La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 21/04/25
Vanessa, toujours agenouillée aux pieds de David, avait du mal à contrôler ses émotions. L’atmosphère était à la fois détendue et solennelle. Vanessa le ressentait dans toutes les fibres de son corps.  Bien que la soirée ne lui soit pas réservée, elle était à présent au centre de toutes les attentions. Elle ressentait une grande nervosité en elle. Frank s’approcha du centre de la terrasse, son verre de champagne à la main, et reprit la parole : « À présent que nous sommes tous réunis, permettez-moi de vous présenter les couples ici présents. Venez chers amis. » Vanessa sentit la main de David se poser sur son épaule et la presser légèrement. Elle leva son regard vers David et vit le sourire radieux et bienveillant qui barrait son visage. Il l’invita à se relever d’un simple mouvement de main. Elle se releva alors avec grâce, bien que son corps était sujet à un léger tremblement. Sa main dans celle de David, elle se sentit ancrée, guidée, soutenue. Ils suivirent Frank, leurs verres de champagne en main. « Voici tout d’abord Maître Djibril et sa délicieuse soumise Jade ». Maître Djibril était un homme d'une quarantaine d'années, originaire d'Afrique de l'Ouest, comme Vanessa l’apprendrait plus tard dans la soirée. Son visage, aux traits forts et réguliers, était éclairé par des yeux sombres et profonds. Il portait une barbe de trois jours et avait les cheveux coupés très courts. Il était tout de beige vêtu : des rivieras beige, un pantalon en lin beige parfaitement ajusté qu’une chemise en lin beige ouverte sur son torse imberbe et musclé surmontait. Sa carrure imposante imposait le respect dès le premier regard. Très massif, il avait l’allure d’un joueur de football américain. Son torse large et ses épaules puissantes semblaient être taillés dans du marbre. Sa peau d’ébène luisait légèrement sous les derniers rayons du soleil couchant, accentuant encore la vigueur et la puissance tranquilles qu'il dégageait naturellement. À ses côtés, Jade, sa soumise, incarnait l'image même de la délicatesse. D’origine asiatique, semblait avoir un âge similaire à son Maitre. Elle était petite, voire menue et d’une finesse presque irréelle. Si Maitre Djibril devait très clairement mesurer dans les 1.90m et peser son quintal, Jade ne devait pas dépasser le 1.60m et les 50kg. Sa silhouette gracile contrastait avec la robustesse imposante de Djibril. Jade portait des talons noirs très élégants avec une chaîne en or à chaque cheville. Fendue jusqu’à la hanche, son élégante robe de soie noire révélait ses jambes fines et graciles. Un collier de soumise en or jaune, fin et délicatement ciselé, épousait avec grâce la courbe de son cou. Il était orné en son centre d’un petit pendentif en forme de lotus. Sur le bord du collier était inscrit «  従順なジェイド». Le visage de Jade était d'une délicatesse exquise, fait de traits fins et réguliers. Ses lèvres fines, délicatement dessinées, étaient rehaussées d'un rouge vif éclatant qui tranchait sensuellement avec sa peau de porcelaine. Ses yeux légèrement en amande, d’un brun profond, semblaient exprimer à la fois une douceur infinie et une dévotion silencieuse. Ses cheveux noirs étaient attachés en une tresse souple qui retombait sur son épaule. David et Djibril se prirent dans les bras l’un de l’autre. De toute évidence, ils se connaissaient bien se dit  en elle-même Vanessa. « Quel plaisir de te revoir mon ami ! » s’exclama Djibril dans un immense sourire qui fit se dévoiler des dents d’un blanc éclatant. « Tu t’es fait rare ces derniers temps ! Tu nous as manqué ! ». Tournant son visage vers Vanessa tout en continuant à parler à David « Mais je ne peux que mieux comprendre désormais pourquoi lorsque je découvre la perle étincelante qui t’accompagne … » Vanessa sentit son visage rougir sous le compliment chaleureux de Maître Djibril. Ne sachant comment se comporter, elle sourit et inclina poliment la tête en direction de Maître Djibril. A la pression bienveillante de la main de David dans la sienne et à l’attitude identique de Jade vis-à-vis de David, elle comprit qu’elle n’avait pas commis de faute et sentit un grand soulagement l’envahir. « Merci mon ami, » répondit David en riant doucement et en enlaçant plus fermement la main de Vanessa dans la sienne, tout en faisant tinter sa flute de champagne avec celle de Djibril. « Je suis bien heureux en effet d’avoir rencontré Vanessa. Elle me comble en tous points. Mais je constate que Jade est de plus en plus superbe ! » poursuivit David dans un sourire, tout en tendant son verre vers la soumise de Maitre Djibril. Maitre Djibril fit de même avec Vanessa. Ce fut ensuite au tour de Jade de tendre son verre vers Vanessa. Elle s’approcha d’elle et déposa un doux baiser sur sa joue en disant « Bienvenue Vanessa » dans un large sourire. Vanessa sentit une onde de chaleur la parcourir, alors que toute émue, elle rendait ce baiser sur la joue de Jade. « Oui, nous sommes enchantés de faire votre connaissance, Vanessa » enchérit Maitre Djibril, tout serrant contre lui Jade qui se lova instantanément telle une chatte contre son torse accueillant. « Bienvenue parmi nous ! Nous imaginons fort bien comment cette première soirée doit quelque peu vous intimider. Mais n’ayez crainte : vous êtes ici avec des amis. Et, si David le permet bien sûr …» continua Maître Djibril tout en portant son regard vers David, « …Jade sera à votre disposition, belle Vanessa, pour vous guider et vous rassurer lorsque votre Maitre ne sera pas à vos côtés ce soir ». « Grand merci mon ami » répondit David. « Vanessa est en effet quelque peu nerveuse ; bien que je doive souligner le courage et l’abnégation incroyables dont elle fait preuve pour une jeune Novice » continua-t-il avec un sourire bienveillant et admirateur à l’attention de Vanessa. « J’accepte donc avec joie et je vous remercie par avance Jade » conclut-il. « Ce sera un réel plaisir pour moi, Maître David » répondit Jade tout en prenant tendrement la main de Vanessa. « Merci beaucoup à vous » répondit Vanessa, la voix pleine d’émotions et le corps frissonnant à la douceur de la main de Jade dans la sienne. Elle percevait dans ce couple une force immense, un équilibre intense entre la domination protectrice de Djibril et la soumission douce et assumée de Jade. Cela résonnait profondément en elle. Un modèle d'abandon et de confiance, à la fois magnifié par leur différence de gabarit, mais aussi clairement symbole d’une complémentarité et d’une harmonie évidentes. Et par-dessus tout, elle ressentait une immense bienveillance qui émanait d’eux. Frank qui regardait la scène avec bienveillance les interrompit. « Je vois que tout se passe bien entre vous mais je vous les enlève juste quelques minutes pour continuer les présentations » dit-il dans un éclat de rire, tout en mettant ses bras autour des épaules de David et Vanessa et en les entrainant un peu plus loin sur la terrasse. Il les emmena vers deux couples en train de discuter dans les canapés accueillant autour de la large table basse en verre où scintillaient quelques flûtes de champagne. À leur approche, la conversation cessa naturellement et les regards se tournèrent vers eux. « Permettez-moi de vous présenter Maître William et sa soumise Élise, » annonça Frank. Maître William se leva aussitôt pour les accueillir. C'était un homme grand et svelte, à l’élégance naturelle. La cinquantaine raffinée, il portait un costume bleu nuit et une chemise blanche à col mao. Ses cheveux poivre et sel étaient légèrement ondulés. Son regard, d'un bleu clair et perçant, respirait l'autorité douce mais incontestable. A ses pieds, toujours agenouillée sur un large coussin, se tenait sa soumise Elise qui leva les yeux vers Vanessa avec un sourire chaleureux. Élise était une femme d’une beauté gironde classique : blonde cendrée, ses cheveux rassemblés dans un chignon bas très classe laissaient échapper quelques mèches rebelles sur ses tempes. La cinquantaine superbe, elle avait des yeux magnifiques de couleur grise que dissimulait à peine une paire de lunettes rondes très aérienne. Sa peau légèrement dorée tranchait avec sa robe de mousseline blanche qui dévoilait ses épaules nues et ses bras délicats et laissait deviner une poitrine opulente et un fessier spectaculaire. À son cou, un collier de cuir blanc finement ouvragé portait un petit pendentif en argent en forme de clé. Alors que Vanessa s’inclinait respectueusement, Maître William fit un pas vers elle. « C’est un honneur de vous rencontrer, Vanessa, » déclara-t-il d’une voix posée et grave. « Maître David est un homme que nous estimons beaucoup ici. Sachez que vous êtes d’ores et déjà parmi des amis. » Élise, sa soumise, se leva doucement de son coussin et s’approcha à son tour. Sa démarche était souple, presque féline, toute en retenue et en grâce. Avec un sourire doux, elle prit délicatement la main gauche de Vanessa dans les siennes et, se penchant légèrement, effleura sa joue d’un baiser léger et respectueux. « Bienvenue parmi nous, chère sœur, » lui murmura Élise. Vanessa, bouleversée par tant de gentillesse et de respect, sentit ses joues s’enflammer à nouveau. Ses doigts tremblaient légèrement dans ceux d’Élise, mais elle trouva la force de sourire en retour, émue aux larmes par cet accueil qu’elle n’aurait jamais osé imaginer. « Merci … merci beaucoup… » réussit-elle à articuler d’une voix un peu tremblante. Elle jeta un rapide regard vers David, qui lui répondit d’un sourire approbateur, empli de fierté. Élise resserra brièvement sa prise sur les mains de Vanessa, comme pour lui transmettre un peu de sa sérénité, avant de se retirer doucement pour revenir s’agenouiller à la droite de Maître William. Frank, qui n’avait pas perdu une miette de l’échange, continua « Et voici Maitre Yannis et sa soumise Alice ». Maitre Yannis était un homme dans la quarantaine. Rasé de près, il avait la peau mate les cheveux noirs, coupés courts. Il portait un pantalon de costume gris anthracite et une chemise blanche entrouverte, laissant entrevoir la naissance d'un torse musclé. Son regard, brun et intense, respirait une autorité douce, presque protectrice, mais non moins affirmée. Un fin collier d’or brillait discrètement autour de son cou. Il serra chaleureusement la main de David et fit un baise-main à Vanessa suivi d’un « Bienvenue Novice Vanessa ». À ses côtés, sa soumise Alice s’inclina élégamment devant David, et adressa à Vanessa un sourire doux, illuminant son visage. Alice était d’une beauté bouleversante. Bien plus jeune que son Maitre, elle devait à peine avoir trente ans et était de taille moyenne. Les traits fins et délicats de son visage étaient mis en valeur par un maquillage subtil : ses lèvres pleines, peintes d'un rouge framboise satiné, et ses grands yeux verts bordés de cils épais captivèrent instantanément Vanessa. Sa longue chevelure châtain clair tombait en vagues souples sur ses épaules nues, caressant sa courte robe de satin jaune qui épousait ses courbes avec sensualité. Sur le haut de sa poitrine, qu’on devinait être pleine, un élégant tatouage d’une tête de tigre rugissant ajoutait à sa beauté mystérieuse. De toute évidence Alice prenait grand soin de son allure comme en témoignaient également ses ongles parfaitement manucurés. Vanessa ne fut pas sans noter le collier d’Alice : en cuir noir verni, il portait en son centre une discrète plaque d’argent sur laquelle était gravé ces mots si puissamment évocateurs : « Librement Dévouée ». . « Nous sommes enchantés de faire votre connaissance, Novice Vanessa, » poursuivit Yannis avec un sourire chaleureux, avant de tendre son verre de champagne pour trinquer. Alice, d’un geste fluide et gracieux, tendit également sa flûte, puis s’approcha pour déposer un léger baiser sur la joue de Vanessa, son parfum subtil enveloppant la jeune femme d’une aura de délicatesse. Vanessa sentit son cœur s’accélérer devant tant de douceur et d'acceptation. À chaque rencontre, elle percevait un peu plus la force des liens unissant ces couples, et combien, au-delà des rôles affichés, régnaient ici la confiance, la tendresse et un respect profond. Elle répondit au geste d’Alice par un sourire ému et s’inclina respectueusement vers Maître Yannis et sa soumise, comme elle avait vu faire Jade et Élise auparavant. Le regard approbateur de David et la pression douce de sa main sur le bas de son dos la rassurèrent aussitôt : elle apprenait vite. Frank, visiblement heureux de l’ambiance qui régnait, ponctua les échanges d’un nouveau rire joyeux : « David, mon ami, je crois bien que ta belle novice fait déjà l’unanimité ! » Tous les Maîtres et soumises présents opinèrent de la tête ou adressèrent à Vanessa des regards bienveillants, certains même des sourires discrets. Le cœur gonflé d’émotions contradictoires — fierté, reconnaissance, mais fébrilité et nervosité aussi — Vanessa sentit les larmes lui monter aux yeux, mais parvint à les retenir. Elle serra un peu plus fort la main de David dans la sienne, murmurant d’une voix à peine audible à David : « Merci, mon Maitre... Merci pour tout... » « Venez les amis que je vous présente notre merveilleuse Clara » poursuivit Frank. Il s’interrompit soudain. « Ah … non … je pense que cela attendra un peu » dit-il dans un sourire. Tous se tournèrent alors dans la direction où Frank portait son regard amusé. A l’entrée de la terrasse, abritée sous la pergola, une scène d’un érotisme torride s’offrait à eux.  Maitresse Clara était installée sur un large fauteuil de velours pourpre, les jambes écartées avec une majestueuse nonchalance. D’une beauté glaciale et magnétique, Clara devait avoir dans la quarantaine. Grande, élancée, elle avait une silhouette sculpturale sublimée par une combinaison en cuir noir et parée de moultes attaches en acier qui était parfaitement ajustée. Son entrejambes et sa poitrine étaient apparentes dans une indécence affolante. Ses cheveux blond platine, coupés dans un carré court et structuré, encadraient un visage aux traits nets, presque aristocratiques. Ses yeux d’un intense bleu acier, dominaient la scène avec une assurance absolue. À ses pieds, dans une posture d'adoration et de soumission totales, se tenait son soumis : Tom. Nu, à l’exception d’un collier d’acier poli autour du cou auquel était attaché une laisse métallique que tenait fermement Maitresse Clara, il était agenouillé entre ses jambes. Agé d’une vingtaine d’années, Tom était totalement imberbe et avait les cheveux rasé. Sur sa fesse droite on distinguait une suite de chiffres tatoués dont Vanessa ne saisissait pas pour l’heure la signification. Visiblement totalement concentré sur l’ouvrage délicat qu’il accomplissait, Tom semblait totalement insensible au fait d’être exhibé dans cette position en public. Le visage plongé dans l’intimité de sa Maîtresse, il lui offrait avec ferveur et dévotion ce plaisir avec des gestes lents et précis. Maitresse Clara, le dos appuyé contre le fauteuil, effleurait tout à tour distraitement ou plus fermement les cheveux de son soumis de ses doigts gantés de cuir. Elle savourait cet instant avec un calme souverain. Par moment, un frémissement agitait la courbe de ses lèvres fines et rouges carmin, un gémissement s’échappait de sa bouche gourmande, témoignant de l'effet produit par les attentions de Tom. Vanessa, qui découvrait une telle scène pour la toute première fois de sa vie, était figée sur place, les yeux écarquillés. Jamais elle n’aurait cru pouvoir assister à un tel spectacle en public. Loin d’être choquée, elle ressentait une vague puissante d’émotions confuses : une profonde admiration, un émoi physique irrésistible et une étrange envie de comprendre cette complicité, cette osmose qui transparaissaient entre Clara et Tom et qui leurs permettaient de se conduire ainsi.   (A suivre) Illustration: image du net
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Par : le 18/04/25
Je vous présente ici une nouvelle variante d'un jeu que j'avais établis pour une de mes soumises. Profitez en et amusez vous. N'hésitez pas à partager vos expériences. NB : Par la même occasion si une soumise timide n'oses pas se lancer, n'hésites pas à venir m'en parler en privé. 🎴 "Péché par Carte" – par Mr Djey. Règle d’or : Ce jeu est pour les soumises qui aiment obéir sans poser de question, et pour les Maîtres qui veulent posséder sans interruption. 🔥 PRÉPARATION : Matériel : 1 jeu de cartes complet (52 cartes + 2 jokers) 1 sextoy vibrant,  1 plug anal, 1 gode 1 miroir 2 pinces ou bougies Ta soumise, à genoux, nue, offerte : cheveux tirés, cuisses écartées, regard baissé. 🖤 FONCTIONNEMENT : Chaque carte correspond à un ordre immédiat. Le jeu est rapide, brut, sale, direct. Pas de longue introduction, le Maître contrôle, la soumise exécute. On tire 10 cartes maximum. Après chaque carte, pas de pause, sauf si le Maître l’ordonne. ♠️ SIGNIFICATION DES COULEURS : ♠️ Pique : Douleur Pince, claque, cire chaude ou morsure. Nombre = intensité ou durée (secondes ou coups). ♦️ Carreau : Exhibition Devant un miroir, caméra ou une photo. Doigter, lécher, ou jouer. Nombre = temps d’exhibition (secondes ou minutes selon la carte). ♥️ Cœur : Plaisir Masturbation, vibration, ou godage. Nombre = durée OU profondeur. ♣️ Trèfle : Sodomie Doigter anal, plug ou gode. Nombre = doigts, coups ou secondes de va-et-vient. 🃏 SPÉCIALES : Joker noir : Le Maître choisit un défi interdit jusqu’ici, qu’elle n’a jamais osé. Joker rouge : La soumise peut supplier pour un fantasme honteux. Mais si elle rougit ou hésite, ce sera refusé… et puni. 👁️ RÈGLES SIMPLES MAIS STRICTES : Pas de discussion. La soumise obéit, ou elle est punie. Si deux cartes de la même couleur sortent à la suite, elle doit se filmer ou se regarder faire dans le miroir, yeux ouverts. Chaque tâche non exécutée double la suivante. Ex. : elle saute un 4 de trèfle ? Le suivant comptera pour 8. Aucune serviette. Les fluides restent sur la peau. À la 10ᵉ carte, si la soumise n’a pas joui, elle doit mendier pour jouir — en décrivant comment elle veut jouir, et en demandant la permission à voix haute. 🎯 BUT : Pour le Maître : contrôle total, pulsion brute, soumission réelle et immédiate. Pour la soumise : perte de repère, immersion, humiliation érotique, et plaisir dans la transgression. 💬 CONCLUSION : Fin du jeu = le Maître décide. Il regarde sa soumise, la juge du regard, puis décide si elle mérite une récompense… ou un collier plus serré.
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Par : le 15/04/25
Le verre est vide.La bougie vacille, laissant danser des ombres sur le bois tiède. Le silence a une texture ce soir… presque charnelle. Et sur la table, posé avec soin ce collier.Il n’a pas été oublié.Il n’est pas là par hasard.Il attend.Pas un ordre, pas un mot. Juste sa présence.Sobre. Lourde de sens. Comme une main invisible posée sur votre nuque. Vous n’avez pas encore de collier, mais votre peau, elle, semble en garder déjà la mémoire. Votre souffle ralentit. Votre regard s’y accroche, encore et encore. Et au creux de Vous, quelque chose glisse doucement vers le sol. Ce n’est pas la peur. C’est la reconnaissance. Vous cherchez une place. Peut-être même un refuge. Et ce simple objet, dans l’ombre douce d’un soir, vous murmure qu’elle existe. Mais cette place ne se prend pas.Elle se mérite. Elle se réclame à genoux, dans l’oubli de soi, dans la confiance offerte. Et dans le silence… il se pourrait que Je Vous attende.Alors, laissez le monde s’effacer.Écoutez ce que ce collier ne dit pas.Et si votre cœur s’y abandonne…osez.
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Par : le 14/04/25
Exercice imposé : En quoi Je Me suis sentie à Ma place au munch Premier munch ce week-end.   J’avais envie de participer à un de ces rendez-vous. On l’avait très peu évoqué. D'ailleurs, Je ne Me souviens même plus du moment où On en a parlé. Mais Je M’étais déjà interrogée sur une participation il y a quelque temps. Alors quand Tu M’en as parlé J’étais très enthousiaste de le faire, et de le faire avec Toi. Je ne voyais pas vraiment comment ça pouvait se dérouler. Un lieu, des personnes réunies autour du bdsm, un verre ou un repas…et ? ensuite ? Comment ouvrir la discussion, comment “s’intégrer” dans des groupes de personnes se connaissant déjà probablement…Tellement difficile pour Moi. On arrive un peu avant l'heure publique, à l’heure des “nouveaux”. Très bonne idée, ça permet de nouer le contact avec les organisateurs, de voir un peu le ton. On est 5-6 personnes. Discussion autour de thèmes importants (consentement, limites etc). L’ambiance est bonne. On est les plus vieux…sourire. Je Me sens bien. Les gens arrivent les uns après les autres. Peu de tenues extravagantes finalement. Quelques colliers, quelques clous et tatouages. Des robes noires, jolies, sexys. Des hommes élégants. Un tour de présentation avant de passer à table. On dit ce qu'on veut, on se dévoile si on veut. Deux groupes. On en choisit un. Ce sera celui des plus jeunes. Des profils variés, différents. Sur les 25 personnes environ, un soumis, une soumise et les autres….toute la diversité du bdsm : trans, gays, fétichistes, switchs, et J’en oublie plein. Notre présentation (relation D/s, sado/maso) ferait presque figure d’extra-terrestre. Amusant. Tu t'éclipses un moment et sans réfléchir plus que ça, Je Me dirige vers Lady Spencer. Je lui présente Mes hommages et lui dis combien J’aime la lire sur le site. Elle fait partie des figures pour Moi, des références. Je ne sais pas combien de temps Nous avons parlé. Avec elle et les autres personnes présentes autour de la discussion. C’était tellement libre, ouvert, sans jugement. Avec la possibilité de partager chacun(e) ses questions, ses interrogations, ses expériences, sa curiosité des autres. J’ai aimé la simplicité des échanges, avec tous, quels que soient nos positionnements, nos places. Je m’y suis sentie bien, à Ma place justement, sans aucune arrière-pensée. Moi qui Me sens parfois tellement en décalage dans les rapports aux autres, il n’y avait rien de tel ici. C’était fluide, facile. Ca aurait pu durer toute la nuit. Je Me suis sentie aussi terriblement à Ma place à Tes côtés. J’étais Moi, femme libre, indépendante, autonome, capable de discuter avec qui Je veux…et en même temps, J’étais Moi dans Mon appartenance revendiquée et assumée devant les autres. C’était tellement facile et agréable de dire : Oui, c’est Mon Dhom, c’est Mon Loup, Je Lui appartiens. Et de pouvoir vivre cette appartenance à Notre façon : des gestes, Tes attentions à Mon égard, des regards, Ta protection. Je Me suis sentie bien aussi car Tu M’as laissée libre. Ca Te parait une évidence, mais Tu sais bien que ce n’est pas le cas de ce que J’aurais pu vivre avec quelqu’un d’autre dans les mêmes circonstances. Ta présence me rend libre Mon Loup
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Par : le 13/04/25
J'étais le soumis de Maitresse Marie, nos séances étaient riches en pratiques diverses et variées. Les introductions de godes et de gode-ceinture étaient devenues monnaie courante sans être quotidiennes. Un jour, Maitresse Marie m'avoue être elle même la soumise de son "homme" et que ce dernier aimerait se joindre à une de nos séances. J'ai accepté sans réfléchir et surtout pour lui plaire.  Didier, son homme, était présent à la séance suivante. Maitresse Marie me demanda de sucer son sexe. Je me suis plié à sa demande, c'était la première fois que je me retrouvais avec un véritable sexe en bouche. La texture, la chaleur et le goût étaient très agréables. Par la suite, au court de la séance, Maitresse Marie a offert mon anus à Didier. Sentir ce sexe pousser sur ma rondelle, l'ouvrir et s'introduire en moi a été la sensation la plus étrange et agréable à la fois. Pour la première fois, j'ai réellement jouis du cul, mon sexe a laissé s'écouler mon plaisir sans contrôle.  Ces séances se sont renouvelées plusieurs fois et chacun y trouvait son plaisir. Didier était devenu Maitre Didier.  Malheureusement, un accident m'arrache Maitrese Marie.  Quelques mois plus tard, je fus recontacté par Maitre Didier, il me proposait d'entrer à son service. J'ai accepté alors même que je n'était absolument pas gay et que les pratiques sexuelles entre hommes n'étaient pratiquées qu'à la demande de Maitresse Marie.  Nous avons entamé une relation BDSM avec des jeux de liens, de masturbation. Les pénétrations étaient courantes et fort agréables. Je prenais plus de plaisir avec un sexe qu'avec un gode-ceinture.  Maitre Didier m'a proposé une séance avec plusieurs homme sans me dire quand ni comment. J'ai accepté sans broncher et avec un plaisir réel.  Plusieurs séances sont passées sans que rien d'extraordinaire ne se passe....mais un jour, Maitre Didier m'a fait mettre une cagoule sans yeux, m'a attaché à plat sur une table, les chevilles liées aux pieds de la table. J'ai senti le sexe de Maitre Didier se glisser dans ma bouche, je reconnaissais son goût. Il murmura "aujourd'hui, c'est l'anniversaire de la mort de Marie,  3 ans qu'elle est partie, tu auras 3 bougies. Au même moment, je sentais des mains sur mes fesses, je savais qu'il y avait quelqu'un d'autre avec nous. Quelques secondes plus tard, mon anus s'ecartait sous la poussée d'un sexe dur,il se glissait lentement au plus profond de moi, jusqu'à la garde, ses couilles touchaient les miennes. J'ai été baisé lentement et toujours très profondément jusqu'à sentir un jet chaud sur mon dos.  Je suis resté seul, attaché pendant un long moment. Vint ensuite un autre "invité", lequel ne prit pas de gant et se glissa en moi sans crier gare, je fut baisé très vigoureusement. Les coups étaient rapide, intenses et longs. Mon "visiteur" etait très endurant et ses assauts me semblaient interminables jusqu'à ce qu'en fin il jouit sur mon dos également.  La troisième bougie ne fut pas longue à venir. Je sentais des doigts badigeonner mon anus de lubrifiant. Mon anus a ensuite été la cible d'une nouvelle visite, un gland est venu se poser à l'entrée. La poussée était lente et je sentais mon anus se tendre très fort alors que le gland n'était pas entré complètement. Je sentais enfin le sexe glisser en moi, j'étais tendu à fond, c'était très sensible voir douloureux.  Le sexe a coulisse pour me baiser en prenant soin de ne pas me faire mal. J'imaginais que mon visiteur devait être un noir, je sentais que le sexe était gros, bien plus gros que les précédents.  Maitre Didier n'a jamais parlé des "bougies". Il y a un an, Maitre Didier m'a annoncé une mutation professionnelle pour le sud. Ne pouvant le suivre, il m'a rendu ma liberté. À ce jour, je suis un soumis sans collier. Je recherche un nouveau collier à porter et, bien que j'aime me soumettre à une femme ou un(e) trans, j'ai une préférence pour un homme qui saura m'apporter autant voir plus que mon dernier Maitre. 
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Par : le 08/04/25
— Tu veux entendre que tu es ma Chienne ? Le SMS est tombé sans prévenir. Il a traversé le silence comme un fouet sur une peau offerte. Et tout s’est figé. Plus rien n’existait, sauf ces mots. Ceux d’une Femme qui ne domine pas seulement : Elle possède. Et qui vient de le dire. Depuis l’aube, il y avait eu des frissons. Des regards lancés à l’écran. Une attente sous tension, à la frontière de l’insoutenable. Et puis cette phrase. Elle avait tout vu, tout lu. Le collier que je porte. Le cuir qui m’enlace. L’odeur qui me suit dans chaque pièce, comme une promesse tenue. Et moi… j’étais mouillée depuis l’aurore. Pas d’un désir flou. Mais d’une vérité : je suis tenue. Et ce n’est plus un jeu. Quand Elle a parlé de Son jardin de Lys, de Ses ongles dans ma chair, de mon cul qui deviendrait Sa chatte… je me suis sentie basculer. Ma gorge s’est nouée. Ma respiration s’est coupée. Et mes cuisses ont tremblé d’un feu que je ne comprenais plus. Je ne suis plus celle qui attend. Je suis celle qu’on prend. Et ce soir, dans un souffle, j’ai compris que quelque chose venait de commencer. Elle ne veut pas de phrases toutes faites. Elle ne veut pas de rôle. Elle veut ma peau. Ma honte. Ma joie. Ma docilité. Et moi, dans cette cage invisible qui va se refermer sur mon sexe, je souris. Je souris comme une chienne qui sait à qui elle appartient.
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Par : le 07/04/25
On croit être prête. Mais c’est quand une chaîne glisse entre Ses doigts… qu’on commence vraiment à comprendre ce que c’est que d’appartenir. Avant Elle, il n’y avait presque rien. Pas de collier. Pas de laisse. Pas même un reflet précis dans le miroir. Je m’étais toujours tenue à distance. Pas pour me protéger, non… Mais pour ne pas précéder Celle qui viendrait. Je n’ai jamais voulu décider. Ni imaginer. Encore moins jouer. Je L’attendais. C’était à Elle de venir choisir. Me lire. Me modeler. Ce matin-là, un simple SMS : — As-tu un collier ? Une laisse ? Mon souffle s’est suspendu. Je savais que ce n’était plus un jeu. Ce n’était plus une projection. C’était le deuxième pas. Je suis partie. En silence. J’ai cherché, touché, comparé. J’ai pensé à Ses doigts sur la chaîne. À Sa main qui l’enroulerait. Et quand j’ai trouvé… j’ai photographié chaque pièce. Je Lui ai tout montré. Elle a validé. Tout. Puis Elle a écrit : — Lorsque tu rentreras, tu passeras le collier autour de ton cou délicatement… torse nu, avec la chaîne accrochée au collier que tu laisseras pendre… Tu prendras ainsi ton cou et ton torse en photo, et tu m’offriras ce don de toi ici. Alors j’ai obéi. Ce n’était pas une scène. Ni un rituel prévu. C’était un acte. Vrai. Décisif. Je n’ai pas tremblé. J’ai juste respiré autrement. Et c’est là que j’ai compris ce que voulait dire appartenir. Je n’avais rien, parce que je n’étais à personne. Maintenant, je suis à Elle. Et je suis tenue. Ce collier, cette chaîne… Ce n’est pas un jeu de soumission. C’est un fil invisible qui commence à s’enrouler, là, autour de ma gorge… et au creux de moi. Je me suis vue. Comme un corps qui s’offre. Comme une matière qui attend d’être travaillée. Et Elle a commencé. Elle me parle. Elle me guide. Elle me façonne. Par un mot. Une consigne. Par l’exigence. Et parfois, par l’absence. Je ne suis plus dans l’attente. Je suis dans le lien. Et ce lien tire doucement. Me tient. M’élève. Je suis à Elle. Et chaque jour, Elle me le rappelle. Par un souffle. Par un regard. Ou par cette phrase qui a tout changé : — Tu peux souffler maintenant, je suis là, et tu es à moi.
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Par : le 06/04/25
  Il n’y a pas de fiction, ici. Pas de rôle à jouer. Pas de costume. Chaque mot, chaque scène, chaque offrande… ce sont des morceaux de moi. Des éclats de vécu. Des aveux que je n’avais jamais prononcés. Je les ai déposés un à un, sans filet. Sans fard. Et sans mensonge. Ce que vous avez lu, ce sont des portes entrouvertes. Sur mes silences. Sur mes failles. Et sur cette façon très singulière que j’ai d’aimer : à genoux, les mains offertes, le cœur déjà pris avant même d’avoir été touché. Chaque chapitre est un souvenir, un battement d’âme, une vérité nue, même lorsqu’elle tremble. Et si vous êtes arrivée jusque-là, alors vous savez. Vous sentez. Je ne cherche pas une Maîtresse. Je ne cherche pas un rôle. Je cherche Celle qui… m’attendait déjà. Celle qui saura lire ce qui vibre sous les lignes. Celle qui, d’un seul regard, verra que je suis déjà à Elle. Celle qui ne posera pas de questions. Parce qu’Elle saura. Comme l’a su goodgirl, un jour, en écrivant ces mots qui m’ont traversé : “Tous tes chapitres, ce sont des bouts de toi.” Elle avait raison. Ceci est mon offrande. Mon abandon. Et ma vérité. Ma vérité est aussi celle du Petit Prince : c’est par l’attention quotidienne qu’on porte à ce qu’on aime que cela devient irremplaçable, et c’est cette attention qui fait qu’on se sent véritablement appartenu. Je ne suis pas un homme. Je ne suis pas une femme. Je suis un souffle, une attente, une offrande. Je suis un être à genoux, prêt à appartenir à Celle qui saura dire : — Tu es à Moi maintenant. Et tu vas le savoir.   (Ce texte n’est ni fiction, ni confession. Il est juste là, offert. Pour Celle qui refermera le collier.)
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Par : le 02/04/25
  Je ne laisserai plus de mots. Ils tomberaient à côté. Tout a déjà été dit, sans rien dévoiler. Ce que j’ai posé, ce n’était pas du bruit. C’était un fil. Une veine ouverte. Un souffle qui attend, sans demander, sans reculer, sans jouer. Vous ne trouverez plus de lettres. Plus d’appels. Juste ce silence, comme une ombre après les pas. Je suis encore là. Mais je n’avance plus. À Vous maintenant… ou à personne. (Ce texte n’est ni fiction, ni confession. Il est juste là, offert. Pour Celle qui refermera le collier.)
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Par : le 02/04/25
Afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion sur la continuité de mes récits, je vais vous exposer ce qui m'excite réellement dans différentes situations, à travers plusieurs récits. Certains faits on était réalisé d'autres que je souhaiterais essayer.   Aujourd'hui avec mon ex-conjointe nous envisageons de faire une petite après midi dogging, il fait beau, chaud et nous avions déjà recherché des lieux qui pourraient nous permettre de mettre en pratique le dogging. Ni une ni deux, l'excitation a pris le dessus sur madame qui s'empresse de prendre une douche et de se vêtir d'une tenue très sexy. Elle se munit également de son collier et de sa laisse qu'elle me tend avec un sourire très coquin.   Nous prenons la route et nous nous rendons sur une aire d'autoroutes très fréquentées par les poids lourds et certains habitués du coin venant chercher un peu de plaisir. Il fait encore clair dehors donc nous prenons la décision d'emprunter un petit chemin qui nous permet d'être en hauteur et d'y avoir une vue sur l'ensemble des véhicules présents, tout en sachant que nous serions également à la vue de tous. Cela n'a pas manqué, nous apercevons un homme prendre le chemin que nous avons emprunté, madame se met à genoux à côté de moi l'homme s'avance vers nous et sur un geste sûr et franc je tends la laisse pour l'approcher de cet homme qui commence a la caressé d'une main et de l'autre ouvre son pantalon pour le faire tomber sur ces chevilles et lui présente une bite affaiblie par le stress certainement mais qu'elle prit en bouche avec une délicatesse et un regard pervers ce qui a excité cet homme rapidement et sa bite pris du volume.   Cette scène se passe toujours à la vue de ce parking ce qui a permis de rapidement se faire entourer par différents hommes présentant leurs bites plus ou moins dur à madame qu'elle prit en bouche une par une jusqu'à se faire recouvrir les seins, la bouche de la semence de chacun de ces hommes qui furent ravis de l'utiliser tels un vide couille au plus grand plaisir de madame et du mien de la voir recouverts de cette crème blanchâtre qui coule sur tout son corps. .    Après cette petite séance elle se releva s'approcha de moi et m'embrassa à pleine bouche afin que je puisse goûter ce jus qu'elle avait gardé en bouche et sur ces lèvres. Nous avons regagné la voiture et pris la route du retour. 
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Par : le 02/04/25
C’était Pascale. Elle m’avait dit : — Demain, à neuf heures. Tu m’attendras. Je n’ai posé aucune question. Je n’ai rien demandé. Je n’ai pas demandé “comment”. Ni “combien de temps”. J’ai juste obéi. Le lendemain matin, je me suis levée tôt. Je me suis lavée. Vidée. Maquillée. Depuis plusieurs jours, elle m’avait encagée. Elle était partie avec la clé. C’était elle, et seulement elle, qui pouvait me libérer. J’ai enfilé la tenue qu’elle m’avait imposée : une salope de bas d’immeuble. Pas pour sortir. Mais pour attendre. J’ai fermé toutes les portes autour de moi. Celles des pièces. Le couloir de l’entrée était plongé dans le noir, comme on prépare un autel. Et là… je me suis mise à genoux. À quatre pattes. Coudes au sol. Cul bien haut. Le visage tourné vers la porte. Pas pour guetter son ombre. Mais parce qu’elle était ma lumière. Ma raison d’être. Il était 9h. Et la porte n’était pas verrouillée. Elle pouvait entrer à tout moment. Et moi… j’étais là. Pas immobile. Pas figée. Mais offerte. Mon corps bougeait parfois. Parce que mes muscles tiraient. Parce que mes coudes brûlaient. Parce que mes genoux criaient. Mais je suis restée cambrée. Je n’ai pas quitté ma position. Je n’ai pas parlé. Je n’ai pas supplié. Je me suis laissée traverser. J’ai douté. Oui. Je me suis dit qu’elle se moquait peut-être de moi. Qu’elle ne viendrait pas. Et pourtant… c’était bon. C’était bon d’être là, comme ça. À attendre, peut-être pour rien. Pour Elle. Pour le plaisir qu’elle pouvait ressentir en m’imaginant là : encagée, maquillée, cambrée, seule dans le noir. Et puis… à 13h30, la porte d’entrée s’est ouverte. Elle est entrée. La lumière est entrée avec elle. Je ne voyais pas son visage. Mais je l’ai sentie. Elle ne m’a pas dit un mot. Elle s’est avancée. Calmement. Elle n’a pas effleuré mon corps. Elle a juste tendu le dos de sa main. Et j’ai su. J’ai su que j’étais à Elle. Sans signature. Sans cérémonie. Sans promesse. Juste… à genoux. À quatre pattes. Bouche contre sa peau. Et le silence. Une semaine plus tard, elle m’a écrit sur WhatsApp que tout était terminé. Qu’elle choisissait un homme vanille. Qu’elle préférait la stabilité à ce feu. Elle est partie avec la clé de ma cage. Et moi, j’ai été obligée de briser l’enveloppe de secours qu’elle m’avait laissée — celle que je devais lui présenter à chaque rendez-vous, intacte, comme une preuve de ma soumission. Ce jour-là, je l’ai déchirée. Mais la soumission, elle, reste intacte. (Ce texte n’est ni fiction, ni confession. Il est juste là, offert. Pour Celle qui refermera le collier.)
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Par : le 01/04/25
Il y a des Femmes qui ne prennent rien. Et pourtant, elles vous laissent vide. Elles ne touchent pas. Et pourtant, tout en vous est marqué. Je ne sais pas si elle savait. Mais moi, je le savais. Je savais que si elle posait un doigt, un seul, je serais tombée à genoux. Sans lutte. Sans bruit. Elle n’a jamais crié. Elle n’a jamais ordonné. Elle n’a même jamais dit mon nom. Mais j’aurais donné le reste de ma vie pour un simple souffle d’elle sur ma peau. Je ne sais pas si elle savait. Mais je sais que moi, je le savais. Je savais que si elle posait un doigt, un seul, sur mon poignet, je serais tombée à genoux. Pas en jeu. Pas en soumission de surface. En abandon total. Elle était l’absence de tout et la présence de ce que j’ai toujours attendu. Je parlais, je riais, je vivais. Mais en dedans, je n’étais déjà plus à moi. Et le pire… c’est qu’elle l’a vu. Elle a su. Elle a regardé ce que je devenais sous elle, sans même l’effleurer. Elle aurait pu me dresser rien qu’en reculant. Elle aurait pu m’aimer rien qu’en décidant. Mais elle ne l’a pas fait. Elle m’a laissée là. Avec un collier invisible entrouvert. Et moi, je suis restée. À moitié marquée. À moitié oubliée. Entièrement offerte. Je ne voulais pas qu’elle me parle. Je voulais qu’elle me prenne. Qu’elle serre ce collier d’un cran. Qu’elle me dise “Tais-toi.” Et qu’elle m’apprenne enfin à me taire pour de vrai. Aujourd’hui encore, je sens l’espace autour de mon cou. Vide. Prêt. Soumis. Je ne cherche pas une voix douce. Ni une main caressante. Je cherche Son autorité. Son regard qui sait. Ses doigts qui referment. Sans explication. Et si une Femme venait. Pas avec des chaînes. Mais avec le regard d’une Reine, le silence d’une Maîtresse, et les mains sûres de celle qui sait ce qu’elle veut… Alors je ne fuirai plus. Je ne pleurerai pas. Je ne parlerai pas. Je pencherai la tête. Et j’attendrai qu’elle referme ce collier oublié. Celui qui attend, depuis des années, qu’une Femme ose le boucler. Et si elle le fait, si elle le ferme, si elle murmure dans un souffle qui ne tremble pas : — Tu es à Moi maintenant. Et tu vas le savoir. Alors… je n’aurai plus besoin d’exister autrement. Je ne serai plus libre. Je serai aimée. (Ce texte n’est ni fiction, ni confession. Il est juste là, offert. Pour Celle qui refermera le collier.)
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Par : le 30/03/25
Afin que vous puissiez vous faire votre propre opinion sur la continuité de mes récits, je vais vous exposer ce qui m'excite réellement dans différentes situations, à travers plusieurs récits. Certains faits on était réalisé d'autres que je souhaiterais essayer.   Quand je rentre à la maison après le travail, la nuit commence à tomber, sur le trajet je me pose quelques questions, qu'allons nous faire ce soir. Allons nous sortir en club, boire un verre chez des amis bref aucune réponse tant que je ne me suis pas concerté avec madame. Une fois arrivé à la maison je retrouve ma femme ravissante en tenue super sexy j'aperçois sous sa jupe et son chemisier blanc une tenue encore plus excitante. Ravi de cette vision je lance un que veux-tu faire ce soir? A partir de là elle me sert un verre, prend un sac où elle y met de quoi attaché du lubrifiant un collier, une laisse et de quoi se déshydrate. Le tout avec un sourire qui donne envie d'entendre sa réponse. Une fois mon verre terminé elle me dit de me rendre dans la voiture et qu'elle me guidera pour le trajet. Ni une ni deux nous nous mettons en route et je suivis à la lettre ses consignes d'itinéraire qu'elle me donna au fur est à mesure. Nous nous engageons sur l'autoroute et à une aire de repos elle me demande de m'arrêter et de stationner. Je m'exécute, une fois arrêté elle m'annonce que l'on va rester ici un long moment et que j'allais devoir l'écouter et lui obéir. À partir de ce moment je ne comprends pas tout, elle me demande de me mettre entièrement nu, elle me passe le collier autour du cou, y attacher la laisse et sert 2 verres pour ambiancer la soirée.   L'air d'autoroute était sombre un petit éclairage un peu plus loin pour éclairer les toilettes, quelques camions garer sur le côté et un petit bois arboré l'aire d'autoroute. Quelques minutes plus tard une voiture s'arrêta près de nous un homme descend de sa voiture après un peu d'hésitation et s'approche de notre voiture elle ouvrit la fenêtre et me demanda de la lécher pendant qu'elle discuter avec cet homme. Je m'exécute tout en gardant les oreilles attentives sur leurs discussions. Elle proposa à cet homme de se faire sucer par moi et ensuite une fois bien bandé qu'il la prenne devant moi. L'homme a priori déjà excité accepta sans discuter. Elle me dit de descendre de la voiture me mets à genoux à ces pieds le dos bien droit et m'ordonna de prendre en bouche cette queue qui se Tenez juste devant moi. Je pris ma main sans sourciller, je glissai son gland dans ma bouche et commençai à le sucer délicatement, mais avec passion cette verge qui gonflait au fur et à mesure des va-et-vient dans ma bouche. Je relève les yeux pour apercevoir cette femme à qui je devais entièrement obéir et je l'aperçois discuter avec un autre homme. Je ne sais pas d'où il vient je suis perdu que va t'elle faire ? Et là elle lui propose la même chose que le premier. Tout en ayant cette queue dans ma bouche qui a su être bien raide il échangea sa place avec le premier homme et s'empressa d'appuyer ma femme contre le capo de la voiture il lui écarte les jambes pendant qu'elle me regarde en me disant il va me baiser me rentrer sa grosse bite bien au fond de ma chatte pendant que je te regarderais préparer cette seconde bite pour moi et chaque mec qui est intéressé tu devras les sucer pour moi.   Ces paroles associées à cette nouvelle bite dans ma bouche la vision de ma femme qui se fait prendre par un inconnu et les grognements de cet homme derrière ma femme qui a chaque coup de rein la fait grimacer avec un regard provocateur me démontrant qu'elle s'adonne à m'humilier devant ces inconnus me procure une excitation inimaginable. Le premier ayant fini son affaire près a remballé elle lui demande d'aller se nettoyer dans ma bouche car n'ayant plus de bite à mettre dans ma bouche elle souhaitait que je sente et que je goûte le mélange de leurs plaisir. Et cela se reproduit avec le 2e.   Une fois ces deux hommes partie elle s'approcha de moi et me mis sa chatte contre le visage laissant couler la jouissance de ces deux inconnus mélangés à son plaisir pendant quelques minutes. Nous retournons dans la voiture et continuons à boire un verre pensant que nous allions repartir elle m'informa que ce n'était pas du tout son désir de s'arrêter en si bon chemin. Quand une voiture s'approchent une nouvelle fois avec à son bord 4 hommes qui a la base s'arrêter pour squatter ou fumer et comme personne ne descend de la voiture elle m'ordonna de descendre à quatre pattes comme un chien de me diriger vers eux et leur demander de bien vouloir baiser ma femme. Les 4 hommes rigolaient et sont également descendus de la voiture, m'ont accompagné jusqu'à la nôtre pour voir ma femme si elle valais le coup comme l'un des 4 l'avait fait remarquer. Une fois proche de ma femme je me remis à genoux le dos droit à son pied. Ma femme pris la parole et leur expliqua qu'il pouvait si je les sucer avant pour les préparer que c'était non négociable et qu'ensuite il pourrait y avoir une surprise. Je levai les yeux une surprise?? De quoi parle-t-elle? L'un des 4 individus s'avance sort sa bite et me l'enfourne directement dans la bouche profondément bloquant ma respiration en regardant ma femme et lui disant "c'est ça que tu veux après je te fais la même salope", ma femme lança un sourire provocateur a cet homme et se meta contre la voiture position levrette jambe bien écartée en lui répondant viens me baiser tels une grosse salope les 3 autres surpris regarder son ami baiser ma femme elle se retourna et leur dit vous attendez quoi je veux de la bite messieurs. En même pas une seconde j'avais ces 3 bites devant mon visage j'en pris une en bouche et mes mains prises les deux autres alors que le premier allait finir il regarda ma femme la metta au sol lui ouvrit la bouche pour lui jouir dedans je voyais ce beau liquide blanc couler le long de ses lèvres elle s'approcha de moi et me cracha tout dans la bouche pendant que les trois prirent ma femme devant mes yeux il lui boucha tous les trous son cul s'ouvrait lorsqu'il ressortait son gland elle goba l'autre bite et la troisième remplit sa chatte bien mouillée je sentais le plaisir qu'elle prenait en la regardant prendre ses coups de bite et se faire remplir comme une vraie salope. Au bout de 25min les 4 hommes avaient fini leurs affaires elle les envoyer vers moi pour effectuer un nettoyage complet de chaque verge. Je sentais ces différents goûts de sperme dans ma bouche que je léchais avec désir et passion quand l'un des 4 demanda quels étais la surprise je continue à lécher et avaler ses verges quand elle leur dit que s'ils voulaient il pouvait me pisser dessus 2 d'entre eux n'ont pas hésité à me pisser sur le visage m'obligeant certaines fois d'ouvrir la bouche pour me faire avaler leur urine le tout en rigolant.   Une fois leur départ nous avons repris la route pour un retour à la maison où j'ai dû nettoyer tout son corps avec ma langue et engloutir tous les restes de leurs jus pour enfin qu'elle me pisse dans une gamelle et m'oblige à boire toute la gamelle.
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Par : le 19/03/25
Bonjour à toutes et tous ! Mon Maître m'a demandé d'écrire un court récit bdsm.. C'est la première fois que je me lance là dedans. Je suis plutôt lectrice de thrillers et polars. Mais si Maître l'exige... Bonne soirée à toutes et tous. - Silence ! Je la vois, fébrile, sublime. Son corps tremble, ses yeux sont clos et sa respiration saccadée. Ses fesses rebondies sont sublimées par un rouge vif. Les coups de canne ont laissé de belles lignes sur sa peau nue. Les mains sur la tête et les jambes écartées, elle tente de rester debout sans vaciller. Je me place derrière elle, et je balade cette fois ci le fouet sur ses hanches. Elle gémit et commence à tourner la tête pour parler, mais se ravise. Je caresse son entre-jambe avec les lanières, et de mon autre main je frotte tout en douceur ses fesses endolories. Elle se décontracte enfin et expire longuement. - Très bien. Je frôle à présent de mes doigts l'intérieur de ses cuisses, et parvient jusqu'à sa chatte, trempée. Je commence à jouer avec son clitoris, qui se gonfle instantanément. Elle gémit et tente se me guider par des mouvements de bassin. - Ne bouge pas, lui dis-je au creux de l'oreille. Je descends mes doigts quelques centimètres plus bas, et malaxe sa vulve avec ardeur. J'enfonce mon majeur et mon annulaire d'un coup, et elle ne peut s'empêcher de pousser un cri. - On se tait j'ai dit ! Ma main gauche abat un solide coup de fouet sur sa hanche, elle se tend et se pince les lèvres pour étouffer son braillement. Je commence des vas et viens lentement, elle est toute mouillée, désireuse de se faire prendre. Je commence à appuyer sur son point G, et au moment où je sens le gonflement, j'enlève mes doigts aussi subitement que je les ai inséré. - Maître ! S'il vous plaît ! Me dit elle, suppliant. Je la retourne brusquement et la plaque contre le mur. - Tu ne jouiras pas ce soir ! Goûte à ta mouille. Et je lui enfonce mes doigts dans la bouche. Elle les suce goulument et sait qu'elle doit les nettoyer. Je me colle à elle, ma bite dure contre son corps brûlant. - A genoux ! Elle se met en position, mains derrière le dos, tête baissée. - Alors ? - Puis-je vous faire jouir Maître ? - Avec plaisir. Et j'enfonce ma queue dans sa bouche en lui maintenant fermement la tête. Je lui baise la bouche, sa bouche pulpeuse et chaude est un pur délice. Elle me suce jusqu'à ce que j'explose : sa bouche se remplit de mon foutre, je lui en asperge également sur le visage. Elle me regarde, la bouche ouverte, remplie de mon nectar blanc et attend. D'un signe de tête elle comprend et avale tout. - Merci Maître pour votre nectar, merci de me laisser vous servir. Et elle se remet à me lécher pour tout nettoyer. Je lui caresse les cheveux et m'assois, la contemplant, toujours dans sa position de soumise, le visage maculé de mon sperme, signe de son allégeance. Je m'approche de la table basse,  et récupère un plug. Elle sait ce qu'elle a à faire. Je le lui met dans la bouche et elle le suce et l'humidifie. - A quatre pattes ma chienne. Elle s'exécute. J'écarte ses fesses toujours écarlates, et crache sur son cul. Je lui enfonce le plug d'un coup, ses mouvements trahissent sa douleur, mais elle ne dit mot. Je prends à présent la pompe vaginale, l'installe. Une bonne trentaine de minutes plus tard, son vagin est enflé, tel celui d'une chienne en rut. Son excitation est immense : elle me regarde, les yeux suppliant. - Bien, maintenant il est temps que tu ailles faire tes besoins, non ? Je récupère la laisse et l'accroche à son collier. A quatre pattes, elle avance, je la guide jusqu'au jardin. Claquement de doigts. Elle se baisse légèrement et se met à uriner. Sa pisse coule le long de son ventre. Elle attend. A mon tour ; je prend ma bite et commence à l'arroser de ma pisse. Elle est magnifique éclairée par la lueur de la lune. Je m'approche de son visage et elle recommence à me sucer pour tout nettoyer. Je la ramène jusqu'à la maison et la positionne face au mur. - Tu attends. Je la laisse, imbibée de tous mes fluides, haletante, excitée. Je pars prendre une douche et ne reviens qu'une heure plus tard. Elle est toujours dans la même  position, mais sa frustration grandissante laisse apparaître un regard haineux. - Viens par là et lèche. Je m'installe confortablement dans le canapé et lui offre mes couilles qu'elle s'empresse de lécher avec voracité. - Maintenant suce. Elle s'applique à la tâche même si je sens qu'elle fatigue. - Tu es une bonne soumise, tu as bien mérité que je te baise. - Merci Maître ! S'exclame t'elle presque désespérément. - Reprend ta position de chienne, je veux voir ta chatte enflée ! Elle obéit et se cambre pour m'offrir son trou. Une vraie chienne en chaleur, la vue est splendide. Je retire le plug de son anus, elle gémit entre la surprise et la douleur. Et sans lui laisser le temps de réagir, je l'encule sauvagement. Elle crie de ce délicieux supplice. Je sens sa chatte gonflée et suintante de mouille sur mes couilles. Je baise son cul pendant un long moment et me retire pour jouir à nouveau sur son visage. Elle est essoufflée et garde les yeux baissés, déçue de ne pas avoir eu tous ses tous comblés. - Es tu fâchée ? - Non Maître, je suis là pour vous servir. - Et ? - Merci Maître de m'avoir laissé vous servir et d'avoir utilisé mon cul. - Bonne fille. Je relève son menton et étale mon sperme qui se mêle à la précédente giclée sur son visage. - Et maintenant tu enfiles ta robe bleue et tu vas au drive chercher de la crème glacée. Elle se relève, et exécute l'ordre sans ronchonner. Le temps de son absence, je lui prépare une surprise : son gode ventouse que j'accroche au mur. Elle pourra se l'enfiler 10 minutes pour avoir été bien docile ce soir. Mais bien évidement, sans jouïr.
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Par : le 17/03/25
le téléphone sonne , Madame me convoque , entre midi et deux , au cinéma porno de Bordeaux !! le programme : exhib et dressage public !! oupsss , j'ai un doute et mon estomac se noue , le cinéma porno est un lieu gay , méme si des couples viennent partager des moments , c'est quand méme très marqué " gay " , et je ne suis pas du tout gay , mais alors pas du tout !! !l'exhibition en soit ne me dérange pas mais la , au milieu de males en rut , quelque chose me dit que cela va dégénérer et pas a mon avantage !!! rv devans la porte , nous entrons , sitot dans le sas , Madame me met le collier et la laisse , me fait me déshabiller , nu , et me fait ranger mes vétements dans le sac prévu a cet effet ( Madame pense a tout ). commence alors la déambulation dans les salles , les hommes ( effectivement , que des hommes  ) s'approchent , me jauge , contemple mon sexe , mes fesses , tendent une main , un certain nombre comment a nous suivre ( je suis inquiet ) , Madame continue a me promener , a m'offrir aux regards des males , certains affichent une forme éclatante , sauf moi !! mon angoisse monte au fur et a mesure que mon sexe se recroqueville et que mes fesses se sérrent ! nous arrivons enfin a l'estrade sur laquelle est dressée une croix de st andré , Madame m'attache , commence notre rituel , humiliation verbale , gifles , sévices légers , salive , pinces ( toujours les mémes , elles font toujours aussi mal !!!!! ) , des hommes s'approchent , et commence alors les mains baladeuses , ils soulévent mes bourses , cajolent mon sexe , insinuent une main entre mes fesses !! J'espére que Madame se souvient que je ne veux pas de rapports avec les hommes !! elle laisse faire , contemple mon humiliation , les laisse fouiller mon intimité , leur offre méme du gel lubrifiant ! alors la non , je refuse et je lui rappelle que je refuse catégoriquement toute pénétration masculine , elle me regarde droit dans les yeux et la gifle tombe , " je commande et tu obéis , n'oublie pas ta place " oui Maitresse mais je ne suis toujours pas d'accord !! elle me regarde a nouveau et me demande " tu me fais confiance ?? " oui Maitresse mais j'ai un peu peur qu'elle se laisse aller et que j'en fasse les frais !! ça y est , il y en a un qui insinue un doigt dans mon oeillet , gentiment je dirais , j'ai beau serrer , il me viole , enfonce son doigt jusqu'a la garde et commence a me fouiller , je cris non , j'ai les larmes aux yeux , Madame n'a pas respectée les régles et mes tabous , je lui en veux !! je la déteste !! un autre se met a genoux devant moi et commence a me caresser le sexe , me léche les bourses , la tige et commence a sucer tout doucement mon gland , je bande , en méme temps le doigt dans l'anus me fait du bien , un massage de la prostate en se faisant sucer c'est trés bon ! petit a petit mon plaisir monte au creux de mon ventre , Madame me regarde me tordre , écoute mes gémissements et mes suppliques , ho oui c'est bon , je n'en reviens pas de m'offrir a ces hommes , je ferme les yeux et pense a une femme , le doigteur est doué  et le suceur encore plus , je sens mes testicules qui montent se coller a ma verge , la bouche qui va et vient , le doigt qui masse lentement , doucement la zone sensible , mon anus est ouvert , mon sexe est tendu et je jouis , je cris , je bouge , je donne des coups de reins au rythme des mon éjaculation , je me vide dans la bouche , je sens les contractions de ma prostate , amplifiées par le doigt qui appuie dessus , que c'est bon !!Madame siffle la fin de la récréation , elle me détache , me tend les lingettes nettoyantes , je fais ma toilette et me rhabille vite fait , je dois aller au travail le ventre en feu , l'anus ouvert et les bourses vides ! dehors Madame me regarde et me demande " alors , c'est si difficile d'avoir un rapport avec un homme ?? " non , bien sur , dans ces conditions , je suis livré , attaché , je dois subir ce viol  ( mais que c'est bon d'étre violé comme ça ) alors ce n'est pas dififcile mais ce n'est pas ce que je souhaitais vivre non plus ! heureusement j'ai échappé a la pénétration , je lui en fais la remarque et la , pan , la giffle , en pleine rue , devant tout le monde l'humiliation !! elle me demande " qu'est ce qu'on dit ? " merci Maitresse ! " plus fort , je n'ai pas entendu " MERCI MAITRESSE , les gens me regardent , ils sourient , les femmes me jettent un regard de mépris , je suis un esclave et Madame a raison , forcément ! je pars travailler , le cul en feu , les c...lles vides et la joue rouge .Madame a raison , je suis son petit chien et je dois apprendre a me taire .
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Par : le 16/03/25
Acte 10 le dernier Les soirée/séances se succèdent. Mais je te sent t'éteindre à petit feux. Tu semble être moins là, moins prendre de plaisir. Je te demande ce qu'il se passe. Tu m'explique que tu ne retrouve pas ces émotions, ces sensations folles. Ca manque de piments. Je t'avoue être un peu arrivée au bout de mes idées. Du moins pour le moment je n'en ai plus. Enfin plus rien de nouveau. La discussion revient sur ce coté fascination morbide que tu a. Les mots sont lâchés. Tu ose enfin me parler d'un coté inavouable. Tu prend un plaisir macabre à regarder des "Fantaisy Snuff". Bien curieuse fascination. "Tu a envie de vivre ce genre de chose Hannah?" "Oui, enfin non, enfin c'est excitant mais évidemment je ne souhaite pas mourir" La conversation s'arrête là. Les jours défilent, je pense, cherche, réfléchi. En suis je capable? Et si oui, quoi faire? Qu'elle mise en scène? Je passe de longues heures à chercher, me renseigner, tester, écrire, raturer, recommencer. Mon cerveau fume. Tu revient plusieurs fois à la charge me demandant si je t'ai oublié ou si je ne souhaite plus te revoir. Je te préviens, plusieurs fois, ca va être violent cette fois. Tu est vraiment sur? Certaine? Pas l'ombre d'une hésitation de ta part. Enfin, le dernier acte s'ouvre. Aucun de nous deux ne savons que ce sera le dernier. Mais il est l'heure. Le lieu est idéal. Une connaissance me prête une maison. Le cadre est sublime. Elle est au milieu d'un vaste terrain, sur lequel il y a des oliviers.   C'est un mas provençal typique. Les murs épais en pierre, des poutres en bois, un cadre chaleureux. Il faut en profiter. Cette maison sera en vente la semaine prochaine. Nous ne seront que tous les deux pendant les 24 prochaines heures. Tu arrive le vendredi soir. Tu n'a pour habille qu'un manteau long. Rien d'autre. Je te vois toute joyeuse, excité comme une puce. Si tu savais…. La porte d'entrée fermé à clés. Nue, un collier en cuir autour du cou, une longue bande de cuir descend dans le dos ou tes mains y sont entravées. Tu est prisonnière d'un jeu qui va devenir malsain. Je le sais, toi pas encore. Cela commence doucement. Quelques fessées dans le salon, des mains qui baladent. Puis je t'emmène dans une pièces loin, aveugle, pas de fenêtre, rien. Tu a encore le sourire. Il va vite partir. "Et bien, je ne mange pas ce soir maitre?" Je te met une gifle. Avec de la force, un peu trop. Elle te fais vaciller et tomber au sol. Pas le temps de souffler. Je t'attrape par le cheveux, te force à me regarder droit dans les yeux. "Je nourri pas les putes! Et puis à quoi sa sert, il ne te reste que 24h à vivre…." Je prend un martinet qui est posé sur la table à coté. Je commence à fouetter tes seins, zone épargné, jusque là. De plus en plus fort. Les maques rouges commence à apparaitre. Tu crie. Ca m'agace. Je pars et reviens avec un bâillon. "Au moins, avec ca tu la fermera!" Je te pousse sur un matelas qui traine à même le sol. Tu te tortille, ne veut pas me montrer tes fesses. Tant pis pour toi, la cravache atterrira ou elle atterrira. Ce sont tes cuisses qui prennent. Je frappe, toujours plus fort en te laissant du temps entre chaque coup. J'en ai marre, il est temps de me faire plaisir. Cette fois ci le rapport est violent. Pas de douceur, pas de préparation. Je te positionne en levrette, te tenant par les cheveux, je te pénètre d'un coup franc. J'y vais franchement. Les vas et viens sont sec, franc, rigoureux. Tu essaie de te débattre tant bien que mal, mais tu n'a pas vraiment le choix de subir. Je fini par éjaculer sur tes fesses… Je te place un plug dans le cul, et fixe une chaine à ton collier. La chaine est relié au mur. Elle est suffisamment longue pour que tu puisse te déplacer dans la pièce sans pouvoir atteindre la porte. "Tiens sale pute, ton pot…. si tu a envie de pisser." Je t'enlève enfin le bâillon. Tu crie, hurle, m'insulte…. M'implore de te détacher. Je te fixe du regard sans un mot. Cette fois ci, pas d'aftercare, pas de soins. Malgré mon envie, j'essaie de rester dans mon rôle et de donner le change. "Tu peux crier jusqu'à demain si tu veux, personne ne t'entendra." Sur ces paroles, j'éteins la lumière, je ferme la porte à clés et m'en vais. Je t'entends crier une bonne partie de la nuit….  Tu ne le sais pas, mais je suis prostré dans le salon. J'ai les mains sur la tete. Je me demande ce que je suis en train de faire. Je ne savais meme pas moi, que j'étais capable de pousser jusque là.    Je fais les cents pas, je lutte contre mon envie de venir te voir, te rassurer. La nuit passe, nous avons du dormir que deux heures. Il est 9 heures. Je rentre de la boulangerie. Je viens te voir. Je t'apporte une assiette dans lequel j'ai pris soins de couper en petits morceaux deux pains aux chocolats. Une grand inspiration, je remet mon masque de tortionnaire et j'ouvre la porte. A peine entrée, tu recommence à crier, je vais pour repartir. Tu commence à pleurer. "Pitié, me laisse pas, détache moi, c'est plus drôle le jeu" "Qui te dis que je joue là? Je t'avais prévenu que ce serait violent. Tiens mange et tais toi!" Pour la première fois, je vois réellement de la terreur dans tes yeux. J'ai beaucoup de mal à lutter contre moi meme, mon empathie, mon humanité. C'est un combat permanent dans mon cerveau. Je te fixe, a essayer de manger les mains dans le dos, assiette par terre. Fini je repars, en te laissant à nouveau dans le noir. Je viens te chercher une heure plus tard. Je te sort de la pièce, direction une chambre, une vrai…. A nouveau les rapport sexuel est rude. Cette fois, c'est sodomie partie. Je prend quand meme le temps de lubrifier avant. Durant le rapport, je tire sur tes cheveux, calque tes fesses, passe mes mains autour de ton cou et fait semblant de t'étrangler.   Terminer, je te laisse dans le lit…. toujours mains fixées dans le dos. La fatigue aidant, tu t'endors.   Je n'ai pas le courage de te réveiller. Tant pis pour ce que j'avais prévu. C'est pas grave. Pendant que tu dors, je range, nettoie, prépare le grand final. Je tremble à nouveau. J'ai un mal fou à me calmer moi meme. Je fais quoi? Je vais jusqu'au bout ou pas? Apres tout c'est toi qui m'a demandé de vivre des sensations folles. Je me décide, je viens te chercher. Cette fois, tu ne lutte plus, plus de crie, plus rien. On dirait que tout esprit de rébellion t'a abandonné. Je te pose un sac en toile de jute noir sur la tete, direction le garage. Tu reste debout immobile. Je m'active. Vérifie encore tout. Relis mes propres notes. Je vérifie encore. Ce semble parfait. Pas un mot, le silence est roi. Nous y sommes. Je passe le corde autour de ton cou, serre le nœud coulissant. Puis je saisie l'autre bout de la corde. Pas un mot entre nous. Je t'entends juste pleurer. Je tire et compte. 1..2..3..4... Je te regarde suffoquer, tes pieds effleurent le sol sans pouvoir t'offrir un point d'appuis. 5..6...7.. je lâche la corde, tu retombe au sol. Je prend un couteau, retire la corde, passe la lame sur ton cou, puis pivote celui ci pour présenter le dos et fait le geste de trancher sans vraiment appuyé sur ta gorge. Ca y est, c'est terminé, le jeu est fini. Dans un reflexe je jete le couteau loin. J'enlève tout, sac, collier, entraves. Tu me hurle dessus, me frappe avec tes points, puis t'effondre en pleure dans mes bras. Nous restons 2 heures ainsi. L'aftercare est vraiment difficile. Tellement que je décide avec ton accord de prendre 4 jours de congés pour rester avec toi. Tu semble vraiment affecté. Je ne te le montre pas mais moi aussi. C'est 4 jours ne sont pas de trop… Nous prenons le temps. Entre colère, discussions, câlins, pleure. Enfin je lâche prise. Tu me voir trembler, pleurer. Tu réalise que tu n'a pas été la seule à avoir était terrifié. La fin est proche. Nous conclurons, que c'etais extrême, beaucoup trop, pour toi comme pour moi. Il est temps de mettre un terme à cette relation qui pourrait réellement devenir dangereuse. Nous garderons un souvenir impérissable de ses moments, mais nous décidons d'un commun accords de ne plus se contacter, ni se voir. Le temps passe, j'affronte seul mes démons. Ce que je t'ai fais subir, j'en dors presque pas. Je me demande comment j'ai pu aller aussi loin…. 8 semaines plus tards tu m'enverra un dernier texto. Un forme d'adieu final. Tu me dira que tu va bien, que tu a tourné la page, que tu ne m'en veux pas et que tu part vivre à l'étranger…. Du miens, je rencontrerais la mère de ma fille d'ici quelques semaines. Je pensais alors quitter ce monde, cet univers pour de bon. Disclaimers: Nous etions en relation CNC, toutes les possibilités avaient évoqué avant meme si Hannah ne connaissait pas le déroulé pratique final, tout était consentie. J'ai egalement passé sous silence les séances trop classiques à mon gout. Pour ma part je me suis découvert une limite qui me fait peur, et dont je refuse aujourd'hui d'y retourner. Quand à Hannah, aux dernières nouvelle (il y a plus de 10 ans) elle est retourné à la vie vanille classique.
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Par : le 14/03/25
je partage ici des souvenirs de mes expériences . celle-ci c'est passée avec ma dominatrice la plus agréable et la plus perverse que j'ai eu . un aprés midi , Madame m'appelle : demain aprés midi au sauna le x , 15h devant la porte !!! le ton dit bien qu'il n'y a pas de contestations possible donc je vais obéir . j'ai 30 ans , sportif , musclé , depuis peu entiérement lisse et aux ordres et caprices d'une dominatrice parfaite ! ferme , fondante , vicieuse , joueuse , ne détestant pas le plaisir sexuel avec son soumis , bref une dominatrice parfaite . le jour J , je rentre a sa suite dans le sauna , direction le vestiaire , mise a nu , pose du collier et de la laisse , la cagoule , les pinces ( qu'est ce qu'elles font mal celles la , une nouvelle trouvaille de Madame ) dés que la douleur monte mon sexe gonfle , se tend , ma circoncision apparait aux yeux de tous ( amusant comme un sexe circoncis attire les regards et la gourmandise ) les spectateurs car Madame a lancée une invitation : 3 couples et une poignée d'hommes seuls qui attendent le spectacle en se masturbant s , parfois les uns les autres . Madame m'installe , poignés liés dans le dos , barre d'écartement aux chevilles , a genoux sur une banquette la téte contre le mur , cambré pour m'ofrir aux regards inquisiteurs des spectateurs . Madame commence par jouer avec les pinces et m'arrache les gémissements de petites chiennes qu'elle adore , elle m'interdit de crier mais pas de gémir et je lui donne satisfaction , qu'est ce que j'ai mal !!! mais elle adore alors !!!! puis vient la fessée , trés vite mes fesses chauffent , rougissent , gonflent , je vais avoir du mal a aller travailler ensuite , 1 heure de voiture les fesses en feu , je vais chanter mon bonheur d'avoir servi Madame ! et dire que je ne peux pas le partager , tout cela est secret , mais j'aimerais tellement pouvoir le crier au monde , " j'ai mal parce que ma Maitresse me torture !! " je suis la , des hommes s'approchent , j'ai dis a Madame que je n'acceptais pas les hommes , soumis je suis mais a une femme uniquement . elle les laisse s'approcher , s'assoir a coté de moi et me carresser ! je ne veux pas mais je n'ai pas le droit de parler !! ils carressent mon dos , mes reins , mes seins , tirent sur les pinces , tordent mes seins , glissent vers mon ventre , mon pubis , mon sexe , mes fesses , l'un écarte mes fesses et glisse un doigt sur mon oeillet , je me contracte mais Madame empoigne mes testicules et tire vers le haut , je me cambre et ouvre ma fente ! elle arréte la pénétration , le plus audacieux se met a genoux derriére moi et léche mes fesses , ma raie et léche mon orifice en tirant sur mes testicules , je ne peux pas me fermer et je subis cette caresse , comme un viol , je sens sa langue qui s'enfonce et je cris " non , pas ça " . Madame le fait se relever et le renvoie en spectateur , il bande comme un taureau , il est super monté , heureusement que Madame l'a arrété sinon il m'aurait défoncé ! je vois les couples qui s'affairent , les femmes se penchent sur leurs hommes et les sucent goulument , les hommes seuls se masturbent , certais en sucent d'autres , j'en vois un qui se fait prendre par le taureau , le spectacle a l'air de plaire ! une femme vient derriére moi et me caresse , joue avec mon sexe , me fait gémir car ses caresses sont précises , au bon endroit , je sens monter mon excitation , elle joue avec mes testicules qui pendent , les soupése , les malaxe , les triture , je gémis car je suis extrémement sensible de cette partie et je ne supporte pas ces douleurs ! Madame observe , guide la femme , lui indique mes points sensibles , c'est une novice dans la domination et je suis son sujet d'étude , son mari la regarde en souriant ( peut étre est il content de ne pas étre le sujet !!! ) pendant ce temps la je gémis sous les attentions de la dame ! j'entends les cris de jouissance des spectateurs , a mon avis le sperme coule a flot , tout le monde ou presque a l'air de prendre son pied , Madame me fait assoir , je léve la téte et elle s'approche au dessus de moi , viens poser son sexe sur mon visage et m'ordonne de la lécher !!!!! je lui donne aussitot satisfaction , c'est tellement rare que je déguste ce moment , ma langue va et vient , je fouille son sexe , je fais monter son plaisir , je sens ses reins qui s'animent , son sexe ruisselle dans ma bouche , je déguste le plus possible de sa mouille , elle se frotte sur mon visage , mon nez s'enfonce dans sa chatte et elle jouit , a grands cris , je sens un liquide qui gicle sur mon visage , dans ma bouche , sur mon corps , elle urine a grands jets , elle se vide en jouissant sur moi , je déteste le gout , l'odeur et le fait que ça soit un déchet mais j'adore boire l'urine de Madame , elle prend soin de boire du lipton et sa production est légérement parfumée a la péche , un régal , j'en avale le plus possible ! puis Madame , se relave et interpelle les spectateurs , les invite a venir m'arroser , ça n'était pas prévu du tout , la participation d'inconnus , je n'avale pas leurs urines , j'ai toujours un doute sur l'hygiéne alors la , des hommes qui viennnet de se sucer , d'avaler le sperme de leurs voisins , qui viennent de se prendre entre eux , JAMAIS ! je reste assis téte basse les yeux fermés , bouche fermée , et je sens les jets qui viennent frapper ma téte , mon corps , ce n'est pas possible ils ont tous envie d'uriner , je ruisselle , c'est humiliant au possible , étre un urinoir public , j'entends les éclats de rire gras , les hommes qui s'esclaffent , m'appelle la lopette , le sac a pisse , ils s'en donnent a coeur joie et je me tais , je subis ! puis la femme de toute a l'heure s'approche , vient au dessus de moi , Madame m'ordonne de lever la téte , d'écarter la cagoule sur mon nez et d'accepter l'offrande de la femme , je secoue la téte pour dire non , la gifle tombe , énorme , je crois que je vais une fois de plus me soumettre et faire ce que Madame ordonne , je penche ma téte en arriére , ouvre la bouche , la femme applique son sexe sur mes lévres , Madame m'ordonne de la lécher , de la faire jouir et de recevoir ma récompense ! devinez ce que j'ai fait ?????
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Par : le 12/03/25
Mon Maitre ne m a donné qu une indication : ce soir je serai esclave .....   Je vais donc me doucher, enfiler ma robe avec une ceinture, rester les mamelles à l'air pour ne les cacher qu à son arrivée, laissant le temps au rouge à lèvres que j ai pris soin de mettre sur mes areoles sécher et leur donner une belle couleur .....   Je me pare de mes entraves aux poignets et aux chevilles, de mon collier de fer   Le repas est prêt, son couvert sur la table, la serviette chauffe sur le sèche serviettes, et surtout , les jouets sont étalés à l'autre bout de la table, il n aura qu à se servir au gré de ses envies .....   Je l attends, le cœur palpitant   J entends enfin la clé dans la serrure, il prend son temps, me laissant ainsi me mettre en position, face à la porte, le haut de la robe remonté, mains dans le dos, tête baissée.   J ose à peine respirer, je murmure un "Bonsoir Mon Maître" auquel il répond tellement plus clairement   Il pose ses clés, s avance, tourne autour de moi pour vérifier que tout est en place   Et déjà annonce une punition   Ce soir, il avait envie que je l accueille seins nus, sans me le dire, évidemment....juste pour le plaisir de me punir Il m invite alors à aller choisir un instrument et à me mettre dans la position convenue.....   Je me dirige vers la table, j attrape la cravache que je lui amène posée sur mes mains, mon regard planté dans le sien, puis je me tourne vers le canapé, relève ma longue jupe et l attache à la ceinture, libérant ainsi mon cul, appréhendant les coups......il m ordonne de compter les 10 coups à venir......Le premier s abat ......ça monte crescendo au niveau de l impact, je serre les dents, et nous arrivons à 10.....je ne bouge pas, j attends son autorisation. Lui me glisse la main sur la chaleur de mes fesses marquées, appréciant les légers renflements et m annonce 10 coups supplémentaires, pour avoir osé le regarder en lui tendant la cravache .....   Les larmes me montent aux yeux, mais je trouve la force de répondre "Merci, Mon Maitre" Et les coups tombent, les uns après les autres, je les compte les dents serrées.   Et 10 !!!!! Enfin !   Encore la main qui passe pour en apprécier les effets, surtout dans ma chatte , dégoulinante, ce qui me vaut un beau commentaire "tu mouilles bien,ma salope" .   Il me redresse et me fourre sa main dans la bouche : "nettoies, que je puisse aller manger les mains propres"   Je ramasse alors de ma langue ma mouille sur ses doigts ......   Il me laisse alors et va s asseoir, attendant le repas, que je lui sers religieusement avant de me prosterner à ses côtés pendant qu il mange.   Qqs min passent, puis il se lève et passe au salon.   Je me relève et débarrasse les reliefs de son repas avant de retourner me prosterner à ses pieds , dans l attente de la suite.   Il m ignore un moment, au point que je crois bien ne rien avoir de plus ce soir, alors que je n attends qu une chose : qu il joue avec moi, qu il me baise et qu il aille dénicher ma chienne.   Au bout d un moment qui me semble une éternité, il m ordonne de baisser le corsage de ma robe, apprecie la rougeur des areoles, se lève et va chercher des pinces qu il installe l une après l'autre sur mes tetons, guettant ma grimace à la morsure infligée......il repart et revient avec le wand qu il me plaque, intransigeant, sur mon bouton déjà passablement sensible......interdiction de jouir.....je me débats un moment avec cette envie folle de me laisser aller, il se délecte de ma lutte qu il lit sur mon visage , il le retire un court instant, me laissant un léger répit avant de revenir le plaquer, ce qui ne manque pas de me faire exploser malgré l interdiction.   Un léger sourire s étire sur ses lèvres, ses yeux pétillent quand il m annonce que bien évidemment, il va y avoir une punition .   Il me dit de deboucler sa ceinture, je pense alors qu il va envahir ma bouche de sa bonne grosse queue, à me faire étouffer... Au lieu de ça, il fait glisser la ceinture dans les passants.....je manque défaillir....mais je me redresse et vais à nouveau me poser le buste sur le dossier du canapé, mon cul à nouveau offert .....pas de compte cette fois ci, il s arrêtera quand il en aura envie..... Je ne les compte pas non plus, je subis.....   Il s arrête enfin, il y a déjà un moment que les larmes coulent sur mes joues, silencieusement.....   Il m ordonne d aller me mettre sur le tapis devant le canapé, à 4 pattes.....   Se met derrière moi et se glisse dans la chaleur moite de ma chatte qui l accueille avec délectation.....   Il me baise alors bestialement, me ramone encore et encore, ma chienne commence à montrer son museau.......il crache sur mon anneau et y glisse un pouce, il sait très bien qu il ne suffit que de ça pour la faire sortir ......il prend alors le gel posé sur la tablette, m en met qqs miettes, pas le choix, il est large, puis vient appuyer sa queue sur mon anneau, donne qqs petits coups, m invitant à m ouvrir pour l accueillir au plus intime de mon corps.....   Je me relâche alors et je le sens glisser doucement, au plus profond, m écartant sur son passage, avant d entamer des va et vient qui achevent de libérer ma chienne.   Je me mets alors à haleter bruyamment, tirant la langue, et j accompagne ses mouvements, me reculant chaque fois qu il avance , pour le sentir plus profondément, et je finis par exploser autour de lui......il se retire alors et vient vite dans ma bouche me cracher son jus sur la langue, que je lui présente avant de l avaler .......   Il m abandonne là, je m ecroule sur le tapis mais il me rappelle vite à l ordre, il va prendre sa douche   Je l accompagne alors, je l attends , anticipant le moment où il sort pour lui tendre la serviette chaude.... J attends encore, tête baissée, jusqu à ce qu il me libère de mon rôle.
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Par : le 11/03/25
Acte 1 La porte sonne, il est 20h. C'est l'été, il fait enfin bon, le soleil illumine encore un peu le ciel. Ma compagne et soumise, Vanessa, vient t'ouvrir. J'observe de loin les retrouvailles de deux amies. Puis vient les présentations. "Hannah je présente Gap. Voici Hannah, une amie d'enfance" Nous nous saluons. Je te découvre visuellement. Tu es petite, blonde, les yeux clairs, avec des rondeurs, une poitrine généreuse, une petite voix, et un sourire un brin charmeur. Direction la terrasse pour l'apéro dinatoire. Rien de bien spécial, une soirée vanille entre amis ordinaire. Passée une heure de discussion, je vous laisse, entre filles, vous avez sûrement des choses à vous dire entre vous. La soirée file, l'alcool aidant, les discussions se débrident. Je vous entends rire. Dans une entrée fracassante, tu viens dans le salon en criant: "Toi! le mec tout mignon, rigolo, avec une tronche de premier de la classe.. tu fais du BDSM?! J'y crois pas" Je daigne tourner la tête, tant à vos voix, je vous sens totalement éméchées. Des piques et des éclats de rires entre vous, auxquels je ne réagis pas. La blague de trop arrive, je fixe du regard Vanessa sans un mot. Son rire, sa bonne humeur s'efface en une fraction de secondes. La tête baissée, le regard qui fixe le sol, Vanessa n'ose plus bouger ou dire un mot. Elle sait..... elle. Toi tu continues, insouciante, sans savoir. Vanessa reprend le dessus, et ose enfin t'inviter vers la sortie.      Ma bienveillance fait que je te retiens, tu n'iras nulle part vu ton état d'ébriété manifeste. Vous dormirez toutes les deux dans mon lit. Vanessa, y goûtera pour la première fois, depuis plus d'une semaine à en être privée. Le temps se calme, les lumières s'éteignent. Le sommeil arrive. Ni toi, ni moi n'avons conscience, que dans quelques semaines, je te ferai vivre la meilleure et la pire expérience de ta vie. Acte 2 Il est 8h30. Je suis réveillé depuis 20 mins déjà. Je me lève pour me faire mon café. Le bruit de la machine réveille Vanessa qui court vers la cuisine, rate le virage et tombe par terre. Rien de grave, fort heureusement. Tasse à la main, je bois une gorgée et sans même la regarder, je dis: "Bonjour Vanessa. Bien dormi? Tu ne t'es pas fait mal? La tête, comment elle va?" "Bonjour Maître. Non ça va, tout va bien, oui mal à la tête. Je m'excuse de ne pas m'être réveillée pour faire votre café"   "Ce n'est pas grave. Par contre, tu vas assumer ta petite incartade, ton mal de crâne, tu vas te le traîner toute la journée. C'est compris, petite pute?" "Oui Maître." "Tu t'es bien amusée hier soir? Qui t'a dit de te mettre debout? A 4 pattes!" "Pardon Maitre, je me suis..... " "Garde tes excuses pour quelqu'un que ça intéresse! Viens-là" Sans un mot, Vanessa, avance lentement à 4 pattes pour s'arrêter à mes pieds. "Enlève la nuisette, ça serait dommage de la salir" Nue, attrapée par les cheveux, je contrains Vanessa à embrasser mes pieds, puis la remonte à mi-hauteur. Elle a vite compris. Elle tente de reculer, la tête, le sait, elle a trop bu hier, ça va pas bien se passer. Une gifle arrive sur sa joue gauche. "Arrête de lutter, quoi qu'il arrive, tu n'as pas le choix, plus tu vas lutter, plus ça sera pénible pour toi. Mais j'aurai ce que je veux. Il me semble que tu as choisi d'être ma salope, non?" "Oui Maître, mais pas ce matin, j'ai encore l'alcool qui remonte" "ça c'est ton problème, pas le mien! Viens-là, je t'ai dit!" Une deuxième tentative de reculer sa tête, et une deuxième gifle tombe. Finalement, Vanessa arrête de lutter, et ouvre sa bouche. Mon pénis y pénètre, lentement, puis de plus en plus vigoureusement, jusqu'à aller taper au fond. Entre bave qui dégouline, éructation, haut-le-cœur, nausée, Vanessa subit sans bouger. Je continue, en croisant nos regards, le mien empli de plaisir malsain, le sien entre colère et dégoût. Finalement, 4 jets de sperme partent. Deux atterrissent autour de sa bouche, et les deux autres entre son cou et sa poitrine. Je l'aide à se relever, prend du sopalin et l'essuie consciencieusement. Tout en la prenant dans mes bras je sussurre à l'oreille de Vanessa " C'est toujours un délice la sensation que tu me procures" "Merci Maître. Dieu que je vous déteste de me faire subir cela au réveil. Mais le pire c'est que j'aime ça. Bref j'aime vous détester" "Tout va bien, alors?" "Oui Maître" "Bien, tiens, voilà du doliprane pour ton mal de tête, va prendre un bain aussi, ça te fera du bien. Ah, et pense à réveiller Hannah s'il te plait" Quelques minutes plus tard, seul avec Hannah dans la cuisine à boire notre café et demander si la nuit n'a pas été trop compliquée, Hannah me dit: "J'ai tout vu.... je vous ai vus ce matin, je vous observais dans l'embrasure de la porte." "Et donc?" "Rien, je pensais pas que..... c'était excitant, voilà c'est tout" "Et donc? J'ai pas toute la journée, Hannah"   "Rien, ce genre de scénario me plaît, je pensais pas, mais je dois avouer que ça m'a follement excitée. Si Vanessa est d'accord, je suis partante pour subir le même sort" Me dit-elle avec un grand sourire. "Tu n'es pas prête pour ça, vous en parlerez entre vous. J'ai ni l'envie ni le temps de te faire un cours ce matin" Mi-agacée, énervée, Hannah me regarde partir. Je dois aller au sport, on m'attend, pourtant une question m'obsède. Qu'est-ce qui a plu à Hannah? Le côté sexuel? ou le côté esclave contrainte de Vanessa?   Acte 3 Huit jours ont passé. Dans un moment off, vanille, classique, Vanessa m'explique que vous avez beaucoup parlé. Elle me demande si je suis "ok", pour un dîner centré sur le BDSM. Il paraît que tu as plein de questions. Je n'ai aucune envie, mais pour faire plaisir à ma soumise, j'accepte. Puisque tu viens dans ce but, autant te mettre dans le bain de suite. A ton arrivée, tu es surprise. Vanessa t'ouvre la porte, dans son "costume" de jeu. Elle a un collier et une laisse autour du cou, porte des bas noirs, un tanga, une jarretelle et.... c'est tout. Autre précision que tu comprends vite, Vanessa mangera par terre, dans sa gamelle, pendant que nous dînerons à table. Le dîner commence dans un silence presque de mort. Tu es venue pour poser tes questions, eh bien j'attends... La vue de ton amie, mangeant par terre dans une gamelle de chien, doit sûrement te perturber. J'en ai marre d'attendre, donc j'ouvre le bal. "Bien, puisque qu'on est là pour ça, dis-moi quelle est ta vision du BDSM. Comment tu vois ça? Comment tu l'imagines ou le fantasmes ?" Arrive un long, trèèèès long monologue. J'écoute à moitié. C'est chiant, c'est mou, ça part dans tous les sens. On sent que tu as essayé de te renseigner, mais on sent aussi que tu mélanges tout, que tu ne maîtrises pas grand chose. Plus ton monologue avance et plus cela ressemble à un vieux film porno bizarre, mélangeant tous les concepts, les pratiques, les "outils". On sent que toi-même, tu ne sais pas vraiment où tu vas, ni où tu veux aller. Vanessa veut t'aider, elle relève la tete pour te faire un signe. Pas le temps, du bout du pied, je lui ramène sa tête vers sa gamelle. Je retiens rien de ce que tu me racontes. Je m'en fous en fait. ça va tellement nulle part que je suis déjà convaincu qu'hormis le fantasme de... tu n'as rien à faire dans ce monde. Je n'imaginais pas à quel point je me trompais sur ce dernier point. "Bon ok, arrête de parler, ça rime à rien. Tu n'as aucune idée de ce dont tu parles. Tu as juste vu 3 séquences pornos et tu te dis que..." "Tu aurais tort de me sous-estimer. Je suis ok pour que tu puisses faire ce que tu veux de moi" dit Hannah dans un regard déterminé, presque de défi. "Ce que je veux? Y compris le pire donc?" Un long silence s'installe puis un "Non tout de même pas jusque-là" "C'est pourtant ce que tu viens de dire..." "Oui, enfin, c'était maladroit...." Je te coupe dans ton élan. "Tu ne sais pas où tu vas, ni ce que tu veux n'est-ce pas?" "C'est juste. J'y connais rien, même pas mes propres limites." "Faisons un marché. Je fais ce que je veux. Je commencerai par le plus soft, et progressivement, je pousserai un peu plus loin à chaque fois. On verra bien où tu diras stop." "D'accord, ça me va." "Soyons clairs, les premières fois risquent d'être chiantes, molles, et ennuyeuses, mais j'estime qu'il faut savoir marcher avant de vouloir savoir courir. Autre chose, pas de sexe dans un premier temps. On verra ça plus tard. C'est toujours bon pour toi?" "Je suis partante" me dis-tu. Un claquement de doigts plus tard, Vanessa se relève. Je te donne une serviette. "Hannah, essuie Vanessa, elle a mangé comme une cochonne, elle en a de partout" Amusée, tu le fais, pour le moment ça te fait rire.... Garde ce sourire, parce qu'il va bientôt disparaître. Un deuxième claquement de doigts, Vanessa se tourne vers moi. "Vanessa, tu connais la traditionnelle inspection.... je t'en prie, à toi l'honneur" "Oui Maître" Vanessa t'invite à te lever, fait le tour de la table avec toi, pour te positionner face à moi à environ un mètre. Elle commence à enlever le bouton de ton jean. D'un geste brusque, tu lui enlèves la main. Sûrement un réflexe. "Tu vois, tu n'as rien à faire dans ce monde-là. Première action et déjà un refus" te dis-je avec un ton sarcastique. Les yeux qui roulent vers le haut, un soupir et un "Quoi tu veux me voir à poil? Je peux le faire toute seule hein" "Tu peux oui, j'en doute pas. Sauf que tu oublies une notion, une soumise ne décide jamais elle-même de son sort une fois le jeu lancé. Tu peux te mettre à poil seule, mais c'est pas ce que j'ai demandé. Ou tu obéis, ou tu te casses! Te voir à poil, j'en ai rien à foutre en vérité." "Ah oui, Monsieur décide donc Monsieur a.... " "C'est le principe oui, Hannah. Tu es venue me chercher non? T'es pas contente, la porte est là-bas! Tu peux te casser, je te retiens pas!" Un brin furieuse, tu vas pour partir. Devant la porte, tu t'arrêtes. Fait demi tour et reviens. Repose tes affaires. Puis reviens à un mètre de moi. "Ok bon, allons-y" nous dis-tu. "Vanessa... je t'en prie" Les vêtements et sous-vêtements tombent un à un. J'y prête pas spécialement attention. Je te regarde juste dans les yeux. Bizarrement ton visage exprime à la fois la honte et l'excitation. Une fois nue, Vanessa te positionne les mains dans le dos. "Vanessa, tiens-lui les mains s'il te plait" "Hannah, tu t'apprêtes à signer avec le diable, tu le souhaites toujours?" "Ouais!" Je m'approche et d'un geste brusque, je t'attrape le cou et le serre. Vanessa te maintient les mains dans le dos. Je serre encore plus fort. "On dit pas ouais, mais oui Monsieur ou oui Maître, est-ce clair?" Je relâche mon emprise sur ton cou. "J'ai rien entendu!" "Oui Monsieur" "Bien, première et dernière fois que je te le dis, la prochaine fois je serai beaucoup moins bienveillant. Tu peux te rhabiller. Rentre chez toi, réfléchis à cette soirée, prends le temps qu'il faudra. Si tu es toujours d'accord, je veux que tu écrives quelques ligne en forme d'engagement sur un papier" Pas de réponse, silence.... Vanessa d'un subtil coup de genoux te rappelle à la règle. "Oui Monsieur" "Bien, la soirée est finie. A voir si tu reviendras. Bonne soirée. Et sois prudente en rentrant".  
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Par : le 10/03/25
C'était elle-même qui avait ouvert les portes de ce monde de cauchemar où elle se débattait et il était doux à Charlotte que ce qui lui fut interdit, matériellement, comme la porte de la cellule interdit matériellement aux filles enfermées, de s'appartenir ou de s'échapper. Il s'agissait du meilleur partie qu'on pouvait alors tirer d'elle. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Allongée sur le dos, elle était captive, nue, écartelée. Comme les chaînes tiraient au plus court, vers l'arrière, pour les chevilles et les poignets, elle ressentait une interminable souffrance, proche du démembrement. L'humiliation était là. Se montrer ainsi dans cette position dégradante, alors que fouettée, prise ou sodomisée, sa vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. Charlotte prenait conscience de l'orgueil réel de l'esclave qui motive et qui excuse tout. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait, ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en réalisant ses fantasmes. Si elle mimait la dérobade, c'était pour mieux en profiter. N'avait-t-elle pas elle-même avoué qu'elle avait en elle, jusqu'à l'obsession, des images de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la regardait d'un œil narquois. Elle s'assit sur le rebord du lit, nue, les mains sur les genoux.   De nouveau, elle se prenait à espérer. L'enfer était fait ainsi de ces alternances de résignations et de révoltes devant un monde qui n'avait plus de sens. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Il semblait à Charlotte, comme si cela ne la concernait pas, qu'elle avait déjà vécu une scène analogue. Mais pour cette fois, la jeune fille lui était inconnue. Elle n'en était que l'occasion ou l'objet, on n'avait plus qu'à la soumettre. Juliette vit la jeune fille poser délicatement ses mains de part et d'autre de la vulve glacée de Charlotte. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Le contact, même s'il demeurait ferme, n'avait pas du tout la violence redoutée. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre un fruit, avec grand soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire, pour qu'elle puisse continuer. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de passivité, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où la jeune inconnue mordilla son clitoris, Charlotte se convulsa bientôt dans ses chaînes et trembla encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, mais elle n'avait pas eu honte. La jeune fille habitait près de la place Saint-Sulpice. Charlotte avait cru, ou voulu croire, pour se donner du courage, qu'elle serait farouche. Elle fut détrompée.   Un jour, enfin, elle crut voir, à travers des chagrins renouvelés, une issue dans ce labyrinthe de malheurs qu'elle avait elle-même déssiné. Les airs pudiques qu'elle prenait, étaient précisément destinés à l'aguicher. Elle l'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici introduite dans la pénombre du salon, par la jeune fille nue, organisatrice de la séance. En fond sonore, le "Boléro" de de Ravel. Doucement, pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, Charlotte se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, la robe tombant alors sur le sol, pour écouter le clapotis de son sexe déjà ouvert. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Sans tarder, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Charlotte devait lui être soumise et l'accueillir avec le même respect avec lequel elle l'accueillait, comme autant d'images de Juliette. Elle tenait d'autant plus à elle, qu'elle la livrait davantage. Le fait qu'elle la donnait était une preuve, et devait en être une pour elle, qu'elle lui appartenait. On ne donne que ce qui vous appartient. Mais Juliette la reprenait aussitôt. Tes yeux se retournent vers mon sourire. Le silence, nous l'avions décidé. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais de cuir serré, son corps supplie. Nue, de dos, debout devant moi.   J'avais sur elle l'avantage de la connaître, d'être plus forte qu'elle, de savoir comment la prendre, et surtout de m'en amuser. Je reconstruisais ma proie en moi, je la voyais se débattre, telle une âme brisée, un corps souffrant d'incroyables tortures. Elle cherchait son bonheur et ne trouvait que des larmes. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de te fouetter. Cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore. Tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de coups. Tout est évident. Tu es allongée, au-dessous de moi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Charlotte entrouvrait les lèvres et fermait à demi les yeux. Elle regardait la jeune fille à la dérobée, qui se leva brutalement du canapé. Charlotte n'attendit pas son ordre. Elle avait compris. "- Maintenant, je voudrais te fouetter, je te le demande. Acceptes-tu ?" Elle accepta. La jeune fille lui lia les poignets enserrés par des bracelets au-dessus de la tête, à un anneau chevillé au plafond. Jamais Charlotte ne l'accepta avec autant de joie. Elle attendit et le temps cessa d'être immobile. Sa douceur offerte appelait les blessures autant que les caresses. Elle n'eut jamais d'illusion. Elle était debout, et ses bras levés et joints, faisaient saillir ses seins. La jeune fille les caressa, puis l'embrassa sur la bouche. Quand elle lui eut mis un bâillon, et qu'elle eut saisi un fouet, elle la fouetta longuement. Elle aimait autant la frapper que la voir se débattre. Charlotte se tordait, gémissait, pleurait sous le fouet.   Elle se représentait des gestes, des positions, des abandons et elle avait mal. Ce qui est cruel dans la soumission, c'est qu'elle se sert de ce qui pour elle est le plus cher pour lui porter les coups les plus durs. Seuls ses yeux pouvaient implorer sa grâce mais elle ne l'obtint pas. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de douleur ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incroyable bonheur masochiste. La jeune fille cessa de flageller Charlotte. Elle défit le collier et les bracelets qui la tenaient captive. En fut-elle délivrée ? Ses cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de Sa sensualité fouaillée. Elle est ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Elles basculèrent, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui les emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, des gouttes de sueur perlant sur ses seins, elle s'abandonna aux désirs saphiques insatiables de la jeune fille. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sous le fouet. Elle appartenait plus que jamais à Juliette. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur amour était scellé à jamais. Se laisser prendre à l'envi, fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs amoureuses confondues. Juliette entendrait, bientôt, encore une fois Charlotte, attachée nue à même le sol, mais heureuse, respirer dans la nuit.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 10/03/25
Chapitre 4 L’élégance du contrôle   Elle se tenait devant moi, radieuse, le tissu de sa robe noire épousant chaque courbe avec une perfection troublante. Les fentes audacieuses de chaque côté dévoilaient la naissance de ses hanches, laissant entrevoir juste ce qu’il fallait pour attiser le désir sans jamais basculer dans l’excès. — "Relève tes cheveux." Sans un mot, elle obéit, relevant sa chevelure d’un geste fluide. Mon regard s’attarda sur la courbe gracieuse de sa nuque, cette zone si sensible que j’aimais tant effleurer du bout des doigts. Je sortis le collier finement ouvragé de son écrin et le refermai autour de sa gorge. Un bijou discret aux yeux des autres, mais porteur d’une signification bien plus profonde entre nous. Elle frissonna légèrement en sentant le métal froid contre sa peau, son souffle se suspendant un court instant. Je laissai mes doigts courir sur sa clavicule, traçant la ligne du collier avant de murmurer à son oreille : — "Parfait." Un léger sourire étira ses lèvres, mélange d’excitation et de reconnaissance silencieuse. Au même moment, un discret coup à la porte nous rappela la réalité. — "Le chauffeur nous attend." Je pris son manteau et l’aidai à l’enfiler, mes mains effleurant volontairement ses bras avant de descendre sur sa taille. Un simple geste, mais suffisant pour qu’elle comprenne que mon emprise sur elle ne se relâcherait pas, même en public. Lorsque nous descendîmes, la voiture était déjà prête. Le chauffeur, impeccable dans son uniforme, nous ouvrit la porte sans un mot. Elle entra la première, s’installant avec grâce, puis je la rejoignis, refermant la portière derrière moi. Alors que la voiture s’éloignait, je posai ma main sur sa cuisse nue, effleurant la peau chaude sous la fente de sa robe. — "Sais-tu déjà ce que tu vas commander ?" demandai-je, un brin amusé. Elle tourna légèrement la tête vers moi, ses lèvres s’entrouvrant à peine avant de souffler : — "Tout ce que vous désirez…"       Chapitre 5 Un jeu sous les regards   La voiture s’immobilisa devant le restaurant. Un établissement prestigieux, où chaque détail respirait l’élégance et la retenue. Le voiturier ouvrit la portière, et elle sortit la première, la tête haute, les talons claquant doucement sur le pavé. Je la suivis, savourant la façon dont sa robe épousait son corps à chaque pas, les fentes dévoilant furtivement la douceur de sa peau. À l’entrée, le maître d’hôtel nous accueillit avec la politesse feutrée des lieux de ce standing. — "Votre table est prête, Monsieur." Je posai ma main dans le bas de son dos pour la guider à l’intérieur, un contact léger mais autoritaire. Un rappel, une promesse. Elle frissonna légèrement, mais avança sans un mot, parfaitement consciente du jeu qui se tissait entre nous. Nous fûmes installés à une table discrète, à l’écart du brouhaha, mais toujours visible. J’aimais cette dualité : la subtilité du contrôle en public, l’obéissance silencieuse sous le regard des autres. Elle croisa les jambes lentement, laissant la fente de sa robe s’ouvrir légèrement. Je captais le regard furtif de l’homme à la table voisine, qui s’attarda une seconde de trop avant de détourner les yeux. Un sourire satisfait naquit sur mes lèvres. Le serveur arriva, nous tendant les menus. — "Souhaitez-vous un apéritif ?" Je ne répondis pas immédiatement. Mon regard se posa sur elle, attendant. Elle comprit instantanément. — "Un verre de vin blanc pour moi." répondit-elle d’une voix douce, maîtrisée. Je hochai la tête, satisfait, et commandai un verre de rosé pour moi. Une fois seuls, j’effleurai la tige de mon verre du bout des doigts, l’observant sans un mot. L’attente, l’incertitude, faisaient partie du jeu. Puis, lentement, je laissai ma main glisser sous la table. Je rencontrai la douceur de sa cuisse nue. Son souffle s’accéléra imperceptiblement, mais elle ne bougea pas. — "Tu es sage ce soir." murmurais-je, amusé. Elle esquissa un sourire, jouant avec le pied de son verre. — "Parce que vous le voulez ainsi." Un frisson de satisfaction parcourut mon échine.       Chapitre 6 Une soumission discrète   Je laissai ma main effleurer lentement l’intérieur de sa cuisse, jouant avec sa peau chaude sous la table. Son souffle resta maîtrisé, mais je sentis la tension subtile dans ses muscles. Elle savait ce qui allait suivre. Sans me presser, je pris une gorgée de mon verre, savourant, avant de poser mon regard sur elle. — "Retire ta culotte." Elle eut un léger sursaut, imperceptible pour les autres, mais évident pour moi. Son regard croisa le mien, cherchant à s’assurer qu’elle avait bien compris. Je lui répondis par un simple sourire, amusé et autoritaire à la fois. Elle hésita une fraction de seconde, pas par refus, mais par conscience de la situation. Nous étions en public. Dans un restaurant chic. À quelques mètres à peine, d’autres convives discutaient, riaient, trinquant à leur soirée, totalement ignorants du jeu qui se jouait à cette table. Et c’était précisément cela qui rendait l’instant si exaltant. D’un geste mesuré, elle déplaça sa serviette sur ses genoux, comme pour ajuster sa robe. Ses mains disparurent lentement sous le tissu. Mon regard ne la quittait pas. Je devinais chaque mouvement à travers les infimes frissons qui parcouraient sa peau, la tension de ses épaules, la façon dont elle contrôlait sa respiration. Puis, après de longues secondes, je la vis resserrer légèrement les cuisses et glisser un fin morceau de dentelle entre ses doigts. Elle le garda un instant, dissimulé sous la table, ses joues légèrement plus roses qu’à l’accoutumée. — "Donne-la-moi." Un éclair passa dans son regard, mélange d’appréhension et d’excitation pure. Je tendis ma main, paume ouverte, attendant patiemment qu’elle obéisse. Elle inspira discrètement, puis, avec une grâce troublante, elle fit glisser le tissu dans ma main. Je refermai mes doigts sur la soie tiède et humide, puis, lentement, je la rangeai dans la poche intérieure de ma veste, comme un trophée silencieux de son obéissance. Elle se mordilla légèrement la lèvre, consciente de sa vulnérabilité soudaine. Chaque mouvement, chaque croisement de jambes, chaque frémissement sous la table lui rappellerait ce qu’elle venait de faire. — "Parfait." murmurai-je en portant mon verre à mes lèvres. Elle baissa légèrement les yeux, non pas par honte, mais par dévotion. Elle était maintenant assise là, vulnérable, exposée sous le tissu léger de sa robe, le moindre mouvement lui rappelant l’absence de cette fine barrière de dentelle. Je l’observais, amusé par la lueur d’excitation mêlée d’appréhension dans son regard. Elle jouait avec le pied de son verre, comme pour canaliser la tension qui montait en elle. Le serveur revint avec les plats, brisant momentanément l’intensité silencieuse entre nous. Il déposa nos assiettes avec professionnalisme, ignorant tout de la nature du jeu qui se déroulait sous ses yeux. — "Souhaitez-vous autre chose ?" demanda-t-il poliment. Je lui adressai un sourire tranquille. — "Non, tout est parfait." Je sentis son regard furtif se poser sur elle, détaillant sa tenue audacieuse, puis il s’éclipsa. Une fois seuls, je laissai ma main reprendre possession de l’intérieur de sa cuisse, juste du bout des doigts. Elle se raidit imperceptiblement, surprise par ce contact inopiné alors qu’elle portait sa fourchette à ses lèvres. — "Continue de manger." murmurais-je d’un ton faussement désinvolte. Elle avala sa bouchée avec difficulté, son souffle court. Ses joues s’étaient légèrement empourprées, et je pouvais presque entendre le tumulte de ses pensées. Mon pouce traça des cercles lents contre sa peau, remontant doucement, millimètre par millimètre, jusqu’à effleurer l’interdit. Elle serra les lèvres, contracta légèrement ses cuisses, mais je n’étais pas homme à être repoussé. — "Écarte un peu." Son regard s’accrocha au mien, un mélange de défi et de soumission. Elle savait qu’elle ne pouvait pas refuser. Doucement, presque imperceptiblement, elle obéit. Mon sourire s’élargit alors que mes doigts continuaient leur douce exploration, savourant la chaleur qui s’échappait d’elle, l’excitation palpable de cette situation où elle n’avait aucun contrôle. — "Tu es délicieuse ainsi." murmurais-je en buvant une gorgée de mon verre de rosé, comme si de rien n’était. Elle retint un soupir, sa respiration devenant légèrement plus erratique. Je savourais son abandon, cette façon dont elle se livrait entièrement à moi, même au milieu d’un restaurant où chaque regard innocent pouvait, à tout instant, percer notre secret. Je portai mon verre de rosé à mes lèvres, savourant le goût délicat du vin, tout en observant ses réactions. Elle gardait une posture impeccable, le dos droit, ses doigts jouant distraitement avec la tige de son verre. Mais je voyais les signes discrets de sa lutte intérieure : sa respiration légèrement plus courte, la tension infime dans ses épaules, le frémissement de ses doigts sur la nappe. Sous la table, mes doigts continuaient leur douce provocation, effleurant sa peau nue, lui rappelant son état de soumission. Elle tenta de se concentrer sur son assiette, de masquer son trouble, mais je savais qu'elle était consciente du moindre de mes gestes. — "Tu es bien silencieuse ce soir." soufflai-je en jouant avec mon verre. Elle releva les yeux vers moi, une lueur d’excitation mêlée de défi dans son regard. — "Je savoure simplement la soirée." répondit-elle d’une voix maîtrisée. Un sourire amusé effleura mes lèvres. Elle jouait son rôle à la perfection, mais je sentais sa fébrilité sous cette façade de contrôle. Le serveur revint pour s’assurer que tout se passait bien. — "Tout est parfait ?" demanda-t-il avec courtoisie. Je laissai ma main remonter lentement, effleurant son point sensible juste au moment où elle ouvrait la bouche pour répondre. Elle inspira discrètement, ses doigts se crispant légèrement sur sa serviette. Mais sa voix resta maîtrisée. — "Oui, tout est excellent, merci." Je la regardai avec satisfaction tandis que le serveur s’éloignait, inconscient du jeu qui se jouait à cette table. — "Bonne fille." murmurai-je en lui adressant un regard appuyé. Ses joues rosirent légèrement, et je vis son regard briller d’une lueur plus trouble. Je retirai lentement ma main, savourant sa frustration silencieuse, et pris une gorgée de mon vin. — "Finis ton verre, nous partons." ordonnai-je d’un ton calme mais sans appel. Elle acquiesça en silence, portant son verre à ses lèvres, la gorge nouée d’anticipation.       Chapitre 7 Le trajet vers l’inconnu   La voiture nous attendait devant le restaurant, les phares projetant une lumière tamisée sur le trottoir. Sans un mot, j’ouvris la portière pour la laisser entrer la première. Elle glissa gracieusement sur la banquette en cuir, ses longues jambes disparaissant sous l’étoffe fluide de sa robe fendue. Je la rejoignis aussitôt, refermant la portière derrière moi. Le chauffeur démarra en douceur, et la ville défila à travers les vitres teintées, un monde extérieur inconscient de la tension silencieuse régnant à l’intérieur du véhicule. Je m’installai confortablement, mon regard capturant la lueur de l’excitation dans ses yeux. Elle savait que nous ne rentrions pas simplement à la maison. Elle savait que la nuit ne faisait que commencer. — "Sais-tu où nous allons ?" demandai-je d’un ton calme, laissant planer le mystère. Elle secoua la tête, mordillant sa lèvre inférieure, un mélange de curiosité et d’anticipation dans son regard. — "Un endroit… particulier. Un cercle très fermé, réservé à ceux qui savent apprécier certaines subtilités." Je laissai ma main effleurer lentement sa cuisse nue, mon pouce traçant de légers cercles sur sa peau chaude. Elle inspira légèrement, ses jambes frémissant sous mon toucher. — "Es-tu prête à me faire pleinement confiance ce soir ?" Elle hocha la tête, son souffle plus court, sa posture légèrement plus tendue. Je lui pris doucement le menton entre mes doigts, forçant son regard à s’ancrer dans le mien. — "Dis-le-moi." — "Oui, je vous fais confiance." souffla-t-elle, sa voix légèrement tremblante. Un sourire satisfait effleura mes lèvres. La voiture continuait de rouler, nous éloignant des quartiers animés pour s’enfoncer dans une zone plus discrète de la ville. Le lieu où nous nous rendions n’avait ni enseigne, ni publicité tapageuse. Il n’était connu que de ceux qui avaient été invités. Le chauffeur ralentit avant de s’arrêter devant une imposante façade, discrète mais élégante, sans aucun signe extérieur révélant ce qui se cachait derrière ces portes. Je descendis en premier, puis lui tendis la main. Elle hésita une seconde, consciente qu’une fois passée cette porte, elle entrait dans un monde où toutes les règles changeraient. Mais elle posa finalement sa main dans la mienne, et je l’aidai à sortir. Un homme en costume sombre nous ouvrit la porte sans un mot, nous laissant pénétrer dans un univers feutré où désirs et interdits s’entremêlaient. Dès que nous franchîmes le seuil, l’ambiance changea du tout au tout. Une douce pénombre baignait la pièce principale, rehaussée par des jeux de lumière tamisés, créant une atmosphère feutrée et envoûtante. Un parfum subtil flottait dans l’air, un mélange de bois précieux et d’épices enivrantes. Le club était à la fois luxueux et secret, conçu pour ceux qui savaient apprécier les plaisirs les plus raffinés. Un murmure discret parcourait la salle, entre conversations feutrées et soupirs volés. Je sentis sa main se crisper légèrement dans la mienne alors que ses yeux parcouraient l’espace avec une curiosité mêlée d’appréhension. — "Respire, observe." murmurais-je à son oreille, effleurant sa peau du bout des doigts. Devant nous, de larges fauteuils en velours étaient disposés autour de tables basses, où quelques couples sirotaient des verres, échangeant des regards lourds de sous-entendus. Plus loin, une scène discrète dévoilait des corps en mouvement, explorant les limites du désir sous l’œil attentif d’un cercle restreint d’initiés. — "Tout ici est question de consentement et de contrôle." lui expliquai-je d’un ton calme. "Rien ne se fait sans envie, rien ne s’impose. On regarde, on apprend, on savoure chaque instant." Elle hocha doucement la tête, ses pupilles dilatées sous l’effet de l’excitation et du mystère. Un serveur élégant s’approcha sans un bruit, un plateau en main. Il s’inclina légèrement avant de déposer deux coupes de champagne devant nous. — "Le maître des lieux vous souhaite la bienvenue." annonça-t-il avant de s’éclipser. Je pris une coupe et lui tendis l’autre, mon regard ancré au sien. — "À cette découverte." Elle leva son verre en retour, ses doigts légèrement tremblants d’anticipation. Autour de nous, l’atmosphère était un mélange d’interdits frôlés et d’élégance raffinée. Tout était à la fois sensuel et maîtrisé, une danse subtile entre abandon et contrôle. — "Que ressens-tu ?" demandai-je doucement, observant son trouble. Elle mordilla légèrement sa lèvre, cherchant ses mots. — "De la curiosité… et une envie que je ne saurais décrire." avoua-t-elle dans un souffle. Un sourire satisfait effleura mes lèvres. — "Alors laisse-moi te guider." Je posai ma main sur sa nuque, une caresse possessive, avant de l’inviter à avancer plus loin dans ce monde qui allait bientôt devenir le sien. Je sentis sa main légèrement moite dans la mienne, signe d’un mélange de curiosité et d’appréhension. Elle n’était pas effrayée, non. Son regard brillait d’excitation contenue, comme si elle se tenait à la frontière d’un monde dont elle n’avait jusqu’ici fait qu’effleurer l’existence. — "Suis-moi." murmurais-je en serrant doucement ses doigts. D’un pas lent, nous avançâmes à travers le club, chaque détail soigneusement pensé pour éveiller les sens. Le premier espace que nous traversâmes était un salon feutré, où de larges fauteuils en velours encadraient des tables basses. Des couples y étaient installés, échangeant des regards complices, certains effleurant la peau de l’autre du bout des doigts, jouant avec la tension qui flottait dans l’air. Elle jeta un coup d’œil furtif autour d’elle, son souffle suspendu lorsque ses yeux se posèrent sur une femme élégamment allongée sur l’un des fauteuils, sa tête posée sur les genoux d’un homme qui caressait distraitement sa gorge d’un geste possessif. L’ambiance n’avait rien de vulgaire. Tout n’était que maîtrise et raffinement. Je resserrai légèrement ma prise sur sa main, l’invitant à avancer. Un large couloir s’ouvrait sur plusieurs portes, chacune donnant sur des espaces plus intimes. — "Chaque pièce a sa propre atmosphère." expliquai-je d’un ton posé. "Certains viennent simplement observer, d’autres explorent, testent, repoussent leurs limites. Mais tout est basé sur la confiance et le consentement. Ici, rien n’est imposé. Tout est un choix." Elle hocha lentement la tête, captivée par mes paroles. Nous passâmes devant une porte entrouverte, laissant entrevoir une salle éclairée par une lumière tamisée. À l’intérieur, un homme était assis sur un fauteuil, une coupe de champagne à la main, tandis qu’une femme agenouillée à ses pieds attendait en silence, les yeux baissés. Il effleurait sa joue du bout des doigts, son autre main jouant distraitement avec une fine laisse attachée à son cou. Je sentis son souffle se suspendre légèrement face à cette scène empreinte de contrôle et de sérénité. — "Tout est une question de confiance mutuelle." lui murmurai-je en me penchant à son oreille. "Il n’y a ni crainte, ni contrainte. Juste un abandon consenti et une attente délicieuse." Je lui laissai le temps d’absorber ce qu’elle voyait, observant la façon dont elle réagissait à chaque détail. Puis, je l’attirai doucement plus loin, l’entraînant vers une autre pièce, plus discrète, où des murmures feutrés se mêlaient aux notes d’une musique envoûtante. Elle releva les yeux vers moi, son souffle court, sa main toujours nichée dans la mienne. — "Tu veux continuer ?" demandai-je, mon regard ancré au sien. Je vis l’hésitation furtive dans ses prunelles, non pas par peur, mais par cette nouvelle forme d’excitation qui la troublait autant qu’elle l’attirait. Puis, elle hocha la tête. Un sourire satisfait étira mes lèvres. — "Alors viens. Ce n’est que le début." Et je l’entraînai un peu plus loin dans cet univers où elle allait bientôt découvrir une part d’elle-même qu’elle ne soupçonnait peut-être pas encore. Je la guidai vers une salle plus reculée, où l’ambiance changeait subtilement. La lumière y était plus tamisée, créant une atmosphère intime et mystérieuse. Le murmure des conversations s’était estompé, remplacé par une musique envoûtante et le bruissement des étoffes effleurant la peau. Derrière une élégante verrière aux vitres fumées, une scène se dévoilait lentement à nos yeux. Le décor était raffiné, presque théâtral. Un long divan de velours trônait au centre de la pièce, et devant lui, un homme se tenait debout, dominant une femme agenouillée à ses pieds. Elle était sublime, son corps drapé dans une robe de soie fendue, révélant plus qu’elle ne cachait. Ses poignets étaient délicatement noués dans son dos par une corde de chanvre, symbole d’un abandon choisi. Son souffle était lent, maîtrisé, mais l’attente dans sa posture était indéniable. L’homme caressa lentement sa joue, son regard empli de contrôle et de tendresse mêlés. — "Regarde bien." murmurai-je à son oreille en sentant son souffle suspendu. L’homme effleura la peau de la femme du bout des doigts, descendant le long de son cou, de son épaule, traçant des frissons invisibles sur son épiderme. Il jouait avec la tension, imposant un rythme lent et savamment dosé. Puis, d’un geste précis, il la fit basculer en avant, la courbant contre le divan, son dos arqué dans une position d’offrande. Un murmure d’anticipation traversa l’assemblée discrète qui observait la scène, fascinée par cette danse silencieuse de soumission et de maîtrise. Ma main effleura la sienne, la ramenant à moi alors qu’elle continuait d’observer, incapable de détacher son regard de ce tableau hypnotisant. — "Que ressens-tu ?" lui demandai-je doucement, ma voix une caresse contre sa peau. Elle déglutit légèrement, sa respiration plus courte. — "Je… Je ne sais pas. C’est… troublant, mais captivant." souffla-t-elle, ses pupilles dilatées sous l’effet de l’émotion. Un sourire effleura mes lèvres. — "Tu ressens l’intensité du moment. Le contrôle absolu. L’abandon total." Elle hocha doucement la tête, absorbant chaque détail, chaque geste précis de l’homme, chaque frémissement du corps de la femme qui se livrait à lui sous les regards attentifs. La scène n’avait rien d’obscène. Elle était un mélange d’élégance et de tension, une exploration maîtrisée du plaisir et de la confiance. Je laissai quelques secondes s’écouler avant de glisser mes doigts sous son menton, relevant son visage vers moi. — "Veux-tu continuer à observer… ou préfères-tu aller plus loin ?" Son regard brillait d’un feu nouveau, un mélange d’envie et d’incertitude. Elle venait de franchir une première porte. Je sentis son souffle se suspendre, son regard ancré sur la scène qui se déroulait sous nos yeux. Son corps était légèrement tendu, entre curiosité et trouble, comme si elle luttait pour comprendre ce qu’elle ressentait. L’homme, toujours maître du jeu, se redressa et effleura lentement le dos de la femme courbée devant lui. Son geste n’avait rien de brutal, rien d’inattendu. C’était une caresse empreinte de possession et de contrôle. Puis, d’une main sûre, il traça le long de sa colonne vertébrale jusqu’à ses hanches avant de poser ses doigts sur la corde de chanvre qui liait ses poignets. Il ne le serra pas davantage. Il n’avait pas besoin de contraintes supplémentaires. Le simple fait qu’elle reste ainsi, offerte, était un gage d’abandon absolu. Un murmure parcourut l’assemblée feutrée alors qu’il pencha son visage vers son oreille, murmurant des mots que nous ne pouvions entendre. Mais la réaction de la femme fut immédiate : un frisson visible parcourut son échine, ses lèvres s’entrouvrirent dans un souffle silencieux, et ses doigts se crispèrent sur le velours du divan. À côté de moi, elle s’agrippa inconsciemment à mon bras, ses ongles effleurant ma peau à travers le tissu de ma chemise. Je ne dis rien, savourant cette réaction instinctive qui trahissait son immersion totale. — "Tu ressens ce qu’elle ressent, n’est-ce pas ?" murmurai-je à son oreille, mon souffle caressant sa peau. Elle ne répondit pas immédiatement. Ses lèvres s’entrouvrirent légèrement, mais aucun son n’en sortit. Sur la scène, l’homme s’écarta légèrement, contemplant sa partenaire comme une œuvre qu’il s’apprêtait à sublimer. Puis, avec une lenteur exquise, il laissa sa main glisser sur l’arrondi de ses reins avant de lever légèrement le bras… et de le faire redescendre dans une frappe sèche et mesurée contre la courbe de ses fesses. Un bruit mat résonna dans la salle feutrée, suivi d’un gémissement étouffé. Ma compagne sursauta presque imperceptiblement. Elle ne s’attendait pas à ce que cela soit à la fois si précis… et si intime. L’homme répéta le geste, alternant entre caresses apaisantes et frappes savamment dosées. Le rouge vif commençait à colorer la peau offerte de la femme, mais son corps n’exprimait ni rejet ni douleur. Bien au contraire. Chaque mouvement était un appel silencieux à plus. Le souffle de ma compagne s’accéléra légèrement, et je sentis son corps se crisper contre le mien. Je posai ma main sur sa hanche, l’ancrant à moi, l’empêchant de se perdre dans ce trop-plein de sensations nouvelles. — "Regarde-la." lui murmurai-je. "Elle ne subit rien. Elle se donne. Elle l’a choisi." Elle hocha lentement la tête, incapable de détourner les yeux. L’homme se pencha à nouveau vers sa partenaire, murmurant quelque chose contre sa nuque avant de caresser la marque rouge qu’il avait laissée. Ses doigts effleurèrent la peau sensible, arrachant un soupir tremblant à la femme qui s’offrait à lui. Puis, il la redressa doucement, défit la corde et la ramena contre son torse dans une étreinte possessive. Tout n’était qu’un jeu d’équilibre entre contrôle et abandon. Je tournai légèrement son visage vers moi, capturant l’expression troublée sur ses traits. — "Tu comprends, maintenant ?" soufflai-je. Elle mordilla sa lèvre, son regard brillant de cette lueur nouvelle qui ne demandait qu’à être explorée. Puis, d’une voix à peine audible, elle murmura : — "Oui…" Je souris lentement.   Je laissai mon regard glisser sur la scène devant nous, capturant chaque détail, chaque frisson qui parcourait la peau des deux amants dans leur jeu subtil de contrôle et d’abandon. L’homme leva enfin les yeux et croisa mon regard. Il y avait dans son expression une assurance tranquille, celle de quelqu’un qui connaissait parfaitement les règles du jeu. Je me tournai légèrement vers elle, captant le léger tremblement dans son souffle, l’incertitude mêlée à une curiosité brûlante. Je sentais son corps tendu à mes côtés, absorbé par l’intensité du moment, oscillant entre retenue et désir d’en découvrir plus. D’un mouvement fluide, je la fis pivoter face à moi, mes doigts effleurant son poignet, un contact à la fois doux et déterminé. — "Tu veux en voir plus, ou… participer ?" murmurais-je, laissant ma question flotter entre nous. Elle déglutit, son regard brillant sous la lumière tamisée. L’homme, comprenant l’invitation implicite, inclina légèrement la tête, un sourire discret aux lèvres. Il tendit la main vers nous, un simple geste d’ouverture, laissant la décision entre nos mains. Je la sentis frémir sous mon contact. Son regard hésita un instant, cherchant une réponse en elle-même. — "Je…" Elle s’arrêta, mordillant légèrement sa lèvre inférieure. Puis, enfin, dans un souffle à peine audible : — "Oui." Un sourire satisfait étira mes lèvres alors que je resserrais légèrement ma prise sur sa main. L’ambiance feutrée du salon privé semblait suspendue hors du temps. Nous nous installâmes confortablement dans les fauteuils de velours sombre, observant les deux femmes devant nous. Elles s’agenouillèrent avec une grâce maîtrisée, leurs mains posées sur leurs cuisses, le dos droit, l’attente inscrite dans chaque ligne de leur posture. Un silence complice s’étira, empli d’une tension presque palpable. C’était un jeu subtil, une danse où chaque geste comptait plus que les mots. Je laissai mon regard glisser sur elle, captant le léger frémissement de ses doigts, l’infime mouvement de sa poitrine sous l’effet d’un souffle plus court. Elle découvrait une nouvelle facette de cet univers, un équilibre entre maîtrise et abandon, où tout passait par l’observation, la compréhension mutuelle et l’anticipation des désirs non formulés. D’un geste lent, je tendis la main et effleurai son menton, relevant son visage vers moi. Son regard brillait d’une lueur mêlant curiosité et trouble, comme si elle se cherchait encore dans cette nouvelle expérience. — "Tout va bien ?" murmurai-je, ma voix une caresse contre le silence. Elle hocha lentement la tête, ses lèvres s’entrouvrant légèrement comme si elle voulait parler, mais elle se ravisa. Non par hésitation, mais parce que, dans cet instant précis, les mots semblaient inutiles. L’autre homme observait la scène avec un calme souverain, laissant l’instant s’étirer, comme pour tester l’alchimie naissante entre nous tous. Puis, dans un murmure à peine audible, elle souffla : — "Et maintenant ?" Je souris, savourant la douceur de cet instant suspendu. — "Maintenant, on prend le temps."    
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Par : le 09/03/25
Chapitre 2 En retard au bureau et une journée sous tension   Merde. J’étais censé être au bureau il y a vingt minutes. Je me suis levé en vitesse, attrapant un boxer et filant vers la salle de bain en pestant. Sous la douche, l’eau froide n’a pas suffi à effacer l’image d’elle, déambuler tranquillement dans mon appartement en portant ma chemise, un sourire amusé aux lèvres. Enfilant mon costume à la hâte, j’ai attrapé mes affaires, tout en luttant avec ma cravate. — "Besoin d’aide ?" a-t-elle soufflé en s’approchant de moi, prenant délicatement le tissu entre ses doigts pour le nouer avec expertise. — "Tu fais ça souvent ?" ai-je plaisanté. — "Disons que j’aime bien voir un homme bien habillé… même si je préfère quand il ne l’est pas." Son regard brûlant a failli me faire perdre le peu de self-control qu’il me restait. J’ai failli l’embrasser à nouveau, la faire basculer sur le canapé, oublier complètement l’heure… mais mon téléphone a vibré furieusement dans ma poche. Mon patron. Je me suis mordu la lèvre. — "Tu restes ici ?" Elle a haussé les épaules, s’asseyant sur le comptoir de la cuisine, toujours dans ma chemise. — "Peut-être… Peut-être pas. Tu verras bien ce soir." Elle a levé son café à ses lèvres, me regardant partir avec un sourire qui me hanterait toute la journée. Et moi, j’étais foutu. Non seulement en retard, mais totalement incapable de me concentrer sur autre chose qu’elle.   J’ai poussé la porte de mon bureau avec un soupir, jetant ma mallette sur le canapé en cuir avant de m’affaler dans mon fauteuil. Impossible de me concentrer. Le souvenir de son corps nu, de sa peau frémissant sous mes doigts, de ses gémissements résonnait encore dans ma tête comme un murmure insistant. Et cette image d’elle, assise sur mon comptoir, portant seulement ma chemise… Mon regard s’était attardé bien trop longtemps sur ses jambes croisées, sur cette bouche mutine qui m’avait rendu fou toute la nuit. J’ai fermé les yeux quelques secondes, essayant de chasser ces pensées. Peine 2.perdue. Un raclement de gorge m’a ramené à la réalité. — "Café, Monsieur ?" J’ai levé les yeux et croisé le regard de Sophie, mon assistante. Son sourire en coin indiquait clairement qu’elle avait remarqué mon arrivée précipitée et cette lueur d’égarement dans mes yeux. — "Oui, merci." ai-je répondu, me redressant légèrement. Elle a posé la tasse devant moi avec un regard appuyé. — "Réunion dans vingt minutes. Tout est prêt. J’ai envoyé les dossiers sur votre mail." — "Parfait." Elle a hésité une seconde, avant d’ajouter d’une voix amusée : — "Nuit difficile ?" J’ai levé un sourcil, feignant l’indifférence. — "Pourquoi cette question ?" — "Vous êtes arrivé en retard, et… avec une tête de quelqu’un qui pense à tout sauf au travail." Je me suis contenté de sourire légèrement. Si elle savait à quoi je pensais réellement… Elle a secoué la tête en riant doucement avant de quitter le bureau, me laissant seul face à mon écran. Je devais me concentrer. Être professionnel. Oublier, juste le temps d’une journée, la fièvre de cette nuit. Mais mon téléphone a vibré sur le bureau. Un message. "Toujours en retard, patron ?" C’était elle. "Tu ne facilites pas ma concentration." ai-je répondu. Quelques secondes plus tard, une photo est apparue sur mon écran. Elle était toujours chez moi, allongée sur mon lit, portant encore ma chemise, déboutonnée juste ce qu’il fallait pour rendre ma journée encore plus infernale. Merde. La réunion allait être un cauchemar. Et la nuit prochaine, une évidence. J’ai verrouillé mon téléphone et pris une profonde inspiration. Concentration. Mais c’était peine perdue. L’image d’elle, étendue sur mon lit, sa peau à moitié dévoilée sous ma chemise, continuait de danser dans mon esprit. Son sourire provocant… cette lueur dans ses yeux qui me promettait bien plus encore. J’ai passé une main sur mon visage. Putain. Un coup frappé à la porte m’a ramené à la réalité. — "Monsieur, tout le monde est réuni en salle de conférence." a annoncé Sophie en passant la tête dans l’encadrement. — "J’arrive." D’un geste rapide, j’ai ajusté ma veste, inspiré un grand coup et me suis dirigé vers la réunion en tentant de retrouver mon sérieux.   La salle était silencieuse quand je suis entré. Tous les regards se sont tournés vers moi. D’habitude, j’avais une présence naturelle, une autorité qui imposait le respect. Aujourd’hui, j’avais l’impression que tout le monde pouvait voir dans mes yeux à quel point j’étais ailleurs. — "Nous pouvons commencer." ai-je dit en m’asseyant en bout de table. Les premières minutes, j’ai fait illusion. J’ai écouté les présentations, hoché la tête, pris quelques notes. Mais alors que Max, mon bras droit, se lançait dans un long exposé sur les projections du trimestre, mon téléphone a vibré doucement dans ma poche. J’aurais dû l’ignorer. J’aurais vraiment dû l’ignorer. Mais mes doigts ont agi d’eux-mêmes. Un message. D’elle. "J’espère que ta réunion n’est pas trop ennuyeuse…" Attachée au message, une nouvelle photo. Cette fois, ma chemise avait complètement glissé de ses épaules, révélant la courbe parfaite de ses seins. Elle mordillait le bout de son doigt, un regard brûlant fixé sur l’objectif. J’ai senti une chaleur monter en moi instantanément. Putain. J’ai verrouillé mon écran à la hâte et redressé la tête, le regard posé sur Max qui continuait à parler, inconscient du chaos intérieur dans lequel je me débattais. — "Monsieur ? Tu en pense quoi ?" Silence. Tous les regards étaient braqués sur moi. — "Hmm ?" ai-je lâché, me rendant compte que je n’avais écouté absolument rien de ce qui venait d’être dit. Max a haussé un sourcil. — "Je demandais ton avis sur les prévisions. Tu as l’air… préoccupé." J’ai pris une inspiration discrète, tenté de remettre mes idées en place, et ai répondu avec le plus grand sérieux du monde : — "Continue. Je veux voir les chiffres en détail avant de donner mon retour." Max a hoché la tête et repris sa présentation, mais Sophie, assise à ma droite, m’a lancé un regard en coin, un sourire amusé sur les lèvres. Elle savait. Heureusement, la réunion a fini par se terminer, et je suis retourné dans mon bureau à toute vitesse, verrouillant la porte derrière moi avant de m’asseoir et de reprendre mon téléphone. "Tu veux jouer à ça ?" ai-je répondu. Quelques secondes plus tard, un nouveau message. "C’est toi le patron…" Mon souffle s’est arrêté un instant. La journée allait être interminable.       Chapitre 3 Une soumission exquise   La journée avait été une torture. Entre les réunions interminables, les dossiers à valider et les regards en coin de Max, qui n’avait pas manqué de remarquer mon agitation, chaque heure semblait s’étirer indéfiniment. Mais maintenant que j’étais enfin dans l’ascenseur de mon immeuble, mon cœur battait plus vite. Je savais qu’elle m’attendait. J’ai inséré la clé dans la serrure, poussé la porte et… mon souffle s’est suspendu. Là, dans la lueur tamisée du salon, elle m’attendait. Agenouillée, les mains retournées sur ses cuisses, le dos droit et le regard baissé. Son corps, entièrement nu, n’était habillé que d’un collier autour du cou, auquel pendait une laisse. J’ai refermé la porte derrière moi, la fixant, savourant l’instant. — "Quelle vision parfaite après une journée comme celle-ci." Elle a levé lentement les yeux vers moi, son regard brillant d’une lueur d’anticipation mêlée d’impatience. Ses joues étaient légèrement rougies, son souffle discret mais perceptible. Je me suis approché sans un mot, mes doigts effleurant la boucle métallique du collier. Un frisson l’a parcourue. — "Tu as bien choisi ta tenue." ai-je murmuré en tirant doucement sur la laisse, la forçant à lever un peu plus la tête. Un léger sourire a effleuré ses lèvres. — "J’ai pensé que ça te plairait, Monsieur." J’ai laissé échapper un souffle amusé. — "Tu n’as pas idée à quel point." Mes doigts ont glissé sur sa joue, puis dans ses cheveux, les tirant légèrement en arrière pour exposer son cou. Son souffle s’est accéléré, son corps tendu entre soumission et impatience. Je me suis accroupi devant elle, nos visages à quelques centimètres. — "As-tu été sage en attendant ?" Je resserrai doucement ma prise sur la laisse, savourant la façon dont son corps réagissait au moindre de mes gestes. Son souffle était court, presque tremblant, alors qu’elle me fixait avec une lueur brûlante dans les yeux. — "J’ai essayé…" avait-elle murmuré. Ses mots flottaient encore entre nous, emplis d’une fausse innocence qui ne faisait qu’attiser mon désir de la faire languir un peu plus. Je laissai mes doigts effleurer sa joue, descendant lentement le long de sa gorge, jusqu’au collier froid qui contrastait avec la chaleur de sa peau. — "Essayé ne veut pas dire réussi." D’un mouvement fluide, je tirai légèrement sur la laisse, l’obligeant à se redresser sur ses genoux. Ses lèvres s’entrouvrirent dans un soupir silencieux, son corps répondant instinctivement à mon autorité. — "As-tu compté les minutes en attendant que je rentre ?" Elle hocha doucement la tête. — "Oui, Monsieur." — "Et qu’as-tu imaginé ?" Ses paupières s’abaissèrent légèrement, un frisson la traversa. — "Que tu me punirais pour mon impatience… ou que tu me récompenserais si j’avais été sage." Un sourire amusé effleura mes lèvres. — "Et crois-tu mériter une récompense ?" Son regard s’accrocha au mien, oscillant entre défi et soumission. — "Je l’espère…" souffla-t-elle. Je glissai une main sous son menton, relevant son visage vers le mien, nos souffles se mélangeant. Je pouvais sentir la tension vibrer dans son corps, l’attente presque insoutenable qui l’enveloppait. — "Tu es magnifique comme ça." Elle frissonna sous mes mots. Je me redressai lentement, toujours maître de la laisse, la forçant à suivre mon mouvement. Debout devant elle, je laissai le silence s’étirer, appréciant le pouvoir du moment. Son regard ne quittait pas le mien, son corps parfaitement offert à ma volonté. Je caressai lentement ses épaules, descendant le long de ses bras, traçant des cercles invisibles du bout des doigts, effleurant à peine sa peau, la faisant frémir sous mon toucher. Elle se mordit la lèvre, impatiente, mais je pris mon temps. Parce qu’elle était là pour ça. Parce que l’attente était un plaisir en soi. Je tirai doucement sur la laisse, l’attirant contre moi, sentant la chaleur de son corps contre mon torse. — "Je vais décider de ton sort ce soir." murmurai-je contre son oreille. Un soupir s’échappa de ses lèvres. — "À toi de me prouver que tu le mérites." Son regard s’embrasa. Je l’ai guidée avec assurance vers la grande table du salon, la tenant par sa laisse. Son souffle était court, son corps vibrant d’anticipation sous mes doigts. — "Appuie-toi." Sans un mot, elle s’exécuta, posant ses paumes sur la surface froide du bois. Son dos s’arque légèrement, offrant une vue parfaite sur la courbe de ses hanches et la rondeur de ses fesses. Un frisson la parcourut lorsque mes mains glissèrent lentement sur sa peau, effleurant, caressant, éveillant chaque nerf sous mon toucher. J’ai pris mon temps, savourant la douceur de sa peau contrastant avec l’attente qui crispait ses muscles. Puis, dans un souffle, ma main s’est abattue doucement sur elle. Elle a tressailli, surprise par l’impact léger, mais n’a pas bougé. J’ai recommencé, alternant caresses et claquements plus fermes, observant la façon dont son corps réagissait, la façon dont sa peau prenait une teinte rosée sous mes gestes précis. À chaque nouvelle frappe, un soupir s’échappait de ses lèvres, mêlant douleur et plaisir dans un équilibre exquis. Son dos se cambrait un peu plus, ses doigts agrippaient le rebord de la table, et son souffle devenait saccadé. Quand je me suis arrêté, elle est restée immobile, son corps vibrant encore de l’intensité du moment. Je me suis penché lentement sur elle, mes lèvres effleurant la courbe de son cou. J’ai déposé un premier baiser, puis un autre, plus appuyé, laissant ma bouche explorer sa peau encore chaude. Elle a basculé la tête sur le côté, m’offrant libre accès, son souffle s’échappant en un gémissement à peine retenu. Mes mains ont glissé le long de ses bras, remontant jusqu’à sa nuque, l’attirant doucement vers moi. — "Sublime…" ai-je murmuré contre sa peau. Elle frissonna, totalement abandonnée, attendant la suite, prête à me laisser décider de chaque instant. Je tirai doucement sur la laisse, l’invitant à se redresser. Elle se leva lentement, le regard toujours baissé, soumise à mon rythme, à mes envies. — "Viens." Guidée par un simple mouvement du poignet, elle me suivit, silencieuse, docile, jusqu’au canapé. Je m’installai confortablement, mes yeux ne quittant pas les siens tandis qu’elle restait debout devant moi, attendant mon signal. Je tapotai doucement mon genou. Sans hésitation, elle comprit l’invitation et s’agenouilla entre mes jambes, la posture parfaite, le dos droit, les mains posées avec grâce sur ses cuisses. Son regard brilla d’une lueur ardente, un mélange de soumission et d’impatience. Je laissai mes doigts glisser dans ses cheveux, profitant de la douceur de ses mèches sous ma paume. — "Tu sais ce que je veux." Elle hocha lentement la tête, puis ses doigts vinrent effleurer ma ceinture, la défaisant avec une lenteur exquise, prenant soin de prolonger l’instant, de faire monter la tension. J’observais chacun de ses gestes, savourant l’intensité de son dévouement, la manière dont elle s’appliquait à faire de ce moment un jeu de séduction mutuel. Ma respiration s’alourdit légèrement alors qu’elle poursuivait son œuvre, consciente de l’effet qu’elle avait sur moi. Je resserrai doucement ma prise sur la laisse, la forçant à lever les yeux vers moi. — "Prends ton temps." Un sourire espiègle se dessina sur ses lèvres. Toujours agenouillée devant moi, elle prit son temps, effleurant le tissu de mes vêtements du bout des doigts, comme si elle savourait chaque seconde de cette attente brûlante. Son regard, chargé d’envie et de soumission, ne quittait pas le mien, cherchant une approbation silencieuse que je lui accordai d’un simple frémissement de lèvres. La ceinture céda sous ses doigts agiles, et elle la fit glisser lentement, savourant le moindre mouvement, le moindre contact. Le son du cuir frottant contre le tissu résonna doucement dans le silence feutré du salon. Je laissai ma main descendre lentement, caressant sa joue, effleurant sa peau encore tiède des frissons laissés par nos précédents échanges. Elle ferma brièvement les yeux sous mon toucher, puis reprit sa tâche, défaisant un à un les boutons de mon pantalon. Le simple fait de la voir si appliquée, si totalement offerte à moi, m’envoya une vague de satisfaction mêlée de désir pur. Elle savait ce qu’elle faisait, elle savait comment prolonger l’instant, comment rendre chaque geste plus intense que le précédent. J’enroulai la laisse autour de ma main, tirant doucement pour lui imposer mon rythme, mon contrôle. Son souffle s’accéléra légèrement, ses lèvres s’entrouvrirent alors qu’elle poursuivait son œuvre avec une patience exquise. Le silence de la pièce était seulement troublé par nos respirations, lourdes de tension et d’attente. — "Continue comme ça…" murmurais-je, savourant le spectacle qu’elle m’offrait. Elle obéit sans un mot, entièrement dévouée à ce moment, à moi. Elle continua son œuvre avec une lenteur exquise, chaque mouvement mesuré, chaque respiration en écho à la mienne. Ses doigts effleurèrent ma peau alors qu’elle achevait de libérer le tissu, et je sentis un frisson me traverser sous cette caresse à peine perceptible. Je tirai légèrement sur la laisse, l’incitant à relever les yeux vers moi. Son regard brillait d’une lueur brûlante, mélange d’attente et de dévotion absolue. Un sourire effleura mes lèvres alors que je laissai mes doigts glisser doucement le long de sa mâchoire, appréciant la douceur de sa peau sous mon toucher. — "Tu sais ce que j’attends de toi." Elle hocha lentement la tête, sa respiration suspendue, son corps vibrant d’impatience contenue. Je laissai le silence s’étirer, savourant son abandon, la tension palpable qui flottait entre nous. Ma main se referma doucement sur la laisse, exerçant une pression subtile, la forçant à rester ancrée dans cette attente savoureuse. Je voulais la voir frémir sous mes ordres, se perdre entièrement dans ce moment que nous construisions ensemble. Un soupir s’échappa de ses lèvres alors qu’elle baissait à nouveau les yeux, prête à me prouver qu’elle n’appartenait qu’à moi, qu’elle n’attendait que mon approbation. Son regard s’accrochait au mien, une lueur espiègle brillant dans ses yeux alors qu’elle s’approchait avec une lenteur délibérée. Elle savait exactement ce qu’elle faisait, comment étirer le temps, comment faire de l’attente un supplice exquis. Ses doigts effleurèrent ma peau avec une douceur infinie, traçant des cercles lents, éveillant chaque nerf sous son toucher. Son souffle chaud glissa contre moi, promesse d’un plaisir imminent, et je sentis un frisson me traverser alors qu’elle s’abandonnait à son rôle avec une sensualité troublante. Lentement, presque avec révérence, elle laissa ses lèvres effleurer l’objet de son désir, explorant chaque centimètre avec une patience exquise. Son rythme était un jeu, une danse maîtrisée entre douceur et intensité, me maintenant suspendu entre le plaisir et l’attente insoutenable. Ma main vint se poser sur sa nuque, mes doigts s’emmêlant dans ses cheveux, exerçant une pression subtile pour guider ses mouvements. Un soupir m’échappa, trahissant l’effet qu’elle avait sur moi, et je vis son sourire se dessiner dans cette intimité brûlante. Elle s’appliquait avec un dévouement absolu, trouvant instinctivement le parfait équilibre entre lenteur et profondeur, entre taquinerie et abandon total. Chaque mouvement, chaque frémissement de sa langue, chaque aspiration maîtrisée m’arrachait un soupir plus profond, un frisson plus intense. Le contrôle m’échappait peu à peu, mon souffle devenait plus saccadé, mon emprise sur sa nuque plus ferme. Elle le sentit, et loin de ralentir, elle intensifia son rythme, savourant le pouvoir qu’elle avait en cet instant. — "Encore…" soufflai-je, mes doigts resserrant leur prise. Elle obéit, avec une ferveur renouvelée, consciente que je n’étais plus qu’à un souffle du précipice. Et quand la vague déferla enfin, ce fut un abandon total, une perte de contrôle entre ses lèvres expertes. Essoufflé, encore pris dans l’ivresse du moment, je baissai les yeux vers elle. Elle releva lentement la tête, ses prunelles brillantes d’un mélange de satisfaction et d’attente. Un sourire effleura mes lèvres. — "Viens ici." murm   Chapitre 4-7 à venir        
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Par : le 02/03/25
Avant-propos Ce récit plonge dans une soumission totale, brute et sans concession. Chaque mot est une tension, chaque geste une offrande, chaque regard un jugement. Loin des fantasmes édulcorés, il explore la domination sous sa forme la plus crue, où plaisir et crainte se mêlent dans un rituel implacable. J’aimerais savoir ce qu’il provoque en vous. Vous a-t-il captivé, troublé, dérangé ? Le style est-il immersif, les scènes assez puissantes ? Vos retours sincères sont essentiels : dites-moi ce qui vous a marqué, ce qui fonctionne ou non. Votre regard critique sera la clé pour aller encore plus loin. ============================================================================================================= La Nuit du Jugement et du Plaisir La nuit s'annonçait sulfureuse, une promesse murmurée à l'oreille du destin. Je me tenais dans la chambre, observant ma soumise qui, docile, attendait mes instructions. "Prépare-toi, nous sortons." Sur le lit, j'avais disposé sa tenue. Un collier serti d'une laisse, un plug anal, un long manteau. Rien d'autre. Ses yeux se levèrent vers moi, surpris, mais aucun mot ne fut prononcé. Elle savait. Elle acceptait. Elle s'agenouilla devant moi, présentant entre ses mains tremblantes le plug, une offrande silencieuse. Je l'attrapai, laissant s'installer un silence pesant. Puis, avec lenteur, elle se courba jusqu'à ce que son front touche le sol, ses fesses offertes dans un geste de dévotion parfaite. "Merci, Maître." Un peu de lubrifiant, juste assez pour que la douleur se confonde avec le plaisir. Sans préavis, je l'introduis en elle, l'entendant retenir un soupir. Je la laissai ainsi, figée dans sa reddition, avant de la relever. "Habille-toi. Nous y allons." Nous marchions dans les rues de Paris, elle, nue sous son manteau, le plug ancré entre ses fesses, soumise à chaque pas. Son trouble était visible dans la tension de ses mouvements. Un secret brûlant entre nous deux, exposé à chaque regard croisé, sans que personne ne soupçonne à quel point elle était déjà livrée. Nous arrivâmes devant une demeure imposante, un hôtel particulier aux portes de fer forgé. Un cadre plus intime, plus élitiste que nos sorties habituelles. Je l'arrêtai, mon regard captant le sien. "Sois parfaite. Ne me fais pas honte." "Oui, Maître." Sa voix était un murmure, une promesse. La porte s'ouvrit, et une femme nous accueillit. Drapée dans une robe rouge au décolleté vertigineux, elle émanait une autorité naturelle. Ses yeux glissèrent sur ma soumise, s'attardèrent avec une lueur d'intérêt manifeste. "Le divertissement est arrivé." Elle esquissa un sourire, tendit la main vers ma soumise. "Laissez-moi vous débarrasser de ce manteau." Je vis les joues de ma soumise s'empourprer, un rictus fuyant trahissant son trouble. Mais elle obtempéra. Le tissu glissa de ses épaules, révélant son corps nu, son collier brillant à sa gorge, le plug encastré entre ses fesses. Un frisson la parcourut lorsqu'elle sentit le regard de la femme détailler chaque courbe avec une satisfaction sans pudeur. Instinctivement, elle chercha à couvrir sa poitrine, mais un claquement de mes doigts l'arrêta net. Rapidement, elle reprit la posture que je lui avais inculquée : dos droit, mains croisées derrière, regard baissé. Elle était belle dans son humilité, offerte et fière à la fois. La dame en rouge nous fit signe de la suivre. Je pris la laisse de ma soumise et nous avancâmes dans un grand salon. Autour d’une table richement dressée, six hommes et quatre femmes, visages tournés vers nous, observaient avec anticipation. Un sourire se glissa sur les lèvres d'un convive. "Nous pouvons commencer." Je pris place, laissant ma soumise debout à mes côtés. Chaque respiration faisait tressaillir sa poitrine, son corps vibrant entre crainte et excitation. Elle était parfaite. "Va te présenter à chaque invité. Ils ont payé cher pour ce spectacle." Elle pinça légèrement ses lèvres, un tressaillement furtif traversant son corps. Mais elle obéit. Elle pinça légèrement ses lèvres, un éclat d’orgueil blessé traversant son regard lorsqu’elle comprit que les invités avaient payé pour sa présence ce soir. Mais elle ne broncha pas. "Oui, Maître." Sa voix s’éleva, docile, soumise. Elle tourna d’un quart de tour vers le premier convive, le dos droit, le regard baissé. "Je me prénomme chienne Sophie. Je suis là pour vous servir." L’homme esquissa un sourire appréciateur. "Fais un tour sur toi-même que je puisse t’admirer." Sans hésitation, elle pivota lentement, chaque mouvement mesuré, offert au regard avide du convive. Lorsqu’elle lui tourna le dos, sa main s’abattit sur ses fesses, les agrippant fermement. Elle s’arrêta net, attendant son bon vouloir. Il pressa la chair sous ses doigts, jaugeant son obéissance, puis, sans prévenir, la marqua d’une gifle sonore. Elle vacilla à peine, mais un frisson parcourut sa peau. "Merci, Monsieur," souffla-t-elle aussitôt. L’homme observa la rougeur naissante sur sa fesse et hocha la tête. "Je vois que tu es bien éduquée." Il relâcha son emprise. "Va te présenter aux autres." Elle s’exécuta, avançant d’un pas mesuré vers le deuxième convive, un homme plus jeune au sourire narquois. Il s’attarda sur elle avec une gourmandise à peine voilée avant d’effleurer ses lèvres du bout des doigts. Puis, sans douceur, il lui attrapa fermement la mâchoire, forçant sa bouche à s’ouvrir. Son pouce glissa sur sa langue, caressa l’intérieur de sa joue, testant la souplesse de cette cavité offerte. "Une bouche qui doit savoir servir," souffla-t-il, son ongle traçant un sillon invisible le long de sa lèvre inférieure avant qu’il ne la repousse négligemment. Elle recula d’un pas fluide avant de pivoter vers la troisième convive. Une femme élancée, aux yeux perçants, qui lui offrit un sourire lent, prédateur. Sans un mot, elle s’empara d’une poignée de ses cheveux et tira d’un geste sec, forçant sa tête en arrière, exposant sa gorge vulnérable. Ses ongles, effilés comme des griffes, tracèrent des arabesques sur sa peau frémissante. "Un cou parfait pour un collier plus serré," murmura-t-elle avant de mordiller le lobe de son oreille, savourant le léger tressaillement qui parcourut le corps de la soumise. Puis, ses doigts glissèrent lentement, serpentant jusqu’à ses seins dénudés. D’un geste paresseux, elle fit courir ses ongles sur la peau sensible, griffant légèrement, traçant des sillons invisibles avant de pincer sans ménagement un téton durci. "Regarde-moi ça," souffla-t-elle, moqueuse, en tirant sur la chair offerte. "Tellement réceptive… Tu aimes qu’on joue avec toi, pas vrai ?" Elle relâcha le téton et le gifla aussitôt d’un claquement sec, arrachant un hoquet silencieux à Sophie. Un sourire amusé étira les lèvres de la convive. "Et ici ?" poursuivit-elle, sa main quittant les seins pour descendre lentement le long de son ventre, caressant du bout des doigts la courbe de ses hanches avant de s’insinuer entre ses cuisses. "Oh… mais tu es trempée." Un ricanement s’échappa alors qu’elle appuyait du bout des doigts sur la moiteur évidente de son intimité. "Un vrai petit spectacle ambulant," conclut-elle en levant les doigts brillants de son plaisir à hauteur de ses propres lèvres, les effleurant sans les lécher. "Dommage que tu sois déjà prise." Le quatrième invité, un homme au regard flegmatique, lui tendit la main, paume tournée vers le haut. "Offre-moi tes poignets." Elle obéit aussitôt, déposant ses mains fragiles dans la sienne. Ses doigts puissants les entourèrent, les pressèrent légèrement, jaugeant la fermeté de sa prise avant d’exercer une légère torsion, forçant ses bras à se tendre. "Un jouet docile, bien dressé," constata-t-il, avant de relâcher sa prise et d’ignorer sa présence. Elle continua, avançant vers un cinquième convive, une femme dont le regard langoureux semblait la dévorer de l’intérieur. Celle-ci fit glisser une main le long de son flanc, s’arrêtant sur sa hanche avant de descendre plus bas, caressant lentement l’intérieur de sa cuisse. Son souffle chaud effleura son oreille lorsqu’elle murmura : "Tu trembles… Une sensibilité exquise." Les derniers convives ne furent pas plus tendres. Certains marquèrent leur territoire en griffant sa peau, d’autres en pinçant la chair tendre de ses seins, faisant naître sur son corps une mosaïque de rougeurs et d’empreintes entremêlées. Chaque contact ajoutait une nuance à la toile de sa soumission, chaque geste scellait davantage son abandon à cette assemblée. Enfin, elle atteignit la dernière invitée, la dame en rouge. Elle inspira profondément et, avec la même soumission qu’aux autres : "Je me prénomme chienne Sophie. Je suis là pour vous servir." La femme l’observa longuement, un sourire carnassier jouant sur ses lèvres. Elle étendit lentement une jambe, traçant un sillon invisible sur le sol du bout de son talon. "Écarte un peu tes jambes. Je veux sentir la moiteur entre tes cuisses." Obéissante, Sophie obtempéra. La main de l’hôtesse glissa contre son sexe, exploratrice, impitoyable. Son souffle se bloqua lorsqu’elle sentit deux doigts pénétrer sa chaleur, jouant avec son plaisir exposé. "Cette petite chienne est prometteuse," déclara la dame en rouge en retirant ses doigts, brillants de sa dépravation. "Ouvre la bouche." La bouche entrouverte, Sophie les accueillit, goûtant sa propre soumission. "Bien." L’hôtesse se leva, tirant doucement sur la laisse. "Maintenant que tu t’es régalée de ton plaisir, nous allons pouvoir manger." Elle la conduisit au centre de la table, où elle fut installée en position d’attente, prête à être contemplée. La fête ne faisait que commencer. La dame en rouge s'assied avec une lenteur calculée, savourant la tension dans la pièce. Ma soumise demeure à la vue de tous, figée dans une posture d'attente parfaite. L'instant est suspendu. Les plats arrivent, portés par trois jeunes hommes entièrement nus. Chacun porte un collier de cuir, orné d’un anneau d’attache, marquant sans ambiguïté leur appartenance. Leurs sexes, enfermés dans des cages métalliques, témoignent d’une soumission absolue. Leur démarche est mesurée, empreinte de discipline. Le silence qu’ils imposent à leur propre existence est presque fascinant. Ma soumise, toujours figée dans sa posture d’offrande, les observe à travers ses cils baissés. Je capte la manière dont son souffle s’altère légèrement à leur passage, la curiosité qui tente de percer sous sa soumission impeccable. Mon regard la frôle, un avertissement silencieux. Elle comprend, aussitôt, et ravale toute distraction. L’un des esclaves, pourtant, vacille. Son regard s’élève, un instant trop long, vers elle. Une hésitation infime, mais suffisante. La voix de la dame en rouge tranche l’air. — Viens ici, esclave numéro 1. Le jeune homme tressaille, tombe à genoux dans un réflexe de terreur. Sa tête s’abaisse aussitôt, ses mains tremblantes reposant sur ses cuisses. Je perçois la tension dans ses épaules, la crainte viscérale d’avoir brisé l’ordre établi. La dame en rouge tend un pied verni. Il comprend aussitôt l’ordre implicite et presse ses lèvres contre sa peau, multipliant les baisers en un rituel servile. Elle l’observe d’un regard amusé, savourant la manière dont il se dissout dans sa soumission. — Notre distraction te plaît-elle ? Sa voix est douce, presque caressante. Au centre de la table, ma soumise ne peut qu'entendre, privée du moindre contact, offerte aux regards de l'assemblée. Je perçois la légère crispation qui raidit son dos, la lutte invisible qui l'anime alors qu'elle se force à ne pas réagir. Son trouble est à vif, exposé, et je savoure cette tension muette qui l’enlace. Même sans mes mains sur elle, je la possède entièrement. — Oui, Maîtresse. Elle est très jolie. Un sourire effleure les lèvres de la dame en rouge. — Elle te fait envie ? Tu aimerais qu’elle te fasse jouir ? Je sens l’immobilité de ma soumise, son corps qui lutte contre l’instinct de réagir. L’esclave hésite, le souffle court. Sa cage métallique trahit un tressaillement presque imperceptible. — Oui… si vous me le permettez, Maîtresse. Un éclat de rire s’élève autour de la table. Les invités savourent l’audace désespérée du jeune homme. La dame en rouge le scrute, ses doigts pianotant distraitement sur la nappe, avant d’arborer un sourire cruel. — Quelle audace… Tu aimerais souiller notre précieuse offrande ? Qui t’a autorisé à poser les yeux sur elle ? Elle laisse flotter un silence pesant avant de lâcher, comme une sentence implacable : — Va chercher le paddle. Et vite. L’esclave bondit sur ses pieds, se précipitant vers un meuble où sont soigneusement disposés divers instruments de correction. Lorsqu’il revient, il tend le paddle de cuir, ses mains tremblant de la peur extatique qui le consume déjà. La dame en rouge tourne alors son attention vers ma soumise. — Viens le chercher, ma belle. Un tressaillement parcourt son corps nu exposé. Son regard se lève timidement vers moi avant qu’elle n’obéisse, glissant hors de sa posture d’attente pour s’avancer vers la table. Lorsqu’elle prend le paddle dans ses mains, je capte l’hésitation dans son souffle, l’ombre d’un frisson qui secoue son échine. — C’est toi qui vas le punir, ordonne la dame en rouge, son ton soyeux dissimulant une autorité implacable. Ma soumise se fige. Sa prise sur le paddle se raffermit imperceptiblement, mais elle hésite encore. — N’aie crainte, continue la maîtresse de cérémonie. Je vais te montrer. Elle se place derrière elle, glissant ses mains sur ses épaules, sa bouche frôlant son oreille. — Lève le bras… Voilà… Maintenant, frappe. Ma soumise obéit, l’instant suspendu dans une tension brûlante. Le paddle s’abat sur la chair nue de l’esclave dans un claquement net. Un sursaut le traverse, et un murmure de surprise parcourt la salle. — Encore. Plus fort. Le deuxième coup résonne, plus assuré. Je vois sa respiration se modifier, ses lèvres s’entrouvrir à peine alors que la maîtrise lui échappe peu à peu. Son regard se perd un instant dans l’ombre d’un trouble que je connais bien, avant de glisser vers moi. Une seconde suspendue où elle cherche, presque instinctivement, mon approbation. Je hoche imperceptiblement la tête, fier de son application. Mais déjà, la dame en rouge claque la langue, un rappel sec à l'ordre. "Ne perds pas ta concentration, ma chère. Continue." La dame en rouge effleure son poignet, sa main froide contre la peau brûlante de ma soumise. Elle guide son geste avec une patience calculée, imposant un tempo impitoyable. Le paddle s’élève et retombe, traçant sur la chair de l’esclave des marques écarlates qui s'impriment en lignes vibrantes de douleur. Chaque coup résonne, un écho brutal dans la pièce suspendue au spectacle. Ma soumise tremble, non pas de peur, mais d’un trouble plus insidieux. Chaque impact lui arrache un souffle plus court, chaque gémissement étouffé de l’esclave alimente ce feu qu’elle ne contrôle pas encore. Elle lutte, vacille entre l’ordre donné et ce qu’il provoque en elle. Sa posture est tendue, ses muscles vibrants sous l'effort de maintenir son obéissance. Mais je la vois, je ressens l’ombre d’un frisson qui traverse sa nuque, ce vertige subtil qui la fait osciller à la frontière du contrôle. — Plus lentement, murmure la dame en rouge, son souffle glissant contre l’oreille de ma soumise. Ressens la vibration de chaque coup, savoure le frémissement sous ta main. Ma soumise obéit, ralentit son mouvement. Chaque frappe devient plus calculée, plus intense. La peau de l’esclave se teinte d’un rouge sombre, chaque impact sculptant sa soumission à vif. Je bois la scène, captivé par cette transformation subtile, par le basculement qui s’opère en elle. Son regard vacille encore vers moi, cherchant un ancrage. Je lui offre un sourire lent, chargé de fierté et d’une exigence muette : va jusqu’au bout. Elle inspire profondément, raffermit sa prise, et abaisse le paddle dans un claquement plus net, plus précis. Un frémissement visible parcourt sa peau alors qu’elle s’approprie le geste, se fondant dans ce rôle qu’on lui impose… et qui, lentement, s’empare d’elle. Lorsqu’enfin la dame en rouge pose une main sur la sienne pour l’arrêter, la tension s’étire encore un instant, comme une corde vibrante sous la caresse d’un archet. — Regarde-moi ça, souffle un invité, admiratif. Magnifique. La dame en rouge interrompt ce moment d’un claquement de doigts sec. — Reprends ta place, chérie. Ce n’est pas encore ton heure. Ma soumise tressaille légèrement, puis obéit sans un mot. Avec une lenteur calculée, elle repose le paddle sur le plateau d'argent que lui tend la dame en rouge. Ses mains tremblent à peine, un frisson discret trahissant l’intensité de ce qu’elle vient de vivre. Puis, elle se redresse, recule avec grâce et regagne le centre de la table. Elle s’agenouille en position Nadu, les genoux écartés, le dos droit, les mains posées avec une perfection étudiée sur ses cuisses. Sa poitrine nue se soulève au rythme de sa respiration encore erratique, mais son regard reste baissé, offerte dans toute la splendeur de sa soumission. Les convives l’observent avec un intérêt renouvelé, appréciant chaque infime tension de son corps, la lueur de trouble qui danse encore sur sa peau frémissante. — Quant à toi, esclave, reste là, dos tourné à l’assemblée. Ils doivent voir ce que coûte l’indiscipline. Le jeune homme demeure figé, ses épaules tremblant sous l’humiliation imposée. Sa peau rougie porte la marque brûlante de la correction, exposée comme un avertissement vivant. La dame en rouge effleure du bout des doigts la coupe de cristal devant elle, savourant l’électricité dans l’air. — Maintenant, mes chers amis, mangeons. Nous avons tant à savourer… Le murmure des conversations reprend, ponctué de rires feutrés.
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Par : le 27/02/25
La chambre d’Élise ressemble à un champ de bataille : plusieurs robes abandonnées sur le lit, des chaussures éparpillées sur le tapis. Debout devant sa penderie ouverte, la jeune femme hésite, le cœur battant à tout rompre. L’idée de se rendre ce soir au Cercle est aussi grisante qu’effrayante. Dans sa poitrine, l’excitation et l’appréhension s’entremêlent, formant un tourbillon d’émotions qui la fait presque vaciller. Ses tétons dardent, sa moiteur intime ne cesse. La chaleur lui brûle les joues tandis qu’un frisson glacé lui parcourt l’échine : ces sensations contraires qui se disputent tout son être. Avant de choisir sa robe, Élise s’était attarde longuement devant son tiroir à lingerie, consciente que ces pièces cachées sous ses vêtements (mais pour combien de temps?) joueraient un rôle essentiel dans l’état d’esprit qu’elle souhaitait incarner. Elle effleure d’abord un ensemble en dentelle noire, fin et délicat, dont la texture évoquait un léger frisson quand elle en caresse les contours. La douceur du tissu entre ses doigts lui rappele à quel point ces dessous peuvent influencer son ressenti, comme un secret qu’elle seule porterait en se rendant au Cercle. Puis ses yeux se posent sur un autre ensemble, en satin couleur ivoire, aux finitions de guipure légèrement plus romantiques. Un instant, elle avait imaginé la subtilité de la teinte claire sous une robe sombre, le contraste invisible pour autrui, mais capable de susciter chez elle une sensation d’audace, d’insolence, de provocation. Dans le miroir, elle tente de se projeter, mesurant l’effet que chaque option aurait sur son allure et sur la confiance qu’elle souhaie projeter. Finalement, après de longues minutes de réflexion, elle se décide pour la dentelle noire, trouvant dans cette couleur une note de mystère et de sensualité à la fois et qui lui semble en cohérence avec l’ambiance qu’elle a cru percevoir des photographies qu’elle a exhumées d’internet lors de son enquête sur Le Cercle . Le soutien-gorge, balconnet, rehausse sa poitrine et titillait ses tétons, tandis que la culotte échancrée épouse ses hanches avec une élégance discrète autant qu’elle mettait ses fesses en valeur. Elle est manifestement très désirable mais en a-t-elle la pleine conscience ? Avant de refermer le tiroir, elle a laissé son regard dériver sur un porte-jarretelles assorti, hésitant à y ajouter un soupçon de provocation supplémentaire. Le simple contact du satin sur sa peau a suffi à faire naître en elle un frisson d’excitation, et elle se surprend à sourire, ravie de ce secret qu’elle emportera avec elle. Lorsque finalement elle se contemple dans le miroir, vêtue de ces quelques grammes de dentelle, elle sentson cœur battre plus vite : c’est là l’expression la plus intime de son désir, une intention murmurée dont elle seule avait la clé (ou du moins le croyait-elle naïvement à ce stade), prête à se révéler ou non, selon ce qui adviendra derrière les portes closes du Cercle (si tant est, en réalité, qu’on lui en laisse véritablement le choix...).   Elle inspire profondément en effleurant du bout des doigts le tissu d’une élégante robe vert bouteille, classique et plutôt sage. La matière douce glisse entre ses mains et, un instant, elle s’imagine arriver au Cercle enveloppée de ce vert sobre qui la ferait passer inaperçue. Ce serait plus sage, pense-t-elle en fronçant légèrement les sourcils. Mais déjà, son autre main a saisi une robe noir qui pend sur un cintre voisin. Le satin noir, plus provoquante, semblait l’appeler : il luit faiblement sous la lumière de la chambre, promettant une tout autre apparition. Élise mordille sa lèvre inférieure, indécise. Laquelle refléterait le mieux ce qu’elle ressent ce soir ? La sécurité d’une tenue discrète, ou la revendication flamboyante de son audace nouvelle ? Après un dernier coup d’œil hésitant, son choix se fait. D’un geste vif, Élise retire son peignoir, libérant ses épaules, ses fesses, sa poitrine gonflée, et son sexe tout juste épilé qui tous frissonnent au contact de l’air frais de la pièce. Elle enfile les dessous choisis, le soutien-gorge, les bas, le soutien gorge à balconnet … Son cœur s’emballe lorsqu’elle saisit finalement la robe noire. Elle enfile la robe par la tête ; le satin frais caresse sa peau tandis qu’elle le fait glisser le long de son corps. Le frôlement du tissu la fait frémir. L’excite. Elle ajuste le bustier de la robe sur sa poitrine, puis remonte la fermeture éclair dans son dos du bout des doigts tremblants. Chaque cran qui se fixe résonne comme un compte à rebours dans le silence de la chambre. La robe moulante épouse sa silhouette comme une seconde peau. Élise sent son ventre se nouer tandis que son dos se tient plus droit : entre peur et fierté, la tenue la transforme déjà. Elle marque une pause et ferme les yeux un instant, s’habituant à la sensation du vêtement qui la ceint. Le satin est si doux qu’il en est presque apaisant, mais la coupe ajustée la rend très consciente de son corps. Elle inspire profondément, tentant de calmer les démons qui bouillonnent déjà en elle. Du bout des doigts, elle lisse le devant de la robe, suivant la courbe de ses hanches. Est-ce qu’elle en fait trop ? Aussitôt, une petite voix dans sa tête chuchote que non : elle veut se sentir belle et désirable. Cette robe l’y aidera. Il lui faut maintenant choisir les chaussures. Devant le miroir sur pied, deux paires l’attendent, vestiges de son indécision fiévreuse d’il y a quelques minutes à peine. Des escarpins, au talon modéré, confortables et sûrs, contrastent avec des sandales à talons aiguilles d’un noir assorti à la robe. Élise se mord l’intérieur de la joue. Le confort ou l’éclat ? Son regard passe de l’une à l’autre. Elle imagine un instant sa démarche vacillante sur les talons aiguilles qu’elle porte peu (elle manque rarement de trébucher quand elle est nerveuse) puis songe à l’allure qu’ils donneraient à ses jambes. Finalement, dans un élan de détermination, elle attrape les sandales rouges. Assez d’hésitation : ce soir, elle joue la carte de l’audace jusqu’au bout. Elle s’assoit sur le rebord du lit pour les enfiler, le souffle un peu court sous l’effet de l’émotion. La lanière de cuir glisse sur sa cheville ; la boucle métallique émet un petit clic sec tandis qu’elle la fixe avec précaution. Ses mains moites rendent l’opération maladroite et elle doit s’y reprendre à deux fois pour attacher la bride de la seconde sandale. Lorsqu’elle se redresse enfin sur ses talons, elle vacille légèrement. La hauteur inhabituelle la fait tituber d’un pas et elle agrippe le montant du lit, lâchant un bref rire nerveux. L’adrénaline la fait trembler, mais elle persiste : un pas après l’autre, elle s’habitue à la cambrure prononcée. Bientôt, elle tient debout, perchée mais fière, gagnant quelques centimètres qui allongent sa silhouette dans le miroir. Élise se poste devant le grand miroir de l’armoire pour s’examiner de la tête aux pieds. Ce qu’elle voit la déstabilise un instant. Est-ce bien elle, cette jeune femme élégante aux joues encore roses d’anticipation et aux yeux brillants d’une lueur fiévreuse ? Elle a l’air différente, presque étrangère à elle-même dans cette tenue qu’elle n’aurait jamais osé porter il y a peu. Un mélange de trac et de fierté se lit sur ses traits. Elle essaie de sourire à son reflet pour se donner du courage ; le résultat est une esquisse de sourire tremblant qui s’affermit peu à peu. "Ça va aller", murmure-t-elle, le son de sa voix brisant le silence pesant. D’un geste machinal, elle repousse une mèche de cheveux derrière son oreille. Ses doigts rencontrent l'absence de boucles d’oreilles. Comment a-t-elle pu oublier ce détail ? Elle se précipite vers son coffret à bijoux sur la commode, fouillant fébrilement pour trouver la paire idéale. Peut-être les pendants discrets en argent, ou bien ces boucles en pierre de lune qui s’accorderaient parfaitement avec sa robe ? Elle hésite un instant, les deux options brillent dans sa main tandis qu’elle les approche de son visage devant le miroir. Ce soir, elle le sent, elle préfère les pierres de lune. Elle accroche les boucles à ses oreilles avec soin, le métal froid contre sa peau la fait légèrement frissonner. Puis elle clipse autour de son cou un fin collier doré, discret éclat de lumière sur sa peau. Un dernier coup d’œil dans le miroir lui confirme que l’ensemble est harmonieux. Élise prend alors une inspiration tremblante en constatant que la transformation est achevée : elle se tient là, parée pour comme une escort, méconnaissable et pourtant intensément elle-même. Son cœur cogne si fort qu’elle l’entend presque dans le silence de l’appartement. À présent prête, il ne lui reste qu’à attendre l’arrivée de son Uber, commandé quelques minutes plus tôt d’une main fébrile. Cette simple pensée ravive aussitôt sa nervosité. Maintenant qu’elle n’a plus l’esprit occupé par les préparatifs, l’angoisse remonte en flèche. Elle attrape sa pochette posée sur le lit et en vérifie le contenu pour la troisième fois en dix minutes : téléphone, clés, carte, rouge à lèvres… tout y est… prise d’un remord, elle complète son kit de survie de trois préservatifs, qu’elle ose à peine  regarder, elle ne veut pas s’avouer qu’elle à envie de se faire prendre, qu’elle l’espère viscéralement. Ses gestes sont rapides, un peu saccadés. Un coup d’œil à l’écran de son smartphone lui apprend que le chauffeur n’est plus qu’à cinq minutes. Cinq minutes… Chaque seconde qui s’égrène la rapproche du moment fatidique, et son pied commence à taper nerveusement sur le sol. Que faire de ces minutes interminables ? Élise marche de long en large dans son salon, le claquement sec de ses talons sur le parquet venant enfin rompre le silence. Ce bruit régulier lui tient compagnie, presque rassurant au milieu du tumulte de ses pensées. Elle s’efforce de respirer lentement, comme elle l’a lu dans un article pour calmer l’anxiété : inspirer… expirer… Mais son souffle reste court, bloqué par l’appréhension qui lui serre la poitrine. Son regard se perd un instant par la fenêtre sur la nuit lyonnais au-dehors. Les lumières de la ville scintillent et semblent l’appeler elles aussi. Là-bas, quelque part, le Cercle l’attend. Cette idée fait battre la chamade à son cœur une fois de plus. Soudain, le téléphone vibre entre ses doigts. Élise sursaute, le cœur au bord des lèvres. L’écran affiche : « Votre chauffeur Uber est arrivé. » C’est l’heure. Un pic d’adrénaline la traverse, comme une décharge électrique. Elle attrape en hâte sa veste noire posée sur le dossier d’une chaise, dans son agitation, elle en avait presque oublié la fraîcheur nocturne, et l’enfile sur ses épaules. En saisissant la poignée de la porte d’entrée, elle constate que sa main tremble. Elle marque une seconde d’arrêt, ferme les yeux et inspire profondément une dernière fois. Son estomac est toujours noué, mais elle sent aussi monter en elle une euphorie contenue et une tension sexuelle grandissante. C’est un saut dans l’inconnu, terrifiant et grisant à la fois. Elle tourne la poignée. La porte s’ouvre sur le couloir désert et, avant qu’elle ne puisse changer d’avis, Élise sort en refermant derrière elle. Le claquement sec du verrou sonne comme un point de non-retour. Son cœur bat à tout rompre, et ses jolies jambes lui paraissent soudain légères sous l’effet de l’adrénaline. Tandis qu’elle avance vers l’ascenseur, chaque pas résonne à ses oreilles, amplifié par sa propre tension. Elle se sent presque flottante, vaporeuse, portée par une énergie nouvelle. L’ascenseur arrive ; dans le miroir des portes en métal poli qui s’ouvrent, elle aperçoit une dernière fois son reflet. Menton haut, regard déterminé, avec un soupçon de lubricité malgré l'éclat d'inquiétude dans ses yeux : elle a peur, oui, mais elle a envie. Envie de sexe et de lâcher prise Lorsqu’Élise sort de l’immeuble, l’air frais de la nuit la surprend et la revigore. Sur le trottoir, une voiture l’attend, phares allumés. Elle inspire une goulée d’air froid qui pique légèrement ses poumons. Son excitation hausse d’un cran, plus vive que jamais maintenant qu’elle y est. Son angoisse, elle, n’a pas disparu, mais elle est reléguée au second plan par l’urgence de l’instant. L’adrénaline pulsant dans ses veines lui donne le courage d’avancer. Élise esquisse un sourire crispé en s’approchant de la portière arrière du véhicule. Dans le rétroviseur, elle voit que le chauffeur la jauge. Peut-être même est-ce qu’il l’envisage, ou du moins la fantasme. Au moment d’ouvrir la portière, son cœur manque un battement puis elle se lance. La banquette arrière l’accueille, et tandis qu’elle referme la porte sur elle, elle sent son cœur qui tambourine à tout rompre. Le chauffeur la regarde dans son rétroviseur intérieur. Elle l’a fait. Elle a quitté la sécurité de son appartement, son cercle de confort. Maintenant, l’aventure peut commencer, et l’emmener vers un autre cercle. L’homme lui fait confirmer l’adresse. Elle répond d’un simple « oui ». Tandis que la voiture s’éloigne dans la nuit, Élise sent que ses dessous sont déjà moites. Elle ressent un mélange étrange de soulagement, de fierté et d’exaltation nerveuse. Elle laisse échapper un soupir, sans savoir elle-même s’il exprime encore de la tension ou déjà de la délivrance. Ses mains sont toujours moites, serrées sur sa pochette, mais elle se surprend à redresser légèrement le menton. À travers la vitre, les lumières de la ville défilent, et par instants son reflet lui renvoie l’image de ses yeux brillants, de sa bouche dont le rouge à lèvres se fait presque invitation ... . Terrifiée et vivante à la fois, elle se sent prête à affronter la suite. Alors qu’elle s’éloigne de son immeuble familier, Élise réalise que, plus encore que la destination du Cercle, c’est cet instant – le choix, la préparation, le pas franchi hors de chez elle – qui restera gravé en elle d’une intensité inoubliable. Sur le chemin, les photos exhumés de ce que pourrait être le Cercle, tourbillonnent dans sa tête … lui donne le vertige. Elle se mélange aux souvenirs qu’elle a des dernières 24h, ce livre découvert qui l’a excité, le carton d’invitation anonyme qui l’a mise en trans au point de s’infliger des brulûres sous la douche censée la calmer. Elle pose ses mains sur ses cuisses et entrouvent légèrement. L’étroitesse de la robe la contraint à la décence. Le chauffeur est silencieux. Elle le voit la regarder dans son rétroviseur dès que la conduite le lui permet, il se tortille presque sur son siège, pour élargir son examen dans le reflet. Elle se dit que le désir qu’elle ressent doit être perceptible. Il doit lire dans ses yeux que des désirs lubriques la ronge, qu’elle s’est parée pour peut-être se soumettre et sombrer dans la dépravation, comme sur les clichés. Peut-être que le parfum de son intimité envahi l’habitacle du véhicule. Il est manifeste que le chauffeur l’a calculée, et bien probable qu’il soit excité par elle, comme elle l’est elle-même par sa destination et ce qu’elle ne sait pourtant pas de ce qu’il l’attend. Le smartphone du conducteur, fixé au pare brise indique une arrivée au Cercle dans 14 minutes, à 21h49. Elle devrait être en avance...  Les autres épisodes : https://www.bdsm.fr/blog/tag/ombresdelob%C3%A9issance/
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Par : le 15/02/25
Cet article va tenté de clarifier la différence entre trois aspects pour offrir une vision cohérente et nuancée de la dynamique de soumission et de domination : Protocoles, rituels et règles de vie I. Introduction à la dynamique BDSM et aux concepts clés Dans l’univers du BDSM, les termes « protocole », « rituel » et « règles de vie » s’inscrivent dans la mise en place d’un cadre qui définit les interactions, les comportements et les attentes respectives d’un Dominant (ou Maître/Mistresse) et de l’esclave. Chaque terme joue un rôle distinct dans la structuration de cette relation intense et consentie, permettant de créer une atmosphère de confiance et d’engagement où chacun connaît ses responsabilités et ses limites. Le BDSM requiert une communication claire et une définition précise des engagements de chacun. Le protocole, le rituel et les règles de vie ne sont pas des concepts interchangeables : ils remplissent chacun une fonction propre au sein d’un système relationnel soumis à des dynamiques de pouvoir, d’affection et de discipline. Il est donc essentiel de comprendre leurs définitions et d’en saisir les différences pour instaurer une relation équilibrée, respectueuse et enrichissante.  II. Le protocole : structure et communication formelle A. Définition et objectifs Le protocole désigne l’ensemble des règles et des consignes à suivre lors des interactions formelles entre le Dominant et l’esclave. Il s’agit d’un cadre souvent codifié et consenti par les deux parties avant le début de la relation. Le protocole peut concerner divers aspects de l’étiquette comportementale, comme la manière de s’adresser au maître, la posture à adopter, ou encore les gestes et les phrases à utiliser lors de rencontres ou de scènes. B. Fonction dans la relation Le protocole a pour but d’instaurer une atmosphère de respect et de discipline. Il sert de guide dans les interactions quotidiennes ainsi que lors des sessions BDSM. Exemples de protocoles :   • L’usage obligatoire d’un titre spécifique (Madame, Maître, Seigneur, etc.) pour saluer le Dominant ou pour signifier une déférence particulière. • La manière de s’incliner ou d’attendre le signal du Dominant pour initier une conversation ou une approche physique. • Les règles concernant la manière de s’exprimer en présence d’autres personnes, éventuellement dans un cadre public ou lors d’événements BDSM. C. Exemples dans la pratique Imaginons qu’un protocole puisse demander à l’esclave de suivre les règles suivantes : 1. Toujours saluer le Dominant en l’appelant « Maître » ou « Madame ». 2. Se mettre en position d’attente dès que le Dominant entre dans la pièce, en gardant une posture respectueuse et attentive. 3. Adresser uniquement des réponses courtes et polies, sauf indication contraire, afin de maintenir l’ambiance de maîtrise et de contrôle définie par la relation. Ces règles, bien que pouvant paraître strictes, sont le reflet d’une volonté commune d’instaurer un cadre précis pour sécuriser et renforcer la dynamique de pouvoir.  III. Le rituel : symbolisme et répétition émotionnelle A. Définition et objectifs Le rituel, quant à lui, est un ensemble d’actions répétitives qui, par leur symbolisme, viennent renforcer l’état d’esprit et la connexion entre les protagonistes. À différence du protocole, qui est davantage basé sur des consignes pratiques et formelles, le rituel s’inscrit dans le domaine du symbolique et du psychologique. Il représente une manière de célébrer la dynamique BDSM en lui donnant une dimension émotionnelle et spirituelle. B. Fonction dans la relation Les rituels créent une atmosphère de transition et de sanctification de la relation. Ils marquent le passage entre différents états ou phases (par exemple, le passage d’un état d’esprit « civil » à celui de « jeu » ou de « soumission »). Ils renforcent le lien affectif et permettent à chacun de se reconnecter à ses rôles et à ses engagements en dehors du quotidien ordinaire. Un rituel peut être instauré en début ou en fin de session, comme par exemple un salut cérémonial ou une offrande symbolique. C. Exemples pratiques Voici quelques exemples illustrant des rituels dans le contexte d’une relation esclave/Dominant : • L’esclave peut être invité à exécuter un rituel de préparation avant une session, comme prendre un bain rituel en silence, se parer d’une tenue spécifique (comme un uniforme prédéfini), ou encore méditer un moment pour se préparer mentalement à l’état de soumission. • Un rituel de déférence pourrait impliquer la présentation d’un objet symbolique, qui représente la confiance et le lien entre le maître et l’esclave, par exemple un collier ou un bracelet marqué d’un signe particulier. • À la fin d’une session, un rituel de gratitude peut être pratiqué, où l’esclave exprime sa reconnaissance pour la guidance reçue, et le Dominant offre un mot d’appréciation ou un geste symbolique de protection. Ces rituels, répétés régulièrement, renforcent la charge émotionnelle de la relation en inscrivant les échanges dans une dimension quasi-sacrée où chaque geste a du sens.  IV. Les règles de vie : habitudes, limites et équilibre au quotidien A. Définition et objectifs Les règles de vie se distinguent du protocole en ce qu’elles régissent l’ensemble de l’existence quotidienne au-delà des sessions BDSM formelles. Elles constituent un ensemble de directives destinées à encadrer la vie de l’esclave dans tous ses aspects, qu’ils soient liés à la gestion de son comportement, à la prise de décision personnelle ou à l’organisation de son environnement de vie. B. Fonction dans la relation Les règles de vie permettent de maintenir une continuité dans la dynamique de soumission et de domination même lors des moments qui ne font pas directement partie des sessions BDSM. Elles instaurent un cadre cohérent et structuré qui aide l’esclave à intégrer sa soumission dans son quotidien, tout en assurant un équilibre qui préserve son identité et sa vie personnelle. Ces règles sont souvent discutées en profondeur et négociées afin que chaque partie se sente respectée et en sécurité quant à ses limites et besoins. C. Exemples concrets Quelques exemples typiques de règles de vie dans une relation esclave/Dominant sont : • Une règle de ponctualité stricte pour un retour à la maison ou la présentation d’un planning quotidien, de manière à ce que l’esclave puisse organiser son temps de manière à honorer ses engagements envers son Dominant. • Des consignes relatives à la tenue vestimentaire quotidienne, par exemple le port d’un accessoire symbolique (un bijou, un tatouage temporaire, ou un autre objet) qui rappelle constamment la relation hiérarchique. • L’obligation de tenir un journal intime ou un rapport quotidien, dans lequel l’esclave consigne ses émotions, ses pensées et ses expériences. Cette pratique permet de faire le point, d’évaluer l’évolution personnelle et d’identifier des points à améliorer en vue d’un dialogue constructif lors des moments de révision de la relation. • Des règles de gestion de la santé et du bien-être, comme le respect d’un régime alimentaire ou la pratique régulière d’exercices physiques, afin de garantir que la discipline ne se fasse pas au détriment de la santé et de l’épanouissement personnel. Ces règles de vie dépassent souvent l’aspect purement sexuel ou épisodique de la relation BDSM pour revêtir une dimension globale qui permet à l’esclave de structurer son existence sous la guidance bienveillante (et autoritaire) du Dominant. V. Distinctions et interactions entre ces trois éléments A. Complémentarité plutôt que concurrence Bien que les termes protocole, rituel et règles de vie soient distincts, ils sont étroitement liés et se complètent dans la mesure où chacun contribue à la création d’un cadre sécurisant et symbolique. Le protocole établit la structure de communication et d’attente lors des sessions; le rituel renforce l’aspect émotionnel et symbolique [il crée des moments forts qui marquent l’âme]; tandis que les règles de vie intégrées à l’existence quotidienne veillent à ce que la dynamique BDSM reste présente de manière harmonieuse et constructive. B. Flexibilité et négociation Un autre point fondamental est que ces éléments doivent être négociables et ajustables au fil du temps. Une relation esclave/Dominant n’est pas figée dans le temps, et il est essentiel d’organiser des points de révision pour adapter et modifier les protocoles, les rituels et les règles de vie. Cette flexibilité permet de répondre aux évolutions des besoins émotionnels, des limites physiques et des aspirations personnelles des deux parties, tout en préservant la dynamique initiale de pouvoir. C. Évolution dans le temps Au fil de la relation, il est possible que le protocole se rigidifie ou se relâche en fonction des avancées et des niveaux de confiance atteints. Par exemple, un couple peut commencer avec un protocole très détaillé dès lors que la relation est nouvelle et fragile, pour ensuite simplifier certaines règles, en laissant plus de liberté à l’esclave. De même, les rituels peuvent évoluer, passant de gestes symboliques très codifiés à des pratiques plus spontanées, tout en conservant leur dimension significative. Les règles de vie, elles, évoluent souvent en réponse aux changements de situation personnelle (déménagement, changement de travail, etc.) et peuvent ainsi être réévaluées légalement dans un esprit de continuité et d’harmonie.  VI. Exemples pratiques et mises en situation Pour illustrer la mise en œuvre concrète de ces concepts, voici deux scénarios fictifs : Scénario 1 – Protocole et Rituels dans une session formelle Sophie, qui joue le rôle d’esclave, et Julien, son Dominant, ont établi ensemble un protocole très clair avant toute session. Il est convenu que dès que Julien entre dans la pièce, Sophie doit s’agenouiller et l’appeler « Maître ». Ce geste est associé à un rituel qui consiste en une légère tape sur la joue par Julien, marquant ainsi l’activation de la dynamique de pouvoir pour cette session. Le protocole permet de structurer ce moment, alors que le rituel accentue l’intensité émotionnelle de l’échange en symbolisant le lien de confiance et d’abandon mutuel. Scénario 2 – Règles de vie intégrées dans le quotidien Emma et Thomas vivent une relation BDSM où Thomas tient une place dominante à la fois dans les sessions et dans la vie quotidienne d’Emma. Ils ont défini des règles de vie incluant :  • Une heure fixe à laquelle Emma doit envoyer un message de rapport quotidien sur son état émotionnel et physique. • Le port obligatoire d’un pendentif indiquant sa soumission, visible surtout lors des événements publics ou lorsqu’elles sont ensemble en société. • Des moments de réflexion le week-end, où Emma rédige un compte rendu détaillé de la semaine écoulée, que Thomas lit en toute confidentialité lors de leur rendez-vous hebdomadaire. Ces règles de vie créent une continuité à la dynamique BDSM, faisant en sorte que le rapport de pouvoir ne se limite pas aux rares instants de session, mais s’inscrit dans l’ensemble de la vie d’Emma. VII. Bénéfices psychologiques, identitaires et relationnels A. Renforcement de l’identité et gestion du quotidien Pour l’esclave, le respect des protocoles, l’exécution des rituels et l’observance des règles de vie permettent souvent de renforcer son identité dans le rôle choisi. La répétition des rituels et l’observance méticuleuse des consignes procurent un sentiment de sécurité et de prévisibilité qui peut aider à gérer les moments d’angoisse ou de doute. La structuration du quotidien par des règles claires influence positivement la confiance en soi et la clarté quant aux attentes, tant personnelles que relationnelles. B. Construction d’une intimité forte et d’un lien de confiance Du point de vue du Dominant, ces éléments offrent également une source de contrôle et de satisfaction dans le fait de voir son/sa partenaire s’investir pleinement, au gré des rituels ou des gestes protocolaires. La mise en place de moments codifiés permet de renforcer la connexion interpersonnelle, d’instaurer une intimité forte et d’assurer un équilibre entre la discipline et l’affection. Ce cadre préétabli contribue à réduire les incertitudes et favorise une communication ouverte et honnête, essentielle à toute relation BDSM. C. Évolutions personnelles et transformation par la discipline L’observance régulière d’un protocole et la répétition d’un rituel créent des occasions pour l’esclave de se confronter à ses propres limites et potentiels. À travers la discipline et l’exécution d’un ensemble de règles de vie, l’individu peut expérimenter une transformation personnelle, allant parfois jusqu’à redéfinir sa carrière, ses relations sociales ou sa vision de la vie. Ceci est particulièrement vrai dans des scénarios où la dynamique de pouvoir est perçue non pas comme une contrainte, mais comme un moyen de se retrouver et de se dépasser.  VIII. Conclusion Pour conclure, examiner les différences entre protocole, rituel et règles de vie dans une relation BDSM pour une esclave revient à analyser trois strates complémentaires de la dynamique relationnelle. Le protocole structure les interactions formelles, le rituel immerge les partenaires dans une dimension symbolique et émotionnelle, tandis que les règles de vie étendent cette dynamique au quotidien, permettant de transformer cette relation en un mode de vie harmonieux et équilibré. Il demeure impératif de mettre en place ces éléments dans le cadre d’un dialogue constant et d’un respect mutuel. La mise en place et l’évolution de ces éléments doivent être abordées avec une grande honnêteté et une réciprocité, intelligemment modulées en fonction des besoins et aspirations des deux parties. Par cette approche, le BDSM ne se limite pas à un jeu de pouvoir, mais devient un véritable chemin de transformation personnelle et relationnelle, pour autant que la sécurité, le consentement et la communication restent les maîtres-mots. Les exemples évoqués illustrent bien que, loin d’être de simples formalités, ces règles incarnent une philosophie qui, lorsqu’elle est bien comprise et pratiquée, peut offrir une profondeur et une cohérence surprenantes dans la vie d’une esclave BDSM.  
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Par : le 12/02/25
Le calme relatif du couloir contrastait avec le brouhaha du dancefloor. Son sourire taquin ne faisait que mettre en valeur le collier de cuir lui ornant le cou, dont seuls les initiés peuvent comprendre la symbolique. Un coup d’œil dans ma direction pour s’assurer que je la mate alors qu’elle discute avec une autre nana…. Puis elle s’éloigne. Je la suis, pas trop près… Elle regarde derrière elle pour s’assurer de ma présence, personne ne nous calcule…. Elle se rend aux toilettes du club. Je marque un temps d’arrêt à l’extérieur puis je la suis. La dernière personne vient de sortir… Elle n’est pas là, en apparence, une seule cabine, une ombre, la porte n’est pas verrouillée…. J’ouvre Elle est là, téméraire, audacieuse…. Et surtout à genoux, les yeux pleins de malice. "- Et bien, ca ne se fait pas d’entrer dans des toilettes occupées !" me rétorque-t-elle, le sourire aux lèvres. "- Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même, Tu n’as pas fermé la porte sale petite pute." "- Oui, Monsieur. En effet…. Mais la vôtre !" fait-elle en se pourléchant les lèvres et en révélant un nouveau sourire narquois. "- Ah ouais, tu veux jouer à çà ?" "- Ouaaaaaais ! ", fait-elle en se penchant en avant en s’appuyant sur ses bras en entrouvrant la bouche et en me fixant d’un regard provocateur , « cap ou pas cap ? » J’entre pleinement dans la cabine, et referme le loquet derrière moi, in extremis, car j’entends quelqu’un rentrer dans les toilettes. Je dézippe mon pantalon en silence, elle ne bronche pas et ses yeux suivent les miens. Je sors ma queue déjà dressée, et la regarde à mon tour sans parler, un sourire en coin. J’articule sans prononcer les mots « vas-y suces salope ! » Je lui attrape les cheveux fermement et viens ficher ma queue dans sa bouche lentement dans un profond silence et commence à lui baiser la bouche de la manière la plus discrète possible, elle se prête au jeu avec un regard complice et espiègle. Ses lèvres se referment sur moi, ses mains toujours posées au sol… elle me provoque, mais elle est en total service en même temps, et ne cesse de me fixer du regard. Je sens ses efforts de concentration pour ne pas faire de bruit. La personne présente à côté ressort des toilettes, nous sommes seuls à nouveau… j’en profite pour m’enfoncer au plus profond de sa gorge ne craignant plus les bruits ni les réflexes ; elle réagit bien, elle gère, je le vois dans ses yeux…. Je lui attrape alors la tête a deux mains pour la stabiliser et je finis de lui défoncer la bouche jusqu’à jouir rapidement dans sa gorge directement, provoquant un hoquet lorsque je me retire laissant un filet de bave et de sperme recouvrir son menton. Je l’attrape par le cou fermement mais gentiment pour « l’aider » à se relever. "- Alors t’as bien dégusté ma chienne ? " "- Délicieux Monsieur, comme toujours ! " "- Tant mieux", répondis-je, en étalant sa bave sur son visage. "Parce que tu vas ressortir d’ici sans rincer autre chose que tes mains… Et tu as assez bu pour la soirée", toujours avec ce sourire en coin. Un Mélange de surprise, de respect, de sens du défi, et de provocation lui font sourire à nouveau alors qu’elle vient souffler son haleine devant mon nez, pure provoc… "- Comme il vous plaira Monsieur, après tout je suis Votre salope c’est vous qui décidez !" Avec un clin d’œil taquin, elle me laisse là, ressort se laver les mains alors que d’autres personnes rentrent, elle m’adresse un regard silencieux complice, sourit, et sort des toilettes. Je la rejoins dehors, elle va danser sur la piste. Je reste au comptoir. Elle me regarde une fois de plus, et se passe la langue sur les dents en se caressant elle-même la poitrine à travers ses habits, ne manquant pas d’attirer l’attention de quelques males en rut alentours bien chauffés… Elle me regarde et me fait un clin d’œil genre « Et alors, vous vouliez une salope, assumez ! »….. La nuit promet d’être longue, et sportive…
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Par : le 10/02/25
L’obscurité libératrice de la honte L’humiliation. Un mot chargé d’histoire, de tabous, de rejets sociaux. Pourtant, dans l’univers du BDSM, elle se tord, se plie, se redéfinit pour devenir une clé vers un plaisir profond, inavouable, jouissif. La honte, ce poison de l’âme que l’on fuit toute une vie, devient ici un nectar exquis, une offrande volontaire, un terrain de jeu érotique où se mélangent la douleur, l’excitation et la liberté absolue. Dans cette obscurité où les conventions n’ont plus cours, l’humiliation ne se subit pas : elle se réclame, elle se désire, elle se sculpte comme une œuvre d’art perverse et sublime. Ce n’est plus une punition, c’est une délivrance. Un instant de pure honnêteté où la soumise abandonne tout vernis social, toute prétention de dignité, pour devenir exactement ce qu’elle veut être : un jouet, une chose, un objet façonné par le regard et les mots de son Maître. Mais comment la honte se transforme-t-elle en moteur du plaisir ? Par quel mécanisme psychologique une injure, une posture de soumission, une exposition dégradante deviennent-elles un déclencheur de jouissance ? Voilà le cœur de cette exploration. Loin de toute complaisance romantique. Le paradoxe de la fierté et de l’abaissement volontaire Le pouvoir de l’humiliation repose sur une contradiction fascinante : l’abaissement le plus extrême peut engendrer une fierté dévorante. Se livrer nu, soumis, vulnérable, et voir dans le regard du Maître non pas du mépris, mais une satisfaction carnassière, c’est là que naît l’ivresse. Offrir sa honte comme un présent est un acte de courage, une rébellion contre le monde extérieur qui impose la pudeur, l’image lisse, le contrôle de soi. Être traité comme une chienne, une esclave, un déchet sexuel, et jouir de cette condition, c’est toucher à une vérité plus profonde que toute convention morale : le pouvoir de se dépouiller entièrement de l’égo. Car dans cette destruction symbolique de la dignité, la soumise retrouve une forme de pureté, une essence brute de désir et d’abandon qui dépasse le simple plaisir physique. Le monde actuel, obsédé par l’image, la validation sociale et le consentement édulcoré, voit d’un œil suspect ceux qui recherchent l’humiliation. Comment peut-on librement choisir d’être rabaissé, insulté, traîné dans la boue du mépris et y trouver une extase ? C’est une question que seuls ceux qui ont osé briser leurs propres limites peuvent comprendre. L’humiliation consentie est une transgression, une gifle aux normes policées du sexe aseptisé. Ici, on joue avec l’interdit, avec la souillure, avec les instincts les plus primaires. Ce n’est pas de la simple soumission : c’est une plongée abyssale dans la négation de soi comme individu pour renaître en tant qu’objet de pur désir, manipulé, utilisé, marqué par la domination. Évidemment, tout ceci repose sur une règle absolue : rien ne se fait sans consentement. Mais ce consentement, dans le cadre de l’humiliation, dépasse le simple « oui » pragmatique. Il doit être un engagement total, une volonté sans réserve d’aller au bout de l’expérience, même lorsque l’égo hurle, même lorsque la société désapprouve. C’est dans cet abandon extrême que réside la véritable beauté de l’humiliation BDSM. Elle ne détruit pas : elle reconstruit. Elle ne brise pas : elle transforme. C’est un art brut, une science du dépassement de soi, une danse où la douleur de l’ego se mue en plaisir de l’abandon.   De la peur du ridicule à la jouissance de la dégradation Vicky n’avait jamais soupçonné que son éveil le plus profond viendrait du gouffre de la honte. Pendant des années, elle avait façonné une image respectable, une posture de femme maîtrisée, intacte sous le regard des autres. Pourtant, sous ma main, chaque certitude s’est effritée. La première injure prononcée, le premier ordre humiliant soufflé, et déjà, son monde vacillait. Elle se débattait, tiraillée entre la peur d’aimer cet abaissement et la révélation brûlante qu’il apportait. Mais la honte, lorsqu’elle est désirée, devient une force. Un territoire inconnu qu’elle avait désormais soif d’explorer. Le dialogue intérieur fut d’abord chaotique. Elle voulait plaire, mais surtout, elle voulait être anéantie sous mes mots. Chaque insulte était une morsure, un frisson violent qui la faisait reculer autant qu’il l’attirait. "Salope", "chienne", "trou à foutre" – elle les redoutait autant qu’elle les espérait. Peu à peu, sa peau s’est faite plus réceptive, son souffle plus court lorsqu’elle entendait ces mots. Son ego fondait à chaque syllabe, et dans cette déchéance consentie, elle trouvait une lumière inédite. Son corps, lui aussi, apprenait à parler une nouvelle langue. À genoux, offerte sans pudeur, elle savait que son corps ne lui appartenait plus. Je l’avais dépouillée de sa dignité sociale pour en faire un objet de dévotion et d’avilissement. Elle se courbait, se présentait, se laissait modeler par mes exigences. À l’instant où elle accepta de s’exhiber sous mon regard critique, où elle laissa de côté sa dernière résistance pour m’appartenir entièrement, elle toucha enfin à la jouissance pure de la soumission. Puis vint la souillure. Le premier crachat, déposé lentement sur son visage, la figea dans une stupeur brûlante. Mais au lieu de reculer, elle l’accepta. Le laissa glisser, absorbant ce marquage comme une preuve d’appartenance. Plus tard, ce fut l’urine, la salive, ces fluides qui la redéfinissaient, l’éloignaient définitivement de cette femme qu’elle avait été. Chaque goutte la transformait, chaque humiliation la rapprochait de sa nature la plus crue : celle d’une soumise qui se nourrit du mépris autant que du désir. Loin de se limiter à la chambre, ces rituels se sont inscrits dans son quotidien. Ne plus porter de sous-vêtements. Savoir qu’à tout moment, je pouvais la forcer à exposer sa honte. Un mot marqué sur sa peau qu’elle devait assumer toute la journée. Le simple fait de boire à genoux, en silence, alors que d’autres ignoraient son état, renforçait cette sensation d’être à moi, soumise à mon bon vouloir même en dehors de nos jeux. Elle ne jouait plus à être soumise : elle vivait son rôle, ancrée dans cette dynamique qui dictait chacun de ses gestes. Et puis il y avait l’évaluation, brutale et sans concession. Sa bouche, son corps, son obéissance : tout devait être noté, critiqué, perfectionné. Je voulais qu’elle sente le poids de mon jugement à chaque instant. Une fellation jugée trop hésitante, un écartement de jambes pas assez large, une langue pas assez docile : chaque défaut souligné la poussait à s’améliorer, à s’enfoncer encore plus dans cette spirale où l’humiliation nourrissait son ardeur. Ce que peu pouvaient comprendre, c’est que plus je la rabaissais, plus elle se grandissait. Dans la perte totale de son ego, elle ne disparaissait pas : elle se révélait. Parce qu’en acceptant d’être ma chose, en embrassant chaque ordre, chaque crachat, chaque moquerie, elle avait trouvé un pouvoir que peu osaient explorer. Elle n’avait jamais été aussi soumise, aussi avilie, mais elle n’avait jamais été aussi libre. Je ne l’avais pas détruite. Je l’avais révélée. Plonger plus bas – pratiques extrêmes et scénarios de dégradation totale Vicky voulait s’enfoncer plus loin dans la soumission, ressentir chaque frisson de l’humiliation intensifiée, explorer les limites du plaisir et de la honte entremêlés. Ce n’était plus simplement une question de soumission physique, mais d’un effacement progressif des barrières mentales, où chaque acte devenait une signature gravée dans son corps et son esprit. L’environnement lui-même devenait un outil de domination. La pièce où elle était amenée se transformait en un théâtre minutieusement orchestré. Miroirs sur chaque mur, capturant sous tous les angles son abandon, projecteurs accentuant chaque trace sur sa peau, chaque frémissement de son corps offert. Un simple bol posé au sol, une gamelle où elle savait qu’elle devrait boire, des harnais suspendus, des accessoires de contrainte disposés avec soin – tout cela formait un décor où le raffinement contrastait volontairement avec l’abjection de ce qui allait suivre. Dans ce cadre, les scénarios se succédaient avec une précision calculée. Elle devenait la soubrette indigne, une domestique maladroite forcée de répéter inlassablement ses tâches, corrigée à chaque faute. Chaque imperfection était notée, chaque oubli sanctionné. "Recommence", ordonnais-je, alors qu’elle lavait le sol, son corps courbé, sa jupe remontée révélant l’empreinte de mes exigences sur sa peau. À chaque erreur, un rappel cinglant, un ordre sec. "Trop lente." "Pas assez appliquée." "Incapable de satisfaire." Chaque mot la piquait, la forçant à se surpasser, à rechercher mon approbation même dans le mépris affiché. Mais la soubrette pouvait devenir chienne. À quatre pattes, privée du droit de se tenir debout, elle rampait sur le sol, son collier fermement tiré, réduite à un état où la parole n’avait plus sa place. Elle devait aboyer à mes ordres, tendre sa langue pour réclamer, manger à même le sol, sentir l’humiliation monter à mesure que chaque mouvement lui rappelait son état. Une tape sur son museau factice lorsqu’elle hésitait, un rappel sec de qui elle était. "Une chienne bien dressée ne réfléchit pas, elle obéit." Elle savait qu’elle devait s’abandonner totalement, se plier aux attentes, savourer cette animalité qui effaçait toute prétention humaine. Puis venait le jeu de l’exhibition. Être livrée aux regards, sentir la brûlure du regard des autres, l’excitation mêlée à la crainte d’être découverte. Une jupe si courte qu’un geste brusque laissait entrevoir l’intime, des marques visibles sur ses cuisses qu’elle devait assumer dans la rue. Un plug anal télécommandé, vibrant au gré de mon humeur, la rendant fébrile au moindre son. Elle devait marcher normalement, parler avec assurance, feindre l’ignorance alors que son corps la trahissait, que son souffle se saccadait sous l’effet des vagues de plaisir et de honte mêlés. Son excitation grandissait sous cette tension constante, oscillant entre l’envie de se cacher et le plaisir d’être soumise à mon bon vouloir, même en public. Les accessoires poussaient encore plus loin son immersion. Un masque de chienne couvrant son visage, une cagoule ne laissant apparaître que sa bouche, des pinces tirant sur ses seins marqués par mes précédents jeux. Un seau où elle savait qu’elle serait forcée de boire, des objets qu’elle devait lécher sans discuter, prouver qu’elle acceptait tout ce qui lui était imposé. Elle apprenait à ne plus réfléchir, à n’être que soumission, un corps et un esprit totalement malléables sous mes exigences. L’humiliation n’était pas seulement physique, elle était mentale. La menace d’être capturée en image, de devoir prouver son dévouement par des photos osées, par des enregistrements de sa voix confessant ses désirs les plus inavouables. Elle savait que tout était consenti, mais cette simple possibilité l’électrisait, faisait naître une crainte délicieuse, un sentiment d’extrême vulnérabilité qu’elle embrassait pleinement. L’excitation montait à chaque mise en scène, chaque jeu où elle cédait une part de contrôle supplémentaire. Mais même dans cet univers d’abandon total, la frontière de la sécurité restait intangible. Je connaissais ses limites, je savais jusqu’où la pousser sans la briser. Chaque humiliation était une offrande, chaque soumission une preuve de confiance absolue. La domination ne résidait pas dans la destruction, mais dans la maîtrise, dans cette capacité à la porter exactement au bord du gouffre sans jamais la laisser tomber. Et elle, dans cet espace de contrôle total, s’épanouissait. Chaque séance creusait plus profondément son désir d’aller encore plus loin, de se découvrir dans des espaces où elle n’aurait jamais osé s’aventurer seule. Son corps portait mes empreintes, son esprit mes marques, son regard la certitude d’être là où elle devait être. Et elle savait qu’il restait encore des frontières à franchir, des limites à explorer. Elle était prête. Et moi, je la guiderais toujours plus loin. L’après-coup et la gloire retrouvée – l’humiliation comme chemin vers une fierté sublimée Quand tout s’arrête, quand les marques sur sa peau commencent à s’estomper, quand la tension extrême de la séance retombe, Vicky revient à la surface, flottant entre la fatigue et une satisfaction profonde. Il ne reste plus de hurlements, plus d’ordres claqués, plus de frissons d’exhibition interdite. Juste le silence, la respiration saccadée, le battement lent de son cœur reprenant un rythme paisible. Je la regarde se recroqueviller sur elle-même, un léger sourire aux lèvres, comme si elle se redécouvrait après avoir franchi une frontière invisible. Ce moment de retour à la réalité est tout aussi essentiel que l’acte lui-même. C’est là que l’expérience prend tout son sens, que la fierté d’avoir exploré ses limites dépasse la simple sensation de soumission. Elle sait qu’elle a traversé quelque chose de rare, d’unique, un voyage intérieur où la honte s’est muée en puissance, où elle s’est dépouillée de toute façade pour toucher son essence brute. Alors vient le réconfort. Je m’approche, mes doigts glissant sur sa peau encore tiède, marquée par mon empreinte. Les mots changent, ils ne sont plus cinglants, ils deviennent caresses, murmures d’apaisement. Une couverture posée sur ses épaules, une étreinte qui ne cherche pas à dominer mais à rappeler qu’elle est en sécurité. C’est l’équilibre absolu : l’extrême humiliation ne peut exister sans cette douceur qui la suit. Elle repose sa tête contre mon torse, et je sens son corps s’abandonner à une nouvelle forme de soumission, celle du lâcher-prise total, celle qui n’a plus besoin de jeux ni de mise en scène. Le bain est souvent un rituel après ces séances. L’eau chaude l’enveloppe, effaçant la sueur, la tension, le souvenir immédiat de l’intensité passée. Je la lave, lentement, méthodiquement, et à chaque geste, je la reconstruis. Chaque caresse sur sa peau lui rappelle qu’elle est précieuse, que cette dévotion qu’elle m’a offerte ne la diminue pas, mais la grandit. Elle n’est pas une femme brisée, elle est une femme qui s’est trouvée dans l’abandon. Ce qu’elle a vécu ne la diminue pas. Au contraire, cela lui confère une force que peu peuvent comprendre. Loin d’une soumission aveugle, elle a choisi chaque humiliation, chaque marque laissée sur son corps. Dans cette totale mise à nu, elle s’est libérée de tout artifice social, de toute image fabriquée. Elle s’est purifiée dans l’excès, a trouvé une sérénité au creux même de la souillure. Et lorsqu’elle se regarde dans le miroir après, ce n’est pas la honte qui l’habite, mais une étrange fierté. Celle d’avoir osé. D’avoir traversé l’interdit et d’en être ressortie plus forte. Cette dynamique ne s’arrête pas à la chambre. Elle imprègne nos jours, nos gestes les plus anodins. Une simple caresse sur sa nuque dans un café, un regard entendu lorsqu’elle mordille sa lèvre, un murmure qui fait revivre un souvenir brûlant. L’humiliation s’intègre dans le quotidien, elle se glisse dans nos échanges avec subtilité, devenant une alchimie de complicité et de transgression. Parfois, un simple mot, un détail – une jupe trop courte qu’elle porte pour moi, une trace discrète sur sa peau – suffit à rallumer le jeu, à maintenir ce fil invisible qui nous lie, même en dehors des mises en scène extrêmes. Mais tout cela ne serait rien sans ma maîtrise. Loin de n’être qu’un bourreau, j’ai sculpté son abandon avec une précision chirurgicale. Chaque ordre, chaque acte, chaque humiliation était un équilibre entre puissance et protection. J’ai pris plaisir à la voir se plier sous mon regard, à l’entendre haleter sous l’effet de la honte désirée, mais jamais je n’ai franchi la ligne qui aurait brisé quelque chose en elle. C’est là la vraie jouissance du Dom : voir sa soumise fléchir, vaciller, mais toujours la maintenir en sécurité, la voir renaître plus forte, plus dévouée, plus ancrée dans ce qu’elle est. Vicky sait maintenant qu’elle ne sera jamais une femme ordinaire. Loin de la soumission passive, elle a trouvé un chemin de puissance dans l’abandon. L’humiliation n’est plus une faiblesse, mais un rituel de transformation. Chaque séance, chaque mot dégradant prononcé sous mon souffle devient une étape de plus vers une vérité qu’elle embrasse pleinement : elle est une femme qui s’élève en se donnant totalement. L’apothéose de la honte lumineuse L’humiliation, lorsqu’elle est désirée et menée avec intelligence, n’est pas une destruction, mais une libération. Elle ne réduit pas, elle révèle. Elle est une danse entre contrôle et abandon, entre pouvoir et vulnérabilité, entre effacement et exaltation. Bien plus qu’un simple jeu de domination, elle ouvre les portes d’un plaisir brut, viscéral, où chaque marque, chaque mot, chaque geste construit une expérience unique et inoubliable. Mais cette exploration extrême ne peut exister sans lucidité. Jouer avec la honte, c’est manier un outil d’une puissance psychologique immense, une arme à double tranchant qui exige une confiance absolue entre les partenaires. Rien n’est laissé au hasard : l’humiliation, pour être un moteur de jouissance et non une blessure, doit s’ancrer dans une compréhension mutuelle et une communication sans faille. C’est là que réside toute la subtilité de ce jeu : il ne s’agit pas de briser, mais d’amener l’autre à se reconstruire, à renaître à travers la soumission et l’excès. C’est aussi une invitation à dépasser les barrières. La peur du regard extérieur, du jugement moral, de l’inacceptable social est ce qui freine bien des âmes à s’aventurer dans ces territoires interdits. Pourtant, l’humiliation consentie est une épreuve de vérité, une transgression salvatrice où chacun peut toucher du doigt une facette cachée de son désir. C’est une zone de turbulence, exigeante mais gratifiante, où l’on apprend à se connaître sous un jour nouveau, délesté de toutes les fausses pudeurs imposées par la société. Et c’est dans cette acceptation que se trouve l’apothéose. Loin d’être une chute, la honte devient un joyau sombre, une clé ouvrant les portes d’un plaisir que peu osent effleurer. Elle est le sésame qui permet d’explorer la profondeur de l’abandon, d’embrasser l’extrême sans crainte, de se consumer dans l’instant sans regret. Elle est ce vertige délicieux où l’ego se dissout pour renaître sous un regard dominateur et rassurant. L’humiliation, lorsqu’elle est transcendée, n’est plus une faiblesse : elle est une puissance. Elle est un chemin vers l’extase, une alchimie entre la soumission et la maîtrise, une promesse d’abandon où chaque instant vécu avec intensité laisse une empreinte indélébile sur le corps et l’esprit. Ceux qui osent s’y plonger savent qu’il n’y a pas de retour en arrière – seulement une soif plus grande, une envie d’aller toujours plus loin, de toucher du bout des doigts cette frontière où la honte devient lumière, où la soumission devient une célébration. Alors, à ceux qui hésitent, à ceux qui frémissent à l’idée d’explorer cet abîme, il n’y a qu’un seul conseil à donner : osez. Dépassez les limites, défiez le regard du monde, et laissez-vous emporter par cette onde de plaisir brut et indomptable. La honte est une porte, et derrière elle se cache un univers d’une intensité rare. À vous de choisir si vous voulez l’entrebâiller… ou l’enfoncer à jamais.
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Par : le 04/02/25
Les années passent mais notre rituel commun reste le même, à savoir passer les derniers jours de l’année et les premiers de la suivante, ensembles. C’est toujours un plaisant moment d’être à tes côtés. La première mission qui m’a été allouée est de réaliser une série de clichés pour changer ta photo de profil parmi celles réalisées. C’est néanmoins à deux que nous définissons le cadre général ; à moi de faire les meilleurs clichés possibles pour te rendre le choix compliqué . Tu as déjà ta petite idée sur la question. Comment pourrait-il en aller autrement avec ton imagination fertile ? Ce sera donc la robe noire soulignant toutes tes formes et dévoilant ta jambe gauche avec sa longue fente bordée d’un double liseré blanc et rouge, quant à tes pieds, ils seront parés et rehaussés de superbes levity pumps noires. En ce qui me concerne, la tenue est plus habituelle : collier au cou, bien évidemment, le boxer noir à laçages laissant largement apparent mon postérieur rebondi, et un petite touche « d’inconfort » avec la paire de moufles pour mes mains. C’était sûrement pour simplifier la tâche qui allait m’incomber juste après. En effet, j’avais la charge de dérouler le tapis rouge sous tes divins pas. Où plus exactement de placer de jolis coussins rouges sous tes délicates semelles. Autant dire que je me suis un peu exercé pour arriver à les manipuler tant bien que mal le tout avec une vision limitée par la cagoule légère. Oui, je confirme. Ma Maitresse adore les choses « simples ». Une fois les réglages photos réalisés, nous pouvons nous lancer, avec une certaine réussite en une seule prise, les coussins venant amortir ton pas aérien tandis que la canne ajoute une certaine touche de majesté. Je suis toujours fier d’apparaitre ainsi à tes pieds. Cette mise en bouche exceptionnelle ne nous a pas détournés de notre habitude de Janvier. Après tes différentes propositions, j’émets une préférence pour la longue robe rouge et les talons noirs. Une combinaison ma foi fort exquise pour les yeux, certes déjà conquis depuis belle lurette. Et la première de nos traditions à respecter consiste à transmettre nos vœux … à notre manière, autant dire que je sers assez souvent, pour ne pas dire quasiment tout le temps, de carte de vœux vivante … mais muette. Mon flanc gauche se voit affublée d’un très classique et sobre « Bonne année 2025 » tracé au fard à paupière … pour permettre un nettoyage plus doux, sans éponge verte. Ma Maitresse est trop bonne avec son soumis. Pour ma part, je gagne une libération de mes mains, les moufles étant retournées dans le coffre à malices. Il faut dire que tu souhaites que j’en profite pour te présenter en guise d’offrande un des floggers de ta collection, tandis que tu t’installes dans ton fauteuil qui fait un parfait trône pour ta majesté. De temps en temps, les plis rouges laissent apparaitre, sans tout dévoiler, une seconde paire d’escarpins, suggérer plutôt qu’afficher … un art que tu maitrises depuis longtemps. Magnanime, à l’issue de la séance photos, tu te charges même du démaquillage de ton inscription. Me voici bien chouchouté. Une matinée qui ouvre l’année au mieux (bon d’accord c’était déjà le deuxième …). Après une pause bien méritée, et une bonne sieste, nous sommes en pleine forme pour la soirée qui s’annonce, la première d’une belle série, sans aucun doute. Une fois n’est pas coutume, quoi que, tu n’exiges qu’une seule et unique chose pour ma tenue nocturne : mon collier classique. Va falloir songer à me réchauffer pour pallier à l’absence du moindre centimètre carré couvrant mon corps, hormis les moufles qui viennent emprisonner mes mains. Mais dans un premier temps tu me fais installer sur le lit, étendu sur le dos mais les jambes le plus repliées possible et les pieds posé près du bord. Tu te saisis alors de tes deux cordes bleues en coton pour m’immobiliser avant la suite, préambule a priori indispensable. A croire que je serais un soumis hyperactif qui ne tiendrait pas en place. La première contrainte consiste à nouer fermement mollet et cuisse, ce qui ne va pas sans griffes égarées tant le passage est étroit pour insinuer les cordes. Mais après quelques minutes d’effort, tu es satisfaite du résultat et tu poursuis par une savante et esthétique parure de la cheville et des orteils. Si, si, même eux sont mis en valeur. Bien évidemment la deuxième jambe reçoit le même traitement. Cette fois, ton modèle est près à recevoir tous les tourments que tu as imaginés. Etonnamment, tu m’as laissé la vue libre, quoi que j’essaie de ne pas regarder pour laisser de la place aux autres sens. Dans un premier temps, je soupçonne que tu sois en train écrire quelque chose sur mes couilles, juste à la base du pénis. Néanmoins, j’ai quelques doutes tant la sensation ne ressemble pas vraiment à celle que je connais quand tu viens « graffer » sur les autres parties de mon corps. Il me faudra attendre les images pour avoir le fin mot de l’histoire. Question d’habitude ! Quelques griffes ne peuvent s’empêcher de venir titiller cette zone intime et sensible particulièrement accessible. J’entends ensuite que tu manipules quelque chose sur ma droite. Si le bruit caractéristique du nitrile trahit le fait que tu es en train de te ganter (chic alors, j’aime bien la sensation …), je reste circonspect sur la signification du son de ce qui ressemble à une boîte. Mais que me réserves-tu donc ? Mes neurones s’affolent sans pour autant trouver la moindre explication. Mieux vaut attendre et profiter. C’est alors que je sens le contact de ton gant sur mon intimité. Effet du froid, cerveau bloqué, raison inconnue ? Toujours est-il que ta cible reste de marbre, en mode escargot planqué. Pourtant tu y mets du tien pour obtenir une certaine tension, indispensable à ce que tu as en tête. Je me désole de ne pas être à la hauteur alors même que je viens de voir ce que tu me réserves. Heureusement, tu es patiente. Tu insistes. Tu réchauffes mon intimité sans évolution notable, me semble-t-il. Un soupçon de dépit serait-il en train de surgir ? Il semblerait que tu présentes ta sonde devant mon urètre sans réussir à entrer. Du moins sont-ce les signaux que mon cerveau reçoit. Et là, je perds le fil. J’ai l’impression que le déclic vient de la pince à grelot que tu viens placer sur mes couilles (à moins que ce ne soit le contraire. Toujours est-il que je sens une certaine raideur venir. Pas une minute à perdre, je sens que tu t’empresses d’explorer cet orifice enfin accessible. Rapidement des gémissements de satisfaction jaillissent de ma gorge. Il faut dire que tu as entrepris les premiers mouvements. Désormais, cela semble rentre comme dans du beurre. Par moments, j’ai bien l’impression que tu utilises ta main parée de noir pour serrer mon membre au passage de la sonde pour en décupler les sensations. Comme à chaque fois, je perds les pédales, n’étant plus capable de dire si la sonde est dedans … ou dehors. Pourtant à t’écouter, elle avance toute seule et de toute sa longueur ou presque. C’est quand même particulier de se faire « baiser la queue » pour parler crument. Et pourtant que les sensations sont plaisantes : je crois que cela s’entend à mes râles. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, sauf que je ne me suis pas forcément rendu compte immédiatement que je n’étais plus envahi. A croire qu’il y aurait dans cette partie de mon anatomie un interrupteur directement relié au cerveau. Etonnant ! Troublant ! Débarrassé de cette tige métallique, je sens la présence d’un liquide frais dans mon sillon fessier. Puis je perçois que tu pousses, progressivement. Quoi, je n’arrive pas à le déterminer. J’ai même la sensation bizarre que je résiste (alors que …), genre je m’opposerais à cette intrusion gantée pourtant parmi mes goûts. Encore une fois, mes neurones semblent en grève. Que se passe-t-il ? Est-ce que tu es en train de me pénétrer ? Je pense que oui. Comment ? En l’absence d’arme sur les lieux du crime, j’en ai déduit que ce devaient simplement être tes doigts qui s’immisçaient. Mais pour être franc, j’ai juste profité du moment sans en comprendre l’origine. C’est quand même perturbant comme situation ! Surtout pour moi qui aime comprendre les choses. Lâcher prise ? Probablement ! Après cette première partie, toute en explorations, tu allumes une bougie, une des noires, prétendument basse température. Bien heureusement je ne suis pas trop douillet pour cela. Lorsque la fusion est bien entamée, tu commences par t’attarder sur ma gauche pour être juste au-dessus de mon téton. Tu le décores d’une petite couronne, comme si je portais un bijou de sein. Tu es toujours très inspirée. Joli à regarder alors que la mise en place est un stimulant plaisant. Après cette parure au niveau de la poitrine, tu te déplaces pour revenir à porter de mon intimité sur laquelle tu laisses tomber une série, transformant mon pénis en une sorte d’étrange coccinelle. Une décoration plus habituelle que je soupçonne d’être simplement planifiée pour mieux justifier la suite. Car au souffle qui emporte cette fragile flamme sur sa tige noire succède un objet fin et élancé, tout en longueur et « délicatement » terminé par une étroite claquette. Je veux parler d’une de tes cravaches, celle que tu privilégies le plus souvent dès qu’il s’agit d’aider ton nounours à se décirer, ou plutôt devrais-je dire à subir un décirage. Je l’aime tout autant que je la redoute car dans tes mains elle peut se faire tantôt claquante, provoquant immédiatement un petit cri de ma part, tantôt effleurante ce qui a le don de me faire rire. Quoi qu’il en soit, tu t’acquittes à merveille de la tâche tout en laissant un maximum de cire sur la poitrine. La corvée m’incombe d’essayer de la retirer comme je peux sous la douche après la séance, en essayant d’éviter l’auto-épilation. Les lanières d’un des floggers viennent finir de me stimuler, enfin surtout à l’entrejambe. Mais pourquoi une telle focalisation sur ce point sensible s’il en est surtout chez moi. Malgré les liens, c’est l’assurance de me faire gigoter, couiner, tenter d’esquiver …. En vain. Il est alors temps de me libérer de mes liens. Tes yeux brillants témoignent de ton ravissement à voir les marques laissées par les cordes sur mes cuisses et mes mollets. Cela eut été dommage de ne pas immortaliser ce moment fugace. La pince clochette m’abandonne aussi ici et retourne dans son écrin. Une fois libéré, tu me faire retourner pour finir à quatre pattes, les dos le plus cambré possible, pour autant que ce soit possible, et le postérieur fièrement dressé vers toi. C’est d’abord la spatule en bois que je reconnais sans trop d’hésitation. Quel autre objet provoque un impact aussi claquant sur cette largueur ? Marques rouges assurées, et chauffage du postérieur en quelques minutes à peine, le tout générant une symphonie de claquements. La mise en température réalisée, je note que la dureté et la fermeté font place à la souplesse des lanières d’un de tes floggers. Disons que celui-ci offre une intéressante alternance, comme le ying et le yang, le chaud et le froid. C’est différent et moins mordant mais agréablement stimulant, un peut partout sur le corps, tout du moins les parties qui te sont accessibles. J’apprécie tout particulièrement la série de claques à mains nues sur mon popotin rembourré. Un goût de trop peu, éventuellement, mais il faut savoir profiter des bonnes choses. Et puis, en excellente cuisinière des jeux d’impacts, tu sais ajouter les bons ingrédients au bon moment. Dans la recette du nounours de nouvel an est venu le tour d’un souffle reptilien, la langue de dragon version longue vient s’abattre à plusieurs reprises sur mon dos. Cela claque sec m’arrachant au passage des râles de satisfaction. Enfin … jusqu’à ce que, par inadvertance, la lanière vienne me cingler dans le sillon fessier. Ouch ! Je ne peux réprimer un cri. Je crois même que j’en frémis pendant quelques secondes avant de reprendre mes esprits pour profiter des cinglements suivants que tu m’appliques tantôt dans un sens tantôt dans l’autre. Ca va être un vrai sac de nœuds si quelqu’un essaie de lire dans les fameuses marques en forme de losange disséminées en toutes directions. Toujours est-il que tu fais durer ces retrouvailles avec le dragon. Hummmm ! J’accueille avec tout autant de plaisir la suite, la longue et fine lanière d’un des fouets. Une fois n’est pas coutume, tu ne m’as pas affublé de la cagoule en cuir qui protège ma précieuse tête dans ces situations. Sait-on jamais si un cracker essayait de venir chatouiller mes oreilles ou plus si affinités. Néanmoins, tu prends soin d’éviter ce genre de déconvenues, parvenant avec succès à venir cingler mon dos, mes épaules et mes fesses. Ces morsures, tout en longueur, sont toujours aussi électrisantes, et à la fois, toujours aussi plaisantes à recevoir. Ce n’est pas que je pourrais rester ainsi des heures mais la position et le confort du lit aident à cette sensation de bien-être stimulant. En excellente stratège connaissant son nounours sur le bout des doigts, tu décides de conclure la soirée de la pointe de tes griffes. J’apprécie beaucoup des choses que tu m’infliges mais cela reste mon addiction numéro une. Et comme je ne cherche pas à me soigner cela ne risque pas de changer. Tu cherches d’abord à les planter de mon popotin. Gloups ! Toujours pas d’autorisation de prélèvement ! Puis tu remontes le long de mes cuisses à rebrousse-poil, chose que tu ne fais jamais. Cette nouveauté m’offre une sensation bizarre limite à me faire rire tant la sensation est inattendu, assez difficile à décrire, ni griffure, ni chatouille, mais quelque chose entre les deux. Comme je te partage ce ressenti, tu t’amuses immédiatement à insister avant, bien évidemment, de te concentrer sur mon dos pour m’arracher quelques ronronnements incontournables de cette pratique, les derniers avant un repos bien mérité pour toi. Pour ma part, je fais un détour sous la douche pour me débarrasser du surplus de cire toujours présent autour de mon téton. Le lendemain soir, tu décides de marquer la fin de mon séjour par une séance de cordes. Comme tu te plais à le dire, c’est moins fatiguant pour moi à la veille de reprendre la route. Cette fois, ma tenue est à l’opposé de celle de la veille. Avec la combinaison noire, je suis totalement recouvert, depuis le bout des orteils jusqu’au cou. Le collier de tous les jours vient prendre place, il faut dire qu’en plus de sa symbolique, il va t’être utile pour la suite. Tu sors de ton stock, les deux cordes rouges en coton, les plus longues. A partir de là, j’admire ta patience et ton sens de la perfection. Il n’y a pas d’autre mot pour ce lancer dans le « tissage » de ce qu’on peut assimiler un plastron qui court depuis mon cou jusqu’à hauteur de mon intimité, sans oublier quelques boucles de contrainte à la fois sur la poitrine, à hauteur de taille et sur les cuisses. Avec les brins qui restent, tu te débrouilles pour m’immobiliser les mains dans le dos en nouant mes poignets entre eux. Il ne faudrait pas non plus que ce soit trop confortable. D’ailleurs, il manque encore quelques détails, à commencer par la cagoule légère. Tu ne m’as pas fait amener les talons pour rien ; c’est le moment de les chausser, sûrement pour me donner un peu plus de hauteur. Quant au but recherché avec le bâillon rose en forme d’os, je l’ignore ; ce qui est certain, c’est qu’il me fait rapidement saliver à grandes eaux. J’imagine que le résultat est plaisant à regarder. Je t’entends même l’immortaliser. Clic ! Clic Clic ! Avant de mettre un point final, tu rajoutes une dernière contrainte, en forme d’essai préliminaire pour de futurs usages. Ces sangles de pilate se révèlent fort efficaces. Une fois nouées autour de ma poitrine et mes bras, leur élasticité se fait sentir venant me comprimer encore un peu plus que les cordes ne le faisaient déjà. Nulle doute que la prochaine fois, elles auront plus qu’un rôle de décoration, façon ruban sur un paquet cadeau.
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Par : le 29/01/25
(C'était il y a un an... souvenirs) Cette nuit, nous logeons dans un lieu atypique et chargé d'histoire. Amarré à Dubaï depuis quelques années, le Queen Elizabeth 2 est désormais un hôtel luxueux, qui ne navigue plus mais qui a gardé un charme fou. Je me sens à la fois dépaysée géographiquement mais aussi dans le temps avec cette décoration d'une autre époque et une ambiance "Titanic". La chambre est somptueuse et dispose d'une jolie terrasse qui offre une vue dégagée et sans vis à vis sur le port. La journée s'achève et aussitôt arrivés, mon Maître m'ordonne d'aller au bar chercher deux verres que nous prendrons dans la chambre avant d'aller dîner. Je m'empresse d'obéir et retrouve miraculeusement mon chemin dans le dédale de couloirs, et la multitude d'ascenseurs et escaliers qui composent ce géant des mers. Lorsque je rentre dans la chambre, je m'attends à ce que mon Maître me dise d'aller m'apprêter afin de Lui présenter son verre en étant parfaitement conforme. Il n'en fait rien et m'ordonne d'amener le plateau sur la terrasse et de l'y attendre entièrement nue. Je suis surprise par cette consigne inhabituelle mais je m'exécute sans poser de question. En arrivant sur la terrasse, je comprends immédiatement. Le soleil couchant embrase le ciel au-dessus de l'horizon et offre un spectacle magnifique mais éphémère. Si j'avais dû être conforme, la nuit serait tombée avant que je ne sois prête. Il me rejoint alors que je suis nue et agenouillée, le plateau qui supporte nos verres entre les mains, la tête et les yeux baissés, soumise. Il s'installe dans un confortable fauteuil face au soleil couchant et m'autorise à relever les yeux et à profiter du spectacle. Peu de temps avant, j'étais emmitouflée dans mon manteau et mon écharpe pour traverser Paris, et ce soir, je suis nue sur une terrasse de paquebot, à admirer le soleil se coucher derrière le golfe Persique. Je me délecte de ce contraste, de ce voyage imprévu. D'être là, Sienne, à Ses pieds. Je tends le plateau vers mon Maître qui saisit Son verre. Il m'autorise à prendre le mien. Nous trinquons à ce nouveau voyage. Il s'amuse de voir mon sourire et mes yeux pétiller de bonheur. Nous évoquons d'autres souvenirs, d'autres pays. La Laponie il y a peu. Moi qui adore les contrastes, je suis comblée. Tandis que nous parlons, le soleil poursuit sa course vers la mer et je me remémore d'autres moments, d'autres ciels embrasés. Je ne réalise sans doute pas la chance qui est la mienne. Mes yeux se tournent un bref instant vers la chambre et mon Maître le remarque aussitôt. Il m'interroge du regard et je Lui répond que j'ai été distraite par notre reflet dans la baie vitrée. De là où je suis, je me vois entièrement, agenouillée, les fesses sur les talons, pieds nus. C'est sans doute ce qui a le plus attiré mon attention tant c'est rare. Mais ce que j'aime le plus, c'est Sa main posée entre mes reins, sur le haut de mes fesses. J'aime cette image que nous renvoyons. Ma soumission totale, ma nudité, mon collier d'acier, ma position agenouillée, et Sa main, simplement posée entre mes reins alors que nous discutons. Il m'autorise à prendre ce reflet en photo et malgré le soin que j'y mets. le cliché n'est pas aussi beau que l'image renvoyée, mais j'aime ce qu'il représente. Un moment à la fois unique et hors du temps, au cœur d'un voyage incroyable sur un pont de paquebot mythique, mais aussi finalement très naturel et représentatif de notre Lien si particulier. De notre complicité. Le soleil a disparu derrière la mer, quelques bâtiments se sont illuminés çà et là. La nuit tombe sur Dubaï. Nos verres sont vides. A son ordre, j'enfile une robe et une paire de talons. Nous allons dîner. Après, je prendrais le temps de m'apprêter comme Il aime que je le sois. Alors, il disposera de moi comme Il en aura envie. Ici ou ailleurs, je Lui suis pleinement soumise. (Vous pouvez retrouver d'autres textes et extraits de mes romans sur mon blog : www.evadelambre.com)
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Par : le 21/01/25
Les rituels transcendent les simples habitudes ou routines : ils constituent des instruments puissants de connexion, de confiance et d'affirmation. En instaurant une structure et une intention, ces rituels peuvent intensifier les liens émotionnels, psychologiques et physiques. Ils jouent également un rôle crucial dans la consolidation des rôles au sein d'une dynamique. Un rituel se définit comme une action ou une cérémonie significative et répétée. Contrairement aux routines, souvent utilitaires, les rituels portent un poids émotionnel ou symbolique. Dans le cadre d'une relation D/s, ils rappellent l'échange de pouvoir, la confiance mutuelle et l'engagement pris par les partenaires. Voici quelques exemples de rituels : Un soumis qui s'agenouille devant son Dominant au début ou à la fin de la journée. Une salutation ou un titre particulier utilisé en privé (comme « Bonjour, Maître »). Un moment de réflexion nocturne où le soumis évalue ses tâches de la journée et cherche l'approbation de son Dominant. Un collier placé par le Dominant sur son soumis pour marquer une transition vers un état d’esprit D/s. Ces instants, réalisés de manière régulière, deviennent des fondations de stabilité, de confort et d’intention. Pourquoi les rituels sont-ils si puissants ? Les rituels agissent comme des ancres, ancrant les individus dans la dynamique qu’ils ont choisie. Prenons l’exemple d’un soumis qui attend la permission de son Dominant avant de manger. Ce geste, bien que simple, a un impact considérable. Sans un mot, ce rituel réaffirme la dynamique de pouvoir, renforçant les rôles de manière subtile, sans nécessiter de rappels constants. C’est une approche discrète mais intentionnelle : les deux partenaires restent engagés et connectés, ancrés dans leur structure au milieu du tumulte de leur quotidien. Imaginez un soumis qui, chaque matin, prépare et offre une tasse de café à son Dominant. À première vue, cela semble être un simple geste, mais en réalité, il revêt une signification bien plus profonde. Ce moment de partage, ce regard échangé, tisse un lien tacite entre eux. Offrir cette tasse ne concerne pas seulement la caféine, mais l’intention, la présence et l’approfondissement d’un lien qui se manifeste dans les silences où les mots ne sont pas nécessaires. Ces rituels deviennent des instants de concentration pure, rappelant à chacun l’importance de l’autre. Les rituels apportent également un sentiment de sécurité et de prévisibilité, des éléments cruciaux dans des relations où la vulnérabilité est omniprésente. Une dynamique D/s saine repose sur la cohérence. Le soumis sait qu’il peut compter sur une structure ; le Dominant est assuré que ses besoins seront pris en compte. Il s’agit d’offrir stabilité, réconfort et constance. C’est à travers ces rituels, petits mais puissants et profondément personnels, que la dynamique D/s trouve son rythme. Ils forment un langage silencieux qui renforce les liens, établit la confiance et nourrit la connexion, un acte intentionnel à la fois. Créer des rituels adaptés à votre relation Les rituels doivent refléter la dynamique unique de votre relation. Pour élaborer des rituels significatifs : Communiquer ouvertement : discuter des rituels qui résonnent avec les deux partenaires. Le consentement et l’harmonie sont essentiels. Commencer modestement : initier des rituels simples et réalisables. Trop de complexité peut engendrer du stress ou de l’épuisement. Mettre l’accent sur l’intention : la signification émotionnelle ou symbolique d’un rituel est plus importante que sa complexité. Évoluer avec le temps : à mesure que votre relation progresse, les rituels doivent également évoluer. Ne pas hesiter à les réévaluer et à les ajuster si nécessaire. En somme, les rituels vont bien au-delà de simples règles ou routines : ils sont des actes de dévotion et des manifestations de la dynamique. Ces gestes intentionnels renforcent la confiance et approfondissent le lien au sein de la relation. Nous naviguons entre différents mondes (travail, famille, cercles sociaux) où la dynamique n’est pas toujours manifeste. C’est ici que les rituels prennent tout leur sens. Un mot, un regard, un geste anodin peuvent signaler la transition vers cet espace partagé. Un instant, vous discutez d’un client difficile au travail, et l’instant d'après, chacun reprends son "rôle", chacun à sa place...  
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Par : le 15/01/25
Dans le premier épisode de mon Podcast « Parlons BDSM », « Devenir Sienne, histoire d’un premier roman », je vous invite à découvrir la genèse de mon premier roman « Devenir Sienne » (publié en 2023 aux Editions Tabou), et qui, contrairement à ce que beaucoup imaginent, n’a rien d’autobiographique.    J’ai décidé d’en proposer une version écrite mais si vous souhaitez l’écouter c’est ici : https://youtu.be/zJ5uWUXgEck À l’origine, je n’avais pas du tout prévu d’écrire un livre et encore moins un roman BDSM. J’étais à la recherche de quelque chose d’excitant, qui pourrait stimuler mon imagination. N’étant pas adepte des films pour adultes, je cherchais sur le Net des textes érotiques qui pourraient me faire fantasmer, mais tout ce que je trouvais me semblait très fade, trop langoureux. À cette époque, je n’avais rien vécu de BDSM. Je ne connaissais même pas cet acronyme. Toutefois, avec le recul que j’ai aujourd’hui, je sais que cet univers m’attirait et intuitivement, c’était le genre de texte que j’avais envie de lire. Adolescente, j’avais déjà lu “Histoire d’O”. Ce livre m’avait questionnée, mais pas vraiment fait fantasmer. Toutefois, je savais que l’idée d’être vraiment dominée dans le cadre d’une relation sexuelle me plairait beaucoup. Je suis finalement tombée sur une scène qui correspondait plus ou moins à mes attentes et que j’ai trouvé plutôt émoustillante, mais je restais tout de même assez frustrée.   Le texte était écrit de façon assez crue, presque vulgaire et cet aspect m’a plutôt troublée. J’avais donc ce texte assez cru devant les yeux et, au-delà du fond qui n’était pas exactement celui que j’aurai aimé lire, je me suis demandé si j’oserai l’exercice d’écrire ainsi, sans filtre. Je revois encore cette scène, où seule devant mon PC, je rougissais, presque honteuse, à l’idée de mettre des mots sur des gestes finalement assez classiques. J’ai voulu relever le défi et rédiger une vraie scène avec un contexte, tout en me rapprochant d’une situation que je trouverai excitante. Sans doute dû au fait que je débutais dans l’exercice et que ça m’a semblé plus naturel, j’ai imaginé une “première fois” entre deux personnages. Je suis aussi restée assez soft, bridée par cette gêne que je n’aurai pas imaginé avoir, à user de mots crus. Une fois le texte écrit, j’étais assez satisfaite de moi, et après de nombreuses hésitations, et sous couvert d’anonymat, j’ai créé un compte sur le site ou j’avais lu texte à l’origine de tout cela, j’ai publié le mien sur le même forum de “textes érotiques”.   Peu sûre de moi et me sachant très sensible à la critique, j’ai envisagé pendant quelques jours de ne jamais aller consulter les éventuels commentaires. Mais des notifications m’arrivaient par mails et finalement, la curiosité a été plus forte. Lorsque je me suis reconnectée, six commentaires avaient été publiés sur mon texte. Tous très positifs, et certains, réclamant la suite. Je n’avais jamais envisagé de suite. À mes yeux, ce n’était qu’un défi que je m’étais lancée à moi-même, pour l’expérience. Pour m’occuper lors d’une soirée ennuyeuse. Je décidais de ne pas donner suite et me satisfaisait de ces retours positifs. Et puis… je repensais à mes personnages que j’avais laissés sous la douche. Je ne les avais pas nommés, puisqu’ils n’étaient pas destinés à évoluer. J’avais posé un contexte qu’il me faudrait gérer, si je voulais développer leur histoire. Ça ne me semblait pas simple, et je réfléchissais à ce que je pourrais écrire d’autre, mais je revenais toujours à eux. Ça ne me coûtait rien de tenter d’écrire une scène de plus. Alors c’est ce que j’ai fait, et peu à peu, les premières pages de Devenir Sienne se sont écrites. Je publiais par petits bouts, jour après jour, motivée et encouragée par les commentaires. J’avais commencé à écrire à la première personne du singulier et naturellement, certains lecteurs ont pensé qu’il s’agissait de mon histoire. Je n’ai pas démenti, sans pour autant le confirmer. J’aimais l’idée qu’on m’imagine vivre cette relation qui dès le début, s’était orientée Dominant/dominée. À l’époque je n’avais jamais entendu parler de safeword, mais naturellement, il s’est imposé entre mes personnages. Je ne connaissais aucun code ni personne qui vivait une telle relation, mais je ne cherchais pas à en savoir plus. J’écrivais “mon” histoire même si ce n’était pas la mienne. Je me souviens de mon excitation lorsque j’imaginais certaines scènes avant de les mettre par écrit. Les ordres, les mises à genoux, les rituels. Rien que d’écrire “oui maître” dans ce récit, faisait résonner quelque chose en moi. Et de plus en plus, j’ai eu envie d’aller plus loin dans cette succession de textes que je publiais alors presque quotidiennement sur le forum et sur un blog que j’avais créé. Cet espace de blog a été à l’origine de quelques échanges avec de “vraies” soumises dont je jalousais la légitimité alors que je n’étais qu’une fantasmeuse. Cependant, à cette période de ma vie, je n’envisageais pas du tout de passer à l’acte. D’une certaine façon, écrire me suffisait. Et le fait qu’on pense que j’étais l’héroïne de cette histoire me troublait agréablement, comme si l’idée que je puisse être capable de tout ce que j’écrivais pouvait achever de combler la frustration. Et puis il s’est passé quelque chose qui a tout changé.   En parcourant les autres blogs autour du mien, j’ai découvert celui d’un maître. Un “vrai” oserai-je dire car il y avait bien des profils qui cherchaient à donner l’illusion, mais qui ne dupaient pas grand monde, pas même moi, qui n’y connaissais encore rien. Je dois préciser que nous n’étions pas sur un site BDSM, loin de là. J’ai donc parcouru les récits de ce Maître avec fascination. Pour moi, il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait de situations vécues que je serais bien incapable de vivre réellement. D’autant plus que ce maître dégageait beaucoup de choses, beaucoup de charisme, je le sentais très élitiste, et vraiment dans un monde à part. Inaccessible. Je ne cherchais d’ailleurs pas à entrer en contact, je ne m’en sentais nullement légitime. Et puis dans quel but l’aurais-je fait ? Je m’empresserais simplement de lire ses publications, bien trop rares. Indirectement, cette “rencontre” à donner corps au personnage de Hantz dans Devenir Sienne. Maître aguerri, beaucoup plus expérimenté, plus dur et plus exigeant que le personnage principal de Devenir Sienne qui débutait. Cela m’avait facilité la tâche au début, mais à ce stade, j’avais envie d’aller plus loin, d’explorer mes fantasmes SM sans me limiter. Je ne trouvais pas très crédible de faire évoluer ainsi brusquement un maître novice. Et par ailleurs, ajouter des personnages démultipliait les possibilités. C’est ainsi qu’Hantz et Laura sont entrés en scène, couple improbable et atypique, volontairement choquant de par leur grande différence d’âge. Je crois que Laura représente un peu mon idéale de soumise. J’ai adoré décrire son abnégation, son rapport au SM, sa volonté d’être à lui, envers et contre tout. Et Hantz, qui malgré le physique imparfait de Laura et toutes les possibilités autour de lui, avait trouvé en elle celle qui lui correspondait vraiment. J’ai aussi beaucoup aimé le personnage de Hantz que j’ai volontairement poussé loin dans la dureté et l’intransigeance. Je sais au plus profond de moi que je n’ai jamais envisagé ce type de relation comme un jeu. Bien plus que les scènes de sexe qui pourtant sont nombreuses sans Devenir Sienne, ce sont les scènes d’extrême soumission que j’ai le plus aimé écrire. J’ai aussi pris beaucoup de plaisir à analyser les émotions que j’imaginais pouvoir ressentir dans de telles situations. Je n’avais rien vécu, mais j’avais tellement poussé loin la visualisation de ces scènes que ça me semblait presque concret. Jour après jour, je continuais à publier sur le forum et sur mon blog, et parfois, un ou une lectrice me faisait la réflexion que je devrais essayer de publier ce texte, que cette histoire était devenue un roman à part entière. L’idée faisait son chemin sans que je la formalise vraiment. J’étais surtout heureuse et flattée que ma plume capte l’attention de lecteurs fidèles qui reconnaissaient attendre impatiemment tous les soirs la suite de l’histoire. Alors que j’en étais arrivée au stade de l’histoire ou la soumise partageait des séances assez hard avec Hantz, je découvrais un nouveau récit du Maître dont je lisais les publications. Le texte était vraiment très beau, au-delà de la séance décrite, le sens profond était fort. Alors que je ne laissais jamais aucun commentaire nulle part, cette fois, sans me laisser le temps de réfléchir, j’osais commenter. Juste un mot “magnifique”. J’appréciais que mes lecteurs me laissent trace de leurs passages en commentant mes textes alors j’ai voulu moi aussi, simplement dire que Ses mots m’avaient touchée. Et ce fut le début d’une autre histoire, la mienne cette fois. La découverte de mon existence et de mon profil l’a amené sur mon blog et ce récit que j’alimentais régulièrement. Les textes étaient très explicites, surtout à ce moment de l’histoire, les scènes très crues et assez hard. Malgré le côté narratif de mon écriture, Il a vite compris que ce n’était que du fantasme. Intrigué, certainement, de savoir qui se cachait derrière mon profil et mes mots, Il a initié un échange et pour moi ce fut l’évidence… et dans le fond, j’avais l’impression de l’avoir toujours su. Il n’avait pas de soumise attitrée à ce moment-là et malgré toutes mes craintes de ne pas être à la hauteur, l’envie était plus forte. Les mots ne me suffisaient plus. Je voulais vivre. Et surtout, je voulais vivre avec Lui. Bien sûr, rien n’a été simple. Toutefois, si j’étais complètement novice dans les faits, je ne manquais pas de volonté et ce que je suis au fond de moi, Il l’a très vite cerné. Je suis donc “devenue sienne” et cette étape, ce changement entre simplement être soi, et “être sienne” m’a beaucoup interpellé. Pour moi, et pour nous bien sûr, jamais il n’a été question de jeu. Je n’aurai jamais toutes les aptitudes de Laura, mais au fond de moi, je vois la soumission ainsi profonde et sincère. Pour celles et ceux qui ne l’ont pas encore lu, je vous invite à lire mon roman, justement intitulé “évidence” qui retrace mes premières années en collier. N’étant plus dans le fantasme et découvrant cet univers par moi-même, j’ai un peu perdu l’envie de poursuivre mon récit. Celui-ci me servait principalement à extérioriser certains fantasmes ou me permettait simplement de prendre du plaisir à écrire des scènes que j’aimais imaginer, mais que je n’aurai pas souhaité vivre. Je préférai passer du temps à écrire ce que je vivais réellement, mes propres récits de séances que je ne partageais qu’avec Lui. Toutefois, je ne voulais pas laisser mes personnages comme ça, sans donner une fin à leur histoire. Je ne voulais pas non plus que mes lecteurs restent en attente d’une suite qui ne viendrait pas. J’ai donc utilisé un symbole fort de l’appartenance, qui me troublait et m’attirait, pour offrir un beau final. Après le marquage au fer de Laura j’ai conclu cette histoire et j’en ai annoncé la fin. La page était vraiment tournée, je pouvais en commencer une nouvelle, la mienne. Je me suis promis qu’un jour je reprendrai tous ces textes, que je les corrigerai, que je ferai quelques améliorations ou que j’ajusterai certaines transitions, pour avoir quelque chose d’abouti. Et qui sait, peut-être qu’un jour, je tenterais de le publier. Mais je n’avais pas la tête à ça. Je vivais ma propre histoire et découvrais une réalité, parfois bien éloignée, et parfois exactement comme je l’avais imaginée. Quelques années ont passé et … on a commencé à entendre parler d’un roman BDSM qui avait un gros succès aux USA. Intriguée, je m’étonnais qu’il y ait un public aussi large pour de tels récits et je me suis fait la réflexion que peut-être, le mien, qui n’avait toujours pas de titre à l’époque, pourrait trouver un public lui aussi. Mon Maître m’ordonna alors de le corriger, ce que je n’avais pas encore fait, et de le proposer à plusieurs maisons d’édition avant la parution imminente de Fifty Shades en France. L’ordre était de l’envoyer, mais la publication n’était pas de mon ressort. Je n’avais pas grand-chose à perdre et j’étais finalement heureuse d’avoir “l’obligation” de vraiment finaliser ce qui était devenu un vrai roman. Il me restait à lui trouver un titre. Je voulais que l’on comprenne bien que c’était une initiation à la soumission, que la soumise passait par un cheminement, une évolution. Je me suis alors souvenu de ces mots que j’avais eus lorsque j’avais rencontré mon Maître, et qu’il avait fait de moi sa soumise. “Je suis devenue Sienne”. Je trouvais qu’en utilisant “Devenir”, je sous-entendais cette progression finalement nécessaire, car il ne s’agissait pas d’une démarche de l’instant. Il y a ce moment où l’on porte un collier pour la première fois, mais ce n’est que le premier pas. Tout le reste s’apprend, on devient celle qu’Il veut que l’on soit. Il a validé ce titre et c’est ainsi que j’ai envoyé Devenir Sienne à trois maisons d’édition spécialisées dans l’érotisme. L’ordre était respecté. Très vite, Fifty Shades est sortie en France et sans l’avoir lu, j’ai compris que ce que j’avais écrit n’était pas du tout dans le même registre, et que j’avais certainement surestimé le “public” que j’imaginais ouvert au BDSM. J’ai cependant eu la chance d’être rapidement contactée par les éditions Tabou qui ont tout de suite cru en ce roman. Je n’oublierai jamais cet appel, et juste après, l’échange que j’ai eu avec mon maître. Il était fier de moi et de savoir que j’allais être publiée, et ça, aucun mot n’est assez fort pour traduire ce que j’ai pu ressentir en le réalisant. Quelques jours après, j’ai signé mon premier contrat d’édition et j’ai ainsi réalisé un des importants objectifs de vie que je m’étais fixé. Être publiée. J’étais encore loin d’imaginer que Devenir Sienne n’était que le premier d’une longue série de romans BDSM. Après ce premier pas, j’ai eu la chance de découvrir toutes les étapes de la publication jusqu’à découvrir enfin mon premier roman édité. Et ça ne s’est pas passé n’importe où, car sa publication a coïncidé avec le salon du livre de Paris 2013, et c’est à cette occasion que j’ai pu le tenir entre mes mains pour la première fois. L’un des moments les plus intenses et riches en émotion aura été celui où j’en ai offert un exemplaire à mon maître. Je sais que c’est grâce à lui si je suis allée au bout. Me connaissant, j’aurai trouvé des excuses pour ne pas en achever la correction et repousser encore et encore un éventuel envoi aux maisons d’édition. Je ne l’aurai peut-être jamais fait. Devenir Sienne n’est pas seulement l’histoire cette femme qui devient Sienne, en parallèle, c’est aussi la mienne, celle où je suis devenue la soumise de mon maître, et grâce à laquelle je suis devenue autrice. Ce livre reste le plus éloigné de ma réalité de soumise, car le seul à ne comporter aucune allusion à une scène vécue, contrairement aux autres. Pourtant, il est très particulier pour moi. Ils le sont tous, chacun pour une raison qui leur est propre, et j’aurai l’occasion d’y revenir dans des podcasts dédiés, mais Devenir Sienne a cette particularité de m’avoir accompagné dans bien des premières fois. Je me suis beaucoup attachée au personnage de Laura, si bien que j’ai par la suite décidé de lui consacrer un autre roman, « Marquée au Fer”. Elle apparaît également dans « Parfums d’elles », tout comme la soumise, finalement surnommée “Elle” de Devenir Sienne. Pourtant, quand j’ai su que « Devenir Sienne » allait être publié, je n’ai pas tout de suite envisagé d’écrire un autre livre. C’est devenu une évidence petit à petit. J’avais beaucoup à exprimer et à extérioriser, et l’écriture est un moyen qui me convient très bien pour le faire. Je ferai prochainement un podcast consacré à mon second roman, “L’Esclave” dans lequel il sera davantage question de la condition “soumise ou esclave” et de vivre vraiment cette condition, que du livre-objet en lui-même. J’espère que vous avez aimé découvrir la genèse de mon premier roman, Devenir Sienne. N’hésitez pas à me donner votre avis et à commenter cet épisode. Je publie un nouvel épisode un lundi sur deux à 18h. N’oubliez pas de vous abonner aux différentes plateformes d’écoute et sur ma chaine Youtube pour ne pas les rater et à très bientôt. https://www.youtube.com/channel/UCvivWqxg8kVD1lVd4KdSmLg
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Par : le 13/01/25
Le grincement de la serrure me transperce les oreilles. Lorsque la porte de la petite bibliothèque privée s’ouvre, mon Maître me trouve là, titubante, le regard dans le vide. « Ysideulte ! Que se passe-t-il ? » Les mots du pangolin fou m’ont secouée. Je m’agenouille, en signe de respect, mais aussi pour ne pas trébucher ou m’évanouir. Cuisses ouvertes, bien cambrée, yeux baissés, comme il me l’a appris. « Puis-je vous parler, Maître ? » Je lui relate la conversation que je viens d’avoir [1]. Il semble aussi surpris que moi. « Que décidez-vous, Maître ? » Un long silence s’ensuit. « Je ne peux pas décider cela à ta place, Ysideulte. Ce serait de l’abus de pouvoir ». Me voilà bien avancée. A quoi bon être esclave si mon Maître se défile quand il y a une décision grave à prendre ?  « Viens, le dîner est servi » me dit-il en m’aidant à me relever. « Maître, aviez-vous prévu de me marquer au fer ce soir ? Le pangolin fou a dit : Quand vous serez marquée, réfléchissez à ma demande » « Tu seras marquée au fer rouge, oui, mais pas ce soir ni demain » « Alors, je ne comprends pas la chronologie. Je dois décider avant demain 15h, mais il m’a demandé de décider une fois marquée » « Je ne sais pas Ysideulte, le pangolin fou ne pense pas comme nous » « L’avez-vous rencontré physiquement, Maître ? » « Non, et je ne connais personne qui l’ait rencontré. » « Je ne sais que penser, Maître. Est-ce un fou ou un génie ? Et s’il jouait avec nous et que tout cela n’avait aucun sens ? » « Peut-être que l’on ne comprend pas parce qu’il a plusieurs coups d’avance. Tu as vu ce qu’il a fait à Davos, semer la panique au cœur de la zone la plus sécurisée de la planète [2]. Et si le but principal n’était pas de te libérer mais de te montrer ce dont il est capable, pour que tu lui fasses confiance ? » « La liberté d’expression est l’ennemie de la démocratie ! » martèle un éditorialiste à la télévision, appelant à encore plus de censure et de contrôle de l’information. « En effet ! Il faut interdire les fausses opinions ! » renchérit une politicienne invitée sur le plateau. Clic ! Mon Maître leur coupe la chique. Une phrase qui m’emplit de bonheur met un terme à ce discours insupportable :  « Ce soir, exceptionnellement, tu pourras dormir dans le lit » La brosse à dents à ultrasons s’est avérée remarquablement efficace. Le mécanisme d’ancrage de l’obus vaginal n’a résisté qu’une dizaine de secondes avant de se rétracter. Le pangolin fou avait raison sur toute la ligne. Fou ou pas, ses conseils sont avisés.  Blottie dans les bras de mon Maître, je m’endors presque instantanément. Qu’elles sont apaisantes les douces caresses de ses mains sur mon dos, sur mes fesses ! Une gifle me réveille en sursaut. « Dépêche-toi, salope ! On n’a pas de temps à perdre » Mon Maître me saisit brutalement par les cheveux et me sort du lit. « A quatre pattes, chienne ! » La laisse est promptement attachée à mon collier et je suis traînée jusqu’au salon sans ménagement. Deux femelles complètement nues comme moi sont attachées, au milieu de la pièce, suspendues par les pieds. Un homme à l’aspect patibulaire, qui semble tout droit échappé du bagne, se tient près de la cheminée. Le gros Dobermann qu’il tient en laisse grogne, bave, montre les dents et s’agite, la bite en érection. J’en suis terrifiée. Mon Maître me fait mettre face et mamelles contre terre, cul en l’air, cuisses écartées. D’une claque cinglante sur les fesses, il m’intime l’ordre de les écarter avec les mains. Je reste ainsi exhibée, humiliée, attendant la saillie. Tellement obnubilée par cette anticipation que je ne me rends même pas compte que mes chevilles viennent d’être reliées au treuil qui me retourne et m’élève dans les airs tête en bas comme un morceau de viande. Mon Maître adore faire diversion et contrarier mes anticipations. Le chien s’est calmé. Le bagnard s’affaire autour du feu. Quand il se retourne, brandissant fièrement un fer rougi, mes deux compagnes d’infortune se mettent à hurler.  « Silence femelles ! » hurle le sale type, alors que le chien se montre menaçant à nouveau. C’est la première fois que j’assiste à un marquage au fer. Je m’étais renseignée bien sûr, tant j’espérais qu’un jour mon Maître me jugerait digne d’être marquée. J’avais entendu parler de cérémonie, de longue préparation. Le fer doit être chauffé par une flamme de type camping gaz ou chalumeau et non dans les braises pour ne pas laisser de résidu [3]. Je suis surprise que mon Maître n’ait pas exigé cette précaution élémentaire, lui qui est toujours si soucieux de ma santé. J’avais lu également qu’être solidement attachée est indispensable pour ne pas bouger pendant l’application. Que penser de cette position, suspendue par les pieds ? Mon Maître aurait privilégié l’humiliation en passant outre toutes les règles élémentaires ? Cela ne lui ressemble pas et m’inquiète au plus haut point. Deux ou trois secondes. C’est court pour celui qui applique, une éternité pour celle qui reçoit. Elle hurle de douleur. Puis c’est au tour de la deuxième. Du travail à la chaîne, bestial, dégradant. Jamais je n’aurais imaginé que mon Maître m’infligerait une telle humiliation. Marquée à la chaîne avec d’autres femelles, comme du bétail. Toute dignité s’étant évaporée, je me mets à hurler moi aussi avant même que le fer me brûle la chair. La douleur est violente mais disparaît en une fraction de seconde, bien avant le retrait du fer, comme si toute la zone venait de subir l’injection d’un anesthésique extraordinairement puissant. Je n’ai plus aucune sensation dans tout le bas du corps. Les zébralyvox gémellaires sont incroyablement efficaces [4]. « Il faut se dépêcher, ils vont arriver ! », crie mon Maître. Descendre mes deux congénères semble prendre une éternité. Je suis encore suspendue tête en bas quand la porte du chalet est défoncée. Une unité d’intervention des Brigades de Défense de la Démocratie, lourdement armée, entre en trombe. Mon Maître ronfle doucement à mes côtés. Je suis au bord de la tachycardie. Je passe la main sur le haut de ma fesse gauche. La peau semble lisse, sans irrégularité. Pourtant tout cela semblait tellement réel. Je soulève doucement la couette et saisis mon téléphone portable sur la table de nuit pour éclairer ma fesse. Rien, aucune marque… Les bruits de la nature, qui devraient m’apaiser, m’angoissent soudainement. Je suis à l’affut du moindre son suspect. Et si les Brigades de Défense de la Démocratie encerclaient déjà le chalet ? N’y tenant plus, je tente de me lever sans réveiller mon Maître, pour aller jeter un coup d’œil à l’extérieur, mais je m’écroule sur le sol, incapable de tenir en équilibre et de coordonner les muscles de mes jambes. Tout le bas de mon corps est anesthésié. Les zébralyvox gémellaires ont réagi à mon cauchemar. Plus aucun doute n’est permis, ils sont connectés à mon esprit, je ne sais comment. Le vacarme de ma chute réveille mon Maître. Je m’attendais à être giflée et punie, mais il m’aide délicatement à remonter sur le lit et me prend dans ses bras rassurants pendant que je lui raconte mes mésaventures oniriques. Tout devient clair tout à coup, comme si mon esprit avait travaillé pendant la nuit, comme si ce cauchemar était un message venant des profondeurs de mon inconscient. Je suis marquée au fer à présent. Pas réellement mais je l’ai vécu par l’esprit, je l’ai ressenti si intensément, avec tellement de réalisme que c’est tout comme. « Quand vous serez marquée, réfléchissez à ma demande. La décision vous appartient », avait dit le pangolin fou. Comment pouvait-il savoir ? Il suscite mon admiration et me fait peur à la fois. L’inconnu me fait peur. Ne pas comprendre me fait peur. « Nous ne pourrons jamais vivre librement, n’est-ce pas Maître ? » Après un moment d’hésitation, certainement surpris par ma question un peu soudaine : « Les choses ne vont aller qu’en empirant, malheureusement. C’est dans l’ADN du totalitarisme d’étendre son emprise tentaculaire sur nos vies, jusqu’à la folie, ou jusqu’à sa propre destruction ». « Alors il faut le détruire, et le plan incompréhensible du pangolin fou est notre seul espoir » dis-je en chuchotant, comme effrayée par ma propre audace. « C’est ce que dit la raison, mais pas le cœur. Je ne peux pas te conseiller de te mettre en danger. Est-ce que tu comprends cela ? Si je dois décider à ta place, je t’interdirai de te rendre. » Malgré l’apaisement procuré par mon Maître, blottie contre lui, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Cogitations inutiles, je le sais très bien. Ma décision est déjà prise mais j’ai du mal à me l’avouer. Mon Maître me réveille en douceur. Le soleil est déjà levé depuis un bon moment. J’ai retrouvé mes sensations dans le bas du corps.  « Je vais te présenter à des personnes que tu seras heureuse de revoir » me dit-il en me mettant la laisse au cou. Sonia ! Ah ça oui ! Qu’est-ce que ça me fait plaisir ! Sonia et son esclave, la bite à l’air ! Le pauvre. Visiblement il a encore été durement fouetté. Sonia est décidément sans pitié. Sa bite se dresse sans délai pendant que je m’approche, nue, tenue en laisse, pour le saluer. J’adore voir un homme bander et savoir que j’en suis la cause. Cela me rassure et m’emplit de frissons de fierté qui m’envahissent le corps. « Arrête de mater sa bite, salope ! » me glisse mon Maître à l’oreille. « Je vais vous préparer le déjeuner » dit l’esclave, avec un charmant accent anglais. « Ah non, pitié ! » m’exclame-je, avant de devenir toute rouge en prenant conscience de la gaffe. Cela m’a échappé. Le souvenir de la bouillie fadasse qu’il nous avait préparée à Bornholm est gravé dans mon esprit. Ma réaction épidermique déclenche un fou rire généralisé. Apparemment je ne suis pas la seule à avoir un mauvais souvenir de ses talents culinaires. Il est convenu que les deux esclaves prépareront le déjeuner ensemble pendant que les Maîtres discuteront au coin du feu. Je m’attendais à l’honneur de partager, une fois de plus, la table des Maîtres, mais ils en ont décidé autrement. « Vous allez nous divertir en copulant tous les deux comme des bêtes pendant que nous déjeunerons, esclaves ! Si le spectacle n’est pas suffisamment excitant, vous serez punis.» La voix de mon Maître est dure. Il ne plaisante pas. L’esclave de Sonia n’a pas bien compris. Je lui traduis en anglais, en rougissant. Me voilà actrice porno chargée d’improviser un spectacle privé. Je n’ai jamais fait cela, évidemment, et je ne sais trop comment faire pour que le spectacle soit le plus agréable possible. Je m’inquiète surtout pour mon partenaire. C’est dur pour un homme de baiser comme une bête en se contrôlant pendant toute la durée d’un repas, et de ne pas se laisser impressionner par les regards dirigés sur lui. Il y a des situations dans lesquelles je suis bien contente d’être une femelle. Notre spectacle bien maladroit n’arrive pas à la cheville d’une prestation professionnelle, mais cela semble bien amuser nos Maîtres si j’en juge par leurs éclats de rires et leurs commentaires humiliants. Par compassion, probablement, ils abrègent notre humiliation et nous autorisent à rejoindre leur table. « Est-ce que Sonia est au courant, Maître ? ». Je le questionne à voix basse. « Oui, le pangolin fou l’a informé de ses intentions il y a deux jours. C’est pour cela qu’elle est venue » A peine le repas est-il terminé que, sous mes yeux stupéfaits, mon Maître commence à dévêtir Sonia. Elle se laisse faire docilement. En moins de deux, la voilà complètement nue, comme moi. Ma jalousie maladive me met presque en colère. Il ne va quand même pas oser la baiser devant moi ? Qu’est-ce que c’est que cette Dominatrice à la noix ? Pourquoi ne lui met-elle pas une baffe ? Il ne faut pas beaucoup de temps pour qu’elle se retrouve les bras en l’air, poignets attachés à des anneaux opportunément présents au plafond. Puis c’est mon tour. J’ai l’impression de revivre à la virgule près cette expérience qui m’avait profondément troublée lors de mon premier séjour chez mon Maître : « Face à face, mamelles contre mamelles, je ressens le souffle de Sonia sur mon épaule, les pointes de ses tétons saillants parcourant mes mamelles au gré de nos mouvements, heurtant parfois les miens, tout aussi saillants. C’est terriblement érotique. Je sens une excitation sexuelle irrépressible m’envahir». Non décidément, je ne suis pas 100% hétéro comme je le croyais et Sonia me fait un effet démentiel ! Le premier coup de fouet est cinglant ! Ah, putain ! Qu’est ce que ça fait mal ! « Embrassez-vous, femelles ! Qu’est-ce que vous attendez ? » Les coups de fouet sont espacés, mais terriblement douloureux, comme pour nous inciter à laisser toute pudeur de côté dans nos plaisirs saphiques. L’esclave de Sonia se tient à l’écart, jetant de temps à autre des coups d’œil sur la scène, puis baissant immédiatement les yeux comme ébranlé par ce qu’il voit. « Il y a certains tabous, universels ou propres à chacun, dont nous avons conscience. D'autres se révèlent par l'expérience et viennent nous mettre face à nos limites. » [5] Mon Maître n'arrête que lorsque nous sommes en larmes, épuisées, criant grâce. « Une seule de vous deux aura l’honneur de recevoir la bite dans le cul. Mettez-vous d’accord entre vous, femelles ! ». « Ysideulte ! » hurle Sonia Ah zut ! Elle a été plus rapide ce coup-ci. Mais je lui en sais grée. C’est peut-être la dernière fois que j’aurai l’honneur de recevoir la bite de mon Maître dans le cul. Qu’est-ce que c’est humiliant de se faire enculer ainsi en public ! Et pourtant j’en ressens du plaisir, moi qui habituellement déteste la sodomie. La dernière fois, peut-être ? Je ne pense qu’à ça et je veux profiter de chaque seconde. Une fois délivrée, j’ai à peine le temps de me refaire une beauté que l’on frappe à la porte. C’est déjà l’heure. Les adieux sont rapides. Je préfère abréger pour ne pas fondre en larmes, et mon Maître l’a bien compris. Lui aussi a énormément de mal à contenir ses émotions – je le vois bien. « Qu’avez-vous décidé ? » demande l’un des deux gendarmes à mon Maître. Il a bien compris que c’est à lui qu’il faut poser les questions. Je ne suis qu’une esclave, après tout. Je devrais peut-être me sentir humiliée de la situation, et pourtant j’en suis fière. Oui, c’est à mon Maître de répondre, même s’il m’a laissée décider. Sonia m’a apporté des vêtements. Je n’allais quand même pas me livrer à la milice toute nue ! Les gendarmes se chargeront de me déposer à bonne distance, dans une zone encore dépourvue de caméras de surveillance, et je continuerai à pied. Un bâtiment tout neuf à l’architecture futuriste. Le siège local des Brigades de Défense de la Démocratie est impressionnant. Rien n’est trop beau ni trop coûteux pour ces parasites. La colère m’envahit et contribue à me donner du courage. Peu importe ce qui arrivera, moi la fille effacée qui avais l’impression de traverser ce monde sans vraiment en faire partie, invisible, insignifiante, j’aurai fait de mon mieux pour porter un coup à la Suprême Alliance Démocratique. Un coup qui s’avèrera peut-être fatal, ou qui ne sera qu’un coup d’épée dans l’eau. Peu importe, il est trop tard pour avoir des états d’âme. Si le pangolin fou est vraiment timbré, il m’aura au moins donné de l’espoir, et ce n’est pas rien. alea jacta est à suivre Contexte et références L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication) [1] Voir « NewBrain – Conversation intime avec la pangolin fou »,  https://www.bdsm.fr/blog/10456/NewBrain-%E2%80%93-Conversation-intime-avec-le-pangolin-fou/ [2] Voir « Les Lunes de Davos »   https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/ [3] Je ne saurais que trop conseiller la lecture de l’article fort bien fait de Lady Spencer à ce sujet : https://www.bdsm.fr/blog/3873/Marquage-au-Fer-(=-Branding)/ [4] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/  [5] J’ai repris les mots de Carpo, qui relate, bien mieux que je ne saurais le faire, le choc ressenti dans une telle situation. Voir  https://www.bdsm.fr/blog/8479/La-premi%C3%A8re-fois-o%C3%B9-j'ai-vu-ma-Ma%C3%AEtresse-sous-l%E2%80%99impact%C2%A0/  et https://www.bdsm.fr/forum/thread/8080/Voir-sa-ma%C3%AEtresse-ou-son-ma%C3%AEtre-en-position-de-soumission/      
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Par : le 10/01/25
L'heure de la décision... La porte de mon appartement est entrouverte et j'ai posé un collier sur la table. Tu te tiens là...debout au centre de mon salon. Je t'ai donné l'ordre d'être nue, de garder les mains croisées dans ton dos et le regard fixe vers le mur qui te fait face. Tu aimes cette sensation de vulnérabilité autant que tu la détestes. Cette sensation que le monde n'existe plus et que tu es devenue l'unique centre d'attention te submerge rapidement, toi qui es la plupart du temps d'un naturel si discret. Je suis assis face à toi, dans mon fauteuil, volontairement muet pour ne pas lever le poids du silence qui se fait de plus en plus sentir sur tes épaules. Je me délecte du spectacle de ta poitrine qui se gonfle puis se vide au rythme de ta respiration qui s'accélère. Les dilatations erratiques de tes narines et les légers spasmes apparents de ton cou traduisent involontairement la tension qui monte en toi et peut être un vrai sentiment d'inconfort. Tu tentes parfois de sourire pour afficher un semblant de contenance qui disparaît bien vite...et j'aime voir le masque tomber une fois... puis deux fois lorsque le silence te rappelle à l'ordre. Je pose mon verre et me lève enfin. Je me poste devant toi et mon regard sévère est peut être une alternative plus douce au mur blanc qui te faisait face si longtemps. Pour la première fois depuis de longues minutes, je t'offre une connexion. Ma main ne te gifle pas cette fois mais vient tendrement caresser ta joue. Mes doigts effleurent ton cou puis ta gorge puis viennent tourner autour de l'auréole de ton sein. Je te tourne lentement autour pour prendre le temps d'observer et de mémoriser chaque courbe de ton corps, chaque grain de beauté... chaque "imperfection" qui te rend unique et te distingue de la masse de celles qui, à mon sens, ne sauront jamais te remplacer. Je me tiens désormais derrière toi, silencieux. Tu es de nouveau face à ce mur blanc, froid et figé dans ce moment qui semble être indélébile. Tu es cette fois seule... avec tes pensées, tes doutes, tes appréhensions et les souvenirs de ceux qui ne sont pas parvenus à t'apaiser... Lentement, mes mains viennent se poser sur tes hanches... caresser ton ventre puis épouser la forme de tes seins. Mes doigts viennent pincer tes tétons et les tirer. Tes râles de douleur et de plaisir viennent soudain briser le silence... mon complice dans cette manœuvre. Tes genoux fléchissent et ta tête se penche en arrière pour venir se poser sur mon épaule. Je te laisse faire et t'y encourage car je t'ai promis d'être ton soutien, ton port d'attache et ton réconfort. Ta situation de "détresse" me donne un accès idéal à ton cou d'où j'inspire profondément les effluves de ton parfum. Ce fameux parfum que j'ai immédiatement associé à ton être, à ton identité. Il m'a envoûté et séduit avant même que je ne me retourne pour te voir pour la première fois le jour où nous avons été présentés. Ce fameux parfum qui me réveille la nuit, me tire de mes songes...lorsque tu n'es pas là... et que j'ai malgré tout l'impression d'avoir senti l'espace d'un instant. Je te LIBERE désormais de mon emprise en espérant que tu aies envie de la retenir... même si je t'en empêcherais encore cette fois... une dernière fois. Je retourne m'assoir dans mon fauteuil et te permets de reprendre tes esprits. Je sors une cigarette du paquet que j'ai acheté la veille en prévision de ce moment puis l'allume. Je te regarde... t'observe... t'inspecte. Tu as su retenir mes instructions : ne pas quitter le mur des yeux. Le grésillement du tabac qui se consume à mesure que je fume par bouffées résonne dans ce silence comme le cliquetis des aiguilles d'une montre. Je te rappelle à l'ordre d'un claquement de doigts lorsque tes yeux se ferment. Serait ce parce que tu repenses à la douleur et au plaisir que j'ai consenti à t'offrir à l'instant ou est ce parce que tu as besoin de te reprendre le contrôle de la situation et de te recentrer ? Peu importe... je te veux présente dans l'instant, les yeux ouverts et l'esprit lucide. Je te veux mienne, rien que mienne. Je veux être tien. Je veux être TON dominant... que tu m'offre le statut de "Maître". Ce statut qui ne se prend pas mais se mérite. Ce statut qui est un honneur, un cadeau... l'ultime marque de confiance. Le Maître contrôle, possède, domine, décide, guide, éduque... mais seule la soumise a le pouvoir de choisir celui aux pieds duquel elle s'agenouillera. Le dernier grésillement résonne... le temps se fige. J'écrase ma cigarette. La porte de mon appartement est entrouverte et j'ai posé un collier sur la table. L'heure de la décision...
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Par : le 04/01/25
Le froid avait fait son apparition depuis longtemps déjà. Les gros manteaux et les écharpes couvraient les corps qui se hâtaient de rejoindre des lieux plus chaleureux que les rues couvertes de givre. La neige était attendue dans la soirée. Pour l’heure, le ciel était parfaitement dégagé. Un beau ciel bleu d’hiver au petit matin. À travers la vitre, elle regardait le paysage et le soleil pâle se lever et éclairer lentement l’horizon. Ses pensées l’amenaient loin, là où le TGV la conduisait. Là où Il l’attendait. Elle était conforme à Ses attentes et déjà apprêtée. C’était une des raisons qui lui faisait aimer l’hiver. Elle se sentait plus à l’aise lorsqu’elle pouvait dissimuler sa tenue de putain sous un long manteau. Pour son arrivée à la gare, Il la voulait en cuissardes, bas résille et mini-jupe en cuir. Il lui avait autorisé un pull bien chaud, à condition bien sûr, qu’elle ne porte rien en dessous. La douceur de la laine directement sur ses seins était d’ailleurs des plus agréable. À son cou, inévitablement, elle arborait fièrement son collier de soumise. Elle regardait l’heure régulièrement, incapable de se concentrer sur le livre qu’elle avait apporté en espérant occuper les trois heures trente que le TGV mettrait pour rejoindre la Suisse et son manteau blanc. À quelques jours de Noël, le paysage était féérique, Il le lui avait dit et elle avait hâte de se plonger dans cette ambiance de montagne, de chalet et de magie de Noël. Pour autant, elle savait qu’elle ne venait pas passer quelques jours cocooning devant un feu de cheminée. Certes, l’ambiance serait au rendez-vous, mais d’autres choses l’attendaient également. Elle les redoutait, autant qu’elle les espérait. Le TGV ralentissait enfin sa course et elle ne put s’empêcher de réajuster encore une fois son maquillage et ses cheveux. Elle voulait Lui faire bonne impression. Elle savait qu’aucun détail n’allait lui échapper. De sa manucure à son épilation intégrale en passant par tenue, sa démarche, son regard, tout serait observé et analysé. La pression monta d’un coup. Combien de fois L’avait-elle rejoint ainsi ? Quel que soit le rendez-vous donné, que ce soit à un angle de rue, une station de métro, un quai de gare, un aéroport, un hall d’hôtel, elle ressentait toujours et encore sa gorge se serrer et son ventre se nouer lorsque les dernières minutes qui la séparaient de Lui s’égrenaient à toute vitesse. Rien n’avait changé cela, ni les habitudes, ni le temps, ni le nombre de fois où cela s’était produit. Au fond d’elle-même, elle aimait inconditionnellement cette sensation d’oppression, d’angoisse et de panique qui venait se nicher au niveau du plexus, juste entre ses seins. À ce moment-là, elle savait exactement qui elle était. Elle n’avait absolument aucun doute. Elle était soumise. Sa soumise. Au plus profond d’elle-même. Elle se souvenait de ses premières fois, lorsqu’elle avait voulu se rassurer en pensant que ça passerait, que c’était normal : les premières séances, la peur de l’inconnu. Mais ce n’était jamais passé et après toutes ces années, elle en était heureuse. Cette sensation était intrinsèquement liée à sa condition de soumise. Le TGV s’arrêta enfin, et comme à chaque étape de son voyage, elle Lui envoya un SMS pour le Lui dire. Il l’attendait dans le hall. Elle connaissait les lieux. Elle se fraya un chemin entre les autres passagers qui remontaient le long du quai, a une allure rapide pour ne pas Le faire attendre, puis ralentit le pas sur les derniers mètres pour ne surtout pas sembler essoufflée. Elle avait ouvert son manteau pour qu’à chaque pas, Il puisse distinguer ses cuissardes et sa mini-jupe, juste séparées par quelques centimètres de résilles. Elle le savait tout près et ne ressentait plus aucune gêne à exhiber ainsi sa tenue. Au fur et à mesure qu’elle approchait, elle se sentait plus fière, plus assurée. Elle marchait avec élégance et assurance. Dès qu’elle L’aperçut, leurs regards se croisèrent, ils échangèrent un rapide sourire complice, avant qu’elle ne baisse les yeux. Une fois face à Lui, elle releva lentement son visage pour lui tendre sa langue. Elle sentait Son torse contre ses seins. Il avait passé une main dans son dos et la maintenait serrée contre Son corps. À peine quelques secondes, et déjà, à ce simple contact, au seul fait de Sa présence, elle sentait sa chatte se liquéfier de désir. Après l’avoir fait un peu patienter, Il s’approcha d’elle et aspira doucement, puis fermement, sa langue entre Ses lèvres. Vint alors l’instant qui la troublait toujours autant. À l’image de la sensation qu’elle avait ressentie juste avant de Le rejoindre, ce sentiment ne s’était jamais estompé. Jamais cela ne lui avait paru plus facile, jamais ce n’était devenu une habitude ou un geste anodin. Et jamais, elle ne parvenait à se défaire de ces quelques secondes de latence qui lui étaient nécessaires avant d’obéir. Elle fit le vide, s’enferma dans sa bulle et enfin, s’agenouilla à Ses pieds. La joue contre Sa hanche, les yeux clos, ils étaient seuls au monde. Le hall de la gare grouillait pourtant de voyageurs. Combien d’entre eux avaient arrêté leurs regards sur ce couple étrange ? Sur cette femme en collier qui s’agenouillait ainsi en public face à un homme, qui, sans nul doute, assumait parfaitement l’image qu’Il renvoyait à cet instant-là ? Combien auraient pu comprendre ? Combien posaient sur cette image un jugement arbitraire ? Combien connaissaient ce monde et affichaient un sourire complice ? Jamais elle ne le saurait. D’une pression sur l’épaule, Il lui fit comprendre qu’elle pouvait se relever. Elle se redressa lentement pour revenir tout contre lui. Troublée, mais intensément fière d’oser, d’être, et de vivre ainsi, soumise. Elle Le suivit jusqu’au parking, installa sa petite valise dans le coffre de Sa BM, ôta son manteau, et s’installa. Très vite après avoir quitté la ville, le paysage enneigé lui donna l’impression d’être au bout du monde. Elle était toujours émerveillée du dépaysement qu’elle ressentait après seulement quelques heures de train. Peu de temps auparavant, elle était encore dans les couloirs du métro parisien et maintenant, elle arpentait de sinueuses routes de montages enneigées. Le ciel bleu et le soleil achevaient de rendre cet environnement complètement idyllique. Conformément à sa condition et aux exigences de son Maître, elle s’appliquait à garder les cuisses ouvertes. Après quelques minutes de route, il y avait glissé Sa main, remontant jusqu’à sa chatte pour en éprouver l’humidité et s’assurer que son épilation était irréprochable. Il avait semblé satisfait et elle en fut soulagée. Nul doute que si ça n’avait pas été le cas, une remarque cinglante aurait fait naître en elle et pour un long moment, un profond malaise. Plus que tout, elle détestait Le décevoir et ne pas être à la hauteur de Ses attentes. Malgré ses efforts, il arrivait encore régulièrement qu’Il doive lui faire de telles remarques, sur des sujets divers et variés, et chaque fois, elle en ressentait une vraie douleur. Elle ne prenait jamais Ses mots à la légère, bien au contraire. Il passait souvent à autre chose rapidement, alors qu’elle ruminait son incompétence pendant des heures. Si bien que parfois, Il devait lui-même la reprendre fermement pour lui faire comprendre que le sujet était clos. Arrivée à destination, elle s’attela aussitôt à ranger ses affaires, heureuse de retrouver l’ambiance de ce petit havre de paix, entre montagnes et lac, qu’elle connaissait bien. La vue était toujours aussi belle, et, par une journée si ensoleillée, elle parvenait à distinguer le Mont Blanc derrière le lac qui scintillait de mille feux. La neige avait tout recouvert aux alentours et elle ne put s’empêcher de s’attarder face à la baie vitrée. Il vint près d’elle, Son torse collé contre son dos, et l’enveloppa de Ses bras. Nulle part au monde elle n’était aussi bien que lorsqu’elle était avec Lui. Elle oubliait tout le reste. Rien ni personne ne pouvait l’atteindre dans ces moments-là. Ils restèrent ainsi quelques minutes à admirer le paysage. Il n’était pas rare qu'Il ait de tels gestes envers elle, mais elle savoura à sa juste valeur ce moment de plénitude qu'Il lui offrait. L'instant fut trop court à ses yeux, mais chargé en émotion. Elle se promit de tout faire pour en être digne. Très vite, Il l'envoya s'apprêter correctement. Il voulait la soumettre et l'utiliser pleinement, avant toute autre chose. Elle se doucha et s'assura que sa préparation était conforme avant de parer son corps comme l'exigeait sa condition. Elle agrafa un porte-jarretelle autour de sa taille, enfila une paire de bas-couture et glissa ses pieds dans des escarpins vernis aux talons vertigineux. Elle portait toujours son collier de cuir autour du cou. Rien d’autre n’était nécessaire. Un dernier coup d’œil dans le miroir et elle baissa la tête pour rejoindre celui à qui elle avait confié sa vie, son âme et son corps, bien des années auparavant. Il la toisa sans complaisance et observa le moindre détail de son comportement. Elle s’agenouilla, cambra le dos pour mettre en valeur ses seins nus. Ses genoux étaient suffisamment écartés pour qu’Il puisse aisément y glisser Sa main. Elle n’avait pas relevé la tête, mais tendit vers Lui ses deux mains, sur lesquelles reposait, à plat, son collier d’acier. Celui qu’Il avait forgé pour elle et dont elle était intensément fière. Elle Lui tendait comme une offrande, comme une supplique de l’accepter encore une fois pour soumise. De le refermer autour de son cou, en pleine conscience de la signification de ce geste. Après de longues secondes durant lesquelles elle resta parfaitement immobile, n’osant même plus respirer, Il finit par s’en saisir. Elle courba la nuque afin qu’Il ôte son collier de cuir, et apposa un baiser sur l’acier de celui qu’Il s’apprêtait à lui passer autour du cou. Jamais ce rituel n’avait perdu en sens ou en intensité. Bien au contraire. À chaque renouvellement, elle mesurait la chance qui était la sienne de Lui appartenir. Et alors qu’Il lui dit les mots qui accompagnaient toujours ce rituel, une émotion sincère l’envahit tout entière. Elle se nourrissait sa condition, de son appartenance. C’était devenu une partie indissociable de son être, son oxygène. Sa raison d’être. À Ses pieds, elle revivait, elle se révélait. Alors lorsqu’Il lui fit relever la tête d’un doigt sous son menton et qu’Il plongea Son regard dur et exigent dans ses yeux, Il put lire en elle sans le moindre doute, son abnégation totale. Après ce constat d’évidence, Il l’attira vers Lui et elle vient prendre sa place, agenouillée entre Ses jambes, la joue posée contre le haut de Sa cuisse et les bras enlaçant Ses hanches, elle était encore et toujours sienne. Elle inspirait profondément, à la fois concentrée sur l’instant présent et sur les heures qui allaient suivre. Elle n’avait aucun droit à l’erreur. Plus maintenant. Il attendait d’elle une excellence de chaque instant. Elle connaissait les gestes et l’attitude qu’Il exigeait. Elle devait être à la hauteur. Elle quitta lentement l’étreinte de Ses bras pour se remettre à genoux, tête baissée. Elle était prête à Le servir et à Lui obéir. Prête à subir et à Le faire jouir. _ Soumets-toi. Baise les pieds de ton Seigneur et Maître. Elle se mit aussitôt dans la position qu’Il attendait, les coudes au sol, la croupe tendue vers lui, les cuisses ouvertes. Sans manifester la moindre hésitation, elle lapa longuement Ses chaussures. Il claqua à plusieurs reprises ses fesses pour les faire doucement rougir avant de tester sa chatte avec Ses doigts. Il la pénétra plusieurs fois, jouant en elle avec Ses doigts jusqu’à la sentir se liquéfier complément. Sa chatte était chaude et lubrifiée à souhait. Il aimait la savoir constamment prête à être prise et pleine de désir. Il pouvait lui en donner ou l’en priver. Il avait tous les droits sur elle. Elle gémissait de plus en plus fort, excitée par sa condition, par ses gestes de profonde soumission, par l’humiliation que pouvait représenter sa position même si jamais elle n’avait ressenti de honte à Lui obéir et à se conformer à toutes Ses demandes. À Son ordre, elle changea de position pour lécher Son autre chaussure avec le même soin. Il retira la ceinture de Son pantalon, lentement, faisant en sorte qu’elle devine Son geste et ce qu’Il s’apprêtait à faire. Sans modifier son attitude ou sa posture, elle se concentra. Le rythme avec lequel sa langue s’affairait sur le cuir de Ses chaussures ne changea pas, mais ses pensées étaient autres. Allait-Il frapper fort ? Serait-ce juste pour la mettre en condition ? Allait-elle être capable de ne pas bouger, de ne pas crier ? De ne pas le décevoir ? Alors qu’elle devina Son bras se lever, rien dans son attitude ne laissait paraitre son appréhension. Le cuir claqua une première fois contre ses fesses et elle souffla. Cette intensité-là, elle pouvait la supporter sans faillir tant que les coups n’étaient pas trop nombreux. Elle s’appliqua à ne pas arrondir le dos et à rester bien cambrée, le cul offert au cuir de Sa ceinture. Parfois un petit gémissement lui échappait, mais elle ne s’arrêta pas tant qu’Il ne lui ordonna pas d’arrêter. Jamais elle ne se permettait de s’interrompre lorsqu’Il lui imposait quelque chose, même lorsqu’elle était épuisée, à bout de souffle ou qu’une position était particulièrement douloureuse elle dépassait ses limites pour toujours lui offrir le meilleur d’elle-même. _ Ça suffit. Redresse-toi. Elle obéit, reprenant sa position agenouillée, les mains dans le dos, les seins en avant, les yeux baissés, en attente. Au moindre geste, mot ou claquement de doigts, elle mettrait tout son corps à Son service pour Son plaisir. Pour Le satisfaire. Son corps était en fusion, désir et soumission se mêlaient pour décupler des envies. Elle salivait déjà à l’idée de bientôt, très certainement, se délecter de Sa queue. De parcourir Sa peau, du bout de la langue. Sa chatte, trempée, se contractait doucement, déjà prête à l’accueillir en elle. Elle avait envie de Lui. Un désir double. Celui de se soumettre complètement quelques soient Ses ordres, mais aussi celui beaucoup plus charnel, de Le sentir en elle et de jouir de cette appartenance pleine et entière qu’elle ressentait. Il se leva, sans qu’elle ne se permette de Le suivre des yeux, et lorsqu’Il revint vers d’elle, ce fut pour attacher à l’anneau de son collier, une laisse de chienne en cuir. Aussitôt, elle prit la position que lui imposait cet accessoire, à quatre pattes, dos parfaitement cambré, cuisses suffisamment ouvertes pour être parfaitement impudique. Il fit quelques pas dans la pièce et elle Le suivit, docile, s’appliquant à rester parfaitement à côté de lui, comme Il l’exigeait. Marcher ainsi à Ses côtés était loin de lui donner un sentiment d’humiliation, ou du moins, si c’était le cas, l’excitation que cela lui procurait prenait largement le dessus. Il aimait la rabaisser ainsi. Lui rappeler qu’il faisait d’elle ce qu’Il voulait. Il fit le tour des différentes pièces, s’arrêtant devant un grand miroir afin d’observer leurs corps en entier. Lui, grand, charismatique et élégant dans un costume noir et une chemise blanche. Elle, à Ses pieds, humble et soumise. Il lui ordonna de relever les yeux vers leur reflet et de ne pas le quitter des yeux. Elle obéit et après quelques secondes, Il se pencha vers elle pour glisser une nouvelle fois Ses doigts en elle. Elle était bouillante, trempée d’une excitation que Lui seul pouvait lui procurer. Il fit aller ses doigts en elle pour la voir gémir doucement. Elle avait du mal à ne pas baisser les yeux, troublée de s’observer ainsi. Il lui dit alors de garder la bouche bien ouverte et de tendre la langue. Il voulait la voir haleter comme une petite chienne. Elle devait aussi bouger ses hanches d’avant en arrière pour accompagner la pénétration qu’Il lui offrait avec Ses doigts. Sa salive commençait à s’accumuler au bout de sa langue et referma la bouche une seconde afin qu’elle ne coule pas sur le parquet. La sanction fut immédiate. Une fessée administrée longuement et avec fermeté lui brula les fesses avec bien plus d’intensité que la ceinture ne l’avait fait juste avant. Il lui interdit de refermer la bouche et de rentrer la langue tant qu’Il ne lui dirait pas de le faire, peu importe que sa salive ne macule le sol. Elle nettoierait. Plus affectée qu’il ne pouvait y paraitre d’avoir commis une telle erreur, elle se concentra sur sa position et l’ordre reçut, si bien que les sensations ne lui apportèrent plus le même plaisir lorsqu’Il recommença à jouer en elle avec Ses doigts. Elle tentait d’occulter tout ce qui pouvait la pousser à la faute et la déconcentrer. Paradoxalement, elle ressentait plus profondément encore sa condition et le tout pouvoir qu’Il avait sur elle. Indéniablement, cela avait pour effet de décupler son excitation sexuelle. Il lui était très difficile de rester indifférente à Ses gestes. D’autant plus qu’elle savait qu’Il cherchait à la pousser loin dans le plaisir et le contrôle d’elle-même. Lorsqu’enfin, Il se redressa et reprit sa marche, elle put souffler, attentive toutefois à ne pas commettre deux fois la même erreur, elle gardait la langue bien tendue laissant cette fois sa salive couler en long filet jusqu’au sol. Il s’arrêta devant la baie vitrée, là où ils avaient admiré le paysage à leur arrivée. Il lui ordonna de déboutonner Son pantalon. À genoux, elle obéit avec une impatience contrôlée jusqu’à libérer complètement Sa queue bandée. Elle attendit immobile, la bouche ouverte à quelques centimètres à peine de Sa queue, de recevoir enfin l’ordre. Un simple mot la libéra de son attente et elle s’empressa de Lui donner du plaisir avec sa bouche. Elle lapa Sa queue sur toute sa longueur avant d’enrouler sa langue autour de son gland, pour enfin, la prendre le plus loin possible dans sa bouche, jouant avec ses lèvres et différentes intensités de succion. Il la laissa faire longtemps, juste pour le plaisir, avant de lui ordonner de se lever et de se positionner face à la baie vitrée. Une main de chaque côté, les jambes écartées et les reins cambrés, elle attendit, impatiente, qu’Il vienne dans son dos. Il la pénétra avec vigueur, les deux mains sur ses hanches et la prit ainsi longuement, la faisant gémir de plus en plus fort son plaisir. Face à eux, le paysage enneigé et ensoleillé s’étendait à perte de vue. Elle cessa toutefois vite de le contempler, accaparée par le plaisir, elle fermait les yeux, savourant à outrance les sensations de Sa queue qui allait et venait rapidement en elle. Il l’honora de Sa jouissance et elle l’en remercia, à genoux. La matinée touchait à sa fin. Ils allèrent déjeuner et se balader sur un marché de Noël avant de faire quelques achats pour le réveillon. Dans l’après-midi, le ciel s’était couvert et il avait commencé à neiger. La pièce était décorée sobrement. La sapin orné de blanc et d’argent était bien sûr l’élément central. Il dégageait une légère odeur de pin qui, ajouté à celle du feu de cheminée, mettait immédiatement dans l’ambiance. De nombreuses bougies çà et là suffisaient à illuminer la pièce. Il l’avait laissée seule en fin de journée avec pour consigne de préparer le diner du réveillon. Elle s’était affairée avec soin afin que le repas soit parfait. Elle ne voulait pas Le décevoir et que la soirée soit à la hauteur de Ses attentes. La table était dressée, les bougies des chandeliers allumées, une musique d’ambiance adaptée se diffusait, toute était prêt. Elle vérifia une dernière fois sa tenue, son maquillage et que toutes Ses consignes étaient respectées avant de prendre sa position d’attente, à genoux face à la porte. Il avait exigé qu’elle porte un déshabillé long très transparent en dentelle noire, des bas et un porte-jarretelle, ainsi que des escarpins. Ses lèvres étaient rouges tout comme ses ongles, ses yeux maquillés de noir, elle avait relevé ses cheveux comme Il aimait, dévoilant pleinement Son collier d’acier qui brillait à la lueur des bougies. Il la fit attendre longtemps. Un temps qu’elle mît à profit, comme Il le lui avait ordonné pour réfléchir à sa condition. Prenait-elle toujours du plaisir à être ainsi traitée ? Elle n’aimait pas qu’Il lui pose cette question qui paraissait mettre en doute son abnégation. Pour elle, il s’agissait d’une évidence, d’une raison d’être. Elle s’était trouvée à Ses pieds. Elle s’était révélée. Pourquoi s’y contraindrait-elle sinon ? Être sienne était loin d’être facile, il ne se s’agissait pas simplement d’obéir et de prendre du plaisir, loin de là. C’était une rigueur de chaque instant. Elle devait constamment mériter sa place. Ne jamais faiblir ni faillir. Lorsque la porte s’ouvrit enfin, elle Lui laissa le temps d’entrer puis se prosterna, tendant loin devant elle ses bras. Elle garda la position quelques secondes avant de se relever et Le débarrassa de Son manteau avant de revenir à Ses pieds pour Lui ôter Ses chaussures. Enfin, comme Il le lui avait appris, elle Lui demanda ce qu’elle pouvait faire pour Le servir. Il lui ordonna de Lui préparer un bain chaud et elle s’empressa d’obéir. Pendant qu’Il prenait son bain, elle restait à genoux à côté de la baignoire, deux coupes de champagne posées sur un plateau. Ils partagèrent ce moment, parlant de choses et d’autres. Elle était excitée et impatiente de cette soirée qu’elle attendait depuis des semaines. Curieuse de savoir ce qu’Il avait imaginé pour ce réveillon. Il la renvoya finir ses préparatifs pour commencer le diner, pendant qu’Il se préparait à son tour. Il la rejoint rapidement, vêtu d’un élégant costume noir. Elle l’admira quelques secondes, toujours impressionnée par son charisme et l’aura qu’il dégageait. Elle se sentit profondément fière de Lui appartenir. Elle s’agenouilla à Ses pieds pour Lui annoncer que s’Il le souhaitait, elle pouvait commencer à servir le repas. Il lui demanda de servir l’apéritif sur la table basse. Il était prévu que tout le repas se fasse au champagne, elle en servit donc une seconde coupe et apporta les amuse-bouches qu’elle avait préparés. Il la rappela à l’ordre et lui dit que pour cette fois, elle prendrait son champagne dans son écuelle de chienne. Ce repas festif ne devait pas lui faire oublier sa condition. Il lui imposa donc de rester à genoux près de Lui et décida de la nourrir comme un petit animal de compagnie. Chaque fois qu’Il tendait vers elle un amuse-bouche, elle devait exagérément tendre la langue et attendre qu’Il le lui donne, directement dans la bouche. Il aimait la faire attendre, le mets délicat à quelques centimètres de ses lèvres, l’obligeant à tendre le visage vers le haut et à sortir davantage la langue. Elle gardait les mains dans le dos, conformément à l’ordre reçu. Elle n’avait le droit de quitter sa position que pour boire. Pour ce faire, elle devait se mettre d’abord à quatre pattes, puis poser les coudes au sol et laper comme elle pouvait le champagne. Elle essayait tant bien que mal de ne pas s’en mettre partout, consciente que son maquillage allait en souffrir, mais c’était loin d’être aussi simple que c’en avait l’air. Tant pis, Il lui accorderait certainement le droit de repasser à la salle de bain arranger cela. Son attitude et ses gestes de pleine soumission tranchaient avec l’ambiance romantique de la pièce et pour autant, elle trouvait l’équilibre parfait. Son Maître gardait toujours sa cravache à portée de main et ne lui laissait aucun répit quant à l’exactitude qu’Il attendait de chacune de ses positions. Aussi, alors qu’elle lapait son champagne, Il lui assena deux coups fortement portés sur les fesses afin qu’elle se cambre mieux et écarte davantage les cuisses. Même si elle ne prenait le temps que d’une gorgée ou deux et qu’elle passe fréquemment d’une position à l’autre, elle devait s’appliquer à être parfaitement conforme. Elle réajusta immédiatement sa cambrure et ouvrit largement ses cuisses, lui demandant pardon, et repris un peu de champagne avant de re redresser une nouvelle fois, reprenant sa position à genoux, mains dans le dos. Il lui fit relever le menton avec son pouce, planta Ses yeux dans les siens avec un regard dur. _ Je ne veux pas avoir à te le redire, esclave ! _ Oui Maître. Elle baisa les yeux et se prosterna pour Lui demander pardon, comme elle devait le faire à chaque fois qu’elle l’obligeait à la reprendre. Il aurait pu paraitre facile de toujours garder et avoir la bonne position, mais à chaque instant, dans toutes les conditions, quels que soient le contexte ou les circonstances, c’était loin d’être si évident. D’autant plus qu’Il était particulièrement exigeant et attentif au moindre détail. Là où beaucoup auraient été satisfaits sur la globalité d’une attitude, Lui s’attardait sur la moindre faille pour la pousser toujours plus loin vers la perfection qu’Il attendait d’elle, même si dans l’absolu, cela restait inatteignable. C’était un cheminement, un apprentissage. Une multitude de gestes et d’actions, de mots et de rituels, constamment répétés et améliorés pour tendre vers le mieux. Aucun retour en arrière n’était toléré, aucune approximation. Alors qu’Il finissait sa coupe, Il lui ordonna de terminer elle aussi son écuelle. Consciente qu’Il allait être particulièrement vigilant, elle prit le temps de se positionner exactement comme il le fallait, exagérant sans doute même un peu. Du bout de Sa cravache, Il releva son déshabillé de dentelle pour découvrir complètement son cul, parfaitement offert dans cette position. Il fit rougir un peu ses fesses avec quelques claques puis glissa Ses doigts en elle alors qu’elle lapait avec application son champagne. Sa chatte était chaude et trempée. Il lui en fit la remarque, appréciant toujours autant de voir combien sa condition l’excitait. Plus Il la soumettait, plus son corps renvoyait des signes d’excitation sexuelle. Elle était ainsi toujours parfaitement prête à être prise, dans les meilleures conditions. Elle avait terminé son écuelle et juste relevé la tête pour qu’Il puisse s’en apercevoir, mais garda sa position, gémissant doucement sous Ses doigts. Au bout de quelques instants, alors qu’elle avait complètement lâché prise et s’abandonnait au plaisir, elle sentit la pression devenir plus forte, et compris qu’Il allait la fister. Elle retrouva aussitôt ses esprits et se concentra pour accueillir en elle tout son poing. C’était un geste qu’elle ressentait toujours étrangement, un mélange d’excitation, d’humiliation, d’appréhension, de douleur et de profonde soumission. Elle ne put retenir quelques gémissements, de douleur cette fois. _ Tu m’appartiens. Je fais ce que je veux de toi. Compris ? _ Oui Maître. Il resta un long moment ainsi en elle, bougeant doucement, lui procurant des sensations qui n’existaient que dans cette situation. Vient ensuite la délivrance, alors que, très doucement, il retirait Sa main pour libérer sa chatte. La fin de ce mouvement était en général le geste qui lui procurait du plaisir, mais elle ne savait pas vraiment si c’était un plaisir sexuel. Il observa un instant sa chatte, complètement ouverte, le lui faisant remarquer, pour ajouter une petite touche d’humiliation supplémentaire. Lorsqu’Il tendit Sa main couverte de cyprine vers elle, elle se retourna doucement pour la lécher avec application, comme c’était toujours le cas. Il lui fit prendre chacun de Ses doigts dans sa bouche avant qu’elle ne lape le dos et la paume de Sa main. _ Ça suffit. Passe à la salle de bain remettre du rouge et plugue-toi. Je veux utiliser tous tes orifices ce soir. _ Oui Maître. Elle dut y aller à quatre pattes, et s’appliquer à conserver une démarche féline et élégante. Son maquillage réajusté, et le plug inséré, elle retourna auprès de Lui, toujours à quatre pattes, et vint poser la joue contre Son genou. Il lui caressa doucement la tête, la gratifiant d’un « bonne petite chienne » et glissa Son pouce dans sa bouche. Elle le suça comme elle l’aurait fait avec Sa queue, ou plutôt, de sorte de Lui donner envie de l’y glisser entre ses lèvres plutôt que Son pouce. Il la laissa faire longuement, observant certainement son abnégation, avant de Lui ordonner de servir l’entrée. Cette fois, elle pourrait s’assoir à Sa table et partager le repas assise en face de Lui. Elle s’en réjouit, car si elle aimait qu’Il la traite comme Il venait de la faire, elle aimait aussi partager des moments complices plus classiques. Comme toujours, Il savait jouer avec cet équilibre délicat. Quel que soit le moment qu’Il passait ensemble, Il savait qu’Il pouvait la soumettre à toutes Ses envies et perversions. À tout instant, au moindre claquement de doigts. Tout comme elle savait que même si elle partageait Sa table, elle se devait de conserver une attitude conforme à sa condition. Alors qu’elle avait terminé son entrée, elle s’étonna que ce ne soit pas Son cas, car en général, Il mangeait plus vite qu’elle. Devant son air interrogateur, Il lui donna une explication. _ Je veux que tu passes sous la table pendant que je termine, et que tu commences à me sucer doucement, juste pour le plaisir de sentir ta langue. Elle s’empressa de se glisser entre Ses cuisses et de dégrafer Son pantalon pour en sortir Sa queue déjà bandée. Comme ordonnée, elle commença à jouer avec sa langue et ses lèvres pour donner du plaisir sans chercher plus. Il la laissa faire bien après avoir terminé de manger, savourant son application et la maîtrise des gestes qu’Il lui avait patiemment appris. _ Ça suffit. Apporte la suite. Elle referma Son pantalon et sortit de sous la table pour débarrasser. Elle resservit du champagne et apporta le plat, qu’elle put déguster également à Sa table. Dans la conversation, Il l’informa qu’Il avait prévu de lui donner douze coups fouet, lourdement portés, à minuit. Il ne s’agissait pas du réveillon du Nouvel An, mais peu importait. Elle ferait le décompte des douze coups de minuit au rythme du cuir qui zébrerait sa peau de rouge. Elle baissa les yeux, digérant l’information. Douze coups de fouet ne lui semblaient pas une épreuve hors normes, elle avait supporté bien plus. Ce qui l’inquiétait, c’était qu’Il avait précisé « lourdement portés ». L’information n’avait pas pour but de ternir le reste de sa soirée, mais qu’elle garde bien dans un coin de sa tête ce qui l’attendait, qu’elle s’y prépare et qu’elle sache faire dignement face à l’épreuve le moment venu. Elle se contenta d’acquiescer d’un « Oui Maître ». _ Quand il sera presque l’heure, tu viendras me l’apporter et tu me réclameras ces douze coups de fouet. Ne laisse pas passer l’heure ou le nombre de coups sera doublé ou triplé ! Après avoir débarrassé la table, elle s’empressa de mettre une alarme sur son téléphone. Elle le posa sur la table basse pour s’assurer de l’entendre. Elle revint vers Lui, s’agenouilla une nouvelle fois et Lui demanda s’Il voulait prendre le dessert. Il souhaitait attendre et peu, et profiter encore de sa bouche. Il retourna au salon et ils virent par la grande baie vitrée qu’il commençait à neiger. Comme lorsqu’ils étaient arrivés, Il la prit devant Lui, l’enserrant dans ses bras et ils regardèrent tomber la neige dans la nuit. Après de longues minutes, Il lui ordonna de se mettre à genoux et de Le sucer avec application. Il continuait d’observer les lumières de la ville, au loin, dans la nuit, et les gros flocons recouvrir la terrasse alors qu’elle prenait Sa queue dans sa bouche. Elle bougeait son corps en même temps, comme Il le lui avait appris, s’appliquant à chacun de ses gestes afin de lui donner le plus de plaisir possible. Elle ne cherchait pas à Le faire jouir, c’était de toute façon Lui qui décidait de cela, mais elle voulait qu’Il prenne du plaisir dans sa bouche, entre ses lèvres et contre sa langue. Elle y mettait tout son talent et toute son abnégation. Il ne la reprenait pas. Il ne lui disait pas non plus qu’Il aimait, ou au contraire de mieux faire. Son silence était troublant, mais elle ne se laissa pas déconcentrer et s’appliqua autant qu’elle put jusqu’à ce qu’Il lui ordonne d’arrêter. _ Sert le dessert sur la table basse. Tu prendras le tien à mes pieds, comme une chienne. _ Oui Maître. Elle alla se relever quand il la reprit. _ À quatre pattes ! Elle prit aussitôt la position et se dirigea vers la cuisine. Comme ordonné, elle revint avec une assiette à dessert et son écuelle de chienne, et prit sa place, à genoux. Elle attendit son ordre et lorsqu’Il claqua des doigts en désignant l’écuelle, elle prit sa position et commença à manger, conscience que cette fois, elle allait vraiment devoir être habile pour ne pas s’en mettre partout. Il releva une nouvelle fois son déshabillée pour l’observer dans les moindres détails. Cette fois, sa posture était parfaite et Il lui en fit la remarque. S’il relevait plus souvent ses erreurs que les bons comportements, Il lui faisait régulièrement part d’attitudes ou de détails qu’Il appréciait. Elle le remercia et s’appliqua à terminer son écuelle sans y passer trop de temps bien qu’elle sache qu’Il prenait toujours beaucoup de plaisir à la voir ainsi se rabaisser à Ses pieds. Elle n’y voyait pas vraiment d’humiliation, juste une profonde soumission. C’était ce qu’elle était, Sa soumise. Sa chose. Sa chienne si c’était ce qu’Il voulait. Il lui fit lécher jusqu’à la dernière miette, lui imposant de longs et lents coups de langue puis Lui ordonna de resservir du champagne. Elle sentait déjà une petite ivresse l’envahir, mais aimait particulièrement ce sentiment. Cette fois elle n’oublia pas et retourna dans la cuisine à quatre pattes. Elle remplit deux coupes, après l’avoir interrogé du regard pour s’assurer qu’elle puisse se servir également. Elle débarrassa avant de revenir auprès de lui. La soirée était déjà bien entamée et elle n’avait aucune idée de l’heure qu’il était. Elle regretta de ne pas avoir pensé à regarder l’horloge sur le four. Il restait du temps, mais elle ne pouvait s’empêcher de penser au moment ou l’alarme allait sonner. Quoiqu’elle soit en train de faire, même si elle était en train de le sucer ou d’être prise en levrette, il lui faudrait aller chercher le fouet et le Lui présenter. Elle espérait sincèrement ne pas avoir à interrompre un tel moment. Cette situation ne s’était jamais imposée jusqu’à présent et elle était très mal à l’aise à l’idée de prendre l’initiative de mettre fin à une pénétration, même si cela résultait d’un ordre. Pour l’heure, ils discutaient tranquillement, elle agenouillée à Ses pieds. Les bougies scintillaient toujours, tout comme la musique de circonstance continuait de se diffuser en bruit de fond. Elle Le regardait avec des étoiles dans les yeux, heureuse d’être là, à Sa place. Sienne. Elle se demandait combien d’autres personnes passaient un tel réveillon de Noël. Une fête traditionnellement tournée autour de la famille et des enfants. Leur réveillon était tout autre, mais pour rien au monde elle n’aurait voulu être ailleurs. Ils étaient au cœur d’une conversation passionnante sur une prochaine potentielle destination de voyage lorsque son alarme sonna. Elle déglutit. En l’espace d’une seconde, elle dut se recentrer complètement sur ce qu’elle était au fond de son âme et oublier ces images de bout du monde qui avaient fait briller ses yeux. Désormais, il n’y avait plus que Lui, le fouet et elle. Elle baissa la tête, éteignit l’alarme, se dirigea à quatre pattes vers le coffre sur lequel était disposé différents instruments, pris le fouet entre ses dents, et revient vers Lui, tête basse, le cœur battant déjà plus vite, la gorge nouée. Il fallait avoir connu des coups de fouet lourdement portés pour savoir combien il pouvait éprouvant de s’y confronter. Il était 23h55 lorsque l’alarme avait sonné, elle prit donc son temps pour se redresser, à genoux, le fouet enroulé sur lui-même posé à plat sur ses avant-bras tendus vers lui. Elle écarta un peu plus les genoux pour être sûre de ne pas être en faute, se cambra bien, resta tête et yeux baissés face à lui et prit sur elle pour parler assez fort et distinctement, chose qui dans ces circonstances était loin d’être facile pour elle. _ Maître… _ Parle ! _ Acceptez, s’il Vous plait, de fouetter douze fois Votre esclave... Il la laissa longuement dans le silence, jusqu’à ce qu’elle se demande si elle devait ou non Le supplier, ou du moins, mieux argumenter sa demande. _ Tu veux que je te fouette ? Elle Le trouvait cruel, ou plutôt, pervers, de poser cette question. _ Je veux être une bonne soumise pour Vous Maître. _ Donc tu veux que je te fouette ? _ Oui Maître, puisque c’est ce que Vous voulez. _ Alors, dis-le. Elle laissa passer une seconde, peut-être deux. _ Je voudrais que Vous me fouettiez Maître. _ Douze coups. Tu compteras et tu remercias chaque fois. _ Oui Maître. Il saisit le fouet lentement et détacha le lien qui le gardait enroulé. Elle hésita sur l’endroit où se mettre et décida d’attendre qu’Il le lui indique. C’était une variable très importante, car selon la position ou l’appui dont elle disposait, l’intensité et les impacts n’étaient pas les mêmes. _ Debout. Mets-toi entièrement nue. Elle obéit et Il l’entraina vers la baie vitrée. Elle ne voulut pas comprendre pourquoi, jusqu’à ce qu’Il lui tende ses après-ski, lui ordonne de les mettre et la fasse sortir. Il ne tombait plus que quelques flocons, mais le froid était saisissant. _ Avance. Dans les chalets avoisinants, les gens devaient être en train de déballer leurs cadeaux ou de reprendre de la buche de Noël. Elle, était entièrement nue dans la nuit noire, sous la neige. Au loin, en contrebas, les lumières de la ville brillaient au-delà du lac. Elle avait très froid bien qu’il n’y ait pas de vent et se souvint d’un hiver ou il lui avait fait découvrir le cat o nine en pleine nuit, sur les berges d’un lac, quelque part au Japon. Elle sourit à ce souvenir. Sa vie était autre. Non conventionnelle. Elle indignerait beaucoup de monde. Et pourtant c’était son choix. Sa réalité. Sa raison d’être. _ Contre cet arbre. Elle s’approcha de l’arbre et souffla un peu, elle pouvait prendre une position qui la rassurait. Elle plaqua ses seins contre l’écorce, cambra le cul, écarta les cuisses juste avant qu’Il ne la reprenne, s’amusa de penser que c’était la première fois qu’elle portait des après-ski dans une telle situation, puis revint vite sur ce qui s’apprêtait à arriver. Le pire était l’attente, ces interminables secondes, ou minutes, durant lesquelles il ne se passait rien. Elle était face à elle-même, aux prises avec ses peurs et ses faiblesses, ses doutes parfois, sa frustration de déjà savoir qu’elle ne serait pas à la hauteur. Elle tentait de se souvenir, de se rappeler que c’était toujours pire que dans son souvenir, qu’elle devait l’anticiper, qu’elle ne devait pas oublier de compter, de remercier. Ne surtout pas oublier. Ne pas se tromper. Douze coups, elle avait déjà compté bien plus loin. Mais parfois cinq coups en valent cent. Elle en était à ce moment critique, ce trop longtemps avant. Prête à Le supplier d’y aller. Vite. Qu’on en finisse… Mais non, ce n’était pas le but. Pas ce qu’Il voulait. Il ne fallait pas juste supporter la douleur. Il fallait l’appréhender avec dignité, l’accepter. Il fallait se soumettre. Attendre avec abnégation. Ne pas paniquer. Ne pas pleurer. Ne pas craquer. Le risque était là, à ce moment-là. Alors qu’elle commençait à se tortiller d’appréhension. Alors qu’inconsciemment ou non, elle tentait de ne plus faire qu’un avec l’arbre, dans l’espoir qu’il partage sa peine, qu’il prenne sa part du fouet. Des mouvements derrière elle. Il agitait le fouet, Il appréhendait la distance, Sa position, l’angle et la force qu’Il allait donner au premier coup. Sa peau blanche se découpait dans la nuit noire. Elle tremblait. De froid, de peur. Pas tant la peur de la douleur, mais la peur de Le décevoir. Elle n’en pouvait plus, elle commençait presque à sangloter alors que rien n’avait commencé. Mais c’était tout le contraire, l’attente durait depuis une éternité, et elle faisait bel et bien partie de l’épreuve. Elle l’épuisait, elle lui prenait toutes ses forces, alors qu’elle en avait tant besoin. Elle Lui en voulait de la laisser ainsi, car bien sûr, Il savait tout ce qui se passait tant sa tête, dans son corps et au fond de son âme. Il le savait. Il le faisait exprès. Elle oscillait entre Lui en vouloir et se reprendre. Il l’observait. Alors elle souffla un bon coup, décolla un peu sa poitrine de l’écorce, redressa les épaules et garda le corps tendu. Silencieuse, les yeux clos. Elle puisa dans ses dernières forces. Il l’avait vue se ressaisir. Elle avait intégré la peur et accepté l’attente. Elle était prête. Digne de recevoir Ses coups. Alors Il leva son bras et dans un parfait mouvement du poignet, Il lança le fouet contre son dos et le cuir vient s’écraser contre sa peau glacée. Elle se crispa, et intégra la douleur. Douze comme celui ? Elle n’y arriverait pas. Mais avait-elle le choix ? L’onde de choc sembla se diffuser en elle et alors qu’elle commençait à peine à se dissiper, elle se souvint. _ Un. Merci Maître. Un autre coup la plaqua contre l’écorce et lui arracha un gémissement de douleur. Son corps était en alerte, réclamant une réaction qu’elle refusait d’avoir. Aucune fuite n’était possible. Aucune supplication ne serait tolérée. Un autre coup s’écrasa contre sa cuisse. _ Trois. Merci Maître. Elle remercia aussi intérieurement l’arbre. Elle savait qu’il la privait du redoutable retour, lorsque la langue du fouet venait s’enrouler autour de son corps pour inscrire comme une morsure profonde sur son ventre. Son Maître aussi le savait, bien sûr. Il aurait pu lui dire de se reculer, mais ne le fit pas. Il avait conscience qu’elle lui donnait déjà beaucoup. L’autre cuisse. _ Quatre. Merci Maître. Après ce fut plus compliqué, les coups furent plus rapides, plus enchainés, elle remerciait pour l’un alors que l’autre avait déjà frappé. C’était bien ainsi. Elle n’avait pas le temps de reprendre son souffle, pas le temps de réfléchir. Elle n’arrivait plus à retenir ses cris, qui perçaient la nuit, au moment où d’autres trinquaient au champagne en se souhaitant un joyeux Noël. Il la reprit, lui imposant le silence. _ Neuf. Merci Maître. Elle avait fait le plus dur, du moins le pensait-elle. Les deux derniers, très rapprochés, furent les plus forts et comme souvent, elle pensa que c’était trop pour elle. Pourtant elle savait que comme chaque fois, lorsqu’Il voudrait le lui imposer, elle s’y soumettrait. _ Douze. Merci Maître. Elle avait bloqué sa respiration pour se contrôler, pour ne pas crier, ne pas pleurer. Il vint contre elle, et elle se souvint du froid et de la neige. Il avait retiré Sa veste avant de sortir, mais Sa chemise était pleine de poudreuse blanche. Malgré tout, elle se délecta de sentir Son corps contre le sien, de sentir Ses bras autour d’elle et Ses lèvres déposer un baiser sur son épaule. Il murmura à son oreille : _ Joyeux Noël, petite esclave. Elle ne put s’empêcher de sourire. _Merci Maître. Joyeux Noël Maître.     La douleur s’était dissipée. Les tensions et l’appréhension aussi. C’était terminé. Restaient les endorphines à haute dose et la puissance de son sentiment de soumission. Il se recula et elle hésita, l’interrogeant d’un regard. La réponse lui vint de la même façon, sans appel. Alors malgré le lieu et la neige qui recouvrait le sol, elle se prosterna à Ses pieds et Le remercia, comme après chaque fois qu’Il usait du fouet ou d’autres accessoires sur son corps. Elle garda la position jusqu’à ce qu’Il l’autorise à se relever, et ils rentrèrent. Elle s’attendait à ce qu’Il lui ordonne de passer à la salle de bain, se doucher et s’apprêter de nouveau correctement, mais à peine eut-elle enlevé les après-ski et Lui sa chemise, qu’Il la fit venir contre la table, lui ordonna d’y plaquer les seins et de retirer le plug. Celui-ci avait eu le temps de dilater son cul afin qu’il soit parfaitement confortable, et Il avait décidé d’en profiter aussitôt l’épreuve du fouet passée. Elle se positionna au mieux, bien cambrée, les jambes écartées. Il cracha entre ses fesses et la prit aussitôt, enfonçant profondément Sa queue en elle. Il commença par de longs et lent va et vient, la tenant par les hanches, lui imposant le silence et de garder la poitrine plaquée contre la table. Le rythme s’accéléra pour devenir intense. Elle avait du mal à rester silencieuse, la position était difficile à tenir. Il lui ordonna de mettre les mains dans les dos et maintient ses poignets plaqués entre ses reins d’une main, alors que l’autre était toujours arrimée à sa hanche. Il la prenait avec force. Prenant son plaisir sans se soucier du sien, elle était là pour Lui en donner, pas pour en prendre. Il la baisait comme Il voulait, autant qu’Il le voulait et de la façon dont Il le voulait, et elle viendrait ensuite ramper à Ses pieds pour Le remercier de l’avoir honorée ainsi. Pour Le remercier d’avoir fait d’elle Sa soumise et de la garder à Ses pieds, encore et encore. Il décida de ne pas jouir en elle. Pas déjà. Après tout, Il lui avait dit vouloir la prendre par tous les orifices. Il se retira et vérifia que Sa queue était parfaitement propre avant de lui ordonner de s’agenouiller et de Le sucer. Cette fois, Il voulait un rythme rapide et pas simplement des caresses de sa langue. Une main de chaque côté de sa tête lui imposait ses mouvements. Elle n’avait aucune liberté d’action et devait se soumettre à la cadence qu’Il exigeait. Elle n’arrivait pas à retenir sa salive qui coulait de sa bouche et avait bien du mal à rester impassible lorsqu’Il enfonçait trop profondément Sa queue contre sa gorge. La scène lui sembla durer une éternité et elle se demandait souvent si s’était parce qu’elle n’arrivait pas à lui donner assez de plaisir, parce qu’elle n’était pas assez bonne. Elle savait qu’Il se contrôlait parfaitement et qu’Il aurait pu abuser ainsi de sa bouche très longtemps sans jouir s’Il le décidait ainsi, mais elle en était parfois troublée. Il la repoussa d’un coup, lui ordonnant de passer à la salle de bain et de s’apprêter. Ils prirent une douche chaude et alors qu’elle remettait sa lingerie et ses dentelles, Il choisit une tenue d’intérieur plus confortable. Après un café qu’Il dégusta alors qu’elle avait retrouvé sa place entre Ses cuisses, Il alterna longuement les pénétrations, entre sa bouche et sa chatte. Alors qu’elle prenait sa position, à quatre pattes, la croupe offerte, les coudes au sol, Il pouvait apprécier les traces qu’avait laissées le fouet sur son cul. Des marques d’appartenance. Sa signature. Il savait que pendant quelques jours, elle les observerait avec une émotion qui n’appartenait qu’à elle. Elle gémissait de plaisir au rythme de Ses coups de hanches, s’autorisant enfin de prendre pleinement du plaisir sexuel. Elle s’abandonnait alors complètement, le remerciant comme Il l’exigeait lorsqu’il l’autorisait enfin à jouir. Il réclama une dernière fois sa bouche et elle s’empressa de la lui offrir, devinant que c’était ainsi qu’Il avait choisi de l’honorer de Sa jouissance. Lorsqu’elle sentit Son sperme inonder sa bouche, elle s’appliqua comme chaque fois, à ne pas s’interrompre et continua à Le sucer doucement jusqu’à ce qu’Il l’autorise à arrêter. Toujours à genoux devant Lui, elle enroula ses bras autour de Ses cuisses, posa sa joue contre sa hanche et resta ainsi quelques instants avant de relever les yeux et d’échanger avec lui un sourie et un regard complice. Ils terminèrent la soirée près de la cheminée avec une dernière coupe de champagne. Il la prit dans Ses bras et elle se lova contre Son torse. En observant le sapin, elle s’aperçut qu’un parquet y avait été déposé. Il n’était pas là en début de soirée. Elle interrogea son maître du regard, troublée, car Il lui avait formellement interdit de prévoir un cadeau à Son attention. _ Tu l’ouvriras demain matin. Il s’amusa de voir sa mine triste. _ Vous m’avez interdit d’en prévoir un pour Vous, Maître… _ Que pourrais-tu m’offrir ? _ Rien que Vous n’ayez déjà Maître…admit-elle. _ C’est-à-dire ? _ Ma soumission, mon corps, mon âme… _ Et je ne veux rien d’autre de toi. Elle acquiesça avant qu’Il lui offre un baiser. Un geste rare qu’elle appréciait toujours à sa juste valeur et dont elle se délectait. _ Alors je veux mon cadeau enrubanné et à sa place sous le sapin demain matin à mon réveil. Elle resta perplexe une seconde avant de sourire à son tour. _ Oui Maître. Avec plaisir et soumission. Le lendemain, comme ordonné, elle se glissa hors du lit avant Lui, fait rarissime, et s’apprêta en silence avant d’enrouler autour de son corps nu, un large ruban rouge. Elle s’allongea au pied du sapin et attendit avec abnégation de pouvoir une nouvelle fois, et d’une nouvelle façon, s’offrir pleinement à son Seigneur et Maître. 
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Par : le 27/12/24
L’Appel de la Soumission La décision était prise. Après des mois d’introspection, de fantasmes refoulés et d’hésitations, je m’étais résolu à franchir une étape qui changerait ma vie. Un simple message sur Signal avait suffi à initier ce qui deviendrait une aventure extraordinaire. Le maître avec qui je communiquais était direct, clair et sûr de lui. Chaque mot de ses messages me faisait frémir. Il n’y avait aucune place pour l’incertitude. C’était une opportunité unique : un rôle que j’avais toujours rêvé d’endosser, mais que je n’avais jamais osé vivre pleinement. "Prépare-toi mentalement et physiquement. Notre première rencontre sera décisive." Ces mots résonnaient en boucle dans ma tête. Je savais que cette première session de préparation allait poser les bases de ce qui m’attendait. Mon excitation était palpable, mêlée à une peur douce et délicieuse qui renforçait mon désir de soumission. La veille de notre rencontre, j’avais passé des heures à m’assurer que tout était parfait. Mon corps était rasé avec précision, chaque centimètre de peau lisse et prêt pour l’exploration. J’avais suivi à la lettre ses consignes : insérer un petit plug anal pour m’habituer à la sensation et m’assurer qu’il serait facile à remplacer lorsqu’il le souhaiterait. Ma tenue était sobre, comme il l’avait exigé. Un pantalon noir et un simple t-shirt, sans sous-vêtements, pour faciliter le moment où je devrais me déshabiller. Rien ne devait entraver ma transition vers mon rôle de chienne soumise. Le matin venu, je m’étais levé tôt, l’estomac noué par l’anticipation. Chaque geste semblait prendre une importance démesurée. J’avais relu ses messages encore et encore, m’imprégnant de ses attentes et de son autorité. La gare de Lausanne était animée ce jour-là. Le contraste entre le monde ordinaire qui m’entourait et ce que j’étais sur le point de vivre ne faisait qu’intensifier mon excitation. Je l’attendais près du point de rendez-vous convenu, les yeux baissés, cherchant à calmer ma respiration. Quand il arriva, tout devint réel. Sa présence imposante et son assurance me coupèrent le souffle. Il ne perdit pas de temps avec des formalités inutiles. "Monte." Sa voix était ferme, autoritaire, et je m’exécutai sans poser de question. À peine la portière refermée, je sentis que tout allait changer. "Déshabille-toi." L’ordre tomba comme une évidence. Mes mains tremblaient légèrement alors que je retirais mon t-shirt, puis mon pantalon. Chaque mouvement semblait ralentir le temps. Lorsque je fus entièrement nu, je pliai mes vêtements avec soin et les posai sur le siège. Je m’agenouillai, baissant les yeux, attendant sa prochaine directive. Il ouvrit le coffre, révélant une cage métallique parfaitement dimensionnée. Petite mais suffisamment spacieuse pour me contenir à quatre pattes, elle symbolisait ma transition. "Entre." Je rampai à l’intérieur sans hésiter. La froideur du métal contre ma peau nue fut un choc, mais elle renforça mon abandon. Une fois à l’intérieur, il tendit un plug vibrant. Je l’acceptai en silence, l’insérant lentement tout en sentant son regard perçant sur moi. Il ajusta ensuite un collier autour de mon cou, serrant juste assez pour que je sente sa présence à chaque mouvement. Puis il sortit une cagoule, noire et lisse, qu’il plaça sur ma tête. Le plug buccal intégré força ma bouche à rester ouverte, un symbole de ma disponibilité constante. Le claquement de la porte de la cage résonna comme une déclaration : je n’étais plus qu’un objet, entièrement soumis à sa volonté. Alors qu’il prenait place derrière le volant, il activa le plug vibrant. Les premières secousses furent douces, presque caressantes, mais elles s’intensifièrent rapidement. Mon corps réagit instinctivement, des gémissements étouffés s’échappant de ma bouche maintenue ouverte par le plug. Le trajet semblait durer une éternité. Chaque vibration, chaque secousse de la route amplifiaient ma soumission. Dans la cage, je me concentrais sur ma respiration, inhalant le poppers placé à portée de ma main. "Ne pense pas. Abandonne-toi." Ses mots, prononcés d’un ton calme mais impératif, me guidaient dans cet état de lâcher-prise total. Lorsque le véhicule s’arrêta, je sentis une montée d’adrénaline. Il ouvrit la cage et attacha une laisse à mon collier. Je rampai hors du coffre, le gravier froid sous mes genoux intensifiant la sensation de ma vulnérabilité. Il tira doucement sur la laisse, me guidant vers le chalet qui deviendrait le théâtre de ma transformation. À chaque pas, je sentais la tension de la laisse autour de mon cou, un rappel constant de sa domination. L’intérieur du chalet était spacieux mais minimaliste. Chaque pièce semblait avoir été pensée pour notre aventure. Il me guida à quatre pattes, m’arrêtant parfois pour ajuster un accessoire ou corriger ma posture. "Ici, tu n’es rien d’autre qu’une chienne. Tu vivras à mes pieds, tu mangeras à mes pieds, et tu satisferas tous mes désirs." Ses mots résonnaient en moi comme une promesse. Le chalet, immense et isolé, s’imposait comme un monde à part. Un espace déconnecté de tout, conçu pour que ma transformation en chienne soumise puisse s’accomplir dans une bulle de dévotion et de discipline. Dès que la porte se referma derrière nous, une sensation d’abandon total s’installa en moi. Il tira doucement sur ma laisse, m’incitant à ramper à quatre pattes sur le sol en bois lisse. La sensation était brute, chaque mouvement de mes genoux et de mes paumes sur la surface nue accentuait ma vulnérabilité. "Avance lentement. Je veux que tu ressentes chaque pas." Il me guida méthodiquement à travers chaque pièce, chacune semblant dédiée à un aspect spécifique de mon dressage. Le salon La pièce principale était équipée comme un sanctuaire de domination. Une chaise de dressage en cuir noir, équipée de sangles ajustables, trônait au centre. Non loin, une fuck machine était déjà installée, son moteur silencieux prêt à s’activer à tout moment. Sur une table basse, une collection d’accessoires brillait sous la lumière tamisée : plugs de différentes tailles, pinces à tétons, stimulateurs électriques et une cagoule de chien à la finition impeccable. Nous entrâmes ensuite dans sa chambre. Le lit, large et imposant, était surélevé, et à ses pieds, un matelas plus petit avait été disposé sur le sol. "C’est ici que tu dormiras. Attaché, bien sûr. Ton collier sera relié à cette chaîne, et je ne veux pas te voir bouger pendant la nuit." La pièce suivante était la salle de bain. Une douche à jets multiples occupait un coin, tandis qu’une table roulante chargée de lavements et de lubrifiants était disposée à côté. Une chaise de douche en métal, équipée de sangles pour les poignets et les chevilles, complétait l’installation. "Tu seras propre en tout temps. Chaque lavage sera une étape de ton dressage, où tu apprendras que ton corps ne t’appartient plus." Une fois le tour du chalet terminé, il me ramena au salon. Il décrocha ma laisse mais garda le contrôle avec son regard perçant. "Reste ici. Je vais chercher de quoi te nourrir." Il revint quelques minutes plus tard avec une gamelle en acier, qu’il posa au sol devant moi. À l’intérieur, un mélange de riz et de légumes, soigneusement préparé mais servi comme à un animal. Une seconde gamelle, remplie d’eau, fut placée juste à côté. "À genoux. Ne touche pas avec tes mains." Je m’inclinai lentement, ma bouche ouverte par réflexe, le plug buccal de ma cagoule amplifiant ma soumission. Je plongeai mon visage dans la gamelle, mangeant et buvant en silence, tandis qu’il observait chaque geste, une lueur de satisfaction dans ses yeux. "Tu apprends vite. Maintenant, aboie pour me remercier." Mon premier aboiement fut maladroit, mais il tira doucement sur mon collier pour m’encourager. "Encore." Le deuxième fut plus affirmé. Une main sur ma tête, il caressa mes cheveux en guise de récompense. Après le repas, il me guida vers la chaise de dressage. Mes mouvements étaient lents, mes genoux déjà légèrement endoloris par le sol dur. Une fois à la chaise, il m’ordonna de m’installer. "Allonge-toi. Les mains derrière la tête." Chaque sangle fut ajustée avec une précision chirurgicale. Mes poignets, mes chevilles, et même ma taille étaient immobilisés. Je ne pouvais plus bouger, soumis entièrement à son contrôle. Il retira le plug que je portais depuis notre départ et sortit un modèle plus large. Il prit son temps, lubrifiant abondamment le nouvel accessoire avant de l’introduire. La sensation de l’étirement fut intense, mais je savais que la douleur faisait partie du processus. Une fois le plug en place, il activa la fuck machine. Le premier mouvement fut lent, presque caressant, mais le rythme s’accéléra rapidement, chaque va-et-vient m’entraînant dans un état d’abandon total. Pendant ce temps, il s’installa dans le fauteuil, un verre à la main, observant chaque réaction de mon corps. "Respire. Laisse-toi aller." Les minutes semblaient s’étirer alors que la machine continuait son travail implacable. Mon corps tremblait légèrement, des gémissements incontrôlés s’échappant de ma bouche maintenue ouverte par le plug buccal. Il ne disait rien, mais son regard pesant suffisait à me rappeler que je n’étais plus qu’un objet entre ses mains. Après la séance, il détacha les sangles et me guida à nouveau à quatre pattes jusqu’à la chambre. Je rampai jusqu’au matelas qui m’était destiné, sentant la fatigue envahir mon corps. "Allonge-toi." Une chaîne fixée au mur fut attachée à mon collier, limitant mes mouvements. Avant de quitter la pièce, il s’assura que mes poignets étaient liés par des menottes souples, suffisamment serrées pour me maintenir en place sans entraver mon sommeil. "Bonne nuit. Réfléchis à ce que tu dois devenir." Lorsqu’il éteignit les lumières, je restai allongé, mon esprit tourbillonnant entre l’excitation et l’épuisement. Chaque muscle de mon corps semblait crier à la fois douleur et satisfaction. Mais malgré tout, une pensée persistante régnait dans mon esprit : je voulais plus. Le réveil ne se fit pas au son d’un réveil traditionnel. C’est la tension de la chaîne reliée à mon collier qui me tira doucement de mon sommeil. Il se tenait debout à côté de moi, imposant, me dominant déjà par sa simple présence. "Debout, chienne." Sa voix était calme, mais autoritaire. Je tentai de me redresser rapidement, ma chaîne tirant légèrement sur mon collier, me rappelant mon état. Mes poignets toujours menottés compliquaient mes mouvements, mais cela faisait partie du processus. Je rampai jusqu’à lui, la tête baissée, attendant son premier ordre de la journée. La première tâche de la journée était claire : je devais être prêt à satisfaire ses attentes, propre et immaculé. Il me guida à quatre pattes vers la salle de bain, attachant ma laisse à un anneau fixé près de la douche. "À genoux. Tu vas apprendre que même l’hygiène est un acte de soumission." Il prit un kit de lavement déjà prêt et me fit me pencher en avant. La procédure était lente, méthodique, chaque étape accompagnée de commentaires : "Relâche-toi. Apprends à accepter." Le liquide pénétra lentement, et je devais le retenir jusqu’à ce qu’il m’autorise à le libérer. Il observa chaque réaction de mon corps, ajustant son ton pour alterner entre encouragements et corrections. Une fois le lavement terminé, il dirigea le jet de la douche sur moi, nettoyant mon corps avec soin. Mais ce soin n’était pas de la tendresse : c’était une réclamation de mon être, chaque centimètre de peau lui appartenant. Il me sécha rapidement, m’ordonnant ensuite de m’agenouiller devant le miroir de la salle de bain. Avec précision, il appliqua un lubrifiant sur mes mains et me guida pour insérer un plug anal de taille moyenne, en me regardant dans les yeux. De retour au salon, il posa une gamelle d’eau et une autre contenant un mélange de fruits et de céréales. Je savais déjà ce qui m’attendait. Je rampai vers la gamelle, baissant ma tête pour manger directement avec ma bouche. "Prends ton temps. Une chienne ne se précipite pas." Ses mots étaient à la fois une consigne et un rappel de mon rôle. Chaque bouchée que je prenais était une déclaration silencieuse : je n’étais plus qu’un animal soumis à sa volonté. Une fois le repas terminé, il tira légèrement sur ma laisse pour que je le regarde dans les yeux. "Aboie pour me remercier." Je laissai échapper un aboiement, un peu plus assuré que la veille. Il caressa ma tête en guise de récompense. Le matin fut consacré à une série d’exercices d’obéissance et de discipline. Il me guida à l’extérieur, dans une petite cour derrière le chalet, toujours à quatre pattes. Le gravier froid sous mes genoux ajoutait une dimension physique à chaque mouvement, renforçant ma soumission. Les ordres de base "Rampe." "Arrête-toi." "Roule." Chaque ordre était accompagné d’une récompense ou d’une correction selon la précision de mon exécution. Lorsqu’il me félicitait, il caressait ma tête ou m’offrait une pause pour boire dans une gamelle. Lorsqu’il me corrigeait, il utilisait un fouet léger pour frapper mes cuisses ou un stimulateur électrique pour m’infliger une petite décharge. La marche en laisse Il attacha une laisse plus longue à mon collier et me fit marcher autour de la cour, ajustant mon rythme pour qu’il corresponde parfaitement au sien. À chaque déviation, il tirait doucement, me forçant à retrouver ma place. De retour à l’intérieur, il me conduisit vers la chaise de dressage. Cette fois, il ajouta un bandeau sur mes yeux, me privant de ma vision pour accentuer mes autres sens. Il activa la fuck machine, mais avec un rythme plus rapide que la veille. Les va-et-vient étaient presque brutaux, m’arrachant des gémissements incontrôlables. Pendant ce temps, il utilisa des pinces pour stimuler mes tétons, alternant entre des pressions légères et des pincements plus intenses. "Tu dois apprendre à accepter le plaisir et la douleur comme une seule et même chose." Il plaça ensuite un stimulateur électrique sur mes cuisses, déclenchant de petites impulsions au rythme de la machine. Chaque sensation semblait s’amplifier, mon corps répondant à ses moindres manipulations. Après une heure de stimulation intense, il désactiva la machine et détacha mes attaches. Mon corps tremblait légèrement, mais je savais que le repos ne durerait pas. De retour dans le salon, il posa une nouvelle gamelle, cette fois avec un mélange de légumes cuits. Le rituel était le même : je devais manger lentement, sans utiliser mes mains, sous son regard attentif. L’après-midi marqua une étape importante : l’introduction de son premier invité. Un homme imposant, vêtu simplement, entra dans le chalet avec une assurance égale à la sienne. "Voici ta première leçon d’interaction avec mes partenaires." Je fus présenté à lui comme une chienne, rampant jusqu’à ses pieds, ma tête baissée en signe de respect. Il posa une main sur ma tête, explorant mon collier et tirant légèrement sur ma laisse pour tester ma docilité. Les heures suivantes furent consacrées à satisfaire les attentes des deux hommes, alternant entre stimulation orale et anale, sous leur supervision. Chaque geste était accompagné de commentaires et de corrections, m’entraînant à devenir une extension parfaite de leurs désirs. Le troisième jour au chalet marqua un tournant dans mon expérience. Si les premières journées avaient été consacrées à établir les bases de mon rôle et à renforcer ma soumission, ce nouveau chapitre de mon dressage allait explorer de nouvelles limites. L’arrivée de plusieurs partenaires, les nouvelles techniques de stimulation et l’intensification des séances allaient sceller ma transformation. Le matin débuta comme les précédents. Attaché au pied du lit, je sentis la chaîne reliée à mon collier se tendre légèrement. Il se tenait au-dessus de moi, imposant et déjà prêt à me guider dans une nouvelle journée de soumission. "Debout, chienne." Je rampai hors de ma couche, la tête baissée, sentant déjà l’excitation et l’appréhension monter en moi. Guidé par sa laisse, je me dirigeai vers la salle de bain pour commencer le rituel d’hygiène. Il me positionna au-dessus de la chaise de douche en métal, attachant mes poignets et chevilles pour m’immobiliser. Le rituel était devenu presque automatique : un lavement précis et méthodique, suivi d’un rinçage complet. Cette fois, cependant, il introduisit une nouvelle étape. "Je vais ajouter une stimulation pendant ta préparation. Tu apprendras à associer chaque étape de ton dressage à une forme de plaisir." Il plaça un plug vibrant, plus large que les jours précédents, avant de déclencher une série d’impulsions électriques sur mes cuisses et mes tétons. Pendant que l’eau chaude coulait sur mon corps, les vibrations et les impulsions m’entraînaient dans un état de soumission encore plus profond. De retour dans le salon, je remarquai que deux nouveaux hommes étaient déjà installés. Le premier, celui qui était arrivé la veille, se tenait debout, les bras croisés, observant chaque mouvement avec un sourire satisfait. Le second, plus jeune mais tout aussi confiant, était assis sur le fauteuil, me scrutant attentivement. "Ta journée commence sous leurs yeux. Montre-leur que tu sais te comporter comme une vraie chienne." Il posa une gamelle remplie d’un mélange de protéines et de légumes au sol. Je rampai vers elle, baissant la tête pour manger sans utiliser mes mains. Chaque bouchée était lente et contrôlée, ma posture surveillée attentivement par les trois hommes. "Maintenant, aboie pour les remercier." Je laissai échapper un aboiement, plus naturel qu’avant. Les hommes échangèrent un regard complice, et le plus jeune caressa ma tête, comme pour récompenser mon obéissance. Après le repas, ils décidèrent d’introduire une nouvelle forme de dressage. Placé sur la chaise de dressage, mes poignets et chevilles furent attachés fermement. Le maître principal se plaça derrière moi, ajustant la fuck machine pour qu’elle atteigne un rythme plus rapide que d’habitude. "Cette fois, tu seras stimulé à la fois par la machine et par nos instructions." Pendant que la machine travaillait implacablement, les deux autres hommes prirent place autour de moi, chacun exigeant mon attention orale. Le rythme était intense, mon corps contraint de répondre simultanément à plusieurs stimulations. "Concentre-toi. Une vraie chienne sait satisfaire plusieurs maîtres à la fois." Leurs voix guidaient mes mouvements, alternant entre encouragements et corrections. Chaque déviation ou ralentissement était immédiatement sanctionné par une impulsion électrique ou une traction sur mon collier. Après deux heures de stimulation continue, ils me laissèrent me reposer brièvement. Attaché au sol par une laisse courte, je restai allongé sur le côté, écoutant leurs discussions. Ils parlaient de moi comme d’un objet, évaluant mes performances et planifiant les prochaines étapes de mon dressage. "Il apprend vite. Mais il faut encore renforcer sa capacité à endurer des séances plus longues." "Nous pourrions introduire une stimulation simultanée par trois zones demain. Qu’en penses-tu ?" Leur conversation, bien que détachée, renforçait mon rôle. Je n’étais plus qu’un sujet d’expérimentation, un instrument de leur plaisir. La soirée marqua un moment clé : la première interaction collective. Trois autres partenaires arrivèrent en début de soirée, portant le nombre total à six hommes présents. Chacun semblait expérimenté, confiant dans son rôle, et prêt à participer à ma transformation. Ils décidèrent de commencer par une démonstration publique de ma soumission. Placé au centre du salon, je fus attaché à un harnais suspendu, mes bras et jambes écartés, exposant mon corps à tous. "Tu vas être utilisé par chacun d’eux, un par un. Montre-leur que tu es à la hauteur." Chacun prit son tour, utilisant mon corps selon ses envies, tandis que les autres observaient ou donnaient des instructions. Les moments où je n’étais pas directement stimulé étaient remplis par des massages ou des caresses pour m’assurer que mon excitation restait constante. La soirée dura plusieurs heures, chaque homme trouvant une manière unique d’interagir avec moi. Lorsque tout fut terminé, mon corps était épuisé, mais mon esprit flottait dans un état de satisfaction absolue. Avant de m’autoriser à dormir, ils décidèrent d’évaluer mes progrès. Attaché au pied du lit principal, mon collier relié à une chaîne, je devais écouter leurs commentaires sans intervenir. "Il a fait des progrès impressionnants aujourd’hui." "Demain, nous pousserons ses limites encore plus loin." Lorsque les lumières furent éteintes, je restai éveillé un moment, repensant à chaque instant de la journée. Mon corps était endolori, mais mon esprit ne désirait qu’une chose : leur plaire davantage. Si jusqu’à présent, chaque moment avait renforcé ma soumission, ce jour-là allait pousser mes limites à un niveau que je n’avais jamais imaginé. Mon rôle n’était plus seulement d’obéir ou de satisfaire ; il s’agissait désormais de devenir l’incarnation parfaite de leurs désirs, un être dépourvu de volonté personnelle, entièrement dévoué à leur plaisir. Comme chaque matin, je fus tiré du sommeil par une traction sur ma chaîne. Cette fois, cependant, il ne me guida pas immédiatement vers la salle de bain. À la place, il m’ordonna de m’agenouiller au centre de la chambre, les mains derrière la tête. "Nous allons évaluer ton corps ce matin. Tu es notre propriété, et il est important de s’assurer que chaque partie de toi est en parfait état." Les autres hommes entrèrent progressivement dans la pièce, formant un cercle autour de moi. L’un d’eux, portant des gants, commença à inspecter ma peau, vérifiant chaque muscle, chaque courbe, chaque imperfection. Un autre sortit un fouet fin et l’utilisa pour tester ma capacité à rester immobile malgré de légères douleurs. Les coups étaient légers, mais la précision et la constance renforçaient mon état de vulnérabilité. "Bon. Tu es prêt pour la prochaine étape." Pour la première fois, mon rituel d’hygiène se déroula sous les yeux de tous les hommes présents. Attaché à la chaise de douche, je fus lavé et préparé méthodiquement. Le lavement était plus intense, le plug utilisé pour le retenir était d’une taille imposante, et les hommes prirent tour à tour le relais pour m’inspecter. "Relâche-toi. Apprends à apprécier chaque sensation." Ils introduisirent un lubrifiant chauffant, augmentant la sensibilité de mon corps. Chaque jet d’eau, chaque frottement devenait une stimulation intense, me poussant encore plus loin dans cet état d’abandon total. Après ma préparation, je fus conduit à quatre pattes vers le salon, où une nouvelle gamelle m’attendait. Cette fois, la nourriture était accompagnée d’un supplément : un liquide sucré mélangé à des stimulants légers pour maintenir mon énergie et mon excitation tout au long de la journée. Pendant que je mangeais, ils discutaient de moi comme si je n’étais pas là, planifiant les activités de la journée. "Nous allons le tester sur une séance prolongée aujourd’hui. Il doit apprendre à maintenir son endurance même dans des scénarios extrêmes." "Ajoutons des variations de rythme pour voir comment il réagit." La matinée fut entièrement consacrée à une séance de domination prolongée. Attaché à la chaise de dressage, les jambes écartées et les bras immobilisés, je fus soumis à une combinaison de stimulations simultanées. La fuck machine : Elle était réglée sur un rythme aléatoire, alternant entre des mouvements lents et des poussées rapides. Chaque changement de cadence me forçait à m’adapter. Les pinces à tétons vibrantes : Elles émettaient de légères impulsions électriques, intensifiant chaque sensation. Un casque audio : Il diffusait des instructions répétitives et des affirmations sur mon rôle, renforçant ma soumission mentale. "Tu es à nous. Ton corps est notre propriété. Ton plaisir est celui que nous décidons." Les hommes se relayaient pour observer, ajuster les réglages ou tester de nouvelles techniques. Chaque intervention ajoutait une couche de complexité à mon expérience, me forçant à repousser mes limites physiques et mentales. Après deux heures de stimulation, ils décidèrent de me laisser récupérer. Mais même le repos était une forme de dressage. Attaché dans un harnais suspendu, je restais immobile pendant qu’ils discutaient de ma performance. "Il a une bonne endurance, mais il faut encore travailler sur sa capacité à répondre rapidement à des stimulations multiples." "Ajoutons des accessoires interactifs pour le reste de la journée." Le reste de la journée fut consacré à l’utilisation d’accessoires connectés. Ils introduisirent un plug vibrant et des stimulateurs à distance, chacun contrôlé par leur téléphone. "Nous allons tester ta capacité à rester concentré même lorsque tu es stimulé de manière imprévisible." Je fus placé au centre du salon, sans attaches cette fois, mais avec l’interdiction de bouger. À chaque vibration du plug ou impulsion sur mes tétons, je devais maintenir ma posture. Toute déviation entraînait une correction immédiate : un coup de fouet ou une traction sur mon collier. Le point culminant de la journée arriva en soirée. Tous les hommes se réunirent pour une session collective, chacun apportant sa propre contribution à mon dressage. Les rôles multiples Un homme se plaça derrière moi, utilisant un harnais pour me maintenir dans une position parfaite. Un autre me guida oralement, m’ordonnant de répondre à des stimulations spécifiques. Les autres se relayaient pour utiliser mon corps, explorant chaque limite avec précision. Les accessoires interactifs Ils connectèrent mes accessoires à une application collective, permettant à plusieurs d’entre eux de contrôler simultanément les vibrations et impulsions électriques. Le jeu de rôle Pour renforcer ma soumission, ils introduisirent un scénario où je devais "choisir" entre plusieurs ordres, chacun menant à une stimulation différente. Cette illusion de choix accentuait mon abandon, car chaque décision me ramenait à mon rôle. Épuisé mais satisfait, je fus ramené dans la chambre. Attaché au pied du lit principal, je restais immobile, écoutant leurs commentaires sur ma performance. "Il s’améliore. Sa soumission devient instinctive." "Demain, nous allons le tester dans un environnement extérieur pour voir comment il se comporte hors de ce cadre." i le chalet avait jusqu’ici été un sanctuaire de soumission, mon maître avait décidé qu’il était temps de tester ma capacité à maintenir mon rôle en dehors de cet espace sécurisé. Cette journée allait m’immerger dans un environnement extérieur, où de nouvelles dynamiques et des défis inattendus mettraient à l’épreuve ma soumission totale. Comme chaque matin, je fus tiré de mon sommeil par une légère tension sur ma chaîne. Mais cette fois, son ton était différent, plus chargé d’excitation. "Aujourd’hui, nous sortons. Tu devras prouver que ton rôle est devenu naturel, peu importe où tu te trouves." Attaché au pied de son lit, je me redressai lentement, le collier serré autour de mon cou me rappelant ma condition. Il me guida à la salle de bain, où le rituel d’hygiène prit une dimension encore plus méticuleuse. Une préparation approfondie : Il utilisa un lavement pour garantir une propreté parfaite, le plug vibrant inséré ensuite étant cette fois plus grand et réglé sur une stimulation constante. Mes tétons furent recouverts de pinces discrètes mais sensibles, dissimulées sous une chemise légère qu’il m’ordonna de porter. Mon collier fut remplacé par un modèle plus discret, mais toujours suffisamment serré pour rappeler ma soumission. Avant de partir, il me fit enfiler un pantalon moulant et une chemise simple, sans sous-vêtements. La sensation de mon plug, vibrant doucement à chaque mouvement, était un rappel constant de mon rôle. Nous montâmes dans sa voiture, comme au premier jour. Cette fois, cependant, je ne fus pas placé dans une cage. Je pris place sur le siège passager, mais avec des consignes strictes : "Tu ne parles pas. Tu ne regardes pas autour de toi. Tu te concentres uniquement sur ta condition." Pendant le trajet, il activa le plug vibrant, jouant avec les réglages pour tester ma réaction. Je m’efforçais de rester immobile, mes mains posées sur mes cuisses, les yeux baissés. Chaque vibration, chaque impulsion électrique envoyée à mes tétons à travers les pinces, était un rappel de son contrôle absolu. Le véhicule s’arrêta dans une clairière isolée, bordée par une forêt dense. C’était un lieu calme, mais pas entièrement privé. Quelques promeneurs passaient au loin, et le simple fait de savoir que je pouvais être vu ajoutait une tension excitante à la situation. "Descends." Je sortis de la voiture, ressentant immédiatement la fraîcheur de l’air contre ma peau. Il attacha une laisse discrète à mon collier, m’ordonnant de le suivre à pied. Chaque pas était une épreuve, le plug vibrant s’intensifiant légèrement avec mes mouvements, et la tension de la laisse me rappelant que je n’avais aucun contrôle sur mes actions. Il choisit une zone légèrement boisée pour commencer la séance. Là, il donna ses premiers ordres : "À genoux. Rampe jusqu’à cet arbre." "Arrête-toi. Ouvre la bouche." Chaque instruction devait être exécutée immédiatement et parfaitement. Le moindre retard ou hésitation entraînait une correction : une traction ferme sur la laisse ou une augmentation soudaine des vibrations du plug. Un défi supplémentaire : Pour compliquer l’exercice, il introduisit une série d’accessoires portatifs : Une télécommande pour contrôler les vibrations du plug à distance. Un anneau placé sur mon pénis, émettant de légers chocs électriques à chaque erreur. Ces outils transformèrent la séance en un jeu de contrôle total, où chaque mouvement de mon corps était dicté par ses moindres caprices. Après une heure de dressage dans la clairière, il me conduisit vers un sentier plus fréquenté. Cette partie de la journée fut marquée par des interactions subtiles mais intenses avec des inconnus. Exemples : Il me fit m’agenouiller discrètement lorsque quelqu’un passait, simulant une pause innocente mais clairement intentionnelle. À un moment donné, il engagea une conversation avec un promeneur, tout en activant les vibrations de mon plug pour tester ma capacité à rester impassible. Ces moments étaient à la fois humiliants et excitants, renforçant ma dévotion et ma capacité à rester dans mon rôle, peu importe les circonstances. De retour au chalet, il me guida directement au salon, où il détacha ma laisse et m’ordonna de me mettre à genoux. "Aujourd’hui, tu as prouvé que tu peux maintenir ton rôle en dehors de cet espace. Mais il y a encore des aspects à améliorer." Il commença une évaluation détaillée de ma performance, pointant mes erreurs et félicitant mes progrès. Cette session de débriefing, bien que verbale, était un exercice mental intense, me forçant à analyser chaque instant de la journée sous son prisme. Pour conclure la journée, il introduisit une nouvelle séance de domination physique. Attaché à la chaise de dressage, mes poignets et chevilles immobilisés, je fus soumis à une combinaison de : Stimulation mécanique : La fuck machine fut réglée sur un rythme aléatoire, poussant mon corps à ses limites. Interventions multiples : Deux de ses partenaires présents utilisèrent simultanément ma bouche et mes mains, exigeant une synchronisation parfaite entre les stimulations. Cette séance dura plusieurs heures, jusqu’à ce que mon corps et mon esprit atteignent un état de soumission absolue. Avant de me laisser dormir, il prononça ces mots : "Tu as franchi une étape aujourd’hui. Mais il reste encore des défis à surmonter." Attaché au pied de son lit, mon esprit flottait entre l’épuisement et la satisfaction. Chaque muscle de mon corps était endolori, mais mon esprit était clair : je voulais aller encore plus loin. Avant de me laisser dormir, il prononça ces mots : "Tu as franchi une étape aujourd’hui. Mais il reste encore des défis à surmonter." Attaché au pied de son lit, mon esprit flottait entre l’épuisement et la satisfaction. Chaque muscle de mon corps était endolori, mais mon esprit était clair : je voulais aller encore plus loin. Le matin se leva sur un chalet baigné de silence. Contrairement aux jours précédents, il n’y eut ni traction sur ma chaîne ni voix pour m’ordonner de me lever. Je restai immobile, éveillé, à attendre. L’attente elle-même était une forme de discipline. Au bout d’un moment, il entra, accompagné de deux de ses partenaires. Leur présence imposante emplissait la pièce d’une énergie différente. "Aujourd’hui est ton dernier jour ici. Tu as montré que tu pouvais obéir, mais maintenant, tu dois prouver que tu es devenu ce que nous attendons de toi."   La journée débuta par une préparation symbolique. Guidé à quatre pattes jusqu’à la salle de bain, je fus placé dans la douche et attaché au siège métallique. Cette fois, le lavement ne se limita pas à une simple procédure d’hygiène : il fut accompagné d’un jeu sensoriel. Le contrôle par les accessoires Un plug vibrant fut inséré, connecté à une télécommande que chacun pouvait manipuler. Des électrodes placées sur mes cuisses émettaient de légers chocs, alternant entre plaisir et douleur. La purification mentale Pendant que mon corps était préparé, il me fit répéter des phrases : "Je ne suis rien sans vous." "Mon corps est votre propriété." Chaque mot prononcé renforçait ma soumission, me plongeant dans un état de transe où seule leur satisfaction comptait. Après la purification, je fus conduit au salon, où une gamelle spéciale avait été préparée. Contrairement aux repas simples des jours précédents, celui-ci était élaboré et symbolique. Chaque bouchée représentait un pas de plus vers ma transformation complète. "Mange lentement. Aujourd’hui, tu ne fais plus que survivre : tu existes pour nous." À la fin du repas, je dus remercier chaque homme individuellement, me prosternant devant eux, aboyant doucement en signe de gratitude. Le point culminant de la journée fut une séance collective, où tous les hommes présents utilisèrent mon corps selon leurs envies. L’installation Attaché à une structure en forme de croix, mes bras et jambes écartés, je fus exposé et vulnérable. Une cagoule recouvrait ma tête, ne laissant que ma bouche et mes orifices accessibles. Les rôles multiples Certains se relayaient pour utiliser la fuck machine, contrôlant son rythme et sa profondeur. D’autres me guidaient oralement, m’ordonnant de répondre à leurs désirs. Un jeu d’endurance Ils introduisirent un jeu où chaque erreur ou hésitation de ma part entraînait une correction immédiate : une légère claque, une impulsion électrique ou une intensification des vibrations. La séance dura des heures. Chaque seconde renforçait mon rôle, me plongeant plus profondément dans un état où ma seule existence dépendait de leur plaisir. Lorsque tout fut terminé, je fus détaché et conduit au centre de la pièce. À genoux, le corps fatigué mais l’esprit clair, j’attendis leur verdict. "Tu as montré que tu pouvais obéir. Mais as-tu vraiment compris ce que cela signifie ?" Ils m’ordonnèrent de répéter, encore et encore, des phrases affirmant ma dévotion. Chaque répétition était une preuve supplémentaire de ma transformation. Le soir venu, il me guida une dernière fois à quatre pattes jusqu’à la voiture. Cette fois, il n’y avait plus de cage. Je montai à bord, toujours nu, mais cette fois avec un sentiment différent : un sentiment d’appartenance totale. Pendant le trajet de retour, il désactiva les accessoires. Le silence dans la voiture était lourd, mais pas inconfortable. J’avais accompli ce que j’étais venu chercher. Arrivé à Lausanne, il s’arrêta dans un lieu discret. Avant de me permettre de sortir, il me regarda droit dans les yeux, une main ferme sur mon collier. "Tu es devenu ce que tu voulais être. Mais souviens-toi, cela ne s’arrête jamais. Ce rôle est désormais le tien, peu importe où tu vas." Je descendis de la voiture, reprenant mes vêtements avec une étrange sérénité. Ce que j’avais vécu au chalet resterait gravé en moi, non pas comme un souvenir, mais comme une identité.
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Par : le 17/12/24
Je découvre Laure sous un autre jour. Je suis perdu, j’ai mal, mon cœur s’écrase contre ma poitrine. Je me sens oppressé mais en même temps, une excitation, comme jamais ressentie, s’empare de moi. Je la sens, dans chaque parcelle de mon corps, de mon être, de mon âme. Mon esprit alterne, entre l’émoi et le désir, incommensurable, de plus en plus incommensurable. Emoi et envie, s’emmêlent, s’entremêlent, fusionnent, ne font plus qu’un. Un étrange et extraordinaire désir et paradoxalement contrasté, contradictoire. Douleur et jouissance, jalousie et excitation, réticence et envie, tout est confus. Mes yeux sont rivés sur le corps de Laure, qui comme une ode s’offre, peu à peu, à son dominant qui répand sa maitrise sur tout son être. Elle est nue devant moi, devant lui, avec toute sa pudeur, mais elle la sacrifie pour lui, elle le lui offre. Son pied est toujours sur l’accoudoir du fauteuil, cambré, comme si elle se prosternait. Il est fuselé et le rouge noir, de son vernis, accentue plus encore la bague qui orne désormais son orteil. Elle porte son sceau. Paul pose sa main sur sa cheville et la remonte le long de son mollet, de sa cuisse, tout en me fixant intensément. Il marque le galbe de sa jambe, qui m’envoute. Sa position se cambre d’avantage, a chaque avancée de la main de son maitre. Ses fesses s’arrondissent fermement et me donne envie d’elle comme jamais. Je perçois le scintillement du rosebud qui scelle son anus, qui me sera, désormais, interdit.    L’équilibre de Laure, semble précaire, son dos chancèle, mais m’envoute comme une danse serpentine. Je suis en orient, à l’image de la chaine qu’elle porte à la cheville. Eunuque de ce harem, dont elle est la seule, l’unique, l’incroyable cadine. La favorite. La main du Sultan s’arrête à l’orée de son sexe. Il a assurément effleuré, ses grandes lèvres, totalement dévoilées. Laure sursaute, trésaille et soupir lorsqu’il arrête brusquement sa progression. Je ne sais pas, si sa plainte est celle d’un soulagement ou d’une déception. Je suis de plus en plus bouleversé. « Laure n’as-tu pas un présent à m’offrir également ? », lâche soudain Paul. « Oui mon Maître » chuchote Laure en gardant la tête baissée. « Plus fort, Laure, ton mari n’a pas bien entendu » reprend Paul. « Oui Mon Maître » lâche-t-elle à son tour avec plus de tonalité mais avec une grande pudeur. Mon Maître, je suis estomaqué. L’utilisation de ce pronom personnel me fait l’effet d’une aiguille qui me transperce le cœur et pourtant je sens mon érection s’accentuer davantage. Laure se détourne du fauteuil et se dirige vers une console de notre salon. Ses pas ne pas ne semblent pas toucher le sol, ils s’inscrivent dans une farandole lancinante. La pierre du rosebud ondule à chaque mouvement et crispe les arabesques de ses fesses qui semblent chuchoter, appeler quelque chose, dont je ne suis pas sûre de saisir ou que je crains de savoir.     Elle ouvre un tiroir, y saisit un objet que je ne peux voir de ma position et reviens vers son Maître. Elle tient en main une laisse rouge toute fine et un petit collier en cuir noir orné d’un petit anneau argenté en son centre. Elle les tend à Paul qui se lève et lui ordonne de se mettre à genou. « Tu as bien choisi tes liens, Laure », lui félicite-t-il lorsqu’il passe le collier au coup. La laisse retombe entre ses seins voluptueux, souples et arrogant. Ses tétons, dont elle a si honte, pointent insolemment. Ils sont incandescents et pourpres et font saillir le teint de porcelaine de sa poitrine. - « A présent suce moi » ordonne Paul en tirant, fermement, la laisse pour attirer la tête de Laure contre son entre-jambe. Ma femme, si fière et rebelle, à l’accoutumée, est totalement sous son joug. Elle défait son pantalon et prend le sexe de Paul en bouche délicatement. Paul m’avait longuement interrogé, lors de notre première entrevue, sur les qualités sexuelles de Laure. Je lui avais vanté ses fellations. L’art qu’elle avait d’enlacer de sa langue mon sexe, des délices qu’elle semait en parcourant ma tige, des frissons qu’elle provoquait en léchant mes bourses jusqu’au zone plus reculées. Laure se donnait avec plus de gourmandise. Sa bouche allait et venait, léchait, suçait, gobait. Alternait entre l’érection de son maitre et les contreforts de son sexe de plus en tendu. Elle soupirait, gémissait même, plus elle avalait la virilité de son maitre, qui explosa violemment en elle, dans sa bouche, sans qu’elle ne fasse le moindre mouvement de recul, bien au contraire. Laure l’avala comme une offrande, alors qu’elle n’avait jamais, au grand jamais, voulu m’accorder une telle faveur, en dix années de vie commune. Elle lui donnait plus qu’elle ne m’avait jamais donné. Il s’en alla, en accrochant sa laisse et son collier au porte manteau de notre entrée, afin qu’ils soient offerts à la vue de tous nos visiteurs à l’avenir, sans qu’ils n’en comprennent le sens, et qu’ils nous rappellent à chaque instant, la soumission de Laure.    
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