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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
A. Premiers pas de soumis. Partie 1
Jean, qui est en train d’aider Martin à ranger, se retourne brusquement. Sabine se tenait debout dans l’encadrement de l’entrée voûtée, campée sur ses cuissardes aux talons aiguille et bras croisés. Il avait l’impression de voir une icône.
D’un ton ferme elle dit « Assied toi ! »
Interloqué Jean s’exécute.
Sabine – « Tu as accepté de jouer un rôle. C’est exact ? »
Jean – « Oui, c’est exact ! » répond-il surpris par ce soudain tutoiement.
Sabine – « Et tu as promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! C’est bien ça ? »
Jean – « Oui ! »
Sabine – « Je veux que tu me le dises ! »
Jean – « J’ai promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! »
Sabine – « As-tu une idée du rôle que tu dois assumer ? »
Avant qu’il réponde elle demande à Martin de les laisser seuls et d’aller sur le palier car elle craint que sa présence bloque Jean. Elle doit lui annoncer ce qu’elle attend de lui tout en le rassurant, faire en sorte qu’il comprenne de lui-même si ce n’est déjà fait, le faire adhérer en éveillant sa curiosité et son désir malgré ses doutes et ses craintes. Elle sait que l’excitation et la peur font monter le rythme cardiaque de la même façon, comme le plaisir et la douleur peuvent apporter les mêmes frissons. Elle s’assoie en face de lui.
Sabine – « J’attends ta réponse ! »
Jean – « Pas vraiment. J’ai vu tellement de choses et vécu tellement de situations aujourd’hui que j’imagine tout et rien ! »
Sabine – « Ok ! Mais quand tu m’as envoyé OUI par SMS c’était avant ! Pourquoi tu as répondu OUI ? »
Jean – « La curiosité, l’envie d’aller vers l’inconnu ! ». Curiosité, envie, inconnu. Des mots qui confirment Sabine qu’elle a choisi le bon sujet.
Sabine – « Sais-tu où nous sommes ? »
Jean – « Oui chez vous ! »
Sabine – énervée « bien sûr qu’on est chez moi, mais Ici à cet étage ! Imagine-tu ce qu’il y a derrière cette porte ? »
Elle désigne du doigt le couloir et la porte qui mènent au donjon.
Jean – « Je sais que c’est un endroit spécial. Peut-être ce qu’on appelle un donjon dans le milieu BDSM ! »
Sabine – « Bien ! Et que se passe-t-il dans un donjon ? »
Jean – « Il y a une personne qui prend du plaisir à faire certaines choses à une autre personne ! »
Sabine – « C’est plus subtil que ça. Il y a un dominant et un dominé. Faire certaines choses, comme tu dis, c’est un moyen pas une finalité. La finalité c’est le plaisir de l’un et de l’autre, peu importe le moyen sachant que c’est toujours le dominant qui décide du moyen ! Tu comprends ? »
Jean – « Je crois que j’ai compris ! »
Sabine – « D’après toi, de nous deux qui est le dominant ? »
Jean – « Vous ! »
Sabine – « Donc quel va être ton rôle ? »
Jean – « Le rôle du dominé ! »
Sabine – « Le rôle de soumis. On dit soumis car tu vas te soumettre à toutes mes volontés ! Et à partir de cet instant tu t’adresses à moi en disant Maîtresse Sabine ! C’est compris ? »
Il sait enfin. Cela l’inquiète et l’excite en même temps, et son cœur se met à battre très fort. Il essaie de répondre mais aucun son ne sort de sa bouche.
Sabine s’impatiente et sur un ton plus haut – « C’est compris ? »
Jean avale sa salive et d’une voix chevrotante – « Oui Maîtresse Sabine ! »
Sabine – « J’ai horreur de répéter deux fois la même chose ! »
Elle se lève et dit « Suis-moi ! »
Il se lève aussitôt et lui emboîte le pas. Elle déverrouille et ouvre la porte de la salle de préparation, tout en lui expliquant la signification des couleurs de la lampe qui se trouve au-dessus de la porte. Vert, déverrouillé et rouge verrouillé.
« Ici, tu te déshabilles et tu ranges tes habits et ta montre dans ce placard. Quand tu es nu tu vas dans la salle d’eau ! ».
Elle ouvre la porte et Jean se dit que c’est une salle d’eau normale sauf que, juste à côté il y a un ce qu’on appelle un pied à sérum comme on en voit dans les hôpitaux mais, sur celui-ci est accroché un récipient gradué et une canule au bout du tuyau. Jean est surpris car il se souvient que lorsqu’il avait été hospitalisé on lui avait mis un cathéter relié à une poche de sérum accrochée au même pied sur roulette. Il le poussait pour arpenter les couloirs et prendre l’ascenseur afin d’aller fumer sa cigarette à l’extérieur.
Sabine voit que cet objet intrigue Jean, donc elle précise « Un soumis ou une soumise. Peut-être qu’un jour tu auras l’occasion d’assister à l’éducation d’une soumise ou d’en partager une session ! ». Elle fait exprès d’attiser sa curiosité. « Donc, un soumis ou une soumise se doit d’être toujours d’une propreté irréprochable, y compris au plus profond de son intimité, afin de ne pas risquer de subir une punition en cas d’inspection de la Maîtresse ou du Maître ! »
Elle lui explique comment utiliser cet appareil et les précautions à prendre.
Ils retournent dans la petite salle.
« Une fois que tu es propre tu enfiles ce slip. C’est celui que tu as essayé cet après-midi. Tu t’assoies ici et tu mets ce masque sur tes yeux. Tu ne dois plus rien voir, comme quand on joue à Colin-maillard, et tu attends ! As-tu tout compris ? »
N’ayant pas envie de se faire réprimander il répond docilement « Oui Maîtresse Sabine ! »
Sabine sourit, lui caresse le dessus de la tête et dit « Ce soir je suis la seule Maîtresse ici. Alors oui Maîtresse suffira. Économise ta salive car tu risques d’en avoir besoin ! » elle ajoute « Sois prêt dans une demie heure ! » et sort par la porte qui donne sur le couloir, la lumière passe au rouge.
Jean soupire, regarde autour de lui, vérifie la couleur des lumières qui sont au-dessus des portes, elles sont toutes au rouge, sauf celle entre la petite pièce et la salle d’eau. Pas moyen de s’échapper ni même d’entrevoir ce donjon dont Sabine lui a parlé et se souvient qu’il a un temps limité pour se préparer et découvrir ce nouveau monde. Il se met à siffloter un air de cette symphonie éponyme du compositeur Antonín Dvořák pour de donner du courage et exécute les consignes que Sabine lui a données.
Sabine va chercher Vanessa et Martin qui attendent sur le palier. Ils se rendent dans le donjon après que Martin ait récupéré une bouteille de champagne dans le réfrigérateur et trois flûtes.
Toute excitée Vanessa demande – « Alors c’est bon il se prépare ? »
Sabine – « Normalement oui mais, tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas allumer l’écran et activer les caméras ! Et pendant que je me prépare tu surveilles ce qu’il fait. En même temps tu pourras me conseiller sur ma tenue ! ». Dans chaque pièce il y a une micro caméra invisible qui permet de visionner tout ce qu’il se passe.
Vanessa – « Il ne verra pas ta tenue puisque tu m’as dit qu’il aura les yeux masqués ! »
Sabine – « À la fin je vais le lui enlever car je veux qu’il découvre son environnement ! »
Vanessa – « Mais il me verra ! »
Sabine – « Non, tu retourneras dans la pièce du fond. Tu pourras regarder par la glace sans tain ! »
Les deux femmes se dirigent vers cette pièce où se trouvent les tenues, l’écran qui permet de voir ce qu’il se passe dans les autres pièces et où des convives peuvent voir le donjon à travers la vitre sans tain tout en consommant des boissons fraîches ou chaudes.
Vanessa démarre l’ordinateur, allume l’écran et active les caméras à partir du logiciel. Elle a la salle de préparation et la salle d’eau simultanément en double affichage. Elle voit Jean assis sur les toilettes avec la tête appuyée sur ses genoux et le tuyau de l’énéma entre ses fesses et regrette de ne pas avoir assisté au moment où il s’enfonce la canule dans l’anus.
Sabine lui demande – « Tu le vois ? il en est où ? Il a intérêt à ne pas être en retard ! »
Vanessa – « C’est sa première fois sois un peu indulgente ! »
Sabine – « Tu as raison ! Qu’est-ce que tu penses de cette tenue ? »
Escarpins rouges à talons aiguilles, corset porte-jarretelles en vinyle noir avec des bas résille et mini-jupe en cuir noir.
Vanessa – « Pas de soutien-gorge ni de culotte ? »
Sabine – « Non, car je veux qu’il sente le frottement de mes tétons sur sa peau et s’il est docile il sera récompensé d’un face-sitting ! »
Vanessa – « C’est lui qui sera récompensé ou c’est toi ? »
Sabine – « On verra ! »
Vanessa reprend sa surveillance et Sabine met sa tenue.
Jean sort de la douche et Vanessa s’exclame « Ouah, pas mal le mec ! » puis il s’essuie, va dans la salle de préparation, enfile le slip spécial, s’assoit et met le masque.
Vanessa – « Il est prêt et il attend patiemment le petit chou ! »
Sabine fait exprès de prendre son temps puis met en soupçon de parfum de chaque côté de son cou, il faut que Jean se souvienne de cette odeur toute sa vie. Vanessa va s’asseoir à côté de Martin et s » assure qu’il a compris la consigne du coup de coude.
Finalement Sabine sort de la pièce, choisit un collier, aujourd’hui ce sera un collier en cuir, moins agressif qu’un métallique et une laisse en chaine avec une dragonne en cuir car elle veut qu’il ressente la sensation du métal de la chaine sur sa peau. Elle déverrouille la porte et l’ouvre. Jean tourne la tête en sa direction mais ne voit rien.
Sabine lui dit « Debout ! »
Jean s’exécute, elle lui met le collier en faisant exprès de faire frotter la laisse métallique sur son épaule, ce qui a pour effet de le faire frissonner puis elle prend la laisse à ras du collier afin de mieux le guider et lui dit « Avance ! »
Il est surpris par le froid du carrelage qui contraste avec la douceur de la moquette de la salle dans laquelle il attendait. Les talons de Sabine claquent sur le sol en rythmant les pas. Après quelques mètres elle s’arrête, se positionne derrière lui, appuie ses seins contre son dos, passe ses bras autour de son torse et commence à faire rouler les tétons de jean entre ses doigts et sur un ton apaisant lui dit « Te voilà dans le donjon. Dans MON donjon ! ».
Elle pince un peu plus fort et continue à faire rouler les tétons tout en tirant dessus, Jean grimace, Sabine ajoute « Tu vas avoir l’honneur de goûter à mes jouets préférés ! Est-ce que tu te rends compte de la chance que tu as ? »
Jean, perdu dans ses pensées ne répond pas.
Sabine tire plus fort « Répond ! »
Jean – « Aïe. Oui Maîtresse ! »
Sabine – « Oui quoi ? »
Jean – « J’ai de la chance ! »
Elle attrape la laisse et l’emmène vers la croix de Saint-André, l’adosse contre, elle lui lève le bras gauche et menotte le poignet à la croix puis fait de même avec le bras droit. « Écarte les jambes ! Encore ! » et elle attache les chevilles à la croix puis le sangle au niveau de la taille. Jean l’entend s’éloigner puis revenir. « Baisse la tête et ouvre la bouche ! », Il obéit et sent une boule s’insérer entre ses mâchoires et être serrée à l’arrière de sa tête par des lanières qui sentent le cuir. Une main descend le long de son corps, lui caresse le bas ventre à travers le cuir du slip, dégrafe la partie amovible, sort son sexe et commence à le branler. L’érection est immédiate et soudain la main glisse vers les testicules et les serre très fort. Ne pouvant pas crier à cause du bâillon boule Jean pousse des gémissements tout en entendant Sabine lui dire « Je ne te trouve pas très obéissant. Tu ne réponds pas instantanément à mes questions et tu bandes sans mon autorisation. Je ne sais pas si tu me mérites. Je vais te laisser réfléchir un moment ! ».
Vanessa a chaud et regrette de ne pas pouvoir participer à cette initiation. L’initiation c’est son péché mignon, chaque fois qu’elle éduque un soumis ou une soumise elle a l’impression de peindre un nouveau tableau qui touche par touche va devenir le paysage qu’elle avait imaginé.
Martin sourit en pensant que, pour une fois, il apprécie de n’être que spectateur tout en sachant qu’il vivrait mal sans sa soumission à Sabine qui justement s’avance vers eux, leur fait signe d’aller dans la pièce du fond en mettant son index à la perpendiculaire de ses lèvres pour qu’ils restent silencieux et ils s’engouffrent tous les trois dans la pièce en refermant la porte derrière eux.
À travers le miroir sans tain ils regardent Jean immobilisé sur la croix avec son sexe qui pendouille lamentablement en dehors du slip et qui commence à baver à cause du bâillon.
Sabine leur demande ce qu’ils en pensent, Vanessa et Martin lui confirment que c’est un bon début. Oui, Sabine pense que d’ici quelques temps elle aura une bonne emprise psychologique et physique sur lui.
De son côté Jean se sent un peu bête, son ego de mâle est en train de prendre du plomb dans l’aile. Il ne peut rien voir mais imagine sa position, immobilisé sur ce qu’il pense être une croix comme il en a vu au salon de l’érotisme et en plus petit sur le mur du couloir, avec cette boule qu’il a dans la bouche qui fait couler la bave sur son torse et qui descend lentement vers son sexe exposé aux regards. Oui, regard au pluriel car il est persuadé qu’il n’est pas seul avec Sabine. Il lui a semblé entendre plusieurs pas, car le fait de ne pas voir aiguise ses facultés auditives. Combien ? Il ne saurait dire. Martin est là, c’est certain, mais après ? Vanessa ? La vieille Nanette ? D’autres personnes ? Mais, non ! Voilà que je recommence à bander en pensant que je suis peut-être exhibé devant des gens que je ne connais pas. Qu’est-ce qui m’arrive ? Il se concentre pour refaire tomber l’excitation car il n’a pas le droit de bander sans autorisation. Me concentrer, voilà la solution, y compris pour supporter la douleur, mais ça va être compliqué.
Heureusement pour lui, derrière le miroir, personne ne l’a vu car ils sont trop occupés à bavarder.
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Tout a réellement commencé le jour où j’ai découvert le site Omegle. Par simple curiosité, je m’y suis aventurée sans trop savoir ce que j’allais y trouver. Rapidement, j’ai commencé à y faire des rencontres virtuelles, parfois légères, parfois plus profondes, et certaines d’entre elles ont évolué vers des échanges intimes. C’est dans ce contexte que j’ai envoyé mes premières photos dénudées. Cette première expérience a marqué un tournant : elle m’a libérée d’une certaine retenue, et dès lors, je n’ai plus cessé de m’exposer publiquement, trouvant dans cette démarche une forme d’affirmation de moi-même.
Avec le temps, à mesure que mes interactions devenaient plus variées, certaines personnes m’ont suggéré de me travestir. Au début, c’était une proposition anodine, presque un jeu, mais très vite, cela a éveillé quelque chose en moi. J’ai découvert un plaisir inattendu dans cette exploration de la féminité. Plus je m’investissais dans ces échanges, plus je ressentais le besoin – et l’envie – d’incarner pleinement une identité féminine. Cela m’a permis de mieux comprendre mes désirs, mes limites, et surtout, ce qui me procurait un véritable plaisir.
C’est aussi à ce moment-là que j’ai compris à quel point j’étais stimulée par le regard des autres, par leur désir, leur contrôle sur moi. Le fait de me sentir observée, utilisée même, m’apportait une forme d’excitation intense, difficile à expliquer mais profondément ancrée en moi. Progressivement, les demandes que je recevais sont devenues plus audacieuses, parfois extrêmes, et pourtant, je me suis surprise à les accepter, les unes après les autres, poussée par une forme d’abandon total.
En m’immergeant davantage dans cet univers, j’ai découvert des aspects encore plus profonds de ma sexualité. L’un d’eux est le plaisir paradoxal que je ressens face au danger, à la perte de contrôle, à la sensation d’être à la merci d’un dominant. Être vulnérable, supplier, savoir que ses décisions pourraient avoir un impact réel sur ma vie privée… tout cela résonnait en moi d’une manière presque viscérale. Ce sentiment d’impuissance n’était pas effrayant, mais étrangement réconfortant, car il s’associait à une forme de confiance, de dépendance totale.
Parmi ces pratiques, il y en a une en particulier qui a pris une place importante : l’urophilie, notamment dans un contexte d’humiliation. J’aime être rabaissée, qu’on me rappelle ma place, qu’on me déshumanise même, jusqu’à me réduire à l’état d’objet. Cela peut paraître extrême, mais pour moi, ce n’est pas synonyme de souffrance. Au contraire, c’est dans ces moments-là que je me sens pleinement connectée à mon rôle, utile pour mon maître, et cette utilité me remplit d’une joie profonde. Ce n’est plus seulement un jeu ou un fantasme : c’est devenu une part intégrante de mon identité.
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Bonjour a vous tous et toutes 💕
Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu.
La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son cocu qui était à leurs genoux et en laisse.
Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage.
Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans..
a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue.
Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs.
Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe.
Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir.
Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme.
L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme.
Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non...
La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation.
à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno.
Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt tabou ou du moins beaucoup moins exposée.
Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3.
Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance.
Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu'
Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕
Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi.
N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui.
Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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Quand je l'ai vu prendre un verre et le remplir de son champagne doré, mon excitation est montée en flèche.
Le verre se remplissait à une vitesse, jusqu'à ce qu'il déborde.
Je n'avais qu'une hâte, qu'elle me donne l'ordre de le boire en entier, ce que j'ai fait sans aucune hésitation.
Avaler son urine tiède a était une telle chance et un tel plaisir.
Une fois le verre vide, elle m'a attrapé par les cheveux pour que je la lèche et la nettoie avec ma langue.
Je me suis exécuté et il ne lui a fallu que peu de temps pour qu'elle jouisse dans ma bouche.
Mais ce que j'ai aimé le plus dans cette expérience, c'est la fierté que j'ai ressentie dans le regard de mon ex-Domina.
J'espère revivre cela un jour.☺️
Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à me contacter en mp. (Femme ou couples)
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Parlons du rôle le plus important d’un dominant.
Ce n’est pas le contrôle.
Ce n’est pas le pouvoir.
Ce n’est pas d’être obéi.
C’est la sécurité.
Car sans sécurité, il n’y a pas d’abandon.
Pas de véritable échange de pouvoir.
Seulement de la performance.
Et de la peur.
On peut répéter tous les rituels. Utiliser les bons mots. Tenir la bonne posture.
Mais si le système nerveux ne se sent pas en sécurité, le corps ne s’ouvre pas.
Il se crispe.
Il sursaute.
Il fait semblant.
La vraie question n’est donc pas : « Comment dominer ? »
C’est plutôt :
« Quelqu’un peut-il lâcher prise en ma présence et se sentir en sécurité ? »
« Peut-il me montrer toutes les facettes de lui sans avoir besoin de se protéger de moi ? »
« Suis-je capable de recevoir ce qu’il m’offre sans ramener ça à moi ? »
Allons plus loin.
Nommons ce que la sécurité implique réellement et ce qu’elle exige de nous.
💬 1. Cela commence par la présence, pas la performance
Un dominant qui se concentre sur l’idée de “jouer le rôle”,
avoir le bon ton,
la bonne apparence,
imiter ce qu’il a vu dans les livres ou en ligne,
passe complètement à côté.
Car le système nerveux ne réagit pas à une performance.
Il réagit à la présence.
Calme. Constante. Connectée.
Pas une intensité vide.
Pas une pression déguisée en “entraînement.”
Mais une énergie stable et ancrée qui dit :
« Tu n’as rien à prouver ici. Ta place est déjà là. »
🚩 2. La sécurité ne dépend pas que des mots, elle se manifeste dans les actes
Tout le monde peut dire « Tu es en sécurité avec moi ».
Ce n’est pas suffisant.
La sécurité se construit par des actes cohérents qui soutiennent les paroles.
On la crée quand :
On dit ce qu’on pense et on pense ce qu’on dit.
On ne promet pas plus que ce qu’on peut vraiment tenir.
On reste stable, surtout quand les émotions sont fortes.
On respecte ses limites et celles de l’autre avec la même rigueur.
Ce n’est pas une question de douceur.
C’est une question de fiabilité.
Quand vos actes prouvent que l’on peut vous faire confiance,
le corps apprend à se relâcher,
pas seulement une fois, mais encore et encore.
🧭 3. Il ne s’agit pas d’être obéi, mais d’être digne de confiance
Il y a une différence entre l’obéissance dictée par la peur
et l’abandon enraciné dans la confiance.
La peur engendre la soumission.
La confiance offre la vérité.
Si quelqu’un agit toujours pour éviter de vous décevoir,
il n’est pas dans la dévotion,
il est dans la survie.
Un vrai dominant ne réclame pas le contrôle.
Il crée les conditions pour qu’on le lui offre,
librement, consciemment, sans contrainte.
C’est ce qui le rend sacré.
💞 4. Si vous avez rompu cette sécurité, vous pouvez toujours la réparer
Nous avons tous fait des erreurs.
Allé trop vite. Mis trop de pression.
Utilisé un ton ou une énergie qui a fait se refermer plutôt que s’épanouir.
Mais la sécurité peut être reconstruite.
Pas avec des justifications.
Pas avec des détournements.
Avec ceci :
« Je vois où je ne t’ai pas tenu comme j’aurais dû.
J’en prends l’entière responsabilité.
Tu n’as pas imaginé ce que tu as ressenti. »
Ce genre de responsabilité répare plus que la confiance,
il restaure la dignité.
Pour vous deux.
💡 5. La sécurité n’est pas une faiblesse. C’est la base de tout ce qui est puissant
Ce n’est pas une question de dorloter.
C’est une question de profondeur, qui n’existe qu’en sécurité.
Vous n’avez pas besoin d’élever la voix pour être entendue.
Vous n’avez pas besoin d’écraser pour mener.
Les dominants les plus puissants sont les plus sûrs.
Car c’est seulement dans la sécurité que le système nerveux peut dire :
« Ici, je peux cesser de jouer un rôle.
Ici, je peux m’ouvrir.
Ici, je peux être entièrement moi. »
🎯 Conclusion
La chose la plus puissante qu’un dominant puisse offrir, ce n’est pas son contrôle.
C’est sa capacité de contenance.
Sa capacité à tenir l’autre avec clarté, profondeur et stabilité inébranlable.
Sans cela, il n’y a pas de confiance.
Et sans confiance, il n’y a pas d’abandon. Seulement la survie.
Alors si vous guidez, guidez ainsi :
Avec intégrité.
Avec présence.
Avec constance.
Parce qu’au fond ?
Le vrai signe d’un dominant, ce n’est pas combien de pouvoir il peut prendre
mais combien de sécurité il peut offrir.
Et après tout…
La véritable soumission, celle qui est offerte librement et non jouée,
n’est-ce pas là ce qu’il y a de plus sensuel ?
Ce genre de don qui n’est ni exigé,
ni manipulé,
mais gagné à travers la présence, la constance et la bienveillance.
C’est cela, l’art.
C’est cela, la différence.
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G. Les préparatifs.
Jean démarre la voiture et aussitôt Sabine lance un appel téléphonique « Tu as pu avoir ce que je t’avais demandé ? Ok ! Tu mets tout sur l’étagère libre et tu les classes par catégorie et par taille. Vérifie que tout est en ordre dans la pièce et aussi que tout soit prêt dans la salle d’eau… Oui on est en route, on sera là dans environ ½ heure. À tout de suite ! »
Jean se dit que c’était certainement Martin qui était au bout du fil.
Puis dans la foulée elle appelle un autre numéro.
« Oui rebonjour. J’ai réfléchi à ta demande en ce qui concerne le projet que je t’ai présenté. [………] Oui ç’est ça. Et… comment dire ? Ça te dirait d’assister au parcours depuis le début ? Ton avis me sera surement utile. […..] D’accord ? Super je t’appelle plus tard. […….] Non, mais je rentre chez moi. Je te rappellerai une fois arrivée. […..] Ok à plus ! ».
Jean n’a rien compris à la conversation. De toute cela ne me regarde pas. Pensa-t-il.
Une fois arrivés Sabine dit « Allez au salon, Martin doit déjà y être. Vous connaissez le chemin ! ».
Pendant qu’il se dirige vers le salon elle accroche son manteau et son sac à main dans la penderie du hall d’entrée, récupère le paquet de chez Nanette, son téléphone et prend l’escalier de droite. Au premier étage il y a sa chambre qu’elle partage avec Martin, deux chambres d’amis et au fond du palier une porte qui donne sur un escalier.
Elle le gravit et arrive sur un petit palier, ouvre une autre porte située à droite et entre dans un couloir dont les murs sont tapissés de velours couleur fuchsia. À gauche se trouve une penderie encastrée et juste après il y a une porte avec, au-dessus, un boitier ressemblant à ceux des issues de secours mais en plus petit. Elle prend son téléphone portable, active une application, le boitier s’éclaire en vert, elle appuie sur la poignée, la porte s’ouvre, elle la referme, pose son index sur l’écran du portable, le boitier passe au rouge, elle appuie à nouveau sur la poignée qui, cette fois, reste bloquée et il est impossible d’ouvrir la porte. Sabine loua les avantages de la domotique. Elle continue d’avancer dans le couloir, sur le mur de gauche une croix de Saint-André noire d’environ un mètre de haut, ceinturée de petites lampes à Led, éclaire la première partie du couloir. Quelques pas plus loin, sur la droite, un passage voûté permet d’entrer dans une pièce meublée d’un sofa, une table pouvant accueillir quatre à six personnes et une kitchenette, en face une fenêtre offre une belle vue sur le parc. Elle ouvre le réfrigérateur et vérifie son contenu puis retourne dans le couloir. Au fond se trouve la porte qui donne sur le donjon et entre cette porte et le passage voûté des chaînes alternées avec des guirlandes descendent le long du mur. Sabine se dirige à nouveau vers la porte où elle avait testé le système de fermeture et entre dans une petite pièce destinée à la préparation et à l’attente des soumises et des soumis, avec les murs et les portes recouverts d’un isolant phonique aux couleurs chaudes, éclairée par des lumières tamisées, comprenant un placard, deux banquettes rembourrées de cuir, en face une autre porte et au fond une troisième. Au-dessus de chacune de ces portes il y a le même type de boitier, elle teste la fermeture et l’ouverture ainsi que les lumières puis pousse la porte qui donne sur un coin toilette avec une douche multi jets et du matériel de lavage intime, vérifie qu’il ne manque rien et que tout est d’une propreté irréprochable. Malgré qu’il y ait une porte qui donne directement sur la pièce principale, elle revient dans la salle d’attente, dépose le slip en cuir acheté chez Nanette et un masque sur la banquette puis va directement dans la pièce principale.
Là, c’est son domaine, un donjon aménagé avec l’aide des membres du groupe dont elle fait partie et avec qui elle continue d’apprendre. C’est une salle rectangulaire, spacieuse, aux murs revêtus de bandes de velours rouges et noires en alternance et suffisamment équipée pour un début. Croix de Saint-André, Fauteuil et table de bondage, cage, carcan et balançoire, plus tout le matériel de flagellation, de contraintes et gadgets en tous genres. Elle a commencé son véritable rôle de dominatrice ici, d’abord avec son groupe lors de l’inauguration puis seule avec Martin mais c’est la première fois qu’elle va exercer ses talents sur un non initié qui, d’ailleurs ne sait pas vraiment ce qui l’attend et c’est pour cela qu’elle a besoin de Vanessa.
Ah ! Vanessa, il faut que je l’appelle, j’ai failli oublier pensa-t-elle. Elle fait le numéro et met le haut-parleur.
« Allo Vanessa, je suis dans le donjon, je vérifie que tout est en ordre ! »
Vanessa – « Ok. Donc tu as besoin de moi ! »
Sabine – « Tu sais, c’est une première pour moi et même si je sens qu’il est mûr je ne voudrais pas faire d’erreur et qu’il n’ait plus envie de revenir, de rester sous mon emprise ! »
Vanessa - « Il faut qu’il ait les yeux bandés. D’abord pour qu’il ne sache pas que je suis présente mais surtout que tu l’amène à avoir confiance en toi-même s’il ne peut pas voir ce que tu vas lui faire avant qu’il le sente sur son corps. Au début il va être tendu et, normalement il devrait se relâcher ! »
Sabine – « Ok je vois ! »
Vanessa – « Tu vas commencer soft et on verra comment il réagit. On va mettre un code en place. Pouce levé, tout va bien. Sourcils froncés, tu arrêtes. Je bouge la main avec la paume vers le haut, tu peux monter en intensité. Si je bouge la main avec la paume vers le bas, tu baisses en intensité. Mais ne passe pas tout ton temps à me regarder car il pourrait se douter de quelque chose. Est-ce que Martin sera présent ? »
Sabine – « Oui et Jean le sait et je crois même qu’il pense que je vais leur faire faire quelque chose ensemble ! »
Vanessa – « Et Martin il en pense quoi ? »
Sabine – « Sur ce point il faut aussi commencer doucement. Je te laisse voir ça avec Martin ! Par contre dès que j’aurai un signe à te faire je donnerai un coup de coude à Martin pour qu’il émette un son qui attirera ton attention vers moi. Passe-lui la consigne et entendez-vous sur le son !»
Sabine – « Super, je crois que l’on a tout prévu. On va manger vers 21h00 dans la petite cuisine du donjon. Donc tu peux venir entre 19h00 et 19h30 ? »
Vanessa – « Oui bien sûr, j’ai déjà prévenu Patrick que j’irai chez toi ce soir ! »
Sabine – « On boira l’apéro, on parlera de notre visite au salon de l’érotisme, vers 21 h00 tu feras semblant de prendre congé et tu iras te garer dans le garage. Je t’enverrai un sms quand tu pourras monter. Martin t’attendra pendant que Jean sera dans le vestiaire et que je ma préparerais ! »
Vanessa – « Qu’est-ce que je ne ferais pas pour toi ma chérie ! »
Sabine – « Tu es un amour, bisous, à tout à l’heure ! »
Ensuite Sabine sort la cage de chasteté de son emballage, se familiarise avec son système de fermeture, car il est un peu différent de celui de la cage qu’elle impose parfois à Martin, et la pose sur l’étagère où trônent les plugs et les godemichets. Elle se dirige vers le fond de la salle. Le mur est tapissé d’un capitonnage rouge, un canapé en cuir noir accompagné de deux fauteuils y est adossé avec au-dessus un grand miroir et vers l’angle gauche une porte également capitonnée mais en noir.
Elle ouvre la porte et entre dans une petite pièce tout en longueur. Sur le mur de gauche des portants exposent de nombreuses tenues pour dominatrice mais aussi quelques-unes pour soumis et soumises. Contre le mur du fond il y a un meuble bas à tiroirs et différents modèles de bougeoirs posés dessus et à côté un petit réfrigérateur sur lequel sont rangés des plateaux en argent et des flûtes à champagne. Côté mur droit il y a l’autre face du miroir qui permet de voir ce qu’il se passe dans la salle, deux tables hautes rondes et quatre sièges de bar. De chaque côté du miroir sans tain il y a des haut-parleurs qui permettent d’entendre ce qu’il se passe dans le donjon et un petit écran plat.
Sabine essaye plusieurs tenues de dominatrice et en accroche une sur une patère.
Elle prend la direction des escaliers pour rejoindre Martin et Jean car Vanessa ne va pas tarder à arriver.
Les deux hommes sont en train de discuter, verre à la main, lorsque Sabine entre dans la pièce. Ils sont assis chacun dans un fauteuil et elle s’installe sur le canapé qui fait face. Martin lui propose un apéritif, elle opte pour un cocktail sans alcool car elle veut garder la tête froide pour la soirée et surtout la nuit qui promet d’être longue.
La sonnette retentit. « Ce doit être Vanessa. On s’est rencontrées au salon de l’érotisme cet après-midi et je l’ai invitée à boire l’apéro. Tu t’en occupes s’il te plait. » dit-elle à Martin.
Il prend son téléphone portable, se connecte en visio au portail d’entrée de la propriété et voyant Vanessa il dit « Bonjour Vanessa, on est au salon, tu connais le chemin ! » et sans attendre de réponse il appuie son index sur l’écran, vérifie que le portail s’ouvre et repose son téléphone.
Martin n’apprécie pas trop Vanessa car il sait qu’elle et Sabine ont une relation sexuelle mais qu’il n’a jamais pu y assister et encore moins participer, ce qui le rendait jaloux.
Jean a un mal fou à détourner son regard de ces parcelles blanches qui contrastent avec le noir des cuissardes et de la jupe que porte Sabine, comme deux îles paradisiaques perdues au milieu de l’océan, prêtes à offrir l’asile au malheureux naufragé. Jean semblait parfois gêné et Martin s’en amusait.
Vanessa arrive, s’assoie à côté de Sabine et ces dames commencent à détailler et comparer ce qu’elles ont vu au salon, les hommes écoutant avec intérêt leurs impressions sur telle ou telle tenue, tel ou tel objet, avec des mots et de gestes sans équivoque.
Soudain, Vanessa se tourne vers Jean, le regarde avec des yeux pleins de malice et demande « Et toi petit chou ! Tu as vu des choses intéressantes ? ».
Jean, très embarrassé, ne sait pas quoi répondre et bredouille « Euh oui ! ».
Sournoisement et sèchement Sabine insiste sous le regard amusé de Vanessa « Soyez plus précis ! Ou faut-il vous y forcer ? On peut parler de notre passage chez Nanette !». Elle commençait à tester son emprise psychologique sur lui. Jean est devenu tout rouge et Martin faisait semblant de ne rien voir ni entendre étant plus intéressé par les glaçons qu’il faisait tinter dans son verre dont il venait de boire la dernière gorgée de whisky.
Vanessa, pour souffler le chaud sur le froid, elle et Sabine qui étaient amies depuis le collège avaient l’habitude de jouer la bad girl – good girl à tour de rôle, dit « Arrête, tu vas nous le bloquer le pauvre petit chou ! » tout en pensant à ce qui allait arriver à celui qu’elle appelait « Petit chou » et déjà toute excitée en sachant qu’elle allait y assister.
Tout à coup Sabine a une idée et demande « Sabine tu restes manger avec nous ? On mange à l’étage dans la petite cuisine ! » et s’adressant à Martin « les hommes vous montez en premier, on vous rejoint ! ».
Une fois les hommes sortis Vanessa dit à Sabine « Ce n’est pas ce qui était prévu ! », ce à quoi Sabine répond « Eh bien, tu n’aimes plus l’imprévu ? À la fin du repas tu feras semblant de partir et je viendrai te chercher sur le palier Le moment venu ! » Bien évidemment Vanessa aime l’imprévu et ne se fait pas prier pour emboiter le pas à son amie.
Pendant ce temps les deux hommes étaient arrivés à l’étage. Jean fut intrigué par l’aménagement du couloir, lui laissant entrevoir qu’il entrait dans un endroit spécial qui dépassait probablement tout ce qu’il avait pu imaginer et une certaine émotion non dénouée d’excitation commençait à l’envahir tout en se demandant à quoi peuvent bien servir ces lumières au-dessus des portes.
« Tu peux me passer ton blouson s’il te plait ? » Jean sursaute « Hein ? Euh, oui ! ». Ensuite il suit Martin dans la kitchenette et ils mettent couverts, victuailles et boissons sur la table.
Ces dames arrivent et au cours du repas Vanessa ne cesse pas de poser des questions à Jean. Vie personnelle, professionnelle, elle voulait tout savoir, puis prend congé et Sabine la raccompagne jusqu’au palier.
Sabine dit à Vanessa en chuchotant « On fait comme on a dit. Tu mets ta voiture dans le garage, tu remontes et tu m’attends sur le palier ! ».
Sabine revient et s’adressant à Jean « Bien ! Parlons du rôle maintenant ! ».
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Aprés avoir choisi sa place, celle qui lui convenait le mieux, celle ou elle voulait être, Vanessa était elle vraiment consciente que le train qui était en marche, ou plutôt l'avion qui était en vol dans un voyage ou elle ne voulait plus redescendre, ou elle ne pouvait plus redescendre à cette altitude-là, n'était pas sans risques.
Même avec un bon pilote, l'atterrissage peut être parfois brutal lui disait sa dernière petite voix raisonnable encore présente, cette dernière petite voix qui vous parle , que vous écoutez , mais auquel vous savez déjà que vous ne serez pas d'accord .
Sur le chemin du retour, Ludovic et Manon étaient plus seuls au monde, ils étaient seuls, mais dans leur monde .
ils riaient de certaines anecdotes de la soirée, ce genre de rire naturelle et généreux, contraire a celui dont on se force par politesse ou par séduction.
Leurs fous rires complices pouvaient durer de longues secondes pour Vanessa qui n'existait plus pendant ces moments-là,se faisant très discrète à l'arrière de la voiture, admirant le spectacle romantique parsemé d'humour de ceux qu'elle avait jetés dans les bras l'un de l'autre.
Au bout d'une dizaine de kilomètres parcouru, un silence s'installa , un silence gênant pour Vanessa qui préférait encore les voir rire à gorge déployée que d'affronter celui ci .
En effet face à lui, face à cette atmosphère silencieuse Vanessa, n'osa plus bouger, et encore moins parler, arriverait elle à s'exprimer d'ailleurs .
Aprés ce silence pesant pour Vanessa, mais loin de l'être pour Ludovic et Manon qui eux sont parfaitement à l'aise, cette dernière d'un geste toujours aussi gracieux, posa sa main qui ne l'était pas moins sur la nuque de Ludovic pendant qu'il conduisait, le caressait comme pour lui dire qu 'elle voulait qu'il soit à elle ce soir, passant sa main dans ses cheveux comme le ferais un couple de longue date qui filerait encore le parfait amour .
Ce dernier caressait la cuisse de Manon entre deux changements de vitesse, remontant parfois Jusqu'à son indicateur rose et mouiller pour évaluer son degré d'excitation qui augmentait au même rythme que les kilomètres qui défilaient .
Une fois joué de sa sensualité et voyant la fin du trajet arriver, Manon malgré son désir et son excitation pour ce beau brun , voulait quand même avoir la confirmation de Vanessa et de celui ci également, après tout elle ne les connait que depuis peu .
Manon se retourne vers vanessa la regarde et se concentre à la mettre le plus mal à l'aise possible, elle veut pas seulement le corps de Ludovic elle veut aussi le cérébral de vanessa.
Car elle aussi ce soir a pris beaucoup de plaisir à dominer et a humilié celle-ci , elle aussi ressent couler un cours d'eau entre son entrejambe, certes loin de l'océan de Vanessa , mais un joli fleuve tout de même.
" Que veux-tu Vanessa " Posa Manon comme question a celle-ci aprés l'avoir fait transpirez de partout avec son regard d'actrice d'Hollywood , qui avait cependant changé de rôle .
Face à cette question , ou plutôt cette ambiance, cette atmosphère de plus en plus chaude pour tout le monde,l'attitude de Vanessa ne frôle plus le pathétique, elle l'est à cet instant, à la voir, on pourrait la croire à la barre d'un tribunal et qui a peur de donner la mauvaise réponse à la méchante juge Manon.
" Que veux-tu Vanessa " insiste Manon, qui n'a rien de méchant et rien d'un juge non plus,tu veux que je couche avec ton mari c 'est bien ça lui dit elle sans même lui laisser le temps de répondre , en mettant une main sur le torse de Ludovic à travers sa chemise qui venait de garer la voiture devant la maison de celle-ci.
" Oui, je le veux " dit Vanessa , " oui qui "rétorqua aussitôt Manon d'une voix une peu plus autoritaire.
" oui Manon pardon " reprit vanessa
" Oui, quoi " insista manon .
" oui je veux que tu que vous pardon avec mon.... ' Vanessa bégaye , bug, elle est touchée, sa rivale est plus forte , plus subtile , sa rivale a eu ce qu'elle voulait , la rendre pitoyable devant son mari , ce qui l'excite fortement .
" Oui je veux que vous couchiez avec mon mari s'il vous plaît Manon " arrivera à dire Vanessa après avoir repris ses esprits et sa respiration.
Devant cette situation , Manon et Ludovic se regardent un instant dans les yeux, toujours aussi complice, et rétiaire un nouveau fou rire, 2 rires communicatifs qui se mélangent, 2 rires qui feront comprendre définitivement a Vanessa devant cette nouvelle humiliation, et le siège arrière encore intacte, heureusement protéger par la robe de celle-ci, que c'est bien ça qu'elle était venu chercher.
Elle ne s'est pas trompé de destination, c'est bien de ce voyage-là que lui ont tant parler ses voix et ses pulsions obsessionnelles .
Vanessa ne veut pas seulement voir son mari couché avec Manon , elle veut aussi lui être soumise, elle aime être humilié et rabaisser par celle-ci, elle le sait, elle le sent, a cet instant même elle le veut.
Suite à cette confirmation et cette demande ridiculement courtoise de Vanessa, Manon cesse son fou rire, regarde Ludovic de ses yeux plissé et ravageur tel un jour de casting, rapproche son visage au plus près du sien, et de sa voix la plus allumeusement douce, dit a Ludovic , " et vous mon chère monsieur voulez vous bien être à moi ce soir " , a quoi Ludovic répondra d'un baiser tendre, d'un baiser tendrement langoureux pendant une trentaine de secondes, peut être 1 minute, ou alors peut être 2 , Vanessa ne sait plus, Vanessa ne veut plus savoir, elle c 'est conditionner a seulement y assister.
Mais ou est cette Vanessa si élégante et charismatique au quotidien, cette Vanessa si dominante et arrogante dans le cadre professionnel , visiblement, est n'est pas là , existera elle a aprés , existe elle toujours d'ailleurs .Arrivé chez Manon , l'adrénaline et l'excitation augmentaient pour chacun, mais l'ambiance restait la même, Ludovic et Manon était toujours aussi complices et festifs pendant que Vanessa continuait de rester discrète , honteuse et mouillé.
Manon leur faisait visiter le salon de sa maison, une jolie maison donnant sur un jardin au décor assez propre à elle .
Un jardin auquel on pouvait apercevoir de magnifiques fleurs pures, arborées de différentes couleurs, entourées de roses épineuses tout aussi particulières.
Après avoir fait le tour de la décoration aussi élégante que sa propriétaire, Vanessa et Ludovic s'installent sur le canapé pendant que Manon mets une musique d'ambiance après avoir allumé la cafetière et s'absente quelques minutes.
Ludovic se retrouvant seul avec Vanessa, regarde celle ci avec les mêmes yeux qu'un homme loyal a forte épaule peut avoir pour la rassurer, et lui mets la main délicatement , mais légèrement ferme entre son entre-jambe .
A cet instant Ludovic comprend , regarde sa femme en essayant de lui parler sans mot quand Manon revient dans une tenue beaucoup plus aisé, mais pas moins raffiné.
Manon est l'ennemie de l'inélégance, le contraire de la vulgarité, même dans un rôle de chienne, elle serait chic .
En voyant ce petit bonbon revenir , le pouls cardiaque de Vanessa augmente autant que la testostérone de ludovic.
Aprés avoir augmenté la tension de chacun, Manon parcourt la pièce , viens s'asseoir sur les genoux de Ludovic, et dit a Vanessa d'aller dans la cuisine cherchez le café pour leur servir d'une façon enfantine que Manon c 'est si bien faire avec elle .
Quand Vanessa reviens pour apporter les cafés , sans se bruler , et sans faire de tache sur le tapis beige de Manon devant ce qu'elle voit , elle comprend que plus personne ne joue, ou plutôt que le jeu est parti.
La douceur de Manon avais fait place à sa bestialité , la fleur pure se transformait en rose épineuse .
Ludovic et elle n'avaient plus aucune retenue, surtout elle , la chemise de celui ci n 'était plus qu'un joli souvenir, préférant lui-même enlever son jean pour ne pas rentrer sans ceinture.
Manon était sur Ludovic , sans culotte mouillé ce coup-ci , qui lui même était sans jean et sans caleçon .
Manon frottait son bouton de plaisir et les lèvres de son trésor , en se déhanchant légèrement , sur le sexe tendu de Ludovic et en faisant ressortir ses courbes parfaites .
Les mains de Ludovic parcouraient le bas du dos de Manon jusqu'a son fessier , qu 'il dirigeait au rythme des mouvements de cette dernière .
Vanessa regardait, ou plutôt fixait comme un film qu 'elle avait attendu toute sa vie, mais un film bien réel, un film tourné en directe ,un film ou elle en était elle même la réalisatrice, mais sans maîtriser le scénario .
Manon et Ludovic mélangeaient leurs corps, leurs odeurs, leur salive, leurs excitations.
Vanessa ne voyait plus sa posture si ridicule ou voulait peut être plus la voir, elle ne pensait qu'à ne pas se toucher pour éviter l'orgasme incontrôlé .
Manon arrêta un instant son léger déhanché sur la fusée qui était sur le point de la faire décoller, les joues rougis, mais pas à cause de la honte contrairement a ceux de vanessa , inclina légèrement la téte en arrière , les yeux pas encore révulser , et dit a celle-ci . " Vanessa peux tu regarder dans mon sac et prendre ton parfum préféré si tu ne veux pas que ton chéri me fasse une mini Manon " dit cette dernière d'un fou rire franc toujours aussi ironique , car évidemment Manon prend la pilule , mais Manon ce soir est la fleur pure de Ludovic, très douce, et la rose épineuse de Vanessa , elle pique .
Aprés avoir choisi un parfum qui n'était pas vanille , Vanessa tend à Manon ce qui lui garantit que cette dernière n 'aura pas de nausées dans les mois à venir, quand Manon lui dit , façon prof d'école botanique, " voyons Vanessa enfin nous allons pas tout faire tout seul , aide nous un peu, nous allons pas tout te dire, c 'est ton souhait , c 'est toi qui le veut , nous te faisons plaisir , alors fait un effort s'il te plait , mets toi à genoux et protège ton mari "finira elle par dire don ton amusé et d'un rire étouffé .
Vanessa se mit à genoux, prit le sexe dure de son mari , lui mit le préservatif les mains tremblantes , le visage a quelques centimètres du fessier de Manon et de sa source au liquide commun , qui d'ailleurs coulait autant l'une que l'autre ,, le dirigea contre l'entre-jambes en ébullition de celle ci , frotta quelques instants le sexe de son mari contre celui de Manon , avant de le voir disparaître dans un cris de plaisir fusionnel , absorber par la volcan de le fleur pure.....a épines.
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Déjà trois mois que nous nous connaissons. Après trois mois la première flamme s'affaiblit et il faut venir l'entretenir si nous voulons qu'elle devienne feu péren. Par habitude, j'ai fini par faire de cette affirmation une vérité générale afin de m'éviter toute déception. Cet élément, lié au manque de vous qui se fait de plus en plus ressentir et à mes angoisses, me poussent à vous parler du sentiment de stagnation que je commence à ressentir depuis quelque temps. Quelques messages en moins et voilà que les signaux d'alerte hurlent dans ma tête. Je crains une perte d'intérêt et d'engagement de votre côté mais,.paradoxalement, je crains aussi une envanilisation de la relation qui nous rendrait davantage simples amants que dominant et soumise. Sacré comble pour la femme de la nuit que d'être restreinte à vivre lors des horaires de bureau. Nous nous sommes mis d'accord sur le fait que nous n'allions pas empiéter sur la vie de couple de l'autre mais comment gérer la frustration de vous savoir qu'à quelques mètres de chez moi une fois le soir venu sans qu'on ne puisse se voir? Et comment regagner le contrôle sur mon corps qui se met bêtement a trembler lorsqu'il vous croise en compagnie de vos proches ?
Je vous ai prévenu, la communication est importante pour moi et ce autant pour les aspects positifs que négatifs. Je vous partage donc tout mon bazar et armé de vos mots vous commencez a arranger tout cela. Vous reprenez doucement la main sur la borne de contrôle et éteignez un a un les voyants qui s'étaient allumés. Ce partage nous permet de faire le point sur le chemin déjà accompli et nos désirs pour la suite. C'est l'occasion aussi pour vous de vous livrer plus en profondeur. Notre relation a engendré l'apprentissage pour chacun de nous de nouveaux rôles qui ne sont pas forcément les plus confortables. Celui de maîtresse d'école, je connais, maîtresse domina, j'ai déjà pu y goûter mais alors maîtresse amante , c'est nouveau pour moi et je ne sais quoi en penser. C'est ma morale qui en prend pour son grade même si bon ce n'est pas comme si elle avait été bien présente jusque-là. Oui, nous nous sommes attachés et bien que le destin nous mette au défi, il n'impacte pas notre envie de construire une relation d.s. Votre réponse a su me rassurer. Vous avez réussi à rendre étincelantes les noirceurs de mon âme.
Une étincelle de génie vous frappe vous aussi. Cela fait un moment que je ne me suis pas sentie soumise ? Vous n'allez tout de même pas me laisser en manque comme ça... Je devais aller faire une session shopping ? Eh bien ces achats se feront en étant comblée! Vous m'envoyez un message m'ordonnant de porter un plug en public pour ma sortie de l'après-midi. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire à la lecture de ce message. J'ai donc tant fait ressortir le diablotin dominant qui sommeille en vous. J'ai bien l'impression que vous vous êtes senti mis au défi mais j'accepte le vôtre. L'idée d'être pluggué en public me plaît. Elle permet de marier les deux faces de la même pièce, celles qui ne se montrent normalement jamais en même temps. La face de la femme de la nuit serait connue que de vous alors que je devrais garder intact le masque de la femme sage perçu par le reste de la société. Oui, l'idée me plaît, elle me plaît beaucoup même . Elle me plaît tant et si bien qu'elle me fait mouiller.
Sur vos ordres je vous partage les images de l'installation du plug. Je ne peux m'empêcher de vous faire connaître mon état et vous demander l'autorisation de me goder. Vous me l'accordez. Je suis assez mouillée et ouverte pour que je le fasse rentrer directement. Je commence les vas et viens qui se font de plus en plus rapides et profonds. Je veux me sentir entièrement remplie, faire complètement ressortir la salope en moi avant de devoir remettre mon masque. Je veux profiter pleinement de ce moment de plaisir libre. Vous m'envoyez un nouveau message. Vous voulez voir mon orgasme, me savoir réellement comblée. Vous savez que dernièrement j'ai des difficultés à atteindre l'orgasme, le maître-mot est donc le lâcher prise. Je veux être prise profondément, je me mets donc debout et empoigne le gode de mes deux mains pour recommencer les vas et viens. Je me relâche au maximum. Je sens un plaisir nouveau prendre place lorsque je suis relâchée ainsi. Je me suis déjà approchée du squirt sans jamais réussir à assez lâcher prise pour aller jusqu'au bout. Dans le doute, je tends le bras et saisis une serviette que je lance a mes pieds. Le gode vient stimuler le point parfait. Je sens l'envie monter mais on m'a toujours dit que si je commençais à avoir envie de pisser c'était bon signe et qu'il ne fallait pas le retenir car il s'agissait de squirt. Je ne retiens donc pas jusqu'à ce que je ressente un jet d'abord léger mais qui se fait de plus en plus gros et surtout de plus en plus chaud couler sur mon gode et sur mes mains. J'ai déjà vu une femme squirter et laissez moi vous assurer que le jet ne ressemblait pas à ça. Au vu de la flaque qui imbibe maintenant la serviette je coupe tout et ris en courant aux toilettes. Ah bah pour du lâcher prise ça en est du beau ça ! Je pensais d'abord que l'uro faisait partie de mes limites non négociables puis certaines lectures ici ont su planter quelques graines. Il faut croire que ces graines viennent d'être arrosées ! L'uro fait partie des pratiques souvent perçues comme crades et humiliantes et pourtant , je me sens fière, fière d'avoir lâcher prise et de dépasser un peu plus mes limites. Cette découverte et ce passage aux toilettes m'auront quand même valu un orgasme mais tant pis ! Je me nettoie rapidement et retourne dans mon lit . J'hésite d'abord à vous le dire. Le dernier message reçu de votre part me demande si je me rapproche de nouveau de l'orgasme. Je sous - entends. Vous tendez l'oreille et percevez la vérité. Vous me rassurez sur le fait que je peux tout vous dire et me demandez si j'ai bien aimé. Étonnamment, je crois que oui, j'y trouve même un côté excitant. Vous m'avouez alors que cela vous excite vous aussi et que vous auriez aimé assister à la scène. Espérons donc que les graines arrosées continueront à grandir dans ce sens.
L'heure a tourné, il est désormais 15h et je dois filer à ma séance de shopping en étant toujours aussi bien accessoirisée. Je me lève et me rhabille. Je n'ai jamais autant senti le plug en moi. Il n'est pas très gros mais je ne sais pas si me masturber avant de sortir ainsi était vraiment très tactique, je me sens resserrée dessus. Et c'est là que l'évidence me frappe : je ne vais pas pouvoir l'enlever avant mon retour chez moi à 20h30! Je vais donc devoir le garder pour faire mon babysitting et le porter pendant 5 heures ! Sacré défi pour une première fois en étant plugguée en public . Je ne sais si je vais assumer si longtemps. Je sors de chez moi et descends dans la rue. Chaque pas me fait ressentir un peu plus le plug. J'ai l'impression que les gens savent, que les regards qui se tournent vers moi ne peuvent que relever une démarche inhabituelle. Je prends une profonde inspiration qui j'espère va me détendre et surtout moins me faire sentir ce satané cœur. N'oublions pas le masque, il doit rester intact. Vous seul me savez plugguée, le reste est le fruit de mon imagination.
J'arrive dans le magasin et choisis plusieurs tenues, cinq au total, ça va en faire du temps d'essayage... Je cherche une robe pour un mariage et vous partage mes trouvailles. Vous me complimentez dès la première tenue que je vous montre, une longue robe fluide verte. Le vert, votre couleur préférée, couleur dont une pointe se cache dans vos yeux (oui oui je vous l'accorde, le soleil vous donne raison) et surtout couleur de l'espoir. Je suis déjà plus détendue, j'oublie même parfois ce qu'il se cache entre mes fesses. C'est pas si affreux que ça au final.. du moins c'est ce que je me dis en restant debout. J'enchaîne les tenues et hésite longuement mais me décide finalement sur la verte. Va pour l'espoir! Il nous en faut pour voir le verre à moitié plein. On aura plus de verres a vider comme ça ! Je passe à la caisse et fonce à mon babysitting. Oh j'ai eu espoir bien trop vite ! Le plug se fait toujours autant sentir lorsque l'on marche en fait. Plus que 3h à tenir et je crois bien que j'ai gagné en assurance dans ma démarche!
Je récupère la petite et nous profitons de la présence rare du soleil à Lille pour aller au parc. Je joue avec elle et la surveille tout en gardant un œil sur mon téléphone pour voir si je n'ai pas reçu un message de votre part. Vous êtes rentré chez vous et cela me vaut un message des plus immoraux. Vous avez pris une satanée habitude de m'envoyer une photo de vos plaisirs solitaires lorsque vous me savez au parc. Il faut croire que cela vous amuse de m'imaginer rougissant de gêne au milieu de ces enfants. J'écarquille les yeux et me dépêche de cliquer sur la notification pour supprimer la photo le plus discrètement possible. Vous jouez à des jeux bien dangereux et pas adaptés à l'âge des personnes autour de moi. Je range mon téléphone et vais m'asseoir sur un banc. Je ressens alors la présence du plug. Je ne saurais dire ce qui est le plus déplacé entre le fait d'être plugguée dans un parc pour enfants en faisant du babysitting ou le fait d'y recevoir un nude mais ce qui est sur c'est que le combo des deux risque de nous envoyer en enfer. Je crois bien que le feu est plutôt péren là bas.
Le babysitting se finit. Je rentre chez moi et retire enfin le plug. Il a beau être enlevé, je me sens toujours autant comblée. Nous avons tous deux répondu à nos défis respectifs. Merci monsieur pour cette journée riche en sensations et découvertes.
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Cette nuit, j'ai continué ma transformation, la poursuite du chemin vers mon épanouissement dans la nouvelle vie à laquelle mon cœur et mes tripes aspirent.
Un couple d'amis m'a fait découvrir la soirée mythique berlinoise Gegen (techno, déshinibition, libération du corps) qui s'est exportée du Kitkat Club allemand, pour une nuit, à la "Machine du Moulin Rouge" à Paris.
Deux salles, une scène avec des performances, des DJ berlinois, un dress code encourageant la nudité, une back room, des espaces play réservés aux "Finta" et, surtout, du respect et de la bienveillance.
J'avais toujours voulu faire ce genre de soirées sentant bien ce qui bouillonne en moi depuis très très longtemps, ces tendances non conformistes dans ma vision de la sexualité qui s'exacerbent chaque jour un peu plus. Un ami m'a dit "quand tu vas voir des gens faire l'amour devant toi pour la première fois, tu verras, ça va te faire de sacrées sensations".
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Noue pénétrons la Machine vers 2h du matin. L'ambiance est chaude, feutrée. Je longe le bar pour me diriger vers l'escalier qui mène à la piste. Je n'ai pas encore descendu les quelques marches que je croise les premiers sexes masculins profitant de l'air libre. Quinze minutes plus tard, j'entrevois, de loin, un couple dans la pénombre ; leurs corps se meuvent dans une lumière bleutée qui permet juste de deviner ce qu'il se passe.. Ce ne sont pas de "sacrées sensations", dignes d'une vanille-citoyenne-modèle (no offense) se retrouvant dans un univers de débauche, non. Je me suis juste sentie "à ma place", là où je devais être depuis longtemps.
Quelques heures plus tard, je pense à vous, chers membres de cette belle communauté, quand entre en scène un homme gigantesque, portant un masque à faire pâlir Dark Vador, accompagné d'une femme portant les attributs d'une Soumise .. le temps de poser un instant mon regard sur autre chose, qu'elle est déjà tournée, dos à nous, mains derrière la tête. L'homme sort un fouet qu'il commence à manier avec beaucoup de précision. Il poursuit avec un martinet, avec professionnalisme. Puis, son œuvre terminée, il s'approche d'elle, l'enlace d'une longue et douce étreinte. Là. Sur la scène ; comme s'ils étaient seuls au monde, parmi la foule de gens devant eux. Je m'y suis vue. Là. Mise à nue, devant ces gens.. entre les mains d'un Maître.
Lassée un peu d'assister à des ébats exclusivement masculins, la soirée ayant malheureusement (du point de vue d'une femme hétéro) peiné à attirer des hétéros (et même des femmes, très peu nombreuses au final), je promène mon regard qui se lève par hasard sur le balcon du 1er étage, juste au-dessus de moi.
Là, une femme, face à la ballustrade, un homme derrière elle.. elle baisse ses dessous, avec un geste trahissant une certaine impatience. J'aperçois son sexe mis à nu. L'homme la pénètre doucement puis accélère ses mouvements, les plongeant dans une danse tant sexuelle que sensuelle. Mon corps s'arrête de danser, immobile. Là, au milieu de la piste de danse. Mes yeux, en l'air ; braqués sur eux. Je n'en loupe pas une miette.
L'on pourrait penser que mon côté voyeur s'exprime. Mais non.. c'est l'énergie bouillonnante au fond de moi qui commence à monter. Celle d'abord, voyant son sexe de femme, imberbe, d'imaginer ma bouche et ma langue s'y poser, pendant que l'homme s'occupe d'elle. Celle, surtout, de mes envies, l'énergie qui m'anime encore et toujours... mon corps vibre, mes yeux sont bloqués sur elle. Je veux être elle, mais entre les mains de ce Maître qui sera un jour le mien, m'exhibant, me dominant, me baisant, là, à la vue de tous.
J'étais elle, au plus profond de mes chairs.
Affaire à suivre.
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Son : The Weeknd, Jennie & Lily-Rose Depp - One of the Girls (https://www.youtube.com/watch?v=Mx92lTYxrJQ)
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Cela faisait quelques semaines que nous échangions, partageant nos envies, nos fantasmes, nos curiosités. Chaque message ajoutait un peu plus à cette tension qui montait doucement, une attente pleine de promesses. Le premier rendez-vous avait été manqué, pour des raisons complexes, mais jamais il n’avait été perçu comme un échec. Il avait simplement repoussé ce qui devenait inévitable.
Un second rendez-vous fut fixé. Cette fois, tout semblait aligné. Nous savions pourquoi nous venions l’un vers l’autre : pour explorer, ressentir, et surtout respecter chaque désir, chaque limite.
Le jour J, toute la matinée, je m’affaire. Je prépare l’espace, je pense à toi, à ce que tu pourrais aimer, à ce que nous avons évoqué. L’heure approche, tu m’écris : « J’arrive dans 5 minutes ». Je t’attends, debout, devant la baie vitrée, un verre de jus d’ananas à la main. Et je te vois.
Tu traverses l’allée, une valise à la main, ton allure irrésistiblement provocante. Talons hauts, collants résille, une jupe noire très courte qui souligne tes hanches, et un décolleté léger, à peine dissimulé par ta longue veste en jean. Tu avances, confiante, consciente de l’effet que tu produis. Je t’invite à entrer. Nos yeux se croisent. Tu souris, espiègle. Je ressens aussitôt cette alchimie revenir, encore plus forte.
Je t’accueille dans mes bras, je te glisse à l’oreille : « Qu’est-ce que tu es belle… ». Tu réponds, tout sourire : « Ça y est, on y est arrivé. » Et je te réponds, sincère : « Oui, et je suis ravi que tu sois là. »
Nous montons à l’étage, les regards s’alourdissent, nos corps se cherchent déjà. L’excitation est palpable. Une fois dans la chambre, tu poses ta valise. Ton regard se pose sur un objet posé sur le lit.
« Tiens, j’avais pas vu le martinet… » me dis-tu avec un sourire malicieux.
« Une surprise. Il y en a d’autres qui t’attendent », te répondis-je, amusé par ta réaction.
Nous nous rapprochons. Mon regard s’ancre dans le tien. Je te caresse le visage, puis t’embrasse. Un baiser d’abord doux, puis plus passionné. Nos langues se cherchent, se découvrent. Je glisse mes mains dans tes cheveux, t’attirant à moi avec fermeté, te dominant doucement, ressentant ton abandon. Mes mains explorent ton corps, caressent ta poitrine, tes fesses fermes, ton dos. Tu frissonnes, ton souffle s’accélère.
Nous prenons un moment pour parler, comme convenu. Consentement, limites, envies. Ce n’est pas un simple jeu — c’est une confiance mutuelle, un espace sacré que nous construisons ensemble. Puis je t’invite à découvrir les accessoires éparpillés ici et là : une balançoire de porte, des cravaches, des menottes, des rubans… Tes yeux brillent.
Je désigne ta valise. « Et là-dedans, qu’est-ce que tu as apporté ? » te demandai-je, curieux.
Tu éclates de rire. « Je me demandais quand tu allais poser la question ! » Tu l’ouvres, lentement, comme pour faire monter la tension. Et tu me montres, un à un, les objets que tu as choisis. Un plug à queue de diable, un autre en fourrure de renarde, un harnais, et deux godemichés XXL, auxquels tu as donné des prénoms. Intrigué, je t’interroge : « Tu les utilises souvent ? »
« Je suis une nymphe qui aime beaucoup se faire du bien », dis-tu avec un clin d’œil.
Je souris. « Tant mieux. J’adore les filles un peu trop curieuses et gourmandes. Je vais me faire un plaisir de m’occuper de toi. »
Ton regard me dit tout : tu es prête, avide, et profondément consentante.
Je me glisse derrière toi, mes mains reprennent leur danse sur ton corps, effleurent tes courbes, s’attardent sur ta poitrine, tes hanches. Tu te cambres contre moi, ton souffle tremble, ton corps parle un langage que je comprends. Tes tétons se durcissent sous mes caresses. Je te murmure à l’oreille des mots que seul ton corps saura interpréter. Je descends mes doigts le long de ton ventre jusqu’à ton intimité… déjà humide.
Je ris doucement : « Déjà ? »
« Oui », réponds-tu, sans honte, les yeux pleins de feu.
Je te demande de te déshabiller. Tu obéis avec grâce, te dévoilant lentement, presque théâtralement. Une fois nue, je te tends ton corset, que tu enfiles, puis je te passe un collier fin autour du cou, comme une promesse silencieuse. Je t’installe à quatre pattes sur le lit. La cravache à la main, j’admire tes fesses, ton dos cambré, cette offrande assumée.
Je commence doucement. Des claques mesurées, rythmées, suivies de caresses qui apaisent. Ton corps réagit, tu gémis, ton souffle s’alourdit. Puis je change d’instrument. Le paddle vibre plus fort sur ta peau. Ton sexe est brûlant, gonflé de désir. J’alterne entre plaisir et tension, cherchant le point d’équilibre.
Je place un bâillon à tes lèvres, j’attache des pinces sur ta poitrine. Tes yeux s’assombrissent de plaisir. Tu es là, offerte, puissante dans ta vulnérabilité.
Je prends ta chevelure, t’incline vers l’arrière, et glisse mes doigts en toi. Un, deux, trois… tu es accueillante, ouverte, et bientôt c’est ma main entière que tu reçois. Tu cries à travers le bâillon, ton corps tremble de plaisir.
Je ressens chaque pulsation, chaque contraction. Je te tiens, fermement, te soutiens. Tu jouis dans mes bras, belle, indomptable.
Tu tends alors ton jouet XXL. Je comprends. Tu en veux plus.
Je te l’introduis lentement, te regardant, attentif à chaque réaction. Ton corps l’accueille sans résistance. Je commence à bouger. Tes gémissements deviennent chants. Je frappe doucement tes fesses, leur teinte rosée me ravi.
« Je ne vais pas te prendre », te dis-je, penché à ton oreille. « Je veux juste te voir jouir… encore. »
Je t’accélère, te pousse à bout. Et puis tu exploses. Tu jouis, tu te répands, ton plaisir devient une onde liquide. Tu es une fontaine, comme tu aimes le dire, et je me régale de te voir ainsi.
Je te fais t’allonger. Ma main se pose sur ton cou, et tu poses les tiennes sur la mienne. Tu veux sentir la pression, ce juste déséquilibre entre contrôle et abandon. Et tu jouis encore, intensément, libérée. Si excitant de voir un corps si joli avec un visage d'ange se transformer en une si belle petite diablesse.
Nous nous arrêtâmes pour nous désaltérer, puis nous avons pris le temps de discuter de ce moment et d'autres.
Cependant, ce n'était pas la fin de notre rendez-vous, car nous avons continué la session encore plus intensément à prendre plaisir de chaque jeux
Quand enfin le calme revient, nos corps sont tremblants. Je défais les accessoires, avec douceur, presque tendrement. Chaque geste est un mot que je ne prononce pas : respect, soin, présence. Tu souris, les traits détendus.
Nous restons là, à nous parler, à nous toucher doucement, sans but, juste pour le plaisir du contact. Il y a dans ce silence une intimité rare, née de la confiance absolue. Nous avons partagé quelque chose de fort, de brut, et de beau.
Et c’est ainsi que notre rendez-vous trouva sa plus belle fin.
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Ludovic voyait l'état de sa femme et savait parfaitement ce que se disait cette dernière, la fête et l'alcool aidant Ludovic en jouait et en rigolait sans vouloir franchir la limite, tout du moins c 'est ce que se disait Vanessa .
A la fin du repas et continuant leur conversation très peu de fois couper pendant ce délicieux dîner, voyant les invités de plus en plus distrait par l'ambiance et la musique, Manon s'approcha de l'oreille de Ludovic et lui murmura de son souffle chaud et frissonnant une phrase que Ludovic entendit à peine et pas à cause de la forte sonorité, mais qu'il compris au mot cigarette.
Nous allons assouvir notre vice du tabagisme dit Ludovic d'un air blagueur en quittant la table et en regardant d'un air complice Vanessa qui devenait de plus en plus rouge et transpirante comme si la température de la salle augmentait au gré de son excitation, vanessa avait de plus en plus de mal à parler, à réfléchir , à faire bonne contenance devant les invités, mais elle s'y forçait bien que son esprit soit si loin.
Une quinzaine de minutes interminables plus tard pour Vanessa , celle-ci aperçoit son mari revenir à la table sans Manon parti sur la piste de dance,elle est rassurée de voir Ludovic regagner sa place à la table.
Une fois assis seul avec Vanessa a la table désertée par les invités pour quelques instants, ils se regardèrent avec un regard qui en dit beaucoup, ils se connaissent et s'aiment, c'est tout du moins ce qui en ressort de leurs conversations oculaires a cet instant.
S'approchant de Vanessa d'une manière douce et rassurante, lui remettant la mèche de ses cheveux derrière l'oreille, lui déposa un bisou très furtif sur les lèvres et posa la question droit dans les yeux de sa femme de la manière la plus sérieuse qu'il soit.
Tu es sûr que c 'est ce que tu veux vraiment mon amour, tu en es bien certaine, réfléchis bien, tu sais cette femme me plaît beaucoup et nous avons l'air de très bien nous entendre elle et moi, donc je te le répète c 'est vraiment cela que tu veux, que je couche avec .
A cet instant la bouche de Vanessa n'émet aucun son, voilà ce que l'on va faire repris ludovic , je te laisse réfléchir et m'envoyer la réponse au cours de la soirée sur mon téléphone portable, un oui et je serai que je pourrais là faire jouir longuement et m'occuper de cette jolie beauté, a l'entente de ses mots la ce ne sont plus des gouttes qui tombe sur la dentelle préférée de Vanessa , c 'est une rivière qui coule, et si c 'est un non nous continuerons la soirée normalement .
Mais attention continua Ludovic, tu pourras toujours arrêter pendant si tu ne le supporte pas, mais dans ce cas-là, je voudrais plus jamais entendre parler de cela hormis nos rapports parfois, ce à quoi Vanessa répondit très rapidement, oui mon chéri c 'est parfaitement clair.
Ok je retourne sur la piste de danse voir où est cette jolie Manon lança Ludovic avec un sourire complice et malicieux à sa femme .
Vanessa avait besoin de prendre l'air et de réfléchir au chemin à prendre , quel choix faire, allait- elle franchir ce saut dans l'inconnu et répondre à ses pulsions, briserait elle ses barrières mentales ou allait- elle rester au niveau du fantasme .
Vers 23h la fête bat son plein, l'ambiance est très festive, mais également très chaleureuse, Manon et Ludovic se sont retirer dans un coin plutôt discret sans être Suspect non plus aux yeux des autres, d'ailleurs pas grand monde n'y passe voir personne quand Ludovic entend une sonnerie de sms qu'il vient de recevoir.
Oui mon chéri, je le veux, j'en suis sur je le veux, je t'aime et j'ai confiance en toi auquel Ludovic répondra, ok retrouve nous dans 15 min a l'endroit indiquer .
Et revoilà Vanessa repartie pour 15 min encore plus interminables que celle de tout à l'heure, le temps d'un petit remontant, elle en a bien besoin .
Après ce laps de temps et se rendant sur le lieu indiqué par Ludovic, Vanessa aperçu au loin et de plus en plus près et au fur et à mesure de ses pas, son mari enlaçant Manon dans ses bras par-derrière admirant le ciel étoilé, la joue contre la sienne, on dirait un parfait petit couple pour quiconque qui ne les connaîtrait pas .
A cette vue que découvre Vanessa, les émotions sont trop nombreuses à se mélanger, sa jalousie lui donne un hypercut dans le cœur, mais son excitation remplace sa rivière par un océan, Vanessa n 'est pas décontenancé ni perturber, a ce stade elle ne l'est plus , Vanessa est dans un état presque Semi-hypnotique, rêve elle ? est ce la réalité ? se demandait son corps cérébral.
Arrivant les jambes tremblantes et la culotte inondée, Vanessa baissa instinctivement les yeux et n'osa pas regarder Manon quand celle-ci et Ludovic se retournent après avoir tracé la grande ourse et prédit le temps ensoleillé de demain , un long silence s'installa ce qui déstabilisa encore plus Vanessa , en effet pourquoi Manon est si sur d'elle et décontracté dans les bras de son mari a la vue de la femme de celui-ci , était elle au courant, Ludovic l'avait elle mise au courant de ses envies , tellement de questions se posait elle .
Mais vanessa savait ce qu'elle voulait au fond d'elle-même , et depuis trop longtemps , elle savait ce qu'elle était venu chercher , elle était venu chercher ce genre d'humiliation même, cette humiliation qu'elle ressent a cette instant, rouge de honte, les yeux baissés , incapable de sortir le moindre mot de ses cordes vocales , parfois observer , parfois devisager par manon qui fait ressortir un multitude d'expression les plus moqueurs et sarcastique venant de ses magnifiques yeux marron vert si particulier auquel ludovic a été séduit .
Vanessa c 'est bien ca lui posa comme question manon d'une facon la plus normal possible , un oui inaudible presque muet essaya d'emettre vanessa , pardon je n'entend pas insista manon , oui je m'appel vanessa , trés bien la coupa aussitot manon d'une voix calme et sur d'elle .
Vanessa tu vas allez surveillez quelques instant au cas ou quelqu'un nous voit , tu voudrais quand meme pas qu'ont surprenne ton mari en train d'embrasser une autre dit elle en rigolant elle et Ludovic déjà visiblement complice, mais attention nous te voulons quand même dans notre champ de vision insista Manon .
Sans même se poser de question, Vanessa exécuta l'ordre dès l'instant, partis quelques mètres plus loin surveiller les alentours, sans entendre ce que pouvait se dire Manon et son mari a cette distance-là, elle pouvait simplement les voir s'embrasser, se goûter, se déguster même, leurs désirs était flagrant, leurs baiser de plus en plus fougueux, pendant que l'excitation de cette humiliation en donnait mal au bas-ventre de Vanessa, elle les entendait rire en là regardant , se moquait-il , probablement se disait elle , voyant Manon sur les genoux de son mari assis sur le banc avec sa jupe cachant à peine sa dentelle rose qui masquait son intimité .
Au bout d'une trentaine de minutes à surveiller les alentours ou plutôt à observer ce que faisait Manon et son mari , Vanessa fut appelé au loin d'un geste de la main par Manon , une fois arrivé a leur hauteur du banc ou les 2 presque inséparables depuis quelques heures maintenant, semblait seul au monde .
Vanessa, tu vas aller nous chercher 2 coupes de champagne pour fêter cette magnifique soirée dit Manon de la façon dont elle sait si bien faire,ironique et douce mais surtout subtil et fine, à l'inverse de Vanessa au travail qui elle est, sec cassante et arrogante , Manon elle est tout le contraire mais pas moins dur et surtout beaucoup plus humiliante , elle commençait à comprendre ce que voulait vanessa ,le genre d'humiliation mental, cérébral qu'elle Recherchait .
A ce nouvel ordre et sans dire un mot vanessa tourna les talons instantanément pour aller chercher les 2 coupes de champagnes quand Manon la rappela aussi sec , avec un ton de plus en plus sur d'elle .
Dis-moi Vanessa dit Manon comme si elle s'adressait à une adolescente timide, viens t'asseoir a coté de nous continua Manon , ce que fit Vanessa exactement comme une adolescente timide , sait tu que quand quelqu'un s'adresse à toi il est impoli de ne pas lui répondre poursuivi Manon .
Ce n 'est plus comme à une adolescente que s'adresse Manon mais comme à une petite fille à laquelle on éduque à apprendre la politesse .
Devant cette humiliation grandissante au fil du temps qui s'écoule, Vanessa n 'est plus dans un état semi-hypnotique , mais presque hypnotisé, ces fantasmes, ces envies, ces désirs , ces pulsions, cette obsession constante qui lui parcourt son corps et sa boîte crânienne depuis tant de temps sont plus fort qu'elle , l'émotion corporelle l'emporte sur sa raison , a ce stade elle ne pense plus, ne réfléchis plus , son entre jambes coulant tel une fontaine depuis le début de la soirée lui a fait comprendre qu'elle avait déjà perdu la parti face à sa conscience.
Après cette remontrance enfantine de Manon et les excuses de Vanessa du même niveau, l'élégance de celle-ci a totalement disparu, sa docilité et son obéissance en Frôlerait même le pathétique en la voyant aller chercher d'un pas vif voir presque courir pour rapporter les remontants demandés par sa rivale .
Que se passait-il dans la tête de Vanessa se demandait Ludovic , celui-ci savait les désirs profonds d'adultère de sa femme , il savait que Vanessa aimait être soumise Parfois dans l'intimité, mais fut quand même surpris par la docilité et l'obéissance de celle-ci envers Manon .
Était ce l'alcool, l'excitation d 'assouvir son fantasme , l'humiliation d'obéir a Manon , sûrement tout ce cocktail se disait il .
Quand Vanessa revient une dizaine de minutes plus tard tenant les coupes de champagne a la main de façon machinal et toujours aussi docile, ce qu'elle voit pourrait presque lui faire tomber quelques gouttes de millésime qu'elle tient entre les mains, elle a comme une impression d'assister a un début de scène érotique, manon est à califourchon sur Ludovic , l'atmosphère est légèrement plus animalières , ils ne se dégustent plus , ils se dévorent, Ludovic remonte la jupe de manon de la main gauche pour caresser la cambrure de son fessier presque parfait il faut le dire , qui d'ailleurs en joue bien et en rajoute plus qu'il en faut devant Vanessa , pendant que la main droite lui caressait l'entre-jambe , seulement 2 doigts avaient franchi la frontière protéger pas un tissu mouillé, les 2 doigts qui auraient probablement fait jouir à ce moment la Vanessa devant ce qu'elle voyait, Manon poussait des petits gémissements en embrassant Ludovic cette fois-ci plus langoureusement,
parcourant parfois par petit coup de langue les lèvres de Ludovic comme le ferait une actrice chic et sexy d'Hollywood jouant le rôle d'une femme fatalement douce .
Pendant un instant Vanessa se demanda s'ils n 'allaient pas arriver ce qu'elle a tant de fois imaginer dans sa tête ici devant elle , mais ne voulant pas jouer avec le feu , ludovic et manon ineterrompu leur voyage auquel il était parti , demandairent les coupes a vanessa qu'elle tenait depuis aumoins 5 bonnes minutes et lui dit d'allez continuer surveillez , ce que fit vanessa presque contente d'allez surveillez par sécurtié , mais presque tout aussi decu de ne pas assister a la suite des évements , qui sera fera toutefois avec beaucoup moins d'ardeur.
Manon et Ludovic sirote leur grand cru accompagné d'une cigarette , rigolant se touchant s'embrassant comme un petit couple auquel vanessa les a trouver tout a l'heure sous les étoiles .Une trentaine de minutes plus tard , l'aiguille de la montre défilant toujours trop rapidement dans ce genre de situations, sauf peut- être pour Vanessa qui contente de revoir son mari mais également Manon marché de façon normale pour regagner la soirée.
Au fait mon amour dit Ludovic a Vanessa , qui a l'entente de ce mot reçoit un peu de réconfort dans cette épreuve volontaire ,Manon habite à une vingtaine de minutes de chez nous, je pense que cela ne te dérange pas que nous la raccompagnons ce soir poursuivi Ludovic , ce qu'accepta Vanessa d'une manière de peur de décevoir son mari et Manon étrangement, en fait Vanessa se découvrait elle même , elle ne fuyait pas cette situation , au contraire, l'attirance d'allez plus loin était une nouvelle fois plus forte qu'elle .
Après avoir dit au revoir a certains invités, Ludovic prit Vanessa à part seul ,et d'un geste toujours aussi rassurant, carressant de sa main la joue de sa femme comme un mari aimant , pose une nouvelle fois la question a vanessa .
Et tu sur que c 'est vraiment ce que tu veux mon amour , elle m'attire beaucoup , elle me fait beaucoup d'effet et nous avons l'air d'avoir beaucoup de points communs , es tu sur des conséquences mon amour si je passe la nuit avec elle , elle peut etre dominante et humiliante avec toi tu l'as bien vu je suppose ,si c 'est cela que tu veux , je le veux bien aussi, mais je te demande de reflechir une derniere fois , alors quand nous irons à la voiture pour ramener Manon , si tu prends la place de devant cela voudra dire que l'on arrête et nous raccompagnerons Manon de façon normal et courtoise ,si tu t'assois derrière cela voudra dire que je ferai l'amour ce soir a Manon , je la baiserais fort peut être , je ferais tout pour la faire jouir je veux que tu le sache mon amour .A ces dernières mises en garde de Ludovic , le cerveau de Vanessa était en ébullition et son bas- ventre une bombe à retardement .
Ce fut une soirée ravissante et un joli mariage se réjouit Ludovic pendant la marche qui les ramena a la voiture Manon sa femme et lui , ho je dirais même encore mieux rajouta Manon d'un rire étouffé, et toi Vanessa qu'en pense tu demanda manon une fois arriver à la hauteur de la
voiture , dans un dernier gloussement et d'émotions nombreuses, Vanessa répondit , oui cela était une très bonne soirée mais j'ai peut être un peut trop bu ce soir , je vais laisser la place de devant a Manon car j'ai peur d'être malade , je vais m'asseoir a la place de derrière dit vanessa a ludovic , tu es sûr que ça vas allez répondit Manon , sur quoi Vanessa confirma , oui oui ne vous inquiétez pas Manon ça va allez j' en suis sur , je vous en prie prenez la place devant installez- vous.....
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J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jours plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
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Pleine Lune ma Domina
Ces jours-ci la lune était ronde et pleine et régnait seule sur un ciel sans étoiles. L'appel fut irrésistible. Cinq heures du matin, par 5°, je suis allé, vêtu de ma seule peau, dans la prairie aux herbes folles. J'ai promené mon extase dans les graminées, sans ménagement pour mon entre-jambe et mes mollets nus, tout à la jouissance sauvage des fouets végétaux. Mais le châtiment était trop doux, cela ne suffisait pas à ma Domina, elle voulait plus et me l'a fait savoir par les chants des premiers oiseaux matinaux qui se sont tus un instant, comme choqués de mon manquement. Alors, pour complaire à ma Domina, pour la seule gloire de lui obéir, j'ai choisi dans l'obscurité claire un bouquet composé à mon intention : une plante aux tiges raides portant des feuilles lisses et coupantes mélangée à quelques orties de printemps, si tendres, aux piqûres brûlantes, qui ont accueilli mon passage avec une furie de braise, heureuses de l'aubaine qu'offrait mon sexe libre et pendant entre mes cuisses ouvertes, traçant ainsi les contours de mon corps d'un trait de feu. J'ai cru hurler, sinon de douleur mais de joie, offrant les deux à ma Domina qui s'est voilée d'un nuage pour cacher son sourire discret de contentement. Mon corps ainsi flagellé exultait du délice de la douleur consentie, offrande dédiée à celle qui me possède sans limite.
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E. Le défi.
Jean dormait profondément lorsqu’un bruit le fit sursauter.
Toc ! Toc ! Toc ! « Monsieur Jean ? » lui demanda une voix qu’il ne connaissait pas. Il répondit par l’affirmative.
La voix lui dit qu’il était 7h00 et s’enquit de ce qu’il prenait au petit déjeuner. Il répondait de façon mécanique, comme un robot, à cette voix qui semblait être celle d’une femme d’un certain âge, tout en émergeant et se souvint qu’il n’était pas chez lui. Il se prépara à la hâte et descendit dans la salle à manger.
Un plateau garni de tous les ingrédients pour un copieux petit déjeuner était posé sur la table. Il n’osait pas s’asseoir car n’étant pas chez lui il ne savait si ce plateau lui était destiné. Une femme aux cheveux gris apparut et lui dit « Asseyez-vous, je vous en prie ! Madame m’a demandé de vous remettre cette enveloppe ». C’était bien la voix qu’il avait entendue par la porte. Elle lui tendit l’enveloppe qu’il plia et mit dans sa poche. Il regardera plus tard ce qu’elle contient. Pour le moment il doit se dépêcher pour ne pas être en retard à son travail. Lorsqu’il eut terminé la femme lui dit qu’un taxi l’attendait. Il monta dans le taxi qui prit l’allée menant au portail et alors qu’il s’éloignait de la demeure Jean se retourna pour voir si Sabine n’était pas derrière une fenêtre pour le regarder partir. Non ! Elle devait encore être en train de dormir.
Jean se souvint de l’enveloppe. Il la sortit de sa poche et l’ouvrit. À l’intérieur se trouvait un carton bristol sur lequel était inscrit Sabine avec un numéro de téléphone et dessous était écrit à la main ; J’ai un jeu de rôle à vous proposer. Si vous acceptez ce ne sera qu’au moment où le jeu commencera que vous saurez quel est ce rôle. Un peu comme les acteurs qui font des jeux d’improvisation. Pour accepter vous m’envoyez OUI par sms sous 24 heures et je vous donnerai des instructions. Sinon adieu.
Jean relu plusieurs fois le mot puis le remit dans sa poche.
Arrivé à destination il monta dans sa voiture et prit la route pour aller à son travail en essayant de se recentrer sur tout ce qui l’attendait cette journée.
Finaliser mon dossier pour la réunion de cet après-midi, que dois-je répondre à Sabine… Non, non, non… Il faut que je me recentre sur mon travail. Ça va être une journée compliquée.
En effet, elle fut compliquée et le soir, une fois rentré chez lui, il ressortit le carton de sa poche et le relu, le relu, le relu encore et encore tout en tournant en rond dans son salon. Il ne s’était toujours pas décidé et dans le mot, il y avait une précision qui lui torturait l’esprit.
24 heures pour répondre… c’est à dire demain matin puisque j’ai eu le mot ce matin ou demain dans la journée voire le soir ? Bon, je vais analyser tout ce qu’il s’est passé depuis cette rencontre.
Il prit une feuille de papier, un stylo et commença à tout noter dans l’ordre chronologique.
La façon dont ce couple l’a approché, des questions qui se sont rapidement orientées vers la sexualité, l’invitation à venir chez eux, les confidences sur leur mode de vie avec Sabine qui est devenue dominatrice pour faire plaisir à son mari qui souhaitait être soumis, l’insistance sur les jeux de rôle et le carton donné le matin.
Après réflexion il se dit : Ces gens veulent partager un moment de leur intimité avec moi dans le cadre de leur relation spéciale, ça c’est certain à 90 pourcent. Mais quel sera mon rôle ? Y aura-t-il d’autres personnes ? Ce qui m’inquiète c’est ce côté sexe entre hommes. Y serai-je obligé ? Si j’accepte le rôle je ne pourrai pas refuser telle ou telle situation puisque j’ai dit qu’en acceptant j’assumerai jusqu’au bout.
Il s’enfonça profondément dans son canapé, tête en arrière pour regarder le plafond puis ferma les yeux et fit le vide dans sa tête. Mais Plein de scénarios lui venaient à l’esprit et malgré lui, son excitation était à son comble. Finalement, d’un geste déterminé, il attrapa son téléphone, saisit OUI et envoya le message au numéro indiqué sur le carton. Il paraît que la nuit porte conseil et c’est justement ce que Jean ne voulait pas car, une fois la tension redescendue, il risquait de ne pas répondre et de regretter de ne jamais savoir ce que Sabine à dans la tête.
Il se releva, alla se faire chauffer des raviolis en boite et mangea en regardant une émission de téléréalité qui d’ailleurs, ne l’intéressait pas. Il sourit en se disant : finalement je préfère la réalité à la télé.
Mais surtout il attendait les instructions venant de Sabine. Son téléphone restant muet il alla se coucher.
Au réveil son premier réflexe fut de regarder ses messages mais rien de la part de Sabine. Il se dit qu’il s’était fait prendre pour un idiot, certainement à juste titre parce qu’il n’y a aucune raison qu’une personne comme elle s’intéresse vraiment à quelqu’un comme lui. Elle a joué avec lui et est passée à autre chose se délectant qu’il ait répondu OUI sans intention de donner suite.
Il buvait tranquillement son café en faisant le point sur ce qu’il avait à faire durant sa journée de travail lorsqu’il entendu qu’il avait un nouveau message sur son téléphone. C’était un message de Sabine. Son cœur se mit à battre plus fort et ouvrit le message. Bonjour je vous contacterai dans la journée pour les consignes Sabine.
Elle joue avec moi comme un chat avec une souris. Se dit-il. Mais, finalement, cela ne lui déplaisait pas.
Alors qu’il travaillait sur un nouveau projet il reçut enfin le message qu’il attendait tant.
Soyez à 14h00 devant l’entrée du palais des expositions et rendez-vous disponible jusqu’à dimanche matin.
Ce sont des consignes qui ressemblent à des ordres stricts. Se dit Jean en fronçant les sourcils car il ne savait toujours pas ce qui l’attendait. En voyant la tête de Jean le collègue, qui partage avec lui le bureau de recherche et développement d’une société qui fabrique des pièces pour les machines-outils, demanda « Un problème avec le nouveau dossier ? ». « Hein ? Euh… Non, non ! » répondit Jean.
Il chercha sur internet quel évènement il pouvait bien y avoir le weekend prochain et découvrit que c’était le salon de l’érotisme. Ok, ça promet se dit-il.
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Paris, 21h17.
L’appartement sent le cuir, le bois ciré et une trace subtile de parfum musqué. Tu attends, à genoux sur le tapis noir du salon, les poignets croisés derrière le dos, le dos bien droit — mais ton regard, lui, brille d’insolence.
Tu as mis exprès cette jupe trop courte, celle qu’il t’a interdit de porter sans culotte. Évidemment, tu en portes. Une provocation calculée.
Tu veux qu’il te corrige.
Lorsque la porte du bureau s’ouvre enfin, il entre sans un mot. Grand, calme, en chemise noire retroussée, il a cette lenteur dans les gestes qui trahit une maîtrise glaciale. Il te regarde de haut en bas. Pas un sourire. Juste ce silence tendu, presque oppressant.
— Tu n’as pas suivi mes instructions, constate-t-il.
Tu hausses un sourcil, faussement innocente.
— Peut-être que je voulais voir si tu t’en souviendrais…
Le claquement sec du cuir fend l’air avant même que tu ne réalises : il a sorti la cravache. Un coup, net, sur l’intérieur de ta cuisse nue.
— Ne me teste pas, petite garce. Tu sais comment ça finit.
Tu frissonnes de tout ton corps, entre douleur et excitation. Mais tu tiens bon. Tu le veux furieux. Dominant. Implacable.
Il se poste derrière toi et écarte lentement tes genoux du bout de sa botte. Tu dois cambrer davantage, et la position devient vite intenable — mais tu ne bouges pas. Tu aimes cette douleur sourde dans les cuisses. Tu sais ce qu’elle annonce.
— Retire cette culotte, maintenant.
Tu obéis, te penchant en avant, mordant tes lèvres et la glissant lentement à tes pieds, pleinement consciente de l’humiliation volontaire de la scène. Tu sais qu’il t’observe avec attention. Il n’a pas besoin de parler pour contrôler la pièce. Tout en lui respire l’autorité
Tu es contre le mur, les joues en feu. La main sur ta gorge ne serre pas, mais tu sens parfaitement qui commande ici. Tu veux résister. Tu veux qu’il te force à plier, qu’il t’arrache chaque once de défi.
— Retourne-toi.
Tu obéis, mais à ta façon : lentement, en cambrant délibérément, provocante. Il te connaît. Il sait que tu ne t’abandonnes jamais sans combat. Tu n’es pas docile. Tu es soumise, oui, mais indomptable jusqu’à ce que tu sois brisée à genoux, haletante, les cuisses tremblantes d’avoir trop été privée.
Ses doigts glissent sous ta jupe. Ils frôlent tes lèvres déjà humides, s’arrêtent à peine sur ton clitoris. Un effleurement. Juste assez pour te rendre folle. Et puis rien.
— Tu crois mériter plus que ça ? Tu crois que ton insolence mérite la jouissance ?
Tu ne réponds pas. Tu veux. Tu veux si fort. Mais tu refuses de lui offrir le plaisir de ta supplique si facilement.
Le cuir frappe.
Une fois. Deux. Puis trois. Des coups nets, parfaitement espacés, sur tes fesses. La brûlure monte, délicieuse, rageante. Il s’arrête, caresse la peau rougie. Et recommence. Cette fois, il ajoute la voix.
— Dis-moi pourquoi tu es punie.
Tu restes silencieuse.
Le quatrième coup tombe plus fort.
— Dis-le.
Tu craques, entre les dents.
— Parce que j’ai désobéi…
— Et ?
— Parce que j’ai porté cette putain de culotte exprès.
Le mot l’arrête. Il sourit. Tu viens de céder un peu plus. Il adore t’amener à t’humilier toi-même.
Tu sens sa main entre tes cuisses. Cette fois, elle presse, frotte, cherche ton bouton enflammé. Tu halètes. Tu ouvres un peu plus les jambes, comme une supplique muette.
Mais il s’arrête.
— Non. Pas encore.
Et il t’emmène.
Par les cheveux, doucement mais fermement, jusqu’au fauteuil. Il s’assoit, te fait te mettre sur ses genoux, ventre contre ses cuisses, les fesses bien présentées. Là, il recommence. La main nue cette fois. Lente, pesante. Chaque claque résonne dans tout ton corps.
— Tu crois pouvoir me défier sans conséquences ? Tu crois que je vais te laisser jouir tant que tu n’es pas mienne corps et esprit ?
Tu te tortilles, mi-douleur, mi-désir. L’humiliation te brûle autant que les gifles.
— Tu vas supplier.
Tu veux tenir. Mais sa main glisse entre tes lèvres à chaque série de claques. Frôle. Stimule. Puis s’éloigne. Encore. Encore. Jusqu’à ce que ton ventre se contracte, ton dos se tende.
— Tu es au bord, hein ?
Tu gémis. Tu hoches la tête. Il appuie juste assez, juste ce qu’il faut…
— Non.
Et il retire sa main. Tu cries. De frustration. De honte. D’excitation.
— Tu ne jouis que quand je le décide. Et je ne vois encore qu’une petite insolente qui n’a pas assez pleuré de ne pas jouir.
Il te fait lever, sans un mot. Tu chancelles un instant, entre désir et colère, les cuisses glissantes, les fesses encore vibrantes de sa main. Il te guide jusqu’au miroir, grand, encadré de bois sombre, posé contre le mur. Tu t’y vois : les joues rouges, le regard trouble, la bouche entrouverte. Une image indécente de toi-même.
— Regarde.
Tu baisses les yeux. Il saisit ton menton, relève ton visage pour que tu affrontes ton reflet.
— Non. Regarde ce que tu es. Regarde ce que je fais de toi.
Il s’éloigne quelques secondes, puis revient avec un petit objet noir entre les doigts. Tu reconnais le plug. Petit, mais lourd. Il aime commencer par là — pas pour la sensation physique seulement, mais pour ce que ça signifie : la prise, la possession. L’humiliation parfaite, discrète et profonde.
— Penche-toi. Écarte les jambes. Et ne détourne pas les yeux.
Tu obéis. Lentement, cette fois sans provocation, juste cette tension constante entre la honte et l’envie. Tu sens ses doigts écarter doucement tes fesses, une pression froide contre ton intimité. Il a pris le soin de lubrifier, bien sûr. Il aime que tu le sentes glisser, que tu le sentes entrer en toi, lentement, irrésistiblement.
— Regarde-toi être remplie.
Tu hoquettes. Il pousse, tourne légèrement, te fait sentir chaque millimètre. Et quand le plug s’enclenche enfin, quand il se niche au creux de toi, il pose une main sur ton dos.
— Voilà. Maintenant, tu vas rester comme ça. À regarder.
Tu es debout, cambrée, le visage à quelques centimètres du miroir. Il s’assoit derrière toi, dans le fauteuil, à sa place d’observateur, de maître, de spectateur de ton humiliation.
— Touche-toi.
Tu hésites. Il n’aime pas que tu obéisses trop vite. Il préfère quand tu luttes. Quand tu n’as pas le choix. Alors tu glisses une main entre tes cuisses, tremblante, mal assurée. Et tu te regardes. Tu vois tes doigts se glisser là où tu n’as pas eu le droit d’aller seule depuis des jours. Tu vois le reflet du plug noir entre tes fesses, cette image indécente de toi-même, offerte et retenue.
Il parle doucement.
— Tu es si belle quand tu luttes. Si sale quand tu veux trop. Tu veux jouir, hein ? Comme une chienne affamée ?
Tu halètes. Tu ne réponds pas. Tu continues à te caresser, à observer cette version de toi-même que tu hais d’aimer : celle qui mendie sans mot, qui se montre sans honte, qui attend l’ordre comme une délivrance.
— Tu ne viens pas. Pas encore. Tu restes là, le plug bien enfoncé, les jambes écartées, à te regarder devenir exactement ce que tu méprises… et que tu adores être.
Il se lève. Il s’approche. Il t’enlace par derrière, sa bouche tout près de ton oreille.
— Tu es à moi. Et tant que tu n’es pas brisée… je continue.
Il est juste derrière toi, son souffle contre ta nuque, sa main posée sur le bas de ton dos. Le plug te remplit encore, froid et lourd, et ton reflet — cette image obscène de toi-même — ne te quitte pas des yeux. Tu es cambrée, offerte, et tu ne tiens plus. Tout ton corps vibre d’un besoin qui t’échappe.
— Tu veux jouir ? Alors tu vas devoir le mériter.
Il se recule légèrement, te fait pivoter face à lui, face au miroir. Puis il s’assoit, jambes écartées, et d’un geste, il sort son sexe, dur, prêt. Il le tient dans sa main, lentement, volontairement provocant.
— À genoux. Là, juste devant. Que tu puisses bien voir ce que tu fais.
Tu obéis. Tu te laisses tomber, docile, entre ses jambes. Ton regard croise le sien dans le miroir, puis descend sur sa verge. Tu ouvres la bouche, mais il ne te laisse pas faire.
— Pas comme ça. Les mains derrière le dos. Tu n’en as pas besoin. Ta bouche suffit.
Tu poses tes mains derrière toi, le dos droit, le regard fixé dans le miroir. Il saisit ta nuque, guide ta tête vers lui. Tu sens le contact de sa peau contre tes lèvres, le goût de sa domination. Il te pénètre lentement d’abord, puis plus profondément. Il tient ta tête, contrôle le rythme, te fait l’avaler centimètre par centimètre, jusqu’à ce que tu suffoques à peine. Il aime te pousser à la limite. Il aime voir les larmes dans tes yeux, la salive qui coule de ta bouche pleine.
— Regarde-toi. Regarde comme tu sais bien obéir, quand je décide.
— Regarde-toi. Un petit corps trop facile à faire plier. Une cervelle qui pense encore pouvoir résister. Mais tu comprends, maintenant ? Tu ne m’appartiens pas parce que tu as envie. Tu m’appartiens parce que tu n’as plus le choix.
Il te force à parler. À répéter. Encore et encore. Des phrases humiliantes, sales, indignes. Jusqu’à ce que tu les croies. Jusqu’à ce qu’elles sortent de ta bouche sans réfléchir.
— Dis-le. Que tu n’es rien d’autre qu’une petite chose docile, baisable, modelée pour mon plaisir. Dis-le. Et tu pourras respirer.
Il te tient là, quelques secondes. Il bouge doucement, puis plus vite, te forçant à prendre chaque coup de rein sans pouvoir protester, sans pouvoir fuir. Tu es là pour lui, juste une bouche, un regard brisé dans le miroir.
Puis il te relâche. Tu respires, haletante, les lèvres rouges, le menton trempé.
— Tu crois que tu mérites de jouir, maintenant ?
Tu hoches la tête, la voix presque inaudible.
— Oui…
— Oui quoi ?
— Oui, je vous en supplie…
Il te saisit alors, te fait te relever, te retourne encore, brutal mais précis. Il t’adosse au miroir cette fois, ton dos glacé contre la surface, ton regard qui se perd dans cette image de toi, offerte, défaite, les cuisses ouvertes, le plug bien enfoncé toujours. Il tombe à genoux. Tu t’y attendais. Tu l’espérais.
Sa langue touche tes lèvres, d’abord en surface. Puis il s’y applique. Lentement, comme une caresse interdite, méthodique, jusqu’à ce que tu perdes la tête. Il te tient les cuisses bien écartées, et chaque mouvement de sa langue te pousse plus près du bord.
— Tu veux venir ? Tu es prête à supplier pour ça ?
Tu gémis, incapable de répondre. Alors il s’arrête.
Tu cries. Tu tords les doigts. Tu le fixes dans le miroir, furieuse et suppliante. Et tu cèdes.
— Je vous en supplie… faites-moi jouir… je n’en peux plus…
Son sourire contre ta peau est une torture. Il reprend. Cette fois sans pitié. Sa langue frappe juste, ses doigts pressent contre le plug pour accentuer la sensation. Ton corps se tend. Ta voix se brise.
— Tu jouis quand je dis.
Il accélère. Tu trembles.
— Maintenant.
Et tout explose. En toi, autour de toi. Tes jambes lâchent, ta gorge gémit, ton ventre se contracte avec violence. L’orgasme est arraché, comme un cri, comme une libération. Tu n’es plus qu’un corps qui cède, qu’un reflet ruiné, ivre de soumission.
Il ne dit rien. Il n’a pas besoin. Tu sais que ce n’est que le début.
Tu reprends à peine ton souffle, les muscles encore noués, les cuisses tremblantes, le visage marqué par le plaisir trop longtemps retenu. Mais il ne te laisse pas retomber. Il t’attrape, te remet debout contre le miroir, les mains à plat sur la surface froide, les jambes écartées.
— Ce n’est pas fini. Tu crois que tu as gagné le droit au repos ? Tu n’as fait que commencer à payer.
Tu le sens retirer lentement le plug. Ta chair se resserre instinctivement, mais il murmure :
— Relâche. Tu vas en prendre plus.
Il s’éloigne un instant, et tu l’entends derrière toi préparer ce qui vient. Le son d’un flacon. L’odeur du lubrifiant. Puis il revient, derrière toi, imposant, décidé. Il saisit tes hanches. Tu le sens contre ton intimité, dur, prêt à te reprendre, à t’envahir à nouveau.
Mais cette fois, ce n’est pas tout. Il pousse en toi — ta fente glissante s’ouvre aussitôt, accueillante malgré la fatigue, chaude, trempée de ton plaisir précédent. Il gémit, satisfait. Il reste là un instant, profondément ancré en toi.
Puis il sort à moitié, ses doigts s’activent à nouveau derrière, à l’entrée plus étroite. Il glisse un, puis deux doigts, sans t’offrir le choix. Ton corps proteste, mais ton esprit capitule.
— Tu vas me prendre partout. Je veux te sentir m’appartenir des deux côtés. Tu es à moi.
Il retire ses doigts. Tu le sens se replacer. Et puis, lentement, irrémédiablement, il t’envahit. L’autre voie. Celle que tu crains, que tu désires, que tu refuses parfois de nommer. Il est lent, précis, mais inflexible. Il s’enfonce. Ta bouche s’ouvre sans son. Tu te vois dans le miroir : tendue, tordue de tension, offerte dans une posture indécente, ta bouche ouverte, les larmes prêtes.
Et puis il pousse encore. Tu es remplie. Devant. Derrière. Il te possède.
Il commence à bouger. Le rythme est lent au départ, calculé, pour que tu sentes chaque mouvement, chaque glissement. Tes jambes flanchent. Tes ongles griffent le miroir. Tu veux fuir. Tu veux qu’il continue.
— Regarde-toi. Regarde ce que tu es devenue. Prise. Dominée. Ouverte.
Il accélère. Il te pilonne, ses mains ancrées à ta taille. Tu n’es plus qu’un pantin. Un corps rempli, utilisé. Ton plaisir revient, brutal, incontrôlable, absurde après l’intensité de tout à l’heure.
— Tu vas jouir encore. Remplie comme une chienne. Et tu vas le faire sans honte.
Tu hoches la tête, incapable de parler. Tes gémissements sont brisés, sauvages, humiliés.
— Jouis.
Et ton corps obéit. Sans retenue. Un spasme plus fort encore que le premier. Tu cries. Tu te cambres. Tu perds pied. Et lui continue encore, quelques coups plus profonds, jusqu’à ce qu’il s’abandonne en toi dans un râle guttural, haletant.
Il reste là, quelques secondes. En toi. Posé sur ton dos. Sa main sur ton cœur, qui bat à toute vitesse.
Puis doucement, il se retire. Tu sens chaque vide. Chaque absence.
Ton corps s’effondre doucement contre le sien. Tu n’as plus de force. Tes muscles tremblent, tes jambes ne te portent plus. Il te soutient sans rien dire, te soulève dans ses bras, comme on recueille quelque chose de précieux qu’on aurait malmené trop fort.
Il t’amène jusqu’au lit. Pas pour te prendre, cette fois. Pour t’envelopper. Il t’allonge avec une lenteur presque religieuse, replace une mèche de cheveux collée à ta joue, essuie du pouce la trace humide qui s’y mêle — sueur, larmes, salive… Tu ne sais plus.
Il se couche derrière toi, te tire doucement contre lui. Sa main passe sur ton ventre, sur tes seins, sur tes hanches encore rouges des claques. Mais ce n’est plus pour dominer. C’est pour apaiser.
— Tu es là… c’est fini.
Sa voix est basse, grave, posée. Rien d’impérieux. Juste la présence. L’assurance. Il n’a plus besoin d’ordonner, il est simplement là. Et tu sens que tu peux relâcher ce qui reste encore tendu en toi.
Il te parle doucement. Te murmure des mots que tu ne comprends pas tous. Mais le ton suffit : tu es en sécurité. Il t’a prise, il t’a poussée, il t’a cassée — et maintenant il te tient.
Ses mains massent lentement tes muscles, surtout là où il t’a frappée. Il embrasse ta nuque. Tes épaules. Tes tempes. Il couvre chaque marque de gestes lents, patients.
— Tu as été parfaite. Indomptable. Mienne.
Tu frissonnes, non plus de tension, mais de gratitude. Il tire une couverture sur vous, t’enroule tout entière contre lui. Ses bras t’entourent. Son souffle berce ta nuque. Il ne parle plus. Il te laisse pleurer si tu dois. Soupirer. Revenir.
Et dans le silence, il pose sa main sur ton cœur, une dernière fois.
— Je suis fier de toi.
Tu t’endors là. Épuisée. Brisée. Refaite.
Et profondément aimée.
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J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jour plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
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D. Révélations
Dès que chacun eut son verre à la main et après avoir trinqué, Sabine commença à lui raconter comment elle et son mari s'étaient rencontrés, pourquoi et comment leur relation avait évolué. Elle lui expliqua que Martin dirige une entreprise et qu’il a donc de grandes responsabilités. Au fil du temps il a commencé à la délaisser et leur relation est devenue platonique, si bien qu’ils étaient prêts à divorcer. Puis ils ont eu une discussion pendant laquelle Martin a expliqué qu’en dehors de son travail il avait besoin de déstresser mais qu’elle n’était pas en mesure d’assumer ce rôle. Afin d’éviter que leur couple ne se brise et par amour pour son mari elle a tout mis en œuvre pour assumer ce rôle qu’il attendait d’elle.
Jean écoutait stoïquement sans dire un mot tout en avalant de petites gorgées de cognac.
Soudain Sabine sembla énervée et lui demanda « Ça ne vous intéresse pas de savoir quel est ce rôle ? »
Surpris, Jean s’exclama « Oui, oui bien sûr ! ».
Martin qui pendant le monologue de Sabine était affalé dans son fauteuil la tête en arrière et les yeux fermés paraissant dormir se redressât et resservit quelques doigts de ce fameux nectar qui faisait sa fierté puis se rassit au fond de son fauteuil. Il était là mais paraissait ailleurs, comme s’il n’était pas concerné par ce que Sabine racontait.
« Bien » dit Sabine. Elle reprit ses explications.
« En fait, dans son travail c’est lui qui prend les décisions, qui donne des ordres et les autres qui obéissent. Il a donc une grosse pression sur ses épaules. Donc ce qu’il souhaitait c’est que je prenne ce rôle dans notre relation.
Je n’étais pas du tout formée mais surtout, pas du tout formatée pour assumer cette tâche, ce n’était pas dans mon ADN.
Même avec notre fils, qui aujourd’hui vit à l’étranger, je n’ai jamais fait preuve d’autorité.
J’en ai parlé à une amie en lui disant que je n’avais pas une âme de cheffe d’entreprise.
Elle a pouffé de rire et m’a expliqué que cela n’avait rien à voir avec le travail d’un chef d’entreprise.
Devant mon étonnement elle m’a expliqué que Martin souhaitait tout simplement une relation de domination/soumission, lui étant le soumis et moi la dominatrice.
Je lui ai dit que je ne comprenais rien. Qu’était-ce qu’une relation domination/soumission ?
Finalement, devant mon ignorance, elle m’a proposé de rencontrer un groupe d’amis qui pratiquaient ce genre de relation en me précisant que c’est un cercle très fermé qui demande une grande discrétion.
Ma curiosité étant à son comble j’ai répondu que j’étais partante pour rencontrer ces gens.
Le soir même j’ai demandé à Martin s’il savait ce qu’était ce genre de relation. Il m’a souri, m’a dit que oui et que c’était très intéressant.
Je me suis sentie soudainement survoltée de connaitre de nouveaux horizons qui allaient peut-être me faire sortir de ma condition de petite bourgeoise cantonnée à faire du shopping et à avoir une maison propre et confortable. Du shopping j’en fait toujours mais c’est un peu plus spécial.
Bref. À chaque fois que j’apprenais quelque chose auprès de ce cercle je le proposais à Martin qui, bien évidement se réjouissait d’être mon cobaye.
Au bout de quelques mois le rôle était devenu mon être à part entière, dominer m’apportait une jouissance que je n’avais jamais connue, que je n’avais même pas imaginée et je devenais de plus en plus perverse, parfois cruelle.
Maintenant il est ma chose, il m’appartient totalement et notre couple n’a jamais été autant solide.
Pour ne pas entrer dans la routine et la lassitude j’imagine de nouvelles situations, de nouvelles preuves qu’il est ma propriété.
À chaque fois que je mets un dièse sur la partition il doit suivre s’il ne veut pas que je monte d’une octave, mais je sais très bien que s’il veut directement passer à une octave au-dessus il va ignorer mon dièse. Je peux le suivre ou lui imposer un bémol. Au final c’est moi qui décide, qui tiens la baguette de la cheffe d’orchestre.
C’est ce qui fait que, moi dominante et lui soumis, nous ne faisons qu’un.
Bien entendu je reste attentive à ses souhaits et s’il a été suffisamment docile et que je suis d’accord, je lui permets de réaliser son souhait sachant qu’en tant que dominatrice je peux apporter toutes les modifications à mon gré. »
Martin était à nouveau dans la posture d’une poupée gonflable que l’on aurait posée négligemment dans un fauteuil, tête en arrière et yeux fermés, son verre étant prêt à aller faire profiter de ce vieux cognac, le tapis qui apparemment n’était pas persan, ni percé d’ailleurs, mais de très bonne qualité.
Jean, perdu dans ses pensées, n’avait toutefois pas manqué un seul mot, une seule nuance de ce que Sabine avait dit, il s’imaginait déjà à la place de Martin. Il avait chaud, il était quasiment fiévreux, le cognac plus le narratif de Sabine avaient eu raison de son esprit, il se sentait au bord de l’évanouissement.
Ces messieurs furent brusquement sortis de leur torpeur par un « Bon, tout le monde au lit ! » quasiment vociféré par Sabine ajoutant « Jean, je suis désolée mais vous allez dormir ici. Il est hors de question que l’un d’entre nous prenne le volant car avec l’alcool et la fatigue ce serait trop risqué. Cela ne vous dérange pas ? ».
Jean fit tourner sa tête d’avant en arrière puis de droite à gauche, ce que Sabine prit pour un accord.
« Bien, je vais vous accompagner jusqu’à votre chambre, et toi Martin monte te coucher tout de suite !
Ils sortirent du salon, Martin montât par le premier escalier tandis que Jean suivant Sabine dans le hall. Ils prirent le deuxième escalier Sabine passant devant. Jean voyait les fesses de Sabine onduler juste au niveau de son visage et une longue jambe fuselée sortant régulièrement de la robe fendue de sa divine hôtesse. Il sentait son sexe gonfler et espérait qu’elle viendrait se glisser avec lui dans le lit. Ils entrèrent dans une chambre coquette meublée de meubles d’antiquaire avec un grand lit qui avait des barreaux dorés munis d’anneaux à la tête et au pied. Curieux pensât-il.
Sabine lui montra la salle de bain attenante puis lui demanda à quelle heure il devait se réveiller.
« À sept heures ! » lui répondit Jean.
« La femme de ménage viendra taper à votre porte à 7 heures, quand vous serez prêt vous irez dans la salle à manger, c’est la porte qui se trouve de l’autre côté du hall en face du salon où nous étions. Ensuite quelqu’un vous ramènera à votre voiture. Je vous souhaite une bonne nuit même si elle va être courte, alors ne tardez pas à aller vous coucher ! » Sabine tourna les talons et se dirigea vers la porte.
Bon, je vais dormir seul, se dit Jean dépité.
Mais arrivée au niveau de la porte elle se retourna et lui demanda sur un ton sérieux « Tout à l’heure, dans la voiture, quand vous m’avez dit : j'aime bien participer à des jeux de rôle et quand j'accepte un rôle je l'assume pleinement ! Vous étiez sincère ? ».
« Oui si j’accepte le rôle je l’assume ! » lui répondit-il.
Sans dire un mot Sabine repartit en fermant la porte.
Jean s’assit sur le lit se sentant tout bête, prit un anneau du lit, le fit bouger de bas en haut plusieurs fois puis se décida à aller se coucher malgré les mille questions qui le torturaient.
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La vie m’a appris à vivre dans l’ombre autant que dans la lumière. Mon passé a été une succession de tempêtes, des moments où la douleur m’a laissée dévastée, et pourtant, je me tiens debout aujourd’hui. J’ai cette part de moi, sombre et sauvage, attirée par ce que d’autres fuient, par ce qui me rappelle la complexité de mon âme.
Oui, il y a des zones obscures en moi, des cicatrices qui ne se referment pas, des parts de mon histoire qui m’appellent. Mais cette ombre n’est pas ma prison, elle est mon moteur. Elle m’appelle à explorer ce qui me fait frissonner, ce qui me défie, ce qui me pousse à me libérer encore et encore.
Le BDSM est encore un territoire nouveau pour moi, une zone de découverte. Il n’est pas question de tout savoir ou de tout avoir vécu, mais plutôt d’explorer lentement ce qui résonne en moi.
Cette part d’ombre, j’ai envie de l’apprivoiser, de la comprendre, de la transformer. C’est une aventure où je me laisse guider, un pas après l’autre, apprenant à faire confiance à mes désirs, mais aussi à celui qui peut me montrer un autre chemin. Peu à peu, je sens que cette dynamique de soumission et de domination peut m’aider à comprendre mes limites, mes envies, et à les dépasser.
Il est encore tôt pour dire où cela me mènera, mais je suis prête à me laisser guider dans cette exploration. C’est Lui qui, doucement, me montre le chemin, en respectant chaque étape de mon évolution, en étant attentif à ce que je ressens.
J’ai encore tant à découvrir, mais chaque petit moment partagé avec Lui, chaque geste, chaque échange me permet de m’ouvrir à une nouvelle forme de liberté et de pouvoir.
Même dans la nuit, je choisis de garder ma lumière vivante. Cette lumière est solaire, vibrante, et je la nourris chaque jour, à ma manière. C’est cette lumière que je cherche à préserver tout en m’aventurant dans l’obscurité.
Je crois que dans cette dualité, je peux m’épanouir. Ce chemin, je le parcours lentement, avec l’espoir qu’il m’amène à une compréhension plus profonde de moi-même et de ce que je désire.
Avec lui, j’apprends à goûter à cette danse. Doucement, mais sûrement.
CET homme qui voit cette dualité en moi, qui la respecte et me guide dans cette exploration, un pas à la fois.
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Elle avait tout consenti.
Chaque clause. Chaque condition.
Non pas par soumission aveugle, mais par volonté lucide d’aller au bout d’elle-même.
Elle ne voulait plus choisir. Elle ne voulait plus contrôler. Elle voulait céder. Cesser d’être sujet, devenir objet — au moins un temps. Une manière de fuir le vacarme du monde. De faire taire cette voix intérieure qui doutait, jugeait, exigeait. Dans l’abandon, elle cherchait la paix.
Elle avait lu, longtemps, des récits de soumission, des témoignages troubles, des pages noircies de violence et de silence. Ce n’était pas tant les actes qui la fascinaient, mais ce qu’il y avait derrière : le vertige du lâcher-prise total
Le reste… n’était plus qu’un jeu d’ombres.
Le sac sur la tête était arrivé un soir, comme convenu, sans prévenir. Une porte fracturée, deux bras puissants qui l’avaient saisie dans son lit, un cri étouffé avant le noir. Puis le trajet. Long. Silencieux. Ligotée, secouée par les cahots d’une camionnette, nue sous le tissu rêche du sac.
Quand on lui retira, elle était dans une cave.
Froide. Mauvaise odeur de terre humide et de métal rouillé. Lumière blafarde d’un néon qui clignotait. Et la cage. Serrée. En fer forgé, à peine plus grande qu’un chenil. À l’intérieur, elle. Nue, en position de soumission, le regard égaré. Elle grelottait.
Ils étaient trois. Masqués. Aucun ne parlait.
L’un d’eux ouvrit la cage. Il l’attrapa par les cheveux, la tira violemment hors de sa prison. Elle glissa sur le sol sale, les genoux râpés, les seins ballottant, offerte malgré elle. Elle tenta un regard vers l’un d’eux, mais il répondit par une claque, brutale, qui la fit gémir.
— Tais-toi.
Une voix grave, rauque. Puis plus rien.
Ils la forcèrent à se mettre à genoux. Une sangle serra sa gorge. Un bâillon boule fut coincé entre ses lèvres, l’ouvrant de force. Elle haletait déjà. Les hommes se déshabillèrent. Trois bites dressées. Grosse. Dure. Sale.
Ils la prirent à tour de rôle. Sans ménagement. La gorge d’abord. Des coups de reins secs, violents, qui la faisaient étouffer, baver, suffoquer. Ils riaient dans leur silence. La regardaient lutter, s’habituer à l’humiliation, au goût, à la violence.
Puis ce fut son sexe. Écarté de force. Deux d’entre eux la tenaient au sol, pendant que le troisième s’enfonçait en elle d’un seul coup, sans préparation, sans douceur. Elle cria, mais le cri resta enfermé derrière le bâillon. Elle se cambra. Ses ongles grattèrent la pierre.
Et ils continuèrent. Longtemps. Brutalement.
L’un la prenait pendant que l’autre lui pinçait les tétons jusqu’au sang. Le troisième la giflait, lui crachait au visage. Aucun répit. Aucune parole tendre. Juste des ordres : « Tends-toi. », « Ouvre. », « Ferme-la. »
Quand elle croyait que c’était fini, ils recommençaient. En levrette, à genoux, suspendue à une chaîne qui lui déchirait les poignets. Parfois deux en même temps. Sa bouche et sa chatte remplies. Puis sa bouche et son cul. Ils la forçaient. Elle pleurait, bavait, jouissait malgré elle. Encore. Et encore.
Ils la fixèrent à une croix de Saint-André, jambes ouvertes, sexe offert. Un vibro fut enfoncé en elle, puis un plug. Maintenus par des sangles. Ils les allumèrent à pleine puissance. Et ils la laissèrent là. Tremblante. Hurler dans le silence. Secouée d’orgasmes incontrôlés, hurlants, humiliants.
Ils regardaient. Parfois, l’un revenait et lui offrait une nouvelle dose de brutalité : un doigt, une bite, un coup. Elle n’était plus qu’un trou à leur merci.
Et dans la cage, à la fin, recroquevillée, couverte de sperme, de salive et de sueur, elle souriait.
Elle ne savait plus l’heure, ni le jour.
Le temps n’existait plus ici.
Dans la cage, son corps était marqué. Sa peau portait les traces de leur passage : hématomes sur les cuisses, morsures autour des seins, griffures dans le dos. Chaque douleur était un souvenir. Chaque coup une signature.
Elle n’était plus une femme. Elle n’était plus un nom. Ils l’appelaient la chienne.
Et elle avait fini par l’accepter.
La routine était simple : on la réveillait à coups de botte. Ils la traînaient hors de la cage par une chaîne attachée à son collier de métal. À genoux, toujours. Si elle se levait sans ordre, c’était la cravache. Un claquement sec sur les cuisses, les seins, ou directement sur sa chatte, jusqu’à ce qu’elle tombe à terre en hurlant.
Ils la forçaient à lécher leurs bottes, leurs semences, parfois le sol. Elle était leur chose. Leur jouet. Leurs trous.
Un jour, ils apportèrent une gamelle. Du lait. Une gamelle posée au sol, comme pour un animal.
Elle hésita. Une seconde.
— Tu bois, ou tu bouffes ta merde, salope.
Elle plongea la tête, et but.
Ce jour-là, ils comprirent qu’ils l’avaient brisée. Et ils décidèrent de la reconstruire.
Ils la dressèrent. Chaque geste, chaque posture, chaque respiration devait être contrôlée.
Dos cambré, poitrine offerte, bouche entrouverte. Elle apprit à garder cette position immobile pendant des heures. À sourire quand ils entraient dans la pièce. À se masturber sur commande, devant eux, yeux fixés au sol.
La cage devint sa maison. Elle y dormait enchaînée, jambes écartées, parfois les chevilles reliées à des anneaux vissés au sol. Ils y plaçaient des caméras. D’autres hommes regardaient. Peut-être des maîtres, des clients, des futurs participants.
Parfois, un inconnu entrait. Sans dire un mot. Il s’approchait. Déshabillé. La forçait. La prenait.
Elle ne savait plus combien de bites elle avait prises. Combien d’orgasmes elle avait subis. Combien d’hommes elle avait dû lécher, sucer, avaler jusqu’à l’étouffement.
Ils l’utilisaient même pendant son sommeil. Elle se réveillait parfois avec le goût du foutre encore chaud sur sa langue, la sensation d’un vibro encore actif enfoncé profondément, les jambes trempées.
Une semaine passa. Peut-être deux. Elle n’avait plus de repères.
Ils la rasèrent. Corps entier. Plus un poil. Pas même sur la tête.
Puis marquer d’un numéro .
Sur une fesse : PROPERTY
Sur le bas-ventre : USE ME
Chaque fois qu’un nouvel homme entrait, il la tournait, lisait les mots, et agissait en conséquence.
Un jour, ils l’attachèrent à un chevalet. Les jambes totalement écartées, le corps étendu, offert.
Cinq hommes, cette fois.
L’un à la bouche, l’un aux seins, deux pour les trous. Le cinquième filmait, en silence.
Elle était secouée de spasmes. Trop. Trop longtemps. Trop fort. Mais elle ne disait rien. Elle ne criait même plus. Juste des râles, une respiration animale, les yeux révulsés.
Elle était devenue une fonction. Un outil. Un orifice. Plusieurs, même.
Quand ils eurent fini, ils ne la détachèrent pas. Ils la laissèrent là, nue, ouverte, suintante, tremblante.
Un seau d’eau glacée lancé sur son corps.
Puis le noir.
Et dans le noir, une voix douce, presque tendre, lui murmura :
— Tu es prête pour la dernière étape.
Elle ne savait plus parler.
Pas parce qu’on lui avait interdit. Mais parce qu’elle avait oublié comment.
À force de bâillons, d’ordres secs, de punitions immédiates à chaque mot prononcé sans autorisation, son esprit avait intégré la règle : le silence est la forme la plus parfaite de soumission.
On l’appelait uniquement par un numéro. Zéro-sept.
Ses gestes étaient codifiés. Chaque position était ancrée par la douleur. Genoux ouverts, front au sol, bras derrière le dos : position de repos. À plat ventre, cuisses écartées, les doigts écartant sa propre chair : position d’invitation. Accroupie, langue tirée, regard fixé sur une verge en érection : position de demande.
Elle n’était plus une femme.
Elle était leur chose.
La salle de dressage était différente : plus grande, éclairée de projecteurs, équipée de crochets, de chaînes, de miroirs. Des caméras. Des sièges en gradins.
Elle y fut amenée nue, en laisse, marchant à quatre pattes. Sur son dos, une plaque métallique vissée à un harnais disait : PROPERTY - 07 - LIVE USE ONLY.
Ils l’avaient préparée : plug lourd enfoncé dans son anus, vibro relié à une télécommande dans son sexe, seins pincés dans des anneaux métalliques reliés à des poids. Ses lèvres avaient été cousues pour la journée — pas celles de la bouche : celles de sa chatte.
Symbole de fermeture. De soumission temporaire. Bientôt, ce serait l’ouverture définitive.
Devant les gradins, ils la firent monter sur une table d’exposition. Lumière crue. Regards anonymes. Une vingtaine d’hommes, peut-être plus. Aucun ne parlait. Tous observaient.
Un maître s’approcha. Le seul qui parlait. Le formateur.
— Zéro-sept est prête. Ce corps ne lui appartient plus. Ce corps est fonctionnel. Ce corps est docile. Ce corps est à utiliser.
Il appuya sur une télécommande.
Le vibro s’activa d’un coup. Fort. Brutal.
Elle hurla à travers ses dents serrées. Les contractions étaient immédiates, incontrôlables. Des spasmes secouaient son bassin. Ses cuisses claquaient contre la table. Des fils de salive pendaient de sa bouche entrouverte. Les poids sur ses seins se balançaient à chaque secousse.
Un premier homme s’approcha. Sans un mot.
Il enleva son pantalon. L’attrapa par les hanches. Et s’enfonça en elle. Sec. Profond. Brutal.
Elle se cambra. Pleura. Mais ne bougea pas.
Le public regardait. D’autres se masturbaient déjà.
Un deuxième homme vint derrière. Il retira le plug. Cracha dans son poing. Et força l’entrée plus étroite. Elle gémit. Gronda. Puis céda.
Double pénétration. En public. Comme bétail.
Elle perdit conscience quelques secondes. Revint. Suffoqua.
Puis un troisième lui attrapa la gorge. Et l’embrassa. Férocement. Il s’assit sur son visage. Elle sut ce qu’on attendait.
Ses narines obstruées. Elle étouffait. Mais elle léchait. Tête bloquée. Esprit noyé.
Ils la retournèrent. L’étirèrent sur un cheval de bois, les jambes sanglées. Chaque spectateur put venir. Tour à tour. Sexe en bouche. Sexe en elle. Fessée. Doigts. Instruments.
L’un d’eux urina sur elle. Elle resta immobile.
Elle n’était plus une chose. Elle était la chose.
À la fin, elle fut remise dans sa cage, trempée, marquée, vidée. Mais elle souriait. Vraiment.
Ils l’avaient transformée.
Et elle n’avait jamais connu un tel bonheur.
Le jour de sa sortie, il n’y eut ni mots, ni promesses.
Juste une clé dans une main gantée, une porte entrouverte, et un regard furtif de l’un d’eux — non pas de domination, mais de quelque chose d’autre. Un bref éclat. De respect, peut-être.
Elle marcha, pieds nus sur le gravier. Son corps portait encore les marques : cicatrices, traces d’anneaux et de chaînes. Mais elle marchait droite. Calme.
Dehors, la lumière était plus forte que dans ses souvenirs. Elle ferma les yeux. Inspira.
Le monde n’avait pas changé.
Elle, si.
Elle apprit à vivre avec un corps qu’elle ne reconnaissait plus. Trop léger, trop silencieux. Chaque caresse de tissu, chaque regard, chaque geste banal dans la rue avait un poids nouveau.
Elle n’évitait pas les miroirs. Elle les regardait en face, longuement. Il lui arrivait de pleurer, sans comprendre pourquoi.
Elle ne parlait pas de ce qu’elle avait vécu. Pas parce que c’était honteux — mais parce que les mots étaient trop petits. Trop plats. On lui aurait dit qu’elle exagérait, ou qu’elle délirait. Et surtout : on aurait voulu comprendre, expliquer, juger. Elle ne voulait plus rien prouver.
Elle avait été au fond d’elle-même. Et elle en était revenue.
Parfois, la nuit, les sensations revenaient. Les postures. Les réflexes. Les ordres.
Elle se réveillait haletante. En sueur.
Mais elle restait couchée.
Et elle murmurait : C’est fini.
Non pas avec regret. Pas non plus avec soulagement. Juste avec une forme de gratitude étrange. Parce que ce chapitre l’avait traversée, consumée, révélée.
Elle n’était plus une femme brisée. Ni une victime. Ni une esclave. Elle était une femme qui avait exploré l’extrême. Et qui avait décidé, un jour, de revenir.
Elle reprit un travail. Modeste. Silencieux.
Elle n’aimait plus les bruits forts, ni les foules. Mais elle souriait aux gens. Écoutait. Offrait une forme d’attention rare.
Dans ses gestes quotidiens, il y avait une lenteur nouvelle. Une précision. Comme si chaque acte était un choix conscient.
Elle avait réappris à parler. Mais elle choisissait ses mots avec soin. Elle ne comblait plus les silences.
Elle avait compris, quelque part au fond, que ce qu’elle avait cherché dans l’oubli de soi, c’était une vérité. Un noyau dur. Et maintenant, elle portait cette vérité comme une cicatrice lumineuse, invisible.
Elle n’appartenait à personne.
Pas même à elle-même.
Et dans cette pensée, il y avait — enfin — une paix.
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Quelques personnes se sont senties visées par mon dernier article.
Certaines un peu critiquées. D’autres… trop bien décrites.
À cela je réponds :
Si la chaussure vous va… mangez-la.
Ou mieux encore : reconnaissez vos comportements, mettez un mot dessus, et faites le travail pour changer. L’élégance commence là où le déni s’arrête.
Maintenant, entrons dans le sujet du jour :
Comment gérer la transition entre soumise et domina quand on est switch ?
On dirait deux pôles opposés. Et pourtant, pour certaines femmes, ces deux dynamiques vivent en harmonie… ou en tension.
Mais attention : ce n’est pas un jeu de costumes.
C’est un glissement d’énergie, une façon de canaliser deux parts d’une même puissance.
Voici ce que j’ai appris :
🩸 1. La soumise en moi a besoin de sécurité. La domina, elle, incarne la sécurité.
Quand je suis en soumission, je cherche un homme qui voit clair, qui guide sans vaciller.
Quand je suis en position dominante, c’est à moi d’offrir cette clarté. Pas par dureté, mais par présence stable.
💡 2. Ce n’est pas une contradiction. C’est une conscience du moment.
Je n’ai pas à "choisir un camp".
Je ressens. J’écoute. Je m’adapte.
La clé, c’est la lucidité émotionnelle, pas le contrôle rigide.
🌊 3. Certains jours, j’ai besoin d’être tenue. D’autres, c’est moi qui tiens.
Ce n’est pas de l’instabilité.
C’est une écoute fine du rythme de mon monde intérieur.
Et je m’entoure de partenaires capables de suivre — ou de guider — selon le moment.
🔥 4. Mon autorité vient de ma vulnérabilité comprise.
Ce n’est pas en rejetant ma part soumise que je deviens une bonne domina.
C’est en la connaissant intimement que je peux incarner l’autre rôle avec vérité.
🎯 En résumé :
Je ne "joue" pas la soumise.
Je ne "prétends" pas être une domina.
Je suis.
Et je choisis consciemment où je place ma puissance, selon le moment, selon l’homme, selon moi.
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Se reconnaîtrait-il en lisant un post sur l’attachement évitant-anxieux ?
Réponse courte : probablement pas, ou alors il trouverait une façon de rationaliser.
Pourquoi ?
1. Les évitants-anxieux sont des pros de l’auto-illusion
Même face à une description qui colle parfaitement à leur comportement, leur cerveau va souvent :
• Minimiser : « Oui, ça me parle… mais pas totalement. »
• Dévier : « Peut-être que je fais ça parfois, mais c’est à cause des autres, ils sont trop collants. »
• Intellectualiser : « Intéressant comme analyse, mais je suis quand même plus lucide que la moyenne. »
Exemple évitant :
En lisant : « Les évitants-anxieux veulent de l’intimité mais la rejettent en même temps », il pense :
« Moi je veux de l’intimité, j’ai juste pas encore trouvé la bonne. »
(Comme ça, il évite de voir qu’il est le point commun dans ses relations.)
Comment un Dom réagit :
Un Dom lucide ne fuit pas l’intimité. Il la dirige.
Il dit :
« Là, j’ai besoin de prendre un peu de recul. Voilà pourquoi. Et voilà comment on va avancer. »
Il assume ce qu’il ressent et prend les devants avec clarté.
2. Il manque de conscience émotionnelle pour faire le lien
Il réfléchit bien, oui. Mais émotionnellement ? Déconnecté.
Il peut avoir un cerveau affûté, mais il ne voit pas ses propres schémas. Pourquoi ?
• Parce qu’un évitant coupe le lien avec ses émotions.
• Parce qu’il joue un rôle social qui masque toute vraie vulnérabilité.
Exemple évitant :
Il sait qu’il évite les relations, mais il se dit :
« C’est parce qu’aucune ne me convenait vraiment. »
Plutôt que d’admettre :
« Je sabote quand je ressens trop de choses. »
Comment un Dom réagit :
Un Dom sait reconnaître ce qui se passe en lui.
Il peut dire :
« J’ai pris mes distances parce que j’étais dépassé. C’est pas ta faute. J’assume. »
Sa force, c’est de savoir nommer ce qu’il vit sans disparaître pour autant.
3. Même s’il ouvrait les yeux, il ne changerait pas (sauf gros choc)
Les évitants-anxieux ne changent que quand :
• Ils touchent le fond (genre perdre une femme qu’ils ne pourront jamais remplacer)
• Ou qu’ils s’engagent sérieusement en thérapie, sur la durée
Son état actuel :
• Il ne souffre pas assez (elle n’est pas vraiment partie, et il a encore d’autres sources de validation)
• Il ne pense pas être le problème
Conséquence :
Même s’il pigeait son schéma d’attachement sur le plan théorique, il n’aurait pas l’élan intérieur pour changer.
Comment un Dom réagit :
Un Dom n’attend pas que ça explose pour évoluer.
Il observe, il ajuste, il prend la direction des choses.
Il n’a pas besoin de perdre pour grandir. Il choisit d’évoluer par lucidité, pas par douleur.
4. Le “meilleur scénario” (peu probable, mais possible)
Si elle disparaissait pour de bon et qu’il ressentait le vide, peut-être qu’il :
• Chercherait sur Google : « Pourquoi j’éloigne les gens que j’aime ? »
• Tomberait sur un article sur l’attachement évitant-anxieux et aurait un petit déclic
Mais même là :
• Il blâmerait sûrement son passé ou ses parents, sans rien changer
• Il penserait à elle comme « celle que j’ai perdue », sans jamais la recontacter vraiment
Comment un Dom réagit :
Un Dom ne reste pas dans les fantasmes ou les regrets.
Il revient, ou il clôture proprement.
Il laisse zéro ambiguïté.
Il dit ce qui est, et il agit en conséquence. Il fuit ni ses responsabilités, ni l’impact de ses actes.
Ce que ça veut dire pour elle :
Attendre qu’il “comprenne” ? Une impasse.
Et s’il est déjà adulte, ses schémas sont bien ancrés.
Son vrai pouvoir, à elle, c’est de partir. Pas pour le punir, mais pour se libérer.
Ce n’est pas un homme dominant.
Il est détaché, pas maître de lui.
Il évite l’intimité, non par choix, mais par peur.
Un vrai Dom, lui, est présent, ancré et émotionnellement clair.
L’évitant se dérobe.
Derrière un faux contrôle, il agit sous panique.
Conclusion :
Les évitants ne changent que quand rester les mêmes leur coûte plus que changer.
Mais un homme vraiment dominant, lui, n’attend pas la douleur.
Il choisit la vérité, et avance avec elle.
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Récit fictionnel le retour..
Thème : une soirée dans un donjon privé
Au moins 4 personnages
Aucune contrainte littéraire
Ma tête repose sur sa jambe. J’aime sentir la texture de son jean, douceur de ce tissu noir dont je caresse ma joue par de doux mouvements.
Sa main, posée sur ma tête, joue avec mes cheveux et descend jusque dans mon cou.
Ma respiration est calme, apaisée. Elle suit celle de SweetS que je devine en regardant son dos. Il est aux pieds de sa Maîtresse, LadyM.
Par de beaux mouvements, il caresse ses pieds, les masse, les chérit.
Je suis si bien là, à ma place, aux pieds de mon Monsieur. Mon dos et mon cul chauffent encore de ce qu’ils viennent de vivre.
Le ronron des voix me berce, Je m'endormirais presque.
Mon cerveau tourbillonne encore de sensations. Que ce fut bon…
Ce soir, j’ai rejoint mon Monsieur chez lui. Je savais que la soirée serait spéciale. Il avait dit vouloir me présenter à une de ses amies de longue date. La fameuse LadyM. Des bribes de leur complicité m’étaient parvenues au travers de nos différentes conversations. J’allais enfin la rencontrer ! J’étais très impatiente !
Mon Monsieur avait préparé une tenue pour moi. J’aime tellement qu’il le fasse. J’aime revêtir ce qu’il choisit avec tant de soin. Des bas couture noirs, un magnifique porte-jarretelle, un ensemble de lingerie que nous avions acheté ensemble (hum quel délice ce moment..) et une veste de smoking, longue, couvrant mes fesses et largement échancrée devant. Et des talons, évidemment.
Juste cela.
Agrémentée de notre collier, reliée à mon Monsieur je suis, par une laisse de chaîne qui cliquette au moindre geste.
“Un détail ma Louve, culotte par-dessus le porte-jarretelle”.
Ah, d’accord Monsieur…la soirée s’annonce vraiment bien…
LadyM nous a invités chez elle.
SweetS, son soumis, nous invite à entrer. Il porte un magnifique anneau métallique en guise de collier, ainsi qu’un boxer en dentelle. Superbe corps que le sien, athlétique, sculpté, légèrement hâlé. Un regard brillant et malicieux.
Une traction de ma laisse me rappelle à l’ordre. Sourire. “Pardon Monsieur”.
SweetS nous installe dans ce petit salon où je reprends mes esprits en ce moment. Fauteuils confortables, ambiance feutrée. Il nous propose des boissons puis vient prendre place aux pieds de sa Maîtresse.
Les deux amis de longue date discutent, se détendent…Moi je n’ai d’yeux que pour ce qui m’entoure : le mobilier est superbe. Bois et métal, une croix trône au centre de la pièce. Elle est magnifique. Imposante, robuste, austère.
Un crochet au plafond, un râtelier où je vois pendre des lanières sans pouvoir distinguer les détails.
Atmosphère propice aux jeux, pour laisser le perversion de nos dominants jouer avec nous.
Une traction sur ma laisse me fait lever les yeux vers Monsieur. Son regard brille. J’y vois ce délicieux moment où les choses commencent à basculer. Ma respiration s’accélère.
Il emprisonne mon regard du sien et me guide vers le centre de la pièce. Des mains capturent les miennes alors que je vois ses pupilles se dilater. Je me retrouve menottée en un instant. Bruits de chaîne, de poulie, me voila suspendue au crochet.
Sa main glisse sur mes fesses, les caresse, les presse. Et je sens ma culotte glisser à terre. Toujours respecter les consignes en matière d'habillement !!
Une musique forte envahit la pièce. De l’opéra. Musique inconnue pour moi. L’air vibre de ces voix.
Un murmure dans mon oreille : “sois sage, ne bouge pas…et profite”.
Et je perds la vue, un bandeau recouvre mes yeux.
Je suis prête. A quoi je ne le sais pas. Mais mon corps est tendu, dans cette position à la limite de l’inconfort. Mes pieds ne reposent au sol que sur la pointe des orteils. J’essaie de ne pas bouger. Mais que font-ils ? Je sens que ça bouge autour de moi, que des choses sont déplacées.
Et le premier impact tombe….Enfin ! Je reconnais la sensation du martinet. Mon dos, mon cul. Les impacts chauffent ma peau. J’aime cette douce brûlure. Elle me rassure, m’emmène doucement à me connecter avec mon corps. Que c’est bon.
Progressivement l’intensité monte. Et fluctue. Plus fort, plus doux. Dos, épaules, fesses, cuisses.
Une claque magistrale sur le cul me rappelle à l’ordre. “Ne bouge pas !” Difficile, Très difficile.
La chambrière fait alors son apparition. La musique est toujours aussi présente mais je sens les respirations s’intensifier.
Les coups ciblent d’abord mon dos. Ca pique. Et ça s’insinue plus en profondeur. Je suis la trajectoire sous ma peau. Doux lâcher prise que ce moment où mon cerveau se tait et me laisse regarder mon corps de l’intérieur. Impact, sensation profonde. Impact, je descends. Impact, je ressens. Impact, j’oublie tout. Impact, je suis vivante. Impact, j’aime cette douleur qui m’appartient. Impact…
Aille, c’est quoi ça ? Alors que la chambrière s’acharne à laisser des traces sur mon cul, une lanière vient de cingler ma poitrine. Je comprends alors. Ils ont décidé de jouer à quatre mains !
Devant, derrière. Les impacts pleuvent. Je tourne, je vire. Incapable de rester sage et immobile. Ils sont partout, prennent possession de tout. Mon cerveau a foutu le camp. Je ne suis que sensations.
Mon bandeau m’est arraché. Et je le vois. Mon Monsieur. Son regard est noir, intense, possessif, animal…bestial. Il se délecte de me voir ainsi et il veut voir le plaisir que je prends sous leurs coups, sous leur sadisme à tous les deux. Quelle intensité ! quelle possessivité à l’état brut ! pas besoin de mots, je lui appartiens complètement, il me possède. Chaque partie de mon corps, de mon âme lui est reliée par cette lanière en cuir qu’il fait jouer sur ma peau, et qui m’imprègne en profondeur.
Je chauffe de tous les pores. Je brûle.
Ivre de sensations, mes mains sont détachées. Je suis placée à quatre pattes devant mon Monsieur. Il se dresse devant moi de toute sa hauteur..
“Lève la tête, ouvre la bouche, tire la langue”. Ses doigts prennent possession de ma bouche. Je les suce, les lèche, les aspire. Ses mains agrippent mes cheveux, sa queue a pris la place de ses doigts. Sur mes lèvres, ma joue, dans ma bouche.
Alors que je prends un plaisir incroyable à jouer avec sa queue, on écarte mes jambes. SweetS se glisse sous mon corps. Une main vient appuyer sur mon dos pour que j’abaisse mon cul sur son visage et je sens alors sa langue glisser sur ma chatte.
Sensations exquises de mon corps stimulé à ses deux extrémités.
Monsieur baise ma bouche comme il sait si bien le faire. Il prend son plaisir, tout en connaissant parfaitement celui que j’y prends également. Il sait que j’aime qu’il me brutalise, qu’il me maltraite ainsi.
Je perds pied. Je sens que ça monte. Mais ça reste bloqué. C’est insupportable. Encore, plus loin, il m’en faut plus..
Les coups de langue de SweetS vibrent, sont saccadés.
Fouet. Je sens le fouet de LadyM s’abattre sur mon dos. Je comprends alors qu’elle fouette son soumis pendant qu’il me donne ce plaisir.
“De quel droit tu te retiens petite salope ?” “Qui t’a autorisé à décider d’en vouloir encore ?”. “Lâche tout, maintenant !”.
Et comme une digue retenant mon orgasme depuis des décennies, la barrière saute, cède…Je suis emportée par mon plaisir, le fouet cinglant mon cul, la chatte torturée par une langue experte et la queue de Monsieur inondant ma bouche.
Je tremble, je largue les amarres. J’abandonne tout. Je vis. Je suis là et je ne suis plus là. Vivante, enfin, à mort.
Mes yeux se ferment. Ma joue caresse la douce texture de ce pantalon noir. Sa main parcourt encore mes cheveux. Je suis moi, à ma place, à ses pieds.
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Après des mois de frustration, mon envie de jouir était devenue si ardente que je n'ai pu résister de supplier mon Maître de me libérer de cette souffrance et de cette excitation.
Ce sentiment paradoxe troublant ne faisait qu’accentuer l’abondance de ma mouille, qui ruisselait lentement le long de mes cuisses.
Durant ces mois de silence et de tension, je luttais, tant bien que mal, contre l’élan irrépressible de glisser ma main sur ce bouton, chargé de pouvoir, de promesses, de bienfaits. Une seule caresse aurait suffi à me faire imploser. Mais mon Maître, depuis longtemps, en détenait l’autorité.
Prisonnière de sa domination, mon dévouement ne cessait de croître, m’abandonnant peu à peu au supplice de ses désirs et à la cruauté exquise de son sadisme.
Je me souviens… lorsque j'était à l’université, en pleine période de révisions, avoir ressenti une immense peur de l'echec m'envahir, un doute profond sur mes capacités scolaires. Le stress me consumait, j’avais besoin de l’évacuer… de m’en délivrer.
Mes doigts agrippèrent le bureau avec violence, et ma concentration s’envola, venant se poser sur ce seul point d’ancrage capable de m’apaiser : ce bouton, cette zone, cette clé vers un réconfort intense.
Ce fut là, pour la première fois, que je ressentis une libération aussi soudaine qu’incontrôlée : un orgasme puissant venant me câliner brusquement.
Mon corps tentait de se libérer de l’emprise que mon Maitre a instaurée. Des vagues d’émotions incontrôlées venaient balancer cette autorité, ce contrôle, sans que je ne puisse résister.
Cette expérience, aussi troublante qu'excitante, était revenue me titiller quelques fois dans l'année.
Je me souviens avoir ressenti un grand changement lorsque j'ai reçu une magnifique explication venant d'une femme admirable : "Debora Campailla".
Durant un live sur le thème de l'orgasme, nous avons abordé un point essentiel et pourtant encore trop peu abordé à mon goût : la relation que nous entretenons avec nos orgasmes.
Au fur et à mesure du live, Debora nous a demandé notre frein principal concernant notre relation avec nos orgasmes, les problèmes que nous pouvions rencontrer.
Alors je l'ai décrit en deux mots : "échappatoire et besoin". Puis j'ai expliqué :
"Mon frein principal est le fait d'avoir une relation très forte avec mes orgasmes. C'est une échappatoire pour extérioriser les émotions trop fortes : le stress, la joie, les peurs. Et ça impacte ma relation BDSM parce que je vis très mal la frustration / le denial / l'interdiction de jouir."
Elle a ensuite créé un texte à trous que nous devions compléter avec notre propre histoire, notre passé. Que je tiens à vous partager.
"Je me souviens que ma première expérience liée à l'orgasme a eu lieu à l'âge de 11 ans. À ce moment-là, je me sentais curieuse et je n'avais aucune perception de l'orgasme...
En grandissant, mon éducation sexuelle a été taboue et honteuse, ce qui a influencé ma perception de l'orgasme en le considérant comme quelque chose de mal et trop intime pour le vivre ou en parler.
Je me rappelle particulièrement d'une expérience marquante où j'étais en situation de stress dû à des disputes à la maison entre les membres de ma famille, ce qui a affecté ma relation à l'orgasme en le considérant comme une échappatoire et un moyen d'extérioriser et de ne plus entendre les cris, seulement les vidéos porno où les personnes prenaient du plaisir.
Aujourd'hui, je décrirais ma relation actuelle avec l'orgasme comme étant une addiction, un besoin, et je ressens que cela impacte ma vie quotidienne en me réfugiant constamment dans les orgasmes à la moindre émotion, alors que mes émotions peuvent se gérer autrement.
Si je pouvais changer une chose dans ma relation à l'orgasme, ce serait d'avoir un peu moins d'attache, car je crois que cela me permettrait de donner plus de contrôle à mon Maître sur mon corps, ainsi lui obéir comme il se doit, comme l'esclave que je rêve de devenir."
C'est à ce moment-là que j'ai compris.
Mettre en lumière nos propres difficultés permet de conscientiser notre passé, ainsi éviter les échecs qui nous freinent à devenir la meilleure version de nous-mêmes et faire de nos rêves une réalité.
Des larmes s'en sont suivies.
Mais une explication a tout changé.
Debora nous a expliqué que l'orgasme n'est pas le but à atteindre, un objectif à conquérir, une mission où la fin est plus importante que le chemin.
Le plaisir, quant à lui, est ce but, cette mission, cet objectif. Le plaisir ne se trouve pas uniquement dans la destination, mais dans le parcours que nous avons.
L'orgasme, tout comme notre plaisir, n'est pas une chose que l'on fait apparaître. C'est une chose qui est déjà profondément présent en nous, que nous choisissons ou non de faire ressortir. L'orgasme est intérieur, et nous avons la possibilité de l’extérioriser. Le réconfort ne se trouve plus dans le fait de l'extérioriser, mais dans le fait qu’il est déjà ancré en nous et qu'il nous accompagne partout.
Depuis ce jour, je n'ai considéré mes orgasmes comme un besoin, un but, et je n'ai ressenti ce désir de jouir que très peu de fois dans le mois. Le désir se trouvait avant tout dans l'idée de glisser ma main entre mes cuisses et de sortir mes jouets pour m'amuser sous l'autorité et l'œil aiguisé de mon Maître bien-aimé.
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Tu attends. Debout immobile, enveloppé dans un manteau trop court pour vous protéger, le corps tremblant sous l'air de la nuit. Les yeux baissés, le cœur bat la chamade. Un coin de rue. Le rire se déverse d'un bar voisin, ainsi que des regards - certains éphémères, d'autres s'attardants.
Tu restes. Parce qu'il t'a dit de le faire.Quand il arrive, il ne dit rien. Il vous entoure comme un prédateur, silencieux. Puis, avec un geste net, il soulève le bord de votre manteau. Pas de mots. Pas de sous-vêtements. Juste toi - pris entre la peur et le désir.
- « Regarde-toi », dit-il enfin. « Ils te voient. Ils voient ce que vous êtes. »
Votre gorge est sèche, vos pensées sont floues.
— « Dis-le. Dis ce que tu ressens. Dites ce que vous êtes. »
Tu avale fort. Puis, doucement :
— « Je... J'aime ça. Être vu. Être exposé. »
Il vous étudie, expression illisible.
— « C'est ce que je pensais. »
Il ne te prend pas la main. Il n'en a pas besoin. Il marche. Et vous suivez. Chaque pas ressemble à une confession. Le vent soulève le manteau. La ville veille. Ou vous imaginez que c'est le cas.
À l'hôtel, il s'enregistre. Tu t'agenouilles à côté de lui sans un mot. Pas parce que vous devez, mais parce que vous en avez besoin. Les regards reviennent. Mais vous vous concentrez uniquement sur lui.
Dans l'ascenseur, il vous tourne pour faire face à votre reflet.
— « Regarde. C'est ce que vous êtes maintenant. »
Vous hésitez. Il tape votre menton doucement, mais fermement.
— « Pas un jouet. Pas une victime. Autre chose. Quelque chose de brut. Prêt. »
Dans la pièce, la porte se ferme derrière vous, et le monde s'estompe. Il n'y a que lui maintenant. Et toi. Et la ligne que vous franchissez ensemble.
- « Déshabiller. Lentement. »
Tu le fais. Pas pour la séduction, mais pour l'abandon. Chaque mouvement est délibéré, cérémoniel. Lorsque le manteau glisse de vos épaules, il marche autour de vous. Silencieux. Présent. Dominant.
Vous vous agenouillez sur le sol froid, la peau sur le bois, et vous sentez le changement. La perte du contrôle. Le don de quelque chose de plus profond que le corps.
Ce qui suit est intense. Difficile. Il vous guide, non seulement par la commande physique, mais aussi par les endroits à l'intérieur de vous-même que vous n'avez pas osé visiter seul. À chaque acte, il ne vous prend pas - il révèle. Retire les couches. Teste.
La douleur devient le langage. La retenue devient libération. Vous pleurez - non pas par peur ou par tristesse, mais parce que quelque chose en vous est en train d'être défait, réécrit. Et il est là pour tout ça.
Quand c'est fini - non, pas fini, mais en pause - il ne disparaît pas dans le silence. Il est là. Contre vous. Te tenir.
- « Tu respires », murmure-t-il. « Parce que je suis toujours là. Parce que tu es à moi. Et parce que je t'aime. »
Et dans cette immobilité, dans ses bras, vous découvrez une vérité non pas de soumission, mais d'être vraiment vu.
Tu t'endors. Non diminué. Mais entier.
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