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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
"Blabla blabla bla blablablabla et blablabla. De toute façon qui lit ça."
Aujourd'hui fut une bête de journée. Le boulot vite expédié, j'ai bien poussé à la salle et sur le retour, une petite chaudasse m'a allumé dans le métro. Pas trop dégueu en plus mais les vanilles, très peu pour moi. Encore une qui ne verra pas le loup ce soir.
Un truc m'a frappé d'ailleurs.
Lors de ma correspondance en bus, je prenais possession de l'arrière (du bus).
Quelques arrêts plus loin, une bande de jeune puceaux montèrent et firent mines de vouloir m'évincer de ma place durement gagnée.
-Monsieur, s'il-vous-plaît...
Un regard mauvais les calma direct.
Sans déconner.
Comment voulez-vous que l'humanité devienne plus forte avec des couilles molles comme eux. C'est ça qui va payer ma retraite? Bordel, j'vais me retrouver à la rue. Faut que j'assure mon avenir...
Un billet d'euromillion plus tard, devant mon écran d'ordinateur, je finissais mon nouveau profil.
Je ne comprends toujours pas pourquoi mes photos ne rendent pas aussi bien que ce que je vois dans la glace.
Sûrement que mon portable prend des photos trop nulles.
Puis cette chemise de merde. Elle me fait paraître beaucoup trop maigre. Pourtant je suis baraque.
Je résiste à la faire tomber histoire d'afficher les abdos. On a déjà essayé et ça impressionne de trop.
Finalement je trouve l'astuce. Je tends la chemise dans le dos pour resserrer la ceinture, je remonte les manches et je croise les bras.
Un filtre noir et blanc, une résolution faible et le tour est joué.
Je suis un caméléon.
Non.
Une mante-religieuse.
Et ce faisant, j'applique religieusement mon plan.
Gare à celle qui tombera dans mon filet.
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Au bout d'un moment qui me paru interminable, Maitresse Sylvie revient et allume la lumière. Habitué à l'obscurité, je ferme les yeux plusieures secondes. J'entends la porte d'une cage s'ouvrir près de moi. En ouvrant les yeux, je m'aperçois que ma cage est ouverte et que Maitresse Sylvie m'attend. Elle me sort de ma cage, me met un collier et une laisse et m'emmène à 4 pattes vers une nouvelle partie du château. Je suis heureux de pouvoir me dégourdir un peu les muscles même si mes genoux me font mal à taper contre les carreaux du sol, mais je me garde bien de dire quoi que soit. Elle me fait entrer dans une pièce à la lumière tamisée. Dans un coin, je distingue une silhouette féminine.
- "Je vous le laisse. Amusez-vous bien"
La nouvelle maîtresse prend la laisse que lui tend maitresse Sylvie et m'amène vers une table d'environ 1m de hauteur. Elle est entourée d'un tissu noir, de sorte qu'il soit impossible de voir dessous.
Après avoir retiré ma cage de chasteté, ma nouvelle maîtresse m'allonge sur le ventre et m'attache les poignets et mes chevilles avec des liens en cuir aux coins de la table.
Ainsi immobilisé, je suis totalement à sa merci.
- "Je m'appelle Maitresse Julia. Il paraît que tu as été très vilain avec Lucy. Elle n'a même pas voulue s'occuper de toi lorsqu'elle a appris que tu allais revenir. C'est dire sa colère. Elle pensait que tu n'aurais jamais le courage de revenir. En tous cas, en lui désobéissant, tu désobéit à nous toutes. Je vais donc te faire regretter ca,"
- "Je vous en prie, ne soyez pas trop dure. C'était un accident avec Lu...avec Maitresse Lucy".
- "Je n'ai que faire de tes explications. Tu n'as pas suivie ses ordres, tu es puni. C'est tout".
Maitresse Julia se dirige vers le mur où sont suspendue plusieurs fouets, cravaches, martinets et autres accessoires pour frapper les infortunés soumis amenés ici. Elle observe les accessoires avant de revenir vers moi.
-"J'oublie quelque chose." Me dit elle en posant un bandeau sur mes yeux.
- "Voila, maintenant, je vais pouvoir m'amuser"...
A suivre...
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Les traces de votre sourire
Je la regardai pleine de desir
Un petit rayon buissonnier
Papillonner, comme un sourire
En la voyant sortir son fouet
Sans les mains attachées
C'est encore mieux !!!!!!
Je baissai les yeux
Pour me laisser porter
Et porté je le fut
Par 2 doigts seulement
Cela lui a plu
jusqu'au fluide
Son sourire fut complice
Melant souffrance et delice
Je l'entendait gemir
et exploser de plaisirs
Moments entre calme et volupté
Des moments captés
Pour garder souvenir
De cet instant sourire
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Comment résumer ce sourire ?
sans expliquer ce moment
suspendu à ces delires
a son art créatif
cette peur furtive
mon corps en apparence passif
mon âme en expectative
tel un condamné héroïquef
ace à ces envies sadiques
Puis la fin du martyr.
prendre conscience de son corps qui tire
se plaindre et la voir reprendre
Reprendre le temps d' un instant
.
Puis cet éclat de rire
fière de votre art
fière de votre soumis
parachever et signer
avec votre cravache
Pour faire gicler ce corps
Tel un feux d'artifice
fait d'aiguilles et de sang Melés
pour votre plus grand sourire
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Poeme de mon ex soumise ...
VOUS APPARTENIR TOUJOURS PLUS .......
Bientôt mes chaines vont s'alourdir
selon votre désir et pour mon plaisir.
Le don que je vous fais, se fera plus présent.
Je vous sentirais, en tous lieux, en tout temps.
Autour de mes hanches, viendra bientôt se poser
votre sceau, sous la forme d'une ceinture de chasteté.
Longtemps, chacun de notre coté, nous y avions pensé.
De temps en temps, nous en avions parlé...
Dans quelques jours, la mise sous clé
de mon intimité sera enfin une réalité.
Et ce n'est pas sans fierté,
que cette 2ème marque de ma soumission, je porterais.
Elle sera le symbole de ma sincère dévotion,
de mon appartenance, de mon plus en plus total abandon....
Je mentirais en disant que je n'appréhende pas
mais pour vous, pour nous, je veux faire ce nouveau pas.
Vous êtes mon Maître bien aimé
et je suis heureuse que vous déteniez toutes mes clés...
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Il y a des je t’aime que l’on dit, et ceux que l’on ne dit pas assez.
Des pensées que l’on écrit, et celles qui ne sont pas exprimées.
Des émotions que l’on crie, mal entendues, dialogue avorté.
Il y a ces larmes que l’on ne voit pas, et celles qui devraient couler.
Il y a des peurs qui emprisonnent, au lieu de crier liberté.
Des amours en devenir, mais qui restent sur le bas côté.
Des amours plein d’avenir, mais qui préfèrent se déchirer.
Il y a des doutes qui cloisonnent, et des battements emmurés.
Il y a des pages qui se tournent, et des livres encore ouverts.
Des mots que l’on oublie, et des maux brûlant l’atmosphère.
Des souvenirs qui s’effacent, d’autres qui empoisonnent les hémisphères.
Il y a des peines perdues, et des espoirs prêts à remettre le couvert.
Mais il y a des âmes pleines d’envies, et des cœurs à découvert.
Des hommes qui redonnent vie, et des femmes qui conquièrent.
Des toi, des moi, qui rêvent de paradis, de comparer leur imaginaire.
Il y a des goûts et des couleurs, puis des plaisirs de chair…
Le 01 05 2022
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Et survint cette étincelle
elle était si belle
Si attrayante
Et puissante
Je l'ai regardé
Subjugué
m' attacher les main
sme serrer les seins
je suis offert ainsi
au moindre de ses envies
et d'un coup je chavire
et je voie son sourire
sourire carnassier
mordre mon teton
elle en a envie
et cede a sa pulsion
a pleine dent
passionemeni
un moment
etourdissant
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Nous voici donc seuls dans la chambre d’hôtel, moi assise dans ce fauteuil, Sextoy couché à mes pieds.
J’ai besoin de récupérer un peu, et de mettre mes idées au clair pour la suite du programme. Je connais vos consignes, Monsieur, j’espère simplement avoir le temps nécessaire.
Après quelques instants, je me relève puis vais chercher dans un sac quelques objets que je pose sur le lit : une cravache, un collier, une laisse et un jouet en plastique pour chien, ainsi qu’un sachet de biscuits. Puis, tout en claquant des doigts et en pointant l’index vers le sol, j’intime « au pied ! ». Sextoy comprend assez rapidement. Il se relève et vient me rejoindre, à quatre pattes. Une caresse sur la tête pour le féliciter.
- bien, à partir de maintenant, et jusqu’à ce que les invités de Monsieur soient repartis, tu seras un bon petit chien, et devras te comporter en tant que tel, compris ?
- oui Duchesse
Vlan, un petit coup de cravache sur les fesses : « a-t-on jamais entendu un chien parler ? » Il baisse la tête, légèrement penaud. « Je sais que tu as des chiennes chez toi, tâche de t’inspirer de leur comportement. Pour commencer, la posture. Lorsque tu es à quatre pattes, en position d’attente, ou que tu marches, tu dois être cambré, ton petit cul bien offert à qui voudra. Allez, avance un peu, que je te voie ». La posture n’étant pas habituelle, il a du mal à la conserver longtemps… du moins au début. Chaque erreur est sanctionnée d’un coup de cravache. Les coups, fréquents les premiers temps, se sont espacés jusqu’à disparaître. Il faut dire qu’ils étaient de plus en plus appuyés… En même temps, je l’appelais régulièrement « au pied ! », avec claquement de doigts et index pointé vers le bas, jusqu’à ne plus prononcer et un mot et qu’il obéisse au claquement de doigts.
Cette première phase terminée, je suis allée m’asseoir sur le lit pour commencer la seconde.
Après lui avoir retiré la laisse : « assis ! », le tout accompagné d’un claquement de doigt suivi du poing fermé ; puis « couché ! », claquement de doigt et main à plat. Chaque séquence correctement exécutée est suivie soit d’une caresse sur la tête, soit récompensée d’un biscuit, que je lui fais manger dans le creux de la main. Ces exercices sont répétés plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il les ait acquis uniquement par le claquement des doigts et le geste, comme pour la première phase.
Comme il fait chaud, je bois un peu d’eau, avant de lui en verser dans une gamelle prévue dans le sac à cet effet. Il n’a pas encore l’habitude de laper, mais, la soif aidant, il s’y met rapidement. Comme il a été bien attentif à ses leçons, il a le droit de jouer un peu. Je vais donc prendre le jouet et le lui lance. Premier réflexe de sa part, tendre la main pour l’attraper… mauvaise option. Un coup de cravache sur la main pour le ramener à la réalité. Il comprend vite, mon petit chien. Il va donc s’amuser avec son jouet, me l’apportant de temps en temps pour que je le lui lance.
Pendant ce temps, je me repose un peu dans le fauteuil, car je me doute que je n’en n’aurais plus l’occasion avant un bon moment. J’allais oublier une dernière chose… Claquement de doigts et index pointé vers le sol, il accourt aussitôt.
- c’est bien… Tu as bien appris toutes tes leçons ; il manque cependant un petit quelque chose… Il te manque un élément pour pouvoir montrer que tu es content, puisque tu n’as pas droit à la parole… Et tu vas pouvoir le faire comme un bon petit chien, avec ta queue. Je vais donc te retirer ta cage, on va voir si tu aimes ça, d’être un bon toutou.
Et, tout en parlant, je lui retirai sa cage en plastique, pour me rendre compte très rapidement qu’il était heureux de sa condition.
Il était temps. Un sms venait d’arriver sur mon portable, par lequel vous m’annonciez que vous seriez là avec vos invités dans quelques instants. Je me dépêche de faire place nette sur le lit et de mettre un peu d’ordre dans la chambre. Il nous fallait nous mettre en position. Je me plaçais face au mur libre, jambes écartées. Puis, après avoir ordonné à Sextoy de se tenir tranquille à mes pieds, lui aussi face à ce mur, je croisais les mains dans le dos, bien droite, poitrine en avant, mais regard baissé.
Bruits de voix dans le couloir. Je vous sais proche, Monsieur, mon cœur bat un peu plus vite. Après quelques instants, les deux panneaux coulissant qui formaient le mur s’ouvrent sur une suite, dont nous n’avions occupé jusque là qu’une petite partie. C’est une surprise pour Sextoy, mais non pour moi. Il y a un coin salon, avec un canapé convertible, en mode lit, un petit coin cuisine, une grande salle de bain et, plus loin, le coin chambre, pour l’instant isolé du reste grâce à des panneaux coulissants
Vous êtes accompagné de trois personnes. Une grande femme blonde, aux formes légèrement pulpeuses, qui porte un corset noir et une longue jupe aérienne en voile noir, chaussée d’escarpins ouverts noir vernis dont les talons sont rouges. Vous me la présentez comme étant Lady Venus. A ses côtés, regard baissé comme le mien, Bijou, sa soumise, petite brunette qui me semble assez jeune ; elle est vêtue d’une courte robe moulante en latex blanc, chaussée d’escarpins noirs. La troisième personne est un homme, très grand, bien proportionné, cheveux noirs coiffés en brosse. Maître Sévère. Il porte son nom sur son visage mais, curieusement, je n’en n’ai pas peur.
Puis vous nous présentez : Duchesse, et notre chien Sextoy….
J’espère que ce dernier va réagir, et aller saluer son Maître. Mais je le sens un peu interdit. Comme je baisse la tête, je le vois qui me regarde, m’adressant un regard interrogatif. Je lui fais signe discrètement de bouger un peu. Mais, ce qui le motive le plus, est de vous entendre dire à vos amis, d’un ton légèrement menaçant : « nous allons voir si Duchesse a bien dressé ce chien ». S’il ne réagit pas, c’est moi qui serais punie. Mais il m’évite cela, en rejoindre vous rejoindre et lécher la main que vous lui tendez. Une caresse sur la tête est sa récompense.
- « brave chien. Va saluer mes invités, maintenant »
Je ne lui ai pas donné de consignes à ce sujet, et ne sais pas comment il va réagir. Il se dirige vers chacun d’eux… et leur lèche les chaussures. Je suis rassurée… Puis un claquement de doigts se fait entendre. Aussitôt il regarde vers moi, pour voir de quel ordre il s’agit, mais j’ai toujours les mains croisées dans le dos. Nouveau claquement de doigts. Il tourne alors la tête et s’aperçoit que c’est vous qui l’appelez ainsi, à venir à vos pieds. Il s’exécute aussitôt, ce qui me fait obtenir vos félicitations. J’en suis heureuse.
Après cette brève démonstration, vous invitez Lady Venus et Maître Sévère à s’asseoir autour d’une petite table basse. C’est le signal pour que j’aille servir des rafraîchissements, bienvenus par cette chaude journée. Tandis que je me dirige vers le coin cuisine, Bijou, pour obéir à sa Maîtresse, retire sa robe et s’agenouille à sa droite. J’apporte un plateau avec boissons et verres. Du thé glacé pour Lady Venus, un pastis bien frais pour vous et Maître Sévère. Bijou et moi prendrons un verre d’eau. Pendant ce temps, Sextoy, qui commence à prendre son rôle au sérieux, est allé chercher son jouet et commence à tourner autour de la table, le déposant au pied des uns ou des autres pour qu’on le lui lance. Amusant au début, ce petit jeu finit par vous lasser. Claquement de doigts et main à plat, Sextoy vient se coucher derrière votre siège, tandis que je m’agenouille à votre droite après avoir fait le service.
Vous discutez entre Maîtres, nous attendons sagement. Sextoy, qui a soif lui aussi après avoir joué, finit par se lever pour aller boire à sa gamelle, dans la petite chambre, puis revient se coucher à côté de moi, la tête sur mes genoux. Je le caresse, il l’a bien mérité. Puis vous m’informez que Bijou n’a jamais connu de contact masculin ; c’est pourquoi Lady Venus vous a demandé de l’initier. Je connais votre douceur et ne me fais pas de soucis pour Bijou, je sais qu’avec vous elle est entre de bonnes mains. Mais, continuez-vous, elle aura peut-être besoin de moi pour la rassurer. Je hoche la tête. « Oui Monsieur ». Je redresse la tête pour adresser à Bijou un sourire rassurant, et je sens alors qu’elle va en avoir besoin, elle a l’air terrorisée.
Vous vous levez et donnez ainsi le signal pour commencer les « festivités ». Tandis que Maître Sévère se dirige vers la chambre, Lady Venus va s’asseoir dans un fauteuil à côté du canapé-lit et demande à Bijou de rester debout face à celui-ci, tandis que vous vous déshabillez. C’est toujours un plaisir de vous voir nu, Monsieur, j’aime votre corps, que vous êtes beau….
Je reste en retrait, jambes écartées, mains dans le dos. Vous vous asseyez sur le lit et attirez doucement Bijou à vous. Vous commencez par prendre ses seins dans vos mains, à les caresser, avant de les prendre en bouche. Je la regarde, avec envie. Je ressens presque la sensation de votre bouche sur ma poitrine tandis que vous vous occupez d’elle.
Puis vous vous relevez et vous écartez du canapé-lit, avant de la faire s’agenouiller devant vous. Vous invitez Bijou à regarder, puis toucher votre sexe déjà en érection. Elle vous regarde, mais n’ose pas vous toucher. Vous vous tournez alors vers moi et, sur un signe de vous, je vais m’agenouiller à côté d’elle. Je lui prends alors la main et, délicatement, la pose sur vous. Nos deux mains, devenues siamoises, vous caressent le sexe, doucement, lentement. Sa Maîtresse l’encourage de la voix, lui caressant parfois la tête, le visage. Lorsque je la sens un peu plus assurée, je la lâche, l’invitant d’un sourire à avancer seule à votre découverte. Elle regarde, compare les différentes textures du gland, de la verge, et ose même descendre jusqu’à vos testicules.
Vient le moment où vous l’invitez à vous goûter. Léger mouvement de recul ; de nouveau je viens à son aide. D’abord je l’embrasse, doucement puis plus intensément. Ses lèvres sont douces. Tout en l’embrassant, j’attire sa tête vers votre sexe, jusqu’à ce que nos lèvres se posent sur votre gland. C’est alors une bouche à quatre lèvres qui vous prend le sexe.
C’est ce moment que choisit Maître Sévère pour faire son apparition à vos côtés. Lui aussi est nu, et son sexe dressé ne demande qu’à être honoré. Je vous regarde, et, sur un signe de confirmation de votre part, je vais m’occuper de Maître Sévère. Je commence par le lécher sur toute sa longueur, faisant ainsi doucement connaissance de ce sexe. Mes lèvres s’emparent ensuite du gland, que j’aime particulièrement téter, aspirer, tandis que d’une main je lui caresse les testicules. Vous en profitez pour inviter doucement Bijou à regarder pour apprendre. Je m’applique : non seulement je dois montrer l’exemple, mais je souhaite également vous faire honneur vis-à-vis de Maître Sévère. Et, de plus, j’ai enfin une queue pour moi seule, même si ce n’est pas la vôtre. Je m’en délecte donc, la suce, l’aspire, la lèche. Tout ceci ne m’empêche pas d’entendre Lady Venus vous demander de lui prêter Sextoy. Etant quelque peu inoccupée, elle demande alors à ce dernier de s’occuper d’elle, en lui faisant subir un face-sitting. Je jette un coup d’œil rapide : Lady Venus assise sur le visage de Sextoy, Bijou qui s’est décidée à franchir le pas pour vous sucer. La scène m’excite au plus haut point, et je passe discrètement une main entre mes cuisses ; je dégouline. Mon geste ne vous a pas échappé, ce qui me rend confuse. Mais vous aimez cela, me savoir ainsi dégoulinante d’excitation, n’est-ce pas, Mon Seigneur ?
Je n’ai cependant pas le plaisir d’honorer Maître Sévère jusqu’au bout car, après quelques instants, il m’invite à me relever et m’entraîne à sa suite, vers le grand lit. Avant d’ouvrir les panneaux coulissants, il me met un bandeau sur les yeux. Je frisonne légèrement. D’habitude, lorsque vous me prêtez à un autre dominant, c’est avec les yeux que je communique avec vous pour vous faire savoir si tout va bien ou si j’ai besoin de vous. Mais là je ne vais pas pouvoir. Vous devez le sentir, car vous tentez de me rassurer en me disant que vous restez là, attentif. Je n’ai pas le choix. Le fait de n’être pas bâillonnée est également un gage pour moi, signe que je ne serais pas totalement à la merci des angoisses qui pourraient surgir…
Ce que vous ne m’aviez pas dit, c’est que Maître Sévère excelle dans l’art du bondage, et, sachant que j’aime cela, vous avez souhaité m’offrir à ses cordes expertes. C’est pour ne pas que je voie ses cordes, et autres matériels, qu’il a sortis et posés sur le lit, que j’ai les yeux bandés. Il commence par prendre une longue corde noire, pliée en deux, d’une quinzaine de mètres, à laquelle il a déjà fait deux nœuds, avec une petite boucle et une plus grande. Il me passe la plus grande autour du cou, en laissant pendre la petite dans le dos. J’ai ainsi les deux brins de la corde qui pendent devant moi. Nouveau nœud, sous les seins, puis un autre, au niveau du pubis, avant de passer les deux brins entre mes lèvres. Nœud au niveau du périnée, cordes entre les fesses puis deux nœuds dans le dos avant de passer les brins dans la petite boucle et d’y faire un nœud. Chaque brin est ensuite passé sur le devant, entre les nœuds, puis repassé en arrière. Il réalise ainsi ce qu’on appelle un diamant Kikkou.
Chaque nouvelle tension par les brins horizontaux sur les brins verticaux fait se tendre de plus en plus ces derniers. Le nœud sur le pubis appuie désormais sur le clitoris, et le suivant sur l’anus, ce qui est très excitant. C’est une version quelque peu améliorée qu’il exécute sur moi : après avoir terminé ses allers-retours horizontaux, il descend sur chaque jambe, y exécutant des motifs du plus bel effet visuel. Il prend ensuite une corde, plus petite et rouge, et entreprend de m’attacher les mains dans le dos, bras le long du corps, avant-bras à l’horizontale, mains relevées à la verticale. Puis, avec de fines cordelettes noires, il entreprend de bien resserrer à la base les cordes qui entourent mes seins, afin de bien faire ressortir ces derniers. Il prend enfin deux fines cordelettes blanches pour entourer serré mes tétons, sous les piercings. Tirant sur les extrémités de ces dernières, il me mena à vous pour que vous puissiez admirer son ouvrage. Marcher ainsi attachée, les yeux bandés, avec des nœuds excitant entre les cuisses, n’est pas la plus aisée des choses…
C’est vous qui me retirez mon bandeau, avant de tendre un peu, de votre main, les cordes, pour m’exciter encore plus. Je vous murmure un merci pour ce joli cadeau que vous me faites. Puis Maître Sévère me ramène vers le lit, et prend quelques photos, avant d’attacher une barre d’écartement entre mes chevilles. L’équilibre devient précaire. Quelques coups de badine là sur les cuisses, entre les cordes, sur les fesses, sur les seins biens tendus. Je dois veiller à ne pas tomber, et pour cela ne rien chercher à esquiver, mais ce n’est pas trop dans ma nature.
Le temps ensuite pour Maître Sévère de prendre quelques photos, à votre demande, et il faut déjà dénouer tous ces liens pour éviter des blessures qui pourraient être graves. Mais je n’en n’ai pas terminé pour autant, car ma peau conserve la marque de ces cordes. Je secoue un peu mes bras pour les dégourdir, le sang afflue de nouveau un peu partout, cela picote légèrement. Bien qu’étant resté concentré sur son travail, Maître Sévère n’en n’est pas pour autant moins excité que tout à l’heure. J’entreprends donc de le remercier comme il se doit, à genoux devant lui, cette fois jusqu’au bout.
Durant tout ce temps, non seulement du fait du bandeau, mais aussi de l’examen de mes propres impressions, je n’ai prêté attention à ce qui pouvait se passer ailleurs.
Je n’ai pas vu Sextoy faire jouir Lady Venus après qu’elle a longtemps joué avec son visage.
Je n’ai pas vu Bijou se lancer à vous sucer, mais n’osant pas encore aller jusqu’à vous avaler, et vous ne l’avez pas forcée. Mais sa Maîtresse voulait qu’elle goûte tout de même à votre nectar.
Je ne vous ai donc pas vu jouir dans la bouche de Sextoy, et lui avez demandé de partager un peu avec Bijou.
Je n’ai pas vu non plus Bijou être autorisée à jouir par Lady Venus, de la bouche de Sextoy.
Non, de tout cela je n’ai pas eu conscience. C’est Sextoy qui me racontera plus tard ce qui s’est passé tandis que j’étais dans mon monde de cordes...
(Texte écrit il y a très longtemps, dans une autre vie.)
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la complicité
Un brunch croustillant
Un désir enivrant
La chaleur monte
Aucune honte
Plaisir des sens en éveil
Tout en restant sensuelle
Des idées pleines la tete
Pour se decouvrir sans perte
12 pinces ça tiens ?
Elle en conviens
Puis dessine un sourire
Sur mes seins qui s'etire
Les coups de cravache volent
Et les premieres pinces s'envolent
Mais pas toute d'un coup , savoureusement
Vous les choisissez méticuleusement
Plein de tact
Et d'impacts
une sur deux
delicieux
Moment de degustation merveilleux
son sourire devient radieux
Son sourire devient complice
qui annonce bien d'autre sevices
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D'une leçon de Vie, Mienne, de celle de la prise de conscience que se reconstruire, reprendre confiance en soi, prend du temps...
Armé de patience, d'une qualité que je me connaissais pas, tant mon impatience à vivre, à découvrir est grande...
C'est nourri d'Amour, que je prend plaisir à respirer et redécouvrir qui je suis, de la douceur de ses mains, de ses mots...
Ainsi, au terme de 3 mois, de ce que l'on pourrait qualifier d'abstinence, incapable de me projeter dans l'inspiration d'encorder une femme, n'ayant servi cette alchimie, cette connexion, que dans un lien, c'est au terme d'un déjeuner, à demeure, que j'ai repris mes cordes, N/nous offrant l'un à l'autre, dans une émotion profonde, d'une réalité, exprimée de nos larmes...
Ainsi, chaque jour, à chaque minute, à chaque souffle, mien, je me lie un peu plus à Elle, ce liant dans un naturel saisissant un peu plus à Moi, dans une danse délicieuse que celle de Vivre, Ensemble.
"Nankurunaisa" (Japonais) : Avec le temps, tout ira bien 🙏 (D'un mot émit spontanément par ma Kitsune, en cet instant, dans l'attente en terrasse a Aix-En-Provence, profitant de la chaleur du soleil)
Oni.
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La rencontre
Quand mes yeux vous ont enfin croisés
Je me suis senti happé , aspiré par VOUS
Ce sourire restera a jamais gravé
A la fois joyeux excité et fou
Cette scene, je me la repasse depuis hier
Sans que je puisse l'oter de ma tete
VOUS sentir ainsi vous toute fiere
Comme si m'accueuillir etait deja une fete
Pour moi , ce serai une decouverte
Enfin entrer dans son univers
Sans chichis , ni grande maniere
La porte de mon ame grand ouverte
Naturelle et sensuelle
Juste ELLE
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Approchez-vous, imprégnez ma chair
Sur le tissu léger de la lumière
Me submerger d’émotions
Dans l'ombre de vos étreintes
Redessinant les empreintes émouvantes
Volant à mon corps toutes les caresses
Le long de mes plaintes
Cette manière de percevoir votre regard
Gourmand se glissant sans égard
Sur l'arrondi de mes formes qui s'égarent
Comme un raz-de-marée entre vos mains
Se faufilent, m’effeuillant la peau
Du bout de la plume de vos doigts exaltant
Caressez-moi encore, que nos corps se cherchent
Vos doigts à l'intérieur de mes cuisses
Remontant jusqu’à mon postérieur
Mon corps à soif de votre imagination
De vos mots remplis d’affection
Je ne sais plus comment l’arrêter
Je n'arrive plus à me taire
Mon corps a besoin de trouver sa place
Sur les contours sensuels de vos gestes
Captivant, cultivant les émotions, les envies.
Il attend que vous me libériez de ces gémissements
Sous la clameur de vos lèvres
Qui me touche, me caressent
Inlassablement, insatiablement
Éveillant les murmures qui se font entendre
Pour vous, je me ferais docile et câline
Vous aurez le choix dans un jeu rempli de luxures.
Pile, je m’abandonnerai à vous
Face, je serai entièrement à vous
Que je gagne où je perde
Le' jeu' en vaudra la chandelle
Pour notre plaisir commun et charnel
Que procurent toutes ces sensations des gestes
Vous m’attachez, je suis à vous
Dans le jeu perpétuel de l’envie où va la vie
Je suis à vous pour nos désirs
Sur quel orifice viendrez-vous vous attarder
Me caresser en premier
Vos yeux voyagent sur l’arrondi et mes formes
Aimerez-vous peut-être que je commence
Mais ce n'est pas moi qui ordonne
Plusieurs gestuelles me viennent en tête
Je sens les pulsions parcourir mon corps
Qui se parsème sous la chaleur de vos mains
Imaginant votre peau, l'excitation que vous me procurez
Machinalement votre langue se promène sur mes lèvres
Les yeux clos, je me laisse emporter par ces préliminaires
Mon corps danse, ondulant de gauche à droite avec vous
Tout en moi, se contracte, se décontracte
Je suis à vous pour ces délices
Car le plaisir est au bout des ébats
Que les réjouissances commencent
Prenez-moi par le côté face
Me mettant à rude épreuve l’envie
Le désir de vos doigts qui me fouillent
Faisant couler en moi la cyprine de vos maux
Que nos désirs soient les fruits insoupçonnés
De l’audace des gestes agiles et précis
Qui parcourent de plaisirs nos lignes tendues
Que je ne maîtrise plus rien de cette attente
Sous les caresses soutenues
Se faisant de plus en plus oppressantes, douces et appuyées
Insistant sur certaines parties de mon corps
Dans le bruit et le son de nos soupirs
Que je puisse accueillir en moi
La semence chaude et puissante
Qui fait vibrer l’entrave de mes doigts
Pendant que les vôtres me parcourent le corps en toute liberté
Le 27 04 2022
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