La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/12/25
Bonjour,  Je n' ai jamais eu de rapport homosexuel, pas de pensée, pas d'envie. Mes Dames sont bi : elles connaissent les deux sortes d'amour. Pour mon anniversaire, un deal m'a été proposé : je " passais le cap ", et elles m'offrirait une jolie guitare que je lorgne depuis longtemps. " OK ! " " Mais ça sera à notre façon ! " Line, notre amie, est plutôt BDSM, ma Dame l'est devenue, donc je devine ... Samedi était le jour choisi pour un rendez-vous organisé par les Dames. Douche bien complète en fin de matinée, déjà encagé depuis une semaine, un peu anxieux, je devais rencontrer un homme du secteur, contacté en douce par Line... paraît il, monté comme un cheval , il participe, moyennant cadeau, aux jeux de quelques couples libertins : je devais me soumettre. Les Dames, jeans, baskets, blousons, sont parties vers 13h , emportant un sac de sport , et m'ont prévenu : " Tu recevras un SMS pour avoir l'adresse où nous retrouver , rdv à 14h, 15 mn en voiture.Tu te passera un tee shirt noir ." Sms bien reçu , je suis arrivé devant un motel de ZI plutôt clean, hotel " à carte" sans réception ni personnel visible. Chambre 9 : les Dames m'attendais , vêtues à l'identique d'un body blanc en dentelle, escarpins blancs. Chambre classique, une petite entrée, une SDB à droite, un grand lit , écran au mur, porte bagage sur lequel était le sac de sport, persiennes descendues et musique de fond d'un smartphone. J'ai du me déshabiller, et ne garder que mon tee shirt. 4 cagoule en lycra, intégrales sauf la bouche, étaient posées sur le lit : deux blanches, deux noires. Lorsque l'on a frappé, elles ont enfilé les deux blanches, moi une noire. Line est allée ouvrir à notre visiteur , lui amenant sa noire. Est alors entré un homme d'une petite cinquantaine, pas très grand, petite bedaine.... Un simple " Bonjour" a fait les présentations. Notre hôte s'est déshabillé....Line l'avait sûrement bien briefé. Ma Dame m'a entraîné face au grand côté du lit, puis y a allongé deux grandes serviettes. Agenouillée devant lui , line lui a alors baissé son caleçon bleu : Buon dio !....Quel engin ! Petit bonhomme, certes, mais sexe long , large, veiné, non circoncis. Même Line n'a pu retenir un " Sacrée bête ! " en commençant a le sucer pour motiver le Monsieur, grosses testicules bien pleines, poils noirs. Pendant ce temps, ma Dame m'a passé une corde blanche aux épaules pour me serrer les coudes, puis les poignets dans le dos, en plusieurs tours. Sexe bien en érection, Line lui a mis un préservatif, grande taille, pus préparé un second : " Deux, ce sera mieux pour vous deux, et ça durera plus longtemps ! "....avec un sourire. Notre hôte, à 3 m de moi , a dû me regarder me faire ligoté, sexe épilé, cage de chasteté et cadenas bien visible ... " Punition d'un soumis" a-t-il dû penser... même pas ! Line a continué à motiver ce gros sexe avec les mains, pendant que ma Dame me bouclait un bâillon boule " Au cas où ! " Elle m'a fait m'agenouiller sur le bord du lit, puis pencher en avant, tête sur les oreillers. Là, moment de doute, j'ai compris ! Je vais me faire sodomiser par cet engin ?? Bah oui ! 😭  Je n'ai plus rien vu , mais ai senti deux sangles me serrer les chevilles, puis une barre y être fixée, m'obligeant à écarter les genoux. Fesses offertes que deux mains m'ont écarté, une troisième m'enduisait l'anus de gel, et y entrait deux doigts en tournant. Gland dirigé, deux poussées, et j'étais pris, tenu par les hanches, bien bloqué ! Un " Humpff ", puis plusieurs vas et viens lents bien profonds, presque ressorti, puis recommancés plusieurs fois. Puis le sexe est ressorti , pour du gel sûrement, et reprise de son activité, plus rapidement et plus nerveusement. J'ai senti un spasme, suivi d'un râle révélateur. Il est resté en moi quelques secondes encore.... Ma Dame a commencé à me libérer, m'a redressé. J'ai coulé dans ma cage, et mon bâillon était trempé : bonne idée, les serviettes ! Notre visiteur s'est rapidement rhabillé, a discuté quelques secondes avec Line dans le couloir , son cadeau, puis porte close . Parti direct à la douche, j'ai entendu les Dames ricaner..... curieux, j'ai voulu savoir....elles ont tout filmé avec un smartphone,  " Mini  carte SD, ne t'inquiètes pas ". On y voit Line sucer le gros sexe, y mettre les préservatifs, mon bondage, mes fesses enduites, ma pénétration en gros plan, le plaisir de notre hôte. " Vous vouliez me voir me faire enculer ? C'est fait ! " " Très bien ! 👍 On espère que ça t'a plu....nous, oui !.... à refaire ! " Mon partenaire aura été minimaliste : pas un ot, pas une caresse , juste son sexe . J'ai trouvé mon siège de voiture raide en rentrant, ou j'ai juste eu mal au cul ! Hier soir, une belle guitare m'attendait.
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Par : le 01/12/25
Avant-propos Le texte ci-dessous n’est pas une annonce officielle. C’est une fiction volontairement stylisée, destinée à explorer une idée : celle d’un espace BDSM pensé comme une “ville dans la ville”. Le Cercle Ébène avance pas à pas, avec sérieux, méthode et prudence. Cet article sert à nourrir la réflexion, pas à annoncer une ouverture. DÉPÊCHE – PARIS Un “Quartier Souterrain BDSM” en préparation : Un projet discret qui intrigue la capitale** Paris, 01/12/2025 — Paris bruisse d’une rumeur étrange : la création d’un quartier BDSM, un véritable “ville dans la ville”, conçu comme un espace autonome, sécurisé, réservé à une communauté triée sur le volet. Selon plusieurs sources concordantes, il ne s’agirait pas d’un bar, ni d’un club, ni d’un donjon classique. Le projet viserait à bâtir un fragment de cité parallèle, un ensemble d’espaces reliés entre eux, fonctionnant sous un même cadre, une même discipline, une même culture. Un urbanisme caché, un réseau structuré D’après les documents consultés, ce futur “quartier BDSM” serait composé de plusieurs modules distincts, mais interconnectés : une rue intérieure menant à différents espaces, un donjon professionnel rappelant une salle d’armes, une loveroom traitée comme une suite d’hôtel secrète, des salles de formation inspirées des académies anciennes, une zone lounge au style quasi monacal, et un espace de sécurité interne, à accès restreint. L’ensemble formerait un petit territoire BDSM autonome, invisible depuis l’extérieur, conçu pour fonctionner comme une cité miniature dédiée à la discipline et à la pratique réelle. Un modèle inspiré des cités fermées Le projet s’appuierait sur un principe simple : isoler l’univers BDSM du monde extérieur sans le cacher, à la manière des quartiers historiques, des cloîtres urbains, ou des zones professionnelles discrètes. L’objectif serait de créer : un cadre cohérent, une ambiance constante, une culture commune, et une frontière claire entre l’intérieur et l’extérieur. On ne parle plus d’un local. On parle d’un territoire thématique, doté de ses propres codes, de sa propre organisation, et même — selon certains — de sa propre gouvernance. Accès réservé, règles strictes Les informations obtenues indiquent que ce quartier serait : réservé aux membres, régi par un règlement interne discipliné, dépourvu de toute sexualisation diffuse, encadré par un comité de sûreté, et conçu pour accueillir formations, rituels, scènes techniques et rencontres formelles. Le mot d’ordre serait : structure, sécurité, continuité. Une ville dans la ville, oui — mais pas un terrain de jeu. Une première en France Si le projet se confirme, il s’agirait de la première tentative de créer en France un quartier BDSM fonctionnel, pensé comme une micro-société plutôt qu’une salle de loisirs. Un lieu où l’on entrerait comme on franchit une frontière : on quitte Paris, mais on reste dans Paris. Annonce officielle attendue Les initiateurs, anonymes pour l’instant, devraient dévoiler les grandes lignes d’ici quelques mois. Aucune localisation n’a filtré, mais l’on sait qu’il s’agit d’un projet 100 % français, avec l’ambition à terme de reproduire ce modèle dans plusieurs villes. En attendant, Paris s’interroge. Un quartier BDSM, autonome, discipliné, assumé ? Une cité parallèle au cœur de la capitale ? La rumeur enfle. Et si elle se confirme, la carte de Paris pourrait bientôt compter un territoire que personne n’avait imaginé…
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Par : le 01/12/25
Le silence était lourd. Pas un silence vide : un silence habité. Celui des lieux où la volonté d’une seule personne suffit à tenir tout un espace. Le couloir du sous-sol était éclairé par deux longues bandes de lumière jaune, presque maladives, courant le long des murs noirs. Les pas résonnaient faiblement, étouffés par le velours sombre qui tapissait le sol. L’odeur était reconnaissable : cuir huilé, métal froid, une note sèche de poussière ancienne. Une odeur de lieu qui ne pardonne pas l’hésitation. Ébanya avançait lentement, sans bruit. Ce n’était pas une marche. C’était une entrée en territoire. Vêtue d’un long manteau noir, ouvert sur ses cuisses nues et ses bottes hautes, elle avançait avec l’économie de mouvement d’une guerrière qui n’a rien à prouver. Les pans du manteau glissaient derrière elle comme l’ombre d’un animal patient. Au fond du couloir, un homme attendait. À genoux. Torse nu. Tête baissée. Il n’avait pas été convoqué. Il s’était présenté de lui-même, offrant son corps comme un chien qui ramène une proie. Lareth n’aurait jamais accepté cette scène. Mais ici, dans ce bâtiment encore sans nom, presque un sanctuaire brut, Ébanya gérait ses propres rituels. Elle s’arrêta à un mètre de lui. Il frissonna. Elle ne dit rien. C’était voulu. Elle détacha lentement son collier en or profond. L’unique élément de lumière véritable sur elle. Le métal tinta contre ses doigts, un son trop pur pour ce couloir sombre. Elle le laissa tomber dans sa paume, puis se pencha légèrement. — Relève la tête, ordonna-t-elle. Sa voix était une lame. Pas forte. Pas haute. Tranchante. Il obéit. Ses yeux montèrent. Et il se figea. Ébanya ne souriait jamais. Pas quand elle dominait. Ce regard, elle le posa sur lui comme on pose un genou sur une nuque. Un poids. Une pression. Une évidence. Elle s’accroupit lentement, son visage à hauteur du sien. Les lumières jaunes accrochaient ses yeux noirs, leur donnant quelque chose d’animal, de calculé, d’antique. — Tu n’es pas ici pour être vu, dit-elle. — N… non, Maîtresse. — Tu es ici pour être défait. Le mot tomba net. Elle passa le collier autour de sa gorge, sans le fermer. Le métal froid reposa juste au creux de sa clavicule. — Ce couloir n’est pas un couloir, reprit-elle à voix basse. — C’est une frontière. Elle resserra légèrement le collier entre ses doigts. Pas pour l’étrangler. Pour qu’il comprenne. — De l’autre côté, tu redeviens ce que tu prétends être. — Ici, tu deviens ce que tu es vraiment. Il ferma les yeux. Ses lèvres tremblaient, pas de peur, mais de cette secousse intérieure qu’Ébanya savait provoquer sans jamais hausser le ton. Elle relâcha le collier, se redressa, lui tourna le dos. — Suis-moi, dit-elle simplement. Elle n’attendit pas de confirmation. Un ordre n’a pas besoin d’être accepté. Il a besoin d’être exécuté. Le soumis posa ses mains au sol pour reprendre son souffle. Le cuir de ses genoux grinça. Puis il avança à quatre pattes, comme elle l’avait voulu. Ébanya marchait déjà. Droite. Froide. Inébranlable. Dans ce couloir d’ébène, elle n’était plus mère. Plus femme. Plus civile. Elle était la loi. Scène — “La première entrevue” Le sous-sol était plongé dans une pénombre dense. Pas une obscurité totale — ce serait trop simple. Une obscurité calculée, laissant juste assez de lumière pour que l’œil doute, cherche, se tende. Ébanya referma la porte derrière elle. Le métal émit un claquement sec, qui résonna dans la pièce nue. Devant elle, attaché au sol par un anneau, le soumis qu’elle avait laissé dans le couloir respirait avec la régularité nerveuse de celui qui attend une sentence. Elle n’eut pas le temps d’avancer. Une silhouette se déplaça sur sa gauche. Pas un pas pressé. Pas un pas furtif. Un pas assuré, parfaitement calme. Lareth sortit de l’ombre. Il portait une chemise sombre, les manches roulées jusqu’aux avant-bras. Pas de bijoux. Pas de cuir. Rien d’ostentatoire. Le contraste avec le lieu était volontaire : dans ce sous-sol brut, il était un intrus qui n’avait pas besoin de prouver qu’il avait sa place. Il ne regarda pas le soumis. Il regarda Ébanya. Elle soutint son regard sans broncher. Les deux se jaugèrent en silence. Il n’y avait rien à dire tant que l’autre n’avait pas montré sa structure. Ce fut Lareth qui parla le premier. — Tu fermes toujours le couloir quand tu travailles ? La question n’était pas un reproche. Juste une vérification. Une manière de mesurer le territoire qu’elle tenait. — Oui, répondit Ébanya. — Pour la sécurité, ou pour le rituel ? — Les deux. Il acquiesça, comme si cette réponse confirmait quelque chose qu’il savait déjà. Ébanya fit un pas de côté, pour dégager la vue sur l’homme à genoux. Elle ne s’excusait pas. Elle ne justifiait rien. Elle montrait simplement ce qu’il devait voir. — Il est venu sans demande, dit-elle. — Je sais. On m’a prévenu. — Je gère. Elle aurait pu dire : “ce n’est pas ton affaire”. Elle ne l’a pas dit. Parce qu’elle avait compris qui il était avant même qu’il ouvre la bouche. Lareth s’approcha du soumis. Il s’accroupit lentement, observant la respiration, la posture, les épaules tremblantes. Puis il se redressa. — Il n’est pas prêt, dit-il calmement. — Je sais. — Alors pourquoi l’avoir laissé passer le couloir ? Elle s’avança, se plantant à moins d’un mètre de lui. Aucun défi dans son regard. Aucune provocation. Juste ce calme froid qui impose respect ou fuite. — Parce qu’il a eu le courage de venir, dit-elle. — Le courage ne suffit pas. — Non. Mais c’est un début. Lareth la regarda encore quelques secondes. Pas pour juger. Pour analyser. Pour comprendre comment elle fonctionnait, pièce par pièce. Puis il hocha la tête. — Tu es exactement comme on me l’a décrit. — J’espère que la description était exacte. — Elle était incomplète. Il se tourna vers la porte, prêt à partir. Avant de sortir, il ajouta sans se retourner : — Le Cercle aura besoin de quelqu’un comme toi. — Je ne travaille pas dans une structure où les règles sont floues. — Elles ne le seront pas. — Bien. Il posa la main sur la poignée. — Je repasserai. — Fais donc. Il ouvrit la porte. Le couloir avala de nouveau la lumière. Puis il disparut. Ébanya resta immobile quelques secondes, ses yeux fixés sur la porte fermée. Elle ne souriait pas. Mais quelque chose, dans son regard, venait de changer. Pas de soumission. Pas de rivalité. Une reconnaissance. Rare. Elle se tourna vers le soumis. — On reprend. Son ton était plus froid que jamais. Parce qu’une rencontre comme celle-là ne la fragilisait pas. Elle la renforçait.
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