sinon sa nudité; au contraire, elle avait le port du visage fier; aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, Charlotte gémit.
"Numéro 2" passait de la droite à la gauche, s'arrêtait, reprenait; la suppliciée se débattait de toutes ses forces.
Charlotte crut que les liens la déchireraient; elle ne voulait pas supplier; qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable
qu'un homme, elle n'en avait jamais douté, mais elle pensait que la jeune soumise cherchait moins à manifester son autorité
qu'à établir une complicité; de fait,"Numéro 2" arrêta la flagellation pour s'amuser avec son sexe, écarter les chairs, agacer
le clitoris, et la pénétrer avec le manche de la cravache; enfin, elle fit le tour du corps écartelé et détacha Charlotte épuisée.
Souillée de sperme et de sueur, Juliette décida qu'elle devait être reconduite au premier étage pour qu'elle fût douchée;
après une minutieuse toilette, elle lui ordonna d'uriner à même le sol dans une coupelle, de renifler son urine et de la boire;
bouleversée par cette épreuve, au bord des larmes, mais n'osant se rebeller, elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas,
elle se mit à laper le liquide tiède et clair et à l'avaler, prenant soin de ne laisser aucune goutte, sans être comblée de honte.
Elle fut conduite dans la chambre qu'elle devait occuper, où nue et enchaînée, elle s'endormit.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je suis désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'avais une envie folle de chamallow..
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Je sortais d’une bonne douche bien chaude. Mes muscles étaient tout dépendu. Cela m’a fait fait un bien énorme après cette longue journée. En ouvrant la porte de la salle de bain, il était là face à moi. Le regard tout rêveur, un petit sourire. Il mis sa main sur ma joue et me caressa.
Je lovais mon visage contre lui.
Il me tira par la main et me conduisait dans sa chambre.
- Mets toi sur le lit ma petite renarde.
Je le regardais, j’aimais quand il m’appelait ainsi. Cela laissait présager de doux moments quand il employait ce surnom.
Je laissais tomber ma serviette au sol. Je m’avançais alors vers le lit. Je montais dessus. Une fois bien installée, je me dandinais les fesses comme pour une invitation. J’avais mis ma tête contre le lit tout en le regardant avec grand désir. Je l’invitais à vouloir jouer avec moi.. presque suppliante. J’esquissai ce sourire sur mes lèvres..
- Je vois que tu es d’humeur joueuse.. cela tombe bien. J’ai un petit cadeau pour toi.
Je souriais.
- Mets toi à quatre pattes..
Il s’avança vers le lit et s’assit à coté de moi. Il posa le paquet devant moi. C’était une boite fermée par un ruban.
- Je veux que tu l’ouvres avec tes dents ou ta bouche. Applique toi !
Presque félinement, je me cambrais pour m’amuser avec ce ruban. Je le saisissais d’une extrémité avec ma bouche. Et je tirait doucement dessus. Il me restait à faire de même de l’autre. Je me déplaçais alors sur le lit et je défis l’autre extrémité. Avec mes dents, je tentais de défaire le nœud. Je le regardais alors avec ce regard qui nécessite de l’aide.
- Oh tu as besoin d’aide.
Je hochais la tête en faisant mine d’avoir l’intellect proche de celui d’un enfant qui a besoin de soutien.
- Attend je vais t’aider. .. voilà. Allez continue.
Avec le bout de mon nez je tentais d’ouvrir la boite, le couvercle tomba légèrement. Je le poussais alors tout doucement à nouveau avec mon nez.
- Brave petite fit-il en me caressant la tête.. C’est bien. Voyons un peu ce que cache ce petit papier.. Attend je te le défais.
C’est là que je vis une sublime queue de renard. Mes yeux brillaient.
Il tapait sur ses genoux m’invitant à m’y installer. Tout en marchant à quatre pattes sur le lit, je passais au dessus de ses jambes pour lui présenter mes fesses.
Il commença par me caresser les fesses. Il aimait un plaisir à les griffer, les mordre . C’était pour moi mon loup Alpha. Je continuai à bouger mes petites fesses quémandant encore davantage..
- Tout doux ma belle…
IL écarta doucement mes fesses puis commença à balader ses doigts avec douceur sur ma chatte.
- Redresse toi.
Il me tenait alors par le coup et appuya sur mon dos afin que je me cambre.
Naturellement j’avais ouvert ma bouche pour en sortir ma langue.
- Hum bonne petite salope.. dit il en me fouillant avec un doigt la chatte.
Il avait saisit le rosebud surlequel était fixée la queue de renard. Il l’humidifia en l’introduisant dans ma bouche.
- Descends au pied.. Présente moi ton cul..allez.
Je ne disais rien, j’étais excitée à l’idée de jouer à la petite renarde en essayant d’en prendre toute l’attitude.
Je pris cette position où je présente mon cul à Monsieur. Tête au sol, cul relevé.
- Humm que tu es excitante ainsi.. On va bien jouer ensemble.. ma petite renarde.
IL placa le rosebud au début de mon anus. Il le poussa doucement jusqu’à ce que mon fion cède.
Il s’assura qu’il était bien en place. Le jeu allait commencer.
- Allez redresse toi que je te mette tes petites oreilles de renarde…
Je savais quel était mon rôle ce soir. C’était tellement amusant et plaisant de jouer ce rôle de renarde. Ce coté intelligent, craintif, joueur.. c’est un animal que j’ai toujours aimé.
- Voilà…. dit il d'une voix satisfait.
Puis il me mit mon collier.
Je commençais alors à marcher avec fierté avec ma queue de renard tout en me dandinant et le regardant. Il m’observait à l’affut de mes réactions. Je fis mine de vouloir sortir de la chambre.
- Stop, viens là…
Mais je n’écoutais pas je jouais à ce petit animal sauvage à apprivoiser. Il se leva et à ma hauteur, attacha la laisse.
- Voilà, maintenant tu ne peux plus partir.
Je forçais à vouloir marcher dans la direction inverse de la sienne en tirant sur ma laisse. J’éméttais un petit son d’animal appeuré qui a été mis en captivité.
- Viens là, regarde la petite friandise que j’ai pour toi..
Je me fis alors un peu plus docile à dresser mes petites oreilles, si intéressée par la nourriture qu’il me montrait. Fièrement à quatre pattes, tête droite pour être belle et recevoir ma récompense.
- Pas bougé.
Il approchait avec sa main cette friandise… je devinais que c’était un Chamallow… j’adorais les bonbons, un péché mignon très utile pour attraper les petites renardes fuyardes.
C’est alors que je commençais à tourner sur moi, à poser mes mains sur ses jambes en jouant de mes bras comme si c’était les pattes d’un renard.
- Sage dit il en levant la main.
Je le regardais droit dans les yeux continuant mon manège. Il me parlait avec un ton rassurant pour que j’obeisse.
Puis doucement, je me calmais. Je m’étais assise sur les genoux, les deux mains sur ses jambes. Je ne bougeais plus je le regardais.
Doucement il approchait le chamallow vers ma bouche. J’ouvrais ma gueule pour le saisir. Je sautais pour le récupérer. Il le retira avec rapidité.
- Je vois que tu n’as pas encore les bonnes manières. On recommence. Doucement !
Je voyais le chamallow à nouveau revenir vers moi et à nouveau je fis mine de vouloir le voler de sa main. Une petite renarde bien joueuse que je suis.
A nouveau il retira sa main.
- Tu attends dit il en levant le doigt.
Cette fois il rapprochait le chamallow de ma bouche. J’attendais. Je louchais dessus.
- Maintenant !
Je mordis à pleine dent, dévorant cette friandise qu’il m’offrait. Il s’agenouilla et me caressa les cheveux.
- C’est bien.. C’est bien, tu vois.. tu apprends vite… Allez viens.
IL me fit marcher à la laisse. J’avançais quand il stoppa. Je continuais.. Je m’étranglais. Je revenais alors dans sa direction. Il le fit à plusieurs reprises. C’est alors que je compris que je devais marcher à son pied.
Dès que je le voyais s’arrêter je m’assayais, le regardant dans les yeux. Il me tendait alors un autre chamallow
- C’est bien.. brave petite.
Il se dirigea alors sur le lit. Il me fit monter dessus. Je me mettais bien au milieu, je sautillais avec mes deux bras avant, faisant mine d’etre heureuse de voir mon maitre. Je venais me frotter contre lui. Assis sur le lit, il le laissait cette liberté c’est là que je posa ma tête sur ses cuisses. On se regardait si intensément. C’était si sensuel, si érotique. J’étais sur le dos, ma tête sur ses cuisses.
Je faisais mine de bouger ma tête comme le ferait un animal qui apprécie les caresses.
Il me caressait les cheveux, mes petites oreilles. Puis commença par me caresser les seins. Ses mains se balladaient. Je souriais de bonheur. Mes bras étaient à moitié replié. Parfois j’en tendais un pour lui toucher la joue et y laisser ma patte.
Il me saisit alors le poignet.
- Non.. non…
C’est là que je sortis ma langue pour lui montrer mon envie de jouer. Je me blottissais contre lui. Ce jeu était ce qui me fallait à ce moment présent. Il me retourna puis à nouveau je sentais qu’il voulait s’attarder sur le cul de son petit animal.
- Voyons ça… quelle douce petite fourrure.
Encore une fois, je faisais ces petits sons comme pour simuler celui d’un animal qui attendait plus.
Il souleva alors ma queue. Il tapota alors ma petite chatte. C’est alors que je voulu descendre.
Il me remis à quatre pattes et enchaina la laisse au lit.
Il releva à nouveau ma petite queue de renarde qu’il déposa sur mon dos. Quelle douceur sur la peau. J’en frissonnais. Il se leva et alla à son tiroir. Il en sorti la cravache. Je couinais tout doucement en le regardant avec ce regard de petit animal effrayé. Je tentais de me défaire de l’emprise de ma laisse en tirant dessus.
Quand soudain, le premier coup de cravache arriva sur ma croupe. Je couinais. Il avait saisi la queue de renard maintenant en main pour me maintenir par le cul. IL plaçait la cravache pour me la faire sentir. Il l’éloignait et frappa à nouveau. Je tirais à nouveau. Puis il faisait plusieurs petits coups sur la crache au niveau de ma chatte. Cela me calma directement..
Il repris alors les rênnes de la laisse. IL plaça la cravache dans ma bouche.
- Voilà. Garde ! tu gardes !
D’une main pleine de désir, il souleva ma queue et fourra la sienne dans ma chatte. Il attrapa alors les extrémités de la cravache pour me redresser. Il me chevauchait la chatte. La chatte de cette petite renarde qui couinait ne comprenant pas ce qui lui arrive. Elle s’accouplait se laissant aller à la frénésie de cette queue qui la remplissait, la pilonnait, la bourrait si profondément.
Cette renarde compris toute l’attention que son propriétaire avait à son égard.
Je couinais, émettant toujours plus de son… Il tenait la cravache comme si c’était les mords d’un cheval. Chaque coup de queue était de plus en plus violent. Puis il me prit alors par l’oreille et dans un état complètement sauvage releva bien mon cul. IL était debout et me prenait ainsi à nouveau par la chatte.
Une renarde bonne à la baise. Il me tenait par les mamelles. Il me poussa alors contre le sol pour me mettre ensuite sur le dos.
Naturellement, je mis mes bras comme celle d’un chien qui se met sur le dos.
Il me tendit alors un nouveau chamallow.. Je sortais ma langue pour en profiter. Je commençais à savourer cette friandise quand il engouffra sa queue sans que j’ai finis de le manger.
Il exaltait.
- Quelle bonne petite renarde.. allez bouffe la bien..
- - Sors ta petite langue.
Il me fit alors lecher ses couilles. Je lapais… je lapais .. heureuse de tous ces sévices, supplices ou plaisirs.. je le désirais tant. J’aimais sa perversité. Des deux je ne savais pas lequel l’était le plus ;. Mais au fond ? on s’en fout !
Je le regardais, il me regardait. J’avais ce regard lubrique qui disait ;. Encore.. encore…
Il m’arreta dans mon élan puis me laissa ainsi au sol. Je me remis alors naturellement sur mes pattes à attendre quoi faire. Il avait sorti une chaine qu’il fixa autours de ma taille et m’enchaina au lit.
- Repose toi maintenant !
Je le haïssais à ce moment là de me laisser dans ma frustration. J’avais couru à quatre pattes vers lui, stoppée dans mon élan par la chaîne. Je tirai dessus, jouant le jeu d’un animal voyant son maitre partir. Je commençais à pleurer à la mort comme un animal abandonné le ferait.
Quand il revint, quelques minutes après. Je le voyais qu’il avait cédé.. Je lui faisais la fête en me dandinant le cul. Je me mettais bien fièrement pour avoir ma friandise. Sauf qu’au lieu d’avoir ma friandise il me musela la gueule avec un gag ball.
La petite renarde était alors obligée d’attendre ainsi enchainée au lit, ne pouvant émettre le moindre son.
IL était sorti de la chambre.
Je tournais en rond, puis naturellement je m’étais allongée. JE m’étais mise en boule comme à mon habitude. Je m’étais endormie.
EN me réveillant, je le vis qu’il me regardait. Il m’avait découverte. C’était probablement cela qui m’avait réveillé. J’en avais la chair de poule. IL me tira alors vers le pied pour m’amener au bout du lit tout en empoignant le second. J’étais alors sur le ventre les pieds posés au sol.
Il retira alors la queue de renard.
- J’ai une bien meilleure queue pour toi.
Toujours sans pouvoir dire mot, je sentis sa bite s’engouffrer dans l’antre de mon anus. Il m’empoigna les cheveux les tournant autours de sa main.
- Petite… putainnnn…
Il m’arrachait presque les cheveux. Tant de sauvagerie à me prendre d’assaut ainsi. J’étais encore sous le poids de mon réveil.
- Allez glappis.. glappis
Je glapissais à travers mon baillon. Puis il m’avança sur le lit.
- Ecarte ton cul.
J’écartais mon cul. A nouveau il s’enfouissait dedans. Il plongea ma tête contre le matelas.
- Mais regardez moi ce cul.. comme il est bien ouvert !
Il me tenait les fesses bien écartée pour voir comment mon fion était élargie. IL aimait le voir bien ouvert. Il replonga dedans. Il saisit ma tete qu’il martelait avec force contre le matelas.
- Voilà comment on baise une renarde.
A nouveau il me tourna sur mon flanc. Passa son bras autours de ma gorge pour me plaquer contre lui. Il prit sa queue et me la fourra dans ma chatte. Je me prenais des gifles, entre deux moments où il me malmenait les seins. Ma jambe était levée pour mieux me faire prendre.
Je criais alors mon plaisir d’être prise ainsi. IL m’embrassa.
Puis il repassa sa queue dans mon cul. Il serra fortement son bras sur ma gorge. Je ne m’appartenais plus tellement cela me rendait folle.
Il éjacula dans mon cul. Une fois qu’il se retira il y mis la queue de renard.
Je m’endormais alors dans ses bras. Epuisée.
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Dans la mythologie grecque, Pénélope, chez Homère ?????????? / Pênelopeia,
chez les auteurs postérieurs ???????? / Pênelópê), fille d'Icarios, est l'épouse fidèle
d'Ulysse dont elle eut un fils, Télémaque, exemple le plus cité de la fidélité conjugale
et de la vertu. On raconte qu'à sa naissance, on l'avait appelée Arnacia, qu'elle fut
jetée à la mer sur l'ordre de son père et sauvée par une bande de canards qui la
nourrirent et la ramenèrent sur le rivage. On la rebaptisa alors Pénélope, signifiant
canard. Dans sa jeunesse, à cause de sa grande beauté, elle fut demandée par
plusieurs princes grecs. Son père, pour éviter les querelles qui auraient pu éclater
entre les prétendants, les obligea à en disputer la possession dans des jeux qu'il fit
célébrer. Ulysse sortit vainqueur, Pénélope lui fut accordée.
Pendant les vingt années d'absence d'Ulysse, durant et après la guerre de Troie, Pénélope lui garda une fidélité
à l'épreuve de toutes les sollicitations. Sa beauté et le trône d'Ulysse attirèrent à Ithaque cent huit prétendants.
Elle sut toujours éluder leur poursuite et les déconcerter par de nouvelles ruses. La première fut de s'attacher
à faire sur le métier un grand voile, en déclarant aux prétendants qu'elle ne pouvait contracter un nouveau mariage
avant d'avoir achevé cette tapisserie destinée à envelopper le corps de son beau-père Laërte, quand il viendrait à
mourir. Ainsi, pendant trois ans, elle allégua cet ingénieux prétexte, sans que sa tapisserie s'achevât jamais ; car elle
défaisait la nuit ce qu'elle avait fait le jour; de là est venue l'expression "la toile de Pénélope", désignant un ouvrage
auquel on travaille sans cesse et que l'on ne termine jamais.
Ulysse et Pénélope ont pu bâtir leur palais, l’habiter et s’y aimer. Ils ont eu un fils, Télémaque. Mais Télémaque n’a que
quelques mois quand Ulysse part pour Troie et ving ans lorsqu’il revient. Quel peut être le sens du départ d’Ulysse ?
Peut-être signifie-t-il la fin de la lune de miel et du rêve de fusion, ce rêve de retour au paradis perdu ? le voyage d’Ulysse
serait comme un voyage intérieur initiatique qui, par la séparation d’avec sa terre et sa famille, mène à la différenciation.
Les nombreuses épreuves qu’il traverse le mettent à nu, seul, face à lui-même. Elles le confrontent aussi à ses propres
conflits et démons intérieurs qu’il devra affronter les uns après les autres afin de pouvoir ensuite découvrir et s’approprier
ses émotions, ses désirs, son identité et faire le choix de ses appartenances.
Ainsi s’agirait-il de faire le deuil de la première maison maternelle et familiale, assumer sa perte pour pouvoir l’intérioriser,
et alors seulement, pouvoir s’habiter soi-même. À ce moment-là, le souvenir et la reconnaissance de soi et de l’autre
deviennent possibles, le désir peut exister, et habiter ensemble devient possible. Alors seulement, Ulysse peut répondre à
Calypso qui voudrait le garder encore auprès d’elle et s’inquiète de savoir Pénélope plus belle qu’elle:
"Mais non, je sais qu’auprès de toi Pénélope serait sans grandeur ni beauté, tu ne connaîtras ni l’âge ni la mort, elle n’est
qu’une mortelle, et pourtant le seul vœu que chaque jour je fais est de rentrer là-bas et de voir en mon logis la journée du
retour" (Homère). Alors, Ulysse, acceptant sa condition d’homme mortel et seul, peut rentrer et retrouver sa femme.
Pénélope elle aussi, à sa manière, en repoussant les prétendants et en élevant son fils entourée de ses servantes, fait son
propre voyage intérieur: elle pleure l’objet de son amour parti, perdu peut-être, mais aussi elle le conserve en elle.
Elle refuse les prétendants, mais s’en protège mal, puisqu’ils envahissent le palais, dévorent les réserves, boivent le vin
d’Ulysse. Elle élève Télémaque, mais sans le père entre eux, Télémaque est faible: il se range tout un temps aux côtés
des prétendants. Cependant, Pénélope ne doute pas d’elle, ni de son amour, ni de son désir; c’est le retour d’Ulysse.
Il a débarqué à Ithaque et, déguisé en vieux mendiant, il s’est présenté au vieux berger et à Télémaque. Il a été reconnu
par eux et par son chien et la servante qui lui lavait les pieds.
Aidé de son fils, il a tué tous les prétendants. Il lui reste à être reconnu de Pénélope. Il l’attend dans la salle du palais.
La vieille nourrice prévient Pénélope: "De l’étage, à ces mots, la reine descendit. Quel trouble dans son cœur ! Elle se
demandait si, de loin, elle allait interroger l’époux ou s’approcher de lui et, lui prenant la tête et les mains, les baiser.
Elle entra, elle avait franchi le seuil de pierre: dans la lueur du feu, contre l’autre muraille, juste en face d’Ulysse, elle vint
prendre un siège; assis, les yeux baissés, sous la haute colonne, il attendait le mot que sa vaillante épouse, en le voyant,
dirait; mais elle se taisait, de surprise accablée. Elle resta à le considérer, et ses yeux tour à tour reconnaissaient les traits
d’Ulysse en ce visage, ou ne pouvaient plus voir que ces mauvais haillons." (Homère)
Pénélope doute. Elle ne veut pas de n’importe qui, elle veut Ulysse et aucun des signes qui l’ont fait reconnaître par les
autres ne lui suffisent. D’autres hommes pourraient présenter les mêmes signes et la tromper: bander l’arc, avoir la même
cicatrice au genou. Pénélope veut l’Ulysse qu’elle aimait, il y a vingt ans, celui qui est parti, son mari avec qui elle pourra
combler le trou de ces vingt années d’absence. Alors Ulysse sourit. Il pense que son apparence de vieux mendiant la
trouble et que la présence de Télémaque et des autres la retient. Il confie à son fils une mission hors du palais et
demande qu’on lui prépare un bain.
Athéna répand sur Ulysse la beauté et la grâce, et c’est pareil à un dieu qu’il reprend sa place, face à Pénélope qui se tient
toujours là, immobile. Ulysse laisse alors exploser sa colère: "Malheureuse ! Jamais, en une faible femme, les dieux, les
habitants des manoirs de l’Olympe, n’ont mis un cœur plus sec. S’éloigner de l’époux, quand, après vingt années de longs
maux et d’épreuves, il revient au pays. C’est bien. Nourrice, à toi de me dresser un lit; j’irai dormir tout seul, car en place de
cœur, elle n’a que du fer." (Homère)
"Ulysse, à ces mots, pris d’un plus vif besoin de sangloter, pleurait. Il tenait dans ses bras la femme de son cœur, sa fidèle
compagne. Elle est douce, la terre, aux vœux des naufragés. L’aurore aux doigts de rose les eût trouvés pleurants, sans
l’idée qu’Athéna, la déesse aux yeux pers, eut d’allonger la nuit qui recouvrait le monde." (Homère) Le tronc d’olivier,
fondement du lit construit par Ulysse pour Pénélope et lui représente le fondement de leur couple, tant dans sa réalité que
dans sa dimension mythique. Il est leur secret et leur mythe, miroir du lien qui les unit et les fait couple. Ce mythe fondateur
confirme leur identité et leur légitimité.
Et dans le présent de cette nuit où ils se retrouvent, ils se rejoignent à travers le souvenir du passé qui permet le retour
aux racines et le souvenir du futur qui permet le passage vers l’avenir. Il aura fallu qu’Ulysse quitte sa maison, son couple,
sa famille, se retrouve seul, simple mortel dans les épreuves pour qu’enfin il puisse se trouver, s’unifier et revenir et gagner
sa place à Ithaque. Face à Pénélope, Ulysse se conduit en époux et doit lui rappeler leur mythe commun pour qu’ils
puissent à nouveau partager leur vie. Vis-à-vis de Télémaque, il agit en père; il le reconnaît comme son fils et lui confie
certaines missions qui lui permettront de devenir un homme.
Pénélope et Antigone, deux faces indissociables du féminin. À partir du poème d'Homère (850 av. J. C. ), et de la tragédie
de Sophocle (entre 496 et 494-406 av. J. C. ), ces deux figures mythiques et exemplaires rencontrent la psychanalyse.
L'histoire dénoue les incompréhensions et les impasses, à la fois originelles et actuelles de notre temps: de la dissociation
entre notre pensée et action, entre le pouvoir et la responsabilité, de la rencontre problématique de l'homme et de la
femme à cause du non rapport sexuel. Pénélope par sa ruse interroge la texture féminine de l'attente, et par son tissage,
la forme féminine de la parole. Trame et drame de sa vie, la seule certitude de la femme, est que son attente peut être
sans objet. À ce point d'assurance se fixe le refus. C'est un choix qui implique la mort.
Fantasme d'un tissage infini, tissage sans chiffrage, la femme sait moins d'un temps chronologique que d'un temps
logique. Antigone fascine les hommes et parle aux femmes. Sa fascination tient à son acte et à la limite où elle se
campe, entre la vie et la mort. Antigone, la femme l'éprouve, comme elle éprouve les lois non écrites. Elle se révolte
lorsque les lois humaines dérivent au nom du souverain confondu avec le désir criminel. S'il n'y a pas de signifiant
universel pour L? femme, Antigone se présente comme signifiant du pur désir, qui est un désir de mort. Antigone et
Pénélope affirment une vérité individuelle contre le pouvoir humain où l'oubli semble constitutif du politique. Ayant en
commun, l'excès, la solitude, elles sont garantes d'une mémoire infaillible.
En littérature, Le roman de l'écrivain irlandais, James Joyce "Ulysse", paru en 1922, renvoie au couple mythologique de
Pénélope et d'Ulysse. Dans son ouvrage, "Naissance de l'Odyssée", édité en 1930, Jean Giono imagine le retour d'un
Ulysse peu glorieux. Le personnage de Pénélope donna aussi lieu à des réécritures d'inspiration féministe.
Bibliographie et références:
- Callimaque, "Hymnes"
- Déméter, "Les Hymnes homériques"
- Hérodote, "Enquête"
- Homère, "Odyssée"
- Hygin, "Fables"
- Homère, "L’Iliade"
- Pausanias, "Périégèse"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- Hérodote, "Enquête"
- Chantraine, "Dictionnaire étymologique de la langue grecque"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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’ai écrit ce texte sur Portishead – Over. Je suis naturellement désolée pour les fautes qui doivent se faire présente au fil de mon excitation quand j’écris.
Je ne me relis pas, je suis désolée, je suis en salle d’attente.
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- Deshabille toi.
Son regard était sévère mais ses gestes m’indiquaient aussi que j’étais entre de bonnes mains. Je portais ce collier qu’il avait gravé et que je chérissais.
J’étais nue. Nous étions dans un club en Allemagne où des pièces dédiées à des fantasmes permettaient les extravagances pervers d’être réalisées. Je ne savais pas ce qui m’attendais. Son imagination était débordante. Il pouvait être sensuelle, doux puis parfois bien plus intransigeant. J’aimais cette alternance dans notre vision de cet univers qui nous est si cher.
Savoir se mettre à nue, oser tout dire, tout ce que nous avons dans la tête.
AU fond n’est ce pas ce qui fait qu’une relation fonctionne ? La sincérité et la franchise sont les maîtres mot. Naturellement, il s’était imposé à moi. Je sentais cette maîtrise, cette bienveillance et son infini respect pour le don que je lui faisais. Ma soumission.
IL y avait cette femme forte, têtue et très fière. Elle avait un coté fleur bleue et romantique. Celle qui aime être rassurée, cajolée, désirée et aimée. De l’autre, il y avait cette femme plus sombre qui depuis son adolescence ressentait au fond de ces entrailles ce besoin d’abandon.
Très jeune, j’ai du affronté, comme tout le monde, des moments compliquées. C’est ce qui nous construit. J’ai rapidement su que je ne pouvais compter que sur moi-même.
M’abandonner à un homme, complètement à nue et à ses pieds, c’est l’ultime quête. La forteresse que j’ai construite est forte. J’attendais qu’il vienne simplement y pénétrer en étant lui, en me respectant sans à avoir à utiliser mes armes pour me protéger.
Parfois j’allais vers les mauvaises personnes, parfois je voulais sincèrement accordée ma confiance. Mais les actes parlent toujours plus que les mots. Combien d’hommes (comme de femmes aussi) mentent et se mentent à eux même. La franchise c’est laisser l’autre libre de ses choix. Malheureusement, le besoin de posséder l’autre au détriment de ses sentiments est malheureusement légion. Ne parlons pas de ces fantasmeurs pendant qu’une femme soumise c’est un peu celle qui accepte tout avec n’importe qui. Ca me fait sourire.
Messieurs, être dominant c’est un état d’esprit, c’est en vous. Alors à ceux qui s’improvise dominant en se disant qu’une soumise va tout accepter juste comme ça par improvisation me fait simplement.. rire. Manquant le plus souvent de charisme, d’imagination. Mais je l’ai rencontré.. enfin. Le temps a été un tel luxe qui m’a apporté mon Saint Graal.
IL était à mon service et moi au sien. L’un sans l’autre ne peut exister.
Ce soir, il m’impressionnait encore une fois par cette aura qu’il dégageait . Celui qui me traitait comme sa princesse et sa chienne. Être chienne c’est pour moi révéler ce coté animal loin des codification sociétale, c’est pousser ses retranchements et s’assumer pleinement. Quoi de plus merveilleux que d’avoir ce guide qui m’épaule, me cajole, me corrige, me caresse et me rassure. Un lien si fort.
Il me tenait par ma laisse. Fièrement dressée sur mes talons.
- Viens me dit-il.
Nous dehambulions dans ce couloir pour arriver à cette porte.
- A genou, ma belle.
Il toqua.
La porte s’ouvrit. Un homme habillé en blouse et avec un masque ouvra.
- Bonsoir Docteur. Je vous amène en consultation ma petite chienne. Je souhaite faire une vérification complète de son état.
- Comment s’appelle votre chienne ?
- Lane.
- Des antécédents ?
- Oui des problèmes de dos. IL faut donc être prudent.
- D’accord, donnez la moi, je vais la mettre en cage en attendant.
- Voilà je vous la confie.
- Merci, je vous appelle quand la consultation commence.
L’homme me caressa les cheveux.
- Voilà tout doux ma belle. Nous allons te mettre en cage pour éviter que tu ailles fouiner partout.
Il ouvrir la porte d’une cage.
- Allez rentre.. n’ai pas peur..
Il m’avait retiré la laisse qu’il posa au dessus de la cage. Je passais mon premier bras, puis le second. Ma tête pénétrait dans cette cage. Je mettais alors ma main sur celle-ci comme pour chercher quelque chose qui allait me rassurer.
Il était sorti de la pièce et avait tout refermé, me laissant ainsi dans le noir.
Je perdais la notion du temps
La lumière s’alluma. J’étais un peu aveuglée. Je prenais mon regard de petite chienne apeurée. Je vis les ombres s’approcher de moi. Je reconnu distinctement mon Maître puis l’autre homme, que j’appellerai Le Docteur.
Le docteur ouvrit la cage. IL tenait dans sa main la laisse. Je ne voulais pas sortir, peur de savoir ce qui allait se passer.
- Allez sors, viens dit il.
- Allez sors Lane.. dit Monsieur.
Je sortais alors ma gueule dehors. IL m’attacha à la laisse.
- Venez me suivre Monsieur, allons examiner cette petite chienne.
Je marchais à quatre patte, le docteur marchait relativement vite. La laisse était bien tendue. Mon Maitre me donna un coup de pied aux fesses.
- Arrête de trainer la patte.
J’adorais me fondre dans mon personnage de petite chienne. Je commençais à lâcher prise, excitée par l’inconnu, par ce moment présent.
Le docteur tapota sur la table qui se présentait devant moi.
- Allez grimpe.. viens.
- Avec mon attitude de chienne racée je montais alors sur la table.
- Voila la laisse, tenez la bien fermement que je l’examine. Nous allons déjà voir l’état générale du corps et vérifier que ses mamelles sont biens.
Mon maitre enroula la laisse autours de sa main. Il maintenait cette tension pour que je sois bien présentable, dressée.
Je sentais la main de ce docteur se poser sur le bas de mon dos en appuyant légèrement dessus afin que je me cambre.
- Bon inspectons ces mamelles.
Il commençait par palper mon sein droit et gauche, imitant les gestes techniques.
- Petits mais bien en forme. Je vais procéder à la palpation afin de m’assurer que nous n’avons pas de tumeurs.
Il compressait mes seins, les malaxait.
- Hum parfait, rien à dire. Je vais maintenant m’assurer que ses mamelles sont disponibles à la suscion en cas d’une éventuelle utilisation à venir.
Il plaça alors des titres tétons de manière mécanique. Des gestes bien précis, sans aucun état d’âme.
- Voilà parfait.
J’émettais un son d’inconfort.
Le docteur me caressait à nouveau la tête, mon maitre me tenait encore plus fermement.
- Calme toi, me douce chienne. Laisse toi osculter.
Sa voix douce et chaude me rassurait. Le fait qu’il soit là me rassurer.
Je vis alors le docteur s’approcher avec un écarteur buccal. Je rechignais ne voulant me laisser faire.
Monsieur me prit alors par la gueule pour me maintenir la tête. Le docteur plaça alors l’appareil dans ma bouche. Je ne bougeais pas. Doucement il ecarta, puis écarta encore pour ouvrir bien grand ma bouche. Ma mâchoire me faisait mal. Je n’aimais pas cela mais d’être ainsi exposée me rendait malgré moi folle.
Devant moi le docteur mis des gants qu’il fit claquer devant moi. IL prit une lampe et regarda l’intérieur de ma bouche. Il jouait son rôle à la perfection.
Il introduisa son doigt dans ma gueule puis regarda ma gorge.
- Hum parfait tout ça. Un bon degré d’ouverture, pas de problème à signaler.
- Hum j’en suis ravie docteur répondit Monsieur.
- Oh vous avez une bien belle race de chienne. Elle semble plein de tempérament mais elle est un bon modèle pour l’accouplement. Enfin de ce que je peux voir.
- Oui, j’avoue. Elle a de très bonne pré-dispositions.
- Bon maintenant, allons vérifier que tout est bon au niveau de ses orifices génitaux.
Pouvez vous lui tenir la tête contre la plaque s’il vous plait. En général elles n’apprécient pas.
Mon maitre appuya sur mon cou pour que je colle mon visage contre la place. IL tenait fermement mon cou avec sa main pour m’immobiliser mais aussi ma laisse. La chaleur de ses mains contre cette table d’examen était d’un doux réconfort.
- Je vais procéder à un lavement anal Cela lui fera le plus grand bien. Parfois les propriétaires oublie d’en pratiquer. Cela évite de mauvaises surprises dit il en riant.
Il avait saisit une sorte de sonde qui était rattaché à une poche sur une tige métallique.
- Tenez bien votre chienne. JE vais maintenant lui insérer cette sonde dans son anus.
IL écartait bien mes fesses de manière médical puis y introduisa la sonde.
- Voilà.
IL s’arrangeait ensuite pour que le produit pénétre bien. Cette sensation était bizzare. Dans ma tête, je me disais mais comment il va faire après pour retirer tout cela. J’allais me sentir complètement humiliée. J’avais du mal au bout d’un moment de ressentir mon cul aussi rempli.
- Parfait. Monsieur pouvez-vous me tendre la bassine.
- Volontiers. Tenez.
- Maintenant tu vas pisser par le cul petite chienne. Soulage toi. Rejette bien tout.
- Vous pouvez la redresser pour l’accompagner à cet exercice.
Le docteur tenait la bassine attendant que je libère le liquide. Mon maitre me faisait tenir a quatre pattes.
- Allez pisse me dit il au creux de l’oreille. Soulage toi.
Soudain, je sentis le liquide sortir par mon anus. J’entendais le son du jet atterrir dans la bassine.
- Allez encore.. voilà.. continue dit le docteur.
Il saisit alors une serviette et me sécha les fesses.
- Voila, notre premier phase d’examen est maintenant terminé. Pour la seconde phase, je vais appeler mon assistante. Elle a l’art et la manière de faire les examens plus profond que moi.
IL avait rabaissé la table pour me faire descendre. On me dirigea alors vers un fauteuil de gynécoloque.
Mon maitre m’avait redressé afin que je puisse y prendre place.
- Placez ses pattes de part et d’autres. Nous allons l’immobiliser pour la suite.
Je me retrouvais ainsi attachée les jambes écartées. On m’avait également sanglées les bras afin que je ne puisse plus bouger. Le docteur m’avait parfaitement positionnée les fesses bien au bord. Vulve exposée pour l’étude comme mon petit anus.
- Nous allons la museler, vous comprenez.
- Oui parfaitement, allez y.
- Pouvez vous aller vous asseoir Monsieur et laisser mon assistante faire.
Je vis alors l’assistante entrer. Vetue tout en blanc, elle portait également un masque. Je ne voyais que son regard bleu. Elle avait quelques rondeurs. Elle me faisait à toutes ces infirmières qui ont ce coté rude.
- Helena, pouvez vous faire les examens profonds.
- Oui bien sur Docteur.
Mon maitre était assis sur le coté à quelques metres. Je le regardais. IL me regardait. J’imaginais son excitation à me voir ainsi attachée pour subir cette examination.
Elle me mit un baton dans la bouche rattacher par des fers au bout et le serra.
Elle fit rouler un tabouret. Saisis des gants.
- Bon examinons cette chatte.
Elle mis un doigt.
- Aucune sensibilité ni douleur. Bonne réaction au stimuli Docteur. Je vais maintenant m’assurer que tout va bien.
- Speculum.
- Voilà ma chère.
Avec un savoir faire, elle plaça le speculum dans ma chatte. Puis comme une orfèvre, elle le faisait s’ouvrir. Ce n’était pas agréable.
- Lane, calme toi, dit mon maitre au loin.
Je la vis avec une lampe regarder l’intérieur de ma vulve.
- Vulve en parfait état. Rien à signaler. Toujours bonne pour utilisation.
- Voulez vous voir Monsieur ?
Je le vis sourire.
- Oui avec plaisir.
- Regardez tout est parfait.
Il s’était abaisée pour me regarder bien en profondeur. J’étais complètement excitée.
- Bonne réaction au stimuli. La chienne mouille correctement.
Elle retira le speculum. Elle humidifia correctement mon sexe en utilisant ma mouille. C’est là que je la vis se saisir d’un appareil à ventouse qu’elle colla sur mon clitoris et ma chatte.
Elle commença a presser la pompe. Je sentais mes lèvres, comme pour mes tétons grossir, être aspirer.
- Voila. Parfait. Les lèvres sont parfaitement collé.
J’étais ainsi avec les seins aspirés et la chatte également. C’était une sensation qui me rendait folle. Celle où mon maitre me laissait à des mains expertes. J’étais qu’il me regarde, qu’il m’exhibe ainsi.
Je me sentais complètement défaillir. C’était si bon.
Le docteur s’avança vers moi et me retira alors les tire-tétons puis me pris par les tétons et les tira bien fermement.
- Ces tétons sont maintenant bien sensibles à la stimulation. Voilà .. C’est parfait.
L’assistante commença doucement à appuyer sur la pompe pour libérer ma chatte de cette pression divine, pour me libérer.
Je sentais les lèvres énormes gonflées aussi par le désir. C’était divin. Elle me caressait avec un savoir faire le clitoris et les lèvres. C’était si bon de se faire caresser ainsi.
Elle commença alors à y fourrer ses doigts.
- Tout doux petite chienne, nous allons bien te stimuler pour ta saillie.
Je mordais alors dans mon baillon. Je regardais mon maitre. Il s’était levée.
- Puis-je vous regarder comment vous la stimuler ?
- Oui, bien sur Monsieur.
- J’introduis en premier lieu un ou plusieurs doigts. Cela dépend de la chienne. Ensuite, je tourne doucement ma main. Nos examens précédent favorise la dilatation.
Je ralais, les yeux complètement apeurés.
Je sentais sa main en effet voulant me pénétrer. Elle plaça sa main sur mon ventre puis descendit pour me caresser le clitoris.
- Calme toi.. calme toi..
Mon maitre s’était approchée de moi. Il me parlait à l’oreille.
- Tu es une bonne petite chienne. Tu es des plus excitantes ainsi. J’aime savoir qu’on va bien te dilater. Je sais que tu adores ça.
Je fermais les yeux comme si j’avais cette honte de l’avouer mais il le savait, il me connaissait.
Il me caressait pendant qu’elle me fistait la chatte.
- Voilà j’y suis. Encore un petit effort. Voilà… va y ma belle. Dilate toi..
- Cher Monsieur elle se dilate parfaitement. ON pourrait presque encore en ajouter ?
- Ah oui dit il ?
- Oui, elle a de bonnes dispositions même si elle est un peu étroite.
- Alors faites, poursuivez l’exercice.
Elle retira son poing. Je la vis joindre ses mains et intoduits 8 doigs dans ma chatte.Puis doucement elle est ecarta.
- La chatte de votre chienne est à présent bien béante.
Le docteur était là, il regarda.
- Allez y, lechez pour la soulager. Je vous y autorise.
- Oh merci Monsieur, répondit elle au docteur.
C’est là qu’elle commença un cunnilingus si intense tout en me doigtant.
- Hum, elle est si dégoullinante cette chienne.
Elle m’aspira de partout. Mon maitre était à coté de moi.
- C’est bon hein ?
- Je fermais les yeux en guiche de réponse..
- Je t’autorise à jouir si jamais cela venait.
Je commençais à trembler submerger par tous ces stimulis.
Le docteur regardait aussi.
Elle commença aussi en même temps à me doigter le cul et l’honora aussi en le lécher. C’était si bon. J’en m’enivrais de cette situation.
Il était bon de ne pouvoir rien controlé. Soudain la oix du docteur m’arracha à ma torpeur.
- Vas y tu peux aussi la baiser par
la chatte si tu le désires.
- Oh merci Maitre, lui dit elle.
Elle s’empara du gode ceinture et me pénétra la chatte. Elle me baisait comme un homme.
Mon Maitre n’en ratait pas une miette. Il adora me voir prise par d’autres.
- Voilà. Elle est maintenant prête pour la saillie comme vous l’avez demandé Monsieur.
C’est là qu’il s’adressa à nouveau à moi.
- Je ne vais pas bouger, je vais te regarder te faire prendre par la chatte et le cul. Il va y en avoir un certain nombre d’hommes mais aussi des femmes.
Cette idée m’effrayait, m’excitait, je ne savais pas quoi dire. Une fois de plus il y mettait la juste dose en restant à mes cotés. A ne pas sentir honteuse de prendre ce plaisir sans lui.
- Nous allons bander les yeux de la chienne. Cela va la stimuler .
ON m’ota la vue. Il était toujours là. Je sentais sa présence et leurs présences. A regarder.
Je sentis alors un sexe s’introduire en moi par la chatte. Il y allait avec une certaine douceur, tout en me caressant les seins. Rapidement, je sentis qu’il avait éjaculer.
Puis un second.. cette fois, Il commença par m’introduire des doigts dans ma chatte tout en y tenant ensuite sa queue. C’était une sensation étrange.
- Par le cul, entendis-je. Baisez la par le cul dit mon maitre.
Je sentis alors une queue rentrée par mon anus, avec une douceur.. tout en me caressant le clitoris. Je compris alors que c’était une femme. Puis d’un sec elle commença un long va et vient.
- Tiens prends ça dans ton cul, sale chienne entendis-je.
Elle me tenait par les jambes comme un homme ferait pour me baiser. Puis avec ses mains elle claqua mes seins, puis s’en empara les serrant fermement pour me donner un coup bien profond et y rester.
Je serrais les dents. J’étais dans un état à ne plus vouloir compter, juste à être utilisée. Ma chatte ne cessait de couler de mouille.
Puis je sentis une langue me lécher tout en jouant de doigts dans mon cul..
- Hum quelle bonne mouille dit elle..
Je sentis en même temps des doigts me tirer les tétons mais pas ceux de mon Maitre.
IL m’avait offerte à me repousser complètement. Je sentais chaque coups de queue, de langues, dans ma chatte, dans mon cul.. je ne m’appartenais plus.
J’étais alors épuisée. C’est là qu’il retira le baillon. Il m’embrasse avec une infinie tendresse. Je sentais les lèvres de ma chatte complètement irritée. ON me désangla.
Je retrouvais alors une forme de liberté. IL m’avait prise dans ses bras. Je m’y réfugié comme pour y retrouver une chaleur réconfortante. La chienne avait laissé place à la princesse.
- As-tu aimé ?
Dans un murmure, j’osai à peine affirmer que j’avais totalement adoré.
J'entendis alors le docteur dire.
Voilà mes préconisations post saillie : du repos en cage.
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Antigone, en grec ancien ???????? / Antigónê, est la fille d'Œdipe, roi de Thèbes,
et de la reine Jocaste. Ses parents régnèrent sur Thèbes jusqu'au moment où ils
prirent conscience de leur inceste. Jocaste se pendit et Œdipe se creva les yeux.
Créon, le frère de Jocaste, le chassa de la ville, mais avant de partir il maudit
Etéocle et Polynice, à la fois ses fils et ses frères qui, en partageant la dépouille
d'un animal sacrifié, lui avaient octroyé la cuisse au lieu de l'épaule royale. Aussi
le virent-ils partir sur les routes de Grèce sans verser une larme. Seule, Antigone
eut pitié de son père, abandonnant Hémon, son fiancé, fils de Créon, l'accompagna,
lui servant de guide, mendiant pour survivre et lui apportant le réconfort de sa
présence et de sa tendresse.
Après la mort de son père, Antigone revint à Thèbes où ses frères se disputaient le pouvoir. Polynice attaqua
Etéocle, avec l'aide d'Adraste, roi d'Argos; mais les frères ennemis trouvèrent la mort au cours de la bataille.
Devenu roi, Créon leur fit des funérailles grandioses, mais Etéocle ayant fait appel à des étrangers contre son
pays, n'eut pas droit à une sépulture. Antigone, ne tenant pas compte des ordres de Créon, fit élever un bûcher
où fut placé le corps de Polynice, fut prise sur le fait par le tyrannique Créon qui ordonna à son fiancé de
l'enterrer vivante dans la tombe de Polynice. Hémon fit mine d'y consentir, mais s'enfuit avec Antigone, l'épousa
en secret et la cacha chez des bergers. Elle lui donna un fils qui, bien des années plus tard, revint à Thèbes,
prit part à des jeux funèbres où son grand-père le reconnut à la marque du dragon que portaient sur le corps
tous les descendants de Casmos. Créon le condamna à mort et, de chagrin, Antigone et Hémon se suicidèrent.
Héroïne de la mythologie grecque, Antigone est la fille du mariage incestueux d’Œdipe et de Jocaste. Le mythe
d’Antigone nous a été transmis par les tragiques grecs Sophocle, Eschyle et Euripide, au V ème siècle avant J.-C.
Lorsque Œdipe, objet de la réprobation et de la répulsion de tous, se crève les yeux et quitte Thèbes, c’est
Antigone qui le guide jusqu’à Athènes. Ainsi incarne- t-elle une figure hautement morale: la fidélité sans faille, la
piété filiale. Mais l’époque moderne a surtout retenu un autre épisode du mythe; Antigone défie ensuite son oncle
Créon, lequel a interdit d’enterrer Polynice, frère d’Antigone, coupable de s’être levé contre Thèbes.
Dans la faiblesse de sa jeunesse et de sa féminité, la fille d’Œdipe représente alors la légitime révolte. Elle dénonce
la démesure (hubris) de Créon. Nul en effet n’a le droit, affirme Antigone, de se substituer aux dieux, d’interdire à un
humain de se présenter au jugement des Enfers. Antigone se fait le champion de la loi divine, laquelle l’emporte sur
la loi des hommes. Antigone est condamnée à être enterrée vivante. Les Erinyes punissent Créon: son fils Hémon,
amoureux d’Antigone, se tue après avoir découvert sa fiancée pendue dans son tombeau; alors Eurydice, sa mère,
femme de Créon, le suit dans la mort. Créon reste seul.
Bien avant que Freud ne développe la notion de complexe d’Œdipe comme aboutissant à l’établissement du système
symbolique destiné à transmettre la loi fondamentale dans les rapports sociaux, le mythe d’Œdipe nous a offert une
vision à la fois spectaculaire et catastrophique de la relation père-fils et des liens fraternels. En effet, la descendance
d’Œdipe n’est guère épargnée par les haines fratricides et parricides comme l’a chanté le tragédien Sophocle.
"Je vois les antiques malheurs de la maison des Labdacides s’ajouter aux malheurs des deux princes, que la mort a
ravi, une génération frappée n’affranchit pas celle qui la suit, mais un dieu la précipite et ne lui laisse aucun repos."
Œdipe, après avoir appris de l’oracle qu’il a tué son père Laïos et épousé sa propre mère Jocaste, renonce au pouvoir
sur Thèbes. Il se crève les yeux pour ne plus voir l’horreur de la réalité dans lequel le destin l’a plongé, et part mener
une vie de mendiant, loin du lieu de son infamie. De l’union d’Œdipe et Jocaste sont nés deux filles, Antigone et
Ismène, et deux fils, Étéocle et Polynice.
Suite au départ d’Œdipe, les deux frères se retrouvent à régner en alternance sur le royaume, mais Étéocle l’aîné
refuse de laisser la place à son frère. Polynice lui tend une attaque aux abords des sept portes de Thèbes et le destin
veut que les deux frères se retrouvent face à face et s’entretuent, laissant le spectacle de leurs cadavres enlacés dans
la mort. Ironie du sort, les deux frères opposés dans la vie, sont unis et liés dans une ultime et funeste accolade
fraternelle, leurs bras brandissant avec fureur le glaive pour se tuer l’un l’autre et devenant le berceau qui les porte
vers une mort violente et sanglante.
Suite à ces événements, Créon, l’oncle d’Œdipe, devient le roi de Thèbes, donne les honneurs funéraires à Étéocle
et les refuse à Polynice. À titre d’exemple, il laisse gésir hors de la cité son corps à la merci des charognards, avec
interdiction absolue de l’ensevelir. Le laissant sans sépulture, il est condamné à errer loin du séjour des morts, le
salut et le repos lui est interdit. Par fidélité fraternelle, Antigone brave l’interdit et dans une douleur infinie, déclare:
"Après la perte d’un époux, j’en pourrais trouver un autre; et si je perdais un fils, j’en puis avoir d’un autre époux;
mais quand ma mère et mon père sont descendus chez Pluton, la perte d’un frère n’est plus réparable."
Antigone sera condamnée à être enfermée dans un tombeau où elle se pendra. Hémon, fils de Créon et à la fois
cousin germain et fiancé d’Antigone, désespéré par la perte de son amour, se suicidera peu de temps après.
À l’annonce de cette nouvelle, Eurydice, mère d’Hémon et femme de Créon, se tranche la gorge. Créon pleure seul
ses deux pertes. Le sacrifice d’Antigone épargne Ismène qui devient l’unique héritière.
Les enfants nés de l’inceste d’Œdipe, Étéocle, Polynice, Ismène et Antigone, répètent ce qui s’est noué à la génération
précédente. Les fils s’entretuent dans le conflit de la légitimité d’une filiation adelphique incestueuse. Antigone, elle,
brave l’interdit de Créon et rejoint dans la tombe son frère Polynice qu’elle a enterré dans le respect de la dignité
humaine au prix de sa vie.
Dans son opposition à Créon, Antigone se range du côté de l’amour fraternel en dépit de la raison d’état, pour
défendre des principes sacrés au détriment de la loi de la cité. Antigone inaugure la rivalité homme/femme, de par la
jalousie qu’elle nourrit à l’encontre de la différence des sexes et du destin dont les hommes de sa famille la privent.
Cette jalousie l’aliène à son destin narcissique. Se sentant investie d’une toute-puissance, elle souhaite à tout prix
réparer l’honneur perdu de sa famille. La mort apparait comme l’aboutissement de sa quête de l’amour fraternel
absolu et le don de soi par excellence vient pallier l’épreuve du deuil.
En l’absence des parents, la fratrie rencontrée dans ce mythe s’inscrit dans une lutte acharnée contre le temps,
exprimant l’impossibilité d’Antigone d’être séparée de ses frères dans le réel. La mort revêt ici deux dimensions dont la
première serait une tentative de solution pour résoudre le conflit œdipien réactualisé par l’annonce de l’inceste d’Œdipe.
Le voile levé sur l’origine de la famille ébranle fortement la fratrie dans ses liens de filiation et de génération. Il provoque
une crise identitaire du statut et de la place de chacun des membres de la famille. La configuration de la fratrie composée
de deux couples de sexe différent implique qu’ils s’opposent ou s’unissent dans l’amour et la haine fraternelle.
Dès lors, les processus d’identification et de différenciation sont altérés. En reniant sa place de père et frère, Œdipe place
ses filles et demi-sœurs à la place de membres idéalisés de la fratrie et de la cohésion de la famille. La double identité du
père et de la mère suggère la transmission de l’inceste dans la fratrie et introduit le déplacement des investissements
préœdipiens pour les parents sur la fratrie, ouvrant le champ possible à l’expression des pulsions libidinales dans la relation
frère-sœur. La seconde dimension considérerait la mort comme la trace symbolique de la culpabilité parentale rejaillissant
dans le réel. Ainsi, les conflits intrapsychiques hérités des parents se rejouent dans les liens fraternels.
Ainsi, Antigone trouve dans le décès de son frère Polynice le moyen de mettre en terre à jamais leur cruel destin.
En rendant les hommages funéraires à son frère, il se peut que par ce geste symbolique elle vienne rendre ses derniers
hommages à son père Œdipe, qui bien que vivant dans l’exil, erre à jamais tel un revenant ne pouvant trouver le repos
de l’âme. On peut interpréter ce geste d’Antigone comme une réparation de la déception œdipienne éprouvée dans
l’enfance. Aussi, le choix de l’amour fraternel lui permet d’éviter l’inceste avec le père au coût de sa propre vie.
La mort d’Antigone, motivée par l’amour incestueux, mène à son union avec le mort.
Dans son "Introduction à la psychanalyse", Freud a mis en évidence que le déplacement des sentiments d’amour
ressentis dans la fusion mère-enfant peut laisser place à l’apparition de l’amour tendre entre une sœur et son frère.
A contrario, il peut aussi générer une compétition entre frères pour le gain de l’amour exclusif de l’être aimé, ou par
substitution, le remplacement affectif du père par le frère ainé pour la fille. Antigone semble préférer Polynice au reste
de sa famille, et c’est par amour fraternel qu’elle brave la mort pour le rejoindre.
Selon l’approche transgénérationnelle, Antigone paye sa loyauté au père et s’acquitte de sa dette symbolique en y
mettant fin. Elle refuse ainsi de devenir une femme et de donner naissance à une autre génération, afin de ne pas
transmettre le secret honteux de sa naissance et de mettre fin à l’héritage funeste qui pèse sur sa famille. Si elle refuse
de s’unir au père et de porter l’enfant de l’inceste à son tour, elle s’unit pourtant à son frère Polynice dans la mort.
La mort apporte donc à Antigone une solution à l’inceste paternel et témoigne du retour possible de l’unité fraternelle.
La mort s’incarne dans le corps d’Antigone comme son inscription de la filiation.
L’héritage commun d’Œdipe que partagent Antigone et Ismène les unit tandis que les maux de chacune les distinguent
et les séparent. Antigone délaisse sa sœur vivante pour son frère mort. Si l’une veut jouir de la vie, l’autre veut jouir de la
mort. Les deux sœurs incarnent le combat entre la pulsion de vie et de mort. Quand l’une en appelle au principe de plaisir,
l’autre lui répond par le principe de réalité.
Antigone meurt donc seule. Comme son prénom en témoigne, étant composé du préfixe anti signifiant "contre", et "gone",
du grec ancien gonos, signifiant "procréation", elle ne donne pas la vie. Antigone demeure dans le mystère de ses origines
et ne retrouvera jamais la mère d’avant l’inceste, celle qu’elle n’a jamais connue. Dans ce mythe, les figures du frère et de
la sœur sont bien les objets pulsionnels et les représentations inconscientes de la transmission des conflits parentaux au
sein même de la fratrie.
Antigone est demeurée le symbole de la piété filiale et fraternelle, du dévouement sans partage. Voilà l’histoire d’une
femme. C’est aussi l’histoire d’une culture demeurée à peu près inchangée.
Le mythe d'Antigone est mentionné pour la première fois dans la tragédie "Les Sept contre Thèbes" d'Eschyle
représentée au V ème siècle avant J.-C.; Sophocle, dans son "Antigone", donne la première version détaillée connue
de la mort héroïque d'Antigone. Euripide, le grand tragédien athénien, reprend le thème des "Sept contre Thèbes" dans
"Les Phéniciennes", où Antigone intervient aussi. Dans la littérature latine, le philosophe et dramaturge Sénèque
compose une tragédie "Les Phéniciennes" en prenant pour modèle celle d'Euripide.
En 1638, Jean de Rotrou compose à son tour une tragédie "Antigone", puis c'est au tour de Jean Racine en 1664, de
mettre en scène Antigone dans la tragédie "La Thébaïde". L'héroïne connaît un regain d'intérêt dans la littérature du
XIX ème siècle, par les réécritures de Sophocle. Le poète allemand Friedrich Hölderlin traduit Antigone en 1804, le
dramaturge français Jean Anouilh propose une réécriture en 1944, dans laquelle Antigone représente l'esprit de
résistance. Le dramaturge allemand Bertolt Brecht l'adapte en 1947, en s'appuyant sur le texte de Hölderlin.
En Musique, de nombreux opéras ont été composés sur Antigone. Dans les arts plastiques et la Peinture,
ainsi qu'au cinéma et à la télévision, elle inspira également de nombreux artistes.
Bibliographie et références:
- Sophocle, "Antigone"
- Sophocle, "Œdipe à Colone"
- Euripide, "Les Phéniciennes"
- Philostrate, "Galerie de tableaux"
- Sénèque, "Les Phéniciennes"
- Hygin, "Les Fables"
- Jean de Rotrou, "Antigone"
- Jean Racine, " La Thébaïde"
- Jean Cocteau, "Antigone"
- Jean Anouilh, "Antigone"
- Bertolt Brecht, "Antigone"
- Pierre Brunel, "Dictionnaire des mythes littéraires"
- George Steiner, "Les Antigones"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma vie de soumise
Chapitre 2 : Vendredi 1
Vendredi soir.
Nous reprenons contact. Je suis fébrile.
- Comment es-tu habillée ?
- Jupe et teeshirt.
- Déshabille-toi. À l’avenir, tu devras être nue pour me parler.
- Oui.
Je me déshabille. Il veut savoir si je me suis caressée. Je réponds par l’affirmative. Nous discutons de choses et d’autres.
- J’aimerais te rencontrer.
- Pourquoi pas ?
- Tu es libre demain après-midi ?
- Oui.
- On va se rencontrer dans un café pour discuter.
- Oui.
Il m’indique le lieu et l’heure du rendez-vous.
- Comment seras-tu habillée ?
- Je ne sais pas.
- Tu dois porter un teeshirt et une jupe. J’ai horreur des pantalons.
- Très bien.
- Alors, à demain.
Nous nous disons au revoir.
Chapitre 3 : Samedi 1
Samedi après-midi.
J’arrive au café choisi par mon correspondant. Il est assis à une table, sur une banquette, je me dirige vers lui. Il me fait signe de m’asseoir sur la chaise en face de lui. Il est tel que je l’ai vu sur la photo. Il me dévisage. Sous son regard, j’ai l’impression d’être nue. Le garçon s’approche. Jérôme, sans me consulter, commande deux cafés. Il s’adresse à moi :
- Enlève ton soutien-gorge.
Je rougis.
- Ici ?
- Non, tu vas dans les toilettes. En revenant, tu porteras ton soutien-gorge dans la main et tu me l’apporteras.
- Oui.
- Oui, qui ?
- ?
- Maître.
- Oui, Maître.
Je me rends aux toilettes, retire mon soutien-gorge. L’épreuve commence, je traverse la salle mon soutien-gorge à la main et l’apporte à mon Maître qui le place sur la banquette à côté de lui. Je suis rouge de honte. Nous buvons notre café.
- Tu portes une culotte ?
- Oui, Maître.
- Va l’enlever.
- Oui, Maître.
Et une seconde épreuve commence. Je vais aux toilettes, quitte ma culotte et revient l’apporter à mon Maître qui le dépose à côté de mon soutien-gorge. Je sens les regards des consommateurs converger vers moi, je suis honteuse.
- Viens t’asseoir à côté de moi.
- Oui, Maître.
Je viens m’asseoir à côté de lui. Il relève ma jupe, me palpe les cuisses. Sa main vient se plaquer sur mon sexe, il doit s’apercevoir que je suis mouillée.
Quand il retire sa main je rabats ma jupe et croise les jambes. Il rectifie aussitôt :
- Tu ne dois jamais rabattre ta jupe et tu dois tenir tes cuisses écartées.
- Mais on va voir que je n’ai pas de culotte.
- Et alors ? Tu n’as pas à t’en préoccuper.
- Oui, Maître.
Il règle l’écartement de mes cuisses. Il m’ordonne de me pencher en avant, ce que je fais.
- Tu as retenu ton teeshirt avec une main. Tu ne dois pas le faire.
- Mais on va voir mes seins.
- Et alors ? Tu dois perdre ta pudeur.
- Oui, Maître.
Mon Maître pose une main sur ma cuisse. Et il me donne ses instructions :
- Tu ne dois plus porter de sous-vêtements.
- Mais on va voir que je n’ai pas de soutien-gorge.
- Tu assumeras. Tu dois porter une jupe ou une robe. S’il fait frais, tu pourras porter des bas à auto maintien. Tu dois retenir qu’en toute circonstance tu dois porter le moins d’habits possible. J’ai constaté que ton sexe porte des poils. Tu devras t’épiler ou te raser.
- Oui, Maître.
- Tu m’as dit que tu n’avales pas. Si je choisis une pipe, tu dois accepter que je jouisse dans ta bouche et tu dois avaler. Quand tu as avalé, tu dois me remercier.
- Oui, Maître.
- Tu dois m’être fidèle. Je garderai ma liberté.
- Oui, Maître.
- As-tu des tabous ?
- Non, Maître.
- Alors, je pourrai tout exiger de toi.
- Oui, Maître.
Mon Maître sort un contrat d’appartenance en deux exemplaires. Nous signons tous les deux. Ce contrat stipule les conditions de la relation Dominant / soumise. À la rubrique des restrictions que je pourrais émettre j’ai écrit "néant". J’appartiens donc à mon Maître, je n’ai plus aucune liberté de pensée, mon corps est sa propriété exclusive. J’accepterai toutes les pratiques même dégradantes ou humiliantes.
Mon Maître me fixe rendez-vous chez lui pour demain dimanche à quinze heures. Il me rappelle que je ne devrai pas m’être maquillée, ne pas porter de bijou et ne pas m’être parfumée.
- On va aller aux toilettes et tu me suceras.
- Oui, Maître.
Mon maître empoche mon soutien-gorge et ma culotte. Nous allons aux toilettes hommes. Mon Maître ouvre sa braguette et dégage la queue de son caleçon. Son sexe est complètement épilé.
- Mets-toi à genoux. Tu commences par lécher et gober mes couilles.
- Oui, Maître.
Je m’agenouille et ma bouche s’occupe de ses bourses. Son sexe grossit.
- Lèche-moi le gland.
Ma langue va et vient sur le gland de mon Maître. Son sexe grossit encore.
- Prend ma queue en bouche.
J’ouvre ma bouche et absorbe sa queue. Ma bouche est remplie. Je manque d’étouffer, le sexe venant buter au fond de ma gorge.
- Caresse-moi les couilles.
Ma main commence une caresse. Mon Maître a une main derrière ma nuque m’obligeant à lui gober entièrement le sexe. Mon Maître est résistant. La pipe semble durer une éternité. Enfin, il éjacule dans ma gorge.
- Ouvre ta bouche, je veux voir mon sperme sur ta langue.
J’ouvre la bouche et tire la langue.
- C’est bien. Fais tourner ma semence dans ta bouche, régale-toi et avale.
Je garde le sperme dans ma bouche, c’est une première pour moi. J’en apprécie le goût et j’avale. Je vais me relever mais mon Maître arrête mon mouvement de la main gauche et m’administre une paire de gifles de sa main droite. Je suis étonnée.
- Tu as oublié quelque chose.
Et, soudain, je me rappelle une de ses instructions.
- Merci, Maître.
Je peux enfin me relever. Mon Maître s’adresse à moi.
- Maintenant, dégage. À demain.
Nous sortons des toilettes. J’ai encore le goût de sperme dans la bouche, je sens encore la paire de gifles. Mon Maître m’a humiliée. Mais c’est ce que j’étais venue chercher. Je vais me préparer pour demain. Je désire vraiment satisfaire pleinement mon Maître.
Chapitre 4 : Dimanche 1
Dimanche après-midi.
Je me rends chez mon Maître. J’espère ne rien avoir oublié dans ma préparation. Je me suis rasée la veille devant et derrière. Pas de parfum, pas de maquillage, pas de bijou. Je suis vêtue d’un teeshirt et d’une jupe, je n’ai pas de sous-vêtement. Quant aux chaussures, j’hésite, je n’ai pas d’instruction.
Je sonne à la porte. Mon Maître vient m’ouvrir. Je ne sais quelle attitude adopter. Il s’adresse à moi :
- Quand tu arrives tu me prends les mains, tu donnes un baiser dans chaque paume. Tu fais de même quand tu repars.
- Bien, Maître.
Je lui prends les mains et applique un baiser sur chaque paume.
- Déshabille-toi.
- Oui, Maître.
Je m’exécute. Mon Maître tourne autour de moi. Il m’examine.
- Belle bête.
- Merci, Maître.
Il me touche le bas-ventre puis écarte mes fesses.
- Plus de poil, c’est bien.
- Merci, Maître.
Mon Maître me passe un collier autour du cou. Ce collier est prolongé par une laisse.
- Voilà, tu es ma chienne.
- Oui, Maître.
Mon Maître m’indique ses dernières recommandations. Je n’ai le droit de parler que pour répondre à ses questions, décompter les coups et le remercier à chaque coup ou à chaque éjaculation ou jet d’urine. Mon Maître m’interdit tout orgasme sauf autorisation spéciale de sa part.
Mon Maître prend la laisse dans sa main, il m’emmène et je le suis. Nous arrivons dans sa chambre. Une femme nue est allongée sur le lit. Mon Maître me fait asseoir sur le sol au pied du lit. Il saisit une chaîne qu’il passe autour du pied du lit. Les menottes qu’il me passe sont attachées à la chaine. Puis mon Maître me lie les chevilles. Je ne peux plus bouger.
Mon Maître se déshabille et rejoint la femme sur le lit. Ils s’enlacent et d’embrassent. La main de la femme atteint le sexe de l’homme qu’elle commence à caresser puis sa bouche remplace sa main. Elle s’active, j’entends des bruits de succion. Mon Maître attrape la femme par les hanches et la fait le chevaucher sur ses épaules. Les lèvres de mon Maître atteignent le sexe de la femme et il commence un cunnilingus. La femme émet des gémissements, son corps est animé de soubresauts, elle a un orgasme puis un autre.
Je suis humiliée, mon Maître fait l’amour avec une femme mais ne s’occupe pas de moi. J’étais venue pour qu’il m’accorde son attention et je n’ai rien. Mais les mouvements des deux amants à côté de moi me mettent en émoi. Je fais attention à ne faire aucun bruit et surtout à ne pas jouir. Mon sexe est trempé.
Maintenant, mon Maître a placé la femme à califourchon sur lui, sa queue a investi le sexe de la femme. Celle-ci monte et descend autour de la verge qui l’investit. Mon Maître fait bien l’amour, j’imagine que je suis à la place de la femme. Je reviens à la réalité. Jusqu’à maintenant mon Maître ne s’est introduit que dans ma bouche. Quand me fera-t-il l’amour ?
La femme a un orgasme. Je crois que mon Maître vient de jouir. La femme vient aussitôt placer sa bouche sur le sexe de mon Maître et l’engloutit. Mon Maître caresse les cheveux de la femme. Est-elle son épouse ? Mon Maître m’avait pourtant assuré être célibataire. Où est-ce une conquête ? Dans tous les cas, ils ont l’air de s’aimer, leurs gestes sont tendres, cette femme n’est pas sa soumise.
Mon Maître s’approche de moi et vient me détacher. Il me fait mettre debout. Il passe sa main sur mon sexe et a l’air d’être satisfait de l’avoir trouvé trempé. La femme ne me quitte pas des yeux. Mon Maître ouvre le placard et en ressort une cravache. Il me fait appuyer les mains sur un montant du lit, je suis ainsi penchée. Il m’assène cinq coups sur les fesses. Je pense à compter chaque coup et à le remercier. J’ai ensuite cinq coups sur les cuisses puis cinq coups dans le dos. Je dois maintenant me tenir debout face à lui. Cinq coups sur les seins, cinq coups sur le ventre. J’ai donc compté jusqu’à vingt-cinq et autant de remerciements.
Il m’a vraiment fait mal mais il s’est quand même occupé de moi.
- Tu vas garder le collier et la laisse.
- Tout le temps, Maître ?
- Le plus souvent possible. Tu peux t’en dispenser au travail ou quand ça peut te gêner. Mais tu devras porter collier et laisse quand on aura rendez-vous.
- Bien, Maître.
- Maintenant tu te rhabilles et tu t’en vas.
Je m’approche de mon Maître et dépose un baiser sur chacune de ses paumes.
Je me rhabille et m’en vais. Mon Maître n’a encore honorée que ma bouche. Il s’intéresse à moi, sa cravache en est le témoin. Je suis quand même déçue puis je me souviens de ce qu’il m’avait dit, une soumise n’a rien à attendre de son Maître, un Maître peut tout exiger de sa soumise. La soumise doit penser uniquement au plaisir de son Maître. Alors, si cet après-midi, il a fait l’amour devant moi avec une autre femme et s’il m’a battue, c’était pour son plaisir et pour m’humilier. Je commence à comprendre les mécanismes de la soumission. Je suis soumise, je l’ai choisi, je dois donc assumer. En rentrant chez moi, je décide de garder le collier autour du cou et de rester nue. Je resterai ainsi fidèle à l’esprit de mon Maître. J’enlèverai le collier demain pour aller travailler.
Quand je me couche je suis hantée par mon Maître. Je me caresse en pensant à lui. Je lui dédie mes orgasmes.
mence à sucer le sexe, une main palpant les couilles. Je gobe de plus en plus profondément la queue de mon Maître, ma main descend vers ses fesses, il a compris ma manœuvre, il fait basculer son bassin. Mon majeur que j’ai pris le soin d’humifier prend position vers son cul. Puis j’enfonce progressivement mon doigt. J’ai envie de jouir mais je me retiens, je ne veux déplaire une fois de plus à mon Maître. Ma bouche est maintenant complètement investie. Je tiens doublement mon Maître, sa queue dans ma bouche et un doigt dans son cul. Mon Maître me caresse tendrement la tête, ça me donne des frissons ! Puis, dans une sorte de feulement, mon Maître se libère à longs jets tout au fond de ma gorge. Je retire mon doigt. Je fais naviguer le délicieux sperme dans ma bouche, je me régale puis j’avale.
- Merci, Maître.
Puis je porte le doigt qui a enculé mon Maître à la bouche pour en goûter toute la saveur. Je sais que mon Maître a été satisfait de ma prestation. Il m’a caressé les cheveux, c’est un signe !
- Maintenant, tu t’en vas. À samedi.
- Oui, Maître.
Je baise ses paumes, me relève, je me rhabille et m’en vais.
Je pense à tout ce qui m’est arrivé ce weekend. Mon Maître a concocté un scénario sensationnel. J’ai cru être enlevée et violée mais il n’en était rien puisque mes pseudo-violeurs n’ont agi que pour le plaisir de mon Maître. Je me suis encore rapprochée de lui et suis plus que jamais prête à le servir.
À suivre ….
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Je suis désolée pour les éventuelles fautes, Je suis désolée de ne pas me relire, je suis allée accueillir l'invitée.
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La nuit tombait. Ce soir, nous recevions. Il ne voulait pas m’en dire davantage. Il m’avait ordonné de préparer l’apéritif afin de recevoir comme il se doit.
Il m’avait imposé de porter un serre taille et ce rehausse sein. Il avait pris ce plaisir a bien le serré pour galber au mieux ma taille.
- Ce soir, tu ne te changes pas. Tu restes ainsi. Viens ici. Au pied.
Je m’étais naturellement mise à ces pieds. Il mis mes cheveux de coté
- Regarde, j’ai fait gravé ton collier..
Cette attention délicate faisait que c’était mon collier. J’y était très sensible. J’étais à lui et il me le montrait. Il me le mit comme un homme offre parfois un bijou à une femme. Il me releva et me retourna. Nous étions face au miroir lui dans mon dos.
Sa main s’aventura sur mon cou pour ensuite caresser mes seins.
- Humm tu ne peux t’empêcher de pointer, petite cochonne.. me murmura t il..
Je le regardais à travers ce miroir d’un sourire complice.
- Non.. Monsieur, en effet..
- Voyons l’état de ta petite chatte… Oh mais elle est toute en émoi.. c’est parfait. File au salon et met toi à genou à coté de mon fauteuil. Tête baissée, bien droite et tes jambes écartées.
Je me faisais une joie de lui obéir. A chaque fois qu’il préparait une soirée, il savait toujours repousser mes limites. Je me demandais qui allait venir ce soir.
IL passa dans le salon à coté de moi. Il m’appuya à nouveau la tête.
- Bonne chienne.
Soudainement, la sonnette retenti.
- Bonsoir mon cher ami.
- Bonsoir Madame X. Quel plaisir de vous recevoir après tout ce temps. Laissez moi vous débarrasser.
- Merci à vous.
- Je vous en prie par ici.
- Quel magnifique appartement vous avez et toujours un goût exquis. Oh mais que vois-je ici ? votre animal domestique ?
Au son de la voix de cette femme, je n’avais qu’une envie relever la tête pour la voir. C’était la première fois de ma vie que je voyais une Maîtresse. Cette envie m’avait toujours fait fantasmer, sans pour autant me sentir bisexuelle. Je n’avais jamais désirée une femme bien que parfois je trouvais certaines femmes avec ce coté très sensuelle. Je sentais qu’il allait me pousser dans mes retranchements.
C’est là que je sentis sa main passée dans mes cheveux.
- Quelle douce chevelure de chienne.
- Eh bien alors, Lane, on ne dit pas merci ?
- Merci.. Madame..
- De rien, petite chienne.
Mes cheveux tombaient sur mon visage, je ne pouvais l’apercevoir mais j’aperçu ses chaussures. Elle portait de sublimes escarpins fins avec une plateforme légère. Je devinais une femme de goût . Sa voir était presque douce et très agréable.
- Je vous en prie prendez place.
Visiblement il avait indiqué la destination du fauteuil là où il m’avait fait m’asseoir.
Elle s’installa confortablement. Il lui offrit un verre. Je les entendais échanger des banalités. Au bout de quelques minutes, elle s’amusa à me caresser à nouveau les cheveux.
- C’est tellement agréable d’avoir un animal de compagnie.. Puis-je ?
- Oh mais bien sur Madame X, elle est à votre entière disposition. Attention parfois ma chienne a un peu de mordant, elle est un peu effrontée, mais elle reste bien obéissante à son maître.
- Mets toi face à moi me dit il.
J’avançais alors à quatre pattes pour me mettre face à elle pour me mettre à nouveau à genou, tête baissée.
- As-tu un elastique ? tu es bien négligée d’avoir tes cheveux détachées. J’aime voir les regards des petites chiennes.
- Je… Non Madame, je n’en ai pas.
- Voilà qui est bien fâcheux.
- Attentez, tenez.
- Retourne toi.
- Bien…. Petite chienne.
Elle me caressait les cheveux. Elle avait les mains si douces. Elle m’attacha les cheveux avec une queue de cheval.
Elle portait une tenue stricte . Un chemisée avec une jupe fendue. des bas coutures. Elle était magnifique.
- Allez retourne toi.
Elle me leva le menton.
- Ah mais que tu es toute jolie… Des yeux noisettes qu’on a envie de dévorer. Une bouche pulpeuse pleine de promesse.
- Ouvre ta bouche et sors moi ta petite langue.
Elle inséra son doigt mais toute sa main.
- Oh mais je vois que tu as de l’entrainement .
Elle stoppa direct puis commenca à aller vers mes seins.
- Oh une petite poitrine en forme de pomme. Et ces tétons si délicats.. des auréoles superbes.. Monsieur votre chienne est exquise. Je vais me faire un plaisir de la soumettre comme il se doit.
- Cela me ravit et cela ravit ma chienne.
- - je la trouve bien insolence. Je lui fais des compliments, je viens à elle, et elle daigne nous remercier…
Elle me tenait par la queue de cheval me mettant la tête en arrière.
- Petite ingrate que tu es !
- Merci.. Madame.. Je vous remercie d’être venue vous occuper de moi. Je vous remercie pour vos compliments à mon égard.
- Au sol, petite salope !
- Nettoie mes chaussures avec ta langue.
J’y allais doucement. Je sortais le bout de ma langue pour commencer ma tache.
- Je t’ai dis sors ta putain de langue et nettoie correctement.
Je sentais sa voix si autoritaire que naturellement je me mis à lecher ses escparins.
- Bien..
Elle se leva en tenant bien ma laisse. Elle appuya son talon sur mon dos tout en tirant bien sur ma lêve pour me redresser la tête.
- Allez viens sur moi.
Elle m’amena au centre du salon pour me placer face à mon maitre. Il me regardait droit dans les yeux avec ce sourire pervers.
J’étais ainsi à quatre pattes au centre du salon. Elle passa ses jambes de par et d’autres de ma tête pour la coincer avec sévérité. Elle s’était alors penchée pour me claquer le fessier.
- Brave petite chienne.
Elle écarta mes fesses et passa son doigts avec délicatesse sur mon fion.
- Oh mais quel petit trou qui se présente à moi.. Je me demande bien ce que ce trou peut engouffrer.
Puis elle s’ota, me remise bien droite…
Mon maitre avait disposée sur la table un grand nombre d’objets source de plaisirs, de punitions.
Elle s’était saisi de deux martinets aux lanières longues.
- A quatre pattes, jambes bien écartées.
- Tu appelles cela bien écartées ?
Elle me fouetta sur les cuisses. J’’ouvrais bien mes jambes je me cambrai aussi afin qu’elle soit des plus douces mais aussi pour montrer mes petits trous de chienne.
Comme une danse, elle me fouttait les fesses, le dos, les cuisses. Je regardais mon maitre droit dans les yeux. Il souriait à me voir subir ces flagellations pendant que je retenais mes cris.
Elle caressa mon entrejambe en faisant plusieurs aller retour.
- Brave petite chienne qui mouille. Va sur la table, mets toi sur le dos. Nous allons inspecter la capacités de tes orifices.. de tous tes orifices.
Elle m’attacha mes poignets. Puis avec des contraintes, m’attacha les cuisses et les chevilles pour avoir un meilleur accès à mes trous de salope, comme elle le disait.
Elle s’était installé au dessus de moi, j’avais une vue sur son sexe. Jamais de ma vie je n’avais été aussi proche du sexe d’une femme.
- Allez sors ta petite langue lapeuse.
Elle me forçait à la regarder dans les yeux tout en me tenant par la tête. Elle releva sa jupe à la taille laissant dévoilé son porte jaretelle. Elle ne portait aucune culotte.
- Regarde moi je t’ai dit.
Elle commençait des mouvements de va et vient au niveau de son anus.
- J’aime qu’une chienne me nettoie. Allez applique toi..
Ma langue sortie, elle l’utilisait pour nettoyer au mieux son anus quand elle s’assit complètement sur moi en en regardant.
- En voilà une charmante vue.
Elle me tenait fortement la tete pour m’utiliser comme son petit jouet de plaisir.
- Suffit maintenant ! tu en as eu assez.
Elle saisit alors un baîllon dont sortis un gode. Je ne m’étais jamais sentie aussi humilié de ma vie. Je lançais un regard à mon maître qui s’était rapproché . Il était juste derrière moi. Il s’était accroupie.
- Tu es un superbe sextoy…
J’avais envie de râler ou de protester mais il fallait reconnaître que j’étais complètement excitée d’être à la merci de cette femme et de voir mon maître me regardait. Je voulais être sa fierté, la meilleure des chiennes.
Elle me caressait le corps de ces douces mains. Elle avait saisi des pinces à tétons. Elle s’amusait à les triturer entre ses doigts, puis à les prendre en bouche. Elle les mordiallait, les aspirait. Puis de ses deux mains elle les faisait se grandir.
Elle y mettait une force malgré ces mains toute petite. Je voyais dans son regard cette maîtrise et son intransigeance. Probablement ce qui plaisait à mon maitre pour m’offrir à elle.
- Regarde moi.
Je la voyais mettre les pinces japonaises. J’étais si sensible de mes tétons. Je sentais la douleur m’envahir et je faisais tout pour me concentrer sur ce qui allait se passer.
Elle s’était agenouillée…
- Allons te préparer, regardons ce que nous allons entrer là-dessus.
Elle commença par me lécher la chatte en écartant bien mes lèvres et en sucant mon clitoris. C’était la première fois qu’une femme me léchait. C’était si etrange, si doux avec cette petite langue. Je prenais ce plaisir qu’elle me donnait . Mon maitre ne ratait pas une miette.
- Alors, petite chienne, c’est bon de se faire lécher ainsi.
- … oui, Monsieur. Un oui monsieur difficilement audible avec mon baillon.
Il m’avait relevé la tête en tirant sur mes cheveux.
- Regarde toi, petite putain.
- Oui regarde, je vais y insérer ma petite main dans ta chatte de chienne en chaleur.
Je sentis alors le dos de sa main s’humidifier contre ma chatte pleine de mouille. Il fallait reconnaître que j’étais dans un tel état. J’avais oui, envie de me faire prendre de partout.
C’est là que je sentis ses doigts me chercher comme mon maitre le faisait. Sa main était bien plus fine.
- Voilà petite trainée. Regarde moi ça !!! regarde comme tu vas te faire baiser par un poing.
Sa main était rentrée. Je sentais ses va et viens. C’était une sensation si particulière. Elle y allait doucement. Elle me baisa en allant bien au fond… C’est là qu’elle inséra de son autre main un doigt dans mon cul.
- Ton Maître m’a fait la confidence qu’il t’avait déjà bien travaillé le fion. Je veux le voir bien béant. Je veux t evoir ouverte. Tu comprends, petite chienne.
Je la regardais…
Je hochais la tête avec une certaine crainte.
Tout en ayant sa main dans mon con, elle commença le travail de mon fion. Elle y mis un second doigts…
- Oh mais quelle gourmande. Ça rentre.. si facilement.
Je ne tenais plus, je ne pouvais crier. Mon maitre me tenait dans ses bras, forçant à regarder cette maitresse me faire un traitement adapté à ma condition.
IL me tenait par le cou pour bien me maintenir.
- Voilà.. humm.. quelle putain… quel gouffre… on sent que tu t’es fais souvent fourré, écartelé. Regardez moi ça…
- Tu vois ma petite chienne, fister par tes deux trous de salope ! me dit mon maitre.
Elle me regardait droit dans les yeux et y mettait toutes son énergie pour me baiser de ses poings. Elle y mettait une telle frénésie comme pour me punir d’être une vraie trainée. JE tentais de me débattre. Mon maitre serra davantage mon cou. J’étais au paradis. Je défaillais. Je sentais des tremblement au niveau de mes cuisses. Je ne répondais plus de rien.
Elle sorta sa main de ma chatte et la tapota..
- Voilà… hummm.. ce petit trou… qui va garder la trace du passage de ma main…
Elle ota doucement sa main.
- Oh quelle ouverture… son fion est aussi béant de sa chatte de pute cher Monsieur. Voulez vous regarder ?
- Mais je compte ne pas en rater une miette.
C’est là qu’il s’était dégagé de moi et se mit face à moi, observant mes trous.
- Quel beau travail ma chère. Ouverte comme j’aime.
- C’est une bonne chienne que vous avez. Nous pourrons, je pense travailler davantage ses capacités si cela vous tente.
Elle s’approcha de moi et me parla à l’oreille.
- Tu es faite pour être punie d’etre une chienne. Regarde ce que tu nous obliges à te faire..
Elle souleva les pinces à tétons et les tira vers les hauts. Mon cri s’étouffa dans le baillon. Puis doucement elle me caressa le visage, les cheveux..
Elle me déposa un baiser sur la joue. C’est là qu’elle se releva et s’installa sur ma bouche. Elle s’empala sur le gode. Elle se sodomisa. Je sentais alors sa frénésie. De l’autre, mon maitre me sodomisa aussi. C’était une situation si particulière pour moi. J’aimais être à leur disposition, leur objet sexuel dont il pouvait abuser. Je sentais mon maitre me prendre le cul tout en insérant des doigts dans ma chatte.
Madame x prenez son pied tout en tournant aussi sur le gode inséré bien au fond. Elle chevauchait. Elle s’amusait avec la chaine à tétons. Tout valsait en moi. Mes seins, ma tête, mon cul. Je sentais des coups de par et d’autres.
- Salope ! petite pute.. dis mon maitre.
- Baisez la bien Monsieur, elle est maintenu si béante de ses trous. Il va falloir s’occuper de sa petite gueule. J’y ai décelé un certain potentiel.
D’un grand râle il s’arreta. Elle continuait. Je me sentais si honteuse d’être dans cette situation.
Quand elle s’arrêta, elle me claqua la joue..
- Quel bon petit jouet.
Elle me retira alors le baillon puis m’embrassa en me mordant la lèvre. Elle me libéra les cuisses. Elle me releva et en jeta au sol.
- A genou. Allez plus vite. Baisse la tête.
Elle marcha vers la taille. Elle se mit à ma hauteur et me montra un gode d’une taille certaine.. Un gode ceinture.
- Regarde ce que tu vas te prendre dans ta chatte et dans ton petit cul, dans ta gueule de pute. J’ai bien travaillé ces petits trous. Demande moi de te baiser.
Mon maitre avait saisi la cravache. Il releva mon menton voyant que je tardais à répondre.
Elle s’était mise à ma hauteur et me serra de sa main ma gueule.
- Allez réponds petite salope.
- Madame, je vous en prie, baisez-moi..
- Tu veux que je te baise ? tu veux que je te baise par où ?
- Madame, baisez moi par la chatte.
- Humm, je ne sais pas.. je crois que je vais surtout m’occuper de ton fion de salope.
Un moment de silence, je baisais le regard pour ensuite la regarder dans les yeux.
- Merci Madame….
Doucement, elle retira les pinces. Je hurlais de douleurs. Puis d’une douceur apaisante elle les pris dans ses mains et les lécha.
Ce redresse sein te va à ravir petite chienne. Présentée, je m’en suis délectée mais je préfère une chienne nue.
- Ote moi ça.
J’otais alors mon redresse sein puis doucement mon corset.
- Oh quelle belle marque.. Je vois qu’il était bien serrée pour te contenir.
- Oui.. Madame…
Elle appuya ma tête pour la jeter au sol.
- Cambre bien ton cul merde !
Elle me griffa les fesses.
- Voilà une bonne position de petite trainée.. Dis moi ce que tu es ?
- Madame, je suis une petite trainée.
- Et que fait on aux petites trainées ?
- On les baise Madame.. on les baise.
- Oh pas que cela petite chienne. ON les bourre, on les utilise, on les punit…
- Ecarte ton cul !
- Ecarte le bien..
- Oui.. Madame.
J’étais tête au sol, de mes mains j’écartais bien mes fesses pour lui offrir mon fion.
- Parfaite position de pute.
- Oui, une bonne pute dit mon Maitre.
- Lane, je veux t’entendre couiner comme une chienne.
- Oui.. Monsieur…
La taille du code m’avait fait frémir. Elle le mit à l’orée de mon cul.
- Oh mon dieu.. ça rentre, ça rentre.. regardez moi ça. Je vais te démonter petite pute.
- Merci madame de vouloir me démonter comme je le mérite.
- Elle mit le gode bien profondément puis commença sa chevauchée. Elle me montait si fermement..
- Petite pute.. allez cherche à bien te la mettre bien au fond..
- Voilà..
Je vis alors la chaussures de mon maitre face à moi.
- Sors ta petite langue de putain dit elle;
Je m’exécutais.. Il se mit à se servir de ma langue pour nettoyer ses chaussures.
- Elle est multiusage..
Je sentais Madame me labourer les entrailles. J’étais réduite à être un objet ce soir. Mon maitre était d’une telle intransigeance. Cela m’attristait mais de l’autre, je me surpassais, j’éprouvais de nouvelles sensations. Il savait me sortir de ma zone de confort.
- Une bonne cireuse de pompe dit elle.
Mon maître se saisit de ma queue de cheval et me mit à quatre pattes.
- Ouvre ta gueule.
Jamais on m’avait bourrée de cette manière. Elle me saisit les extrémités de ma bouche avec ces doigts. Elle était plus exigeante.
- Monsieur, que diriez vous de lui fourrer cette bouche ?
- En voilà une excellente idée mais demandons à notre petite chienne..
Je n’osais plus rien faire, mes yeux se baissait faisant office de réponse.
Elle lui offrait ma gueule. Il mis son sexe dans ma bouche. Elle me tenait alors par la laisse, mon maitre par la queue de cheval. J’étais soumise à leurs tentations les plus perverses.
Elle me claquait les jambes. Elle s’amusa de la cravache pour me chevaucher comme si j’étais une jument.
- Suce correctement petite pute.
Il me donnait la marche à suivre par la tête. Il me tenait la gorge et s’était enfoncé bien au fond. Je bavais…
- Oh mais regardez moi cette salope. Elle bave de partout ! par la chatte, par la gueule. Dit elle.
Il se retira d’un seul coup. J’étais alletante voulant reprendre mon souffle. Elle sortit le gode de mon cul. Et chacun se stoppa.
Mon maitre était allé s’asseoir le fauteuil et elle sur le canapé.
Elle tenait le gode comme une bite. Elle me l’exbitait au loin. Elle en retira le préservatif qu’elle avait mis dessus.
- Allez viens chercher ton jouet petite chienne…
Avec ma démarche de petite chienne, je m’avancais vers elle.
- Leche mon anus .
Elle tenait le gode dans sa main pour me donner un meilleur accès à son anus. Ma langue tournait autours de son auréole.
- Allez viens t’empaler dessus.
Je m’étais alors levée, mise à califourchon sur elle. Elle ecarta mes fesses.
- Voilà.. C’est bien petite putain… Allez chevauche ! Hu Dada !
Elle me forçait à l’avoir bien profondément tout en me claquant les fesses afin que je bouge mon bassin d’avant en arrière.. Elle s’agrippa ensuite par mes seins. Elle les pressait si fortement, les gilait, elle le giflla aussi fortement.
- Petite pute. Dis moi que tu es une petite pute.
- Oui.. Madame je suis une petite pute.
Elle continua a me gifler de partout. Puis elle remis ses mains sur mes fesses et me demanda d’aller de haut en bas.
- Allez bouge mieux que ça.
- Stoppe maintenant. Ecarte ton cul.
C’est là que je sentis mon maitre derrière moi. Il me saisit par la gorge me forçant à me cambrer. Elle écartait bien mes fesses.
- Allez quémande !
- Monsieur.. je vous en supplie, enculez moi.
Il me prit avec violence. Prise en double pénétrations, c’était d’une telle intensité.
Je sentais mon maitre frénétique. Je reconnaissais ses coups de queue qui prédissent sa jouissance.
IL juta alors dans mon cul.
- Garde cette semence petite pute, me dit il.
Madame se stoppa .
- Au pied.
Elle retira alors son gode ceinture.
- Allez viens me finir petite catin. Déboutonne mon chemisier.
Je me sentais interdite. Je sentais le foutre de mon maitre couler par mon fion si détendu.
Avec douceur, j'enlevais les boutons de son chemisier.
- Belle gueule de pute tu as.. Allez suce, tête!
- hum voilà petite chienne.. encore.. Ta bouche est un réel délice…
Je la sentais soupirer de plaisir. Je prenais ses seins dans mes mains pour mieux ensuite porter ses tétons à ma bouche.
Elle mis sa main sur ma tête et me força à aller à son entrejambe;
- Lèche et Doigte moi. Allez !
Je n’avais jamais fait cela de ma vie. Je sentais mon maitre en train de m’oberser. Je le faisais pour lui, pour lui montrer ma gratitude.
- Humm que tu lèches bien petite pute. C’est une première il parait ? dit elle comme un murmure d'abandon
- Oui.. Madame..
Elle sentait ma timidité.
- Tu ne vas pouvoir que progresser mais c’est déjà bien prometteur.
Elle sera ma tête entre ses jambes. Je la sentis se contracter… prise d’un spasme..
- Humm bonne petite chienne. Allez au panier…
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