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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Isabelle adore les bals du 14 juillet. Elle y va pour se taper des mecs. Elle ne met jamais de culotte sous sa mini raz la moule. Mais attention, c'est elle qui drague. Inutile de la désirer c'est elle qui décide.
Isa, ce qu'elle préfère, c'est se taper les garçons à problèmes, ceux qui restent sur les bords, ceux qui n'ont pas de nanas et qui se branlent en solitaires. Ils sont faciles à débusquer, ce sont les garçons qui restent sur les bords, n'osent pas aborder les filles, rougissent des qu'une fille les regarde trop. Isabelle adore les draguer et les coincer dans un coin pour les baiser. Elle adore lorsqu'elle tombe sur un puceau, coincé de partout.
Le bal est là, avec tous ces flons flons. Isa est splendide avec sa mini noire moulante. On voit de suite qu'elle n'a rien dessous. Ses seins fermes pointent comme des obus. Elle est éblouissante. Une bombe sexuelle. Les mâles alpha veulent tous se la taper mais son plaisir c'est de les envoyer balader. Non, elle a horreur de se faire draguer. C'est elle la femelle dominante et elle sait chasser.
Elle a repéré Pierre, seul dans son coin, qui regarde les autres danser et boit une pâle menthe à l'eau. La chasseuse l'observe. Elle le renifle. Un puceau.
Elle s'assoit à sa table et regarde Pierre droit dans les yeux.
-tu ne m'offres pas un verre ?
-Si, si Madame, avec plaisir. Que voulez vous boire ?
- tes levres, viens allons marcher un peu.
Et elle prend Pierre par la main. Elle le sent trembler et hésiter. Cela l'excite.
Elle coince Pierre contre un mur et lui roule une pelle. Le garçon est tétanisé. Il ne peut pas fuir. Isabelle le tient bien. Sa langue est douce. Progressivement Pierre se détend et prend du plaisir à ce baiser impetueux.
Isabelle ouvre sa braguette et sort sa queue bien en erection. Elle la caresse. Pierre ejacule aussitôt. Un précoce qui ne sait pas résister. Isa aime cela. Elle goûté son sperme et embrasse le garçon qui bande encore. Elle s'embroche sur lui d'un coup. Et Pierre ejacule encore. Sa bite reste dure. Isa en profite pour bien se taper le garçon, debout contre le mur. Et Pierre se laisse faire. C'est la première fois qu'il fait l'amour et il trouve cela divin. Il bande encore plus fort, ejacule, se vide encore et encore. A présent il suce les seins somptueux d'Isa mordille ses tetons. Et il continue ses va et viens dans la chatte en feu d'Isa. Il lâche un dois de plus son foutre. Il est vide cette fois, rincé pour de bon. Son sexe se ramollit et pend entre ses cuisses. Isa le retourne, lui caresse les fesses puis lui flanque une série de frappes précises. Les fesses de Pierre sont vite rouges. Il n'ose rien dire. C'est charmant.
Isa est cruelle. Elle le laisse là pantalon baissé, cul rouge, tourne contre le mur, couilles vidées. Elle lui dit de rester comme cela et Pierre obéit. Elle est déjà repartie en chasse pour se débusquer un autre garçon à problèmes avec les filles.
Un beau 14 juillet !
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[Reposté d'un ancien forum BDSM, délaissé depuis. Mais j'avais bien apprécié cet article :) ]
Le BDSM, souvent mal compris ou réduit à des clichés de douleur et de domination, recèle en réalité une beauté profonde et singulière. Pour celles et ceux qui le vivent consciemment, il est bien plus qu’un simple jeu de contrainte : c’est une voie d’exploration intime, un dialogue subtil entre confiance, abandon, pouvoir et liberté.
Derrière les accessoires et les rituels, c’est une expérience humaine, sensorielle et émotionnelle d’une intensité rare, où chacun est invité à se dévoiler, à s’accepter et à s’épanouir sans masque ni jugement.
Tout commence par la confiance. Il ne s’agit pas simplement de “se confier” à l’autre, mais bien de remettre entre ses mains ce que l’on a de plus précieux : son corps, sa volonté, son désir… et parfois ses peurs. Pour la soumise, s’abandonner demande du courage ; pour le dominant, recevoir cette offrande exige de la responsabilité et de l’écoute.
Le BDSM ne laisse aucune place à l’ambiguïté : tout doit être clair, consenti, discuté. Les mots de sécurité (“safe words”), les règles, les signes sont là pour garantir qu’à chaque instant, chacun peut arrêter, redéfinir ou ajuster le jeu. C’est sur ce socle que se construit la véritable intimité, une confiance rare qui permet d’oser, d’explorer, de s’abandonner… en toute sécurité.
Contrairement aux apparences, le BDSM n’est pas un rapport de force, mais un échange de pouvoir consenti. La soumise ne subit jamais : elle choisit d’offrir son obéissance, dans des limites claires, pour explorer ses envies, ses limites, ses fantasmes. Le dominant, loin d’être un tyran, devient alors le gardien bienveillant de ce don, responsable du bien-être de l’autre.
Chaque ordre donné, chaque geste, chaque refus ou chaque permission prend alors une signification profonde. La tension entre contrôle et abandon, la négociation constante entre les désirs et les limites, laissent place à une forme de poésie : on ne prend pas, on reçoit ; on ne subit pas, on s’offre.
Dans cette chorégraphie intime, chacun se découvre, se révèle, parfois bien au-delà de la chambre à coucher.
Le BDSM n’est pas qu’une question de pratiques : c’est aussi l’art de créer un cadre. Les rituels, les codes, les accessoires (collier, laisse, tenues imposées, postures, privations sensorielles…) participent à cette mise en scène rassurante et structurante. Dans ce cocon de règles claires, l’imagination et la liberté peuvent s’exprimer pleinement.
Les rituels permettent d’entrer dans un état d’esprit particulier, d’atteindre ce fameux “subspace” pour la soumise ou “Domspace” pour le dominant, où la conscience se modifie, où l’expérience devient totale.
Chacun joue un rôle, mais tout est vrai : sincérité, authenticité et intensité sont alors au cœur de la relation.
Parmi les multiples chemins que propose le BDSM, certains mènent à l’humiliation ou au rabaissement. Pour beaucoup, ce sont des zones taboues. Pour d’autres, ce sont de puissants leviers d’émotion et d’épanouissement.
Quand l’humiliation est désirée et consentie, elle permet à la soumise de s’abandonner sans honte, de révéler une part intime d’elle-même qu’elle n’ose montrer nulle part ailleurs.
Ici, le dominant n’est jamais un juge. Il incarne la sécurité, la compréhension, le respect absolu. Il accueille la vulnérabilité, accompagne le lâcher-prise, et garantit que jamais la soumise ne sera blessée ou dévalorisée de façon réelle. L’humiliation devient alors, paradoxalement, un espace de liberté : la soumise se sent autorisée à tout explorer, même ses désirs les plus inavouables, sans craindre d’être jugée.
Ce jeu de rôle, ce théâtre intime, n’est jamais une destruction : c’est une transformation, parfois même une source de guérison, d’acceptation de soi, de jouissance profonde.
La beauté du BDSM réside aussi dans cette promesse : ici, on ne juge pas, on accompagne, on célèbre la liberté d’être soi, dans toute sa complexité.
Au-delà du plaisir physique, le BDSM est une formidable école de connaissance de soi. Il invite à explorer ses limites, ses envies, ses ombres et ses lumières. Les discussions, les négociations, les retours après chaque session (“aftercare”) enrichissent la relation et l’expérience, renforcent la confiance et la complicité.
Le dominant apprend l’écoute, l’attention, l’empathie, la créativité. La soumise apprend l’abandon, l’honnêteté, le courage de se montrer vulnérable.
Chacun grandit, s’épanouit, apprend à mieux aimer… et à mieux se connaître.
Enfin, le BDSM ne s’arrête pas à l’instant du jeu. L’“aftercare” est essentiel : ce sont ces gestes, ces mots, cette douceur après l’intensité. On se serre, on rassure, on prend soin l’un de l’autre. C’est le moment où l’on se remercie, où l’on confirme la confiance donnée et reçue.
L’aftercare n’est pas un détail : il est la preuve ultime de l’attention et du respect mutuels, la clé qui permet de recommencer demain, plus fort, plus confiant, plus épanoui.
La beauté du BDSM réside dans cet équilibre subtil entre sécurité et transgression, échange de pouvoir et abandon, cadre et liberté. Il invite à la sincérité, à la création d’un espace où l’on peut tout oser, tout dire, tout vivre… sans jamais être jugé, ni par l’autre, ni par soi-même.
Être vulnérable devient une force. Donner, un pouvoir. S’abandonner, dans la confiance et le non-jugement, la forme la plus pure de la liberté...
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Le soleil caressait chaque parcelle de ma peau nue. Étendue sur le sable fin, sur une grande serviette en lin blanc, j’étais là, offerte au ciel, à la mer… et à Lui. C’était ma toute première fois sur une plage naturiste. Qui plus est au Cap d’Agde. Si on m’avait il y a quelques bannées qu’un jour je serais ici. Nue. Avec un homme à qui je serai fière d’être soumise, mon Maitre … J’aurais éclaté de rire ; tellement cela m’aurait semblé si loin de ce que j’étais alors.
Et pourtant, j’étais bien là. Et heureuse d’y être. Moi si prude auparavant, je n’éprouvais finalement que bien peu de gêne. Juste une conscience aiguë de mon corps. Non pas comme un objet regardé, mais comme un territoire assumé, revendiqué, aimé. J’étais à Lui.
L’air salin venait danser sur ma peau échauffée. À chaque rafale légère, je frissonnais. Pas de honte. Juste ce frisson délicat, celui de la liberté nue ; ma liberté. Ma poitrine se soulevait lentement. Mes jambes, ouvertes juste ce qu’il fallait, laissaient voir ce tatouage encore jeune qui ornait désormais le haut de mon sexe : un loup… et son nom … Mon loup. Son Sceau. Notre Pacte.
Il s’approcha lentement. Mon Maître. Mon homme. Il était allé nous chercher à boire. Et je sentis, avant même qu’il me touche, la fraîcheur de l’ombre qu’il projetait sur moi. Il s’accroupit. M’embrassa tendrement. Il me tendit une bouteille d’eau gazeuse délicieusement fraiche.
Je le vis saisir dans ses mains le flacon d’huile solaire. Sans un mot, il versa un filet d’huile dans sa paume. J’humais avec plaisir la délicieuse et si caractéristique odeur de fleur de tiaré et à d’amande douce. Et il commença à l’étaler sur mes jambes. Doucement. Précisément. Ses gestes étaient ceux d’un peintre amoureux de sa toile. Il remonta vers mes cuisses, puis mes hanches. Et, arrivé à mon bas-ventre, il ralentit. Il s’arrêta un instant sur le tatouage. Ses doigts s’y posèrent à peine au début. Ils glissèrent autour du dessin, effleurant chaque ligne d’encre avec un soin révérencieux.
Et là, les yeux fermés, le souvenir me saisit.
Je revis, comme projetée hors du temps, cette soirée lumineuse, il y a quelques semaines à peine. Lorsque j’avais franchis la porte de notre demeure. Lui déjà là, attentif, prêt. La table dressée sur notre terrasse. Le champagne frais. Du Ruinart rosé, mon préféré. Vivaldi en fond sonore. Et ce regard… son regard. Quand il me vit. Quand il s’approcha de moi. Quand il me félicita pour ma tenue, pour mes ongles vert forêt. Et puis… ce moment sacré.
« Montre-le-moi », avait-il murmuré.
Je me souvins de mes doigts relevant lentement ma robe. De ma maladresse à retirer lentement le pansement pour découvrir le don tatoué qu’il m’avait fait. Du frisson qui m’avait saisie. De la lumière dorée du soir tombant sur ma peau. De son souffle chaud contre l’encre fraîche. De ce baiser d’amour profond qu’il avait déposé sur le tatouage comme on s’incline devant un autel. De mon sexe instamment trempé, comme une offrande évidente à celui à qui j’appartenais corps et âme.
« Tu es mienne. Plus que jamais. » m’avait-il susurré … Et je m’étais sentie divinement bien. Comblée. Plus heureuse que jamais d’être là où j’étais. Dans ses mains. Librement attachée. Pleinement soumise. Possédée. Aimée.
Je rouvris les yeux. Le présent revint lentement à moi. Il était là. Penché sur mon bas-ventre. Il venait de finir de me masser le reste du corps. Il était revenu sur mon tatouage. Le massant plus encore de cette huile protectrice, sachant cette zone plus sensible au soleil car récemment meurtrie. Il le regardait avec admiration et possession. Silencieux. Et son regard me réchauffa, plus encore que le soleil. Je posai ma main sur la sienne. Et dans ce simple contact, je lui disais tout. Que j’étais bien. Que j’étais heureuse. Que je me sentais libre. Belle. Aimée. Nue, oui, mais vêtue de sa marque, protégée par elle.
Il vint s’agenouiller entre mes jambes, ses mains encore luisantes de l’huile qu’il venait d’étendre avec une lenteur divine sur mon corps. Le soleil, haut dans le ciel en ce début d’après-midi, tapait fort. Mais c’était autre chose qui brûlait en moi. Une chaleur plus profonde, qui prenait naissance quelque part entre mon ventre et mon esprit. Un chaleur qui irradiait lentement mais de manière irréversible, comme une marée invisible.
Son regard remonta vers le mien. Il me sourit. Avec ce regard qui me fait fondre. Je le vis s’incliner. Lentement. Et mon souffle se suspendit.
Le premier contact fut comme un frisson né d’un rêve. Sa bouche effleura l’intérieur de ma cuisse, si près de ma fleur qu’elle en trembla, sans encore oser s’ouvrir tout à fait. Puis, comme un peintre caressant sa toile, il laissa sa langue glisser. Une seule fois. Doucement. Mais cette caresse-là… elle me traversa comme une onde de choc … Tout mon corps s’anima. Mes reins s’enfoncèrent légèrement dans la serviette. Mes bras se tendirent de chaque côté, cherchant un point d’ancrage. Le monde autour de moi devint flou. Seuls restaient la chaleur du sable, le sel de l’air… et Lui.
Je sentais sa respiration contre ma peau. Je sentais sa langue dessiner sur moi des cercles, des spirales. En ce moment, il ne me dévorait pas comme j’aime parfois qu’il le fasse, lorsqu’il laisse parler le même Alpha en lui … Non, il m’explorait. Il m’adorait. Il me lisait.
Et moi… je m’offrais totalement. Je m’ouvrais. J’étais nue. Physiquement, bien sûr. Mais plus encore j’étais nue émotionnellement. Spirituellement. Offerte. Exposée. Non dans la honte et l’indécence ; mais dans une vérité essentielle. Il m’embrassait là où personne n’avait jamais posé de regard avec autant d’amour brut. Il faisait de ma chair un autel. Il me priait. Il me vénérait.
Là, sur cette plage naturiste, dans cet espace où nos corps s’exposaient aux éléments comme aux regards d’autres personnes, je ne ressentais aucune peur, aucune honte, aucune pudeur. Au contraire. L’idée même que d’autres puissent deviner, sentir, même voir peut-être, ce qu’il me faisait… me rendait plus vivante encore. Plus audacieuse. Plus vraie.
Ma respiration s’emballait. Mon ventre ondulait. Mon bassin s’offrait, se cambrait, cherchant plus encore. Mon sexe, gorgé de chaleur et d’onde, vibrait sous ses baisers et ses coups de langue. Et quand il enveloppa mon bouton de plaisir de ses lèvres, puis qu’il y souffla, lentement, comme on murmure un brulant secret, je crus m’évanouir.
J’étais ouverte. Je me sentais belle. Aimée. Profondément aimée. Aimée par une langue, oui. Mais surtout avec un cœur. Avec une âme. J’étais certes sa chienne lubrique, sa putain magnifique, sa salope dévergondée, son objet sexuel … mais j’étais avant tout sa Princesse vénérée, sa Sublime adorée.
Et quand mes cuisses tremblèrent … Quand mes gémissements surpassèrent le son du ressac lointain. Quand mes larmes perlèrent sur mes joues … il posa simplement sa main sur mon ventre. Pour me contenir. Pour me canaliser. Et dans cette inoubliable journée d’été, entre ciel et mer, je jouis. Longuement. Profondément. En Lui. Pour Lui. Par Lui.
Je profitais quelques instants du bonheur et de la plénitude de cet orgasme. Lorsque j’ouvris les yeux il était là. Debout. Magnifique. Il me regardait avec ce calme souverain que j’aimais tant. Ses lèvres brillaient encore de moi. Son regard portait l’ombre douce d’un feu apaisé mais que je savais toujours prêt à renaître.
Je me redressai à mon tour, m’agenouillant sur la serviette encore tiède. Mon corps nu frémissait sous la légère brise. Je levai les yeux vers lui. J’avais envie de lui rendre tout ce qu’il venait de m’offrir. Il le sentit et s’approcha de moi.
Mes mains effleurèrent son bassin, ses hanches. J’y déposai un baiser. Puis un autre, plus bas. Je le regardai un instant, mes lèvres juste là, au bord. Nos regards s’accrochèrent. Il me caressa doucement la joue. Et j’ouvris la bouche. Ce fut comme une offrande inversée. Ma bouche devint temple. Mes lèvres, écrin. Je le pris en moi avec une lenteur absolue, m’imprégnant de chaque pulsation, de chaque frémissement. Il s’ancrait en moi, pas seulement dans la chair, mais dans l’âme. Mon rythme était celui de la mer : ondulant, profond, inlassable.
Je sentais ses mains sur mes cheveux. Ses doigts glissaient jusqu’à ma nuque. Il ne guidait pas comme j’adore qu’il le fasse lorsqu’il m’utilise. Non là, il accompagnait. Il recevait. Et je donnais. Chaque mouvement de ma langue, chaque pression de mes lèvres était un mot silencieux. Un « merci ». Un « je t’aime ». Un « je suis à toi ».
Il soupira, doucement. Puis plus fort. Je sentis son bassin frémir, puis se retenir. Comme toujours, il savait attendre. Me laisser le temps. Me laisser le choix.
Et moi, à genoux sur le sable, le sexe de mon Maître dans ma bouche, je ne me sentais ni indécente, ni soumise à cet instant. J’étais entière. Vivante. Reliée. Et dans le creux de ma gorge, il y avait plus que son désir et sa domination totale sur moi : il y avait son amour.
J’interrompis mon hommage à sa virilité et me redressai lentement. Je me tins face à lui. Mon regard accrocha le sien. Il n’y avait pas de mot. Aucun n’aurait été à la hauteur de ce que je ressentais. Je le voulais en moi. Entièrement. Là. Maintenant.
Je posai mes mains sur son torse. Je le poussai avec douceur vers l’arrière, jusqu’à ce qu’il s’assoie sur la serviette. Il s’allongea légèrement, appuyé sur ses coudes. Il écarta légèrement ses jambes. Sa virilité dressée, tendue vers moi, comme une promesse.
Je m’agenouillai au-dessus de lui. Et dans ce geste si simple, si cru, si sacré, je le guidai en moi. Lentement. Très lentement. Jusqu’à ce que je sente cette brûlure douce, cette plénitude profonde. Jusqu’à ce que je sois entièrement empalée sur lui.
Un gémissement m’échappa. Je ressentis cette tension délicieuse, ce mélange de soulagement et d’ivresse qui me prenait toujours quand il entrait en moi. Mais ici… ici c’était différent.
Je faisais l’amour à mon Maître. En plein jour. En pleine nature. Mon sexe, mon plaisir, ma voix, tous exposés à l’air libre, au regard potentiel d’inconnus. Pour la toute première fois. Ce n’était pas du voyeurisme. Ce n’était pas un acte de provocation. C’était comme un tabou brisé. Un saut. Une offrande plus vaste. Comme si ce moment me lavait du reste du monde.
Je me mis à onduler lentement. Mes mains posées sur son ventre. Mon bassin épousant ses mouvements à lui. Il ne me guidait pas. Il me regardait. Intensément. Comme s’il voulait imprimer chaque battement de mes hanches dans sa mémoire. Son regard ne quittait pas mon visage.
Chaque va-et-vient réveillait en moi un cri contenu. Mon sexe, déjà gorgé de lui, s’ouvrait encore. Je sentais chaque veine de son membre souverain pulser en moi. Je le sentais partout. Contre mes parois, dans mes reins, jusque dans ma gorge … Mes seins gonflaient de plus en plus. Mes tétons me faisaient mal tant il étaient tendus. Ma poitrine fière et arrogante s’agitait doucement à chacun de mes mouvements. Il posa ses mains dessus. Les caressa. Les saisit. Les malaxa comme j’aime. Il gémissait de plaisir et d’envie.
Et moi… je me sentais Reine. Louve. Femme. Libre et totalement sienne, à la fois.
Je commençai à accélérer, m’empalant chaque fois plus loin. Ma peau luisait de transpiration et de plaisir. Mon clitoris venait frotter contre sa base, et je savais que je n’en aurais plus pour longtemps à ce rythme. Mon souffle se coupa. Mes jambes tremblaient. Mes mains cherchèrent ses épaules. Je m’agrippai.
Il comprit. Il se redressa brusquement, me tenant fermement par les hanches. Et d’un mouvement profond, il me força à rester empalée sur sa queue. Il m’embrassa. Fort. Viscéralement. Et dans cette étreinte, je me brisai. Littéralement. Mon orgasme me déchira. Il jaillit sans prévenir. Vaste. Sauvage. Je haletais. Je gémissais. J’avais l’impression physique de tomber. Mais il me tenait. Il me retenait. Et moi, j’inondai de mon nectar nos corps mêlés.
Il ne mit pas longtemps à me suivre. Il me plaqua contre lui, enfoncé jusqu’au plus profond de mon sexe, le fourreau de sa queue sacrée. Il se lança dans des va-et-vient de plus en plus rapides, me défonçant avec ardeur. Son cri fut plus rauque, plus contenu. Mais je le sentis. Son corps se tendit. Et je le reçus. Entièrement. Comme une réponse. Comme une bénédiction. Il me sanctifiait de sa semence chaude et abondante …
Nous restâmes là, en silence. Nus. Entrelacés au cœur du monde. La mer devant. Le ciel au-dessus. Et le sable chaud sous nous. Je sentais son nectar couler entre mes cuisses …
Pour la première fois, j’avais fait l’amour en pleine lumière. En public. Exposée. Offerte. Et je n’avais jamais été aussi vivante qu’à cet instant.
Illustration : Image du Net libre d'accès
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H. Concerto pour cris et gémissements en claquements majeurs
Vanessa ouvre la lourde porte en bois avec sur la partie haute une ouverture munie de barreaux qui ne permet pas de voir mais d’entendre ce qui se passe dans la salle.
Une longue et large bande de moquette traverse la pièce de gauche à droite, en face de la porte se trouve une fenêtre occultée par un lourd rideau noir, en dessous trois grands sièges qui ressemblent à des trônes et de chaque côté des fouets et des martinets en tous genres pendent le long du mur ainsi que des menottes, des chevillières et des barres d’écartement.
Sur la partie gauche de la moquette il y a une croix de Saint-André fixée sur le mur, au milieu un carcan sur pieds attend patiemment les prochains pénitents et vers la droite un palan manuel laisse pendre ses lourdes chaînes.
Jean en a le souffle coupé et Martin est comme un enfant devant la vitrine d’un marchand de jouets.
À peine entrés un duo de couples, environ la cinquantaine, entre dans la salle. İls ont l’air interloqués et à voir la façon dont ils sont habillés et leur hésitation Vanessa comprend que ce sont des débutants, elle s’avance vers eux en arborant son plus beau sourire et leur parle d’une voix douce, comme savent le faire certains médecins pour vous dire que tout va bien alors que vous êtes au plus mal et qu’il ne vous reste plus que quelques jours à vivre.
Vanessa – « Bonjour et bienvenue dans mon humble domaine. Je peux vous renseigner ? »
Un des deux hommes – « Oui, voilà, nous sommes débutants et ma femme aimerait que je la fouette et pour nos amis c’est l’inverse. İls n’osent pas parler car ils sont un peu timides ! »
Vanessa – « vous êtes au bon endroit pour soigner votre timidité ! » Elle appelle un soumis de service et lui demande d’apporter quatre fauteuils sur pieds, puis elle ajoute « On va parler un peu car je dois connaître vos besoins. Est-ce-que vous voulez que Maîtresse Sabine et ses soumis nous laissent seuls ? »
L’homme – « Non au contraire. Sans vouloir vous offenser je pense que deux expériences ne peuvent que nous être profitable ! » et, s’adressant à ses amis « Vous êtes d’accord ? » les amis acquiescent.
Le soumis ayant apporté les fauteuils Vanessa se lève et va fermer la porte en apposant une affichette « Occupé » et invite les couples à s’asseoir.
Vanessa – « Je suis Maîtresse Vanessa et voici Maîtresse Sabine. Vous pouvez me donner vos prénoms ? »
L’homme – « Gérard et… »
Vanessa – « A-t-elle le droit de me le dire elle-même ? »
La femme – « Karine ! »
Vanessa – « Et vous ? »
La femme – « Adeline ! »
L’homme – « Alexis ! »
Vanessa – « Bien, si j’ai bien compris Karine souhaite être fouettée par Gérard et Alexis aimerait être fouetté par Adeline. C’est ça ? »
Alexis – « C’est plutôt Adeline qui aimerait me fouetter ! »
Vanessa – « Ah ! et vous, vous ne le souhaitez pas ! »
Alexis – « Je veux bien lui faire plaisir mais il faut qu’elle apprenne d’abord ! »
Vanessa – « Et vous Karine vous souhaitez vraiment être fouettée ! »
Karine – « Oui mais j’aimerais bien qu’il apprenne aussi car ce peut être dangereux ! »
Vanessa – « Je confirme. Certains fouets sont de véritables armes ! » puis s’adressant à Sabine « Tu permets que je fasse témoigner petit chou ? »
Sabine – « Je t’en prie ma chérie, après tout tu es chez toi. Jean, tu peux répondre aux questions de Maîtresse Vanessa ! »
Vanessa – « Petit chou, tu as eu ta première expérience il y a quinze jours. Qu’as-tu ressenti ? »
Jean – « Au début ça m’a surpris. J’ai eu mal et j’ai serré les dents, mais en même temps j’ai déstressé, j’ai respiré lentement, profondément et ça ne me faisait plus mal. Puis quand Maîtresse Sabine a cessé j’avais le dos très chaud, un peu comme un léger coup de soleil et le lendemain dans la soirée je ne sentais plus rien, à mon grand regret car c’était le souvenir de ce moment qui disparaissait avec ! »
Vanessa – « la prochaine fois tu aimerais que ta Maîtresse te fouette un peu plus fort ? »
Jean – « Oui Maîtresse Vanessa ! »
Sabine – « Tu es prêt pour une séance, là, maintenant ? »
Jean – « Oui Maîtresse ! » İl s’est souvenu que Sabine lui avait dit que son comportement pourrait influencer sa décision de le prendre comme soumis attitré.
Martin est époustouflé par le courage de Jean. Accepter de se faire flageller plus rudement que ce qu’il a connu et devant des étrangers, bravo, il ne sait pas si lui-même aurait relevé ce défi.
Sabine attrape sa laisse, l’entraine jusqu’à la croix de Saint-André et le positionne face au mur. Elle décroche ses mains de la ceinture et les accroche à la croix, elle y fixe également la ceinture, puis elle va chercher des chevillières et une cravache. Elle lui fait écarter les jambes en lui donnant des coups de cravache à l’intérieur des cuisses jusqu’à ce qu’elle puisse fixer ses pieds au bas de la croix.
Vanessa aux couples – « Là, le soumis est pratiquement immobilisé. C’est plus confortable pour la personne qui fouette. Mais si on veut prendre plus de plaisir on utilise le palan où les mains sont accrochées au palan par une barre d’écartement et on lève pour que seules les pointes de pieds touchent le sol. À chaque coup le sujet va bouger et se dandiner, c’est ce qui m’excite le plus. Il faut donner du plaisir à la personne fouettée mais il faut en prendre à fouetter. Mais, comme on le disait tout à l’heure, si on dépasse les limites il peut y avoir un danger pour le soumis, pas tellement par des blessures physiques qui sont visibles mais par des blessures psychologiques qui ne se voient pas. Donc on va utiliser un safeword, un mot qui va indiquer à la personne qui fouette qu’elle doit arrêter. Cela peut être tout simplement « Stop » mais on peut convenir d’un autre mot, notamment quand il y a plusieurs personnes qui se font fouetter en même temps dans le même lieu par plusieurs doms, il sera difficile de savoir qui dit stop. Sabine, avez-vous défini ce code ? »
Sabine – « Non pas encore, mais pour aujourd’hui je propose galipette. À toi de jouer maintenant ! »
Jean comprend que c’est Vanessa qui va le fouetter, il est déçu mais il ne peut plus reculer.
Vanessa à Jean – « Tu te souviens du safeword ? »
Jean – « Oui Maîtresse Vanessa c’est galipette ! »
Vanessa – « Bien ! »
Elle va chercher un martinet en cuir avec des lanières larges et demande à Adeline de s’approcher.
Vanessa à Adeline – « Tu peux fouetter sur le haut du dos, de chaque côté de la colonne vertébrale de là à là, Sur le bas des fesses et les cuisses ainsi que la poitrine. Jamais sur le ventre, les reins, les doigts, le cou et toutes les parties de la tête ni sur les parties génitales sauf avec une cravache et avec modération. Je commence à faire tournoyer les lanières et j’effleure la peau pour l’habituer au contact du cuir puis je fais glisser le cuir le long de la colonne. Tu vois, il a des frissons de plaisir. Ensuite je saisi les lanières avec une main, je me positionne comme ceci pour avoir plus de précision et je fouette tout en ramenant le haut de mon corps en avant ! »
Les lanières claquent sur le dos de Jean qui sursaute mais il n’émet aucun son car il a retenu son souffle. Par contre il a confirmation que Sabine avait retenu sa main car cette fois la douleur est plus intense. Vanessa recommence à quatre reprises visant chaque fois une autre partie du corps.
Vanessa – « Regarde comme c’est beau cette peau rougie. Ça me donne envie de la caresser. Tu as compris Adeline ? »
Adeline – « oui je crois ! »
Vanessa – « Alors vas-y c’est à toi ! »
Sabine a envie de s’interposer, elle ne veut pas qu’on abime jean au point qu’il ne pourrait pas continuer à participer aux festivités. Elle ne dit rien mais elle est prête à bondir en cas de problème. Martin s’aperçoit de l’inquiétude de sa femme, il reconnait bien son côté à la fois maîtresse et mère poule et ça le fait sourire. İl se demande si elle ne prend pas Jean comme le fils qu’elle n’a jamais pu avoir, même dans cette relation très spéciale.
Jean est très inquiet, il n’avait pas prévu de servir de cobaye et craint qu’Adeline se rate et le massacre.
Adeline reproduit les gestes montrés par Vanessa mais retient ses coups de peur de faire mal.
Vanessa – « C’est bon, tu peux arrêter. C’est pas mal pour un début, ça manque un peu de précision et de conviction mais c’est normal. Tu vas vite prendre de l’assurance et n’oublie pas de communiquer avec la personne que tu fouette ! »
Elle reprend le martinet, s’approche de Jean, lui caresse le dos et lui chuchote « Tu te souviens du mot à prononcer ? »
Jean – « Galipette ! »
Elle fait à nouveau glisser les lanières sur le dos de Jean qui frissonne, puis elle fait deux pas en arrière et recommence à fouetter en augmentant progressivement la force des coups jusqu’à ce que jean prononce le mot qui va mettre fin à son supplice. Adeline est subjuguée, ce qu’elle a ressenti est encore plus fort que ce qu’elle avait imaginé dans ses rêves les plus fous. Elle avait déjà joui en regardant ce genre de scène dans des films, mais là, elle s’est mordu les lèvres pour ne pas hurler de plaisir car elle réserve cette jouissance pour le moment où ce sera Gérard qui lui demandera grâce et elle a hâte.
Vanessa détache Jean, elle le prend dans ses bras, lui demande s’il va bien et, tout en lui caressant la joue, elle le flatte pour son courage, puis elle le prend par la main et le rend à sa maîtresse qui le récupère avec une grande bienveillance, l’aide à s’asseoir, elle lui fait des petites bises sur l’épaule et lui dit à quel point elle est fière de lui ainsi que d’autres mots chuchotés échangés entre eux que personne ne peut entendre.
Adeline demande pourquoi tant de tendresse après cette violence.
Vanessa – « C’est ce que l’on appelle l’aftercare. C’est très important car la personne qui a été fouettée a fait un effort physique et psychologique important pour se prouver à elle-même qu’elle peut se surpasser mais aussi pour faire plaisir à la personne qui la domine. La personne dominante a, elle aussi besoin d’être rassurée sur l’état de santé de la personne soumise. Là en l’occurrence, ce n’est pas sa maîtresse qui a exécuté la flagellation mais toi et moi et je peux te dire que ça a été un mauvais moment pour Sabine, d’où ce moment câlin qui va les reconstruire tous les deux. Bon je te laisse voir avec Alexis s’il veut essayer maintenant ! »
Adeline comprend et elle espère que cela fera renaitre l’amour qu’elle a eu pour Alexis les premières années de leur relation, mais qui s’est effrité au fil des années et elle le voit aujourd’hui comme une chiffe molle, juste bon à regarder les matchs de foot à la télé avec une canette de bière à la main, oubliant qu’il a une femme qui a besoin de tendresse, de sexe, qu’elle existe tout simplement. Elle va le reprendre en main en soufflant le chaud et le froid, alternant le fouet et les caresses, l’autorité et la compréhension, faire en sorte qu’elle soit la principale obsession d’Alexis.
Vanessa se tourne vers Karine et Gérard « À vous maintenant. Karine, est-ce que tu veux que j’apprenne à Gérard à utiliser cet objet ? »
Karine – « Oui on est venus exprès sur les conseils d’un couple d’amis. Je pense que vous vous connaissez car je vous ai vu vous faire des signes ! »
Vanessa – « Je peux savoir qui est-ce ? »
Karine – « Keane et Janey ! »
Vanessa – « Ok ! justement ils doivent venir me voir. Si jamais ils viennent pendant que vous êtes là, vous acceptez que je les fasse entrer ? » Les deux couples se concertent et acceptent.
Vanessa demande à Adeline et Alexis s’ils veulent tester la technique maintenant mais Alexis préfère essayer chez eux pour se sentir plus à l’aise.
Vanessa se dit que ce n’est pas grave car elle a une idée en tête.
Puis elle présente aux deux couples les différents ustensiles, des plus doux aux plus durs, voir létaux s’ls sont mal maîtrisés. Ensuite elle se dirige vers un carcan sur pieds. Sur chaque pied il y a un rail coulissant avec un anneau et une goupille qui permettent de régler la distance entre les jambes du sujet et le carcan. Sabine demande à Karine de s’approcher, ouvre le carcan et aide Karine à s’y installer avant de refermer et bloquer le carcan, puis elle règle la distance des anneaux et place des chevillières aux jambes de Karine pour mettre ses fesses bien en évidence.
Enfin elle soulève la jupe de Karine et la rabat sur son dos, laissant apparaître un très fin string en dentelle rose.
Vanessa – « Alors Gérard, n’est-ce pas un beau spectacle que ce petit cul offert sans aucune pudeur ? »
Puis s’adressant aux autres personnes présentes « Venez admirer ces deux harmonieuses collines séparées par une charmante vallée. Voyons s’il n’y a pas aussi une source dans ce paysage ! » Elle glisse sa main sur le sexe de Karine « Ah ! il y a quelque chose qui coule mais il va falloir la faire jaillir cette source ! » Elle tend son doigt mouillé et le met dans la bouche de Gérard.
Karine ne peut rien voir, vu sa position, mais elle imagine tous ces gens regardant son postérieur offert impudiquement à qui veut s’en servir sans pouvoir se dérober. Cette humiliation la fait tressaillir, oui, mais de plaisir et elle sent sa mouille de plus en plus abondante et dégoulinante, ce que Vanessa ne manque pas de remarquer.
Au même moment on entend frapper à la porte.
« Vanessa, tu es là ? Ç‘est Keane et Janey ! »
Vanessa – « Entrez je vous en prie. Nous sommes en pleine séance d’initiation avec Adeline et Alexis ainsi que Karine et Gérard. Vous vous connaissez je crois ! »
Keane – « Oui mais pas dans cette situation ! »
Vanessa – « Je vous rassure ils sont d’accord pour que vous soyez présents. Mais peut-être voulez-vous aussi participer ! »
Keane – « Mais volontiers. On peut même leur faire une démonstration ! »
Vanessa – « Voilà quelque chose d’intéressant. Mais en attendant occupons-nous de Karine ! »
Keane – « Elle est magnifique dans cette position mais je la trouve un peu pâle ! »
Vanessa – « On va y remédier mais on va commencer doucement. On va débuter avec une cravache ! »
Keane – « Ç’est normal pour une belle pouliche ! » Ce qui déclenche des rires, même de la part de Gérard.
Vanessa, cravache à la main, s’approche de Karine et commence par faire glisser le cuir de la claquette sur ses fesses, l’intérieur de ses cuisses et son sexe afin qu’elle prenne conscience de la matière de ce qui va devenir l’objet de son martyr. Puis elle tapote les mêmes parties en accélérant la cadence et la force, Karine commence à se dandiner d’un côté à l’autre au fur et à mesure que ses fesses prennent des couleurs. De temps à autre Vanessa fait exprès de taper avec la tige comme elle le ferait avec une badine, laissant une marque rectiligne et arrachant un « Aïe » de la part de Karine, puis elle s’arrête et caresse les fesses, pas par compassion, mais pour comparer la différence de chaleur entre les différentes parties tout en expliquant à Gérard chaque raison de ses gestes. Ensuite elle cible les parties les moins touchées avec la même force que si elle voulait écraser une mouche, elle s’arrête à nouveau et glisse sa main sur le sexe de Karine et dit « Ce n’est plus une source mais une résurgence ! Tu vois Gérard elle a pris autant de plaisir à être tapée que moi à la taper. Maintenant c’est à toi. Fais en sorte que ces fesses deviennent écarlates, donne-lui le plaisir qu’elle attend et prend du plaisir à le faire ! »
Un peu hésitant Gérard prend la cravache et répète les gestes montrés par Vanessa.
Keane demande s’il peut utiliser le matériel de la salle et Vanessa acquiesce avec joie. Il ordonne à Janey de se déshabiller, il l’attache à la croix de Saint-André, choisit un fouet à longues lanières et frappe le dos exposé devant lui avec une force suffisante pour faire gémir sa soumise.
Sabine, qui jusque-là était restée inactive, armée de différents paddles, pousse Martin vers le palan, laissant Jean se remettre de sa prestation. Elle attache les mains de son mari à la barre d’écartement accrochée au palan, tire sur la chaîne jusqu’à ce qu’il soit sur la pointe des pieds et commence à le fesser avec un paddle en bois.
Adeline et Alexis s’assoient près de Jean et tous trois regardent le spectacle et écoutent les claquements, les cris et les gémissements, parfois en décalé et parfois en simultané, faisant une étrange musique cadencée par la cheffe d’orchestre Vanessa.
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Deux...
C'était le nombre de jours à attendre pour se rencontrer enfin.
Deux...
C'est ce que nous sommes depuis hier enfin.
Un...
C'est ce que nous faisons depuis ce matin.
Et pourtant nous avons eu peur, en laissant toutes nos affaires à l'intérieur, en voulant pousser la porte pour boire un verre dans le jardin, oubliant la clé à l'intérieur.
C'est dire que l'on était perturbés par cette rencontre, sourire.
En attendant le propriétaire pour nous ouvrir, nous nous sommes installé et avons profité de ce moment pour boire notre verre (heureusement que tu avais déjà sorti le champagne et les verres) et discuter tranquillement. Nous ouvrir l'un à l'autre, avec sérieux mais aussi tinté d'humour et de rire à cette situation qui nous marquera pour toujours !
Marques ?!...
C'est ce qui c'est imprégné sur ta peau.
Je ne connaissais pas la canne et tu m'as fait confiance. Cinquante coups, c'est le rituel que tu souhaitais pour officialiser ton appartenance. Qu'il en fut ainsi, et nous avons triplé au résultat ce matin pour mon plus grand plaisir, pour ta plus grande douleur, qui me fit frissonner à chaque coup de canne percutant ce joli petit Cul que tu détiens. Qui aujourd'hui est le miens, car désormais tu m'appartiens.
Ce n'était pas jeu, pas une séance, pas juste une aventure. C'est l'ouverture officielle de notre unions. Ce don de toi, de ton corps, de ton appartenance, de ta dévotion, de tes futures jouissances, de ton âme, que tu me confis avec confiance.
La certitude que je serais là, pour t'accompagner vers ces chemins que j'ai à te faire découvrir moi aussi. Le soin que je prendrais à t'élever plus haut dans des domaines que tu ne connais pas encore.
À deux nous allons avancer, apportant l'un à l'autre ce que chacun à besoin. Et nous allons vivre enfin !
Ne faisant plus qu'Un.
#amz999
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Elle avait pourtant bien dit qu'elle était perdue, et elle, perchée sur son nuage, elle avait tout juste été capable de lui offrir quelques phrases légère. Quand elle l'aperçut, assise près de la fenêtre, elle ne put distinguer les traits de son visage. Il était plongé dans l'ombre. Elle ne devait pas avoir plus de trente ans. La distance et le manque de lumière ne lui avaient pas permis de la contempler mais, toute à son délire amoureux, elle lui octroya la physionomie de son tempérament vif, le regard allumé et enjoué qui allait avec son naturel déconcertant. La belle inconnue ne lui prêta aucune attention. Les hanches et les seins de cette étrangère étaient les siens, voilà tout. Elle distingua sa silhouette dénudée dans le clair obscur, en contre-jour derrière les rideaux. Ce n'était pas un songe inventé quand la réalité de ses amours la dégrisait, consternée qu'elle était d'être méconnue par les filles qu'elle fréquentait. Juliette existait. Pourquoi ne deviendrait-elle pas une Maîtresse qui aurait joui de la satisfaire, en visitant avec elle les vertiges les plus inavouables, les fièvres dangereuses qu'elle ignorait. En l'espace de quelques soirées, sans qu'elle sût exactement pourquoi, ce fut cette voisine inconnue qui fixa les désirs qui s'y attachaient. Désormais, elle la lancinait, agaçait ses fantasmes, sans qu'elle parvînt à se libérer de cette sournoise mais langoureuse obsession. Elle vivait ainsi avec Juliette un amour de serre. Cette audacieuse passion, pétrie de perfection, la soulageait le soir du mépris qu'elle éprouvait pour son mari. Charlotte n'apercevait pas clairement sa chambre car le point de vue était trop oblique, de plus elle n'allumait généralement que sa lampe de chevet pour chasser la nuit, lançant ainsi une lumière crue centrée sur sa nudité. Le rituel nocturne de cette femme qui semblait déguster sa solitude la touchait chaque nuit plus vivement. Un soir, Juliette dénoua ses cheveux, innondant ses épaules de sa chevelure blonde. Elle se promenait nue dans son appartement. Voir évoluer cette femme à l'abri des regards des hommes, affranchie de l'avilissant souci de plaire, la lui rendait irrésistible, lui restituant soudain l'humeur radieuse et frivole de son amie d'adolescence, dans les débuts de leur rencontre, ces candeurs saphiques qui les nimbaient d'innocence. Charlotte s'attarda sur la seule image où Juliette était resplendissante. Était-ce la grâce avec laquelle elle portait sur sa poitrine ce soir-là un collier de perles au ras du coup, partie de son corps qu'elle fétichisait peut-être plus que toute autre tant elle incarnait un absolu ? En tout cas, jamais son faux air de Jackie Kennedy n'avait rendue cette élégance si aérienne. Son attitude dégageait une manière d'insouciance. Quelque chose comme un certain bonheur. Son envie piaffante d'aimer cette étrangère conduisait Charlotte vers cette légèreté dangereuse où l'on cède à l'amour dès lors qu'il nous choisit, démangeant en nous le fatal tropisme de tous les plaisirs refoulés. Les soirées peuvent être extraordinaires, les nuits inoubliables, et pourtant elles aboutissent à des matins comme les autres. Elle détestait pourtant se retrouver avec quelqu'un dans ce réduit, devoir sourire et se faire battre.
Mais dans quel monde vivait-elle ? Certainement pas dans un monde où les femmes lui laissent l'adresse avant de fuir. Tout avait surgi de cette apparition. Elle rendait enfin les vérités enfouies qu'elle recelait. Un autre monde allait en sourdre. Au fond, pourquoi ne pas s'inventer une histoire pour idéaliser sa vie ? Elle était la femme d'à côté, l'amour de jeunesse réapparu inopinément longtemps après, quand les dés sont jetés, l'une pour l'autre. La voix de Juliette la surprit. Pétrifiée, Charlotte eut besoin de lourds instants pour retrouver sa maîtrise quand elle lui dit bonjour un matin dans la rue. Alors qu'elle prononçait ces mots rituels, elle ne réprima son rire que pour prononcer en un merveilleux sourire ce que l'on dit toujours dans ces moments-là. "Je suis réellement enchantée", toute de blondeur ébouriffée. Elles parlèrent longtemps encore de tout et de rien. Puis subitement, Juliette la prit dans ses bras et lui caressa le visage tandis qu'elle la blottissait contre sa poitrine. Leurs bouches se rejoignirent et elles échangèrent un long baiser, de l'effleurement à la morsure, de la tendresse à la sauvagerie. Toutes les figures de l'amour s'inscrivirent dans cette étreinte. Elles avaient la mémoire de celles qui les avaient précédée. Quand leur bouche se quittèrent, elles n'étaient plus qu'un seul et unique souffle. Alors une sensation inédite les envahirent, la douce volupté de se laisser mener et emmener par celle qui la traiterait à l'égal d'un objet. En s'abandonnant sous la douce pression de ses doigts, Charlotte n'était plus qu'un corps sans âme. Elle était vaincue. Elle se soumettrait. Juliette décida de la conduire chez elle. Bientôt, avant même de la déshabiller, elle plaqua Charlotte sur la porte fermée de l'appartement. Depuis tant de mois qu'elle le désirait, elle s'abandonna totalement sous la fougue de Juliette. Les corps devinrent un seul et un même continent. Juliette arracha furieusement les vêtements, investit plis et replis, courbes et cavités de son amante. Certains gestes, on ne peut les éviter lorsque la réclusion psychique devient une souffrance intolérable. Mais, cela, qui le sait car qui le voit ? Seuls savent ceux qui ont le regard intérieur. Question de lune, ou de soleil blanc. Charlotte était une ombre, un fantôme. Rien ne pouvait arrêter sa dévive mélancolique, sauf du côté de chez Swann.
Et le monde simple revenait à elles. À enchaîner ainsi les fragilités, on débouche sur une force. Leur empoignade s'était produite dans un tel chaos qu'elles en avaient oublié toute prudence. Leur étreinte fut si soudaine et si brutale que Charlotte ne songea même pas à réprimer ses cris. Et elle n'avait pas que sa bouche pour crier. Ses yeux acclamaient et imploraient. La chair déclinait alors sa véritable identité. Elles se connurent à leurs odeurs. Sueur, salive, sécrétions intimes se mêlaient. Juliette savait exactement ce qu'elle désirait en cet instant précis. Un geste juste, qui serait juste un geste, mais qui apparaîtrait comme une grâce, même dans de telles circonstances. Charlotte n'avait rien à dire. Demander aurait tout gâché, répondre tout autant. Tandis qu'elle ondulait encore sous les caresses tout en s'arc-boutant un peu plus, Juliette la conduisit dans sa chambre et l'attacha fermement sur son lit avec des cordes, dos et reins offerts. Elle se saisit d'un martinet à longues lanières en cuir et commença à la flageller avec une vigueur et un rythme qui arrachèrent des cris, mais pas de supplications. Elle s'offrait en se déployant comme une fleur sous la caresse infamante. Elle reçut sans broncher des coups qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades. Juliette daigna lui accorder un répit à condition qu'elle accepte un peu plus tard la reprise de la cadence. Elle ne fut plus qu'un corps qui jouissait de ce qu'on lui imposait. Elle devenait une esclave à part entière qui assumait parfaitement avec fierté sa condition. Alors, Juliette la détacha et lui parla tendrement, la caressa avec douceur. Ses mains ne quittèrent plus ses hanches que pour mouler ses seins. Le corps à corps dura. Là où elles étaient, le temps se trouvait aboli. Toute à son ivresse, Charlotte, pas un seul instant, ne songea à étouffer ses cris. Fébrilement, au plus fort de leur duel, Juliette tenta de la bâillonner de ses doigts. Après un spasme, elle se mordit au sang. Sa gorge était pleine de cris et de soupirs réprimés. Elle se retourna enfin et lui sourit. Toute l'intensité de leur lien s'était réfugiée dans la puissance muette du regard. Charlotte se leva, prit une douche. Pour être allée si loin, elle ne pouvait que se sentir en confiance. Loin de toute fiction, "La Femme d'à côté" de François Truffaut était bel et bien entrée dans sa vie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Va nous faire réchauffer les cafés Vanessa, ils doivent être froids, arrivera à dire Manon entre 2 râles de plaisir sur son apollo.n qui avait les mains sur son fessier pour le dirigé, mais aussi pour montrer a Vanessa une meilleure vue du vaisseau qui les emmenait dans les airs .
En effet, Ludovic écartait légèrement les paumes des fesses de Manon, aidé par le déhanchement de celle-ci ,qui se cambrait bien pour que Vanessa ne loupe rien du spectacle, de son spectacle.
" Les cafés Vanessa " insista Manon d'un ordre direct ce coup-ci , et agacée dans de si bons moments de devoir se répéter à celle-ci, toujours à genoux et qui comptait visiblement y rester.
Car ce soir Vanessa franchit barrière après barrière et descend marche après marche, elle n'est plus assise derrière Manon, mais à genoux.
Face à cette insistance de Manon, Vanessa se relève pour prendre le plateau ou était posée les cafés pour aller les faire réchauffer, sans y aller à reculons, et se dirigea vers la cuisine, une cuisine a l'Américaine qui donnait vue sur le salon, une vue pour Vanessa qui allait laisser les cafés froids encore un moment.
Vanessa apercevait cette fleur qui était nue, s'abandonnant de plus en plus a son mari, un début de transpiration commençait à apparaître dans la cambrure de ses reins, ce qui la rendait encore plus sexy, enfin plus Manon, car ce soir, elle transpire pour Ludovic, mais pour Vanessa, a cette distance elle brille.
On sent que Ludovic et Manon se découvre, ils veulent s'apprécier, l'arracheuse de chemise est devenu carresseuse de torse à bisous tendre, elle déguste son cadeau imprévu, essayant tout de même de le séduire avec tout les atouts qu'une hollywoodienne peut avoir.
Ses joues rougis, ses yeux si particulier et sa chevelure châtain qu'elle sait si bien balancer, auront raison de Ludovic qui aura un orgasme en même temps que Manon, qui jouira d'une façon bruyante et intense, et s'en rajouter ce coup-ci, après tant d'excitation accumulé .
Après que Manon ait planter son drapeau, et soit redescendu de la ou les Américains on planter le leur, Vanessa elle plane toujours, ramenant docilement les cafés aussi brûlant que l'ambiance, regardant Manon, toujours sur Ludovic reprendre son souffle et ses esprits, la tête posée sur l'épaule de ce dernier qui lui caressait les cheveux, mettant sa joue contre son front en lui donnant quelques baisers parfois.
Au bout d'une dizaine de minutes et les pulsations retombées, Manon se retire de Ludovic telle une cavalière dynastique qui descend de son cheval, retire le préservatif de son bel étalon, et le tend à Vanessa.
" Tiens Vanessa, tu en fais ce que tu veux, sois tu le jettes, sois tu le gardes en souvenir ", dit elle sans un rire de la façon la plus sarcastique et moqueuse, tout en fixant celle-ci dans le silence comme attendant sa réponse.
Mais Vanessa ne réfléchit plus, ou ne veut plus réfléchir à cette situation, pas maintenant, son shoot d'adrénaline est trop fort, pourquoi penserait elle a l'effet d'après en pleine euphorie.
Vanessa se lève sans un mot, prend l'arme du crime encore chaud dans les mains, fait quelques pas pour aller le jeter quand Manon la rappelle aussitôt." Tu sais Vanessa, hormis ton impolitesse, c'est ton ingratitude qui me dérange", dit cette dernière en allumant une cigarette et buvant quelques petites gorgées de son café, toujours nu et excitée, mais surtout toujours piquante.
Vanessa se tenait debout devant Manon, le préservatif dans le creux de sa main, ne sachant quoi répondre.
" Tu m'as bien demandé de coucher avec ton mari " , insista cette fleur à 2 cotés," oui Manon " répondit Vanessa d'un ton franc et audible, " c'est bien ce que je viens de faire, tu en as la preuve dans ta main que je me suis bien occupée de ton chéri ", continua celle-ci," oui Manon " répondit machinalement Vanessa, qui avait repris sa posture pathétiquement drôle, une main tendue et l'autre dans le dos, les yeux baissés.
" Alors ne penses-tu pas que la moindre des choses est de me dire merci " continua la fleur, comme si la douceur donner à Ludovic lui avait épaissi et rallonger ses épines, piquant plus fort et plus profond, et pourtant Vanessa ressent peu de douleur, anesthésié par son excitation .
Un secrètement psychique, mélanger au vagues océanique de plus en plus régulière dans la pauvre la culotte de celle-ci, et cela devient un cocktail anéstesiant puissant pour Vanessa , un cocktail qualifié de drogue dure dans le milieu muti goûts, mais strictement interdit dans le monde sucré, sans sel, pour cause d'effets secondaires indésirables, voir de dépendance.
" Je vous remercie Manon d'avoir couché avec mon mari ce soir ", dira elle sans bafouiller, comme une bonne élève qui a bien retenu la leçon , ou comme une bonne soumise qui s'applique à faire ses devoirs.
Après avoir écrasé sa cigarette, finit son café et ranger ses épines en voyant Vanessa revenir une main moite plus que l'autre, la fleur a 2 cotés , et même a 2 effets, n'en a pas fini avec Ludovic, certes elle pique Vanessa, mais elle enivre ce dernier.
Et puis Manon n'est pas la fille d'un soir habituellement, alors encore moins le coup de 10 min pris entre 2 en-cas dit vulgairement parlant, c'est même tout le contraire, l'en-cas c'est elle-même , bien décidé de faire goûter le menu à Ludovic tout en faisant payer l'addition à Vanessa .
Pendant que cette dernière buvait son café sans sucre, Manon était assise sur les genoux de Ludovic, tous les 2 nus ,
Elle lui passait la main autour de son cou et l'autre sur son torse , Vanessa pouvait apercevoir sa main vermiller d'un blanc discret parcourir le corps de son mari, qui se faisait recouvrir le visage et le coup de baisers tendrement venimeux de la fleur qui avait différentes façons de piquer.
Manon était assise sur Ludovic , lui chuchotant des mots a l'oreille,des mots que Vanessa n'entendait pas, des mots que Ludovic n'écoutait plus, ces mots étaient des frissons que Manon leur offrait , des frissons décuplés par les lèvres douces de l'actrice qui ne jouait plus.
Manon parcourait de baisers le torse de Ludovic , descendant lentement, entrecoupé par petit coup de langue, jusqu'à venir lécher les tablettes chocolatées de son pilote de ligne.
Voyant Manon à genoux écartant les jambes de son mari, Vanessa qui buvait maintenant son café froid, et non-fumeuse , resserra les siennes comme pour faire barrage aux rouleaux qui venaient s'échouer sur un tissu qu'il est déjà bien trop tard de protéger.
La fleur continuait de jouer de sa langue et de ses lèvres sur le sexe de son pilote, redevenu aussi dur et épais que lors de leur premier décollage, absorber cette fois-ci par la bouche, plus velours que gourmande de Manon,qui s'appliquait a tourner délicatement sa langue salivante autour de la fusée de Ludovic , s'assurant tout de même de ne pas vider le kérosène du réservoir qu'elle caressait .
La bouche de Manon redoublait de douceurs, elle regardait Ludovic dans les yeux entre 2 va-et-vient, comme pour y laisser une trace , autre que celle de son rouge à lèvres .
Une fois le sexe tendu de Ludovic et la langue bien humide de Manon , cette dernière se releva, pris la main de Ludovic qui se releva également et dit a Vanessa , " nous nous absentons quelque temps, hésite pas à mettre la télé si tu le souhaite " , dis elle machinalement et visiblement pressée d'aller revérifier si le drapeau américain ne s'était pas envolé," tu viens mon chéri " insista elle en emmenant Ludovic vers sa chambre.
Car la fleur a plus d'une épine a sa rose, mais aussi plus d'une flèche a son arc, a l'entente de ce mot si intime, Vanessa jusque la aneshtésier des épines qui la piquaient, ne le fut pas par cette flèche pointue qu'elle reçoit, une flèche faite pour toucher le cœur , pas pour faire couler le bas-ventre .
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Jubu est un petit caïd du 93. Toujours plein d'idées le Jubu pour se faire du fric facile. Il a créé un site sur le darkweb pour proposer ses services comme dresseur d'épouses casse couilles. Son slogan: ne tuez pas votre épouse, ne divorcez pas pour payer des pensions sans fins, dressez vos femmes. Avec nous services garantis. En huit jours nous vous matons votre femme pour l'obliger à vous obéir au doigt et à l'œil. Cinglé le Jubu ? Non, juste un opportuniste. 5000 euros le recyclage d'épouse pour 8 jours complet. Pour Jubu c'est presque cadeau comparé à la prison ou aux pensions.
Alfred est terrorisé par sa femme, la très belle Brigitte aux seins lourds. C'est elle qui porte la culotte depuis le début. Alfred a peur de sa femme qui le fait ramper comme un vermisseau à la maison. Il file droit, sinon il dérouille et il sait qu'il ne fait pas le poids.
Il a contacté Jubu via son site. Ce dernier a tout organisé. Alfred a offert une semaine de vacances à sa femme dans un coin idyllique qu'elle ne verra jamais. Le rendez vous est sur un parking discret. Jubu à garé son 4x4 et a empoigne Brigitte par les cheveux, l'a ligottee et jettee dans le coffre comme de rien. Brigitte a hurle au début mais Jubu lui a fait chut avec le doigt et elle a eu très peur et n'a plus osé rien dire. Jubu porte écrit sur son front le mot terreur. Et c'est vrai qu'il est terrifiant. Brigitte a pissé dans sa culotte de trouille. Ils ont roulé un peu. Les pneus ont crisse. La portière a claqué . Une main a empoigne Brigitte et elle a reçu deux baffes.
-Salope, qui t'a permis de pisser dans ma bagnole.
Brigitte était morte de trouille. Plus d'Alfred. Seule avec ce fou furieux. Elle a été conduite au garage et s'est retrouvée suspendue par les bras. Jubu l'a foutue à poil en découpant tous ses vêtements avec un gros couteau. Puis il a empoigne les poils de sa chatte et en a coupé une grosse mèche qu'il a reniflee.
- Très vraiment une salope toi, tu ne te fais pas assez ramoner.
Il a sorti un gros ceinturon de cuir et a commencé par lui frapper le cul. Et quand Jubu frappe, il ne fait pas semblant. Brigitte a hurlé, pleuré, supplié, autant parler à un mur. Et elle s'est encore pissée dessus de trouille. Cette fois elle avait vraiment peur.
Puis Jubu l'a attachée à une table avec du gros chatterton. Mains et pieds liés et son magnifique cul tout rouge offert.
Et Jubu l'a enculee d'un coup. Brigitte était vierge par là. Un coup terrible. Une douleur horrible. Et jubu a pris son pied. Il l'a baissée longtemps puis il a lâché son foutre en elle. Brigitte n'avait plus mal. Elle avait déconnecté. Elle était devenue une autre. Plongée dans le subspace ?
Le dressage a durée une semaine. Brigitte a été fessée, fouettée, enculee et elle n'a plus compté. Et surprise, au bout d'un moment, elle a commencé à prendre son pied et à jouir.
C'est même devenu de plus en plus jouissif pour elle. Pourtant Jubu ne l'a pas prise par la chatte. C'est dans son contrat de dressage. Au bout d'une semaine il a reconduit Brigitte, nue avec un collier et une laisse sur le parking. Elle a retrouvé son époux Alfred, qui de son côté avait reçu des consignes strictes.
Brigitte n'a rien dit pendant tout le trajet retour. Elle est restée sage, mains sur les cuisses ouvertes. Alfred a eu envie de sa femme. Il s'est arrêté dans un petit chemin forestier et lui a demandé de s'allonger sur le capot de la voiture. Ils ont baisé comme des malades et joui très fort tous les deux. Alfred a allumé une clope. Après s'être bien vidé les couilles dans la chatte serrée de sa femme il a eu envie de son cul. Elle lui avait toujours refusé cela. Brigitte le lui a offert cette fois sans dire un mot. Et ils ont encore joui très fort tous les deux. Enfin le couple faisait vraiment l'amour. Alfred n'a pas regretté ses 5000 euros.
Depuis Brigitte est heureuse à la maison. C'est devenue une parfaite épouse obéissante en tout et pour tout. Elle sait que si elle ne file pas droit, Jubu viendra s'occuper d'elle pour lui botter le cul ou pire, il enverra un de ses loubards le faire à sa place. C'est dans le contrat. Alors, il plus agréable d'obéir, surtout qu'Alfred à retrouvé toute sa virilité et la baise bien. Il n'oublie pas de la prendre sur ses genoux de temps en temps, pour lui flanquer une bonne fessée et la sodomiser le cul bien rouge après. Un mari qui sait donner du plaisir à sa femme est le plus heureux des hommes.
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Elle se tut. Elle-même savait trop bien autour de quelles paroles dangereuses elles tournaient toutes deux, mais peut-être le silence les sauverait-elles. Il ne fallait gâter ni cette journéee, ni cette nuit. Elle était belle, cette nuit, toute chancelante et ornée de musique, pleine des bruits innombrables des hommes et des bêtes, et encore tiède avant l'automne. Son empreinte me brûle, quoi que j'aie pu tenter de m'y soustraire. Elle reste inextriquablement tissée dans la texture même de mon être. La première fois que j'avais voulu l'embrasser, j'attendais des transports ou une gifle. J'eus droit à des rites un peu slaves, des signes cabalistiques, de longs gants noirs enlevés lentement, des doigts en grille sur ma bouche, des lèvres chaudes qui se moquaient de moi. Dès le premier soir, tout était déjà inscrit. Les choses ne sont jamais fatales, sans doute mais précisément parce qu'elles ne le sont pas, elles ne se libèrent jamais du passé qui les fait grandir, des regards et des silences qui les font surgir. Elles naissent à chaque instant de l'instant qui les précède. Chaque parole échangée entre nous trace et définit d'avance les courbes de la relation. Les sentiments n'ont jamais l'épaisseur qu'ils ont dans le silence. Le temps qui s'écoule entre l'évènement et le récit leur prête tous les reflets, toutes les réfractions du souvenir. Pour ne jamais mentir, il faudrait vivre seulement. Mais les projets secrets, les desseins du cœur et les souvenirs brisent souvent cette simplicité impossible. Emmanuelle disparut de ma vie. Ne recevant aucune réponse aux lettres que je lui adressais, je cessai de lui écrire. Elle ne ne demeurait pas moins présente. Je m'éveillais le matin avec un sentiment d'abandon. Je ne pouvais concevoir qu'un amour aussi intense ait pu achopper sur ce qui m'apparaissait plus comme une indélicatesse que comme une trahison. Je croyais naïvement qu'elle reviendrait. Je demeurai trois mois ainsi dans l'incertitude. Je sursautais en entendant la sonnerie du téléphone, j'attendais le courrier avec angoisse. J'imaginais son existence à Rome. Je vivais comme un automate. J'accomplissais le rituel de la vie quotidienne, je voyais des amis, je faisais l'amour, mais ces gestes restaient extérieurs à moi-même. Mécaniquement, je ne m'y impliquais pas. Une maladie intérieure me minait. Personne autour de moi ne se doutait du drame que je vivais. À qui aurais-je pu en faire la confidence ? Personne ne connaissait l'existence d'Emmanuelle. Il ne me resterait aucune trace de cet amour. Cette idée m'effrayait parfois. Qu'un être ait pu remplir à ce point ma vie et s'effacer sans laisser aucun signe. La première fois que je la rencontrai au vernissage d'une exposition Giacometti au Musée Rodin, je fis tout pour attirer son attention. Juliette ne m'adressa pas un regard.
C'est un paradoxe littéraire. Plus on décrit les gestes de l'amour, plus on les montre, plus la vision se trouble. Il y avait dans son regard comme une colère retenue, une condescendance moqueuse. Elle n'était pas bavarde, mais imprévue et subtile. Son intérêt la portait là, où précisément, je n'étais pas. Est-ce cette froideur qui m'intrigua ? Quand je lui adressai la parole, elle ne m'écouta qu'autant que la politesse l'exigeait. Elle arborait l'air résigné que les victimes de la mondanité réservent aux fâcheux, aux raseurs. Elle était aussi insensible à l'enthousiasme que je lui manifestais que peut l'être une statue en marbre du sculpteur. Quand je lui demandai son numéro de téléphone, elle me toisa avec une expression offensée. Eût-elle exprimé un peu plus d'urbanité qu'elle aurait moins piqué ma curiosité. La froideur de cette inconnue m'aguichait. Les contraires s'attirent. Sa présence me gênait. Elle s'interposait entre mes rêves et moi. Elle m'empêchait même de songer à elle. Notre rencontre avait du piquant. Le soin extrême qu'elle prenait pour afficher une élégance toute détachée m'intriguait. Une indifférence courtoisie m'eût découragée avec plus d'efficacité. Qu'avais-je fait pour la mériter ? Je n'eus pas le loisir de lui en demander l'explication car elle disparut en me tournant le dos. Le lendemain, je lui fis porter un bouquet de tulipes Bianca à son hôtel, accompagné d'une carte amicale. Je ne reçus aucune réponse. Je n'en fus pas étonnée. Espérant la rencontrer, j'allai bientôt me poster à la porte du Bristol, son hôtel. Je l'attendis sur le trottoir de la rue du Faubourg-Saint-Honoré. Enfin, je la vis apparaître. Dans les reflets de la porte à tambour, elle me parut plus grande, plus élancée, plus altière que jamais. Un soleil printanier éclairait alors mon espoir. Plutôt réservée, je n'avais pas pour habitude d'accoster une inconnue. Mais sa beauté exacerbait mon attirance saphique, fut-elle sans fière assurance. Elle sembla hésiter sur sa direction.
La jeune femme y rêva toute la soirée, qu'elle alla, comme elle le faisait chaque jour, passer au cimetière du Père-Lachaise, parmi les dalles grises et les tombeaux de marbre blanc. On prétend que parfois, au moment même où il disparaît, jaillit alors un rayon blanc, que la jeune femme n'avait jamais contemplé de ses yeux, mais qu'elle attendait naïvement chaque soir. Elle m'observait. Je n'en menais pas large. Je devais représenter un spécimen un peu nouveau pour elle. Je me flatte volontiers d'une absence de sentiments. Il m'arrive pourtant d'avoir ainsi des faiblesses qui trouent, malgré moi, mon indifférence et ma facilité à vivre. Cette incertitude l'humanisa à mes yeux. Sans hésiter, je m'approchai d'elle. Quand elle m'aperçut, elle eut un soudain mouvement de recul. Je lus dans son regard noir la lueur de blâme que l'on réserve aux extravagances d'une folle. "- Encore vous", soupira-t-elle. Notre conversation fut aussi cordiale qu'un échange de coups de pistolet, le matin, à l'aube, entre deux duellistes. Malgré mon sourire avenant, et ma fausse innocence, la partie semblait perdue. Je pensais à cette citation de Vigny: "Au lieu de leur dire bonjour, on devrait leur dire pardon". - Pourquoi ne me laissez-vous pas le temps de m'expliquer ? N'aimez-vous pas les tulipes ? - Je n'ai aucune envie d'entendre vos explications. - Pourquoi ne pas accepter le dialogue amical ? Avez-vous peur de votre propre faiblesse ? Je vis passer une flamme assassine dans ses yeux. Une femme ne pouvait-elle pas offrir des fleurs à une autre femme ? - Vous n'êtes pas de nature à m'en inspirer. - Pourquoi cette brutalité ? Pourquoi toujours imaginer le pire ? Que faites-vous de l'amitié ? - Me croyez-vous à ce point naïve ? Avec vous, je sais très bien à quel type de femme j'ai affaire. - C'est mal me connaître et me faire un procès d'intention. Je ne suis pas une amazone. - Prenez-le comme vous voudrez. Mais laissez-moi, vous perdez votre temps, je suis pressée. - Puis-je vous déposer quelque part ? - Non, c'est inutile, je reste dans ce quartier. - Avez-vous l'intention de déjeuner ? - Oui, mais pas avec vous. - Je vous propose un pacte amical. Nous déjeunons ensemble et je vous promets de ne plus tenter de vous revoir. Parole de femme, honneur de femme. Elle me regarda d'un air dubitatif. Balle au centre. - Puis-je accorder le moindre crédit à quelqu'un qui se comporte comme vous ? - Je vous répète, je vous donne ma parole d'honneur. Je la sentis vaciller. La situation tournait à mon avantage. La victoire était proche. Restait à traverser le pont d'Arcole. - Votre parole d'honneur, répéta-t-elle en haussant les épaules, je ne me fais aucune illusion sur vous. Mais je suis plus que lasse de votre insistance et de votre folie. Alors, je vous accorde vingt minutes. Pas une de plus.
Elle pensa alors à toutes les ombres éphémères qui l'avaient entourée. Etait-ce le malheur et la franchise qu'elle apporterait sans cesse avec elle ? Cette rencontre avait un sens symbolique. Au fond, elle m'initiait à la distance. Eût-elle voulu jouer les énigmatiques, elle eût pu y trouver une satisfaction. J'étais en train de lier à elle, dans ce monde plein de sensualités et de menaces, tout le bonheur que j'attendais de cette rencontre. Le présent de l'amour ressemblait au négatif d'une photographie argentique. Il fallait attendre le développement pour en avoir le cœur net. Parfois, il réserve bien des surprises. L'ennui, c'est que ce genre de difficultés est difficile à dire. Un restaurant nous tendait les bras à l'angle de la rue du Cirque. Je l'y conduisis. Pendant le déjeuner, elle resta fidèle à elle-même. Sur la défensive, hautaine, éludant toute question personnelle, ne m'offrant que l'armure d'une personnalité bouclée dans les conventions et le dédain. La glace contre le feu. Pourtant quelque effort qu'elle fît pour être désagréable, elle ne parvenait pas à me déplaire. Je sentais en elle, derrière la Ligne Maginot qu'elle m'opposait, un attirant tumulte de contradictions qui n'était pas sans charme. Au moins, elle ne ressemblait à personne. En vérité, il faut bien reconnaître que moi aussi. Le café bu, elle se leva et, sans se départir de son air farouche, elle prit congé. Pendant quelques instants, cette femme m'avait paru précieuse. Je n'attendais plus d'elle que l'ultime cadeau qu'elle pouvait me faire: s'en aller. - Maintenant que j'ai eu la faiblesse d'accepter votre déjeuner, j'espère que vous allez tenir votre promesse. Merci pour les tulipes. Adieu. Elle disparut laissant derrière elle un sillage glacé comme un blizzard. Je tins parole. Pendant dix jours. Puis je l'appelai dans sa propriété non loin de Bordeaux, dans les vignobles. - Et votre promesse, s'exclama-t-elle. En plus, vous êtes parjure. Le ton de sa voix n'exprimait qu'un courroux de façade purement formel. Ce qui était un progrès. Et puis n'avais-je pas évité le pire, elle n'avait pas raccroché. - J'ai promis de ne plus vous voir, pas de ne pas vous téléphoner. - Vous êtes bien française, dit-elle en ciselant ce qualificatif pour marquer un insondable mépris. Alors je m'inclinai, rêvant de lui baiser la main. Elle riait de me voir transformée, comme dans un bal masqué.
Le soir tomba enfin, le soir tant attendu. Le ciel devint noir, des ombres se profilèrent longuement. Le paysage était devenu un peu vert, avec des arbres, des vallonnements gracieux, pendant une demi-heure, le temps d'une vie. Elle se sentait maintenant légère ainsi qu'elle voulait l'être pour vagabonder sans un mot, d'un sourire à un lit. Les choses se passaient, hélas, avec une inconsistance, un flou qui se durcissait ensuite en sentiments, en convictions, en images, mais qui semblaient nés d'abord du hasard, d'un kaléidoscope dérisoire hâtivement secoué. Maintenant que l'amère habitude de ses amabilités était prise, je prenais un certain plaisir à la voir décocher ses flèches. - Quand venez-vous à Paris ? - Que vous importe puisque vous m'avez juré de ne pas chercher à me revoir. - Je sais par l'une de mes amies, que vous serez après-demain à un dîner chez les Moras. - Vous ne me donnez pas envie de m'y rendre. J'attendais de cette rencontre quelque chose de confus, une issue possible. J'étais pleine d'espoir. Mais une pensée surtout me troublait. Pourquoi cette femme était là et non une autre ? Quelle suite de hasards, d'agissements fortuits, de contretemps, d'obligations, de retards avaient tissé les fils de cette rencontre à la fois prodigieuse et dérisoire ? Quand elle raccrocha, je conservai un instant le combiné muet à la main. Pourquoi insister ? Oui, pourquoi ? Par jeu ? Il y a des rencontres qui, comme celle-ci, ne commencent pas précisément par de forts encouragements. Si elle avait ressenti un coup de foudre pour moi, elle le dissimulait bien. Peut-être n'aimait-elle pas partager son lit avec une femme ? Tout simplement. Mais alors, pourquoi ne pas me l'avouer ? Il y a des vérités qui ne méritent aucune contestation. Mais alors, pourquoi n'avoir en tête que cet horrible mot de réciprocité La réciprocité en amour est un calcul bourgeois. Pas d'investissement du capital sans un rendement substantiel. Cette femme, sans doute mariée, avait beau me rabrouer, elle me plaisait. sapiosexuelle exigeante, bisexuelle très pratiquante. Elle m'attirait pour une raison que je ne cherchais pas à m'expliquer. Mais après-tout exige-t-on de Dieu qu'il vous donne des preuves de réciprocité. Et puis parfois, en amour, on a l'impression sans vraiment savoir pourquoi, qu'en dépit des obstacles, le destin a déjà gravé notre avenir. Calculer la somme des probabilités qui amène deux personnes à se parler, puis à s'aimer, est une opération effrayante. Surtout si l'on considère que du silence, il peut résulter une passion, fruit d'une accumulation exponentielle de hasards. Et cette histoire aussi était probablement déjà écrite dans un mystérieux livre qu'hélas je n'avais pas lu. Comme se serait simple de pouvoir consulter le livre des destinées avant d'offrir un bouquet de tulipes à une femme. On éviterait tant d'impairs, de temps perdu, de malentendus, mais on passerait aussi à côté de la vie et de ses surprises. Elle vint à Paris. Je me trouvai au même dîner qu'elle. Elle m'accueillit avec son habituelle mansuétude. Après le dîner, elle tenta de s'éclipser mais je la rejoignis dans l'escalier, abandonnant mon amie Emmanuelle. L'immeuble donnait sur le jardin du Luxembourg. Il y avait dans l'air je ne sais quel parfum de printemps. Nous fîmes quelques pas en silence.
Quelle nuit réelle me donnerait autant d'émotions, de feu dans le cœur ? Vivre m'amusait, j'étais jalouse, sentimentale, elle était indifférente, cynique. Il me semblait choisir sur des coups de dés, dont j'ignorais toujours si je les jetais moi-même. Un silence doux et reposant comme une paix. Elle avait une voiture anglaise, comme elle. Elle était née à Londres mais elle vivait à Bordeaux. Je lui demandai de me raccompagner. Elle accepta en poussant un soupir. Elle gara sa voiture en bas de chez moi. Elle semblait avoir épuisé ses ressources d'agressivité. Je tentai alors de l'embrasser en posant une main audacieuse sur sa cuisse nue. Elle ne me repoussa pas. Au contraire, elle répondit à mon désir avec tant de fougue que j'en fus presque déconcertée. Une grande bataille est celle que l'on remporte avec une résistance farouche. Je la dévêtis contre le mur. La découverte de son porte-jarretelles me troubla. Elle ne pouvait exprimer plus clairement ses intentions. Ainsi, elle s'était armée pour l'amour. Rien n'avait été laissé au hasard. La seule chose qu'elle avait abandonnée au jeu des circonstances, c'était le choix de la partenaire. Avais-je même été choisie ? Cette dérision me parut tragique. Bientôt, je me ressaisis. Après tout pas de raison de se lamenter à propos d'un porte-jarretelles. Nous accomplîmes tous les rites que nous attendions l'une de l'autre. L'angoisse avait disparu. Le silence se chargea du reste. Dès lors, elle bascula, comme une statue bascule de son socle. Nous nous retrouvâmes chez moi. Et ce fut comme si, de toutes ses forces, elle tenait à démentir l'indifférence qu'elle m'avait manifestée. Nous nous aimâmes dans une douce ambiance de paix conclue, sur un lit d'armes abandonnées et de sensualité débridée. Déshabillée de son agressivité et de sa pudeur, elle demeurait menaçante comme une tempête apaisée. Ses refus donnaient un prix mystérieux à son abandon. Je l'admirais comme une belle énigme. Avais-je véritablement une femme devant moi qui avait cédé à une pulsion saphique ou l'incarnation d'un phénomène météorologique ? Son corps magnifique était celui d'une femme aimante, mais les ressorts de son âme paraissaient aussi inaccessibles que les déchaînements imprévisibles d'une tornade. Loin de me sentir maîtresse de la situation, il me semblait que je n'avais été que l'exécutante d'un jeu qui me dépassait. Charlotte entra dans ma vie au même moment où Emmanuelle en sortit. Une nouvelle vie, un nouvel amour. Je me retrouvai telle une femmes égarée. Je les fréquentais, mais je ne croisais que des ombres. Je pensais toujours à Emmanuelle. Chaque nuit j'avais l'impression non de la tromper mais de me trahir.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je restai un instant seule dans la salle de bains. Assise sur le fauteuil. Encore toute vibrante de Lui. Je l’entendais s’habiller dans notre chambre. Mon regard se posa sur le miroir. Mes joues étaient rosées. Mes lèvres arboraient un sourire simple mais plein de vérité. Et dans mes yeux brillait cette lumière si particulière qu’il y déposait à chaque fois. Une lueur d’appartenance et de fierté. Je me sentais infiniment bien.
Mon regard glissa vers ma poitrine et se figea un instant. Je posai mes mains sur mes seins. Leur forme pleine, ronde, fière. La cicatrice à peine visible sous les aréoles me rappela l’histoire.
Quand j’étais plus jeune, des problèmes de santé m’avaient contrainte à subir une réduction mammaire. Une décision médicale, pleinement raisonnable à l’époque, mais qui avait laissé en moi une cicatrice invisible : une impression de perte, de manque, de mutilation intime. Je m’étais habituée à cette silhouette modifiée, mais sans jamais l’accepter pleinement.
Et puis… des années plus tard … il était arrivé. Et un jour, sans rien m’imposer, il m’avait demandé, doucement :
« Si tu avais le choix, mon amour, tu les aimerais plus pleins, comme avant ? »
Ma réponse avait été un oui étouffé de pudeur. Alors, ensemble, nous avions entrepris les démarches. Chirurgie réparatrice. Choix du chirurgien. Choix des volumes et des lignes. Il m’avait accompagnée à chaque rendez-vous. Posant des questions là où moi j’osais à peine parler. Il ne voulait pas seulement que je sois belle à ses yeux. Il voulait que je me retrouve. Il désirait que je me réconcilie avec cette part de moi volée trop tôt.
Aujourd’hui, mes seins portaient son empreinte autant que celle du médecin. C’était lui qui les avait voulus ainsi : hauts, fermes, arrogants. Et à chaque fois que je les voyais, je me souvenais… non pas d’un acte médical, mais d’un acte d’amour. Un acte qui m’avait rendue à moi-même.
Plus tard il avait voulu que je me fasse percer les tétons pour pouvoir parfois y passer des anneaux. La première fois qu’il m’avait parlé de cela, j’en avais presque ri. Un rire nerveux, incrédule. L’idée même me paraissait insensée. Me faire percer les tétons ? Impossible ! J’avais toujours eu une peur panique des aiguilles. Une peur irrationnelle, enracinée depuis l’enfance. Même les simples prises de sang me donnaient des sueurs froides. Alors imaginer une aiguille traversant une partie aussi sensible de mon corps… Mais il ne s’était pas moqué. Il n’avait pas insisté. Il m’avait simplement regardée avec cette intensité calme qui bouleversait mes certitudes.
« Je ne t’obligerai jamais, ma douce. Mais je te le propose. Pas pour le contrôle. Pas pour l’esthétique. Pour l’intimité. Pour ces moments où, parfois, je pourrais y glisser un anneau, un bijou. Un lien invisible entre nous… et toi. »
Il m’avait fallu plusieurs mois pour accepter l’idée. Mais il avait raison. Ce n’était pas un caprice. C’était une façon de graver notre lien dans la chair, pas dans la douleur, mais dans la confiance. J’avais donc accepté. Mais le jour venu, j’étais tremblante. Terrorisée. Il m’avait accompagnée, bien sûr. Assis à côté de moi, calme comme toujours, il avait pris ma main et n’avait rien dit. Pas un mot. Juste sa paume chaude contre la mienne. Présente. Solide. Et ses yeux plantés dans les miens. Comme un lien invisible de protection, de bienveillance. Quand l’aiguille traversa le premier téton, j’étouffai un cri. Du fait de la tension, mes larmes jaillirent. Mais je ne lâchai pas sa main. Pas une seconde. Le second perçage fut presque plus simple — non parce qu’il faisait moins mal, mais parce que je savais désormais pourquoi je le faisais. Pour moi. Pour Lui. Pour Nous.
Quand ce fut fini, il se pencha vers moi et m’embrassa avec infiniment d’amour. Il but mes larmes, comme des trésors qu’il accueillait avec honneur et grâce. Avec cette vénération silencieuse qui le rendait unique. Et il me regarda avec ses yeux qui disaient tout de son amour et de son admiration. Il ne regardait pas seulement les tiges qui transperçaient désormais mes tétons. Non … Il regardait la force que j’avais mobilisée pour les porter. Et je compris ce jour-là que parfois, dans l’acceptation d’affronter ses peurs, naissait une liberté nouvelle.
Aujourd’hui encore, lorsque je les touche, lorsque je sens le métal contre ma peau, ce n’est pas de la douleur que je ressens. C’est de la fierté. Une trace intime de notre histoire. Un symbole discret d’un courage né de l’amour.
Je caressais négligemment les papillons qui pendaient de mes tétons lorsque je fus sortie de ma rêverie par la porte d’entrée qui se fermait. Il venait de partir. Je me levais doucement et me dirigeais vers notre chambre. Je m’approchais de la penderie. J’en ouvrais doucement les portes et laissais mes doigts glisser sur les tissus suspendus. Mon choix était fait. Mais je savourais l’instant. J’ouvris le tiroir délicat où je rangeais mes dessous. Mes doigts effleurèrent une dentelle fine, couleur vert forêt. Le string était minuscule, une promesse de transparence, orné d’un petit nœud satiné à l’avant. Léger comme un souffle, il glissa sur mes hanches avec sensualité. Puis je choisis le soutien-gorge assorti : un balconnet délicat, travaillé d’arabesques végétales en fil de soie. Les bonnets, à peine couvrants, rehaussaient naturellement la courbe de mes seins. Je l’attachai dans le dos, sentant son étreinte douce mais bien présente, comme une main invisible me soutenant avec tendresse.
Ensuite, je saisis ma robe vert émeraude : fluide et élégante, elle était à la fois classe et sexy. Une caresse de chlorophylle sur la peau. Je l’enfilai lentement, savourant la fraîcheur du tissu glissant sur mes épaules, descendant le long de ma colonne, épousant mes hanches avant de tomber jusqu’au-dessus de mes genoux.
Je tirais ensuite sur un tiroir plat où étaient soigneusement rangés et classés mes bijoux. Je glissais à mes oreilles deux petites boucles assorties : de fines gouttes de jade suspendues à des anneaux d’or pâle. À mes poignets, je passais deux rubans de satin vert tendre, souvenirs de notre première soirée entre personnes averties, à l’époque où je n’étais encore que sa novice.
Enfin, dans le bas du dressing, j’aperçus la boîte contenant mes talons préférés : des escarpins vert en cuir lisse, dont les talons, fin mais stables, étaient juste assez haut pour allonger mes jambes et me donner cette cambrure qu’il aimait tant. Mes pieds glissèrent dedans comme dans un écrin.
Je m’installais devant la coiffeuse qu’il m’avait offert. Ouvrir la trousse de maquillage ; choisir les couleurs, les textures, les nuances… c’était aussi un rite. Je passais un fond de teint léger. Puis je soulignais mes yeux d’un trait fin et allongeais mes cils. Une touche brillante d’un rouge à lèvres rosé sur mes lèvres. Rien de criard. Juste ce qu’il fallait pour me sentir à la fois désirable et fidèle à ce qu’il aimait.
Un dernier regard dans le miroir. Je me trouvais belle. Un sourire de contentement barra mon visage.
Il était déjà neuf heures et demi. Aujourd’hui je ne travaillais pas. Mon Maitre m’avait prévenu que la nuit précédente serait longue et éprouvante et m’avait conseillée de prendre un journée de RTT. Vu mon solde de jours à prendre, cette demande avait été acceptée sans difficulté par mon DG. Je descendais donc tranquillement dans notre cuisine pour petit-déjeuner.
Dans la cuisine, une douce lumière matinale baignait la pièce. Un plateau de petit-déjeuner m’attendait sur la table : un jus d’orange fraichement pressé ; un bol de yaourt crémeux agrémenté de morceaux de bananes, de fruits rouges et de céréales ; deux tranches de pain complet toasté à point ; un petit pot de confiture et de beurre allégé ; et une petite gourmandise … un churros … un seul .. mais un vrai … comme ceux que je dégustais dans mon Andalousie d’origine …
Il avait pensé à tout, comme toujours. Même pressé il avait trouvé le temps de me préparer le petit-déjeuner. Un petit mot, calligraphié de sa main, l’accompagnait.
« Pour que ton corps, que j’adore, soit aussi bien nourri qu’il est aimé. À ce soir, mon cœur. »
Je souris. Une chaleur douce me traversa la poitrine.
Je me préparais un café. Je déposais la tasse fumante sur le plateau. Et je me dirigeais sur notre terrasse pour déguster ce succulent petit-déjeuner. Le soleil brillait dehors. Une légère brise tiède caressa mon corps avec délice.
Après avoir pris mon petit-déjeuner, lu mes mails et échangé avec mes amis divers messages par WhatsApp, je me préparais à sortir. Je saisis mon sac à mains et mes clés de voiture dans l’entrée.
« Une émeraude en marche », pensais-je avec une touche d’amusement en me voyant dans le grand miroir.
Je me rendis au centre-ville. Je me garais non loin de l’endroit où j’avais rendez-vous à 17h00. Mais je respectais la demande de mon Maitre de ne pas chercher à savoir ce qui se cachait à cette adresse. Enorme effort pour moi qui étais si curieuse de nature. Il adorait me faire languir et me taquiner ainsi par des surprises. J’essayais bien parfois d’en savoir plus mais il prenait un malin plaisir à me laisser au final sur ma faim … toit en me donnant parfois des indices qui me rendait plus folle encore de curiosité … une délicieuse torture émotionnelle …
Dehors, la ville bruissait d’une activité légère mais continue. Mes talons claquaient doucement sur les pavés. Je croisais des regards, certains furtifs, d’autres insistants. J’attirais les regards … C’était devenu une sensation nouvelle pour moi. Moi de nature avant si timide, toute en retenue. Il avait su me donner confiance en moi, en mon corps. Et aujourd’hui j’accueillais ces regards comme des reconnaissances. Avec fierté. Il ne savait pas — ou peut-être que si — combien il m’avait transformé. Même seule, j’étais pleine de lui. Chaque geste, chaque pas, chaque respiration portait son empreinte subtile. Il m’avait sublimé. Et continuait à le faire.
Je passais à la librairie. J’y flânais entre les rayons. J’y achetais quelques livres puis m’attardais dans un petit salon de thé. Une amie de longue date m’y rejoignit vers 13h00 pour déjeuner. Un moment suspendu, empli de rires et de confidences.
Après cet instant de délicieuse complicité amicale, je me rendis chez mon esthéticienne. Je voulais sublimer mes mains — ces mains qui le touchent, le servent, le célèbrent. Ces mains où il avait passé son anneau de soumission que je portais avec fierté. Je voulais sublimer ces orteils qu’il adorait gober et lécher. Et il m’avait dit d’être belle pour ce soir.
Je pris le chemin familier du petit institut où j’avais mes habitudes. Il se trouvait dans une rue discrète, fleurie, presque cachée. Comme un secret qu’on garde pour soi. La vitrine était simple mais élégante. Et l’odeur qui flottait à l’intérieur, entre cire chaude et huiles essentielles, était toujours pour moi un pur instant d’apaisement.
« Entre, ma chérie ! » me lança Claire lorsqu’elle me vit à l’entrée, avec ce sourire complice qu’elle réservait à ses clientes les plus fidèles mais qui à mon endroit avait aussi une toute autre signification.
Claire était d’une beauté sobre, presque sévère au premier abord : cheveux châtains noués en un chignon bas impeccable ; peau d’un ivoire mat ; une cinquantaine élégante. Mais ses yeux — grands, gris, respirant d’intelligence — révélaient autre chose. Une intensité tranquille. Une sérénité puissante.
« Mais dis-moi tu es splendide aujourd’hui ! » s’exclama-t-elle.
Le salon était désert. Normal pour un après-midi un jour de semaine.
« Il m’a dit de me faire belle avant de me rendre à un rendez-vous. J’ai besoin… de prendre soin de mes mains. Et de mes pieds. » lui répondis-je en pleine confiance.
« Oh je vois » répondit-elle dans un sourire complice. « Installe-toi »
Je pris place dans un fauteuil moelleux, recouvert d’un drap en lin clair. La pièce était silencieuse, paisible, bercée par une musique instrumentale aux tonalités japonaises. Je posais mes mains sur le repose-main rembourré, et elle saisit ma main droite doucement, presque avec une forme de dévotion professionnelle.
Le vernis précédent fut retiré avec soin. Mes ongles limés, polis, hydratés. Puis elle posa devant moi un flacon de vernis.
« Vert forêt. Dense. Comme un secret gardé sous la mousse » dit-elle.
Je souris. C’était exactement cela. Cette journée n’avait pas besoin de lumière crue. Elle exigeait de l’ombre élégante.
« Je ne sais pas où je vais tout à l’heure », murmurais-je. « Il m’a juste dit de me préparer pour un moment qui resterait à jamais gravé en moi ».
Claire ne demanda rien de plus. Elle déposa une main légère sur la mienne.
« Alors prépare-toi comme on se prépare pour un moment rare. Pour quelque chose qu’on ne comprend pas encore… mais qu’on choisit quand même. »
Elle appliqua les couches de vernis avec une patience presque méditative. Puis, sans transition, elle s’agenouilla doucement et me fit signe de retirer mes hauts talons. L’eau chaude de la bassine accueillit mes pieds avec bienveillance.
« Tu as le regard des jours où il va te transformer », souffla-t-elle, presque pour elle-même.
Je ne répondis pas. Je la laissais poncer mes talons, hydrater mes chevilles, limer avec grâce chaque ongle. Puis elle prit le même flacon de vernis que pour mes mains.
« Une harmonie parfaite. Tu sais… les pieds, c’est ce qu’il regarde quand on s’agenouille. »
Elle savait. Bien sûr qu’elle savait. Comme moi, elle avait choisi. Elle appartenait à un homme qu’elle nommait son mari en public, mais qu’elle servait, honorait, aimait autrement, entièrement, en privé, son Maitre.
Je la regardais, là, agenouillée devant moi, appliquant le dernier coup de top coat avec la concentration d’un rituel sacré. Un geste pour une autre. Une femme à une autre femme. Une soumise à une autre soumise. Comme moi elle portait sa bague O avec fierté à sa main.
« Tu sais ce que j’aime chez toi ? » souffla-t-elle. « Ce n’est pas ton obéissance. C’est la lumière que tu portes… quand tu t’abandonnes. »
Je fus touchée en plein cœur. Cette lumière, je ne la voyais pas. Mais lui, et elle… la reconnaissaient. Elle aussi irradiait de cette lumière.
Lorsque mes ongles furent secs, elle m’aida à remettre mes talons. Je me redressais, mains et pieds désormais soignés et sublimés. Prêts.
« Tu es juste ravissante, ma chérie. Et quelle que soit la destination », dit-elle dans un murmure en m’accompagnant vers la sortie, » tu y arrives déjà magnifique. ». A ces mots elle m’embrassa sur la joue et me souhaita une superbe fin de journée.
Je sortis de l’institut l’esprit en joie. Il était 16h40. Mon cœur accéléra légèrement. Le rendez-vous de 17h00… Il me l’avait rappelé ce matin, sans insister, avec ce ton feutré et calme qui ne laissait jamais de place au doute. Je ne savais pas exactement ce qui m’attendait, mais je savais une chose : c’était pour Lui, donc c’était pour moi, et pour Nous.
J’arrivais devant une vitrine discrète. C’était une boutique de tatouages. L’écriture était fine, presque calligraphiée. Rien d’agressif, aucune vitrine tapageuse. Juste une porte en verre dépoli et un sentiment étrange d’intimité. Mon cœur se serra. Il voulait me tatouer. Je poussais la porte. À l’intérieur, une femme me salua avec un sourire rassurant.
« Bonjour Madame. Je vous reconnais. Il m’a transmis les instructions. Tout est prêt »
Il avait tout organisé. Pas besoin de me demander mon nom. Elle savait.
Je sentis un frisson me parcourir l’échine. Elle ne me demanda rien de plus. Pas de question. Pas de choix. Et c’était là, précisément, que résidait la beauté de cet instant : je n’avais rien à décider. Il avait déjà tout fait pour moi. Pour Nous.
Elle m’emmena dans une salle isolée. L’ambiance y était feutrée, presque cérémonielle. Une lumière douce. Une musique en fond. Lente, presque hypnotique. Elle me tendit une chemise fine à enfiler, puis me demanda de me déshabiller.
« Vous pouvez garder le haut, mais il faudra retirer le bas. »
A ces mots je frissonnais de plus bel.
« Une fois prête, vous viendrez vous allonger ici » continua-t-elle, en désignant un fauteuil surélevé au dossier légèrement incliné. « Il m’a donné les consignes exactes. L’emplacement a été choisi. ». A ces mots elle quitta la pièce.
Je me sentis nue. Exposée. Mais d’une manière étrange… j’étais exaltée. Mon souffle s’accélérait, mon ventre se nouait doucement — non de peur, mais d’émotion.
Je me déshabillais, déposant ma robe et mon string sur une chaise et enfilant la chemise. A cet instant je tressaillis. Elle allait sans doute voir le plug planté avec indécence entre mes fesses ! J’hésitais quelques courtes secondes. Ma pudeur, que mon Maitre s’employait à battre en brèche, résistait encore en moi et me criait de retirer ce plug immédiatement. Mais je trouvais le courage de résister. Il savait que je serai ainsi exposée. Il le voulait. Et je n’en fis donc rien.
J’allais m’installer dans le fauteuil. Légèrement tremblante.
La jeune femme – elle ne devait pas avoir plus de 30 ans – revint dans la pièce. Elle s’avança avec une assurance tranquille, le port droit, les yeux calmes. Une femme singulière. Impressionnante. Son crâne était complètement rasé. Lisse. Un piercing délicat ornementait son arcade droite. Un autre perçait subtilement le centre de sa lèvre inférieure. À chaque oreille, plusieurs anneaux de tailles différentes. Elle était un équilibre. Entre force et grâce. Entre brutalité et précision. Son corps, visible sous le débardeur noir qu’elle portait, était couvert de tatouages — une constellation d’encre qui semblait raconter une histoire à chaque centimètre. Sur son bras gauche, un serpent stylisé remontait le long de la peau, entrelacé de roses aux épines acérées. Sur son omoplate droite, j’aperçus une plume immense, finement détaillée. Autour de son cou, un collier de cuir noir parsemé de pointe en acier. Rien n’était gratuit. Tout semblait pensé. Incarné. Elle incarnait cette forme rare de force féminine qui ne cherche pas à séduire, mais qui magnétise.
Elle s’assit à mes côtés sur une chaise à roulettes.
« Voici le pochoir » me dit-elle en me tendant un feuillet. « Il sera apposé au-dessus de votre sexe ».
Mon cœur cessa un instant de battre. Le dessin était là : Un Loup. Noble. Puissant. Au regard bleu vert pénétrant. Comme ses yeux. Les yeux de mon Maitre. Un mâle alpha dans toute sa splendeur. Tête légèrement inclinée. Crocs visibles. Dominant, protecteur et fier.
Juste en dessous, gravée en lettres fines mais nettes, un texte court mais impactant :
"Property of ….". avec le nom de mon Maitre.
Mon ventre se contracta. Mes yeux s’embuèrent. Ce n’était pas un tatouage. C’était une vérité gravée à l’encre. Là. Juste au-dessus de mon sexe. Comme une signature sacrée. Un symbole total de propriété.
Elle releva la chemise pour dévoiler mon entrejambes. Avec délicatesse elle écarta mes jambes et les posa sur des reposoirs. Elle nettoya et désinfecta avec douceur mon mont de Vénus. Tous ces instruments étaient prêts. Elle saisit le stencil, puis me regarda, presque solennelle.
« Prête ? »
J’hochais la tête. La douleur fut vive au début, mais rapidement je m’habituais. Et elle devint autre chose. Une forme de tension sacrée. Comme si mon corps s’ouvrait pour recevoir ce qui devait y figurer depuis toujours. Il ne s’agissait pas seulement d’un marquage. Il s’agissait de mon appartenance. De mon offrande. De son sceau sur moi. Il me marquait de Lui-même. Il m’offrait sa Marque.
Lorsque ce fut terminé, elle éteignit la machine. Elle essuya une fois encore les dernières traces d’encre et appliqua un baume cicatrisant avec une douceur presque maternelle. Elle me tendit un miroir sans rien dire. Je me redressais et le pris à deux mains. Presque fébrile. Et je baissais lentement les yeux vers ma peau.
Il était là. Le loup était là. Magnifique. Sauvage. Sa gueule entrouverte semblait respirer. Son regard m’hypnotisait. Il trônait juste au-dessus de mon sexe. Comme un gardien. Un sceau d’autorité. Et juste en dessous, en lettres nettes, sobres, gravées avec une élégance discrète, le nom de mon Maitre précédé de ces mots si puissants : « Property of … »
Mes lèvres tremblèrent. La vue de ces mots déclencha en moi de nouveau une vague d’émotion incontrôlable. Mon ventre se serra. Ma gorge se noua. Je ne pus rien retenir. Les larmes montèrent. Brûlantes. Elles coulèrent en rivière doucement sur mes joues. Ce n’était ni tristesse ni douleur. C’était plus vaste. Plus profond. C’était une reconnaissance charnelle. Une appartenance librement choisie. Une vérité ancrée.
La tatoueuse resta silencieuse quelques instants, puis s’approcha doucement et me tendit une serviette en tissu pour sécher mes larmes.
« Il vous aime beaucoup, je crois… », murmura-t-elle simplement.
Je levai les yeux vers elle, bouleversée.
« Comment vous pouvez le savoir ? « soufflai-je, presque honteuse de pleurer ainsi.
Elle me sourit. Un vrai sourire. Paisible. Sincère.
« Ce n’est pas le premier tatouage intime que je réalise. Mais c’est la première fois qu’un homme m’écrit avec tant de précision, de respect et de tendresse pour celle qu’il aime. Il voulait que ce soit beau. Que ce soit digne de vous. Ça se voit, vous savez. » répondit-elle.
Je ne répondis pas. Je ne pouvais pas. Les mots m’auraient trahie. Alors je serrai la serviette contre ma poitrine, tentant de maîtriser le tremblement de mes épaules et de contenir mes larmes.
Oui, il m’aimait. Et ce tatouage n’était pas un marquage brutal. C’était une déclaration. Un acte d’amour charnel. Un sceau de passion. Un pacte silencieux que mon corps porterait désormais pour Lui, pour Nous.
J'étais sa Louve. Sa femelle soumise. A jamais.
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Son regard s’ancra immédiatement dans le mien. Je sentis cette chaleur familière se répandre en moi, comme un frisson ancien et pourtant toujours nouveau. Son simple regard est toujours pour moi source d’une domination voulue, un lien invisible qui m’attache à lui avec bonheur.
Il se redressa lentement. Ses mains caressèrent mes cheveux, puis mon visage. Il déposa un dernier baiser sur mes lèvres avant de glisser vers ma cheville. D’un geste sûr, il détacha l’anneau d’acier. J’entendis le cliquetis familier du métal. Sa main resta un instant sur ma peau libérée, la caressant du bout des doigts avant de déposer un baiser sur ma cheville nue.
Il sortit du lit et me releva doucement, me tenant fermement contre lui. Sa chaleur, son odeur, son autorité tranquille… tout cela m’enveloppait. Il me guida jusqu’à la salle de bains, et je me laissai porter, confiante, éveillée de désir. Mon souffle s’emballa légèrement. Mon regard se posa dans le sien, et d’une voix douce, je murmurai :
« Maître… j’ai envie … »
Il n’eut besoin d’aucune autre explication. Un sourire à peine esquissé se dessina sur ses lèvres. Un sourire complice, plein de cette assurance tranquille qu’il savait si bien incarner. Un sourire aussi délicieusement pervers, comme j’aime tant le voir sur son visage. Il m’accompagna vers les toilettes attenantes à la salle de bains. Il ouvrit la porte et me laissa entrer, tout en gardant la porte ouverte et se positionnant à l’entrée. Immédiatement, comme je l’avais appris, je montais sur la cuvette des toilettes y posant mes pieds en lui faisant face. J’écartais les cuisses largement pour lui dévoiler mon intimité. D’une main j’écartais les lèvres de ma chatte qu’il puisse se repaitre de la vision indécente de l’intérieur rosé et humide de ma fleur … et je laissais couler mon nectar doré … La première fois qu’il me l’avait demandé j’avais eu tellement honte … Mais aujourd’hui cet acte d’une totale impudeur, si simple, si cru, mais que notre lien transfigurait en offrande, était devenu pour moi d’une totale évidence. Son regard ne me quittait pas. Il ne m’observait pas… il me contemplait. Il était honoré et fier. Le filet de mon nectar se tarit. Je restais en position. Je savais que je devais attendre la fin de ce rituel. Il s’agenouilla devant moi et passa sa main sur mon intimité humide et souillée, tout le long de ma fente … Je gémis de plaisir en sentant ses doigts massifs écarter avec tendresse et force mes lèvres sur leur passage avant de presser mon clitoris … Il monta sa main à sa bouche et lécha avec gourmandise ses doigts recouverts de ma souillure dorée et de mon jus de chatte … Ses yeux transpiraient de lubricité mais aussi de plaisir … J’en frissonnais …
« Tu as bon goût une fois encore ce matin, ma soumise » murmura-t-il dans un sourire plein d’amour et de vices, tout en me tendant ses doigts pour les lécher. J’ouvris immédiatement ma bouche pour déguster avec lui cette indécente offrande de ma fleur …
Après avoir bien laver sa main de ma langue, il se releva et fit quelques pas en arrière.
« Dois-je te laisser ? » me demanda-t-il.
Si nous sommes adeptes de l’urologie, nous n’avons, ni lui ni moi, aucun penchant pour la scatologie.
« Oui, mon Maitre ». lui dis-je.
« Bien mon cœur. Rejoins-moi ensuite dans la salle de bains » répondit-il et il ferma la porte pour respecter mon intimité.
Lorsque j’arrivais dans la salle de bains, de douces vapeurs y régnaient. Dans la large baignoire d’ivoire une eau tiède s’écoulait déjà, parfumée d’huiles aux notes d’agrumes. Il était là, debout sous le flot brûlant de la douche italienne. Et même si ce n’était pas la première fois, ce matin encore je n’arrivais pas à détourner les yeux. La vapeur s’accrochait au verre, brouillant les contours, mais je distinguais parfaitement la silhouette de mon Maître. L’eau ruisselait le long de son dos, dessinant ses muscles comme une pluie d’argent. Chaque mouvement était lent, délibéré — lorsqu’il passait la main sur sa nuque, lorsqu’il massait ses épaules ou descendait le long de son torse. Il ne se lavait pas… il s’habitait. Il réclamait l’espace, imposait une forme de calme souverain. Même dans cet instant simple et banal, son charisme irradiait.
Je restais là, silencieuse, les bras croisés sur ma poitrine nue. Incapable de respirer autrement qu’en rythme avec lui. Mon ventre se contractait doucement. Ce que je ressentais était difficile à nommer : un mélange de vénération, de désir animal. Et d’une forme d’amour brut, total. Il ne savait pas que je le regardais. Ou peut-être que si. Avec lui, on ne sait jamais vraiment ... Mais ce moment-là, je le gravais comme tant d’autres en moi. Parce que même dans cet acte si banal, il était sublime. Indomptable. À lui seul, il était tout un monde. Mon monde.
Il sentit ma présence. « Viens mon ange » me dit-il.
Lorsque je le rejoignis sous la douche, la douce chaleur de l’eau m’enveloppa d’un frisson instantané. Mais c’est la chaleur de son corps contre le mien qui me fit chavirer. Nos peaux mouillées se collèrent dans un silence brûlant. Il m’attira contre lui. Sa main glissa dans mon dos, puis sur mes hanches. Nos souffles se mêlèrent. Nos regards se croisèrent. Nos sourires se répondirent. Nos lèvres se scellèrent, laissant nos langues se mêler … Et tout devint suspendu. Chaque caresse traduisait une osmose, une symbiose, une complétude, une appartenance mutuelles et totales. Je sentais son désir déjà battre contre mon entrejambes … et ma chatte s’ouvrait déjà … Mais au-delà du plaisir charnel, c’était l’intimité pure, sacrée, qui m’envahissait. J’étais chez moi … là … contre lui.
Il me plaqua doucement contre le carrelage tiède. Ses mains s’ancrèrent sur mes hanches, puis saisirent mes fesses. L’eau ruisselait entre nos corps, comme un voile complice. Sans un mot, il entra en moi d’un seul mouvement. Profond. Précis. Je suffoquais presque. Nos souffles se mêlèrent dans un halètement mutuel, rythmés par le clapotis de l’eau. Il me tenait fermement, me guidant dans une danse lente et brûlante. J’enserrais ses épaules, collant ma tête contre son cou. Chaque poussée de son mandrin dans ma fleur résonnait comme une promesse tenue. Mes fesses claquaient contre le mur à chaque coup de sa queue devenue si dure. Je sentais mes seins gonfler et mes mamelons durcir et s’enfoncer dans son torse. Je ne pensais plus. Je ne respirais que lui. Tout mon corps vibrait au sien — offerte, vivante, infiniment à lui.
Il ne me baisait pas comme j’aimais tant qu’il le fasse … non … il me faisait l’amour … il m’aimait … il me vénérait … il me glorifiait … il m’offrait sa virilité, son désir pour mieux me dire son amour et sa passion …
Dans ces moments-là il a toujours l’élégance, ultime preuve de son amour, de ne pas jouir le premier … Lorsqu’un cri plus strident s’échappa de ma gorge, que mes dents vinrent mordre son épaule et qu’il sentit ma chatte se contracter et mon jus chaud inonder sa virilité turgescente, c’est alors seulement qu’il me transperça d’un dernier coup de queue et qu’il poussa un dernier grognement en déversant son sperme brulant dans mon sexe bouillant …
Nous restâmes quelques instants ainsi, soudés l’un à l’autre. Unis. Ne faisant plus qu’un. Nous embrassant tendrement et doucement.
Il se retira. Il ferma le robinet de la douche. Il me prit par la main et me conduisit vers la baignoire qui était au 2/3 remplie. Il coupa l’arrivée d’eau. Nous y entrâmes ensemble, dans un silence doux. Il s’installa derrière moi et me serra contre son torse. Ses mains commencèrent à me laver avec une éponge naturelle. Lentement, avec une attention presque sacrée. Il traça des cercles sur ma peau. Il me lava les cheveux, massant mon cuir chevelu comme s’il polissait une sculpture vivante. Puis mon dos, mes bras, mes jambes, mes seins, mon sexe … rien n’était oublié.
Quand l’eau commença à tiédir, il me fit me relever et me rinça. Il fit de même. Puis nous sortîmes. Il me tendit une grande serviette et me sécha lui-même, comme on sèche un trésor. Je fis de même pour lui, savourant chaque instant de proximité. Ensuite, il ouvrit un petit pot au couvercle doré : un baume onctueux de chez Molton Brown. L’odeur vive des agrumes nous enveloppa. Il enduisit ses mains et se mit à me masser. Lentement. Profondément. Du cou jusqu’aux chevilles. Insistant avec une tendresse affirmée sur mes hanches, mes fesses, mes seins… et là encore, je sentis ma peau frissonner de gratitude. Il vénérait et sculptait sa princesse …
Il s’attarda longuement sur mes reins et le bas de mon dos, traçant des cercles lents et chauds. Il s’arrêtait parfois comme pour mieux m’écouter respirer. J’étais à lui. Chaque fibre de mon corps vibrait à l’unisson de ses mains.
Puis, sans dire un mot, il ouvrit le tiroir de la commode. Le bruit feutré des objets délicats et précieux que contenait ce tiroir me fit sourire et frémir. Il me demanda doucement :
« Quelle couleur aujourd’hui, ma soumise ? »
« Je comptais mettre ma robe vert émeraude, mon Maître… » lui répondis-je.
Il sourit. Sortit une petite boîte. En l’ouvrant, un bijou intime y brillait doucement : un plug anal serti d’une pierre verte. Il me le montra. Je l’embrassais. Le suçais. L’engouffrant avec gourmandise dans ma bouche. De ses doigts délicats il écarta mes fesses, me fit me pencher et massa tendrement avec le baume mon petit anus encore endolori d’avoir été enfin défloré la veille. Puis avec un soin méticuleux, il m’inséra le plug avec lenteur, ses doigts effleurant mon intimité, éveillant encore davantage mes sens.
Il n’en resta pas là. Il me fit me retourner. Il m’embrassa les seins. Doucement. Longuement. Il prit mes mamelons dans sa bouche, les taquinant de sa langue experte pour mieux les faire se dresser avec insolence. Je gémis de plaisir. Il ouvrit alors une autre boite provenant du tiroir. Et il fixa sur mes tétons deux bijoux légers, en forme de papillons verts, parfaitement assortis. Mon cœur battait fort. Je me sentais parée, ornée, désirée.
Enfin, il me fit m’agenouiller devant lui. Retira mon collier d’acier. Et, avec lenteur, comme dans un rite cérémoniel, il me passa autour du cou un collier plus fin, plus discret. Une chaîne d’or. Une médaille y pendait, élégante, gravée d’une silhouette elle-même agenouillée. L’un de mes colliers de soumise de jour. Au dos de la médaille était inscrit « Fière et heureuse de servir de mon Maitre ». Il me l’avait offert pour notre troisième mois de relation. Et rien que d’y penser, mes yeux se remplirent d’émotion.
Il me releva. Me regarda comme on regarde la femme qu’on aime. Avec respect, passion et infiniment d’amour. Puis il m’embrassa. Longtemps. Ses mains sur mes joues.
« Je te laisse mon cœur, je dois filer au bureau. Passe une belle journée et n’oublie pas ton rendez-vous de 17h00. A ce soir ! Je t’aime ! »
Mon cœur était au bord de l’explosion. Je me sentais belle. Vivante. Avec lui je vivais une r renaissance, une élévation. Soumise certes, mais avant tout Aimée. Et surtout profondément moi. Et profondément sienne.
Illustration: création AI de ma part
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Lorsque j’ouvris les yeux, une lumière tamisée glissait entre les lattes des volets de notre chambre. Je sentis d’abord une tension sur ma cheville droite. Je bougeais doucement le pied. Et j’entendis le cliquetis métallique caractéristique de la chaine. Et je sentis plus encore la lourdeur de l’anneau d’acier qui me retenait prisonnière. Je souris. J’étais attachée. Mon Maitre n’avait pas oublié de m’enchainer … Un sentiment d’immense bonheur me submergeait … Alors que je m’étais assoupie après cette nuit de sublimes découvertes, il n’avait pas seulement passer du temps à me laver avec un linge tiède parfumé à la lavande ; il ne m’avait pas seulement masser les fesses, les cuisses, la poitrine et tout le reste de mon corps d’une crème apaisante pour apaiser mes brulures et mes douleurs ; il n’avait pas seulement veiller à couvrir mon corps d’un drap léger ; il n’avait pas seulement couvert mon visage de tendres baisers ; toutes choses que j’avais bien sûr ressenties mais qui m’avaient définitivement fait sombrer dans un sommeil profond tant j’étais vidée, brisée, bien que comblée et heureuse … non … il avait aussi pensé à m’enchainer … Symbole de sa pleine propriété sur sa femelle, sa soumise, son esclave … Malgré sa fatigue que je savais importante à cause de son travail, fatigue accentuée sans doute plus encore par nos jeux intenses de la veille, il n’avait pas oublié …
Depuis que nous vivions ensemble, ceci était devenu un rituel : être attachée à notre lit conjugal avant que je ne m’endorme … Et j’adorais cela. Chaque matin où je me réveillais ainsi entravée, une chaleur diffuse s’éveillait en moi—pas seulement dans mon ventre, mais plus profondément, dans mon âme. C’était la preuve tangible de sa présence, même lorsqu’il n’était plus dans la pièce. L’assurance, muette mais tellement puissante, qu’il me possédait, qu’il m’avait façonnée et acceptée telle que j’étais : vulnérable, offerte, intensément soumise, mais tellement fière d’être sienne … Tellement heureuse de lui être … attachée …
Je restais immobile, savourant la morsure douce de l’acier contre ma peau. Je passai mes doigts sur la chaîne, la sentant froide, solide, inébranlable. Elle m’apaisait. Elle me recentrait. Dans le monde extérieur, j’étais forte, décidée, indépendante. Mais avec lui, et plus encore ici, dans notre chambre, je devenais l’essence même de l’abandon. Et c’était là, dans cette vulnérabilité sacrée, que je trouvais ma plus grande force.
Je respirais doucement, les yeux mi-clos, bercée par les bruissements presque imperceptibles de la pièce. Le souffle régulier de mon Maître, tout près de moi, résonnait comme une douce musique. Je tournai très légèrement la tête. Il dormait encore. Paisible. Sa main, puissante et ferme, même dans l’abandon du sommeil, reposait sur le drap, non loin de mon ventre. Je n’osais pas bouger davantage. Je ne voulais pas troubler ce moment. Il m’avait tant donné. Je voulais simplement être là, à ses côtés, gardienne silencieuse de cet instant précieux.
Mon regard glissa lentement sur la chambre, notre chambre. Ce sanctuaire de nos jeux, de notre amour si particulier, si profond, si vrai. La lumière tamisée dessinait des ombres douces sur les murs.
Je vis d’abord la commode noire. Massive. Majestueuse. Je savais ce qu’elle contenait. Chaque tiroir renfermait des secrets de douleur et de délices. Des instruments froids qui savaient réveiller en moi les plus brûlantes chaleurs. Les martinets, les cravaches, le fouet — chacun avait sa voix, sa musique, sa danse sur ma peau. Mon Maître savait en jouer comme d’un instrument sacré. Il ne frappait pas. Il sculptait. Il écrivait sur moi des poèmes de feu, de discipline, de passion. Moultes autres petites instruments de douleur et de plaisir y étaient rangés avec soin : des pinces, des boules de geisha, des godes de tailles variés, des plugs anaux, des aspirateurs pour mes tétons et ma chatte, des sangles de cuir, des cordes de taille et de couleur diverses, …
Un peu plus loin, le banc. Je frémis rien qu’à le regarder. Combien de fois m’y avait-il attachée ? Jambes écartées, dos cambré, offerte comme une bête à dresser. Là, il m’avait brisée. Pour mieux me reconstruire et m’élever. Là, j’avais pleuré, crié, joui, remercié. Là, il avait fait de moi la femme que j’étais aujourd’hui.
Mon regard s’attarda ensuite sur la cage d’acier noir. Assez grande pour que je puisse m’y lover. Mon cœur se serra d’émotion. La dernière fois que j’y avais passé la nuit, il m’avait glissé une couverture douce et un bol d’eau. Et il m’avait regardée longuement avant de refermer la porte. Il ne m’avait pas punie ce soir-là. Il m’avait simplement regardée comme une œuvre d’art qu’on expose. Et moi, j’avais trouvé une paix étrange, animale, dans cet enfermement choisi.
Le fauteuil. Son fauteuil, couleur moutarde. Mon cœur se serra de nouveau, mais d’un amour silencieux. Là, il lisait souvent. Et moi, nue, soumise, j’aimais m’étendre à ses pieds. Poser ma tête sur ses genoux. Sentir sa main caresser distraitement mes cheveux. Être là, simplement. Silencieuse. Heureuse. Sa chienne, sa complétude, sa présence fidèle.
Et puis il y avait les chandeliers. Leurs flammes dansaient souvent le long de mon corps. La cire fondue me brûlait doucement ou plus durement. Elle traçait des chemins de feu sur ma peau tendue. Je fermais alors les yeux, retenant mes gémissements, acceptant le rituel. Chaque goutte était une preuve de sa volonté. De mon obéissance. Il sculptait son œuvre d’art, son chef d’œuvre comme il disait …
Et le panier. Oui, ce simple panier. A ma taille. Tapissé de fourrure. Je m’y glissais parfois sans qu’il ne me le demande. Le panier de sa chienne. Mon panier.
Enfin, mes yeux rencontrèrent les murs. Ces tableaux de femmes dénudées, élégantes, sensuelles. Certaines semblaient m’observer, complices. D’autres semblaient soumises elles aussi, enchaînées dans un abandon éternel. Et puis il y avait cette vitrine et les figurines de manga et les déesses grecques. Fantasmes et mythes mêlés. Elles étaient là pour nous rappeler que la beauté prenait mille formes — et que le désir, lui, n’avait aucune limite. Certaines étaient dans des poses d’une indécence jouissive.
Ainsi était notre chambre, notre nid d’amour et de soumission. Tout y respirait notre monde. Je m’y sentais divinement bien. A ma place. Aux cotés de Lui. Mon Maitre. Mon Homme. Mon Tout. A ma place.
J’entendis l’horloge de notre salon sonner 8h00. Il était temps pour moi de réveiller mon homme. Lentement, je me glissais sous les draps, me faufilant jusqu'à son bas-ventre. Mon souffle effleura sa peau tiède. Sa virilité encore endormie se réveilla au contact de mes lèvres sur son membre sacré.
Je commençais par de légères caresses buccales. Presque des baisers. Sur sa queue endormie. Sur ses couilles chaudes et pleines. Puis ma langue traça des courbes lentes sur son sexe et ses bourses. Je le sentis frémir, soupirer. Il se raidit. Sa chaleur augmentait sous ma langue. J’ouvris les lèvres et le pris en bouche avec une lenteur délibérée. J’accueillais chaque millimètre de lui en moi, savourant la montée de sa tension. Ma main caressant ses testicules avec déférence.
Ses doigts se glissèrent dans mes cheveux. Il n’ouvrait pas encore les yeux, mais son corps réagissait pleinement. Il guida mes mouvements, imposa un rythme plus profond. Ma gorge s’ouvrit. Je le servis avec ferveur, le suçant avec dévotion, jusqu’à perdre la notion du temps. Je sentais ma salive couler sur sa queue devenue dure comme du béton …
Ses gémissements se firent plus rauques. Sa prise plus ferme. Je sentais la montée, l’inévitable tension vers l’orgasme. Il s’enfonça plus loin en moi. Plaquant ma tête sur son ventre. Il était totalement en moi. Et puis, dans un râle profond, il s’abandonna. Son plaisir jaillit en moi. Chaud. Puissant. Epais. Je le recueillis avec fierté, gardant mes lèvres fermées pour ne pas perdre la moindre goutte de ce nectar sacré.
Après quelques temps, il posa alors ses mains de chaque côté de mon visage, me caressa les joues du bout des doigts. Et je l’entendis murmurer ces mots que j’attendais avec impatience :
« Avale, ma soumise ! »
Je le fis sans attendre. Dégustant avec gourmandise cette offrande matinale. Puis il m’attira à lui. Il m’accueillit de ce sourire qui me faisait devenir comme une poupée de son… Et il m’embrassa … Longuement. Tendrement. Nos souffles se mêlant dans une étreinte à la fois douce et brûlante.
« Bonjour mon amour » me souffla-t-il au creux de l’oreille
« Bonjour mon chéri, bonjour mon Maitre » lui répondis-je avec les yeux plein d'amour et de dévouement
Illustrations: Dessin d'Erenish
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Je l’entends refermer la porte-fenêtre. J’entends ses pas lourds et nets sur le parquet de notre salon. Mon cœur bat plus fort. Je sens déjà cette douce chaleur qui commence à naître dans mon bas ventre. Je suis prête. Je l’attends. Je suis à ma place : à genoux, dos bien droit, tête baissée ; mes paumes retournées posées sur mes cuisses entrouvertes ; immobile, nue ; si ce n’est ce plug qui orne mon anus.
Je connais ce moment par cœur et pourtant il me brûle à chaque fois. J’attends. Le souffle court, la nuque baissée. J’attends mon Maitre.
Je l’entends entrer dans notre chambre. Je sens son odeur ; ce mélange qui m’enivre : l’odeur du tabac des cigarettes qu’il vient de fumer sur notre terrasse et de son parfum délicieuse composition d’une note sensuelle de violette et d’accents de cuir et de bois, sublimée par une note de tête fruitée. Un mélange doux et épicé ; l’alliance de contraire. Tout lui. Tendre et primal. Doux et brutal. Elégant et indécent … mon Maitre …
Je sens son regard sur moi avant même qu’il me touche. Il me frôle comme une main invisible. Dieu que j’aime ça ! J’aime cette tension, cette suspension entre l’absence et l’explosion. Quand il s’approche, c’est comme si l’air devenait plus dense autour de moi.
Il se positionne devant moi. Je vois ses élégantes chaussures de type Richelieu. J’ai envie de poser ma tête sur elles et de les baiser. Mais je n’en fais rien. Il claque des doigts. Je relève les yeux. Il peut y lire tout mon bonheur ;, tout mon dévouement. Un sourire immense barre mon visage. Il ne dit rien. Il n’a pas besoin. Je tends les mains et je défais sa ceinture. J’ouvre son pantalon. Et je prends son sexe dans ma bouche, sans les mains, comme on retrouve un rituel sacré. Il est déjà au garde à vous. J’y vais doucement d’abord, puis plus profondément. Je l’avale entièrement, gorge tendue, respiration coupée. Et lui… oh lui … il prend ma nuque, fermement. Il me guide. Il m’impose son rythme. Je me laisse faire avec délectation. Je suis sa chose. Je ne suis plus qu’un objet sexuel. Et Dieu que j’adore ça ! Je m’ouvre. Il défonce ma bouche pour mieux pénétrer ma gorge… Il reste planté là au fond de ma gorge, collant ma nuque contre son entrejambes…. Je détends mes muscles pour mieux l’accueillir. Je salive abondement, à deux doigts de suffoquer. Il est chez lui. Je suis si fiere qu’il se sente chez lui, là, dans ma gorge.
Il relâche la pression et j’halète, bavant abondement. Il recommence encore et encore … Ma bouche est totalement déformée par son sexe … J’imagine mon visage, défait : le rimmel qui coule de mes paupières ; mon rouge à lèvres étalé sur mon visage ; … je le sais je ne ressemble plus à rien … mais je n’ai pas honte … au contraire … je suis fière … fière qu’il m’utilise …
Il étale ma salive sur mon visage. Et il me gifle — une première claque nette et précise. Mon corps tremble, mais je souris. Parce que je suis bien. A ma place. Parce que je suis à lui.
Je l’entends grogner d’excitation. La bête s’éveille en lui. Mon Loup primal … Je sens que mes cuisses sont trempées tellement je mouille … Je me sens chienne … ou plutôt Louve …
Je le sens prêt. Je me redresse, la gorge encore marquée de lui. Je me tourne. Je me mets à quatre pattes sur le lit et je me cambre. Je sais ce qu’il attend. Je sais ce qu’il veut. Je lui tends mon cul.
Ses mains glissent sur mes hanches, et je retiens mon souffle. Je sais ce qui va se passer. Et je l’espère. Puis viennent les premières claques. Leur chaleur monte aussitôt. Mon dos se tend, mes cuisses vibrent, mais je ne fuis pas. J’aime cette douleur. Elle est si bonne. Elle est si vraie. Elle me libère. Elle me prouve que je suis vivante, que je lui appartiens.
Je sens ma chatte devenue brulante et d’où coule de plus en plus mon nectar. Je veux qu’il me marque. Qu’il me domine comme j’aime. Comme j’en ai tellement besoin.
Je l’entends saisir le martinet rouge … Les coups pleuvent. En rythme. De plus en plus forts et puissants. Chaque coup est une douce douleur qui me fait à la fois crier et gémir. Je sens que mon cul n’est plus qu’un brasier.
Et puis, sans prévenir, il me prend. D’un seul coup ; profond. Je pousse un hurlement ; pas de douleur… oh non. De soulagement. D’extase contenue. Je le sens en moi, entièrement. Il se met à bouger, avec une lenteur qui me rend folle. Je l’entends grogner de plus bel, respirer de plus en plus fort. Sa peau claque contre la mienne. Petit à petit il accélère.
Il parle enfin. Sa voix, le son de sa voix me rend folle. J’en suis définitivement droguée. Il dit des choses obscènes et magnifiques. Il me glorifie et m’insulte dans un même souffle. Et moi, j’absorbe tout, avec bonheur. Je me caresse. Je veux jouir avec lui en moi ; je veux qu’il me sente exploser. Je veux qu’il sache que c’est lui qui m’y emmène. Je veux qu’il sente que je suis sa chienne, sa femme, sa femelle, sa princesse, sa putain, sa muse … tout cela à la fois. Sa complétude.
Et puis tout s’accélère. Il me pénètre plus fort. Il me déchire presque. Je tremble de tout mon corps. Il me fesse le cul de plus en plus fort. Mon corps n’est plus que plus plaisir et douleur … Je perds totalement tout contrôle … Je lâche prise … Je ne suis plus que son jouet, sa chose, … Et je jouis... Oh oui … je jouis … Fort. Longtemps. Intensément. Presque douloureusement. J’inonde nos draps de mon jus de chienne ... Je sais qu’il adore cela … Cela décuple son excitation … Je l’entends hurler comme le Loup qu’il est … Et je sens son plaisir fondre en moi quelques secondes après. Il me remplit de son divin nectar … Il reste là, enfoncé, haletant. Et moi, je souris. Comblée. Heureuse. A ma place. À lui.
Il reste quelques secondes immobile en moi, encore palpitant. A cet instant nous ne sommes plus qu’un. Ce tout, cette symbiose, cette osmose qui nous caractérise est ici pleinement illustrée.
Sa main glisse lentement le long de ma colonne vertébrale, puis sur ma hanche. Un dernier frisson me traverse. Puis je le sens se retirer. Un vide tiède, troublant, presque cruel, me remplit. Mais je ne bouge pas. J’ai appris que l’histoire ne s’arrête jamais là. Pas avec lui. Pas avec mon Tout.
Il m’embrasse avec amour et tendresse … Il murmure mon prénom d’une voix rauque et tendre … Je suis aux anges …
Puis il s’éloigne, quittant la chambre. Je l’entends parler brièvement — pas à moi. Au téléphone, peut-être ? Ou à quelqu’un qui attendait dans notre salon ? Mon souffle se bloque un instant. Je sais ce que cela signifie. Il m’a déjà prévenue. Il m’a dit qu’un jour, il me partagerait … il partagerait ce cul qu’il aime tant. Pas par manque d’envie, mais parce que me voir offerte, encore, autrement, c’est un autre genre de plaisir pour lui. Et, je le sais, pour moi aussi.
Je ne lève pas la tête. Je me redresse sur le lit et me remet en position : à quatre pattes, tête posée sur nos draps, cul tendu et offert… Mon corps encore chaud se recouvre de chair de poule, dans un divin mélange chaud / froid. Je n’ai pas peur de cet instant, celui d’être offerte à un autre… oh non … je l’attends même depuis longtemps avec de plus en plus d’envie et de gourmandise … j’ai une confiance totale en mon homme, mon Maitre … notre amour est indestructible et si puissant … J’ai juste encore cette timidité, cette peur de ne pas le satisfaire, de ne pas être à la hauteur alors qu’il ne cesse pourtant de me dire la fierté que je lui procure …
J’entends deux paires de pas se rapprocher de notre chambre … Oui le moment est venu … Je sens ma chatte se contracter … le nectar de mon Maitre coule de mon entrejambes …
Ils entrent dans la chambre. Pas un mot ne vient briser le silence lourd et chargé d’électricité qui emplit notre nid conjugal. Je sens seulement des pas derrière moi, puis mon Maître qui vient s’asseoir devant moi. Sa main effleure ma joue, calme, comme pour m’ancrer. Il m’observe, je le sens. J’ose enfin lever les yeux vers lui — son regard est posé, fier, brûlant. Je fonds de plaisir. Je me sens en pleine confiance. Il est là pour me guider et me protéger.
Il ne me touche pas. Pas pour l’instant. Il laisse l’autre homme dont je ne sais rien prendre sa place, derrière moi. Je frissonne. Mon ventre se serre d’excitation et d’inquiétude mêlées. Je sens mes tétons qui pointent et mes seins se gonfler. Cet autre ne m’a pas encore touchée pourtant. Mais je sens son souffle sur mes reins. Je sens ses yeux sur mon cul encore rougi. Je sens son regard troublé à la vue de ma chatte ouverte et trempée, dégoulinante du nectar de mon Maitre … Et moi, je suis là, offerte une seconde fois. Dans une position d’une incroyable indécence. Non pas soumise à l’inconnu… mais toujours à lui, à mon Maitre. C’est lui qui orchestre, lui qui décide, lui qui regarde. Je suis là pour Lui.
Un large sourire barre le visage de mon Maitre. Il ne dit rien… mais il approuve. Son regard posé sur moi avec bienveillance et fierté, son silence plus éloquent que mille ordres. Il me veut comme ça. Offerte, ouverte, observée. Et je le veux aussi. Je me sens pleinement à ma place.
Alors je ne résiste pas. Je respire lentement, j’écarte un peu plus les cuisses. J’expose ce cul qu’il aime tant, qu’il vient de marquer, qu’il a préparé pour un autre. Je sens deux mains se poser sur mes hanches. Je sursaute. Elles ne sont pas les siennes. Leur chaleur est différente. La prise est plus ferme, plus crue. Bien que je m’y attendais, un frisson me traverse, de manière incontrôlable.
Je suis tendue à l’extrême. Mon cœur cogne dans ma poitrine, mais pas de peur — d’intensité, d’excitation. L’interdit devient réel. Mon Maître me regarde, et moi, je reste à genoux, prête à être prise par un autre, pour lui.
Le sexe de cet homme me frôle. Il me teste. Il caresse de son membre mes fesses et mon sexe. Lentement. Puis tout aussi lentement, je le sens se positionner à l’entrée de ma chatte … et il pousse … Oh mon Dieu … . Il est grand et large … Epais … Je laisse échapper un petit cri … . Mon corps s’adapte, proteste, s’ouvre. Je gémis, la bouche entrouverte, les yeux fixés sur mon Maitre, assis devant moi, calme et souverain. Il me regarde, comme s’il voulait imprimer dans son esprit chaque expression de mon visage.
L’homme entre en moi. En entier. En une poussée ferme. Et je vacille. Mon corps le reconnaît immédiatement — étranger, oui, mais autorisé. Je le prends. Pour lui. Pour mon Maitre. Chaque va-et-vient est une offrande de plus. Mes gémissements se mêlent à ceux de mon Maître, silencieux mais brûlants. Je les lis dans ses yeux, devenus brillants de fierté et de domination primale.
Je suis là. Partagée. Offerte. Possédée deux fois : physiquement par cet homme inconnu, émotionnellement par celui que j’aime. Et plus que tout, je me sens à ma place. Complète. Comme si cette scène, si folle, si démesurée, avait toujours été écrite dans ma chair, dans notre chair.
Il a pris totalement possession de moi maintenant. Profondément. L’homme que mon Maître a choisi pour me posséder. Ses coups de reins se font plus nets. Ils sont sûrs, puissants, rythmés avec une précision presque mécanique. Mon corps encaisse, s’ouvre, se tend. Mon cul, encore marqué, le reçoit avec une ferveur que je n’essaie même plus de dissimuler. Je le veux. Je veux être remplie, utilisée et abusée, poussée dans mes limites , mise à l’épreuve.
Mais c’est encore et toujours vers mon Maître que mon regard revient. Il est là, toujours devant moi. Mais il a baissé son pantalon. Et il me présente sa superbe virilité … son sexe tendu d’un désir qu’il ne cache plus. Il me regarde avec cette intensité qui m’a toujours fait plier. Pas besoin d’un mot. J’ouvre la bouche, naturellement.
Je me penche, le souffle court, et je le prends en moi. Lui dans ma gorge, l’autre dans ma chatte. Mon corps devient un lien vivant entre eux deux. Je suce mon Maître avec la même dévotion que toujours, mais il y a cette tension nouvelle — ce double abandon. Mes lèvres glissent sur lui avec ferveur, ma salive coule, mes yeux brillent. Je suis remplie de part et d’autre. Mon cul encaissant les coups de l’homme derrière, ma bouche comblant celui que j’aime devant. Et au milieu… moi. Tiraillée, offerte, transcendée. Mon plaisir est si fort qu’il en devient irréel. Mon ventre brûle. Ma gorge se serre. Mon corps entier n’est plus qu’un feu tendu entre deux volontés.
Je sens mon Maître se retenir. Ses hanches frémissent contre mes lèvres. Je sens l’homme derrière accélérer, haleter. Dans un élan commun, ils me giflent : l’un le visage, l’autre le cul, tout en pilonnant ma bouche et ma chatte … Mon plaisir monte en spirale, incontrôlable. Et dans ce chaos brûlant, je sais que je suis exactement là où je dois être : entre eux. Suçant. Baisée. Aimée. Offerte. Partagée. Utilisée. A eux. Par eux. Pour mon Maitre. Pour Nous.
Ils se déchainent de plus en plus. Je perds toute notion de la réalité. Ma gorge pleine de mon Maître, mes reins battus par les coups réguliers de l’autre. Mon souffle est court, mes membres tremblent, mais je ne faiblis pas. Je suis tendue à l’extrême, comme une corde tirée à son dernier cran.
Et c’est là, à cet instant précis, que je les entends se parler. Juste quelques mots. Un échange de regards. Et je comprends.
Mon Maitre se retire de ma bouche. Je reprends l’air, cherchant l’oxygène comme une noyée. Il contourne mon corps, et l’autre homme ralentit, et se retire à son tour de mon corps.
Il vient s’allonger sur le dos à côté de moi, jambes écartées, son sexe recouvert d’un préservatif est impressionnant et toujours dur, brillant de moi. Il me regarde, sans un mot. Je découvre qu’il porte un masque. Il me restera inconnu. Tout au moins ce soir.
Mon Maître me prend doucement par la taille et m’aide à me relever. Il dépose un doux baiser sur mes lèvres et me sourit. Il vient lécher le lobe de mon oreille … Je fonds de plaisir … « Empale-toi sur son membre » me murmure-t-il …
Je grimpe sur l’homme, mes cuisses fléchies, mes mains posées sur son torse. Je m’aligne, et lentement, je m’empale. Sa chaleur virile me remplit de nouveau, profondément, délicieusement. Je gémis, déjà. Ma tête tombe en arrière.
D’une main ferme, mon Maitre vient pencher mon corps sur le torse de l’homme.
Je sens mon Maître derrière moi. Sa chaleur. Sa fermeté. Ses mains, plus dures, plus précises. Il écarte mes fesses. D’un geste d’autorité mais aussi infiniment prévenant, il retire mon plug anal. Je frémis de bonheur … l’instant est venu … Je souris … Il va me déflorer du cul … Triple découverte : ma première offrande, ma première double, mon premier anal …
Il caresse mon anus … je gémis comme une chienne en chaleur … je roule sur la queue de l’autre, lui tirant des grognements … Ma chatte coule et coule encore … Mon Maitre utilise mon jus intime pour détendre et lubrifier mon entrée interdite …
Je serre les draps, je me prépare — physiquement, mentalement. Je me détends. Je veux lui faire honneur. Mon Maître se place derrière moi, plus haut, plus centré. Il me tient par les hanches, me maintient là, écartée, offerte. Et en une pression lente, presque solennelle, il s’enfonce… dans l’autre entrée.
Je hurle. Un cri étouffé, mêlé de choc, de brûlure, de ravissement. Mon corps se tend violemment. Il me pénètre, lentement, profondément. Mon cul l’accueille. Il est en moi, et l’autre homme aussi, toujours présent, devant, dans ma chaleur. Je suis remplie. Entièrement. Complètement.
Ils bougent, à tour de rôle d’abord, puis en cadence. Mes cris deviennent prières. Je n’ai plus de pensées, plus de mots. Juste cette sensation : être traversée, secouée, possédée, utilisée au plus intime. Je deviens un objet vivant de leurs envies, de leur puissance. Ils me remplissent. Me percent. Me célèbrent. Je suis tendue entre deux pôles, deux forces, deux hommes — l’un que j’aime, l’autre que je ne connais pas, mais dont la présence me rend plus vivante que jamais.
Ils m’encadrent, me pilonnent, me soutiennent. Je me noie dans leurs gestes, dans leurs souffles mêlés. Mon Maître gémit contre ma nuque. L’autre grogne dans mon cou. Et moi, je brûle. Je n’ai plus d’équilibre. Je tombe. Chaque va-et-vient me pousse plus près du bord de l’orgasme. Je jouis déjà sans m’en rendre compte. Petites vagues d’abord, puis une montée implacable. Je crie, je pleure, je ris presque. Mon corps éclate. J’inonde l’homme de mon jus intime qui gicle de ma chatte en longs jets. Littéralement. Ils me tiennent fort. Mon Maître m’attrape les seins et les malaxe comme il aime le faire. Enfin il me parle : me murmure combien je suis belle, offerte, incroyable ; combien il est fier et chanceux d’avoir une telle soumise, sa Sublime ! Je jouis de plus bel à ses mots … Je suis définitivement à Lui. Je le sais il est à Moi. Notre Nous me comble plus encore ce soir.
L’autre gémit plus fort. Ses mains s’ancrent à mes hanches, il accélère. Mon Maitre fait de même. Ils me déchirent … Et puis ils jouissent. Ensemble. Brutalement. En moi. Je sens leurs corps se raidir, se contracter, me remplir jusqu’au trop-plein. Je les sens se déverser en moi, l’un dans mon ventre, l’autre dans mon cul — ce lieu si sacré que seul mon Maître avait le droit de prendre…
Et moi… je me laisse emporter. Encore. Plus fort que jamais. Mon cri déchire l’air. Mon corps se tend comme un arc. Puis je m’effondre … vidée. Comblée. Brûlante. Tremblante. Heureuse. A ma place.
De longues minutes se passent.
Je sens la main de mon Maitre qui caresse mon dos. L’autre homme est parti. Je lève les yeux. Et dans les yeux de mon Maître, je lis tout. La fierté. L’amour. Et l’éternité d’un lien indécent et sacré. Je suis sienne. Infiniment.
Illustrations : Dessins de Erenish
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Une histoire pour faire plaisir à mon mael, ou le faire râler, qui sait.
Mila est féministe pure et dure. Faut pas lui parler des mecs. Elle trouve qu'ils ont le QI des poissons rouges et encore. Elle est devenue gouine, motarde et fière d'être de l'espece supérieure, les femmes. Les hommes poissons rouges doivent obéir et servir.
Mila adore sa moto, une italienne toute rouge, puissante et nerveuse. Tenir sa moto entre ses cuisses, sentir les vibrations sur son clito, cela la fait toujours jouir très fort. Enchaîner les virages, lâcher la puissance du moteur en sortie de courbes, putain que c'est jouissif. Elle a toujours la culotte trempee à moto.
Sa compagne la très jolie Louisa est une soumise, en fait une pure maso. Elle, c'est la cravache qu'il lui faut pour monter dans les tours de la jouissance.
Elles adorent prendre la route toutes les deux, Louisa serre toujours très fort les hanches de Mila sa maîtresse, son homme. Elle est un peu jalouse de la sentir jouir dans les montées en régime lorsque la moto italienne se cabre et rugit.
Le soir elles aiment se trouver un petit hôtel charmant pour baiser en amoureuses. Les hommes pouah, qu'ils restent loin. De toutes façon pour Mila, ils savent pas troncher une femme. Avec son god ceinture sans harnais, elle sait faire hurler de plaisir sa luisa.
Et les deux emmerdent l'hôtel et ses clients horrifiés. Et alors! On est gouines, on baise, et on jouit. Si cela vous dérange, nous on en a rien à foutre.
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Ma bouche est encore engourdie de ce que je viens de subir. J’ai pu sentir à quel point ce gode était long dans ma gorge, et je redoute de le sentir au fond de mon cul, que Maitresse appelle désormais «chatte » pour encore mieux imprimer dans mon esprit que je suis sa chienne. Et désormais sa pute.
Elle me tire par le collier, je peux sentir ma queue contrainte dans sa cage, sensation bizarre, entre douleur, inconfort mais aussi plaisir.
Maitresse m’allonge sur une espèce de table, les pieds qui touchent le sol, le ventre plaqué sur du bois froid, et les mains menottés au dessus de ma tête. Plus d’échappatoire je suis offerte à ses envies et à ses pulsions. Je n’ai même pas envie de m’échapper, je me sens à ma place.
« Allez on va essayer de pas t’abimer, on va lubrifier cette petite chatte ». Je remercie Maitresse et sens un premier doigt se poser à mon entrée, et doucement me pénètre puis commencer des allers retours. Me voilà déjà gémissante, je suis serrée, je le sais, Maitresse le sait aussi. Et je sais donc que je vais sentir le moindre mouvement et le moindre élargissement. Un deuxième doigt. Je gémis mais je suis en terrain connu, ce type de doigtage faisait partie de mon dressage à distance. Ma queue serrée dans sa cage, plaqueé sur la table, je sens que je mouille. Cela me renforce dans mon état de salope lubrique. Maitresse aime m’entendre gémir, elle s’en amuse et accélère le mouvement avec ses doigts. Mes gémissements s’accentuent.
« Si tu gémis autant avec 2 doigts, hate de t’entendre crier quand ca sera mon gode ». Ses mots me saisissent et font redouble ma crainte et mon impatience d’être pénétrée. Les doigts se retirent.
« Tu es ma pute… », ces mots résonnent, et le gode perfore ma chatte, sans même avoir besoin de forcer. La surprise me fait pousser un cri. C’est un peu douloureux mais c’est supportable, j’en suis soulagé. Je me sens surtout désormais comme ailleurs, je ne me possède plus, mon corps appartient à ma Maitresse et elle va pouvoir me baiser ainsi autant qu’elle le souhaite. L’humiliation est immense, mais encore une fois, je ressens aussi un plaisir rare.
Les allers retours se multiplient, les rythmes varient, la profondeur aussi. Je sens Maitresse prendre du plaisir, elle m’insulte, me mets des fessées et se livre totalement à ses envies. J’adore cela. Sentir que je suis à elle. Mes gémissements accompagnent chaque coup de rein. Je me surprends parfois à la remercier spontanément, à lui dire sans qu’elle me demande que je suis à elle, que je suis sa chienne. Je perds la notion du temps, je ne sais pas pendant combien de temps je me fais prendre ainsi. Je repense à ces actrices de films que j’ai vu dans ces situations. Je me sens encore plus salope qu’elles.
Maîtresse joue avec l'ensemble de mon corps. Ses mains agrippent mes fesses, non sans y mettre quelques coups. Puis sa main droite vient se saisir fermement de ma cage. Elle me rappelle à quel point ma nouille est à elle. Je sens son sourire sadique irradier sur son visage. Mes tétons y passent aussi. Pincés, malaxés, tirés. Maîtresse adore car cela a pour effet immédiat de me faire émettre des cris aigus. Je n'ai plus aucune forme de dignité, et elle pousse le curseur pour que mon cerveau s'impreigne de cette sensation de perdition.
Les assauts finissent par cesser. Maitresse a besoin de rependre son souffle. Moi aussi...mais j'ai à peine le temps de lever les yeux que le gode de Maîtresse vient se loger dans ma bouche.
"Allez nettoie ma pute". Cela me dégoûte, Maîtresse le sait. Mais elle me marque ainsi encore un plus de sa domination. Maîtresse de retire enfin, une fois satisfaire du travail de ma langue.
Je la remercie de m’avoir baisé ainsi, elle rigole et me dit doucement à l’oreille « ce n’est que le début »…..
A suivre
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Elsa est féministe engagée, une coupeuse de couilles de machos. Certaines personnes savent couper le feu 🔥, Elsa, elle, sait couper les bites arrogantes. Non mais, y se prennent pour qui ces mâles avec leurs couilles qui pendent et leur tuyau qu'ils astiquent en cachette, leur sperme visqueux. Peut être faudrait-il tous les castrer! Pas besoin de mâles après tout. Et puis ils ne sentent pas bon. Réduire leur population. Une extrémiste qui rêve d'un monde de femmes où, avec les progrès de la science, les femmes n'auraient pas besoin des hommes pour se reproduire. Cela s'est vu chez certaines espèces ou les mâles ont disparu. Pour Elsa c'est la preuve qu'ils ne servent à rien, sauf à se battre, faire des guerres, polluer, casser, mentir.
Markus est tout l'inverse, c'est un pur macho. Pour lui une femelle c'est fait pour tenir propre la maison, faire toutes les tâches ménagères et écarter les cuisses, et surtout la fermer. Les femelles sont pour lui inférieures et doivent obéir en tout et pour tout. Une bonne femelle doit toujours avoir le cul bien rouge pour être bien dans sa tête. Fesser les femelles sept fois par jour est un minima syndical pour lui.
Cupidon devait être complètement bourré ce soir là. Il devait sortir d'une orgie chez Dyonisos où le vin avait coulé à flots. Complètement pété le Cupidon. Il a pris une flèche et l'a envoyée dans le cul d'Elsa pour qu'elle tombe amoureuse du premier mec rencontré. Et ce fut Markus qui passait par là, mains dans les poches et clope au bec. La rue était déserte. Il n'y avait que cette femme fort belle qui se tenait les fesses. Cupidon n'avait pas fait semblant avec sa flèche invisible.
Les yeux d'Elsa et de Markus se sont accrochés. L'amour était là, puissant, irrésistible, pas aveugle, non, démoniaque. Ils se sont parlé. Ils se sont trouvés beaux. Ils se sont désirés. Markus qui habitait à deux pas invita Elsa chez lui, pour prendre un verre.
Et Elsa n'a pas pu dire non. Elle n'avait plus de jambes pour fuir. Son cœur battait dans sa poitrine en feu. Après le verre ils se sont retrouvés au pieux. Avec ses idées à la con, Elsa était encore vierge. Markus jugea bon de ne pas la depuceler par la chatte. Il savait qu'il venait de trouver sa femme et qu'il devrait l'épouser bientôt. Il préfèra garder cela pour la nuit de noces. Il passa donc par derrière et encula profond son Elsa qui ne tarda pas à bramer des orgasmes en cascade. Markus n'avait pas une bite mais un gourdin entre les jambes. Ce n'est qu'après avoir empale, écartelé, defonce, pilonne le cul somptueux d'Elsa qu'il lâcha son foutre en elle. Quelle jouissance incroyable!
Le lendemain, Elsa fit le ménage tôt le matin et porta son café à Markus qui était encore au lit. Elle avait trouvé sa juste place. A peine levé, son homme l'a prit sur ses genoux et lui a flanqué sa première fessée. Elsa a pleure de plaisir. Elle a joui sur les cuisses de Markus et a été mise au piquet, cul nu, bien rouge pour n'avoir pas demandé la permission de jouir.
Cupidon avait desaoule. Il est venu voir. Il a admiré le somptueux cul bien rouge d'Elsa . Il a pensé avoir fait du bon boulot malgré sa cuite. Ces deux là s'aimaient comme des fous, ce n'était que trop visible.
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j'ai toujours eu des plaisirs en me pinçant les tétons , j'éprouve du plaisir par les tétons , et j'arrive à en jouir si travail long et intense, quand j'étais en région parisienne j'avais un couple d'amis qui s'occupait de mes tétons le but était de ma faire jouir sans aucune action sur mon sexe , éventuellement un gros plug vibrant dans l 'anus , je finissait souvent par jouir aprés dés fois plus d'une heure de travail intensif généralement avec une éjaculation énorme. sous cette torture intense et excitation continu je pouvais subir tout jeux sexe non possible sans l'état de extréme dans lequel j'étais . (suce fond de gorge, fist)
Mais je suis en Bretagne et pour l'instant je n'ai pas trouvé de partenaire pour jouer, voir réciproque avec femme switch .
Je n'ai pas de piercing pour des raisons de discrétions intimes
N'ésitez pas à m'écrire
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Satisfaire Maitresse, satisfaire Maitresse, satisfaire Maitresse....cette pensée devient obsédante, je veux lui plaire, la rendre fère, pour qu'elle continue à me mener sur ce chemin d'aservissement que je découvre depuis quelques semaies, qui deviennet désormais quelques mois.
Cela faisait plusieurs années que j'expérimentais mes envies de soumission. Du virtuel d'abord, avec des ordres simples à réaliser, puis des choses puis douloureuses et humiliantes. Mais il fallait passer le cap, et je me suis donc lancé dans la recherche d'expériences réelles. J'ai eu la chance de rencontrer des dominatrices qui m'ont fait découvrir la réalité de la soumission. J'ai découvert alors ce qu'était une vraie fessée, la pose et le titillement de pinces sur les tétons, le sexe, la langue, mais aussi les jeux de gode et notamment le pegging...Incroyable sensation que se faire prendre fermement et de s'abandonner totalement aux coups de reins d'une femme puissante. Je me suis surpris à trouver un immense plaisir, à la fois dans l'humiliation que je ressentais mais aussi dans la simple sensation de pénétration et d'abandon. Ces expériences ne faisaient qu'alimenter mes envies et mes fantasmes. Désir d'aller plus loin, de subir davantage de coups de martinets, d'être plus fermement contraints, frustré plus longtemps et humilié plus profondément...Avec un fantasme de plus en plus présent dans mon esprit, à la fois honteux et excitant, inavouable mais dévorant : celui d'être amené par une dominatrice à sucer une vraie queue d'homme alpha. L'humiliation ultime, une forme de soumission où ma volonté disparait (je me sens profondément hétéro), où ma place de chienne prend toute la place, et où machine arrière ne sera plus possible.
C'est avec ce vécu et ces envies que je rencontrais un jour Maitresse, par une conversation web. J'ai tout de suite senti sa force, son autorité et son sadisme. Très vite je me suis soumis, je suis devenu sa chienne. Ses ordres à distances me mettaient à ma place et m'aidaient à commencer mon dressage. Ma bouche et mon cul lui appartenaient. Mon corps et mon esprit aussi. Je lui appartiens.
Je suis sa pute désormais.
Des envies encore et toujours dans mon esprit. Rencontrer Maitresse, enfin et rendre réel ma place à ses pieds.
J'imagine des situations : je me rends chez ma Maitresse, qui m'accueille, m'ordonne de me dénuder et de m'agenouiller. Elle vient poser les deux éléments matériels qui font de moi sa pute : un collier et une cage de chasteté. Je suis désormais totalement à elle, mon plaisir lui appartient. Je l'imagine rire de moi, et me faire comprendre avec ses mots que je suis sa petite chose, et qu'elle va révéler la pute qui sommeille en moi. Je sais qu'elle veut me baiser avec son gode ceinture. Je suis craintive et excitée à la fois.
Je suis a 4 pattes, je ne vois que ses jambes, et je sens qu'elle s'équipe. Elle m'ordonne de relever la tête, le gode que j'avais vu en photo paré à ses hanches. Elle plante son regard dans le mien, me sourit, me caresse le visage et soudain attrape ma tete pour loger son gode au fond de ma gorge. Un mélange de douceur et de cruauté.
- "Qu'est ce qu'on dit" ?
- "Merci Maitresse" bouche pleine et donc inaudible.
Elle m'invite alors à lui montrer quelle bonne suceuse je suis. Je multiplie les vas et viens, en essayant de m'applquer, et en prenant aussi profond que possible. J'essaie de lui montrer toute l'avidité qui réside en moi à l'idée de sucer des queues. Je me sens totalement humiliée mais je n'ai plus qu'un idée en tête : la sucer du mieux que je peux.
Cela ne suffit pas "tu voulais te faire baiser la bouche ma chienne ? Allons y alors". Elle me place contre un mur, la tête bien plaquée contre la paroi. Je sais ce qui m'attends. Je l'ai tellement vu dans des films pornos où de jeunes soumises se fait prendre la bouche ainsi, jusqu'à en avoir les larmes aux yeux, et être recourverte d'un mélange de sperme et de bave. J'ai tellement fantasmé être à leur place. J'y suis. J'ai peur. Je suis excitée. Je suis comme hors de moi même. Maitresse vient se placer face à moi, je vois son gode tout près de ma bouche. J'ouvre...et la un déferlement d'allers et venus que je ne peux que subir. Le gode vient touche le fond de ma gorge, me déclenchant des bruits et relants auxquels je ne peux me soustraire. Parfois Maitresse maintient sa queue au fond de ma gorge, en rigolant de mes yeux plein de larmes. Elle déchaine sa pulsion, m'humilie, me crache sur le visage. Je suis à elle. Elle peut me faire ce qu'elle souhaite et m'utiliser ainsi autant qu'elle le souhaite. Me voyant déjà épuisé au bout de 2 minutes, Maitresse a la clémence de m'épargner me disant que je ne suis pas encore prête pour plus mais qu'elle va me faire progresser. "Tu as bien lubrifié le gode, je vais pouvoir te baiser autre chose désormais"...
(to be continued)
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Putain avec cette canicule, j'aime bien me boire un pastis au frais sous les platanes, ces arbres bénis dans le sud. J'aime bien écrire aussi, surtout des choses sans importance. Rien n'est plus con qu'un mec ou une nana qui écrit et qui se prend au sérieux. Pour moi écrire c'est voyager, c'est explorer des imaginaires. On peut être ou bien simplement regarder. Mon conseil à tous les crétins sur les bancs d'école: écrivez, écrivez encore et toujours. Rien à foutre des fautes, du français et autres barbaries, ce sont des barrières mises en place par des démons pour vous empêcher d'écrire. Les démons n'aiment pas l'écriture. J'ignore qu'elle en est la raison, mais c'est observable.
Je suis dans le train. Je lis un " brigade des moeurs", avec la nana provoc en couverture. Devant moi une nana qui me regarde avec un air outré comme si j'étais un criminel pour lire des cochonneries pareilles. Elle me sort un Camus et me le montre bien. Heureusement que je ne suce pas une glace ou une sucette à l'anis sans quoi elle appellerait la contrôleuse pour demander mon expulsion du train. Dans quel monde horrible allons nous avec ces connes de féministes qui ont moins de cervelle qu'une mante religieuse.
Oublions cette fille en souffrance en face , dans le train, crispée sur son Camus comme une none sur sa bible....je suis de nouveau avec la maquerelle Rina. Quelle femme superbe. Ce que j'adore ce sont ses yeux. Impossible de les décrire, il me faudrait des mois pour trouver les mots. Mais une chose est sûre, il me font bander. Regarder les yeux d'une jolie femme et avoir de suite envie de la troncher. Pas besoin de regarder ses hanches, ses seins, son cul ses jambes, non, juste ses yeux.
C'est Rina qui a choisi ses putes mâles. Elle veut des vrais pros de la baise, des mecs qui aiment vraiment les femelles et bandent dur même en face de gros thons. Une pute mâle doit pouvoir se taper n'importe quel type de femelle et de la seule bonne façon, celle qui va faire jouir cette femelle. Il faut cet instinct presque carnassier et charognard. Donner du plaisir à une femme qui paie pour cela et cher.
Macleok est un bon, un pur écossais, un roux au torse puissant. Il en a une bien grosse et toujours bien raide. Il adore les femelles. Un trou est un trou. Jeune, vieille, moche, Macleok s'en fout. Il baise , defonce, empale, et fait jouir. Par contre il donne son sperme avec supplément. 50 euros la dose. Toutes les putes mâles savent faire cela, jouir sans ejaculation.
Rina refuse comme client tous les hommes, même travestis ou trans. Son bordel n'est que pour les femmes cisgenre. C'est une pro Trump ou Meloni.
La fille en face dans le train est de plus en plus outrée de me voir lire avec plaisir mon "brigade des moeurs" , avec sa pin up en bikini en couverture. Faut pas grand chose pour outrer une tartuffette me too en herbe. Je décide de vérifier ma théorie sur les pouvoirs magiques et exorcistes de l'écriture. Je sors mon stylo et commence à écrire sur les pages vierges. Il en existe toujours au début ou à la fin d'un polar. Peu importe ce que j'écris, ce qui compte c'est d'écrire. La fille d'en face a vu rouge et est partie avec ses affaires et son Camus sous le bras. Elle est allé se chercher une place ailleurs, non sans d'abord me dénoncer à la controleuse. Cela m'a fait rire. J'adore me moquer des démons et les chasser. Ne vous y trompez pas, c'est une lutte à mort.
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Un jeu incontournable dans les pratiques dites du BDSM qui peut aussi être une source de plaisir aux couples joueurs.
Les jeux de cire ou « Wax Play » pourraient tenter certains et certaines d’entre vous.
Explorons ensemble comment s'organiser cette séance.
La première règle à respecter quand on se lance dans le Wax Play est forcément, la sécurité.
L’utilisation de bougies adaptées aux jeux de cire est primordiale. Ces bougies en paraffine ou en soja, ont la particularité de fondre à une température moins élevée que les bougies dites normales
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Séance de domination de Maitresse Diana.
Il est à genoux il m’attend, ses yeux regardent le sol, buste bien droit.
Moi je me suis préparée, maquillage, perruque longue rouge, bustier gants opéra, jupe et cuissardes le tout en cuir noir.
Je sors de la chambre, mes talons ferrés martèlent le carrelage. Je m’approche de lui, je lui caresse le dos de ma main gantée, il frémit. Je m’installe sur le fauteuil croisant mes jambes.
Apporte-moi mon apéritif.
Il va jusqu’au bar à quatre pattes, se lève, prend un verre, verse le sirop de canne et le rhum, touille avec une cuillère. Il m’apporte le verre reprend sa position à genoux et attend.
Je goutte le breuvage, je lui demande de se rapprocher. Il s’exécute.
Ouvre la bouche.
Je bois une gorgé et lui crache le liquide dans sa bouche. Je lui donne une gifle, puis une autre. Il est surpris.
Trop sucré, incapable de préparer un apéritif correct. Tu ne sers vraiment à rien !
Pardon je ferais plus attention.
Une nouvelle salve de gifles pleuvent sur son visage.
Quand tu t’adresse à moi tu dois finir tes phrases par Maitresse Diana.
Pardon Maitresse Diana, je ne ferai plus l’erreur Maitresse Diana.
Nettoie mes cuissardes pendant que je fini mon verre.
Très bien Maitresse Diana
Je sens sa langue sur le cuir doux de ma cuissarde, il monte et descend tout le long.
Va me cherche ma cravache.
Bien Maitresse Diana
Il part la chercher, me la remet, je la saisie, fait tourner dans ma main gantée.
Reprend ta besogne, je vais rougir ton fessier pendant ce temps.
Il nettoie de nouveau mes cuissardes, je lui applique de petits coups de cravache juste assez fort pour rougir légèrement ses fesses. Je fini mon verre.
Déshabille-toi, ne garde rien.
Oui Maitresse Diana.
Je me lève, je vais jusqu’à la table basse où tous mes jouets sont placés. Je replace la cravache et prend un martinet long à lanière souple, mon sujet est nu, main dans le dos il attend mes directives.
Mets-toi contre le mur, les mains plaquées contre et jambes écartées
Il se place comme demander, je commence par de petite caresse, puis petit à petit les morsures du martinet se font plus intense, le dos prend un couleur rouge et des marques de lanière apparaissent sur ses omoplates.
Retourne-toi.
Je m’approche de lui, je lui pince les tétons, les tords, les étires, il gémit je souris.
A quatre pattes, je vais m’occupe de ton petit cul.
Je flagelle son derrière avec fougue, je remplace le martinet long par un cour avec des lanière plus rigides. Dès les premiers coups les lanières laissent de jolies marques, il pousse de petit crie à chaque morsure. Ces fesses sont rouge vif, je les caresse de mes mains gantées il frissonne au passage du cuir doux. Je sens la chaleur au travers de mon gant.
Je retourne sur le fauteuil.
Soumis retire mes cuissardes et va cherchez mes bottes à talons aiguilles les Gianmarco.
Bien Maitresse Diana
Je sais qu’il va subir ma pratique favorite. Il les récupère, retire délicatement l’une après l’autre les cuissardes et les remplace par ses fantastique bottes en cuir noir et talons très fin.
Je regarde son membre, il n’est pas dans la position souhaité.je le regarde, lui regarde mes bottes.
Comment veux-tu que je m’amuse si ta queue est aussi molle.
Pardon Maitresse Diana mais la flagellation…
Silence minable, ne cherche pas d’excuse tu ne sais pas la chance que tu as d’avoir une Maitresse comme moi.
Je commence à le masturber, il gonfle doucement, mes gestes sont assez lents et constants. Il ferme les yeux, je me penche et le prend en bouche. Je le sens tout de suite durcir je le mordille, puis le lèche et continue à pomper.
Voilà il est parfaitement droit, allonge-toi sur le dos mon talon a hâte de travailler ta bite
Oui Maitresse Diana
Il s’allonge s’étend de tout son long, je pose la semelle de ma botte sur son sexe en appuyant, il grimace. Je donne de légers coups de pieds dans ses testicules. Je me place au-dessus de son membre je soulève ma jambe place mon talon bien au-dessus du prépuce et l’applique dessus. Il crie, mais je maintiens la pression, je déplace mon talon le long de la bite m’en servant pour griffer la peau et je l’enfonce en le faisant vrillé, la douleur est terrible. Tout son corps bouge, je décide de piétiner tout son corps, de lui laisser de jolies petites traces rondes. J’insiste sur ses tétons, appuyant de tous mon poids.
Cela dur vingt minutes, cela m’excite je le vois grimaçant, gesticulant, poussant des cris lorsque mon talon pénètre sa chair. Je lui assène plusieurs coups de pied. Sa bite est redevenue molle, je l’écrase sous ma semelle, mon pied tourne de droite a gauche sans jamais relâcher la pression. Je le frappe avec mon talon, il essaye de se recroqueviller mais je le bloque. Quelques coups de bottes en cuir de plus et je le laisse pleurnichant sur le sol.
Je m’assois dans le fauteuil, je suis en sueur, je retire ma tenue, vais à la douche.
Sa laisse le temps à mon soumis de se remettre de ses émotions. Une fois séché je passe un body en lycra noir, mes bottes à talons aiguilles rouge, ma perruque et je retourne dans le salon. Il est toujours sur le sol, je lui tapote le visage avec la semelle de ma botte.
Va dans la chambre et prépare ma queue.
Oui Maitresse Diana
Il se relève péniblement et se rend dans le lieu demander. Moi j’enduit d’huile mes mains et avant-bras et enfile mes gants en latex rouge.
Je rentre dans la chambre il m’attend avec mon strapon à la main.
Aide-moi a bien le positionner.
Bien Maitresse Diana
Le gode ceinture est cru ainsi je peux mettre mon membre capoter pour l’occasion à l’intérieur et ainsi rester Maitresse Diana. Une fois fixer comme il faut, je lui ordonne de me sucer, il s’applique mais reste sur le bout alors je le saisi de chaque cote de la tête et le force à avaler mon gode. Il suffoque à un haut le cœur, je relâche ma pression le laisse continuer puis je le force à nouveau en maintenant la tête, mon sexe de silicone dans sa bouche au plus loin qu’il puisse avaler. Je lui ordonne de se mettre en position. Il est à quatre pattes avec un cousin sous le ventre. Je lubrifie bien mes gants et commence à violer l’intimité de mon sujet.
Un doigt, puis deux puis trois mais le quatrième est plus difficile à faire passer.
Tu n’as pas utilisé les plugs comme je t’avais ordonné.
Si Maitresse Diana mais le gros je n’y arrive pas Maitresse Diana.
Ca j’ai vu, tu n’es vraiment qu’une chochotte on est si près du fist mais tu n’as pas la volonté.
Pardon Maitresse Diana
Tu m’as mise en colère je vais t’enculer sans lubrifier mon gode.
Je retire ma main me met en position et applique le prépuce de mon jouet a l’entrée de son anus. Je force l’entrée la préparation a quand même élargie le trou du cul et mon gode-ceinture entre tous seul, je suis déçu car je pensais vraiment forcer pour entrée ma queue de silicone dans son cul.
Je décide de pilonner son cul sans ménagement, à chaque coup nos corps claque l’un contre l’autre. Il se retient de crier à plusieurs reprises. Je lui acène quelques claques les gants en latex font plus mal que ce en cuir.
Je me retire lui demande de se retourner, je vois des larmes dans ses yeux, mais il soulève ses jambes et j’enfonce de nouveau mon strapon en lui d’un coup sec. Sa queue est bien dure il aime se faire enculer, Je continue à le prendre avec des allers-retours rapides de toute la longueur de mon jouet.
Je jouie en retenue je ne veux pas qu’il voit mon plaisir, je me retire délicatement. J’enlève mes gants de latex et mon gode ceinture. J’essuis mes mains et j’enfile des gants de cuir rouge mi-long.
Je m’allonge à ses cotes le caresse, mes mains parcourt son corps alors que mes bottes sont au niveau de son sexe, le liquide pré-séminal de sa queue coule.
Tu veux jouir ?
Oui Maitresse Diana
L’as-tu mérité ?
Il ne répond pas je me penche est le masturbe lentement.
Tu aimes ?
Oh oui Maitresse Diana
Tu aimerais que je te suce ?
J’aimerais beaucoup Maitresse Diana.
Mes lèvres entourent sa queue et je pompe son sexe qui est vraiment très dure, je sens les lancements dans son membre signifiant qu’il est sur le point d’éjaculer. J’arrête de la sucer et le masturbe avec vigueur, je pose ma main libre sur son visage couvrent la bouche et le nez.
Tu ne respireras qu’après avoir éjaculer.
Et cela n’a pas été long un énorme jet de sperme sortie de sa verge et arrosa jusqu’à son menton. Je continue un peu mon va et vient, mon gant était recouvert de se liquide blanc.
Regarde ce que tu as fait, lèche petite pute, qu’il n’en reste rien.
Une fois nettoyer mon gant nous nous sommes allongés l’un contre l’autre afin de nous apaiser mutuellement.
Il me remercia pour la séance qu’il venait de vivre et se disait impatient de jouer à nouveau
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Rina trouve que les mecs sont cons, rien dans la tronche et souvent encore moins dans le slip. Les femmes sont en manque de baise dans ce pays coincé du cul avec toutes ces féministes casses couilles qui prolifèrent comme des astikettes sur une tranche de lard. Rina a le sens des affaires. Elle a flairé un bon coup. Prostituer des mâles avec 25 cm garantis pour satisfaire les femelles en manque. Hygiène, classe et surtout 200 euros les 20 mn. Rina se fait un pognon fou. Ces cons de députés n'avait pas prévu ce cas. Le proxénétisme féminin avec des mâles sur le trottoir. Enfin pas tout à fait sur le trottoir. Rina a fait classe. Elle a créé sa maison close avec jardin privatif. Ses putes mâles font le tapin en mini jupette blanche style joueuse de tennis et rien dessous. Ainsi les clientes peuvent vérifier et choisir .
Rina n'a eu aucun mal pour recruter ses putes mâles, même avec ses critères très sévères. D'abord avoir une belle bite, une costaude et puissante pour soutenir les cadences et pouvoir enchaîner les passes. Ensuite savoir bien.troncher une femme et lui donner du plaisir . C'est pas si évident de former des pros de la baise. Il faut qu'ils puissent bien bander et désirer et ce peu importe le cul de la femelle devant. Ils doivent pouvoir se taper de la grosse de la vieille, de la moche, de la guenon, de la sexy, de la coincée, j'en passe avec la même envie et remplir le job, donner du plaisir. Que des putes mâles qui aiment la femelle, peu importe sa forme, sa saveur, son odeur. Des bourreurs de trous sans état d'âme et sans sentiments . Et de la diversité dans le choix pour ses clientes. Depuis l'ephebe efféminé jusqu'au gorille poilu ou à l'homo erectus à mine patibulaire.
les affaires de Rina sont florissantes. Elle s'est adjoint les services de deux dominatrices impitoyables pour tenir son harem de putes mâles. Des cogneuses hard au fouet facile. La maquerelle sait se faire respecter.
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G. La vie de château
Avant d’entrer dans la salle des festivités elle referme les zips pour que Jean soit privé de vue.
Elle lui dit d’une voix douce « La dernière fois j’ai senti ta crainte, mais finalement tout s’est bien passé. Maintenant tu as confiance en moi ! »
Jean, répond d’une voix étouffée par le masque « Oui Maîtresse ! »
Sabine – « Alors détend-toi et suis le mouvement. Si nécessaire Martin t’aidera ! N’est-ce pas Martin ? »
Martin – « Oui Maîtresse ! »
Sabine entre en tirant fièrement ses deux soumis. Un homme habillé comme un maître d’hôtel, veste queue de pie plastron blancs, nœud papillon et gants blancs, s’avance vers eux. Sabine s’arrête, martin chuchote stop pour que Jean comprenne qu’il doit également s’arrêter.
L’homme – « Bonjour Madame, je suis Bartholomeus le maître de cérémonie ! » Il s’incline et fait un baise main à Sabine puis ajoute « Vous avez une préférence pour le placement ? » Elle est contente d’avoir le choix et jette son dévolu sur une table en bout de rangée du premier rang où Jean et Martin pourront s’agenouiller à côté d’elle et demande qu’on lui apporte deux coussins. Elle s’assied et fait mettre ses soumis à genou sur les cousins.
Petit à petit la salle se remplit de participants, maître avec soumise, maître avec soumis, maîtresse avec soumis, maîtresse avec soumise et même maîtresse avec soumise et soumis, mais personne qu’elle connait. Mais c’est la première fois qu’elle participe à une grande réunion et les seules personnes qu’elle connait sont celles qui sont venues à l’inauguration de son donjon invitées par Vanessa.
Bartholomeus revient et pose un une affichette sur laquelle est écrit Maîtresse Sabine.
Sabine – « Comment savez-vous qui je suis ? »
Bartholomeus – « Il me semble l’avoir lu sur le dos de ces messieurs. Je vous envoie quelqu’un pour vous servir boissons et nourriture. Vous préférez un serveur ou une serveuse ? »
Sabine – « comme vous pouvez le voir, côté mâle je ce qu’il faut, je préfèrerais une serveuse ! »
Bartholomeus – « Bien Madame ! »
Sabine décide d’ouvrir les zips des yeux et de la bouche sur la cagoule de Jean et en même temps Vanessa arrive.
Elle vêtue en noir de la tête aux pieds avec un chapeau comme celui de Zorro, un boléro sur les épaules, une jupe en cuir échancrée sur le côté qui laisse entrevoir des cuissardes cloutées.
Jean pense qu’il ne lui manque plus que le fouet et il est éberlué lorsqu’il voit qu’elle porte un ceinturon sur lequel sont accrochés, du côté droit un long fouet enroulé et du côté gauche un martinet en cuir. Il se dit qu’elle n’est quand même pas venue sur le dos de Tornado, le célèbre cheval de Zorro.
Les deux amies s’asseyent, Vanessa ignore les hommes mais il est vrai que ce ne sont que des soumis, des esclaves qui ne méritent aucune attention.
Vanessa à Sabine – « Çà ne te déranges pas si je m’installe à ta table ? Je ne vais pas prendre une table pour moi toute seule et tu sais que je dois participer régulièrement à l’atelier flagellation ! »
Sabine – « Tu plaisantes ? au contraire, ça me fait super plaisir ! »
Une femme aux cheveux châtains mi-longs qui ne doit pas être majeure depuis très longtemps approche et dit « Soumise Chloé pour vous servir Mesdames ! »
Sa tenue est identique à celle de la personne qui les a accompagnés jusqu’à la chambre mais avec un petit tablier blanc attaché à la taille et un petit plateau argenté accroché aux anneaux de ses tétons par des chaînettes.
Sabine – « est-ce qu’il y a du champagne ? »
Chloé – « Oui Madame ! »
Sabine – « Apporte-nous deux flûtes. Dépêche-toi ! »
Chloé – « Bien Madame ! »
Puis Sabine à Vanessa – « Tu as vu des gens que tu connais ? »
Vanessa – « Oui mais je ne les apprécie pas tous. Par-contre je vois qu’il y a Maître Keane et soumise Janey. Son vrai prénom à lui c’est Robert mais bon, pour un dominateur c’est pas terrible et sa soumise c’est Jeanne. Ils sont mariés mais, contrairement à Martin et toi, ils se sont rencontrés sur un site de rencontre BDSM avant de se marier. Ils ont fait deux cérémonies, une avec la famille et les amis vanilles et une entre amis kinks. C’est Bartholomeus qui les a unis et inutile de te dire que les tenues de mariage étaient différentes de celles du mariage vanille. Elle portait juste un voile, un collier en cuir, un porte jarretelles et des bas, le tout en blanc, mariage oblige, et rien d’autre. Je peux te les présenter ! »
Sabine – « Ils habitent loin ? »
Vanessa – « pas très loin, ils sont de la région ! »
Sabine – « D’accord, comme ça je pourrai les inviter à la prochaine séance dans mon donjon ! »
Chloé revient avec les flûtes de champagne posées sur le plateau. Elle s’incline pour permettre à Sabine et Vanessa d’attraper les verres. Ensuite elle se positionne à un endroit où elle peut voir son secteur de servitude, qu’elle partage avec un bel homme noir vêtu d’un simple short long et ferré aux pieds et aux mains comme aux heures sombres de l’esclavage. Tous deux sont en posture d’attente et doivent répondre à la moindre sollicitation des convives.
Bartholomeus s’avance au milieu de la salle et demande l’attention de l’assistance et le silence s’installe peu à peu.
« Bienvenue à toutes et à tous. Je tiens à vous remercier d’être venus si nombreux, d’ailleurs je crois savoir que nous avons battu le record de participation. Dans un instant vous allez défiler afin de vous présenter, sauf ceux qui n’ont pas souhaiter participer à ce défiler. Pour les autres, ils viendront à mon appel. Je précise que l’ordre de passage est aléatoire et ne tient pas compte d’un quelconque critère. Mais avant de commencer accueillons, sous vos applaudissements nourris, nos hôtes Madame la Marquise et Monsieur le Marquis ! »
İls apparaissent de derrière un rideau rouge tendu entre deux colonnes et s’avancent de concert vers Bartholomeus en remerciant la foule par des hochements de la tête. Lui, est grand avec un visage émacié, entouré de cheveux longs grisonnants, paraissant quinquagénaire. İl est habillé tout en cuir noir, débardeur, longs poignets de force, pantalon, santiags et des tatouages comme ceux que l’on voit souvent sur les militaires. Elle lui arrive à l’épaule, un peu boulotte avec une poitrine généreuse, des cheveux noirs avec des mèches auburn et porte une longue robe voile vert pastel.
Bartholomeus – « Un petit mot à l’attention de nos amis ?
Le Marquis – « Même si Bartholomeus l’a déjà dit, nous vous souhaitons la bienvenue et nous vous remercions d’être venus si nombreux. Cette dixième rencontre annuelle promet d’être mémorable et ce sera grâce à vous car, si nous nous occupons de l’organisation, c’est vous qui faites le spectacle. Je voudrais aussi remercier les personnes qui vont animer les différents ateliers qui se déroulent dans les salles du rez-de-chaussée sauf l’atelier attelage qui se trouve dans les anciennes écuries. Pour vous y rendre il suffit de suivre le balisage. Encore merci et amusez-vous bien. Je rends la parole à notre maître de cérémonie Monsieur Bartholomeus ! » il s’en suit une nouvelle salve d’applaudissements.
Bartholomeus – « Merci, merci pour votre accueil ! » Puis s’adressant aux participants « Je vous rappelle que si vous souhaitez à boire et à manger nos soumises et soumis sont là pour vous servir. Et maintenant place au défiler. Vous avez votre numéro de passage inscrit au dos de votre affichette, cela vous permettra de vous préparer si nécessaire. Et ceux qui vont avoir la lourde tâche de commencer sont Maître Landix et soumise Breizhadix, venez par ma gauche, vous allez jusqu’au fond de la salle ensuite vous pourrez regagner votre place ou aller où vous voulez. Mesdames et Messieurs Maître Landix et soumise Breizhadix ! »
Sabine se penche vers Jean « Aucune de tes connaissances en vue ? »
Jean – « Non Maîtresse ! »
Sabine – « Alors bas les masques ! » Elle lui enlève son masque, met un collier en cuir qu’elle sort d’un petit sac à la place et raccroche la laisse.
Vanessa – « Tu as besoin de ton sac ? »
Sabine – « Non. Pourquoi ? »
Vanessa – « J’ai un casier qui ferme à clé dans mon atelier, tu pourras le récupérer quand tu voudras ! »
Sabine – « J’ai le numéro 25 on a le temps ! »
Vanessa – « Oui, mais il y a des gens qui vont se disperser un peu partout et je dois être présente dans mon atelier à ce moment-là. Quand vous êtes passés venez me voir il y a un buffet, on pourra manger ensemble ! » Elle se lève, dit bon courage à Jean sans oublier le surnom qu’elle lui a donné « Petit chou » puis sort discrètement de la salle en emportant le sac de Sabine tout en faisant un signe à Keane et Janey pour leur faire comprendre qu’il fallait qu’ils viennent la voir. Keane fait un signe de la tête pour montrer qu’il a compris.
En attendant son tour Sabine regarde défiler les autres. Elle a un stylo et un calepin où elle inscrit les noms des personnes qui l’intéressent et elle verra plus tard si elle peut en inviter certains chez elle. Elle a également commandé une flûte de champagne pour elle et un verre d’au fraîche pour Jean et Martin car elle ne veut pas qu’ils défilent avec la gorge sèche.
Jean observe avec attention le comportement des personnes qui défilent afin d’en apprendre le plus possible.
Cette fois c’est à eux de défiler, Sabine rattache leur main qu’elle avait libérée pour qu’ils puissent boire et ils s’avancent devant l’assemblée. Elle s’arrête de temps en temps leur donne l’ordre de se mettre de chaque côté d’elle, de mettre un genou à terre et de baisser la tête en signe d’hommage et de soumission. Ensuite ils sortent pour aller rejoindre Vanessa. Cette dernière est seule dans la salle flagellation ne train de tapoter sur son téléphone portable.
Sabine – « Eh bien, la maîtresse fouetteuse n’a pas de clients ? »
Vanessa – « Non. Heureusement on va pouvoir aller manger un morceau. Je suis affamée ! Le buffet est juste à côté ! »
Sabine détache les mains de ses soumis pour qu’ils puissent se servir à manger, leur désigne une table ou ils devront s’asseoir tandis que Vanessa et elle mangeront à une autre table.
Une fois attablés Martin demande à Jean ce qu’il pense de ce début de programme.
Jean – « Pour l’instant il ne s’est pas passé grand-chose mais je suppose que ça va venir. Par contre je suis étonné qu’il y ait autant de monde ! »
Martin – « Mais toi, comment tu te sens ? »
Jean – « D’avoir vu d’autres personnes passer avant nous m’a un peu rassuré, mais j’avoue que j’avais un peu honte d’être exhibé devant tous ces gens que je ne connais pas ! »
Martin – « Tu aurais préféré être devant des gens que tu connais ? »
Jean – « Pas des gens que je connais à mon travail, mes voisins, les commerçants de mon quartier, mais des gens que je connais dans le milieu BDSM, oui ! »
Martin – « Et tu connais combien de gens dans le milieu BDSM ? »
Jean – « Que trois, je sais ça fait peu ! »
Martin – « Tu sais, c’est la première fois que je défile devant des inconnus. Je n’en ramenais pas large non plus mais je suis fier de l’avoir fait et j’en ai même pris du plaisir. Dans ma tête je leur disais – Vous voyez je suis soumis à Maîtresse Sabine et j’en suis heureux – et puis tous ceux qui sont ici le sont pour la même chose. Un jour j’aimerais le faire devant des gens qui ne sont pas pratiquants du BDSM ! »
Jean – « Tu as raison. İl faut que je me conditionne et que je me concentre sur ce que j’ai à faire sans à priori ! »
Martin – « Tu n’as pas fantasmes ? »
Jean – « Je ne sais pas si ce sont des fantasmes mais j’ai envie de tester certaines situations ou d’aller plus loin dans d’autres. Mais je préfère que ce soit en petit comité ! »
Martin – « Oui, bon, on verra bien ce que Sabine nous a concocté surtout avec la complicité de son amie qui est une sacrée vicieuse ! »
Jean – « Attention elles arrivent ! »
Sabine – « Aller debout, on y va ! »
Elle leur refixe les mains à la ceinture ventrale, attrape les laisses et tout le monde retourne vers l’atelier tenu par Vanessa.
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Retour de Notre bulle du 20 juin…C’est sur cette photo que J’ai d’abord envie d’écrire Mon Loup si Tu veux bien.
J’y vois l’abandon, Mon abandon.
Je pensais que Ma semaine de vacances M’avait permis de prendre du recul sur certaines choses. J’avais juste envie d’être gaie, joyeuse, de profiter de Nous sans penser à tout le reste.
J’ai toujours un peu d’appréhension sur la réaction de Mon corps aux impacts. Comme une peur de ne plus aimer autant. Mais J’avais pu constater les dernières fois que ça revenait sans difficulté. Donc Je n’étais pas inquiète, plutôt détendue et très impatiente de Te retrouver.
J’étais bien dans ce début de soirée. La sortie au Centre Pompidou avait été vraiment agréable. Déambuler ensemble au milieu des œuvres. Se toucher, reprendre contact, se retrouver doucement. Puis le resto comme Je les aime : simple, très bon, une belle terrasse, une discussion agréable, fluide. Une bulle magique.
Ce moment devant la cathédrale ensuite. Au milieu de la foule, enlacés, comme s’il n’y avait que Nous, que Tes mains sur Moi, que Ton dos contre Moi…que Toi, et Moi, et Nos envies, Nos besoins d’être ensemble. Notre connexion physique retrouvée.
Et puis…Je ne sais pas. De retour à l’appart, Je ne suis pas là, pas vraiment. Dans Mon brouillard là haut, pas dans Mon corps. Pas avec Toi. J’ai essayé de raccrocher, de revenir là…impossible.
Je ne sais même plus exactement ce que Tu M’as dit quand Tu as réalisé que ça n’allait pas. Ce qui est sûr c’est que Tu l’as verbalisé avant Moi…comme toujours.
J’avais besoin de lâcher, malgré Moi, toute cette pression, toutes ces difficultés…Je ne voulais pas parasiter Notre moment…Mon corps en a décidé autrement.
Tu as pris le temps de Me forcer à sortir tout ça de Moi, d’accepter de ne pas M’en vouloir, de prendre aussi cette place de Dhom auprès de Moi : prendre en charge pas que les côtés faciles. Pas que les côtés plaisir, amusement.
Cette photo, le lendemain, illustre ça : le dépassement de ce moment qui aurait pu être bloquant. Ta compréhension, Ton accompagnement de chaque moment, de chaque difficulté rencontrée, Ton envie de dépasser cela ensemble, à deux.
Et Mon acceptation de Te donner aussi cette clé là, d'accepter de ne pas toujours être performante, d’être dans le down malgré Mes efforts et Mes envies.
Ne pas toujours être au top peut sembler simple, dérisoire ou évident aux yeux de certains. Mais on partage tellement peu de moments physiques que c’est difficile d’accepter de ne pas être au top ce jour-là, de le gâcher d’une certaine façon.
Mais finalement, ça ouvre sur d’autres liens, d’autres connexions, vers une compréhension et une complicité encore plus fortes.
Et cette photo est parfaite pour ça : Je Me laisse aller et Tu es là.
#photoperso
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F. Samedi ç’à me dit
Ce samedi annonce un week-end ennuyeux. Jean regarde par la fenêtre qui déverse un flot de larmes s’écoulant lentement le long de la vitre pour finir par disparaître en laissant la place aux suivantes. L’horizon lui rappelle ce poème de Charles Baudelaire « Brumes et pluies » qui fait partie du recueil « Les fleurs du mal » et récite la première strophe.
Ô fins d’automne, hivers, printemps trempés de boue,
Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue
D’envelopper ainsi mon cœur et mon cerveau
D’un linceul vaporeux et d’un brumeux tombeau.
Il fait le lien avec ces dominatrices qu’on aime et loue de prendre possession de notre corps et de notre âme en nous enveloppant à la fois de douceur et de douleur.
Soudain il se souvient que ce week-end il y a des sports mécaniques, et vu le mauvais temps, il va passer tout ce temps devant son poste de télévision.
Lundi, Jean part pour le travail, Le ciel est bleu, le soleil est radieux et Jean fredonne la chanson de Claude François
– Le lundi au soleil –, il pense aux lignes du programme informatique qui lui posent problème, il va probablement devoir vérifier l’algorithme. Bref, après ces deux semaines intenses en découvertes et émotions insoupçonnées, sa vie a repris un cours normal, il n’oublie pas ce qui est prévu le samedi prochain mais le voit un peu comme s’il était prévu une soirée cinéma entre potes.
Des potes ? Il en a peu et ils sont tous éloignés géographiquement et il ne cherche pas à se lier d’amitié avec ses collègues de travail car il ne veut pas mélanger sa vie professionnelle et sa vie personnelle, mais cela ne le dérange car, depuis son divorce suivit d’un changement de travail et de région, il est plutôt du genre solitaire.
Finalement, le fait d’avoir rencontré Sabine et Martin ainsi que Vanessa et, peut-être bientôt, d’autres personnes partageant une même passion va donner un autre sens à sa vie.
Mardi, il reçoit un texto de Sabine Toujours ok pour samedi ? il répond Oui bien sûr et dans la foulée il reçoit un nouveau texto Ok alors rdv chez moi samedi à 10h00. Jean commence à bien connaître Sabine et il sait qu’il a intérêt à être à l’heure.
Les jours qui suivent il se concentre sur son travail car il a encore des pages et des pages de code à écrire pour faire fonctionner la partie du logiciel qu’on lui a confiée.
C’est vendredi soir et c’est après être rentré chez lui qu’il se dit que le lendemain va encore être un jour plein de découvertes et de surprises.
La première surprises sera ce que Sabine a prévu pour lui. D’abord la tenue mais certainement aussi quelques surprises sorties de son imagination machiavélique.
Samedi matin 8h00, le réveil sonne. Jean se dit qu’il a bien fait d’activer la sonnerie car il dormait à poings fermés. Il arrête cette horrible série de bips et se lève aussitôt de peur de se rendormir. Il boit un café et va dans la salle de bain. Il se rase le visage de près car il ne sait pas à quelle heure les festivités vont se terminer et il ne veut pas avoir le poil hirsute en cours de soirée. Il décide aussi de se raser le pubis car il se souvient que quand Sabine lui avait mis la cage de chasteté des poils s’étaient coincés dans le système de fermeture et se sont arrachés et ensuite avec le frottement il avait eu des irritations. Il ne sait pas si elle va encore l’encager mais il vaut mieux prévenir que guérir. Donc il va sous la douche avec mousse et rasoir, il se rase avec minutie évitant de se couper puis prend une douche. Il enfile un caleçon et met un costume car on ne va pas au château du marquis habillé en jean et blouson, par contre il ne met pas de cravate. Après tout Sabine ne lui a pas parlé de dress code. Il regarde l’heure, il est bientôt 9h30, Il avale un autre café en vitesse et part.
Il arrive à l’heure, Martin lui dit de mettre sa voiture dans le garage et qu’il l’attend. Les deux hommes se disent bonjour et Martin demande à Jean de monter à l’avant côté passager et que Sabine ne va pas tarder à arriver et s’assoie derrière le volant. En effet Sabine arrive avec un grand sac de voyage à la main, le pose sur la banquette arrière et s’assied derrière Martin et précise qu’il y a deux heures de route pour aller au château et qu’elle veut arriver parmi les premiers pour avoir le choix de la place.
En cours de route ils parlent de banalités puis Sabine demande à Jean s’il n’est pas trop anxieux et il répond par la négative.
Sabine – « Aujourd’hui tu vas découvrir ce qui, pour toi, sera un nouveau monde que tu pourras observer mais aussi dans lequel tu devras t’intégrer et prouver que tu es un bon soumis si tu veux influer sur ma décision ! »
Jean ne dit mot, Il sent le regard insistant de Sabine sonder son cerveau, comme si elle entrait dans sa tête pour aller manipuler ses neurones, l’amenant au bord de l’évanouissement. Voyant qu’il est tout pâle elle lui caresse la joue avec le dos de sa main et lui dit « Ne t’inquiète pas je suis sûre que tout va bien se passer ! »
Le reste du trajet se passe en silence. Sabine jubile de l’emprise qu’elle a sur Jean qui petit à petit reprend des couleurs.
Martin empreinte une petite route, après deux ou trois kilomètres la voiture traverse un pont en pierre, où deux véhicules ne peuvent pas se croiser, qui enjambe un cours d’eau puis quelques centaines de mettre plus loin entre dans un bois. La route de vient de plus en plus pentue et serpente entre les arbres lorsque Jean aperçoit à travers une trouée de la forêt un château fort sur un piton rocheux à flanc de colline. Jean s’attendait à un château style XVIIème ou XVIIIème siècle, se trouve en contrebas d’un château médiéval. Ils passent sous un grand porche et pénètrent dans une cour pavée, un homme en habit de laquais anachronique avec le lieu leur fait signe de s’approcher. Il demande poliment le nom des arrivants, regarde la liste sur sa tablette, acquiesce et leur dit d’avancer jusqu’au tapis rouge déroulé devant l’entrée du bâtiment principal. Il y a des échafaudages positionnés à différents endroits et Jean se dit que la rénovation et l’entretien doivent coûter une petite fortune. Deux hommes en costume contemporain se tiennent devant une grande double porte en bois aux lourdes ferrures. L’un d’eux accoure pendant que les occupants du véhicule en descendent, Martin remet les clés de la voiture à l’homme, Jean propose à Sabine de prendre le sac de voyage mais elle refuse de lui confier. L’autre homme ouvre la porte et les invite à entrer dans un corridor.
Une jeune femme avec de longs cheveux blonds tressés en queue de cheval, vêtue d’un corset qui met sa poitrine aux tétons annelés en valeur et retient des bas noirs grâce à ses jarretelles les accueille avec déférence et les invite à la suivre. Elle ne porte pas de dessous et Jean constate qu’elle a également des anneaux au sexe. Sabine demande à Jean de passer en premier puis c’est au tour de Martin et elle en dernier. Ils la suivent dans un escalier en colimaçon tout en pierres de taille mais Jean a les yeux rivés sur la croupe de leur guide dont les fesses aux formes parfaites se dandines au rythme des marches. Ils arrivent sur un palier et la jeune femme leur montre la porte de droite et dit que c’est derrière cette porte que les cérémonies ont lieu et que de l’autre côté en prenant le couloir il y a les salles d’ateliers. Jean remarque que le couloir est éclairé par des flambeaux accrochés au mur et inclinés, avec des lampes électriques en forme de flamme. Ils gravissent encore les escaliers éclairés par les mêmes flambeaux, ce qu’il n’avait pas vu avant tellement il était hypnotisé par le fessier de la jeune femme et arrivés à l’étage elle leur montre leur chambre et prend congé.
La chambre est spacieuse Il y a un grand lit à baldaquin avec des peaux de bêtes autour, une table de nuit et un fauteuil de chaque côté mais, le lit a beau être grand Jean se dit qu’il n’est pas possible d’y dormir à trois, il voit une autre porte et pense que ce doit être sa chambre. Il y a aussi un bureau écritoire et deux fauteuils, une grande armoire rustique, Sabine met le sac à l’intérieur, en sort un autre sac plus petit puis ferme l’armoire avec une clé qu’elle garde dans la main et dit « Je vais voir la Marquise, pendant ce temps vous faites une toilette complète ! » puis elle sort.
Martin à jean – « Elle a pris le sac avec ses affaires, elle a dû aller dans la chambre de Vanessa pour se préparer. Viens je t’explique ! » Il ouvre la porte, allume la lumière, Jean voit que c’est un coin toilette, donc ce n’est pas sa chambre.
Martin – « Lavabo, douche et dans le coin il y a un bidet et les wc. La toilette complète c’est ce que tu as fait le premier soir au donjon. Le bidet est muni d’un flexible au bout duquel tu vas fixer une canule jetable, il y en a dans cette boite et là sur le mur tu as un robinet gradué, c’est pour régler la température à trente-six degré qui est celle du corps. Tu laisses couler le temps d’évacuer l’eau froide, le débit est préréglé pour éviter une surpression qui poserait problème. Lorsque tu as fini tu remets la canule dans son emballage et hop, poubelle. C’est bon ? » jean opine et Martin passe en premier pendant que Jean attend dans la chambre en admirant le paysage sauvage qui entoure le château.
Au bout d’un moment il ressort avec pour tout vêtement une serviette de bain autour de la taille et Jean va à son tour dans le coin toilette.
Lorsqu’il sort, lui aussi avec sa serviette autour de la taille, Martin regarde également le paysage et dit « Tu as vu la petite cascade là-bas ? Et puis là il y a un rapace ! »
Jean – « Vous êtes déjà venus ici ? »
Martin – « C’est ici que nous avons été formés. Une relation D/S, pour être harmonieuse, fait appel à différents codes que nous ne connaissions pas. Passer du fantasme à la réalité n’est pas une chose simple. Nos débuts ont été compliqués, on ne se comprenait pas. Puis, sur les conseils de Vanessa, je crois, Sabine a eu une formation ici auprès du Marquis et de la Marquise. Le Marquis forme les dominateurs et la Marquise forme les dominatrices. İls forment également les personnes soumises et ont aussi leurs propres soumis et soumises, celle qui nous a accompagnés ici doit en faire partie. Ensuite nous sommes venus tous les deux pour mettre en pratique ce que Sabine avait appris et notre relation a pris une autre dimension. Par contre c’est la première fois que nous participons à une telle réunion à laquelle participent même des personnes venues de l’étranger ! »
La porte s’ouvre et Sabine entre et demande « C’est bon ? Vous avez terminé ? »
Ils se retournent, elle porte une combinaison noire en latex, la fermeture zip entrouverte laissant entrevoir le haut de ses lobes mammaires, de longs gants en latex rouge, elle est perchée sur des talons aiguilles rouges tellement hauts que les cigognes d’Alsace en pâliraient de jalousie. Ses longs cheveux noirs sont tirés en arrière, maintenus par un anneau doré pour les faire retomber en queue de cheval qui descend jusqu’au milieu du dos et couronnés par un diadème du même ton. Un maquillage qui agrandit ses yeux et lui donne un air tellement sévère que même le plus grand tyran de la planète ramperait à ses pieds.
Les deux bougres en ont le souffle coupé, même Martin ne l’avait jamais vue comme ça.
Sabine – « Je vous ai posé une question ! »
Martin bredouille « Oui Maîtresse ! » et Jean l’imite aussitôt.
Sabine – « Alors inspection ! » Martin enlève sa serviette, la jette plus loin et prend la position, suivi par Jean.
Elle ouvre l’armoire, sort des gants de chirurgien du sac, elle les enfile et les lubrifie puis va se positionner derrière eux. Elle introduit ses majeurs en même temps dans le rectum de ses deux soumis qui sursautent en même temps, elle fait quelques allers et retours tout en s’amusant à bouger le doigt et remonter ses bras ce qui les fait mettre sur la pointe des pieds et pousser de petits râles, elle frémit de plaisir. Elle retire ses doigts d’un coup sec, observe les gants et dit « C’est bon, vous pouvez m’enlever ces gants et les jeter ! »
Elle se dirige vers l’armoire, sort le sac et le pose sur le lit. Elle prend la cage de chasteté de Jean et remet son sexe en prison, ensuite elle lui tend le slip spécial acheté chez Nanette pour qu’il l’enfile et met l’oiseau de son mari également en cage, elle les regarde, et narquoise, elle dit en se moquant d’eux « Zut, j’ai oublié les os de seiche ! » elle a envie de les tripoter histoire de réveiller les bébêtes mais elle s’abstient, elle a de nombreuses heures pour s’amuser avec eux devant toute l’assistance. Ensuite elle leur tend des bottines en tissu noir à laçage avec des semelles épaisses qu’ils s’empressent de chausser.
« Ce n’est pas fini » dit-elle et elle sort deux ceintures abdominales en cuir munies d’anneaux qu’elle ajuste sur chacun d’eux, elle leur pose des menottes assorties à la ceinture puis relie chaque menotte à la ceinture avec un tige d’environ 20 centimètres qui se terminent par des mousquetons.
Elle fait quelques pas en arrière se met à rire « On dirait deux frères jumeaux ! Mais ce n’est pas tout ! »
Elle est comme une petite fille qui joue à la poupée.
Elle pose un collier avec une laisse à Martin et sort une cagoule en cuir avec des zips au niveau des yeux et de la bouche, elle l’enfile sur la tête de Jean, l’ajuste, serre les lacets qui sont à l’arrière et fait un nœud puis attache la laisse à l’anneau qui se trouve à l’avant au-dessous du menton puis dit à Jean « J’ai décidé de te mettre une cagoule afin qu’on ne te reconnaisse pas dans le cas où il y aurait des personnes de ta boite présentes. Je sais qu’il n’y a pas longtemps que tu as été embauché et je ne veux pas que tu ais des problèmes ! »
Jean - plein de gratitude « Merci Maîtresse ! »
Enfin elle sort un feutre spécial tatouages et leur demande de se mettre de dos sur lesquels elle écrit Propriété de Maîtresse Sabine. Des fois que quelqu’un veuille lui en voler un. Elle vérifie que les zips des yeux sont bien ouverts sur le masque de Jean car elle ne veut pas qu’il chute dans les escaliers puis elle attrape les laisses avec sa main gauche et ils sortent de la chambre, Sabine passant en premier.
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-Valeri, votre épouse est perse, que diriez vous de quelques jours de vacances avec elle en Iran ?
- Vous ne manquez pas d'humour camarade Président. J'accepte avec plaisir.
- Toutes les instructions sont dans cette enveloppe. Tenez moi au courant.
Le vol pour Téhéran se fait dans le jet privé de la redoutable milice Stalin. Le général Valeri, en plus de son épouse, la sublime Roxane, emmène avec lui du lourd. Un commando d'élite équipé du dernier matériel de la guerre du XXIe siècle et aussi quelques tout nouveaux robots de combat.
Il est aussitôt conduit vers une base secrète située sous une montagne, près de la capitale. Tout est très calme et climatisé. Un monde irréel, totalement futuriste, presque comme une base lunaire ou martienne. Il est reçu par le général Tarash.
- Bienvenue Général Valeri. Notre plan fonctionne. Bibi s'énerve et a réussi à forcer la main de Donald.
-j'ai une malette pour vous. Un cadeau de notre camarade Président. Nul doute que vous allez en faire un bon usage.
- Venez, je vais vous faire visiter et vous montrer vos quartiers.
Pendant la visite, Roxane est époustouflée. Elle ignorait que son pays avait une telle avance technologique.
Le soir, dans la chambre, taillée à même le granit, elle se love dans les bras de son époux.
-Pourquoi m'as tu caché tout cela ?
-Rien ne devait filtrer. Bibi à mordu à l'hameçon. Cette guerre ne fait que commencer. Mais oublions cela. Sers moi une vodka bien glacée. J'ai très envie de toi.
- Ce qui me gêne ce sont ces deux robots androïdes devant la porte. Il voient et enregistrent tout.
- Ah, Michka et Grichka....mais j'ai prévu une surprise pour toi. Tu sais...je les commande par la pensée.
Michka et Grichka empoignent Roxane.
-Meux que des liens , tu ne trouves pas ?
Valeri sort son couteau commando et coupe en deux la robe de sa femme. Elle est nue. Offerte. Les yeux brillants. La bouche humide.
-tu ne vas pas me faire enculer par un robot tout de même.
- non mais il vont s'occuper de toi pendant que je bois ma vodka.
Roxane se retrouve cul nu sur les genoux de Michka et reçoit une superbe fessée. Elle a beau être maso, elle gemit. Ce con d'androide ne fait pas semblant. Roxane hurle à présent. C'est Grichka qui lui triture la chatte, le clito et les tetons. Elle jouit et ruisselle.
- plus les robots, viens prend moi, je n'en peux plus. Defonce moi.
Valeri ne se fait pas prier. Il sort son gros pieu et defonce d'un coup le cul somptueux de sa femme.
Puis il sort son tel et prend une photo.
-Tu es trop belle avec ton cul tout rouge et qui dégouline de sperme. J'en envoie une à Bibi, et une autre à l'extraterrestre Elon. Sur ma ligne directe sécurisée.
- et tu leur joint un commentaire ?
- ce n'est pas nécessaire. Ils se feront eux même leurs propres commentaires.
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Cela s'impose toujours à moi alors que je fais d'abord tout autre chose. Déjà mes vêtements sont par terre, ma culotte sur les chevilles. Il faut que j'aille les voir. Je les range dans un de mes placards de ma salle de bain. Ils sont de tailles, d'épaisseurs, de diamètres et de formes différentes. Avec des bouts d'abord faciles à introduire, ils vont s'élargissant en circonférence. j'aime le premier contact visqueux sur mes doigts du lubrifiant qui prépare mon anus, mon trou se forme et se dessine de mieux en mieux, je le contemple souvant dans le miroir, petite fente molle en étoile. Je sens que je bande dedans. C'est un afflux de sang qui fait battre à l'intérieur mes parois sensibles. Se réveille alors ce que nous les travestis appelons en rêve éveillé: une chatte, éldorado de chair perlant de rosée. Je ne me masturbe plus que comme une fille, les sensations se sont réfugiées sur toute la partie du gland, réagissant et vivant désormais exactement comme un clitoris. Je le malaxe entre mes doigt dans un mouvement circulaire, en salivant d'envie sur mon écran d'ordinateur, devant des vidéos de salopes suspendues et balancées dans un garage, les mains attachées dans le dos, dilatée par des gros godes, le paddle du bear master frappant le trou qui s'ouvre, jusqu'à l'orgasme. Quand je jouis en regardant une bite bien large sur mon écran ma tête part en arrière, dans mon cul une onde, plusieurs ondes me pincent délicatement, le plaisir vient de cet endroit en arrière de mes fesses, dans la partie la plus mystérieuse de mon corps. Mon cul exulte, mon cul réagit comme s'il se dilatait lui-même, sans que rien ne vienne lui apprendre ou le forcer à s'ouvrir. Je reste ébahie devant des images du net, la crudité implacable des scènes pornographiques me fascine. Une croupe posée au bord d'un tabouret de bar dévoile une moule de trav, une moule déssinée en abricot qui s'étale, s'exposant elle -même, comme si elle voulait aspirer tout ce qu'il y a autour, tandis que les testicules par l'exigence de la position se retouvent tirées en arrière et que la petite hampe à peine érectile va droit vers le sol. La moule de la sissy en lèvres disjointes est dehors, elle prend l'air, s'expose à la vue. La croupe est haute par le cambrure qu'impose l'assise au maximum du bord du tabouret. Une paume peut venir plaquer la chair par en dessous, la palper pour évaluer sa forme et sa texture, comme on tâte un fruit à l'étalage au soleil de midi. L'ambiance est feutrée les hommes sirotent leur coktail. Il y en a toujours un, le plus obscène, qui aime se servir sans demander, qui a reluqué d'abord en disant à l'oreille de son pote des choses que personnellement j'aime entendre, quand je me sens dans cet état où je veux que mon cul ne soit plus à moi mais à celui-là justement, physiquement quelquonque, mais trapus, bedonnants mais costaud, se foutant royalement de la dictature contre le poil, pour laisser comme un jardin abandonné ses couilles hirsutes se recouvrir de noirs et gris, avec un supplément à la base de sa grosse queue, bite bleue veineuse, rose musclée, avec cette petite inclinaison vers la gauche ou vers la droite et cette légère différence d'épaisseur au bon endroit. Une bite lourde, invasive, capable de forcer le fond pour gagner encore de l'espace, pour inviter la femelle à se distendre encore. Il faut qu'elle soit accueillante pour le mâle qui sait sans violence obtenir d'elle le territoire dont il a besoin, collant fortement son gland dur pour forcer l'ouverture du fond, tout au fond d'une chienne rendue chienne pas l'abstinence qu'on lui impose, avec sa petite cage qui réduit son petit bout et son érection. Le plaisir migre alors vers l'ampoule enrichie de terminaisons nerveuses. Trou qui apelle, qui espère, trou dilaté par ce qui s'est trouvé sous la main, trou béant qui transpire et mouille la chaise, la canapé, le drap du lit. Le soir avant de m'endormir j'écarte doucement, je vérifie l'ouverture, je me rentre facilement un ou deux doigts. Quand je marche dans la rue je le sens, je sens que les bords de mes lèvres anales se frôlent. Je commence toujours par un gode plus fin alors qu'il est déjà assez imposant. Le premier instant où il vient buter contre le fond me donne une sensation d'excitation intense, j'ai de l'eau dans la bouche que je laisse couler sur ma poitrine. J'éffleure mes tétons et ça me vrille un peu la tête. Je ne peux m'empêcher de lorgner sur le deuxième qui a la forme bombée d'une bite de chien, avec une partie plus enflée. J'imagine parfois en me touchant toute excitée que j'en laisse un s'approcher, j'imagine le goût que doit avoir son bout rouge sortie d'un fourreau noir, j'imagine une langue deux fois plus grande que la mienne dans ma bouche et par derrière entre mes fesses, j'imagine la sauvagerie, la virulence des coups rapides et maladroitsla coulure après l'immobilité, la sortie qui libère le blanc onctueux, preuve que la femelle s'est laissée prendre malgré la crainte, curieuse de la sensation jamais connue avant, toujours fantasmée. j'en viens assez vite à chaque fois au plus gros gode. Je me dispose au dessus pour qu'il entre en moi en me faisant le moins mal possible, en respirant et en touchant ce qui est devenu un clito ultra sensible. Le bout m'ouvre déjà beaucoup rien qu'au commencement, je sens mes chairs s'écarter, je le ressors et ajoute de la matière liquide et transparente. Je le plante sur le mur de ma salle de bain vers le bas en me servant de l'effet ventouse, cela me permet de m'approcher et de positionner mon cul. En me regardant dans le miroir je me vois salope, il y a un moment que je n'ai pas joui et mon gland-clito me brûle de désir, je m'empale en abaissant mon point de gravité, le regard vers le sol. En accentuant ma cambrure je vais chercher le meilleur angle. Je sursaute un peu car une portion du morceau est rentré un peu brusquement, mais j'ai une telle sensation de remplissage que je sors la langue et pousse ma croupe en arrière pour en avoir plus. je plains ceux qui ne savent pas qu'ils ont une chatte, une chatte qui ne demande qu'à s'épanouir, distendue par le désir. J'ai envie d'être ouverte, mon gode de 9 centimètre de diamètre ne rentre qu'à moitié. Par instant je me retire, il sort, et je sens pour quelques secondes que mon trou conserve sa petite béance. Je recommence et je vais jusqu'à essayer de m'assoir, c'est douloureux, mon trou ne sait pas comment se trouer plus, se trouer mieux, pour s'évaser, s'ammolir, s'avouer vaincu. J'ai envie d'avoir un cul de pute vaincu par le gros morceau, je me sens être une grosse pute déformée par le gode, je le ressors, je tiens mes tétons entre mes doigts. Je reprends le gode et le tiens à deux mains pour le rapprocher de mon visage et l'accueillir entier dans la bouche, comme je peux, pour voir à quel point mon trou doit s'écarter. Je me sens salope de sucer mon gode comme ça, sorti de ma chatte. Ça se voit voit dans le miroir que je suis une salope, tout le monde devrait le savoir, on devrait se passer le mot et frapper doucement à ma porte en sachant très bien que je vais ouvrir. Il coule de ma chatte le gel accumulé, j'y retourne, je pose le gros gode sur la cuvette fermée de wc, et je descend mon cul en me laissant un peu tomber. Avec le poid du corps cettte grosse bite s'enfonce, je voudrait m'assoir totalement relachée, mais c'est trop, j'ai peur de me déchirer. Je sens en même temps que j'ai très envie d'avoir une grosse chatte, alors je force mon fond, je le défonce un peu en haletant. Par instant j'ai des éclairs de pute en rut, je force d'un coup en me laissant tomber plus fort, presque entièrement, et j'attends. Je reste assise comme ça, alors que s'élargit douloureusement mon fond de cul. Mon cul a tellement envie. Je suis une salope, je le vois bien, je vois dans le miroir que j'ai des yeux de cochonne qui implore la bite. Je voudrais que l'on me voit, que l'on entre et que l'on me surprenne au moment où je m'ouvre le cul en tirant la langue. Je voudrais que quelqu'un ou quelqu'une attrape le gros machin et me fouille le trou en me disant des choses. `Je voudrais qu'ils viennent souvent, tous les jours, pour que lorsque je marche dans la ville, dans le tram, sur le trottoir, ma chatte dans ma culotte soit molle,je sens alors les grosses lèvres de ma chatte éprouvée par la dilatation. J'imagine l'on me rapelle souvent que c'est l'heure, que c'est l'heure d'être une chienne béante, une chienne que l'on flaire et que l'on prend par besoin naturel, en journée dans la chaleur, derrière un buisson, derrière une dune, sur une aire de repos. Mon trou s'élargit et pendant qu'un monsieur fouille ma bouche avec sa langue j'ai des frissons, je tressaute, ma chatte s'ouvre et se contracte, je sens venir comme une vague, une crampe, une tension qui remonte en raclant mon trou, je jouis des seins, des hanches, je jouis des reins, mon cul a dijoncté, je ne sais plus où je suis, où je vais, je ne sais plus si la bite que j'ai dans la bouche a encore besoin d'y rester, je suis en train de me faire défoncer avec un gros gode en plein jour, sur le bas coté d'une route de campagne, j'entends des voiture qui passent et je jouis, les voitures passent et les gens à l'intérieur ont à peine le temps d'apercevoir une femelle à 4 pattes, godée sur le bord de la route par un homme déterminé, je jouis, et je ne sais pas quand cela va s'arrêter.
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Bronco et Bianca – L’Exorcisme du Fouet
Ils n’utilisaient plus de simples prières.
Ils n’élevaient plus seulement la voix.
Bronco et Bianca avaient compris que les démons d’aujourd’hui s’enracinent dans le désir.
Ils se logent dans la honte, le plaisir caché, la peur de soi.
Alors pour les déloger, il fallait descendre plus profond. Là où la religion n’ose pas regarder.
Leur chambre d’exorcisme ressemblait à une cellule monastique croisée avec une geôle médiévale.
Un lit de pierre nue.
Des chaînes bénies à l’huile sainte.
Des cordes tressées avec des psaumes écrits en latin du désert.
Et au centre, une croix inversée, non pour blasphémer, mais pour rappeler que la descente est parfois le seul chemin vers la lumière.
L’eau bénite, préparée selon le rituel des Chrétiens de la Première Heure, n’était pas tiède. Elle brûlait comme de l’acide sur la peau corrompue. Quand Bronco l’aspergeait sur un possédé, la chair grésillait, les veines saillaient, et les hurlements sortaient non pas de la bouche, mais du ventre même.
Bianca, toujours en noir, corsetée de cuir, portait à la taille un fouet tressé de crins sacrés.
Chaque coup qu’elle donnait était un verset.
Chaque marque laissée, une strophe contre l’intrus.
Elle ne frappait jamais au hasard. Elle frappait là où le démon se cachait.
Sous l’omoplate gauche.
À l’intérieur des cuisses.
Entre les reins.
Et parfois, doucement, sur la bouche, pour faire sortir ce qui se tait.
Le rituel le plus terrible, ils l’appelaient l’Appel de l’Ange Noir.
Cela commençait toujours par des gifles – nettes, rituelles, données avec la main ointe d’huile sacrée et de sang d’agneau noir.
Puis venaient les mots interdits, soufflés à l’oreille du possédé. Pas des insultes. Des vérités.
Des vérités que le démon avait peur d’entendre.
Enfin, dans une ultime montée, Bronco et Bianca s’enlaçaient. Leur souffle devenait prière.
Leurs corps, un exorcisme vivant.
Et lorsque le mal ne pouvait plus se cacher, il jaillissait en criant, expulsé par la force du plaisir sublimé et de la douleur transcendée.
Car dans leur monde, le corps n’est pas un obstacle au sacré.
Il est le champ de bataille.
Et parfois, il est l’arme elle-même.
Ainsi vivent Bronco et Bianca.
À la lisière du sacré et du charnel.
Chasseurs de démons. Amants fous. Guerriers mystiques.
Et lorsque les ténèbres viennent, ce n’est pas un prêtre en soutane qu’on appelle.
C’est eux deux.
Nus sous les cicatrices, enchaînés l’un à l’autre,
et plus purs que tous les saints.
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Pendant plus de dix ans, Cat et moi formions un couple banal, de ceux qui partagent une vie simple, sans hiérarchie, sans jeux de pouvoir. Hors de notre intimité, nous étions deux âmes qui s’aimaient, un duo ordinaire aux yeux du monde.
Mais dès que les portes se fermaient, dès que nos corps se frôlaient, une autre danse prenait vie, un feu brut et intense. La domination s’est imposée dès nos premières étreintes, un besoin viscéral qui n’a cessé de croître, toujours plus sombre, toujours plus absolu.
Nos jeux, cantonnés à la sphère sexuelle, étaient un exutoire, les cordes marquaient sa peau, mes ordres la faisaient ployer, ses gémissements résonnaient alors que je fermais les nipple clamps sur ses tétons, que ma main s’abattait sur ses fesses rougies, que je la prenais, sauvagement, jusqu’à ce que nous nous effondrions, brisés de plaisir.
Puis la trahison m’a frappé, brutale, comme un coup de poignard. Du jour au lendemain, Cat a renié nos pratiques, piétiné cette part de nous que je chérissais, et notre séparation, encore fraîche, a laissé un vide. Nous vivons toujours sous le même toit, et chaque jour est une épreuve. Croiser son regard, sentir sa présence, tout en sachant que ce lien unique est mort, me plonge dans les abîmes. Depuis plusieurs années, je suis hanté par ce vide, un tourment qui me ronge l’âme. Ce ne sont pas les circonstances qui me déchirent, mais la perte de ces moments où je dominais, où une soumise s’abandonnait sous mes mains, où cette intimité viscérale me faisait vibrer. Chaque instant sans ce contrôle, sans cette connexion, est une torture. Je revois ses poignets liés, ses yeux suppliants, son corps offert, et ces souvenirs me lacèrent comme une lame de rasoir.
J’ai besoin de cette danse où je guide et elle se livre, où je domine et elle s’efface, où je la baise jusqu’à ce que nos âmes se consument, mais ce besoin est une plaie ouverte, un feu éteint qui continue de me brûler.
En pleine séparation, je suis un homme déchiré, prisonnier d’un passé qui me hante et d’un présent qui m’étouffe. La domination n’était pas un jeu, c’était mon essence, une langue que je parlais avec elle, et sans elle, je suis un maître sans royaume, un rigger sans cordes, un homme tourmenté par un désir qui ne trouve plus d’écho.
Sa trahison a tranché net toute envie que j’avais d’elle, un couperet froid et définitif, malgré le regret lancinant des bons moments passés, ces instants de complicité et de plaisir qui, parfois, me reviennent encore comme un écho douloureux, et dans ce silence, je reste suspendu, incapable de clore ce chapitre qui continue de saigner.
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Petit texte, inspiré, que j'ai écrit suite à une expérience..
Il y a comme ça des histoires que l'on a envie de mettre sur papier, ou clavier, d'autres que l'on garde secrètes, mais l'expérience de vie, est parfois comme l'art, on veut montrer certaines créations personnelles (un exutoire ?) et d'autre que l'on cache par pudeur...
Voici un extrait de cette expérience :
J'avais reçu un message de Monsieur Karl, qui se présentait comme étant un homme d'un certain âge, à la retraite.
Heureux époux de Madame Catherine, une belle femme d'un certain âge elle aussi, qui lui a avoué avoir des envies …différentes, nouvelles, fortes…
Il en parlait crûment, laissant transpirer une certaine excitation à l'idée de raconter cela mais encore plus à l'imaginer devenir réalité.
Il me parla de son épouse, au fil de nos échanges.
De femme modèle, un brin bourgeoise, Catherine avait apprécié de quitter son univers professionnel qui l'obligeait à une posture, pour adopter une posture de vie plus... libérée va-t-on dire.
Monsieur Karl me le précisait régulièrement, comme si cela le rassurait, attention elle n'est pas une salope. Mais si elle commence à se lâcher, elle peut être une vraie chienne.
Chienne, le mot ne fut écrit qu'une fois, mais je ressentais une certaine portée de ce mot.
Catherine aimait être possédée. Karl aimait la voir ainsi.
Un vrai couple.
Nos échanges furent assez longs car je dois l'avouer, je reçois souvent des messages de couples qui veulent que madame soit dressée. Un petit coup vite fait, comme je dis, soumise de 5 à 7.
Ce n'est pas mon credo, j'avoue aimer ce qui est long, dure, s'intensifie plutôt qu’une passade.
Donc souvent je ne donne pas suite.
J'ai bien quelques relations avec des couples ou monsieur veut que je prenne madame en photo, cela je l'accorde, mais au nom de l’art.…et de mon plaisir purement contemplatif.
Bref... monsieur Karl ne lâche pas, ne veut pas renoncer, me raconte son quotidien, mails après mail...
Il me raconte ses journées de plaisir avec madame, car oui couple retraité mais absolument pas sexuellement parlant.
Mais voilà... c'est du sexe.
Amoureux mais du sexe...
Catherine en veut plus mais il est vrai qu'elle ne sait pas comment exprimer les choses...son désir profond.
Monsieur Karl insiste, raconte, et souhaite que je prenne madame en main. Que je la dresse et que j'en fasse mon objet de plaisir.
Je suis difficile à convaincre.
Mais j'aime les jeux psychologiques, et j'aime les esprits torturés.
Nous avons un échange téléphonique, j'entends Madame Catherine, je l'écoute, attentivement... j'entends son esprit me parler, j'entends les labyrinthes de ses désirs. Elle transpire l'envie, le désir. Je le sens.
Je dois vous le dire j'ai un atout... j'ai un métier qui demande de la psychologie...et je m'exerce quotidiennement à l'art de la complexité humaine... alors c'est pour moi une seconde nature que de décortiquer un mot, un souffle, une inspiration ou une attente...
Et madame Catherine attend, depuis un moment, que quelqu'un la prenne, la possède.
Madame Catherine me témoigne de son envie, de son approbation, de son consentement...
Je lui explique en détail mon fonctionnement, ma façon de penser, de faire...elle dit oui, a tout
Bien.
Madame Catherine est d'accord.
Monsieur Karl a envie.
Bien.
Mais...il me manque quelque chose.
Je dois le dire, chères lectrices ou lecteur.
Je n'ai plus 20 ans...
Des femmes j'en ai eu, oh pas une quantité gastronomique, mais suffisamment pour ne plus être un affamé, pour ne pas chercher juste un plaisir...
Je suis dans une recherche de quelque chose de plus subtil, de plus cérébral...
Bref...ce petit couple a envie...
Nous cessons l'appel téléphonique après avoir dit " je vais voir quand je peux me libérer, je suis assez pris je ne promets donc rien"
Ils acquiescent, il ne pouvait en être autrement.
Beaucoup de couples se seraient tourné vers un autre homme, je le sais, nous sommes dans une société de consommation, les gens ne cherchent pas forcément quelque chose de spécial, mais souvent, simplement à faire, à vivre une expérience...
Je me dis au fond de moi que c'est ce qu'il va se passer.
Les jours passent, et un jour en fin de journée je reçois ce message :
"Catherine veut s'offrir à vous, rien qu'à vous.
Elle en a envie.
Elle se mettra à disposition dans notre garage qui sera aménagé pour votre venue.
Le garage sera fermé de l'extérieur, j’enfermerai personnellement Catherine à double tour .
La clef sera sur la porte, vous aurez la liberté de venir, et de disposer de Catherine comme vous le souhaitez et le temps que vous le souhaiterez.
Je serai absent, vous laissant notre maison si vous désirez en profiter.
Une bouteille de ce que vous appréciez particulièrement sera à votre disposition.
Nous attendons simplement vos disponibilités.
Bien à vous.
Karl"
Ce message m'a bien plu.
Catherine à disposition.
Le temps que je veux.
Comme je veux.
J'accepte et leur donne ma disponibilité.
Pas plusieurs, une seule.
Je serai disponible à ce moment-là, vous l'êtes aussi c'est bien, sinon...
Ils se rendent disponibles. je n’en attendais pas moins.
Catherine m'envoie un message me demandant si je souhaite une tenue particulière.
Non, rien.
Vos talons madame et rien d'autre.
Elle me répond en acquiesçant.
Quelques consignes sont passées et le rendez-vous est pris.
Le jour arriva.
J'arrive à la maison, belle demeure, feutrée, une ambiance agréable... érotique.
Je me rends au garage, je vois la clef dans la serrure...je vérifie, effectivement la porte est bien fermée à clef.
Je tourne la clef, et ouvre la porte.
Je vois une pièce plutôt vide avec ce que j'avais demandé. A savoir un canapé.
Je vois au milieu de la pièce une femme à genoux, en talons et nue.
Je m'approche de Catherine, arrivée à sa hauteur, j'attrape sa chevelure et tire la tête en arrière.
Je l'admire car oui elle est une belle femme mais j'observe surtout ses yeux, son regard.
Je lui propose de se lever, par un geste ferme.
Je lui propose je dirais plutôt que tenant sa crinière d'une main ferme, je la fais se lever.
Elle a un beau corps, des seins imposant au regard de la finesse de son corps.
Je tourne autour d'elle, comme un chasseur tournant autour de sa proie.
Elle a un fessier accueillant, des fesses rondes.
Je caresse son corps, ses fesses, pour en ressentir la douceur, je passe devant ses seins, que je caresse délicatement, faisant pointer un téton...
Je le vois durcir, pointer
Je le pince délicatement, commençant aussi à serrer ce sein.
Je vois son regard qui change, ses joues rougissent.
Elle ferme les yeux.
Je descends ma main entre ses cuisses.
Je les écarte délicatement pour glisser un doigt entre ses lèvres, puis glisser un deuxième doigt.
Je veux d'abord vérifier qu'elle est bien rasée.
Cela faisait partie de la première consigne.
Puis je constate qu'elle mouille.
Mes doigts glissent dans sa chatte trempée.
Déjà...
De l'autre main je caresse le deuxième sein
Je caresse d'abord le téton pour en faire sa connaissance, puis je le pince, délicatement, pour finir par une petite torsion qui fait plier Catherine.
Je sens son odeur de femelle qui se dissipe dans l'air.
Cette envie qu'elle a, les effluves de sa chatte trempée...
Elle sent fort, de manière animale.
Je retire mes doigts...et les glisse dans sa bouche en lui disant : nettoie.
Elle lèche mes doigts, les suce, les nettoie...
Je m'assois dans le fauteuil, et lui demande de tourner sur elle-même, pour l'admirer.
Je la regarde, observe, chaque detail de son corps, je prends mon temps durant cette contemplation, j'aime prendre mon temps..
Je devine à sa cambrure la position qu'elle doit apprécier.
Je devine à la forme de sa bouche et de ses lèvres qu'elle doit aimer sucer.
Je devine aux courbures de son corps qu'elle est une aire de jeux très intéressante.
Sers-moi à boire lui dis-je.
Elle me sert un verre...que je déguste doucement.
Je lui fais signe de se mettre à genoux à mes pieds.
Je passe ma main dans ses cheveux, en appreciant la douceur, mais la maintenant, fermement...
Le dressage de Madame Catherine peut débuter...
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Bonjour,
Il fait chaud le soir dans notre Toscane rurale....29 °hier soir à 19h30..
Donc, en rentrant du bureau, des bureaux, à poil tous les trois et baignade !
Aucun voisin à moins de deux kilomètres, on est peinards !
J'avais juste oublié un détail : mon épouse et moi avons perdu au poker Dimanche, et nous sommes bouclés.
Line, notre amie, a pris un malin plaisir à m'encager ( une cage longue, bien difficile à porter ), et à boucler ma Dame des deux anneaux qu'elle a aux petites lèvres....
Rires de nous voir équipés de nos cadenas, elle n'a pas hésité à s'allonger sur un transat , et se donner du plaisir en exagérant un peu les cris, quand même....
Grosse frustration pour nous deux !
Ma Dame sera libérée demain, moi .... Samedi !
La bourique !
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Tout aurait pu être si simple sans ses désirs de conquête. Elle ne comprenait pas de quoi elle avait peur. La jeune femme avait ce don insoupçonné de percevoir dans la langue ce qui ne s'entend pas. Elle se permit d'arranger quelques boucles brunes sur les épaules de son amante, accompagnant son geste tendre d'une moue admirative. Alors qu'il y avait au-dessus d'elle une grande glace, recouvrant totalement le plafond, que n'interrompait aucun luminaire, la jeune femme se voyait ouverte, chaque fois que son regard rencontrait le large miroir. Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Charlotte monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Juliette étaient posées. La source qui filtrait de son ventre devenait fleuve au moment qui précède le plaisir et quand elle reprit la perle qui se cachait entre les nymphes roses qu'elle lui donnait. Elle se cambra de tous ses muscles. Sa main droite balaya inconsciemment la table de travail sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets volèrent sur la moquette. Un instant, ses cuisses se resserrèrent autour de sa tête puis s'écartèrent de nouveau dans un mouvement d'abandon très doux. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Juliette, les seins dressés vers le plafond, les jambes ouvertes et repliées dans une position d'offrande totale qui lui livrait les moindres replis de son intimité la plus secrète. Quand elle commençait à trembler de tout son être, elle viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec une violence inouïe. Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Juliette but le suc délicieux que son plaisir libérait et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Charlotte était inerte, les yeux clos, les bras en croix. Tout ne lui serait pas infligé à la fois. Elle aurait plus tard la permission de se débattre, de crier et de pleurer.
Elle demeurait celle qui en disait peu, mais de ce peu surgissait un écho de son univers exprimé parfois à travers le frémissement d'un arbre. Venant d'un autre monde, sa maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela ne finisse jamais. Elle s'agenouilla entre ses jambes et Juliette voyait ses cheveux clairs onduler régulièrement au-dessous d'elle. Sa vulve était prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais cru que c'était aussi bon de se soumettre puis brusquement, adorablement savante, sa main vint se joindre à ses lèvres et à sa langue pour la combler. Mille flèches délicieuses s'enfoncèrent dans la chair de Juliette. Elle sentit qu'elle allait exploser dans sa bouche. Elle voulut l'arrêter mais bientôt ses dents se resserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes dorées à la feuille. Juliette invita Charlotte à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau, avant même que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Une impression d'aisance l'emplit. Voluptueuse, Charlotte s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne pas éprouver un plaisir sensuel ?
En se rapprochant de son amante, elle se surprit alors en contemplant les marques laissées sur sa peau à s'interroger sur la profondeur de la morsure que le cuir pouvait laisser. L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une onde caressante. Juliette ferma les robinets, releva les manches de son tailleur, commença à lui masser les épaules avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis à nouveau, elle la massa avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de ses fesses, effleurant la pointe de ses seins. Charlotte ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle. Animé par ces mains caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était alors tiède à présent. Juliette ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Charlotte, l'obligeant à explorer les reliefs de son intimité en la poussant à des aventures plus audacieuses. Ses phalanges pénétrèrent son ventre. Les lèvres entre les jambes de Charlotte, qui la brûlaient, lui étaient interdites, car elle les savait ouverte à qui voudrait. Juliette perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte, et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe et se débarrassa de son corsage. Dessous, elle portait un charmant caraco et une culotte de soie, un porte-jarretelle assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Ses petits seins en forme de poire pointaient sous le caraco en soie. Elle le retira délicatement exposant ses formes divines. Bientôt, les mains de Charlotte se posèrent langoureusement sur ses épaules et glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes fermes de de la poitrine. Son ventre palpita contre les fesses de son amante. Elle aimait cette sensation. Peu à peu, ses doigts fins s'écartèrent du buste pour couler jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu. Juliette pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que ce bien-être animé par le voyage rituel de ces doigts dans le velours de sa féminité. L'attouchement fut audacieux. Mais bientôt Juliette reprit ses esprits. Elle devint animale et décida qu'elle n'infligerait plus de tortures qu'anonymes et immédiates. Elle exigea de Charlotte qu'elle sorte sans délai de la baignoire et qu'elle se mette à quatre pattes telle une chienne. Elle se ceignit d'un large olisbos à ceinture et la posséda brutalement. Cette impudence excita la jeune femme qui se cambra d'elle-même afin d'être pénétrée jusqu'au fond. Elle céda alors à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu contrôler. Combien de temps restèrent-elles après, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, un doux fantasme ? Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer de peur de se perdre.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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La jeune femme redoutait plus que tout le déclin des passions, les pensées inodores, les amants mal rasés, les amours sans épices et les convictions flaques. L'ombre peu à peu avait envahi la chambre. Charlotte n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis plus d'une heure commençait à la faire souffrir. Passent encore les fourmillements dans les jambes et les bras. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle parvenait à relancer la circulation sanguine. Mais le plus insupportable, c'était cette douleur à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de ses jambes. De part et d'autres de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension à laquelle ils étaient soumis. Que faisait Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée inonda la chambre. Le cœur de Charlotte s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Charlotte se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses obsessions. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée de se prostituer ? Des pas retentirent alors dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit bientôt. Charlotte distingua une silhouette dans l'embrasure, mais la lumière l'aveuglait. Elle était curieuse de savoir si son imagination était alors conforme à la réalité. Allait-elle enfin réaliser ses fantasmes, même les plus inavouables ?
Elle ne ressentait aucun sentiment d'angoisse ou d'appréhension mais plutôt d'étonnement. Elle avait l'habitude de dormir toutes fenêtres ouvertes, depuis l'âge de ses seize ans. Confiante, elle s'attendait à une agréable surprise. C'était Xavier mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, la considéra d'un œil narquois et cruel. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée, Sarah portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avec soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Charlotte, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa mâchoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. - Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle. Xavier se débarrassa de ses vêtements. Lorsqu'il s'approcha du lit, Charlotte remarqua qu'il ne bandait presque pas. "- Fais ton job, dit-il à la putain". Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. "- Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout". Abasourdie de surprise, Charlotte regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Charlotte commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Plus il s'enfonçait profondément et plus elle s'offrait.
Sa pureté étincelante la distinguait et son port de tête signalait une âme élevée, un corps gracieux, cuirassé contre la petitesse. Même en se tordant le cou, Charlotte ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écœurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Charlotte. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Charlotte et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelote de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. "- Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton job et casse-toi." Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son bustier. Charlotte cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle essayait de comprendre. Quel job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Charlotte vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage.
Ses yeux-là ne se donnaient pas la peine de scruter, ils la pénétraient. La jeune femme bien que timide par nature, allait accepter de se prêter à une situation inédite. La beauté insolente de l'inconnue avait achevé de la convaincre. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec grand soin. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Charlotte. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procéda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Charlotte survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, lié à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Charlotte, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Charlotte creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. Charlotte ne tarda pas alors à pousser des gémissements et des râles d'animal effarouché, prête à s'abandonner. Ses reins semblaient contenir et concentrer toute la jouissance qu'elle ne parvenait pas encore à libérer.
L'amour n'est pas une chansonnette de complaisance, un badinage d'étourdi mais bien une aventure radicale qui doit mobiliser jusqu'aux dernières fibres de notre être. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Charlotte et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Charlotte, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humiliante. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Charlotte sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le char d’apparat de Microbite ouvre la marche de la victoire et des fiertés. Aux côtés de sa charmante épouse, Bitemicron, et d’un esclave fraîchement émasculé, le Ministre de la Vérité savoure sa popularité retrouvée. Tout au long du parcours, des photographies visiblement trafiquées montrent ses énormes biceps. Ce type est complètement mégalo.
Sur des écrans géants, les images de la Lune rouge de Davos s’écrasant sur le sol tournent en boucle [1]. En surimpression, les slogans à la gloire de Microbite défilent. Oui, c’est à lui, le virtuose, le Mozart du parler vrai, que le camp du bien doit ma capture - moi, Ysideulte, la criminelle responsable de ce désastre.
Pour aggraver mon cas, je serais de surcroît responsable de la diffusion de fake news - l’un des plus graves crimes qui soit au sein de la Suprême Alliance Démocratique. Depuis plusieurs jours, les journalistes ont bien conditionné les esprits, et les slogans en lettres géantes viennent parachever ce travail.
Telle Vercingétorix, enchaîné, exhibé dans les rues de Rome lors du défilé triomphal de César, c’est à marche forcée, nue et enchaînée, épuisée, que je m’escrime à suivre le rythme infernal du char sans trébucher. Au milieu des applaudissements nourris, destinés au nouveau héros, le sauveur de la démocratie, j’entends les cris de haine et de mépris qui me sont adressés.
Aujourd’hui, c’est moi qui symbolise les ennemis de la démocratie. Le pangolin fou reste insaisissable. Nul ne sait s’il existe vraiment. Mais qu’importe, aujourd’hui c’est moi l’ennemie publique numéro un, et le camp du bien vient de me capturer. La propagande adore les symboles.
J’ai été fouettée en public avant le début du défilé. Je me suis efforcée de simuler la douleur pour ne pas susciter de questionnements. Les zébralyvox gémellaires sont redoutablement efficaces [2]. Qu’il est difficile de simuler la douleur quand on ne la ressent pas ! J’ai fait de mon mieux pour être crédible mais je suis une bien piètre actrice.
Le pangolin fou avait raison : personne n’a pris la peine de m’interroger sérieusement. Dans son délire totalitaire, la Suprême Alliance Démocratique est bien trop contente d’avoir trouvé la coupable idéale. Mon scénario bancal n’a même pas été questionné. Quelle importance ? Le réel ne compte pas. L’histoire a de toute façon été réécrite par les équipes d’ingénierie sociale et répétée jusqu’à plus soif par les médias.
« Faites barrage aux ennemis de la démocratie. Votez Microbite ! ». C’est le dernier slogan que je peux lire sur les écrans avant d’apercevoir un projectile lancé par un gros type vociférant sa haine. Le choc brutal contre mon crâne, la désorientation, puis le trou noir.
« Eh bien, tu l’as échappé belle ! ». La voix mielleuse de Microbite m’indique que le cauchemar n’est malheureusement pas terminé.
Je suis de retour au Ministère de la Vérité. Salement amochée d'après ce qu’il me laisse entendre. Ce psychopathe s’ingénie à distiller les sous-entendus pour faire monter mon angoisse. Les rictus furtifs sur son visage trahissent le plaisir pervers qu’il y prend. J’aimerais tant avoir un miroir pour juger par moi-même de mon état, mais cela il n’en est pas question.
« J’aurais été déçu de ne pas pouvoir jouir de ton agonie sur le pylône » ajoute-t-il, souriant.
C’est donc cela le destin qui m’attend ? Attachée nue sur l’un de ces immenses pylônes, au cœur de l’Himalaya. Déchiquetée par le grand Chrysaor cendré, sous les yeux de centaines de millions de téléspectateurs. Jusqu’à présent ce supplice cruel était réservé aux hommes [3].
Les nuits sont pénibles sur le mur des esclaves, mais j’ai appris à y trouver le sommeil, malgré l’inconfort. Lorsque je ne dors pas, j’observe les pénis de mes compagnons, qui se dressent aléatoirement au gré des érections nocturnes. C’est beau. Ca m'excite. Cela ressemble à une lente chorégraphie, à laquelle l'éclairage lunaire apporte une touche de mystère. Dans des situations désespérées, on s’accroche à n’importe quoi pour ne pas devenir folle.
C’est debout, le dos contre ce maudit mur, dans la cour intérieure du palais, que nous passons toutes nos nuits. Complètement nus, peu importe qu’il vente ou qu’il pleuve, les poignets attachés au dessus de nos têtes. Je suis la seule femelle. Je me dis que si ma situation n’était pas aussi critique, mon Maître apprécierait certainement de me voir ainsi exhibée au milieu des mâles. Est-ce qu’il a vu le projectile me frapper ? Certainement. Il y avait des caméras de télévision partout. Il doit être mort d’inquiétude. Si seulement je pouvais le rassurer.
Je repense à la force irrésistible qui m’a poussée à me fourrer dans ce guêpier. L'espoir. La confiance. Le pangolin fou a gagné ma confiance, tout comme mon Maître auparavant. Cette confiance que j’accorde si difficilement. Et maintenant je suis la pièce maîtresse de sa stratégie. Quelle ironie, pour la fille insignifiante que j’étais, effacée, invisible. Une fille de si peu d’intérêt qu’elle porte un prénom qui n’existe pas. Tout comme mon Maître, il a cru en moi et cela m’a donné la force de soulever des montagnes. Je ne dois pas le décevoir – jamais. Si je m'en sors, est-ce qu'il me révèlera son identité? Est-ce que je pourrai enfin le rencontrer physiquement?
Par chance, cette nuit-ci il ne pleut pas et, épuisée, j'ai rapidement trouvé le sommeil.
Au petit matin, Bitemicron, la charmante épouse de Microbite, couteau à la main, vient faire son inspection. Les esclaves mâles sont terrifiés car ils savent maintenant ce que ce couteau signifie. Moi aussi je suis inquiète pour mon clitoris - sait-on jamais ce qui pourrait lui passer par la tête - mais jusqu'à présent ce furent toujours les hommes qui suscitèrent son intérêt. Elle est accompagnée de son époux, qui la suit comme un gentil toutou, en bon soumis qu’il est.
« Celui-là ! » lui ordonne-t-elle, en lui tendant le couteau. Elle tient fermement à la main la bite de l’esclave situé à ma droite, qui n’en mène pas large.
« Non, attend un peu » se ravise-t-elle.
« Détachez la femelle » ordonne-t-elle à un gardien.
« Suce-lui la bite, salope ! Il mérite bien un dernier orgasme ».
Cette experte en manipulation perverse me met bien mal à l’aise. Si je refuse, je m’en voudrai et j’en ferai des cauchemars. Si j’accepte, je participe à ce scénario abject.
« Ou bien tiens-lui la main, si tu es romantique. Ah, ah, ah! »
« Oui Monsieur… Euh, pardon, oui Madame »
Je reçois une bonne gifle pour cette bourde, mais elle n’en prend pas ombrage, trop absorbée par la jouissance qu’elle éprouve de par la situation. Elle et son mari ont visiblement abusé de la poudre blanche, si j’en juge par leurs yeux exorbités.
En sanglots, sachant qu'il n'échappera pas à la castration, le malheureux la supplie de lui retirer seulement les testicules en épargnant son pénis. Cela n'a d'autre effet que de déclencher des ricanements de jouissance. Le sadisme pervers et malsain dans toute sa splendeur... Pour moi la situation est insupportable. Voir cet homme si fort, à l'allure de guerrier, en pleurs, suppliant, désespéré, m'emplit d'une grande tristesse, amplifiée par la rage de ne pouvoir rien faire.
Un éclair d'extrême lucidité me traverse l’esprit. Ma conscience de l’instant présent est soudainement décuplée, comme si je percevais avec une infinie précision le monde qui m’entoure. Je me sens connectée, en parfaite symbiose. Connectée à quoi ? Je n’en suis pas sûre, mais j’ai ma petite idée. Je perçois même les milliers d'influx nerveux qui circulent dans les corps de mes voisins - une perception très étrange et perturbante.
Des fourmillements prennent naissance dans ma main droite. Oui, je vais lui tenir la main, je sens que c’est ce que je dois faire. Bitemicron vient de commettre une erreur fatale en m'associant à son scénario macabre.
Mon Maître dit que je suis une bonne suceuse de bites, mais la main m'offrira une meilleure surface de contact, plus stable, plus efficace. Je saisis délicatement la main que les gardiens viennent de détacher. C’est étrange ce contraste. Ma main pâle et tremblante parait si fragile dans sa grosse main noire de gladiateur. Et pourtant, en ce moment c’est moi qui lui apporte le réconfort, un soupçon d’humanité - une humanité toute simple, dont l'idéologie progressiste de la suprême alliance a fait table rase depuis bien longtemps.
Les picotements deviennent de plus en plus forts, comme un condensateur qui se charge. Je sens que l'énergie accumulée est gigantesque - le transfert est proche. Oui, c’est ça, allez-y mes petits ! Sauvez-le !
La sensation d'une multitude d’aiguilles électrifiées qui me transpercent simultanément la paume de la main est atroce, mais avec toute l’énergie de ma volonté je serre la main de l’esclave, fort, très fort, le plus fort que je peux. Le retenir, juste une fraction de seconde, il faut que j’y arrive.
L’esclave dégage sa main en hurlant de douleur. Je n’ai pas pu le retenir plus longtemps. Il est trop fort pour moi.
« Eh ben ! Tu lui fais un effet démentiel ! » s’exclame Microbite. « On devrait vous marier. Je m’occuperai de vous obtenir un Fucking Pass. »
Ne prêtant pas attention aux moqueries du psychopathe, j'examine discrètement la paume de ma main. De minuscules gouttes de sang, groupées par paires, commencent à perler. Un halo bleuté entoure encore ma main, comme un résidu d'électricité flottant élégamment dans l'air. Une odeur caractéristique de foudroiement remonte à mes narines. C'est bon signe. Plusieurs zébralyvox gémellaires ont réussi à traverser, en grand nombre apparemment.
Obéissant aux ordres de son épouse, le ministre promène lentement le couteau contre la bite de l’esclave terrifié, s'interrompant parfois pour lui palper les couilles. Il aime palper les couilles.
« Allez, qu’est-ce que tu attends ? Tranche-moi cette bite. Tu es vraiment une chochotte.»
Mais, titubant, il laisse tomber le couteau à terre.
« La bite de l'esclave scintille. Qu’est-ce qui se passe ? »
Puis il s’assied sur le sol en vomissant.
« Je ne me sens pas bien, Maîtresse. J’ai le mal de mer. »
La Maîtresse des lieux s'approche pour examiner l'étrange phénomène, palpe les couilles, et s'écroule à son tour, gisant sur le sol dans son vomi.
La sécurité accourt. C’est la panique dans l’enceinte du palais. L'équipe d'infirmiers, qui était là pour assurer les soins d'urgence d'après émasculation, semble désemparée face à des symptômes aussi inhabituels.
« Appelez un médecin, vite ! »
Ils peuvent bien faire venir tous leurs médecins corrompus, jamais ils ne comprendront ce qui vient de se passer.
à suivre
Contexte et références
L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication)
[1] Voir « Les Lunes de Davos » https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/
[2] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/
[3] Voir « Le perchoir d'Ysideulte », https://www.bdsm.fr/blog/8145/Le-perchoir-d%E2%80%99Ysideulte/
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Ce soir, on sort
Chemisier blanc jupe noire talons
Rien d autre
Voilà la consigne
Douche, nettoyage, maquillage, me voilà fin prête, impatiente, légèrement inquiète comme à chaque fois...
Que m a t il préparé ?
Vais-je lui donner satisfaction ?
Le voilà qui rentre, il m inspecte du regard, passe une main sous ma jupe pour vérifier que je ne porte rien, va chercher sa valise à materiel pour la mettre dans le coffre, et nous voilà partis.
Comme à son habitude, pdt le trajet, il remonte ma jupe, découvrant mes cuisses, qu il ouvre de sa main fureteuse, vérifiant mon état déjà un peu avancé d excitation.
Car, malgré mon appréhension, je suis déjà excitée, curieuse de ce qu il m a concocté......
Vu la tenue, je m'attends à une sortie dans un club, ou chez des hôtes, mais on se dirige plutôt vers la campagne qu en ville .....il finit d ailleurs par prendre un chemin le long des champs, on devine un peu plus loin un vieux corps de ferme, abandonné semble t il......pas de confort ce soir, quelque chose de rude, je le sens .....
Il arrête la voiture dans ce qui devait être la cour, entourée de bâtiments délabrés.....
Me fait descendre et m ordonne d attendre là. Il se dirige vers un des bâtiments, fait de vieilles pierres, y entre quelques minutes et en ressort avec ce léger sourire qui en dit long.
"J ai commandé un truc un peu spécial pour ce soir, tu vas aimé" me dit-il. Puis il plonge la main dans une des poches de son jean et en ressort un bandeau qu il me glisse sur les yeux. Là, je flippe.
D appréhension, mais aussi d impatience et de cette excitation qui me chatouille le bas ventre.
Je sais que je peux lui faire entièrement confiance, qu il fait cela pour notre plaisir, que je n ai rien à craindre.
Il me tire doucement par la main, je m accroche à son bras, je titube un peu sur les aspérités du sol, puis je sens qu on est entrés dans ce batiment ....
Quelques pas encore avant qu il m abandonne là, je l entends parler à voix basse, je devine alors, à mon grand désarroi, qu il y a quelqu un d autre....
Mais qu a t il bien pu mijoter ???
Il revient vers moi, me reprend la main et me guide....s arrête, me stoppe, puis m ordonne de me pencher. Je m exécute, hésitante, il me dit de ne pas avoir peur....je me penche encore jusqu'à sentir un obstacle sous mon cou. Du bois me semble t il. Il me rassure encore et me prend une main, qu il pose à côté de ma tête, dans un petit demi cercle.....je devine alors, enfin, et je décompresse.....l autre main, puis la deuxième partie de la pièce qui vient par dessus tout ça et le bruit d une pièce métallique qui glisse, scellant le tout .....
Me voilà totalement à sa merci, de lui, peut être de qqun d autre, je ne sais pas, mais mon excitation est montée d un cran .....
Il se met derrière moi, retrousse ma jupe, découvrant ma croupe nue, me fouille de 2 ou 3 doigts, recueillant ma mouille déjà abondante, ce qui me vaut un beau commentaire : "tiens donc...ma chienne en chaleur est deja trempée....."
J en ai presque honte ....je n ose rien dire ....
Il part fouiller dans son attirail qu il était allé sortir entre temps.....j ecoute mais je ne sais pas ce qu il en sort , j attends....
Il tourne un peu autour de moi et soudain, la morsure des lanières du martinet .....de quoi me faire monter encore plus......j adore cette douleur qui amène un certain plaisir .....variation des coups, de leur intensité.....il s arrête de temps en temps pour vérifier mon état......ma chatte dégouline sur ses doigts......je soupire plus que je ne gémis.....je balance mon cul, l incitant à continuer.....quelques coups encore et il vient tirer sur mes tétons, les pincer....encore qqs soupirs.....puis il s éloigne un instant, revient et je sens alors qqch de dur et froid sur mon anneau....."ouvre-toi" me dit-il....je me relâche un peu, il pousse de son côté, et je sens la boule de ce que je devine être le crochet se frayer un chemin, je pousse légèrement pour m ouvrir un peu plus et finir par la laisser passer, avec un petit gémissement de plaisir.....je le sens tirer, il a mis une corde qu il va attacher à une ancienne mangeoire à chevaux au dessus de ma tête (que je découvrirai à la fin des festivités)
Me voilà plus qu offerte.....Le buste penché, emprisonnée dans ce pilori qu il a fait installer pour l occasion, le cul rempli du crochet qui ne me laisse d autre choix que de me faire légèrement cambrer.....
Je m'attends alors à ce qu il vienne me prendre, sans effort, inondée comme je suis .....
Au lieu de ça.....il s eloigne encore et revient pour me mettre comme une crème sur chaque téton....je suis deroutée.....pourquoi faire ?
Ça s agite autour de moi, l autre est tjrs là....qui déplace qqch, des bruits divers me parviennent .....puis on me "colle" qqch sur un téton.....je cherche......2eme téton......je pense à des ventouses mais elles me paraissent larges, puis je défaille ......j ai compris .....ferme, vieux bâtiments.....penchée.....bruits.....tout se met en place au moment où j entends un clic.....et tout de suite je sens cette aspiration ....un coup l un, un coup l autre......je me pâme.....j en rêvais, il l a fait ......je m abandonne au plaisir, je suis très sensible, mais a t on besoin de l'être ?
Je ne sais si ça aspire, si ça presse, ou autre, mais c est juste ... hummmm ....je sens une chaleur qui monte, qui va me ravager ......il caresse mon bouton.....ne manquait plus que ça !!!!
Il me demande si j apprécie.....je ne peux que gémir.....ça pince, ça tire, ça aspire mais c est .....divin......
Il me laisse quelques minutes pour savourer, mais je finis par montrer qu il va être temps......
Il m annonce alors que je vais devoir remercier son complice , et je sens sur mes lèvres, qqch de tiède.....je n ai qu à ouvrir la bouche pour recevoir un membre bien dur qui va me labourer la bouche pendant que Mon Maître s occupe enfin de ma chatte, me défonçant tout en me torturant le clito......je ne me contrôle plus, je lâche prise et j explose autour de lui dans un gémissement à n en plus finir ......ils changent de place, son complice allant me baiser et se vider sur mon cul pdt que Lui vient se répandre dans ma bouche .......nous restons ainsi tous les 3 qqs secondes à reprendre notre souffle, puis on me libère de mon pilori, on me redresse et je reste là, tjrs les yeux bandés, je titube un peu, pdt que son acolyte remballe ses affaires dans une camionnette qui était garée et s en va....je ne saurai pas à quoi il ressemblait .......Mon Maître m enleve enfin le bandeau, je vois ses yeux qui pétillent, son petit sourire en coin, je pose ma tête sur son épaule qqs secondes, il me soutient de ses bras, je redescends doucement ......il me raccompagne à la voiture, retourne chercher ses affaires qu il met dans le coffre et nous repartons ....
Je suis épuisée.....mais comblée
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Quel malheur voulaient-elles fuir ? Elles ne cherchaient pas le plaisir, elles voulaient fuir un tourment. Le plaisir franchement, c'était bien. Durant huit ou dix jours, elles ressuscitèrent alors cet amour. Un soir sur deux ou sur trois, la jeune femme disparaissait. Son amante ne lui posa pas de question. Elle était douce-amère, plaisante et un peu ingrate. Les sentiments dont on parle n'ont jamais l'épaisseur qu'ils avaient dans le silence. Et le temps qui s'écoule entre l'évènement et le récit leur prête tous les reflets, toutes les réfractations du souvenir. Ce bonheur d'autrefois n'est-il pas chargé déjà de l'amour qu'il annonce et précède ? N'est-il pas affligé déjà de sa fin qu'il annonce et précède ? N'est-il pas affligé déjà de sa fin qu'il pressent ? Pour ne mentir jamais, il faudrait vivre seulement. Mais les projets secrets, tous les desseins du cœur, ses souvenirs étouffés, tout ce qu'il attend sans le dire brisent déjà cette simplicité impossible. Laissons donc aux mots leur part inévitable d'imposture et d'ambiguÏté. La métamorphose fut délectable. Les souvenirs très précis de leur dernière étreinte la cambrèrent d'une délicieuse honte et courut en petits frissons dans son dos. Une bouffée d'orgueil l'obligea soudain à sourire et à respirer très vite. La première fois, c'est la promesse d'une longue série d'autres fois, mais c'est aussi le deuil de quelque chose qui n'arrivera plus. Il ne peut pas y avoir hélas plusieurs premières fois. Charlotte prit sur le lit une robe dos-nu, très échancrée sur les reins, le serre-taille assorti, les bracelets en cuir et le corsage, croisé devant et noué derrière pouvant ainsi suivre la ligne plus ou moins fine du buste, selon qu'on avait plus ou moins serré le corset. Juliette l'avait beaucoup serré. Sa robe était de soie noire. Sa Maîtresse lui demanda de la relever. À deux mains, elle releva la soie légère et le linon qui la doublait découvrit un ventre doré, des cuisses hâlées, et un triangle glabre clos. Juliette y porta la main et le fouilla lentement, de l'autre main faisant saillir la pointe d'un sein. Charlotte voyait son visage ironique mais attentif, ses yeux cruels qui guettaient la bouche entrouverte et le cou renversé que serrait le collier de cuir. Elle se sentait ainsi en danger constant. Lorsque Juliette l'avertit qu'elle désirait la fouetter, Charlotte se déshabilla, ne conservant que l'étroit corset et ses bracelets. Juliette lui attacha les mains au-dessus de la tête, avec la chaîne qui passait dans l'anneau fixé au plafond et tira pour la raccourcir. La chaîne cliquetait dans l'anneau, et se tendit si bien que la jeune femme pouvait seulement se tenir debout. Quand elle fut ainsi liée, sa Maîtresse l'embrassa, lui dit qu'elle l'aimait, et la fouetta alors sans ménagement. Un touble mélangé de honte, de volupté, de rébellion et d'impuissance la saisit à la fois. Il y eut une plainte, un sursaut de poitrine. Elle soupira, serra les dents, regardant intensément Juliette, alors animée du désir irrésistible de vouloir la dépecer, puis renversa la tête et attendit. À nouveau, une longue plainte jaillit des lèvres serrées, finit en un cri aigu. Endolorie et horrifiée, elle ne savait comment remercier Juliette de ce qu'elle venait de faire pour elle, mais elle était heureuse de lui avoir fait plaisir.
Un grand soleil l'innonda. Ce qu'est l'amour d'abord, c'est une complicité. Une complicité et un secret. Parler d'un amour, c'est peut-être déjà le trahir. L'amour ne se passe qu'entre deux êtres. Tout ce qu'on y introduit d'étranger lui fait perdre de sa force et de sa pureté, le menace de mort. Lorsque Charlotte tourna la tête vers Juliette, alertée par le bruit d'une cascade qu'elle avait, à sa grande confusion, du mal à maîtriser et à diriger, il y avait sur son visage, non pas cette attention pointue et intimidée que sa Maîtresse attendait, ce guet presque animal, regard aminci, sourcils bas, lippe close et frémissante, mais une gravité douce, comme si soudain elle avait eu la pudeur de ses exigences, et honte qu'on les satisfît. Qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à ses lèvres gonflées, à son cou enserré par le collier, et à ses yeux plus grands et plus clairs, et qui ne fuyaient pas. Elle la regarda se débattre, si vainement, elle écouta ses gémissement devenir des cris. Le corset qui la tenait droite, les chaînes qui la tenaient soumise, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose. À force d'être fouettée, une affreuse satiété de la douleur dût la plonger dans un état proche du sommeil ou du somnambulisme. Le spectacle aussi et la conscience de son propre corps. Mais au contraire, on voyait sur son visage la sérénité et le calme intérieur qu'on devine aux yeux des recluses. Elle perdit le compte des supplices, de ses cris, que la voûte étouffait. Charlotte oscillait de douleur. Mains libres, elle aurait tenté de braver les assauts de Juliette, elle aurait osé dérisoirement s'interposer entre ses reins et le fouet, qui la transperçait. Chaque cinglement amenait un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. Lorsqu'elle entendit un sifflement sec, Charlotte ressentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'approchât de Charlotte et lui caressa le visage, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée, puis elle lui ordonna de se retourner et recommença, frappant plus fort, les fines lanières de cuir lacérèrent sans pitié l'auréole de ses seins. Le dénouement était là, quand elle ne l'attendait plus, en admettant, se disait-elle, que ce fut bien le dénouement. Charlotte laissa couler quelques larmes.
L'amour le plus banal et le plus médiocre est un peu plus compliqué que la physique la plus ardue. C'est qu'il relève d'un autre ordre où les corps et l'esprit dansent les plus étranges ballets et dont la nécessité est toute faite d'imprévu. Qui pourrait deviner dans le premier sourire et dans les premiers mots adressés par une femme à une autre femme ce qu'elle sera ensuite pour elle ? Il sembla à Charlotte que Juliette l'acceuillait sans défaveur. Elle sut alors que la position de sa Maîtresse était plus difficile que la sienne, car on ne s'improvise pas meneuse de jeux érotiques, violeuse de tabous, dénonciatrice de routine. Sa résistance l'eût peut-être agaçé, ou déçu, mais réconforté. Elle avait obéi, et elle se sentait soudain dépassée par l'idée que le geste était un geste d'amour pour un bourreau étrange auquel on s'efforce de plaire. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses écartées et toujours enchaînée. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. S'approchant d'elle, Juliette tenait à la main une bougie allumée. Lentement, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion. Les berges aveuglantes de la Seine en étaient toutes éclaboussées et, un instant, à Paris, elle se dit qu'elle aimait Juliette et qu'elle allait se jeter dans ses bras et que le monde serait merveilleux pour toujours.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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