La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 23/10/25
Il apparut que la grâce si particulière de sa tournure, qui l'eusse distingué au milieu du commerce de ses amies, attirait les regards autant sur elle que sur lui. Au fur et à mesure qu'on s'approchait d'elle et qu'on la connaissait davantage, cette connaissance se faisait comme par soustraction, tant elle se dissimulait dans une pudeur dont le voile illusoire semblait recouvrir parfois ses ébats secrets. Elle était restée une éternelle adolescente tant qu'elle s'était cru laide. Ensuite, elle s'était conduite comme une femme. Mais une véritable femme aurait été guidée par le plaisir, quand elle l'ignorait. Elle faisait comme les autres, voilà tout. Aucune gaieté, dans cette désolante et perpétuelle répétition qui servait tout juste à la persuader qu'elle vivait. Il faut dire à son excuse qu'elle ne tombait pas entièrement dans le piège. Elle se laissait ramener par des hommes "qui avaient quelque chose", se laissait embrasser dans le noir, caresser. L'amour, l'amitié, sûrement, non. La complicité, peut-être. Oui, mais on est complice dans une entreprise, dans un projet. Quel était le grand projet de cette petite fille mal élevée, au regard tourné vers le ciel glacial ? Quelles étaient ses grandes espérances ? Elle était amusante dans la nuit, avec son visage si blanc dans lequel on ne voyait plus que deux yeux sombres et mobiles, une mince bouche très fardée. Olivier lui avait dit la vérité, il l'aimait beaucoup. Quand il l'avait croisé, trois jours auparavant, sa fraîcheur l'avait touché, et aussi sa façon de parler, de s'exprimer. Cela lui donnait envie de lutter, de rivaliser, de gagner. Les regards, les désirs des autres donnent du prix. Et puis, ça la rendait fière d'être son amante. Elle aimait sa persévérance. Elle signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais, en même temps, les innombrables attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Elle ne put s'empêcher d'être émue par ses pensées. Charlotte pénétra dans le hall d'entrée et salua d'un signe de tête la réceptionniste. Elle prit alors l'ascenseur, les mains moites, le cœur battant à tout rompre. Sous sa robe, pour accompagner son string, elle avait choisi un soutien-gorge pigeonnant, dont le voile léger couvrait à peine ses seins. La caresse de la soie sur leurs pointes dressées ajoutait encore à sa suave excitation. Elle portait un parfum léger, sensuel. Et sa façon de le saluer, toute simple, était éblouissante. Il ne se souvenait pas qu'une femme l'ait jamais intrigué à ce point. Peut-être était-ce dû au masque qu'elle portait ou à la réputation qui la précédait. Quoi qu'il en soit, elle était ravissante, et de celles qui accrochent le regard et fascinent. Et ce n'était pas une question de robe ni de bijoux. C'était toute sa personnalité qui transparaissait: sexy, impertinente, séductrice. S'amuser à provoquer un homme aussi désirable, était plus facile qu'elle ne l'aurait cru. Le déguisement n'était qu'un artifice. C'étaient ses yeux verts derrière son masque et sa bouche sensuelle qui le troublait. La soie fluide moulait somptueusement les courbes de sa silhouette. Le précieux collier plongeait de manière suggestive entre ses seins, le métal froid lui rappelant que si elle jouait correctement son rôle, très bientôt les doigts de l'inconnu effleureraient sa peau avide de caresses. Elle laissa ses doigts glisser le long du collier, jusqu'au cabochon niché au creux de sa poitrine. Elle avait réussi à le surprendre, à l'intriguer. Elle ne disposait que d'une nuit. "- Monsieur, dit-elle. Je veux que nous fassions l'amour." L'homme leva un sourcil étonné et un sourire amusé effleura ses lèvres. Charlotte ne voulait pas qu'il réfléchisse. Elle voulait qu'il se contente de ressentir et de réagir. Elle avait décidé de ne plus donner dans le romantisme. Elle en était à ce point calme des passions où l'on se promène dans l'enthousiasme qu'elle décida de s'offrir.    C'était un parti dénué de caractère moral que le désir lui avait donné d'abord, une chose immédiatement instinctive, comme cette habitude de se livrer à ses amies les plus tendres et dont l'âme dépouillée la séduisait. L'humanité ne progresse que par ses vices. Elle est assez grande, assez solide pour se le permettre. Tout devient vice avec un peu de vertu, enfin avec application. Le monde est fait de n'importe quoi, reçu par n'importe qui et tout ce néant se donne un grand mal pour ressembler à quelque chose. Des souvenirs brûlants lui revenaient à la mémoire, des souvenirs de réduit exigu, de gémissements étouffés, d'extase partagée, des souvenirs qui la faisaient saliver devant cet homme qu'elle avait toujours désiré, et désirerait probablement toujours. D'un geste téméraire, elle glissa la main vers sa nuque, noua les doigts dans ses cheveux sombres et attira son visage vers le sien. C'était elle qui avait pris l'initiative du baiser. Ce fut l'homme qui en prit le contrôle. Il n'y eut pas de phase d'approche. Ses lèvres pressèrent les siennes, sa langue pénétra sa bouche, trouva la sienne, s'y mêla en un baiser sauvage, exigeant, prenant d'elle tout ce qu'elle avait à donner. Elle s'abandonna à son étreinte, s'enivrant de l'odeur de sa peau, une odeur virile, troublante. "- Allons dans un endroit plus intime, voulez-vous ?". Il eut un bref mouvement de sourcils, comme s'il soupçonnait un piège, mais il était trop poli pour répondre. "- Nous venons d'arriver. - N'avez-vous pas envie d'être seul avec moi ? Car je n'ai aucune envie de différer mon plaisir. Ni le vôtre. - Comment savez-vous que nous aurons du plaisir ? - Une femme sait ces choses-là. - Même si mes exigences sortent du commun ?". L'ascenseur s'immobilisa à son étage. Elle prit l'homme par la main et ils franchirent la double porte aux vitres gravées, traversèrent le hall de marbre et gagnèrent la luxueuse suite préparée. Elle était toute entière éclairée de bougies et ils traversèrent le salon en direction de la vaste chambre élégante, raffinée, décorée dans un subtil dégradé de tons chauds. D'autres bougies étaient disposées de part et d'autre de l'immense lit. Sur la commode, on avait disposé deux flûtes de cristal et une bouteille de champagne dans un seau à glace en argent. Le lit était entrouvert et les draps soyeux, comme une invitation aux ébats. Charlotte avait ouvert toutes grandes les portes de la terrasse qui surplombait l'océan pour laisser la brise parfumée baigner la chambre. L'homme ne prêta pas la moindre attention au décor. Il ne s'intéressait qu'à elle. "- Baissez la fermeture de ma robe", susurra-t-elle d'une voix enjôleuse. "- Vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je prenne mon temps, j'espère", murmura-t-il à son oreille. Elle se sentit soudain la bouche sèche. Elle avait envie d'être nue, de sentir ses mains sur elle tout de suite, mais aussi follement envie qu'il prenne tout son temps. Il était en smoking. Il devait se rendre dans une soirée où il verrait deux trois personnes qu'il aimait bien. Ses airs sombres, on croyait que c'était exprès.    Et bien souvent, sa nature prouvait seulement la vivacité avec laquelle, elle ressentait le plaisir, jusqu'à être désarmée et à se livrer à de plus viles prodigalités licencieuses, en mettant à part son amour pour sa maîtresse, pour laquelle ses abandons ne connaissaient pas de réserve. Beaucoup de choses se trouvaient expliquées, si l'on sentait combien deux êtres se ressemblaient, sur des plans différents. Olivier dansait avec la vie, sans savoir que c'était une chose merveilleuse. Il jouait avec les sentiments, sans apercevoir quelle flamme se dégageait de ces mouvements. Il la dévisagea sans vraiment prêter attention à ce qu'elle disait. Cela faisait bien longtemps qu'il avait appris une chose: si on voulait entendre ce qu'elle avait à dire, il ne fallait pas écouter ses paroles, mais examiner son language corporel. Il descendit la fermeture Eclair de quelques centimètres. Le corsage de la robe s'ouvrit dans son dos, s'écarta de sa poitrine et elle sentit un souffle d'air frais balayer ses seins. Du bout des doigts, il caressa son son cou, ses épaules, décrivant de petits cercles sur sa peau nue tandis qu'elle écartait doucement les pans de son corsage. Elle n'avait pas bougé, tenant toujours ses cheveux relevés pour lui, dans une position cambrée qui projetait en avant ses seins avides de la caresse de ses mains expertes. Elle ne s'inquiéta pas quand il plaça autour de son cou, un collier en acier comportant une charnière, située au centre. Il le verrouilla brusquement grâce à un système de vis et d'écrou. "- Vous avez un dos superbe", dit l'homme sans se troubler. Il fallait qu'elle s'écarte, qu'elle reprenne le contrôle du jeu. Mais c'était si bon de sentir ses mains sur ses seins qu'elle n'en eut pas la volonté. Et il s'y attendait. Il savait qu'elle ne pourrait pas. Il l'avait lu dans son regard, senti dans la façon dont elle cédait à la tentation, s'abandonnant à ses mains expertes. Ses paumes effleuraient sa chair, ses doigts la frôlaient à peine. La sensation était telle qu'elle dut se mordre les lèvres pour ne pas gémir. Elle referma les doigts sur ses épaules. Sa peau était chaude et douce. Du velours sur de l'acier. Chaque caresse de ses mains sur ses seins, chaque pression de ses doigts faisait croître le désir niché au creux de son ventre. Jamais elle ne s'était sentie à ce point prête pour un homme, excitée, humide. Elle l'était déjà au moment où elle avait ôté sa robe. Il pressa de nouveau la pointe de ses seins. Mais l'homme avait décidé d'imposer son rythme, de l'exciter, de la pousser à bout, puis de faire machine arrière au moment où il la sentirait prête à chavirer. Quand elle glissa les pouces sous l'élastique de son string et le fit glisser très lentement sur ses fesses, des fesses musclées, elle se retourna et il découvrit son pubis finement rasé, il la fixa, fasciné, le regard brûlant de désir, une expression si intense sur le visage qu'elle fut saisie de peur. L'homme bondit alors, tel un animal sauvage, et tandis qu'elle se redressait, il la souleva dans ses bras. Lorsqu'il l'eut posée sur la terrasse, il saisit la rambarde, emprisonnant Charlotte entre ses bras. Elle était piégée. Son numéro de strip-tease avait chassé l'homme réservé et distant et libéré l'être viril et impétueux.    Il y avait naturellement ce premier charme qu'on ne retrouve que dans la découverte des corps et des premiers émois, riches de surprises. La jeune femme avait exacerbé ses sens, lui abandonnant toute sa frivolité et des trésors entiers de sensualité. En un autre sens, Olivier trouvait là des voluptés véritables, traçant l'éloge de la paresse et vivant comme un moine égrillard, sans le savoir. On ne se guérit d'une folie que par une autre folie. Une flamme peut chasser l'autre, le feu demeure. Sans lui, les fruits n'auraient plus de goût, le ciel plus d'étoiles, la mer plus d'eau, les arbres plus de feuilles, les oiseaux plus de couleur, sa vie plus de sens, sa solitude, plus de fin, son plaisir, plus de plaisir, sa bouche, plus de baisers, ses reins, plus d'amour. Comme attirés par un aimant, ses doigts se refermèrent sur son sexe. Il était long et dur. Il sursauta lorsqu'elle allongea les doigts, les referma sur ses testicules qu'elle pressa doucement. Du pouce, elle effleura son gland gonflé et fut heureuse de l'entendre gémir de plaisir. "- Je vais explorer toutes les zones sensibles de votre corps avec ma langue", murmura-t-elle. Comme hypnotisée par le bruit des vagues qui se brisaient sur les rochers de la côte, en contrebas, elle s'agenouilla et prit le sexe de l'homme dans sa bouche. Il avait le goût du vent et de la pluie, le goût viril d'un homme. Et comme elle le lui avait promis, elle l'amena au bord de l'orgasme. Il perdit conscience de lui-même pendant un instant, perdu dans l'univers qui se réduisait au plaisir que lui offrait la bouche et se répandit dans sa gorge. Il continua à jouir et à éjaculer mais préféra se répandre sur le visage de Charlotte. Un peu de semence s'écoula sur la commissure de ses lèvres et sur ses seins. Brusquement, il glissa les mains entre ses reins. Perchée sur ses talons hauts, elle se trouvait cambrée, les fesses en arrière, dans la position idéale pour qu'il glisse un doigt en elle. Un doigt qu'il plongea alors dans sa voie la plus étroite, l'élargissant avec volupté jusqu'à ce qu'elle fut détendue. "- Je veux que vous veniez en moi par cet endroit. - Je le sais. Mais il s'arrêta. Il se redressa, plaqua son corps contre le dos de Charlotte. Son membre dur plongea entre ses fesses. Elle se cambra pour le prendre en elle, mais il s'écarta, referma les mains sur ses seins et en pressa la pointe durcie. Ce fut comme si une décharge électrique traversait le corps de la jeune femme. Elle se cambra de nouveau, collant son rectum contre lui. Lorsque enfin, il la pénétra, elle était si brûlante, si excitée qu'elle jouit aussitôt dans une explosion de tous les sens. Elle se serait écroulée si les bras puissants de l'homme ne l'avaient retenue. Il glissa une main entre ses cuisses et, ouvrant délicatement sa chair, il se mit à caresser son clitoris. Elle le sentait partout, avec son sexe planté profondément dans ses entrailles. Quand elle atteignit l'orgasme, il se décolla d'elle brutalement. Bientôt, tandis qu'elle retrouvait ses esprits, l'homme la tenait serrée contre lui, blottie dans ses bras. "- Avez-vous déjà été attachée et fouettée ? - Non jamais". Sans attendre, l'inconnu dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une corde de chanvre qu'il attacha au plafonnier de la chambre, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le cliquetis de la boucle de la ceinture tandis qu'il l'ôtait de son pantalon. - "Que faites-vous ? - Je répare un oubli. Souvenez-vous de mes exigences spéciales". Charlotte aurait pensé qu'Olivier gardait son amour avec sa pudeur. Mais cette pensée l'enthousiasma.    Elle le jugeait divertissant. C'était entendu. De son côté, et c'était le plus grave, il n'estimait pas très profondément le caractère de la jeune femme. Il haïssait sa faiblesse. Il savait qu'elle admirait n'importe qui. Elle se prêterait à ses folies, à ses fantasmes, à sa violence. Elle chuchotait, elle délirait, Elle tiendrait d'autant plus à lui, qu'elle se livrerait davantage. Lui la regarda se débattre vainement, il écouta ses gémissements devenir des cris. La douleur laissera alors place au plaisir. L'homme commença par apprécier la souplesse du ceinturon en cuir en fouettant l'air. Le premier coup claqua sèchement contre ses fesses. Il n'était pas du style à y aller progressivement. Il avait frappé fort avec l'assurance qui lui était coutumière et Charlotte sentit sa peau d'abord insensible, réagir rapidement à la brûlure du cuir. Le deuxième coup tomba, plus assuré encore, et elle gémit de douleur en contractant les muscles de ses fesses. L'homme la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Vingt, trente, quarante coups. Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées, s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle était exposée à un âtre crépitant. "- Vous voudrez bien vous retourner. - Non, pas devant", haleta-t-elle, "Pas devant. "- Vous devez aller jusqu'au bout de vos fantasmes de soumission". Charlotte pivota lentement sur elle-même. Elle avait gardé les yeux baissés mais elle aperçut quand même le ceinturon s'élever dans l'air et s'abattre sur elle, au sommet de ses cuisses. Elle hurla à nouveau et releva la jambe pour essayer de se protéger du coup suivant. Elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas et se vit perdue. Il ne refrappa pas immédiatement. Il attendit que Charlotte ne puisse plus se tenir ainsi sur la pointe du pied et qu'épuisée, elle s'offre à nouveau au fouet. Il continua à la fouetter méthodiquement sur les hanches et sur les seins. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. L'homme cessa presque aussitôt de la frapper. Il s'approcha de la jeune femme et ce fut lui qui remarqua le premier que le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la peine et de recommencer parfois par fantaisie. Charlotte n'avait aucune envie de bouger. Comblée, elle ne rêvait que de rester là, blottie dans les bras de l'inconnu. Mais pour lui, il était hors de question de passer la nuit avec elle. Le risque était trop grand qu'elle découvre sa véritable personnalité. Entre le dépit et le dédain, il est facile d'établir un rapport de dépendance. Au fond de lui, il pensait que tout était terminé. Puis il avait souri d'une drôle de façon, comme il était seul à savoir le faire, regrettant sans doute que le châtiment infligé ne fut pas plus cruel, non pas tant pour lui, mais pour elle, tant il avait deviné en Charlotte, le désir contradictoire mais combien réel de jouir dans la douleur. Avec un peu plus de temps, elle lui aurait sans nul doute plu. Quand le plaisir est ainsi orienté vers un univers inconnu, tout ce qui se rattache à lui devient motif d'imagination, puis de passion. Un privilège qui ne lui paraissait pas donné à tout le monde.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/10/25
Il avait alors cherché à nouer des relations plus durables, avec les contraintes que cela impliquait vu ses disponibilités. Il y avait eu des rencontres étonnantes ; cette soumise confiée par son Maitre parce qu'il avait trouvé une autre soumise qui lui convenait mieux physiquement ; quelques femmes mariées qui avaient envie de ressentir des frissons ; une dominatrice qui s'était révélée être une des meilleures soumises qu'il n'avait jamais eues ; des couples où le mari voulait voir sa femme soumise à un autre mais qui posait tellement de limites que cela devenait impossible, au point que certaines cachaient à leur mari qu'elle le voyait en cachette ; des relations plus longues, quelques mois au lieu de quelques jours, où il pouvait s'épanouir le temps de quelques rencontres. Il s'était fait un petit groupe d'amis, tous dominateurs comme lui, ils avaient tous ensemble aménagé un donjon, avaient partagé quelques rencontres avec leurs soumises respectives, toujours en cachette.  Puis il y avait eu le clash, sa femme le surprenant en pleine discussion avec une de ses soumises, incompréhension, menace de divorce, tempête dans leur couple. Ils avaient essayé de surmonter, avaient même tenté les jeux bdsm ensemble, mais cela ne fonctionnait pas ainsi entre eux. Finalement, il avait fait profil bas, lui laissant croire qu'il s'était assagi, menant avec elle une vie heureuse et coquine, mais avec des périodes où il cherchait des partenaires de jeu pour partager d'autres envies.  Pandémie, confinement, il avait été sage par obligation, jusqu'à croiser une jeune soumise, qui ne savait plus ce qu'elle cherchait. Abandonnée par son maitre sans nouvelles depuis plus d'un an, elle était en train de sombrer. Il avait cru pouvoir renouer quelque chose pour elle et avec elle, l'avait aidée à remonter la pente, mais l'empreinte de son précédent Maitre était trop forte, elle voulait être libre mais appartenir de manière permanente.  En quelques semaines, tout était consommé, ils avaient repris l'un et l'autre leur chemin et leur quête.  Et c'était là que Laura était apparue. En passant sur un site fétichiste, il avait laissé un message sur son profil et à sa grande surprise elle avait répondu. Elle, mariée, en cachette de son mari, débutante, se cherchant, avec ses peurs, ses tabous, ses envies. Lui, marié aussi, en cachette de sa femme, avec son expérience, ses envies aussi.  Ils avaient vite senti qu'il se passait quelque chose. Une alchimie sur leurs envies, sur leur manière de voir les choses. Il apaisait ses craintes, tout en la poussant à oser. Elle, inconsciemment peut-être, l'excitait, lui donnait de plus en plus envie de la dominer et de la faire s'épanouir.  Leurs manques de disponibilité, leurs conjoints respectifs, tout concourrait à les empêcher d'aller plus loin. Pourtant, un jour, elle avait dit oui à une rencontre. Alors qu'il pensait lui offrir un café, elle avait répondu en lui proposant une chambre d'hôtel, chambre d'hôtel qui s'était avérée contenir un mini donjon parfaitement équipé. IL avait testé jusqu'où elle pensait aller, lui proposant de lui indiquer par sa position une version soft ou une plus dure.  Il s'était interrogé, puis avait décidé de jouer le jeu jusqu'au bout. Et bien lui en avait pris, il avait découvert cette après-midi-là une femme étonnante. Débutante mais sachant ce qu'elle voulait, craintive et ayant peur de lui mais lui demandant de la gifler, lâchant prise comme jamais à une première rencontre. Osant se laisser attacher, malmenée, jouissant sous ses doigts et sa bouche. Ils s'étaient séparés repus, apaisés, mais les sens en feu et pour elle les fesses un peu plus rouges qu'à son arrivée.  Restait maintenant à concrétiser dans le temps. Mais c'était là que les difficultés les attendaient, difficultés de plannings respectifs, de disponibilités. Il y avait eu quelques ratés dans leurs rendez-vous. Mais ils avaient persévéré. Un jour Laura lui avait montré la photo de jolis accessoires sexy qu'elle avait acheté. Jolies tenues, ce petit harnais qu'elle portait ce soir, et puis un ensemble de soumission, à la fois chic et sexy, cuir rouge et métal doré, collier et bracelets, une laisse et un martinet. Son mari semblait enchanté de ses achats, et il avait fini par lui dire qu'il ne manquait plus que le dominant. Il leur avait fallu trouver une ruse pour que Pierre soit présenté comme le résultat d'une recherche d'un dominant correspondant aux attentes du couple, mais finalement ils avaient fait connaissance, et sympathisé, même si les rencontres étaient rares, il y avait entre eux 3 une grande complicité. 
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Par : le 17/10/25
  Béa et les contraintes de cuirs : Après avoir fait découvrir à Béa les sensations d’être contrainte avec bracelet aux poignets et chevilles, bâillon et bandeau, collier et laisse. Lui avoir faire découvrir les ressenties d’être contrainte avec des cordes, bâillons, bandeau, et se sentir offerte, dominée, chose, jouet, objet. Cette fois je l’initie aux plaisirs d’être contrainte par des sangles de cuir. L’odeur du cuir qui envahie autant ses sens que son esprit, son subconscient et ainsi de la laisser voyager dans ses fantasmes et lui permettre d’atteindre son lâcher prise, d’avoir des plaisirs qui lui envahissent la totalité de son être. Je la plonge dans le noir en couvrent ses yeux pour lui permettre de s’immerger au plus profond de son subconscient. Je la déshabille doucement, très doucement, bouton après bouton, fermeture éclair, agrafe, jarretières, bas, laissent tomber sur le sol ses vêtements et ainsi doucement l’effeuillée avec juste à ses pieds, la féminité des talons haut pour seule vêtement. Je prends ses mains et les placent le long de son corps, au niveau de ses hanches tout en lui effleurent sa peau nue. Je prends la première lanière, celle la plus longue et contraint ses bras, au-dessus de sa poitrine ou, je constate que ses tétons sont déjà bien dressés. Je prends une autre lanière de même longueur et place celle-ci sous la poitrine, l’effet escompté commence à être visible, la respiration s’accélère, sa peau se couvre de chair de poule, ses cuisses se resserrent, se frottent l’une contre l’autre, signe qu’une femme, qu’une soumise commence à ressentir de l’excitation, du plaisir. Je prends une troisième lanière et place celle-ci sur ses hanches, contraignaient du même coup ses avants bras et positionne ses deux mains devant son intimité. Je prends un temps de pose, promenant mes mains sur son ventre, remontent très lentement vers ses seins, passe furtivement sur ses tétons les effleurent à peine et provoquant aussi bien un soubresaut que des moments de plaisirs marqués par un corps qui s’exprime, aussi bien visuel que de façon sonore, la douce mélodie encore presque inaudible d’une femme, d’une soumise qui commence à percevoir, à ressentir les doux moments d’être contrainte, offerte à celui à qui elle donne sa confiance et ainsi de ne plus s’appartenir. Je prends une nouvelle lanière, celle-ci est très courte, spécifique à la contrainte des poignets et d’un geste précis et rapide, contraint ceux-ci en serrent bien pour ne pas leurs permettent aux poignets de glisser hors de cette lanière. Celle lanière supplémentaire qui augmente considérablement la sensation, le ressentie et donc, en toute logique les plaisirs d’une soumise rêvent, fantasment, d’être ‘attachée’ et de pouvoir jouir de cette situation d’abandon, d’être à lui, sans pénétration, sans sexe, juste par la situation et bien sûr les images que je pense, pas toujours saintes qui lui traversent l’esprit. La voici toute à moi de par son buste lié, toute à moi par son offrande, son abandon et je sais, cela par expérience que les idées, les fantasmes, les envies qui lui traversent l’esprit à ce moment, lui permette de trouver des plaisirs humides. C’est le moment opportun je trouve pour accentuer ses plaisirs, ses sensations, ses ressenties et la plonger dans un état second, lui permettent de s’évader dans les contrées lointaines de son imagination qui, je ne doute pas un instant, sont des plus érotiques voir inavouable mais, cela c’est son secret que je lui laisse vivre et un jour peut être partagé avec moi…… Je prends un bâillon boule, insert celle-ci entre ses lèvres, passe les lanières derrière sa tête et, verrouille fermement celles-ci de façon à ce que la boule rentre bien dans sa bouche et effectue sa tâche de domination. Contrainte par mes lanières de cuir, privée de la vue, privée de la parole, ma soumise est toute à moi. Pour elle ainsi contrainte, n’être que le jouet, l’objet du Maître et jouir de cette situation. Je prends une autre lanière de cuir, contraint ses cuisses, juste avant ses genoux, verrouille celle-ci pour bien contraindre les cuisses l’une contre l’autre. Je prends une autre lanière de ce cuir qui sent si bon et, contraint fermement ses jambes juste en dessous de ses genoux pour bien lui permettre de sentir son abandon comme mon emprise. A nouveau, je prends la dernière lanière de cet ensemble et passe autour de ses chevilles, si fines, si féminine et contraint fermement celles-ci. Entièrement à moi mais, également entièrement à elle Entièrement à moi mais, entièrement à ses fantasmes et désires. L’instant magique ne se fait pas attendre, elle gémit, bouge de façon très érotique, sa respiration s’emballe. Je la laisse s’imbiber de ce moment, de cette contrainte qui, petit à petit envahie son esprit, son subconscient, son âme de soumise heureuse d’être à ce point dominée. Je ne vais pas la toucher sexuellement, je vais la laisser ainsi faire son propre voyage, juste la regarder, l’admirer ainsi soumise à elle-même. Je l’ai regardé pendant 2h 30, gesticulant, mouillant de la bouche mais pas seulement à voir les draps, gémissent, tentant de se libérer toute en croisant les doigts de ne pas y arriver et de continuer à vivre ce moment des plus intense et de m’appartenir sans pénétration, que par la pensée, le subconscient. La beauté toute féminine de la soumission offerte mais à qui ? au Maître seulement ? Au bout de ces 2h 30, je viens vers elle et lui glisse à l’oreille : tu as jouis ? Elle hoche de la tête pour me dire oui. Tu veux que je te libère ? Elle me répond en hochent de la tête d’un oui pas si franc que cela en fait, serait-elle si heureuse d’être ainsi contrainte, dominée quelle se refuse d'être libre ? Quand pensez-vous ? Je défais les lanières les unes après les autres, doucement, très doucement pour bien lui faire prendre conscience que c’est toujours moi le Maître de ses plaisirs et qu’elle m’appartient. Toute en transpiration sur la totalité de son corps, des gouttes de sueur causées par les contraintes des plus serrée, essoufflée, excitée, la voilà libre de ses contraintes de cuir mais épuisée. Toujours dans l’obscurité, toujours bâillonnée, je retire celui-ci de sa bouche avec cette bave des plus sexy qui coule. Je tends ma main pour lui retirer le bandeau et là, aveuglée par la lumière, elle me sourit, ses joues rouges des plaisirs reçus la trahissent. Elle se blottie contre moi et d’une voie encore un peu tremblante me dit, merci mon Maître, ces sensations était des plus jouissive, j’aime quand vous m’attachez, je me sens à vous, votre chose, votre jouet et j’aime cela, cela me fait des choses dans mon ventre, dans mon cœur, dans ma tête et je sais que nous avons eu des plaisirs commun, et cela j’en suis heureuse. Voilà, la séance est terminée, quand pensez-vous ? Voulez-vous vivre une telle expérience ? Mesdames le BDSM n’est pas forcément lié au sexe, je pratique bon nombre de séances ou je ne fais qu’initier ces dames aux plaisirs intenses du Bondage, du Shibari. C’est les cordes qui abuse de votre corps, de votre esprit, de votre subconscient voir de votre âme, je ne suis que l’instrument de vos plaisirs d’être contraintes et de vous sentir offerte, dominée mais, les cordes abusent elles vraiment de vous ? Étant donné que vous le fantasmées, le souhaitées, le désirées ? A vous lire, cordialement Me Bernard
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Par : le 16/10/25
Chapitre 33 Le Luxe de l'Ordre   Le samedi matin ne portait aucune trace de l'acte de la nuit. La chambre de jeu était silencieuse, les outils rangés. Elle était à mes côtés, endormie profondément, sa peau fraîche, la seule preuve visible de l'éducation étant le léger rougissement qui persistait sur ses fesses. Je me suis réveillé avant elle. Ces moments de sommeil partagé sont essentiels. Ils ne sont pas un relâchement du contrôle, mais un renforcement : elle dort parce qu'elle se sent absolument en sécurité sous ma protection, même après que je lui aie infligé de la douleur. Je l'ai laissée se réveiller seule, quittant le lit pour préparer le café. Mon premier ordre du jour n'était pas un service, mais une instruction vestimentaire. Quand elle est entrée dans la cuisine, elle portait une de mes chemises, trop grande pour elle, et un simple bas de soie. C'était la tenue qu'elle s'autorisait les jours de repos, un luxe. "Bonjour," ai-je dit, mon ton neutre, professionnel. Elle n'a pas répondu par un mot, mais par une légère inclinaison de tête, reconnaissant le Maître avant le partenaire. "Aujourd'hui, tu vas te reposer. Nous allons sortir en fin d'après-midi. Tes instructions sont simples." J'ai posé sa tasse de café sur le comptoir, à portée de main. "Tu t’habilleras simplement. Pas de maquillage, mais la coiffure impeccable. Ta seule parure sera le collier de jour que tu porteras sous le col de ta chemise. Visible uniquement par moi." Le collier de jour n'était pas en cuir, mais une chaîne fine, discrète, presque invisible sous la lumière normale, mais suffisamment lourde pour qu'elle en sente le poids constant sur sa clavicule. C'était une contrainte cachée, un lien permanent que le monde extérieur ignorerait. "Compris ?" "Oui, Maître." Le murmure était un soupir de contentement. L'après-midi s'est déroulé avec une précision délibérée. Nous sommes allés dans un lieu public, un salon de thé chic, où la foule était présente. Elle était à mes côtés, la femme élégante et sophistiquée que j'avais créée. Elle marchait légèrement derrière moi, son allure était parfaite. Le contrôle ici n'était pas la laisse, mais le silence. Je n'avais pas besoin de lui donner d'ordres ; elle se tenait à l'endroit exact où elle ne devait pas me gêner, ses mains à ses côtés, ses yeux attentifs à ma moindre expression. J'ai testé son obéissance à travers des signaux non verbaux. Un simple mouvement de ma main vers la sienne sur la table était un ordre : elle devait glisser son doigt sous mon poignet, un contact intime et éphémère qui restait invisible aux autres clients. Une fois, alors qu'elle commentait une sculpture, j'ai froncé légèrement les sourcils. Elle a cessé immédiatement de parler, reconnaissant l'ordre implicite de ne pas s'exprimer sans permission explicite en public. La discipline de la nuit portait ses fruits dans la subtilité du jour. "Tu as faim ?" lui ai-je demandé doucement. "Oui, Maître." "Alors tu vas commander ce que je te donnerai." Je lui ai dicté son choix de dessert, quelque chose qu'elle n'aurait normalement pas pris. Le choix de la nourriture est un autre acte de soumission. Elle a commandé sans broncher, sa voix claire, le service rendu avec une grâce parfaite. J'ai observé son plaisir à me servir, non pas par contrainte, mais par la joie qu'elle tirait à jouer le rôle d'une femme absolument dévouée. La soirée a basculé au retour à l'appartement. La discipline d'une journée entière sous surveillance silencieuse avait créé une nouvelle forme de tension. J'ai fermé la porte. Elle s'est immédiatement tournée vers moi, le masque de l'élégance tombant. Ses yeux me suppliaient. "Tu as été impeccable. Tu as honoré ma propriété devant le monde." Elle s'est inclinée, touchant mes chaussures du bout des doigts, un geste de gratitude totale pour la validation. J'ai retiré le collier de jour. Le clic léger du fermoir a marqué la fin de l'ordre public. J'ai glissé mes mains sous sa chemise. La sensation de la peau chaude, marquée par le martinet la veille, était électrique. Je l'ai poussée contre le mur, son corps se cambrant instantanément dans l'anticipation. La pénétration fut douce et lente, mais incroyablement profonde. C'était un acte de possession émotionnelle, le sexe comme consolidation. Je voulais qu'elle ressente ma force, non comme une punition, mais comme l'ancre qui la maintenait dans son nouveau rôle. Elle gémissait mon nom, chaque son étant une reconnaissance que sa journée, son corps et son plaisir appartenaient totalement au Maître.   Capitre 34 L'Annonce et l'Offrande   Le petit-déjeuner du dimanche matin était l'image même du réconfort. Elle était assise en face de moi, enveloppée dans mon peignoir, buvant son thé chaud. Le silence était doux, rempli de la quiétude post-coïtale. Je l'observais, laissant l'attente s'installer. "Cette semaine a été une série de tests," commençai-je, ma voix calme. "Tu as prouvé ton obéissance à la fois dans la douleur et dans la distance. Maintenant, la prochaine étape. La soumission n'est pas complète tant qu'elle ne peut pas être offerte." Elle cligna des yeux, absorbant la validation. "Cet après-midi, nous avons un engagement social. Nos amis, Thomas et Éléonore. Tu les connais." J'ai fait une pause, m'assurant que l'importance de ce que j'allais dire pénétrait son esprit. "L'éducation n'est pas seulement pour mes yeux. Elle est pour la validation de ton statut." Je me suis penché au-dessus de la table. "En fin d'après-midi, ils viendront ici. Je t'ai préparée pour l'abandon, la discipline, le service. Aujourd'hui, tu vas t'abandonner sous le regard d'autres Maîtres. Je t'ai commandé une robe simple, en satin noir. Tu la porteras." J'ai pris la tasse de thé qu'elle tenait et l'ai reposée doucement. "Pour l'heure, mange. Ton corps aura besoin d'énergie. Après, tu iras te coiffer. Une coiffure simple, qui met en valeur ta nuque. Pas de maquillage. Je veux que la vérité de ta soumission soit lisible." Elle n'a toujours pas parlé, son regard portait une excitation nouvelle, mélangée à une légère nervosité. "La règle est la suivante : Tu es sous silence complet à partir de maintenant. Tu ne parleras pas à moins que moi, ou que Thomas, ne t'y autorisions." Elle a fait un lent hochement de tête. Le nouveau jeu avait commencé. L'après-midi fut une préparation silencieuse. Je l'ai dirigée pour sa toilette, vérifiant la coiffure, m'assurant que le satin noir qu'elle portait était à la fois élégant et suggestif. La robe s'arrêtait juste au-dessus du genou et dévoilait subtilement le début de ses cuisses, où les marques les plus pâles du martinet pouvaient être devinées par un œil averti. À l'heure convenue, la sonnette retentit. Elle était positionnée dans le salon, debout, le dos droit, ses mains croisées avec une soumission presque religieuse. Thomas, Maître par nature, et Éléonore, son élégante soumise, sont entrés. Les salutations étaient conventionnelles entre nous. La tension a monté dès que Thomas a aperçu ma Soumise. "Elle est ravissante," commenta Thomas, son regard pénétrant. "Elle l'est," confirmai-je, ma main se posant sur l'épaule de ma propriété. "Elle a été particulièrement disciplinée cette semaine. Aujourd'hui, je vous l'offre en validation de son statut." Éléonore, soumise aguerrie, a souri à ma partenaire, un mélange de compréhension et d'empathie, mais aussi de reconnaissance du lien que nous partagions. "Nous sommes honorés," dit Thomas. Je n'ai pas perdu de temps. J'ai conduit tout le monde à la zone désignée du salon, loin des regards extérieurs. "Elle est sous silence complet. Elle ne bougera que sur ordre." Je me suis adressé à elle, ma voix retrouvant le ton de la chambre de jeu. "À genoux. À mes pieds. Et lève ton visage vers Thomas." Elle a obéi, ses genoux claquant sur le tapis, son corps s'abaissant sans hésitation. Elle a levé son visage vers Thomas, le Maître invité, son regard exprimant la dévotion totale qu'elle m'offrait, transférée momentanément à mon invité. Thomas s'est approché. Il n'avait pas besoin de la toucher. Le pouvoir était dans le regard. Il la fixait, puis a demandé : "Dis-moi qui tu sers." Elle a dégluti, puis a murmuré, ses yeux ne quittant pas ceux de Thomas : "Je sers mon Maître. Et je suis sa propriété." "Non. Tu es sous silence complet," l'ai-je corrigée, ma voix cinglante, le rappel de la règle brisant la quiétude. Je n'ai pas eu besoin d'infliger de la douleur. La faute était la punition. Elle a fermé les yeux un instant, se reconcentrant. Je me suis tourné vers Thomas. "Elle est à votre disposition, mon ami. Elle est prête pour le service." Thomas a souri, appréciant la leçon immédiate. Il s'est accroupi, effleurant son épaule. "Très bien. Montre-nous ta nudité, ma belle." Elle n'a eu besoin d'aucun autre mot. Avec une lenteur déchirante, elle a retiré la robe de satin. Le tissu a glissé jusqu'à ses chevilles, la laissant nue, exposée non pas seulement à moi, mais à deux paires d'yeux critiques. Elle s'est tenue dans une soumission immobile, présentant la preuve de sa discipline. Thomas a passé sa main sur les marques pâles du martinet, un geste de validation. J'ai vu le plaisir dans les yeux d'Éléonore, un plaisir d'appartenance. La tension est devenue érotique, non par l'acte sexuel, mais par l'exposition absolue. Elle ne pouvait rien cacher, pas même sa réaction physique à la domination partagée. J'ai pris le contrôle final. "Maintenant, Thomas. Tu vas me faire l'honneur d'une démonstration." J'ai pris la canne de Rosewood. Je l'ai tendue à Thomas. "Elle est à vous. Elle attend votre marque." Thomas a accepté l'outil. C'était la validation ultime. Je m'étais retiré pour regarder. Thomas a administré trois coups nets sur ses fesses. Pas une punition, mais une signature, la preuve que sa soumission était reconnue par les pairs. Elle a geint, mais n'a pas bougé. Lorsque Thomas a reposé la canne, j'ai repris ma place. "Tu as bien servi," ai-je murmuré, la tirant contre moi pour un baiser possessif devant les deux témoins. "Tu es ma propriété, dans le secret et en public." Thomas et moi nous sommes installés confortablement sur le canapé, nos verres à la main. Éléonore, déjà nue sous sa propre robe, a obéi à l'ordre silencieux de son Maître. J'ai ordonné à la mienne de s'agenouiller, son corps nu portant encore l'humidité de la tension, sur un coussin devant mes pieds. Éléonore a pris la même position devant Thomas. Nous avons parlé un moment. De la BDSM, du club, des prochaines rencontres. Les deux soumises, nues et exposées, restaient à genoux, absolument immobiles, le silence total étant leur preuve de discipline. Elles ont parlé entre elles par de très légers hochements de tête ou des regards furtifs, partageant l'expérience sans briser la règle. Le silence est devenu électrique. L'excitation de cette conversation d'hommes, l'exposition des deux femmes nues, a mené nos érections à un point de tension flagrant. C'est à ce moment que les soumises ont vu notre érection. Elle m'a regardé, ses yeux pleins d'une supplique féroce. Éléonore a échangé un regard avec Thomas. "Maître," murmura-t-elle, brisant le silence, sa voix tremblante mais audible. "Pourrions-nous avoir l'honneur de vous donner une fellation?" Le même murmure est venu d'Éléonore à Thomas. C'était la preuve ultime de l'internalisation : l'initiative venait de leur ferveur, mais la permission restait entre nos mains. J'ai souri. "Oui." ai-je répondu. Thomas a donné la même autorisation. Elle a attrapé ma verge avec une ferveur immédiate. Elle  était brûlante et impatiente. J'ai saisi ses cheveux, non pour la blesser, mais pour contrôler le rythme et pour l'obliger à maintenir le contact visuel avec moi. À côté de nous, le son humide de la fellation d'Éléonore a répondu à la mienne. C'était un tableau de domination parfaite. Je l'ai poussée à accélérer, mon propre plaisir croissant à la vue de son dévouement forcé. Elle s'est surpassée, sa langue travaillant avec une précision désespérée, sachant que la performance était jugée. La tension est devenue insoutenable. Mon corps se cambrait, mes muscles se contractaient. Au même moment, j'ai vu l'expression extatique de Thomas à côté de moi. Nous étions au bord du précipice, synchronisés par l'abandon de nos propriétés. J'ai relâché mes doigts de ses cheveux et j'ai poussé ses hanches en avant, me libérant. Mon sperme a giclé avec violence, inondant son visage et sa poitrine. Le cri que j'ai étouffé était une pure décharge de domination. Thomas a explosé au même instant que moi, le bruit de sa jouissance se mêlant à la mienne dans un écho tonitruant. L'air s'est saturé du silence qui a suivi le chaos. Elle s'est effondrée contre mon genou, haletante, le visage et le torse couverts de ma marque. "Merci, Maître," a-t-elle murmuré.   Suite ......        
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Par : le 15/10/25
Maître Tom ne peut pas se contenter d'une seule soumise à dresser. Il considère le couple comme une cage. Il aime pouvoir disposer de son harem de soumises et le mettre en concurrence pour son plaisir. Par contre ses soumises lui doivent une obéissance et une fidélité absolue. Dans l'autre sens, il exige une exclusivité totale. C'est le contrat de départ. Maître Tom n'a pas besoin de leur poser des outils pour une chasteté contrainte, comme par cages  ceintures ou cadenas,  non,  il sait qu'il peut compter sur la fidélité absolue des soumises de son harem. Il n'a pas de favorite. Il les aimes toutes pareil. Par contre toutes les soumises fantasment d'être sa favorite. Toutes doivent faire des efforts pour plaire à Maître Tom  et ce jeu de séductions et d'attirances l'amuse beaucoup.  Toutes sont jalouses des autres dans cette compétition pour avoir les faveurs de Maître Tom. Mais une plus que les autres, sa superbe Vipie. Une spéciale compétition question jalousie, qui devient rouge piment  lorsque Maître Tom s'occupe d'une autre soumise qu'elle.  Aussi pour la dresser,  et la faire bien souffrir, Maître Tom a passé un collier de chienne à Vipie et il a fixé ce collier par une chaîne au mur. Elle n'a droit qu'à une carpette pour chienne et une gamelle d'eau.  -chienne Vipie, c'est un privilège pour toi de garder de la sorte la couche de ton Maître. Tu es une bonne chienne. Mais gare si tu n'obéis pas.  Vipie ne peut pas battre de la queue, mais son joli petit clito se dresse lorsque son Maître s'occupe d'elle.  Et Maître Tom adore faire souffrir Vipie. Il prend toujours soin de s'occuper d'une autre soumise devant elle. Chaque fois Vipie enrage, devient rouge et transpire. Interdiction zbsolue d'aboyer sans quoi c'est la muselière et le cachot noir. Vipie doit souffrir de sa jalousie en silence. Maître Tom prend plaisir à torturer Vipie. Il prend toujours soin de terminer une séance en sodomisant ses soumises pour qu'elles comprennent bien qui est le maître. C'est le moment qui fait le plus souffrir Vipie. Voir son propriétaire prendre son pied dans le cul d'une autre. Et pire Maître Tom demande toujours à la soumise qu'il vient d'enculer d'aller pisser dans la gamelle de Vipie pour souiller  son eau. Les chiennes comprennent très bien ce que cela veut dire.  Maître Tom laisse toujours sa chienne méditer une heure ou deux, seule à côté de sa gamelle souillée.  Puis il vient détacher Vipie. Il la nettoie avec de la paille bien rêche.  Ensuite tenue en laisse et à quatre pattes, il l'emmène faire un tour dans le jardin. Vipie à un coin où elle peut pisser à son tour. Son maître joue avec elle et la dresse avec une baguette fine qui claque et fait très mal. Vipie est heureuse lorsque son Maître s'occupe d'elle. 
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Par : le 13/10/25
Pierre inséra la voiture dans la circulation et leva les yeux dans le rétroviseur. Il croisa le regard de Laura, et ils restèrent ainsi un moment les yeux dans les yeux. Ce fut finalement elle qui baissa la tête. Il eut ainsi tout le temps de la contempler.  Elle avait vraiment osé venir a cet étrange rendez-vous et semblait avoir suivi ses exigences. Toujours vêtue avec goût et chic, elle avait cette fois ci relevé ses cheveux en un petit chignon qui dégageait sa nuque. Avant qu'elle baisse la tête, il avait eu le temps de voir cet élégant collier de satin noir qui enserrait son cou et il savait qu'il se prolongeait entre ses seins pour former un léger harnais de dentelle noire. En repensant à la photo qu'elle lui avait montré le jour où elle l'avait acheté, il se retrouva plongé dans les souvenirs du début de leur relation.  Marié depuis de nombreuses années, il venait de dépasser la soixantaine. Alors qu'il partageait beaucoup de choses avec son épouse, ils n'avaient jamais réussi à pleinement faire éclore leur sexualité. Il faut avouer qu'il avait des envies sortant un peu de l'ordinaire, un mélange de domination exacerbée et de respect de ses partenaires qui lui donnait un profil singulier. Ne parvenant pas à trouver un équilibre dans son couple, il avait cherché à l'extérieur des partenaires avec qui partager ses fantasmes. Et en quasiment 25 ans, il avait fait beaucoup de rencontres et des flashes remontèrent à sa mémoire.  La toute première rencontre avait été à l'initiative d'un jeune homme. Photographe, il avait envie d'immortaliser sa femme entre les mains d'un homme plus âgé. Contact pris sur minitel à l'époque, il avait pris un verre tous les deux, il lui avait montré un book qu'il avait déjà réalisé, érotique et de bon goût. Il cherchait à aller plus loin et elle était prête à le laisser organiser les futures rencontres avec des inconnus.  Pierre avait finalement écrit le scénario, le coté cérébral prenant déjà le dessus sur les autres aspects. Il les avait attendu sur le parking d'un hôtel, il avait vu arriver le jeune couple (elle avait 20 ans), et peu après, le jeune homme était venu le chercher pour le conduire dans leur chambre.  Elle était là, telle qu'il l'avait voulu, une jupe noire, un chemisier blanc, des bas et des escarpins. Ses poignets étaient attachés à un des montants du lit supérieur et surtout un bandeau noir recouvrait ses yeux. Il avait commencé à lui parler, elle s'était raidie un peu en sentant sa main la toucher, découvrant peu à peu ses seins, (elle était nue sous ses vêtements), puis elle s'était laissée allée, le chemisier était tombé, la jupe roulée à la taille, il avait joué de son corps jusqu'à la faire jouir sous les éclairs du flash de son mari. Et quand ils s'étaient séparés, il lui avait demandé si elle désirait le voir et elle avait répondu qu'elle préférait conserver juste le son de sa voix et la chaleur de ses mains comme souvenir de lui en attendant leur prochaine rencontre. Ils s'étaient revus quelque fois, toujours dans ce même hôtel, avec le même scénario et quand ils déménagèrent quelques mois après, elle ne connaissait de lui que ses mains et sa voix.  Le contact suivant avait été un peu du même style, un homme qui cherchait un dominateur pour son amie. Contact pris par minitel, ils avaient échangé leurs numéros de téléphone et elle l'avait appelée un jour pour l'inviter à déjeuner. Pierre l'avait rejoint, ils avaient mangé dans une galerie marchande, un peu gênés tous les deux du contexte, et à la fin du repas, elle lui avait murmuré "Monsieur, mon amant a demandé à ce que vous vérifiez l'intégralité de ma tenue et que vous lui en fassiez le rapport". Tétanisée par son aveu, elle n'avait plus su quoi faire ensuite. Il l'avait prise par la main, l'avait emmenée dans un grand magasin, il avait pris 2 ou 3 articles de lingerie sur un portant, l'avait conduite dans une cabine d'essayage et il avait vérifié. Nudité intégrale sous ses vêtements à nouveau, à l'instigation de son amant cette fois-ci, il avait étiré ses seins tout en la masturbant de 2 doigts jusqu'à ce qu'elle manque de s'effondrer entre ses mains sous la jouissance. Elle était repartie le rouge aux joues, il avait écrit son rapport à son amant. Ils s'étaient revus tous les 3, pour une réelle séance de domination, où il l'avait attachée avec des chaines, l'avait fait marcher à 4 pattes, collier au cou, il l'avait prise et sodomisée, avant qu'elle s'endorme d'épuisement nerveux, ayant tout de même pris le temps de lui dire qu'elle ne se souvenait de rien de ce qui s'était passé dans cette cabine d'essayage. Il y avait eu la aussi quelques rencontres, puis déménagement de sa part cette fois-ci, suivi d'une période de calme. Il avait profité de quelques voyages d'affaires à l'époque pour des rencontres sans lendemain, un mari avait accompagné jusqu'à son hôtel, sa femme vêtue d'une longue robe en jeans, sous laquelle elle était apparue nue, et que son mari avait tenu le temps qu'il la prenne ; une femme mariée qui l'avait rejointe un soir pour se laisser attacher et sur laquelle il avait essayé le premier martinet de sa fabrication ; une femme largement plus âgée que lui qui voulait être attachée et cravachée ; quelques rencontres agréables, qui lui permettaient de se perfectionner aussi, apprenant à nouer des cordes, à manier cravache et martinet, mais finalement assez frustrante par le coté ponctuel et le manque de complicité partagée. Mais toujours cette sensation de non aboutissement, de manque qui le faisait prendre des risques parfois ...   
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Par : le 13/10/25
    Une séance d'été :   Comme tous les mois d'été, je suis en sommeil,   mes vacances de juillet et celles de mes soumises régulières, de passages, également en août où les soumises et couples sont en congés.   Cette période est pour moi une période de repos physique et intellectuel.   Mais je ne m'inquiète pas, je sais que ces dames vont me contacter une fois leurs congés terminés, le manque d'être entre les mains d'un Maître, le manque d'obéir, de subir ces plaisirs d'être chose, jouet, objet pour quelles heures est bien trop fort comme les plaisirs, jouissances et orgasmes qui l'accompagnent.     C'est le cas de Béa, ma plus fidèle soumise qui sans être mienne serait pour elle une torture.   Celle-ci m'a contacté et de ça voix humble et respectueuse ma demandé si j'avais un instant pour faire d'elle mon esclave pour quelques heures où, celle-ci, serait à moi totalement, corps et âme, me suppliant de la dominer, de l'utiliser.   Devant autant d'insistance, comment résister.   L'appel désespéré d'une soumise en manque d'être aux pieds de son Maître, de lui obéir, de le servir est toujours pour moi ma drogue.     J'ai donc préparé mon sac à malice où, j'ai placé des sangles de cuir sachant, que Béa se présenterait à moi avec son collier et son bandeau.   Me voici devant sa porte, je sonne, elle ouvre et devant moi, complètement nue, avec son collier de chienne autour du cou, conformément à mes ordres, je prends mon temps, la regarde de haut en bas.   Elle rougit de honte ainsi nue sur le pas de la porte, baisse les yeux et me dit : je vous en conjure Maitre, les voisins, s'il vous plaît mon Maître.   Je la regarde avec un sourire diabolique et lui indique d'une voix ferme, mais tu n'appliques pas le protocole que je t'ai inculqué donc, j'attends.   Elle se retourne, se positionne à quatre pattes, la joue droite collée sur le sol, les bras bien tendus vers l'avant, les mains jointes, relève son croupion, écarte bien ses jambes, exposant bien ses orifices.   Je rentre, ferme la porte, approche mon pied de sa tête et lui dis : j'attends.   Là, obéissante, elle lèche ma chaussure et dit d'une voie claire : je suis votre soumise, votre chienne Maître, faites de moi ce que bon vous semble.   Je prends la laisse posée sur le meuble de l'entrée, la verrouille à l’anneau de son collier, lui ordonne de me suivre en direction de la chambre à coucher où, elle aime être humiliée, utilisée, ne plus être femme mais mon objet de plaisir.   Elle me suit à quatre pattes tout le long de ce couloir.   Ses seins qui ballottent, son postérieur bien en évidence, ses hanches, ses grandes lèvres déjà ouvertes, mouillées et ses tétons bien en avant et durcis.   Je lui ai ordonné de rester ainsi, à quatre pattes, m'asseoir sur le lit et me servir d'elle comme meuble pour poser mes jambes.   Au bout d'un moment, je prends ma cravache et commence à lui donner des petits coups sur les fesses.   Les petits cris d'étonnement se transforment très vite en gémissements, oui Maître je suis votre soumise, votre chienne, je vous appartient, utilisez-moi, faites de moi ce que bon vous semble, je vous appartient.   Je glisse ma cravache entre ses grandes lèvres et commence des va-et-viens, elle tressaille, tremble, gémit, se courbe plus fortement pour bien m'offrir sa croupe.   Je lui ordonne de s'agenouiller face au lit et de bien serrer ses chevilles l'une contre l'autre, de mettre ses bras dans le dos, et de joindre les mains.     Je prends dans mon sac quatre lanières, une pour contraindre ses chevilles bien serrées l'une contre l'autre, une deuxième pour contraindre ses poignets, une pour contraindre ses bras et la quatrième pour réunir et bloquer ses poignets aux chevilles.     La devant moi, nue, contrainte, offerte, je la prends par les cheveux et l'oblige à courber la tête en arrière vers moi.   À ce moment je commence par caresser ses seins en alternant le pincement de ses tétons.   Je descends lentement le long de son ventre et glisse ma main entre ses cuisses, tout en continuant de m'occuper d'un sein.   Ma main, mes doigts glissant sur son clitoris, excitant celui-ci et avec un autre doigt, commence une pénétration vaginale.   Mouillée, excitée, ouverte comme une chienne en chaleur, je continue mon exploration comme ma domination sur son corps, son esprit, son âme de soumise comblée d'être enfin à son Maître.   Je lui pose son bandeau sur les yeux, attends un instant et commence à pénétrer sa bouche avec un doigt, un des doigts que j'ai utilisé pour pénétrer son vagin.   Pour l'humilier verbalement, je lui dis : regarde comme tu mouilles chienne, goûte ta mouille.   Deux, puis trois doigts je continue à faire des va-et-viens entre ses lèvres rouges laissant des traces de rouge à lèvres sur mes doigts.   Je la saisis par les cheveux et introduis sans ménagement ma verge dans sa bouche, tout en lui infligeant des claques sur une joue plus symbolique que frappante, en lui indiquant, avec un ton ferme : effectue ton devoir soumise, les plaisirs de ton Maître sont ta principale priorité.   Elle avance et commence à me sucer avec dévotion autant qu'avec soumission.   Elle ne tarde pas à gémir, sentir ce sexe grandir en elle l'excite et le va-et-vient de ses lèvres sur l'attribut de son Maître là fait mouiller encore plus.   Pendant qu'elle effectue son devoir, j'alterne entre caresser ses tétons et tirer dessous, caresser ses seins et les maltraiter, les gémissements sont de plus en plus forts.   Je saisis sa queue de cheval et l'utilise comme une poignée pour contrôler mon jouet et ainsi choisir le rythme de la fellation comme la profondeur de la pénétration.   Je me sers d'elle, l'utilise pour mes plaisirs qui sont, de ce fait, les siens.   Mon sexe en bouche, régulant la vitesse de pénétration ainsi que la longueur de celle-ci, je décide de lui infliger une gorge profonde.   Mon sexe entièrement dans sa bouche, dans sa gorge, elle bave, se débat mais je la tiens fermement et elle est bien obligée d'entendre que je me décide à me retirer quand bon me semble.   Au bout d'un moment, je me retire et la laisse reprendre son souffle.   Elle est rouge, bave et c'est à ce moment que je lui ordonne de reprendre son devoir et de me vider.   Je lui retire le bandeau, elle s'exécute et prend mon sexe en bouche avec fougue et me pompe jusqu'à l'éjaculation dans sa bouche.   J'avais fait exprès de boire beaucoup d'eau ces trois derniers jours pour avoir beaucoup de sperme et ainsi pouvoir remplir sa bouche, lui ordonné d'avaler et aussitôt me retirer pour que le reste de ma semence soit sur son visage pour un doux mélange de plaisir et d'humiliation.   Mon sperme sur ses yeux, son front, ses joues qui dégoulinent fait que la soumise utilisée comme vide-couille a bien ressenti ce moment orgasmique pour elle d'être utilisée et humiliée , donc une soumise digne de ce nom.     Je la détache et ainsi lui ordonne de ne pas perdre une goutte de mon nectar.   Consciencieusement avec un doigt, elle racle bien son visage et avale chaque quantité de sperme récupéré.   Pour la récompenser, je m'allonge le dos, mon sexe en érection vers le plafond et lui dis : aller il est à toi.   Elle se précipite sur moi et commence une fellation vigoureuse, buveuse, récupérant quelques goûtes de sperme en alternant sucer et masturbation.   Là je lui dit : pour fêter la reprise de la saison des soumises, tu peux t'empaler sur mon sexe et profiter de lui pour avoir un orgasme, je t'y autorise.   Elles se positionne à califourchon sur moi et d'un coup, s'empaler sur mon pénis.   Elle va et vient sur tout son corps, gémissant, criant et soudainement, se couche sur moi, met ses bras dans le dos et me dit : bloquez-moi les bras dans le dos fermement Maître s'il vous plaît.   Je prends ses poignets fermement dans son dos et bloque ceux-ci et ainsi couchée sur moi, ne lui autorise plus de mouvement, la pénétrant très vivement en tapant très fort dans le fond de son intimité.   Le résultat ne se fait pas attendre, un orgasme fort et sonore se fait entendre, elle est heureuse, son Maitre en elle qui la bloque et ne lui autorise que d'être ce qu'elle est, une chienne soumise aux services des hommes.     Cette séance est terminée, essoufflée, le sperme sur son visage qui en séchant lui tire la peau, ses seins et ses fesses encore rouges des plaisirs reçu, elle se mets à genoux à mes pieds, colle sa joue sur ma cuisse, entoure avec ses bras autour de mes mollets, et comme une chienne obéissante, attend que son Maître lui caresse la tête en signe de satisfaction de sa dévotion. Me Bernard
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Par : le 12/10/25
Chapitre 31 La Cérémonie de la Soif   Elle m'attendait à genoux, exactement comme ordonné. Le silence de la chambre de jeu était plus assourdissant que n'importe quel cri. L'air y était différent, saturé de cuir et de mon désir retrouvé, purifié de toute bienséance de semaine. Je suis entré. La lumière était douce, ciblée uniquement sur le Cheval d'Exercice en bois sombre, drapé de velours noir. Elle était au centre, le corps nu rayonnant sous l'unique source d'éclairage. L'attente avait fait son œuvre. Elle ne tremblait pas de peur, mais d'une faim viscérale pour l'autorité. Je me suis approché d'elle. Elle n'a pas bougé, la tête baissée dans une attitude de dévotion totale. "Lève la tête, Novice. Regarde le Maître." Elle a obéi, ses yeux brillants, la pupille dilatée par l'anticipation. J'ai vu l'instrument, prêt à être joué. J'ai posé ma main sur sa nuque, mes doigts glissant sous sa mâchoire pour l'incliner légèrement. La peau était chaude, tendue. "Ton corps a passé la semaine à se souvenir de l'interdit. Tes nerfs ont crié mon nom à chaque réunion ennuyeuse. Aujourd'hui, tu vas te vider de cette frustration. Tu vas te vider dans l'abandon." Je me suis redressé. J'ai pris le martinet de cuir souple sur la table. "Tu t'es retenue toute la semaine. Maintenant, je te libère." J'ai haussé le rythme. Le martinet n'est pas fait pour la douleur aiguë, mais pour le remplissage sensoriel. Les lanières frappaient en une cadence rapide et rythmique, couvrant une large surface, faisant monter la température de sa peau, transformant la chair blanche en un rose vif. J'ai vu ses muscles se tendre et se relâcher avec chaque frappe, un mouvement primal et incontrôlé. "Tu appartiens ici, Novice. À cette sensation. Dis-le."  J-je suis ici, Maître !" J'ai continué jusqu'à ce que ses fesses ne soient plus qu'une surface ardente, sensibilisée. J'ai jeté le martinet de côté. La chair était chaude, palpitante. Je me suis mis à genoux derrière elle. J'ai sorti le plug anal en acier poli que j'avais préparé, froid et lubrifié. "L'intérieur aussi est à moi." Elle a gémi, un son bas et urgent. J'ai inséré le plug d'un mouvement lent et délibéré. Le froid de l'acier contre la chaleur interne a arraché un long soupir de sa gorge. "Lève-toi, mais pas trop. Tu vas te mettre à quatre pattes." J'ai pris la laisse en cuir tressé et l'ai attachée à son collier. "La séance commence à la minute où tu entres dans cette pièce. Je veux que tu te bouges comme la chienne que je possède." J'ai tiré doucement sur la laisse, l'obligeant à ramper lentement, le plug anal lui rappelant à chaque mouvement la contrainte et la dégradation volontaire. Elle rampait avec une dignité étrange, nue et marquée, son regard levé vers moi. Je l'ai promenée ainsi autour du meuble central, affirmant ma propriété. J'ai finalement relâché la laisse. "Ici. À genoux devant moi." Elle s'est exécutée instantanément, son corps glissant à mes pieds. Je me suis déshabillé d'un geste sec, mon sexe, dur d'attente, jaillissant. "Tu as faim de discipline. Maintenant, tu vas te nourrir." Je lui ai tendu ma verge. Ses mains, agiles, l'ont prise doucement. Le service oral fut sans contrainte BDSM explicite ; c'était un acte de gratitude et d'abandon intime, mais exécuté avec la diligence d'une Soumise. Elle a pris son temps, utilisant sa bouche et sa langue avec une précision qui frôlait la dévotion. Je l'ai laissée monter en intensité, jusqu'à ce que mon propre corps commence à trembler de plaisir. Je l'ai tirée par les cheveux pour rompre le contact juste avant la limite. "C'est assez," ai-je dit, le souffle court, la tirant contre moi. Je l'ai soulevée et l'ai jetée sur le lit de repos. Mon corps s'est abattu au-dessus du sien, l'odeur du cuir et de sa sueur emplissant l'air. Je n'avais plus de patience pour le jeu. Je devais la prendre. J'ai écarté ses jambes d'un mouvement de genou, m'assurant que le plug restait bien en place, sa présence étant une contrainte permanente à son excitation. Ses fesses, encore chaudes et sensibles du martinet, étaient le seul point d'appui que je lui laissais. Je n'ai pas cherché l'entrée. Ma verge, dure et impatiente, l'a trouvée seul. La pénétration fut un acte de force pure, une seule poussée profonde et violente qui lui arracha un cri de surprise. J'ai senti son vagin, serré et lubrifié par la séance, se contracter autour de moi. La douleur résiduelle du martinet et le choc du plug qu'elle ressentait à chaque coup de butoir ont transformé le plaisir en une vague électrique de soumission. J'ai fixé mes yeux dans les siens. J'ai vu l'ombre d'elle vaciller, submergée par le chaos que j'imposais. "Regarde-moi !" ai-je ordonné, mon corps pompant un rythme féroce. "Je suis ton Maître. Ta douleur est ma possession ! Ton plaisir est ma propriété !" Elle ne pouvait rien dire, les gémissements courts et saccadés. Je l'ai soulevée par les hanches, martelant son corps avec une puissance qui ne laissait aucune place à la tendresse. Elle s'est agrippée à mes épaules, ses ongles s'enfonçant dans ma peau, trouvant sa seule ancre dans l'intensité que j'imposais. Je l'ai chevauchée jusqu'à la limite, jusqu'à ce qu'un spasme violent, d'une force que seule la frustration d'une semaine pouvait engendrer, la secoue. Le corps d'elle s'est convulsé sous le mien. J'ai terminé dans une série de coups de reins primitifs, libérant mon sperme en elle, mon grognement se mêlant à son halètement vaincu. Lorsque je me suis retiré, le silence est revenu, lourd, absolu. Je suis resté au-dessus d'elle un instant, observant les marques du martinet, le brillant du plug qui témoignait de l'interlude terminé. La trêve vanille était finie. Elle était rentrée à la maison.   Chapitre 32 La Consolidation de l'Abandon   Le silence n'était pas le calme, mais l'épuisement. Mon corps était lourd sur le sien, la respiration sifflante, mais satisfaite. Je suis resté ainsi quelques instants, utilisant le poids de ma présence pour ancrer la fin de la séance dans sa mémoire sensorielle. J’avais mis un terme à la trêve. J’avais repris mon dû. J'ai ensuite rompu le contact, me retirant lentement d'elle et me relevant. La première étape de l'Aftercare est toujours la reprise du contrôle mental. Je me suis redressé, puis je l'ai regardée, nue et offerte sur le lit de repos. Elle gisait, marquée par le martinet, humide de nos fluides, son corps portant encore la constriction du plug. Elle avait les yeux fermés. "Ouvre les yeux, Novice. Et respire." Sa respiration était courte et superficielle. J'ai attendu, impassible, jusqu'à ce que ses paupières s'ouvrent avec difficulté. Ses yeux, embués, cherchaient une direction, une instruction. "Debout," ordonnai-je, ma voix maintenant douce, mais sans appel. Elle a obéi, ses mouvements raides et lents, chaque muscle protestant. Je l'ai forcée à se tenir face à moi, corps à corps. J'ai pris le temps de retirer le plug anal. Le geste, lent et délicat, fut le premier signe physique de réconfort, bien que le soulagement qu'il lui apportait ne fût qu'une autre forme de gratification que j'avais orchestrée. Elle a fermé les yeux, le visage extatique. "La séance est finie," ai-je murmuré, tenant le plug dans ma main. "Maintenant, le débriefing. Assieds-toi. Et raconte-moi ce que tu as appris ce soir." Elle s'est assise sur le bord du lit, les mains croisées sur son ventre, le regard toujours fixé sur moi. Le changement de ton et de contexte était un ordre en soi : passer de la bête à la femme, du corps à l'esprit. "Maître... Je... J'ai appris que l'attente est une douleur plus forte que la cravache," a-t-elle commencé, sa voix encore rauque. "J'ai joué mon rôle toute la semaine, mais mon esprit n'était pas libre. Chaque contact "vanille" était une taquinerie, un rappel de ce qui était refusé. " Je hochai la tête, l'incitant à continuer. "La sensation du martinet... C'était une libération. Le bruit du fouet, le rose qui montait... Cela a vidé mon esprit. Je n'avais plus la place pour les dossiers ou les réunions." Elle a fait une pause, ses yeux brillant d'une intelligence que j'appréciais. Sa capacité d'analyse, sa volonté d'intégrer chaque facette de son éducation, était remarquable. "Le plug," a-t-elle continué, chuchotant presque. "C'était une propriété constante, même quand je rampais. Et la laisse... m'a ramenée à la vérité de ma nature. J'étais une créature pour votre plaisir. C'était... si intense." "Très bien," dis-je, me penchant légèrement vers elle. "Cette séance a été un succès. Tu as dépassé mes attentes. Chaque sensation, chaque émotion que tu as décrite, est une étape vers la soumission totale que nous cherchons." Un sourire épanoui éclaira son visage. Le débriefing n'était pas seulement une évaluation, mais aussi une validation, une reconnaissance de ses efforts et de ses progrès. "Tu as géré la frustration et tu as embrassé l'abandon. C'est la marque d'une Novice qui comprend la valeur de la discipline," ai-je conclu. "Maintenant, la phase suivante." Je me suis approché d'elle. Mon geste, cette fois, n'était pas un ordre, mais un soin. Je l'ai tirée contre moi, enveloppant son corps nu de la douceur d'une couverture de laine chaude. Ce contact, doux et protecteur, était tout aussi puissant que la cravache. "Tu es en sécurité, Novice. Tu as bien servi. Tu es revenue de l'autre côté." J'ai caressé son dos, évitant les zones les plus sensibles, lui donnant le poids de ma présence, non plus comme un bourreau, mais comme son ancre. Elle a enfoui son visage dans ma poitrine, ses bras m'encerclant avec une intensité désespérée. Elle s'accrochait à l'homme qui avait été son Maître, un paradoxe essentiel à la dynamique. J'ai attendu qu'elle retrouve une respiration calme et régulière. "Prends une douche. L'eau chaude enlèvera les traces de cette chambre. Mais n'oublie jamais la leçon qu'elles t'ont laissée." Elle a hoché la tête contre moi. "Maître," murmura-t-elle, ses mots mouillés contre ma chemise. "Pourriez-vous me rejoindre sous la douche ?" Ce n'était pas une demande d'ordre, mais une quête de réconfort et de proximité, une supplique de sa Novice. La discipline était finie, mais le besoin de ma présence était absolu. "Bien sûr," ai-je répondu, ma voix ne perdant rien de sa gravité, mais se teintant d'une douceur réservée à ces moments de vulnérabilité. "Je te rejoins." Je l'ai soulevée et l'ai portée hors de la chambre, le corps toujours sous mon contrôle, mais maintenant enveloppé de tendresse. Le week-end n'était pas terminé. Je l'ai déposée doucement sur le carrelage frais de la salle de bain. J'ai allumé l'eau, réglant la température pour qu'elle soit brûlante, presque inconfortable. Une dernière dose de sensation pour chasser la fatigue. Elle est entrée sous la colonne d'eau, fermant les yeux, laissant la chaleur détendre ses muscles endoloris. J'ai retiré mes propres vêtements, le silence n'étant brisé que par le bruit de la pluie artificielle. Je l'ai rejointe. Sous l'eau, il n'y avait plus de Maître ni de Novice, seulement deux corps, mais le contrôle restait mon privilège. J'ai pris le savon et j'ai commencé la toilette. C'était un acte de soin, mais aussi une réappropriation minutieuse de chaque parcelle de sa peau. J'ai commencé par son dos et ses fesses, massant doucement les zones rougies par le martinet. Mes doigts pressaient, ne cherchant pas la douleur, mais le soulagement et le rappel que même la tendresse venait de ma main. Elle a gémi, un son de pur contentement cette fois. Elle s'est penchée en avant, offrant son corps à mon toucher. Je me suis concentré sur les détails : le cou, où le collier avait laissé une légère marque ; l'intérieur de ses cuisses, où la tension du plug et de la pénétration persistait. Je l'ai lavée comme on lave un objet précieux après usage, avec une dévotion calme et totale. "Tu as donné tout ce que j'attendais," ai-je murmuré, mon souffle se mêlant à la vapeur. "Tu t'es abandonnée complètement." "Je vous appartiens, Maître," a-t-elle répondu, son corps mou et détendu sous mes mains. La phrase était l'équivalent de l'orgasme : la reconnaissance et la validation finales. J'ai glissé mes mains vers l'avant, lavant son sexe avec une intimité qui n'était pas sexuelle, mais réparatrice. L'eau emportait le reste de mon sperme, lavant les preuves de la discipline pour ne laisser que la sensation. Une fois la toilette terminée, je l'ai enlacée fermement sous le jet, sa tête reposant sur mon épaule. Nous sommes restés là, le temps qu'il fallait, jusqu'à ce que la chaleur de l'eau soit moins thérapeutique et plus réconfortante. Je l'ai sortie de la douche, l'enveloppant dans une serviette chaude, puis dans mes bras. "Tu es mienne," lui ai-je soufflé en essuyant l'eau de son visage. "Entièrement. Pour cette nuit et pour la semaine à venir. N'oublie jamais cela." Le week-end n'était pas terminé, mais cette première session l'avait été. Je l'ai portée, enveloppée et apaisée, hors de la salle de bain. La discipline était finie. La consolidation de l'abandon commençait.   Suite prochainement ....        
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Par : le 10/10/25
Chapitre 29 Les Non-Dits de l'Attente Le bruit du café qui coule dans la cuisine est le premier signal du retour au monde. Le seul son qui a le droit d’être mécanique et prévisible dans mon existence. Le silence qui règne sur mon appartement, ce lundi matin, n’est pas le vide total, mais l’absence de la discipline explicite, une trêve que j’impose. Je la regardais discrètement, accoudé au plan de travail en marbre. Elle était vêtue de son uniforme de camouflage : un tailleur impeccable, le genre de vêtement qui crie " compétence " et " inaccessibilité ". Elle était la parfaite femme d'affaires. Une performance d'acteur qu’elle jouait à la perfection. Pourtant, je voyais les détails, ceux qui déchiraient la façade " vanille ". Je voyais la légère lenteur avec laquelle elle ramenait sa tasse à ses lèvres, une fatigue sous-jacente qui n'était pas celle du sommeil, mais celle de l'épuisement sensoriel. La façon dont sa nuque, hier soir encore courbée sous ma main, se tenait droite, peut-être même un peu raide, portant le souvenir invisible du collier. Et surtout, je voyais le rouge invisible. Elle avait opté pour des matières plus douces, des coupes moins serrées – un choix dicté par une sensibilité que je lui avais imposée. Elle était marquée, même si personne, à part moi, ne pouvait le déceler sous le tissu. Le Maître en moi prenait note. Le contrôle était là, non pas par une laisse visible, mais par la douleur résiduelle, une connexion secrète que seuls nous partagions. L’attente était le nouveau jeu. " Je serai au bureau vers neuf heures. Réunion trimestrielle en début d’après-midi. " Sa voix était professionnelle, son débit parfaitement maîtrisé. Elle cherchait ma validation sans la demander. " Concentre-toi sur tes obligations. Cette semaine appartient au monde extérieur. " Je pris ma veste. Le passage de la possession intime à la distance professionnelle est toujours abrupt, mais nécessaire. " Je ne te rappellerai pas les règles de nos jours de " vanille ", " ai-je continué, mon ton neutre. " Tu es mon actif. La discipline de la semaine, c’est l’excellence professionnelle. N’oublie pas que tout manquement rejaillit sur nous deux. " Elle a hoché la tête. " Oui, Maître. " Le murmure, prononcé dans la zone de sécurité entre ma table de nuit et la porte d'entrée, était un aveu. Les jours suivants ont été une lente torture, une longue, délicieuse taquinerie. La " vanille " était notre test de self-control, l'érotisme de la retenue. Le Mardi, nous avons fait l'amour, mais c'était un sexe civil, sans aucune de nos règles. J'ai pris soin de ne pas utiliser d'objet, de ne pas donner d'ordre, de ne pas la forcer à la position de soumission. Mais mon corps, lui, savait. J'ai lu dans ses gémissements la faim de l'interdit, le désir de me voir reprendre le contrôle. Elle s'est accrochée à moi comme à son partenaire, mais j'ai senti le frisson de l'obéissance dans la tension de ses muscles. Elle me respectait dans le désir, un plaisir pur qui n’était pas le mien, mais notre connexion. Elle cherchait les traces du Maître, je lui donnais l'homme. Le Mercredi fut le jour où j'ai testé les limites. Dans le silence de l'ascenseur privé menant à nos étages, j’ai posé ma main sur sa taille. Un geste anodin, mais pour elle, cela fut un choc. J’ai senti son souffle se bloquer, son corps se raidir. Je l'ai poussée contre le mur, notre baiser était profond, mais strictement vanille – aucune contrainte, aucune parole. Pourtant, mon baiser était une revendication. Je me suis retiré, mon regard lui signifiant que ce plaisir intime était permis, mais le vrai abandon était réservé. La jouissance n'est rien sans la frustration qui la précède. Le Jeudi, la discipline commençait à peser. Elle était fatiguée, mais plus concentrée. Nous lisions, chacun notre livre, dans le salon. Une scène banale, domestique. J’ai laissé ma main reposer sur sa cuisse. Pas un effleurement. Un poids constant, inamovible, anodin pour le monde, mais un rappel permanent de mon droit de propriété. La main ne bougeait pas. Mais à travers le tissu, je sentais la chaleur monter, son corps attendant une caresse, un pincement, une punition qui ne venait pas. Le contrôle n'était pas l'action, mais l'attente de l'action. Le Vendredi soir, l'attente a atteint son paroxysme. Elle avait tenu bon, elle avait brillé, elle avait obéi à ma règle de distance BDSM. Maintenant, je devais lui offrir la récompense. J’étais dans le cadre de la porte de la salle de bain, observant la façon dont elle se déplaçait, plus hésitante. Elle avait rempli sa part du contrat. " Elle a été parfaite cette semaine, " ai-je dit, mon ton se transformant, abandonnant l'ennui professionnel pour l'autorité pure du Maître. Elle s’est retourné brusquement, ses yeux, enfin, sans défense. " Et le week-end, Novice… " J'ai fait un pas vers elle. " Le week-end, nous continuerons ton éducation là où nous l’avons laissée. Tu as eu le temps de penser à la suite. " J'ai tendu la main. J'ai touché la peau exposée de son épaule. " Je veux que tu portes la soie rouge demain soir. Et rien d'autre. " Ce furent les premiers mots qui ont officiellement rompu la trêve. Son corps a frissonné sous ma main. Ce n'était pas un ordre pour le monde extérieur. C'était un ordre pour le sanctuaire que nous allions créer. Elle a fermé les yeux, le visage extatique. Elle savait ce que la soie rouge et le ton de ma voix signifiaient : l'abandon imminent. " Oui, Maître. " Le murmure était un soupir de soulagement. Le jeu ne s'arrête jamais. Il prend juste des formes différentes. Et cette attente, ce contrôle exercé à distance, avait rendu la promesse du week-end infiniment plus douce.   Chapitre 30 L'Heure de l'Abandon   Le silence du Vendredi soir n'avait rien à voir avec le calme imposé de la semaine. Il était lourd de promesses et d’une tension que nous avions tous deux alimentée pendant cinq jours. Je l'avais vue accomplir ses tâches, son esprit ligoté par la discipline professionnelle, son corps luttant contre les souvenirs. Maintenant, la trêve était rompue. J'étais assis dans le salon, un verre de cognac à la main, le feuillage de la ville s'étendant sous la baie vitrée. Je n'avais pas besoin de la regarder pour savoir ce qu'elle faisait. Chaque bruit émanant de la chambre était une note dans ma symphonie de contrôle. Le bruissement du peignoir tombant sur le parquet. Le silence qui suivit. Elle ne s'était pas précipitée. Elle prolongeait l'attente, savourant le moment où elle se dépouillait de sa carapace "vanille". C'était une forme de soumission silencieuse, une offrande retardée. Puis, elle est apparue. Elle portait la soie rouge que j'avais commandée. Non pas une robe, mais une parure intime, simple, qui ne masquait rien. La couleur, brute, criarde, contrastait avec le blanc de sa peau encore pâle des traces du début de semaine. Elle marchait lentement, non pas avec arrogance, mais avec la solennité de celle qui entre dans un temple. Je n'ai pas bougé, ne lui offrant qu'un regard intense qui balayait son corps, l'évaluant, le réclamant. L'excitation était si dense qu'elle était presque palpable. La soie rouge était l'uniforme de son abandon. Elle s'est arrêtée à distance, le respect de l'autorité ancré même avant le premier ordre formel. Le léger mouvement de sa respiration était visible sous le tissu fin. " Vous avez obéi à mon ordre, " ai-je dit, ma voix grave et posée. " Oui, Maître. " Sa voix était un souffle, déjà brisée par l'anticipation. " Approche. " Elle a fait les quelques pas restants. Le parfum de sa peau, son odeur naturelle, mêlée à une faible note de lavande, a atteint mes sens. J’ai posé mon verre, le bruit cristallin du cognac sur la table de verre tranchant le silence. Ce bruit était le signal du basculement. Je l'ai prise par le menton, forçant ses yeux à s'ancrer dans les miens. Je cherchais à y lire la dernière once de résistance, mais il n'y avait que la faim et le désir de la discipline. " Durant cinq jours, tu as porté le poids de la bienséance. Tu as joué ton rôle d'associée, d'égale. Je t'ai autorisé un plaisir d'homme et de femme, sans contrainte. C'était un test de ta capacité à te retenir. " Je me suis penché, murmurant contre sa bouche sans la toucher : " Tu as été parfaite. Et maintenant, cette attente va payer. " Mon baiser n'était pas tendre. Il était une possession instantanée, une reprise brutale de ce qui m'appartenait. Ma main s'est glissée sous la soie, agrippant fermement sa fesse, la compressant. J'ai senti son corps entier se dénouer de la tension accumulée. Le son étouffé qu'elle a émis dans ma bouche n'était pas de l'amour, mais la libération de la soumission. J'ai rompu le baiser. Ses yeux étaient fermés, son corps tremblant, cherchant déjà ma main. " La soie rouge est une promesse, " ai-je continué, ma voix retrouvant le ton de l'autorité absolue. " Tu vas te déshabiller. Et tu vas m'attendre dans la chambre de jeu. À genoux. " C'était le premier ordre BDSM explicite depuis la semaine. Il claqua comme un fouet invisible. Elle n'a pas répondu. Elle s'est simplement inclinée, une flexion rapide et totale de la nuque. Puis, lentement, sans hâte, ses doigts se sont glissés sur sa poitrine et ont tiré le tissu de soie rouge. Le tissu a glissé, s'accumulant sur le tapis autour de ses chevilles. Elle était ma toile. Je regardais sa peau nue, mes yeux traçant les endroits exacts où les outils allaient laisser leur marque. Le week-end commençait. Et cette fois, il n'y aurait aucune retenue. " Maintenant, va. Et sois impatiente, petite. Ta patience a été récompensée, mais l'attente est terminée. " Elle s'est dirigée vers la porte de la chambre de jeu, son corps nu portant la seule tenue qu'elle devait porter : l'anticipation.       Suite prochainement ...
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Par : le 08/10/25
Laura (Chapitre 1 Suite) Au jour dit, elle avait demandé à arriver avant lui pour se préparer. Il avait accepté, mais avait précisé qu'il la voulait soit assise sur un fauteuil si elle avait peur, soit agenouillée si elle se sentait prête à plus. En attendant dans la rue, elle l'avait vu passé, mais il ne s'était pas arrêté. Elle était entrée, s'était changée. Une jupe, un chemisier, des bas et des escarpins, mais nue dessous. Elle tremblait de peur, mais se sentait très exictée. Elle avait répondu à son coup de sonnette pour lui ouvrir et le temps qu'il monte les 3 étages, elle s'était agenouillée dos à la porte. Elle avait entendu la porte s'ouvrir, elle avait baissé la tête, elle ne voulait pas le voir, ni qu'il voit ses yeux. Il avait posé son manteau, s'était approché, et à genoux derrière elle, il l'avait caressée. Elle s'était appuyée contre lui, le laissant découvrir son corps. Et puis le reste était devenu flou. Elle se rappelait qu'il l'avait mise face à la croix, sans l'attacher d'abord, qu'il avait joué de son corps, qu'elle s'etait senti mouillée et qu'il l'avait remarqué. Elle avait passé elle même ses poignets dans les bracelets pendant qu'il lui attachait les jambes, l'obligeant à s'ouvrir à ses caresses.  Au bout d'un moment elle lui avait demandé de l'emmener sur le lit, ce qu'il avait accepté, Il faisait vraiment tout pour l'apprivoiser, elle avait apprécié. Elle s'était retrouvée les poignets attachés, à sa merci. Et elle avait laché prise, le laissant jouer de son corps, explorer son intimité, la pénétrer. Alors qu'elle le sentait en elle, elle avait dit "Giflez moi" et il l'avait fait, à la fois doucement mais fermement. Elle avait demandé plus et il l'avait suivie, guidée vers de nouveaux sommets. Il s'était montré exigeant, forçant sa bouche de son sexe. Elle avait failli résister, mais il avait eu le dessus et elle en avait presque joui. Puis il avait poursuivi ses envies, se faisant sucer, la pénétrant, la manipulant à sa guise, comme un jouet de plaisir mais toujours en prenant soin d'elle et de son plaisir. Juste ce qu'elle avait envie en fait.  Trop rapidement le temps avait passé, ils avaient fait une pause, pour s'apercevoir qu'ils allaient bientot devoir se séparer. Alors sans lui demander son aivs, il l'avait à nouveau pénétrée, et avait pris son plaisir, éjaculant en elle alors qu'il lui avait dit que c'était très rare que cela lui arrive. Ils avaient fini sous la douche, s'étaient rhabillés, il avait volé un baiser de plus sur ses lèvres alors que l'intimé de ce geste la bloquait un peu et étaient repartis chacun de son coté.  Elle lui avait avoué le soir même être repartie à  son bureau les fesses rouges et les joues en feu, la tête un peu ailleurs. Lui-même avait dit être détendu, apaisé, ravi de cette rencontre. Elle était partie ensuite en vacances en famille, mais il avait posé un défi. Une photo d'elle chaque jour de son absence. Elle avait multiplié les poses, ses seins, son corps, son sexe, prenant plaisir à lui obéir.  A son retour de vacances, il avait proposé de la revoir, elle en avait envie, mais leurs agendas ne coïncidaient pas. Ils s'étaient croisés de nombreuses fois sur ce carnet de punitions, elle montrant ses photos,  lui écrivant de longs messages sur ses rêves ou ses envies. Elle appréciant sa manière d'écrire, les scènes qu'il décrivait étaient toujours très érotiques, elle à moitié nue pour qui savait voir, offerte, désirable, lui exigeant, la guidant.  Un soir qu'elle était en voyage d'affaire, elle avait contacté son mari, ils avaient discuté, parlé de leurs envies, de leurs fantasmes. Il lui avait proposé qu'elle cherche un dominant pour la guider. Difficile de lui dire qu'elle l'avait déjà trouvé et qu'elle avait succombé.  Elle s'était lancé dans des achats très sexy, ce joli harnais de dentelle qu'elle portait ce jour, un collier et une laisse en cuir, un bandeau, un martinet ; son mari avait joué avec elle,  il avait pris des photos qu'elle avait envoyé à son dominant pour l'exciter. Elle n'arrivait toujours pas à trouver un créneau dans son agenda, avait raté un rendez vous avec lui pour des raison professionnelles avant de repartir à l'étranger.  La suite avait été un peu chaotique, mais ils avaient tenus bons. Elle avait trouvé le moyen de parler à son mari de ce contact qu'elle avait. Ils avaient fini par trouver un moment pour se voir tous les 3, avaient sympathisé. Le jeu avait continué, ponctué de rares rencontres,  jusqu'à cette proposition insolite : vivre sa soumission sans savoir ce qui allait lui arriver. Ne rien décider, lâcher totalement prise et laisser son dominant tout gérer. Elle avait pensé à quelques heures vu qu'il ne pouvait pas se libérer plus, mais il avait fixé les limites, une soirée et une nuit. Il avait même proposé de le renouveler plusieurs fois si elle avait apprécié. Et quand elle lui avait demandé comment il pensait faire, il lui avait annoncé que sa femme serait absente quelques semaines, qu'il pourrait ainsi lui consacrer du temps en dehors des journées de travail. Grosse poussée d'adrénaline, oser ainsi se remettre entre ses mains longuement. Elle en avait parlé à son mari, qui avait donné son accord. Elle avait reçu les consignes sur sa tenue, sur la date et l'heure du rendez vous, sur ce qu'elle devait et pouvait amener, ce qui serait interdit.  Et elle se trouvait donc ce soir dans sa voiture, sur la banquette arrière, alors qu'il conduisait, avec ce requiem qui s'élevait. 
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Par : le 08/10/25
Chapitre 4 – Mon initiation Les jours suivants, je me rendais à son domicile après les cours. Philippe me faisait l’amour, j’étais heureuse de constater à quel point il me désirait. Je n’avais pas été uniquement la bonne occase lui permettant d’assouvir son fantasme de sauter une midinette, vierge de surcroît. En revanche, il était beaucoup moins doux. Il me prenait brutalement. Lorsque j’arrivais, j’avais droit à mon verre de Coca, puis il me déshabillait et m’emmenait directement dans son lit. Je devais lui faire une fellation pour faire durcir son pénis et ensuite il me pénétrait d’un seul coup. J’avais l’impression qu’il me considérait comme une vraie femme, expérimentée. Heureusement, mes douleurs avaient disparu et je prenais de plus en plus de plaisir à la pénétration. Une semaine plus tard, je suis rentrée chez lui avec ma clé, il était au téléphone. Je me suis installée dans le salon, sur le canapé. Comme son appel s’éternisait, j’ai voulu en profiter pour l’exciter sans qu’il puisse réagir. J’ai donc retiré mon string devant lui, tout en le regardant droit dans les yeux. Ensuite, je me suis amusée à le faire tournoyer devant son visage, le passer sur ses épaules, son cou, ses bras. Il me lança un regard qui en disait long sur son désir. Mais comme l’appel se prolongeait, par jeu, je m’agenouillais devant lui avec l’intention de le sucer. Il bandait comme un taureau. Lorsqu’il raccrocha, il était comme fou. Il me traita de petite salope, de traînée. Tout en m’attrapant par les cheveux, il engouffra son sexe jusqu’au fond de ma gorge. J’eus un haut le cœur, mais ses mots et son geste m’excitèrent énormément. A cet instant précis, je compris le sens de ses propos concernant ses goûts en matière sexuelle. Je réalisais alors que j’allais être soumise à ses envies. Avant d’éjaculer, il me releva en me prenant par la nuque. Il me contraignit à poser mon buste sur la table, mes pieds touchant le sol. Il écarta mes jambes et me pénétra brutalement avant de me pilonner sans ménagement, tout me disant que je ne devais pas me plaindre car je l’avais bien cherché. Bien que ses grands coups de reins me fassent mal, j’adorai être ainsi prise de force, j’ai alors ressenti mon premier orgasme vaginal mémorable. Mais, je n’étais pas au bout de mes surprises. Au moment de jouir, il me retourna comme une crêpe, m’attrapa une nouvelle fois par les cheveux afin que je le suce à nouveau. Je me suis exécuté. Son sexe était très dur et tendu, enduit de ma cyprine. Il a continué à me tenir par les cheveux et a joui dans ma bouche. Des longs jets amers et gluants se sont déversés dans mon orifice buccal. Alors que je m’apprêtais à recracher sa semence, il m’ordonna d’avaler sur un ton qui ne tolérait pas le refus. Ce jour-là, je compris que j’allais devenir son jouet sexuel et curieusement cette idée me plaisait. Mon choix s’était porté sur cet homme mature, mais ce n’était pas le fruit du hasard. Je l’avais choisi pour vivre quelque chose de différent, voire de tabou pour mon âge. Ce qui me parait aujourd’hui le plus incroyable, c’était mon ignorance totale de ce que pouvait être le BDSM, ce sigle et les pratiques qu’il recouvre m’étaient totalement inconnus. Les semaines passèrent et nos étreintes étaient toujours aussi passionnées, nous faisions l'amour presque tous les jours. Au fur et à mesure que notre relation s'installait, il me faisait découvrir ses goûts. Ainsi, il commença par m'offrir un masque afin découvrir les sensations que procuraient les yeux bandés. Une autre fois, il m'attacha les mains dans le dos. Pour l’adolescente que j’étais, tout cela n’était que des jeux osés. A aucun moment, je n’étais effrayée ou me sentais en danger. J’avais confiance en lui, je l’aimais éperdument, je lui vouais un amour fou, c’était mon professeur d’éducation sexuelle. Sans en prendre conscience, je devenais sa soumise, mon apprentissage avait commencé. Les premières semaines nous faisions l’amour dans la position du missionnaire. Je me sentais bien avec ce sentiment de revivre mon dépucelage et mon accession au statut de femme. J’appréciais sentir sa queue s’enfoncer au plus profond de moi et sentir sa semence chaude se répandre en moi. J’adorais l’entendre jouir et me serrer fort dans ses bras. Une fois habituée à la pénétration vaginale très virile, sans ressentir de douleurs, Philippe m’a imposé la levrette. Très rapidement, j’y ai pris goût. Il me prenait sans ménagement par les fesses et me pénétrait comme une chienne. Sa petite chienne qu’ii avait adoptée et dont il ne pouvait plus se passer. Je sentais grandir en moi un sentiment d’appartenance qui se concrétisera plus tard par le port d’un collier et d’une laisse pendant nos rituels. Puis, il passa à d’autres pratiques, ses mains, sa langue s’égaraient sur mon anus. J’étais très gênée. Un jour, il me confia qu’il avait très envie de mes fesses, qu’il les adorait. Bien que cette zone soit tabou pour moi, je le laissai me caresser, me lécher. En fin de compte, j’étais flattée qu’il aime à ce point mon corps. J’avais envie de découvrir des sensations nouvelles, je redoutais seulement d'avoir mal lorsqu’il me pénétrerait.
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Par : le 08/10/25
Autrefois capitale du royaume d'Écosse, place forte disputée au XIVème siècle, entre les anglais et les écossais, la nature a bâti, au pied des Monts Grampians, un gigantesque cirque de près de trois cents mètres de diamètre bordé par une paroi rocheuse, comme tranchée dans le massif, atteignant par endroits la hauteur de quatre cents mètres. La passe menant à ces paysages, baptisée la vallée magique n'est large que d'une vingtaine de mètres. Depuis la nuit des temps, ce fier caprice de la nature appartient à la famille noble Lauderdale qui a édifié là, vers la fin du XVIIème siècle, un château majestueux et inquiétant, au milieu d'une forêt assez dense. Les Lauderdale devaient leur immense richesse à l'élevage bovin, à la culture des céréales et à l'exploitation, tout à fait de mise à l'époque, des miséreux agriculteurs du comté. À l'aube du XXème siècle, les descendants du clan s'étaient contentés de cette fortune amassée durant des décennies. Mais, aucune mine d'or n'étant inépuisable, après la Seconde Guerre mondiale, à deux doigts de la ruine, Robert Lauderdale avait eu l'idée de reconvertir son château en prison dorée pour jeunes gens délinquants, où les les plus grandes familles britanniques pouvaient cacher le fruit de leur honte pour un loyer annuel très substantiel, prix justifié de leur tranquillité. Personne ne rendait jamais visite aux pensionnaires. À la mort de Robert, veuf depuis six ans, Sean Lauderdale, son fils unique et également ultime représentant mâle de la lignée, continua l'entreprise familiale en la modifiant partiellement : le centre devint un havre de paix pour les victimes du stress contemporain. En 2020, après un long séjour aux USA, la dernière des Lauderdale ajouta alors à son château, la vocation de clinique sexuelle. Comme certains sexologues américains, elle se proposait d'épanouir la libido de ses patients ou de guérir les déficients, en se gardant bien de préciser sa dévorante passion pour l'univers du BDSM. Rapidement, elle était devenue une dominatrice célèbre et réputée pour le raffinement des traitements qu'elle réservait aux esclaves en devenir, venus la rencontrer depuis l'autre bout du monde. Juliet Lauderdale était la figure emblématique du sadomasochisme. Sans être lesbienne, elle avait une préférence marquée pour les femmes, surtout les plus jeunes, qu'elle pouvait modeler à sa guise, au cours d'un long et éprouvant apprentissage. Les plus douées apprenaient à se muer rapidement en chiennes soumises et dociles capables de supporter les pires tortures et humiliations, enchaînées la nuit, nues dans des cellules, et subissant le jour des séances de flagellation ou de supplices sexuels. Parmi les favorites, Charlotte était devenue son esclave attitré, allant toujours au-delà des fantasmes de sa Maîtresse, voire même les plus abjects. Sa chevelure chatain clair conférait à son visage un air juvénile et paradoxalement timide. En vérité, c'était une jeune fille mystique, ayant appris toute la grâce de l'esclavage, et surtout, qui ne s'ingéniait jamais à opposer à la cruauté un refus.   Le carillon de la vieille pendule sonne minuit. La nuit est noire, longue, interminable. La dernière des Lauderdale baisse les yeux et contemple le feu dans la cheminée. Deux énormes bûches se consument doucement et dispensent une chaleur qui emplit la pièce. Dans le vaste salon décoré somptueusement trônent sur les murs des tableaux d'ancêtres de la famille. Aux quatre coins du salon, de gigantesques chandeliers blancs projettent leurs ombres dorées sur des corps féminins dénudés et à moitié endormis, attachés robustement à des croix de Saint-André. Au centre de la salle, sur un massif guéridon en chêne repose un impressionnant assortiment de fouets, de martinets aux manches de cuir, de métal et d'ivoire aux lanières tressées, plombées, garnies de pointes, ainsi qu'une collection exhaustive de vibromasseurs et autres olisbos. La maîtresse des lieux est assise dans un confortable fauteuil en cuir et contemple le spectacle de la nudité entravée de Charlotte sur une croix. Son corps semble comme engourdi par la douleur de la crucifixion qui entaille cruellement ses poignets et ses chevilles. En les détaillant, Juliet se prit un instant à les imaginer scandaleusement ensanglantés, cloués dans le bois des poutres. Elle eut du mal à chasser de son esprit cette pensée criminelle et blasphématoire mais combien exaltante, tandis que les flammes des bougies vacillaient sur l'or des pierres centenaires en faisant surgir des ombres sinueuses et menaçantes. Les invités semblent fascinés par la noblesse et la prédestination évidente de ce lieu. Le salon paraît avoir été conçu depuis la nuit des temps pour la souffrance et tous les désirs, pour les rites les plus secrets et autres cérémonies sataniques. Ils étaient tous masqués. Ils tirèrent au sort la victime qui allait être suppliciée. Ce fut Charlotte qui fut désignée. Quand Juliet décida de la descendre de la croix, aux premières heures de la nuit, frigorifiée et à demi endormie, Charlotte, glissant dans les bras d'une femme vêtue d'une cape et d'un masque sur les yeux, eut le temps, avant que tout eût tourné autour d'elle, d'entendre la voix cruelle de la maîtresse des lieux, briser le silence régnant dans l'assemblée des couples venus assister à son dressage, prononcer froidement la sentence : "- Qu'on l'harnache fermement. Quand elle aura été fouettée, elle sera toute à vous." Charlotte sentit qu'on la tirait en avant, et marcha. Le contact de ses pieds nus qui se glaçaient sur le sol de pierre finit par la réveiller. Juliet, entièrement vêtue de cuir, traversa la salle en la tirant par une laisse puis monta sur une estrade surmontée d’un majestueux fauteuil. Là, elle la fit s’asseoir à ses pieds sur le sol, s’assit à son tour et fit signe à l’assemblée de reprendre les festivités. Il devait bien avoir une vingtaine d’invités, habillés en tenue de soirée, regroupés autour d'un grand lit en fer forgé noir, érigé en autel au centre de la salle. Il parut naturel à Juliet de la présenter dans sa condition d'esclave femelle, marquée et annelée afin qu'elle fut prête à être offerte. La Maîtresse des lieux prit grand soin, rituellement de lui renverser les jambes pour qu'elle pût la voir en détail. Sur le bas-ventre de Charlotte, le monogramme J témoignait de son appartenance de soumission. Intégralement lisse, offerte, toujours ouverte aux désirs de Juliet ou à ceux des inconnus à qui elle la destinait, ses grandes lèvres portaient deux anneaux d'or. Une jeune soumise nue, à la tête rasée, déploya à ses pieds un harnais en cuir noir, faisant luire l'acier des anneaux qui maintenaient les sangles entre elles. Elle se glissa enfin derrière elle et entoura le buste des bras pour l'enrouler autour des seins de Charlotte.   Elle cercla chaque sein par les plus gros anneaux. Ensuite, elle fixa une première boucle sur la nuque, vérifia le centrage des seins dans leur bonnet métallique et attacha fermement la seconde sur les reins. Il ne lui resta plus qu'à se baisser, à passer les doigts entre ses cuisses et à saisir la dernière sangle qui pendait à l'avant. Elle la fit alors venir vers elle pour la remonter entre les fesses jusqu’à la boucle fixée sur l’anneau dorsal. La sangle se plaça ainsi d'elle-même dans l'axe du sexe, et le cuir, écartant les chairs, creusa un sillon sombre entre les grandes lèvres. On glissa profondément entre ses reins un rosebud anal afin d'élargir et de rendre ultérieurement cette voie plus commode. Jamais son sexe ne fut autant mis en valeur. La sangle verticale, qui écartait douloureusement ses chairs intimes, accentuait la ligne de ses grandes lèvres, de sorte que l’ensemble de la vulve semblait avoir doublé de volume tant elle était comprimée. Elle demeura interdite devant l’image que lui renvoyait le miroir. Jamais elle n'accueillit avec tant de joie, les bracelets qui joignaient ses poignets et le collier trop serré à son cou, annonçant son supplice. Sans qu'on l'interrogeât, on entendit des gémissements autour de l'autel, où maintenant des corps s'entremêlaient. Une grande femme brune, aux seins fermes, à peine dissimulés sous un chemisier transparent, chaussée de talons hauts, aux jambes interminables, galbées dans des bas à couture noirs, s'offrait à trois hommes qui la prenaient, allant et venant, dans les trois voies qui leur étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche. Plus loin, l'esclave à la tête rasée, les cuisses renversées, gémissait sous les caresses fougueuses d'une invitée déchaînée. Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante blonde aux cheveux courts, commençait à se déshabiller. Sa robe flottait au gré de ses mouvements. Par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine. Elle attrapa le bas de la robe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes au regard de l’assistance. Elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans un balancement lascif. Un homme s'enhardissant lui ôta. Le soutien-gorge descendu fit apparaître l'aréoles de ses seins. Elle s’exhibait sans retenue. Deux autres invités s’approchèrent. Le premier dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins dont les pointes étaient déjà fièrement dressées. Il les caressa et les malaxa sans douceur. Le second attoucha ses fesses. Elle était maintenant totalement nue. De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée. Les doigts fouillèrent son vagin et son anus. Elle demanda alors à être prise. Un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença des mouvements de va-et-vient, tandis qu'un autre sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça durement dans sa gorge. Elle exigea bruyamment des hommes d'être "remplie jusqu'au fond".   Un cercle se forma bientôt autour de l'alcôve, avec autant de verges tendues que de participants, n’attendant plus que sa langue et sa bouche pour les satisfaire. Elle voletait de l’un à l’autre, au gré de leur ardeur. Le premier à se libérer maintint fortement sa tête, jusqu’à ce que la source ne fut tarie. Elle avala la précieuse semence qui inondait sa gorge. L’un après l’autre se délivrèrent. Le sperme s'écoulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton. Bientôt, l'un des invités se coucha sur le dos et la fit l’allonger sur lui, il la bloqua aux épaules et la pénétra dans son sexe, en la forçant à se cambrer. Pendant qu’il la prenait, un autre s’intéressa à son orifice le plus étroit et y introduisit alors un doigt. Approchant sa virilité de ses reins offerts, il la sodomisa brutalement avant de se retirer repu et rassasié. Un autre, stimulé par la facilité à laquelle elle se prêtait à cette double pénétration, prit rapidement la place et éjacula bientôt en longues saccades. Ils furent quatre à choisir cette voie exiguë, à mêler leur foutre dans les entrailles de la jeune femme masquée qui n'était plus qu'un réceptacle béant. Du plafond pendaient des cordes. Le seul objet qui fût au plafond, outre le lustre à la même hauteur que la croix était un gros anneau brillant, où passait une longue chaîne d'acier. On attacha Charlotte par ses poignets, debout les bras écartés, face à l'assemblée, offrant son corps nu, au reflet d'or des flambeaux qui ornaient chaque angle de la cave. Juliet s'approcha, contempla les seins arrogants qui s'offraient à elle et étonnamment avec des gestes plein de délicatesse, dégrafa le harnais, après avoir passé la main sur le ventre, s'assura que son anus était forcé par l'épais rosebud. Un peu de rougeur monta au visage de la jeune femme, tandis qu'une douce chaleur envahissait son intimité. Les yeux de Charlotte regardaient la croix, mais ne virent pas la jeune esclave qui retirait un carré du tapis, libérant un miroir dans lequel étaient creusées, à une distance convenable, de chaque coté, deux encoches en forme de pied. La maîtresse des lieux attira Charlotte au dessus du large miroir que rien n'illuminait. Alors du plafond descendirent les deux cordes sur lesquelles étaient reliées deux bracelets en cuir. Juliet en fixa un à chaque poignet de Charlotte et les cordes s'élevèrent, entraînant les mains de la jeune femme anxieuse. Ses bras formaient un angle ouvert au dessus de ses épaules. Les longes s'arrêtèrent de monter, une lueur douce et dorée s'éleva du miroir, illuminant les cuisses de la soumise, ainsi exhibée, face à l'assistance. L'ordre pour elle, était de se montrer obéissante tout au long de la soirée. Juliet examina longuement les seins insolents et posa ses mains sur les globes fermes et de douces caresses les parcoururent. Charlotte ferma les yeux, se laissant griser par le reflet du miroir de l'intimité qu'elle offrait impudiquement aux invités. Ainsi mise à nu, elle était prête.   La bouche et les paupières légèrement maquillées, la pointe et l'aréole des seins brunies, de l'onguent appliqué sur le pubis, dans le sillon entre les reins et les cuisses, Charlotte entendit des murmures de satisfaction dans l'assemblée. Alors la maîtresse des lieux se saisit d'une longue cravache et, doucement, effleura un mamelon d'une lente caresse sur la pointe extrême. Bientôt une sensation de chaleur envahit le corps de Charlotte, déjà parcouru de frissons. Cuisses serrées, la jeune femme tordait doucement son bas-ventre que gagnait peu à peu la moiteur du désir refoulé. Juliet suivait, penchée sur le miroir, la danse lascive de la croupe soumise. Des soupirs saccadés et hoquetants s'échappaient de sa bouche. Elle comprit que loin de vouloir l'épargner, Juliet échauffait son corps pour mieux le rudoyer ensuite. Elle regarda son bourreau, mais déjà le visage s'était revêtu d'un masque impassible et les fines lanières en cuir meurtrissaient ses seins. On éloigna alors ses chevilles de sorte que ses pieds se placèrent dans les encoches du miroir au sol. Ainsi dans une position d'écartèlement extrême, les cordes tendues semblaient la démembrer, Charlotte ne se possédait déjà plus. Juliet s'écria soudainement :   "Écoute bien, tu as reçu du sperme dans la bouche, tu as reçu du sperme dans le sexe, tu as reçu du sperme dans l'anus, tu es désormais une femme, tu es physiquement dépucelée, mais mentalement vierge. Nous allons te bander les yeux et nous allons te fouetter et tu devras compter jusqu'à cent, sans la moindre hésitation. Ce n'est pas tant pour notre agrément que pour ton dressage, que de te faire comprendre par le moyen de la douleur que tu es contrainte à l'esclavage et de te signifier que tu n'es vouée qu'à cela. Tu pourras répandre des larmes, implorer mais nous voulons t'entendre hurler et au plus vite. Ensuite, et pour notre seul plaisir, tu seras prise par tous les orifices que, comme tous les animaux, la nature t'a dotée."   La jeune femme écoutait et tremblait de bonheur, si Juliet daignait l'outrager, c'est qu'elle l'aimait. Charlotte allait répondre qu'elle était son esclave mais elle se tut. Au premier coup de fouet qui atteignit ses seins, ses cuisses se contractèrent, son ventre se tendit, se recula et les contractions nerveuses, ouvrirent sa vulve au dessus du miroir. Magré elle, Charlotte râla de plaisir. Dans un sursaut animal, elle referma ses jambes instinctivement, mais Juliet la saisit et la remit dans les encoches. Elle s'abandonna et ne refusa pas le spasme qui montait en elle. On emprisonna fermement ses chevilles dans deux bracelets scellés au sol pour tenir ses jambes immobiles. De nouveau, Juliet levait le bras, une méthodique flagellation commença. Les coups étaient dosés, mesurés pour ne pas blesser Charlotte qui, les yeux clos, sentait monter en elle une chaleur intense. Sa poitrine était martyrisée par des coups de plus en plus secs et cinglants, comme une caresse de feu qui irradiait sa chair. Les seins devenaient de plus en plus marqués. Soudain, Juliet frappa de bas en haut les globes, qui musclés et durs, frémirent à peine et parfois, sous un coup de coté, ils se choquaient entre eux. Puis on la cingla en tout sens de façon à l'entendre hurler et au plus vite. L'orgueil qu'elle mettait à résister ne dura pas longtemps. On l'entendit même supplier qu'on arrêtât juste un seul instant et qu'on la détachât. Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières qu'elle tournoyait presque sur elle même, les bracelets enfermant ses chevilles devenant lâches. Tel un pantin désarticulé, elle s'agitait dans ses entraves. Son ventre se tendait, son sexe contorsionné s'ouvrait puis se fermait. Le reflet dans le miroir de son pauvre corps supllicié attirait le regard lubrique des invités. Alors la maîtresse des lieux la frappa encore plus fort et dès cet instant, les coups ne s'égarèrent plus, sinon délibérément. Une chaleur intense inonda la poitrine de Charlotte comme une boule de feu volcanique. Ses seins, violemment fouettés, se choquèrent dans un bruit mat, les lanières de cuir s'entouraient autour d'eux, giflaient la chair, lacéraient les pointes, cinglant les aréoles brunies.   La Maîtresse de Charlotte, après trois derniers coups, cessa de la flageller pour écarter ses cuisses. Elle plongea ses doigts humides dans l'intimité moite, constatant non sans fierté, que la soumise avait réellement joui. Les portant à sa bouche après, elle les lècha longtemps entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine. Les invités l'observaient attentivement et commentaient chaque fois que la main qui la tenait, la fouillait, revenait, de plus en plus profondément, à la fois dans son ventre et dans ses reins qui s'enflammèrent. Le silence tomba : seuls s'élevaient de l'assemblée, les soupirs profonds de la suppliciée, et les gémissements des femmes masquées se donnant aux hommes. On la détacha pour la conduire sur le lit en fer forgé qui trônait en autel au centre de la salle. La maîtresse des lieux fit alors venir un esclave mâle endurant et bien bâti, dont elle s'était assurée par une longue privation à toute satisfaction, de sa capacité à se raidir, avant d'être forcé à répandre son foutre là où elle exigerait qu'il le fut, avec la préférence qu'elle lui connaissait à toujours choisir l'orifice le plus étroit, commun aux hommes. Elle lui ordonna de rejoindre Charlotte. Elle trouva un coussin, y appuyait ses mains les bras tendus, les reins offerts. Alors, avec une angoisse folle, elle sentit derrière elle, un autre homme qui quitta l'assemblée pour rejoindre l'estrade. En quelques secondes, il lui lia les mains derrière le dos. Nue et écartelée, son sexe et ses intimités béants s'offraient à la vue des deux autres dont elle sentait le souffle chaud frôler son dos. Elle voulut crier, mais la peur la paralysait. L'invité lui malaxait les seins, pressant les pointes avec force. Des doigts s'infiltrèrent entre ses fesses puis forcèrent l'ouverture de son étroit pertuis. Le sexe de l'esclave, nu et harnaché, était encagé dans une poche faite de lanières cloutées. Un trouble mélangé de honte, de volupté, de rébellion et d'impuissance à la fois la saisit. Cherchant le regard de l'invité, mais celui-ci, les yeux fixés sur l'anus, ne relevait pas les paupières jusqu'au visage de Charlotte. Il força brusquement ses reins avec son doigt en la pénétrant avec violence. Surprise par la douleur, elle tenta d'échapper à l'index qui continuait à vouloir s'insinuer en elle. Elle se cambra de toutes ses forces. Le doigt se retira aussi brutalement qu'il était entré et vint se promener sur ses lèvres, qui furent écartées et ouvertes pour que sa bouche fût imprégnée du goût âcre et musqué de sa cavité anale. Obéissant à la maîtresse des lieux, l'esclave mâle ôta le rosebud anal qui dilatait déjà l'anneau de chair de Charlotte pour le substituer par de plus épais afin de l'évaser davantage. Un sourd gémissement marqua l'écartèlement de l'étroite voie, souillée par un braquement oblong. Fesses tendues, bouche tordue par la jouissance impérieuse, elle râlait doucement, goûtant avec ferveur le cruel supplice raffiné. Mais le gode, plus gros encore, distendit l'anneau de chair, tandis que la main de l'homme appuyait à peine pour faire pénétrer le phallus en elle.   Et un autre prit la place dans la gaine gluante et chaude, distendue mais docile et souple. L'anus plissé disparaissait derrière le renflement émergeant au milieu de l'olisbos. Mais le gode saillant était énorme et noueux, zébré de veines saillantes. L'homme poussa avec force, avec un intense bruit de succion, tandis que les sphincters s'ouvraient et se fermaient aspirant l'olisbos sous les regards lubriques des invités. Sa croupe s'infléchit, l'anus résista un peu tandis que Charlotte sentait une souffrance sourde monter dans ses reins, puis la voie céda. Il lui sembla que ses muscles se déchiraient, que son cul s'emplissait totalement. La bouche ouverte, un râle s'arrêta au fond de sa gorge, les yeux hagards, elle demeura tendue, haletante, puis il y eut un cri, suivi d'un sursaut de mouvements convulsifs, le gode énorme fut aspiré. Elle s'affaissa sur le coté, les doigts crispés sur le matelas. Pour la maîtresse des lieux, le jeu avait assez duré. Elle ordonna à l'esclave mâle d'ôter la cage de cuir qui emprisonnait son sexe. Libéré, le membre monstrueux se tendit aussitôt. Non sans impatience, il lâcha le factice. Sur un signe, tous les invités se levèrent en silence et vinrent en demi-cercle, autour du lit érigé en autel, pour contempler le spectacle. Le gland affleura, puis le membre tout entier s'enfonça, et l'étalon sodomisa Charlotte. Un bruissement gras s'éleva, silencieuse, elle se laissa enculer et nul ne songea dans l'assemblée à faire cesser son sacrifice. Il se retint une dizaine de minutes avant de se libérer en longues saccades dans les entrailles de la suppliciée. L'homme qui les avait rejoint ne tarda pas à le remplacer. Il la plaqua sur le dos et écarta ses reins afin qu'un autre puisse s'introduire simultanément en elle, glissant dans le sperme. Ce fut une dizaine d'hommes qui se succédèrent, remontant et frappant au fond de la gaine de ses reins. Pour Charlotte, la douleur ressentie lors de la double pénétration se transforma en jouissance. Le corps marqué par de longues estafilades, elle avait gémi sous les coups de Juliet comme jamais sa Maîtresse ne l'avait fait gémir, crié sous les membres des invités, comme jamais elle avait crié. Elle devait être soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel elle vénérait Juliet. Elle était là dans la soirée pour servir de réceptacle à la semence des hommes, qu'elle devait recevoir par tous les orifices prévus par la nature, sans jamais protester ni trahir un quelconque sentiment, comme un objet muet. Lorsque tous les invités furent repus, on la conduisit dans sa cellule et on l’étendit sur un lit de fer. Viciée de sperme et de sueur, le corps lacéré, l'orifice le plus intime endolori, elle s'endormit profondément.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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