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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Nous avons de la chance: je suis aux petits soins avec ma soumise ces jours-ci. Voici donc encore un épisode.
J'en profite pour remarquer de nouveau que ceci est bien entendu une oeuvre de fiction, et fait référence à des choses assez extrêmes, qu'il n'est en aucun cas question de pratiquer à moins de vraiment savoir ce que vous faites.
Reprenons donc. Nous nous étions arrêtés quand la demoiselle se trouvait dans une cellule sombre, encore traumatisée par la douleur et la violence de son examen "médical"
Elle resta longtemps sur le sol carrelé et glacial, recroquevillée dans les ténèbres presque entières. Seuls les contours d'une porte se dessinaient dans un coin de la pièce, et laissaient deviner l'étroitesse de l'espace
Elle se sentait parfois reprendre ses esprits, et ses mains se posaient à tâtons sur les murs tout autour d'elle, ce qui faisait naître dans sa gorge un sentiment nouveau, une angoisse plus diffuse mais plus profonde, celle de l'animal en cage
La douleur dans ses membres se mêlait aussi à la gène de plus en plus sensible de son intérieur. D'abord ce fut sa vessie. Elle se retint, malgré la douleur qu'elle sentait dans son anus à chaque fois qu'elle serrait le bas ventre.
Quand elle n'en put plus, elle eut un moment de panique, tâtonnant frénétiquement tout au long de sa cellule, en cherchant un moyen de se soulager ailleurs que sous son propre corps.
Mais on ne lui avait rien laissé, et elle avait à peine la place de bouger. Quand elle se sentit faillir, et que le liquide humide se répandit entre ses cuisses et sous elle, pendant que l'odeur de sa propre urine montait à ses narines, elle pleura pour la première fois. Longtemps, en petites saccades douloureuses remontant le long de sa gorge et de sa bouche endolorie
Puis elle eut faim. Et soif. Le froid qui la faisait déjà grelotter semblait s'infiltrer sur sa peau, et irritait ses envies. Elle se sentait paralysée, prise dans un étau qui se refermait à chaque grondement de son ventre. Ses lèvres étaient sèches et elle sentait chaque sillon qu'avaient laissé ses larmes sur son visage, sans avoir la force de les frotter de ses mains
Enfin, après ce qui avait semblé une éternité, un bruit se fit entendre.
Un grincement de porte, des pas dans un couloir. Puis des cris, des gémissement de femme, lointains et comme affaiblis, couverts par intermittence par une voix profonde et menaçante
Les pas se rapprochèrent, les cris et les suppliques se faisaient plus distincts, la voix d'homme plus violente et terrifiante
Instinctivement, elle s'était recroquevillée contre le fond de sa cellule. L'ombre de l'homme se portait sur son corps, et la faisait se sentir encore plus faible, glacée et vulnérable que les ténèbres
Il entra en reniflant. La voix profonde et violente résonna dans ses tympans "Encore une petite bête. Regardez-la dans sa pisse." Ses yeux s'habituaient à la lumière, mais elle les baissa de honte et de peur, sous le regard triomphant et lubrique du geôlier
Cependant, son corps s'arqua en avant d'un coup, quand l'homme se tourna et prit sur une table roulante un plateau, avec un bol de soupe et un autre d'eau.
Son estomac, sa gorge s'animèrent. Elle releva les yeux vers lui. Mais il ne prêtait pas attention à elle, et déposa le plateau sur le sol, au seuil de la cellule
Elle se précipita en avant. A quatre pattes, vers la nourriture et l'eau.
Elle allait les atteindre, quand elle vit le bras de l'homme se saisir d'un bâton qui pendait à sa ceinture et toucher son épaule. Son corps entier sembla se comprimer. Son souffle fut coupé. Un cri déchirant vibra dans son gosier. Puis d'un coup de pied, il la projeta de nouveau contre le mur du fond.
Brandissant la matraque électrique droit vers elle, pendant qu'elle tentait à tout prix de lui échapper, collée au mur du fond, il lui adressa un sourire goguenard
"Non. Si tu veux ça, il faut être une bonne esclave"
Toujours avec le bâton, il lui fit signe d'approcher de nouveau, doucement.
La peur la tenaillait, elle aurait voulu disparaître sur le champ, mais la faim et la soif la poussaient en avant, le regard suppliant, vers le geôlier sadique qui tenait sa vie entre ses mains
Quand elle fut droit sous son corps, à quelques centimètres du plateau, il lui tendit sa botte
"Lèche"
Elle regarda le cuir brun, tâché de noir et de rouge sombre, aux recoins incrustés de cailloux et de restes de boue. Un haut-le-coeur lui vint
Alors la voix monta, sardonique cette fois, avec une pointe de plaisir non contenue
"Alors tant pis"
Ses yeux se levèrent d'instinct, mais son corps entier repartit en arrière alors que le bâton frôlait son corps, et elle ne put que crier de nouveau, à pleins poumons, collée au mur du fond, quand la porte se referma
De nouveau, les ténèbres. Dans son supplice, le temps se distendait. Elle ne savait plus si une minute, une heure ou une journée avait passé. Seule la douleur, l'envie de plus en plus impérieuse de boire, n'importe quoi, et le désespoir, peuplaient la solitude sans fin.
Quand elle entendit de nouveau le grincement, puis les voix, elle n'était plus en mesure de penser. Ses mains, ses pieds, son corps entier tremblait
La porte s'ouvrit. La silhouette s'approcha de nouveau. La voix monta
"Qu'est-ce que tu pues! Ca donne envie de te prendre comme une bête, tu sais ça?"
Le plateau se posa, le bâton attira son corps tenu au respect, maté. La botte se rapprocha de nouveau de son visage, mais ses yeux ne voyaient plus. Quand elle entendit "lèche", elle sortit la langue et la passa le long du cuir sans question, sans répugnance
Elle sentit la main de l'homme la prendre par le cou. Il la fit monter sur ses genoux, approcha les lèvres de son entrejambe et sortit sa bite, qu'il lui fit sucer
La douleur remonta dans sa bouche, la peur et le dégoût passaient dans son esprit comme des cris très lointains, comme l'agonie d'une autre
Enfin, il sortit sa bite d'elle, tourna sa tête vers le haut, et après lui avoir craché sur le visage, lui fit d'un ton plus doux "Tu peux y aller, maintenant, chienne"
Il recula d'un pas, et elle se jeta sur le plateau. Mais elle s'arrêta net en sentant le bâton sur son épaule, pétrifiée. La voix reprit plus sèchement "Sans les bras!"
Elle lapa l'eau tant qu'elle pouvait, et enfonça presque son visage dans la soupe épaisse, pour apaiser enfin la faim et la soif.
Quand elle eut finit, elle s'allongea sur le ventre, trop fatiguée pour faire quoi que ce soit. La voix la rappela soudain à l'ordre "Remercie-moi"
Automatiquement, elle s'entendit répondre "Merci."
Le bâton passa lentement sur sa colonne vertébrale, et lui donna un hoquet de terreur, mais la voix reprit tranquillement "Merci, maître"
"Merci maître"
"Parfait. On va pouvoir commencer à t'éduquer"
Il referma la porte. Cette fois, l'attente ne dura que quelques minutes. Quand la cellule se rouvrit, un homme en uniforme, comme les maîtres qui l'avaient amenée à l'Académie, se tenait devant elle. Il lui fit signe de se lever et de la suivre.
Elle remonta des escaliers. Les corridors aux murs nus s'ouvrirent sur un vestibule. La lumière d'une fin d'après-midi ensoleillée entrait par une fenêtre. Elle était sortie, pour un temps, des profondeurs.
Voilà. La suite pour bientôt, espérons-le...
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Voici une petite histoire que j'ai contée à ma soumise. J'en garde une petite copie ici. Si quelqu'un veut en profiter, c'est un plaisir de partager.
C'est l'histoire d'une petite demoiselle, douce et bien élevée, avec des jolis yeux expressifs et un sourire de félin
En grandissant, elle prit des formes, des beaux seins et des courbes qui la faisaient convoiter par les hommes
Ses maîtres d'école, ses éducateurs et les gens autour d'elles comprirent qu'elle serait bien et utile à la société en devenant une belle esclave pour un maître de qualité
C'est pourquoi on l'envoya dans un établissement spécialisé, pour qu'elle devienne une parfaite esclave.
Son départ se fit à la façon normale pour l'école. Une équipe de maîtres vint la capturer dans son lit au petit matin. Ils arrachèrent son pyjama et lui placèrent un sac sur la tête, puis lui attachèrent les bras derrière le dos dans une gaine et mirent une chaîne à ses jambes
Elle fut ensuite enfermée dans une petite cage et dans le camion qui l'amenait, avec les autres nouvelles élèves, au domaine privé de son Académie pour Odalisques
Sa promotion était composée de trente petites demoiselles, toutes jolies et toutes bien développées
Chacune avait été envoyée à cet endroit par ses professeurs, ses parents et avec le soutien de tous ceux qui l'entouraient
Tous ces gens savaient qu'elles subiraient un entraînement très dur, et qu'elles seraient traitées comme moins qu'humaines
Mais ils savaient aussi qu'elles feraient le bonheur de leurs maîtres
Et c'était le plus important: qu'elles servent comme elles le devaient, à la mesure de leurs moyens, et avec ces corps qui plaisaient aux hommes
Quand elles sortirent du camion, on les rangea en rang, en reliant les chaînes à leurs jambes, et on leur enleva le sac de leur tête
Elles se trouvaient dans la cour intérieure de l'Académie, un manoir de style néo-gothique, avec des hauts murs de pierre et des bâtiments imposants
aux balcons du bâtiment principal, dans cinq cages étroites et trop petites pour se tenir debout, cinq demoiselles très belles étaient recroquevillées
en les regardant, même de loin, on pouvait voir les stries rouges et les ecchymoses sur leurs corps, et elles grelottaient de froid dans le vent
Il y avait des pics sur les parois des cages, qui les empêchaient de s'appuyer. Elles étaient toutes tordues dans des positions inconfortables, et semblaient épuisées
Des deux côtés de la ligne des nouvelles arrivées, une demi douzaine d'éducateurs, en uniforme complet, avec des tasers en bandoulière et des cravaches à la ceinture, leur firent lever la tête et contempler les filles dans les cages, en leur disant: "On les remplace toutes les 12 heures. Si vous ne voulez pas être les prochaines, soyez sages"
On mena les demoiselles dans le manoir. Des esclaves en costumes de maids, avec les seins à l'air, souvent percés ou lestés de poids, s'affairaient dans les salles avec des plumeaux, ou à quatre pattes pour laver le sol. Dès qu'elles voyaient les éducateurs, elles s'arrêtaient aussitôt pour leur faire une révérence
Un des éducateurs fit s'arrêter la file des nouvelles venues, pour attraper par les cheveux une des servantes. Il la mit à genoux et déboutonna son pantalon pour lui faire sucer sa bite. Elle s'executa, pendant que les autres éducateurs faisaient marcher de nouveau les filles
Enfin, elles arrivèrent dans une aile où tout était blanc. Des éducateurs en blouse, avec des seringues en plus de leurs tasers, et des demoiselles en uniformes d'infirmières, les accueillirent
Elles furent mises à genoux, les unes à côté des autres, et durent attendre dans un corridor. Une par une, on les faisait entrer dans une salle
L'attente était douloureuse, et quand une des filles tomba sur le côté, l'éducateur le plus proche s'abattit sur elle et lui donna un coup de taser avant de la plaquer contre le mur en la tenant par le cou
Puis il lui mit une corde autour du cou, et l'attacha à une lampe. La pauvre demoiselle devait rester sur la pointe des pieds pour respirer
La petite soumise attendit, en essayant d'oublier la peur qu'elle avait au ventre, la terreur qu'avaient causé la vue des filles dans les cages, la honte d'être à genoux et nue devant des hommes, la confusion devant toutes ces femmes en habits indécents qu'elle avait vues. Puis on la fit se relever et entrer dans la salle
C'était une pièce médicalisée. Au centre, une sorte de table en forme de croix, où l'on l'attacha, les jambes et les bras écartés. Et là, offerte, incapable de bouger, devant deux éducateurs, et un troisième qui se faisait sucer par une infirmière, elle fut inspectée, dans ses recoins les plus intimes, par le "docteur" de l'Académie
Le prochain épisode quand ma soumise sera de nouveau sage...
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Par la suite, nul n’évoqua l’incident, ni le lendemain ni aucun des autres jours qui suivirent. Néanmoins, il marque l'origine de ce couple que nous allions former sans l’avoir voulu ni l’un ni l’autre. Cette gifle spontanée avait donné à chacun sa place, sans autre préambule, et tout s’organisa à partir de là. En baissant la tête après la gifle, sans exprimer de protestation ni retenir les larmes qui lentement glissèrent sur ses joues, Sarah s’offrait. En la giflant, je l’acceptais, elle devenait mienne.
La vie « commune » se poursuivit sans autre écueil, comme la routine de deux êtres qui ne partageaient rien d’autre que les repas, les parties de carte ou les soirées de lecture. Chacun veillait à ne pas troubler l’intimité de l’autre et si je la surpris nue, quelques fois par l’entrebâillement de la salle de bain, ce ne fut que par hasard et je détournai aussitôt le regard.
A la fin de la semaine, il me fallut m’absenter quelques jours pour un voyage d’affaires à Lyon. Un nouveau client se présentait et, dans les mauvaises conditions financières où j’étais, l’opportunité était à saisir. J’en informais Sarah et pris le train le vendredi, aux aurores.
Le séjour lyonnais ne se déroula pas exactement tel que je l’avais imaginé. Mieux, probablement, mais avec des conséquences inattendues.
Le client m’avait donné rendez-vous à son bureau en début d’après-midi, au quatrième étage d’un immeuble du quartier de la Part-Dieu. Le type était affable, plutôt élégant et d’une stature imposante. Sa secrétaire m’installa dans une salle de réunion où étaient déjà empilés tous les documents comptables. Il me fallut travailler jusqu’au soir pour en prendre connaissance et me faire une première idée.
Il sautait aux yeux que le client fraudait le fisc et qu’il le faisait avec un amateurisme qui pouvait le mener droit devant les juges. Sa société n’existait que depuis deux ans, elle avait échappé aux contrôles, la chance ne durerait pas.
Lorsqu’épuisé, je refermai le dernier livre, la secrétaire avait disparu. Il était toujours dans son bureau, je frappai à sa porte.
- Entrez-donc ! Vous avez fini ?
- Un premier survol, oui.
- Et alors, qu’en dites-vous ?
- Il faudrait que nous en parlions tranquillement.
- Il se fait tard, en effet. Accepteriez-vous de dîner avec moi, je vous invite goûter une cuisine dont on ignore tout, à Paris.
- Soit !
- Au fait, conclut-il en se levant, appelez-moi Maurice.
Il n’y a qu’un lyonnais pour croire les parisiens incultes en gastronomie mais je dois avouer qu’à l’entrée dans le bouchon, l’atmosphère particulière du lieu, chaleureuse et pleine de vapeurs de charcuterie et de vin, me détendit tout à fait.
Le repas fut on ne peut plus convivial. Fin connaisseur, Maurice, choisit les plats et les vins avec expertise. Quant à la conversation, elle commença par un mélange d’évocations culinaires, d’anecdotes lyonnaises et, très discrètement, d’interrogations sur ma vie personnelle. On finit par en arriver à la gestion de son agence.
- Soyez franc avec moi. Nous n’avons encore rien signé et je veux savoir à quoi je m’engage avec vous.
- Honnêtement, je ne peux accepter de prendre en charge votre comptabilité , en l’état actuel.
- Et pourquoi ?
- Vous avez commis de nombreuses « erreurs » ces deux dernières années, erreurs que j’attribue à de la maladresse ou une connaissance insuffisante des règles fiscales. Un inspecteur des indirects, lui, serait moins indulgent…
- Et si vous me remettiez tout en ordre ?
- C’est à voir…
Une serveuse joliment tournée, aux formes mises en valeur par son uniforme de serveuse - chemisier blanc et jupe noire - nous était attribuée. Maurice eut un sourire ironique en interceptant le regard que je lançai sur sa croupe chaque fois qu’elle nous tournait le dos.
- En vérité, dis-je, vous avez une première solution : reprendre les deux années écoulées et régulariser. Cela vous coûtera une jolie somme mais vous aurez l’esprit serein.
- Et l’autre ?
- Vos activités d’import-export vous ouvrent des possibilités qui, à défaut d’être légales, sont extrêmement difficiles à détecter…
- A quelles conditions ?
- Celle de créer deux ou trois sociétés partenaires, sous prête-nom, dans différents pays d’Europe, en choisissant les moins coopératifs, fiscalement parlant.
Maurice resta un long moment pensif, plus intéressé par l’arôme de son verre de Côtes du Rhône que par mes propos. Finalement, son visage s’illumina d’un grand sourire :
- Si cela vous dit, mon cher, nous finirons la soirée dans un établissement que je fréquente et dont le patron est un ami.
C’est ainsi que trois quarts d’heure plus tard, nous nous installions au comptoir d’un discret cabaret du quartier de la Croix-Rousse. L’établissement n’était pas très vaste mais suffisamment pour contenir une petite scène où venaient se déshabiller de jolies jeunes femmes et une douzaine de tables occupées pour l’essentiel par des hommes esseulés. Les serveuses avaient les seins nus et des robes ostensiblement trop courtes. Maurice commanda deux gins fizz.
- Puisque nous allons travailler ensemble, il va falloir que vous vous mettiez au gin fizz ! Tenez, dit-il en pointant du menton le fond de la salle, il y a là un ami que j’aimerais vous présenter. Il s’appelle Georges, la boutique est à lui, je crois que lui-aussi aurait besoin de vos services.
Le Georges en question nous invita simultanément d’un geste à le rejoindre à une table à l’écart, au ras de la scène. C’était un homme de la cinquantaine, un peu bedonnant, costume froissé, cravate de travers, mais dont on mesurait instantanément l’absence de principes. On faisait avec, ou pas, à ses risques et périls.
Les présentations faites, la conversation roula sur les difficultés des petites entreprises et les ennuis que le fisc cherchait systématiquement à d’honnêtes commerçants comme lui. Je m’engageai à le retrouver le surlendemain pour éplucher ses comptes et lui proposer des solutions. Satisfait de ce premier contact, Georges offrit une tournée et se fit le plaisir de claquer les fesses de la serveuse une fois qu’elle eût servi le champagne frelaté qui faisait l’ordinaire de la maison.
Sur scène, une rousse splendide était apparue. J’en perdis le fil de la conversation. Il n’était pas possible que cette fille soit une professionnelle, à moins qu’elle ne fit que débuter, tant il y avait d’approximation dans ses mouvements. Elle se déhanchait avec une grâce innée mais avec aussi des relents de pudeur attendrissants. Sa poitrine pleine et haute, ses hanches étroites, ses fesses bombées, sa peau laiteuse, tout d’elle me rappelait Sarah. Un fin collier de métal rehaussait le port de son cou. Son ventre ondulait tandis que ses mains glissaient vers son entrejambe. Son string tombé, on put admirer un sexe aussi lisse que l’albâtre et assorti d’un large anneau d’où ruisselait de petites chaînettes scintillantes. L’effet était saisissant., mais il fallait une attention aigüe pour discerner la marque ronde à l’intérieur de sa cuisse, presque dissimulée dans le pli de l’aine et qui prévenait les importuns que la jeune femme avait un propriétaire. Elle glissa son doigt dans sa fente et mina, avec un certain talent, toutes les phases de la jouissance. Je me tournai vers Georges :
- Elle est à qui ?
- A moi, pourquoi ?
- Pour rien.
- Vous la voulez ?
- Non, merci, je crois que je vais rentrer.
- C’est comme vous voulez. Je vous l’offre pour la nuit, comme avance de votre travail.
- Je ne prends jamais d’avance. Je vous fais une offre, vous acceptez ou pas.
Sur ce, j’abandonnai mes compagnons et rentrai à l’hôtel, seul mais avec assez d’images en tête pour combler ma nuit.
Après m’être longuement masturbé dans ma chambre d’hôtel, je sombrai dans le sommeil.
Le lendemain matin, le téléphone me tira du sommeil. Maurice voulait pour me voir. Avec ce ton dont usent les patrons vis à vis de leurs subordonnés.
- J’espère que je ne vous réveille pas.
- Si.
- Je sais que nous sommes samedi mais j’aimerais approfondir vos suggestions. Nous pourrions nous retrouver au bureau vers 14 heures, si vous êtes d’accord.
- Pas de problème.
- Parfait ! Et si cela vous fait plaisir, vous dinerez à la maison. J’ai parlé de vous à ma femme et elle serait enchantée de vous connaître.
- Ce serait un honneur.
- Alors à demain, 14 heures, au bureau.
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Déjà lorsque j'avais 5 ans et que nous habitions près de Bucarest, je me disais, "Un jour, j'épouserai un homme riche." A l'époque, je rêvais au Prince Charmant. Un prince Charmant qui habiterait un château et pas une caravane comme nous.
C'est vers mes dix ans que mon père a décidé de partir pour la France, suite à quelques problèmes avec les autorités. De toutes façons on ne restait jamais longtemps au même endroit, nous sommes "Les gens du voyage".
J'étais contente de pouvoir aller à l'école, même si je changeais d'école au gré des destinations des foires que nous suivions. Tout le monde aura compris que je suis une Rom. On nous appelle aussi Tzigane, Manouche, Gitans, Romanichels dans les meilleurs des cas. Mais, aussi "voleurs de poules." Ce sont les citoyens 100 % honnêtes qui nous appellent comme ça...
Adolescente, je voulais toujours épouser un homme riche et voyager autrement qu'en caravane. Dans une des écoles que j'ai fréquentée, il y avait un garçon qui fait tout ce que je voulais et j'avais déjà beaucoup d'imagination à l'époque. Pour moi, le mari idéal était comme ça. Je choisissais d'abord un petit ami pour me défendre : dur d'être Rom dans la campagne française. Le genre de garçon dur à cuire me plaisait. Mais je recherchais aussi un petit esclave, un garçon amoureux de moi qui faisait mes devoirs, portait mon cartable, se faisait punir à ma place en échange de quelques rares baisers
Le fait d'être Rom est un handicap, bien sûr. Quels sont les parents qui accepteraient que leur fils épouse une voleuse de poules ? Par contre, je suis séduisante. Notre peuple est originaire des Indes et je ressemble un peu à une Indienne : j'ai des cheveux et des yeux très noirs et ma peau est légèrement ambré. Je plais aux hommes et aux femmes. Des amants décidés, j'en trouve, par contre des futurs maris à qui je pourrais mettre un collier et une laisse, c'est rare !
Début juillet, nos étions dans un village près de Marseille et je suis allé en stop aux Saintes Maries de la mer. J'ai demandé à notre patronne Sara la Noire, de m'aider à trouver un mari. J'y crois. Et j'ai raison d'y croire, parce que trois semaines plus tard dans le Nord, un jeune homme avec une montre Cartier semblait fasciné par moi. Genre, je suis une vipère à cornes et lui une gerbille. Au moment où il a renversé sa bière et où je l'ai obligé à nettoyer, j'ai sût qu'il ferait le mari idéal. Merci, Sainte Sara.
Il faisait exactement tout ce que je lui disait... C'est grisant, je mouillais de le voir obéir. On a été danser et j'ai flirté devant lui avec un homme comme je les aime, c'est à dire, un homme viril.
Sara me guide, comme Dieu l'a aidée à traverser la Méditerranée avec les deux Marie. Oui, je connais bien son histoire.
Cet après midi, je rencontre sa mère. D'après ce qu'il m'a dit, elle n'est pas commode. Je lui ai demandé de me donner ses clefs de voiture et son portefeuille. Il se trouve aussi démuni qu'un nouveau-né et sa maman c'est moi. Je le contrôle complètement, j'adore !
Ce midi, on s'est fait invité à manger par la famille. Je mets dans un sac quelques affaires et puis en route.
Il m'indique le chemin, jusqu'à une superbe villa dans une propriété au Touquet. On entre et on se dirige vers la piscine, une grande piscine. Il y a un couple, sûrement ses parents, je ne savais pas qu'il y aurait son père aussi. Julien non plus, car il murmure :
— Merde, mon père est là.
Sa mère est une blonde d'une quarantaine d'années, c'est une belle femme bien en chair. Comme elle n'est vêtue que d'une culotte de maillot, je constate que sa poitrine accuse un petit coup de fatigue.
Le père est un peu plus âgé, il est aussi en maillot. Il est gros et velu.
Je me dis qu'est ce que j'ai à perdre ? Rien ! Au pire, je largue leur rejeton et je retourne au camp. Je me présente :
— Samia, ravie de vous connaître
Eux ne se présentent pas et le père attaque tout de suite :
— Alors tu t'appelles Samia et tu as envie de passer des vacances avec notre fils ?
— Oui, Monsieur, mais d'abord...
Je me tourne vers Julien et lui dis :
— On doit parler entre grandes personnes. Va prendre une douche et prépare quelques affaires. Ensuite attend dans ta chambre, je viendrai te chercher.
— Oui Samia.
Ils sont sciés, les parents ! Yeux ronds, bouches ouvertes. Comme Julien se lève et s'en va aussitôt. La mère me dit :
— Il t'obéit aussi facilement ?
— Oui.
— Et s'il ne l'avait pas fait ?
— Je l'aurais pris en travers de mes cuisses et je lui aurais donné une bonne fessée. C'est la seule façon de faire obéir les enfants, non ?
Là, ça passe ou sa casse. Ça passe : ils éclatent de rire. Le père dit :
— J'adore cette fille. Tu vois Cynthia c'est ce qu'on aurait du faire depuis longtemps.
— C'est vrai.
Le père redevient sérieux, il me dit :
— Pourquoi, veux-tu passer tes vacances avec lui ?
— J'ai envie d'un homme obéissant et attentionné.
— Tu l'aimes ?
— Je l'aimes bien
— Alors c'est par intérêt ?
— Oui, bien sûr, mais pas que ça (Sainte Sara, ne m'abandonne pas)!. Je vous explique, vers 8 ans j'ai eu un petit copain qui faisait tout ce que je voulais : j'ai adoré ça. Je me suis dis "plus tard j'aurai un mari riche, qui fera tout ce que je veux." Quand votre fils a semblé subjugué par moi, je me suis dit "c'est lui que je cherche."
La mère répond :
— Tu sais qu'il est dépressif, paresseux comme une couleuvre. De plus, il boit beaucoup trop d'alcool et prend de la coke régulièrement.
— Je le changerai.
— Tu es bien sûre de toi.
— Oui.
Le père me dit :
— Tu as couché avec lui
— Plus ou moins, il m'a léchée.
Ils se regardent en souriant. La mère me dit :
— Et il te satisfait ?
— Avec sa langue, oui. Rien ne m'empêche de prendre un amant viril si j'ai envie de sentir une vraie queue en moi (Sainte Sara !!)
Ils restent un moment muets, puis, ils se remettent à rire tous les deux. Je mouille ! Le père me dit :
— Qu'est ce que tu veux et qu'est ce que tu proposes ?
— Je veux qu'on se marie et j'en ferai un mari obéissant, sobre et travailleur.
Ils sont un peu sur le cul, les grands bourgeois. Le père me dit :
— Si tu arrives à le changer, d'accord pour le mariage.
— Je dois encore vous dire que je suis une Rom et que mes papiers ne sont pas en règle.
Ils se regardent à nouveau. La mère me dit :
— Laisse-nous parler entre nous.
— D'accord ça ne vous dérange pas que je nage un peu ?
— Vas y.
J'enlève ma robe et je plonge dans la piscine. Mmmmhh, le froid me fait du bien... Je fais quelques longueurs puis je sors de la piscine en me hissant sur le bord opposé à eux. Matez mon cul, les gadjé !
Le père me dit :
— Reviens.
Quand je suis prés d'eux, mouillée et nue, il me dit :
— Si tu le guéris de ces addictions, d'accord pour le mariage dans un mois. Tu vois ça comment ces vacances ?
— On part à l'aventure en stop vers le Midi.
— Vous n'irez pas loin avec ce qu'il a. Tu veux de l'argent, sans doute.
— Non, merci, on va se débrouiller.
Là, ils sont encore une fois surpris.
Ils ont vraiment envie que je dresse leurs fils, mais ils sont méfiants. Le vent m'a séchée, je remets ma robe. Je leur plais ? Physiquement, oui, sans doute, pour le reste... à moi de jouer finement.
Le père me dit :
— Laisse-nous 5 minutes en parler entre nous.
— Oui, bien sûr. Je vais chercher Julien.
J'entre dans la maison en passant par la porte fenêtre du living et je vois la bonne en uniforme qui fait semblant de ramasser quelque chose. Elle écoutait la conversation, bien sûr. Je lui dis :
— Bonjour, il est comment Julien avec toi ?
Elle lève les yeux au ciel.
Ok j'ai compris. J'ajoute :
— Je vais le dresser ! Montre moi sa chambre.
Grand sourire de la petite bonne qui me dit :
— J'en serais ravie. Suivez-moi.
On va au premier étage où se trouve la chambre de Julien. Il est là avec des paquets de vêtements et deux grandes valises à moitié remplie. Il est malade. Je dis à la petite bonne qui est resté sur le pas de la porte :
— Tu pourrais aller me chercher un petit sac de voyage ?
— Oui, Mademoiselle, tout de suite.
Cool d'avoir une bonne, j'en aurai une aussi... bientôt. Julien crève d'envie de me demander comment ça s'est passé avec ses parents, mais il ne le fait pas. je lui dis :
— Tu mets un jean, un tee shirt et des baskets ou des chaussures de sport. pas de caleçon. Allez !
La bonne est revenue avec un petit sac de voyage. Elle le regarde se déshabiller en souriant. Elle me dit :
— Je peux vous aider Mademoiselle ?
— Oui, apporte sa brosse à dents et du dentifrice..
Elle va dans la salle de bain attenante et revient avec ce que je lui ai demandé. Dans le sac, je mets un tee shirt, deux pulls et une veste en cuir. Voilà, je veux qu'on voyage "léger" en tout cas lui. Maintenant une petit peu de dressage ! Je dis à Julien :
— D'après ce que tu me dis, tu n'as pas toujours été très gentil avec la bonne, hein ?
— C'est... vrai, mais...
— Excuse-toi avant de partir !
Il reste là tout con ! Je hausse le ton :
— Obéis !
— Je... je vous prie de m'excuser, Mademoiselle.
A suivre.
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Au sortir de son bain bouillant, à la japonaise, juste après son viol en pleine rue, Jenny prend une décision rapide. C'est une évidence. Elle ne peut pas perdre la face en parlant de viol aussi elle décide de devenir la Maitresse dans les deux sens du terme de Skhor, le seigneur de guerre des quartiers nord. Elle retourne à son bureau et fait comme si rien ne s'était passé. Les deux policiers péteux qui ne sont pas intervenus la regardent en biais. Ils ont honte de leur propre peur. C'est vrai que Skhor n'a pas d'état d'âme. Il coupe un homme en deux avec sa hache plus coupante qu'un rasoir et discute après avoir uriné sur ses victimes. Jenny elle n'a pas peur, ce crétin de viking l'a bien faite jouir et après tout, elle sait qu'il a prit son pied. Ses affaires réglées, elle décide le soir même de se rendre chez Skhor, dans sa hutte en bois sur un toit d'immeuble.
Elle est pour le moins fort mal accueillie par ses deux guerrières lesbiennes qui gardent sa demeure. Mais Jenny ne les craint pas. Elle ne peut s’empêcher de sourire comme un félin rusé. . Skhor m' a baisée et me baisera encore et pas vous, grosses connes, et c'est moi qui bientôt vais commander ici, pense t'elle en montrant ses dents coupantes et luisantes. Le Viking la reçoit, Il est bien emmeché à la bière forte qu'il boit par litres. Il est nu et se prélasse dans un amas de couvertures soyeuses, de coussins, de tentures chatoyantes. Deux femmes nues superbes sont avec lui. Jenny les toise et écarte les jambes. elle ne craint pas la concurrence.
-Ah c'est toi la pétasse que j'ai enculée tout à l'heure?
-Oui, Seigneur Khor, merci pour cet acompte mais j'ai encore envie.
Les yeux noir de prédateur du viking sont sur elle. Il l'a sonde en esprit. il voit à l’intérieur d'elle. Il esquisse un sourire et essuie sa barbe d'un revers de main. Jenny est la pire salope des quartiers nord, elle n'a pas froid au yeux et il aime cela. Il chasse les deux autres femmes superbes de sa couche et invite la Commandante en uniforme tirée à quatre épingles à le rejoindre.
Jenny sait qu'elle vient de gagner. un autre combat commence, tout en finesse. dompter ce fauve, cette brute criminelle, en faire sa chose, son objet, sa propriété. Un jeu passionnant pour elle commence. Tous ses neurones sont en éveil. Tout cela stimule son intelligence. C'est elle qui chasse à présent. Les muscles du Viking, sa bite bien grosse et bien tendue, cela l'amuse. Elle a soif de pouvoir. Les quartiers nord sont à elle. Et skhor, ne sera bientôt plus qu'un molosse bien obéissant.
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Jenny vient de se faire violer sur le capot de sa voiture de police flambant neuve, par Skhor, le viking des quartiers nord. Personne n'est venu lui porter secours. Cet animal lui a perforé le cul avec son manche de pioche. C'est pas un sexe qu'il a ce fou furieux mais un marteau piqueur. Son cul saigne, le sperme coule le long de ses jambes. Elle tremble. C'est con, mais elle vient de jouir a répétition. Ce fou de skhor qui la pilonnait encore et encore. Au début, elle hurlait de douleur. C’était sa première sodomie. et puis, le premier orgasme anal est arrivé, une vague de chaleur, des spasmes dans tout le corps. Elle a lâché prise. Plus honte de rien, et l'orgasme suivant était déjà là. encore plus puissant. Et Skhor qui rigolait. Et ses cons de subordonnés, des flics minables qui avaient la trouille et qui n'osaient pas bouger. Personne pour lui venir en aide. Et le troisième orgasme. Jenny pleurait. Jamais elle n'aurait pensé se faire violer un jour en pleine rue, elle la commandante, la chef du commissariat de police du coin. Jamais elle aurait cru cela possible, à la vue de tous, et personne pour l'aider. Que des trouillards qui filaient bas, le regard en coin. Et le pire c'est que ce con de Skhor la faisait jouir comme jamais elle n'aurait cru cela possible.
Le viking vient de partir, les tremblements cessent peu à peu. Elle remonte son slip sur ses fesses bien rebondies et luisantes d'un rouge sang du à la terrible féssée qu'elle a reçue avant d'être violée avec cette brutalité inouïe qui caractérise Skhor, le Seigneur et Maitre des quartiers nord. Elle rajuste son uniforme. Elle prend le volant de sa voiture et part en trombe. Personne n'osait regarder le viking, mais là, elle sent que tout le monde la regarde et semble se moquer. Elle laisse là ses deux collègues mâles qui lui font honte. Des péteux minables. . Elle file chez elle. Une seule envie: un grand bain chaud, un peu comme Claudia Cardinale dans un western spaghetti après son viol.
Jenny, c'est la première partout, la mieux notée partout. Elle se rend d'un coup compte que tout cela n'était qu'illusions. Skhor n'est pas sur sa juridiction, non, c'est elle qui est sur le territoire de ce seigneur de guerre et elle ne fait pas le poids. Elle passe des heures a réfléchir. Le viol, elle a déjà oublié. Skhor, n'est qu'un exécutant. Il existe plus puissant que cette brute. C'est cela qu'elle doit chercher. Le Marquis de Sade avait bien raison. Il n'est pas allé en prison pour ses délires sexuels, non, il y est allé parce qu’il décrivait trop précisément les sphères de pouvoir. Plus on s'élève dans ces sphères et plus il faut être un criminel. C'est cela qui n'a pas été pardonné au Marquis.
Jenny comprend que ce viol est un test. Porter plainte? A qui, à elle même dans son propre commissariat? Non, elle préfère utiliser Skhor pour savoir qui le protège. Quand au pourquoi....il est des choses que même dans des fictions, il est préférable de ne pas écrire. Je laisse donc le soin au lecteur de les imaginer.
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Malheur à vous, de la race des esclaves, des soumis, des écartes cuisses si vous tombez sur Skhor, le terrible viking, seigneur et maitre des quartiers nord. Il n'a aucun état d'âme, la pitié, il lui pisse dessus. La peur c'est pour les autres. Il fait peur à tout ce qui s'approche de lui et c'est un tueur, il fait clairement comprendre qu'il dispose de ce droit et que cela ne lui pose aucun problème. Oui, il fait peur, par sa seule présence et son ombre rode dans toutes les rues des quartiers nord. La loi c'est lui et mêmes les poulailles doivent lui rendre des comptes.
Une fois, une commandante juste nommée a débarqué dans le commissariat sur le territoire de skhor. Elle ne connaissait pas les règles , croyait à toutes les conneries apprises dans les écoles de la raie-publique. Skhor l'a vite chopée et l'a dépucelée du cul en pleine rue, sur le capot de sa voiture pimpante, gyrophares allumés, devant ses collègues qui n'ont pas bronché, blancs de peur. Skhor porte toujours une hache dans son dos. L'acier brille et peut facilement couper un homme en deux. Comme la commandante n'ouvrait pas assez, elle a reçu une bonne raclée bien sonore. Le sang a afflué sur ses belles fesses bien rebondies. les connes ont toujours les fesses rebondies, allez savoir pourquoi. Cool, je blague, j’écris, c'est une fiction, c'est pour rire un peu. Et chose surprenante la commandante a fini par jouir. dépucelée du cul et contrainte à de violents orgasmes le même jour. Depuis elle file droit, elle a compris qui était son seigneur et maitre.
De toute façon tous les culs et chattes du quartier nord sont propriété de Skhor. Il exerce son droit quand il veut et comme il veut. Juste il aime pas se faire des mecs. Alors il a délégué. Il s'est choisi deux femmes, des guerrières complètement dingues et expertes en god ceinture enduits d'harissa, et couteau castrateur si besoin. Les mecs des quartiers nord doivent baisser la tête et éviter de regarder Skhor et ses deux dingues dans les yeux. Ceux qui ont subi le supplice du god ceinture enduit d'harissa hurlent encore.
La demeure de Skhor est sur un toit d'immeuble. Tout en bois, une sorte de hutte avec des cranes à l'entrée. C'est là qu'il reçoit ses guerriers, donne ses ordres et rend la justice à sa façon. Il n'existe pas d'endroit plus paisible que les quartiers nord. Aucune femme n'est agressée ou simplement embêtée. le vol n'existe pas. les mamies ne risquent pas de se faire arracher leur sac à main. La commandante est montée en grade, elle a été félicitée par son administration pour ses excellents résultats dans un quartier difficile. Personne ne va au commissariat porter plainte. C'est plus sûr de s'adresser à un des guerriers ou guerrières de Skhor. Pas de blablas, une justice vite rendue et sans erreurs.
Je ne sais pas pourquoi, mais il me semble que la commandante aime se rendre dans la hutte de Skhor, le soir, en uniforme pimpant. On entend des cris dans la nuit. Cela met tout le quartier nord de bonne humeur. Cela donne des envies, surtout lorsque la commandante ne retient pas ses orgasmes, libérée de tout, le lâcher prise jusqu'au bout. Skhor en a une énorme. La commandante fait bien des jalouses avec son joli cul bien rebondi. Elle est tout sourire le lendemain. Allez savoir pourquoi?
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Marius est entré dans la police tout jeune, juste après le service militaire. Dès le début, il a voulu profiter de sa jeunesse et voyager. Il a été volontaire pour tous les pays lointains. D'abord c'était mieux payé et puis avec le prestige de l'uniforme, il se tapait un nombre incroyable de meufs de toutes les couleurs. Pire qu'un collectionneur, un malade qui usait et abusait de sa situation. Et en bon dissimimulateur, il était bien noté. Il fit l'école des sous off et sorti parmi les premiers. Il demanda l'Afrique. Il aimait les "négresses", il adorait leurs plastiques parfois sublimes. Et il recommença a perforer des minous de façon compulsive. Le "perfo" c'était son surnom. Marius monta encore en grade et devint officier. Là il prit goût à un autre plaisir, dominer et faire régner la terreur dans ses brigades. Là, il n'avait plus personne au dessus. L'officier avec plus de galons était plus loin et pourvu que les brigades ou régnait Marius le perfo fassent leurs chiffres, ils ne venaient pas voir ce qui se passait vraiment, sauf en de rares occasions et sans chercher trop loin. Dans les administrations on ferme facilement les yeux. Pas de bruits, pas de vagues. C'est opaque. Rien ne doit sortir de "l'interne". Et Marius le pervers sévissait. Il adorait les jeunettes qui venaient en premières affectations ou en stage. Il se les faisait toutes. Il savait exercer la pression psychologique, il savait faire peur. Et les jeunettes baissaient la culotte et offraient leurs culs. C'est comme cela qu'il rencontra Lise, celle qui devint son épouse. Une jeunette vierge au cul somptueux, une qui su le faire attendre, une qui su négocier la redition de sa chatte. Marius marié se calma un peu. Lise savait le satisfaire. Mais au premier mome, il péta de nouveau un cable et se remit en chasse. Il s'apperçut qu'il aimait cocufier. Baiser la femme d'un mec et ensuite ne pas s'en cacher, affronter le mec. De l'adrénaline. Et ces cons de mecs qui se laissaient faire, qui laissaient leurs femmes se faire troncher par cet officier malade. Ah la lacheté. Et cela excitait Marius de plus en plus. IL cocufiait plus costaud que lui, il cocufiait plus puissant. De toute façon c'était facile. Les femmes mariées ouvrent facilement les cuisses quand leur couple bat de l'aile. Et Marius en bon pervers savait y faire. Tout cela finit par arriver aux oreilles de Lise qui décida de se venger. Elle ne prit pas un amant, mais une amante, son avocate, une dominatrice lesbienne, une castratrice qui ne supportait pas les pervers comme Marius. Elle prépara le divorce de lise de façon à ruiner le plus possible son époux. Elle le fit suivre, n'eut aucun mal à accumuler des preuves, des témoignages, un dossier béton. Marius sentait bien le danger, tous les pervers ont un sixième sens. Mais il cherchait un amant, il pensait lui même etre cocu. Le rival était une rivale, et il avait du mal à l'imaginer. Lise préferer une femme, lise une brouteuse de minous. Marius comme tous les crétins de machos pensait que seule sa bite pouvait donner des orgasmes à son épouse. Un matin, il fut réveillé par les girophares des voitures de police. Il pensait que c'était une urgence, qu'on venait le chercher, lui, l'irrenplaçable chef de service. On lui passa les menottes aux poignets. Une dizaine de femmes avaient porté plainte, sans compter celles qui viendraient après le faire aussi, une fois le voile de la peur disparu. Marius se fit enculer sans réserve derrière les barreaux. Un cul de flic, une aubaine pour tous ceux qui croupissaient derrière les murs des prisons. L'avocate de Lise veilla à ce qu'il soit mis dans les cellules les plus hards, avec les pires psychos. Au procès, Marius était méconnaissable. La terreur des jupons avait une peur bleue de l'avocate de Lise. Il n'osait pas la regarder en face. Elle jubilait. Elle savait combien la chatte anale de Marius était devenue un boulevard large et acceuillant. Julie obtint tout ce qu'elle demandait. Elle se mit en couple avec son avocate. De Marius, elle n'eut plus jamais de nouvelles.
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Ce texte est publié sous forme d'article avec l'aimable autorisation de sa rédactrice, Hamadryade.
"Parfois on me pose cette question, mais bien souvent, je croise des Dominatrices qui finissent par baisser les bras, par ne plus y croire, totalement désabusées et déçues par tout ce à quoi elles sont confrontées au quotidien.
Alors me concernant la réponse est simple, j'ai cru être Domina, mais le constat était sans appel, ça n'a jamais été le cas. Être autoritaire et indépendante dans le "civil" ne suffira jamais à faire d'une femme une dominatrice. Correction d'itinéraire en cours de route et aucune marche arrière envisagée ou envisageable. Sujet clos.
En revanche pour les Top-ines et les autres, pour ces FEMMES réellement dominantes et qui désespèrent de trouver le compagnon de vie qui saura se soumettre à leurs désirs à ELLES .... j'ai souvent de la peine et donc j'a eu l'envie de leurs prêter main forte et de leurs apporter tout mon soutien.
Du coup, suite à un post de Madame-L sur le mur général (https://www.bdsm.fr/murgeneral/wall/comment-id_17664/) et aussi à une question sincère d'un switch demandant où le bas blessait, je me suis amusée à tirer quelques fiches de soumis au hasard et à faire un petit (vraiment petit je vous le promets) florilège de tout ce à quoi ces femmes sont confrontées et qui finit par leur donner envie de rendre leurs cravaches.
Je n'ai trouvé aucune fiche n'exigeant pas, aucune fiche respectant les femmes auxquelles ces descriptions sont destinées. Parfois des profils totalement fermés ça oui, et alors ne vous étonnez pas de n'intéresser personne, mais pas une seule fois un profil qui sorte de l'ordinaire, qui donne envie d'en savoir + sur celui qui l'a rédigé. Bon je n'y ai passé que 15/20 minutes au max, et donc ma sélection n'est ni complète ni même objective, mais elles se rapprochent malheureusement énormément de cette triste réalité.
Alors voilà messieurs, pourquoi finalement vous ne trouvez jamais Domina à vos fantasmes. Vous ne vous concentrez que sur vous-même, oubliant systématiquement qu'avant d'être inscrite sur un site tel que celui-ci sous l'étiquette domina, celle que vous recherchez EST D'ABORD UNE FEMME. Avec des goûts, des envies, des attentes, des espoirs, des fantasmes de FEMME. Leur domination, ce n'est que la cerise sur le gâteau, que ce petit truc en plus qui pourrait transformer la relation que vous pourriez établir (avec beaucoup plus d'humilité pitié) avec l'une d'entre elles, en quelque chose de merveilleux pour vous 2.
Mais tant que vous ne fantasmerez que sur de la Dominatrix de papier glacé ou de pixel, alors vous aurez la garantie de devoir faire face à déceptions sur déceptions. Oubliez les récits fantasmés qui pullulent sur le net, les bandes dessinées érotiques, les images mises en scène, les livres gynarchiques etc. Oubliez tout ce fatras qui vous encombre les neurones et regardez avant tout en chaque Domina la FEMME. Tentez de la découvrir, de la séduire, de la faire vibrer émotionnellement, ne lui parlez pas de vos envies et autres exigences, apprenez à découvrir ses attentes à elle et je vous en supplie restez humble et oubliez toute l'obséquiosité dont vous croyez obligé de remplir les messages que vous lui envoyez. C'est insupportable. Stop les "divine Maîtresse", les "Oh ma Reine" et autres fadaises. Vous ne les connaissez pas et il n'y a qu'une minuscule chance qu'elles puissent devenir un jour VOTRE Maîtresse. La politesse ce n'est pas du léchage de pompe et du passage de la brosse à reluire, la politesse vous l'avez apprise enfant, c'est bête comme chou et ça change vraiment la donne.
Voici donc un petit florilège des passages que j'ai pu trouver sur vos profils et qui vous garantissent un échec en 2 secondes chrono :
La recherche tout zazimut, peu importe le flacon tant qu'il est sûr d'avoir l'ivresse
"La Maîtresse d'une vie ! ...ou une Maîtresse d'un moment... ou éventuellement une soumise..." / "relation bdsm, soumission avec femme, homme, couple" / "femme couple homme trans"
la recherche ultra ciblée (il sait ce qu'il veut mais qu'a-t-il a offrir en retour ???) dit aussi le soumis liste de courses
"Recherche réel suivi : contraintes, humiliation, punitions corporelles" / "A la recherche d'une dominatrice maniant douceur et sévérité qui saura prendre en compte mes divers goûts..." / "Fétichisme cuir et naturisme souhaité." /
"attache, enfermement, stage, obéissance, contrainte, services divers.. soirée privée, multi couples... chasteté et travestissement "léger" possible / "Soumis soft ! jeux humiliation !!! Fessés, gifles, uro" /.
Je souhaite rencontrer des femmes black, dominatrice, vêtue d'un uniforme. Des femmes très sévères impitoyables ne cèdent pas aux soumis, pour réaliser des jeux de rôle, basés sur la domination féminine. Des spectatrices pour humiliation, seront les bienvenues."
la recherche dont tu sais que tu vas te coltiner tout le boulot et que tu n'as pas intérêt à relâcher une fois la bride sinon ça serra la preuve que tu n'es pas une vraie domina
"soumis a éduquer par une femme autoritaire" / "une maîtresse qui me prenne en main qui me dresse" / "je cherche une maîtresse qui pourra éduquer le jeune novice que je suis."
la recherche qui te garantit que ta jouissance et la queue de ton gars, bah tu peux oublier tout de suite. T'es Domina merde, tu n'as pas le droit d'aimer te prendre un coup de bite, c'est indigne de ton rang.
" Je ne recherche pas de relation sexuelle (à proprement parler) mais une utilisation forcée et quotidienne au gré de la Volonté de la Maitresse." / "passif soumis je suis aux désirs et offre mon corps de soumis aux jeux de mes maitres".
la recherche qui te fait dire que le gars ne veut surtout pas devoir aller pointer à l'usine, toi tu fais bouillir la marmite, lui il attend que tu rentres pour le fourrer avant que tu ne fourres la dinde parce que "oh mais Maîtresse vous faites tellement mieux à manger que moi"
"Mariage gynarchique" / "très soumis, gynarchiste, âme d'esclave"
la recherche MOI JE (souvent chez les jeunots, ils viennent de quitter maman et z'ont peur tout seul le soir)
"Je recherche une domination de préférence suivi afin d'accroître mon expérience et découvrir de nouveaux plaisirs." / "je cherche une maîtresse qui pourra éduquer le jeune novice que je suis."
la recherche ethnologique
"Je suis a la recherche d'une Damme voulant bien me dresser et faire de moi son sujet d'expérience..."
la recherche cadrée dans le temps (Madame l'officielle part en vacances avec les enfants chez belle-maman, alors c'est maintenant ou tout de suite putain !!!)
"A disposition cet été pour être placé en soumission domestique et sexuelle"
Et tout ça n'est qu'un extrait minuscule de ce que l'on peut lire sur vos profils messieurs .... je suis certaine que les Dominantes de ce site ont du beaucoup plus lourd en stock.
D'ailleurs Mesdames si vous souhaitez partager tout ce qui vous insupporte (sans citer de pseudo, merci) ce post vous est offert. Et vu la masse de soumis en recherche de collier, même si seulement 2% d'entre eux évoluent un peu après cette lecture, ça fera déjà du monde ;)
Ajout de Team BDSM :
A lire également : https://www.bdsm.fr/annonces-dominatrices/
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Bonjour, j’espère que vous allez bien, souvenons nous ! il y a plus d'un an maintenant une fessée m'était promise par Lady H et Myrina. Une fessée à quatre mains. Une fessée virtuelle tout d'abord . Le genre de promesse que l'on ne croit pas vraiment possible réellement. Et puis, contre toute attente ! Un jour, Je roule vers les monts du lyonnais, concentré sur la route, surtout ne pas perdre son permis, respirer, ne pas penser à ce qui m'attend et surtout, surtout ! Ne pas fantasmer. Je roule. Arrivé sur le lieu de rencontre, avec pour cadeau en guise de fleur, une dizaine d'orties (tellement puissantes que ma main est ankylosée). je vois uniquement des visages connus souriant . Derrière moi un couple de belges que je connais pas, chemine dans le désert agricole français ! Ils arrivent. On discute, on essaie de ne pas bourrer le frigo à coups de pieds, le pauvre est déjà trop plein, on se rabat sur le deuxième. Les Mojitos se fabriquent de main de Maître secondé par Daybe, la bratt de sa Reine s'active à placer une sorte d'apéro dînatoire, un jeune sauvage donne la main de ci de la. Et nos Dominas essayent de laisser faire et de profiter du service. Chacun prend ses marques quand nos belges arrivent. Après cinq harassantes heures de route. Ils sont trop fort ces belges. Mais ils ont quand même un drôle d'accent. On se re-bise, ce sont là les deux seules personnes que je ne connais pas invités pour l'occasion de cette fessée. Jacques et Angie. AH mais oui quelqu'un nous enduit d'erreur ils ne sont pas belges mais Suisses. Bon, je ne dirais pas qui ! On discute, on se pose, j'en oublie un moment le pourquoi de la réunion. Quand elle me regarde droit dans les yeux. tu as installé le tréteau ? Demande Myrina le tréteau ? Répète-je bêtement . Le tréteau ! Ah non ! je vais le chercher. un petit coup de transpiration me taquine, tandis que nous installons une chambre dédiée aux jeux. Un tréteau solide, des bambous, un énorme sac à malice, un carcan. Et des orties trônant dans un gros bocal. Elles arrivent ensemble dans la pièce, son regard étonné m'accroche. - tu n'es pas encore déshabillé ? - ….. ! surtout se taire et s'exécuter. Pour la première fois, complètement nu devant Lady H, qui de nous est le plus intimidé ? Nous nous sourions. Myrina me guide au tréteau. Installé par dessus le tréteau, mes fesses se tendent, je ne vois rien qu'une fenêtre aux volets fermés, mais mes oreilles se dressent à l'énoncé de leur programme. Et puis finalement la douceur des caresses s'installe. Un duo de mains se promène sur mon dos, fesses et cuisses. La première claque me fait sursauter, deuxième, troisi... ah non ! Faux départ elles rigolent comme des enfants, me donnent ordre de compter des séries de dix, enchaînent les « faux départs », je me trompe dans les comptes, on recommence, maintenant on compte en canon, elles ne claquent plus à l'unisson. Je me trompe, on recommence.... et ça chauffe, mais ça chauffe. Le temps n'existe plus. Le compte et les claquements du fol amusement de ces dames emplissent la pièce, emplissent le temps. J'entends des voix derrière moi, ça commente, et ça rit. Je ne vois rien, je ressens seulement ma peau s'amincir à chaque claques. Ça finira par se déchirer j'en suis persuadé. Comment peuvent-elles ne pas avoir mal aux mains ? Comment ? Mon cul me brûle, un instant de calme s'installe. Quand soudain je hurle, les orties remontent le long de mes jambes. C'est horrible ! Et on reprend la fessée tant que je suis « chaud » elles sont inventives et poétiques, elles trouvent sympa de finir les comptes par un « petit tambourin » et hop un petit tambourin par ci, par là etc ! Entrée en matière magique et douloureuse, un chariot de joie se déverse sur l'assistance. Nous y sommes ! Bienvenue à vous tous à « la fessée à quatre mains » imaginée et mis en scène par les célèbres Lady H et Myrina pour satisfaire l'insatiable apôtre /heyoka. Bienvenue et merci ! Je n'ai pas dormi plus de trois heures, comme un ange repu. Gavé de douleurs, d'attentions. À sept heures j'enfile un legging et pars marcher, mes fesses endolories se contractent à chaque pas, il pleut et l'air froid pose sa pommade sur mon corps. A mon retour Lady H me propose un café à l'eau. Délicieux ceci dit ! Et nous chuchotons nos vies, nos envies dans la maisonnée endormie. Nos réflexions à voix basse sont soudain entrecoupées par les ébats d'un couple. Témoins chuchoteurs d'une intimité si belle que nous l'admirons. Le matin n'en finit plus, tour à tour on déjeune, puis on mange, ou certains déjeunent après avoir mangé, bref la colonie s’éveille tout au long d'une joie communicative. Angie infatigable, continue inlassablement de nous servir une merveilleuse charcuterie et son fromage, entrecoupé de shibari tout doux en corde de fibres de coco, gloups !!!!! Je n'ai pas pu tout suivre de ce qui s'est passé durant ces moments, mais le jeu est partout, vivant dans les yeux de chacun, des pointes carnassières apparaissent aux prunelles de tous ces Doms présents. Des claquements, des soupirs, des cris, des chuchotements ponctuent les discussions plus communes dans le salon. Elle me regarde, je frémis. Son doigt se lève et me montre la salle de jeu. Mon esprit aussi rapide que l'ours sortant d'hibernation, comprend sans peine que mon tour revient. Je prie pour mes fesses douloureuses. Je monte. J’attends, - mais tu es encore habillé ? Allez dépêche-toi ! Me dit-elle en arrivant. - …... s'ensuit un instant d'intimité en rythme, elle tape avec des bambous... c'est avec le feu au cul que l'heure du grand repas arrive. Chacun se met à la tâche et à tour de rôle on envahit les salles de bain. Le but étant de coller au thème de la soirée « portez de la dentelle ». Quand nous nous trouvons réunis autour d'une table dressée de belle façon, nous sommes tous terriblement beaux et s'ensuit une séance photo digne de Cannes. Le service assuré par les soumises et les soumis ligotés de manière astucieuse est ponctué de punitions suivant les règles établis au début du repas. Mais globalement nos chers Doms restent sur leur faim. Les soum's sont presque trop performants. Gniark, gniark ! Après un jour et demi d'amusement et d'échauffement, cette soirée prend une allure d'apothéose, je connais bien cette sensation où la douleur s'ajoutant aux précédentes me dépose dans un état de grâce. Je m'assoie avec délectation dans la souffrance, plaisir égoïste, purement égoïste, pas de sexe, juste une lancinante envie de monter un cran encore plus haut. La douleur me pénètre doucement ; ma douleur est votre sexe qui s'enfonce en moi elle me vrille le ventre, me donne des sueurs, me rend animal, mon cerveau se perd entre mes cuisses et mes reins tordu par le mal que vous m'infligez..... Jusqu'au moment..... où nous retournons à la fessée à quatre mains ! Et oui plus d'un an que l'on attend tout de même. - non mais ce n'est pas vrai tu n'est toujours pas déshabillé !!!! -........... Tréteau ! Côpain...... Au bout d'un temps, mes fesses n'en pouvant plus, vos caresses pour m'apaiser trouvent l'intérieur de mes cuisses, ma réaction vous étonne, vous revenez.... je me dérobe ! - mais tu es chatouilleux ???? - ….. - Lady il est chatouilleux là ! - Ici Myrina ? - OUIIIIII !! je hurle de rire, c'est insupportable, elles me massacrent de chatouilles je n'ai plus de souffle je crois que j'arrive au bout de vie, comme disent les djeun's. Elles sont aux anges. Je m'écroule épuisé, vidé. A nos cotés les couples jouent. Le martinet de Jacques s'envole, chante et mord Angie. Alter aide Daybe à gravir leur sommet. Je m'agenouille épuisé, Lily prend place au tréteau, et j'admire. Lady pose sa main sur mon cou, je me mets à quatre pattes elle s'assoit sur mon dos. La soirée est magnifique ! En ce qui me concerne cette nuit, se finira par un encasement des plus délicieux, dont un jour, peut-être, je romancerais l'histoire. Les attentions de ce week-end se sont nichées dans mille détails, des détails absolument drôles comme le caquelon gratiné de blettes. La marmelade de blettes au petit déjeuner. J'ose aussi exprimer le regret de ne pas avoir vu L que j'embrasse bien fort, Mais je garde mon uniforme de majorette uniquement pour une prochaine fois. Mais surtout !!!!!!! MERCI A VOUS TOUS....
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Comme à son habitude, en cette fin de semaine, elle n'utilise pas son chauffeur pour se rendre à son travail. Elle choisit de déambuler sur le boulevard circulaire du quartier de la Défense. Croiser des gens qui errent, où se traînent tous ses destins pour qu'elle puisse enfin être seulement elle. Consciente de sa position sociale, responsable du sort de milliers d'âmes qui survivent sous sa coupe. Elle n'en reste pas moins une femme avec ses états d'esprits, ses défauts et ses qualités.
Ce qu'elle apprécie le plus dans ce pèlerinage c'est d'entendre claquer ses talons sur l'asphalte. Voir son tailleur se mouvoir dans les vitres glaces au rythme de ses hanches. Elle est une femme que l'on remarque, qui a de la prestance, elle est grande, "pulpeusement" ronde mais ce qui fait tout c'est son regard... Ses yeux sont dorés, son regard n'a pas besoin de discours, ils parlent et gèlent le sang de celui qui en fait les frais!
Elle passe la double porte de verre, remarque que le garde n'est pas à son poste. Commence alors la ronde des "Bonjour Madame" des têtes qui se penchent légèrement vers l'avant en pressant le pas. Intérieurement, elle jubile!
La nouvelle demoiselle de l'accueil est derrière son guichet, elle est entrain de papoter avec devinez qui? Le garde de la porte d'entrée...
-Cher Monsieur Merson comment allez vous?
L'homme en uniforme se retourne précipitamment tout en baissant les yeux...
-Bien merci Madame Altones et vous même?
-Je vais bien je vous remercie de vous en inquiétez! Mais j'aurais pu vous le dire il y a déjà au moins cinq minutes si vous aviez été à votre poste dès mon arrivée...
-Je vous prie de bien vouloir m'excu...
-Vous n'auriez pas à me présenter des excuses si... Alors ne m'en présentez pas lorsque vous pourriez vous en dispenser si vous n'aviez pas été en faute!
Sur ce le garde encore secoué presse le pas pour regagner son poste.
Elle est de celles qui pensent que s'excuser n'a pas de valeur lorsque cela aurait pu être éviter. Il suffit à bon nombre d'anticiper, de se poser les bonnes questions lors d'actions qui pourraient nuire à autrui. Son regard se porte sur la demoiselle qui s'est paré d'un rouge aux joues très révélateur...
-Mademoiselle, je comprends aisément que votre charme puisse faire tourner la tête de Monsieur Merson. En dehors des heures de bureau vos vies privées ne me regardent pas mais ici je souhaite que chacun accomplisse la tâche qui lui est dû. A l'avenir je vous pris de ne pas avoir peur de dire à Monsieur Merson que tous deux avez un travail à assumer. Puis affirmez vous devant les hommes! Conseil d'amie...
La jeune femme ne su que répondre et resta bouche bée devant ce ton ferme mais empli de bienveillance à son égard. Sans s'attarder Eva se dirige vers les ascenseurs, là, seule, dans la mâchoire d'acier qui la hisse dans sa tour d'ivoire, elle se perd dans le tourbillon de ses pensées. Son planning est chargé, sa secrétaire va sûrement lui annoncer à son arrivée que de nouveaux rendez vous ont été glissé à des horaires insupportables. Mais ce qui la rassure c'est que ce soir elle va pouvoir se prélasser. Dommage qu'elle n'ait pas un homme sous sa coupe actuellement pour palier à ses besoins... Car si elle a bien un défaut c'est celui de ne pas savoir lâcher prise. Elle en est incapable, depuis toute jeune la vie l'a forcé à tout maîtriser, à commencer par elle. Rien d'étonnant à ce que dans ses relations intimes cela soit pareil. Elle est une Dominatrice comme la nomme les initiés. Peu importe ce qu'elle est, elle est avant tout une femme hors normes, qui assume son plaisir différent en soumettant un homme. Pas pour qu'il devienne un homme à tout faire! Elle ne le supporterai pas mais un homme présent, une épaule sur laquelle se reposer et assez confiant pour lui remettre les clefs de sens envies perverses. Au delà de l'aspect sexuel divergent, elle souhaite un compagnon de vie mais sans la routine des vies vanille. Elle veut une coupe chocolat/vanille pour parfumer son existence d'effluves d'humidités palpitantes.
Les portes s'ouvrent et la sort de sa rêverie surtout lorsqu'elle aperçoit sa secrétaire pincer les commissures de sa bouche. Eva comprend que les nouvelles ne vont pas la satisfaire...
-Madame Altones, Richard a téléphoné... Je cite: "Si nous ne voulons pas que le marché avec Tokyo nous échappe, tu dois te rendre ce soir au dîner de bienfaisance de Monsieur Yan Tsong qui sera donné au Grand Palais, j'y serais pour vingt heures. Notre générosité sera récompensée!"
-Quoi?! Ah non pas ce soir! Appelez Richard, passez le moi dans mon bureau! Merci Mathilde...
Eva pose son sac, son attaché-case sur le fauteuil face à son bureau, regarde par la baie vitrée le manège des gens pressés de la Défense. A la première sonnerie de son téléphone, elle se précipite pour décrocher.
-Richard Madame, ne quittez pas!
-Allo ma grande comment vas tu?
-J'irais bien mieux si ce soir je n'allais pas à ce dîner de bienfaisance...
-Allons allons, tu sais bien que mes charmes ne sont pas à ta hauteur! Si nous voulons décrocher ce contrat tu vas devoir te parer de tes plus beaux atours!
-Oh Richard... Je suis fatiguée! Usée de devoir continuellement oeuvrer pour le bien de la société...
-Usée?! Tu ne peux pas l'être ma douce... Pas du haut de tes trente neuf ans! Puis une fois ce contrat décroché tu pourras t'éclipser si tu le souhaites. Aller zou! En piste!
-Je serais là vers vingt heures trente...
-Bisous à ce soir! Je suis ravi que tu viennes cela fait un bon petit moment que nous ne nous sommes pas vus!
-Bisous Richard...
Décidément Eva ne peut rien refuser à son ami Richard, il a toujours les mots pour la faire céder. Non pas ses mots, simplement leur amitié ancestrale qui la fait plier devant cet homme, ce confident de toujours, celui qui sait tout! Il n'y a jamais eu d'ambiguïté entre eux, puisque Richard aime les hommes et ne voit en Eva que la petite soeur qu'il n'a jamais eu la chance d'avoir.
Eva décroche son téléphone, appuie sur une touche.
-Mathilde, pouvez vous s'il vous plait appelez Linda, lui dire de me faire parvenir une tenue de soirée, je la veux noire et aussi une paire de talons aiguilles noir aussi... Qu'elle pense que c'est pour un dîner de bienfaisance, du japonisant fera bien l'affaire... Pour les accessoires je lui fais confiance mais pas outrageux s'il vous plait.
-Bien sûr Madame. Autre chose?
-Non ce sera tout Mathilde pour le moment. Merci.
Une fois raccrocher Eva retire ses escarpins car elle sait que cette journée va être éreintante.
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Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ;
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour luc" ;
3) le publier dans la section "articles" ;
4) me le faire savoir.
1. Je suis du sexe masculin, sans intention d’en changer, et hétéro, avec une seule rencontre, d’ailleurs assez plaisante, avec un homme.
2. A ce jour, j’ai eu un nombre de partenaires sexuels, hors fessée, à peine dans la moyenne française.
3. Je pratique le sport.
4. La fessée est un fantasme qui remonte à l’enfance.
5. J’ai été fessé une douzaine de fois, toujours par des hommes.
6. Je suis persuadé que la présidence de Trump va être un test des institutions américaines.
7. Les fessées trop douces m’ont franchement ennuyé; celles qui m’ont plu m’ont fait mal et laissé des marques pour quelques jours.
8. J’ai toujours été du côté du soumis, mais n’exclue pas d’essayer la domination.
9. Ma très heureuse relation actuelle m’empêche d’être fessé, ne pouvant exhiber des marques.
10. Je suis allé un peu au Québec.
11. Je vois plus les fautes d’orthographe des autres que les miennes.
12. Les photos de fesses d’un beau rouge uniforme me plaisent beaucoup.
13. Je n’ai rencontré que des fesseurs, sinon compétents, du moins fiables et respectueux, ce qui est le plus important, et leur en suis reconnaissant.
14. Je ne révélerai pas ici grand chose sur moi et, entre autres, pas que je trouve la pose de pinces à linges sur mes tétons très douloureuse, mais excitante.
15. La fessée, consentie et entre adultes, peut être une pratique très sensuelle.
16. Les hommes aussi peuvent avoir de belles fesses.
17. Le seul homme que j’ai “connu” m’a sucé dans sa voiture; j’avais malheureusement éjaculé trop vite. Il aurait bien voulu me revoir, mais pour des raisons oubliées, cela n’eût pas lieu.
18. Je suis très famille.
19. Ma consommation d’alcool est très modérée, je déteste la tabagie et n’ai jamais essayé aucune autre drogue que le chocolat.
20. J’aime me photographier nu.
21. Mes fesseurs sont restés habillés.
22. Les détails m’importent.
23. Quand je tenais un blog, j’avais rédigé un lexique de la fessée.
24. Une fessée commence par un échauffement progressif à la main, à la rigueur avec une tawse en cuir, d’une vingtaine de minutes.
25. Le racisme m’est incompréhensible.
26. Si j'éjacule, la fessée se termine; je prends donc mes précautions.
27. Le centralisme (jacobinisme) français m’exaspère.
28. L’humour est indispensable.
29. Le consentement est à la base de toute pratique sexuelle.
30. J’ai beaucoup travaillé.
31. Je rêve de recevoir à nouveau la fessée (flagellation) par un homme ou une femme qui saurait fixer mes limites et les faire progresser.
32. La musique est une nécessité.
33. J’entretiens une relation très amicale avec le martinet et très inamicale avec le tape-tapis, et ce pour la simple raison que je ne suis pas un tapis.
34. Tout comme une phrase se termine par un point, une fessée doit se terminer par une série de coups plus forts.
35. Je ne veux recevoir la fessée que nu, pour le sentiment d’être sans défense; la recevoir partiellement déshabillé me donnerait le sentiment d’être puni.
36. J’ai vécu dans plusieurs pays.
37. La guerre me fait horreur.
38. Mon dernier, et plus fréquent, fesseur, m’a trouvé endurant; il lui a manqué de savoir me faire accepter, entre autres par des caresses sur les fesses, plus que un ou deux coups de fouet.
39. Je suis très fesso-centrique.
40. Pour le reste, demandez-moi; je répondrai peut-être.
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République de Salé - Anno1667
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Lécher Murphy, c'était... ça m'a laissé un sale goût en bouche, au propre et au figuré!
J'ai commencé à aimer, ça avec Foxy... et puis à aimer beaucoup avec Souad.
J'aime son sexe lisse et mouillé, son odeur, son goût et je la fais jouir en la lapant comme une chienne... Elle geint, se tortille, moi qui n'aie aucun pouvoir ici, je me rends compte que ma langue en a... un peu...
Elle reste la maîtresse des lieux et je me doute qu'elle est loin d'être facile!
Quand, elle a joui, elle me dit, "Descend du lit!"
Je me mets vite à genoux.
Elle passe une djellaba légère en voile diaphane, puis prend son fouet.
Qu'est-ce que j'ai fait??? Elle voit que j'ai peur.
Elle dit, "Tu lèches bien, tu obéis encore mieux et tu as peur devant le fouet... Tu es une petite chienne, c'est ça??"
Je hoche vigoureusement la tête! Je ne sais pas si je dois parler ou aboyer...
"Fais la belle!"
Je me mets dans la position les avant-bras repliés. Elle me donne sa main à lécher, puis elle me caresse l'oreille, je gémis de plaisir.
Faire le chien et lécher sa longue main brune, j'ai connu pire comme humiliation!!
Elle me donne une de ses vieilles chemises. Très courte et pas lavée, je reconnais son odeur.
"Tout à l'heure, on te transformera en Princesse... mais avant ça, tu es ma chienne."
Elle me met aussi un gros collier en cuir et y attache une corde...
"Pour que tu ne te perdes pas." dit-elle en riant...
On va dans la taverne, il y a déjà quelques clients. Ils mangent et boivent...
Ils ont l'air content de voir Souad arriver.
"Alors, elle est où est ta Princesse?"
"Au bout de la laisse. Pour le moment, c'est ma petite chienne!"
ça les fait rire.
Elle me donne une série d'ordres, "Assise!!" "Fais la belle!!" "Aboie!"
Oh pas de problème du moment! Du moment, que ça ne fait pas mal. Je prends la pose, les oreilles dressées!! Ouaf Ouaf!
Le chien de la taverne a l'air surpris de me voir faire la belle et aboyer.
Il vient me renifler les fesses!
"Une femelle pour toi, Pero," dit un des hommes...
Il a l'air plus gentil que les hommes, Pero.
"On peut la voir nue, Souad?" demande un des hommes.
"En fin d'après-midi, on la transformera en Princesse et vous pourrez la faire se déshabiller et vous sucer... On attend aussi des Françaises, la mère et ses filles."
Elle a vite assez de jouer avec moi, elle enlève la corde de mon collier et me dit, "Va aider les filles à servir."
Une des servantes m'explique, comment saluer respectueusement les clients, toujours dire Monsieur, Madame ou Mademoiselle. Sourire. Obéir à tout ce qu'ils demandent...
Les hommes m'appellent, me demande du thé, du vin...
Je leur apporte, ils me caressent sous la chemise...
Souad dit à une servante, "Va donner à boire aux filles dehors et montre à la Princesse comme faire."
"Oui, Maîtresse."
Dehors dans un enclos, il y a les filles avec qui j'ai dormi.
On leur apporte du pain, quelques fruits, de l'eau...
Elles mangent et boivent goulûment...
Elles ont des chemises courtes comme moi, mais nettement moins propres.
Elles ont toutes des colliers en fer et des anneaux aux poignets et aux chevilles.
Le Noir les surveille, il est armé d'un grand fouet.
Quand elles ont fini, la servante me dit, "Je vais te montrer, ce qu'il faut faire."
Elle va chercher deux colliers avec des pointes de fer au bout desquels il y a une clochette. "Ce sont les deux filles qui ont essayé de s'enfuir et qui sont attachées pour la nuit. Avec les clochettes, on sait toujours où elles sont."
Ça doit être pénible! De plus il est impossible de se coucher pour se reposer un peu...
Elle met ces colliers aux filles qui se mettent aussitôt à tinter!
Il y a pire, elle prend trois armatures de fer, sortes de cages qu'elle place sur la tête des trois filles. "Elles ont parlé ou répondu à l'homme qui les louent.", me dit la servante.
Ces armatures sont dotées d'une pièce que rentre dans la bouche! Plus moyen de parler! Ça doit être très désagréable. Les filles font la grimace!
Des hommes et des femmes arrivent. Ils viennent chercher des filles. Ils les louent à la journée, pour des travaux divers ou pour des tavernes moins importantes. Ils ont tous les droits sur les filles, mais ils ne doivent pas les abîmer. Les fouetter, oui bien sur, mais il ne faut pas de blessures. C'est normal, c'est comme si on allait louer un cheval ou une mule, il faut les rendre en bon état, aussi.
Quand toutes les filles ont été louées, on retourne dans la taverne.
Je prends les fermes résolutions de ne pas m'enfuir, les clochettes, non merci.
Je continue à servir les clients.
Souad attend les Françaises.
J'ai entendu le capitaine et Wilson en parler hier. Il s'agit d'aristocrates Françaises, qui revenaient des Caraïbes où leur famille a des plantations de canne à sucre. Le capitaine les a achetés pour la taverne. Une Princesse et des aristocrates, la taverne, va devenir l'endroit le plus classe de la petite république... d'après Souad.
En fin de matinée, on voit arriver des hommes avec les trois femmes. Elles sont reliées entre elles par une chaîne qui va d'un collier en fer à l'autre.
Elles ont de belles robes, mais déchirées et sales. Les trois femmes se ressemblent, surtout les deux sœurs. Elles peuvent avoir 18, 20 ans. La mère sans doute dans la fin de la trentaine. Elle a dû les avoir, jeune.
Je me souviens l'état dans lequel j'étais, au début de ma captivité et je comprends leurs larmes et leur désarroi.
Une des sœurs se blottit contre sa mère, l'autre reste un peu en retrait.
Un des hommes dit quelque chose d'incompréhensible, pour moi, qui fait rire tous les autres.
Ici, ils parlent différentes langues dont la "lingua franca", mélange d'espagnol, d'arabe, de français...
"Détache-les", dit Souad...
Quand on leur enlève leur collier de fer, elles ont une belle marque rouge sur le cou. Je suis contente de n'avoir qu'un collier de cuir.
Souad, leur dit, "Déshabillez-vous..."
Elles hésitent. Souad prend le fouet qui pend à sa ceinture...
Là, elles n'hésitent plus. Elles enlèvent leurs belles robes, enfin qui ont été belles et les trois jupons qui sont en dessous.
Elles se retrouvent en chemise... comme moi.
Souad tend son fouet,... elles l'enlèvent.
Les hommes poussent des crid de joies...
Bien sûr, les servantes sont peu vêtues et on peut leur dire de se déshabiller, mais voir ces aristocrates quitter leurs dessous de luxe, pour être nues au milieu des hommes comme des esclaves... ça leur plait.
Les femmes prennent la position de la vénus pudica, un bras replié sur les seins une main sur le sexe.
Le fouet de Souad claque et elle reçoivent un bon coup de fouet sur les fesses, elles poussent un cri... "Mains derrière la nuque!!" dit Souad.
Elles le font immédiatement, les yeux pleins de larmes.
Elles sont franchement belles... La mère et ses filles ont les cheveux châtains. Elles sont jolies, malgré les yeux rouges.
La mère a des seins lourds mais fermes, les filles des petits seins, qui regardent vers le ciel... Elles ont des jambes fines et leur pubis n'est pas épilé, bien que la mode des sexes épilés se répande en France dans la haute société.
"Belles recrues." dit un homme. "Elles et la Princesse, ce sera bientôt les putains les plus célèbres de la région!"
Comme ça, elles sont fixées sur leur sort : prostituées pour des pirates...
Avant d'être vendues.
Souad me dit, "Déshabille-toi et montre-toi"
"Oui, Maîtresse."
J'enlève ma chemise... Je croise les mains derrière ma nuque pour faire saillir mes seins, enfin le plus possible.
Souad me dit, "Tourne."
Je me mets de dos, jambes écartées et je me penche en avant, pour que tout le monde puisse voir que... je suis une fille. Ensuite, je reprends la pose de face. Foxy m'a appris à faire ça.
"Voilà comme il faut se montrer!" dit Souad, "Allez-y!"
Je pense qu'elles ne vont pas le faire. Malgré tout ce qu'elle vienne de subir ces derniers jours, elles ne sont pas dressées comme moi!
Aah, si elles obéissent!
Et Souad joue avec elles... Elle est belle comme une chatte au soleil, jouant avec trois souris captives...
À suivre
Mes livres : "Mia sans dessous", "les fesses d'Eva L." et "Eva en uniforme" sont sur "Amazon kindle"
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Anno 1867
*********
Et puis, c'est le chaos, la fin du monde... Nos soldats se rendent ou sont tués...
On essaye de se réfugier dans la tour du château... Des hommes nous rattrapent. On a beau crier, supplier, ça les fait rire!
Un homme me prend sur son épaule, plaque sa main sur mes fesses et m'emmène...
Dans la cour du château, on est toutes regroupées, moi la Princesse, les filles et les femmes des nobles et puis des servantes et des paysannes...
Je crie, "Mon père est le Seigneur, il paiera pour que vous ne m'emmeniez pas!!"
Un homme brun et barbu me fait un grand sourire et me dit, "Ton père, t'as vendue Princesse!"
"C'est pas vrai, vous mentez, vous êtes..."
Paf!! Il me donne une gifle qui claque sur ma joue!!! Je pousse un cri, ça fait vraiment mal! Dieu sait que j'en ai donné des gifles aux servantes, mais c'est la première que j'en reçois!!!
L'homme continue, "Sois polie, sinon tu vas recevoir la fessée!"
Il est fou!!
"Ton père nous a donné de l'or et les plus belles femmes, pour avoir la vie sauve et qu'on ne mette pas le feu au château!!!"
IL MENT!!!! Mais je ne le dis pas, j'ai la joue brûlante et douloureuse.
Ils nous mettent un collier de fer autour du cou. Ensuite, on est toutes attachées l'une à l'autre par une chaîne.
Sur trois rangées, on se dirige vers le port. La seule lumière vient de la lune, on trébuche...
Des pirates sortent des maisons avec des objets et des femmes qui hurlent!
On entend crier, "Embarquez sur les bateaux..."
Je regarde vers le ciel. Oh mon Dieu, pourquoi, nous? Et même, surtout, pourquoi moi??
Des fouets claquent et on doit courir péniblement jusqu'aux quais.
Je distingue les silhouettes de bateaux dans la pénombre.
On nous fait monter sur une passerelle et on se retrouve dans le noir, dans un endroit humide et puant, sans doute, la cale.
Des filles poussent des cris. Il y en a d'autres qui pleurent. Mon je fais les deux, je pleure et je pousse des cris!
Je suis la fille du Seigneur de la région et je me retrouve enchaînée et enfermée avec des servantes, des paysannes et des prostituées...
On finit par s'asseoir et pour avoir moins froid, je me colle contre ma voisine.
Cette nuit-là, je dors à peine... Des filles gémissent toute la nuit, des bêtes nous courent dessus. Une fille crie, "Ce sont des rats!!"
On se met toutes à crier!!
Le jour est sûrement levé, mais dans la cale, il fait toujours aussi noir.
Enfin, on ouvre une trappe et des hommes viennent distribuer du pain sec et de l'eau!!
La fille contre laquelle, je me suis collée pendant la nuit est une jeune paysanne. Elle ne me connaît pas.
On parle un peu dans le noir... Des filles savent ce qui nous attend : on a été enlevées par des pirates et on va être vendue à Alger... On se lamente toutes...
*-*-*-*
Des heures plus tard, des hommes viennent nous chercher pour nous amener sur le pont...
On est sales, on pue... On a toutes... pissés dans nos vêtements, même moi!
Quelle horreur de traiter des êtres humains de cette manière!
On est sur un très grand bateau. L'air me fait du bien.
Des hommes nous enlèvent les colliers de fer et les chaînes.
Un homme crie, "Déshabillez-vous."
Les filles autour de moi enlèvent leurs robes et leurs chemises. Je fais la même chose... quelle honte!! Les larmes coulent sur mes joues. Je suis nue comme les servantes. Je me cache tant bien que mal en mettant un bras sur mes seins et une main sur... mon intimité.
On doit se mettre sur plusieurs rangées, les unes derrière les autres. Des hommes passent, nous regardent... Certains nous caressent les seins, les fesses.
Celui, qui doit être le Capitaine, à voir comme les autres s'écartent quand il arrive, crie, "Qui est la Princesse??"
Je ne bouge pas... Je crois que j'ai plus de chances de pouvoir m'évader, si on me prend pour une fille du peuple.
Une des filles crie, "Elle est ici, Capitaine!"
Une de mes servantes!!
Les filles s'éloignent un peu de moi... Le capitaine me prend par un bras et en même temps, il me donne une violente claque sur les fesses. Je crie, "aaaaaiiiiieee!!"
"Et alors, tu as oublié, qui tu es?"
Je pleurniche, "Pardon Capitaine, je... je n'avais pas compris!"
Je reçois une nouvelle claque, je crie à nouveau, ça fait vraiment mal.
Il me dit, "Menteuse!!"
Les hommes rigolent. Ils disent, "Donnez lui, la fessée, Capitaine!"
Un autre crie, "Elle a un cul de paysanne, pour une princesse."
"On la fessera plus tard.", dit le Capitaine!
Puis à moi, "Tu es pucelle?"
Je réponds, "...... oui....."
Il me donne une bonne claque sur l'arrière de la tête! Sale brute!! Je dis bien haut, "Oui, Capitaine!"
"Bon, tu vas te mettre là." Il me désigne un endroit près du mat.
Il ajoute, "Les autres pucelles aussi."
J'y vais avec deux filles de commerçants et trois jeunes paysannes.
On est cinq en tout... sur une trentaine de filles.
Le Capitaine s'adresse à quelqu'un, "C'est tout, à ton avis?"
Et alors... je vois arriver quelqu'un que je connais... très bien. Murphy!!!
Je lui dis, "Murphy, tu viens me chercher???"
Elle rigole, le Capitaine aussi. Il la prend par la taille et l'embrasse...
C'est Murphy!!! Elle est habillée et elle semble au mieux avec les pirates...
Alors, elle va me faire libérer??
Comme elle ne me regarde pas, je l'appelle, "Eh, Murphy!"
Elle se tourne vers moi, "Ce n'est plus Murphy, c'est Maîtresse."
Je bredouille, "... mais... pourquoi... tu... vous..."
"Tu parleras quand je te donnerai l'autorisation. Compris?"
Je baisse la tête, "Oui... Maîtresse."
D'abord, les pirates, puis Murphy, bientôt ça va être Satan en personne qui va apparaître pour me tourmenter! C'est un cauchemar!!
Hélas non!
On est six pucelles... Tout le monde nous regarde! Un homme vient nous attacher une bande de tissu rose autour de la taille.
Le capitaine dit à ses hommes, "Interdiction de baiser les pucelles, celui qui le fait, on lui coupera les couilles et on lui fera bouffer!"
Voilà qui semble dissuasif!
Un des hommes demande, "On peut se faire sucer, capitaine?"
"Dans sa bouche, tout ce ce que vous voulez."
Quelle horreur!! Toutes ses émotions plus l'idée que ces hommes enfoncent leurs sexes dégoûtants dans ma bouche, je me sens mal... La tête me tourne et je fais un... malaise...
*-*-*-*
Splaaach!!! Je reviens à moi, brutalement!
J'ai reçu un seau d'eau glacé dans la figure.
Je tousse, je crache, c'est de l'eau de mer...
Le Capitaine se penche vers moi, "Alors Princesse, on fait des manières?"
Je m'accroche à lui, "Mon père est riche, Monsieur, il vous donnera une..."
Il me coupe, "Tu es une emmerdeuse, toi! Tu vas avoir 10 coups de fouet! Tu verras, ça va t'empêcher de t'évanouir!"
Quoi??? Le fouet!! A moi??
Je lui dis, "J'ai pas fait semblant, je vous le jure!"
de plus, pour avoir parlé sans autorisation. Tu as encore quelque chose à dire?"
Je fais vigoureusement "non" de la tête!
20 coups de fouet!!! Il y a un murmure de satisfaction parmi les filles et des cris de joie de la part de l'équipage.
Deux hommes me prennent par les bras et m'attachent, face contre le mât, les bras levés. Je suis toute nue devant cette racaille et ces filles, dont certaines étaient mes servantes!
Je me souviens des cris des filles que je faisais fouetter... Je trouvais ça très amusant de les entendre appeler leurs mères... supplier... promettre tout ce qu'on voulait...
Un fouet siffle dans l'air..."sssswwwwwitch!!" Je ressens une vive brûlure en travers de mes fesses d'une hanche à l'autre! Je pousse un cri aigu, "aaaiiiiieeeeeeee!!!! Pitié, capitaine, ça fait trop mal!"
Il me répond, "C'est le but! Mais comme tu as parlé celui-là ne compte pas. Tu as juste le droit de crier!"
Ooooh non!!! J'entends le sifflement du fouet puis, sssswwwwwitch! Il vient mordre la base de mes fesses! "aaaiiiiieeeeeeee!!!!". Je m'aplatis contre le mât!!!
Je crie déjà quand j'entends le sifflement du fouet, mais l'homme qui le manie s'amuse à le faire claquer dans le vide, avant de l'abattre sur mes fesses.
Rires des pirates!!
21 fois encore, le fouet vient cingler mes fesses et mes cuisses... La douleur est insupportable, je me tords contre la mât!!
Enfin, au 21ème l'homme s'arrête.
Le capitaine me dit, "Tu as compris la leçon, Princesse?"
"Ouiiiii Capitaine... J'ai compris la leçon!!"
Je sanglote contre mon mât!!!
Depuis le haut des fesses jusqu'à la pliure des genoux j'ai l'impression que ma peau est en feu!!!
"Laissez-la attachée au mât à titre d'exemple." dit le Capitaine. Et il ajoute, pour les filles, "Si vous n'obéissez pas, vous serez fouettées comme la princesse! Compris?"
On entend , "oui"... "yes"..." ja"..." Elles ont toutes compris!
Je reste attachée au mât... Les hommes viennent me voir... touchent mes fesses, tire mes cheveux vers l'arrière pour voir mon visage plein de larmes...
Il y en a un qui me dit, "Pas une seule blessure, on pourra recommencer très vite!!"
Je suis en enfer!!!
Tout se passe comme dans un rêve, un très, très mauvais rêve!!
Je reste là interminablement, sans boire et sans manger...
Le soir, on me détache et on m'enchaîne à nouveau dans la cale.
J'ai terriblement mal aux fesses et à l'arrière des cuisses. J'ai aussi soif et faim, surtout soif.
Nous ne sommes plus que quatre dans la cale. Ce ne sont pas d'anciennes servantes du château, heureusement!
Un homme vient nous donner du pain sec et une cruche d'eau...
On mange dans le noir et puis épuisée, je sombre dans un sommeil peuplé de cauchemars, mais la réalité est pire!
Le lendemain matin, des hommes viennent nous détacher et nous font monter sur le pont.
Il y a des filles, un peu partout, occupées à nettoyer. Quelques pirates font régner l'ordre à coups de fouet. On entend crier et supplier régulièrement. La plupart des filles sont nues, quelques-unes ont une chemise.
On n'a plus de chaîne mais toujours un collier de fer autour du cou.
Un homme nous dit, "Vous êtes décidées à obéir à tous les ordres ou vous préférez être fouettées et retourner dans la cale???"
On dit toutes les quatre, "On obéit..."
L'homme crie, "Qui a encore besoin de filles."
Deux pirates viennent voir. L'un d'eux me choisit, mais l'homme dit, "Pas elle!"
J'attends, nue, dans le vent froid... Au bout d'un moment, je vois arriver Murphy. Elle est habillée et me dit, "A genoux devant ta Maîtresse!"
Le fouet, il n'y a rien de mieux pour rendre obéissant. Je me mets immédiatement à genoux. Elle vient se mettre tout contre moi. J'ai le visage contre son gros ventre et sa... son intimité...
Elle me dit, "Regarde-moi!"
Je dois complètement lever la tête pour la regarder.
"Tu vas être ma servante!"
Je voudrais dire, "Vous êtes folle...", mais je me tais.
C'est une erreur! Elle se recule et m'envoie une bonne gifle sur la joue, "On dit, oui Maîtresse."
Je frotte ma joue en pleurnichant, "Oui, Maîtresse."
"Tu verras, je suis une bonne maîtresse. Bien sûr, je te fouetterai, pour que tu n'oublies pas qu'elle est ta place, mais c'est normal de fouetter une servante, non?"
"Oui, Maîtresse."
Elle ajoute, "Tu vas avoir le grand honneur d'embrasser le cul de ta Maîtresse!" Sur ce, elle soulève son ample jupe, dévoilant de grosses fesses blanches.
Elle me dit, "Montre ta soumission à tout le monde!"
Je m'approche de ce gros derrière... lentement!
J'entends des rires autour de nous. Une voix d'homme qui dit, "Venez voir la Princesse!"
Murphy prend ses fesses à pleines mains et les écarte... À ce moment-là un homme pousse ma tête et je me retrouve le visage entre ses fesses.
Je me débats un peu, mais il pousse sur ma tête!!!
Pouahh!!! Murphy se tortille contre mon visage, en disant, "Dans peu de temps tu vas l'aimer mon cul, Princesse!"
Ça ou le fouet? Je préfère ça!! Je ne me débats plus, je lèche un peu!!!
Elle n'est pas propre! Je savais qu'elle n'avait pas beaucoup d'hygiène, mais c'était l'affaire des servantes! Maintenant, j'ai son odeur et son goût dans le nez et dans la bouche!!
Elle me dit, "J'espère que ça te plaît... Parce que j'aime me faire lécher le trou du cul et je ne suis pas la seule!"
J'entends rire des hommes, "Ouais, tu vas avoir du travail, Princesse!!".
Ce n'est pas le fouet qui marque le début de mon affreuse nouvelle vie, c'est ce moment où j'embrasse le trou du cul de celle qui était ma servante sous les rires et les quolibets des hommes!
A suivre...
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Ils sont ici : Amazon kindle
“Mia sans dessous.” Avec 81 dessins de Bruce Morgan.
Bientôt "Mia sans dessous 2" va sortir, lisez vite le 1.
“Les fesses d’Eva L.” à 3,50 e
"Eva en uniforme.” à 3,50 e
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Un château en Irlande.
Irlande - Anno 1667
*******************
Je m'appelle Wilhelmina et je suis née en Irlande. Mon père est un Seigneur qui possède un château et beaucoup de terres, dans le Connaught.
Mes parents ne se sont jamais beaucoup occupés de moi. La plupart du temps, ils sont à la Cour ou à diverses occupations.
Ah oui, on utilise le diminutif de mon prénom, Mina, enfin seulement mes parents ou ma proche famille.
Des gouvernantes se sont succédées auprès de moi, dès ma naissance. Depuis trois mois, il s'agit de Madame Murphy, que j'ai baptisé Murph. Elle est chargée de veiller à ce que j'ai tout ce que je désire.
Mes parents me demandent de temps en temps si je suis satisfaite de Murphy. Et, oui, je suis satisfaite. Elle fait tout ce que je veux. Elle a compris que c'était la condition pour garder son emploi. Par contre, elle est très sévère avec le personnel et particulièrement avec les servantes.
Mon père a droit de haute et basse justice, sur ses terres. Il ne manque jamais de faire fouetter les domestiques ou les paysans quand il le juge nécessaire. J'avais été très impressionnée de voir de très jeunes femmes déshabillées et fouettées en publique. Pour une jeune fille, la honte d'avoir ses fesses dénudées me semblait une punition pire que le fouet. Il faut dire que je ne l'ai jamais reçu!
Les punitions corporelles se pratiquent à tous les niveaux.
Les professeurs, souvent des curés, punissent les élèves, depuis la réprimande jusqu'à la canne. Les maîtres fouettent les domestiques. Il existe une loi, qui s'appelle "the rule of the thumb" (la "ègle du pouce), qui autorise un mari à battre sa femme à condition que le bâton qu'il utilise soit d'un diamètre inférieur à un pouce. *
Petite, je me suis vite rendue compte, que moi aussi, je pouvais punir à ma guise les servantes et les paysannes, soit parce qu'elles avaient commis une faute, soit parce que cela m'amusait. Murphy, ma gouvernante, est une experte dans ce domaine et a fortement encouragé mon penchant naturel. C'est une forte femme et elle manie le fouet avec beaucoup d'habileté. Elle m'a expliqué que le fouet se manie de façon à faire le plus mal possible, sans blesser, de façon à pouvoir recommencer souvent et à ne pas laisser de marques.
La Bible cautionne ses pratiques. Dans la lettre de Paul aux Hébreux, il est dit au verset 7 "Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils."
Plus jeune, j'ai fait part de mon goût pour punir les jeunes servantes, à mon confesseur. Il m'a dit que c'était tout à fait normal et que c'était la seule façon de faire travailler les servantes ou les paysannes qui sont naturellement paresseuses. Rougissante, je lui ai avoué que je repensais à ces punitions et qu'il m'était arrivé de rêver à ça... et que c'était agréable... trop agréable. L'abbé, un homme d'un certain âge ne comprenait pas bien pas ce que je voulais dire. Il m'a posé beaucoup de questions... nécessaires, pour me donner l'absolution. Je lui expliquai que voir relever les jupes d'une servante, pour dénuder ses fesses, puis de les voir rougir sous le fouet, ça me troublait.
Il me demanda, "À part ça, vous n'avez pas de pensées impures mon enfant?"
"... euh... non... mon père."
"Vous aimez simplement les voir punies?"
"Oui, mon père."
"Alors, ce n'est pas grave. Ces filles du peuple sont généralement des dévergondées et ce n'est que justice qu'elles soient punies. Il s'agit, d'une innocente petite distraction."
Personnellement je me conduis avec la retenue due à mon rang. Récemment, la seule chose que j'ai permise à celui qui va devenir mon fiancé, c'est de prendre ma main... et... de la porter à ses lèvres. Nous avions échappé un instant à notre chaperon.
Je me suis confessée le lendemain matin. L'abbé m'a grondée et m'a donné l'acte de contrition à réciter 20 fois à genoux. Je dois attendre d'être fiancée pour me laisser accepter ce genre de privauté.
L'abbé m'a dit, "Amusez-vous à punir vos servantes, mon enfant, mais ne faites pas de jeux de ce genre avant le mariage, Dieu vous regarde!"
Bon. J'obéis à mon confesseur et quand il m'arrive d'avoir un semblant de pensée impure au sujet de Geoffrey, mon futur fiancé, je me défoule sur les servantes. Il y en a une vingtaine dans le château.
J'aime aussi me promener sur nos terres, pour punir les jeunes paysannes.
De toute façon c'est dans l'ordre des choses et je ne suis pas cruelle, loin de là. J'ai même fait donner une dot à une jeune servante que j'aimais bien, afin qu'elle se marie avec un des palefreniers. Mais comme le dit Murphy, il faut que les servantes sachent où est leur place.
Elle a peut-être des pensées moins pures que les miennes. Je sais qu'elle fait souvent coucher une servante dans sa chambre, pour lui masser les pieds si elle a des crampes la nuit. Entrant, dans sa chambre à l'improviste, j'ai plusieurs fois remarqué qu'une servante était dans son lit, sous les couvertures. J'ai fait semblant de ne rien voir.
Murphy aime obliger une servante à se mettre nue pour vérifier qu'elle n'a rien volé ou plus simplement, parce qu'on... se réjouit toutes les deux de la honte de la fille.
Il y a beaucoup de raisons pour donner le fouet à une servante : l'insolence, la paresse, les maladresses, un visage pas souriant... Oserais-je ajouter, pour s'amuser?
Tous les jours, on punit quelques servantes. Comme il y en a une bonne vingtaine, ça veut dire qu'elles ont le fouet deux fois par semaine, ce qui n'est pas excessif. De cette façon, elles sont extrêmement attentives et obéissantes. J'aime ce pouvoir! Cependant, comme je l'ai déjà dit, je suis une maîtresse accommodante. À part des gifles et le fouet de temps en temps, elles n'ont pas à se plaindre. Je sais que c'était pire chez leurs parents à la ferme!!
Une bonne idée de Murphy a été d'installer un pilori dans la salle de garde. Le climat n'étant pas clément, il était cruel de mettre des gens au pilori en hiver.
Mes parents ont trouvé l'idée excellente, les soldats aussi.
De cette façon, celle qui a été punie a le temps de réfléchir à sa faute.
Pas plus tard que ce matin, j'ai été obligée de sévir. Une servante... euh... en vérité, je ne me souviens plus de ce qu'elle avait fait ou pas fait!
De son côté Murphy désirait punir une servante qui ne lui avait pas assez bien... massé les pieds.
Personnellement je suis contre cette promiscuité. Je suis très pudique et je refuse que les servantes me voient nue quand je me lave ou que je m'habille. Murphy trouve ça incroyable, mais mon confesseur pense que j'ai raison.
Ce matin, je fais donc venir les deux coupables. Elles sont jeunes et jolies... les laides sont dans les champs.
Murphy leur dit, "A genoux! La Maîtresse va décider, qu'elle sera votre punition."
C'est à moi de décider... alors... "Voici votre punition..."
C'est un moment de grâce, j'ai tous pouvoirs. "Vous passerez la soirée au pilori du corps de garde de 6 h ce soir à minuit et vous serez fouettée demain matin à 11 h."
"Très bien, Princesse.", me dit Murphy les yeux brillants.
Les servantes supplient un peu... rampent un peu à nos pieds.
"Au travail!", dit Murphy, "ou on double la punition."
Le soir, nous passons par la salle de garde. Les deux jeunes servantes sont là, penchées en avant, les poignets et le cou prit dans les orifices du pilori.
On a relevé leurs jupes et leurs fesses sont nues. Les soldats ont bien le droit de s'amuser aussi. Comme il y a en deux qui... leur content fleurette, je détourne pudiquement le regard.
Le lendemain matin, je m'étire dans mon lit. Je suis de bonne humeur en pensant aux deux servantes qu'on va fouetter ce matin et qui ont dû passer une mauvaise nuit!
Les punitions se passent dans la salle de garde et il y a toujours des spectateurs, des soldats, des domestiques...
Et puis, je me dis, ce sera plus amusant ce soir!!
Les servantes nous attendent, en chemise, les pieds nus.
Je dis à Murphy, "On fera ça ce soir Murph."
"Bien, Princesse."
C'est amusant de différer une punition!
L'après-midi, nous avons des visites... c'est d'un ennui!!
J'attends le soir pour me distraire.
Enfin, ils s'en vont. Mes parents et les gens de la cour ont leurs occupations, moi je file dans la salle de garde.
Les filles sont là, pieds nus et en chemise comme ce matin.
Murphy va les fouetter.
"Enlevez vos chemise" dit Murphy.
Elles obéissent aussitôt. Leur peau est très blanche et elles tremblent de froid... et de peur.
"Vous n'allez pas avoir froid longtemps, leur dit Murphy, je vais vous réchauffer.
Avec l'aide de deux soldats, elle attache les filles, l'une contre l'autre, les bras tendus vers le haut de façon à ce qu'elles soient sur la pointe des pieds.
Murphy fait claquer son fouet. À ce bruit les filles poussent un cri... Elles se pressent l'une contre l'autre. La position les oblige à bouger, dans l'espoir vain de trouver un appui pour leurs pieds tendus. Leurs jambes se tendent pour essayer de diminuer la tension dans les épaules. Leurs fesses nues frémissent, blanches dans la lumière des bougies et des torches...
Murphy commence, d'un geste souple mais plein de force et... de grâce. Elle déploie le fouet qui décrit un cercle et vint claquer sur les fesses des filles. Elles poussent un cri aigu en contractant leurs fesses qui s'ornent d'une première marque rouge. Murphy attend quelques secondes, puis la lanière vient mordre le haut des cuisses... Ensuite, elle fouette le dos depuis la nuque jusqu'au haut des fesses, puis les jambes et les mollets... Les filles agitent leurs jambes, ce qui ne fait qu'accroire la douleur dans les épaules...
Murphy envoie un méchant coup de fouet qui vient s'enrouler sur les mollets des filles. En poussant des cris aigus, elles lèvent leurs jambes, immédiatement Murphy envoie le fouet de bas en haut entre les jambes des filles, les lanières viennent claquer sur leurs... enfin vous voyez ce que je veux dire. je détourne pudiquement le regard.
Il y a des rires et des bravos venant des spectateurs...
Je lui dis, "Encore quelques coups sur leurs fesses Murph." C'est vrai quoi, il faut rester correct. et puis le bruit fouet qui vient claquer sur les fesses, mêlé aux plaintes des filles, cela fait une musique si agréable...
Elles se poussent en avant, comme pour diminuer l'ampleur de leurs fesses, impossible. Elles ont toutes les deux de belles fesses, on nourrit bien nos domestiques.
Les meilleures choses ont une fin, enfin je veux dire pour les spectateurs,! On arrête la punition. Les filles continuent à crier, ça devient franchement pénible!
Murphy leur dit, "Vous voulez une bonne raison de crier..."
Non!!! Elles ne veulent pas! On entend plus que des gémissements étouffés...
Murphy et l'intendant les détachent. Elles viennent rapidement et péniblement se mettre à genoux devant moi...
C'est le moment du repentir et des bonnes résolutions, ça donne à peu près ceci, "Pardon, Maîtresse, on ne sera plus paresseuse ou insolente..."
Je leur abandonne mes mains qu'elles couvrent de baisers et de leurs pleurs...
C'est un peu dégoûtant, mais... grisant!
Je leur demande, "Ce sera suffisant comme punition?"
Alors là c'est un concert de supplications... abjectes... mmmmhhhh...
Je fais signe à Murphy, que j'en ai fini.
Elle leur dit, "Reprenez le travail."
Les filles n'en demandent pas plus. Elles enfilent leurs chemises et quittent le corps de garde.
Je me sens, comment dire... un peu troublée, mais aussi apaisée.
Murphy me dit, "Pour demain, il y a une nouvelle servante, qui..."
Et, là oui, là, tout bascule!!! On entend des cris des coups de feu. Des hommes en armes arrivent dans le corps de garde... Ils sont très bruns de peaux avec des barbes noires. Ils ont aussi des pistolets et de grands sabres recourbés
J'entends crier, "Au secours, les pirates Barbaresques!!!"
Ouh non!!
À suivre.
* rule of the thumb : authentique.
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4 - Mia est en vente.
Monsieur A, le directeur, est assis dans un fauteuil et parle avec plusieurs personnes.
— Monsieur...
Il se tourne vers moi,
— Tu ne vois pas qu'on discute ?
— Juste trente secondes.
Soupir excédé.
Je lui dis :
— Le dessinateur est d'accord pour me faire des dessins.
— Lequel ? Je t'en ai montré deux.
— Le plus jeune des deux.
— Tu te fous de moi ?
— Non, je vous jure.
Je lui montre le dessin. Il a l’air très surpris et me demande :
— Tu sais qui c'est ?
— Non, je ne le connais pas. Enfin si... on a... j'ai.... non, rien.
— C'est Bruce Morgan, un excellent dessinateur.
Aaah ?
— Où est-il ?
— En haut, Monsieur.
On monte voir « mon » dessinateur.
Je veux entrer dans la chambre, mais il me dit :
— Attends ici.
Pfff...
Je colle mon oreille à la porte, mais je n'entends rien.
Quand il ressort, il me dit :
— Oui, c'est vrai ! Il est même d'accord de publier avec toi.
Oh ? J'ai du mal à bien réaliser... ce serait fait ? ?
— Bon, je vais faire un contrat.
Je le suis dans un bureau qui se trouve au rez-de-chaussée.
Il allume un PC et me demande mon nom, mon adresse...
Pour le dessinateur, il a tous les renseignements.
Il imprime un contrat en 3 exemplaires et me les tend en disant,
— Mets un paraphe au bas des 3 premières feuilles et signes la dernière.
— Un paraphe, Monsieur ?
Il me montre comment faire. Marrant !
Je parcours... enfin, non, je ne lis pas !
Je « paraphe » et puis je signe la dernière feuille.
Il me donne mon exemplaire en me disant :
— Tu peux dormir ici, il y a une chambre.
— Merci, Monsieur.
Il ajoute :
— Mais, la soirée n'est pas finie. Comme convenu, tu continues à faire le service.
— Oui, bien sûr Monsieur.
J'ajoute :
— Qu'est-ce que je peux faire pour... pour...
— Faire le service, je te l'ai dit.
— Non, je veux dire, je pourrais essayer qu'on parle du livre, faire de la publicité.
Il rit, ça ne doit pas lui arriver souvent.
— Douée comme tu l'es, tu serais capable de coucher avec tous les libraires de France pour qu'ils vendent ton livre... Tu devrais demander à notre responsable de la publicité sur le Net.
Il me désigne un grand type avec une chemise noire, en disant :
— C'est lui !
— D'accord, merci beaucoup et je peux lui dire...
Il me coupe :
— Oui, tu peux lui dire qu'on va publier ton livre. La fille qui est avec eux s’appelle Anaïs, elle a un blog « Miss Nanou » qui teste les sex-toys et parle des livres érotiques, ce serait une très bonne chose si elle te faisait une bonne critique.
La fille qu’il me désigne est une brune pas très grande avec des lunettes. Elle est jolie et porte une robe tellement décolletée qu'elle a pratiquement les seins à l'air. Elle rit comme une fille qui a un peu forcé sur le champagne.
Le directeur me prend par le bras, en disant :
— Maintenant reprend ton service, il y a des gens qui n'ont plus à boire, tu leur parleras plus tard.
Pfff... Je vais près du petit groupe. Il y a mes cibles « chemise noire » et Anaïs « nichons à l’air ». Ils sont avec un autre homme qui a une cravate rouge Les hommes ont environ 35 ans, la fille est plus jeune. Ils ont manifestement tous pas mal picolé.
Tandis que je les regarde en me demandant comment je vais faire, « cravate rouge » m'aperçoit et m'appelle :
— Pppssiiittt !! Viens ici.
— Oui, Monsieur ?
— Essaie de nous dégotter une bouteille de champagne.
Je vais chercher une bouteille et lui apporte.
— Merci, petite.
Je reste là... Je vais...
L'homme me dit :
— C'est bon, merci, tu peux disposer.
— C'est que... on va publier mon livre.
Ils se tournent tous les trois, vers moi.
« Nichons à l'air » dit :
— Attends, ne dis rien. Je vais deviner le titre de ton livre... Tu as écrit... « Les mémoires d'une serpillière. »
Ils éclatent de rire ! Ça commence bien.
Et puis les hommes s'y mettent aussi.
Non, je crois que c'est « 50 nuances de vaisselle sale. »
Ou, « La vérité est au fond de la cuvette. »
Ils sont morts de rire ! Et ils continuent :
Non, c’est un guide : « Comment bien laver les culottes de Madame. »
« Va peloter la bonne, maman est occupée. »
J'en ai les larmes aux yeux, mais pas de rire ! !
Anaïs « nichons à l’air » s'en aperçoit et dit :
— On arrête, sinon elle va pleurer !
Elle se tourne vers moi :
— On va publier ton livre, qui s'appelle ?
— « Mia sans dessous », Mademoiselle.
Ils se remettent à rire !
Je me tourne vers « chemise noire » :
— S'il vous plaît, Monsieur, dites-moi comment je dois faire pour que mon livre se vende.
— Tu nous déranges pour ça ?
— C'est que c'est important pour moi.
Je regarde « chemise noire » dans les yeux, en disant :
— Je vous en prie, je ferai ce que vous voulez.
Anaïs « nichons à l'air » intervient :
— Allez, va baiser cette petite, j'ai vu comme tu matais son cul !
Il hésite... Je me retourne et ramasse un petit truc par terre... ce qui met en valeur... mes arguments.
Ça les fait rire à nouveau. « Chemise noire » dit :
— Bon, on va aller discuter dans la chambre.
— T'es fou ! Tu ne vas pas défaire un lit pour tirer une bonne. Une fille comme elle, on la trousse devant son évier ou sur la table de la cuisine, voire dans les chiottes !
— T'as raison, vas pour les chiottes !
— Euh... je ne vais pas dire « Mais je ne suis pas une fille qu'on baise dans les chiottes », parce que je suis sûre qu’ils vont rire à nouveau !
On va dans les toilettes. Elles sont spacieuses.
Il me dit :
— Penche-toi, les avant-bras sur la planche, la tête dans la cuvette. Et remue bien ton cul quand je serai dedans, sinon je tire la chasse !
Ppppfff... Je suis tombé sur un imaginatif, normal dans la pub. J'avais déjà eu un aperçu quand ils ont joué « titres de ton livre. »
Il remonte ma jupe et constate que je n'ai pas de culotte.
L'eau au fond de la cuvette est jaune et il y a quelques papiers. J'aurais dû nettoyer les toilettes, mais c’était difficile de prévoir que j’allais me retrouver la tête dedans !
— Aiiee !!
Il est entré en moi d'un coup ! Faites comme chez vous, hein ! On se croirait au Sofitel de New York !
La menace de me faire arroser le visage et les cheveux par de l'eau pisseuse me stimule bien ! Je remue les fesses comme une danseuse de twerk !
Et ça marche, le twerk ! Au bout d'une dizaine de minutes, le monsieur de la pub qui est derrière moi pousse quelques grognements, j'imagine qu'ils signifient : « Je vais jouir en vous, ma belle, contractez bien votre vagin ! »
Oh ! Je sens un petit ballon en moi, c'est le préservatif qui se remplit.
Il sort, me donne une claque sur les fesses en disant :
— Tu le remues bien, petite, je vais t'aider !
— Merci, Monsieur.
Oui, et merci à mon cul, c'est un précieux allié. Si j'étais assez souple je lui ferais plein de bisous !
On retourne dans le grand salon. Aussitôt, le directeur me tombe dessus et m'engueule :
— Et alors, où étais-tu ? Je t'avais dit que tu devais aider au service jusqu'à la fin de la soirée.
Si je lui dis que j'étais en réunion avec
les publicitaires, il va s'énerver.
Alors je la ferme... mais ça l'énerve aussi !
— Bon. Eh bien tu vas tout nettoyer quand tout le monde sera parti et je veux que ce soit nickel, c'est bien compris ?
— Oui M'sieur. Mais avant de nettoyer, je peux demander à la blogueuse de parler de moi ?
Le directeur pousse un tout beau soupir,
— D’accord !
Je vais chercher le manuscrit et me dirige à nouveau vers le petit groupe… « Chemise noire » dit à Anaïs :
— Ça va être pour toi cette fois-ci.
Facile après ça ! Je lui demande :
— Vous voulez bien jeter un minuscule coup d’œil à mon manuscrit.
« Chemise noire » lui dit :
— Essaye-la, elle est habile.
Anaïs fait la moue :
— Je ne fais pas ça avec des filles.
— C’est pas une fille, c’est un sex-toy !
Ils rigolent tous, à nouveau.
Dure, la vie d'auteure ! !
Mais, présenté comme ça, ça lui plaît…
Elle s’assied à une table, moi en dessous, bien sûr. Il n’y a pas que Mia qui soit sans dessous, Anaïs n’en a pas non plus. Je me retrouve tout de suite la bouche sur sa chatte aussi lisse qu’une savonnette. Si elle n’aime pas les femmes, elle aime les sex-toys… car elle réagit tout de suite… On devient vite intimes, c'est-à-dire que je connais l’odeur et le goût de sa chatte…
Elle a beaucoup aimé ma langue et ma technique… Mon livre également et elle en parle très gentiment.
Le directeur de la publicité a aussi tenu ses engagements et même au-delà puisqu'il m'a fait une série de sites.
Inutile de dire que je lui suis très reconnaissante !
Je revois Anaïs « nichons à l'air » quand je cherche un titre pour mon nouveau livre ou pour autre chose. Elle n’aime toujours pas les filles, mais elle aime toujours les sex-toys !
Le seul problème est que je n’avais lu le contrat. Il est écrit que je devais continuer à faire le service pour toutes les soirées organisées par les Éditions Millevertus. Il y a des bons côtés, en partant les invités me donnent pas mal de pourboire. Oui, parce qu’en attendant de toucher mes droits d’auteur, je continue à tirer le diable par la queue (et pas que le diable !). Ce qui m’ennuie plus, c’est que je dois plus être déguisée en soubrette, mais en lapin rose !
Je perds de ma crédibilité d’auteure. Je crois que Frédéric Beigbeder n’a jamais dû se déguiser en lapin rose pour être publié. Je me verrais bien dans Lui, moi…
Voilà, mon rêve s'est réalisé. Mon rêve suivant est que les volumes suivants, déjà prêts, soient publiés... Quitte à faire le lapin rose autant qu'ils veulent...
Alors, si Dieu le veut...
P.S. : Vous allez me demander, si tout est vrai.
Bien sûr, il s'agit des Éditions de la Musardine, qui ne ressemblent pas aux Éditions Millevertus. « C'est beaucoup moins amusant ici » m'a dit le vrai directeur... »
Quant à Bruce Morgan, il est terriblement sollicité. J'ai donc dû trouver des arguments pour qu'il me fasse des dessins et... comment dire... une fille, plutôt mignonne et qui ne met jamais de culotte, elle a des arguments !
***
— MIA ! Tu es occupée de dire publiquement que tu as eu des relations sexuelles avec Bruce Morgan pour qu'il te fasse des dessins ! ? ! ? Sa femme va être ravie d'apprendre qu'il la trompe ! !
Mais… pas du tout, la Voix ! Et puis, d'ailleurs... sucer, c'est pas tromper !
***
J'ai raison, hein ?
Enfin bref, « Mia sans dessous », 370 pages et 81 dessins de Bruce Morgan, est en vente.
*-*-*-*-*-*-*
Depuis, j'ai écrit 2 livres : "Les fesses d'Eva L" et "Eva en uniforme"
Je ne veux pas énerver le webmaster en mettant des adresses, alors disons, que si vous surfez sur amazon kindle vous me trouverez et je suis super-bonne, je veux dire mes livres sont super-bons et à 3,50 e pour les 2 Eva. Oui, je suis en vente... pas cher :o)
https://www.amazon.fr/Mia-sans-dessous-Michael-ebook/dp/B01DUI7ZJW/ref=pd_sim_351_3?ie=UTF8&psc=1&refRID=6ECBWGE65BVE6MR3RH95
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3 – Dessine-moi un mouton.
Quand son bureau est plus propre que... la salle d'opération où on va opérer un dictateur, il murmure :
— Il y a des fautes.
— Oui, mais...
— Pourtant… c’est pas mal...
Oh merci, mon Dieu.
— Et même... amusant...
Je me risque à dire :
— Vous croyez que...
— Je ne vous ai pas dit que j'allais vous publier... Il faudrait quelque chose en plus... des dessins, par exemple. Et puis…
Je me méprends sur le sens de ces derniers mots, pensant qu’il a peut-être envie de… quelque chose de plus. Je lui dis :
— Oui ? Je ferai « tout » ce que vous voulez.
J'ai mis de l'emphase sur le « tout » !
Là, il me regarde un peu dégoûté et dit :
— Si c’est vous que vous proposez, je ne suis pas intéressé. Ce n'est pas que vous ne soyez pas assez séduisante, mais vous avez besoin d'une très longue douche !
Alors, pour réussir dans la... littérature, il faut sucer et ne pas avoir de fierté !
Et sentir bon !
— Bon... Samedi, on organise une soirée pour nos meilleurs auteurs. Vous pourriez y rencontrer des dessinateurs...
— Oh oui et...
— Vous viendrez pour faire le service avec d'autres filles... Je vous montrerai les dessinateurs que vous pourriez intéresser. Une servante qui écrit, ça pourrait éveiller la curiosité de certains. Bien sûr, vous ne serez pas payée. De plus... vous viendrez à l'adresse que je vais vous donner et vous nettoierez soigneusement.
Je me dépêche de répondre « D'accord Monsieur… » avant qu'il ne m’ordonne d'aller aussi laver sa voiture !
— Après avoir nettoyé, on vous indiquera la salle de bains. Passez-y un très long moment ! Vous voyez ce que je veux dire ?
Le rouge aux joues, je réponds :
— Oui, mais, vous savez, c'est parce que...
Il s'en fout ! Il continue :
— Ensuite une amie vous aidera à vous coiffer et à vous maquiller. Elle vous trouvera un uniforme pour faire le service. Vous ferez exactement ce qu'elle vous dira, y compris au cours de la soirée. Vous aimez obéir aux femmes, non ?
— Je serai aussi obéissante que mes héroïnes, Monsieur.
Il a un sourire de 2 cm... Ouais ! J’ajoute :
— Vous pourriez dire à Monsieur Bajram que je dois nettoyer chez vous samedi.
— Qui est Bajram ?
— Le patron de la société de nettoyage.
— Je demanderai à ma secrétaire de le faire. Ah oui, je garde votre DVD. Je ferai imprimer le début, vous pourrez le montrer plus facilement.
Il ajoute :
— Vous avez tout nettoyé soigneusement, ici ?
— Oui, Monsieur. Il me reste le couloir à faire et...
Là il ne me coupe pas la parole, il attend la suite.
— Et les toilettes...
— C'est un endroit qui doit être impeccable ! Je vérifierai ! C'est bon, vous pouvez y aller.
— Merci, Monsieur.
Il n'est pas très... chaleureux et c'est un obsédé de la propreté, mais il va m'éditer... peut-être...
Je termine le nettoyage. Le couloir et les toilettes des Éditions Millevertus étincellent.
J'ai pris pas mal de retard. Les autres filles sont parties.
Je rejoins l'entrepôt où je peux dormir avec d'autres filles dans une petite pièce.
***
Étant donné qu'on travaille la nuit, on dort tard.
Le lendemain, après avoir fait sa petite pipe à Bajram, qui trouve que je suis très douée, je lui demande s'il a reçu des nouvelles du directeur des Éditions Millevertus.
Et, oui, c'est en ordre. Il me déposera même samedi midi en camionnette, car la maison est en dehors de Paris.
Tout se goupille bien, sauf que vendredi soir, je suis de corvée. Cette fois-ci, on va nettoyer des bureaux dans le 9.4.
Tout ce qu'il ne faut pas faire ! Je suis sûre qu’Éric Emmanuel Schmidt n'a jamais dû faire du nettoyage pour être édité !
***
Samedi ! Je me lève à midi. Je suce Bajram pour la dernière fois, j'espère !
Il me dépose à Senlis, devant une belle villa.
Je sonne. Une jolie métisse vient m'ouvrir.
Elle est au courant et ne me fait pas trop de remarques sur mes vêtements.
Elle est gentille, belle et énergique. C'est ce qu'il me faut. Elle me lave, « soigneusement » et partout, comme a dit mon futur — oh, j'espère — éditeur.
Ensuite elle me masse... mmmhhhh... c'est agréable ! Elle me coupe les ongles des mains et des pieds, me coiffe, me maquille...
Ensuite, je m'habille moi-même. Une robe noire et un petit tablier blanc.
Je me regarde dans un miroir... je suis transformée... presque belle... en tout cas, séduisante. C'est ce que me dit la métisse.
Et là, je me rappelle ma corvée. Nettoyer et ranger la pièce de réception.
Je lui dis :
— Je dois nettoyer...
- Non, la bonne s'en est occupée. Il y avait trop de travail pour te transformer !
***
— MIA !
Oui la Voix
— Tout le monde s'en fout qu'une métisse te coupe les ongles des pieds, accélère ! Qu'est-ce qui se passe après !
***
Le soir, il y a des invités, un buffet et beaucoup à boire...
Ce sont tous des gens qui sont dans le domaine des livres ou de la BD. Des auteurs, des scénaristes, des dessinateurs.
On est 4 serveuses pour s'occuper d'une vingtaine d'invités.
Normalement, le petit personnel passe inaperçu dans ce genre de soirée. Si, si, je vous parle d'expérience.
Mais, pas ici... J'ai droit à quelques compliments et même à quelques mains discrètement baladeuses sur ma croupe.
On sert à manger, à boire...
Le directeur me montre 2 dessinateurs que je pourrais intéresser.
Il y en a un qui me plaît plus que l'autre. D'accord, c'est avant tout le talent qui compte... mais, je suis une fille et blonde !
J'essaie de me rapprocher de lui le plus possible.
Enfin, il me fait signe.
— Oui, Monsieur ?
— Apporte-moi un scotch, sans glaces.
— Oui, Monsieur, tout de suite.
Je lui apporte son verre.
Et maintenant, je vais lui dire... je vais lui dire...
— C'est bon, tu peux disposer.
— Dites… vous voulez bien me faire des dessins…
Il est surpris,
— Tu veux que je te dessine un mouton, petite Princesse ?
— Oui, mais... non, des dessins pour illustrer mes histoires....
D'accord, c'est un peu surréaliste comme dialogue.
Je lui tends un paquet de feuilles.
Il me laisse un moment, la main tendue... Je prends mon air « je suis une petite orpheline perdue dans un monde cruel. »
— Tu es gonflée, toi !
— Je vous en prie, Monsieur.
— Bon... Je vais jeter un coup d'œil. Si c'est des conneries, on va dans une chambre et je te donne une bonne fessée. D'accord ?
— Oui, Monsieur, d'accord !
Il commence à lire. Je reste devant lui !
Il lit quelques pages, puis il se lève et me dit :
— Suis-moi.
Je serre les fesses… avec appréhension !
On monte à l'étage. Je geins :
— Vous n'avez pas aimé ? Vous allez vraiment me donner une fessée ?
On va dans une chambre. Il s'assoit dans un fauteuil et me dit :
— C'est pas mal...
Ça y est, l'orpheline a retrouvé ses parents ! C'est une image.
— Il y a des choses autobiographiques ?
— Oui Monsieur. Le début à Lyon et puis une partie de « Mia en mousse » et...
— OK, prouve-le-moi… à genoux.
Logique… pour avoir des dessins, il faut sucer aussi.
Pendant qu'il lit, je descends la tirette de son pantalon et je sors délicatement son sexe.
Je l'embrasse avec la fougue d'un auteur qui rêve d'être publié !
Son sexe reçoit le message 5 sur 5 et se métamorphose en... machine de guerre !
***
— Toujours, le sens de la mesure, Mia !
***
Sous mes yeux le méat laisse échapper une goutte de liquide, preuve indéniable de l'intérêt que je suscite, enfin que « Mia sans dessous » suscite...
Il bouge, je vois qu'il a sorti un crayon de sa veste. Il écrit au dos d'une feuille, peut-être une liste de course, peut-être... un dessin…
Oui, il dessine !
Il me dit :
— Accélère.
Pas besoin d'en dire plus ! J'ai sa bite sous le nez et elle frôle l'apoplexie ! Il faut la faire dégorger d'urgence.
D'une main, je fais coulisser le prépuce et je prends le gland en bouche.
Pourvu qu'il ne fasse pas de raté dans « mon » dessin.
— Utilise aussi tes mains.
D'accord. Du moment qu'il utilise la sienne pour me faire des dessins !
Je caresse et branle le sexe d'une main et de l'autre, je caresse ses couilles.
Il dessine, je suce.
Au moment où je sens le membre gonfler dans ma bouche, le dessinateur, en vrai gentleman sort son sexe de ma bouche et arrose le couvre-lit en soie.
Cool !
Je le regarde... la bouche humide. Il me montre le dessin.
Oh !!! C'est moi ! Quand j'étais « en service » à Lyon. Je suis en soubrette, assise sur un lit ! Qu'est-ce que c'est beau, qu'est-ce que je suis belle ! Belle et désemparée…
Il me tend la main, je l'embrasse.
Il rit :
— Mais non, tope-la. Je vais te faire des dessins.
Je tope... en pleurant d'émotion, bien sûr !
Je bredouille :
— Pour de vrai ?
Il hausse les épaules, genre, je t'ai dit que je le ferai, je le ferai...
— Arrête de pleurer et mouche-toi...
— Oui, Monsieur.
— Bon... Je lis encore un peu... Tu peux y aller.
— Avec le dessin, Monsieur ?
— Bien sûr, il est pour toi !
Mon premier dessin.
Je redescends et je pars à la recherche de Monsieur A.
A suivre.
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2 – Le grand nettoyage.
***********************
Comme, je l'ai déjà dit, Saint Ouen, c'est... folklorique !
Bon, pour me motiver, je m'imagine, invitée chez Laurent Ruquier pour parler de mon dernier livre... Hélas, un de ses chroniqueurs, le méchant, il y en a toujours un, se met à descendre mon livre. Pffff... Même mon imagination me joue des tours !
J'arrive devant le café... Il n'est pas très engageant. Il y a surtout des hommes.
Quand j'entre, tout le monde me regarde. Je me fraye un passage vers le bar pour demander si Monsieur Bajram est là.
Le patron me montre une table où il y a quatre hommes qui discutent.
J'y vais et je dis :
— Bonjour, excusez-moi de vous déranger, je voudrais parler à Monsieur Bajram.
Un gros homme, la cinquantaine et noir de poils, me regarde :
— C'est moi... mais, tu nous interromps pendant qu'on est en train de discuter.
Je deviens toute rouge :
— Pardon, mais...
Il me coupe, — Sois polie et attend qu'on ait fini de parler.
Je ne peux pas dire que je raffole de me faire « gronder » en public !
L'homme qui est assis à côté de lui, se recule un peu et me montre un petit bout de baquette. Je le remercie et m'y assied un peu difficilement, vu le peu de place et le volume de mon derrière !
Ils parlent encore... pendant une bonne dizaine de minutes.
Enfin, la discussion se termine. Bajram se souvient de mon existence et se tourne vers moi.
Il n'a pas l'air commode du tout. Gros, suant, poilu... une cicatrice sur le menton et une sur le sourcil, une vraie, en zigzag.
Il me dit :
— Alors, pourquoi, nous as-tu interrompus ?
On parle au-dessus de l'homme qui m'a fait une place.
— ... euh... je viens de la part de Monsieur William, parce que je... cherche du travail.
— Dans le nettoyage ?
— ... euh...oui...
Il n'a pas l'air de trouver très crédible qu'une fille comme moi, c'est à dire... euh... assez séduisante… ait envie de nettoyer des bureaux, plutôt que de chercher une place de vendeuse ou de serveuse.
Je lui donne l'enveloppe en disant :
— J'ai ceci pour vous.
Il l'ouvre, lit et éclate de rire, ce qui ne doit pas lui arriver souvent.
Il donne le mot aux autres qui se mettent à rire aussi.
Ben, pourquoi ??
Il me tend la feuille. Il est écrit « Cette petite suce comme une reine ! »
— Qu'est ce qui est écrit Bajram ? demande une femme qui est à deux tables de nous. Il lit tout haut :
— CETTE PETITE SUCE COMME UNE REINE.
Franc succès... comique ! Tout le monde me regarde et moi, je regarde mes pieds.
Je les fais bien rire… enfin grâce à William ! On devrait peut être monter un numéro !
Bajram me dit, bien fort :
— Bon, tu as références intéressantes. Je t'engage pour une semaine. C'est quoi ton nom ?
— Mia, Monsieur.
Alors, quoi ? Est-ce que je me tire, honteuse comme... une renarde qui vient de se faire enculer par surprise et par un petit lapin ou... je fonce ?
Je n'ai pas dépensé des sommes folles pour le voyage en car, plus un sandwich, un coca, un ticket de métro... Je fonce.
— Merci, Monsieur, je travaillerai bien.
Il m'examine plus attentivement... puis il dit :
— C'est dur le nettoyage, tu es capable ?
— Oui Monsieur, je vous assure, je...
Il me coupe.
— D'accord, tu commenceras ce soir. Tu viendras à l'entrepôt avec moi.
— ... euh... oui, merci Monsieur... C'est le soir ?
Il secoue la tête en prenant l'air accablé :
— Tu crois qu'on fait ça, la journée quand tous les gens sont là ?
Comme je ne sais pas quoi répondre, il dit :
— Bon, tu peux rester ici, si tu veux.
Ils recommencent à discuter dans une langue qui pourrait bien être de l'Albanais.
J'ai bientôt un boulot, alors je ne compte plus, je commande une bière et un sandwich.
Bajram regarde arriver la bière et me dit :
— Tu n'en bois qu'une, va falloir travailler dur cette nuit.
— Oui, Monsieur.
On reste encore une petite heure, puis Bajram me dit :
— On y va.
Les gens du café nous regardent partir. J'ai droit à un :
— Suce bien, petite.
Et un :
— Tu fais le nettoyage des bites ?
J'en passe et des moins classes !
Bajram a une grande camionnette. Sa raison sociale est écrite sur les côtés et à l'arrière.
*****************
« Bajram et associés »
Nettoyages bureaux
Salles de spectacles...
Service impeccable
« À l'ancienne. »
*****************
En dessous il y a le dessin d'une femme à genoux qui nettoie un sol, à l'aide d'une brosse. Je comprends ce que « à l'ancienne » veut dire !
On arrive à son entrepôt. Il y a des femmes qui attendent.
Des Arabes, des Blacks et les Occidentales viennent de l'Est.
***
— Viens en au fait, Mia. Les lecteurs veulent savoir comment, tu as fini par rencontrer le directeur de la maison d'éditions et s'il s'est montré intéressé.
Oui, je sais, la Voix... mais ça a été trois jours pénibles. Tu veux bien le raconter à ma place ?
— Mais... tu crois que je n’ai que ça à faire ?
Steuplé... Steupléééééé…
— Pfffff… bon, d’accord.
***
Le soir même, Mia part avec trois autres filles pour nettoyer des bureaux. Hélas, il s'agit d'un autre building abritant des sociétés.
Une fille lui dit :
— Vendredi on va dans le building du cul, tu verras, c'est marrant !
Encore 3 nuits de nettoyage, pour Mia.
Bajram veut que les femmes travaillent à l'ancienne, c'est à dire, à genoux.
Ça plait beaucoup aux employeurs ! Nettement moins aux filles !
En contrepartie, il paye bien.
Mia déteste faire le ménage. Pour tout dire, chez elle, une chatte ne retrouverait pas ses petits ou un capitaliste les codes secrets de ses comptes off shore...
Donc, Mia a du nettoyer à genoux des kilomètres de couloirs et des mètres carrés de chiottes !
De plus, le patron a voulu vérifier ses références, « cette petite suce comme une reine ». Elle a dû lui faire des fellations en rentrant, épuisée, d'une nuit de dur labeur ! Bon, à toi, Mia !
Enfin, vendredi, c'est le tour des Éditions Millevertus !! Après, 3 nuits à récurer à genoux et à sucer la bite du patron, j'arrive devant le saint des saints : le bureau du directeur. Sur sa porte, il est écrit « Directeur général ».
J'ouvre la porte et je vois tout de suite le grand agenda dont m'a parlé le Black.
Oh ! Il y a un homme assis derrière un bureau...
Je bredouille :
— Pardon... Monsieur, je reviendrai plus tard.
— Non restez, vous tombez bien !
C'est un homme d'une cinquantaine d'années, bien habillé. Il n'a pas l'air content... et il le dit :
— Je ne suis content du tout de la façon dont mes bureaux en général et le mien en particulier, sont nettoyés !
Il se lève et va vers la fenêtre :
— Regardez ces traces sur les carreaux. Allons, venez voir.
Il me montre de vagues traces.
— Oui... euh...
— Et ça ?
Il passe le bout de son index sur l'appui de la fenêtre. Il est vaguement sale.
— Oui, mais...
Il me coupe à nouveau :
— Je vais me plaindre à votre patron ! Si vous avez choisi de nettoyer, faites-le bien, au moins.
Je dis très vite :
— Je ne suis là que depuis 3 jours, Monsieur.
Il m'examine :
— J'espère que vous allez mieux nettoyer que vos collègues !
— Oui, Monsieur.
C'est un maniaque ! Ce bureau est impeccable !
Il ajoute :
— J'attends un coup de téléphone. Je vous demanderai de sortir à ce moment-là, mais, en attendant, mettez-vous au travail et faites ça bien, pour une fois !
— Oui, Monsieur.
Comme je ne bouge pas, il dit :
— Quoi, encore ?
— ... euh... Monsieur, je ne fais ça, que provisoirement...
Il hausse les épaules en disant :
— Je suppose que personne ne veut faire du nettoyage de bureaux, définitivement.
Et là, il me vient une idée ! Oui, je suis blonde, mais ça m'arrive.
— C'est... euh... mon amie... qui me punit, parce que je ne m'occupe pas assez bien du ménage. Elle m'oblige à faire ça pendant une semaine.
Une relation lesbienne avec une femme dominante qui aime la propreté, ça devrait grave lui plaire !
Il est surpris, mais pas plus souriant,
— C'est très gentil à vous de me raconter votre vie, mais ça ne m'intéresse pas, mettez-vous au travail !
Bon, je n'ai plus rien à perdre, alors, je me lance :
— Je vous dis ça... parce que... euh... c'est une coïncidence, mais j'écris.
Il me détaille de haut en bas. Je suis habillée d’une robe tablier tachée. Mes bas sont trop grands et ils tirebouchonnent sur mes mollets. De plus, j'ai un torchon dans une main et un seau dans l'autre.
Il a l'air amusé et... méprisant.
— … et qu'écrivez-vous, Miss Souillon ?
Ouch ! C'est violent, ça ! J'en ai les larmes aux yeux.
— J’écris des histoires érotiques, Monsieur.
Je sors le dvd de ma poche et lui tend.
Il doit trouver qu'il a été un peu fort avec son « Miss Souillon » car il lève les yeux au ciel, pousse un long soupir, mais... il met le dvd dans son PC... en disant :
— Je vais jeter un coup d'œil. Mais, ne restez pas plantée là, commencez à nettoyer.
— Oui. Tout de suite, Monsieur !
Je vais chercher le liquide pour les carreaux et enlever toutes les traces.
Ensuite, je nettoie comme si la vie de mon livre en dépendait !
Mon Dieu, faites, qu'il aime !
Les carreaux sont bientôt impeccables.
Je me mets à genoux pour nettoyer sous les meubles. Il pourra ainsi apprécier mon meilleur profil !
*-*-*-*-*-*-*
A suivre.
PS mes livres :
“Mia sans dessous.” Avec 81 dessins de Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P30476-mia-sans-dessous-morgan-bruce-michael-mia.html
https://www.amazon.fr/Mia-sans-dessous-Michael-ebook/dp/B01DUI7ZJW/ref=pd_sim_351_3?ie=UTF8&psc=1&refRID=6ECBWGE65BVE6MR3RH95
“Les fesses d’Eva L.” 155 pages 3,50 e
https://www.amazon.fr/fesses-dEva-collection-Pleine-Lune-ebook/dp/B01JM76ABO
“Eva en uniforme.” 155 pages 3,50 e
https://www.amazon.fr/Eva-uniforme-II-aventures-dEva-ebook/dp/B01LZV7WG2
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4 ème rencontre de Sabine. "Mon Maître me Manque" Alors. ....! Le manque parlons-en.... J'ai beau parler à Mon Maître au téléphone plusieurs fois par jour, je ressens parfois le besoin de retrouver la caresse de ses mains sur mon corps, son souffle sur ma peau ou simplement cette lueur au fond de ses yeux... Je veux retrouver le plaisir de poser ma tête sur ses genoux pour retrouver la caresse de sa main dans mes cheveux... Ne résistant pas à ce besoin, j'ai pris une journée de congés en milieu de semaine afin de pouvoir passer la soirée de mercredi et la journée de jeudi avec Mon Maître. Mon Maître vient me chercher en voiture et c'est le coeur léger que nous prenons la route vers la maison. Pendant le trajet, mon Maître s'amuse à pincer mes tétons pour les faire durcir et pointer sous ses doigts. Il me fait écarter les jambes et vient glisser ses doigts dans l'antre de ma féminité pour vérifier mon taux d'humidité.... Service. .."" Camions ""..! Tout en guettant l'apparition d'éventuels camions. Ah oui, j'ai oublié de vous dire que Mon Maître a une adoration pour les camions. Je m'explique : lorsque nous sommes sur la route tous les deux, il est toujours aux anges lorsqu'il voit un camion, il s'amuse à ralentir pour être au même niveau qu'eux et ainsi leur offrir sa p'tite femelle, chemisier grand ouvert sur ses seins nus et jambes bien écartées pour qu'ils puissent profiter du spectacle.... Ce qui nous vaut inévitablement un p'tit coup d'klaxon ou un appel de phares en guise de remerciement ;) Arrivée à la maison chez Mon Maître Tout au plaisir de se retrouver, nous dînons ensemble et la soirée s'écoule en mode câlin pour mon plus grand bonheur alors que je retrouve le plaisir de pouvoir m'occuper de lui. Lorsque nous montons nous coucher, Mon Maître m'attire vers lui, il ne sait que trop bien le plaisir que j'ai à m'endormir ainsi plaquée tout contre lui. Avant de dormir. ..auprès de mon Maître Mais de dormir, il n'est point question puisque déjà il glisse sa main entre mes cuisses et je peux entendre son sourire dans sa voix lorsqu'il me dit "tu es toute trempée ma femelle", ses doigts aventureux s'introduisent profondément en moi, ils vont et viennent au fond de mon vagin. Je sens deux, trois puis quatre doigts qui m'écartèlent littéralement et provoquent les nombreux tremblements de mon corps. Petite saillie Remontant mes jambes sur ses épaules, son membre gonflé remplace ses doigts en moi. De son pouce Mon Maître continue à titiller mon p'tit bouton qui se gorge et sort de sa cachette alors que je sens son gland cogner au fond de mon vagin.... Il ressort de là en se disant qu'il aimerait bien faire une incursion par ma p'tite porte arrière, il me demande de me mettre à quatre pattes mais mon anneau sacré est, comme moi, du genre un peu rebelle, qu'importe qu'il est d'ores et déjà eu l'occasion d'être présenté à Mon Maître, il a décidé que ce n'était pas toujours entrée libre, encore faut-il qu'il soit d'humeur..... Qu'à cela ne tienne, le membre de Mon Maître retrouve sa place au fond de mon vagin, mes muscles se resserrent autour de son membre que je sens grossir en moi, je ne peux retenir mes gémissements à mesure que sa queue s'enfonce plus profondément en moi alors que ses doigts saisissent mes cheveux avec force, j'adoooore lorsque mon Maître laisse libre cours à son instinct animal et qu'il rugit de plaisir en libérant sa semence au fond de moi... Le réveil du Maître Il fait encore nuit noire pourtant je sens que mon Maître bouge légèrement derrière moi. Sans avoir besoin de regarder ma montre, je sais qu'il doit être près de 5h du matin. C'est Son heure !! Celle à laquelle il émerge des bras de Morphée, le membre fièrement dressé et l'âme conquérante.... Instinctivement, je me love encore plus près de lui. D'une main il vient tâter ma p'tite chatte qu'il découvre trempée, sait il alors que j'ai passé la nuit à rêver de ses assauts. Il me voit lascive et soumise, offerte et frissonnante ! Ses mains parcourent mes fesses rondes et fermes en caresses tendres et sensuelles, sous l’excitation ma peau est parcourue de frissons, instinctivement je me raidis, Mon Maître dépose alors une pluie de bisous sur mon épaule et dans mon cou en me murmurant à mon oreille "laisse toi faire ma femelle, je veux te prendre ce matin, tu m'appartiens alors laisse toi aller ma douce". Préparation de l'anneau sacré par mon Maitre Son excitation est à son comble, je me mets donc à quatre pattes, je me cambre un peu plus alors que je sens son pouce glisser entre mes fesses déjà humides, je sens mon désir monter, je mouille de plus en plus et mon sexe s’inonde de mon jus, jouant avec mon petit anneau il glisse son deuxième pouce dans ma p'tite chatte avant de l'introduire aux côtés de son jumeau. Je me cambre alors davantage et relève ma croupe… Il continue à faire glisser ses doigts dans mon anneau sacré... je gémis de plus belle, je dégoulines de plaisir. Je sens que Mon Maître a fait entrer entièrement ses deux pouces et qu'il me travaille de plus belle et je m'en régale....déjà je me détends et de mes mains j'écarte encore plus mes fesses lascives pour qu'il dilate encore plus mon p'tit anneau offert.... Prise de possession de mon anneau sacré par mon Maître N' y tenant plus et succombant à son excitation, il prend son membre en mains et me pénètre doucement mais franchement. Je sens que mon oeillet s'ouvre littéralement sous ses coups de butoir. Je l'entends râler dans mon dos et je frémis de plaisir lorsque me saisissant par les épaules il s'enfonce profondément…. Entre deux grognements de plaisir, alors que je sens les vagues du plaisir gronder et monter en moi tel un raz de marée, je l'entends me dire "tu es à moi, tu m'appartiens totalement à présent" et cette simple phrase suffit à faire sauter le barrage par lequel je contenais mon propre plaisir. La respiration de mon Maître s'apaise doucement alors que je sens son membre glisser lentement hors de moi. Taquin mon Maître me prend ensuite dans ses bras en me murmurant à l'oreille "tu vois, ce petit anus qui était rebelle est maintenant dompté.". Le petit déjeuner. Un peu plus tard, nous descendons au salon où, après m'être prosternée devant mon Maître, nous prenons ensemble notre petit déjeuner tout en discutant avant d'aller travailler tous les deux dans son bureau. Moi qui suis tellement sérieuse dans mes fonctions professionnelles, j'avoue qu'au début, j'ai eu un peu de mal à travailler dans cette tenue. J'ai bien envisagé d'aller enfiler quelque chose au-dessus de ma robe corset, mais au regard de mon Maître lorsqu'il me dit "tu voudrais me priver du privilège de pouvoir admirer tes beaux seins ?", j'ai bien compris que c'était hors de question.... C'est donc dans cet nouvel uniforme que je reprends mes tâches administratives.... Préparation à la venue de Mr le Vicomte de Roisac Un peu avant midi, c'est ensemble que nous préparons le déjeuner et c'est à ce moment là que mon Maître m'annonce que son ami, M. le Vicomte, va venir nous rendre visite. Etant assez sociable de nature, sur le moment je n'y vois aucun problème, mais lorsque mon Maître m'annonce qu'il me faudra me prosterner pour accueillir son ami et l'honorer, là j'avoue que j'ai été prise de panique. Ceci me semble très naturel avec mon Maître car au fil des jours, il a su m'apprivoiser et, aujourd'hui, c'est même avec plaisir que je le fais dès que nous arrivons à la maison et chaque matin, mais là... il faudrait que je me présente ainsi devant un parfait inconnu, il faudrait que je le laisse palper mon intimité et que je le prenne en bouche, c'est juste IMPOSSIBLE pour moi !! Je sens mon pouls s'accélérer et je n'arrive pas à contrôler mon appréhension, j'ai beau vouloir tout faire pour satisfaire mon Maître, là je sais que je n'y arriverai pas... Toujours aussi attentionné, mon Maître prend le temps de me rassurer, il me dit à quel point il est fier de moi et des progrès que j'ai pu faire en 3 semaines, il me rappelle qu'il est là pour me protéger et que RIEN ne sera fait sans mon accord, il me réexplique qu'à tout moment je peux utiliser les mots d'alerte. Avec ses mots, avec ses mains d'une tendresse inouïe, il parvient à m'apaiser, me précisant qu'il a tout à fait conscience du fait que tout ceci est nouveau pour moi, il me rappelle que j'ai déjà bien avancé, il m'explique que j'aurai juste à être en position pour accueillir son invité car il veut présenter sa nouvelle soumise à son ami, il me prend dans ses bras et me rassure en m'assurant que quoiqu'il arrive il ne sera pas déçu de moi.... L'arrivée de Mr Le Vicomte de Roisac C'est donc un peu plus sereine que je m'installe auprès de mon Maître pour déjeuner. D'ailleurs nous sommes encore à table lorsque la sonnette de la porte d'entrée retentit. Oh purée.... nouveau vent de panique..... Mon Maître le ressent et il me prend par la main pour m'amener jusqu'au tapis tout en me rappelant LA règle de base "tout est possible, rien est obligatoire, ne l'oublie pas ma puce". Prosternée sur le tapis, j'attends.... Dieu que cette attente est stressante.... j'entends la voix de mon maître dans le couloir alors qu'il accueille son ami.... j'entends leurs pas lorsqu'ils pénètrent dans le salon, mais j'entends surtout les battements de mon coeur qui résonnent tellement fort à mes oreilles que je ne parviens même pas à écouter ce qu'ils disent. Le visage "caché" entre mes bras, j'essaye de faire le vide dans ma tête mais je ne peux retenir les frissons qui m'assaillent alors que je sens une main effleurant mes lèvres, oui.. oui... celles-ci...., j'ai envie de resserrer mes cuisses mais je ne le fais pas car je sais que mon Maître aime me voir ainsi ouverte et disponible. Je peux enfin respirer lorsque je sens les mains de mon Maître caresser mes cheveux avant de me dire de me relever. Les yeux baissés, je ressens encore le besoin de me blottir tout contre lui. Il doit ressentir mon stress car immédiatement il m'entoure de son bras protecteur en me présentant son ami. On fait connaissance avec Mr le Vicomte et Parrain. Après leur avoir servi un p'tit café, je m'empresse d'aller reprendre ma place aux pieds de mon Maître, je peux vous assurer qu'à ce moment là, c'est bien le seul endroit où je me sens vraiment en sécurité.... Mais très vite, mon Maître me demande de venir m'asseoir entre eux deux sur le canapé. Hésitante, je me dis que je serai aussi bien assise à sa gauche, à l'extrémité du canapé, mais vu son regard je comprends que je n'ai pas vraiment le choix. Partage de mon corps avec Mr le Vicomte et Mon Maître Mon Maître caresse ma poitrine en invitant M. le Vicomte à en faire autant. Mon Maître sent que je suis hyper tendue alors que les mains extrêmement douces de son ami se posent sur mes seins, alors il m'embrasse tendrement en m'encourageant afin que je me détende, que je me laisse aller et que je profite pleinement du moment présent.... M. le Vicomte continue à masser mes seins, il se penche au-dessus de moi et je frémis de plaisir lorsque je sens sa bouche se refermer autour de mon téton qui se dresse et durcit sous les caresses de sa langue. Je n'ai plus vraiment la notion du temps et je me sens de plus en plus humide alors que mon Maître laisse sa main gauche se perdre entre mes cuisses qu'il écarte encore davantage.... Plaisir....Plaisir. .....Oh. ......Plaisir...! Je dois avouer que je finis par me détendre complètement et je savoure cet instant, jusqu'au moment où, subitement, la sonnette raisonne à nouveau !! C'est pas possible... là je crains le pire.... d'autant que mon Maître n'est que partiellement surpris, ce qui ne me rassure pas d'ailleurs. Il se lève en me souriant et en me demandant de ne pas stresser.... C'est bien plus facile à dire qu'à faire, je ne peux plus retenir le tremblement de mes mains, j'ai l'impression d'être paralysée sur place....Je ne vais jamais tenir..... M. le Vicomte, toujours aussi adorable, me dit de ne me pas m'inquiéter outre mesure alors que j'entends mon Maître parler avec un inconnu dans le couloir, il revient juste une minute dans le salon pour me dire "vite, vas te prosterner ma puce, c'est Parrain !!" L'arrivée de Parrain Mitre JLF. Tenue de rigueur jupe corset seins libre orifices accessibles. Mais bien sûr.... comme si c'était facile.... il faut savoir que, s'il est vrai que mon Maître m'a souvent parlé de lui, je n'ai encore JAMAIS vu celui qui deviendra mon Parrain. Ce n'est donc pas étonnant si j'ai la gorge sèche à nouveau et cette terrible impression d'avoir des sueurs froides.... J'ai juste envie de rentrer sous terre ou d'aller me réfugier au 1er étage.... Mon Maître doit le ressentir puisqu'il m'embrasse tendrement tout en glissant sa main dans mon cou en me murmurant "tout va bien ma puce". Aussi bizarre que cela puisse paraître, ces simples mots suffisent à m'encourager, j'ai une telle confiance en lui, alors, même si je tremble encore à l'idée de me présenter ainsi, aussi courte vêtue et exhibant ainsi mes seins devant cet homme que je ne connais pas, je vais me prosterner sur le tapis comme me l'a demandé mon Maître..... J'entends Parrain et mon Maître entrer dans la pièce, je sens que Parrain tourne autour de moi alors que mon Maître lui dit "voici Sabine, ma nouvelle petite soumise...", je sens la main de Parrain qui caresse mes fesses avant de laisser glisser ses doigts à l'entrée de ma p'tite chatte où il peut facilement mesurer l'état d'excitation qui est le mien à cet instant.... Mon Maître m'aide ensuite à me relever afin que je puisse enfin voir mon "futur" Parrain.... Abandon. . Partage. .tout en douceur et respectueux. Après avoir servi à boire à mon Maître ainsi qu'à ses deux amis, je reprends ma place sur le canapé auprès de mon Maître. Je n'en mène vraiment pas large alors je préfère garder le silence et les écouter parler entre eux. Toutefois, Parrain semble vouloir me faire parler, il aborde alors un sujet sur lequel nous nous rejoignons très vite puisque, sans le savoir, nous partageons une même passion. Mon Maître doit sentir que j'ai encore un peu de mal à me détendre complètement, aussi il me garde à l'abri dans ses bras, puis d'une main il me fait écarter les jambes alors que de l'autre main il caresse mes seins tout en invitant ses deux amis à s'approcher pour découvrir sa femelle de plus près.... Parrain s'approche et vient embrasser et lécher mes seins pendant que M. le Vicomte s'installe entre mes cuisses, ses doigts écartent mes lèvres avant de lécher et sucer mon clito, il l'aspire littéralement..... Oh bien sûr j'aurai pu tout arrêter d'un seul mot, mais après avoir fait le vide dans ma tête, je dois bien reconnaître qu'il m'était très agréable de sentir les vagues de plaisir monter progressivement en moi, j'ai adoré sentir toutes ces mains parcourant mon corps. Du regard, je recherche instinctivement Mon Maître qui est là, bien présent... Sentant mon besoin de l'avoir à mes cotés, il revient près de moi et prend mon téton droit en bouche tout en me murmurant à l'oreille à quel point il est fier de me voir me laisser aller ainsi.... Premier FISTAGE Un peu plus tard, alors que Parrain prend la place de M. le Vicomte entre mes jambes, celui-ci revient s’asseoir près de moi sur le canapé, ses mains douces s'attardent sur mes seins qu'il malaxe et pétrit à pleines mains pendant que Parrain vient titiller mon p'tit bouton du bout des doigts. Il glisse un, deux, puis trois doigts dans ma p'tite chatte, je ne peux plus retenir les gémissements que ses caresses provoquent au plus profond de moi. Dans un demi brouillard, j'entends mon Maître lui dire "hier soir je lui ai quasiment mis quatre doigts, tu peux y aller....", manifestement ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd...., tout en maintenant mes jambes largement écartées, Parrain continue à introduire ses doigts toujours plus profondément en moi, ses doigts s'activent de plus en plus vite au fond de mon vagin, suivant les conseils de mon Maître j'ai laissé mon corps succomber devant ce tsunami de sensations que les doigts de Parrain provoquaient en moi, lâchant totalement prise face à la lame du plaisir que je sentais monter en moi, je m'accroche avec force à la main rassurante de mon Maître comme s'il s'agissait d'une bouée de sauvetage... je ne découvre que plus tard, qu'en fait il s'agissait de la main de M. le Vicomte...... Littéralement confuse de m'être ainsi trompée, je recherche mon Maître des yeux pour m'excuser de cette erreur, mais loin d'être contrarié, son sourire et ses yeux brillants me disent toute la fierté qu'il ressent à ce moment précis. Il se penche au-dessus de moi et m'embrasse passionnément tout en me tenant par les cheveux pendant que Parrain continue à fouiller fougueusement le coeur de ma féminité, suivant alors mon instinct, ma main caresse langoureusement la queue de M. le Vicomte à travers son pantalon. Se sentant à l'étroit, celui-ci ouvre son pantalon et je ne résiste pas au plaisir d'y glisser ma main afin de pouvoir caresser son membre que je sentais gonflé et dur sous mes doigts. Croisant le regard de mon Maître, je lui demande du regard de s'approcher de moi afin de lui demander la permission d'honorer M. le Vicomte. ."Mon Maître vous me permettez que l'honore Mr le Vicomte ""..?, ce qu'il accepte immédiatement en m'embrassant tendrement. Je me pose aucune question je fait..je vois les yeux pétillants de Mon Maître. J'honore Mr le Vicomte. Je me suis alors agenouillée devant M. le Vicomte, sortant complètement son membre de son pantalon, puis j'ai refermé mes lèvres sur la chaire sensible de son gland avec gourmandise. Mes lèvres vont et viennent le long de sa queue, le sentant grossir encore sous les caresses de ma langue. Tout en caressant ses bourses pleines, ma langue joue autour de son gland avant de le reprendre jusqu'au fond de ma gorge alors que sa main dans mes cheveux me fait littéralement décoller. Les yeux fermés, je continue tout en savourant les gémissements de M. le Vicomte qui semble apprécier ce moment plein de sensualité. C'est fou ce qu'un geste aussi simple peut provoquait chez lui. Les paupières mi-closes, M. le Vicomte poussait des grognements de plaisir. Je dois avouer que j'ai eu plaisir à donner du plaisir découverte pour moi surtout à un autre homme que mon Maître Trois mâle pour moi seule... Dans le même temps, Parrain qui est assis juste derrière moi, continue à me branler vigoureusement, puis ressortant ses doigts trempés de ma p'tite chatte, il profite de ma position pour glisser ses doigts dans mon anneau sacré. Très vite, ce n'est plus un mais deux, puis trois doigts qui se mettent à aller et venir en moi, je sens le plaisir monter crescendo à mesure que Parrain travaille mon anus et je me mets à trembler de la tête aux pieds. Je me sens emportée par cette vague de plaisir à tel point que j'en oublie la queue de M. le Vicomte qui, compréhensif, profite de ce temps de répit pour caresser tendrement mes cheveux alors que je suis toute concentrée sur le plaisir offert par les doigts de Parrain qui, de sa deuxième main continue à branler ma p'tit chatte dégoulinante de mouille. Mon Maître s'approche alors de moi pour glisser son doigt dans ma bouche alors que les doigts de Parrain vont et viennent dans mes deux orifices.... Je jouie ou ai eu les "prémices d'un orgasme". Soudain je sens des étincelles de plaisir parcourant mon échine avant d'aller se lover dans mon ventre. Cette sensation de me sentir remplie de toutes parts, me laisse littéralement pantoise, j'ai l'impression d'être sur un p'tit nuage, à tel point que l'espace d'un instant, je ne sais plus d'où monte ma jouissance.......................... J'étais encore perdue dans les nimbes du plaisir lorsque j'ai senti les doux baisers de Mon Maître sur mon dos et sur mes épaules, alors qu'il me murmurait Réponse du Maître. "Merci ma Femelle, je suis tellement fier de toi, tu as été bien au-delà de ce que j'imaginais ma Douce, tu ne pouvais pas me faire plus plaisir que cela.........."
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Je suis tombé sur de mauvaises traductions des textes de Pink Floyd, alors j'ai décidé de les traduire moi-même.
Sûrement peu de gens en France font réellement attention au sens des chansons même très connues qu'ils entendent en anglais, même s'ils en apprécient la musique.
Dans le cas de Pink Floyd, l'aspect poétique, ou juste l'inspiration dans l'écriture, est particulièrement intéressant.
L'auteur principal des textes du groupe fut Roger Waters, qui hélas prit la grosse tête à la fin des 70's et décida de dissoudre le groupe aux débuts des 80's, après l'album The Final Cut, suite logique et déplorable du génial The Wall.
Cela n'empêcha pas le reste du groupe mené par David Gilmour (voix & guitare), de reformer le groupe sans lui quelques années plus tard, pour trois derniers albums studio, mais sans son génie torturé qui avait accouché dans les 70's de tant de concepts et textes dignes d'intérêt.
Les textes notamment des albums ANIMALS (1977) et THE WALL (1979) sont très durs, cruels, symboliques, et j'irai même jusqu'à dire qu'ils ont un rapport avec le BDSM, au moins par la violence des désirs et frustrations, ainsi que des rapports de domination/soumission "ordinaires" présentés par ces œuvres de manière exacerbée.
Mais d'abord de la poésie pure avec la traduction de la chanson ECHOES sur l'album MEDDLE :
Echos
Immobile, l'albatros surplombe les airs
Et au creux des vagues déferlantes,
Dans les dédales des récifs de corail,
L'écho d'une marée lointaine
Résonne à travers le sable
Et tout est verdoyant, sous-marin
Et personne ne nous a montré ce royaume
Et personne ne sait où ni pourquoi
Mais quelque chose remue et s'agite
Et amorce son ascension vers la lumière
Des étrangers passent dans la rue
Par chance, deux regards se croisent
Et je suis toi et je me vois en toi.
Devrais-je te prendre par la main
Et te guider à travers le royaume
Et m'aider à comprendre de mon mieux ?
Et personne ne nous demande de partir
Et personne ne nous force à baisser les yeux
Et personne ne parle ni même n'essaie
Et personne ne vole autour du soleil
Chaque jour sans nuage te guide vers mes yeux endormis,
M'invitant et m'incitant à me lever.
Et à travers cette fenêtre,
Viennent sur leurs ailes de lumière,
Un million d'ambassadeurs incandescents du matin.
Et personne ne me chante de berceuse.
Et personne ne me fait fermer les yeux.
Alors j'ouvre grand la fenêtre
Et je t'appelle par delà le ciel.
Roger Waters
(musique par David Gilmour & Rick Wright)
Voici maintenant l'intégralité des paroles de l'album ANIMALS :
ANIMAUX
PINK FLOYD
COCHONS VOLANTS - 1ère partie
Si tu ne faisais pas attention à ce qui m'arrive
Et si je ne me souciais pas de toi
Nous zigzaguerions entre l'ennui et la souffrance
En nous observant sous la pluie
A se demander à qui la faute
Tout en regardant les cochons volants.
LES CHIENS
Tu es peut-être fou, tu dois avoir un vrai besoin.
Faut que tu dormes debout, et quand tu es dans la rue,
Repère les proies faciles
Les yeux fermés.
Puis tu approches sans bruit, le vent dans le dos et hors de vue.
Frappe au moment propice.
Sans réfléchir.
Après, tu peux travailler ton style.
Aie la cravate du club et la poigne bien ferme,
Le regard franc et le sourire facile.
Tu dois gagner la confiance des gens à qui tu mens,
Ainsi, dès qu'ils te tourneront le dos,
Tu pourras mieux les poignarder.
Assure toujours tes arrières.
Tu sais que ça va se corser
Se corser avec le temps.
Et à la fin tu te casseras dans le sud,
Te cacher la tête dans le sable.
Juste un autre vieillard,
Seul et crevant du cancer.
Et quand tu perdras les pédales,
Tu récolteras ce que tu as semé.
Puis la peur grandira,
Et le mauvais sang se glacera.
Alors il sera trop tard pour se débarasser de ce fardeau.
Toi qui en avais pourtant le besoin.
Fais bon voyage, seul,
Pendant ta descente aux enfers.
Je dois admettre que je perds un peu les pédales.
J'ai parfois l'impression de n'être qu'un pantin.
Faut rester éveillé, essayer d'expulser ce malaise qui me ronge.
Si je ne tiens plus sur mes jambes,
Comment trouver mon propre chemin
pour sortir de ce labyrinthe ?
Sourd, muet et aveugle, tu prétends encore
Que personne n'est indispensable et que nul n'a de véritable ami.
Et il te semble que la meilleure chose à faire
Serait d'isoler le vainqueur.
Et y'a rien de neuf sous le soleil.
Et tu es persuadé qu'en chaque homme il y a un tueur.
Qui est né dans une maison pleine de souffrance.
Qui a appris à ne pas cracher dans la soupe.
Qui s'est fait dicter sa conduite.
Qui s'est fait briser par le personnel qualifié.
Qui s'est fait castrer par une laisse et une chaîne.
Qui s'est fait encourager.
Qui sortait de la masse.
Qui était même étranger chez lui.
Qui a été rabaissé plus bas que terre.
Qu'on a retrouvé mort à côté du téléphone,
Qu'on a entraîné vers le fond.
LES PORCS(la bande des trois)
Grosse pointure, gros porc qui se fait son cinéma ah ah
Toi la grosse tête qui se fait son cinéma ah ah
Quand tu poses la main sur ton cœur,
Tu me fais bien marrer
Presque autant qu'un clown.
La tête dans l'abreuvoir,
Disant "continue de t'enfoncer".
Ton menton bien gras rappelle celui d'un porc.
Qu'espères-tu trouver
Dans le fin fond de la porcherie ?
Tu me fais bien marrer.
Mais en réalité tu es vraiment à pleurer.
Terminus sale vermine qui se fait son cinéma ah ah
Putain de vieille peau qui se fait son cinéma ah ah
Tu irradies les éclats froids du verre brisé.
Tu me fais bien marrer.
Ca vaut presque un rire en coin.
Tu aimes la sensation du métal.
T'es de la bombe avec ta parure à chapeau.
Et t'es mignon avec ton flingue à la main.
Tu me fais bien marrer.
Mais en réalité tu es vraiment à pleurer.
Hé, la Whitehouse (1) qui se fait son cinéma ah ah
Toi la fière vermine urbaine qui se fait son cinéma ah ah
Tu essaies de foutre nos sentiments au placard.
Tu es presque une bonne affaire.
Les lèvres scellées, découragée,
Te sens-tu trahie ?
Tu dois vaincre le courant démoniaque.
Et garder tout ça pour toi.
Tu es presque une bonne affaire, Mary.
Mais en réalité tu es vraiment à pleurer.
MOUTON
Tu passes gentiment ton temps dans les prés,
Vaguement conscient du malaise qui plane.
Tu devrais faire gaffe :
Il se peut qu'il y ait des chiens dans le coin.
J'ai regardé par-delà le Jourdain, et j'ai vu (2)
Que les apparences sont parfois trompeuses.
Qu'est ce que ça t'apporte de faire fi du danger ?
Fidèle et soumis, tu suis le chef
Jusqu'aux sentiers achalandés de la vallée d'acier.
Quelle surprise !
La stupeur se lit dans tes yeux.
Maintenant tout est réel.
Non, ce n'est pas un cauchemar.
Le Seigneur est mon berger, je ne saurais y manquer.
Il me laisse me reposer dans le vert des prés (3)
Il me conduit vers les eaux silencieuses
De ses couteaux de lumière, il libèrera mon âme. (4)
Il me pendit aux crochets de milieux haut-placés.
Il m'a transformé en côtelettes d'agneau.
Pour sûr, son pouvoir est immense et son désir profond.
Quand viendra le jour où nous, les humbles,
Par muette réflexion et grand dévouement,
Nous aurons appris l'art du karaté,
Voyez, nous nous soulèverons,
Puis nous ferons chialer les cons.
En bavardant et débitant des conneries
Je lui suis soudain tombé surle paletot en hurlant...
Vague après vague, les vengeurs fous
Sortent gaiement de l'obscurité pour entrer dans le rêve.
As-tu entendu les nouvelles ?
Les chiens sont morts.
Tu ferais mieux de rester chez toi
Et faire comme on t'a dit.
Ecarte-toi du chemin
Si tu veux vivre vieux.
COCHONS VOLANTS - 2ème partie
Tu sais que je me soucie de ce que tu deviens,
Et je sais que tu te soucies de moi,
Alors je ne me sens pas seul,
Ni entraîné vers le bas
Maintenant que j'ai trouvé un endroit sûr
Pour enterrer mes os.
Et n'importe quel fou sait qu'un chien a besoin d'une maison,
Un abri contre les cochons volants.
Roger Waters/Pink Floyd
(1) Il s'agit de Mary Whitehouse.
Née le 13 juin 1910, elle était une militante pour le retour à l'ordre moral et l'éducation dure à l'anglaise. Elle fut professeur d'art jusqu'en 1953, dispensant à l'heure du déjeuner des cours d'éducation sexuelle fondée sur la chasteté avant le mariage et la fidélité ensuite. Elle était surnommée la "Madame propre" de la télévision britannique pour sa lutte contre le sexe et la violence sur les écrans. Elle fut ridiculisée dans une série télévisée de la BBC qui portait son nom, “l'expérience de Mary Whitehouse“. Elle a d'ailleurs accusé le directeur de la BBC, Hugue Greene, d'être à l'origine de la décadence de la société britannique.
En 1965, elle crée l'Association nationale des spectateurs et auditeurs pour obtenir plus de contrôles des programmes et un renforcement de la législation permettant de poursuivre en justice les producteurs jugés "immoraux". Elle avait tenté, en vain, de faire interdire des films comme Orange mécanique ou Le dernier tango à Paris et s'était attaquée à des séries télé comme Benny Hill.
On lui doit la loi sur la protection des enfants de 1978 après une campagne contre l'exploitation sexuelle des enfants. Elle dénonça sans relâche la "technique d'attaque au goutte à goutte" des valeurs chrétiennes qu'elle défend. Elle fut reçue par le pape en 1971. En 1980, elle a été élevée au rang de Commandant de l'Empire britannique, un titre prestigieux. Elle est morte le 23 Novembre 2001 à l'âge de 91 ans.
(2) Référence biblique
(3) C'est mot pour mot le début du Psaume 23 de la Bible
(4) Dans le Psaume 23 toujours : "Il me conduit près des eaux immobiles, il sauva mon âme."
THE WALL
LE MUR
In The Flesh ?
En chair et en os ?
Alors comme ça tu t'es dit que tu aimerais bien aller au spectacle
Pour ressentir le doux frisson du fanatique en extase
Quoi, quelque chose t'échappe mon petit ?
Ce n'est pas ce à quoi tu t'attendais ?
Si tu veux découvrir ce qu'il y a derrière ce regard froid
Tu devras déchirer de tes ongles ce déguisement.
The Thin Ice
La fine couche de glace
Maman aime son bébé
Et papa l'aime aussi
Et la mer peut te sembler chaude mon bébé
Et le ciel te paraître bleu
Ooooh bébé
Ooooh mon tout petit bébé
Oooooh bébé
Si tu devais patiner
Sur la fine couche de glace de la vie moderne
Traînant derrière toi le reproche silencieux
D'un million de regards remplis de larmes
Ne t'étonne pas qu'une fissure dans la glace
Apparaisse sous tes pieds
Tu perds la tête et l'équilibre
Et ta peur s'échappe derrière toi
Tandis que tu t'agrippes à la fine couche de glace.
Another Brick In The Wall, Part 1
Une brique de plus dans le Mur 1ère partie
Papa s'est envolé de l'autre côté de l'océan
Ne laissant derrière lui qu'un souvenir
Un instantané dans l'album de famille
Papa, qu'as-tu laissé d'autre pour moi ?
Papa, que m'as-tu laissé ?
Tout compte fait, ce n'était rien qu'une brique dans le mur
Tout compte fait, ce n'était rien que des briques dans le mur.
The Happiest Days of Our Lives
Les plus belles années de nos vies
«Toi! Oui toi, tiens-toi droit mon garçon!»
Quand nous avions grandi et que nous allions à l'école
Il y avait certains professeurs qui voulaient
Blesser les enfants par tous les moyens possibles
En tournant en dérision
Tout ce que nous faisions
Soulignant chaque faiblesse
Que les gamins s'efforçaient pourtant de cacher
Mais en ville, il était bien connu
Qu'en rentrant chez eux le soir, leurs grosses
Epouses névrosées les harcelaient
Jusque dans les moindres détails de leur vie.
Another Brick In The Wall, part 2
Une brique de plus dans le Mur 2ème partie
Nous n'avons pas besoin d'éducation
Nous n'avons pas besoin qu'on contrôle nos pensées
Assez de ces sombres sarcasmes en classe
Professeurs, laissez les enfants tranquilles
Hé professeur ! laisse-nous tranquilles !
De toutes façons vous n'êtes qu'une brique de plus dans le mur.
( «Faux, Recommence !»
«Si tu ne manges pas ta viande tu n'auras pas de dessert.»
«Comment pourrais-tu avoir un dessert si tu ne manges pas ta viande ?»
«Toi ! Oui toi derrière les parkings à vélos, tiens toi droit !» )
Mother
Mère
Mère, penses-tu qu'ils largueront la bombe ?
Mère, penses-tu qu'ils aimeront cette chanson ?
Mère, penses-tu qu'ils vont me briser les couilles ?
Mère, devrais-je construire le mur ?
Mère, devrais-je être candidat à la présidence ?
Mère, devrais-je faire confiance au gouvernement ?
Mère, m'enverront-ils en première ligne ?
Oooh tout cela n'est-il qu'une perte de temps ?
Chut mon bébé, ne pleure pas
Maman va transformer tous tes cauchemars en réalité
Maman va te refiler toutes ses peurs
Maman va te garder bien au chaud sous son aile
Elle ne te laissera pas partir, mais elle t'autorisera peut-être à chanter
Maman gardera son bébé bien douillet au chaud
Oooh mon bébé,
Oooh mon bébé,
Oooh mon bébé bien sûr que maman t'aidera à construire le mur
Mère, penses-tu qu'elle est assez bien pour moi ?
Mère, penses-tu qu'elle est dangereuse pour moi ?
Mère, va-t-elle détruire ton petit garçon ?
Ooooh Mère, va-t-elle me briser le cœur ?
Chut mon bébé, ne pleure pas
Maman vérifira toutes tes petites amies pour toi
Maman n'en laissera passer aucune de pervertie
Maman t'attendra jusqu'à ce que tu rentres
Maman saura toujours où tu as été
Maman gardera son bébé propre et en bonne santé
Oooh mon bébé
Oooh mon bébé
Oooh mon bébé, tu seras toujours mon bébé à moi.
Mère, fallait-il qu'il soit si haut ?
Goobye Blue Sky
Adieu Ciel Bleu
Oooooooooooooooooooooooooooooh
As-tu vu ces gens effrayés
As-tu entendu les bombes tomber
T'es-tu jamais demandé
Pourquoi il fallait se mettre à l'abri
Alors que la promesse d'un monde nouveau
Pointait dans un beau ciel bleu ?
Oooooooooooooooooooooooooooooh
As-tu vu ces gens effrayés
As-tu entendu les bombes tomber ?
Les flammes sont toutes éteintes depuis longtemps,
Mais la douleur persiste
Adieu, ciel bleu
Adieu, ciel bleu
Adieu
Adieu
Empty Spaces
Espaces Vides
Qu'utiliserons-nous pour remplir les espaces vides
Où rugissent les vagues de la faim
Où nous parlions autrefois
Comment vais-je remplir les derniers trous ?
Comment vais-je terminer le mur ?
Young Lust
Désir* jeune
Je suis nouveau par ici
Etranger à cette ville
Où sont les bons plans ?
Qui va guider cet étranger ?
Ooooh, il me faut une salope
Ooooh, il me faut une petite salope
Y a-t-il une femme dans ce bled paumé
Qui me fera sentir que je suis un vrai mâle ?
Ce réfugié du Rock & Roll ?
Oooh, bébé libère moi
Ooooh, il me faut une salope
Ooooh, il me faut une petite salope.
* (désir sexuel)
One Of My Turns
Une de mes crises
Jour après jour, l'amour vire au gris
Comme la peau d'un homme mourant
Et nuit après nuit
Nous faisons semblant que tout va bien
Mais je suis devenu plus vieux, et
Tu es devenue plus froide et
Désormais, rien ne nous éclate plus vraiment.
Et je sens
Venir une de mes crises
Je me sens
Froid comme une lame de rasoir
Serré comme un garot
Sec comme un tambour funéraire
Cours dans la chambre
Sur la gauche il y a un étui
Tu y trouveras ma gratte* préférée.
Ne prends pas cet air effrayé
C'est juste une phase passagère
Un de mes mauvais jours.
Tu veux regarder la télé ?
Ou te glisser dans les draps ?
Ou contempler l'autoroute silencieuse ?
Tu veux quelque chose à manger ?
Tu veux apprendre à voler ?
Voudrais-tu me voir essayer ?
Tu as envie d'appeler les flics ?
Crois-tu qu'il est temps que j'arrête ?
Pourquoi tu t'enfuis ?
* "axe" signifie guitare en argot mais aussi hache
Don't Leave Me Now
Ne me quitte pas maintenant
Ooooh chérie
Ne me quitte pas maintenant
Ne dis pas que c'est la fin du voyage
Souviens-toi les fleurs que j'ai envoyées
J'ai besoin de toi chérie
Pour te passer à la moulinette devant mes amis
Ooooh chérie
Ne me quitte pas maintenant.
Comment peux-tu partir
Alors que tu sais à quel point j'ai besoin de toi ?
Besoin de toi, besoin de toi
Pour te réduire en bouillie le samedi soir
Ooooh chérie,
Ne me quitte pas maintenant
Comment peux-tu me traiter comme ça ?
Te débiner
Ooooh chérie
Pourquoi est-ce que tu t'enfuis ?
Ooooh chérie
Another Brick in the Wall, part 3
Une brique de plus dans le mur 3ème partie
Je n'ai pas besoin de bras autour de moi
Et je n'ai besoin d'aucune drogue pour me calmer
J'ai vu l'inscription sur le mur
Ne croyez pas que j'ai besoin de quoi que ce soit
Non, ne croyez pas que j'ai besoin de quoi que ce soit
Tout compte fait, ce n'était que des briques dans le mur
Tout compte fait, vous n'étiez tous que des briques dans le mur
Goodbye Cruel World
Adieu Monde Cruel
Adieu monde cruel
Aujourd'hui je te quitte
Adieu, adieu, adieu
Adieu vous tous, rien de ce que vous pourrez dire
Ne me fera changer d'avis
Adieu
Hey You
Hé Toi
Hé toi, là bas dans le froid
En train de t'isoler, de devenir vieux
Peux-tu me comprendre ?
Hé toi, debout dans les couloirs
Avec des fourmis dans les pieds et de fades sourires
Peux-tu me comprendre ?
Hé toi, ne les aide pas à éteindre la lumière
N'abandonne pas sans combattre
Hé toi, là bas livré à toi même
Assis nu à coté du téléphone
Voudrais-tu me toucher ?
Hé toi, avec ton oreille collée au mur
En train d'attendre que quelqu'un t'appelle
Me toucherais-tu ?
Hé toi, m'aiderais-tu à porter ce fardeau ?
Ouvre ton cœur, je rentre à la maison !
Mais tout n'était qu'illusion
Comme tu peux le voir, le mur était trop haut
Il a eu beau essayer, il ne pouvait pas s'échapper
Et les vers ont dévoré son cerveau.
Hé toi, là-bas sur la route
Toujours en train de faire ce qu'on te dit
Peux-tu m'aider ?
Hé toi, là bas derrière le mur
En train de casser des bouteilles dans l'entrée
Peux-tu m'aider ?
Hé toi, ne me dis pas qu'il n'y a plus aucun espoir
Ensemble nous tenons bon, divisés nous chutons.
Is There Anybody Out There?
Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ?
Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ?
Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ?
Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ?
Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ?
Nobody Home
Personne à la maison
J'ai un petit carnet noir avec mes poèmes
J'ai un sac contenant une brosse à dent et un peigne
Quand je suis un bon chien on me jette parfois un os
J'ai des élastiques pour attacher mes chaussures (1)
J'ai le blues des mains enflées
J'ai le choix entre treize chaînes de merde à la télé (2)
J'ai la lumière électrique
Et j'ai un sixième sens
J'ai d'extraordinaires pouvoirs d'observation
Et c'est comme ça que je sais
Quand j'essaie de t'avoir
Au téléphone
Qu'il n'y aura personne à la maison
J'ai la permanente obligatoire à la Hendrix(3)
Et les inévitables trous de boulettes
Sur le devant de ma chemise en satin préférée.
J'ai des taches de nicotine sur les doigts
J'ai une cuillère en argent au bout d'une chaîne
J'ai un piano à queue pour soutenir ma dépouille mortelle (4)
J'ai le regard fixe d'un fou
Et j'ai une furieuse envie de voler
Mais je n'ai nulle part où aller
Ooooh chérie
Quand je décroche le téléphone
Il n'y a jamais personne à la maison (5)
J'ai une paire de chaussure Go-hill (6)
Mais mes racines s'estompent
(1) «Syd était la seule personne qui attachait ses chaussures avec un élastique, c'est de là que vient ce vers de la chanson.» Roger Waters.
(2) Encore une référence probable à Syd Barrett dont un des passe-temps préféré est le zapping T.V.
(3) Référence aux coupes de cheveux de Syd, la permanente afro de Jimi Hendrix fut à la mode même chez les blancs hippies au début des années 70.
(4) Référence possible à Rick Wright.
(5) Référence à la vie maritale de Roger qui s'effritait de plus en plus à cette époque.
(6) Les Go-hill Boots étaient des chaussures avec des élastiques fabriquées par une boutique londonienne du même nom à la fin des années 60. Seulement quelques personnes en avaient, celles de Syd étaient jaunes.
Vera
Quelqu'un ici se souvient-il de Vera Lynn ?
Souvenez vous, comme elle disait
Qu'on se retrouverait
Par une journée ensoleillée*
Vera Vera
Qu'es-tu devenue ?
Est-ce que quelqu'un d'autre ici
Ressent la même chose que moi ?
* Référence à We'll Meet Again, une chanson de Vera Lynn.
Voici un extrait des paroles :
«We'll meet again
We'll meet again,
Don't know where,
Don't know when
But I know we'll meet again some sunny day»
Bring The Boys Back Home
Ramenez les gars à la maison
Ramenez les gars à la maison
Ramenez les gars à la maison
Ne laissez pas les enfants livrés à eux-même
Ramenez les gars à la maison
Comfortably Numb
Agréablement Engourdi
Hé bonjour ?
Il y a quelqu'un là-dedans ?
Hoche la tête si tu m'entends
Il y a quelqu'un à la maison ?
Allons, voyons,
Il parait que tu ne vas pas bien
Je peux soulager ta douleur
Et te remettre sur pied
Détends-toi,
Il me faut d'abord quelques renseignements
Juste les symptômes de base
Peux-tu me montrer où ça fait mal ?
Je ne souffres pas, vous débloquez
Un bateau au loin fait de la fumée
Vos paroles n'arrivent que par vagues
Vos lèvres remuent, mais je n'entends pas ce que vous dites
Quand j'étais enfant j'ai eu une fièvre
Mes mains étaient gonflées comme deux ballons
Maintenant j'ai à nouveau cette sensation
Je ne peux pas l'expliquer, et puis vous ne comprendriez pas
Ce n'est pas vraiment moi
Je suis devenu agréablement engourdi
Ok,
Juste une petite piqûre
Il n'y aura plus de aaaaah !
Mais il est possible que tu te sentes un peu malade
Tu peux te lever ?
Je suis sûr que ça va aller, bien
Ca te permettra de tenir jusqu'à la fin du spectacle
Viens il est temps d'y aller
Je ne souffres pas, vous débloquez
Un bateau au loin fait de la fumée
Vos paroles n'arrivent que par vagues
Vos lèvres remuent, mais je n'entends pas ce que vous dites
Quand j'étais enfant
Une vision m'a traversé l'esprit
Furtivement
Je me suis retourné, mais elle avait disparu
Je n'arrive pas à remettre la main dessus
L'enfant a grandi,
Le rêve est parti
Et je suis devenu
Agréablement engourdi.
The Show Must Go On
Le spectacle doit continuer
Ooooh M'man Ooooh P'pa
Le spectacle doit-il continuer ?
Ooooh P'pa ramène-moi à la maison
Ooooh M'man laisse-moi partir
Il doit y avoir un malentendu
Je n'avais pas l'intention de les laisser
Prendre mon âme
Suis-je trop vieux, est-ce trop tard ?
Ooooh M'man Ooooh P'pa
Où cette sensation est-elle partie ?
Ooooh M'man Ooooh P'pa
Vais-je me rappeler des chansons ?
Le spectacle doit continuer
In The Flesh
En chair et en os
Alors comme ça,
Tu t'es dis
Que tu aimerais bien
Aller au spectacle
Pour ressentir le doux frisson
Du fanatique en extase ?
J'ai de mauvaises nouvelles pour toi mon petit
Pink ne va pas fort, il est resté à l'hôtel
Et on nous a envoyés en remplacement
Pour découvrir
Vos vraies motivations.
Y a-t-il des pédés dans la salle ce soir ?
Alignez-les contre le mur!
En voilà un dans le projecteur
Il ne m'a pas l'air bien comme il faut
Alignez-le contre le mur !
Celui-ci a l'air Juif
Et celui-là est un nègre
Qui a laissé entrer toute cette racaille ?
Il y a un qui fume un joint et
Un autre qui a des boutons
Si ça ne tenait qu'à moi
Je vous ferais tous descendre !
Run Like Hell
Prends tes Jambes à ton cou
Cours...cours...cours
Tu ferais mieux de te déguiser avec
Ton costume préféré
Avec ta bouche cousue et tes
Paupières descendues comme des stores
Avec ton sourire vide
Et ton cœur affamé
Tu sens monter la bile remonter de ton passé coupable
Avec tes nerfs à vif
Quand la coquille se brise
Et que les marteaux
Tambourinent à ta porte
Tu ferais mieux de déguerpir
Tu ferais mieux de courir toute la journée et toute la nuit
Et d'enfouir ta sale nature au plus profond de toi
Et si tu sors ta copine ce soir
Tu devrais garer la voiture bien à l'abri des regards
Parce que si on te surprend sur le siège arrière
En train d'essayer de la sauter
On te renverra à ta mère
Dans une boîte en carton
T'as intérêt à déguerpir.
Waiting For The Worms
En attendant les vers
Un, deux, trois, c'est parti !
Ooooh maintenant vous ne pouvez plus m'atteindre
Ooooh malgré tous vos efforts.
Adieu monde cruel, c'est fini
Passez votre chemin
Assis dans un bunker, ici, derrière mon mur
J'attends l'arrivée des vers, l'arrivée des vers
Dans l'isolement le plus complet, ici, derrière mon mur
J'attends l'arrivée des vers, l'arrivée des vers
(Nous [allons réussir] et nous allons nous réunir à l'extérieur de
Brixton Town Hall où nous allons être...)
J'attends d'éliminer les choses inutiles
J'attends de nettoyer la ville
J'attends de suivre les vers
J'attends de mettre une chemise noire
J'attends d'éliminer les faibles
J'attends de briser leurs fenêtres
Et d'enfoncer leurs portes
J'attends la solution finale
Pour durcir le mouvement
J'attends de suivre les vers
J'attends d'ouvrir les douches
Et d'allumer les fours
J'attends les pédés et les nègres
Et les cocos et les Juifs
J'attends de suivre les vers
Voudrais-tu voir Britannia
Régner à nouveau mon ami ?
Il te suffit de suivre les vers
Voudrais-tu renvoyer nos cousins de couleur
Dans leur pays, mon ami ?
Il te suffit de suivre les vers.
Stop
Stop
J'veux rentrer chez moi
Enlever cet uniforme
Et quitter le spectacle
Et j'attends dans cette cellule
Parce qu'il faut que je sache :
Ai-je vraiment été coupable pendant tout ce temps ?
The Trial
Le procès
Bonjour, votre honneur le Ver
Le Ministère Public va clairement démontrer
Que le prévenu qui se tient devant vous
A été pris en flagrant délit de manifestation de... sentiments !
Manifestation de sentiments de nature presque humaine
C'est intolérable
Appelez l'instituteur !
J'ai toujours dit qu'il tournerait mal
Votre honneur
Si on m'avait laissé faire à ma façon j'aurais pu
Le façonner comme il faut
Mais j'avais les mains liées
Les cœurs brisés et les artistes
L'ont laissé s'en tirer à bon compte
Aujourd'hui, laissez-moi le marteler
Cinglé... une araignée dans le plafond, je suis cinglé
Ils ont dû me couper les couilles
Appelez l'épouse de l'accusé !
Petite merde, t'es dedans jusqu'au cou maintenant.
J'espère qu'ils jetteront la clé.
Tu aurais dû me parler plus souvent
L'as-tu fait ? Mais non évidemment,
Tu n'en faisais qu'à ta tête.
Au fait, as-tu brisé des foyers dernièrement ?
Rien que cinq minutes, votre honneur le Ver,
Laissez-moi seule avec lui.
Bébéééé,
Viens voir Maman mon bébé.
Laisse moi te tenir dans mes bras.
Monseigneur, je n'ai jamais souhaité le voir
Dans le pétrin.
Pourquoi a-t-il fallu qu'il me quitte ?
Votre honneur le Ver, laissez moi le ramener à la maison.
Cinglé, Complètement détraqué, je suis cinglé.
Des barreaux à la fenêtre.
Il devait pourtant bien y avoir une porte là, dans le mur,
Quand je suis entré.
Cinglé, complètement détraqué, il est cinglé
Les témoignages devant la cour sont
Irrécusables, il n'est pas nécessaire que
Le jury se retire pour délibérer.
Tout au long de ma carrière,
Je n'ai jamais vu
Quelqu'un qui mérite davantage
La peine maximale prévue par la loi.
La façon dont vous avez fait souffrir
Votre exquise femme et votre mère
Me donne envie de ...DÉFÉQUER !
Hé Juge, chie-lui dessus !
Puisque vous avez laissé entrevoir votre
Crainte la plus vive,
Je vous condamne à être exposé à vos semblables !
Abattez le mur !
Abattez le mur !
Abattez le mur !
Outside The Wall
A l'extérieur du mur
Seuls, ou par deux,
Ceux qui t'aiment vraiment
Font les cent pas de l'autre côté du mur.
Certains main dans la main,
D'autres regroupés en bandes,
Les cœurs brisés et les artistes
Font face.
Et une fois qu'ils t'ont tout donné,
Certains chancellent et puis tombent.
Après tout ce n'est pas facile
De faire battre son cœur contre le mur d'un pauvre taré.
Roger Waters/Pink Floyd
Traductions : Filo
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1) Rouge comme certaines marques incarnats sur ma peau fine, sensible, réactive, dont certaines traces de fouet que j'ai adoré recevoir que cela soit au Club Cris et Chuchotements par Pascal le Maître des lieux, ou Monsieur Pierre qui sait manier le fouet qui me fascine.
A ces deux personnes ainsi qu'à Mon amour de Maître qui le manie un peu et la confiance est.
Dame Nadia à qui j'ai offert ma peau, et Monsieur Wich cet été, Mon Maître protecteur et respectueux a confiance en ces Personnes.
2) Orange à ce jour, je n'ai pas encore dit ce mot dans ma soumission, un jour peut être.
3) Jaune quand certaines marques qui commencent à s'effacer au fil des jours...
4) Vert comme la nature que j'aime, les arbres fruitiers, les pâturages, l'herbe coupée, le jardinage qui me rappelle ma petite enfance chez une nourrice à la campagne, j'aime la terre et l'odeur de celle ci après la pluie.
5) Bleu comme certains bleus sur ma peau dans ma soumission, je marque facilement.
Bleu était mon premier speudo sur le site sensationsm.
Bleu comme la mer que j'aime par tous les temps
6) Indigo un peu la couleur du lapis lazuli.
Comme la profondeur de la mer et de l'océan.
7) Violet comme certaines empreintes de fouet, cravache qui sont présentes quelque jours après avoir été dominé.
Violet comme les violettes délicates, et cette couleur que j'aime.
8) Je ne bois aucun alcool, ou une petite larme de champagne de rare fois.
J'ai peur quand je vois une Personne saoule, qui s'agite, crie, invective...
9) Ma drogue est le thé, j'en ai plein de petits sachets ou boites décorées, j'aime les jolies tasses, les théières, les salons de thés, j'en bois tout au long de la journée.
10) La lecture me passionne, je suis de nature curieuse, j'aime apprendre, découvrir, ma prédilection depuis 7 ans est pour les livres ou l'on apprend sur soi, je n'ai plus de place.
Je suis inscrite à la médiathèque de chez moi.
Quand je travaillais sur Paris en tant que secrétaire pour l'armée de l'air, en ayant une heure de train pour l'aller et le retour, j'ai beaucoup lu ainsi quand pension et j'ai toujours de quoi lire dans mon sac à main si je dois me déplacer et que l'attente sera, le temps passe toujours plus vite avec de la lecture.
11) Le cinéma a ma préférence y aller seule n'est pas un souci.
12) J'aime l'opéra avec le film Philadelphia et la voix de la Callas.
Placido Domingo, Pavarotti, Carreras, et autre.
Mais aussi le rnb, le rock, rhythm and blues.
13) L'histoire découvrir encore et toujours.
14) Je suis fan de talons, j'ai x paires dans des boîtes bien rangées, dont certains que je n'ai jamais porté sauf pour les essayer. j'en prends le plus grand soin et j'aime les cirer, les lustrer
Dernièrement, j'ai fait le tri parce que certaines paires, j'ai du mal à marcher avec.
15) J'ai deux chiennes une croisée berger belge rousse de 13 ans passés qui est aveugle depuis 3 ans à cause du diabète et depuis cette découverte, je lui fais deux piqûres par jour, matin et soir.
Une autre de 6 mois de différence, teckel à poils durs qui me suit partout, partout et qui pleure quand je pars et m'attends près de la porte, puis se résigne. Des tortues terrestres, les enfants veulent des animaux et qui s'en occupe Maman et j'aime. Un petit lapin depuis un an et demi.
J'aime les animaux et leur amour inconditionnel.
J'ai un petit jardin et les animaux ont de la place.
16) Mon grand père était Polonais
17) Mon père de Détroit Etats Unis, ses parents avaient immigrés là bas, puis revenu en France il était gamin.
18) J'aime les parfums et ai une collection de miniatures importantes, ainsi que des parfums et eaux de toilette de Lolita Lempicka, Jean Paul Gauthier, je n'ai plus de place et depuis 7 ans j'ai arrêté mes achats divers. Shalimar de Guerlain, Angel de Muggler que j'adore et porte bien souvent.
19) Les marchés, j'aime y flâner, découvrir, sentir, respirer ces odeurs de fruits , fleurs etc.
20) J'ai découvert la série Les Tudors et j'en suis fan, j'ai les dvd et j'aime ces ambiances en costume d'époque, les pourpoints, les décors, les bougies, les pièces froides, les églises, les paysages, les joutes etc.
Tous les films, séries, en costume d'époques j'affectionne.
21) Les uniformes ont ma prédilection, en travaillant pour l'armée de terre et air en tant que civile, j'ai été servi. Les cheveux courts, rasés, les consignes, le respect, l'obéissance, l'ordre, la propreté ont mon attirance.
j'ai épousé un militaire de carrière que je n'ai pas connu sur mon lieu de travail et à la retraite celui ci a porté un autre uniforme.
22) Les flics n'ont pas mon attirance.
23) Date du jour de la belle rencontre avec Mon Maître, le 23 mars 2010.
24) Le chocolat au lait, il ne faut pas que la tablette soit entamée sinon elle y passe.
25) La solitude j'aime et m'isoler, être au calme.
Habiter dans un phare, être toute seule comme la sauvage que je suis parfois suivant les miens.
26) J'aime l'eau, je suis verseau...
L'eau qui purifie, lave, qui m'apaise, qui me plait, qui me fait du bien, l'eau qui coule...
Aie ! Quand je me douche...J'ai du mal à fermer le robinet.
Je me rince, et me rince et me rince.
27) Je fait un peu de gym, du vélo chaque jour, de la zumba depuis l'année dernière, et le stepp avec la musique qui fait boum boum.
28) Les kilos et moi c'est une longue histoire, kilos perdus, on me dit que je suis malade, kilos pris pour cacher mes blessures pour que les Hommes ne me regardent plus, kilos d'une carapace, etc.
J'avoue être gourmande et attirée par le sucré. Parait que suis cuisine bien.
Tout ce qui est gras ne me plait pas, friture, panés, trop d'huile, charcuterie, etc .
29) Le fouet me fascine depuis que je l'ai découvert, un de mes rêves : être fouettée au sang.
Un autre souhait serait d'avoir un branding au fer avec une fleur de lys.
J'ai un tatouage rêvé en mai 2011 et réalisé en novembre, des anneaux sur mes lèvres intimes symboles de mon appartenance.
30) J'ai du mal à dire : je t'a...
Je l'ai peu entendu dans mon enfance.
Je n'aime pas le mot 'plaisir' que je remplace souvent par bonheur ou un autre mot.
Certains mots étaient interdits par moi, j'ai appris à les prononcer et les dire, les écrire depuis 5 ans.
J'aime la subtilité, la vulgarité que nenni.
Les joutes verbales, les taquineries, ce qui est dévoilé, une attirance pour les mots plus que tout, les belles écritures, les belles âmes, les enfants, l'innocence, la pureté, les petits anges blancs.
J'aime écrire, et coucher sur papier les mots de mon coeur, de mon âme, de mes tripes, chaque soir en principe, avant de reposer mes yeux, j'écris à Mon Maître c'est lui qui m'a encouragé pour que je publie mes récits, poèmes, acrostiches.
Je suis heureuse, j'ai une famille et j'y tiens.
Je suis positive, combative et comme j'aime à dire et redire, il faut savoir se relever malgré les épreuves de la vie, la vie est faite de choix, parfois le choix n'a pas été, j'ai du subir mais c'était avant...
La vie est belle.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
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New York. le 7 janvierNoel et le Jour de l’An sont passés. Ce sont des fêtes que je n’apprécie pas forcement. Pour Noël, mes parents sont venus, et j’ai réussit à faire venir mon frère avec sa femme et ses deux enfants. Il a convaincu sa femme d’enterrer la hache de guerre avec sa belle mère, un événement. De son côté seule la mère de John était présente, ses parents étant divorcés et John en veut à son père de s’être conduit avec sa mère comme un beau salaud. Bruno était resté au grand plaisir de Justine, Melissa et Joé étaient repartis pour passer les fêtes en famille Joé à Saint Barth et Mélissa à la Guadeloupe où habite sa famille.John m’a fait un superbe cadeau, une voiture de sport de marque allemande. Il s’est beaucoup amusé en me voyant descendre de la voiture pour la première fois, il a eu droit à une vue imprenable sur mon entre-jambes nu. Il va falloir que je m’habitue à ne pas écarter les jambes pour descendre de cette voiture. Enfin c’est un détail après tout si ça fait plaisir à ceux qui regarde, moi ça ne me dérange pas, c’est mon côté exhibitionniste.Tout ce petit monde est reparti, à l’exception de Bruno à qui John a proposé un job intéressant dans sa boite d’import-export avec pas mal de voyages en vue, ce qu’il a accepté avec joie. Et la vie à retrouvé un peu de calme.Un soir, en rentrant de ses bureaux, John nous annonça que nous étions invitez à une soirée. Je vous avais parlé de ce magnat du pétrole qui organisait, des soirées échanges de partenaires pour subvenir aux besoins financiers de son association. Et bien il s’agissait de cela.Justine et Bruno faisaient partie de la fête s’ils le voulaient. Un peu inquiet quand même, ne sachant pas sur qui le sort leur ferait partager une nuit d’ébats sexuels car il ne s’agissait que de sexe, les sentiments restant aux vestiaires. Il pouvait s’agir d’un jeune homme ou d’un homme plus âgé, idem pour les hommes.Le jour en question, en fin d’après midi, J’ai pris la Porsche avec John et Bruno empruntât la limousine de John avec Justine pour nous rendre à la résidence d’Aaron. Car il fallait obligatoirement avoir une voiture pour ramener l’heureuse élue au domicile du Monsieur. Aaron possédait une superbe propriété à Mamaroneck, située à quelques kilomètres de New York, ce petit village à la campagne offre un cadre de vie idyllique avec ses plages et son port ou sont amarrés de superbes bateaux de plaisance. Arrivé à la propriété, Aaron nous accueilli en nous remerciant d’être venu tous la quatre à sa petite « sauterie ». Content surtout de récolter 2 fois 10 000$ pour notre participation et celle de Justine et Bruno.l y avait une bonne trentaine de couples, de tout âges, des jeunes mariés comme des couples n’ayant plus grands choses à se dire et qui trouvaient dans ces soirées le moyen de renouer avec leur jeunesse pourvu qu’ils aient la chance de tomber sur des hommes et des femmes plus jeunes qu’eux.Après quelques coupes de champagne et amuse-gueules, le tirage au sort commença.Tous les participants mâles avaient mis dans un petit sac de velours leurs clefs de voiture ainsi que leur noms le tout mis dans une grande vasque en verre. Je tenais serrée la main de John car ayant remarqué quelques hommes d’un âge plus que dépassé, j’avais une peur bleue de tomber sur eux. Justine partageait mon angoisse.Nous avions reçu en entrant un numéro qui déterminait l’ordre de passage. La première sur la liste tira le premier sac, et annonça le nom de l’heureux gagnant. Cette femme d’une quarantaine d’année n’était pas très belle physiquement mais il se dégageait d’elle une superbe prestance doublée d’un rien d’érotisme. L’homme choisit fut un homme nettement plus jeune qu’elle. Elle en parue très heureuse et tant à lui il avait l’air content du choix.Les femmes se succédaient les unes derrière les autres, et puis vient le tour de Justine, elle prit le sac, retira la clef et lu le nom de l’homme avec qui elle allait passer la nuit jusqu’au lendemain midi. Un homme d’une cinquantaine d’année se présenta, vêtu d’un élégant costume sombre, les cheveux grisonnants coupés courts et des yeux d’un bleu soutenu. Justine soupirait, j’étais content pour elle. Il s’approcha d’elle, lui fit un baise main et se présentât. Puis il prit Justine par le bras et l’entrainât après avoir dit à Bruno qu’il ne s’inquiète pas, qu’il prendrait bien soin d’elle. Puis ils partirent tous les deux, sa femme ayant déjà choisi son cavalier.Puis vint le tour d’une femme d’une vingtaine d’année, elle tira un sac et annonçât : « John Steven». Je regardais John et lui disait à l’oreille, « salaud, moi qui voulait que tu te tapes une vieille, c’est raté et tu ne la baises pas dans notre lit OK ? ». John hocha la tête en souriant pour me dire qu’il avait compris le message, me dit au revoir et se dirigea vers la fille. Blonde aux yeux verts, elle avait une poitrine « à l’américaine », et était assez jolie avec un air de salope très prononcé. Bruno s’impatientait quand il entendit son nom, Il regarda qui l’avait appelé et découvrit une fille d’une trentaine d’année, de type asiatique, grande et belle avec des cheveux jusqu’au fesses. Je lui disais «Et bien tu ne vas pas t’embêter ». Il m’embrassât et partit rejoindre la fille. Et vint mon tour. Il restait dans l’assistance une dizaine de couples dont une majorité d’hommes visiblement de plus de cinquante ans. Je tirais un sac et annonçait le nom, l’homme tiré au sort leva la main et je découvris ce que je redoutais, mon partenaire devait avoir au moins soixante ans. Il portait beau, soigné dans son apparence, les cheveux blancs assez longs, mais vieux. Je me disais que peut être, comme il participait à ces soirées il devait être un pas trop mauvais coup au lit, enfin on verra bien.Il me prit par le bras et m’emmena aussitôt vers sa voiture, Son chauffeur attendait, il nous ouvrit la portière et nous sommes installés dans cette limousine grande comme un wagon de chemin de fer, avec télévision grand écran, bar chaine Hi-Fi. Enfin toute la panoplie des gadgets indispensables pour montrer aux autres sa réussite sociale. Il se présenta, il se prénommait Darren, il était retraité de la banque, il avait 65 ans ! Il se mit à rire en me disant que sa femme était parti avec une petit jeune, et que lui avait le bonheur d’être choisit par une femme jeune. Il y avait dans son propos une certaine philosophie.Nous sommes arrivés à son appartement donnant sur Central Park. Dernier étage avec une grande terrasse. Et une vue magnifique sur cet air de verdure en plein milieu des immeubles. Je me débarrassais de mon manteau de fourrure, Il me proposât un verre, que j’acceptais, et au moment de trinquer à notre nuit à venir, il m’embrassât dans le coup, mais sans empressement.Il me dit alors qu’il avait prévu de diner ici, un traiteur devant apporter à 20 heures le repas, et que si je voulais utiliser la salle de bain, elle était à ma disposition. Il se dégageait de cet homme un curieux sentiment, je n’arrivais pas à le cerner. Je luis demandais si il pouvait me faire visiter l’appartement, « bien sûr » me dit’ il « suivez moi ». Derrière le salon il y avait une salle à manger donnant sur une cuisine immense, puis un couloir qui conduisait aux 6 chambres toutes avec salles de bains.Je m’apprêtais à ouvrir la dernière dans ce couloir, quand il me prit la main, la porta à sa bouche et après un baiser, me dit : « non pas celle là ». Je me disais peut-être est’ elle en travaux ou je ne sais quoi. Je lui demandais de me rendre dans une salle de bain pour me refaire un peu de maquillage.Revenu au salon je le trouvais assis dans un canapé buvant une coupe de champagne. Il m’invitât à m’assoir à coté de lui, je me disais que les choses sérieuses allaient commencées. Il m’offrit une coupe, je trempais mes lèvres et reposais le verre. Il s’était mis de côté et me regardais. Je portais pour l’occasion une robe en soie, très décoltée dans le dos, et pour une fois un porte-jarretelles et des bas, mais ne pouvais concevoir de porter une culotte, n’ayant jamais mis de sous-vêtements depuis mon enfance.Il se rapprochât de moi, posa sa main sur ma jambe et remontant le long de ma jambe elle atteint ma cuisse qu’il caressât doucement, puis continuât son ascension. Il eu moment d’hésitation quand il s’aperçut que mon sexe était libre de tout obstacle, sa main alors se posa sur mon sexe, le majeur en avant, j’ouvrais les jambes pour lui permette une caresse plus profonde. Sa main allait et venait sur mon clitoris, il était très adroit, et il ne tarda pas à réveiller chez moi les prémisses d’un orgasme. Il s’en aperçu et appuya encore plus sa caresse qui débouchât sur un orgasme. Je me penchais alors sur lui, dans le but de lui rendre sa caresse, mais il m’arrêtât immédiatement en disant pas tout de suite.Puis il me demandât de me déshabiller entièrement ne gardant uniquement porte jarretelles bas et chaussures. Je luis faisais remarquer qu’il était presque vingt heures et que le traiteur n’allait pas tarder. Il balaya ma remarque d’un geste de la main et posant ses mains sur mes épaules il fit glisser ma robe jusqu’à terre. Je me retrouvais nue dans ce salon, et dans l’attente du traiteur. Quelle tête il fera en me voyant, il détournera les yeux où au contraire me regardera fixement ?. J’avoue que cette situation ne manquait pas de piments et m’excitais plutôt.A vingt heures, sonnerie de l’interphone, c’était le traiteur, Darren me demandât de me mettre debout, et de regarder par la baie vitrée. Pourquoi pas. Cinq minutes plus tard on sonnait à la porte de l’appartement, Darren alla ouvrir et j’entendis plusieurs voix dont celle d’une femme. Je restais impassible quand ils entrèrent dans le salon pour se diriger vers la cuisine. Je devinais leurs regards posés sur moi. Darren vint vers moi et me dis que nous passerons à table dans un quart d’heure. Il était derrière moi, ses mains posées sur mes seins, je sentais le souffle de sa bouche dans mon coup, Il descendit sa main sur mon corps jusqu’à atteindre mon sexe, qu’il recommençât à caresser. Je m’offusquais en prétextant la présence du traiteur et de la femme, mais il continua son travail de sape sur mon clitoris, déjà mis en forme par la séance précédente, je tenais debout à peine, il était très doué. Je n’en pouvais plus, c’est alors qu’en entendis venant de la salle à manger, « Madame est servie ». Darren retira sa main avec regret, et nous nous sommes dirigés vers la salle à manger.Et là énorme surprise, il n’y avait pas une femme et un homme, mais une femme et deux hommes, qui ne portaient pour simple vêtements, pour les hommes un nœud papillons et pour la femme un mini tablier blanc qui ne cachait rien de son anatomie. Ils étaient tous les trois jeunes. Ils restaient donc pour nous servir le repas. Ca c’est typique Etats Unis, on peut faire tout et n’importe quoi, même se faire servir un repas par des hommes et des femmes à poils dans son appartement.Le repas se déroula très bien, Quand un des hommes me servait, j’avais son sexe à vingt centimètres de mon visage, ça ne m’étais encore jamais arrivé. Puis vint le dessert et la fin du repas. Darren m’invita à le suivre au salon pendant que le « personnel » débarrassait la table et rangeais tout dans la cuisine. Darren debout, il me demanda de me mettre à genoux, je compris tout de suite son souhait, j’obéissais, et descendais sa braguette, en me demandant ce que j’allais trouver.Je sortais son sexe avec difficulté en m’apercevant qu’il était dans une bonne forme, je ne devrais pas trop regretter ma soirée et ma nuit. Je prenais son sexe dans ma bouche et commençais une fellation profonde comme je les aime. Darren soupirait, je m’activais de plus en plus vite et de plus en plus loin, jusqu’au moment où n’y tenant plus, il déchargeât au fond de ma gorge en longs jets épais et chauds. C’était incroyable la quantité de sperme que j’ai du avaler. A mon avis il devait y avoir un moment que sa femme ne l’avait pas sucé, pour avoir une telle éjaculation. Quel dessert !Pendant ce temps les serveurs avaient finis de tout ranger, Je pensais alors qu’ils allaient partir, mais pas du tout, ils vinrent nous rejoindre tous les trois dans le salon, la fille avait retiré son tablier ce qui laissât apparaître un sexe complètement épilé et qui commençait très haut. Je me tournais vers Darren en lui témoignant mon étonnement, il me répondit que la suite était comprise dans le service. Un des deux s’approchât de moi me pris par la taille et me fit m’allonger sur une table basse. Il ouvrit mes jambes et posa sa langue sur mon clito. La soirée commençait plus que bien. Il était doué et sentant que j’allais jouir, il vint s’allonger sur moi et me pénétra d’un cou après avoir mis un préservatif..Il fit durer le plaisir un bon moment et n’y tenant plus il joui en même temps que moi. En me remettant de mes émotions, je constatais que Darren était à son tour entièrement nu, que la fille léchait les couilles de serveur pendant que ce dernier sodomisait Darren. Ce beau monsieur marchait à voile et à vapeur.Une partie de la soirée continua jusqu’au moment ou Darren proposa de changer de pièce pour continuer nos ébats. Sur le moment je ne compris pas quand il me mit un bandeau sur les yeux, puis il me prit pas la main et m’entraina dans le couloir. Je l’entendis ouvrir une porte, puis eux bras me soulevèrent et je me sentis posé sur une table. Sans que j’ai eu le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait, je me suis retrouvée les pieds et les mains liés aux quatre coins de la table, une sangle passant sur mon ventre complétait mon immobilisation. Les yeux toujours bandés, j’ai été pris de panique, et pour étouffer mes cris ils me mirent dans la bouche une balle en caoutchouc attachées derrière la tête.Dans quel merdier j’étais, qu’allaient-ils me faire ? Tout tournait dans ma tête. Ils me retirèrent mon bandeau et je vis ou je me trouvais. Sans doute dans la pièce qu’il n’avait pas voulu me montrer. Elle était entièrement tapissée de noir, pendaient aux murs des tas d’ustensiles, des fouets de toutes sortes, des pinces, des cordes, des menottes, sur une table était disposés des bougies dans des verres, une boite en métal contenant des aiguilles hypodermiques, des pinces de chirurgie etc.. il y avait aussi une armoire à pharmacie ! Darren s’approcha de moi, me caressant les seins il me dit : « maintenant les choses sérieuses vont commencées. » et ça ne tarda pas.Je ne suis pas une adepte de sado masochisme, et j’ai même une certaine aversion à participer à ces séances, la douleur physique qu’elle soit pour moi ou pour les autres m’a toujours fait peur, mais là on ne m’a pas laissé le choix. Le plus grands des deux hommes, celui qui avait sodomisé Darren, s’approcha de moi, Il avait dans la main un petit objet doré comme un petit tube, d’un centimètre de diamètre. Il l’ouvrit en deux, dans le sens de la longueur ce qui le fit ressembler à une sorte de pince longue de cinq centimètres environ dont les bords étaient munis de petites dents. A l’intérieur il y avait un piston sur un ressort muni à son extrémité d’une aiguille fine et longue d’un bon centimètre. Le piston sortait à l’extrémité du tube. Il m’expliqua alors son fonctionnement. Il allait poser cette pince sur mon clitoris le piston vers le bas et qu’ensuite quand il me baisera, son ventre appuyant sur le piston, l’aiguille rentrera de toute sa longueur dans la partie le plus sensible de mon sexe.Il prit ensuite un tube de crème et m’enduisis mon clito en le massant bien avec cette pommade. Trente secondes plus tard un froid intense suivit d’une forte chaleur fit que mon clitoris avait triplé de volume. Il plaça alors la pince avec le piston à la base de mon clito. Les petites dents mordirent mes chaires et je sentis une forte douleur. Grimpant sur la table je le vis s’allonger sur moi et il me pénétra d’une seule poussée. C’est quand son ventre toucha mon sexe qu’une douleur fulgurante m’irradia mon sexe provoquant comme une décharge électrique. J’étais chez les fous !L’aiguille venait de pénétrer mon clito de toute sa longueur, et la douleur recommença à chaque fois que le ventre de mon bourreau touchait mon ventre. L’aiguille entrait et sortait en permanence. Ce supplice dura jusqu’au moment et il éjacula et grognant comme un cochon, et en s’appuyant de toutes ses forces sur mon sexe. Il se retira, descendit de la table, me regarda puis pour mieux voir ma réaction appuya plusieurs fois sur le piston. Il semblait jouir de me voir torturer de la sorte puis il retira l’engin de torture de mon sexe. Mon supplice avait mis tout tous leurs états ses comparses car les deux hommes se masturbaient et la fille avait pratiquement enfoncée sa main dans son vagin et se tordant de plaisir.Je me demandais comment Aaron avait pu inviter à cette soirée un tel individu. Je pensais avoir fini avec ça, mais j’étais loin du compte. Ils me nettoyèrent mon sexe ensanglanté, puis jugeant que j’étais remise en forme, Darren demanda à la fille de posé sur mes lèvres intimes une pince de chaque côté. Les deux mâchoires de ces pinces mordirent mes chaires sensibles, puis ils attachèrent chaque pince avec un gros élastique à mes cuisses, ouvrant ainsi mon sexe. Puis prenant un sexe en plastique de grande taille, sans aucune précaution, elle le fit entrer jusqu’au fond. De ce que pouvait voir en me tordant dans mes liens, deux fils sortaient de sa base. Ils fixèrent ensuite sur les pinces deux fils électriques. Ils relièrent ensuite le tout à un petit boitier, muni de boutons et de voyants. Darren s’empara du boitier et alluma le boitier, aussitôt, une décharge électrique m’envahi le bas ventre, il jouait avec les boutons augmentant et diminuant l’intensité. Je ne sais pas combien ça a duré, mais il me paru interminable.Ils retirèrent le tout et sans attendre que je récupère, Darren alla chercher trois verres contenant les bougies allumées. La bougie fondue tremblait au dessus du verre. Il donna un verre a chacun des deux hommes et en gardant un pour lui. Ils approchèrent deux verres au dessus de mes seins et l’autre au dessus de mon sexe, et ils versèrent doucement le contenue des bougies fondues. La douleur la plus forte fut celle sur mon sexe, ouvert comme il était par les pinces et les élastiques, la bougie avait coulée profondément dans mon vagin. Je hurlais dans mon bâillon, mais ils semblaient complètement insensible, car ils se masturbaient de plus belle. Le contenu vide, ils attendirent que la bougie ai refroidie et ils la retirèrent de mes seins et mon sexe.Darren dans un état d’excitation extrême monta sur la table et m’introduisit son sexe, dans mon vagin meurtri. Un des deux hommes se mit derrière Darren et il l’encula, la fille ne resta pas inactive, me retira mon bâillon, et monta également sur cette table elle vint s’assoir sur ma bouche, la tête vers la bas de mon corps, son sexe collé à mes lèvres, le second homme la sodomisant.Comment allait se terminer cette séance de torture, ils devaient bien se douter que sortant d’ici, je porterais plainte, ce qui accentua encore ma panique. Je n’avais plus aucun repaire de temps, lorsqu’on entendit la sonnerie de la porte de l’appartement. Darren grogna mais continua ses vas et vient. C’est après une nouvelle série de sonneries et de coups dans la porte qu’il se décida à aller ouvrir. Il enfila un peignoir et se dirigea vers l’entrée de l’appartement. Puis tout se passa très vite, il y eu des cris, j’entendis le mot « police », et un policier en uniforme entra brusquement dans la pièce, Il braqua les trois acolytes, qui furent immédiatement immobilisés.Puis j’ai vu John arrivé, il se précipita sur moi, me détacha de mes liens et me prit dans ses bras. Je me suis mise à pleurer en gros sanglots incapables de dire un mot. Sur un appel des policiers, deux infirmiers arrivèrent un peu plus tard, on m’a mis sur une civière et direction l’hôpital. Ils me gardèrent deux bonnes heures, le temps de constater que mes blessures étaient plus douloureuses que graves. John me ramena à l’appartement. En chemin, je lui demandais comment il avait su ce qu’il pouvait se passer au domicile de ce fou.C’est assez simple, c’est lorsque tout le monde est parti de la résidence d’Aaron après avoir diné, qu’en regardant les chèques, il s’aperçut qu’un chèque comportait un nom qui n’était pas sur sa liste d’invité. Il ne connaissait pas visuellement toutes les personnes inscrites. Pensant que ça pouvait être un chèque volé, et dans le doute il téléphona à un de ses amis chef de police qui lui promis de le rappeler après s’être renseigné. Il lui confirma vers onze heures, que ce nom correspondait à un homme déjà arrêté il y a quelques années pour séquestration, viol et torture. Il avait échappé à la prison par on ne sait quels connivences. Riche à millions il était passé au travers de l’emprisonnement. Ayant son adresse, ils décidèrent d’intervenir immédiatement.Vers midi, Justine puis Bruno sont revenus au domicile, Justine me voyant dans un état pitoyable, me demanda ce qu’il c’était passé, je lui expliquais alors mes séances de torture. Bruno fou de rage frappait les murs de ses poings en traitant mon bourreau de tous les noms.Pour Justine, son amant d’un jour, malgré son âge avait été formidable, et la maitresse de Bruno lui avait fait découvert l’exotisme de certaines positions propre à ses origines. Tant qu’à John, la nuit qu’il devait passée avec sa jeunette, écourtée par mon aventure, il avait promis à la belle de se revoir à notre domicile pour terminer ce qui avait très bien commencé. Il ne perd jamais le nord.Dans l’après midi je me rendais au poste de Police pour déposer plainte en souhaitant que cette fois-ci, il ne s’en sorte pas aussi facilement.Tant qu’à Aaron il fut interroger par la police, mais aucun chef d’inculpation ne fut retenu contre lui, toutes les personnes présentes étant majeures et consentantes. Il décida de prendre plus de précautions dans la sélection de ses invités mais il ne renonça pas à subvenir à son association caritative par ce moyen pas très moral mais très lucratif.A suivre…
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ma Maitresse m'a demandé de poster un article sur une video je vous la livre.Un homme est a son bureau il ouvre un cahier. il parle de 2 personnes Haniecka et Janiecka. Il marche dans la pièce il porte des vêtements démodes.on voit ensuite 2 jeunes femmes qui se déshabillent, une blonde et une brune. Elles portent des tenues d'écolières . La brune à des couettes. elles ont une petite culotte rouge. on voit leurs seins et leur sexe qui est rasé. Elles attendent comme si elles devaient être punies.l'homme parle dans une langue slave.Il déambule dans la pièce et regarde par la fenêtre.Les filles se font une introduction d'une canule dans l'anus, la brune commence. elles sont dans une pièce à part. il y a des bouteilles de liquide bien remplies. Les filles commencent à se le faire couler dans l'anus. il y a beaucoup de liquide à faire passer.On revient sur l'homme il parle dans son bureau.Les filles ont un set de toilette. elles se lavent le sexe consciencieusement au dessus d'un bassin en porcelaine avec un gant de toilette. Elles ont les cuisses écartées et on peut voir très bien leur lèvres intimes.L'homme quitte son bureau.Les filles enfilent un autre uniforme. Les sous-vêtements sont bleu et les tops sont blancs avec un petit nœud papillon. Elles semblent inquiètes de ce qui va suivre.gros plan sur un coucou.Les 2 écolières attendent humblement dans le bureau de l'homme qui rentre et enlève son manteau. Les filles se mettent à ses pieds et ils les gronde. elles semblent le supplier. Il semble excédé. Il reprend son cahier. Elles le supplient à genoux. Il semble énoncer des fautes. On le voit fumer la pipe et observer les 2 jeunes femmes qui se chamaillent par le trou de la serrure. on retrouve les 2 filles qui tentent de s'expliquer.il regarde à nouveau par le trou de la serrure . es filles sont à genoux et corrigent leur cahier de notes.Après cela on revient sur le plan avec les filles à genoux.il regarde encore par le trou de la serrure, les filles sont nues et sur caressent sur un lit. on les voit se branler la brune se pince les seins pendant que la blonde aventure ses mains sur les cuisses et le sexe de la bruneElles se caressent ensuite mutuellement les seins, le corps et le sexe. Notre bon voyeur n'en revient pas. La brune gémit.Les 2 filles tentent de se justifier. Elles ont l'air penaud et se tiennent les couettes et les mains. L'homme reprend son cahier puis il ferme la porte de son bureau à clé.On le voit assis sur une chaise, les 2 filles sont debout. il tire la blonde par les cheveux et la met sur ses genoux pour la fesser. il fesse consciencieusement en alternant les fesses et en maintenant le bras de la blonde. 26 coups, il accélére à 24 car la blonde se rebiffe puis il s'occupe de la brune il remarque un bout de tissu ou d’étiquette qui dépasse de sa culotte. elle se met à genoux il se lève et va reprendre son cahier. il n'est pas content et la brune supplie il la chasse du bureau. elle s'approche de la porte et enlève ce qui devait protéger ses fesses : elle se remet en position et il la fesse de 27 coups. puis il les met au mur , elle doivent tenir une feuille de papier appuyée sur le mur avec leur nez. La brune masse ses fesses car elle a mal. elle regarde son amie.on voit ensuite les jeunes femmes sans leur jupe. L'homme les engueule et verse de l'eau dans une bassine. La blonde enlève sa culotte et la lave dans l'eau. L'homme enlève sa ceinture pendant que la blonde remet sa culotte trempée. il la met bien en place avant de la corriger de coups de ceinture elle se positionne en appui sur une chaise. la blonde gigote après chaque coup qui lui arrache des cris. après le 8e elle demande grâce. après le 13e il s’arrête et la brune subit la même punition. il lui demande de se presser on voit le petit sexe de la brune. il lui donne une quinzaine de coups. Elle pousse des petits cris. il les tire par les cheveux et les fait se mettre à genoux. et leur fait tenir un livre à bout de bras , bras tendus. Elles tremblent et tentent de ne pas le laisser tomber. La blonde a du mal et le fait tomber en premier. il le lui remet et attend. On voit les filles debout, l'homme a une règle en main. il leur donne de petits coups pour redresser leur position (coups sur les cuisses. Il les réprimande en même temps. La blonde tend ses mains et il la frappe sur les mains, 2 main tendues puis une seule. puis il fait de même avec la brune 3 coups sur chaque main.Les 2 filles se déshabillent, petite culotte puis top. et la blonde s'allonge sur le bureau en écartant les cuisses elle se tient au bureau pendant qu'il lui donne des coups de règle en alternant les 2 cuisses. elle se débat mais tente de rester immobile on voit nettement les cuisses rougir à chaque coup. il lui tient la jambe et après une quinzaine de coups. il la remet debout et passe à la brune.elle semble moins bouger et on a une jolie vue sur son sexe.elles sont penaudes. et il pose la règle en bois. il les remet au coin et leur passe une canne anglaise dans les fesses.elle doivent les serrer pour la retenir. elles tiennent plusieurs minutes ainsi.on voirt ensuite les 2 filles nues au cœur du bureau. l'homme fait les sans pas et les réprimande. elles le supplient.Il les fait uriner dans pots de de chambre puis prend une canne anglaise. Les filles ramènent leurs pots sous une table. La brune tient la blonde qui est bien cambrée pour recevoir des coups de canne.La blonde souffre le martyr, les coups sont secs. elle en pleure . au 4e elle se jette à terre pour éviter la suite au 6 e on voit ses fesses se zébrer de traces rouges. l'homme lui fait croire qu'il va frapper en posant sa canne sur ses fesses mais il frappe à contretemps pour qu'elle ne puisse pas anticiper. on sent la douleur qu'elle ressent, elles se tortille et tombe quasiment à genoux à chaque coup. il la fait se cambrer et écarter les jambes. Il en donne une douzaine. on peut voir les traces rougeoyantes s'accumuler sur ses fesses. il en donne au moins 20 en tout. certaines traces virent au bleu. puis il passe à la brune. La brune se tient à la blonde.elle encaisse les 12 premiers coups .ses jambes en tremblent. après 25 oups il arrête.Les 2 filles se mettent à genoux en position d'attente et il leur met une pièce de bois dans le cul. on voit très bien les derrières zébrés de marques. Il les humilie enfin en leur mettant un savon dans la bouche.on voit ensuite l'homme dans une salle d'attente. il boit un café. Les 2filles qu'il a humilié sont la.une infirmière arrive et indique à tout le monde qu'il va venir subir un examen anal ( constipation ou autre). les 2femmes sont explosées de rire. L'infirmière enfile un gant en latex.toute la scène semble donc être un fantasme de l'homme. il rentre dans le cabinet en se tenant les fesses. puis l'infirmière tente un toucher rectal et l'homme hurle4 visionnages Madame.puis le generique passe et on voit les 2 jeunes femmes au téléphonehttp://xhamster.com/movies/522272/bdsm_friday_the_13th_xlx.html
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