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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Juliette ramena Charlotte à Paris une semaine avant la fin de septembre. Les anneaux qui trouaient le lobe droit de ses grandes lèvres ne la faisaient plus souffrir. Les marques imprimées par le cuir du fouet lors de la dernière séance étaient creusées dans sa chair comme par une gouge, hautes de plusieurs centimètres. Quand elle se présenta à la porte, Charlotte se sentait nerveuse. Sa Maîtresse lui avait ordonné de s'offrir à une inconnue rencontrée par hasard dans un restaurant chic. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette nouvelle épreuve inattendue, ses jambes tremblaient. Autour d'elle, tout s'écroulait. Elle ne savait plus. Aurait-elle la force et le courage d'appuyer sur le bouton de l'interphone et de se soumettre à tous les fantasmes d'une étrangère ? Seule face à elle-même, elle demeura là, interdite de longs instants. Tout se bousculait dans sa tête. Mais finalement, elle pensa à sa Maîtresse, à la force du lien qui les unissait, et surtout à la fierté qu'elle éprouverait quand tout serait fini. Elle réussit à contrôler les battements de son cœur et elle pressa sur le bouton. Aucune voix ne répondit, mais la porte s'ouvrit. Elle serait alors rendue plus profondément esclave. L'idée de voir son corps si fragile labouré par le fouet, son ventre étroit écartelé, la bouche pure hurlante, et des larmes collées à ses joues, avait été un mois plus tôt soulevée d'horreur, Charlotte en fut alors heureuse. Elle pénétra dans l'entrée de l'immeuble et se dirigea vers l'ascenseur. Il était encore temps de faire demi-tour, mais maintenant elle ne voulait plus reculer. Elle frappa à la porte, sans même sans apercevoir. Elle étouffait, mais l'inconnue apparût. Elle était réellement superbe et devait avoir son âge. Au comble de l'émotion et de l'excitation, elle commit sa première faute, en oubliant de se déshabiller. L'inconnue le fit pour elle, avec grâce et naturel. Puis, elle retira à son tour son jean et son chemisier. Son corps était absolument parfait. Charlotte se sentit soudainement complexée. Elle connaissait ses imperfections, que Juliette ne manquait pas de critiquer cruellement. Elle avait des petits seins. Et ses cheveux trop courts lui donnaient un air de garçon manqué. En se surprenant dans le reflet d'un miroir, elle se rassura. Son bronzage la rendait attirante mais timide et nue, les mains croisées sur le pubis, elle avait l'air d'une escort-girl inexpérimentée. L'inconnue se leva, se dirigea vers Charlotte en la fixant du regard. Arrivée près d'elle, brusquement elle la gifla violemment. La jeune fille surprise et épouvantée recula en un éclair, protégeant son visage rougi de ses deux mains. - Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait. - Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ? - Oui. - As-tu retiré ton plug anal ? - Oui - Parfait, prends celui-ci et enfonce le profondément dans ton cul, mais à sec, sans préparation. - Mais, c'est impossible. Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau. - Oui, oui ne vous énervez pas. Charlotte se rappela que Juliette, le premier soir de leur rencontre, avait fait de même. Après tout, elle n'était plus à elle. Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, l'inconnue n'avait pas choisi un gros. Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle. - OK viens t'asseoir près de moi. - Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir. Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras, tu t'y feras très vite. - Maintenant, allonge-toi sur le ventre sur le canapé. Ce qui d'elle était le moins à elle, était toujours son étroit pertuis qui pouvait si bien servir pour ainsi dire en dehors d'elle. Curieusement, la voix de l'inconnue était devenue plus chaleureuse, presque amicale. Elle massa les fesses de Charlotte avec application, en faisant glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta, ôta le plug anal et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Elle présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Charlotte releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. L'inconnue vida la moitié de l'huile dans le rectum déjà dilaté. "– Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal". Elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation. Elle lui ordonna de ne pas bouger en lui saisissant ses lèvres. L'inconnue enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Charlotte n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. Elle avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche. Elle était dans cet état second où l'appréhension des gestes de de l'inconnue conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnant, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Charlotte songeait que le mot s'ouvrir à quelqu'un, qui veut dire se confier, n'avait pour elle qu'un seul sens, littéral, physique, et d'ailleurs toujours absolu. Car elle s'ouvrait en effet de toutes les parts de son corps qui pouvaient l'être, il lui semblait que c'était sa raison d'être. Charlotte se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvement du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. L'inconnue le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Charlotte s'accouda et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face au canapé. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux, l'étrangère devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle pensait fort à sa Maîtresse qui l'encouragerait. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Charlotte avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus. La chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. Il allait de soi qu'elle serait ainsi à sa disposition, et se mettre nue devant cette femme qui ne lui parlait pas et la regardait à peine, lui semblait aussi redoutable que d'être mise à nue constamment devant les amies de Juliette. L'inconnue admirait Charlotte qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Elle enfonça l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Charlotte se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours cette vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Encore un nouveau gage d'abandon. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. Charlotte avait l’anus bien dilaté et l'inconnue écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier dévoilant la nudité des deux femmes. Il était étrange que Charlotte en fut comblée. Pourtant, elle l'était. Elle se prêtait ainsi à ce que l'inconnue lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus grande encore, lorsque la demande prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé. Le corps de Charlotte réclamait toujours davantage. Le devinant, l'inconnue ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel, pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de l'inconnue. Alors Charlotte, détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant. La décharge fut intense et l'orgasme violent. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. L'inconnue sentit la jouissance envahir Charlotte par saccades, les contactions la lancèrent en la fluidifiant jusqu'aux premières dorsales. Elle l'empala de son poignet encore plus profondément. Le cri résonna en écho. Les chairs résistèrent, s'insurgèrent puis craquèrent et se fendirent en obéissant. Charlotte desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. Elle hurla encore une fois. Sa jouissance fut si forte que son cœur battit à se rompre. Alors l'inconnue retira très lentement son poignet. Charlotte était suppliciée, extasiée, anéantie mais heureuse et détendue. Elle avait lâché prise sans aucune pudeur jusqu'aux limites de l'imaginable mais à aucun moment, elle s'était sentie menacée ni jugée. Au pays d'Éros, elle serait libre dorénavant. - Je suis donc anale ... soupira-t-elle. - En doutais-tu ? lui répondit l'inconnue. - Vous reverrais-je bientôt ? demanda Juliette. - Certainement, ma chérie. Mais n'oublie pas le plug anal, tu le porteras désormais en permanence. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Il y a des gens classes, comme je pensais. Il y a aussi deux actrices que je reconnais... et puis des esclaves pas maquillées et avec les cheveux tirés. On va s'asseoir dans un divan... Une servante vient aussitôt me proposer du champagne. Tandis que je bois avec classe, mon pote John me dit :
— J'ai pensé que tu aimerais assister à la punition de ces filles...
— Oh oui... m'sieur... euh... John. Ce sont des esclaves qui ont fait une bêtise ?
— Non, pas du tout. Ce sont des étudiantes en droit qui ont fait un site qui me dérange beaucoup. Alors, on va les punir un peu. Celles qui vont faire amende honorable en seront quittes pour avoir passé un moment un peu désagréable, celles qui persisteront dans leurs erreurs seront vendues comme esclaves à Djibouti ou à Shanghai... quelque part loin !
— Super idée...
Je vous rappelle que ces filles attaquent les États-Unis à travers notre Président... Il ajoute :
— On les fait mariner un peu. La peur de la punition à venir est déjà une punition.
Quel homme raffiné... C'est un peu cruel, mais ces filles l'ont cherché... Je réponds :
— Elles n'ont que ce qu'elles méritent.
— Viens, je voudrais te parler en privé...
Oui, mais moi, je voudrais voir les filles fouettées... mais bon, qu'elles attendent... On va au 3e et dernier étage de l'hôtel. Je me doute qu'il en veut à ma vertu... Mais tirer un coup, je ne dis jamais non, surtout au Président...
Je me déshabille. Quand je suis nue, je le regarde... Il est toujours habillé... Et alors, on fait quoi ? Il me dit :
— J'aimerais te voir avec un homme... Tu serais d'accord ?
— Ben... oui.
— J'arrive.
Il sort et revient quelques minutes plus tard avec un grand mec costaud. Belle gueule de baroudeur... mon genre. Le mec me sourit et se déshabille... Ouaouh ! Il est musclé et il a une bite qui vise déjà ma chatte. John me dit :
— Suce-le.
Alors là, c'est pas de refus. Je mets à genoux et je commence par embrasser le bout mouillé de sa bite, ses couilles gonflées, les poils du pubis... Le Président vient tout près regarder ma langue tourner autour du gland du costaud... Il me dit :
— Je voudrais te voir lui lécher le...
Il cale. Aller, accouche ! Je lui propose :
— Le trou du cul ?
— Ouiii...
Il est ravi. Je commence à le trouver un peu spécial, le Président. Le costaud se met à quatre pattes et moi, je me mets à genoux derrière lui. J'écarte ses fesses musclées avec les mains.
Il a une odeur de transpiration mélangée à un parfum pour homme, une odeur plaisante. Le Président vient à nouveau regarder de tout près. Tu veux du spectacle ? OK. Je lèche l'anus du gars et y enfonce même la langue. Il me dit :
— Tu aimes faire ça...
— Oui m'sieur... euh, oui John.
— Tu as envie de te faire baiser ?
— Grave : je suis toute mouillée.
— Allez-y.
Le costaud se relève et me prend dans ses bras aussi facilement que si j'étais une poupée Barbie. Il me met sur le lit, se couche sur moi et m'enfonce 25 cm de sexe dur dans la chatte. Aïe ! Non mais dis donc, toi, je ne connais même pas ton prénom ! Heureusement que je suis une fille accueillante. Je vois plus au moins le Président derrière le cul du gars observer nos sexes aller venir l'un dans l'autre. Je ferme les yeux pour mieux apprécier ce sexe violant ma chatte à grands coups de reins... Je gémis... et je dis les trucs que les filles disent quand elles se font tringler, genre :
— Ah oui... je te sens bien... c'est booonnn... plus foooort...
Je croise mes chevilles sur ses reins pour qu'il me pénètre encore plus profondément. Pas longtemps, car je sens mon vagin se crisper sur le sexe qui le transperce et...
— Oh ouiiii... je jouuuuis...
Ah putain de merde, c'est bon...
Quelques coups de reins de plus et mon baiseur jouit aussi, inondant ma chatte de son sperme... Il grogne un peu en jouissant. Je veux le garder en moi, mais il me dit à l'oreille :
— C'est au tour du Président...
Oh ! Il va me baiser ? Non, dès que le sexe de mon partenaire quitte mon vagin, le Président colle sa bouche et il aspire le sperme qui est en moi. Je me demande si tous les Présidents font ça ! Le Président de la 2e puissance mondiale suce ma chatte pleine de sperme. C'est un peu surprenant, non ? Si c'est le genre d'apéro qu'il aime, ça ne me dérange pas. Au contraire, je ne devrai pas me laver. Quand il a fini de boire son apéro à ma chatte, on se rassied... Le costaud va dans la salle de bain. Il y a un silence, faut que je trouve quelque chose à dire... Ah oui :
— J'ai adoré cette petite partie à trois, John.
— Moi aussi, ma chère Ashley, moi aussi. C'était un peu spécial.
— Non, non, ça me plaît.
— On pourrait dire que j'ai des goûts un peu... spéciaux...
— Vous savez, moi j'aime lécher Summer quand elle vient de faire pipi...
Je dis ça pour le rassurer. Il continue :
— Des méchantes langues disent que je suis gay...
Tu m'étonnes !!
— Alors... il faut que je trouve une femme très belle et aussi très compréhensive au sujet de mes goûts....
Il ne va quand même pas...
— Alors Ashley, veux-tu m'épouser ?
C'est rien, je vais me réveiller ! Figurez-vous que je rêve que le Président des USA veut m'épouser ! Dingue non ? Dans mon rêve, je réponds :
— Avec grand plaisir.
Si je ne rêve pas, c'est juste une farce, genre caméra cachée. Il me dit :
— On descend, je vais annoncer la nouvelle à nos amis.
Bien sûr. Je joue le jeu... Je remets ma robe transparente. En bas, Summer est là et elle discute avec Monsieur Sam. Le Président annonce :
— Une grande nouvelle, mes amis : Ashley et moi, nous allons nous marier.
Tout le monde vient nous féliciter... Je vais près de Summer et je lui dis tout bas :
— On se fout de moi, hein ?
— Non, il a besoin d'une épouse charismatique et qui, accessoirement, couche avec n'importe qui...
— Eh, tu exagères !
— Tu as oublié qu'on s'est rencontré au "House of Pussies".
— Pardon, mais, c'est que... je suis perdue... et... snif...
— Ah, ne te mets pas à pleurer ! Tu acceptes et si un jour tu en as marre, tu divorces et tu auras une énorme pension alimentaire.
Avec elle, c'est aussi simple que ça ! Je la regarde et elle me dit :
— Ferme la bouche !
Je la ferme... Je m'imagine à Paris reçue par la nouvelle Présidente... J'irai manger au sommet de la tour Eiffel et puis aux Folies Bergères.... Il y a deux choses que je veux garder : Summer et la maison de Malibu. Oui, Summer, c'est une addiction. Mon futur mari vient me dire :
— Ma chérie, si on châtiait ces petites garces ?
— Excellente idée, John.
Il m'appelle "ma chérie" ! Le Président !! Je commence à y croire un peu.
En ce qui concerne les filles, je regrette qu'elles soient bâillonnées... J'aime entendre les cris et les supplications des filles fouettées. Quatre gardes que je connais viennent se mettre derrière les filles, armés d'un fouet. Je les ai déjà vus à l'œuvre, ils sont très adroits. Le Président dit :
— Vingt coups, ensuite on leur demandera leurs impressions.
C'est pas beaucoup. Un signe de tête du Président et les trois lanières des fouets viennent claquer sur les fesses des filles. Elles font :
— Mmmffffmmmma !
Je sais ce que ça veut dire "Aaaaiiieee!!! Ça fait maaal..."
Elles sont aussi douillettes que des esclaves. Les quatre gardes ont dû répéter, car ils nous font quasiment un ballet : les fouets qui sifflent dans l'air, le bruit mat quand ils zèbrent les fesses des filles... les cris étouffés. C'est beau.
J'ai un petit problème : regarder les filles fouettées, ça m'excite, je vais mouiller ma robe transparente. Les gardes repeignent les fesses des filles en rouge... Le haut des cuisses, aussi. Je pense qu'elles vont faire "kaï kaï" quand elles vont s'asseoir, les prochains jours... Ils s'arrêtent ! Oh déjà ? Ils enlèvent les bâillons. Là, je les entends enfin pleurer et gémir... Quelles moules ! Quand elles sont calmées, mon fiancé... va devant elles. Il parle bas, comme quelqu'un qui est habitué à ce que tout le monde l'écoute avec attention. Il leur dit :
— Je trouve votre site très bien, mais pas la cause que vous défendez. Si vous êtes prête à travailler pour moi, vous aurez beaucoup d'avantages. Dans le cas contraire...
Les filles sont là, les fesses en l'air et bien rouges. Elles doivent relever la tête pour le voir... Une belle brune dit d'une petite voix enrouée :
— Nous irons en prison ?
— Non, vous serez vendue dans un bordel de Tombouctou.
Une blonde répond très vite :
— Moi, j'accepte Monsieur le Président,
À tour de rôle, les trois autres acceptent. Et voilà, on leur tape un peu sur les fesses et elles renient leurs idées ! On les détache et elles se mettent debout, les jambes tremblantes, les fesses et les yeux rouges. Faudrait les envoyer chez Madame Stone, là elles feraient vraiment connaissance avec le fouet. Le Président leur dit :
— Vous allez signer quelques papiers et on vous reconduira chez vous...
Elles bredouillent un truc du genre :
— Oui, Monsieur le Président...
Ensuite, on discute du mariage. On va s'asseoir avec Monsieur Sam, Madame Wolf et sa chérie, Sara, je crois. Il y a aussi un homme aux cheveux gris. Le Président me dit :
— Tu es décidée à devenir mon épouse ?
En fait, non, pas du tout, mais je veux devenir la Première Dame des États-Unis, alors je réponds :
— Absolument, cher John.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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La chambre, par le pâle clair de lune éclairée,
Elle soumise par l’art des cordes est entravée,
Sur le parquet en levrette, magnifique djembé.
Fessées suivi d’encourageant gémissements,
En silence, claqua plusieurs fois sèchement
Savoureux châtiments emplit de sensualité.
Sa lune pleine, rouge, excitée, brûlée de désir,
Effervescence, flots de liqueur, parfum de plaisir.
Et dans la clarté obscure, alanguie sur le sol,
Sans un mot, dénoue les nœuds et cajole....
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Quand j'étais plus jeune, je fantasmais déjà sur le fait d'être enfermée dans une cage. L'idée d'être complètement impuissante et à la merci de quelqu'un d'autre (homme ou femme, ca n'était à l'époque pas un paramètre pour moi) était terriblement excitant. En vieillissant, ce fantasme est devenu de plus en plus fréquents. Je ne peux pas m'empêcher d'avoir envie de la sensation d'être piégée et vulnérable, je le vis un peu dans mes relations de soumission (qui reste assez softs), mais nous ne disposons pas de cage, et pour être tout à fait franche, j'imagine mal proposer à mon compagnon d'acheter une cage...
Bref, en ce moment je m'interroge sur la raison pour laquelle l'idée d'être enfermée dans une cage m'excite tellement.
Il y a sans doute plusieurs raisons pour lesquelles l'idée d'être mise en cage m'excite. Tout d'abord, c'est le fait de savoir que je serais complètement impuissante et à la merci de quelqu'un d'autre. Cette personne aurait un contrôle total sur moi et pourrait faire ce qu'elle veut de moi. D'ailleurs, quand j'y réfléchis, je crois que l'expérience n'aurait de sens que si je vis ce fantasme avec une autre personne que mon conjoint.
Les cages étant généralement associées aux prisons ou aux animaux, l'idée d'y être enfermée sent le souffre. Etre une chienne ? Etre à la merci d'un maton ou d'une geôlière (ah l'uniforme....).
Enfin, il y a l'aspect physique de l'expérience. Lorsque vous êtes confiné dans un petit espace, votre corps devient plus conscient de ce qui l'entoure et chaque petit mouvement prend une nouvelle signification. Le moindre frôlement du bout des doigts peut vous donner des frissons. D'une certaine manière, le fait d'être enfermée doit exacerber tous vos sens, je crois, et rend le moindre geste (comme respirer) incroyablement érotique.
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Il me suffit de penser au bondage, sans même le vivre pour entrer dans une profonde excitation. Quand je pense au bondage, ce sont avant tout les sensations qui me font fantasmer. Les liens serrés autour de mes poignets, de mes chevilles ou qui enserrent ma poitrine. Je pense à ce que je ressent quand la corde rugueuse frotte contre ma peau nue. Le contrôle que mon Maître exerce sur moi. C'est cela que j'aime dans le bondage : les sensations.
J'aime me sentir attachée (j'aime aussi d'ailleurs être enchaînée). J'aime savoir que je ne suis pas libre de partir ou de faire ce que je veux. Je ne me qualifie pas comme une soumise mais je sens bien que la sensation de la contrainte m'excite terriblement. Je suis entièrement à la merci de mon partenaire quand il m'attache et cela me procure un sentiment intense de bien-être. C'est une sensation unique que je ne peux ressent en nulle autres circonstances.
Les liens qui me maintiennent captives me donnent l'impression d'être des plus vulnérable et cela ajoute une vraie dose d'excitation quand Il me possède sexuellement. Je sais que mon partenaire peut me faire ce qu'il veut, et cette idée me plaît beaucoup. C'est pour cette raison que je fantasme souvent sur le fait d'être pris au piège des cordes et de ne pas pouvoir m'échapper. Cela me fait mouiller terriblement.
Le bondage est une pratique sexuelle (oui, je le considère comme une pratique à part entière) qui me procure beaucoup de plaisir car elle est pour moi basée sur les sensations qui s'emparent de moi quand il m'encorde, quand les noeuds se font et se défont. J'aime tant cette sensation de me liée et à la merci de mon partenaire, car cela ajoute un frisson d'excitation à toutes nos pratiques (qui ne sont pas spécialement SM d'ailleurs). Il y a une charge cérébrale intense dans "mon bondage à moi"...
Mon amant n'est pas un grand spécialiste du bondage, et a découvert cette activité en même temps que moi. Un jour, je pense que je m'en remettrai à un maître shibari pour aller un peu plus loin, notamment explorer les sensations des suspensions. Mais cela ne se fera pas tant que je serai en couple, et comme je n'envisage pas un seul instant de le quitter ...
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Elle savait quelle demeurait transparente aux yeux de sa Maîtresse. Il est vrai qu'elle ne faisait rien pour attirer
son regard. Elle n'était pas du tout le genre de femmes à débarquer dans une soirée cheveux au vent, les seins
débordant d'un haut trop petit, moulée dans une jupe très sexy et arborant des chaussures à talons vertigineux.
Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à
espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de
ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout
était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention.
Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du
mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André
et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir
détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour
la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices.
L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long
de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse,
qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite
qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse
fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des
lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent
brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres
la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait,
sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se dégorgea. Dans un éclair, Charlotte se
vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain
l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint
la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre
totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir
contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme.
Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus
de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle
s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne.
Elle se rendait compte également que sa façon de tout prendre en charge effrayait la plupart des femmes, même
si Juliette ne s'en plaignait pas, bien au contraire, de son efficacité pendant les heures de bureau ou dans un lit.
On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine
de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite,
qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale.
Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit
avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues
assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve
en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on
l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle
crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair.
Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière,
à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement
sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup,
elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer
encore davantage pour la satisfaire. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans
doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait
appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui
commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi
par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait
être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités.
Juliette la sentait raidie sous sa langue. Elle allait la faire crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détente d'un seul
coup. Le plaisir qu'elle prenait à la voir haleter sous ses caresses, et ses yeux se fermer, à faire dresser la pointe
de ses seins sous ses dents, à s'enfoncer en elle en lui fouillant le ventre et les reins de ses mains, et la sentir se
resserrer autour de ses doigts en l'entendant gémir ou crier lui faisait tourner la tête. Charlotte le devinait-elle ?
Alors elle prit tout son temps, étalant longuement l'huile sur sa peau frémissante, glissant le long de ses reins, sur
ses hanches, ses fesses, qu'elle massa doucement, puis entre ses jambes. Longuement. Partout. Elle s'aventura
bientôt vers son sexe ouvert, écarta doucement la sa chair et introduisit alors deux doigts glissants d'huile en elle.
Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes
fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet
étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle.
Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante
douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse
d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été
contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu
qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'inconnu, avec un
raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à
tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son
entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux
doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme
fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé
avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse,
elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les
invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au
bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin
aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa
vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la
jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire.
Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à
laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu.
Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout
de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on
fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Très fâchés du manque d'obéissance de Léa, les Maîtres lui ont "offert" un stage de 2 mois, chez Maîtresse Sylvia.
Voilà Léa de retour à la maison, un changement énorme. La première chose que j'ai vu à sa descente de voiture, c'est qu'elle était rasée, la boule à zéro, ensuite, elle s'est mise nue comme c'est de coutume ici, ses fesses et ses cuisses étaient zébrées de coups de baguette, certaines étaient bien rouges d'autres virées au brun chocolat donc plus anciennes.
Sans que personne ne lui demande elle s'est mise à genoux face contre le sol, au pieds des Maîtres , on étaient tous sans voix, elle a du prendre cher durant ce stage...
À genoux dans un coin du salon je regardais son anus, gonflé, bien rouge, les lévres de sa vulve un peu bleu gris et jaune par endroits, Jérôme caressait sa fente avec la cravache, Léa sanglotait presque sans bruit, Sylvia la Maîtresse du stage lui claque les fesses avec sa ceinture en hurlant:
"Et maintenant tu dis quoi à tes Maîtres vénérés?"
Sans relever la tête, toute tremblante, Léa murmure:
"Pardon Maîtres je serais toujours obéissante à tout vos désirs" Un monstre coup de ceinture s'abat à nouveau sur ses fesses et Maîtresse Sylvia hurle:
"Parle plus fort tes Maîtres n'ont pas entendu"
Léa répète en pleurant et encore et encore, chaque fois la pointe de la ceinture laisse une marque, qui gonfle et devient cramoisie. Éric lui ordonne de relever la tête mais toujours à genoux, il lui met un collier en acier au cou, ferme à clé et ce que je n'aurais jamais imaginé, il casse la clé dans la serrure en disant sale pute tu crèveras avec ce collier et tu vas obéir, appliquer les règles de ton contrat à la lettre. À chaudes larmes Léa accepte de dire:
"Oui Maîtres je vous le jure"
Je suis tellement surprit de la situation, que je ne vois pas le geste de Jérôme, immédiatement la cravache s'abat sur moi pour me rappeler à l'ordre. Je dois mettre Léa à la chaine, au pied du lit des Maîtres.
Je suis encore tout retourné mais aussi un peu satisfait car j'en ai reçu beaucoup à cause de sa désobéissance chronique, j'imaginais pas un retour dans ces conditions...
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Tout à coup, je la regardais avec une sorte d'épouvante: ce qui s'était accompli dans cet être dont j'avais
tant envie m'apparaissait effroyable. Ce corps fragile, ses craintes, ses imaginations, c'était tout le bonheur
du monde à notre usage personnel. Son passé et le mien me faisaient peur. Mais ce qu'il y a de plus cruel
dans les sentiments violents, c'est qu'on y aime ce qu'on aime pas. On y adore jusqu'aux défauts, jusqu'aux
abominations, on s'y attache à ce qui fait de plus mal. Tout ce que je détestais en elle était sans prix pour moi.
Et mon seul bonheur, c'était le plaisir même; le mien, le sien, tous ces plaisirs du monde, camouflés la plupart
du temps sous de fugaces désirs, des amours passagères, des illusions d'un moment. Nous avions du mal à
parler. Il y avait un silence entre nous, fait de nos fautes et de nos remords. L'éclatement et l'évidence des
amours partagées, la simplicité qui jette les corps l'un vers les autres. Ce monde ambigu où les choses
s'interprètent et où nous leur prêtons un sens qui est rarement le sens, c'était l'insoutenable légèreté du
bonheur où le temps et l'espace n'étaient plus neutres dans l'amour et la soumission. Ils se chargeaient de nos
espoirs et de nos attentes, et le monde entier se couvrait ainsi d'un réseau de signes qui lui donnait un sens
parfois absurde. Si tout était là, la vérité serait à la portée de tous, à la merci d'un miracle, mais on ne peut
n'allumer que la moitié d'un soleil quand le feu est aux poudres. Qui n'a vu le monde changer, noircir ou fleurir
parce qu'une main ne touche plus la vôtre ou que des lèvres vous caressent ? Mais on est où nous le sommes,
on le fait de bonne foi. C'est tellement peu de choses que ce n'est rien. Mais on n'avoue jamais ces choses-là.
Elles se chamaillèrent un peu, tendrement ironiques, désireuses de faire durer encore cette exquise camaraderie
amoureuse qui retient les amants fougueux au bord du lit où ils s'affrontent alors avec une ardeur presque hostile.
Juliette passa ses bras autour du cou de Charlotte. Elle l'enlaça à contrecœur tandis qu'elle posait la tête contre
sa poitrine. Elle l'embrassa dans le cou et se serra contre elle. Glissant la main dans ses cheveux, elle posa ses
lèvres timidement sur sa joue puis sur sa bouche, l'effleurant délicatement avant de l'embrasser de plus en plus
passionnément. Involontairement, elle répondit à ses avances. Elle descendit lentement ses mains dans son dos,
et la plaqua contre elle. Debout sur la terrasse, assourdies par le bruit des vagues, elles se laissèrent gagner par
un désir grandissant. Charlotte s'écarta de Juliette, la prenant par la main, l'entraîna vers la chambre. Ensuite, elle
s'écarta d'elle. La lumière de l'aube inondait la pièce, jetant des ombres sur les murs. N'hésitant qu'une fraction de
seconde avant de se retourner vers elle, elle commença à se déshabiller. Charlotte fit un geste pour fermer la porte
de la chambre, mais elle secoua la tête. Elle voulait la voir, cette fois-ci, et elle voulait qu'elle la voit. Charlotte voulait
que Juliette sache qu'elle était avec elle et non avec une autre. Lentement, très lentement, elle ôta ses vêtements.
Son chemisier, son jean. Bientôt, elle fut nue. Elle ne la quittait pas des yeux, les lèvres légèrement entrouvertes.
Le soleil et le sel de la mer avaient hâler son corps. Il venait d'ailleurs, de l'océan. Il émergeait des eaux profondes,
tout luisant de ce sucre étrange cher à Hemingway. C'était la fleur du sel. Puis Juliette s'approcha de Charlotte et
posa ses mains sur ses seins, ses épaules, ses bras, la caressant doucement comme si elle voulait graver à jamais
dans sa mémoire le souvenir de sa peau. Elles firent l'amour fiévreusement, accrochées désespérément l'une à
l'autre, avec une passion comme elles n'en avaient jamais connue, toutes les deux douloureusement attentive au
plaisir de l'autre. Comme si elles eu avaient peur de ce que l'avenir leur réservait, elles se vouèrent à l'adoration de
leurs corps avec une intensité qui marquerait à jamais leur mémoire. Elles jouirent ensemble, Charlotte renversa
la tête en arrière et cria sans la moindre retenue. Puis assise sur le lit, la tête de Charlotte sur ses genoux, Juliette
lui caressa les cheveux, doucement, régulièrement, en écoutant sa respiration se faire de plus en plus profonde.
Elle sauta sur cette occasion de rien du tout pour briser l'engourdissement qui l'amollissait dans cette douce chaleur.
Soudain, les lèvres de Juliette exigèrent un maintenant plein d'abandon. La communion ne put être plus totale. Elle lui
prit la tête entre ses deux mains et lui entrouvrit la bouche pour l'embrasser. Si fort elle suffoqua qu'elle aurait glissé si
elle ne l'eût retenue. Elle ne comprit pas pourquoi un tel trouble, une telle angoisse lui serraient la gorge, car enfin, que
pouvait-elle avoir à redouter de Juliette qu'elle n'eût déjà éprouvé ? Elle la pria de se mettre à genoux, la regarda sans
un mot lui obéir. Elle avait l'habitude de son silence, comme elle avait l'habitude d'attendre les décisions de son plaisir.
Désormais la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité. Voilà d'où naissait l'étrange sécurité, mêlée
d'épouvante, à quoi elle sentait qu'elle s'abandonnait, et qu'elle avait pressenti sans la comprendre. Désormais, il n'y
aurait plus de rémission. Puis elle prit conscience soudain que ce qu'en fait elle attendait, dans ce silence, dans cette
lumière de l'aube, et ne s'avouait pas, c'est que Juliette lui fit signe et lui ordonnât de la caresser. Elle était au-dessus
d'elle, un pied et de part et d'autre de sa taille, et Charlotte voyait, dans le pont que formaient ses jambes brunes, les
lanières du martinet qu'elle tenait à la main. Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, elle gémit. Juliette passa de
la droite à la gauche, s'arrêta et reprit aussitôt. Elle se débattit de toutes ses forces. Elle ne voulait pas supplier, elle ne
voulait pas demander grâce. Mais Juliette entendait l'amener à merci. Charlotte aima le supplice pourvu qu'il fut long et
surtout cruel. La façon dont elle fut fouettée, comme la posture où elle avait été liée n'avaient pas non plus d'autre but.
Dans cette chaude pénombre où ne pénétrait aucun bruit, elle eut vite fait de perdre totalement le compte du temps.
Les gémissements de la jeune femme jaillirent maintenant assez forts et sous le coup de spasmes. Ce fut une plainte
continue qui ne trahissait pas une grande douleur, qui espérait même un paroxysme où le cri devenait sauvage et délirant.
Ces spasmes secouèrent tout le corps en se reproduisant de minute en minute, faisant craquer et se tendre le ventre et
les cuisses de Charlotte, chaque coup, le laissant exténué après chaque attaque. Juliette écouta ces appels étrangers
auxquels tout le corps de la jeune femme répondait. Elle était vide d'idées. Elle eut seulement conscience que bientôt le
soir allait tomber, qu'elle était seule avec Charlotte. L'allégresse se communiqua à sa vieille passion et elle songea à sa
solitude. Il lui sembla que c'était pour racheter quelque chose. Vivre pleinement sa sexualité, si l'on sort tant soit peu des
sentiers battus et sillonnés par les autres, est un luxe qui n'est pas accordé à tous. Cette misère sexuelle la confortait
dans son choix. Le masochisme est un art, une philosophie et un espace culturel. Il lui suffisait d'un psyché. Avec humilité,
elle se regarda dans le miroir, et songea qu'on ne pouvait lui apporter, si l'on ne pouvait en tirer de honte, lui offrir qu'un
parterre d'hortensia, parce que leurs pétales bleus lui rappelaient un soir d'été heureux à Sauzon à Belle île en Mer.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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X
C'était elle, je la reconnu tout de suite.
Assise sur le banc de la salle des pas perdus de la gare, elle était en train de lire un livre, peut être en russe ?
Elle m'attendait depuis un long moment déjà, car son train était arrivé depuis le milieu de l'après-midi, et je n'avais pu me libérer plus tôt. Quand nous avions pensé notre rencontre, elle avait dit que ça ne la gênait pas, et de fait, elle avait attendu, patiemment, dans ce lieu finalement assez sordide. Elle avait attendu pour moi.
Je m'arrêtais un petit moment pour l'observer de loin. C'était la première fois que je la voyais réellement. Jusqu'à présent, nos échanges avaient été épistolaires. Heureusement, si internet m'avait permis non seulement de discuter assez librement avec elle, tout en donnant le temps suffisant pour la réflexion, il m'avait permis aussi de voir ma future esclave grâce à sa webcam.
Elle s'était montrée à moi il y a plusieurs semaines de ça. Nue. Je lui avais demandé de s'éloigner un peu de la caméra, pour que je puisse avoir une vision globale de son corps, puis de se tourner, pour voir son cul. Elle m'avait obéit sans discussion, docilement.
Elle n'était pas belle.
Oh, elle n'était pas irrémédiablement laide, non, mais elle était devenue grosse, tout simplement. Elle m'avait envoyé des photos d'elle avant, et je l'avais vue belle. Oh, là encore, pas d'une beauté de mannequin vedette, non, mais d'une beauté réelle, et indiscutable.
"Je suis monstrueuse", avait-elle admis lorsque je lui avait dit mon impression la concernant. Son accent slave avait comme adouci cette terrible constatation. C'était pourtant vrai, et je n'avais pas menti pour la flatter. Cependant, j'avais vu au delà de cette apparence actuelle, et j'avais déjà dépassé ce problème : elle avait enflé jusqu'à devenir boudinée ? Eh bien elle allait perdre cette graisse superflue. C'était aussi simple que ça. Elle avait bien entendu accepté cette nécessité. Cela allait de soi.
Cette lucidité et ce volontarisme avaient été pour moi déterminants. Je savais que j'avais trouvé avec elle ce que j'attendais depuis de nombreuses années.
C'était d'ailleurs plutôt elle qui m'avait trouvé. Elle m'avait contacté après avoir lu le profil que j'avais réalisé sur un site d'annonces spécialisé, qu'elle fréquentait aussi. Ma première réponse avait dû être plutôt laconique. Son profil indiquait une Dominatrice Russe, rien qui soit de nature à m'intéresser.
Mais elle, elle était mûre pour changer, ce qu'elle m'expliqua, de même que je pus constater rapidement qu'elle avait une maîtrise remarquable du français. Je savais ce que je voulais et je l'avais écrit très clairement, sans ambiguïté ni coquetterie ridicule, elle était prête à l'être pour moi.
Quelques discussions m'en avaient convaincu. A ceci près que des discussions, fussent-elles intéressantes, cela restait du virtuel, c'est à dire de belles paroles pouvant déboucher à tout moment sur le néant. J'avais déjà donné, je n'en étais que plus circonspect, et j'allais à la gare en me préparant à une vaine attente.
Mais elle était donc bien là, après son long voyage. Pour moi. Sa présence concrétisait tout ce qui jusqu'à cet instant n'avait été que virtuel. Oui, elle allait devenir mon esclave.
J'étais excité. Non pas l'excitation sexuelle qui précède la consommation d'une fille, ni même l'attrait de la nouveauté, non, rien à voir. J'étais excité car je sentais au plus profond de moi qu'à ce moment là très précisément commençait quelque chose d'important, de fondamental.
Elle leva le nez de son livre et m'aperçut. Elle aussi me reconnut du premier coup d'oeil. Son visage s'éclaira, et je m'approchais d'elle. Nous échangeâmes quelques banalités, je l'entendis pour la première fois m'appeler "Monsieur" ainsi que je le lui avais demandé, et ainsi qu'elle ne devait jamais cesser de m'appeler par la suite, puis nous allâmes à ma voiture. Je portai son sac, mince bagage pour un voyage pourtant si décisif.
En cours de route, nous eûmes au début une discussion superficielle, mais détendue ; rien ne laissait transparaître dans son comportement ni dans le mien l'imminence d'un grand événement. Je jouissais de son bel accent slave qui transformait la moindre de ses phrases en la magnifiant.
Je jetais à la dérobée des regards sur ma passagère, lorsque la conduite m'en laissait l'occasion. Je pouvais voir un décolleté attrayant, mais sans vulgarité, s'ouvrir sur une poitrine que l'on devinait généreuse. Je voyais la jupe courte, mais pas trop, dévoiler la moitié de ses belles cuisses. J'aimais ce que je voyais. Elle avait bien retenu ce que j'avais dit de mes goûts : une apparence très proprette et sage. Une nouvelle fois je goûtais par avance le caractère sérieux de son engagement. Elle savait n'avoir pas de deuxième chance de faire une première bonne impression, et elle avait bien intégré les éléments que je lui avais donnés. Intelligente, vive d'esprit, cultivée ; la dominer, la rabaisser à un statut infra humain n'allait en être que plus jouissif.
Profitant d'un blanc dans la conversation, je lui demandai sans transition si elle savait ce qui l'attendait sous peu, lorsque nous arriverions chez moi.
Aussi calmement que moi, elle me répondit sans hésiter "oui Monsieur".
Pas besoin de plus de précision, nous nous comprenions. Elle s'acheminait donc tranquillement vers son destin. Elle allait devenir une chose sale entre mes mains, et elle attendait ce moment.
Enfin nous arrivâmes. Elle descendit de l'auto et jeta un regard circulaire. Elle sourit. Rien ne lui déplaisait dans ce qu'elle voyait. C'était important. La maison n'avait rien de très luxueux, bien au contraire. Je n'étais pas un modèle de rangement, et on eût pu dire sans exagérer que régnait aux abords de la porte d'entrée, dans la cour, un certain désordre.
J'ouvris la porte et la fis rentrer. Elle était chez moi, arrivée à destination. Un autre voyage allait pouvoir commencer, bien différent du premier. Il ne s'agissait plus de changer de lieu, mais de changer de personnalité. De devenir autre. Même plus "une autre", mais "autre", plus proche de l'objet que du sujet. D'une jeune femme intelligente, instruite, bien éduquée, il fallait faire une truie. MA truie. C'était entendu entre nous, tout avait été dit auparavant de mes projets la concernant, le plus clairement du monde, dans des termes sans équivoque.
Mon plaisir, ma satisfaction intellectuelle et sexuelle allait désormais être au centre de ses préoccupation, et elle allait s'investir littéralement corps et âme dans cette voie. J'étais immensément exigeant, et foncièrement egocentré, mais c'est justement ce qui l'avait amenée à moi. Je savais ce que je voulais et n'entendais pas revoir mes exigences à la baisse pour obtenir un quelconque lot de consolation. J'avais la médiocrité en horreur.
Elle entra donc dans la maison, dont je lui fis faire un tour rapide afin qu'elle en ait le plan en tête et afin de poser ses affaires dans la chambre. Elle me demanda comme une faveur d'aller se rafraîchir un peu dans la salle de bain, avant l'inspection qu'elle savait être imminente, après la signature du contrat qui allait nous lier tous les deux. Elle avait fait un très long voyage, et j'acceptai donc volontiers, car j'avais aussi pour exigence une propreté et une hygiène irréprochable.
Je l'attendais dans le salon, et elle apparu peu de temps après. Sa nervosité était maintenant perceptible, et de mon côté, j'étais toujours dans le même état d'excitation qu'à la gare, mais toujours bien maître de moi. Elle avisa sur la table du salon les attaches en cuir, et les différents ustensiles destinés à la travailler, soigneusement rangés, ostensiblement présentés à sa vue. Cette vision devait déjà commencer le processus que l'insertion de ces objets dans ses différents orifices ne devaient finalement que conclure.
Je pris les choses en main et lui demandai le résultat de son analyse sanguine relative au Sida, lui donnant de mon côté ma propre analyse. Elle me tendis rapidement une feuille que j'examinai. Elle m'indiqua les champs concernant le résultat, car je ne pouvait lire, le russe m'étant inconnu. Je pus comprendre tout de même clairement qu'elle était séronégative. Cette formalité expédiée, je l'invitai à venir s'asseoir à mes côté sur le divan pour prendre connaissance du contrat que j'avais préparé et qui devait régler assez précisément les règles, et limites de notre relation pour un moment, ledit contrat étant provisoire et devant être remplacé au plus vite par un contrat définitif.
Elle le lut avec attention et sérieux, comme je m'y attendais. Concernant un paragraphe, elle fit part de son désaccord quand au fait qu'elle devait accepter d'être utilisée par d'autres homme ou femmes, sous mon contrôle. Je lui répondis que c'était une exigence que j'avais, mais que le contrat étant provisoire, elle pouvait rayer ce paragraphe. Je fis de même dans mon exemplaire du contrat, puis nous signâmes en bas des documents.
Ce à quoi elle venait de donner son aval était ni plus ni moins que sa dégradation à l'état d'objet sexuel. Elle venait d'accepter de me donner son corps et son esprit.
Isolé des autres attaches, le collier de cuir noir était posé sur la petite table basse où étaient posés les contrats. Une fois ceux-ci signés, je rangeais mon exemplaire, et celle qui désormais était mon esclave rangea le sien. Je pris alors le collier et lui passai au cou, dans un geste cérémonieux. Elle retint ses cheveux de ses mains pour faciliter la fermeture du collier, sans que j'eusse besoin de le lui demander, signifiant une nouvelle fois par ce geste son consentement total à son asservissement. Je notais qu'elle était sous le coup d'une émotion intense. Dès que le collier fut autour de son cou, je saisis l'anneau qui y était attachée, pour bien lui faire sentir cette entrave autour du cou et sa signification.
Puis je lui intimai l'ordre de se déshabiller pour que l'inspection puisse commencer. Je m'assis confortablement sur le sofa et commençai à jouir du spectacle. Elle se déshabilla silencieusement, rapidement. Elle fut bientôt nue devant moi. Elle était plus jolie que je ne l'avait imaginé suite à sa présentation par webcam interposée. Oui, elle avait de la graisse superflue, mais l'ensemble de son corps n'était pas d'une laideur totale, bien au contraire. Il restait indubitablement dans cette grosse truie un peu de la belle femme qu'elle avait été.
Du bout de ma trique en bambou, je lui caressais les seins. Elle avait effectivement de gros seins assez beaux. Je pensais que j'aurais bien du plaisir à y répandre mon sperme...
Elle attendit ainsi, nue, debout devant moi, jusqu'à ce que je lui demande de tourner lentement sur elle-même pour que je puisse la voir sous toutes les coutures. Elle avait de belles jambes et un beau cul. Sa graisse ne formait pas de ces disgracieux bourrelets qui affligent même parfois des femme plus minces.
Son cul était vraiment beau. Je lui demandai d'ouvrir ses fesses et de se pencher pour me faire voir son anus. Elle s'exécuta. Son petit trou semblait serré, et n'avait jamais été utilisé. Un anus vierge, livré à mon plaisir, moi qui avais un penchant clair pour les intromissions anales !
J'étais sexuellement excité et il me vint à l'idée de voir si elle l'était aussi. Je la fis approcher, puis, après avoir glissé ma main droite le long de sa cuisse, je lui enfilai sans plus de cérémonie un doigt, puis deux, dans le vagin.
Elle était, bien sûr, déjà bien mouillée. Je n'avais certainement pas besoin de cette vérification, mais son caractère humiliant était nécessaire, presque d'usage lors d'une inspection.
J'observais avec dégoût maintenant qu'elle était plus proche de moi qu'elle n'était pas rasée, même au niveau de la vulve. Son sexe était recouvert de poils noirs et frisés cachant les détails de ses lèvres.
Je lui fis part de mon aversion pour les poils, et de ma volonté de les lui ôter, elle se contenta de répondre un "oui Monsieur" docile.
Je la fis donc allonger sur le sofa pour l'épiler ; elle écarta ses cuisses immédiatement, précédant mon ordre. Je pensais utiliser sa pince à épiler et lui arracher tous les poils un par un, mais malheureusement elle n'en avait pas dans ses affaires. J'allai chercher une pince que j'avais dans la salle de bain, mais après quelques tentatives infructueuses, je dû me rendre à l'évidence, jamais je n'arriverais à l'épiler, ladite pince étant de mauvaise qualité. Un moment, j'envisageai la possibilité d'aller dans un magasin pour en acheter une, mais j'écartai l'idée ; je ne voulais pas perdre de temps avant de consommer mon esclave.
Finalement, observant mon air contrarié, elle proposa d'aller se raser elle-même dans la salle de bain, chose que j'acceptai de bon coeur. Le rasage ne m'étant pas agréable, contrairement à l'épilation, je lui laissai de volontiers faire le travail.
Je voulais cette épilation douloureuse non seulement pour arriver à obtenir la fente lisse que j'affectionnais, mais aussi pour lui faire sentir par cette première souffrance, qu'elle devait endurer pour mon plaisir, qu'elle était à moi. Finalement, sa proposition montrait, par un autre biais, à quel point elle était déjà à moi. Non pas seulement soumise passivement à mes désirs, mais pensant la meilleure manière de me contenter.
Elle s'éclipsa donc rapidement à la salle de bain où je l'entendis s'affairer, avant de revenir non moins rapidement pendre sa place, devant moi, debout et offerte. Elle était lisse, et sa fente désormais dévoilée me plaisait.
J'allai jusqu'à la table et saisi mes deux godemichets. Je la mis en position, jambes écartées, bras le long du corps, puis sans attendre, je commençai à la limer avec le plus petit godemichet, vibrant, le plus dur, puis je passai au plus gros, au gland bien marqué. Je ne cessais de le retirer et de l'enfoncer de nouveau. Je le fis jusqu'à sentir la fatigue dans mon bras. Je lui ordonnai alors de s'allonger de nouveau, cuisses écartées, sur le sofa. J'enfournai quelques doigts dans sa chatte désormais bien mouillée et bien dilatée et commençai à la fouiller un peu, sans la quitter des yeux pour guetter sur son visage le moindre signe me permettant de mesurer l'effet de ce geste dans son psychisme.
J'étais là dans mon élément : j'utilisais salement le corps de mon esclave et je regardai son comportement. L'alliance du physique et du psychisme.
Elle ne me déçu pas, et se laissa faire docilement tout le long.
J'étais prêt à la pénétrer, et jouir de son corps avec mon sexe. J'ôtais donc mon pantalon et mon slip, puis je la mis en position, les mains tenant des mollets bien écartés, a demi allongée sur le coin du sofa.
Après avoir ajusté le gland à l'entré de sa vulve, je rentrai dedans d'un coup de rein. Je la sautai silencieusement pendant quelques minutes, jouissant du son de ses cris étouffés, et du bruit humide de sa chatte, puis ressorti. Dans un souffle, je lui demandai de préparer sa bouche. Elle se laissa glisser par terre, accroupie, adossée au sofa, et je l'embouchai sans plus de cérémonie.
Je retins mon éjaculation.
Reprenant la maîtrise de mon corps, je me rhabillait rapidement et lui demandai de se tenir debout, les bras en l'air, mains jointes derrière la nuque. "Je vais te punir", lui-dis-je seulement. Elle s'exécuta. Notre contrat stipulait que les marques ne devaient pas être permanentes. Ce n'était nullement une concession de ma part, car je n'avait aucune prédilection pour ce genre de sévices, appréciant surtout la douleur fugace engendrée de la torture à ses conséquences visuelles.
Saisissant ma trique, je commençai à la fouetter, ni trop mollement, ni trop violemment. Les coups marquaient sa peau claire de traînées rouges. Je commençais par le dos, puis descendit sur ses fesses que je grêlais tout spécialement de coups, faisant bien en sorte de répartir les coups des deux côtés. Je la fouettais aussi sur les cuisses avant de lui demander de se retourner pour que je lui fouette maintenant le côté le plus tendre.
Elle avait toujours étouffé ses cris, et elle fit de même lorsque je la torturai par devant. Seins, ventre cuisses, je lui fis sentir la badine partout. Puis je changeai d'outil et pris mon petit martinet à chien. N'étant plus exercé depuis longtemps, je fis en quelques sorte des gammes sur son cul. Je la fis ensuite s'allonger de nouveau sur le sofa, et commençai à lui fouetter la vulve. Quelques coups suffirent pour lui faire rougir la peau.
Je m'arrêtai là. Je la sentis soulagée, mais heureuse à la fois d'avoir été maltraitée ainsi.
Quand je lui annonçai que j'allais maintenant m'occuper de son trou du cul, elle ne dit encore une fois que "oui Monsieur", de sa voix douce et calme. Je lui expliquai rapidement que je ne pouvais concevoir de l'enculer sans l'avoir au préalable lavée soigneusement. De fait, son intestin allait devenir principalement un organe sexuel, et non plus digestif, du moins dans sa partie terminale. Elle acquiesça, et nous allâmes à la salle de bains. Au passage, je pris sur la table du salon la poire à lavement.
Arrivés dans la salle de bains, je la fis monter dans la baignoire, et la fis se pencher en avant bien cambrée afin de faciliter l'accès à son anus. Une fois en position, je lui montrai de près la poire à lavement, et lui en expliquait en détail le fonctionnement, montrant sur l'appareil la profondeur à laquelle j'allais l'insérer dans son rectum, précisant que j'allais utiliser du lubrifiant en quantité suffisante pour qu'elle ne saigne pas. Elle était visiblement nerveuse, mais elle ne fit une fois encore rien pour résister. Elle restait en position, attendant que l'eau remplisse le lavabo qui me servirait de réserve pour remplir la poire à lavement.
Elle avait vraiment un beau cul, et de belles jambes.
Je lui oins la rondelle, délicatement, puis positionnai l'extrémité de la poire à lavement contre son anus. Lentement, mais fermement, je lui enfonçai l'appareil. Une brève résistance se fit sentir, mais cela entra parfaitement. Il ne me restait plus qu'à appuyer sur le réservoir, et l'eau commença à remplir sa cavité rectale. Elle étouffa un cri lorsqu'elle sentit l'eau lui envahir les entrailles. J'avais volontairement choisi une température d'eau plus froide que la température rectale afin qu'elle sente bien son rectum se remplir. Je fis passer deux ou trois autres poires, en lui indiquant quand serrer l'anus pour garder l'eau à l'intérieur sans pour autant blesser la peau délicate du sphincter anal en serrant trop fort. Elle était bonne élève, très peu d'eau sortit. J'essuyais rapidement les quelques gouttes qui passaient tout de même.
Après un moment d'attente difficile pour elle, je l'autorisai à descendre de la baignoire pour se vider dans les toilettes. L'expulsion de l'eau se fit dans un bruit épouvantable. Elle avait tellement honte qu'elle me supplia de ne pas la regarder. Bien au contraire, bien sûr, je la regardant en souriant, se vider le cul, afin de mieux être remplie juste après.
De fait, je renouvelai le travail de remplissage trois ou quatre fois, remettant parfois du lubrifiant lorsque je le jugeai nécessaire.
A chaque fois, elle reprenait docilement la position, mais me suppliait d'arrêter. Ses supplications n'eurent d'autre effet que de m'exciter, aussi, lors même que je savais qu'elle était désormais parfaitement propre à l'intérieur du cul, je lui intimai l'ordre de remonter dans la baignoire, une nouvelle fois.
Elle s'exécuta naturellement, reprenant la position. Cette dernière fois, je lui passais au moins sept ou huit poires, jusqu'à ce que je jugeasse que c'était suffisant. Je lui dis alors de se redresser. Nue dans la baignoire, elle me faisait face. Je savais son rectum et une partie de son intestin remplis par l'eau que j'avais fait pénétrer quelques secondes auparavant. Aucune envie de me résister ne transparaissait sur son visage, elle endurait simplement, puisque telle était ma volonté.
Ainsi debout, j'avais ses seins devant moi, à hauteur des yeux. Ils étaient beaux, je mis mes mains dessus, et les écrasais avec un sourire de contentement. J'enfonçais mes doigts dans la chair molle, puis je relâchais un moment, elle se courba un peu mais elle ne cria pas. En approchant nos visages l'un de l'autre, je sentis à quel point elle aimait être traitée de la sorte.
Nous nous étions bien trouvés. Elle était mûre, parfaite à mon goût.
Je la laissai un moment encore debout dans la baignoire, face à moi, en lui torturant les seins. Parfois je pinçais les tétons, d'autres parties de ses seins.
D'une faible voix, elle me supplia de l'autoriser à aller se vider.
Il n'en fallait pas plus pour me faire jouir. En souriant, je lui refusais ce droit. Elle devait encore porter dans ses entrailles l'eau du lavement. Comme punition de son audace, je lui appuyai fort sur l'abdomen pendant une bonne minute, faisant travailler un peu plus l'eau dans ses boyaux.
Enfin, je lui accordai le droit de se vider. Elle resta longtemps sur le sièges des toilettes, afin de se vider le plus complètement possible.
Quand elle eut fini, je la saisis par le collier et la ramena au salon, toujours aussi nue, mais plus humiliée que quelques dizaines de minutes auparavant.
Elle s'allongea de nouveau sur le coin du divan. Jambes repliées, cuisses écartées, naturellement. Je la regardais encore une fois. Je contemplais un long moment ses orifices. Son anus était un peu rougi, mais encore peu marqué par les lavements répétés que je venais d'infliger à ma toute nouvelle esclave.
Son sexe était assez banal, comme je l'avais constaté auparavant, mais je notais avec un peu de dégoût que la graisse qui enlaidissait le corps de mon nouveau jouet faisait du pubis un bourrelet disgracieux. Je n'avais baisé qu'une seule autre femelle ayant le même problème, et j'en gardais un souvenir désagréable.
Je lui redis combien sa perte de poids devait devenir une priorité si elle voulait me contenter. Elle redit son acceptation de cette exigence.
Ses gros seins s'écrasaient de chaque côté de son torse, mais restaient jolis à voir. Joignant le geste au regard, j'entrepris de les malaxer, pour tâter leur fermeté, et la douceur de la peau et non pour lui faire mal, comme dans la baignoire un peu avant. C'était agréable, mais ce qui l'était plus encore, c'était le regard de la fille, déchue de sa dignité humaine, mais pourtant contente. Je lisais dans ses yeux lorsque je la tripotais combien elle se sentait bien à ce moment là de n'être plus qu'une chose. Elle n'eut nulle velléité de se défendre, pas un réflexe de retrait lorsque ma main empoigna sans douceur son sein droit, puis écrasa sans plus de douceur son autre sein.
Elle m'avait parlé très tôt dans notre conversation de son complexe concernant ses seins, sitôt qu'elle m'eut envoyé des photos où l'on pouvait voir clairement cette spécificité de son anatomie.
Très jeune, elle avait eu rapidement une grosse poitrine, et elle avait vu le regard des hommes se porter sur cette partie de son anatomie. Elle concevait un dégoût certain de ces regards sur sa poitrine, qui en disaient long sur la pensée des hommes qui la regardaient ainsi.
Bien des hommes sont attirés par les grosses poitrines. Un complexe maternel refoulé s'exprime souvent de cette manière. Je ne cachais pas à ma future esclave que ce n'était pas mon cas, au contraire. J'avais toujours eu du succès auprès de femmes plutôt richement dotées de ce côté là, sans pour autant que ce fut la conséquence d'une recherche spécifique en cette direction. N'ayant nul type physique favori, j'étais au contraire libre d'apprécier les diverses manières pour une femme d'être belle.
Mais donc celle qui était désormais mon esclave avait des gros seins. Je commençai sans tarder à imaginer les sévices que je pourrais infliger à cette femelle, les outils ad hoc à construire pour parvenir à la torturer le plus efficacement. En attendant, j'avais déjà bien commencé avec la trique en bambou.
Mes yeux revinrent sur son trou du cul. Il se contractait avec de petits spasmes... Je pris le tube de lubrifiant et d'un doigt, j'enduisis l'anus et un peu de son cul autour. Reprenant une noisette de gel, je la lui enfonçait au travers de l'anus. Je la préparai jusqu'au moment où je l'estimai prête. Nos regards se croisaient tout le long de cette préparation. La petite truie était parfaitement docile.
Je la mis en levrette sur le sofa et m'enduisis la verge de gel. Puis, saisissant ses hanches, je m'introduisis lentement au travers de l'anus, puis au delà, dans la douceur chaude de ses boyaux. Je lui intimai l'ordre de me regarder afin de pouvoir lire dans ses yeux l'effet que cette sodomie produisait sur elle. J'aimais ce que je lisais dans ses yeux : un peu de douleur peut-être, mais surtout du plaisir à être ainsi avilie, et d'être ainsi dégustée par son Maître. Elle laissa s'échapper des soupirs, mais ne dit rien. Je l'enculai moi aussi silencieusement, profitant du plaisir physique provoqué par les spasmes de son anus autour de mon sexe, de la douceur du rectum, mais aussi et surtout jouissant du plaisir intellectuel de l'avoir enculée pour la première fois, le jour où elle devenait ma truie.
Finalement, je répandis mon sperme dans ses intestins. L'idée en elle-même me faisait en quelque sorte jouir une seconde fois. Je me retirai de son cul sans tarder pour regarder le spectacle délicieux d'un anus béant, se refermant par à-coups... Je lui mis un doigt lorsqu'il fut refermé. Pour parachever son humiliation.
C'était fait, elle venait de prouver par ses actes qu'elle allait vraiment réaliser tout ce a quoi elle s'était engagée en signant le contrat de soumission.
"C'est fini pour cette fois", lui dis-je en guise de conclusion provisoire. "J'ai aimé te salir, c'était bien", ajoutai-je encore en guise de félicitations. Nous finîmes donc la séance, et la vie repris la dessus. Nous mangeâmes un bon dîner, et nous eûmes une très intéressante conversation. Mais dans cette vie "ordinaire", le vice avait posé a marque. Ma truie portait son collier en cuir, et elle était nue. Elle devait le porter en permanence lorsque nous étions à l'intérieur. Elle n'avait le droit de le retirer que lorsque nous allions dehors.
En ce cas, j'avais pour usage de mettre dans le rectum de mon esclave un anus piquet plus ou moins gros selon ses capacités anales. Il constituait un "collier symbolique", porté à l'insu de tous mais bien présent à chaque mouvement de celle qui le portait.
Cette pratique, j'entendais bien la continuer, mais eu égard à l'expérience totale de ma nouvelle esclave en matière anale, et ne voulant pas occasionner de lésions douloureuses et potentiellement infectantes, je m'en abstins.
Le soir venu, je lui montrai mon lit où elle allait pouvoir dormir. Bien sûr, nue, elle devait là aussi s'apprêter à me satisfaire complètement et sans restriction. Nulle consigne en ce sens ne fut nécessaire tant c'était évident.
Elle avait froid, mais pour bien dormir, il me fallait une chambre fraîche, elle eut donc à endurer de dormir au "royaume des glaces", comme elle en vint à appeler ma chambre par la suite avec beaucoup d'humour. Elle avait froid, mais elle accepta docilement cet état de chose.
J'aimais énormément cette docilité et cette résignation, et aussi le charmant accent slave qui embellissait ses paroles, son humour...
Avant de nous coucher, je lui retirais le collier de cuir qu'elle avait porté toute la journée, signe de sa nouvelle condition, et preuve de son abandon à ma volonté.
Je la baisais dans tous les sens ce soir là. Le plaisir était partagé. Je ne savais évidemment rien de son plaisir sexuel, et cela ne m'intéressait pas, j'avais été claire avec elle, et elle comprenait bien ce que je disais : si elle prenait du plaisir lorsque je l'utilisais, c'était bien sûr un plus, mais mon exigence ne concernait que MON propre plaisir.
Elle se sentait visiblement à sa place, dans son rôle, est c'est ce sentiment qui faisait qu'elle était bien.
Je m'éveillai doucement le lendemain matin. Elle était à mes côtés, déjà réveillée, mais attendant patiemment que je fasse de même. Je lui dis bonjour avec un sourire, puis, ayant une érection matinale, je décidai de la baiser. Je lui fis part de mon intention et docilement, elle acquiesça. Mise sur le flanc, j'ajustai rapidement mon gland sur sa vulve et d'un coup de rein, je la pénétrai. Je la baisais rapidement, en lui tripotant les seins. Je lui fourrai mon sperme en elle dans un ultime raidissement de plaisir.
J'aimais cette facilité à la prendre. Elle était mouillée, et je n'eus pas de difficulté pour entrer en elle, même sans préparation. Elle me donnait pleinement satisfaction. Elle était MA truie.
Cette relation est finie depuis de nombreuses années maintenant, sans que l'un ou l'autre nous l'ayons voulu. Les accidents de la vie nous ont séparés. Toutefois j'en garde un souvenir fort. Les images peu à peu s'estompent, il en va de tous les souvenirs, et c'est sans doute une des raisons qui m'a poussé à écrire ces lignes.
Un nouveau chapitre doit maintenant s'écrire, nécessairement différent du premier. Je suis désormais marié, ma femme me suit et me seconde désormais dans mon vice, quoique totalement novice.
C'est pour tous les deux désormais que nous recherchons celle ou celles qui pourront nous satisfaire.
La recherche est difficile, d'autant plus que nous sommes exigeants, toutefois nous sommes confiants. Si vous ressentez au fond de vous que vous recherchez à devenir la truie d'un couple vicieux, contactez-nous. Peut-être ne nous entendrons-nous pas finalement, mais sans faire le premier pas on n'arrive nulle part.
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Ses yeux, ce fut longtemps tout ce qu'elle connut d'elle. Beaucoup croient qu'elle fut séduite par sa
voix. Mais il a fallu longtemps pour qu'elle en entende le timbre et, déjà, tout était joué. En vérité,
c'est son regard qui l'a frappé au cœur. Quand un tel choc amoureux arrive, le temps est suspendu.
Bien ou mal, un corps finit toujours par réagir mais à forcer la repartie, on en amoindrit la valeur et
le sens. En aimant d'amour, on aime quelqu'un d'autre et même en faisant l'amour, on se donne. De
nature plus narcissique, l'amitié tolère l'égotisme, elle l'encourage. Car le climat tempéré de l'amitié
favorise l'éclosion du beau sentiment dont chacun renvoie à l'autre l'image délicieuse. Rien d'urticant,
rien de vénéneux dans ce jardin. La fleur bleue n'a pas d'épines. Complaisante plus que toute autre,
l'amitié amoureuse est un jeu de miroirs qui reproduisent à l'infini le meilleur profil de soi-même. Il
s'agit d'un accord, dont les orages de la passion ne risquent pas de troubler l'harmonie et, surtout,
d'un moyen de se contempler mieux que dans la solitude dont l'ombre portée obscurcit le jugement.
Charlotte entrait dans l'enfer. Elle ne le savait pas. Une miséricordieuse providence cachait l'avenir de
rencontres fortuites et de désespoirs où elle avançait. Elle avait repris ses habitudes. Les chagrins s'y
cachaient encore, tapis sous les souvenirs et sous les gestes quotidiens, mais le temps qui passait les
entourait d'un brouillard, les insensibilisait peu à peu. Elle avait mal mais elle pouvait vivre. Une existence
mélancolique où l'attente était remplacée par la résignation et les espérances par des reproches toujours
sanglants qu'elle ne pouvait cesser de s'adresser. Elle n'était pas encore descendue à ces profondeurs de
souffrances où de mystérieux rendez-vous lui avaient été donnés auxquels il lui fallait devoir se rendre. Il
lui semblait qu'elle aurait à souffrir. Mais les prémonitions sont toujours aisées après coup. Elle avait tant
de fois retourné dans sa tête tous ces monstrueux enchaînements. Un simple coup de téléphone. L'espoir
l'avait ressaisie d'un seul coup, l'avait enlevée, comme un paquet de mer, vers des hauteurs où elle flottait
avec un peu d'hébétude, d'où l'incrédulité n'était pas absente. La voix de Juliette avait été très sèche, froide.
Elle se répétait que le bonheur, ce n'était plus possible. Mais l'espérance était là pourtant. Ses vieux rêves
ne l'avaient pas abandonnée. Elle allait se jeter encore dans ses bras et le monde entier en serait transformé.
C'est cette fille innocente et belle si cruellement violentée par ses propres fantasmes que Juliette avait le
désir de protéger. Vient toujours un moment où les mères ressentent le désir douloureux et désespéré de
protéger à tout prix leurs adolescentes, comme s'il était en leur pouvoir de leur donner à vivre une autre vie.
On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce
qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces
incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à
qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait
de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espérant un jour,
qu'elle changerait. Juliette l'avait promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber
dans la routine. Charlotte n'aimait pas en discuter avec elle, parce qu'elle savait qu'elle ne lui disait pas la
vérité. Son travail était prenant, comme au temps de son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art
sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle
s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée, constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie
d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans
la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence
de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs,
des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs
inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient
manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage.
Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par
l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec
des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un
peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand
elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connues
en khâgne au lycée Louis-le-Grand et rencontrées par hasard sur la plage de Donnant à Belle île en Mer un soir d'été.
Elle n'avait pas changé. Elle avait à présent vingt-trois ans, elle venait de réussir comme moi l'agrégation de lettres
classiques. Elle avait également conservé un air juvénile, perpétuant son adolescence. Les visages en disent autant
que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil,
épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais
pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelée, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez elle.
Elle m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-elle dit, j'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que ce n'est pas une habitude.
Quand elle la vit s'avancer vers elle, elle eut un imperceptible mouvement de recul. Puis, sans y penser, elle lui tendit
la main. C'était une manière tout à la fois de s'en approcher et de se tenir à distance. Le contact de sa main chaude
la surprit et la fit revenir à elle. D'un coup, le rêve prenait une réalité et la femme à laquelle elle songeait cessait de
d'être une pure apparence pour devenir un corps et promettre le plaisir. Elles venaient de quitter une vie qu'elles ne
vivraient jamais plus. Celle pendant laquelle elles ne s'étaient pas connues. Elles furent ainsi frappées par l'amour.
Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable.
Il pleuvait. Mes cheveux étaient mouillés, elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main,
m'a attirée à elle. Je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée,
depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe,
mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais
froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener
dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est
revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses,
en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé
que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir
longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer
un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait
couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je
n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait.
Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine,
d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir.
Elle fut si heureuse que tout ce qu'elle vit, rendit encore plus séduisante la femme impétueuse. Elle aimait son regard
couleur d'aveline, l'épi de cheveux noir de jais sur le coin de son front. Elle aimait sa gêne et son malaise car elle y
lut la confirmation qu'elle était aussi fortement attirée par elle. Très hardie dans l'intimité, elle parvint à tout lui céder.
Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller.
J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais
je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds
un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À
cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue
absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux
aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre
chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses.
C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous
pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle
avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un
inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour
voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne
pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves.
La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter.
Charlotte comprit en cet instant qu'elle ne cesserait plus de désirer Juliette et que cet assouvissement, dont elle s'était
passée pendant si longtemps, lui deviendrait dès lors aussi nécessaire que l'air qu'on respire, le silence qu'on entend.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir
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...
L'après-midi était loin d'être terminée. L'acte 2 était à la hauteur du premier, et qui l'eût cru, encore plus intense.
Maîtresse X m'a installé sur sa table de torture en m'attachant les pieds.
Elle m'a mis un bandeau sur les yeux. À présent seul mes autres sens percevaient ce qui se passait.
Elle m'a d'abord laissé seul un moment.
A travers la porte entrouverte j'entendais un liquide couler, des froissements de tissu...
Que pouvait elle bien faire ? Quelle surprise me préparait-elle ? J'étais fébrile, ma peau frissonnait, peut-être le fait d'être nu sans bouger, peut-être une appréhension de la suite de l'après-midi. Et toujours cette musique d'ambiance avec la voix de la chanteuse de plus en plus sensuelle.
Lorsque Maîtresse X est revenue elle a repris contact avec ma peau à travers une douce caresse.
Elle a posé sur ma bouche sa petite culotte, son parfum était délicat et envoûtant.
Puis j'ai senti quelque chose de froid, elle m'aspergeait d'un liquide. Elle n'a épargné aucune partie de mon corps, tétons, aisselles, ventre, cuisse, plante des pieds, sexe... J'ai su plus tard qu'elle me baptisait de son ADN. Comment ne pas lui appartenir ?
À un moment elle a pris mon doigt et l'a dirigé vers sa vulve. Le contact était soyeux, chaud, humide, du velours le long duquel mon doigt glissait au rythme de la voix de la chanteuse qui se faisait de plus en plus langoureuse.
Et puis elle s'est introduite en moi, a exploré mes entrailles. Je ne sais pas avec quel objet, mes yeux étaient toujours bandés.
De temps en temps ma queue et mes boules recevaient avec délectation ses coups de martinet.
Elle s'amusait avec mon intimité, tantôt des claques, tantôt elle y déversait un trop plein de cire chaude...
Maîtresse X est une femme vénérable, une reine qui s'amuse, donne et reçoit du plaisir...
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Madame Stone se tourne vers moi. J'ai un petit mouvement de recul. Elle me dit :
— Vous voyez, pour que la punition soit efficace, il ne faut pas se dépêcher. La douleur met un moment à se répandre et puis il y a l'appréhension des coups à venir...
Elle en parle avec gourmandise. Pas de doutes, elle adore faire ça.
— On continue, Moucheron ?
— Ouiii, Madame.
Moucheron est toujours les fesses en l'air, tremblante et gémissante. Le fouet claque deux fois de plus sur ses fesses déjà bien rouges. Là, elle reconnaît qu'elle est une voleuse, ce qui est sûrement faux. Deux coups de plus et ses fesses s'ornent de nouvelles bandes du plus joli effet. Moucheron dit qu'elle mérite ces deux coups parce qu'elle suçait la bite de son frère et de son père. Oh ! Ça plaît à Madame Stone, ça. Elle lui dit :
— Tu aimais faire ça ?
— Oui Madame, j'aimais les sucer et leur lécher le cul...
— Bon, la punition est terminée... À condition que tu me remercies comme il faut.
Moucheron se jette aux pieds de Madame Sone et couvre ses chevilles de baisers en la remerciant de l'avoir fouettée. Aucune fierté, ces esclaves. Madame Stone dit :
— Remettez-vous toutes au travail, sauf Banane. Tu viens avec moi.
— Oui Madame
J'ai l'impression que Banane va se retrouver entre les cuisses de Madame Stone dans peu de temps. Je lui dis :
— Je voudrais garder Moucheron, le temps de faire un selfie.
Elle fait un geste, genre "rien à foutre". Elle est vraiment désinvolte avec moi. Je réglerai ça plus tard. Moucheron vient se mettre à côté de moi, elle a peur. Je lui dis :
— Montre tes fesses, je vais faire un selfie.
Je m'assieds et je mets mon visage à côté de ses fesses toutes rouges. Je fais quelques photos, pour le site de Sandra Mae. Je mets la main sur ses fesses, elles sont brûlantes, c'est mignon. Je lui demande :
— Quelle est la fille qui lèche le mieux ?
— Je crois que c'est Poussière, Maîtresse.
Oui, je pense à Madame Stone qui s'envoie en l'air sous la langue de Banane et pourquoi pas moi ? Je lui dis :
— Va la chercher.
— Oui Maîtresse.
Poussière arrive bientôt. C'est une jolie Hispanique. Je lui dis :
— Suis-moi.
— Oui, Maîtresse.
On va sur la terrasse. Toujours nue, je m'assieds dans un des fauteuils et pose un pied sur le bord de la table. Je lui dis :
— Déshabille-toi !
Quand elle est nue, je lui montre ma chatte du doigt. Poussière se met aussitôt à genoux entre mes jambes et elle couvre ma chatte de baisers...
Je crie :
— Une fille, sur la terrasse.
Une fille arrive aussitôt, je ne me souviens pas de son nom. Je lui dis :
— Café.
— Oui Maîtresse...
Oooh ! J'ai l'impression que la langue de la fille me caresse le nombril... de l'intérieur, tellement elle va loin. C'est cool, la vie ici. Même pour les esclaves ! Prenez Poussière : elle a le grand honneur de me lécher la chatte. Des millions de spectateurs de Cléopâtre rêvent d'être à sa place. Bon, il y a Madame Stone et le fouet, mais ils sont spécialement étudiés pour ne pas blesser. Je crois que les esclaves font beaucoup de cinéma... Poussière se démène et je m'apprête à larguer les amarres et à voguer vers une mer de félicité, quand Summer arrive essoufflée et en sueur. Elle me dit :
— Viens avec moi.
— Mais...
— Je dois répéter ?
Je repousse Poussière, je me lève et je suis Summer. On va dans "sa chambre". Là, elle enlève son short en jean en disant :
— Ce truc est trop étroit ou alors j'ai grossi. L'entrejambe n'a pas arrêté de me masturber pendant que je courais.
Elle se couche sur le lit, les jambes écartées, sa chatte humide bâille un peu parmi les poils noirs. Pas besoin d'un dessin je me transforme en Poussière et je lèche sa chatte aux senteurs marines puissantes après le jogging et avant la douche. J'ai l'habitude et j'aime bien, même si aujourd'hui, c'est fort... Je la lèche, suce ses grandes lèvres, enfonce ma langue dans son vagin et son anus. Elle me donne une claque sur la tête en disant :
— Pas de fantaisies, clito !
Je le suce doucement tout en le léchant et quelques minutes plus tard, elle serre ma tête entre ses cuisses et jouit... Quand elle les desserre, je dois avoir les oreilles toutes rouges. Elle me dit :
— Tu ne vas pas passer ton temps à te faire lécher par toute les esclaves, tu as des scénarios à lire. Demain, jogging à 8 h.
C'est un comble, je dois la lécher et elle, elle m'empêche de jouir. Elle doit voir que je râle, ce qu'elle ne supporte pas. Et, évidemment, c'est là une nouvelle occasion de me montrer quelle est ma place. Elle me prend par la nuque, on est à nouveau les yeux dans les yeux, je les baisse, tandis qu'elle me dit :
— D'ailleurs, je veux que tu me demandes la permission pour jouir... Et puis, va te laver le visage, tu sens la chatte pire qu'un congrès de gouines !
Je vous rappelle qu'elle est armée et qu'avec elle, je ne crains rien.... cela vaut bien quelques humiliations. Ce qu'elle veut, c'est me contrôler. Elle est payée par Sam pour s'occuper de moi et elle fait bien son job, voire trop bien. D'un autre côté, je suis contente qu'elle me demande de la lécher, plutôt que la première esclave venue...
***
Je deviens célèbre. Je suis interviewée par différentes chaînes de télé et j'ai de plus en plus de fans. Summer me fait lire, enfin parcourir, un scénario par jour... Je dois dire que ma vie ici me plaît. Tous les jours, j'assiste à la punition de la servante qui a démérité, puis je me fais lécher par une des huit filles... Pas celle qui vient d'être fouettée : je n'ai pas envie qu'une fille en larme et avec le nez qui coule le fourre dans ma chatte.
L'après-midi, je fais des courses avec Summer, on va à la plage et on rejoint souvent nos amis à Venice. Les gens me reconnaissent et font des selfies...
Cependant, Monsieur Sam s'impatiente. Il nous a convoqués dans son bureau, la semaine prochaine.
***
Ce midi, Summer a un message et elle me dit :
— Ce soir tu es invitée à une soirée à l'hôtel du "Slave Paradise."
— On va à quelle heure ?
— Je ne suis pas invitée...
— Alors, j'y vais pas.
Soupir exaspéré de Summer qui me dit :
— Monsieur Sam insiste. Il y aura des gens importants qui veulent te rencontrer.
Je ne réponds pas... elle ajoute :
— Je te conduis jusqu'à l'hôtel... et je viens te rechercher.
Je soupire et réponds :
— Bon, d'accord.
L'après-midi, on m'apporte la robe que je dois mettre. C'est une robe blanche tellement transparente qu'on pourrait lire ce qui est écrit sur l'étiquette de ma culotte... si j'en avais une.
Vers 20 h, on est dans le parking du Slave Paradise. On embrasse les gardes qu'on connaît. En chemin vers l'hôtel qui est au bord de la mer, je me colle à Summer. J'ai pas envie d'aller seule. L'hôtel est très éclairé. Il y a des servantes en uniforme un peu partout. Venant d'un salon, on entend de la musique, des rires... Je dis à nouveau :
— J'y vais pas sans toi.
Elle ne râle pas, mais elle s'éloigne et téléphone. Je suis assise dans un canapé, les bras croisés en mode "J'irai pas". C'est vrai quoi, je suis une vedette et j'ai besoin de ma garde du corps... Je lui dis :
— Ils vont t'inviter et...
Et là, un homme entre dans la pièce. Il est... quelconque... Il s'approche de moi, je me lève et il prend mes mains dans les siennes en disant :
— Ravi de vous rencontrer, Mademoiselle Stirland.
Il me baise la main.
Alors ça, c'est la première fois, pas qu'on me baise, mais qu'on me baise la main. Je réponds :
— Je suis ravie aussi... mais...
Je le connais ! Je lui dis :
— Vous êtes... euh... un sosie ?
Il rit et répond :
— Non, non, je suis le vrai.
— Désolée, Monsieur le Président, je m'attendais si peu....
— J'ai vu votre film et je vous ai trouvée sublime... J'ai eu envie de vous rencontrer pour vous baiser... la main.
— La main et le reste, si vous le désirez, Monsieur le Président.
Il rit. Vous vous rendez compte : je fais rire le Président des États-Unis, l'homme le plus puissant du monde... après le Président Chinois, bien sûr.
Il s'éloigne un peu de moi pour me regarder et dit :
— Tu es ravissante. Tourne...
Je prends des poses de pin up de dos et de face. Il ajoute :
— Tu es d'accord pour m'accompagner à cette soirée. ?
— Je vous suivrais jusqu'au bout de monde Monsieur le Président.
Il rit à nouveau. Je lui dis :
— C'est que je ne suis pas très habituée aux mondanités. Je suis née à la campagne...
— Je sais, tu es née et tu as vécu à Notasulga, tu es très intéressée par les esclaves, tu as envie de devenir une star ou alors d'épouser un homme riche et de vivre dans une grande maison coloniale avec beaucoup d'esclaves... Ah oui, et tu as la trouille dès que tu es loin de Summer...
Je le regarde, bouche bée et les yeux ronds. Summer me dirait : ferme la bouche, Ashley. Il est devin ou alors la CIA surveille mes moindres faits et gestes. Il me dit :
— Viens...
Il me prend par le bras, une servante nous ouvre la porte et je fais mon entrée dans une robe transparente qui doit venir d'un sex-shop, mais je suis au bras du Président des États-Unis.
Quand j'entre dans la pièce, tout le monde nous regarde. C'est intimidant sauf si on est au bras du Président. À moins que... je me tourne vers lui en disant tout bas :
— C'est sûr que vous... êtes bien le Président ?
— Mais, oui, Ashley. Tu veux voir le drapeau américain qui est tatoué sur mes fesses ?
Il rit... moi aussi. On est amis !
Dans la pièce, la première chose que je vois, ce sont quatre derrières de filles. Elles sont attachées sur une structure composée de deux barres asymétriques. Une haute sur laquelle elles sont appuyées et une très près du sol pour attacher leurs poignets. Elles sont bâillonnées au moyen d'une balle dans la bouche, un accessoire pour le bondage. Les filles sont nues et elles ne ressemblent pas à des esclaves, car elles sont bien coiffées et maquillées. Je fais un gros effort pour détacher mes yeux de ce spectacle. Je regarde les gens, Monsieur Sam vient à ma rencontre en disant :
— Bienvenue Ashley. Notre Président avait très envie de te rencontrer.
Je l'embrase et réponds :
— Oui... euh... moi aussi...
N'importe quoi, Ashley ! Mais, bon, je n'ai pas l'habitude des mondanités. Madame Wolf est là avec sa bête copine, Sara, je crois.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Après mon cucufiage je suis allé voir un ami facteur et je lui est expliquer mon cucufiage par ma femme 🚺 la mère de mes enfants et que je me suis séparé d'elle choses normale
Il m'a répondu que lui aussi mais pour une raison que sa femme a appris qu'il était homosexuel la je lui est posé la question pourquoi il était devenu homosexuel et il m'a répondu que d'enculer un homme lui procurer des plaisirs plus intense qu'avec les femmes
Il m'a poser la question si j'avais déjà fait l'amour avec un mec et que je n'avais aucune expérience et que je ne savais pas faire avec les mecs
Il c'est mis nu et j'ai découvert son sexe il était énorme, il s'est mis à bander sa bite gonfler énormément la il a commencé à me caressait sur mes vêtements et je commençais moi-même à bander
Nous sommes allés dans sa chambre et à tour je me suis mis nu, il m'a allongé sur le lit entre ses mains il a pris ma tête et la diriger vers son sexe pour que je le suce, j'ai ouvert en grand ma bouche pour qu'il puisse mettre sa queue dedans, il fessais des va et viens violant j'avais mal à la gorge je ne pouvais plus respirer et je m'étouffer
La il m'a fait mettre sur le côté avec une jambe en l'air et avec ses doigts ma introduit dans l'anus un produit lubrifiant, il m'a bien fouiller l'anus pour bien qu'il soit lubrifié
D'un seul coup j'ai ressenti comme une énorme déchirure dans l'anus il venait de me pénétrais, il me donner de grands coups de butoirs, il était puissant et résistant tout mon corps trembler,je transpirer, j'avais beaucoup mal avec son sexe qui rentrait très profondément dans mon intérieur
Les larmes me sont montée aux par souffrance que son sexe m'imposer et d'un seul coup j'ai senti comme une énorme vague toute chaude m'envahit mes entrailles comme un énorme tsunami qui déferlé dans toutes mes entrailles
Au bout de 30 minutes à subir les coups de butoirs il s'est retiré de mon anus et la j'ai senti sa semences toute chaude coulé entre mes cuisses
Il m'a fait mettre à genoux et avec la langue m'a tout nettoyer sa bouche était bien remplie de son sperme la il m'a embrasser 💋 sur la bouche 🤑 pour que je puisse goûter à son sperme
J'avais vraiment mal à mon anus mais j'ai trouvé un réel plaisir, nous nous sommes vu pendant 1 ans après il a été muté pour son homosexualité
Aujourd'hui je ne regrette rien si je devais recommencer je le ferais sans excitation
J'ai pris goût et cela fait 35 ans que je me fais sodomiser
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Il est de ces rencontres qui marquent une vie. De ces moments d’épiphanie qui vous donnent la conviction d’une forme de transcendance.Qui font avoir la foi, comprenez-moi. De ces instants où l’on prend conscience que les émoustillants moments encanailleurs du BDSM cachent bien plus que des pulsions dictées par l' instinct animal mais se font moments de grâce (ou de disgrâce suivant l’angle selon lesquels on pourrait les observer).
Elle (le site devrait autoriser les méga-majuscules) était de celles qui vous font accepter vos parts d’ombre, voir qui les subliment. Et peut être, en réalité, que l’ombre de celui que je suis se faisait soudainement lumière. Ou à tout le moins reflet de sa lumière à Elle.
Comme la lune. C’est parce qu’il y a la lumière de l’astre que son satellite existe aux yeux de l’observateur. C’est par sa lumière que je me suis senti exister à ces fameux moments d’épiphanie … Quand les pièces du puzzle s’imbriquent. Quand tout est à sa place. La mienne était à ses pieds, quand nous existions. Quand j’existais par Elle. Quand je me faisais sens grâce à Elle. Surtout.
Sacrée. Je n’étais qu’effleurements. Sur la pointe des pieds, à poser ma joue sur son épaule. Pour me sentir immanquablement envahi. Le moindre contact était fulgurant. M’emmener ailleurs. Savait-elle à quel point ? Sa peau, une bénédiction. Elle m’autorisait parfois à la lécher au travers de sa culotte. Je l’adorais. Au sens sacré du terme. Surtout.
Être privé de sa peau, ne sentir son goût, son jus,seulement à travers le textile la rendait un peu plus divine. Encore. Et moi un peu plus dépendant. Toujours.
Elle jouait parfois avec moi. La rugosité des cordes, du genre qui fait bander comme un âne quand il résulte des gestes assurés d’une main de Maîtresse, n’empêchait pas d’attendre fébrilement l’instant où le dessus de sa main allait effleurer, le temps de passer la corde pour un nœud de plus. Ces contacts transformaient un instant d'adoration en amour charnel. Le gout du souffre se faisait vaguement vanille, je l’adorais mais je l’aimais aussi.
Mais c’était résolument l’adoration qui me donnait de ces vertiges, qui donnait l'accès à une dimension sacrée.
L’adoration chimiquement pure, c’était sans doute la sentir là, contre ma peau sans pour autant ressentir son épiderme.
Plus elle me tourmentait plus je l’adorais. Plus je sentais sa peau, son goût, plus j’étais amoureux. Mon amour passait par son être de Femme, mon adoration par son inaccessibilité.
Ce jour-là, elle me fit mettre à genoux à ses pieds. A ma place.
Je rêvais sa peau.
L’amoureux était transi. De désirs. Pour Elle.
Elle ouvra la pochette noire, juste ornée de quelques strass.
Le bruit de la fermeture éclair allait déchirer le silence.
Le geste était brusque mais assuré. Ferme et décidé. Sa respiration s’accelerait, donnant à sentir une certaine excitation.
La manière dont elle sorti délicatement le contenu faisait contraste avec le geste sec de l'ouverture de l'étui. Un bandeau satin pour me priver du plaisir de la voir ?
L'ecrin allait livrer son secret à hauteur de mon visage.
L’odeur m’était familière sans parvenir pour autant à deviner ce qu’il en était….
Le premier gant se déroula sous mes yeux.
Tout s'éclaira alors. Je convoquais ma mémoire pour me rappeler le goût du dessus de Sa main … J’en serais privé. Je l’avais compris.
Elle m’ordonna de fermer les yeux. Le crissement de la matière qui se frotte à la matière. Le geste allait s’achever par un claquement, sur le haut du bras, qui me faisait sursauter… J’entendis sa seconde main se gainer, des crissements encore et ce même claquement. J’en bandais plus fort encore.
La matière effleura doucement mes lèvres pour les dessiner. L’odeur du latex avait remplacé celle de sa peau. Son autre main empoigna ma nuque, j’avais le souffle coupé. Deux doigts puis trois prenaient possession de ma bouche. La possédaient.
Elle m’envahissait corps et âme.
Une fois de plus. Autrement.
Je suçais ses doigts avec le vain espoir de sentir le gout de sa peau…
La profondeur à laquelle ses doigts qui s'immiscaient jusqu’au fond de ma gorge mêlée au goût du latex qui emplissait ma bouche étaient infiniment troublants. J’empalais ma bouche sur ses doigts. Jusqu’au haut le cœur. Jusqu'au cœur.
Elle était Divine. J’étais sa chose. Un peu plus encore. Etait-ce donc possible ?
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TRES-très envie de :
De pouvoir à nouveau retrouver un Dominateur soft qui aimerait immobiliser mon corps librement & volontairement offert !
J'ai déjà connu plusieurs MAÎTRES qui ont pris beaucoup de plaisirs à me contraindre physiquement de multiples manières !
Un homme en région PACA qui me recevrait pour :
Un homme qui saurait m'attacher, ma raser, me momifier, me travailler les seins, le sexe, tout cela sans sodo, ni Fist SVP !
Un homme qui aurait envie de me voir ainsi soumis physiquement, sensuellement, mais aussi sexuellement !
Un homme qui respecterait mes limites tout en m'aidant à me faire progresser suivant ses désirs et ses envies!
Un homme qui pourrait me "convoquer" autant qu'il le souhaiterait pour une intense pratique du "shibari"
Un homme qui apprécierait de me voir ainsi offert et de disposer de mon modeste corps offert !
Un homme qui pourrait éventuellement me livrer à d'autres MAÎTRES ou avec d'autres soumis !
Un homme qui saurait prendre son temps pour me "cagouler", me déshabiller sensuellement et lentement pour ensuite m'attacher pour mieux me voir ainsi à sa disposition !
Un homme qui prendrait du plaisir à prendre mon contrôle physique, sensuel & sexuel pour des satisfactions bien réciproques et agréablement partagées!
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J'ai un jour rencontré sur un site homosexuel un homme avec qui j'ai commencé à discuter, une personne très courtoise qui m'a expliqué qu'il aimerait faire ma connaissance
Je lui est répondu que moi aussi j'aimerais bien alors il m'a envoyé des photos par mail me montrant ses pratiques SM. Les photos étaient choquantes mais j'avais une réelle envie d'essayer moi aussi donc je lui est répondu que oui j'étais d'accord et accepter son invitation à me rendre chez lui
Une fois chez lui il m'a fait mettre nu ma pris en photos ensuite il a sorti son sexe et me l'a introduit dans la bouche jusqu'à ce qu'il éjacule
La il m'a placé sur une table de travail ma introduit un énorme gode dans l'anus ma posé des aiguilles sur le sexe et les testicule
Dans une autre pièce je suis rentré et il a commencé à me travailler l'anus avec ses doigts jusqu'au moment j'ai ressenti une douleur dans moi il venait de rentrer entièrement sa main dans l'anus
D'avoir sa main dans l'anus j'ai fait pipi comme une femme fontaine et le plus douloureux c'est quand il a retiré sa main de mon trou du cul
Voilà ma première expérience SM avec un Maître
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Cet après-midi, on déménage ! On n’a pas besoin d'un camion de déménagent étant donné qu’on n’a que quelques valises, c’est tout. On file à Malibu... J’imagine les interviews :
— Vous habitez où, Mademoiselle Ashley ?
— Une maison sur la plage de Malibu !
Pas mal, pour une petite cul terreuse de Notasulga.
On arrive devant la maison. Summer sonne et la grille s’ouvre aussitôt. Madame Stone nous attend entre deux rangées de servantes. Je les compte, il y en a 8 : 4 Blanches, 2 Noires, 2 Hispaniques. Elles sont en uniforme : robe noire avec des bords blancs autour du cou et des manches, petit tablier blanc et coiffure "au bol". C’est-à-dire rasée à partir du milieu des oreilles, pour former une belle touffe sur le haut de la tête. Ah oui, elles ont toutes des chaussures noires et plates et elles fixent toutes le bout de ces chaussures. Madame Stone vient à notre rencontre en disant :
— Bienvenue Mesdemoiselles.
Je réponds – ben oui, c’est moi l’invitée :
— Bonjour Madame Stone.
On entre dans la maison et, sur notre passage, les servantes font une profonde révérence. C’est amusant... Madame Stone leur dit :
— Rhume et Moucheron, allez chercher les bagages.
Les deux filles n’y vont pas, elles y courent. Moucheron est une Blanche mince avec un joli cul. Rhume est une jolie Black. On va à l’étage et je dis à Summer :
— On prend la grande chambre avec la terrasse.
Elle me répond :
— "Je" prends la grande chambre et je vais choisir la tienne.
C’est tout Summer, ça, mais devant Madame Stone et les servantes, ça ne me plaît pas des masses. Madame Stone me regarde avec un petit sourire. Il n’y a plus de doute, c’est Summer qui porte la culotte ! Elle me dit :
— Il y a une petite chambre à côté de celle des servantes, vous y serez bien.
Summer me dit :
— Pleure pas, tu pourras venir dans ma chambre...
Elle ajoute :
— Si tu es sage.
Madame Stone me montre l’autre chambre, beaucoup plus petite. Elle me dit :
— Vous ne serez pas mal ici, Mademoiselle Ashley, si vous n’êtes pas sage.
— Mademoiselle Summer aime... plaisanter.
— Je connais Mademoiselle Summer. Il n’y a pas de problème pour moi.
Oui, bon... après tout, Madame Stone est mon employée et les esclaves sont... des esclaves. Et, moi, je suis la maîtresse de maison. Ce ne serait pas Summer, plutôt ?
Ça, c’est cette petite saleté de voix intérieure qui me le dit... En théorie, Summer est aussi mon employée. Je déballe mes affaires dans la petite chambre en râlant, puis je descends et je vais dans le living-room. J’entends des rires provenant de la cuisine. Je vais voir. Summer est assise avec Madame Stone et elles boivent une bière. Elles ont vite fait copines, ces deux-là ! Les deux servantes qui sont là font une révérence quand j’arrive, mais Madame Stone ne se lève pas pour moi. Elles parlent, sans faire attention à moi. Je vais sur la terrasse regarder la plage et la mer... Des esclaves s’activent dans la maison, j’en appelle une. Elle vient devant moi en faisant une révérence. Je lui dis :
— Apporte-moi un verre de vin blanc.
— Oui Maîtresse.
Elle revient très vite avec un plateau et dépose sur la table une bouteille de cabernet et un verre qu’elle remplit. Je bois... C’est bon... Je m’apprête à dire à la servante de me resservir... mais un regard a suffi, elle me ressert. Je m’apprête à boire, quand Summer arrive avec Madame Stone. Elle me prend le verre des mains et elle jette le vin dans un buisson en disant :
— C’est pas le moment de picoler, on s’en va.
Ah non, là, elle exagère ! Je la regarde, on est les yeux dans les yeux et je suis bien décidée à... baisser les yeux. Elle me dit :
— Toi, tu vas arrêter ces mômeries. Ou tu m’obéis sans discuter et sans faire la tête ou je me tire. Décide et dis-le !
— Je... je t’obéis.
— Plus de caprices ?
— Non... Summer.
Elle s’adresse à Madame Stone :
— On ne mange pas ici ce soir, Rachel.
— D’accord, bonne soirée.
— À toi aussi.
On va manger à Venice... Tex n’est pas là, malheureusement. Je bois un peu et j’ai enfin une crise de lucidité : si je veux garder Summer, faut que j’accepte ses manières. Je gagne de l’argent, je suis célèbre. Et, en plus, j’ai Summer.
On rentre tard et elle me laisse dormir dans "sa" chambre...
***
Le lendemain matin, je me réveille seule dans le lit. Summer doit faire son jogging du matin. Je m’apprête à m’habiller et puis je change d’avis. Il fait déjà très chaud, je suis chez moi et il n’y a que des esclaves et une employée, Madame Stone. Je sors nue de la chambre et je vais dans la cuisine. Madame Stone n'est pas encore là. Les servantes qui étaient assises se lèvent vite. Elles ont l'air terrorisées, les sottes.
J'en choisis une et je lui dis :
— Toi, c'est quoi ton nom ?
— Je m’appelle Rhume et je suis à votre service Maîtresse.
Rhume, c’est marrant ! Je lui dis :
— Viens avec moi.
— Oui Maîtresse.
On va dans la salle de bain. Je m’assieds sur les w.c. et je fais ce qu’on fait le matin. Enfin, moi, c’est le matin. C’est excitant de faire une chose aussi intime devant quelqu’un. Quand j’ai fini, j’hésite puis, je me retourne, pose les mains sur la planche des w.c. et je lui dis :
— Lèche-moi.
— Oui Maîtresse.
Elle se met à genoux, derrière moi et bientôt la petite langue de Rhume me lèche soigneusement. J’adore ! Au bout d’un moment, je lui dis :
— C’est bon, arrête. Je me redresse et je me retourne, tandis qu’elle reste à genoux, pratiquement le nez dans ma chatte. Je lui dis :
— Ça n’a pas l’air de te plaire de faire ça. Je devrais peut-être en parler à Madame Stone...
Là, elle panique ! Elle joint les mains en disant :
— J’ai adoré, Maîtresse, je vous jure.
Aucune fierté, ces esclaves ! Quelques coups de fouet n’ont jamais fait de mal à personne !
Je vais sur la terrasse, Rhume sur mes talons. Je lui dis :
— Va dire à Madame Stone que je voudrais la voir
— Oui, Maîtresse.
Je m’installe en dessous de la toile. Quel plaisir d’être nue... Deux servantes arrivent très vite. Après une profonde révérence, elles se mettent "aux ordres", des deux côtés de mon fauteuil. Madame Stone arrive aussi, sans se presser ! Elle me dit :
— Bonjour Mademoiselle Ashley, que voulez-vous pour déjeuner ?
— Bonjour Madame Stone. Disons... un peu de tout avec du café noir.
— Très bien...
Je regarde mes messages sur ma tablette, rien d’intéressant. Par contre, sur le site de Sandra Mae, il y a plusieurs photos de moi quand je saute à l’élastique. Putain, je suis belle et je n’ai presque pas l’air d’avoir la trouille. Les photos sont de Sandra Mae et Johnny... Des servantes arrivent et installent autour de moi des œufs au bacon, des viennoiseries, de la confiture, des crêpes... Je n’ai pas peur de salir mes vêtements, alors je mange salement. Je renverse de la confiture sur un nichon. Je dis à une servante :
— Lèche.
— Oui Maîtresse.
Cool... non ? Quand j’ai fini, les servantes débarrassent. Madame Stone arrive et me dit :
— Tous les matins, je fouette la servante qui a le plus démérité la veille. Je fais ça à 9 h, mais Mademoiselle Summer m’a demandé d’attendre que vous soyez levée...
Pour une fois, une attention de Summer. Madame Stone poursuit :
— Elle vous en parlera. Aujourd’hui, on va le faire maintenant, mais pas les jours suivants. Il faudra vous lever plus tôt si vous voulez y assister.
Eh ! Elle me fait un reproche, là ? Je vais la remettre à sa place vite fait... ou plus tard, c’est mieux. Madame Stone sort un sifflet et siffle trois fois. Aussitôt, toutes les servantes accourent. Elles se mettent sur deux rangées de quatre, face à face. Madame Stone me dit :
— Je donne des mauvais points aux filles, celle qui en a le plus est fouettée.
Elle prend un petit carnet et lit :
— Poussière 2, Banane 4, Sueur 5, Crevette 6, Rate 3, Rhume 4, Cafard 2 et enfin Moucheron 10. Bravo Moucheron, tu as fait fort. Tu sais ce qui va t’arriver ?
Moucheron gémit :
— Je vais être fouettée, Madame.
— Eh oui ! Je vais encore devoir m’occuper de tes grosses fesses, comme si je n’avais que ça à faire...
Et là Madame Stone change de ton et sa voix claque quand elle dit :
— En position !!
Moucheron est une jolie Hispanique... Elle se met à 4 pattes entre les rangées de servantes, puis pose son front sur ses mains posées sur le sol. Madame Stone se met derrière elle et avec des gestes délicats, elle remonte la jupe de l’uniforme jusqu’aux reins et baisse la culotte blanche jusqu’à la pliure des genoux. La position fait ressortir son derrière rebondi. Elle prend le fouet des esclaves qui comporte 3 lanières plates et le promène sur le derrière de Moucheron qui frémit. Ensuite, elle fait siffler le fouet dans les airs. À chaque fois, Moucheron fait un petit bond. Enfin, elle frappe la cible et Moucheron crie :
— Aïe ! Un, merci Madame.
Madame Stone la frappe à nouveau.
— Aïe ! Deux, merci Madame.
— Ces deux-là, c’est pourquoi ?
— Pour être paresseuse, Madame.
Le fouet siffle.
— Aïe ! Trois, merci Madame.
— Aïe ! Quatre, merci Madame.
— Ces deux-là, pourquoi ?
Rhume gémis :
— Pour avoir été insolente, Madame.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
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Malicieuse, à quatre pattes tu t’approches avec attention,
Affichant un regard coquin dans le but d’attiser mes désirs.
Demarche féline, tes yeux espiegles trahissant tes intentions,
Le but que tu veux atteindre, me voir submerger par le plaisir.
Offrir tout ton corps pour la jouissance que tu veux m’infliger,
Prête à tout pour satisfaire toutes volontés, pour me combler.
Tu t’approches plus encore, me rejoint, me touche, m’effleure,
Du bout de tes doigts, avec ta langue, tu es comme affamée,
Ma peau, tu goûtes, tu savoures, tu te délectes de sa saveur,
Ton regard se reflète dans le mien, complètement déchaînée,
Mon sexe te fait envie maintenant, tu tends la main, le touche,
Dégoulinant de liquide pre-seminal, il est maintenant dressé.
Tu t’approches encore et encore, pour me prendre en bouche,
Tes lèvres l’engloutissent, puis coulissent, pour l’avaler entier.
Alternant les carresses et les baisés, la douceur et la fermeté,
Allant et venant, un temps tu ralentis puis ensuite t’accélères,
Se jouant des râles, des cris rauques que je laisse échapper.
Une douce saveur chaude s'écoule subitement pour te plaire,
Sans pitié pour moi, gourmande, tu continues de savourer,
Ne laissant la moindre goutte de ce nectar t’échapper...
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Soumise Lily, chapitre 1
J’ai toujours été attiré par le bdsm, la soumission, domination, etc… et c’est il y a quelques années que je me suis lancé dans ce monde très vaste, rempli de plaisir, d’une façon inattendue. Je tiens à signaler que tous les prénoms ont été changés pour garder l’anonymat. Cela ce passe en mi-septembre, étant célibataire, je suis inscris depuis quelques temps sur une application de rencontre classique très connu. Après avoir discuté avec quelques filles sans trop de résultat, je commence à bien parler avec une certaine Lily. Elle ne recherche rien de sérieux car elle est plongée à fond sur ces étude et cherche donc juste à s’amuser un petit peu. La conversation dérape vite sur des sujets plutôt coquin et surtout sur le bdsm. Elle me dit être beaucoup attiré par ce milieu mais n’a jamais eu l’occasion d’essayer. Après avoir échanger pendant quelques heures sur ce sujet on prévoit de ce rencontrer pour une première séance la semaine suivante. Le jour du premier rendez vous est là, nous nous retrouvons dans une rue à côté de son domicile. Je suis garé sur une place de parking le long de la route et je la voit arrivé. Elle est très belle, cheveux brun avec une coupe au carré, une poitrine très généreuse qu’elle as bien mis en valeur grâce à un petit chemisier assez ouvert, une jupe noir assez courte et une jolie paire de talon. Elle monte dans la voiture et on se fait la bise. Je la sent un peu stressé et nerveuse. Nous décidons d’aller au restaurant et de revenir chez elle après. Tout se passe très bien, elle est assez timide au début, mais plus la soirée avance, plus la timidité s’efface. Nous sommes de retour dans la voiture et je lui dit :
-As tu mis une culotte ? Je t’avais donné comme consigne de ne pas en mettre ?
Je la sent gêné et me répond
-J’en ai mise une, je suis desolé mais cela me gênait de ne pas en porté.
-Tu sais que cela te vaudra ta première punition, tu en es consciente ?
-Je le sais et j’accepte cette punition….
Après quelques minute nous arrivons sur le parking, descendons de la voiture et nous nous dirigeons en direction de son appartement. Nous montons les escaliers, et arrivons enfin devant sa porte, elle la déverrouille et s’apprête à l’ouvrir. Je là stop dans son élans :
-Du moment où tu ouvre cette porte tu es à moi, tu ne fait rien sans que je te l’ordonne, tu ne parle pas si je ne te pose pas de question, et tu m’appel maitre ! Elle hoche de la tête pour me montrer qu’elle a compris et ouvre la porte sans hésiter. Nous pénétrons à l’intérieur et nous installons sur le canapé. Après avoir bu un verre de vin je la regarde droit dans les yeux et je lui demande si elle est prête.
-Oui je suis prête, prête à être votre soumise… maître.
-Bien, alors vas dans la chambre, je te laisse 10 minutes pour te déshabiller entièrement, et m’attendre à genoux devant le lit.
Je la regarde partir et au bout de ces 10 minutes, je me lève également en direction de la chambre. J’ouvre la porte, je la voit, au pied du lit , à genoux, entièrement nue et cela m’excite beaucoup. Sans rien dire, je pose mon sac par terre et en sort un bandeau pour les yeux que je lui met directement.
-Lily, met toi debout que je t’observe. Elle se lève et je peu voir tout son corps, je le regarde, lui demande de tourner sur elle même que je puisse voir l’intégralité de ces formes. Elle as des courbes parfaites, que ça soit ses seins, ses fesses, ses jambes … Je lui demande de se pencher en avant sur le lit, jambe assez écartée pour avoir une vu assez dégagée sur son entre-jambe pour voir si, comme je l’avais ordonné avant notre rendez vous, elle s’était épilée intégralement , et c’était le cas.
-Tu as marqué un bon point soumise, tu as fait ce que je t’avait ordonné, mais tu n’échapperas pas à ta punition pour ta culotte !
-Je suis prête maitre, punissez moi ! Étant debout, penché sur le lit et les fesses bien cambré je lui dit de rester dans cette position.
-Reste comme ça, et compte, tu aura le droit à 5 fessées !
Pour la première je reste gentille, et au fur et à mesure qu’elle compte, l’intensité de ma main sur ses fesses est de plus en plus forte, ces fesses commences à rougir
-4 … La dernière claque est bien plus forte que les autres, et Lily est surprise, mais je voit que ça l’excite beaucoup en vue de sa petite fente qui s’humidifie a vu d’œil. -5 … merci maître.
-Je voit que tu as retenu tout ce que je t’ai dit ! C’est bien Lily.
Elle est toujours dans la même position, et j’en profite pour faire glisser mes doigt en remontant le long de ses jambes, jusqu’à ces petites lèvre trempées par le nectar qui en coule. Je l’entend gémir de plaisir tandis que mes doigt commence à la pénétrer en douceur. Je me stop et vais chercher dans mon sac un petit plug ainsi que du lubrifiant. Je lubrifie son petit œillet mauve, et commence à y glisser le bout de mon doigt. Je la sent se crisper alors je la rassure. A force des petits vas et viens que j’effectue , je la sent plus à l’aise et plus détendu, j’en profite pour glisser un deuxième doigt, que je met un moment à rentrer convenablement. J’entame quelques vas et viens, j’entends Lily respirer fort puis les respirations se transforme en gémissement, je comprend vite qu’elle commence à aimer ça. J’enduis le plug en métal de lubrifiant et positionne le bout à l’entré de son anus. Je pousse un tout petit peu et celui ci rentre très facilement à ma grande surprise. Alors je décide de prendre la taille au dessus , le lubrifie et entreprend de remplacer le plus petit. Il rentre plus difficilement que le premier, mais trouve parfaitement ça place. Lily sent comme un vide qui s’est comblé, c’est une sensation très bizarre mais loin d’être désagréable. Je dit à ma soumise de se remettre à genoux, sur le sol. En plus de son bandeau , je lui rajoute une paire de menotte pour lui attacher les mains dans le dos. Je la regarde, elle est là,captive, là, devant moi, à genoux, attaché, les yeux bandés et ne sachant pas ce qu’il va se passer ensuite, elle respire fort, car elle est très ecxitée , je le ressent. Je me déshabille entièrement. Je bande déjà très dure.
-Ouvre la bouche et tire la langue soumise !
Elle s’exécute. Je pose délicatement mon gland sur sa langue et sa première réaction es de l’enfoncer dans sa bouche.
-Lily, je t’ai dit quoi ? Tu ne fait rien si je ne t’en ai pas donné l’ordre ! Compris ? Sinon tu aura le droit à une autre punition !
-J’ai compris maitre, mais toute cette situation m’excite beaucoup !
Je repose mon gland sur sa langue et fait de petit vas et viens sur celle-ci, en allant de plus en plus profond et de plus en plus vite. J’attrape ces cheveux, et maintiennent ça tête plaqué contre mon bas ventre, au bout de quelques seconde, je relâche la pression, et je répète ça plusieurs fois. Après quelques vas et viens au fond de sa gorge, je me retire, la relève, et je la pousse sur le lit, toujours les mains attaché dans le dos. Je la met à genoux sur le lit, la pousse en avant, et elle se retrouve sur les genoux, tête sur le lit, les mains lié dans le dos avec les fesses bien tendu, offerte. Je voit le plug qui scintille entre ses fesses et décide de lui retirer. Je retourne vers mon sac et attrape un vibro ainsi qu’on gode de taille moyenne. Pendant plusieurs minutes je joue avec le gode, en alternant entre l’anus et sa petite chatte (qui ne demandais que cela) mais je passe aussi le vibro entre ses lèvres pour lui stimuler le clito. Elle ronronne de plaisir , ne peux plus se retenir de gémir, de plus en plus fort, et au bout de 15 min, c’est la délivrance, elle est prise d’un orgasme qu’elle ne peu contrôler, un orgasme comme jamais auparavant elle n’a vécu. Il faut dire que cette situation l’excitait au plus haut point, le faite d’être attaché, les yeux bander, et ne rien pouvoir contrôler, tout ce mélange, elle y avait pensé de nombreuse fois. Après qu’elle ai jouis pendant longtemps, je décide de la détacher, et de retirer le gode de son petit cul. Je le retire délicatement et une fois retirer , Lily ressent comme un vide à l’intérieur d’elle, une sensation que jamais auparavant elle avait ressentit. Sans lui débander les yeux, je lui demande de se mettre allonger sur le dos, je lui attache les bras aux coins du lit , et les jambes, aux bras, de sorte à ce qu’elle me soit bien offerte. J’aime voir une soumise offerte de la sorte. Je m’approche d’elle e commence à frotter ma queue sur sa petite chatte, elle essaye de se débattre, car après son orgasme, la sensation est insoutenable, pas mauvaise mais insoutenable. Puis, au bout de quelques instant, je la pénètre d’un coup sec, ça rentre tout seul tellement elle mouille ! Elle jouis, elle adore ça, que je la pénètre sans ménagement ! Je pose ma main autour de sa gorge et serre un peu tout en la pénétrant avec beaucoup de vigueur. Au bout d’une dizaine de minute, je décide de m’occuper de son petit cul, je pose mon gland sur son anus, et pousse doucement. Ça rentre plutôt facilement, le lubrifiant aidant beaucoup, ainsi que la petite préparation. Je fait des vas et viens, plus doucement , en prenant soins de m’y enfoncer jusqu’au bout et je sent la jouissance monter en moi ! Je me retire, et la détache, en prenant soins de bien laisser son bandeau sur les yeux. Je la fait mettre à genoux, par terre en face de moi. -Maintenant, suce moi, je veux jouir dans ta bouche soumise ! À tâtons, elle attrape ma verge gonflé de sang et la prend en bouche sans hésitation ! Elle entame des vas et viens rapide, et quelques minutes après je jouit dans sa bouche, mon corps est parcouru de spasme et je m’effondre sur le lit ! Sans rien que je lui dise, elle avale tout d’un coup !
-Soumise, qui t’a dit d’avaler ?
-Personne maître…
-Alors à notre prochaine séance tu sera puni !
C’est comme ça que s’est terminé notre première séance,elle avait trouvé son maitre avec la promesse de revenir très vite !
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Je me suis réfugié dans la cuisine, j aime préparer des petits plats.
Être nu en cuisine j adore, comme les Maîtres semblent un peu fatigués, j en profite pour faire un bonne table ce soir.
Ce sera, avocats aux crevettes, roulé d agneau au romarin et gratin de pomme de terre lardons, jambon, crème. (Cuisson lente 3h à 80°C)
Plateau de fromage, glaces, un Vacqueyras 2014, café pousse café...
Après le souper et avoir rangé la cuisine, au salon comme souvent, mes Maîtres se sont amusés avec l'esclave de la maison... Moi.
J'aime beaucoup être utilisé plusieurs heures, des jeux, des surprises et pour finir deux belles giclées, j'adore...
La douche terminée, ou j'ai lavé mes Maîtres, ils ont décidé que j'avais pris un peu trop de plaisir et ont remis le PW dans mon petit sexe.
Le diamètre et le poids font mal et je sais que j'en ai pour 2 jours à souffrir avant de m'habituer un peu...
Je sais que je ne dois pas montrer trop de plaisir mais j'ai de la peine à cacher mes sentiments.
Voilà pour le moment, bisous à tous.
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En Shibari je suis un tout nouvel adepte,
D'où la nécessité de pouvoir m'exercer,
Et en recherche d’une modèle qui accepte,
Cette pratique japonaise très appréciée.
Privilégier la confiance et l’esthétique,
Avant d'explorer les domaines érotiques.
En réponse à ta demandes : ”attache-moi !”,
Tes peurs, angoisses, douleurs et craintes,
Seront encordées très fort tout-contre toi,
Telle la toile d'araignée exerçant l’étreinte,
Une bonne expérience requiert discussions,
Comme la nudité, pour sentir des émotions.
L'image dans mon esprit, préparée avec soin,
Au debut Gote Shibari pour ligoter tes bras,
Enchaîner avec Shinju pour encercler tes seins,
Ensuite pour entraver les jambes on discutera.
Songer à pincer les seins, frapper les fesses,
Et délivrer tout le reste avec des caresses....
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Doc's, Bretelles et Porte-jarretelles...
Elle jaillit hors de la douche, si pressée de redevenir la salope qu’elle a toujours été. Après avoir consommé le temps dont elle avait besoin pour s’apprêter, je ne le visualise pas encore. Mais je le sais, au bruit que je n'entends plus depuis 45 min, elle s'est préparée pour aller dans la pièce secrète, elle ne s'habille jamais dans cette pièce, à part quand elle a prémédité quelque chose.
Quand je l’aperçois sortir de la salle de bain, je découvre qu’elle s’est remise dans ses habits de petite salope,ceux que je n’avais pas revus depuis que nous avions quitté l’appartement, on dirait une skinhead girl un peu perverse sur les bords.
Elle porte ses Doc's à talons de couleur bourgogne, des bas résilles ténébreux surmontés d’un porte-jarretelle en dentelle noirâtre. Pour cacher ses mamelons, elle a enfilé une chemise à petit carreau rouge et noir, nouée au niveau de sa poitrine sur laquelle ses bretelles sont mises de façon à faire ressortir ses seins en les compressant, comme si elle exigeait que je les attache tout de suite.
Une micro-jupe en jean bleu qui oblige son cul pulpeux à rester dehors, qui ne couvre même pas la moitié de son cul, c’est vraiment ça qu’on appelle ras la chatte, ce tout qui a le don de m’exciter.
Je la regarde passer en me demandant comment je vais m’occuper de cette godinette… Mon cerveau fuse, et heureusement que nous existons dans une société compréhensive, que la fornication, la sodomie et le libertinage ne figurent plus dans la liste des délits de luxure, sans ça, je finirai au cachot pour de longues années. Elle, par contre, va terminer dans mon donjon pour mon profit et pour me divertir.
Elle réclame de me servir ou elle utilise mes pulsions pour assouvir les siennes, dans tous les cas, elle a été trop loin dans la provocation, pour que je ne lui fasse pas vénérer mon phallus et mes coups de trique.
Je lui impose de venir m’offrir à boire pour que je la scrute d’un peu plus près, elle se penche sur mon bureau pour récupérer mon verre. C’est à ce moment-là que je l’examine vraiment. Elle en profite également pour se cambrer, je lui mets une première fessée et lui demande d’un ton grave.
« Que cherches tu as accompli dans cette tenue, et surtout dans cette position ? »
Elle se penche encore plus et j’aperçois son nouveau plug…enfin, un dont l'existence m'était inconnue. Je lui remets une déculottée sur ce postérieur magnifique. Elle se cambre même un peu plus, je peux observer à quel point tout son corps a envie que je profite d’elle, voire pire que j’en abuse comme je sais si bien le faire avec elle.
Après une troisième et dernière fessée bien plus puissante que les deux précédentes, je mets ma main sur sa fesse qui est devenue chaude et commence à être rosée. Je lui demande si elle sait que ses faits et gestes vont engager des conséquences.
Toujours sans dire un mot, elle se contente juste de hocher la tête et de dandiner ses meules, de la même manière qu’une vulgaire chatte capricieuse, ce qui conduit à faire sonner les grelots de son bijou anal que je n’avais pas vu. Je l’attrape, l’examine et lui réclame de s’agenouiller entre mes pattes, et lui dit
« comme tu ne veux pas parler, je faire en sorte que tu le fasse pas ! »
Comprenant ce qui lui arrive, elle s’exécute d’un mouvement, elle se retrouve entre mes jambes en totale soumission, en total don de soi-même, son collier entre ses mains et sa langue tendue. Je m’approche avec son plug de sa gueule, pour l’arrêter à quelques centimètres de sa bouche dont le rouge à lèvres fait ressortir le côté pulpeux.
Hésitante, elle finit par s’avancer, et je lui annonce.
« Arrête-toi là, tu ne vas pas seulement le lécher. Je veux que tu le suces en me regardant dans les yeux ».
Je récupère son collier et la regarde sucer son plug, comme si c’était ma bite, ce qui finit de m’exciter. Elle l’a pris sans que le contrat ou le rituel du collier soit fini, elle pouvait refuser, mais voulait tellement servir qu’elle l’a fait, et a accepté.
Maintenant, je lui donne une série d’ordres à exécuter d’un ton sec.
« Garde-le dans la bouche et lève-toi… » « Retourne-toi ! »
Je lui applique une énième fessée avant de commencer à lui mettre son collier en lui disant :
« Si tu désires revenir en arrière, c’est maintenant ! Ce qui va suivre le verrouillage de cette boucle risque de te laisser des marques »
Elle me répond.
« Non, Maître, j’ai confiance en vous, je suis votre chose, votre chienne, votre bagasse ! Faites ce que vous voulez de moi ! »
J’achève de fermer le collier, pour y accrocher une belle chaine en inox doré et tout brillant.
« J’exige que tu sois à quatre pattes entre mes jambes sous mon bureau, le temps que je finisse mon projet et que je me retrouve à plein-temps sur le dressage de la petite salope que tu es ! »
Je la vois commencer à s’agiter, je tire une fois sur sa laisse ce qui l’a conduit à tomber à portée de bouche de ma verge encore enfermée dans mon pantalon. Elle relève un peu la tête et entame de me déshabiller, tout du moins elle a essayé de descendre ma braguette. Je l’arrête, ce qui l’a fruste, je l’analyse, son visage, on dirait qu’elle est pressée d’exister en tant que centre de mon attention, elle le sait que ce qu’elle a accompli a le don de me déplaire et je lui dis.
« Tu sais, je n’avais pas l’intention de t’emmener dans le donjon ! Je travaillais sur un projet, alors laisse-moi finir ! Ou ça ne va vraiment pas te plaire, ce que je vais faire de toi et de ton petit cul ! »
Au bout de 15 min, je sens qu’elle veut vraiment que je m’occupe que d’elle, ça tombe bien, j’ai fini, je vais pouvoir m’occuper de cette bagasse. Je me lève, tire la laisse et lui demande de se tourner, mais avant, je lui arrache le plug sur lequel elle a bavé au moins 20 min. Elle se retourne et se présente en position de la chienne soumise, les mains loin devant elle, les pieds au sol et les miches bien hautes. Son cul nous ferait presque croire qu'il essaye de toucher le ciel . Je lui remets son plug déjà tout lubrifié par sa salive.
« la petite chienne ! » pensais-je.
Par la suite, je tire la laisse pour qu’elle me suive, je lui mets la poignée dans la bouche, on marche, elle reste à 4 pattes presque à mes pieds. Elle est cambrée presque au maximum, épaules surélevées, ventre très bas et cul très haut comme toujours. Elle veut vraiment s’identifier à la petite chienne que j’aurais adoptée. Même si parfois ça change, elle a plus des allures de chatte en chaleur. Entre petite chatte et grosse chienne, son cœur balance.
On arrive au pied de l’escalier qui mène à la pièce qu’on a aménagée en authentique donjon, une espèce de salle de torture ou véritable paradis, tout dépend de mes envies.
Et là, j’apparais dans une humeur de diablotin. Je veux m’amuser un peu avec cette salope de skinhead girl !
...
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Les Maîtres ont sorti leur Putes dans les allées du bois, pour en faire profiter les curieux et les curieuses. J’aurais préférer une vraie queue bien juteuse mais on obéi en silence.
Pour Léa c'était une première, vendredi soir et samedi une supplémentaire, le cheminement de son dressage passe par l'acceptation d'être juste un objet sexuel pour le plaisir des Mâles, une esclave du sexe, silencieuse au service de Jérôme et Eric.
La nuit s'est terminé attaché chacun à un arbre à 2m l'un de l'autre, à dispo de tous les curieux. Jambes écartées face contre le tronc...
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Elle se faisait appeler Lilou, voilà quelques jours qu'elle venait visiter mes pages Voissa sans y laisser de traces autres que celles laissées par le système. A mon tour je suis allé découvrir cette mystérieuse personne. J'ai trouvé très peu de choses en dehors du fait qu'elle venait de s'inscrire sur le site. Aucune photo seulement des échanges sur son mur avec des Voissanautes. Parmi eux, une sorcière espiègle qui m'a confié lui avoir donné quelques pseudos de personnes avec lesquelles elle pouvait dialoguer en toute confiance.
Nous avons commencé à nous écrire. A mon réveil j'avais toujours un message d'elle me souhaitant une bonne journée. Elle les accompagnait souvent d'extraits du roman "nuances de grey" qu'elle était en train de lire. Rapidement elle a souhaité que l'on se téléphone. Elle aimait ma voix qu'elle trouvait rassurante, j'aimais ses "Oh mon Dieu" qu'elle répétait à chaque fois qu'elle était surprise ou heureuse .
Elle m'a avoué avoir quelques kilos en trop, je lui ai avoué avoir quelques rides en trop. Elle était jeune, très jeune.
Elle était prisonnière d'un ogre et peu considérée par la mère de ce dernier qui la prenait pour une bonniche et ne se gênait pas pour la critiquer en public. Un "sombre crétin" m'avait écrit la jolie sorcière.
Malgré notre écart d'âge, le courant passait bien entre nous.
Elle a voulu mettre quelques photos d'elle sur Voissa, m'en envoyer. Je lui ai demandé d'attendre, je voulais la découvrir avant tout le monde et surtout, que cela se passe dans le noir. J'avais ce fantasme de découvrir une femme à l'aide de mes sens, la toucher, la sentir,la faire frémir, l'imaginer, caresser sa peau, percevoir ses courbes et seulement ensuite la voir.
Lilou me faisait suffisamment confiance pour accéder ce caprice. Rendez-vous fût pris.
Jour J
Malgré des événements peu favorables (importante réunion pour moi, changement de planning pour cause de neige pour elle) il fallait que l'on maintienne notre rencontre. Nous étions bien trop excités pour le reporter et savions qu'il serait torride.
En arrivant à l'hôtel, je suis à la bourre... pas le temps de déjeuner, juste le temps d'acheter une rose au coin de la rue.
Je prends possession de la chambre, elle est confortable... par contre impossible d'y faire le noir, seulement un rideau pour masquer le soleil de cette belle journée de janvier.
Vite il faut que je trouve une solution. J'avais demandé à la belle de ne pas mettre de photo d'elle sur Voissa, ce serait dommage de ne pas parvenir à mettre notre plan à exécution. Me vient l'idée de la salle de bain, elle fera bien l'affaire. Je lui transmets des consignes : "Tu entreras dans la chambre et te dirigeras directement dans la salle de bain".
Un quart d'heure passe, elle m'envoie SMS pour me dire qu'elle n'est plus très loin. Un dernier coup d’œil pour vérifier que tout est en place, je la guette. J'entends enfin la porte de l'ascenseur s'ouvrir, c'est elle, ses pas timides résonnent dans le couloir. Je l'imagine fébrile et hésitante devant la chambre 336, retenant son souffle, se demandant s'il est encore possible de faire marche arrière. Elle frappe délicatement.
J'ouvre la porte, me glisse derrière avec les yeux fermés pour ne pas la voir. Elle est intimidée :
"- entre ma petite Lilou, vas dans la salle de bain, enlève ton manteau et attends moi sagement."
Elle me frôle, je sens un souffle me caresser le visage.
J'attends un peu avant de pénétrer dans la salle de bain, ferme la porte, l'obscurité est totale. Désormais elle est à moi, elle est ma prisonnière. je lui demande :
"- me fais tu face ?
- oui
- alors retourne toi."
J'attends que le silence soit total, pas même un froissement de tissus.
J'avance ma main dans l’obscurité, rencontre son épaule droite. Premier contact... elle frisonne, tremble comme un petit oiseau apeuré ..
Je glisse ma paume jusqu'à sa nuque. Elle est tiède, j'y dépose un bisou, elle inspire profondément...
A travers ses vêtements, je parcours son corps.
Sur la page noire de la salle de bain ses formes se dessinent... je perçois ses rondeurs, apprécie ses courbes.
Je commence par explorer son visage.
À la lumière, un visage parle de lui même. Le regard, le sourire, les traits, les marques du temps ... autant d'éléments permettant en une fraction de seconde de se faire une idée de la personne.
Dans l'obscurité c'est différent, il faut tout imaginer à partir des formes perçues, des gestes, des mouvements, de la respiration, des réactions aux caresses...
La bouche et la langue donnent de précieuses indications ...
Je passe mes mains dans ses cheveux ... ils sont courts, coiffés en arrière. Je comprends pourquoi mon amie l'a baptisée hérisson.
Je les imagine bruns avec des mèches...
Mes doigts lui massent doucement le crâne, j'incline ma tête... lui mordille l'oreille en y faisant pénétrer mon souffle chaud ... insuffle quelques mots doux...
Avec mon index je parcours son visage, il est légèrement arrondi avec des traits fins. Son petit nez doit lui conférer une jolie frimousse .. Ses lèvres sont fines. Je perçois une petite fossette à gauche.
J'embrasse ses paupières, pose mes lèvres sur les siennes, m'introduit dans sa bouche. Tiens, elle a un piercing sur la langue. Je lui mordille la lèvre inférieure puis, plus vigoureusement, son cou en l'accompagnant d'un rugissement sauvage ... grrrrrr ... elle se contracte. .. je la rassure :
"- je ne te ferai aucun suçon, aucune marque prouvant ton infidélité".
A présent l'effeuillage commence. Je me mets derrière elle, passe mon bras gauche par dessus son épaule ... la saisis vigoureusement par le cou, l'obligeant à basculer sa tête en arrière ... je me colle contre elle de sorte à ce qu'elle sente mon désir se tendre et se frotter à ses fesses ?
Puis mes mains explorent ses seins que je libère de leurs coques ... ils sont petits et fermes, des seins de jeune fille qui n'a pas enfanté. Je les embrasse, les triture, les pince, les mordille ... Elle respire par à coup ...
Ma main glisse le long de son ventre ... le masse dans le sens des aiguilles d'une montre, dessine des cercles concentriques jusqu'à atteindre son nombril ... elle se trémousse, elle a hâte que ma main descende plus bas et s'introduise dans sa chatte.
Pas tout de suite, d'abord les fesses ... j'abaisse sa culotte, devine des fesses rebondies. Alors qu'elle est chaude comme la braise, ses fesses sont restées froides ... j'y pose ma joue, passe ma main entre ses jambes, sa culotte est trempée ... elle mouille ... j'adore, ça m'excite.
Elle ne tient plus ... son cœur bat la chamade ... je sens qu'elle a envie de prendre ma queue, de la sentir et de la goûter ... c'est trop tôt ... il me reste encore à explorer tout ce que je n'ai fait qu'effleurer jusqu'à présent.
A présent dévêtue, ce n'est plus seulement avec mes mains que je la touche mais également avec le bout de mon nez, mes lèvres, ma bouche... Je perçois la souplesse et la fermeté de sa peau, respire son odeur, la goûte.
Quel plaisir pour moi, et quel plaisir pour elle si j'en juge par son souffle et ses murmures.
Elle est impatiente, j'accélère le mouvement ... lui enlève les bottines ... elle me donne des indications pour que ça aille plus vite :
"- il y a une fermeture éclair" me dit elle.
Lorsque je veux lui enlever la seconde bottine elle l'a déjà défaite en se servant de son pied libre.
Elle n'aime pas que je lui touche les pieds. Pourtant un peu plus tard elle se délectera quand je saisirai chacun de ses doigts de pied... les masserai... exercerai une pression pour les tendre en arrière... passerai mon doigt entre ses orteils... elle a des plaisirs à découvrir...
Je pose enfin ma main sur son minou, fait glisser mon index entre ses grandes lèvres... sa chatte est bouillante, humide... elle est épilée... j'écarte ses lèvres à la recherche de son clito... il est turgescent... j'en dessine le contour... joue avec... explore les circonvolutions.
Je me redresse, guide ma queue raide entre ses cuisses avant de coulisser doucement dans cet univers chaud et humide... sans pénétrer dans son antre de plaisir...
Et puis tout est allé très vite. Sage au départ, elle ne tient plus ... nos vêtements valdinguent .. elle bute rageusement en voulant défaire la fermeture éclair de mon gilet ... tombe à genoux ... dépose quelques délectables bisous à la racine de ma queue... lèche mes boules... passe ses doigts au travers de mes poils... me caresse... se met à me sucer avec frénésie... je prends sa tête entre mes mains, la guide... je sens ma queue coulisser dans sa bouche... son piercing...
Dieu que c'est bon...
C'était ma première et unique expérience de découverte d'une femme dans le noir. Nous sommes allés trop vite, elle voulait que je la prenne sur le champ. La salle de bain se prêtait mal à nos ébats. Nous avons rejoint la lumière.
En une fraction de seconde, avant de l'empaler sur le lit, j'ai découvert ses yeux bleus, son sourire lumineux, la couleur de ses cheveux ...
L'après midi ne faisait que commencer ...
J'ai pris quelques clichés qu'elle a offerts dès le lendemain à la communauté Voissa.
C'est la première fois que les autres la voyaient.
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