La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 21/07/24
"Le corps est le temple de l'esprit, et l'esprit est le maître du corps."Sénèque"   Entre chien et loup, tu éveilles mes sens. Je deviens ton jouet, un être totalement offert à tes envies. Tu m'attaches avec soin, les liens se resserrent autour de mes poignets et de mes chevilles, m'immobilisant dans une posture offerte à ta vue. Tu me prives de toute lumière. Je ressens chacun de tes gestes, chaque mouvement de tes mains sur mon corps. La tension monte, l'attente devient prière. Chaque baiser intense et mordant, chaque caresse est ta déclaration de possession et de désir. Je suis à toi, entièrement, et dans ce moment hors du temps, le monde s'efface, ne laissant place qu'à cette intensité qui gronde au loin. Il pleut ce matin. L’envie est forte et pressante. Le ciel gris et les gouttes tombent bruyamment, couvrant à peine le cri salvateur de notre urgence. Je sens ta présence derrière moi, ton souffle sur ma nuque. Tes mains glissent le long de mon dos, laissant une traînée de frissons sur leur passage. Tu murmures tes ordres dans le creux de mon oreille, promesses de plaisirs intenses à venir. Chaque geste est soigneusement calculé pour m'immobiliser juste ce qu'il faut, pour que je me sente à la fois vulnérable et à ta merci. Le son de la pluie et de nos respirations se mêlent. Je suis là, entièrement à ta vue, prête à accueillir cette envie brûlante. Tes baisers deviennent plus pressants, chaque caresse plus urgente. La tension entre nous est palpable, électrique. Et dans ce matin pluvieux, le monde extérieur disparaît. J'entends tes pas autour de moi, tes mains se posent sur mes épaules, fermes et sûres, puis descendent lentement le long de mon dos, explorant, revendiquant leur territoire. Je suis sans défense, et pourtant en totale confiance. Ta chaleur contre ma peau, et ton désir qui se mêle au mien. Tes mains continuent leur exploration, découvrant chaque courbe, chaque recoin de mon corps. Je m’abandonne totalement à leurs pouvoirs. Elles savent exactement comment me conduire au bord du plaisir, et m'y maintenir. Tes mains pétrissent et torturent mes chairs. Je ne suis plus qu’un souffle, une essence flottante capturée par ton désir. Chaque pression, chaque torsion de tes doigts sur ma peau me fait haleter, me pousse à l’abandon total. La douleur se mélange à ce plaisir si fort. Le monde extérieur n'existe plus. Il n'y a que le rythme de nos respirations, le son des gouttes de pluie contre les vitres, et ce lien invisible et puissant qui nous unit dans cette urgence de nous. Tes mains continuent leur œuvre, sculptant mon plaisir, tordant et pétrissant chaque muscle, chaque fibre de mon être. Je trouve une liberté absolue, un bonheur intense dans le simple fait d'être, d'exister pour ton plaisir, et de vivre pleinement et intensément chaque instant. Ta cravache retire mon essence, celle qui m’apporte cette jouissance. Symbole de pouvoir et de contrôle, elle glisse doucement le long de ma peau, me laissant dans une attente frémissante. Je sens sa présence, légère et menaçante, et l'anticipation de ce qui va suivre contribue à cette tempête où le tonnerre gronde au loin. Le premier coup tombe, net et précis. Tu retires morceau par morceau mon essence, me dépouillant de tout sauf du pur plaisir, me conduisant toujours plus loin dans les méandres de la jouissance. Je ne suis plus qu’une offrande, un souffle de désir entre tes mains. Tu marques ma peau, laisses des traces de ton passage de la plus belle des manières. Chaque coup me fait haleter, chaque douleur me rapproche un peu plus de cette jouissance ultime. Tu me murmures à l'oreille ton envie, ton besoin de me dominer. Je suis à toi, laissant la vérité de ces mots s'imprégner dans mon esprit. "Ton jouet, ton bien, ta chienne, ton tout." Chaque mot que tu glisses dans le creux de mon oreille est une marque invisible de possession. Offerte et vulnérable, ma respiration s’accélère, chaque mot amplifiant mon désir. Je ressens chaque sensation, chaque émotion. Je suis entre tes mains, tu prendras soin de moi. Ces mots que tu prononces, ces murmures que tu distilles, sont des chaînes invisibles qui m'enserrent, me lient à toi. Je me perds dans tes paroles, me laissant guider par ta voix. Je suis à quatre pattes, la croupe bien cambrée, prête à t'accueillir. Ma robe, si courte, me dévoile bien assez pour te laisser entrevoir cette humidité, témoignage silencieux de ce désir pour toi. La fine matière qui caresse à peine mes cuisses devient une invitation irrésistible, attisant ton propre désir. Tu ne peux résister à l'appel de cette vision. Tes mains, impatientes et brûlantes, remontent lentement le long de mes jambes. Lorsque tes doigts atteignent mon intimité, tu sens cette humidité, celle que tu as fait naître. Cette chaleur qui me trahit, qui parle de mes envies, mon désir sans mots. Tu prends un instant pour savourer cette sensation, ce contact direct avec mon désir. Tes doigts jouent avec ma peau, explorent, découvrent, me faisant frémir à chaque mouvement. Je me cambre, me presse contre ta main, cherchant plus, exigeant plus. Tu réponds à cette demande silencieuse, ta main s'abat fermement sur mes fesses. Je devine l'urgence de tes gestes. Ma robe, cette pièce de tissu si courte, est désormais un simple accessoire. Elle dévoile, elle suggère, mais c'est mon corps, ma réaction, mon désir qui captivent toute ton attention. Tes mains me saisissent fermement, tes doigts s’enfoncent dans ma peau. Tu étales mon humidité sur ma peau, mes orifices, ceux que tu t’apprêtes à conquérir. Tes doigts, sûrs d’eux, s’immiscent en moi. Tes mains, fermes et déterminées, saisissent mon corps, tes doigts s’enfoncent dans ma peau, laissant des empreintes de ta possession. Et alors, dans cet instant où la possession devient totale, tu me prends entièrement, fusionnant nos corps dans une union parfaite de désir et de domination. Le monde disparaît, ne laissant que nous, perdus dans cette immensité. LifeisLife
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Par : le 21/07/24
La puce implantée dans son cerveau par son Maître et amant,  le célèbre Elon, l'homme le plus riche du monde, est une pure merveille. Une puce expérimentale top secrète....sauf pour les lecteurs de bdsm.fr...rires, et qui utilise des technologies quantiques. Un saut dans l'inconnu ! Avec des capacités phénoménales insoupçonnées. Elon sait s'entourer et recruter les meilleurs savants et ingénieurs du monde.  Mary découvre peu à peu les possibilités immenses qui lui sont offertes. Manipuler un smartphone ou un ordi, accéder à des bases de données, tout cela par la pensée, c'est gadget pour elle. Non, elle se rend compte qu'elle peut aller vers toujours plus de complexité et voir la réalité  autrement.  Dans ses moments de détente , lorsque l'administration des agences de la CIA en Ukraine lui en laisse le temps  c'est à dire peu,  vu le bourbier sur un front de plusieurs milliers de kilomètres, elle aime se divertir en lisant Homere, la Bible, le Coran. Étrange non?  En fait sa puce lui ouvre des portes. Elle comprend le sens caché des histoires qu'elle lit. Elle est en mesure de fait le lien entre des événements en apparence insignifiants et les événements historiques majeurs. Mary s'intéresse a la France depuis qu'elle a compris que c'est le maillon faible en Occident. Ben Laden, s'intéressait aussi à la France pour la faire chuter. Il a été flingué avant. Les russes traitent le président français de cinglé. Vu sa dissolution ratée, ils n'ont peut etre pas complètement tord.  Pourquoi la France est elle au bord du gouffre? Une dette abyssale qui l'oblige sans cesse à emprunter toujours plus. Jusqu'où ?  Mary, se demande comment ce desastre qui s'annonce a pu arriver dans un pays aussi beau et aussi riche. Un petit détail...mais où?  Oui  où ont ils fait la connerie fatale. Elle se souvient des rudes spartiates ou des superstitieux romains qui parfois, alors même qu'ils étaient invincibles au temps de leur grandeur, avaient peur d'une simple bourgade ou d'un ermite dérangé. Pourquoi avait ils peur? De quoi ? Ils se mefiaient comme de la peste des pieges tendus par les Dieux. Derrière cette bourgade insignifiante ou ce cet humain farfelu pouvait se cacher un dieu inconnu. facilement de raser cette bourgade, facile d'éliminer le non conforme, le différent. Un détail....des conséquences insoupçonnables, des phénomènes d'une ampleur incroyable. Pour décrire une évènement historique, Tolstoi comparait cela à un train. Quelle est la cause du mouvement de ce train? Les rails, le vent, la vache qui le regarde passer, les roues d'acier, la force de la vapeur, le conducteur qui fume la pipe, ....? Mary, se sert un whisky glacé, enleve sa culotte, se déchausse, mes ses pieds sur le bureau. Elle allume un gros havane et fume paisiblement. Oui, où les français ont ils fait la connerie,  ce petit détail insignifiant en apparence qui conduit au desastre car derrière il y avait autre chose que personne n'avait vu ?   
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Par : le 20/07/24
Un bloc de mélancolie, voilà ce qu'elle était devenue. Mais une mélancolie active, qui l'empêchait de se laisser engloutir par les lames de fond de l'instinct de mort pour le retourner comme un gant afin de transformer en énergie docile cette aspiration vers le néant. Les ratures dans son carnet d'adresses, anormalement nombreuses pour une jeune femme de trente ans, étaient les témoins muets de cette noirceur. Et il était doux à Charlotte que ce qui lui fut interdit, matériellement, comme la porte de la cellule interdit matériellement aux filles enfermées, de s'appartenir ou de s'échapper. Il s'agissait du meilleur partie qu'on pouvait alors tirer d'elle. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Allongée sur le dos, elle était captive, nue, écartelée. Comme les chaînes tiraient au plus court, vers l'arrière, pour les chevilles et les poignets, elle ressentait une interminable souffrance, proche du démembrement. L'humiliation était là. Se montrer ainsi dans cette position dégradante, alors que fouettée, prise ou sodomisée, sa vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. Charlotte prenait conscience de l'orgueil réel de l'esclave qui motive et qui excuse tout. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait, ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en réalisant ses fantasmes. Si elle mimait la dérobade, c'était pour mieux en profiter. N'avait-t-elle pas elle-même avoué qu'elle avait en elle, jusqu'à l'obsession, des images de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette.    Que cachait ce sourire carnassier: une volonté d'asservissement ? Et cette attitude conquérante: le refus de laisser son destin lui échapper ? Le plaisir l'emportait-il sur le bonheur ? Qu'importe, après tout. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la regardait d'un œil narquois. Elle s'assit sur le rebord du lit, nue, les mains sur les genoux. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Il semblait à Charlotte, comme si cela ne la concernait pas, qu'elle avait déjà vécu une scène analogue. Mais pour cette fois, la jeune fille lui était inconnue. Elle n'en était que l'occasion ou l'objet, on n'avait plus qu'à la soumettre. Juliette vit la jeune fille poser délicatement ses mains de part et d'autre de la vulve glacée de Charlotte. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Le contact, même s'il demeurait ferme, n'avait pas du tout la violence redoutée. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre un fruit, avec grand soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire, pour qu'elle puisse continuer. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de passivité, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où la jeune inconnue mordilla son clitoris, Charlotte se convulsa bientôt dans ses chaînes et trembla encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, mais elle n'avait pas eu honte. La jeune fille habitait près de la place Saint-Sulpice. Charlotte avait cru, ou voulu croire, pour se donner du courage, qu'elle serait farouche. Elle fut détrompée. Les airs pudiques qu'elle prenait, étaient précisément destinés à l'aguicher. Elle l'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici introduite dans la pénombre du salon, par la jeune fille nue, organisatrice de la séance. En fond sonore, le "Boléro" de de Ravel. Doucement, pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, Charlotte se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, la robe tombant alors sur le sol, pour écouter le clapotis de son sexe déjà ouvert.   Elle pensait à regret qu'elle était bien plus attirante quand ses jambes étaient gainées de bas. Elle avançait nue et désirable vers l'inconnu, la pointe des seins déjà durcie, et l'entrejambe moite. La jeune femme ne percevait qu'un brouhaha, un magma de paroles indistinctes. La confusion la gagnait. Un météorologue aurait été à même de définir son état: brumeux, avec quelques éclaircies à venir. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Sans tarder, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Charlotte devait lui être soumise et l'accueillir avec le même respect avec lequel elle l'accueillait, comme autant d'images de Juliette. Elle tenait d'autant plus à elle, qu'elle la livrait davantage. Le fait qu'elle la donnait était une preuve, et devait en être une pour elle, qu'elle lui appartenait. On ne donne que ce qui vous appartient. Mais Juliette la reprenait aussitôt. Tes yeux se retournent vers mon sourire. Le silence, nous l'avions décidé. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais de cuir serré, son corps supplie. Nue, de dos, debout devant moi. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de te fouetter. Cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore. Tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de coups. Tout est évident. Tu es allongée, au-dessous de moi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable.    Sa pente naturelle l'inclinait en toutes choses à mêler douceur et brutalité. À l'écoute de ses harmonies secrètes, elle agissait d'instinct, sans jamais calculer l'effet de ses caresses. L'inconnue tendit le bras, effleura silencieusement son cou durant de longues minutes, et par ses doigts seuls tout était dit. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Charlotte entrouvrait les lèvres et fermait à demi les yeux. Elle regardait la jeune fille à la dérobée, qui se leva brutalement du canapé. Charlotte n'attendit pas son ordre. Elle avait compris. "- Maintenant, je voudrais te fouetter, je te le demande. Acceptes-tu ?" Elle accepta. La jeune fille lui lia les poignets enserrés par des bracelets au-dessus de la tête, à un anneau chevillé au plafond. Jamais Charlotte ne l'accepta avec autant de joie. Elle attendit et le temps cessa d'être immobile. Sa douceur offerte appelait les blessures autant que les caresses. Elle n'eut jamais d'illusion. Elle était debout, et ses bras levés et joints, faisaient saillir ses seins. La jeune fille les caressa, puis l'embrassa sur la bouche. Quand elle lui eut mis un bâillon, et qu'elle eut saisi un fouet, elle la fouetta longuement. Elle aimait autant la frapper que la voir se débattre. Charlotte se tordait, gémissait, pleurait sous le fouet. Seuls ses yeux pouvaient implorer sa grâce mais elle ne l'obtint pas. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de douleur ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incroyable bonheur masochiste. La jeune fille cessa de flageller Charlotte. Elle défit le collier et les bracelets qui la tenaient captive. En fut-elle délivrée ? Ses cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de Sa sensualité fouaillée. Elle est ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Elles basculèrent, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui les emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, des gouttes de sueur perlant sur ses seins, elle s'abandonna aux désirs saphiques insatiables de la jeune fille. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sous le fouet. Elle appartenait plus que jamais à Juliette. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur amour était scellé à jamais. Se laisser prendre à l'envi, fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs amoureuses confondues. Juliette entendrait, bientôt, encore une fois Charlotte, attachée nue au pied du lit mais heureuse, respirer dans la nuit.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/07/24
Elle ne redoutait pas, comme autrefois, les nouvelles rencontres de son amie. Ces courts enthousiasmes ressemblent trop à des allumettes qui crépitent, l'enfer, la jalousie, et ne laissent entre les doigts qu'un souvenir ridicule. Au contraire, il était peut-être excellent que la jeune fille abandonnât sa liberté pour sa nouvelle Maîtresse et rien ne semblait pouvoir troubler son sommeil. Mais quelle Juliette observait-elle dans la pénombre de leur chambre. L'amante  ou la soumise ? Juliette les aimait toutes à travers ce qu'elle était devenue. Mais comment prétendre aimer quelqu'un à qui l'on ment sur l'essentiel ? S'intaller dans cette contradiction, c'était déjà y répondre. Tant de choses avaient eu lieu et tant de paroles avaient été échangées, souvent si regrettables mais jamais regrettées. Elles avaient déjà éprouvé de la haine mais jamais encore de l'indifférence, qui est son stade ultime. L'oubli étant essentiel à la survie, elles étaient capables d'oublier, non de pardonner. Charlotte, semblait perdue dans une étrange rêverie. Comme cela lui arrivait parfois. Elle s'absentait alors, loin, très loin. Elle ne savait pas encore elle-même, si elle était heureuse. Désespérée d'avoir un corps sans réaction devant la vie, dévorée par quelque chose d'inconnu, qui, qu'elle le veuille ou non, lui prenait tout. Elle me regarda longuement, puis eut un vrai sourire, dans lequel en faisant un effort, on pouvait retrouver ce qui avait été sa féminité flatteuse mais qu'un nouvel élément transformait en une sorte de féminité crispée, mais tout de même empreint de sérénité. Juliette avait eu raison bien à l'avance. Elle paraissait manquer, non pas de loyauté, mais de confiance en elle. Alors, sa Maîtresse, mue par cette force qui habite les cœurs encore jeunes, pensa que sa vie sentimentale ne pouvait abriter deux intrigues à la fois. Elle était poussée, en outre, par je ne sais quelle intime impossibilité de lui mentir. Elles ne possédaient rien ensemble. Rien d'autre qu'un engagement mutuel, un collier, un lit. Rien, aucune activité sociale, aucun contact avec d'autres êtres humains, les lumières du ciel ou de la ville. Il n'était rentré dans leur relation que la vérité, crue et nue, de leur sexualité. Elles n'avaient pas eu besoin de donner le change, pas plus à elles-mêmes, qu'aux autres, et les subtils aménagements ou glissements successifs vers le mensonge et l'omission qui s'opèrent entre amantes, n'avaient pas pu amorcer le chemin qui mène très souvent, vers l'hypocrisie, le compromis et le malentendu librement consenti. Elles n'étaient pas des animaux sociaux. Le mensonge, dès lors, ne servait à rien et elles n'y recoururent jamais. Aussi, Juliette se sentait tenue de tout dire à Charlotte, sans même l'embrasser ou la caresser, mais elle n'avait pas assez compté sur l'appétit qu'elles avaient l'une de l'autre.   La jeune feme avait une sorte de charme, au moins l'avantage de son jeune êge, de son calme et de sa froide considération. Elle n'était inspirée que par le désir de possession. Elle lui fit d'abord l'amour, et le mal après. Sous le fouet, elle ne réagit pas. Elle eut un bref pincement aux commissures des lèvres si promptes à la douleur, et elle baissa la tête, puis elle la releva à peine troublée. Elle tenait à la main la mince ceinture de cuir qu'elle mettait sur sa robe, elle recula d'un pas et fouetta le visage de Charlotte. Cela lui ouvrit la lèvre, et elle sentit le goût du sang. Elle était terriblement effrayée. Son bras repartit pour frapper encore. Mais elle ne fit rien. Elle laissa retomber son bras, lâcha la ceinture et se mit à sourire, sans parler. Elle possédait ce talent, qui est si rare de savoir donner une présence au silence. Charlotte regarda Juliette sans pouvoir prononcer une parole. Elle prit une douche, et se brossa les cheveux. Elle finit de se sécher et passa seulement un peignoir. Et tout en s'essuyant avec une serviette de bain, elle se regarda dans le miroir, en contemplant les lettres JM, ornant son pubis lisse, signe de son appartenance, et surtout les cicatrices, vifs souvenirs des sanglades de cravaches. Sa Maîtresse la fouettait généralement elle-même, mais il lui arrivait de la faire fouetter par une autre jeune femme. Charlotte était très mate de peau, élancée et fine, les yeux bleus dévorant le visage, des cheveux noirs coupés droits au-dessus des sourcils, en frange à la garçonne, Elle avait de petits seins fermes et haut placés, des hanches enfantines à peine formées. À force de la battre, Juliette s'était rapprochée de Charlotte, qui obtint le droit de demeurer près d'elle. Mais elle lui interdisait de la caresser, de l'embrasser fût-ce sur la joue, ou de se laisser embrasser par une autre. Elle voulait qu'elle parvienne à se donner après avoir été touchée par les mains ou les lèvres de qui que ce fût. En revanche, elle exigeait, car elle ne la quittait que très rarement, qu'elle regarde toujours Juliette caresser une autre femme mais uniquement en sa présence et pour son seul plaisir. Sans doute, Juliette avait trop compté à la fois sur l'indifférence et la sensualité de Charlotte par rapport aux jeunes filles. Jamais, elle n'avait eu avec elle l'attitude d'une amante amoureuse. Elle la regardait froidement, et quand elle lui souriait, le sourire n'allait pas jusqu'aux yeux. Mais, elle ne voulait pas se séparer d'elle. Elle tenait d'autant plus à elle, qu'elle la livrait davantage. Le seul fait qu'elle l'offrait chaque jour davantage lui donnait une preuve, qu'elle lui appartenait. Elle lisait son visage, son cou. Ainsi, lorsque Charlotte se sentait traitée injustement, elle roulait les épaules vers l'avant, son cou se gonflait, faisant saillir les muscles, et régulièrement ses épaules retombaient. Elle se tenait comme gelée.    Elle n'a que vingt ans et la robe noire échancrée dans le dos jusqu'aux reins et très serrée à la taille lui donne un sérieux excessivement sensuel. C'est beaucoup d'élégance pour ce jeune chat qu'on voudrait prendre dans ses bras, poser sur un coussin, caresser, abandonner. La jeune femme ignorait le non-dit, les mots entre les mots, les secrets murmurés, les silences éoquents. Dans son monde, on parlait ou on se taisait. On était régi par la tyrannie des convenances. Souvent, elle portait une robe assez décolletée pour qu'on voie le grain de beauté sur son sein. Mais quel repos, quel délice le fouet qui balafre la chair et marque pour toujours, la main d'une Maîtresse qui vous couche sur un lit de fer, l'amour d'une Maîtresse qui sait s'approprier sans pitié ce qu'on aime. Et Charlotte se disait que finalement elle n'avait jamais aimé Juliette que pour apprendre l'amour, mieux se donner, esclave et comblée, à elle. Comme si elle avait deviné l'intensité de son plaisir, qu'elle dissimulait de son mieux sous les râles et les spasmes. Elle apprit à aimer porter des pinces aux seins. Mais Juliette disait qu'elle en profitait trop, que le plaisir effaçait la douleur et que cela était scandaleux. Les lèvres de son sexe étaient en revanche très sensibles, quels que soient ses efforts. Mais cette farouche volonté de ne jamais la décevoir lui permettait alors d'assumer bien des sévices. Elle se concentrait de toutes ses forces pour oublier ses souffrances. Parfois, elle parvenait à oublier la douleur lorsque brisant ses chaînes et la tension nerveuse qui la faisait trembler, Juliette la fouettait et qu'elle se débattait entre ses mains, le visage durci par la peur et le désir. Elle cessait de se raidir, pressée contre le mur, saisie au ventre et aux seins, la bouche entrouverte par la langue de sa Maîtresse, pour gémir de bonheur et de délivrance. La pointe de ses seins se raidissait sous les doigts et parfois même les dents de Juliette. Elle fouillait si rudement son ventre qu'elle croyait s'évanouir. Oserait-elle jamais lui dire qu'aucun désir, aucune joie, aucune imagination n'approchait le bonheur qu'elle ressentait à la liberté avec laquelle elle usait d'elle, à l'idée que Juliette n'avait aucun ménagement à garder, aucune limite à la façon dont, sur son corps, elle pouvait chercher son plaisir. La certitude que lorsqu'elle la touchait, ce fût pour la caresser ou pour la battre. Il arrive que la force du désir se nourrisse dans la chair, d'une succession de faits, de contretemps microscopiques, lesquels finissent par tisser un dessein occulte qui prend alors la forme d'un enchaînement logique et implacable. Comme elle était là, plaquée contre le mur, les yeux fermés, les mains de sa Maîtresse montaient et descendaient le long d'elle la faisant brûler chaque fois davantage. Cette nuit, Charlotte passa une nuit agitée, maintes fois la jeune fille se réveilla en sursaut. L'aube fraîche apaisa son énervement. Elle en conclut qu'elle n'avait plus l'habitude d'être fouettée et quelques traces douloureuses sur ses reins la confirmèrent dans cette idée. Étendue nue sur son lit, elle se remémora la soirée et seulement toute l'horreur de son abandon lui apparut.    Elle savait assez bien admirer et mépriser en même temps: ce sont là deux mouvements de crainte, différemment orchestrés. Plus la jeune femme se rassurait en faisant le plein, plus sa Maîtresse se dépouillait et s'épanouissait dans l'immatériel. Elle frémit à l'idée qu'elle avait pu s'offrir, se laisser ainsi sodomiser dans des poses d'une lubricité atroce par des inconnus. Puis, peu à peu, le souvenir de certaines émotions charnelles supplanta la vague de pudeur qui déferlait en elle. Elle repensa à l'ardente virilité de l'homme et trouva la vie plus belle que jamais. Elle se caressa dans la douce lumière du jour tamisée par les volets. L'après-midi, elle retrouva Juliette qui l'emmena chez Paul. Vêtues toutes deux de blanc, on aurait dit des sœurs, et le miroir éclairé renvoya bientôt aux yeux de l'homme leurs intimités lisses et moites. Bientôt, les deux corps dénudés se roulèrent sur le lit en une étreinte sauvage où Charlotte exhala non sans passion sa volupté toujours puissante. Alors Charlotte abandonna son corps aux désirs sadiques de Paul. Il l'entraîna sur une table haute et l'allongea à plat-ventre, jambes et bras écartés en lui liant les chevilles et les poignets fermement avec des cordes en prenant soin d'étirer ses membres en position d'écartèlement extrême. Paul se saisit d'un martinet aux lanières en cuir et commença avec art à fouetter les reins qui s'offraient à lui. Il débuta doucement, visant le sommet des fesses tendues. Elle n'avait pas très mal. Chaque coup amenait seulement un sursaut, une contraction des muscles, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion légère des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la soumise contrainte sortirent de longs soupirs. Paul, excité, frappa alors plus fort par le travers et les gémissements de Charlotte furent plus profonds et la danse de la croupe s'accentua bientôt. Le plaisir qu'elle prenait, à offrir à sa Maîtresse, autant moite et brûlante, lui était témoin et garant de son plaisir. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure dans les reins et hurla. L'homme la flagellait à toute volée. Il n'attendit pas qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Charlotte crispa alors ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à la tête. Alors sa Juliette s'accroupit près des épaules de Charlotte et lui caressa la tête, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.    Elle n'aimait que les poètes abandonnés dans les mansardes, les jeunes peintres tuberculeux. Elle vivait à la diable. Il y aurait chez Charlotte toujours les deux tendances en elle, l'une l'emportant sur l'autre au gré des vicissitudes. Tout en elle faisait double allégeance. Paul frappa encore plus fort et les fines lanières cinglèrent alors dans un bruit mat les fesses musclées. La suppliciée se mit à gémir en hoquetant et en tordant son frêle buste que sa Maîtresse maintenait tout en le caressant. Elle lui promit toutes les joies charnelles qu'elle voudrait sur son propre corps, mais lui demanda de résister encore. Parfois Charlotte se tournait vers Paul dénudé, qui, tel un démon, les yeux fous de luxure, le ventre tendu, la verge en érection, la flagellait avec une force inouïe. Alors les lanières léchèrent le sexe entre les cuisses écartées et un long cri s'échappa des lèvres de la soumise douloureusement atteinte. Elle voulut fermer les jambes mais des cinglements plus vifs l'atteignirent sur leur coté. Alors, la douleur devint trop vive. Elle ne voulait pas supplier, elle ne voulait pas demander grâce mais Paul entendait l'amener à merci. Charlotte laissa couler quelques larmes sur la main de Juliette qui fit signe à Paul de cesser la flagellation. On la détacha de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que peu de temps. Penchée sur le ventre ouvert de la soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité. Mais elle même, sentit monter en elle la plus violente des jouissances sous la caresse précise de Paul qui, glissant sa langue entre ses reins, lapait la peau satinée de sa voie étroite, tandis que des lèvres de Charlotte s'échappait la plainte d'amour, s'éleva le bruissement étouffé de la chair humide et palpitante de Juliette, jouissant de toutes ses forces. Paul dut maintenir les hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Quand Charlotte eut repris ses sens, tous trois revinrent alors sur le lit. Paul fit prendre à la jeune soumise les positions les plus indécentes, puis à son tour, il lui tendit sa verge en érection. Elle s'agenouilla et le masturba lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair avant de le prendre en bouche. Avec violence le phallus se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres qui l'aspiraient pour le retenir. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge de sperme qu'elle avala religieusement jusqu'à la dernière goutte. Juliette posa son index sur l'anus de Charlotte, et lentement l'enfonça dans les entrailles chaudes, jusqu'au bout. Les yeux fermés, elle cherchait à imaginer, en sentant les contractions des sphincters intimes, la volupté ressentie par un homme dont le membre était pris dans cette voie exiguë. Doucement, elle agita son doigt dans l'orifice offert, tandis que sa soumise redonnait de la vigueur à Paul, par le mouvement de sa bouche refermée et resserrée sur le membre gonflé. Elle comprit qu'à son tour, il souhaitait frayer un chemin au plus étroit. Il ne la laisserait qu'à la nuit tombée, après lui avoir labouré les reins, qu'il lui meurtrirait tant il était épais. Alors, bientôt, il se dégagea, se leva et, attirant par les reins Charlotte, laissa son sexe se caresser au sillon des reins, que Juliette avait laissé à regret. Alors sans préliminaire, il enfonça son phallus, remontant et allant frapper au fond de la cavité de l'orifice naturellement étroit. Dans un long gémissement, elle accepta cette chair qui distendait ses reins non sans se débattre, sans être comblée de honte, mais à laquelle, elle ne se déroberait pas, même si cela lui semblait sacrilège. Elle gémit encore plus fort, quand elle sentit le membre caché, buter au fond de ses entrailles. Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Paul, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche. L'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau. Paul sodomisa profondément ce jeune corps soumis, se regardant glisser hors de l'étui intime, se contracter, distendre les bords plissés de l'anneau anal. Bientôt, l'excitation fut trop forte et il accentua la cadence, secouant la croupe empalée.   Les situations mal définies sont mille fois plus périlleuses: impossible d'y entrer par des calculs, impossible d'en sortir sans aise. L'indomptable volonté de perpétuer la race dans ce qu'elle a d'immuable. Une femme qui ne s'accomplissait que dans le stupre et l'abnégation. Charlotte, elle même avivée par ce frottement intense dans ses entrailles forcées, s'abandonna à son tour, tandis que l'homme lançait en elle, par saccades quatre jets de sperme visqueux et âcre. Elle se tordit de jouissance et, dans une longue plainte, soupira, s'écroula, vaincue par un orgasme dont l'intensité la bouleversa. Paul se retira, la libérant. Charlotte voulut le prendre dans sa bouche pour le laver, mais dédaigneusement, il refusa. Semi-consciente, elle pensa alors seulement qu'aucun orifice de son corps ne serait épargné, qu'elle devrait aussi accepter d'être prise au plus étroit et savait que cette humiliation lui serait infligée par la volonté de la maîtresse qu'elle aimait. Elle était là pour que Juliette assouvisse ses bas instincts, ses plus vils fantasmes. Au fond d'elle même, elle était décidée à ne pas la décevoir. En fut-elle délivrée ? Chaque jour et pour ainsi dire rituellement salie de sueur, de salive, et de sperme, elle se sentait comme un réceptacle d'impureté. Cependant les parties de son corps les plus souvent offensées lui paraissaient, malgré elle, plus belles, comme anoblies. Sa liberté serait bien pire que n'importe quelle chaîne.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/07/24
L'impact a de précieux le Lien qu'il crée entre N/nous. Dans cette Bulle, ou chacun de N/notre côté nous rallions à un plaisir commun. Votre Pouvoir sur moi. Sur mon corps, comme sur mon esprit. C'est une pratique précieuse dont je ne saurais me lasser. Car au delà du plaisir, il marque une attention, une complicité, un partage. Il marque Votre possession. Je distingue l'impact comme une connexion entre deux masochismes, physique et/ou mental, et Vous. Les sensations varient, selon l'état d'esprit, selon l'instrument, et selon Votre vigueur à la tâche. Et mon plaisir jongle d'un masochisme à un autre. Celui d'un plaisir purement physique par les sensations, à un plaisir plus mental. Lorsque la douleur ne se transforme plus, et qu'elle reste à cet état brut.  Car j'aime de ne pas aimer Monsieur.   J'aime Vous subir.   J'adore me sentir impactée par Vous. Sous ces deux formes, diamétralement opposées, mais dont le cœur est, et demeure Vous.  Vous donner. J'adore me soumettre à Vous, et à Vos coups. J'adore ne pas Vous imposer de limites, et Vous sentir jouir de ce corps qui Vous appartient, à Votre faim.  L'impact, c'est aussi le plaisir de Vous sentir m'éprouver, et un moyen de Vous prouver ma ssoumission. À Vous, à Vos désirs, à Vos choix. J'aime Vous offrir mon corps comme réceptacle à Votre sadisme, et ressentir le plaisir vif que Vos actes procurent à ma peau, à mon corps, tout autant qu'à mon âme. La magie de l'impact n'est possible que par ce Saint Graal qui est le N/notre.   N/notre Lien.   Il m'est précieux de conserver des traces de Votre passage. Des bleus, des marques auquel ces souvenirs sont raccrochés. Il est délicieux de Vous porter,  telle une extension de Votre marque sur moi.  J'aime me sentir possédée par Vous jusque dans ma chair. 
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Par : le 19/07/24
Elle s'était déshabillée. Elle l'avait arrêtée, l'avait embrassée violemment. Elle s'était demandée si elle l'aimait vraiment de cette façon, si elle était la même avec d'autres femmes. Elle l'imaginait tenant quelqu'un contre elle, l'embrassant avec passion. Elle enlevait ses bas, lui caressait les seins et elle la voyait enlever les bas d'une femme, caresser les seins d'une femme. Elle n'était pas soupçonneuse: c'était bien pis. Elle n'existait plus du tout. Elle s'était volée d'elle-même. Sa jalousie ne la trompait pas. Il est vrai qu'elle était heureuse et mille fois vivante. Elle ne pouvait pourtant faire que ce bonheur ne se retourne aussitôt contre elle. La pierre aussi chante plus fort quand le sang est à l'aise et le corps enfin reposé. Ce n'est qu'aux moments où elle souffrait qu'elle se sentait sans danger. Il ne lui restait qu'à prendre goût aux larmes. Aussi longtemps et fort qu'elle la flagellait, elle n'était qu'amour pour Juliette. Elle en était là, à cette simple mais ferme conviction: une femme comme elle ne pouvait pas la faire endurer volontairement. Pas après avoir déjà pris la mesure de cette douleur. Elle ne pouvait y trouver ni plaisir ni intérêt. C'est donc qu'il y avait autre chose. Ce ne pouvait être que l'ultime scénario envisagé, celui qui aurait dû s'imposer en tout premier, n'eût été ce délire qui pousse tout amoureux à se croire le centre du monde de l'autre. Depuis, de Juliette, elle attendait tout mais n'espérait rien, du moins le croyait-elle. Le sujet avait été évacué. Il y aurait toujours cela entre eux. Puisqu'elle l'avait fait une fois, pourquoi n'en serait-elle pas capable à nouveau ? Son esprit et son corps la comblaient, mais elle nourrissait des doutes sur la qualité de son âme. Rien ne démentait en elle une mentalité de froide amante dominatrice. Après tout, leurs deux années de vie commune dans la clandestinité la plus opaque qui soit, non pour cacher mais pour protéger, les avaient fait passer maîtres dans l'art de la dissimulation. Charlotte était bien placé pour savoir que Juliette mentait avec aplomb, et vice versa. Elles s'adaptaient différemment à la déloyauté, et cloisonnaient leur existence avec plus ou moins de réussite. Mais jamais elles n'auraient songé à élever la trahison au rang des beaux arts. Puisqu'elle lui mentait, et par conséquent au reste du monde, Charlotte pouvait supposer qu'elle lui mentait aussi. Juliette avait-elle échafaudé ce scénario pour s'évader de tout et de tous avec une autre. L'amour impose le sacrifice et le privilège de l'être aimé. Il leur fallait se reconquérir, alors tous les matins seraient beaux, les lèvres dessinées en forme de baisers, frémir de la nuque, jusqu'au creux des reins, sentir le désir s'échapper de chaque pore de la peau, la tanner comme un soleil chaud de fin d'après-midi, et la blanchir fraîchement comme un halo de lune, que les draps deviennent dunes et que chaque nuit devienne tempête. Autrefois, des idées simples l'auraient aidée à se défendre. Juliette avait tout remplacé. Elle tenait d'ordre et de religion. On ne pouvait la tromper. Charlotte avait faim, elle avait froid et elle était heureuse. Elle l'avait l'air triste et retenu des jeunes femmes qu'on aperçoit, les mains jointes, sur les tableaux anciens.    Elle ne la comprenait pas très bien. Plus tard, seulement, elle avait imaginé ce qu'elle voulait dire. Ce n'était qu'un rêve. Ce qui est solide et vrai, c'était son visage qu'elle voyait très bien à cette heure. Il était plein de reflets, comme les eaux noires qui coulent. Ce visage ne faisait qu'un avec la Seine. Elle savait qu'elle serait entraînée assez loin. Ce fleuve puissant et méandreux où elle entrait aux côtés de son amante ne la lâcherat pas. Elle voyait sa bouche et elle pensait à la bouche d'une autre femme. Cette bouche remuait dans la nuit, pour parler. Dans une autre nuit, elle pouvait s'approcher et vivre contre vous. Comme un être fiévreux, elle pouvait se perdre dans vos cheveux, dans votre corps. Des lèvres, des mains, tels étaient les charmes qui servaient à vous faire mourir. Ils vous étendaient sur des plages inconnues, ils vous recouvraient d'une sustance nommée: plaisir, et Charlotte sentait ce plaisir dans son sang. L'indifférence prépare admirablement à la passion; dans l'indifférence, rien ne compte; dans la passion, rien ne compte non plus, sauf un seul être qui donne son sens à tout. Seul est pur l'élan qui jette les corps l'un contre l'autre, les peaux désireuses d'un irrésistible plaisir. Un lit où l'on s'engouffre, un rêve où l'on s'enfouit, des doigts soyeux, un arpège harmonieux. Refaire sa vie ailleurs, là où on est rien pour personne. Sans aller jusqu'à s'installer à Sydney, combien de fois n'avait-elle pas rêvé à voix haute de vivre dans un quartier de Paris ou une ville de France où elle ne connaîtrait absolument personne. Un lieu au cœur de la cité mais hors du monde. Un de ces Finistères ou Morbihans où elle ne représenterait rien socialement, n'aurait de sens pour personne, ni d'intérêt pour quiconque. Où elle ne serait pas précédée d'aucun de ces signes qui préméditent le jugement, vêtements, coiffure, langage, chat. Une parfaite étrangère jouissant de son anonymat. Ni passé, ni futur, sérénité de l'amnésique sans projet. N'était-ce pas une manière comme une autre de changer de contemporain ? Une fuite hors du monde qui la ferait échapper seule à la clandestinité. À tout ce qu'une double vie peut avoir de pesant, de contraignant, d'irrespirable. Vivre enfin à cœur ouvert. Ce devait être quelque chose comme cela le bonheur. Un lieu commun probablement, tout comme l'aventure intérieure qu'elle avait vécue avec elle. Mais souvent hélas, la vie ressemble à des lieux communs. Une mécanique perverse fait que le corps s'use durant la brève période d'une maturité dont nul n'ignore qu'elle est un état instable. Rien de plus menacé qu'un fruit mûr. Des mois précèdent cet instant de grâce. Des semaines accomplissent l'épanouissement. Entre ces deux évolutions lentes, le fruit se tient, l'espace d'un jour, à son point de perfection. C'est pourquoi la rencontre de deux corps accomplis est bouleversante. Juliette en était là. Charlotte aimait la retrouver parce que, en elle, elle se retrouvait. De ce qui n'était qu'un grand appartement sans âme, elle en avait fait un refuge à semblance: lumineux, paisible, harmonieux. Les chambres qu'habitèrent des générations de gens sans goût dont la vie morne avait déteint sur les murs, Juliette les avaient meublées de couleurs exactes et de formes harmonieuses. Le baroque engendre souvent la tristesse et le confort l'ennui lorsqu'il se résume à une accumulation de commodité. Chez elle, rien n'offensait ou n'agaçait. C'était un endroit pour états d'âme et étreintes joyeuses. Charlotte demeurait alors dans un plaisir qui lui faisait sentir chaque centimètre de son corps.    Elle portait des talons hauts car elle se savait désirable ainsi. Elle savait que juste couverte d'un triangle d'or, les cils battants rehaussant son impassible visage d'idole, elle se ferait prier pour être ligotée, frappée et suppliciée. Elle rêvait d'être foudroyée dans l'extase. Dans son genre, la lucidité est une passion aveugle. Elle voit tout, mais elle tue ce qu'elle voir. Elle voit tout, sauf la vie, qui reste importante, même pour ceux qui n'en sont pas amateurs. Elle avait crée chez elle un microclimat privilégié fait d'un confort invisible qui se haussait à la dignité de bien-être et de cette forme supérieure du silence, le calme. Les yeux de Charlotte la voyaient telle qu'elle était. Juliette la dominait mais en réalité, c'est Charlotte qui devait veiller sur elle et la protéger sans cesse de ses frasques, de ses infidélités. Elle ne supportait mal d'être tenue à l'écart. Avec une patience d'entomologiste, elle avait fait l'inventaire du corps de Juliette et souhaitait chaque nuit s'en régaler. Elle s'arrêtait pas sur ce qui, dans le corps, atteignait la perfection. La ligne souple du contour de son visage, du cou très long et de l'attache de ses épaules, cette flexibilité qui fascinait tant Modigliani en peignant sa tendre compagne, Jeanne Hébuterne. Charlotte avait connu la révélation en pénétrant pour la première fois dans l'appartement de celle qui allait devenir sa Maîtresse et l'amour de sa vie. Elle n'avait ressenti aucune peur, elle si farouche, en découvrant dans une pièce aménagée les martinets pendus aux poutres, les photos en évidence sur la commode de sycomore, comme une provocation défiant son innocence et sa naïveté. Juliette était attentionnée, d'une courtoisie qu'elle n'avait jamais connue avec les jeunes femmes de son âge. Elle était très impressionnée à la vue de tous ces objets initiatiques dont elle ignorait, pour la plupart l'usage, mais desquels elle ne pouvait détacher son regard. Son imagination la transportait soudain dans un univers qu'elle appréhendait sans pouvoir cependant en cerner les subtilités. Ces nobles accessoires de cuir, d'acier ou de latex parlaient d'eux-mêmes. Ce n'était pas sans intention que Juliette lui faisait découvrir ses objets rituels. Elle savait qu'elle fuyait plus que tout la banalité. Elle avait pressenti en elle son sauvage et intime masochisme. Les accessoires de la domination peuvent paraître, quand on en ignore les dangers et les douceurs d'un goût douteux. Comment une femme agrégée en lettres classiques, aussi classique d'allure pouvait-elle oser ainsi décorer son cadre de vie d'objets de supplices ? L'exposition de ce matériel chirurgical, pinces, spéculums, anneaux auraient pu la terroriser et l'inciter à fuir. Mais bien au contraire, cet étalage la rassura et provoqua en elle un trouble profond. Juliette agissait telle qu'elle était dans la réalité, directement et sans détours. Instinctivement, Charlotte lui faisait confiance, cédant à la curiosité, recommandant son âme à elle, comme un tournesol au soleil. Un tapis rugueux entoure la tendre muqueuse, la nature a créé là, par souci de poésie un pur contraste, propre à égarer les mains indélicates. Le mystère de la miction se confond avec la pluie et les cours d'eau.   Chaque émission devient alors l'occasion d'un plaisir et d'un savoir, le plus parfumé et le plus goûteux, comme une orange ou un abricot. Elle se réjouissait de la jeunesse de sa race et son amante devinait, au coin de ses lèvres, le pli qui disait la mélancolie d'être née trop tôt. Elle titubait de bonheur. Maintenant on pouvait tout lui prendre, sa vie, ses désirs, elle acceptait. Même si son amante était menteuse, inconstante, égoïste, à peu près comme un pays produit du maïs ou de la tourbe. Elle ne marchait plus seule dans la nuit éprouvant un véritable soulagement d'avoir enfin trouver la maîtresse qui la guiderait. Malgré le cuir, l'acier et le latex, elle est restée avec elle ce soir-là. Elle n'a plus quitté l'appartement et elle devenue l'attentive compagne de Juliette. Car, en vérité, si elle avait le goût de l'aventure, si elle recherchait l'inattendu, elle aimait avant tout se faire peur. Le jeu des situations insolites l'excitait et la séduisait. Le danger la grisait, la plongeait dans un état second où tout son être se dédoublait, oubliant ainsi toutes les contraintes dressées par une éducation trop sévère. Ce double jeu lui permettait de libérer certaines pulsions refoulées. De nature réservée, elle n'aurait jamais osé jouer le rôle de l'esclave jusqu'à sa rencontre avec Juliette. La fierté dans sa soumission lui procurait une exaltation proche de la jouissance. Était-ce seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou de se livrer sans condition à un tabou social et de le transgresser, avec l'alibi de plaire à son amante, d'agir sur son ordre. Elle apprit à crier haut et fort qu'elle était devenue une putain quand un inconnu la prenait sous les yeux de Juliette. Agir en phase avec son instinct de soumise la faisait infiniment jouir. Étant donné la manière dont sa Maîtresse l'avait livrée, elle aurait pu songer que faire appel à sa pitié, était le meilleur moyen pour qu'elle redoublât de cruauté tant elle prenait plaisir à lui arracher ou à lui faire arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Ce fut elle qui remarqua la première que le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la peine et de recommencer parfois presque aussitôt. Elle ne souhaitait pas partir, mais si le supplice était le prix à payer pour que sa Maîtresse continuât à l'aimer, elle espéra seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi, et attendit, toute douce et muette, qu'on la ramenât vers elle. Sous le fouet qui la déchirait, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à l'amour. On s'étonna que Charlotte fût si changée. Elle se tenait plus droite, elle avait le regard plus clair, mais surtout, ce qui frappait était la perfection de son immobilité, et la mesure de ses gestes. Elle se sentait désormais, au cœur d'un rêve que l'on reconnaît et qui recommence. Elle avait enfin reconquis Juliette. Elle ne s'avouait pas complètement sa vie. Elle cachait aussi la passion, à moitié étouffée, qui subsistait dans son cœur pour la littérature. Cet autre monde l'entraînait vers la solitude, l'espoir d'une vraie solitude où la vie serait limitée par les quatres côtés d'une page blanche, où l'on serait en prison et libre à l'intérieur. Dans son inspiration, elle trouverait autant de plaisir que sur les lèvres de son amante. Elle débrouillerait les choses. Elle ferait semblant d'avoir confiance. Elle serait séduisante, pour lui plaire. La nuit l'aiderait à supporter cette idée. Dans la nuit, rien n'est vrai, moins qu'autre chose, si ce n'est qu'un monde abject d'ignobles outrances, un appel obscur vers l'au-delà.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 19/07/24
Jeux SM (1ère partie) La rencontre   J’ai donné rendez-vous à la très jeune femme rencontrée sur un site dédié au bdsm et plus particulièrement au SM que je pratique en tant que maître depuis plusieurs années, cette rencontre a été décidée après un long dial ou j’ai expliqué à maîtresse Malika, (c’est le pseudo qu’elle utilise)  alors qu’elle m’a avoué être novice, que j’aimerais tester l’autre face du miroir en réel, en effet je m’entraine depuis plusieurs mois, seul ou en virtuel, via skipe, avec des dominas plus ou moins expérimentées à subir quelques supplices, j’utilise les divers accessoires que j’ai acheté au cours des années, sur le net ou en boutiques spécialisées. J’ai proposé bien sûr à cette jeune femme de mettre tous ces jouets à sa disposition et de lui en expliquer le maniement, je deviendrais en quelque sorte son initiateur et son cobaye…. Le jour « j » est enfin arrivé la séance se passera dans un appartement que je rénove en vue de le louer, nous aurons toute la matinée les ouvriers n’arrivant que vers 14h30. Il est 8h30, je suis là depuis quelques minutes, quand on sonne à la porte, c’est elle ! parfaitement à l’heure. Elle est vêtue d’un chemisier transparent qui ne cache rien de sa menue poitrine elle a des petits seins comme je les aime, une mini-jupe très courte et des hauts talons mais son minois me laisse perplexe quant à son âge.  Bonjour Agatha es-tu certaine d’avoir 18 ans ? Bonjour ! (Sa voix est autoritaire) d’abord appelle moi Maîtresse et oui j’ai 18 ans, tu veux voir ma carte d’identité ? Non, non c’est que tu fais si jeune Fous toi à poil et montre-moi tes jouets ! Je m’exécute et une fois nu, je lui fais l’inventaire en expliquant l’usage des « jouets » Voilà, il y a 3 plugs de belle taille, diamètre au plus large respectivement 8 cm, 9,5cm et 10 cm, si j’ai déjà réussi à introduire les 2 premiers, il faut dire que depuis mon adolescence à cause ou grâce à une cousine dont j’étais amoureux, mon cul a avalé pas mal de choses. Mais c’est une autre histoire que je vous narrerai une autre fois. Malgré ce long entrainement, le dernier refuse toujours de rentrer. Un parachute en métal, muni de crochets qui permettent d’y attacher des poids, Des aspires tétons à piston, 12 petites pinces en métal qui serrent très très fort, une paire de pinces chinoises qui se serrent de plus en plus, au fur et à mesure que l’on tire dessus. Un long et gros gode ceinture (25cm de long sur 7,5cm de diamètre), Une baguette ronde en plastique, une en bois et une carrée en bois également, toutes les 3 d’un m de long et d’un cm de section, Un martinet, une règle plate 4cm de large, 80cm de long et enfin un paddle épais. Tu vois il y a de quoi t’amuser, dans cette caisse tu trouveras des poids de 500gr à 4kg qui vont par paire 2 de 500gr, 2 de 1kg, 2 de 1,5kg etc.. Ça sert à quoi ? demande t’elle ingénument C’est pour mettre dans le seau que tu vois là après l’avoir suspendu au parachute que voilà. Mets le dit elle Je mets un peu de lubrifiant sur mes parties et l’anneau du parachute en lui expliquant que c’est afin de pouvoir le serrer autour de mes couilles sans me pincer la peau. Ok, Ok, fais voir ! ça tient bien ? dit-elle en tirant vers le bas sur les crochets, Tourne-toi ! que je te passe les menottes ! Comme ça ? dis-je en tendant mes poignets Dans le dos dit-elle c’est mieux, allez ! Je mets mes mains dans le dos, les menottes se referment sur mes poignets Va jusqu’ à la table elle prend ma bite entre ses doigts et me guide, je bande comme un fou, ce qui la fait sourire, elle me plaque les cuisses contre la table, ma bite est en érection bien au-dessus du plateau. Ecarte les jambes, mieux que ça je dois pouvoir les attacher aux pieds de la table, j’obéis  Voilà c’est parfait comme ça, elle va chercher le seau et le suspend aux anneaux du parachute, elle pèse un peu dessus, je pousse un petit cri, elle se relève et va fouiller dans son sac, je devine, ayant le dos tourné, au glissement qu’elle enlève sa petite culotte, quelle me fourre dans la bouche assez profondément et ajuste dans le même tps un bâillon boule qu’elle sert très fort, ma langue est complètement immobilisée plus moyen de proférer un son autre qu’un grognement sourd. On va commencer par un poids de 4kg et joignant le geste à la parole elle laisse tomber le poids dans le seau, je pousse un hurlement qui reste complètement étouffé par le bâillon. Elle repasse devant, elle a la règle plate à la main elle me décalotte un peu plus mais ce n’est vraiment pas la peine ma queue est tirée au maximum sous l’effet du poids qui tire sur mes bourses. 10 coups sur cette belle queue tu en penses quoi ? HUMmm !! les coups s’abattent lentement, réguliers et très fort sur mon gland qui s’écrase sous chaque coup de règle, sur la table. Et de 10 ! ma parole plus je frappe plus tu bandes, tu aimes ça on dirait ! elle disparait de nouveau derrière moi. 10 coups de cette belle baguette sur tes fesses et je reçois 10 coups de la baguette ronde en plastique, là aussi elle prend son temps, la garce entre chaque coup qu’elle assène très fort sur mes fesses. J’en jouis presque, bien que je commence à m’inquiéter tant sa ferveur la conduit à me frapper de plus en plus fort. J’aimerais que tu te penches sur la table pour les fessées et disant cela elle appuie sa main dans mon dos pour me faire allonger sur la table, je suis plié en 2 le cul à l’air quand un 2ème poids tombe au fond du seau Et 4kg de plus, dit-elle joyeusement, je hurle de douleur mes couilles n’ont jamais été aussi tendues. 10 coups, heu non 20 de cette belle règle carrée en bois je n’ai pas le tps de réagir que le 1er coup s’abat sur mes fesses déjà bien endolories, au 20 -ème coup, je crie grâce mais aucun son audible ne sort de ma bouche. Tu aimes vraiment ça, on dirait ! dit-elle en rigolant tandis qu’elle pince ma queue pour en juger la dureté. En effet je bande comme un fou, alors que mes fesses brulent de mille feux. Allez debout on va s’occuper de ta queue et 20 coups de règle se succèdent sur mon gland maintenant brulant et devenu rouge écarlate. Les tétons maintenant ! et disant cela elle ajuste les aspires tétons et pompe une dizaine de fois sur chacun de mes tétons qui emplisse la cloche me faisant rebander de plus belle C’est qu’il aime vraiment ce salaud, 20 coups de règle retentisse sur mon gland tuméfié qui malgré ce traitement reste dur et bien dressé et laisse échapper quelques gouttes de liquide transparent, signe annonciateur d’une jouissance proche. On se penche maintenant dit-elle gentiment en me poussant dans le dos, les aspires tétons s’écrasent sur la table ce qui m’oblige à rester comme suspendu ce qui amplifie la cambrure   de mes reins et 30 coups de martinets me sont donné, ils touchent à la fois mes fesses, mes boules et ma bite qui pend désormais sous la table, à peine le dernier coups reçu qu’un nouveau poids tombe dans le seau j’ai l’impression de ne plus sentir mes couilles, qu’elles vont s’arracher tant la tension est grande, je râle de plus en plus fort en suppliant menaçant même, enfin je le pense car mes cris sont à peine des murmures. Tu râles, alors que je n’ai mis que 500 gr pour ta peine je rajoute un kg et vlan le poids tombe dans le seau, ajoutant une tension supplémentaire, je pleure de rage et de douleur  ce qui a pour effet de l’exciter encore plus, elle me relève et enlève les aspire tétons  pour les remplacer par 2 pinces en métal, l’une superposant l’autre, sur chaque tétine, la pression est telle que je pleure de plus belle, elle remet ma queue sur la table sans ménagement et s’applique à y mettre des pinces : 3 sur la longueur dessous la dernière pinçant le prépuce, la douleur est atroce puis 3 autres sur le pourtour du gland et 2 de part et d’autre du méat, En position de fessée ! vite ! dit-elle en me frappant cette fois avec la baguette ronde en bois 30 nouveaux coups s’abattent sur mes fesses que je devine toute marbrées de ces coups. J’aime bien celle-là, c’est la mieux on la manie bcp plus facilement que les autres. Tu veux bien que je redonne 50 coups avec celle-là pour me faire plaisir. Oui ! tu es vraiment super je te promets de frapper bien fort et la voilà qui me frappe de toutes ses forces avec la baguette ronde en comptant bien haut, au 30 -ème coups elle s’arrête je pense qu’elle va enfin me délivrer mais non elle dit Suis-je bête j’ai oublié d’ajouter un poids et elle jette un poids de 2kg et un autre de 3kg Je hurle de toutes mes forces que je n’en peux plus qu’il faut qu’elle s’arrête mais rien ni fait de toute façon ce que je dis est incompréhensible à cause du bâillon. Ou j’en étais déjà, tu te rappelles, non bon et bien on va recommencer à zéro et elle reprend la série de 50 coups avec la baguette ronde. Puis elle me relève, enlève les pinces de mon gland et de ma bite elles se sont incrustées dans ma chair profondément, celle de mes tétons elle les remplace par les pinces chinoises y attache une longue corde qu’elle vient fixer aux pieds de la table devant moi ce qui m’oblige à, de nouveau, me pencher sur le plateau et cette fois plus moyen de me relever, chaque tentative tire sur mes tétons de manière atroce je la vois s’équiper de mon gode ceinture, l’enduire généreusement de lubrifiant puis elle s’essuie les doigts sur mon anus y entrant au passage 2 ou 3 doigts bien profond. J’ai tjrs eu envie de faire ça, enculer un mec grâce à toi je vais enfin pouvoir réaliser mon rêve, et elle appuie le bout du gland du gode sur mon anus elle force doucement en donnant des petits à-coups de plus en plus fort je sens mon anus s’ouvrir doucement, le gode me pénètre d’un coup au moment ou mon sphincter lâche elle se retire doucement presque entièrement et s’introduit de nouveau assez vite et profond, du sperme gicle de ma verge sous l’effet de cette pénétration.  Elle s’étonne, Ça ne va pas jusqu’au bout ? Je fais non de la tête en poussant des grognements.  Il faut que ça rentre tout entier et elle pousse de plus belle, ses coups de reins sont de plus en plus violents, je sens le gode s’enfoncer un peu plus à chaque saillie. Mon pénis pleure autant que moi. Cela fait maintenant 2h que je suis attaché ainsi à sa merci quand on sonne à la porte. Ah ! enfin voilà du renfort dit-elle en allant ouvrir, 3 jeunes femmes sont là devant moi qui papotent sur mon sort en détaillant mon anatomie….   La suite au prochain numéro…      
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Par : le 18/07/24
À l'orée du crépuscule, tapis dans les ténèbres où l'ardente rêveuse abritait ses peurs les plus intimes, les fantasmes guettaient, de plus en plus fiévreux, mais il les tenait à distance sournoisement. D'un coup, ce prénom était sorti de la gorge de la jeune femme, qu'elle avait étroite en cet instant. L'homme se retourna, tandis qu'elle venait à lui, sans préméditation, avec cette simple envie de l'enlacer, de l'ébouriffer de caresses. Mais il se devait de la dominer sans sentimentalisme. Alors, il se contourna tout à fait vers Charlotte, toujours allongée sur le ventre. La nuit était tombée depuis un petit moment, une nuit claire de pleine lune qui tapissait la chambre d'ombres bleues. Elle avait gardé les yeux fermés. Il croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'il contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, losqu'il était arrivé, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Il lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle avait dit plus fort et il avait noué des liens plus étroits. D'elle-même alors, elle s'était laissée tomber sur le lit. Cela l'avait beaucoup excité de la sentir aussi vulnérable en dessous de lui. Il s'était dévêtu rapidement. Il lui avait retroussé la jupe d'un geste sec. Il avait écarté le string pour dégager les fesses et l'avait pénétrée ainsi, tout habillée. Jamais Charlotte n'avait senti plonger en elle un membre aussi raide. Le plaisir du viol, peut-être, ou le frottement de l'élastique du string contre son pénis avaient aiguisé l'ardeur de Xavier. Longtemps, il l'avait pénétrée ainsi, les mains posées à plat sur ses épaules. Longtemps et méthodiquement, dilatant du gland seulement l'entrée de l'orifice le plus étroit, pour l'élargir encore plus, s'enfonçant ensuite lentement, puissamment entre ses reins. Longtemps et à son rythme. Il allait et venait, d'avant en arrière, de haut en bas, ou imprimant à son sexe un mouvement de rotation comme s'il voulait explorer le moindre recoin de ses entrailles, non pour lui faire mal ou pour l'humilier, mais seulement pour la satisfaire car Charlotte lui avait avoué qu'elle préférait être prise ainsi. Alors c'était lui, et lui seul qui menait la danse. Si elle s'avisait de remuer un peu trop le bassin, au risque de précipiter le dénouement, une claque sur les fesses la ramenait vite à plus raisonnable docilité. Elle feignait la douleur, faisant semblant de chercher à se détacher de l'étreinte en se tordant les poignets pour le seul plaisir de se sentir vulnérable et prisonnière. C'était cela, un homme était entré de force chez elle. Il l'avait bousculée, insultée, ligotée et maintenant elle gisait là, en dessous de lui, sous son contrôle, subissant ses coups de boutoir. Pour l'instant, il la violait en la sodomisant mais le pire restait à venir.   À présent, à chaque fois qu'il s'enfonçait en elle, ses reins se contractaient autour du membre durci, en ondulant avec une audace et un abandon sauvages qui lui étaient interdits. Surprise, elle se laissa faire, et cet outrage sans méthode eut le goût d'une première fois, sous un ciel tout en clarté que ne contrariait aucun nuage. Bientôt, il la contraindrait aux pires humiliations que son imagination esquissait parfois. Il lui ferait dégringoler les échelons, il la rendrait plus femelle que femme, plus chienne que femelle, plus chienne que chienne. Elle devrait le sucer sans doute, être fouettée, ou se masturber devant lui avec toutes sortes d'objets, à quatre pattes sur le sol. Oui, c'est cela ... À quatre pattes sur le sol et au milieu du séjour. Elle n'aurait pour tout vêtement que le bandeau qu'il lui aurait mis sur les yeux. Il serait assis en face d'elle et la regarderait exécuter ses ordres. " Prends ceci et enfonce-le ... C'est ça ... Bien au fond ... Plus loin encore ... Ressors-le maintenant ... Renfonce-le .... Il lui passerait tout ce qui lui tomberait sous la main, des objets de tous les jours qu'elle ne reconnaîtrait qu'au toucher, parfois horrifiée par leur taille. Qu'importe ? Tout devrait entrer profond. Tout devrait sortir. Tout devrait entrer à nouveau. De temps à autre, il changerait de poste d'observation. Il la regarderait se contorsionner sous tous les angles, écarter les cuisses, creuser davantage le dos pour mieux s'ouvrir, pour que l'introduction de l'objet soit moins difficile à supporter. Il ouvrirait grands les rideaux. Il la pousserait jusqu'à la fenêtre et elle devrait finir de se consumer là, à pleines mains, avec tous ces gens qui passent en bas, dans la rue, et qui pourraient la voir. Malgré la terreur et la honte, elle ne résisterait pas au plaisir de ses doigts mécaniques. Elle finirait par se tordre de volupté à ses pieds. Elle avait joui la première, juste quand elle avait senti les lèvres de Xavier s'approcher de sa nuque, lorsqu'il y avait posé les dents et qu'il lui avait mordu la peau. Il s'était effondré sur elle de tout son poids. Pour leur plus grand bonheur. - Tu veux que je détache ? - Non, pas encore, j'aime bien être comme ça tout près de toi. Elle ne mentait pas. Ainsi immobilisée, elle ne craignait rien du ciel. Grâce à ses liens, elle était libre de s'abandonner à la langueur qui suit l'amour. Il lui semblait que Dieu n'attendait que l'instant où Xavier la détacherait pour la foudroyer sur place. Mais on ne s'attaque pas à qui est sans défense. Les victimes ne redoutent pas les divins courroux. La ceinture d'éponge qui lui entravait les poignets, c'était un sursis avant l'enfer. Pour l'instant, elle était au paradis. Le miroir, encore et encore le miroir, comme un confesseur auquel Charlotte, grave et nue, se serait soumise chaque soir. Elle regardait ses poignets. Elle observait le fin sillon rougeâtre qui cerclait chacun d'eux comme de minces bracelets gravés à sa peau. Elle portait les mêmes traces aux chevilles, et d'autres encore, ailleurs, moins visibles: là, à la base du cou, ici, autour des épaules, là encore au sommet des cuisses.   Cette communion n'avait été qu'une illusion, elle se savait, la connexion de deux esprits dans l'outrance. Certains excès pourraient s'améliorer. Alors soudain elle se ravisa, et songea qu'elle avait perdu la tête d'éconduire un homme pareil, un si concerné par elle. La taille de cette passion lui fit honte. Se coucher nue sur le lit à barreaux ? Parfait. Quoi d'autre ? Ouvrir la boîte, en sortir les sangles de cuir, les plus larges, les boucler autour des cuisses, juste au dessus du genou ? Si tu veux. J'aime cette odeur puissante du cuir et sa souplesse sur ma peau. À chaque sangle est fixée une chaînette dont le dernier maillon est un cadenas ouvert. Tu veux que que je verrouille ces cadenas aux barreaux ? Et me bâillonner moi-même ? Les chaînes sont courtes, pour y arriver, je dois me tenir sur les omoplates, les jambes très écartées, mais j'y arrive. Je le regarde avec attention, bien en face. Il me donne tous les détails, le protocole de nos relations. La manière dont, je devrais toujours me mettre à genoux. La lingerie que je devrais porter dorénavant, et ne pas porter, surtout. Deux jours plus tard, nouveau rendez-vous. Je me suis déshabillée, et au milieu du salon, devant une sorte de lourd guéridon bas où reposait une fine cravache. Xavier m'a fait attendre un temps infini. Il était là bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper, sur les fesses, les cuisses et les reins, en stries parallèles bien nettes. "-Compte les coups." Et ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé qu'il allait s'arrêter, qu'il faisait juste cela pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. Il s'est arrêté à trente, et je n'étais plus que douleur, non j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré, et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie, puis par l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser, au plus profond, de me déchirer. Cela lui a plus, mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais le visage brouillé de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant, jusqu'au fond, jusqu'à la glotte. L'honorer en espérant le boire jusqu'à la dernière goutte. Cela fait deux ans que cela dure.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/07/24
Lorsque Mary, la chef de toutes les agences de la CIA et autres officines de barbouzes US en Ukraine finit sa prise de connaissance des dossiers, elle blemit.  - merde, salopards de ruskofs. Ils sont en train de nous la foutre bien profond. Et notre endormi de Président qui est tombé à pieds joints dedans.  Oublié son désir de vengeance contre le général Valeri. Elle aurait bien donné ses couilles à bouffer aux rats des égouts de kiev. Même si ces derniers sont déjà bien gras. Valeri et ses coups tordus ne sont que des diversions. Mary est encore plus blanche de rage. Rien à foutre de l'assassinat de cette pute lesbienne de général Jennifer. Pendant que les services veulent flinguer la milice privé stalin, les russes avancent leurs vrais pions mortels. Mary appelle son maître et son amant, Elon, l'homme le plus riche du monde avec ses fusées, ses voitures, et ses entreprises. Avec sa puce neuralink de dernière generation, elle communique directement par la pensée avec son Maître.   - j'ai compris le plan des russes.  C'est tout de même bizarre qu'ils avancent si lentement. Ils nous prennent pour des cons. Leur plan est le même que celui de Ben Laden, faire tomber la France !!! - Avec sa dette astronomique, ce n'est plus qu'une salope à sodomiser. Elon et son sens des images..... -Le problème c'est que la France, ce n'est pas la Grèce.....c'est tout l'occident qui va suivre. -Pas grave, nous les milliardaires on va gagner encore plus. Ça te dirait un château discret en bord de Loire. Et puis Vladimir est un pote. S'il gagne, je gagne aussi.  - putain ta puce me fait mouiller. Je sens la crise d'orgasmie arriver. ....ahhhh.... Mary a joui de façon incroyable et en série. Son cœur va finir par lâcher à ce rythme....Elon a participé....il veut découvrir tous les secrets des orgasmes cérébraux. De toute façon tout est enregistré via la puce. Encore une idée pour gagner des billiards de $.  Mary s'en fout. Elle est bien. Elle aime son Elon, même si elle sait qu'elle n'est qu'une des femmes de son Harem. Lui au moins a su aimer son gros cul, son intelligence hors normes, et ses taches de rousseur...  
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Par : le 17/07/24
"Il faut porter en soi un chaos, pour mettre au monde une étoile dansante." – Friedrich Nietzsche   Manifeste d'une Funambule Émotionnelle   Je suis une funambule, Oscillant tantôt à droite, tantôt à gauche, Rarement en équilibre en mon milieu. Mes émotions sont un fil tendu, Vibrant sous la tension de chaque pas que je fais. Quand l'attention, cette attention dont j'ai tant besoin, N'est plus comprise, je vacille. Mon cœur bat la chamade d'incompréhension, Chaque battement résonnant comme un cri silencieux.   Manifeste de larmes et de silence   Mes larmes montent, prêtes à déborder, incontrôlables. Elles sont le reflet de mes émotions que je tente de faire taire, Mais qui se libèrent malgré tout, me faisant voler en mille éclats. Ces émotions, lorsqu'elles se libèrent, Leur venin coule dans mes veines, s'insinuant avec une brûlure amère. Elles ne sont pas mes meilleures alliées; Elles amplifient mes peurs et mes doutes, Me désarmant totalement.   Manifeste de mots manquants   Tout cela, pour des mots que je n'ai pas, Des mots que je ne reçois pas. Un sentiment perfide s'infiltre alors, Nourrissant ce feu dévastateur qui consume mes espoirs. La terre de mon âme est aride, Chaque éclat de rêve brûlé se mêle À la poussière de mes aspirations.   Manifeste de l'éclat perdu   Quand je pense avoir perdu de mon éclat, Que ma lumière intérieure s'est éteinte, Je retrouve cette force, ce contrôle qui m'empêche de ressentir, Faisant de moi cette guerrière Qui ne connaît pas la vulnérabilité. Je me brise dans mon incompréhension, Chaque morceau de moi-même alimentant ce feu insatiable.   Manifeste de l'abandon   Et quand je pense que je n'intéresse plus mon autre, Que je ne suis plus au centre de ses pensées, Le gouffre de l'abandon se creuse un peu plus.   Manifeste de la l'interiorité   Pourtant, malgré cette tempête intérieure, J'aime me réfugier au plus profond de moi. Un refuge où je peux retrouver des fragments de paix, Loin des attentes non satisfaites Et des regards indifférents.   Manifeste de l'ombre et de la lumière   Mais l'ombre de l'incompréhension reste présente, Me rappelant constamment que les écrits, Les pensées, ne sont que des vérités d'un instant, Des intentions non transformées en réalité.   Manifeste de la foi naïve   Se laisser submerger par la croyance Que l'autre est animé par les mêmes intentions Est une certaine forme de naïveté, sans doute. Mais c'est aussi un acte de foi, Une ouverture de cœur qui, même lorsqu'elle est trahie, Témoigne de notre capacité à espérer, À croire en la possibilité d'une connexion véritable.   Manifeste du funambule   Et ainsi, je continue à avancer sur ce fil tendu, Funambule des émotions, Cherchant cet équilibre précaire entre l'espoir et la réalité, Entre la douleur et la guérison. Chaque pas est une nouvelle tentative, Une nouvelle chance de trouver la paix intérieure, Même dans les moments les plus sombres. Car malgré les éclats, malgré le venin et les larmes, Il y a en moi une lumière qui cherche toujours à briller.   Manifeste de la course effrénée   Je me livre à une course effrénée contre moi-même, Tentant de devancer mes propres démons, De dépasser mes peurs et mes doutes. Cette course est à la fois épuisante et libératrice, Une quête incessante pour retrouver cet équilibre, Cette harmonie que je cherche désespérément.   Manifeste de la force contrôlée   Dans cette course, je connais ma force, je la contrôle. Je redeviens dure, tranchante, sans appel. Je me bats pour chaque instant de clarté, Chaque moment de paix, Refusant de laisser ces ombres définir ma réalité.   Manifeste de la flamme intérieure   Et même lorsque la fatigue menace de me submerger, Je puise dans cette détermination inébranlable, Cette flamme intérieure qui refuse de s'éteindre.   Manifeste de l'acceptation   Car au final, être funambule, C'est accepter la fragilité de chaque instant, La beauté de chaque pas incertain. C'est trouver la force dans la vulnérabilité, La lumière dans l'obscurité, Et avancer, toujours avancer, Vers cette vérité intérieure qui me guide et m'illumine, malgré tout. LifeisLife
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Par : le 17/07/24
Regard perdu dans le vide, respiration rapide dans cette salle d'attente,elle était  anxieuse et un peu troublée.  Sa tenue qui était classique ne laissait pas transparaître son état.  C'était la première fois qu'elle allait réaliser ce genre d'examen et elle ne savait pas trop à quoi s'attendre malgré des heures de lecture sur le sujet.  C'est alors que la porte s'ouvrit "Me *****, c'est à vous." Une voix douce et gentille s'adressait à elle, la femme en blouse blanche semblait amicale et inspirait un sentiment de confiance .  Un peu intriguée que la personne précédente ne sorte pas, elle se ressaisit et pris ses affaires en se levant.  Changement de pièce, devant elle se trouvait un grand bureau et un fauteuil, un ordinateur, un cahier et quelques stylos. Elle pris place sur une des chaises après y avoir été invitée.  La doctoresse lui posa quelques questions de routine sur son état physique et lui expliqua brièvement ce qu'Elle allait réaliser sur son corps... Elle dû enlever ses vêtements et elle se retrouva en sous vêtements , de plus en plus gênée. Il faut dire qu'elle portait une cage de chasteté, seul indice de son sexe masculin d'origine. La médecin regardait partout en détaillant son corps, prenait ses mensurations en touchant ce corps qui commençait à être excité.  Bras levés, Elle inspecta sa poitrine qui bien que menue laisser apparaître de jolis tétons dressés. Jambes légèrement écartées, la médecin touchait le tissus pour mesurer le galbe de ses fesses et la façon dont la cage était maintenue. Vint le tour du stéthoscope, du tensiomètre, du capteur d'oxygène qui lui restat au bout de son doigt, s'affolant au rythme de ses pulsations cardiaques.  Allongez vous sur le dos ! Le ton gentil et doux avait laissé place à autre chose, une tonalité bien plus inquiétante.  La table noire recouverte de similicuir glaça sa peau quelques secondes, puis on lui demanda de lever ses jambes qui finirent bloquée en l'air grâce à une poulie suspendue au dessus d'elle. D'un ton moqueur, le médecin lui dit :"te voilà maintenant installée comme toutes les femmes sur une table gynécologique, nous allons commencer l'examen et passer en revue ton corps et l'ensemble de tes capacités" .  Un masque posé sur ses yeux et des sangles étaient mises de sorte que cela empêchait le haut de son corps de bouger. Noir total, perte de mobilité, elle était piégée.  'Ouvres ta bouche ' un bâtonnet de bois vint inspecter celle ci, puis elle dû se mettre à sucer un gode qui se présenter sur ses lèvres.  De cet exercice elle en avait l'habitude...  Une fois fait, un bâillon vient tenir sa bouche ouverte.  Ses tétons roses allaient devenir maintenant un terrain de jeu: roulette, puis pompes aspirantes pendants un bon moment , ensuite vinrent les pinces qui restèrent en place quelques minutes qui semblérent être des heure.  Son sexe forçait contre le métal de sa cage au moment où un ballon de dilatation venait ouvrir son cul, il se gonflait et gonflait cadencé par sa respiration.  Elle était remplie, la honte mélangée à ses désirs les plus secrets d'être utilisée, son esprit n'était déjà plus présent. Seul son corps répondait encore de façon mécanique.  Puis la libération de son sexe en érection fut salvatrice mais de courte durée, un fil de corde venait enlacer ses testicules, mesure de sa queue, de l'épaisseur de ses testicules, quelques impacts, un peu de cire bien chaude... Les plaisirs s'enchaînaient sans avoir le temps de réfléchir.  Une pompe à pénis venait faire gonfler sa queue qui une fois sortie de l'appareil recevait des sondes urétrales. Ce plaisir nouveau venait désormais cogner dans son esprit, quelques vas et vient, c'en était déjà plus qu'elle ne pouvait en supporter.  Les sangles enlevés elle revint en position assise, le temps de changer de jeu. Des minutes bien trop courtes pour faire redescendre la pression.  Un bondage film venait tenir ses bras et sa poitrine à présent. Mains attachées.  Maintenant à plat ventre, un coussin glissé sous son bassin, elle avait les fesses tendues, quelques électrodes venaient faire travailler ses muscles, un peu d'électro stimulation ... Position idéale pour recevoir une fessée.  Elle descendit de la table, deux menottes de jambes et une barre d'écartement... puis appuyée sur celle-ci, elle se fit prendre violemment, elle ne se souvenait plus quand la blouse blanche ouverte avait laissée place à un gode ceinture.  Une main caressait aussi son sexe et ses testicules. Interdiction de jouir, la consigne venait d'être énoncée alors que sa résistance atteignait déjà ses limites depuis un moment.  Jetée sur le lit, on lui mit une couche avec un body enfantin, comble de l'humiliation pour elle, dépossédée de sa cage, de ses vêtements, et même de son corps, el'e n'était plus rien.  L'envie était à présent incontrôlable , un vibromasseur était accroché à l'extérieur de la couche et sa tête ne savait plus comment faire pour empêcher son corps de jouir.  C'est finalement après de longues minutes qu'elle eue enfin l'autorisation d'éjaculer. Elle pensait naïvement que tout était désormais fini,qu'on allait la détachée, mais il n'en était rien, elle dûe dormir ainsi souillée toute la nuit et n'en fût délivrée qu'au petit matin.   
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Par : le 16/07/24
Dans l'ombre douce où la lumière s'abandonne, La soumission, tel un voile, doucement se donne. Elle tisse de ses fils un monde sans révolte, Où chaque âme en son sein, paisiblement se vautre. Elle murmure à l'oreille des cœurs las, Des mots de paix, des chants sans éclat. Dans le silence de sa tendre étreinte, Elle promet un refuge, une sainte enceinte. Sous son regard, les volontés s'effacent, Les esprits forts, autrefois si tenaces, Se laissent bercer par son chant séraphique, Oubliant leur fierté, dans un doux éthique. Elle est la mère des heures sereines, La gardienne des passions en chaînes. Dans son giron, les tempêtes s'apaisent, Et les désirs ardents, doucement, se taisent. La soumission n'est point une cage dorée, Mais un choix murmuré, une douce allégeance. Elle est l'harmonie dans laquelle on se noie, Le fil d'Ariane dans le labyrinthe de soie. Elle est le port où les navires se reposent, Après les orages, les vagues grandioses. Elle est le sol où germent les graines de demain, Le silence après la pluie, le calme du matin. Dans la soumission, il y a une force cachée, Un pouvoir qui grandit, qui jamais ne s'achève. Elle est le socle sur lequel se bâtit la vie, La terre nourricière, l'infinie harmonie. Elle est le souffle qui porte les ailes des anges, La main tendue vers l'autre, sans échange. Elle est le don de soi, l'amour inconditionnel, La paix intérieure, le bonheur éternel. Dans la soumission, il y a la liberté, De choisir son chemin, d'aimer, d'être aimé. Elle est le lien qui unit sans emprisonner, La danse des âmes, en parfaite symphonie. Elle est le murmure de la brise légère, Qui caresse les champs, les forêts, les rivières. Elle est la mélodie qui enchante le soir, La douceur d'un regard, le reposoir. La soumission est un art, une poésie, Qui se vit dans le secret, loin des hérésies. Elle est le pacte silencieux entre deux êtres, La promesse d'un monde meilleur, à paraître. Elle est la trame de l'univers tout entier, Le fil invisible qui relie le passé. Elle est la sagesse des anciens, le respect, La voie lactée qui guide, sans jamais se défaire. Dans la soumission, il y a la vérité, D'un amour pur, sans fard, sans vanité. Elle est le voyage au-delà des apparences, La quête de l'essence, la divine providence. Elle est le chant du cygne, la dernière étreinte, La flamme qui vacille, puis s'éteint sans crainte. Elle est le dernier mot, le soupir final, La paix de l'âme, le voyage astral. La soumission est le berceau de la vie, Le jardin secret où chaque fleur s'épanouit. Elle est le nectar précieux, la rosée du matin, Le souffle de vie, le destin. Elle est le pont entre le ciel et la terre, La passerelle d'or, la lumière première. Elle est le chemin qui mène à l'infini, La porte ouverte sur l'éternité, l'oubli. Dans la soumission, il y a la promesse, D'un avenir meilleur, d'une tendre caresse. Elle est le phare dans la nuit, l'étoile du berger, Le guide, le protecteur, l'ange gardien, le messager. Elle est le silence après la tempête, La quiétude qui suit la quête. Elle est le repos, la fin du voyage, La dernière page, le dernier hommage. La soumission est le reflet de l'âme, Le miroir où se dessine la trame. Elle est le tableau vivant, la fresque du temps, Le chef-d'œuvre éternel, le mouvement. Elle est la plume qui glisse sur le papier, L'encre qui coule, le poème à chérir. Elle est l'histoire qui se raconte, sans fin, Le livre ouvert, le chemin. Dans la soumission, il y a l'espoir, D'un monde plus doux, d'un nouveau départ. Elle est la flamme qui réchauffe, qui éclaire, La braise qui couve, l'amour sincère. Elle est le cadeau de la vie, la grâce, La beauté cachée, la délicate trace. Elle est le soupir de la terre, l'écho lointain, Le chant de l'univers, le refrain. La soumission est la clé de la sagesse, Le secret bien gardé, la tendre promesse. Elle est le voyage intérieur, la découverte, La lumière au bout du tunnel, la porte ouverte. Elle est le rythme des saisons, le cycle de la vie, Le retour aux sources, l'harmonie. Elle est le feu sacré, la passion, La fusion des âmes, la communion. Dans la soumission, il y a la force de l'eau, Qui sculpte la roche, qui creuse le sillon. Elle est le courant qui emporte, qui libère, La vague qui déferle, la mer. Elle est le vent qui souffle, qui transporte, La voile qui gonfle, le navire qui porte. Elle est le voyage au-delà des horizons, La découverte de nouveaux mondes, de nouvelles passions. La soumission est le don de l'instant, Le présent éphémère, le temps. Elle est le souffle de l'existence, la vie, Le miracle quotidien, l'envie. Elle est le lien qui unit, qui rassemble, La chaîne d'or, le membre. Elle est le partage, l'union, la fraternité, La solidarité, la communauté. Dans la soumission, il y a la beauté, De l'ordre naturel, de la simplicité. Elle est le reflet de l'harmonie, la perfection, La symétrie, la connexion. Elle est le calme après la bataille, La paix retrouvée, la médaille. Elle est le triomphe de l'amour, la victoire, La fin du combat, la gloire. La soumission est le chant de l'oiseau, Le cri du cœur, l'écho. Elle est la mélodie qui s'élève, qui s'envole, La note pure, la parole. Elle est le geste tendre, la caresse, La douceur, la délicatesse. Elle est l'attention, le soin, la prévenance, La gentillesse, la bienveillance. Dans la soumission, il y a la lumière, Qui éclaire le chemin, qui guide la prière. Elle est le rayon de soleil, la chaleur, La clarté, la splendeur. Elle est le feu de joie, la flamme, La lueur qui réconforte, qui enflamme. Elle est l'étincelle de vie, la passion, Le brasier de l'amour, la fusion. La soumission est le silence de la nuit, Le repos de l'âme, l'abri. Elle est le sommeil profond, le rêve, La paix, le calme, la trêve. Elle est le souffle du vent, la brise, Qui apaise, qui caresse, qui grise. Elle est le murmure de la rivière, le chant, Le flot doux, l'ondulant. Dans la soumission, il y a la sérénité, La tranquillité, la qualité. Elle est le repos de l'esprit, la clarté, La pureté, la vérité. Elle est le chemin de la croix, le sacrifice, La rédemption, le service. Elle est l'offrande, le don, la générosité, La charité, la bonté. L'expression de l'âme, le geste du cœur, La toile de la vie, le peintre, le sculpteur. Elle est le rêve éveillé, la vision, La quête de l'absolu, la passion. La soumission est le voyage sans fin, Le périple de l'esprit, le chemin. Elle est la découverte de soi, l'aventure, La conquête de l'inconnu, la nature. Elle est le feu qui brûle sans consumer, La lumière qui éclaire sans aveugler. Elle est la chaleur du foyer, la flamme, Le cœur qui bat, l'âme qui clame. Dans la soumission, il y a la paix, Le calme intérieur, la loi. Elle est le refuge sûr, la maison, Le sanctuaire, la raison. Elle est le fil d'argent, la toile d'araignée, Le lien subtil, la destinée. Elle est le réseau qui unit, qui tisse, La trame de la vie, la promesse. La soumission est le souffle de l'histoire, Le vent qui porte les récits, la mémoire. Elle est le témoignage du passé, la légende, La saga des peuples, la tendre offrande. Elle est le chant des ancêtres, la voix, Le murmure des sages, la foi. Elle est la parole transmise, l'enseignement, La sagesse des âges, le commandement. Dans la soumission, il y a la douceur, La tendresse, la compassion, la ferveur. Elle est le baume sur les plaies, la guérison, La main qui soigne, la dévotion. Elle est le silence de l'aube, la rosée, Le matin qui s'éveille, la beauté. Elle est le premier rayon, l'espoir, Le jour nouveau, le miroir. La soumission est le serment d'amour, Le pacte éternel, le toujours. Elle est l'union des cœurs, la fusion, La promesse d'une vie, la passion. Elle est le partage des âmes, l'échange, La rencontre des esprits, l'ange. Elle est le lien sacré, l'harmonie, La symphonie des sentiments, la mélodie. Dans la soumission, il y a la force, La puissance tranquille, la source. Elle est le roc inébranlable, la montagne, Le pilier de la terre, la compagne. Elle est le cours du fleuve, la voie, Le chemin qui mène à la foi. Elle est la route qui s'ouvre, la liberté, Le passage vers l'avenir, la clarté. La soumission est le secret bien gardé, Le trésor caché, la clé. Elle est la perle rare, la découverte, Le joyau précieux, l'offerte. Elle est le don de la nature, la vie, Le miracle de l'existence, l'envie. Elle est le cycle éternel, la renaissance, La continuité de la vie, la danse. Dans la soumission, il y a la grâce, La beauté de l'instant, la trace. Elle est le geste élégant, la danse, Le mouvement fluide, la cadence. Elle est le rythme du cœur, la pulsation, Le battement de la vie, la vibration. Elle est la musique de l'âme, le son, La note qui résonne, l'horizon. La soumission est le voyage de l'esprit, Le périple intérieur, l'infini. Elle est la quête de soi, la découverte, La recherche de l'essence, l'alerte. Elle est le chemin de la connaissance, la voie, Le parcours de l'apprentissage, la loi. Elle est l'étude de la vie, l'enseignement, La compréhension du monde, le mouvement. Dans la soumission, il y a l'acceptation, La reconnaissance de la situation. Elle est le consentement, l'accord, La validation de l'autre, le port. Elle est le respect de la volonté, la dignité, L'honneur de la parole donnée, la fierté. Elle est la valeur de l'engagement, la promesse, La fidélité de l'action, l'allégresse. La soumission est le reflet de la foi, Le miroir de l'âme, le choix. Elle est la conviction profonde, la croyance, La certitude de l'être, l'espérance. Elle est le témoignage de l'amour, la preuve, Le signe de l'affection, la trêve. Elle est la manifestation du cœur, l'expression, La déclaration de l'amour, la passion. Dans la soumission, il y a la sérénité, La tranquillité de l'esprit, la qualité. Elle est le repos de l'âme, la paix, La quiétude de l'être, le fait. Elle est le calme de l'océan, la mer, La surface lisse, le verre. Elle est la profondeur de l'eau, le fond, La richesse de la vie, le don. La soumission est le cadeau du ciel, La bénédiction divine, l'éternel. Elle est la grâce de Dieu, la miséricorde, La compassion du Seigneur, la corde. Elle est le lien avec le divin, la prière, La communication avec le père, la lumière. Elle est la relation avec l'au-delà, la foi, La connexion avec l'infini, le roi. Dans la soumission, il y a la vérité, La réalité de l'existence, la clarté. Elle est la sincérité de l'âme, la pureté, La transparence de l'être, la beauté. Elle est le reflet de l'intérieur, le miroir, La projection de soi, le voir. Elle est la manifestation de l'esprit, la forme, La révélation de l'âme, la norme. La soumission est le chemin vers la lumière, La voie vers la clarté, la frontière. Elle est la route vers la paix, la voie, Le passage vers la sérénité, la loi. Elle est le pont vers l'harmonie, la passerelle, La connexion avec l'autre, l'étincelle. Elle est le lien avec le monde, la chaîne, La relation avec l'univers, la reine. Dans la soumission, il y a la force, La puissance de l'acceptation, la source. Elle est la capacité de lâcher prise, la liberté, La possibilité de se rendre, la clarté. Elle est la puissance de la volonté, la puissance, La force de la décision, la chance. Elle est la détermination de l'âme, la volonté, La résolution de l'esprit, la qualité. La soumission est le don de soi, le sacrifice, Le cadeau de l'âme, le service. Elle est l'offrande de l'être, la générosité, La donation de l'esprit, la bonté. Elle est le partage du cœur, l'échange, La communion des âmes, l'ange. Elle est la fusion des esprits, l'union, La rencontre des cœurs, la passion. Dans la soumission, il y a la beauté, La splendeur de l'âme, la clarté. Elle est l'éclat de l'esprit, la lumière, La brillance de l'être, la fière. Elle est le rayonnement de l'intérieur, le soleil, La luminescence de soi, le réveil. Elle est la brillance de l'âme, l'étoile, La scintillation de l'esprit, la toile. La soumission est le voyage de la vie, Le périple de l'existence, l'envie. Elle est la quête de l'âme, la recherche, La découverte de soi, la démarche. Elle est le chemin de la réalisation, la voie, Le parcours de l'accomplissement, la loi. Elle est la route de l'épanouissement, la liberté, Le passage vers le bonheur, la clarté. Dans la soumission, il y a l'amour, La passion de l'âme, le jour. Elle est l'affection de l'esprit, la chaleur, La tendresse de l'être, la ferveur. ​
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