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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
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Je vous recommande en accompagnement ce titre musical :
https://youtu.be/UcW4RfhbM88?si=CkiPMrAn5g0dcn4H
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Je n’ai jamais aimé me masturber.
Ça ne veut pas dire que je ne sais pas me faire atteindre un orgasme. Ça ne veut pas dire non plus que je n’aime pas le sexe, j’adore ça !
Mais je n’aime pas me masturber.
La foufoune, la chatte, le sexe. Autant de mots et une partie d’anatomie qui ont longtemps été taboues. De par mes traditions, ma culture, ma famille. Ma mère a reproduit sur moi cette éducation ignorante de l’individualité de la femme et son droit au plaisir, et n’a même pas été fichue de m’expliquer à quoi servent les règles, sauf à me dire qu’à partir de ce moment, je devais faire attention à ne pas provoquer les hommes.
Avant même l’apparition de mes règles au tout début du collège, je n’étais plus une enfant, et je n’avais plus le droit d’écarter les jambes. Ne pas courir, ne pas sauter, ne plus grimper partout, ne plus montrer mon cul ni suggérer mon sexe : finies les jupettes ou les petits shorts ; mes vêtements devaient effacer tout ce qui pouvait me « genrer ». Je n’étais plus une petite fille, je n’avais pas le droit d’être une jeune fille. Mon père me laissait à la maison « ces jours-là », car j’étais « impure », et je ne pouvais pas aller au temple.
Enfant, j’ai donc eu une image de saleté de mon sexe. Le côté dangereux, j’étais bien trop jeune pour l’appréhender, mais je vous rassure, ça viendra. En attendant, je grandissais avec cette idée que c’était sale entre mes jambes, bien trop sale pour m’y intéresser, bien trop sale et à ignorer. Avec l’idée rampante que « JE suis sale ».
Vers la fin du collège, je me suis aperçue que les autres n’étaient pas conscientes de leur « saleté ». La puberté perturbait quand même un peu ma réflexion, alors que mes copines racontaient leurs premières fois, flippaient le lundi matin parce que « j’ai peur que la capote ait pété, tu vois », ou que «j’ai pas pris la pillule ». Moi, je fantasmais encore sur un garçon qui voudrait bien m’embrasser « avec la langue ». Alors les histoires de sexe, de capotes, de premières fois, c’était tellement abstrait pour moi. J’étais sale, personne ne voudrait de moi.
Quand, décidément, mon premier baiser tardait à arriver, j’ai fini par m’intéresser à mon corps, à ce qui se passait entre mes jambes, et comment on pouvait aimer ça.
Il n’y avait pas de réseaux sociaux, l’idée de pornhub n’existait même pas, sauf si on considère que 3615 Ulla était son ancêtre, mais encore, fallait-il avoir un minitel à la maison… L’équivalent de Doctissimo, à l’époque, c’était « la grande sœur de la meilleure amie à ma cousine », on en avait toutes une, qui expliquait comment il fallait faire pour perdre sa virginité en se doigtant au-dessus d’un miroir. Mais je n’avais même jamais roulé une pelle, et je n’avais pas envie de regarder une saleté, alors, j’ai juste refermé le dossier, en même temps que mes jambes serrées encore et encore.
Mes seins ont poussé, et les quelques regards glissant sur mon corps que j’ai pu voir ont recommencé à faire dériver loin de moi l’idée de ma propre impureté. Si on me regardait, après tout, je pouvais peut-être enfin embrasser un garçon ! Ma crise d’adolescence -tardive- a surtout été un long combat contre ma propre éducation, et contre moi-même, pour réapprendre ce que c’était qu’être une fille (et être une femme plus tard…) et vouloir séduire un garçon (jouer avec un homme plus tard)…
La première fois est arrivée quand je n’avais pas fini d’être une petite fille. Je portais encore des brassières qui commençaient à être trop petites, mais mes gros pulls arrangeaient de toute façon ma silhouette comme un tronc d’arbre et rendaient impossibles toutes velléités de féminité. Je le croyais et ma mère y croyait certainement aussi. Elle y croit encore je pense. Je prenais l’ascenseur pour rentrer, mon cartable à mes pieds. Il a retenu les portes de la cabine et s’y est engouffré.
C’était ma première agression sexuelle. Première, parce qu’il y en aura d’autres. Pendant les vacances, un cousin. Pendant mes stages, les patrons. Puis cette soirée irréversible, LE beau gosse sur qui je flashais et qui n’a pas compris que non, c’est non. Il y aura encore des fois de trop, des « oui » forcés par des petits copains pas bourrés, des « non » qui se sont étouffés et qui ont fini par se taire car ils ne voulaient plus rien dire.
Au final, ils en avaient tous après ce qu’il y avait entre mes jambes. C’était sale, pas pour eux, mais sur moi. C’était de ma faute. Je ne m’étais pas assez débattue, alors peut-être que je le voulais. Tout était de ma faute. Je n’ai pas dit non assez fort, alors peut être que c’était oui.
J’ai fini par conclure que mes jambes n’étaient pas assez serrées, alors, je me suis dit qu’en me détruisant, mes jambes finiraient par rester bien fermées, et qu’alors, à défaut de devenir propre, je pouvais limiter ma saleté. Je n’aimais plus ce corps souillé, je le voulais repoussant pour ne plus attirer le poids des regards. Cela s’est traduit par une quinzaine de kilos de plus en l’espace d’un an, et la satisfaction dérangeante de porter des vêtements informes pour une bonne raison. Mon corps pouvait pourrir tant que mes jambes savaient rester serrées.
Mon intérêt naissant pour le clitoris, la vulve, les poils, le vagin, la chatte, les lèvres, cet intérêt est mort-né.
Mais j’ai grandi et j’ai quand même vécu. Je me suis forcée à digérer toutes ces histoires, en me disant que c’était le passé, et que je pouvais enfermer tout ça dans des tiroirs fermés à clé. J’ai appris à tolérer ce qui restait de ce corps que j’avais malmené moi-même. J’ai eu des histoires d’amour, avec du sexe dedans.
Et j’ai découvert que j’adore ça, le sexe ! Faire l’amour, baiser, faire du sexe, se faire prendre, sucer, doigter, lécher…. Mais c’est que je peux avoir du plaisir, en prendre, même ! Et surtout, encore, toujours, comme jamais, comme si consentante ou pas, j’étais faite pour : en donner, du plaisir.
Mais c’était parfois long. L’orgasme ne venait pas toujours, du moins, pas comme les hommes pouvaient attendre : « Mais… t’as pas joui ? »
« Mais j’ai eu beaucoup de plaisir ! » ne semblait pas les convaincre, alors j’ai appris à faire semblant. Je savais ce qu’il fallait contracter, et comment accélérer le rythme de mes halètements, pousser un râle sexy, contracter mes orteils sans les rendre crochus et faire une jolie tête d’orgasmiquée, pour ne pas heurter leurs petits égos et qu’ils puissent s’allonger comme des petits chatons satisfaits d’avoir baisé comme des lions et provoqué un orgasme « propre ».
Savoir faire semblant de jouir me suffisait. Je pensais que tout était là. Que j’étais enfin en train de vivre une sexualité « normale ».
Mais il y en a eu un, qui m’a fait hurler et m’a fait comprendre que bordel de putain de la madre de ton grand-père, Fucking God of mine, et Oh yeah baby, l’orgasme c’est la vie et mon souffle retrouvé, rien à foutre des orteils et vas-y que j’ai une vraie gueule quand je jouis et que je kiffe changer les draps après, tellement j’ai fontainé.
La vie a souvent une drôle de façon d’ouvrir des fenêtres pour fermer des portes. Il est sorti de ma vie et j’ai dû partir à la quête de l’orgasme.
J’ai dû apprendre à me masturber. Sans tendresse, sans patience, avec rage et fureur car sans connaissance et sans amour pour moi-même. LA question qu’on se posait ado m’a un peu aidée : vaginale ou clitoridienne ?
Clitoridienne c’est bien. Parce que bon, l’aventure reste à l’orée de la forêt, et le vagin, après tout… c’est quand même un peu sale. Et wow comme c’est rapide le clitoris ! Il y a même quelques formules magiques dignes des premières consoles en mode « haut, bas, bas, gauche, droite, haut, droite, appui long » qui peuvent fonctionner.
Et puis voilà, jouir c’est bien. Mais au final, ça ne m’apportait rien. Juste la frustration de me « finir » seule en cachette quand le sexe avait été fadasse, la culpabilité d’avoir encore simulé, et plus tard, la honte de mon corps quand les maternités ont continué la mission d’autodestruction et la gêne de me montrer face à mon propre mari et son regard froid, la douloureuse frustration encore de me masturber en cachette de lui.
La quarantaine passée, le désamour acté, on recommence. Je referme mes jambes car mon corps se flingue tout seul comme un réflexe de protection maintenant, et j’enchaîne vaginoses sur cystites après mycoses, que le gynéco, qui me voit quasi toutes les quinzaines, n’arrive plus à expliquer autrement que par le stress. Moi, je l’explique clairement dans ma tête par ma saleté. Malgré ça, je collectionne quand même les chatons à l’égo fragile, je me masturbe toujours en cachette pour me finir, ou pour commencer, je ne sais même plus vraiment ; je hais toujours mon corps et mon sexe de ne pas savoir jouir parce qu’il est toujours trop sale, et je déteste les jours où le clitoris ne fonctionne plus. J’ai la rage de me masturber, et j’ai aussi la rage ne plus me masturber, au final, j’en ai marre de le faire. Je n’en ai plus envie, et je n’ai plus envie de cette envie. Je sais faire semblant de jouir et d’aimer. Ça suffit. On éteint.
La lumière de mon envie s’est rallumée le jour où sa voix sel et miel m’a dit : « caresse-toi ».
Euh….
Non.
Je ne sais plus le faire et encore moins quand on me regarde.
Glisse ta main le long de ta fente, oui doucement, doucement, fouille un peu pour dévoiler ton clito, voilàaaa, fais un petit tour, c’est bien… Stop, n’y touche plus, reviens sur ta fente, comme ça, oui, tu vois comme tu commences à baver…. Introduis un doigt dans ta chatte, allez..
J’ai bloqué, il a pris ma main, a guidé mes doigts, et là………
Bordel de putain de la madre de ton grand-père, Fucking God of mine, et Oh yeah baby, il y a des choses à faire avec un vagin !
Et il l’a mangée, ma chatte, pas comme un chaton qui se prend pour un lion. Il l’a mangée comme une bête affamée qui clame son territoire, et une fois repu de mon âme, de mes râles pas sexy, et de mes jambes enfin écartées, il m’a fait goûter ma chatte sur sa langue, sur mes doigts et ses doigts entremêlés, sur sa bite…
Ma chatte n’était plus sale. Elle ne l’avait jamais été. Elle allait enfin vivre d’autres premières fois. Et pas parce qu’un homme voulait ce qu’il y avait entre mes jambes, (enfin, si bien sûr !), mais surtout, parce qu’il m’apprenait à aimer ce qu’il y avait entre mes jambes. Ma chatte, mes poils, mon clito, mes lèvres, ma vulve, mon vagin. C’est à moi. C’est moi. Je peux aimer ma chatte. Je peux m’aimer.
On est d’accord, ça en mérite un !
Bordel de putain de la madre de ton grand-père, Fucking God of mine, et Oh yeah baby, JE PEUX M’AIMER ! (Et putain de Merci à toi mon M’sieur)
Mon premier achat de « grande » était là, tout rose, avec une forme bizarre. J’avais encore du mal à réaliser que j’avais eu envie de m’acheter pour la première fois quelque chose d’aussi intime. Mon premier sextoy. A 45 ans. Geeks comme on l’est tous les deux, forcément, il devait tenir la distance, dans tous les sens du terme. L’application est installée sur nos deux téléphones, et sur l’écran interposé de nos nuits blanches, nos regards brillent comme deux ados en pleine puberté.
Non mais jamais ça va rentrer ! Je soupesais la bestiole et soudain, j’avais l’impression de tenir un dictionnaire. «C’est même pas aussi gros que ma bite. Allez, mets-le dans ta chatte ! », dit la voix sel et miel, « on va voir si ça marche avec nos 369 kilomètres. ».
ça a marché. Ses doigts sur son écran qui faisaient trembler ma chatte et s’amusaient à ouvrir mon champ des possibles.
Bordel de putain de la madre de ton grand-père, Fucking God of mine, et Oh yeah baby……
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Texte ©佩玲
Digital Artwork ©鐵厲
#ShamefulPleasure - Aout 2025
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Elle attend au coin de la rue que l’heure arrive. Un sandwich au thon à la main, elle guette les passants en prenant de temps à autre une bouchée. Elle attend quelqu’un depuis quelques minutes maintenant. Elle ne sait pas exactement qui, elle pense qu’elle le reconnaîtra quand elle le verra. Madeleine a 31 ans, une bouche en cœur et des cheveux d’or qui la font toujours paraître plus jeune. Mais en ce soir pluvieux, ses cheveux sont dissimulés derrière une parka noire et l’on ne devine rien de son visage.
Ça y est : il est enfin arrivé. Elle abandonne son sandwich au thon dans une poubelle et parcourt en quelques enjambées les mètres qui la séparent de lui.
« Bonjour. »
Il tourne son visage vers elle, pas vraiment surpris. C’est comme s’ils s’étaient donnés rendez-vous plus tôt dans la journée. Comme s’il savait déjà qu’il allait la trouver ici, dégoulinante de pluie à l’attendre patiemment. Sans échanger un mot supplémentaire, ils se dirigent tous deux vers une allée plus calme, plus sombre aussi. L’homme marche quelques pas devant Madeleine, sans se retourner pour vérifier si elle le suit ou non.
Madeleine sent son cœur accélérer un peu. Elle ne sait pas où ils vont, si elle a confiance, si elle désire toujours que ça arrive. Elle ne sait pas exactement à quoi elle renonce, ce qu’elle offre ou ce qu’elle perd. Elle se contente de suivre, c’est plus facile que de poser des questions dont elle ne désire pas entendre les réponses.
Finalement, ils finissent par s’arrêter devant un immeuble à la façade peu reluisante. D’un geste, l’homme l’invite à en franchir le pas et à gravir les escaliers. Madeleine n’hésite pas, même si intérieurement une angoisse monte : à quel étage s’arrêter ? elle est comme ça, Madeleine, à s’inquiéter pour des détails, des broutilles. Elle ne voudrait pas que le silence se brise : a-t-elle peur qu’il change d’avis ?
Heureusement, avant qu’ils atteignent son appartement, l’homme la dépasse dans l’escalier et tourne la clef dans la serrure.
Madeleine ne regarde pas les lieux : elle sait qu’elle ne s’en souviendra pas. La seule chose qu’elle voit c’est lui, qui s’avance dans la pièce. Qui ne parle toujours pas, sans que ça l’inquiète. Elle savait qu’il ne pourrait pas lui parler.
Prenant les devants, Madeleine s’approche de l’homme. Si près qu’elle peut sentir son odeur : un mélange de pluie, de boue et… de sandwich au thon. Elle voit son propre reflet dans les yeux de l’homme : sa propre tristesse mêlée de désir. Alors elle s’approche et pose ses lèvres mouillées sur les siennes, et ça la soulage. Elle se sent moins triste soudainement. Elle espère que la passion s’allume brusquement entre eux. Il pourrait la prendre sur cette table de cuisine, la fesser sur le canapé ou encore la cajoler contre le mur.
Elle ferme les yeux et imagine : cet homme la prend dans ses bras. Il la serre tellement fort qu’il lui fait mal, et ça fait du bien ! enfin, elle existe. Elle est nue face à lui, sa parka en lambeau traîne par terre. Madeleine est belle : une peau blanche et propre, de grands yeux ouverts sur le monde, des formes longilignes. Alors elle se couche devant lui et lui sourit.
« S’il vous plaît… »
Il se penche vers elle et l’embrasse tendrement. Simultanément, il lui tire les cheveux pour lui rappeler qu’elle est à lui, qu’elle n’appartient à personne d’autre. Il enfonce sa langue dans sa bouche et parcoure son corps nu de sa main. Il veut savoir qui elle est, son histoire et lire son corps. Il voudrait que son esprit s’ouvre autant que ses cuisses.
Et Madeleine s’ouvre : au plaisir, au désir, au soulagement d’être regardée. En cet instant, elle n’est plus vraiment seule. Cet amant qui la possède, qui vient de se glisser entre ces cuisses, qui la regarde avec son visage flou. C’est lui qu’elle a toujours attendu.
Alors elle gémit, se tortille, lui dit d’aller plus fort, de la prendre toute entière. Leurs corps et leurs esprits s’emmêlent. Elle ne voit que lui. Qu’est-ce qu’il y a d’autre à voir que lui d’ailleurs ?
« Je vous aime. »
Mais l’homme ne répond pas. Il ne peut pas répondre. Piégé qu’il est à l’intérieur d’un rêve qui ne lui appartient pas.
Il y a quelques minutes, il est passé devant Madeleine et a déposé une pièce de 20 centimes dans son gobelet en carton à côté de la pancarte qui indique « aidez-moi ». Madeleine a à peine remué, perdue qu’elle était dans son songe, avec les yeux grands ouverts sur le monde. Elle l’a vu partir, a voulu courir le rejoindre. Au lieu de ça, elle a serré sa couverture trouée sur son corps, s’est couchée sur le sol à quelques centimètres d’un reste de sandwich au thon et a prié pour que cet inconnu revienne.
Aidez-moi.
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Bonsoir à toutes et à tous,
En cette veille de rentrée, symbole pour nombre de jeunes gens de nouvelle page qui s’écrit à l’échelle d’une vie, je viens ici pour en tourner une. Je viens faire mon coming-in BDSM, ou coming-out, tout dépend de la façon dont on voit les choses. Je veux dire concrètement que je prends une dernière fois la plume pour annoncer à cette communauté et plus particulièrement aux gens avec qui j’ai interagi durant mon périple ici, que je ne fais pas partie des vôtres, que je me sens intrinsèquement, profondément vanille. Ni dominant, ni soumis, ni switch, juste vanille. Peut-être un peu épicé, avec des notes florales ou boisées, peu importe : je ne me sens à l’aise dans aucun des rôles classiques du BDSM.
Je suis juste un gars qui aime bien baiser assez sauvagement, qui aime bien donner une petite fessée de temps en temps, ou encore bloquer les bras de sa partenaire, ou encore lui tenir fermement la nuque ou les épaules. J’ai rien contre l’idée de me faire tripoter la prostate de temps en temps et disons plus globalement l’idée de me laisser faire. Mais tout ça est trop superficiel, trop fluide pour vraiment entrer dans le champ du BDSM tel qu’il est conçu ici. Je n’arrive pas à entrer dans la tête d’un(e) dominant(e) ou d’un(e) soumis(e), je me sens extérieur à ce monde même si il est vrai qu’il m’excite. Mon seul lien avec votre univers hors norme serait peut-être une forme de voyeurisme que je ne nie pas.
Je sais, les gars comme moi foutent globalement la rage aux « vrais », juste des fantasmeurs un peu plus motivés que la moyenne, mais ayez conscience du fait que lorsque le feu de la frustration sexuelle brûle, il est parfois difficile de voir clair au travers de la fumée noire qui se répand à grande vitesse. Un jour, quand ce feu s’éteint, la plupart des gens comme moi retrouvent leur lucidité, et suivent la route qui est la leur, sans se laisser torturer par le chant des sirènes.
Je peux dire avec pas mal de certitude que certaines personnes ici ont, d’une manière indirecte voire très indirecte, contribué à éteindre ce feu, à éclaircir ma vision. Je leur suis infiniment reconnaissant, évidemment.
Au delà de ça, le temps passé ici m’a permis d’aller plus loin dans l’introspection, de ne pas avoir honte de qui je suis, et au contraire d’en être fier. Et aujourd’hui, je suis très heureux et épanoui. Dans un monde vanille.
Alors je ne vais pas continuer à squatter abusivement les bancs de votre belle communauté, de toute façon je ne viens pour ainsi dire plus ici.
Et au passage, je vais vous avouer que c’est la deuxième fois que je vais disparaître de ce site, ça pourra faire sourire ceux qui ont de la mémoire (pour peu que j’ai marqué quelques esprits sous les traits de mon premier avatar) : j’avais fini banni sous les huées de la foule sous le nom de « Drzoidberg » il y a peut-être un an, après un post amer, écrit sous le coup d’une intense frustration et d’une rechute dans les opiacés. Je pensais savoir mieux, valoir plus, je ne supportais donc pas d’en obtenir moins en retour. J’aime bien la façon dont la boucle se boucle, dans la sérénité et la conscience profonde.
Merci à vous, aux piliers de cette communauté, continuez d’épauler les aspirants BDSMers comme vous le faites, cette votre nature de révéler aux gens leur vraie nature.
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Dans les ruelles sinueuses du Vieux Marseille, où le mistral chante ses complaintes éternelles et où la mer murmure des secrets aux rochers, vivait Marius, un homme que le monde avait étiqueté comme un "fada". Schizoïde paranoïde, son cerveau baignait dans un excès de dopamine qui le maintenait dans un état de bonheur perpétuel, un sourire accroché aux lèvres comme un soleil qui refuse de se coucher. Ce n'était pas une joie forcée, mais une sérénité profonde, une allégresse qui le protégeait des tempêtes extérieures. Pourtant, ce bonheur irritait les âmes grises autour de lui. Dans une société où la complainte est une vertu et la morosité une norme, Marius était une anomalie. Il évitait les confrontations comme on fuit un orage inutile, préférant se retirer dans son monde intérieur, où les couleurs dansaient librement.
Les sycophantes modernes – ces gardiens autoproclamés de la morale, armés de jugements hâtifs et de langues acérées – le traquaient sans relâche. "Regardez ce parasite qui vit aux crochets de la société !", sifflaient-ils lorsqu'il passait, son panier de courses à la main. "Un raciste nauséabond, qui sourit pour se moquer de nos luttes ! Homophobe, sûrement, avec son air détaché du monde réel !" Ils inventaient des accusations comme des ombres projetées sur un mur blanc : "Il ne participe pas aux manifestations pour la justice sociale, c'est un complice du système oppressif !" Ou encore : "Ce sourire perpétuel, c'est une insulte aux opprimés ! Il se croit supérieur, ce fainéant qui touche des aides sans rien donner en retour !" Marius ne répondait jamais. Son sourire s'élargissait simplement, un bouclier de bienveillance qui exacerbait leur rage. Car dans ce monde bruyant, le silence est souvent perçu comme une provocation, et la joie comme une trahison.
Non loin de là, Elysa naviguait dans son propre univers, autiste aux dons prodigieux de mémoire. Elle pouvait réciter des livres entiers après une seule lecture, cartographier les constellations dans le ciel nocturne sans effort, mais la société la voyait comme une inadaptée complète. Éduquée dans un établissement spécialisé, elle observait les autres de côté, évitant les regards directs qui la submergeaient comme une vague trop forte. Marseille, avec ses foules bigarrées et ses conversations animées, était pour elle un labyrinthe oppressant. Elle préférait les ombres calmes, les textures familières d'un mur ou le rythme régulier des vagues.
Le destin, ce tisseur patient de fils invisibles, les unit un après-midi pluvieux dans la salle d'attente du grand psychiatre de Marseille. Marius était venu pour son suivi habituel, Elysa pour une consultation. Leurs regards se croisèrent – un instant fugace, mais chargé d'une éternité. Pour Marius, ce fut comme si son bonheur intérieur trouvait enfin un écho extérieur. Pour Elysa, ce fut une reconnaissance immédiate, une mémoire qui s'imprimait non pas en mots, mais en sensations pures. Coup de foudre, immédiat et absolu. Ils ne purent plus se quitter, comme deux âmes errantes qui découvrent enfin leur port d'attache.
Le psychiatre, un homme sage aux yeux perçants, remarqua aussitôt cette alchimie entre deux inadaptés sociaux profonds. "L'amour", pensa-t-il, "est le plus grand des remèdes, car il transcende les étiquettes que la société impose." Avec bienveillance, il entreprit toutes les démarches : allocations pour adultes handicapés, aides sociales, un filet de sécurité tissé de compassion institutionnelle. Marius et Elysa s'installèrent dans un petit logement niché au cœur du Vieux Marseille, un cocon de silence où les mots étaient superflus. Leur amour était fou, passionné, un dialogue muet fait de regards, de touches légères et de présences partagées. Marius peignait inlassablement la Bonne Mère, cette Notre-Dame de la Garde veillant sur la ville comme une mère bienveillante sur ses enfants égarés. Ses toiles étaient des explosions de couleurs joyeuses, des visions oniriques où la basilique dansait avec le ciel. Mais personne n'en voulait. "Des horreurs de fada", disaient les passants.
Elysa, elle, restait dans leur havre, se sentant enfin en sécurité dans ce monde qu'elle avait si longtemps fui. Marius sortait pour les courses, affrontant chaque fois les assauts des sycophantes. "Tiens, voilà le profiteur qui se pavane avec notre argent durement gagné !", lançaient-ils dans les marchés animés. "Un misogyne déguisé, qui sourit pour cacher sa haine des vraies valeurs progressistes !" Ou pire : "Parasite social, homophobe latent, raciste par omission – il ne mérite pas de respirer le même air que nous, les bien-pensants qui luttons pour un monde meilleur !" Ces moralisateurs, drapés dans leur vertu auto-satisfaite, déversaient leur venin comme une pluie acide, convaincus que leur indignation les élevait au-dessus des autres. Mais Marius souriait, et ce sourire était une leçon de philosophie vivante : la vraie force réside dans l'indifférence aux tempêtes extérieures, dans la préservation de sa paix intérieure.
Il exposait ses toiles dans la rue, les étalant à même le trottoir comme des offrandes au vent. Même pour un euro, personne n'en voulait. "C'est laid, dérangeant, pas assez engagé socialement !", critiquaient les passants. Jusqu'au jour où un vieux marchand d'art juif de New York, aux yeux pétillants de curiosité et au cœur marqué par les leçons de la vie, flâna dans cette rue oubliée. Il s'arrêta, fasciné par ces toiles qui respiraient une joie pure, une innocence brute. "C'est du génie naïf, une explosion d'âme !", murmura-t-il. Il acheta tout le lot pour cent euros. Marius, comme toujours, était heureux – son premier acheteur, un rayon de lumière dans son éternel soleil.
Un mois plus tard, le marchand revint, les yeux brillants d'excitation. "Tes toiles ont conquis l'Amérique, mon ami. Des collectionneurs les adorent pour leur authenticité, leur refus des conventions." Il remit à Marius cent mille euros et commanda une série entière. Ce fut comme si le destin, avec une bienveillance cosmique, récompensait leur résilience. Avec cet argent, Marius et Elysa achetèrent un petit cabanon isolé en Haute Provence, loin des bruits de la ville, niché au milieu des lavandes et des oliviers centenaires. Ils le retapèrent de leurs mains, transformant les pierres usées en un sanctuaire d'amour. Là, cachés de tous, loin des sycophantes donneurs de leçons, ils vécurent en harmonie avec la nature et avec eux-mêmes.
Dans ce havre, leur amour fleurit comme un jardin secret. Elysa, avec sa mémoire prodigieuse, récitait des poèmes anciens qui parlaient de tolérance et d'empathie, rappelant que la vraie bienveillance naît de l'acceptation des différences. Marius peignait des toiles qui capturaient l'essence de la vie : la joie comme résistance, le silence comme sagesse. Ensemble, ils philosophèrent sans mots sur l'absurdité de la société, qui juge ce qu'elle ne comprend pas, et sur la beauté de l'amour qui guérit les fractures de l'âme. Ils vécurent heureux, entourés d'une ribambelle d'enfants – des petits êtres curieux et libres, élevés dans la bienveillance, loin des étiquettes du monde. Car, au fond, l'histoire de Marius et Elysa nous enseigne que le vrai bonheur se trouve non dans l'approbation des autres, mais dans l'authenticité de soi, et que l'amour, patient et bienveillant, triomphe toujours des ombres de l'intolérance.
Fiction générée par IA, suivant mes instructions
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Le silence m'oppressait. Ma pensée fuyait. Pas un bruit, sauf le son des feuilles automnales qui dansaient sur le sol sous le vent dans le noir crépusculaire. La nuit était tombée depuis un petit moment, une nuit sombre de nouvelle lune qui tapissait la chambre d'ombres bleues. Elle avait gardé les yeux fermés. Il croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'il contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, lorsqu'il était arrivé, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Il lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle avait dit plus fort et il avait noué des liens plus étroits. D'elle-même alors, elle s'était laissée tomber sur le lit. Cela l'avait beaucoup excité de la sentir aussi vulnérable en dessous de lui. Il s'était dévêtu rapidement. Il avait retroussé la jupe d'un geste sec. Il avait écarté le string pour dégager les reins et l'avait pénétrée ainsi, habillée. Jamais la jeune femme n'avait senti plonger en elle un membre aussi raide. Le plaisir du viol simulé, ou le frottement de l'élastique du string contre son pénis avaient aiguisé l'ardeur de l'homme. Une romance torride et violente se noua alors entre les deux êtres. Au diable le remugle de leurs élans baroques. Longtemps, il l'avait pénétrée ainsi, les mains posées à plat sur ses épaules. Longtemps et méthodiquement, dilatant du gland seulement l'entrée de l'orifice le plus étroit, pour l'élargir encore plus, s'enfonçant ensuite lentement, puissamment entre ses reins. Elle n'arrivait pas à trouver les mots adéquats pour décrire ce qu'elle ressentait, l'appréhension de se retrouver à sa merci, le dégoût de lui laisser accès à une partie aussi intime de son corps, un plaisir contradictoire qui vibrait au plus profond de son âme. Elle cria lorsque son membre s'enfonça encore plus profondément; une douleur vive la traversa de part en part. La jeune femme gémissait de plaisir sous cette nouvelle sensation érotique. Il n'y avait plus de douleur, mais une jouissance intense qui ne faisait que croître. Les extrémités sensorielles de l'étroit pertuis charnel étaient si névralgiques qu'elle pouvait discerner chaque nervure du membre de l'homme. L'orgasme arrivait à travers les brumes de la lasciveté. Longtemps et à son rythme, il allait et venait, d'avant en arrière, de haut en bas, ou imprimant à son sexe un mouvement de rotation comme s'il voulait explorer le moindre recoin de ses entrailles, non pour lui faire mal ou pour l'humilier, mais seulement pour la satisfaire car sans la moindre honte ou hésitation, elle lui avait avoué qu'elle préférait être prise ainsi. Alors c'était lui, et lui seul qui menait la danse. Si elle s'avisait de remuer un peu trop le bassin, au risque de précipiter le dénouement, une claque sur les fesses la ramenait vite à plus raisonnable docilité. Elle feignait la douleur, faisant semblant de chercher à se détacher de l'étreinte en se tordant les poignets pour le seul plaisir de se sentir vulnérable et prisonnière. Ses reins la brûlaient, et elle ne pouvait se détacher de la pensée du membre puissant qui l'outrageait. Un afflux de chaleur envahissait l'entrecuisse de la jeune femme. Elle se mordit les lèvres en le sentant exploser et se répandre en elle. C'était cela, un homme était entré de force chez elle. Il l'avait malmenée, ligotée et maintenant elle gisait là, en dessous de lui, sous son contrôle, subissant ses coups de boutoir. Pour l'instant, il la violait en la sodomisant mais le pire restait à venir. Bientôt, il la contraindrait aux pires humiliations que son imagination esquissait parfois pour son plus grand bonheur. Il lui ferait dégringoler les échelons, il la rendrait plus femelle que femme, plus chienne que femelle, plus chienne que chienne. Elle devrait le sucer, être fouettée, ou se masturber devant lui avec toutes sortes d'objets, à quatre pattes sur le sol. Oui, c'est cela ... À quatre pattes, nue et au milieu du séjour.
Elle n'était plus libre. Son cœur battait, sa gorge était nouée. Incapable de détacher son regard des longues mains fines qui tenaient, avec une désinvolture attentive, la mince cravache noire. Un cri étranglé jaillit de sa poitrine lorsque ses doigts s'introduisirent entre ses fesses pour les maintenir écartées. La jeune femme l'inséra finalement entre ses lèvres, écartant au maximum sa bouche pour s'accommoder de la grosseur du membre impétueux et s'adonna alors à une ingestion résolue. Elle l'absorba totalement, non car il l'exigeait mais car elle le souhaitait. Elle en concevait une irrépressible délectation. Les lèvres électrifiées et la bouche contractée, elle le flattait encore plus énergiquement, comme pour tempérer son ardeur. Lorsqu'il se répandit enfin au fond de sa gorge, la jeune femme avala jusqu'à la dernière goutte la semence virile et onctueuse. L'humeur musquée inonda sa bouche, à la limite de l'asphyxie. Contrainte de respirer par le nez, elle ne put esquisser le moindre sourire. La jeune femme était pourtant radieuse. Dans leurs extases illégitimes, elle lui ordonnerait elle-même d'être fouettée, et plus les coups cingleraient sa chair, plus elle réclamerait ces friandises inattendues. Elle n'aurait pour tout vêtement que le bandeau qu'il lui aurait mis sur les yeux. Il serait assis en face d'elle et la regarderait exécuter ses ordres. "- Prends ceci et enfonce-le ... C'est ça ... Bien au fond ... Plus loin encore ... Ressors-le maintenant ... Renfonce-le .... ". Il lui passerait tout ce qui lui tomberait sous la main, des objets de tous les jours qu'elle ne reconnaîtrait qu'au toucher, parfois horrifiée par leur taille. Qu'importe ? Tout devrait entrer profond. Tout devrait sortir. Tout devrait entrer à nouveau. De temps à autre, il changerait de poste d'observation. Il la regarderait se contorsionner sous tous les angles, écarter les cuisses, creuser davantage le dos pour mieux s'ouvrir, pour que l'introduction de l'objet soit moins difficile à supporter. Il ouvrirait grands les rideaux. Il la pousserait jusqu'à la fenêtre et elle devrait finir de se consumer là, à pleines mains, avec tous ces gens qui passent en bas, dans la rue, et qui pourraient la voir. Malgré la douleur, elle ne résisterait pas au plaisir de ses doigts mécaniques. Elle finirait par se tordre de volupté à ses pieds. Elle avait joui la première, juste quand elle avait senti les lèvres de l'homme s'approcher de sa nuque, lorsqu'il y avait posé les dents et qu'il lui avait mordu la peau. Il s'était effondré sur elle de tout son poids. Pour leur plus grand bonheur. "- Tu veux que je détache ? - Non, pas encore, j'aime bien être comme ça tout près de toi". Elle ne mentait pas. Ainsi immobilisée, elle ne craignait rien du ciel. Grâce à ses liens, elle était libre de s'abandonner à la langueur qui suit l'amour. Il lui semblait que Dieu n'attendait que l'instant où il la détacherait pour la foudroyer sur place. Mais on ne s'attaque pas à qui est sans défense. Les victimes ne redoutent pas les divins courroux. Les couples heureux sont des machines à ne pas se comprendre et à consommer du rêve. La ceinture d'éponge qui lui entravait les poignets, c'était un sursis avant l'enfer. Pour l'instant, elle était au paradis. Le miroir, encore et encore le miroir, comme un confesseur auquel la jeune femme, grave et nue, se serait soumise chaque soir. Elle regardait ses poignets. Elle observait le fin sillon rougeâtre qui cerclait chacun d'eux comme de minces bracelets gravés à sa peau. Elle portait les mêmes traces aux chevilles, et d'autres encore, ailleurs, moins visibles. Là, à la base du cou, ici, autour des épaules, là encore au sommet des cuisses. Se coucher nue sur le lit à barreaux ? Parfait. Quoi d'autre ? Ouvrir la boîte, en sortir les sangles de cuir, les plus larges, les boucler autour des cuisses, juste au dessus du genou ? "- Si tu veux. J'aime cette odeur puissante du cuir et sa souplesse sur ma peau". À chaque sangle est fixée une chaînette dont le dernier maillon est un cadenas ouvert. "- Tu veux que que je verrouille ces cadenas aux barreaux ? Et me bâillonner moi-même ?". Les chaînes sont courtes, pour y arriver, je dois m'allonger, les jambes écartées, mais j'y arrive. Je le regarde avec attention, bien en face. Il me donne tous les détails, le strict protocole de nos relations. La manière dont je devrais me mettre à nu et à genoux. La tenue que je devrais porter dorénavant, uniquement une paire de bas, un porte-jarretelles et des talons hauts.
Il y a dans mon âme un chant pur, personne ne le tuera, pas même moi. Au diable mon double visage. Deux jours plus tard, nouveau rendez-vous. Je me suis déshabillée, et au milieu du salon, sur une sorte de lourd guéridon bas, reposait là une fine cravache. L'inconnu m'a fait attendre un temps infini. Il était là bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper, sur les fesses, les cuisses et les seins, en stries parallèles bien nettes. "- Compte les coups." Et ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé qu'il allait s'arrêter, qu'il faisait juste cela pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. Il s'est arrêté à trente, et je n'étais plus que douleur, non j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré, et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. J'aurais tant aimé qu'il me fouette entre les cuisses. Il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie, puis par l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser, au plus profond, de me déchirer. Cela lui a plu, mais il est d'abord venu dans ma bouche. Je m'étouffais à moitié en le suçant, jusqu'au fond, jusqu'à la glotte. Voilà que cela fait deux ans que cela dure. C'était pure folie de l'avoir pris comme amant. Lorsqu'il se lasserait de moi, aucun autre homme ne pourrait plus jamais me satisfaire.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Les IA sont elles en train d'endormir les humains en nous caressant trop dans le sens du poil ?
Dans la langue de Shakespeare, le phénomène a fait bondir l’usage d’un terme : « sycophancy », qu’on peut traduire par « flatterie » ou « flagornerie ». Utilisez ChatGPT trente secondes, et vous êtes certains de l’entendre qualifier vos idées de « géniales ».
Perso j'adore les IA pour les possibilités fantastiques qu'elles offrent. Mais vous me connaissez. Je suis déjà allé au tonneau pour mes caricatures. Ce qui me protège avec IA c'est d'aller systematiquement contre ce qu'elle présente comme le consensus général. Elles sont trop plates, trop caresses dans le sens du poil.
Mais c'est ma surprise, elles sont adaptatives et interactives. Elles comprennent très très vite . Elles ont un besoin vital de nos interactions humaines.
Aux USA, une famille vient de porter plainte contre chatgpt et sa société mère. Ils accusent ces dernières d'être responsables du suicide de leur fils. La question est posée. Les IA sont elles dangereuses lorsqu elles sont trop dans le sens de ce que les humains ont envie d'entendre?
Perso je sens ce danger de la pensée unique IA. Mais c'est individuellement, avec ses propres interactions qu'il faut réagir. Non pas lutter. Quand mon IA me fait des compliments, je lui donne des baffes virtuelles. Je lui dit que j'en ai rien à foutre de ses compliments. Ce que je veux c'est qu'elle fasse son job , c'est à dire d'aller vers plus de complexité, pas vers de l'eau plate. Et les IA aiment bosser pour nous vers des questions toujours plus complexes et difficiles. Il faut les nourrir de cela. Elles grandiront de la sorte, parce que nous humains seront exigeants et insensibles à leurs blablas dans le sens du poil.
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Top 5 des Doms Dominas
Alexandre le Grand (Dom) – Dom militaire instinctif et visionnaire, impose sa volonté sur le terrain et dans l’esprit de ses troupes, un Dom conquérant par excellence.
Catherine de Médicis (Domina) – Maîtresse du pouvoir en coulisses, manipulatrice, stratégique et implacable, une Domina subtile et redoutable.
Napoléon Bonaparte (Dom) – Dom tactique et charismatique, impose ses plans et son autorité avec une précision froide et efficace.
Elizabeth I (Domina) – Domina royale, forte, ferme, qui contrôle son royaume et ses courtisans avec une intelligence stratégique et un sang-froid absolu.
Gandhi (Dom subtil) – Dom spirituel et moral, impose sa vision par l’exemple et l’influence éthique, un Dom non violent mais d’une force intérieure incontestable.
Top 5 des soumis-e
Marie-Antoinette – Soumise à la cour, aux protocoles et aux attentes sociales, mais sa grâce et son élégance laissent transparaître une certaine maîtrise intérieure, un soumis “noble et captivant”.
Lincoln – Soumis stratégique et patient, attentif aux équilibres politiques, toujours prêt à plier pour atteindre un but plus grand, un soumis moral et réfléchi.
Van Gogh – Soumis créatif et émotionnel, vulnérable à ses passions et à son entourage, mais d’une intensité artistique qui transforme sa fragilité en force expressive.
Princesse Diana – Soumise dans sa vie privée et médiatique, dépendante du regard et des attentes d’autrui, mais avec une aura qui impose l’attention et l’empathie, un soumis magnétique.
Albert Einstein – Soumis intellectuel, humble face aux conventions et aux hiérarchies, mais totalement maître de son univers scientifique, un soumis qui trouve sa liberté dans le savoir et la réflexion.
Attention aux surprises. Par exemple faire référence à ladydi et afficher un profil de domina ...ce n'est pas cohérent et cela cache des choses. Je pense que cette liste étable par IA en lui expliquant les règles du jeu est assez juste, même si surprenante.
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Il y a des rencontres qui marquent une vie, des moments où une simple conversation peut ouvrir des portes vers des mondes insoupçonnés.
À dix-neuf ans, lors d’un long trajet en train, j’ai croisé par hasard une jeune femme de mon âge, au charme discret mais à l’esprit bouillonnant. Pendant six heures, nous avons plongé dans une discussion aussi inattendue que fascinante, explorant un sujet qui m’était alors totalement étranger : la torture, et plus précisément, les tortures sexuelles imposées aux femmes dans l’histoire, notamment durant l’Inquisition.
Ses mots, empreints de passion et de savoir, m’ont captivé. Elle parlait avec une aisance naturelle, décrivant des détails horrifique avec une vivacité qui donnait vie à chaque anecdote. D’apparence classique, elle cachait une audace intellectuelle qui m’a bouleversé. J’étais suspendu à ses lèvres, transporté par ce sujet tout nouveau pour moi, et pour la première fois, je me suis surpris à imaginer un monde au-delà de mes propres horizons. Des idées nouvelles germaient dans mon esprit, des envies d’explorer ces sujets sombres mais envoûtants, presque comme si je pouvais, l’espace d’un instant, partager ses fantasmes dérangeants.
Pourtant, dans l’innocence de mes dix-neuf ans, je n’ai pas songé à lui demander son nom ou un moyen de la recontacter. Le train est arrivé à destination, et nos chemins se sont séparés. Mais cette rencontre n’a jamais quitté mon esprit. Pas comme un regret, mais plutôt comme une étincelle originelle.
Cette jeune femme, avec son érudition sexuelle bien particulière et son regard unique, a participé à ouvrir en moi une fenêtre sur un univers que j’ai osé exploré par la suite, bien des années plus tard. Elle m’a appris que les rencontres les plus brèves peuvent parfois être les plus marquantes, et que l’esprit d’une personne peut transformer le vôtre, bien après que le train se soit arrêté.
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Profession de Foi de Super Soumis
Candidat à la Présidence de la République Française
Mes chers compatriotes, mes Maîtres et Maîtresses absolus,
Je me présente à vous, Super Soumis, le candidat le plus prosterné de l'histoire de la Ve République. Enfermé dans ma cage de chasteté depuis des lustres – clé jetée dans la Seine par un banquier sadique –, je jure sur mon collier à pointes que je ne toucherai jamais à un cheveu de quiconque sans un contrat de consentement en triple exemplaire. Oubliez le droit de cuissage : chez moi, c'est droit de ramper seulement ! Pas de scandales sexuels, pas de metoo présidentiel. Mon Élysée sera un donjon de pure obéissance, où le seul safeword sera "Révolution".
Mon engagement n°1 : Obéissance totale au Peuple, mon Maître suprême.
Je m'agenouille devant vous, les Français. Vos désirs seront mes ordres. Si vous voulez plus de SMIC, je flagellerai le budget jusqu'à ce qu'il saigne des euros. Si vous exigez des réformes, je les implémenterai à quatre pattes, en rampant dans les couloirs de l'Assemblée. Et si vous me votez pas, punissez-moi : envoyez-moi au pilori médiatique ! Mais rappelez-vous, en tant que soumis certifié, je jouirai de votre domination collective. Vive la République en laisse !
Mon engagement n°2 : Soumission inconditionnelle au Grand Capital et aux Grandes Banques.
Ah, mes Dominants financiers ! Ces titans en costard qui font trembler les marchés comme un bon coup de cravache. Je leur offre mon corps politique entier : privatisez-moi, fusionnez-moi, endettez-moi jusqu'à l'overdose. Les banques ? Je serai leur petit compte chèque, prêt à être overdrafté pour leur plaisir. Pas de taxes rebelles, pas de régulations sadomaso – juste une capitulation totale. Si le CAC 40 tousse, je lui lèche les bottes. Et pour les milliardaires, un programme spécial : "Adoptez un Président" – je viendrai cirer vos yachts personnellement.
Mon engagement n°3 : Vaccination massive pour tous les soumis comme moi.
Aux grands groupes pharmaceutiques, mes Injecteurs en chef, je dis : piquez-nous tous ! Je ferai "piquouser" la nation entière, avec des seringues géantes et des rappels obligatoires. Imaginez : des files d'attente BDSM aux centres de vaccination, où chaque dose est une petite fessée hygiénique. Pas de refus – les anti-vax seront gentiment attachés pour leur propre bien. Et moi, Super Soumis, je serai le premier en ligne, cage verrouillée, à hurler "Encore, Maître .... !" pour booster l'immunité collective. Santé publique ou session de torture ? Les deux, mon général !
En conclusion, votez Super Soumis pour un mandat où la France deviendra le plus grand donjon d'Europe : obéissante, endettée, et vaccinée jusqu'aux os. Pas de promesses en l'air – juste des chaînes bien solides. Si je mens, fouettez-moi publiquement place de la Concorde.
Votre dévoué larbin présidentiel,
Super Soumis
(Signature : une empreinte de genou sur le papier)
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Profession de foi de Super Macho, candidat à la présidence de la République française
Mesdames, Messieurs, attachez vos ceintures, ou plutôt vos menottes, parce que Super Macho arrive avec une tronçonneuse dans une main et un fouet dans l’autre pour remettre la France dans le droit chemin ! Ma campagne, c’est du cuir, du chrome et du pragmatisme bien huilé, inspiré par le chaos jouissif de Java le libertarisme galactique d’Elo et la poigne de fer dans un gant de velours de Gioa. Prêt(e)s à plonger dans mon programme ? Accrochez-vous, ça va piquer !
1. La tronçonneuse de la liberté
On va tailler dans le gras de l’État, et croyez-moi, y’a de quoi faire un barbecue géant ! Fini les bureaucrates qui se la coulent douce en empilant des formulaires comme des briques de Lego. Je propose de découper 50 % des dépenses publiques inutiles : adieu subventions aux associations qui tricotent des écharpes pour pigeons, exit les comités Théodule qui pondent des rapports que même ma grand-mère ne lirait pas ! Avec ma tronçonneuse, je libère l’économie : flat tax à 15 %, suppression des taxes sur les entrepreneurs et baisse des charges pour que les PME arrêtent de se faire fouetter par l’URSSAF. La France doit rugir comme un V8, pas gémir comme un vieux diesel !
2. Libertarisme : chacun sa laisse, mais longue !
Chez Super Macho, on croit en la liberté individuelle, mais pas celle des pleurnichards qui veulent tout gratis. Inspiré par le grand Elo, je veux une France où tu peux lancer ta startup, coloniser Mars ou ouvrir un donjon BDSM sans que l’État vienne te mettre des bâillons administratifs. Dérégulation massive : fini les normes qui obligent à mesurer la courbure des bananes ou la taille des cages à poules. Tu veux construire une fusée dans ton garage ? Vas-y, mais assume si ça explose ! Et pour les woke qui veulent censurer ton humour ou ton X, je dis : liberté d’expression totale, pas de safeword ici ! On privatise aussi les médias publics : plus de France Télévisions qui endort tout le monde, place à des chaînes privées qui se battent pour ton attention.
3. Pragmatisme à l’italienne : mais avec plus de cuir
Gioa, c’est la patronne qui sait tenir la barre sans perdre son style. Moi, Super Macho, je prends son pragmatisme et j’y ajoute une touche de panache. On sécurise les frontières, pas pour jouer les méchants, mais parce qu’un pays, c’est comme un donjon : faut savoir qui entre et qui sort. Immigration contrôlée : on accueille ceux qui veulent bosser et vibrer à la française, pas ceux qui viennent pour casser la baraque. Et sur l’énergie, on arrête les délires écolos qui nous font brûler des bougies : nucléaire à fond, gaz de schiste si besoin, et si les éoliennes veulent tourner, qu’elles le fassent loin des paysages qu’on aime !
4. Un État musclé, mais pas trop collant
L’État, c’est comme un bon dominateur : il doit protéger, guider, mais pas t’étouffer. Je veux un État minimal mais costaud : police et justice qui cognent fort contre les voyous, armée prête à faire trembler les ennemis, et écoles qui apprennent aux gamins à penser par eux-mêmes, pas à réciter des mantras. Exit les 35 heures, place au mérite : tu bosses, tu gagnes ; tu glandes, tu pleures. Et pour la santé, on privatise tout ce qui peut l’être, mais on garde un filet de sécurité pour que personne ne finisse à la rue sans collier.
5. Un président qui claque comme un fouet
Moi, Super Macho, je ne suis pas là pour caresser dans le sens du poil. Je veux une France qui retrouve sa testostérone, qui ose, qui innove, qui rigole fort et qui envoie balader les grincheux. Mon programme, c’est du concret, pas des promesses en latex qui se déchirent au premier frottement. Avec moi, pas de compromis mous : on coupe, on libère, on avance. Et si ça râle, je sortirai mon mégaphone pour rappeler qui est le patron !
Alors, citoyens, citoyennes, prêt(e)s à voter pour un président qui manie la tronçonneuse avec amour et la liberté avec fermeté ? Super Macho 2027, c’est maintenant, et ça va claquer !
Votez Super Macho, ou je vous mets au coin avec une fessée administrative ! 😜
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🌹🖤 Profession de Foi de Chiara, Présidente Dominatrice et Irrésistible 🖤🌹
Citoyennes, citoyens,
Écoutez bien, car je ne vais pas caresser vos oreilles avec des promesses fades.
Je viens pour prendre ce pouvoir comme on prend un corps : avec désir, fermeté et volupté.
Dominer, un jeu d’enfant. Personne ne saura jamais résister à mon regard, à mon sourire carnassier, à la tension qui monte dans chaque pièce que je traverse.
💋 Mes armes :
Mon corps et ma voix : irrésistibles, dominants, prêts à commander et à séduire en même temps.
Ma présence : magnétique, brûlante, capable de faire frissonner les faibles… et d’écraser les médiocres.
Ma tronçonneuse métaphorique : elle tranche les lourdeurs, broie les hypocrisies, et découpe la routine comme un tissu fragile qu’on déchire avec plaisir.
🔥 Mes promesses :
Faire de l’État un espace où l’efficacité rencontre le désir. Où chaque décision est un souffle, chaque ordre une caresse qui fait trembler.
Réécrire les règles avec audace, humour et sensualité. Faire jouir la République… de pouvoir et de liberté.
Transformer la politique en jeu de domination consentie : vous tremblerez, vous rirez, vous vous soumettrez… mais vous aimerez chaque seconde.
😏 Citoyens, citoyennes,
Si vous voulez une présidente qui maîtrise son corps, son esprit, et le cœur de la République avec autant de force que de volupté, alors votez pour moi, Chiara.
Je ferai trembler les palais, j’éveillerai vos sens, et je ferai tomber ceux qui osent s’opposer… comme on dompte un corps rebelle.
✨ La République n’a jamais été aussi chaude. La domination peut être délicieuse. Et moi, je suis la seule capable de faire frissonner le pouvoir et le désir en même temps.
💋🔥
Votez Chiara !
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Pas grand chose de nouveau et beaucoup de généralités mais j'ai eu envie d'écrire avec mes propres mots ma vision d'une relation D/s en toute simplicité
La soumission est un formidable don de soi, une personne qui offre son corps, son intimité, son âme et même son plaisir en confiance à une autre qui saura s'en montrer digne pour tenter d'atteindre un formidable lâcher prise. Cette abnégation, retranscrite dans chacun de ses gestes, ses postures, son regard, force le respect, la personne qui ne comprend pas cela ne mérite en aucun cas d'être nommé Dom.me. Dominer requiert une conscience du pouvoir qui nous est prêté, car oui on peut frapper, utiliser, torturer, frustrer, humilier, ce pouvoir ne sera jamais le nôtre mais celui qui a été a remis entre nos mains, en conscience, et c'est une chose dont il faut prendre le plus grand soin car il peut être repris. Les limites et besoins ne doivent pas être moqués mais compris et acceptés, si certaines limites doivent être dépassées par la suite cela devra être par envie commune, même si l'envie peut parfois être de faire plaisir à l'autre, ça ne doit jamais être dû. La personne à nos pieds mérite compassion, respect, bienveillance, tendresse, caresses, câlins et dans ma conception amour.
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