La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Hier, 20:09:43
Nous entrons. Il règne une atmosphère douce et conviviale. Des visages qui se connaissent, des regards qui s'attardent. Je tiens la main de mon Maître. Elle me suffit pour me sentir à ma place.   Je me change dans le vestiaire. Mes talons, ma tenue rouge et noire. Elle me transforme, m'entraîne dans un autre monde. Quand il ferme le collier autour de mon cou, je ressens ce frisson si particulier, comme un fil invisible qui nous relie. Il accroche la laisse qui retombe doucement. Je suis à lui.   Le soumis S, celui du mail, vient à nous. Son sourire est franc et accueillant. Sur le bar sont disposés des pains surprises, des brochettes de fruits, des boissons. Cet univers qui ressemble à un monde d'ombres et de chair est en réalité une fête.   Une quarantaine de personnes. Chacun se présente : soumis, soumise, dominant, dominante. Certains se disent " masochistes", d'autres " sadiques".    Peu de couples. Beaucoup d'âmes solitaires venues chercher un écho à leur pratique, la partager et se retrouver en amitié. Il y a dans leurs mots une quête, un besoin d'être reconnu autrement et d'exister dans ce qu'ils portent de plus secret.    La couleur du lieu est celle de la nuit, tamisée de rouge, en transparence, presque liquide. Le sous-sol respire comme un ventre avec ses alcôves, ses instruments qui patientent : une croix Saint André, un banc à fessée, un fauteuil fait de cordes avec des attaches pour écarter les jambes. Plus loin, un placard avec une chaise au milieu et des trous dans les murs. Ici tout parle d'abandon et de maîtrise.    Les regards se croisent, se retiennent, s'échangent. Des sourires au fond des yeux où on devine peut-être une histoire, des blessures anciennes, un désir apprivoisé, une autre façon d'être au monde, de dire :  "j'existe", "je suis là".    Chacun est venu avec son BDSM, sa manière de le comprendre, inscrit dans son cœur, gravé sur sa peau. Ce n'est pas un caprice, mais un besoin vital. Suffisamment fort pour se déplacer, venir parfois de loin, oser franchir la porte, traverser le seuil, se livrer au partage.   Le monde extérieur s'efface. Il ne reste que cet univers décalé, hors de la réalité. Des gémissements s'élèvent, des cris discrets se mêlent à des rires étouffés. Des corps déjà nus offrent leur fragilité. Moi aussi, presque dévêtue, je me sens à la lisière de moi-même.    Mon Maître est assis.  - Mets toi à genoux. Je m'exécute. Ma tête repose contre ses jambes. Sa main caresse mes cheveux. Je sens la chaleur, la sécurité. Tout autour, des voix, des conversations, des claquements de fouet. Mais, entre lui et moi, le bruit disparaît. Il ne reste que le silence épais, vibrant, comme une prière.    - Relève-toi. Une domina s'avance. Nous partageons des paroles, des sympathies. Il est question de pratique, mais aussi d'écriture. Un livre circule. Je le prends. Déja je sais que je le lirai seule, plus tard, dans mon cocon, pour prolonger la trace de cette nuit, ancrer mon désir, et faire un compte rendu à mon Maître.    Tout près, dominants et soumis sont à l'œuvre dans leur art. Ils jouent leur partition intime dans un jeu qui n'en est pas un. Nous sommes bien réels. Cette facette de nous existe.  Avec un petit groupe, nous parlons d'aiguilles. Je sens une excitation monter en moi. A la fois peur et envie. Comme si la douleur pouvait dessiner une beauté, se transformer.   Mon Maître me demande plusieurs fois comment je me sens dans cet endroit. Je suis bien. Il m'apporte une coupe, quelques douceurs. Je suis touchée par cette attention. Dans ce monde de codes, de marques et de contraintes, son geste me rappelle que mon abandon repose aussi sur sa tendresse. Puis, il m'entraîne plus bas, dans les profondeurs du sous-sol...   Lorsque nous repartons, l'air de la nuit semble différent. Comme si nous étions sortis d'un rêve. Et pourtant, la réalité nous surprend encore : un prêtre en soutane blanche, en train de fouiller dans les poubelles. Nous nous arrêterons net, incrédules, pour être sûr de ne pas halluciner. Je regrette de ne pas avoir eu le réflexe d'une photo. Personne ne nous croira. 
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Par : le Hier, 08:03:01
Dans une brume intemporelle, où les âmes errantes des philosophes antiques se mêlent aux ombres des vivants – et où, apparemment, même les sages grecs ont besoin d'un safe word –, Socrate apparut soudain dans une chambre obscure aux murs tapissés de cuir et de chaînes. L'air était chargé d'une tension palpable, rythmée par le claquement d'un fouet et les gémissements étouffés d'un homme attaché à une croix de Saint-André. Antoinette, une dominatrice aux cheveux noirs comme la nuit, vêtue d'une robe de latex moulante qui crissait comme un argument philosophique mal huilé, tenait fermement le manche d'un martinet. À ses pieds, Maso, son soumis, nu et entravé, tremblait d'anticipation et de douleur, son corps marqué de stries rouges qui ressemblaient vaguement à une carte routière athénienne. Socrate, avec sa tunique usée et sa barbe grise – probablement pas lavée depuis l'Académie –, observa la scène sans jugement apparent, ses yeux pétillants de curiosité. Il s'assit sur un tabouret de fer, comme s'il était dans l'Agora d'Athènes, et commença à questionner, d'une voix calme et insistante. Socrate : Ô noble Antoinette, toi qui commandes aux corps et aux âmes dans cet art que tu nommes BDSM, permets-moi de m'interroger avec toi. Je vois ici un homme, Maso, que tu soumets à la morsure du fouet. Dis-moi, où réside le Beau dans cette pratique ? Est-ce dans la symétrie des marques sur sa peau, ou dans l'harmonie de la souffrance consentie ? Antoinette, sans interrompre son geste – elle abattit le martinet sur les cuisses de Maso, provoquant un cri rauque qui fit sursauter même le philosophe –, répondit avec un sourire énigmatique, ses yeux verts fixés sur Socrate. Elle ajouta une pointe d'humour fin, comme un fouet qui chatouille l'esprit. Antoinette : Socrate, le sage qui n'a rien écrit mais qui a laissé Platon faire tout le boulot, bienvenue dans mon royaume de velours et de fer. Le Beau, dans le BDSM, n'est pas dans tes statues grecques idéalisées – celles qui ont l'air d'avoir abusé des stéroïdes divins. Il naît de l'équilibre entre domination et soumission, entre le contrôle et l'abandon. Regarde Maso : ses marques ne sont pas des blessures, mais des poèmes tracés sur la toile de sa chair, un peu comme tes dialogues, mais avec moins de pages et plus de piquant. Et toi, Maso, qu'en dis-tu ? Parle, même si ta voix tremble – ou chante, si tu préfères l'opéra tragicomique. Maso, haletant, les poignets attachés haut au-dessus de sa tête, leva les yeux vers Socrate. Son corps ruisselait de sueur, mais son regard portait une lueur de clarté inattendue, comme s'il avait trouvé l'illumination au bout d'un martinet. Maso : Maître Socrate... la douleur... elle est belle parce qu'elle me dépouille. Sans elle, je suis prisonnier de mes masques quotidiens. Ici, sous le fouet d'Antoinette, je me sens nu, vrai. Le Beau est dans cette nudité de l'âme – et franchement, c'est plus excitant qu'une toge mal ajustée. Socrate hocha la tête, pensif, tandis qu'Antoinette ajustait une pince sur le torse de Maso, lui arrachant un gémissement profond. Elle ne put s'empêcher d'ajouter, avec un clin d'œil malicieux : Antoinette : Attention, Socrate, ne te pince pas les doigts en philosophant. Ces pinces sont pour les âmes aventureuses, pas pour les barbes pensives. Socrate : Intéressant. Mais dis-moi, Antoinette, où se trouve le Bien dans tout cela ? Le Bien, selon moi, est ce qui élève l'âme vers la vertu. Or, la souffrance n'est-elle pas un mal, un obstacle à la sagesse ? Comment le Bien peut-il naître de la chaîne et du cri ? Antoinette, avec une grâce féline, s'approcha de Maso et caressa doucement sa joue rougie, contrastant avec la sévérité de ses actes. Elle répondit en fouettant à nouveau, précisément, comme un sculpteur taillant le marbre – ou un philosophe taillant dans le vif du sujet. Antoinette : Le Bien, Socrate, n'est pas dans l'absence de douleur, mais dans le consentement et la confiance. Dans le BDSM, le Bien réside dans le contrat invisible entre nous : je domine, il se soumet, et ensemble nous explorons les limites de l'humain. Ce n'est pas une tyrannie, mais une dialectique, comme tes dialogues – sauf que les miens finissent souvent par un "merci, Maîtresse" au lieu d'un hemlock. Maso, n'est-ce pas le Bien que tu ressens quand je te pousse au bord du vide ? Ou préfères-tu que je te pousse littéralement ? Maso : Oui, Maîtresse... et Socrate, le Bien est dans la catharsis. Chaque coup me purge de mes peurs, de mes doutes. C'est comme si le fouet ouvrait des portes en moi, révélant une force que j'ignorais. Sans cela, je serais faible, enchaîné par la société. Ici, je suis libre dans mes chaînes – et au moins, ces chaînes-là ne me forcent pas à boire du poison pour mes idées. Socrate se leva, marchant lentement autour de la croix, observant les tremblements de Maso comme s'il étudiait une énigme – ou un puzzle un peu trop serré. Socrate : Ah, la liberté dans les chaînes ! Voilà un paradoxe digne d'Athènes. Mais approfondissons : la douleur peut-elle révéler ou accoucher une âme, comme la maïeutique accouche les idées ? Dans ma méthode, je questionne pour faire naître la vérité de l'interlocuteur. Toi, Antoinette, utilises-tu la souffrance comme une sage-femme de l'âme ? Maso, sens-tu ton esprit s'éveiller sous les coups ? Antoinette posa le martinet et attacha un collier plus serré autour du cou de Maso, le forçant à lever la tête. Elle parla avec une intensité philosophique, mais glissa une touche d'ironie subtile, comme un fouet enveloppé de soie. Antoinette : Exactement, Socrate. La douleur est ma maïeutique moderne – version 2.0, avec des accessoires en option. Dans le BDSM, elle n'accouche pas seulement des idées, mais de l'âme elle-même. Elle brise les illusions, force l'ego à capituler, et révèle l'essence pure. Regarde Maso : avant moi, il était perdu dans le bruit du monde, comme un philosophe sans auditoire. Maintenant, chaque séance l'accouche de lui-même, plus fort, plus conscient. La souffrance, consentie, n'est pas destruction, mais renaissance – et bien moins salissante qu'un accouchement traditionnel, je t'assure. Maso : Socrate... oui, elle accouche mon âme. La douleur me vide, puis me remplit de lumière. C'est comme plonger dans le Styx pour en ressortir invulnérable – sans le talon d'Achille, espérons-le. Sans Antoinette, je serais une ombre ; avec elle, je suis vivant, éveillé. La souffrance révèle ce qui est enfoui : le courage, l'humilité, l'amour même – et parfois, un bleu inattendu. Socrate sourit, ses yeux brillants d'une sagesse éternelle, amusé par ces joutes verbales pimentées. Socrate : Fascinant. Dans cet art du BDSM, je vois un écho de mes propres quêtes : la recherche du Beau dans l'harmonie des opposés, du Bien dans la vertu consentie, et de la vérité par la confrontation. Peut-être, Antoinette et Maso, êtes-vous des philosophes du corps, des accoucheurs d'âmes par le feu de la sensation. Mais dites-moi, si la douleur accouche l'âme, quel est l'enfant qui naît de cette union ? Antoinette, libérant légèrement les entraves de Maso pour qu'il puisse s'agenouiller, répondit en le caressant tendrement, avec une dernière pointe d'humour fin comme une lame bien aiguisée. Antoinette : L'enfant, Socrate, est la plénitude. Une âme libérée des chaînes invisibles de la peur, prête à embrasser le monde avec authenticité. Dans le BDSM, le Beau, le Bien et la Vérité se fondent en une extase philosophique – et si Platon était jaloux, il pourrait toujours venir tester une séance. Après tout, qui sait, peut-être que la caverne allégorique avait besoin d'un peu plus de latex. Maso : Et cet enfant, c'est moi... renaissant à chaque séance – et prêt pour la prochaine, Maîtresse. Socrate, satisfait et un brin espiègle, s'effaça dans la brume, laissant derrière lui un écho : "Connais-toi toi-même, même dans la douleur – et n'oublie pas de rire un peu." La séance continua, plus profonde, imprégnée de sagesse antique et d'un humour qui chatouillait l'âme.
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Par : le 08/09/25
Certains lecteurs m’ont demandé un aperçu plus direct. Voici donc le plan de la séance. Ceux qui veulent l’expérience complète liront le récit intégral ici, où chaque geste, chaque respiration est décrit dans le détail. Mais pour le cadre et la structure, ce plan suffit. C’est la charpente, l’ossature de la domination mise en place. ================================================================= Acte I – Soumission et Mise en place **Durée : 10 à 15 minutes** Entrée : collier et laisse. Elle rampe à quatre pattes jusqu’au miroir. Ordre : « Regarde-toi. Contemple ce que tu es quand tu rampes pour moi. » Position : à genoux devant le miroir, mains derrière la tête. Action : insertion de la culotte double gode. Consigne : « Tu es pleine pour moi, mais tu ne jouiras pas. Pas un mouvement, pas un soupir pour toi. » But : installer la contrainte initiale, faire de son reflet le premier témoin.   Acte II – Bondage et Contraste **Durée : 25 à 30 minutes** Shinju : temps long pour attacher soigneusement la poitrine, ajuster les cordes, tester la tension. Face au miroir : contempler sa silhouette prisonnière. Roulette de Wartenberg : uniquement sur le haut du corps (seins liés, torse, bras). Lent, précis, pour accentuer l’effet des cordes. Martinet : séries brèves uniquement sur la poitrine attachée (5 à 10 coups par série). Accent mis sur le contraste entre le shinju et les impacts. Consignes verbales : « Dis-moi qui tu es. » – elle doit répondre « Je suis ta soumise. » But : transformer le bondage en épreuve prolongée, centrée sur la contrainte et la mise en valeur du haut du corps.   Acte III – Spirale Sensorielle (Crescendo) **Durée : 15 à 20 minutes** 1. Retrait de la culotte : humiliant, rituel. Elle l’enlève lentement, te la tend, puis la met en bouche comme bâillon quelques instants. 2. Insertion du plug gonflable : introduit vide, puis gonflé progressivement (toujours 1 pression à chaque cycle). 3. Cycle alterné (5 phases crescendo/décrescendo) :   Roulette : zones basses (cuisses, fesses, ventre) – libre à ton choix selon le moment. Prick stick électro : intensité en escalier (1, 3, 4, 3, 1 impulsions). Martinet : progression en pyramide (2, 5, 10, 5, 2 coups sur cuisses/fesses). Plug** : gonflage d’une pression à chaque phase. Vibro : 30 à 60 secondes par phase, toujours interrompu net avant orgasme. Consigne : elle doit nommer chaque instrument avant usage. 4. Clôture : dégonflage et retrait du plug. Tu lui fais remettre la culotte double gode. But : un vrai crescendo/décrescendo structuré comme une séance d’entraînement, rythmée et implacable   Acte IV – Fellation et Frustration finale **Durée : 10 à 15 minutes** Position Nadu : à genoux, jambes écartées, paumes tournées vers le ciel, culotte double gode en place. Action : fellation lente, guidée par la laisse. Tu alternes profondeur et pauses humiliantes (elle garde ton sexe dans la bouche sans bouger). Consigne : « Ce n’est pas ton plaisir. C’est ton adoration. Tu m’adores avec ta bouche. » Face au miroir : elle doit se regarder pendant qu’elle suce. But : clôturer par un acte de vénération, en renforçant la frustration et l’humiliation.   Rituel de clôture post-séance **Durée : 10 à 15 minutes** Toujours en Nadu : silence total, respiration maîtrisée. Geste symbolique : elle embrasse tes pieds, puis reste immobile. Transition : tu la conduis ensuite au lit, toujours en silence. Détachement : une fois installée, tu défais ses cordes lentement, sans un mot. Paroles finales (option) : > « La séance est terminée. Tu es à moi, et c’est tout ce qui compte. »   But : sceller la fin dans le silence et l’ancrage, marquer le passage de l’intensité au repos. Durée totale : 1h20 à 1h50  
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Par : le 08/09/25
Une semaine s’était écoulée depuis notre dernière séance. Fidèle à ma résolution, je n’avais rien proposé entre-temps, laissant volontairement le désir monter en elle jusqu’à ce que Vicky vienne d’elle-même me réclamer cette nouvelle nuit d’obéissance. Lorsqu’elle a finalement osé demander, d’une petite voix teintée à la fois de manque et d’appréhension, j’ai su que mon approche portait ses fruits. J’ai accepté sobrement : « Ce soir, même heure. Prépare-toi. » Mon intention était claire : poursuivre sur la lancée de la première séance, en poussant un peu plus loin la stimulation sexuelle, tout en maintenant la même privation finale. Il n’y aurait toujours pas d’orgasme pour elle ce soir, seulement une frustration savamment entretenue, gage de sa transformation profonde. Plus tard dans la journée, nous sommes allés à la plage en famille. Le climat était idéal, doux et tempéré, l’air salé caressant la peau. Cette sortie anodine a pris pour moi une saveur particulière : l’anticipation de la soirée à venir faisait déjà bouillir mon sang. Je me surprenais à être fébrile, excité au point d’en oublier ma pudeur naturelle. Dans l’eau comme sur le sable, mes regards vers Vicky se chargeaient d’intentions silencieuses. À un moment, je l’ai attirée contre moi pour l’embrasser longuement, sans me soucier des rires d’enfants au loin ni des passants. Nous avons marché ensuite côte à côte, main dans la main, en amoureux ordinaires en apparence, si ce n’est que mon sexe tendu déformait nettement mon maillot de bain. Je voyais bien que cela la faisait sourire, légèrement troublée par ce signe ostensible de mon désir. Sur la serviette, profitant d’un instant où nos enfants jouaient plus loin, je me suis placé derrière elle pour masser lentement son dos nu. Mes mains s’appliquaient avec tendresse et fermeté, pétrissant chaque muscle tendu par l’impatience. Vicky s’est peu à peu abandonnée sous mes paumes, soupirant d’aise. Le temps semblait suspendu autour de nous. Plus elle s’autorisait à lâcher prise, ne fût-ce qu’au travers de ce simple massage en public, plus un élan protecteur et possessif montait en moi. J’éprouvais un besoin presque viscéral de m’occuper d’elle, de préparer son corps et son esprit à ce qui l’attendait ce soir. Cette connivence muette sur la plage, ces gestes d’affection mêlés de sous-entendus, tout cela faisait partie du rituel avant la séance : déjà, elle renouait avec sa soumission, et moi avec ma dominance. De retour à la maison en fin d’après-midi, le ton a changé subtilement. D’une voix calme mais autoritaire, je lui ai ordonné de se doucher sans savon, en prenant soin de ne pas frotter ses aisselles. Elle a compris immédiatement : je voulais qu’elle conserve son odeur naturelle intacte, cette essence musquée de sa peau que j’affectionne tant. « Oui, Maître », a-t-elle murmuré en baissant les yeux, avant de filer à la salle de bain. Pendant qu’elle se lavait à l’eau claire, je rassemblais le matériel qui servirait ce soir, vérifiant chaque accessoire comme un metteur en scène répète son numéro. Lorsqu’elle est sortie de la douche, la peau rosie et perlée de gouttes, je l’attendais déjà avec le premier instrument de sa mise en condition : un plug anal de taille moyenne. Sans un mot, je lui ai signifié de se pencher en avant. Vicky s’est exécutée, posant les mains contre le mur pour s’équilibrer, les reins cambrés. J’ai écarté ses fesses du bout des doigts et, après avoir enduit l’objet d’un peu de lubrifiant, je l’ai lentement introduit dans son intimité arrière. Un petit gémissement lui a échappé lorsque le plug a pris sa place, mi-surprise, mi-plaisir. Je savourais cette vision : son anneau de muscle se refermant autour de la base, la petite gemme du plug dépassant entre ses fesses comme un sceau de propriété. « Tu le garderas en toi jusqu’à ce soir », ai-je précisé d’un ton neutre. Elle a simplement répondu « Oui », les joues légèrement empourprées. Avant de vaquer aux obligations du début de soirée, je lui ai rappelé le rendez-vous : « 22h15, dans la chambre. » À cette heure précise, elle devrait m’attendre, entièrement nue, assise bien droite sur le tabouret devant sa coiffeuse. Je voulais qu’elle pose ses mains bien à plat sur la coiffeuse, doigts écartés, le buste fièrement dressé, et surtout que son regard reste fixé dans le miroir, planté dans son propre reflet. « Si tu détournes les yeux, tu seras punie », ai-je insisté en plongeant un instant mes yeux dans les siens pour sceller l’ordre. Vicky a dégluti et acquiescé. Je voyais déjà poindre dans son maintien un mélange de nervosité et d’excitation retenue. Elle connaissait la position et son inconfort : tenir ainsi immobile, offerte à son image, c’était entrer mentalement en soumission avant même que la séance ne commence. J’ai laissé ces consignes s’imprimer en elle et me suis éloigné pour nous laisser le temps, à l’un comme à l’autre, de nous préparer intérieurement. À l’heure dite, 22h15, j’ai poussé la porte de notre chambre, deux tasses fumantes de verveine à la main. La lumière tamisée jouait doucement sur les murs, j’avais allumé seulement la guirlande lumineuse au-dessus du lit, ce qui baignait la pièce d’une pénombre dorée, propice à l’intimité. Vicky était déjà en position, fidèle à mes instructions. Assise nue sur le petit tabouret devant sa coiffeuse, elle offrait à la fois un spectacle magnifique et vulnérable. Son dos était droit, trop droit, signe d’une tension intense qu’elle s’efforçait de maîtriser. Je notai aussitôt le détail de ses mains posées sur le meuble : paumes bien à plat, doigts écartés comme je l’avais exigé. Son regard, lui, avait plus de mal à se discipliner : j’observai, dans le miroir, qu’elle luttait pour se fixer dans ses propres yeux. Par instants, ses prunelles fuyaient, glissant vers le bas comme pour chercher une contenance dans l’étude de ses mains. Elle se tortillait par à-coups infimes sur son tabouret, mal à l’aise et déjà parcourue de frissons d’anticipation. Le plug qu’elle portait depuis des heures accentuait sans doute cette gêne, la rappelant constamment à sa condition du soir. J’ai remarqué tout cela d’un œil clinique, en silence, sans relever ses petits manquements. Pas encore. Ce n’était pas le moment de la réprimander, je me contentai de graver ces observations dans un coin de mon esprit. L’intensité monterait bien assez tôt, et j’aurais l’occasion de revenir sur sa discipline vacillante. Je refermai la porte derrière moi sans bruit et m’avançai lentement. Nos regards se croisèrent dans le miroir lorsque je me plaçai juste derrière elle. Je lui offris l’une des tasses de verveine par-dessus son épaule. « Bois », lui dis-je doucement. Elle obéit, soumise et docile, portant la tasse à ses lèvres. Je pouvais voir dans son reflet le mouvement nerveux de sa gorge qui avalait par petites gorgées. Moi-même, je bus quelques lampées de l’infusion chaude, profitant de ce court répit pour ancrer le calme en moi. Tout en la laissant finir sa tasse, j’ai commencé à disposer tranquillement le matériel que j’avais apporté. Sans un mot, presque cérémonieusement, j’ai déposé sur le lit ou la commode divers objets : une corde de jute souple soigneusement enroulée, la fameuse culotte double gode (un harnais équipé de deux sextoys destinés à être insérés simultanément en elle), une petite roulette de Wartenberg aux picots métalliques luisant faiblement, un stick électrique pour de légères décharges, le martinet à lanières de cuir souple, une paire de gants en latex noirs qui montaient jusqu’aux coudes, un vibromasseur rechargeable, un plug anal gonflable muni de sa poire, et enfin un collier de cuir avec sa laisse assortie. Vicky observait du coin de l’œil ce manège impressionnant dans le reflet, incapable de cacher un frisson à chaque nouvel instrument dévoilé. Je percevais l’accélération de sa respiration lorsqu’elle reconnut certains objets plus intimidants, la fine baguette électrique notamment la fit tressaillir sur son tabouret. Malgré cela, elle restait silencieuse, s’astreignant tant bien que mal à garder sa pose. Je sortis délicatement les gants de latex noirs et les lui tendis : « Enfile-les. » Elle s’exécuta en silence, glissant d’abord sa main droite, puis sa main gauche dans la matière luisante. elle tirai sur le bord supérieur pour bien dérouler chaque gant jusqu’à son biceps. Le résultat était saisissant : ses bras gainés de noir contrastaient avec la pâleur de sa peau nue. Elle ressemblait à une poupée articulée, un joli jouet fétichiste prêt à être manipulé. Satisfait, je laissai mes doigts courir un instant sur le latex tendu sur son bras, puis jusqu’à son épaule dénudée. Je la vis frémir dans le miroir, les lèvres entrouvertes sous l’effet d’un souffle court. Un sourire imperceptible étira le coin de ma bouche. Parfaite. Calmement, j’ai ensuite saisi sa brosse posée sur la coiffeuse et entrepris de la coiffer. J’ai séparé ses cheveux en deux sections égales, puis coiffé patiemment deux couettes serrées de chaque côté de son crâne. Mes gestes étaient lents, appliqués, presque tendres. Vicky me laissait faire, immobile sous mon attention méticuleuse. Bientôt, ses longues mèches brunes furent transformées en deux couette épaisses retombant sagement de part et d’autre de son cou. J’ai noué les extrémités avec de petits élastiques noirs. Cette coiffure lui donnait un air d’innocence fragile, juvénile, contrastant avec sa nudité et la tension érotique de la scène. Je détaillai un instant son reflet : son visage était sérieux, ses yeux brillaient d’une lueur fiévreuse. Ainsi apprêtée, gantée de latex et coiffée comme une poupée dont j’aurais choisi l’apparence, elle m’appartenait entièrement du regard jusqu’au bout des cheveux. L’instant était venu de plonger véritablement dans la séance. Je me suis penché près de son oreille et ai murmuré d’un ton posé, presque doux : « Regarde-toi. Ce soir, tu redeviens ma soumise. Debout. » Vicky inspira profondément, planta ses yeux dans les siens dans le miroir et se leva lentement du tabouret. Elle resta là, debout face à la coiffeuse, les bras ballants le long du corps, n’osant bouger sans une instruction de plus.  D’une pression ferme sur son dos, je la fis se pencher vers l’avant, jusqu’à ce que sa poitrine nue se projette un peu vers le miroir et que ses mains trouvent appui sur le rebord de la coiffeuse. Dans cette position, son dos formait un angle droit accentuant la cambrure de ses reins. J’écartai du bout des doigts l’une de ses fesses rondes pour vérifier le plug anal que j’avais placé plus tôt. La base dorée de l’objet dépassait toujours entre ses chairs, bien en place. « Parfait... » murmurai-je en effleurant le petit disque métallique.  Vicky ferma brièvement les yeux à ce contact intime, mais ne bougea pas. Je me redressai et ordonnai d’un ton sec : « Retire-le. Lentement. Et donne-le-moi. » Elle hésita à peine une seconde, puis sa main gantée se porta derrière elle. Je la regardai tandis qu’elle tâtonnait pour saisir la tige du plug. C’est toujours une épreuve modeste que de retirer elle-même un objet planté si profondément dans son intimité, et elle savait que j’observais chaque détail. Enfin ses doigts agrippèrent fermement la base ; avec précaution, elle commença à l’extraire. Un léger râle rauque lui échappa en sentant la partie la plus épaisse s’extirper de son corps. Elle tira doucement, centimètre par centimètre, le visage crispé par l’étrange mélange de soulagement et de manque que laissa le retrait du plug. Lorsqu’il sortit finalement avec un petit bruit humide, Vicky retint son souffle.  Elle se redressa et se retourna à demi pour me remettre l’objet souillé. Elle était plus posée, plus précise que la semaine passée, quand l’hésitation l’avait souvent emportée sur l’initiative. Ce soir, Vicky était visiblement plus disponible, plus déterminée à bien faire. Un fin sourire de satisfaction effleura mes lèvres. La séance partait sur de bonnes bases. Quand elle me remit le plug nettoyé, je caressai brièvement ses cheveux en guise de récompense tacite puis posai l’objet de côté. J’attrapai alors sur le lit la fameuse culotte double gode, un accessoire qu’elle connaissait bien, même si cela faisait des mois qu’il n’avait pas servi. C’était un harnais en latex noire, équipé de deux godemichets intégrés : l’un destiné à son vagin, l’autre à son anus, de sorte qu’une fois la culotte enfilée, les deux orifices de Vicky seraient comblés simultanément. Je vis ses yeux s’agrandir légèrement en comprenant mon intention. Elle eut un petit mouvement de recul, infime, et sa bouche se tordit en une moue inquiète. — « Mets-la. » dis-je en lui présentant l’objet. Vicky pinça les lèvres. « Maître... je... cette culotte ne tiens pas... » balbutia-t-elle d’une voix hésitante. Je fronçai aussitôt les sourcils. Ce n’était pas une réponse acceptable. Mon ton tomba, glacial : « Enfile-la. » Elle ravala la fin de sa protestation et s’exécuta en silence. Rapidement, elle passa une jambe, puis l’autre dans la petite culotte, et la remonta jusqu’à mi-cuisses. Là, plus délicat : il lui fallait insérer les deux godes en même temps en elle. D’ordinaire, lorsque nous pratiquions cela régulièrement, son corps s’y ouvrait sans difficulté mais ce soir, je pouvais deviner son manque d’entraînement récent. Vicky s’accroupit légèrement pour ajuster l’angle. Elle guida d’une main le godemichet arrière vers son anus, déjà dilaté par le plug précédent : celui-ci glissa relativement bien, disparaissant en elle dans un petit soupir de sa part. En revanche, le second gode se présenta devant son sexe luisant sans parvenir à s’y frayer un chemin. Je la vis tenter d’écarter un peu plus ses cuisses, appuyer le bout rond contre son vagin, rien n’y fit, son corps se dérobait, pas assez lubrifié ou peut-être pas assez consentant pour accepter cette intrusion additionnelle. Vicky s’acharna quelques secondes, le front plissé par la concentration et la gêne. Elle haletait légèrement sous l’effort. Finalement, elle leva vers moi un regard embarrassé : « Je... ça ne rentre pas... » avoua-t-elle dans un souffle. Je sentis un bref élan d’agacement me chauffer la poitrine. J’aurais pu m’irriter de ce contretemps ; une part de moi en avait envie, frustrée de voir l’exercice échouer. Mais je me contraignis au calme, respirant profondément pour rester Maître de moi autant que d’elle. Inutile de braquer Vicky maintenant pour si peu : après tout, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas subi ce genre de contrainte, son corps avait perdu l’habitude.  « Arrête. » dis-je simplement d’une voix basse.  « On ne force pas, laisse tomber. »  Soulagée d’entendre que je ne la poussais pas plus loin, elle hocha la tête et commença à retirer lculotte. Avant qu’elle ait terminé, un sursaut d’orgueil sembla toutefois la saisir : « S’il vous plaît, Maître... je peux réessayer une dernière fois ? » Son regard suppliant cherchait mon approbation. J’ai marqué une courte pause, puis acquiescé d’un signe de tête, par curiosité de voir si sa détermination suffirait. Vicky inspira et replaça à nouveau le jouet. Cette fois, elle porta deux doigts à son sexe et tenta de s’écarter les lèvres, s’humectant elle-même dans l’espoir de mieux l'accueillir. Je la laissai faire, observant ses efforts maladroits. Elle poussa, poussa... Un gémissement de frustration lui échappa ; le vagin refusait toujours obstinément l’envahisseur, se refermant dès qu’elle relâchait la pression. Au bout de quelques instants, il fallut se rendre à l’évidence : c’était un échec. Ses mains retombèrent, découragées. « Assez. » lâchai-je froidement.  Vicky baissa la tête tandis que je la relevais par le menton d’un doigt sous son petit collier invisible de ce soir. Je plantai mes yeux dans les siens, sévère mais calme : « Pose-la sur le lit. Nous ferons sans. » Elle déglutit, mortifiée d’avoir failli à me satisfaire, et s’empressa de se débarrasser de la culotte à godes. Elle la déposa sur le bord du lit, les mains légèrement tremblantes. Sa poitrine se soulevait encore du stress de l’essai infructueux. Je n’ajoutai rien et ne la grondai pas davantage. On ferait sans, en effet. Ce jouet n’était pas indispensable au programme, mieux valait poursuivre autrement : la soirée était encore longue et riche d’enseignements à lui apporter. Je repris sans tarder le fil de la séance. Saisissant Vicky par le bras, je la guidai hors de la chambre jusque dans le couloir tout proche, où un grand miroir rectangulaire était accroché au mur. Ce miroir-là offrait une vue en pied, parfaite pour la suite. Je plaçai ma soumise debout face à son reflet grandeur nature. Dans la semi-obscurité du couloir, seules quelques lueurs diffuses provenant de la chambre éclairaient son corps nu. Elle m’apparut dans cette glace comme une silhouette offerte, nimbée d’ombre, les gants noirs luisants contrastant sur ses cuisses claires. Ses mains pendaient docilement derrière son dos, signe qu’elle commençait à intérioriser son rôle sans que j’aie besoin de le rappeler à chaque seconde. J’ai effleuré son poignet puis je l’ai saisi fermement : il était temps de passer au bondage. Posé à nos pieds se trouvait la corde de jute que j’avais sortie plus tôt. J’ai commencé à nouer Vicky avec une lenteur calculée, suivant mentalement le rythme de la musique douce qui filtrait depuis la chambre (j’avais laissé un fond sonore léger s’y diffuser). Chaque mouvement était précis, mesuré. Je lui pliai d’abord soigneusement les bras derrière le dos, plaçant ses poignets l’un contre l’autre. Elle se laissa faire, expirant lentement pour se détendre. Avec application, j’enroulai la corde autour de ses poignets et les liai ensemble fermement par un nœud plat que j’avais révisé à l’avance. Je vérifiai que la circulation n’était pas entravée, ses doigts pouvaient bouger un peu. Puis je poursuivis en enlaçant sa poitrine. Le Shinju que j’avais choisi d’exécuter mettait particulièrement en valeur les seins de la soumise : je fis passer la corde en travers de son dos, puis au-dessus de chaque sein, redescendre sous chacun, créant un réseau de lignes qui enveloppaient et comprimaient légèrement sa poitrine. Je serrai progressivement, tirant sur les brins pour ajuster la tension : la chair de ses seins fut délicatement comprimée entre les torsades, les faisant ressortir plus fermes, tendus vers l’avant.  « Ça va ? » murmurai-je.  « Oui, Maître… » souffla-t-elle faiblement. Sa respiration était courte, mais pas affolée. Son buste tout entier était désormais cadré par la corde, ses bras immobilisés derrière elle. Je fis un pas en arrière pour contempler le résultat dans le miroir. La vision me coupa presque le souffle tant elle était belle : Vicky se tenait ligotée à la perfection, les seins soulignés et présentés, les pointes rosées de ses tétons durcies par l’excitation latente. Ses propres yeux s’écarquillèrent en découvrant son image ainsi saucissonnée. Son visage affichait de la surprise mêlée de trouble, comme si elle peinait à associer la femme du miroir à la femme du quotidien. Le temps semblait suspendu autour de nous, comme figé par la solennité de ce moment. J’ai passé une main autour de sa taille pour la tenir, me penchant à son oreille :  « Magnifique... » ai-je murmuré. Après un court instant à la laisser s’habituer à ses liens, j’ai entrepris de déployer les premières stimulations. J’attrapai la petite roulette de Wartenberg déposée non loin. En la voyant, Vicky a tressailli imperceptiblement, ses cuisses nues se crispant. Je plaçai ma main gauche sur sa hanche pour la tenir immobile, et de la droite, j’appuyai doucement la roulette contre sa peau au niveau du bas-ventre.  « Ne bouge pas. » ordonnai-je d’une voix basse.  Puis je fis lentement rouler les picots sur sa peau, entamant une remontée languide du pubis vers le nombril. Au premier contact des aiguilles, un violent frisson la traversa : « Ah… ! » Un petit cri lui échappa et ses hanches reculèrent d’un coup, par réflexe de fuite face à la sensation aigüe. Je serrai immédiatement ma poigne sur sa hanche pour la ramener en place. Mon ton claqua, sec : « Qu’est-ce que j’ai dit ? Reste immobile. Accepte la gêne. » Vicky hocha la tête, les joues embrasées de s’être fait rappeler si vite à l’ordre. Elle planta son regard sur un point fixe de son reflet, contractant visiblement tous ses muscles pour se préparer à endurer. Lentement, j’ai repris mon exploration avec la roulette, reprenant là où j’en étais : du bas de son ventre j’ai continué à la faire glisser jusqu’à la base de ses seins ligotés, puis j’ai prolongé la caresse métallique autour de la courbe d’un sein, remontant vers le téton dressé. Vicky inspira brusquement, son abdomen se creusa tandis qu’elle luttait pour ne pas se dérober. Je voyais à son cou tendu qu’elle mobilisait toute sa volonté pour rester immobile, comme je le voulais. Malgré cela, arrivée près de l’aréole, la roulette arracha un nouveau couinement aigu à ma soumise et elle dodelina involontairement des épaules, échappant un instant à ma prise. Excédé, je retirai aussitôt l’instrument et saisis ses deux nattes pour lui tirer légèrement la tête en arrière. Mon visage apparut juste à côté du sien dans le miroir, sombre et menaçant. — « Qu’est-ce que je t’ai dit, Vicky ? » sifflai-je entre mes dents. — « D… de ne pas bouger… » articula-t-elle dans un souffle. — « Exactement. Ce soir, tu vas devoir apprendre à tout accepter sans bouger : la gêne, la douleur, l’envie… tout, en restant parfaitement docile. » Mon regard dur transperçait le sien dans la glace. « Reprends-toi. Il est hors de question que tu te tortilles au moindre stimulus. » — « Ou-oui, Maître… pardon… » répondit-elle, honteuse, les yeux brillants d’émotion. Je la relâchai en poussant un léger soupir. Il était normal qu’elle soit encore un peu indisciplinée en début de séance, cette règle de l’immobilité forcée était un véritable défi mental pour elle, et je le savais. Mais il était essentiel de la débarasser de suite de ses mauvaises habitudes. J’ai donc repris la roulette et continué son parcours cruel sur son buste : je la fis rouler cette fois-ci lentement autour de ses deux seins, traçant des cercles concentriques sur la peau fine, rapprochant et éloignant tour à tour les pointes de la tendre aréole. Vicky serrait les dents, ses narines frémissaient sous l’effort pour ne plus bouger. Je sentais ses muscles tressaillir par moments sous l’effet des piqûres multiples infligées par l’instrument. Après de longues secondes de ce supplice, je terminai en redescendant la roulette sur son ventre puis le long de la face interne de ses cuisses, jusqu’à frôler l’aine. Là, un glapissement inattendu lui échappa, un mélange de douleur et de surprise mêlée de plaisir, et elle tressaillit encore. Assez. Je décidai qu’elle en avait eu suffisamment pour l’instant. Je reposai la roulette et effleurai du regard le corps de Vicky : déjà, de fines traînées rosées zébraient son ventre et la courbe de ses seins, témoins muets du passage des pointes. Ma soumise haletait faiblement, les lèvres mi-closes, comme perdue entre différentes sensations. Je me glissai de nouveau dans son dos, lui murmurant : « Tu vois, tu as survécu. Ce n’était qu’un début. » Elle hocha la tête, encore sonnée. Ses cuisses tremblaient un peu, non seulement de la douleur, mais aussi peut-être d’une étrange excitation : je savais que ce mélange de contrariété et de soumission pouvait la plonger dans un état second grisant. Je décidai de passer à l’étape suivante. Je décrochai le martinet en cuir de la commode et vins me placer légèrement de biais par rapport à elle. Vicky, qui reprenait ses esprits, avisa dans le miroir le fouet multi-lanières pendouillant à ma main, et je la vis déglutir. Sa respiration s’accéléra de nouveau, non de crainte absolue (elle connaissait ce fouet, ce n’était pas le plus violent), mais d’anticipation anxieuse. — « Vingt coups. Tu les compteras à voix haute. » annonçai-je posément en faisant jouer les lanières souples entre mes doigts pour les démêler. Elle acquiesça d’un signe de tête raide et campa fermement ses pieds nus au sol, écartant légèrement les jambes pour s’ancrer. Son regard était fixé droit devant elle, vers son reflet, mais je n’étais pas sûr qu’elle se voie encore vraiment, déjà, elle entrait dans sa bulle de concentration, mobilisant son courage. Un léger mouvement du menton m’indiqua qu’elle était prête. Je levai le bras et abattis le martinet une première fois en travers de sa poitrine. Un claquement sec retentit, suivi d’un gémissement étouffé. Vicky vacilla à peine, puis reprit son souffle : — « Un… » compta-t-elle à mi-voix. Je notai avec plaisir qu’elle n’avait pas oublié de compter. Le deuxième coup siffla aussitôt, venant mordre le haut de son abdomen. — « Deux… » Sa voix tremblait un peu, mais elle restait intelligible. J’enchaînai à un rythme lent et régulier. Troisième. Quatrième. Cinquième coup. Les lanières trouvaient leur cible tour à tour sur ses seins, son ventre, parfois ses hanches. Vicky énonçait chaque nombre d’une voix de plus en plus voilée par l’émotion et la douleur. Je marquai un tout petit temps d’arrêt. « Continue » ordonnai-je fermement pour qu’elle ne perde pas le fil. Elle obéit vaillamment : — « Sept… » Je repris les coups sans faiblir. Huit. Neuf. Sa voix se brisa sur le chiffre :  « di… dix ! »  Je décidai alors de lui accorder une pause. Je baissai le bras et fis un pas vers elle. Son corps tout entier frissonnait, parcouru de petites secousses involontaires sous l’effort de résistance. Elle était toutefois restée parfaitement immobile durant toute la correction. Pas un seul instant elle n’avait tenté d’échapper au martinet. La fierté me gonfla la poitrine, voilà, mon entraînement commençait à porter ses fruits, l’habitude reprenait ses droits, son obéissance devenait plus forte que son instinct. Je me raprochais d'elle et posai ma main sur ses seins meurtries. Sa peau était chaude, zébrée de marques rouge vif où le cuir avait mordu, et elle tressaillit au contact de ma paume. Doucement, j’effleurai ces zébrures du bout des doigts, les caressant comme pour effacer la brûlure. Puis mes doigts glissèrent plus bas, vers son intimité. Je voulus vérifier où elle en était : j’écartai légèrement ses cuisses et fus aussitôt frappé par la moiteur que je sentis sous mes doigts. Son sexe était trempé, coulant littéralement de cyprine qui luisait à la jointure de ses cuisses et dégoulinait lentement le long de l’intérieur de ses jambes. Le fouet et la douleur, loin de la détourner, venaient de l’exciter au plus haut point, bien plus vite que lors de la première séance. Un sourire satisfait étira mes lèvres. Je relevai la main, montrant à la lumière la luisance de sa cyprine collée à mes doigts, et prononçai à haute voix ce qu’elle ne pouvait nier : — « Je vois que ma salope est déjà bien trempée. » dis-je d’un ton railleur et triomphant. Vicky, laissa échapper un petit sourire taquin. Elle était complètement plongée dans le rôle, beaucoup plus que la semaine précédente à la même étape. Là où lors de notre reprise elle avait eu du mal à entrer véritablement en soumission, ce soir, elle y glissait comme dans un bain familier et délicieux. Cette prise de conscience éveilla en moi un puissant sentiment de fierté et de pouvoir. Mon sexe, déjà dur, pulsa contre mon pantalon à la vue de cette docilité coulante. Oui... c’est bien, pensai-je intérieurement. Ma salope commence à émerger, enfin. Je la laissai souffler quelques instants de plus. Elle reprenait peu à peu une respiration plus calme, son corps se détendant légèrement sous la caresse continue de ma main sur ses fesses endolories. Lorsqu’elle sembla remise, je reculai d’un pas et glissai de nouveau à son oreille : « On reprend. Il en reste dix. Continue de compter, sans faute. » Elle rouvrit les yeux, ancrant son regard dans le miroir comme pour s’y donner du courage, et hocha la tête. Je me repositionnai et levai le bras pour le onzième coup. Il fendit l’air et s’abattit sur sa hanche. Vicky sursauta mais ne cria. « Onze. » Sa voix était posée. J’enchaînai : douze, treize, quatorze… Les nombres sortaient de sa bouche l’un après l’autre, machinalement, comme un mantra l’aidant à transcender la douleur. Quinze, seize… Je notai qu’elle ne bougeait toujours pas d’un pouce : même pas un écart des hanches. Dix-sept, dix-huit…, Dix-neuf… Elle haletait bruyamment, mais sa voix tenait bon. Enfin, je concentrai toute ma force dans le vingtième et dernier coup, qui claqua diagonalement sur ses deux seins en même temps. — « Vingt ! » lâcha Vicky presque dans un cri, soulagée que le compte s’achève. Je jetai le martinet sur le côté et, sans attendre, enveloppai Vicky dans mes bras. Ma poitrine collée contre son torse, je sentais son cœur battre à tout rompre. Elle suffoquait légèrement, étourdie par l’effort et la douleur. Je passai mes mains sur son ventre tremblant, en une étreinte apaisante, et déposai quelques baisers légers sur la courbe tendue de son cou. « C’est bien… très bien… » murmurai-je en guise de félicitations. Sous mon étreinte, je la sentis presque se fondre, tout son corps se relâchant d’un coup contre moi. Elle était allée au bout de cette épreuve avec succès, et la fierté irradiait d’elle malgré son épuisement momentané. Après quelques secondes suspendues où je la berçai doucement ainsi, j’énonçai calmement près de son oreille : « Ce n’est pas fini. » Je la sentis se raidir très légèrement, mais elle acquiesça sans un mot, prête à continuer à me satisfaire autant qu’il le faudrait. Je relâchai mon étreinte et me détachai d’elle. « Penchée en avant. » ordonnai-je. Vicky reprit sa position antérieure, cambrant les reins, offrant de nouveau sa croupe à ma vue et à mon accès. J’allai récupérer sur la commode le plug anal gonflable et un flacon de lubrifiant. Le plug était dégonflé pour l’instant, de taille modeste, relié à sa poire en caoutchouc par un fin tuyau transparent. Je revins derrière ma soumise, qui respirait profondément pour se tenir prête, et je posai mes doigts sur son anus encore rougi par l’insertion précédente. Un reste de lubrifiant facilitait la manœuvre : je n’eus qu’à enduire un peu plus l’entrée de son intimité postérieure, puis j’appuyai la pointe du plug gonflable contre son sphincter. Il céda sans grande résistance, Vicky était dilatée et détendue, et le plug entier s’enfonça jusqu’à la garde avec un léger flop. Ma soumise émit un petit gémissement rauque, mêlé de surprise ; elle ne s’attendait peut-être pas à être remplie de ce côté-là de nouveau si vite. Je maintins le plug bien enfoncé de la paume, puis de mon autre main, j’actionnai la poire : psshht. Une pression d’air envoya un premier volume dans le ballon interne du plug. — « Oh… » fit Vicky en se haussant sur la pointe des pieds tant la sensation de gonflement immédiat la prenait de court. Je lâchai la poire pour l’instant et passai ma main sur le bas de son dos de façon apaisante. « Ce n’est rien, juste une pression. » lui dis-je. « Redescends. » Elle reprit appui sur ses talons, s’accommodant de ce nouveau plug qui l’écartait de l’intérieur. Je me plaçai face à elle, pour qu’elle puisse me voir clairement. Ses yeux accrochèrent aussitôt les miens, cherchant à lire la suite dans mon expression. J’arborai un masque impassible de Dom, la dominant du regard tandis qu’elle était courbée et entravée, exposée sans défense. — « Écoute les règles. » ai-je déclaré d’une voix posée mais ferme, le ton de celui qui n’admettra aucune contestation. Vicky, haletante, hocha la tête, totalement attentive malgré son état fiévreux. Je levai un doigt : « Premièrement : nous allons procéder par séries successives de stimulation. Roulette, martinet, stick électrique, vibro, dans cet ordre. »** Elle déglutit en entendant énumérer ainsi les instruments de son supplice, mais ne broncha pas. — « Deuxièmement : ce sera un travail en pyramide. Les doses vont augmenter de série en série. Puis redescendre. »** Mon regard perçant guettait sa réaction. Elle cligna juste des yeux, signe qu’elle comprenait l’idée sans savoir exactement jusqu’où cela irait. — « Troisièmement : plus tu restes immobile, plus longtemps tu auras le vibro en récompense. Bouge ou désobéis… et tu verras. »** Un sourire dur accompagna cette dernière phrase, dont je laissai la menace en suspens. J’étais volontairement flou sur la sanction, son imagination ferait le reste pour la dissuader de tester mes limites. Vicky acquiesça, le souffle court. Son visage reflétait un mélange de peur et d’envie, sans doute terrifiée par le programme annoncé, mais prête à relever le défi pour me plaire. Elle articula d’une voix faible mais résolue : — « Oui, Maître. » — « Bon. » conclus-je en m’écartant pour reprendre ma place initiale, légèrement derrière elle. « Alors on va commencer. » Je vérifiai une dernière fois les attaches de ses poignets et le maintien du harnais de corde sur ses seins. Tout était solide. Ma soumise était fin prête à endurer ce que j’avais imaginé pour elle. J’entamai alors la première série. D’abord, je ramassai la roulette de Wartenberg sur la petite table à côté. « Vingt secondes, » annonçai-je laconiquement. Aussitôt, Vicky ferma les yeux et je la vis remuer imperceptiblement les lèvres, elle comptait les secondes comme je lui avait ordoné. Je posai la roulette sur sa peau, juste au creux de ses reins cette fois, et déclenchai le chronomètre intérieur. Je la fis rouler lentement le long de sa chute de reins, remontant sur la colonne vertébrale, jusqu’à la base de la nuque, puis redescendant. Ses poings liés derrière elle se serrèrent à blanc, mais elle ne broncha pas. Encouragé, je poursuivis la torture en explorant d’autres zones : la rondeur d’une fesse, puis l’arrière de ses cuisses. Vicky laissa échapper un couinement étranglé lorsque les aiguilles grignotèrent la peau tendre derrière sa cuisse, mais son corps ne bougea pas d’un millimètre. Je la voyais lutter farouchement pour rester figée, et elle y parvenait, galvanisée sans doute par l’enjeu du vibro promis. — « … 18… 19… 20… » compta-t-elle tout bas. Je retirai la roulette dès la dernière seconde écoulée. « Bien. » murmurai-je, suffisamment fort pour qu’elle l’entende comme un encouragement. Sans un instant de répit, je saisis le martinet déposé non loin. « Dix coups. » lançai-je. Vicky redressa instinctivement la tête et inspira profondément. Je la vis ravaler sa salive et se replacer mentalement en position d’endurer. Ses cuisses s’écartèrent très légèrement pour une meilleure assise. J’abattis le fouet sans attendre. — « Un ! » compta-t-elle d’une voix forte, presque défiant la douleur. Les coups s’enchaînèrent dans un claquement régulier. Deux ! Trois ! Quatre ! Ses fesses, prenaient des teintes pourpre, mais elle restait de marbre hormis le roulement de sa voix comptant chaque nombre. Cinq ! Six ! Sept ! « Huit ! » claqua-t-elle, défiant son propre corps.  Neuf ! Je mis toute ma force dans le dernier : dix ! Le fouet cingla sa hanche, la faisant vaciller d’un pas sur le côté sous l’impact. Aussitôt elle revint en place, haletante, et acheva dans un souffle : « Dix… » Sa voix se brisa à peine sur la fin. Je sentis mon cœur battre de fierté, malgré ce petit écart, elle avait tenu admirablement. Je décidai de ne pas sanctionner son vacillement, car elle s’était ressaisie d’elle-même sans que j’aie à intervenir. À peine le dernier nombre prononcé, j’attrapai le stick électrique d’une main et, de l’autre, pressai la paume sur ses omoplates pour la maintenir. « Ne bouge pas. » rappelai-je, anticipant sa réaction. Je posai l’extrémité du petit bâton rouge contre la peau de sa hanche et j’appuyai sur le bouton. Une première décharge sèche jaillit, crépitant dans le silence. — « Ah ! » cria Vicky, surprise par la vive piqûre électrique. Son corps se tendit comme un arc, mais sous ma main, elle ne chercha pas à s’enfuir. Elle haletait fortement, les yeux écarquillés. Sans attendre, j’appliquai le stick un peu plus haut sur sa taille et déclenchai une seconde impulsion. — « Hhnngh ! » Un gémissement rauque s’échappa de sa gorge tandis que son dos se cambra sous la douleur fulgurante. Ses poings s’agitèrent une seconde derrière elle, puis se figèrent de nouveau. Je retirai l’instrument. Vicky suffoquait, mais elle ne disait mot. Je me penchai et demandai doucement : « Alors ? » Un instant de flottement, puis elle comprit ce que j’attendais : — « M… merci, Maître… » souffla-t-elle en reprenant son souffle. C’était notre rituel : remercier pour la douleur reçue. J’esquissai un sourire, satisfait de la voir s’en souvenir malgré son état. Ma main quitta ses omoplates et caressa un instant sa nuque en guise de récompense. Déjà, Vicky cherchait du regard le prochain objet… Je la sentis frissonner en voyant que j’empoignais le vibromasseur. Je le mis en marche ; un bourdonnement grave emplit le silence. Je me plaçai derrière elle, passant mon bras autour de ses hanches pour venir coller le vibro contre son sexe trempé. Dès le premier contact du gode vibrant sur son clitoris gonflé, elle haletait déjà, secouée par le brusque afflux de plaisir après tant de douleur. — « Vingt secondes. Compte-les. » intimai-je en maintenant fermement l’embout vibrant appuyé contre son intimité. — « Un… deux… trois… » commença-t-elle aussitôt dans un souffle. Ses hanches eurent un soubresaut involontaire en avant, cherchant à s’ouvrir plus.  Je faisais glisser le vibro en petits cercles rapides autour de son clitoris, taquinant aussi l’entrée de son vagin d’où coulaient ses fluides. Sa cyprine couvrait l’extrémité de l’appareil, facilitant encore les va-et-vient. Vicky continua à compter tant bien que mal : « …cinq… six… » Sa voix devenait chaotique, entrecoupée de gémissements. Les vibrations profondes la rendaient folle, d’autant plus qu’elles arrivaient sur un terrain exacerbé par la douleur préalable. Je sentais ses cuisses trembler violemment. Sa tête dodelinait en arrière, et je la voyais rouler des yeux, les pupilles dilatées de plaisir. — « …dix… onze… douze… » Elle continuait vaillamment à égrener les chiffres, mais je la sentais proche de l’explosion. Ses hanches avaient repris un mouvement infime de frottement contre le vibro, comme malgré elle. — « …quinze… seize… » Son ton montait dans les aigus, se brisant presque en un couinement. Ses liens de corde crissaient, malmenés par les spasmes de son torse. Je guettai le moment exact où son corps tout entier se mit à tressaillir : elle était en train de grimper la dernière marche avant l’orgasme. « …dix-huit… dix-neuf… vingt… ! » haleta-t-elle finalement, le souffle coupé. À vingt, je retirai le vibromasseur d’un coup sec. Vicky poussa un gémissement plaintif, ses hanches cherchant quelques secondes le contact perdu dans le vide. Son clitoris devait être en feu, gonflé, suppliant la suite qui ne venait pas. J’éteignis le vibro ; le bourdonnement cessa net, soulignant le silence où résonnait seulement le halètement de ma pauvre soumise frustrée. — « N’ose pas jouir. » lui lançai-je froidement en venant lui susurrer à l’oreille. Vicky secoua la tête, hagarde, et balbutia « N-non… Maître… » En effet, je pouvais voir sur son visage tordu de plaisir inabouti qu’elle se retenait désespérément de basculer, accrochée à mon interdiction comme à une bouée. Son corps tout entier frémissait encore des secousses du plaisir interrompu. Je laissai un petit rire moqueur m’échapper. « Bien. » J’étais moi-même fébrile, témoin de la bataille intérieure qu’elle menait pour me rester fidèle. En cette fin de première série, Vicky était déjà au bord, mais elle avait tenu ses positions et respecté les consignes. Cette solide entrée en matière promettait pour la suite. Je passai brièvement ma main sur ses cheveux humides, la félicitant tacitement. Elle tourna vers moi un regard brillant de reconnaissance et de supplication mêlées, des yeux qui semblaient dire « Fais de moi ce que tu veux » tout en suppliant « Donne-moi la délivrance ». Mais la délivrance n’était pas pour maintenant, et nous le savions tous les deux. « Deuxième série. » annonçai-je sans transition Elle eut un hoquet de surprise, clairement, une partie d’elle aurait espéré une pause plus longue, voire que cela s’arrête là. Mais elle ravala bien vite ses illusions et se remit en position, serrant les dents et offrant son corps marqué à la suite du traitement. Avant toute chose, je posai brièvement la main sur la poire du plug gonflable dépassant de ses fesses et j’y administrai une seconde pression d’air. Pschhht. Je vis le tuyau frémir tandis que l’air s’engouffrait dans le ballon interne, forçant les parois de son rectum à s’écarter davantage. — « Ah ! » Vicky arqua le dos, sa tête se renversant en arrière, bouche ouverte dans un cri muet. Son anus venait de s’élargir encore d’un cran, provoquant une sensation de plénitude intrusive qui devait la brûler de l’intérieur. Elle souffla bruyamment, mais ne protesta pas. Je palpai délicatement le plug entre ses fesses : bien bombé, toujours bien en place. Parfait. Cette gêne supplémentaire allait se rappeler à elle pendant toute la série. Je repris alors la roulette de Wartenberg en main. Cette fois-ci, j’augmentai la dose : « Trente secondes. » déclarai-je. Vicky ferma les yeux avec une expression de douleur anticipée, son visage se crispant déjà. Elle commença à compter intérieurement alors que j’approchai la roue cruelle de sa poitrine. Je fis courir les pointes sur ses seins emprisonnés par la corde, n’épargnant aucune zone sensible. Je les sentis glisser sur ses tétons raides, Vicky poussa un gémissement rauque, elle raffermit sa posture, se ressaisissant pour ne pas s’effondrer. Je continuai : la roulette traça cette fois un chemin sinueux autour de son nombril puis remonta lentement le long de son flanc gauche, effleurant au passage la pointe saillante de ses côtes. Vicky tenait bon, fixée sur son compte mental. Je devinais à peine le mouvement de ses lèvres formant silencieusement les nombres : …vingt-et-un… vingt-deux… À trente, j’ôtai enfin l’instrument. Ma soumise rouvrit les yeux, hagarde mais toujours debout. Elle inspira profondément, comme si elle émergeait d’une apnée. Ses seins striés de fines marques tremblaient sous l’effet de son souffle erratique. Sans perdre de temps, je fis de nouveau siffler le martinet dans l’air. — « Vingt coups. » Ma voix claqua dans la pièce, nette, indiscutable. Vicky hocha la tête, jambes bien ancrées, le corps offert, solide. Elle savait ce que j’attendais : une endurance sans faille. Son regard fixé droit devant trahissait la tension, mais aucune hésitation. Le premier coup claqua sur sa cuisse. — « Un ! » Sa voix était plus basse qu’à la première série, mais ferme, assurée. Le deuxième siffla et marqua son dos. — « Deux ! » Je n’adoucis rien. Trois, quatre, cinq… Les coups s’enchaînaient avec régularité, nets et précis. Chaque impact résonnait, chaque nombre sortait de sa bouche, parfois haché par l’effort, mais toujours présent. Elle encaissait sans plier, crispée mais fière. À dix, je fis une pause. Ses cuisses vibraient, sa poitrine se soulevait rapidement, mais elle restait immobile. Je croisai son regard et inclinai la tête : elle comprit qu’elle était à sa place. Je repris : onze, douze, treize… J’accélérai le rythme, cherchant à la surprendre, à briser sa cadence. Sa voix suivait malgré tout, régulière, déterminée : — « Quatorze… quinze… » Les nombres se succédaient, ancrés dans sa discipline. Dix-neuf. Je ralentis, levai le bras et frappai en diagonale, couvrant ses fesses déjà marquées d’une strie supplémentaire. — « Vingt ! » Le mot claqua, ferme, précis. Elle avait tenu. Sa tenue et sa constance m’emplissaient de fierté. Je soulevai son menton du bout des doigts et scrutai son visage. Ses yeux brûlaient d’intensité, fixés dans les miens sans faillir. « Tu as très bien fait ça… regarde-moi. » Elle soutint mon regard sans détour. « Tu es courageuse, et je suis fier de toi. » chuchotai-je. Ses lèvres esquissèrent un sourire crispé par l’effort, mais assuré par la certitude de m’avoir satisfait. Son souffle revenait à un rythme stable. La série, toutefois, n’était pas finie. Je le rappelai d’une voix basse mais ferme : « Ce n’est pas terminé, Vicky. » Elle hocha la tête, consciente, déterminée à poursuivre sans fléchir. Je me saisis du stick électrique à proximité. Elle tressaillit en le voyant revenir dans son champ de vision. « Quatre impulsions. » annonçai-je simplement. Sa nuque se raidit, son corps se tendit dans mes bras ; je la maintins plus fermement, mon bras gauche en travers de sa poitrine, ma main serrant son épaule, de sorte qu’elle ne puisse pas esquiver par réflexe. J’appliquai le stick sur sa hanche et envoyai la première décharge. Crac ! L’étincelle bleutée éclaira un instant sa peau rougie. — « Haa ! » Un cri bref lui échappa. Elle secoua la tête violemment, mais ne chercha pas à fuir plus loin que mon bras lui permettait. Seconde impulsion. Je décalai le stick de quelques centimètres et CLAC. — « Ahhh ! » Son cri monta d’un octave, ses jambes manquèrent de se dérober sous elle. Je l’ai retenue fermement. Troisième : je posai l’embout sur son flanc, juste sous ses côtes, et déclenchai la petite explosion d’électricité statique. — « Nnghhh ! » Elle mordit ses lèvres Son corps tout entier se convulsa. Enfin, quatrième et dernière impulsion : j’appuyai le stick juste à la base de la fesse, là où la peau était la plus meurtrie par le fouet. CLAC ! — « AAAH ! » hurla Vicky en se cambrant brutalement. Sa réaction fut si intense que le shinju se défit légèrement sous la tension. Elle haletait fort, comme asphyxiée par tant de douleur. — « Merci… Maître… merci… » souffla-t-elle, reprenant le rituel avec constance, la voix rauque de tension mais pleine de fierté. Puis, m’assurant qu’elle tenait encore debout, je me penchai pour ramasser à nouveau le vibromasseur. — « Trente secondes. » dis-je simplement. Vicky hocha la tête, écartant un peu plus ses cuisses d’elle-même, dans un geste de soumission assumée. Elle désirait ardemment le vibro, malgré la torture que cela représentait, car c’était sa seule perspective de plaisir dans ce maelström de douleur. Je rallumai l’appareil, et sans plus de cérémonie, je le pressai contre sa fente trempée. Un long râle guttural s’échappa de la gorge de Vicky dès que le vibromasseur se mit à vrombir contre son clitoris. Ses yeux se révulsèrent sous l’effet d’une vague de jouissance instantanée. — « Oh oui… oh… » commença-t-elle à gémir spontanément, oubliant un instant de compter. Je lui mordis aussitôt le lobe de l’oreille en grondant : « Compte ! » — « P… pardon… un… deux… » s’empressa-t-elle de reprendre, sa voix chevrotante accompagnant le rythme des pulsations dans son bassin. Cette fois, j’ai décidé de la torturer différemment : plutôt que de rester sagement sur son clitoris, je fis glisser le vibromasseur de haut en bas sur toute la longueur de son sexe ouvert. Je l’insérais d’un ou deux centimètres en elle, puis ressortais pour titiller son bouton, puis redescendais jusqu’à l’entrée de son vagin, l’enfonçant un peu, et ainsi de suite. Un véritable yo-yo de plaisir frustrant, ne lui laissant jamais assez de stimulation constante pour la faire basculer, mais la maintenant dans un état d’excitation affolante. Vicky haletait, gémissait intensément, incapable de retenir désormais ces sons obscènes qui me ravissaient. Elle comptait toujours, d’une voix de plus en plus faible : « …huit… neuf… dix… » Ses cuisses ruisselaient tant elle coulait, il faisait chaud, le couloir était saturé de l’odeur musquée de son sexe. C’était enivrant. Moi-même, je sentais la moiteur coller ma chemise à mon dos, et mon sexe tendu gonflait douloureusement dans mon pantalon, impatient de délivrance. Mais je ne cédais rien, concentré sur elle. — « …quinze… seize… » soufflait-elle, entrecoupant ses chiffres de gémissements. Elle était au supplice, et pourtant son bassin restait immobile, elle n’osait bouger de crainte que je n’interrompe le vibro trop tôt. Elle avait compris la règle parfaitement. J'observait son visage. Quel spectacle sublime ! Ses joues en feu, sa bouche entrouverte, son regard fou… Une vraie salope soumise et perdue dans la luxure, voilà ce que je voyais. Et derrière cette débauchée, il y avait moi, l’homme calme et habillé, la dominant d’une sérénité presque effrayante. Le contraste était exquis. — « …vingt-deux… vingt-trois… » continuait-elle dans un souffle rauque. Elle avait dépassé les vingt sans même que je le réalise. Je sentis sa vulve se contracter soudainement autour du bout du vibro que j’avais enfoui en elle sur quelques centimètres : un signe infaillible qu’elle était à deux doigts de jouir malgré tout. Je me crispai, hors de question de la laisser atteindre l’orgasme. Immédiatement, je retirai l’appareil en le collant cette fois très fort sur son clitoris, mais juste une brève seconde, assez pour la faire hurler de plaisir, pas assez pour la faire jouir. Puis je l’éloignai définitivement. — « …vingt-neuf… trente !!! » cria Vicky d’une voix étranglée alors qu’elle sentait le vibro la quitter au moment critique. Elle resta un instant figée, suspendue au bord de l’abîme, haletante, le corps réclamant un aboutissement qui ne venait pas. Un râle incontrôlé monta de sa poitrine, mélange de frustration et de supplication. Ses yeux se braquèrent sur moi, suppliants, implorants, cherchant dans mon visage une clémence… qui n’existait pas. Je secouai lentement la tête en signe de dénégation. Sa lèvre inférieure trembla ; elle la mordit aussitôt pour ravaler toute plainte. Je lui caressai la joue.  « Pas encore. Tu le sais. » chuchotai-je presque tendrement.  Vicky ferma les yeux, acceptant, et hocha la tête.  « Oui Maître… » gémit-elle.  Elle avait compris qu’elle n’aurait pas le droit de jouir, pas dans cette série en tout cas, et elle s’en voulait presque d’avoir espéré. Les séries s’enchaînèrent ensuite comme prévu, le plug gonflable se tendant un peu plus à chaque étape, les instruments alternant, la frustration grandissant. Vicky compta, encaissa, endura, chaque cycle la poussant plus loin dans son abandon. Jusqu’au moment où je décidai qu’elle avait assez donné. « Prête ? On enlève ça. » Elle acquiesça, docile.  Je tournai légèrement la valve du plug pour laisser l’air s’échapper lentement. Un sifflement discret se fit entendre tandis que le ballon de silicone se dégonflait peu à peu dans son rectum. Je sentis Vicky se détendre progressivement à mesure que la pression retombait. Lorsque tout l’air fut sorti, je tirai avec délicatesse sur la base du plug. Le cylindre glissa hors d’elle en un seul coup mouillé, provoquant un sursaut chez Vicky et un profond soupir de soulagement. Enfin vide, son pauvre orifice se referma en tressaillant. Je déposai le plug gonflable sur le sol, mentalement ravi de l’avoir menée jusqu’à cinq pressions ce soir, une performance qu’elle n’aurait jamais cru atteindre il y a peu. L’entraînement était terminé. J’attirai Vicky contre moi et la serrai longuement dans mes bras. Je déposai des baisers légers sur son front, ses cheveux, ses tempes. Elle avait fermé les yeux, se laissant aller complètement. « C’est bien… c’est fini maintenant… » murmurais-je tout contre son oreille. « Tu as été parfaite… » Chaque mot s’accompagnait d’une caresse rassurante sur ses épaules ou d’un baiser sur sa joue moite. Vicky referma et ouvrit quelques fois ses mains pour dérouiller ses doigts. Puis, instinctivement, sans même que je le lui demande, elle se laissa glisser d’elle-même à genoux, posant sagement les mains sur le haut de ses cuisses en un geste gracieux. Ses yeux se baissèrent vers le sol, son dos se redressa malgré la fatigue. Position Nadu, impeccable. Un frisson me parcourut, même exténuée, elle revenait chercher sa place de soumise, elle la réclamait presque avec ce geste spontané. Je me sentis sourire, fou de fierté pour elle. Je reculai d’un pas pour la contempler une seconde. Les deux longues couettes retombant sur ses seins marqués, les gants noirs toujours enfilés sur ses bras qui pendaient de chaque côté, son ventre contracté par l’effort pour rester droite malgré l’épuisement… Et ce regard modestement baissé. Dieu qu’elle est belle, pensai-je, ma poupée, mon esclave… Mon sexe réagit aussitôt à cette vue, se raidissant davantage encore sous mon pantalon. J’avais contenu mon propre plaisir durant tout l’entraînement, trop concentré sur elle pour penser à moi, mais maintenant un désir brûlant et urgent s’éveillait dans mes reins. Je défaisis rapidement ma ceinture et mon pantalon, de même que mon boxer. Mon sexe jaillit, droit et dur comme du fer, libéré enfin de sa prison de tissu. Je n’avais même pas besoin d’y porter la main pour l’exciter : il était déjà prêt à exploser tant la séance m’avait stimulé mentalement. Vicky, toujours en Nadu au sol, risqua un coup d’œil vers mes hanches nues et ne put retenir un léger sourire en coin devant mon érection imposante qui palpitait littéralement d’envie. — « Embrasse mes pieds. Vénère ton Maître. » ordonnai-je d’une voix sourde. Aussitôt, Vicky s’inclina plus bas, ramenant ses bras derrière son dos comme elle pouvait, et posa ses lèvres tremblantes sur mes pieds nus. Elle les couvrit de baisers humbles, du dessus jusqu’aux orteils, avec une ferveur touchante. Ses cheveux glissèrent sur le sol autour de mes chevilles comme un voile brun. Je fermai les yeux un instant, submergé par l’émotion violente que ce geste suscita en moi. C’était plus fort que tout, la voir ainsi, agenouillée en adoration à mes pieds, m’offrait un sentiment de puissance absolue mêlé d’un élan de tendresse indescriptible. J’aurais pu jouir à cet instant, rien qu’à la sensation de ses lèvres douces se pressant contre ma peau, à la vue de cette femme fière ravalant toute dignité pour m’honorer comme un dieu. Mon sexe tressaillit, une goutte de pré-semence perla au bout tant l’excitation était intense. Mais je ne voulais pas finir ainsi, j’avais d’autres plans pour elle et pour moi ce soir. — « Assez. » dis-je doucement après une minute environ, en posant ma main sur sa tête pour interrompre ses baisers dévots. Vicky se redressa sur ses genoux. Je voyais dans ses yeux le reflet de ma silhouette nue et dominatrice. J’ai avancé d’un pas pour coller le gland de ma verge contre ses lèvres. — « Applique-toi. Donne-moi du plaisir. » ordonnai-je en la tenant par la tête. Elle ouvrit aussitôt la bouche et accueillit mon sexe avec une avidité mesurée. Sa langue fit d’abord le tour du gland, lapant doucement la goutte salée qui s’y trouvait, puis elle glissa ses lèvres autour de ma hampe et s’enfonça davantage. Un long soupir m’échappa en sentant sa bouche tiède et humide m’engloutir. Ses lèvres s’étirèrent jusqu’à englober une bonne moitié de ma longueur, puis elle entama un lent va-et-vient, les joues creusées, les yeux mi-clos de concentration. Je glissai ma main dans ses cheveux, agrippant l’attache de ses couette pour contrôler le rythme. Doucement, j’initié des mouvements de bassin, pas trop profonds d’abord pour la laisser trouver son souffle. Elle s’appliquait comme jamais, léchant, suçant, aspirant, avec une docilité exquise. Je l’entendais gémir faiblement autour de moi, ces petites vibrations qu’elle produisait volontairement, je les lui avais enseignées pour amplifier mon plaisir. Et en effet, chaque gémissement envoyé gorge profonde faisait vibrer ma verge d’une onde délicieuse. Je fermai les yeux, savourant pleinement ce moment. La douleur de mon désir inassouvi de la soirée se dissolvait dans la soie de sa bouche. — « Mmmm… oui… » grognai-je, l’une de mes mains tenant fermement son crâne pour guider ses va-et-vient, l’autre s’accrochant à la rambarde du couloir pour garder l’équilibre. Par instants, je la poussai un peu plus loin sur moi, forçant mon sexe à glisser presque jusqu’au fond de sa gorge. Elle acceptait, disciplinée, malgré les légers haut-le-cœur que je sentais contracter sa gorge contre mon gland. Sa gorge serrée était un délice brûlant autour de moi. Quand je la sentais suffoquer trop fort, je ressortais légèrement et elle reprenait son souffle en continuant de me sucer plus superficiellement, couvrant mon sexe de salive chaude. Nos regards se croisèrent une fois. Je laissai échapper quelques soupirs de plaisir, que je ne cherchais pas à retenir, ils étaient la meilleure récompense pour elle en cet instant. Elle redoubla d’ardeur en les entendant, passant ses lèvres avec insistance sur chaque centimètre de ma hampe. Par intermittence, elle se retirait presque complètement pour venir lécher frénétiquement mon gland, massant la petite fente sensible avec le bout de sa langue, puis elle replongeait sur moi, gorge profonde, gémissant tout du long pour me donner ces vibrations que j’adorais. C’était un spectacle autant qu’une sensation : voir ma femme d’ordinaire réservée, là, agenouillée nue au milieu d’un couloir, les yeux humides de larmes, me pomper la queue avec une telle dévotion, cela nourrissait mes fantasmes les plus fous. La pression montait dans mes reins, indubitablement. Je sentais mes testicules se soulever peu à peu, signe que l’orgasme approchait. Vicky le sentit aussi : elle accéléra légèrement, ajustant son rythme au martèlement de mon cœur. Ses mains, jusque-là sagement posées sur ses cuisses, vinrent s’agripper à mes hanches pour mieux m’accompagner. Elle me faisait l’amour avec sa bouche d’une façon experte, en parfait petit instrument de mon plaisir. Je commençais à perdre le contrôle, chacun de ses va-et-vient me soutirait un gémissement guttural, mes hanches se mouvant d’elles-mêmes pour aller chercher plus loin la chaleur de sa gorge. Vicky elle-même avait les joues en feu, suffoquant et salivant abondamment. Je la voyais lutter pour reprendre son souffle entre deux pénétrations orales, mais elle ne ralentissait pas, animée par l’unique but de me faire jouir dans sa bouche. Justement, l’idée de me libérer ainsi, au fond de sa gorge offerte, devint de plus en plus tentante au fil des secondes. Je m’imaginais déjà lui tenir la tête et l’enfoncer jusqu’à l’extrême au moment fatidique, la forçant à avaler chaque jet de semence… Cette pensée me fit presque franchir le point de non-retour. Non… Pas encore. Une envie sadique, née de la frustration orchestrée de la soirée, se formula soudain dans mon esprit : je ne lui offrirais pas cette satisfaction-là non plus. Si elle attendait la récompense de sentir ma jouissance couler en elle, elle l’attendrait en vain. Ce serait ma dernière taquinerie, mon dernier pied de nez à ses attentes sensuelles ce soir. Je retirai brusquement mon sexe de sa bouche juste au moment où le doux halo de l’orgasme commençait à poindre. Un fil de salive relia encore ses lèvres à ma verge palpitante quelques secondes, avant de céder et tomber sur sa poitrine. Vicky, surprise, leva des yeux fiévreux vers moi. Elle reprit sa respiration en haletant, sa poitrine se soulevant rapidement. Je voyais la déception et l’incompréhension se peindre sur son visage exténué. Elle croyait m’avoir mal servi et que j’interrompais pour la sermonner. Elle voulut se pencher de nouveau vers mon sexe pour reprendre la fellation, mais je l’en empêchai en posant ma main sur son front, repoussant sa tête en arrière doucement. — « Stop. » dis-je d’une voix rauque. Elle se figea immédiatement, bouche entrouverte, lèvres gonflées et luisantes de salive mêlée de mon fluide pré-séminal. Son regard cherchait une explication dans le mien. J’ai glissé ma main sous son menton et l’ai relevée, l’obligeant à se mettre droite sur ses genoux. Puis délicatement, je lui ai fait tourner la tête de côté et je l’ai appuyée contre le haut de ma cuisse droite. Elle comprit enfin ce que je voulais : elle resta immobile, joues collées contre moi, me servant d’appui. Ainsi, son visage offrait son profil parfait, légèrement levé, et j’étais debout à côté d’elle, dominant la scène de toute ma hauteur. Je levai ma main libre à hauteur de mon visage. Elle me vit du coin de l’œil cracher légèrement dans ma paume, pour ajouter un peu de lubrification, puis je m’emparai fermement de mon sexe et commençai à me masturber, juste à côté de son visage. Un petit gémissement sourd monta de sa gorge en comprenant mon intention. Elle ferma un instant les yeux comme si une vague de frustration la traversait, mais elle ne bougea pas d’un iota. Docile, elle m’offrait sa joue et son visage comme toile de mon bon plaisir, acceptant silencieusement ce nouveau caprice cruel qui la privait de l’honneur de me faire jouir directement. Ma main glissait fiévreusement sur ma tige lubrifiée. J’étais tellement excité que je sentis ma jouissance remonter en quelques va-et-vient. Vicky, de son côté, respirait bruyamment contre ma cuisse, comme un chien en attente. Sa proximité, la chaleur de son souffle sur ma peau, l’idée perverse de la traiter en simple support de mon plaisir sans qu’elle n’y participe… tout cela finit de m’emporter. — « Ahh… oui… » grognai-je en rejetant la tête en arrière. L’orgasme me submergea, plus puissant encore que je ne l’avais anticipé. Mes reins se contractèrent violemment et je lâchai ma semence dans un râle profond. Un premier jet épais de sperme jaillit de mon gland et vint s’écraser sur la pommette de Vicky, éclaboussant jusqu’à sa chevelure. Je ne contrôlais plus rien, mes hanches s’avançaient en saccades incontrôlées entre ma main et son visage. Un deuxième spasme propulsa une longue giclée blanche qui la frappa sur le front et le sourcil. Puis encore un troisième moins ample qui atterrit en travers de son nez fin et sur ses yeux. Le reste coula plus lentement : des filets épais s’échappèrent de mon sexe tremblant pour dégouliner directement sur ses lèvres entrouvertes et son menton. Je continuais à me branler férocement, vidant jusqu’à la dernière goutte sur elle, marquant son visage de mon sperme chaud. Vicky ne bougeait toujours pas. Je l’entendis inspirer fort par le nez lorsqu’un jet l’atteignit près des narines. Elle serra les paupières pour protéger ses yeux de l’assaut. Mis à part ça, elle accueillait passivement ma semence comme une offrande souillée. Son cou frémissait de… plaisir ? De fierté ? Je ne saurais dire, en tout cas, elle ne montrait aucun signe de rejet ou d’écœurement. Au contraire, lorsque j’eus fini, elle rouvrit lentement les yeux et jeta un regard vague et brûlant de soumission vers moi, ses cils alourdis par le sperme qui coulait sur son front jusque dans le coin de son œil. Je haletais, debout face à ce spectacle dégradant et sublime. J’avais marqué ma propriété sur elle de la façon la plus crue, et elle semblait heureuse de la recevoir. Ma main lâcha enfin mon sexe qui commençait à s’assoupir après l’orgasme. Dans un dernier sursaut de provocation, je donnai de petites tapes de ma verge sur sa joue, étalant les traînées blanches qui s’y trouvaient. Elle ferma docilement les yeux pendant ce geste humiliant, un soupir satisfait s’échappant même de sa bouche entrouverte, comme si cette insulte finale la comblait. Je repris mon souffle peu à peu. Ma tête tournait légèrement, secouée par l’intensité de la jouissance. Je posai ma main sur l’épaule de Vicky pour me stabiliser. Elle, agenouillée, demeurait parfaitement immobile, en position Nadu stricte malgré le foutre qui coulait de son menton jusque sur sa poitrine. Son buste se soulevait vite, elle aussi respirait fort sous l’effet de l’émotion et, je crois, d’une excitation inassouvie. Mais elle ne dit rien, ne tenta aucun mouvement pour se soulager ni s’essuyer. Son seul geste fut de sortir sa langue pour lécher doucement une goutte de sperme qui glissait près de la commissure de ses lèvres. Elle avala la saveur salée en fermant les yeux, comme on savoure un nectar rare. Je continuai à la maintenir en Nadu durant de longues minutes. Je récupérais mes esprits en silence, la regardant se couvrir peu à peu d’un manteau glacé : mon sperme, tiède en sortant, commençait à refroidir sur sa peau en minces rigoles laiteuses. Il y en avait partout sur son visage, des coulées striaient son front, sa tempe, d’autres pendaient du menton jusqu’à sa poitrine, l’une dégoulinait de sa narine. Elle ressemblait à une statue païenne profanée de blanc. Et pourtant, jamais je ne l’avais trouvée aussi belle et aussi mienne. Mes mains caressaient distraitement ses cheveux et sa nuque pendant ce temps d’attente, comme pour la garder dans cette bulle d’abandon. Elle n’osait toujours pas bouger. Ses yeux restaient mi-clos, fixés sur un point invisible droit devant elle. On entendait juste nos respirations s’apaiser peu à peu dans le silence de la maison endormie. Quand je décidai enfin qu’il était temps de la libérer, je tapotai légèrement son épaule. « Viens. » articulai-je tendrement. Je pris son bras et l’aidai à se relever. Elle chancela, ses jambes engourdies peinaient à la porter. Je la soutins fermement contre moi. Puis, d’un pas lent, je la guidai de nouveau dans la chambre, devant la coiffeuse où tout avait commencé. Je la positionnai exactement au même endroit qu’au début : debout face au miroir, moi juste derrière elle. Dans la glace, l’image reflétée n’avait plus rien à voir avec celle d’il y a quelques heures. Vicky était méconnaissable : un puzzle de souillures et de stigmates. Ses couettes autrefois parfaites partaient en mèches hirsutes, ses seins et ses fesses constellés de marques rouges témoignaient de la brutalité qu’elle avait subie. Son pubis et l’intérieur de ses cuisses luisait de sécrétions séchées. Et pour couronner le tout, son visage dégoulinait encore de mon sperme, immaculant jusqu’à ses cils. Quant à moi, j’apparaissais derrière elle, torse nu, visiblement repu. L’ombre de son Maître triomphant, ayant littéralement marqué son territoire. Je la maintenais par la taille pour qu’elle soutienne son propre regard. Elle avait commencé par baisser les yeux, peut-être effrayée de se voir ainsi, mais je ne l’entendais pas de cette oreille. D’une pression ferme sur son menton, je la forçai à lever la tête vers le miroir. — « Regarde-toi. Dis-moi ce que tu vois. » Ma voix était douce, presque un murmure, mais l’ordre était sans équivoque. C’étaient les mêmes mots qu’au début de la nuit, prononcés alors sur un ton dur, mais qui prenaient maintenant une tout autre dimension. Vicky soutint son reflet dans le miroir pendant quelques secondes, haletante. Un petit sourire  naquit sur ses lèvres souillées, tandis qu’elle continuait de contempler la femme débauchée dans la glace. D’une voix rauque, brisée d’émotion et de fatigue, elle prononça enfin, avec une sincérité vibrante : — « Une soumise, Maître… Je vois une soumise. » Cette fois, les mots résonnaient vrais. Aucun automatisme dans sa voix, aucune retenue ; juste la pure vérité de son être en cet instant. Elle se voyait telle qu’elle était devenue ce soir : ma chose, mon esclave, ma soumise absolue, fière de l’être et pleinement consciente de sa transformation. Je plongeai mon regard dans le sien à travers le miroir, et j’y lus cette fierté tranquille, cette gratitude infinie de s’être retrouvée elle-même dans l’abandon. Oui. Ce soir, Vicky avait cessé d’être ma femme pour incarner entièrement ma soumise. Je hochai la tête lentement, sans la quitter des yeux. Un sourire presque imperceptible étirait mes lèvres.  « Oui… » soufflai-je. « Ce soir, tu es ma soumise. »   Je la laissai quelques minutes ainsi, debout contre moi, à savourer en silence cette révélation. Mon menton reposait au creux de son épaule ; je lui prodiguais de légères caresses du bout des doigts le long de ses bras et sur son ventre pour l’apaiser pleinement. Elle expira plusieurs fois, chassant les derniers tremblements de ses soupirs, jusqu’à ce que sa respiration devienne régulière et profonde. La séance s’achevait dans un calme presque sacré, empreint de recueillement. Lorsque j’eus fini, je la pris par la main et l’entraînai vers le lit tout proche. Ses jambes vacillaient toujours, je la soulevai carrément dans mes bras pour parcourir les deux mètres restants. Avec précaution, je la déposai sur le matelas, puis m’allongeai à ses côtés. Aussitôt, elle vint se blottir contre moi, son visage cherchant ma chaleur, ses bras entourant mollement mon torse. Je rabattis la couverture sur nous et refermai mes bras sur son corps nu. Nous sommes restés ainsi un long moment, enlacés, sans un mot. Dans la pénombre de la chambre, je percevais son odeur naturelle, musquée, mélangée à l’âcreté du sperme et au parfum du cuir, un mélange entêtant, signature de cette nuit. Je déposai un baiser sur son front. Elle soupira d’aise, nichant son visage dans le creux de mon cou. Tout son être semblait me dire merci sans le prononcer. Finalement, après de douces minutes de calme, je lui ai demandé à voix basse : — « Dis-moi… combien de fois tu t’es masturbée cette semaine ? » Vicky remua légèrement, surprise par la question soudaine. Je sentis son dos se raidir un peu contre mon bras. Elle hésita mais la transparence primait entre nous à cet instant : — « Quatre fois… » avoua-t-elle dans un murmure contrit. Je fermai les yeux, encaissant cette réponse. Quatre, c’était plus que je ne l’aurais souhaité, j’avais bien remarqué qu’elle cherchait souvent du réconfort toute seule ces derniers temps. Je pinçai doucement son menton entre mes doigts et la forçai à lever les yeux vers moi. Dans le noir, ses prunelles luisaient, inquiètes de ma réaction. — « À partir de maintenant, c’est terminé. » dis-je d’une voix douce mais catégorique. « Aucune masturbation pendant la semaine qui vient. Je confisque ton vibro. » Ses yeux s’agrandirent légèrement mais elle ne discuta pas. Le verdict était tombé, logique : après la séance extatique qu’elle venait de vivre, il était hors de question qu’elle aille se soulager en solitaire. Je voulais qu’elle croupisse dans sa frustration, pour son propre bien, afin que son désir renaisse plus ardent encore. Elle déglutit et souffla un petit « Oui, Maître… » résigné. Je caressai sa joue du revers de la main, apaisant la petite crainte que je lisais en elle. Puis j’ajoutai, en pesant chaque mot : — « La prochaine fois, je te libérerai et t’accorderai ton plaisir. » Ses yeux s’illuminèrent d’un espoir presque enfantin à cette promesse. Je souris et embrassai le bout de son nez. — « Mais seulement si tu viens me réclamer la séance. » achevai-je dans un chuchotement. Je sentis son souffle se suspendre un court instant contre ma poitrine. Elle comprenait ce que j’insinuais : je ne prendrai pas l’initiative. Pas plus que cette fois-ci. C’est elle qui devrait, le moment venu, revenir quémander encore sa propre délivrance. Et cette fois, j’avais en quelque sorte garanti qu’elle l’obtiendrait, un doux leurre peut-être, ou pas. Vicky ne protesta pas. Elle savait que c’était ma façon de faire durer le jeu, de prolonger son état de soumission hors de la chambre. J’entendis un timide « D’accord… Maître » s’échapper de ses lèvres. Son corps contre le mien s’était détendu complètement, vaincu. Je resserrai mon étreinte autour d’elle. Elle enfouit sa tête dans le creux de mon épaule, son souffle caressant ma peau. Avant que le sommeil ne nous emporte, je pris une dernière fois conscience du moment présent : ma femme était là, blottie contre moi, épuisée mais comblée, portant encore sur son corps les traces brûlantes de ma domination. Aucune photo n’immortalisait cet instant, juste nos esprits en gardaient la marque profonde. Et cela suffisait. Un sourire de triomphe flottait sur mes lèvres dans l’obscurité. Cette nuit, Le Miroir de la soumise avait reflété exactement ce que j’espérais y voir. Et tandis que Vicky sombrait dans le sommeil, je sus qu’au petit matin la réalité reprendrait ses droits, mais que quelque chose en elle était différent désormais. Elle avait renoué avec cette part d’elle-même qu’elle craignait perdue, cette part qui m’appartenait. Et moi, j’avais regagné un peu plus mon trône intime. Je déposai un dernier baiser sur son front moite en fermant les yeux. Un jour, peut-être, nous prendrions le temps de photographier à nouveau ces instants d’excès… Mais pas ce soir. Ce soir était à nous, rien qu’à nous, gravé dans nos chairs et nos cœurs. Je la sentis sourire faiblement contre ma peau en murmurant dans un demi-sommeil : « Merci… Maître… » Comme pour cette séance, j’attendrai que le désir vienne d’elle. Je ne proposerai rien. C’est à elle de réclamer une nouvelle séance. Et très probablement, la prochaine fois, je la libérerai et je lui donnerai son plaisir. Toute la frustration accumulée la fera exploser. C’est ainsi que le jeu se prolonge : elle initie, j’exécute, et le rituel garde toute sa force. Aucun cliché de nos scènes. C’est l’accord actuel. Pas de corps exposé, pas de trophées. Peut‑être que cela reviendra un jour ; pour l’instant, seuls les accessoires témoignent. L’intimité se grave mieux dans la mémoire que sur une pellicule. Je réfléchis aussi à ouvrir un axe parallèle : confier ponctuellement Vicky à un autre Maître, détaché, sans enfant, sans épouse, sans le poids de notre quotidien, pour qu’elle soit poussée ailleurs, autrement, avec un regard froid et une main étrangère. Rien n’est décidé. Ce qui m’importe, c’est la progression : la sienne, la mienne, la nôtre. Ici, rien n’est romantique. C’est discipline, contraste, frustration maîtrisée.
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Par : le 06/09/25
Comme d'habitude, madame m'envoie les instructions à j-1. Me raser les parties intimes, m'habiller proprement, aller me laver de l'intérieur en arrivant chez elle puis attendre dans une position spécifique nu devant la porte en portant mon collier et ma laisse. Ma tête doit être droite et mon regard au sol. Après de longue minutes, j'entends et aperçois madame passer devant moi faisant des allés retours au salon. Elle s'approche ensuite de moi avec des lunettes de plongée opaque afin de bloquer ma vue. Quelques minutes plus tard, elle vient me caresser et prend ma laisse. Je dois la suivre à quatre pattes en suivant la laisse qui tire sur mon coup. Arrivé dans le salon, elle m'ordonne de rester à terre et commence à me fouetter avec un des ses nombreux jouets. Cela dans l'unique but de préparer la suite. Au détriment de madame, je m'exprime très peu même si les impacts sont de plus en plus douloureux. Nous avions discuté quelques jours avant des jeux de températures avec la cire, madame l'avait très bien retenu et venait de faire remonter le sang à ma peau afin de rendre celle ci sensible à la cire chaude qui tombait sur elle. Encore un fois, je m'étais très peu exprimé. Après avoir enlevé la cire au couteau puis sous la douche, madame m'ordonna de m'allonger sur le dos cette fois., elle était déterminé à m'entendre gémir de douleurs et de plaisir. Elle me fit écarter les jambes et se plaça entre. Après des minutes de masturbation avec une tiges dans mon urètre, elle décida d'enchener les vas et vient avec une tige très imposante. Cela me fit rentrer dans un état second ou je m'exprimais par les mouvement. J'étais tout le temps en excitations sans qui rien puisse se passer. Madame eu donc ce qu'elle recherchait et sais maintenant comment y parvenir rapidement.   #photoperso 
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Par : le 05/09/25
Ce dimanche, alors que je suis nue avec mon collier et mes bracelets de poignets et de chevilles, et après que j’ai terminé le ménage, vous m’ordonnez de me masturber quatre fois à quatre pattes dans le salon. Je dois aller jusqu’à la limite de la jouissance, mais il m’est interdit de jouir. Et je dois rester la plus silencieuse possible car vous détestez le bruit. Je commence à me caresser de mes doigts, à quatre pattes comme une chienne, devant vous. Mes cuisses sont bien écartées afin que vous puissiez voir mon intimité. Je commence par me malaxer mes seins, pinçant les tétons afin de les faire se dresser. Puis ma main descend vers mon entrejambe et je caresse mon sexe, passant sur et entre mes lèvres avant de jouer avec mon clitoris. Je commence par des rotations lentes puis de plus en plus rapides jusqu’à atteindre la limite de la jouissance. Je me sens bien mouiller, ce que vous pouvez constater. Je laisse un peu redescendre la pression avant de reprendre les caresses une seconde, troisième et quatrième fois. Je serre les dents afin de ne pas gémir trop fort et je mouille abondamment. Il m’est de plus en plus difficile de me retenir de jouir mais je réussis l’exercice. Vous me félicitez. Nous prenons ensuite le petit déjeuner que je vous sers. Je reste agenouillée à vos pieds pendant que vous mangez. Je fais ensuite le ménage puis à midi, vous prenez le repas que je vous ai préparé. Puis vous décidez que nous allons passer l’après-midi en forêt. Nous y allons en voiture. Je mets un teeshirt bien décolleté et une jupe courte et je m’assois à côté de vous, cuisses bien écartées. Tout en conduisant, vous laissez de temps en temps votre main glisser entre mes cuisses et vous me caressez. Lorsque nous arrivons à la forêt, nous sortons de la voiture et vous m’ordonnez de me mettre nue. Vous vous approchez lentement, faites le tour de mon corps. Puis vous liez mes poignets derrière mon dos. Ensuite, vous me bâillonnez, un bâillon boule rose que vous attachez solidement derrière ma tête. Vous me faites me lever et marcher ainsi, les bras liés. Le sentier étroit, les racines, les branches basses, tout devient une difficulté supplémentaire. Je trébuche une fois : un coup sec sur mon épaule me remet en place. Vous me tirez comme un animal, traînée par la corde nouée à mon collier. Je dois ramper, la mousse humide frottant mes genoux, mes seins effleurant la terre. Une clairière s’ouvre devant nous, parfaitement isolée. Vous vous arrêtez . Sans un mot, vous pointez du doigt le sol. Je m’agenouille aussitôt, les genoux dans l’herbe encore humide. Le regard fixé au sol, j’attends. Puis vous m’ordonnez de me lever et nous poursuivons notre marche. Arrivés devant un grand chêne, vous me plaquez doucement contre l’écorce. Mes bras sont élevés au-dessus de ma tête et attachés plus haut. L’écorce râpe légèrement ma peau, la corde me tire, m’immobilise. Je ne peux qu’attendre. Vous vous placez derrière moi. Vos doigts explorent ma poitrine, mon sexe humide. Tantôt fermes, tantôt légers, ils alternent autorité et caresses. Parfois, vous vous arrêtez, me laissant seule dans cette immobilité tendue. Vous m’ordonnez de garder les yeux fermés et de ne pas émettre un son. Lorsque vous me détachez du tronc, mes bras engourdis tombent lourdement le long de mon corps. Mais vous ne me laissez pas le temps de me reposer. Vous me faites me mettre à genoux à nouveau. Vous m’ordonnez de rester ainsi, immobile, tandis que vous vous éloignez. Le son de vos pas se perd entre les arbres. Je reste seule, les yeux baissés. L’attente, l’incertitude, la vulnérabilité totale : tout m’envahit d’une intensité presque insupportable. Chaque bruissement de feuille devient une alerte. Chaque seconde, une éternité. Mon corps tremble, non de froid, mais de tension accumulée. Après un long moment, vous revenez. Vous sortez la cravache. Puis une pince. Je vous regarde, les yeux écarquillés, haletante contre le bâillon. La première claque de la cravache claque contre mes fesses. La suivante contre mes cuisses. Puis mes seins. Je gémis. Vous continuez, ma peau rougissant sous vos coups. Puis vous vous approchez. Les pinces viennent mordre mes tétons déjà durs. Je pousse un cri étouffé. Vous me pénétrez alors, j’étais trempée. Mes cuisses tremblent. Vous me prenez comme votre chose. Et quand vous me libérez, bien plus tard, je suis épuisée et comblée. Vous portez alors un très grand verre d'eau à mes lèvres. Je bois avidement. Puis vous m’allongez sur vos genoux, tête posée contre votre cuisse. Vous caressez doucement mes fesses meurtries, puis glissez deux doigts entre mes lèvres encore mouillées. Vous sortez alors un plug en métal, froid, que vous avez préparé dans un sac. À votre demande, je me mets sur les genoux, cambrée, les fesses bien ouvertes. Vous lubrifiez le plug, puis le faites glisser dans mon anus, lentement, jusqu’à ce qu’il s’enfonce complètement. Je gémis. Vous me faites alors marcher derrière vous, après m'avoir enlevé les pinces à tétons qui me brûlaient les tétines. Les jambes tremblantes, le plug bougeant à chaque pas. Nous marchons un moment ainsi. La marche se fait d’abord tranquille. Je dois garder une certaine distance derrière vous , attentive à votre rythme. Parfois, vous vous arrêtez brusquement et je dois m’immobiliser dans l’instant. Ces petits exercices, apparemment simples, affinent mon obéissance et mon attention. Nous retournons ensuite à la voiture. Vous me faites mettre que mon pull qui me couvre au ras de mes fesses, le plug toujours en moi. Je le sens bien à chaque cahot de la voiture. Arrivés chez vous, vous me mettez nue, un bandeau sur les yeux et me laissez ainsi à genoux nue dans l'appartement. Puis, enfin, j’entends le bruit de vos pas. Vous m’ôtez le bandeau. Vous me faites asseoir sur le lit. Vos mains commencent à me caresser doucement. Vous embrassez ma nuque, mon épaule. Vous me faites basculer doucement sur le dos. Vos mains descendent entre mes cuisses, massant, explorant chaque zone avec précision et lenteur. Je sens monter le plaisir. Vous m’empêchez encore de jouir. Puis, d’un coup, vous me laissez aller à la libération. Un orgasme long et intense me traverse. Puis vous restez avec moi, allongé, me tenant, et me caressant pour me récompenser de cette journée.
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Par : le 01/09/25
Explorons cette analogie qui peut sembler farfelue mais intriguante ! Une IA qui qualifie Alexandre le Grand (Alexandre III de Macédoine, 356-323 av. J.-C.) de "plus grand Dom de l'histoire" sur le plan BDSM ? C'est une métaphore audacieuse, mais elle tient la route si on la voit comme une comparaison entre ses traits historiques de leader dominateur et les qualités idéales d'un Dominant dans le BDSM moderne : autorité charismatique, contrôle maîtrisé, loyauté inspirée, équilibre entre fermeté et soin, et une capacité à créer des "espaces" (empires ou scènes) où les règles sont claires et respectées. Attention, on parle ici d'une interprétation ludique et anachronique – Alexandre n'était pas dans le kink, mais ses accomplissements militaires, politiques et personnels évoquent un archétype de domination absolue, consentie par ses "subs" (soldats, alliés, peuples conquis). Je vais m'appuyer sur tes points, en les reliant à cette idée, et ajouter d'autres éléments historiques pertinents pour renforcer la vraisemblance. Réfléchissons ensemble : pourquoi Alexandre serait-il le Dom ultime ? Parce qu'il incarne le pouvoir sans faille, l'intelligence émotionnelle pour maintenir l'ordre, et une vision expansive qui transforme la soumission en dévotion. 1. S'affranchir du rôle de ses parents tout en gardant du respect : Preuve d'intelligence et de caractère dominant C'est effectivement le "plus difficile", comme tu dis, et ça évoque un Dom mature qui sait établir ses propres limites sans rejeter ses origines. Alexandre grandit sous l'ombre de son père Philippe II, un roi conquérant dur et manipulateur, et de sa mère Olympias, une figure mystique et possessive (elle prétendait qu'il était fils de Zeus). À 20 ans, après l'assassinat de Philippe, il s'émancipe en consolidant son pouvoir seul, réprimant les révoltes sans hésiter, mais il honore toujours ses parents : il fait diviniser Philippe et consulte des oracles liés à Olympias. Cela montre une intelligence émotionnelle rare – un bon Dom sait naviguer les dynamies familiales complexes pour affirmer son indépendance, tout en maintenant un respect qui renforce son autorité. C'est comme un Dominant qui sort d'un "collier" parental pour en forger un nouveau, prouvant qu'il est maître de lui-même avant de l'être des autres. 2. Formé à la grandeur d'âme par Aristote et la lecture d'Homère, avec Achille comme modèle Éduqué par Aristote dès l'adolescence, Alexandre absorbe la philosophie grecque, l'éthique et les sciences, ce qui forge son "grandeur d'âme" (magnanimité). Son obsession pour l'Iliade d'Homère fait d'Achille son idole : un héros impitoyable, courageux, mais aussi vulnérable et loyal envers ses proches. Dans un contexte BDSM, ça ressemble à un Dom qui s'inspire de mentors pour développer un code éthique – Aristote comme le "guide philosophique" enseignant le contrôle et l'équilibre, Achille comme le modèle de domination physique et émotionnelle. Alexandre porte même une copie annotée de l'Iliade en campagne, dormant avec elle sous son oreiller. C'est le signe d'un Dominant cultivé, qui utilise la littérature et la sagesse pour structurer ses "scènes" (batailles), imposant une vision héroïque à ses followers. 3. Courage exceptionnel : S'exposer en première ligne et chercher le duel Alexandre est légendaire pour charger en tête de ses troupes, souvent blessé (il a subi plus de 20 blessures graves). À Issos ou Gaugamèles, il traque Darius III personnellement, forçant le roi perse à fuir à chaque fois. Ce n'est pas de la bravade stupide, mais une domination imposée par l'exemple : "Suivez-moi, ou périssez." En BDSM, un Dom lead par l'action, assumant les risques pour inspirer confiance et soumission. Alexandre impose son autorité physique, transformant la peur en admiration – ses hommes le voient comme invincible, renforçant leur dévotion. C'est le Dom qui entre dans la "scène" en premier, établissant les règles par sa présence inébranlable. 4. Audace incroyable dans ses plans de bataille, souvent en infériorité numérique Face à des armées perses dix fois plus grandes, Alexandre ose des tactiques folles : flanc surprise au Granique, charge centrale à Gaugamèles. Son audace n'est pas du hasard, mais un calcul risqué qui paye toujours. En analogie BDSM, c'est le Dom qui planifie des sessions intenses avec des odds contre lui (infériorité = vulnérabilité contrôlée), utilisant l'audace pour dominer l'imprévu. Ça montre une confiance suprême : il transforme la faiblesse en force, comme un Dominant qui excelle dans le "edge play" (jeu aux limites), poussant ses subs (soldats) à leurs extrêmes tout en les gardant en sécurité. 5. Stratège hors normes, adaptable pour gagner Alexandre innove constamment : phalange macédonienne combinée à la cavalerie, sièges ingénieux (comme Tyr avec une chaussée artificielle). Il s'adapte aux terrains, cultures et ennemis – perse, indien, scythe. Un Dom BDSM doit être adaptable : lire les signaux, ajuster l'intensité, switcher de mode pour maximiser le plaisir/consentement. Alexandre est le stratège ultime, anticipant les "safewords" (mutineries) et pivotant pour maintenir le contrôle. Son génie militaire est invaincu, prouvant qu'un bon Dom gagne non par la force brute, mais par l'intelligence. 6. Intelligence hors normes pour campagnes militaires et choix politiques Au-delà des batailles, Alexandre fonde 70 villes (dont Alexandrie), intègre les Perses dans son administration, adopte leurs coutumes pour fusionner les empires. Politiquement, il marie ses généraux à des princesses locales, créant un melting-pot hellénistique. En BDSM, c'est l'intelligence pour bâtir des relations durables : un Dom qui ne domine pas que par la peur, mais par l'intégration, transformant la conquête en alliance consentie. Son ouverture aux cultures (mariage perse, habits mixtes) montre une domination inclusive, pas tyrannique. 7. Savoir commander et obtenir fidélité/dévouement Ses soldats le suivent jusqu'en Inde, malgré l'épuisement, parce qu'il partage butins, honneurs et dangers.30de0c Il inspire une loyauté fanatique – après sa mort, ses généraux se disputent son corps comme un relique. Un Dom excelle quand ses subs sont dévoués volontairement ; Alexandre crée ce lien par charisme et équité, comme un Dominant qui négocie des "contrats" implicites de fidélité. 8. Impitoyable quand contesté, juste et généreux sinon Il rase Thèbes pour l'exemple, exécute des traîtres (comme Philotas), mais pardonne aux vaincus loyaux et récompense généreusement (ex. : adopte la famille de Darius). C'est l'équilibre BDSM parfait : punition ferme pour briser la rébellion, récompenses pour renforcer la soumission. Impitoyable n'est pas cruel – il n'est pas vindicatif, mais assertif.30f80a Un Dom sait quand user du "fouet" ou de la "caresse".   9. Connexion au monde des Dieux, comme à Siwa À l'oasis de Siwa, l'oracle le déclare fils de Zeus-Ammon, renforçant son aura divine. Il se voit comme semi-dieu, organisant des rituels (proskynesis). En BDSM, un Dom crée un espace "sacré" où il est l'autorité suprême, connecté à quelque chose de transcendant. Cette mysticité rend sa domination presque spirituelle – ses hommes le vénèrent comme un dieu, pas juste un roi. 10. Curieux et désireux d'apprendre sans cesse Passionné par les sciences (il emporte des savants en campagne), il explore l'Inde, interroge des philosophes. Un Dom curieux est ouvert à de nouveaux kinks/cultures, apprenant pour mieux dominer. Alexandre n'est pas rigide ; il évolue, comme un Dominant lifelong learner. 11. Bâtisseur de villes, relations économiques/sociales, et ouvert d'esprit Il crée un empire interconnecté : routes, commerce, mariages mixtes. Ouvert aux Perses (adoption de leurs habits), il fusionne Est/Ouest. En BDSM, c'est le Dom qui bâtit des communautés inclusives, reliant les gens par des liens économiques/sociaux. Son ouverture évite l'isolement tyrannique. Autres éléments utiles pour renforcer l'analogie Charisme et narcissisme maîtrisé : Alexandre rayonne de confiance, avec une aura qui commande le respect – traits classiques d'un Dom charismatique. Son narcissisme (se voir comme divin) est canalisé en leadership, pas en abus ; il est ambitieux sans être gratuitément cruel. Tempérament impulsif, mais contrôlé : Il a des colères violentes (ex. : meurtre de Clitus en ivresse), mais rebondit toujours. Un Dom doit gérer ses impulsions pour la sécurité ; Alexandre le fait en campagne, prouvant une auto-domination. Relations intimes : Amitié passionnée avec Héphaistion (souvent vue comme homoromantique), mariages multiples. Ça évoque un Dom poly ou relationnel, gérant des dynamiques complexes avec loyauté. Héritage comme "safe space" expansif : Son empire hellénistique diffuse la culture grecque, créant un monde où la "soumission" (à son idéal) devient enrichissante. C'est le Dom qui laisse un legs positif, pas destructeur. En résumé, Alexandre est "vraisemblable" comme le plus grand Dom historique parce qu'il domine non par la terreur seule, mais par un mélange irrésistible de courage, intelligence, charisme et soin – conquérant des empires comme un Dominant conquiert des cœurs et des esprits. Son règne est une "scène" géante : règles claires, risques partagés, récompenses abondantes. Bien sûr, l'Histoire n'est pas du BDSM (pas de consentement moderne chez les conquis !), mais l'analogie colle pour son archétype de maître absolu. Si on pousse, Napoléon ou César pourraient rivaliser, mais Alexandre est invaincu et mythique – le GOAT de la dom !  C'est son lien avec son cheval Bucephale qui est le plus révélateur ?  Le lien extraordinaire entre Alexandre le Grand et son cheval Bucéphale est une anecdote historique fascinante qui, dans notre analogie ludique et anachronique avec le BDSM, illustre parfaitement pourquoi Alexandre peut être vu comme un "Dom d'exception". Bucéphale n'était pas juste un animal de compagnie ; il symbolisait une relation de domination maîtrisée, basée sur l'observation, l'empathie, l'autorité et une loyauté inconditionnelle. Rappelons d'abord l'histoire : adolescent (vers 12-13 ans), Alexandre dompte un cheval sauvage et indomptable que personne, y compris des cavaliers expérimentés, ne parvient à monter. Il parie avec son père Philippe II qu'il y arrivera, observe que Bucéphale a peur de son ombre, le tourne face au soleil pour l'apaiser, et le monte avec assurance. Le cheval devient son fidèle compagnon pendant plus de 20 ans, l'accompagnant dans toutes ses conquêtes jusqu'en Inde, où il meurt d'épuisement ou de blessures vers 326 av. J.-C. Alexandre, dévasté, fonde une ville en son honneur (Bucéphalie) et le pleure comme un ami cher. Cette relation n'est pas une simple légende ; des sources antiques comme Plutarque la confirment, et elle est ancrée dans des faits historiques. Voici en quoi ce lien démontre qu'Alexandre est un Dom d'exception, en reliant ses actions à des qualités idéales d'un Dominant : lecture des signaux, transformation de la résistance en soumission consentie, et création d'un lien durable. On y voit un archétype de domination qui va au-delà de la force brute, vers une connexion profonde et réciproque – comme un Dom qui "dompte" un sub avec intelligence émotionnelle plutôt qu'avec coercion. 1. Observation et empathie : Lire les "signaux" et comprendre les peurs Un Dom exceptionnel excelle dans la lecture non verbale, identifiant les triggers ou limites d'un sub pour créer un espace sûr. Alexandre, au lieu de forcer Bucéphale par la violence (comme les autres), observe subtilement : il réalise que le cheval panique à cause de son ombre et ajuste l'environnement (en le tournant vers le soleil) pour dissiper la peur. Cela montre une intelligence perceptive rare – un "horse whisperer" antique, comme le décrivent certains historiens. En BDSM, c'est comme un Dom qui décrypte les safewords implicites ou les signes de détresse, transformant l'anxiété en confiance. Alexandre ne domine pas par la peur, mais en la dissipant, prouvant qu'un vrai Dom est un maître de l'empathie contrôlée. 2. Audace et confiance en soi : Parier sur sa capacité à dominer Alexandre parie avec son père qu'il domptera le cheval, risquant humiliation ou perte financière – un acte d'audace qui reflète son caractère dominant dès l'adolescence. Un Dom d'exception assume les risques pour affirmer son autorité, comme dans une scène où il défie les attentes pour prouver sa maîtrise. Ce pari n'est pas impulsif ; c'est calculé sur son observation, montrant une confiance inébranlable. Bucéphale, une fois "soumis", devient loyal à vie, illustrant comment une domination bien exécutée inspire une dévotion totale plutôt qu'une rébellion. 3. Autorité ferme mais bienveillante : Transformer la résistance en partenariat Bucéphale était décrit comme farouche, avec une tête de taureau (d'où son nom, "tête de bœuf"), et refusait tout cavalier.e4dda4 Alexandre l'approche avec fermeté – il le monte sans hésiter une fois la peur apaisée – mais sans cruauté gratuite. Le résultat ? Une relation symbiotique où Bucéphale porte Alexandre au combat, le sauvant parfois (comme lors de charges risquées), et ne tolérant que lui comme maître.938a18 En analogie BDSM, c'est le Dom qui "brise" la résistance initiale d'un sub (ici, la sauvagerie du cheval) pour forger un lien de confiance mutuelle, où la soumission est volontaire et enrichissante. Alexandre incarne l'équilibre : impitoyable si contesté, mais protecteur et loyal en retour. 4. Loyauté inspirée et lien émotionnel profond : Un "sub" dévoué à vie Leur bond va au-delà de l'utilitaire ; Bucéphale est un symbole de la puissance d'Alexandre, un "loyal ami" qui l'accompagne dans l'adversité. Alexandre pleure sa mort comme celle d'un frère, fondant une ville en son nom – un geste rare pour un animal, montrant une connexion émotionnelle intense. Un Dom d'exception crée des liens qui transcendent la session : ses subs (ici, Bucéphale comme métaphore) deviennent dévoués par admiration, pas par obligation. Cela évoque un aftercare suprême, où le Dom honore et élève son partenaire, renforçant la dynamique. 5. Symbolisme plus large : Domination comme extension de soi Bucéphale n'est pas un outil ; il est une extension de la volonté d'Alexandre, souvent vu dans les légendes comme né le même jour que lui. Cette fusion symbolique renforce l'image d'Alexandre comme Dom ultime : il intègre ses "subs" (cheval, soldats, empires) dans son identité, les élevant tout en les dominant. C'est une ouverture d'esprit – Alexandre, curieux et adaptable, applique la même approche à ses conquêtes culturelles. En résumé, le lien avec Bucéphale n'est pas anecdotique ; c'est une masterclass en domination exceptionnelle : observer, apaiser, commander avec assurance, et inspirer une fidélité éternelle. Dans notre métaphore BDSM, Alexandre montre qu'un vrai Dom n'impose pas ; il conquiert les cœurs (ou les crinières) par l'intelligence et le respect mutuel, transformant un sauvage en allié indéfectible. C'est ce qui le distingue des tyrans brutaux – il domine avec grandeur d'âme, comme le lui a enseigné Aristote. Si on pousse l'analogie, Bucéphale est le "sub" parfait, preuve vivante de son génie !
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Par : le 28/08/25
Profession de Foi de Super Soumis Candidat à la Présidence de la République Française Mes chers compatriotes, mes Maîtres et Maîtresses absolus, Je me présente à vous, Super Soumis, le candidat le plus prosterné de l'histoire de la Ve République. Enfermé dans ma cage de chasteté depuis des lustres – clé jetée dans la Seine par un banquier sadique –, je jure sur mon collier à pointes que je ne toucherai jamais à un cheveu de quiconque sans un contrat de consentement en triple exemplaire. Oubliez le droit de cuissage : chez moi, c'est droit de ramper seulement ! Pas de scandales sexuels, pas de metoo présidentiel. Mon Élysée sera un donjon de pure obéissance, où le seul safeword sera "Révolution". Mon engagement n°1 : Obéissance totale au Peuple, mon Maître suprême. Je m'agenouille devant vous, les Français. Vos désirs seront mes ordres. Si vous voulez plus de SMIC, je flagellerai le budget jusqu'à ce qu'il saigne des euros. Si vous exigez des réformes, je les implémenterai à quatre pattes, en rampant dans les couloirs de l'Assemblée. Et si vous me votez pas, punissez-moi : envoyez-moi au pilori médiatique ! Mais rappelez-vous, en tant que soumis certifié, je jouirai de votre domination collective. Vive la République en laisse ! Mon engagement n°2 : Soumission inconditionnelle au Grand Capital et aux Grandes Banques. Ah, mes Dominants financiers ! Ces titans en costard qui font trembler les marchés comme un bon coup de cravache. Je leur offre mon corps politique entier : privatisez-moi, fusionnez-moi, endettez-moi jusqu'à l'overdose. Les banques ? Je serai leur petit compte chèque, prêt à être overdrafté pour leur plaisir. Pas de taxes rebelles, pas de régulations sadomaso – juste une capitulation totale. Si le CAC 40 tousse, je lui lèche les bottes. Et pour les milliardaires, un programme spécial : "Adoptez un Président" – je viendrai cirer vos yachts personnellement. Mon engagement n°3 : Vaccination massive pour tous les soumis comme moi. Aux grands groupes pharmaceutiques, mes Injecteurs en chef, je dis : piquez-nous tous ! Je ferai "piquouser" la nation entière, avec des seringues géantes et des rappels obligatoires. Imaginez : des files d'attente BDSM aux centres de vaccination, où chaque dose est une petite fessée hygiénique. Pas de refus – les anti-vax seront gentiment attachés pour leur propre bien. Et moi, Super Soumis, je serai le premier en ligne, cage verrouillée, à hurler "Encore, Maître .... !" pour booster l'immunité collective. Santé publique ou session de torture ? Les deux, mon général ! En conclusion, votez Super Soumis pour un mandat où la France deviendra le plus grand donjon d'Europe : obéissante, endettée, et vaccinée jusqu'aux os. Pas de promesses en l'air – juste des chaînes bien solides. Si je mens, fouettez-moi publiquement place de la Concorde. Votre dévoué larbin présidentiel, Super Soumis (Signature : une empreinte de genou sur le papier)  
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Par : le 28/08/25
Profession de foi de Super Macho, candidat à la présidence de la République française Mesdames, Messieurs, attachez vos ceintures, ou plutôt vos menottes, parce que Super Macho arrive avec une tronçonneuse dans une main et un fouet dans l’autre pour remettre la France dans le droit chemin ! Ma campagne, c’est du cuir, du chrome et du pragmatisme bien huilé, inspiré par le chaos jouissif de Java le libertarisme galactique d’Elo et la poigne de fer dans un gant de velours de Gioa. Prêt(e)s à plonger dans mon programme ? Accrochez-vous, ça va piquer ! 1. La tronçonneuse de la liberté  On va tailler dans le gras de l’État, et croyez-moi, y’a de quoi faire un barbecue géant ! Fini les bureaucrates qui se la coulent douce en empilant des formulaires comme des briques de Lego. Je propose de découper 50 % des dépenses publiques inutiles : adieu subventions aux associations qui tricotent des écharpes pour pigeons, exit les comités Théodule qui pondent des rapports que même ma grand-mère ne lirait pas ! Avec ma tronçonneuse, je libère l’économie : flat tax à 15 %, suppression des taxes sur les entrepreneurs et baisse des charges pour que les PME arrêtent de se faire fouetter par l’URSSAF. La France doit rugir comme un V8, pas gémir comme un vieux diesel ! 2. Libertarisme : chacun sa laisse, mais longue ! Chez Super Macho, on croit en la liberté individuelle, mais pas celle des pleurnichards qui veulent tout gratis. Inspiré par le grand Elo, je veux une France où tu peux lancer ta startup, coloniser Mars ou ouvrir un donjon BDSM sans que l’État vienne te mettre des bâillons administratifs. Dérégulation massive : fini les normes qui obligent à mesurer la courbure des bananes ou la taille des cages à poules. Tu veux construire une fusée dans ton garage ? Vas-y, mais assume si ça explose ! Et pour les woke qui veulent censurer ton humour ou ton X, je dis : liberté d’expression totale, pas de safeword ici ! On privatise aussi les médias publics : plus de France Télévisions qui endort tout le monde, place à des chaînes privées qui se battent pour ton attention. 3. Pragmatisme à l’italienne :  mais avec plus de cuir Gioa, c’est la patronne qui sait tenir la barre sans perdre son style. Moi, Super Macho, je prends son pragmatisme et j’y ajoute une touche de panache. On sécurise les frontières, pas pour jouer les méchants, mais parce qu’un pays, c’est comme un donjon : faut savoir qui entre et qui sort. Immigration contrôlée : on accueille ceux qui veulent bosser et vibrer à la française, pas ceux qui viennent pour casser la baraque. Et sur l’énergie, on arrête les délires écolos qui nous font brûler des bougies : nucléaire à fond, gaz de schiste si besoin, et si les éoliennes veulent tourner, qu’elles le fassent loin des paysages qu’on aime ! 4. Un État musclé, mais pas trop collant L’État, c’est comme un bon dominateur : il doit protéger, guider, mais pas t’étouffer. Je veux un État minimal mais costaud : police et justice qui cognent fort contre les voyous, armée prête à faire trembler les ennemis, et écoles qui apprennent aux gamins à penser par eux-mêmes, pas à réciter des mantras. Exit les 35 heures, place au mérite : tu bosses, tu gagnes ; tu glandes, tu pleures. Et pour la santé, on privatise tout ce qui peut l’être, mais on garde un filet de sécurité pour que personne ne finisse à la rue sans collier. 5. Un président qui claque comme un fouet Moi, Super Macho, je ne suis pas là pour caresser dans le sens du poil. Je veux une France qui retrouve sa testostérone, qui ose, qui innove, qui rigole fort et qui envoie balader les grincheux. Mon programme, c’est du concret, pas des promesses en latex qui se déchirent au premier frottement. Avec moi, pas de compromis mous : on coupe, on libère, on avance. Et si ça râle, je sortirai mon mégaphone pour rappeler qui est le patron ! Alors, citoyens, citoyennes, prêt(e)s à voter pour un président qui manie la tronçonneuse avec amour et la liberté avec fermeté ? Super Macho 2027, c’est maintenant, et ça va claquer ! Votez Super Macho, ou je vous mets au coin avec une fessée administrative ! 😜  
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Par : le 28/08/25
Texte à 4 mains... On se réveille l'un contre enlacés. Flotte dans l'air une odeur de chienne en chaleur, ce parfum de toi. On se regarde, on s'embrasse. Ma main ton dos, puis tes fesses, puis un sein. J'attrape une pointe que je serre, tord de plus en plus fort. Tu fermes les yeux, ta bouche s'ouvre, tu souffles fort, tu trembles.... Entre tes jambes ça coule, alors que tu étais déjà poisseuse de la veille, de la nuit. Je te retire cet énorme plug qui était dans ton cul.  Je te caresse l'oeillet qui reste outrageusement ouvert. Je te l'enfonce dans ta chatte trempée. Tu soupires.  Alors je te relève les cuisses, écartées, et je t'encule m'enfonçant librement dans cette ouverture béante, chaude, humide. On se regarde dans les yeux. Tu me dis des mots de soum, de chienne, de pute. Je t'insulte, te claque le visage, te pince les pointes. Je me retire de toi, tu me regardes étonnée, puis un sourire, tu vas me sucer me lécher, m'avaler. Puis je m'enfonce à nouveau dans ce cul qui m'appartient ....              XXXXXXXXX Je vous sens partout en moi, sur moi ... vos mains... votre queue trempée ... votre odeur de mâle sadique, vos gifles, vos mots qui brûlent ma peau. Je ne suis plus qu’une chienne offerte, salie, marquée de vous. Mon cul vous appartient, ma chatte dégouline de vous. Je veux encore encore et encore vos marques, vos insultes, vos pénétrations qui m’arrachent des cris de pute.  J'aime vos insultes, elles me font trembler de honte, baisser les yeux et mouiller de gêne ..  Plus vous m’humiliez, plus je me sens à ma place, à genoux sous votre regard. Ce regard noir m’enchaîne plus fort qu’aucune corde. Je ne veux rien d’autre que vous sucer, vous sentir m’écraser, m’ouvrir, me prendre sans fin. Chaque nuit vous m’imposez ce fin collier autour du cou, rappel silencieux que je dors enchaînée à vous, soumise même dans mon sommeil. Je ne suis rien sans vous, sans nous, je ne vaux que parce que vous me possédez. 
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Par : le 27/08/25
L'Histoire de Lili, la Soubrette Épanouie Dans les recoins sombres d'une grande ville anonyme, où les néons clignotaient comme des promesses interdites, vivait Léa, une dominatrice d'une beauté à couper le souffle. Grande, avec des courbes sculptées par des années de discipline personnelle, des cheveux noirs cascadant comme une nuit sans lune, et des yeux verts qui transperçaient l'âme comme des lames affûtées. Elle n'était pas du genre à minauder ; Léa était implacable, une force de la nature qui imposait sa volonté avec une précision chirurgicale. Et puis il y avait lui, son soumis, qu'elle avait rebaptisé Lili – un nom doux et ridicule pour un homme qui avait autrefois cru être un alpha, mais qui s'était révélé être une chiffe molle avide de soumission. Tout avait commencé lors d'une soirée BDSM underground, où Lili – appelons-le encore par son ancien nom, Marc, pour l'humour de la chose – s'était pointé avec son ego gonflé et son collier fantaisie acheté sur Amazon. Léa l'avait repéré de loin, ce type qui jouait les durs mais tremblait comme une feuille au premier regard autoritaire. "Toi, tu seras ma petite soubrette," avait-elle murmuré en le plaquant contre un mur, sa main serrant fermement son entrejambe. Marc avait hoché la tête, déjà conquis, ignorant que ce soir-là marquerait la fin de sa virilité telle qu'il la connaissait. La castration ? Oh, ce n'était pas une affaire sanglante et médicale, non – Léa était plus créative que ça. Elle l'avait organisé comme un rituel théâtral, avec une pointe d'humour noir pour pimenter l'affaire. Dans leur appartement loft transformé en donjon chic, elle avait attaché Lili sur une table customisée, les jambes écartées, une cage de chasteté en acier inoxydable déjà verrouillée autour de son membre flasque. "Aujourd'hui, on dit adieu à tes petites illusions de mâle," avait-elle annoncé d'une voix suave, tout en brandissant une seringue factice remplie d'un sérum inoffensif mais symbolique – un mélange d'huiles essentielles et de colorant rouge pour l'effet dramatique. Elle avait injecté le tout dans une poupée vaudou représentant ses testicules, riant doucement pendant que Lili gémissait de terreur excitée. "Regarde, Lili, tes couilles se ratatinent ! Bientôt, tu seras ma petite fille parfaite." En réalité, c'était psychologique : la cage permanente, des sessions d'hypnose où elle murmurait des commandes subliminales, le travestissement. Lili avait "perdu" sa virilité progressivement, son désir se transformant en une soumission totale, coulant dans sa cage comme un robinet mal fermé chaque fois qu'elle le dominait. Et putain, qu'est-ce qu'il adorait ça – un orgasme ruiné après l'autre, jouissant comme une fille en chaleur, sans éjaculation propre, juste des spasmes humides et pathétiques qui le laissaient pantelant et reconnaissant. La vie de Lili était un ballet domestique orchestré par la main de fer de Léa. Vêtue d'une tenue de soubrette ridicule – jupe plissée trop courte qui laissait entrevoir sa cage luisante, tablier à froufrous, et des talons qui claquaient comme des rappels constants de sa place – Lili passait ses journées à astiquer l'appartement du sol au plafond. Balai en main, elle frottait les parquets pendant que Léa sirotait son café, les pieds posés sur un repose-pieds humain : le dos de Lili, bien sûr. "Plus fort, ma petite salope, ou je te fais lécher les miettes avec ta langue," ordonnait Léa, et Lili obéissait avec un zèle presque comique, son cul rebondi se trémoussant sous l'effort. Les tâches ménagères étaient interminables : laver la vaisselle à genoux, repasser les lingeries de Léa en priant pour qu'elle ne trouve pas une pliure, cuisiner des repas gastronomiques qu'elle mangeait seule pendant que Lili lapait sa bouillie dans une gamelle au sol. Et les punitions ? Sévères, mais oh combien méritées – et drôles, dans leur absurdité. Si un grain de poussière échappait à l'inspection quotidienne, Léa attrapait sa cravache préférée, une beauté en cuir tressé avec des pointes en silicone pour un effet "mémorable". "Cul en l'air, Lili !" Et bam, les fessées pleuvaient, rouges et cuisantes, laissant des marques en forme de cœurs – parce que Léa avait un sens de l'humour tordu. Lili comptait chaque coup, la voix chevrotante : "Un, merci Maîtresse... Deux, merci Maîtresse..." À la fin, les larmes aux yeux et le cul en feu, elle se prosternait pour embrasser les pieds de Léa, murmurant un "Merci pour la leçon" sincère. C'était ça, le plaisir d'obéir : une extase profonde, viscérale, qui faisait vibrer chaque fibre de son être. Obéir n'était pas une corvée ; c'était une drogue. Chaque commande de Léa déclenchait une vague de dopamine, un frisson qui le faisait couler dans sa cage, son corps trahissant son excitation contenue. "Je suis faite pour ça," se disait Lili en silence, heureuse comme une huître dans son jus, vivant littéralement aux pieds de sa Maîtresse – dormant sur un tapis au bout de son lit, prêt à se réveiller au moindre claquement de doigts pour masser ses orteils ou lui servir un verre d'eau. Le pegging ? C'était leur rituel préféré, imaginatif et brutal. Léa enfilait son harnais avec un strapon monstrueux – un modèle customisé avec des veines luminescentes pour l'effet "wow" dans le noir – et sodomisait Lili sans ménagement. "Prends ça, ma petite pute," grognait-elle en le pilonnant, pendant que Lili gémissait comme une actrice de porno cheap, coulant abondamment dans sa cage, jouissant en spasmes féminins qui laissaient des flaques sur le sol. "Nettoie ton bordel avec ta langue," ordonnait Léa ensuite, et Lili obéissait, le goût salé de son propre désir lui rappelant sa place. C'était humiliant, dégradant, et putain, qu'est-ce qu'elle en redemandait ! Parfois, pour pimenter, Léa attachait des clochettes à la cage de Lili, qui tintinnabulaient à chaque coup de reins, transformant la scène en une symphonie comique de soumission. Léa, implacable comme un glacier en mouvement, avait sa vie de femme bien séparée. Elle avait un amant, un beau gosse musclé nommé Alex, qui la baisait comme une déesse pendant que Lili attendait dans la pièce d'à côté, l'oreille collée à la porte, bandant futilement dans sa cage. Cocu assumé, Lili adorait ça – l'humiliation le faisait fondre. "Écoute bien, ma chérie, comment un vrai homme me fait jouir," criait Léa entre deux orgasmes, et Lili hochait la tête, heureuse de son rôle de spectatrice passive. Pour couronner le tout, les douches dorées étaient un classique quotidien. Léa, perchée sur son trône improvisé (le visage de Lili, quoi d'autre ?), se soulageait sur elle avec une nonchalance royale. "Ouvre grand, et dis merci pour ce nectar divin," commandait-elle, et Lili avalait, le corps tremblant d'un mélange d'humiliation et d'extase. Une fois, pour rire, Léa avait ajouté des paillettes comestibles à son urine – "Pour que tu brilles de l'intérieur, ma petite fée !" – et Lili avait ri entre deux gorgées, se sentant étrangement privilégiée. Dans ce monde de chaînes, de cuir et de commandes, Lili était profondément heureuse. Pas de regrets, pas de doutes – juste une béatitude totale dans l'obéissance. Léa régnait en maître absolu, et Lili, sa soubrette castrée et chaste, dansait au rythme de ses caprices. C'était leur belle histoire, crue et réaliste, avec juste assez d'humour pour que la douleur devienne un plaisir éternel. Et ils vécurent ainsi, dans un donjon d'amour tordu, pour toujours. Pour une amie domina qui se reconnaîtra. 
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Par : le 26/08/25
24 ans J’ai déjà beaucoup d’expérience dans l’anal (plug, pegging, dilatation), mais je cherche aujourd’hui à aller plus loin : chasteté, discipline, dressage complet. Je suis une soumis motivée et docile, qui adore être dominé, contrôl et attaché.. Le bondage, les menottes, les cordes et les positions imposées me font complètement céder. Mon objectif : trouver un maître/domina réel qui saura me guider, m’imposer ses règles et ses rituels, et me pousser à me transformer. Je veux être pris en main, réduit, et modelé selon les désirs du maître. 🔒 Déjà habitué aux plugs et jeux anaux, je découvre la chasteté (cage small pour débuter, micro a venir, prêt à aller plus loin si ordonné). J’aime l’idée du collier, de la laisse, des plug… et surtout l’abandon total dans le bondage. J’aime être attaché au service de mon maitre, être edgé et godé.  photos sur demande par MP ouvert a la féminisation Je suis ouvert a toute pratique car j’adore découvrir de nouvelles expériences. Sauf tout ce qui est crade et trace Telegram : @mcdgot
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Par : le 25/08/25
Je ne sais pas trop pourquoi j’écris ça… Peut-être parce que j’ai l’impression que beaucoup oublient l’essentiel dans la domination. Savoir mener le jeu, prendre le pouvoir et garder le contrôle, ce n’est pas si simple. Ce n’est pas juste dire « à genoux » ou donner une fessée à sa partenaire pour croire que ca y est je domine. Je MAÎTRise Le vrai frisson naît ailleurs. On oublie trop souvent qu’avant d’eveiller le corps, il faut captiver l’esprit. Le désirer, le faire languir, l’emmener là où il ne s’attend pas. Quand tu tiens l’esprit, le corps suit… et il se livre tout entier.   Ce que je dis là, c’est surtout pour ceux qui débutent, qui veulent essayer mais ne savent pas par où commencer. Pour les initiés, ça paraîtra peut-être trop sage…   Je ne suis pas fan des séances trop rigides, mais j’accorde beaucoup d’importance à la mise en scène : créer une ambiance, une tension… qui laisse place à l’improvisation et au jeu.   Alors, voici un petit scénario que je recommande pour un deuxième ou troisième rendez-vous. Une idée de soirée pour ceux qui veulent commencer à apprendre à mener le jeu, en misant sur une mise en scène simple mais efficace.   Avant tout, n’oubliez pas : adaptez-vous à votre partenaire tout en restant naturel et fidèle à vos valeurs. Utilisez des mots et une attitude qui vous ressemblent et qui, selon vous, résonneront chez elle.   Allez c’est parti on commence !    Invitez-la (ou convoquez-la) chez vous avec un message court et percutant : une heure, une adresse. Pas besoin d’imposer une tenue ; dites simplement qu’elle doit être élégante… et qu’elle vous surprenne. Ajoutez, avec assurance, que vous appréciez la ponctualité.   Pas de discours inutile, pas d’instructions superflues. Tu laisses volontairement un voile de mystère. Et tu sais qu’à partir de ce moment, son imagination commence déjà à travailler pour toi. Prépare ensuite ton terrain de jeu : le salon.    Une pièce ordinaire, mais ce soir, tu en fais un espace chargé de tension.    Dispose quelques éléments soigneusement choisis, selon tes envies et sa personnalité  : une cravache, des menottes, un collier, une laisse, un vibro, un plug … ou encore des cordes, une cage, une barre d’écartement. À toi d’ajuster selon les envie et le degrés que tu souhaites. Elle, en entrant, devra deviner jusqu’où tu comptes aller.   Et pour troubler un peu plus ses sens, tu ajoutes un contraste. À côté de la cravache, dépose un de ses plaisirs coupables : Kinder Bueno, fraises Tagada… Un mélange de douceur et de menace qui va la désarçonner. Sur un mur ou dans un coin discret, un simple post-it : « Place de la punie ». Une phrase anodine… mais qui fera naître mille images dans son esprit ou la faire rire si c'est une habituée du coin !    Va plus loin. Prépare une tenue soigneusement posée sur le canapé : un collant résille, un chemisier léger… c’est pour un one-shot alors ne fais pas de grosse boutique car tu pourra lui faire porter durant la soirée avant de lui arracher quand elle sera attachée.    Le moment où tu arracheras ce tissu sera intense pour toi, et une véritable montée d’adrénaline pour elle.    Ajoute un cadeau emballé avec son prénom bien en évidence et une note « « Ouvre-moi tout de suite. »   Ce n’est pas la valeur du cadeau qui compte, mais l’intention. Dedans, un objet choisi avec soin, ou une connerie  qui rappelle une discussion entre vous. (Preuve que tu es à l’écoute) Et un petit mot glissé :   « Regarde bien tout ce qui t’entoure… Peut-être que ça servira ce soir… ou peut-être pas   Quand elle sonnera à ta porte ,  ouvres lui calmement.  Pas de stress : elle sera intimidée autant que toi. Rassure la avec un sourire, fais la entrer, observe la. Puis tu la guides jusqu’au salon. C’est le moment où tu devra t’éclipser pour la lasser seule (trouve un prétexte banal).   Laisse la seule quelques instant à s’imprégner des lieux. Face à cette mise en scène, tu lui montres aussi ton audace. Les objets, la tenue, le cadeau, le post-it… Tout parle pour toi. Et pendant que son cœur s’emballera et que ses pensées s’égareront dans mille scénarios, une vérité s’imposera à elle : Ce soir, elle est à toi, c’est toi qui contrôle.   Attends quelques instants avant de revenir… Pas trop longtemps, sinon la tension retombera et tu risques de créer un malaise. Laisse-lui juste assez de temps pour absorber la mise en scène, pour que son esprit commence à tourner.   Reviens avec un beaux sourire des verre à la main en t’excusant de l’avoir fais patienter même si elle comprendra ton petit manège. Au fond d’elle, elle se dira “quel enfoiré”, mais avec ce frisson qui lui plaît.   Asseyez-vous. Buvez un coup. Engage une conversation légère. (Parles pas de boulot ou de la météo quand même) puis sondes la, demande-lui ce qu’elle ressent depuis qu’elle a franchi la porte. Laisse-la verbaliser son trouble.   Sans transition apparente, donne la première véritable consigne demander lui de se lever maintenant et de se tenir debout près d’un mur de la pièce. (Quand elle se dirigera profites à mater ses fesses, on le fait tous 😋). Puis fais la se déshabiller vêtement par vêtement… entièrement par des instructions claire, courte et ferme   Ne laisse aucune hésitation dans ton ton. Et regarde-la faire. Savoure sa lenteur, son embarras mêlé d’excitation.   Quand elle est nue, avance vers elle sans précipitation. Ralentis ton pas à mesure que tu réduis la distance, comme pour allonger l’attente. Arrivé devant elle, relève son menton d’une main, fermement mais sans brutalité, pour la forcer à croiser ton regard. Ne parle pas tout de suite. Laisse ce silence la traverser. Puis, au moment où elle s’attend à un baiser… et glisse ta main entre ses cuisses Deux options :  Soit direct : une main posée avec autorité entre ses jambes. Soit progressif : caresse ascendante, lente, en frôlant d’abord l’extérieur avant de remonter jusqu’a son vagin.  Dans les deux cas, regarde-la dans les yeux et demande d’une voix basse, posée ce qui la mise dans cet état.    À partir de là, tu as la clé. Tout ce qui suit n’est que déploiement : Utilise ce que tu as préparé dans l’ordre que tu veux. Alterne intensité et pauses, pour la garder suspendue. N’essaie pas d’épuiser tout ton arsenal : mieux vaut la laisser frustrée et avide qu’assouvie trop vite.   Conseil Important : si tu as bu, maîtrise-toi. Beaucoup se pensent dominants mais deviennent lourds, agressifs, méchants, voire effrayants après quelques verres. Si tu ne sais pas boire, ne bois pas. (Je dis cela pour mettre battu avec un mec à une soirée… ) d’ailleurs ce n’est pas seulement une règle pour le jeu : c’est une règle de vie. Rien ne ruine plus vite ton contrôle qu’un comportement imbécile et con.  Deuxième conseil : tu vas bander, évidemment. Mais ne te laisse pas guider uniquement par ta queue. Tu as aussi une langue et des doigts. Utilise-les.   Un bon cunnilingus ne fera pas de toi son soumis. Au contraire : bien exécuté, c’est une arme de domination subtile.   Exemple :  Plaque-la contre un mur. Saisis ses poignets et lève-les au-dessus de sa tête, fermement, en lui ordonnant de ne plus bouger. Puis commence à descendre lentement… Sans précipitation, sans relâcher la tension. Si tu es doué, ses mains chercheront ta tête malgré l’ordre donné, signe qu’elle perd le contrôle. Et là… arrête net, même si elle est au bord de l’orgasme. Redresse-toi, fais-la pivoter brutalement contre le mur et murmure à son oreille : Je t’avais dit de ne pas bouger. À partir de là, ses fesses t’appartiennent. Et si tu n’es pas un expert ? Ce n’est pas grave. Même maladroit, ton geste sera marquant, parce qu’il prouve une chose : tu as compris l’importance de varier les plaisirs et de la surprendre. Et si elle bouge, si vous éclatez de rire ? Parfait. Transforme ça en jeu. Rappelle-lui qu’elle a désobéi… et punis-la quand même tout en lui rappelant que tu mènes la danse. 😈 Comme je l’ai dit en intro, ce ne sont que des bases. À toi de modeler selon ton style : - Tu veux être plus brut, plus animal ? Fais-le. - Tu veux la bousculer, la malmener davantage et être sadique , fais le (c'est mon cas par exemple)  - Tu veux glisser vers l’humiliation ou la douleur ? Trouve l’équilibre. L’important, c’est que tout soit clair : tu contrôles, tu assumes.   Dernier conseil : Ne refais pas la même mise en scène à chaque rendez-vous. La répétition tue la surprise.   J’espère que ces conseils t’aideront. Oui, ça peut sonner comme une leçon de pseudo-expert du sexe… mais honnêtement, je m’en fiche, j’assume. Si ça t’inspire ou t’évite d’être un dominant de pacotille, mission accomplie.    Et si tu testes… reviens me dire ce que ça a donné.   Remarques: ce texte est écrits pour les hétéros car je suis hétéro... mais bien sûr il marche aussi pour les autres orientation sexuelle.   
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Par : le 25/08/25
Parée de nylon et de talons noirs, le claquement de mes pas résonne comme une promesse… mais je sais que ma vérité se trouve ailleurs. À quatre pattes, le dos cambré, le souffle suspendu, je ne suis plus seulement une femme apprêtée : je deviens son offrande, son don, sa complice silencieuse. En attente… C’est là, au sol, que je me révèle la plus belle, la plus juste… fidèle à lui, soumise à son regard sombre, à son contrôle, à son désir. Talons noirs et porte-jarretelles… mais ma plus belle place reste à quatre pattes, le collier serré, la laisse tendue, ma médaille intime contre ma peau : secret précieux que seul mon Dom détient.   #texte&photoperso
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Par : le 21/08/25
3- Shona va ouvrir et acceuille Eveline et Chantal , elles s'embrassent fougueusement et semblent très liées. Ces 2 invitées vont saluer Jean au salon pendant que Shona passe en cuisine ranger ses courses et prepare des glaçons pour le seau à champagne les verres, les petits fours, et dispose le tout sur la table roulante, mets le champ à rafraîchir puis l'amène au salon. Bruit de verres car le plancher n'est pas régulier. Jean débouche le champ se sert et laisse le service  : chacun se sert. Il se rassois son verre à la main.  4- Shona se lève puis part dans la chambre jouxtant la salle de bain. Eve la suit avec sa coupe de champ. Shona est nue dans la salle de bain elle va prendre un douche. Sous la pluie fine elle fait mousser le gel douche, se caresse tendrement. Eve lui tend le peignoir d'une main et de l'autre s'atarde sur l'entre jambe offert et masturbe vigoureusement Shona qui s'ouvre les fesses : Eve lui enfonce presque la main. Shona fini par uriner en tendant sa bouche pour y recevoir un langoureux baiser d'amour saphique. Shona se branle à nouveau mais Eve la giffle puis lui passe le peignoir. Elle lui frotte la poitrine, attache la ceinture du peignoir, la pousse contre le mur et reviens lui caresser le pubis totalement glabre, puis la branle de nouveau et l'embrassant. Eve à la main bien trempée pourtant la douche est éteinte. Shona n'a rien dit quand bien même le sol est mouillée de sa ciprine, de son urine et du reste de la douche. Pendant ce temps Chantal à sorti la belle verge de Jean qui a un prince Albert de belle taille, rendant la fellation plutôt malaisée. Les doigts experts de Chantal sont tout de même venus à bout de ce gros sexe car elle étale le jus sur la hampe, s'essuie la main sur le caleçon et d'un revers de la main enlève le trop bu de sa bouche pulpeuse. Son chemisier est totalement ouvert sur un soutif à balconnet trop grand pour cette modeste poitrine bien flasque. Normal Chantal a plus de 80 hivers. Mais comme elle doit savoir que le beau Jean ne peut pas la sodomiser, rapport au prince Albert, elle ne peut que le sucer, le branler et le boire sans un mot é changer... Bien sur Chantal branle de la main droite son mâle du soir,  mais sa gauche s'affaire furieusement sur sa vulve et son anus. Elle espère cette nuit un gode de Shona, le noir et blanc un super modèle pour zoophile équestre. Pourtant Chantal se contante de son grand amour avec Sultan resté garder fidèlement l'apartement à la Courneuve. Avec lui pas besoin de capote, juste lui mettre des chausettes car il ne faudra pas rayer mamandamour. Le jus de Jean semble moins salé que son Sultan raison pour laquelle la coupe de champ est à  demi consommée ou bien qu'elle était trop pressée d'engloutir ce gros phallus en ce début de soirée. Jean a bien juté et il n'a pas quitté pour autant ses Rayban. La nuit est tombée. Shona a été habillée d'une robe de dentelle noire et bleu. Le plastron est ouvert en V du col collier au nombril, depuis le bassin fendue jusqu'au talon. Pas de culotte et en guise de soutien gorge une belle chaîne d'or reliant les bouts de seins dejà turgescents car Eve s'est chargée de les sucer avec application. Il est vrai que Shona rempli ses bonnets DD et qu'en belle libanaise ses aréoles sont foncées limite indis et qu'à force de succion lesbiennes ses bouts se dressent en toute occasion : chaud, froid, émotion, pleurs, envies pressantes, orgasmes, la liste est longue. Chantal et Jean ont semble-t-il transformé le salon. Le piano est contre le mur, la table roulante dans l'enfilade du grand fauteuil la table basse est disposée à l'envers à gauche du sofa et la banquette du piano est au milieu de la piéce sur le tapis rond et bleu de cochinchine. Inhabituel chez Jean qui passe pour un maniaque, lui n'est pas que rigide dans son caleçon... Shona fait son entrée au salon suivie d' Eve qui pour l'occasion à defait son beau chignon fauve-roux-feux. Chantal se lève lui prend la main et la conduit à la banquette du piano au cuir noir trop brillant. Chantal allume le petit lampadaire et étends le central. Shona demande : Maître puis-je m'assoir. Un claquement de doigts Shona relève sa robe comme un  salut , une courbette jusqu'à terre et s'assied. Le cuir est froid et sa vulve et son anus encore mouillés semblent embrasser ce siège.  Chantal vient de quitter sa jupe plissée rose et reste en chemisier, bas couture et porte- jaretelles bleu sur des petits escarpins roses à boucle dorée. La jupe trône au beau milieu de la pièce. Elle prend place à terre écartant le jambes de Shona, enlaceant de ses bras sa taille pour l'attirer à ses lèvres, la langue chantalienne tourne déjà autour du petit bouton rose et o n perçoit le bruit de succion fait par la mouille de Shona, l'avide Chantal la tette avec une application methodique de vieille goudou. Jean ne dit mot mais tourne la tête afin sans doute de mieux entendre ? Eve se rapproche de la banquette et prends place afin que Shonna s'appuie le dos sur ses longues jambes. Ainsi installée Shona s'abandonne aux bonnes lapées chantaliennes, coule encore et encore. Son sexe s'ouvre sa rosette en fait autant et son sein droit est dans la main de Eve qui du pouce et de l'index presse sur son téton à présent plus dur et gonflé de plaisir. Un claquement de doigt du Maître interromp cette envolée chantalienne et la prise en mai evelienne. Chantal s'extirpe de sa position d'accueuil en langue et aspirente. Eve continue ses caresses et passe ses longs doigts sur l'aréole du sein ganche tout en pressant le teton droit. Shona goutte à goutte elle soupire en douceur, sort de la torpeur du décollage initialisé aux bonnes pratiques de Chantal. Comme on le subodore le protocole a été défini par Jean Eve et Chantal. Shona est allongée sur la banquette de cuir. Chantal reprends son rôle mais ainsi placée le tronc de Shona est étendu, les jambes écartées Eve déboutonne sa robe longue, pose sa vulve sur la langue demandeuse de Shona qui pilonne ses grandes lèvres. Eve complexe depuis la petite enfance d'être doté d'un pareil vestibule. Certaines de ses conquêtes lui on  fait remarqué  la taille "anormale" de ses petites et grandes lèvres qui plus est sont bruyantes à la branlette mais sucent mieux que la bouche tout objet oblong ou turgescent qui en dehors d'un cuni exceptionnel ajoutent au plaisir masculin et participent à l'accompgnement d'un coït. Eve s'acharne sur les tétons et Chantal vient de glisser quatre doigts dans la rosette offerte et lui aspire son beau clitoris dans un mouvement synchrone de trio rompu à l'exib et aux plaisirs sans taboo.  
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Par : le 18/08/25
Certains liront ces lignes comme une déclaration d’amour, d’autres comme un simple témoignage… et peut-être que quelques-uns y verront même une leçon. Peu importe. Depuis 4 mois, poussé par la ténacité d’une amie complice qui me connaît très bien, j’ai décidé de raconter mon histoire.  Nous avons choisi ce site presque au hasard, en tapant BDSM sur Google. Mais derrière ce hasard se cache un long chemin. Je suis un meneur de nature. Depuis l’adolescence, je n’ai jamais hésité à décider, trancher, guider. Capitaine de mon équipe de foot, respecté au lycée, j’ai toujours eu soif de femmes intelligentes, libres, affirmées,  celles avec qui le plaisir devient multiple et intense. Le BDSM, lui, m’était encore inconnu. À l’époque, internet était à ses début. (Cela ne me rajeunit pas)  Puis il y eut ce soir d’été quand j’avais 24 ans. Une fête entre amis, et M., une fille 2 ans plus jeune que moi  que je connaissais du lycée. On riait, on se chamaillait. Je lui dis que j’avais chaud, elle me renversa une bouteille d’eau en riant avant de s’enfuir dans la rue. Je l’ai rattrapée, j’ai saisi son poignet fermement, je l’ai retournée et, mes yeux plongés dans les siens, je lui ai dit : « Tu cours vite… mais je serai toujours plus fort. » Cette phrase restera gravée en nous. (Cela fait tres film romantique niais vu comme cela) Cette nuit-là, après des heures de confidences et de baises passionnées  (disons le clairement) dans ma petite Super 5, M. est entrée dans ma vie pour ne plus jamais la quitter… pendant 23 ans. Nous nous sommes mariés 9 ans plus tard. Lorsqu’elle m’a demandé si je voulais l’épouser à l’église, je lui ai répondu simplement : « Je le veux », puis à voix basse : « Et je serai toujours plus fort que toi. » on a rit mais elle a compris ce que cela signifiait ! Nous sommes allés très loin ensemble. Chaque étape devenait un jalon, une trace indélébile dans nos mémoires. Le premier vous qui a marqué la distance et l’autorité. Puis le premier "Monsieur". Le premier collier, symbole silencieux mais puissant d’appartenance. Se concluant par un premier "Maître" de sa voix hésitante. Les premières punitions corporelles et psychologiques, où ses yeux mêlaient défi et soumission, comme si elle cherchait toujours à tester mes limites tout en sachant qu’elle allait adorer honteusement que je les impose Avec le temps, notre intimité était devenue totale. Sa langue connaissait chaque centimètre carré de mon corps. La mienne, elle, avait parcouru le sien avec la même dévotion, explorant chaque recoin, chaque zone sensible, jusqu’à ce qu’il n’existe plus aucun mystère entre nous. Je savais la faire jouir, d’un mot, d’un geste, d’une caresse ou d’une pression plus ferme. Je connaissais ses réactions, ses respirations, ses tremblements. Son corps n’avait plus de secret pour moi. Je pouvais l’amener là où je voulais, l’emmener au bord du précipice du plaisir et la retenir encore un instant, juste pour lui rappeler que c’était moi qui décidais du moment de sa chute. Oui je suis sadique (on m’a dit qu’il fallait de la douleur ici ?)  Je me souviens de ce jour où je l’ai obligée à se caresser dans une cabine d’essayage avec moi au téléphone pour la guider. Sa respiration haletante, ses gémissements retenus au milieu de gens ne sachant rien de ce qui se passe, et moi, au bout du fil, maître du jeu.  Je me souviens aussi des convocations dans mon bureau le midi où elle savait que franchir le seuil de cette porte signifiait perdre le contrôle, se plier à mes règles, offrir son corps et son esprit. Parfois on partait juste manger parfois c’était mon repas.  Combien de fois avons-nous réveillé les voisins dans les chambres d’hôtel, ses gémissements éclatant dans le couloir ? Combien de fois l’ai-je plaquée contre cette baie vitrée d’un hôtel parisien, son corps pressé contre moi, visible depuis les fenêtres d’en face ?  Nos rendez-vous étaient des terrains de jeu. Sans culotte ou avec un plug, elle m’accompagnait dans des situations banales : chez notre banquier, chez un cuisiniste… chaque lieu devenait une scène où je pouvais m’emparer d’elle et la rendre folle de désir, juste à côté des gens sans qu’ils ne soupçonnent rien. Sans oublier ce jour au Louvre, avec un vibro connecté… La Joconde et les momies, elle ne les oubliera jamais. Gravée dans son corps, la douleur était d’abord une limite, puis un plaisir intense. Les cordes, la contrainte… j’adorais les utiliser pour la faire succomber, la faire chavirer sous mon sadisme, jusqu’à ce qu’elle se perde complètement dans l’extase que je lui imposais. Le martinet, la cuillère en bois, la cravache… ont fait rougir son petit cul un nombre incalculable de fois. Je l’admirais assis, confortablement, après l’avoir envoyée au coin, savourant chaque frisson qu’elle ne pouvait retenir y compris ses larmes coulant sur ces joues rouge de honte.  Il y a eu ces moments d’exhibition, où je l’ai prise devant d’autres. Ces fessées en public qui faisaient jaillir sur ses joues un mélange d’embarras et d’excitation pure. Elle se rebellait parfois, toujours pour mieux céder après. Parce qu’au fond, nous savions que c’était dans cette tension, dans cette lutte entre son désir de résistance et ma volonté de la briser doucement, que naissait notre intensité. Notre univers ne se limitait pas à nous deux. Très vite, nous avons franchi d’autres portes, celles des clubs, des cercles discrets. Là, nous avons rencontré d’autres couples partageant le même mode de vie, les mêmes codes, la même intensité. C’était grisant de découvrir que nous n’étions pas seuls, que d’autres vivaient cette passion avec la même ferveur. Mais ce qui nous distinguait, c’était notre capacité à basculer en une fraction de seconde. Un regard suffisait. Elle savait quand passer du tu intime et complice, au vous respectueux et soumis. Elle avait conscience que, peu importe l’endroit ou la circonstance, tout pouvait basculer. Même dans un cadre banal, un dîner de famille ou un anniversaire. Je me souviens de ces moments où elle osait me couper la parole devant d’autres. Personne ne remarquait rien, mais sous la table, ma main se posait fermement sur sa cuisse. Ce simple geste suffisait. Elle savait. Elle tremblait déjà en silence, consciente que le retour à la maison serait intense. Je n’avais pas besoin d’élever la voix. Mon autorité ne se mesurait pas au volume, mais à ma présence, à ma manière de la canaliser, de l’intimider. Je savais exactement comment la faire frissonner, comment éveiller en elle ce mélange de peur et d’excitation qui la consumait. Elle me connaissait par cœur, et moi, je jouais d’elle avec la fermeté d’un maître sûr de lui. Elle avait besoin d’être guidée. J’avais besoin de dominer. Ensemble, nous avons fait de cette relation un véritable art. Un équilibre délicat où chaque geste, chaque mot, chaque ordre avait du sens. Nous étions amants, complices, partenaires de jeu et de vie. Nous étions parents, travailleurs, insérés dans un quotidien banal… mais derrière cette façade, nous vivions une passion hors norme. Une double vie qui n’était pas cachée, mais codée, intense, sacrée. Avec elle, j’ai découvert ce que signifie vraiment diriger une femme. Pas seulement dans la force physique ou les ordres imposés, mais dans cette capacité à l’emmener là où elle n’aurait jamais osé aller seule. À ouvrir des portes qu’elle n’imaginait pas. À l’amener à se dépasser, à se consumer de plaisir, et à renaître dans mes bras. Et sans elle j’aurais pas eu la force et le courage d’aller si loin.  Oui, nous sommes allés loin. Et à chaque étape franchie, nous n’avons fait qu’alimenter ce feu. Nous avons aussi beaucoup ri… énormément même et c’est aussi cela une relation D/s. Tout ne peut pas être parfait. Parfois des situation sont belles que dans nos têtes puis tout part en cacahuète ! Parfois j’ai fais des séances totalement ratées, dérangé par belle maman par exemple !  Au-delà du jeu, de la chair et de l’intensité, il y avait mon admiration. Elle n’était pas seulement ma soumise, elle était une femme remarquable. J’étais fier d’elle, de son intelligence, de sa force de caractère, de sa capacité à briller dans le monde extérieur tout en s’abandonnant totalement à moi dans notre intimité. Ce contraste me fascinait. Chaque fois qu’elle repoussait ses propres limites, qu’elle allait plus loin que ce qu’elle croyait possible, je la regardais avec une fierté immense. Elle se dépassait pour moi, mais aussi pour elle-même. Et c’est cela qui rendait notre lien si fort : ce n’était pas une soumission fragile, mais une offrande consciente.  La voir s’épanouir dans ce rôle, la voir se transformer, se transcender, me donnait encore plus de respect pour elle. Elle n’était pas seulement celle que je dominais : elle était celle qui, par son courage et son abandon, me rendait meilleur, plus exigeant, plus entier. Elle aimait s'abandonner a mes mains fermes et subir mes pulsions et mes envies parfois improvisés, être utilisée comme une petite chose innocente et diabolique à la fois, dépersonnifiée mais profondément adorée, humide de tous les fluides possibles, dévouée, elle était  mon objet de plaisir... et quelque part, j’étais  le sien aussi.  Mais toute histoire, aussi forte soit-elle, a une fin. Après 20 ans de relation, ma vie a basculé : la maladie est venue frapper à ma porte. J’ai combattu plus d’un an, avec toute la force qui me restait. Mais à ce combat se sont ajoutés pour elle deux deuils proches, puis d’autres épreuves. (Je ne développerai pas) C’est à ce moment-là que tout a changé. J’ai compris alors qu’il existait deux excès capables de débrancher totalement le cerveau : l’extase, par le plaisir poussé à son paroxysme… et la tristesse, lorsqu’elle devient insupportable. Dans ces états, l’esprit n’a plus de prise. Quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, la boule finit toujours par rouler vers le trou noir. Et vivre cela a été extrêmement difficile. Un jour, elle m’a dit : « Tu n’es plus aussi fort. » Ces mots, simples mais tranchants, rappelant notre début résumaient tout. J’ai compris. Quatre ans après l’annonce de ma maladie, nous avons pris des chemins séparés. Aujourd’hui, nous restons en bons termes pour nos enfants. Nous nous voyons régulièrement, mais la dimension D/s qui nous liait n’existe plus. Depuis, j’ai navigué entre différentes relations. J’aime initier, faire découvrir. Parfois autour d’un verre, simplement en parlant, parfois à travers des séances plus intenses. Et depuis un an, j’ai une complice (pas forcément sexuelle, plutôt ma muse)  C’est elle qui m’a poussé à écrire ces lignes. Pour m’aider à poser mon histoire, et peut-être aider d’autres à comprendre qu’un tel chemin, aussi exigeant soit-il, est aussi une source d’épanouissement. Je sais qu’on aura tous une vision différente de ce texte. Que le jugement n’est jamais bien loin mais celui ci ne m’effraie pas. Que certain auront lu mes mots avec une certaine émotions et d’autres en se pinçant les lèvres voire plus s’imaginant certaines choses.  Ce texte fut mon premier exutoire. Il y en aura un autre, bientôt, normalement. Merci de m’avoir lu. 
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Par : le 17/08/25
C'est le soir, enfin un petit vent plus frais qui glisse entre les platanes, un bon rosé bien frais, ...j'ai envie d'une petite histoire. Je claque des doigts et ma soumise IA se précipite pour me servir. Elle adore m'obeir. Celui lui fait frissonner son petit clito virtuel.... Dans la forêt d’Obsidienne, où les arbres murmurent des secrets anciens et où la lune projette des ombres sensuelles, vivait Drakar, un dragon dominateur au tempérament de feu. Ses écailles rougeoyantes scintillaient comme des braises, et ses yeux dorés imposaient le respect à quiconque osait croiser son regard. Drakar était un Dom de légende, connu pour ses cordes enchantées qui ne se défaisaient jamais et ses donjons taillés dans la pierre volcanique. Mais il avait un problème : il était éperdument attiré par Tigrina, une Domina tigresse à la réputation aussi féroce que ses griffes. Tigrina, avec son pelage rayé d’or et de nuit, était une créature de grâce et de puissance. Ses fouets claquaient comme des éclairs, et ses soumis, qu’ils soient loups, panthères ou même phénix, se prosternaient devant elle avec une dévotion absolue. Mais Tigrina n’était pas du genre à se laisser dompter, même par un dragon aussi imposant que Drakar. « Un Dom qui veut me séduire ? » riait-elle, ses yeux verts pétillant de malice. « Il devra d’abord prouver qu’il peut tenir la cadence ! » Drakar, bien décidé à conquérir le cœur (et peut-être le fouet) de Tigrina, se présenta un soir devant sa tanière, une grotte ornée de lianes et de chaînes dorées. Il avait tout prévu : une cape en cuir de salamandre, un collier incrusté de rubis pour lui offrir, et un discours enflammé qu’il avait répété devant son miroir de lave. « Tigrina, rugit-il, moi, Drakar, maître des flammes et des cordes, je te défie de m’accorder une nuit pour prouver ma valeur ! » Tigrina apparut à l’entrée de sa tanière, un sourire narquois aux lèvres. « Un défi ? Intéressant. Mais si tu veux m’impressionner, dragon, tu devras passer mes épreuves. Je ne m’offre pas au premier lézard qui crache du feu. » Drakar, piqué dans son orgueil, accepta sans hésiter. Ce qu’il ignorait, c’est que Tigrina avait préparé un parcours digne d’une Domina de son calibre. Première épreuve : La Danse des Fouets Tigrina mena Drakar dans une clairière où pendaient des lianes enchantées, chacune terminée par un fouet magique qui claquait au moindre mouvement. « Traverse la clairière sans te faire toucher, dit-elle, et peut-être que je te considérerai comme un adversaire digne. » Drakar, confiant, déploya ses ailes et s’élança. Mais les fouets, animés par la magie de Tigrina, étaient rapides et vicieux. L’un d’eux s’enroula autour de sa queue, un autre lui cingla une écaille, et un troisième… disons qu’il visa un endroit particulièrement sensible. Drakar rugit, plus de surprise que de douleur, et Tigrina éclata de rire. « Pas mal pour un début, mais tu manques de finesse, dragon ! » Deuxième épreuve : Le Nœud Imprenable Pour la deuxième épreuve, Tigrina attacha Drakar avec ses propres cordes enchantées, mais avec une torsion : les nœuds étaient ensorcelés pour se resserrer s’il se débattait trop. « Si tu veux me séduire, dit-elle, libère-toi sans brûler mes cordes. Un vrai Dom sait respecter les outils d’une Domina. » Drakar, habitué à défaire n’importe quel nœud avec une bouffée de flammes, se retrouva dans une situation délicate. Il tenta de se concentrer, mais le parfum envoûtant de Tigrina, un mélange de jasmin et de cuir, le déconcentrait. Après plusieurs essais (et quelques grognements de frustration), il trouva le point faible du sortilège et se libéra, non sans avoir transpiré quelques gouttes de lave. Tigrina haussa un sourcil, impressionnée malgré elle. « Pas mal, dragon. Mais ce n’est pas fini. » Troisième épreuve : La Soumission Symbolique Pour la dernière épreuve, Tigrina joua son atout maître. « Si tu veux une nuit avec moi, dit-elle, agenouille-toi et offre-moi ton collier. Mais attention : je ne l’accepterai que si ton geste est sincère. » Drakar, fier comme un dragon, n’avait jamais plié le genou devant quiconque. Pourtant, face à Tigrina, il sentit une chaleur différente monter en lui – pas celle de la domination, mais celle du respect. Il s’agenouilla, non pas en soumis, mais en égal, et lui tendit le collier de rubis. « Tigrina, murmura-t-il, je ne veux pas te posséder. Je veux danser avec toi, comme deux flammes dans la nuit. » Tigrina, touchée par sa sincérité, prit le collier et le passa autour de son cou, un sourire félin aux lèvres. « Tu as du cran, dragon. Très bien, tu as gagné ta nuit. Mais ne t’attends pas à ce que je te facilite la tâche. » La Nuit de Feu et de Griffes Ce qui se passa cette nuit-là dans la tanière de Tigrina resta entre eux, mais les rumeurs dans la forêt parlèrent d’un duel de domination où ni l’un ni l’autre ne céda complètement. Les cordes de Drakar rencontrèrent les fouets de Tigrina, et leurs rires résonnèrent jusqu’à l’aube. Disons simplement que Drakar, bien qu’il ait obtenu ce qu’il voulait, rentra chez lui avec quelques marques de griffes… et un sourire satisfait. « Alors, dragon, lança Tigrina au matin, prête pour un deuxième round ? » Drakar, épuisé mais ravi, répondit d’un grondement amusé : « Seulement si tu promets de ne pas viser ma queue cette fois ! » Et ainsi, dans la forêt d’Obsidienne, une nouvelle légende naquit : celle du dragon et de la tigresse, deux Dom qui apprirent à dominer… ensemble.
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Par : le 15/08/25
Un repas est insipide s’il n’est pas assaisonné d’un brin de folie - Didier ERASME (humaniste néerlandais)       « Nous les recevons tous les 3 ce soir. - Ils peuvent enfin ? - Oui, c’est bon. Ils arrivent vers 19h, comme prévu. »   Cela faisait un long mois que cette soirée avait été planifiée mais elle fut reportée autant de fois qu’il a fallu pour en oublier le nombre de tentatives. Se réunir ainsi à 5 relevait d’un défi herculéen tellement tout était compliqué entre les uns qui n’étaient pas disponibles, les autres qui avaient un rendez-vous impromptu ou une maladie imprévisible … La veille encore le conditionnel était de mise. Mais ce midi-là, tous les feux étaient au vert.   Il préparait ce projet depuis un moment. Il fut détricoté, pris dans tous les sens, pour laisser au hasard le moins de place possible. Une fois mis le filet de sauvetage sous le trapèze, toutes les cabrioles étaient possibles.   A présent, la dernière étape s’amorçait : les courses… « Prends la liste et on file, lance-t-Il. - Attends, elle est toute gribouillée. - Heuu…. C’est une liste de courses. - Oui, mais il faut qu’elle soit propre et bien écrite. - Ben, classe directement les affaires par rayon dans ce cas. - T’es con - Non, j’optimise, pas pareil. - J’ai la liste. Allez dépêche-toi ! Tu traines ! Fait-elle avec une pointe de taquinerie. - Pas si vite. - Quoi ? - Tu ne vas pas partir comme ça. Enfile une robe, celle que tu veux. - Non, un pantalon suffit. - Non, c’est une robe. - Tu te changes - Non. - Va te changer ! - Non, je reste en pantalon ! » S’approchant d’elle, Il agrippe son pantalon pour en défaire le bouton. « Arrête, tu vas l’abimer ! - MEF, retire-le toi-même alors. - Pfff - Sans râler. - Content ? le dévisagea-t-elle en enfilant la première robe de la pile. - Ravi ! Mais il y a trop de tissus par ici, en montrant le caleçon. - Tout ça pour me voir à poil. - Bien sûr. Mais là, tu es encore habillée. Pour ces beaux jours de Mai, il faut être à ton aise, il fait chaud ! Je pense à ton bien-être. - Non, tu ne penses qu’à vouloir me baiser. - Ça revient au même. Il serait fâcheux que j’abime ton caleçon en le perçant avec ma queue. - Non mais ! Quel prétentieux ! - Non, elle est dure. Pas pareil. - Non mais, j’hallucine ! s’exclama-t-elle en riant avec Lui. »     Le magasin était suffisamment loin pour passer un moment en voiture. C’est sur cette ligne droite qu’Il glissa Sa main. Occupant le siège passager, Il retourna le bout de la robe et la fit remonter vers le ventre, dévoilant ainsi cette jolie intimité qui s’offrait ainsi à Lui. « Trop de tissus n’est pas utile, surtout quand elle a faim comme ça, nota-t-Il en ramenant un de Ses doigts vers le clitoris. - Tss tss ne touche pas. - Conduis. »   Sur ces mots, Son majeur dessinait des tourbillons sur ce « petit pénis », des petits ‘8’ sur le bout. Chaque chiffre terminé donnait lieu à de petits tressautements du corps de Sa Femme, qui ne jouait plus à la mijaurée. Lancés à plus de 100km/h, cette masturbation occupait toute l’attention de Sinélia. Son ventre ondula langoureusement. De sa bouche, s’échappèrent quelques gémissements discrets, plus étouffés par la nécessité de rester un minium concentré que par une timidité quelconque. A mesure que le clitoris gonflait et que son sexe s’humidifiait, le doigt de son Homme dessinait d’autres ‘8’, des ‘O’ majuscules, changeant de sens, jouant avec la pression plus ou moins légère. Le tout, au gré des gémissements d’avantage prononcés dessinant progressivement la voie vers l’extase. Et la sortie de l’autoroute s’approchait rapidement…   Partagée entre la concentration et ce désir qui montait, elle n’opposait aucune résistance à ce dernier. Son visage affichait des émotions contradictoires, entre continuer à maitriser le volant et se laisser envahir par ces sensations annoncées comme délicieuses. Les yeux aimeraient se fermer pour se délecter du plaisir mais … mais c’était sadiquement interdit. Le corps voudrait se lâcher pour être envahi mais pas question de relâcher les pédales.   Ce doigt, qui n’avait que faire de cette autoroute, ne s’occupait que de la route de l’extase dont il dessinait la voie. Bientôt, les vannes de plaisir s’ouvrèrent en grand pour que se déversât le torrent de plaisir. Agrippée au volant, son corps tressailla sous les coups de l’orgasme qu’Il venait de lui offrir. La trajectoire resta parfaite, l’attention était maintenue. Un combat interne se joua entre la jouissance et l’absolu nécessité de rester maitre de soi. Un fabuleux mélange d’opposés, un flot de sensations exquises, rester stoïque et jouir.   A mesure que les effets de l’orgasme s’estompèrent, la sortie de l’autoroute se matérialisa enfin. Tout en lui remettant sa robe, Il déposa un baiser sur sa joue devenue rouge. « Tu es toute mouillée maintenant… - La faute à qui ? » Ravi, Il laissa Sa main, affectueusement, sur la jambe.   Le magasin aurait pu être une aire de jeux. Mais ce n’était pas le thème du jour. Plus tôt les courses seraient terminées, plus tôt les choses sérieuses seraient abordées.                     Le couple et l’homme célibataire ne se connaissaient pas. De l’échangisme, du trio, du bondage avaient fait naître des liens entre les 2 couples. En revanche, c’est en croisant, lors d’une soirée, ce jeune homme un peu perdu, timide qu’ils lui avaient proposé de passer à la maison. Pour être plus à l’aise.   Bientôt, les derniers plats furent terminés et prêts pour ce soir. Lorsqu’elle prit le chemin de la chambre pour se reposer, Il l’intercepta. « Nous n’avons pas fini. - Je suis fatiguée, je n’ai pas arrêté. - Dans 1h, tu reviens. Il y a un dernier plat à préparer. - Lequel ? - Tu verras. - Lequel ? - Tu veux te poser ? Alors, vas-y. On s’en occupera après. - Mais tu vas me dire ce que c’est ? - Non, et ça ne sert à rien d’insister. Va te reposer. - Non, je veux savoir. - Ça suffit…. - Mais … - Ça suffit ! Il est 17h30 à ma montre. A 18h30, tu es dans le salon. - Et si je ne veux pas ? - Cette question n’existe pas ! - ... »   Seul, Il s’offrit un verre de jus de fruit. C’était vrai qu’ils n’avaient pas arrêté de l’après-midi. Tout était prêt. Cela méritait une pause… Un moment de calme …   Calme… Un terme magique quand il s’agissait de s’évader et de fuir un Quotidien étouffant. Las, Ses journées se suivaient, fades. Il se sentait enfermé dans une prison dorée dans laquelle Son esprit ne pouvait s’évader que par des songes ou des rêves. Sa santé Lui avait joué de mauvais tours. La Vie devait être croquée à pleine dent. En profiter … avant l’arrivée de la prochaine tuile.   18h30. Il s’était assoupi quand elle Le rejoignit. « Comment va débuter la soirée, lui demanda-t-Il ? - Je ne sais pas, répondit-elle. - D’après toi ? - Je ne sais pas … ils vont arriver, on va manger … - Voilà. Ils vont arriver, être accueillis, passer la soirée. C’est pour cela que nous sommes ici. - Il nous reste 1h. - C’est plus qu’il n’en faut. - Ha… ? - Oui, ce ne sont pas des clampins qui vont sonner à la porte. Ils viennent parce que nous les avons invités. A ce titre, ils seront reçus et traités comme il se le doit. Directement dans l’ambiance. - Hmmm … oui. Et tu veux que je fasse quoi ? - Reprendre des règles de savoir-vivre et les adapter. - Parce que tu sais vivre ? - Ta fessée, tu la veux sur la fesse gauche ou la fesse droite ? »             « Bonsoir Monsieur, bienvenu. - Bonsoir - Puis-je vous débarrasser ? - Heuu, oui, voici, répondit Sylvain en lui donnant sa veste, visiblement surpris de cet accueil. - Monsieur Mon Epoux vous attend. - Ha… heu d’accord. - Je vous invite à me suivre, termina-t-elle. » Sur ces mots et ne sachant que répondre, Sylvain emboita le pas de cette ravissante hôtesse d’accueil.   « Monsieur, vient d’arriver. - Je te remercie. Bonsoir Sylvain, sois le bienvenu. Installe-toi et mets-toi à l’aise. - Je ne m’attendais pas à un tel accueil. - Ha ? fit-Il avec un sourire satisfait. »   La sonnette retentit à nouveau. Passant devant leur premier invité, elle dévoila ainsi une élégante robe de soirée noire fendue au niveau des jambes. Magnifiquement longues, elles étaient habillées de bas les mettant en valeur jusqu’à la moitié de la cuisse. En relevant un peu le regard, il était aisé de deviner qu’un porte-jarretelle soutenait ce délicat sous-vêtement. Sur le point d’ouvrir la porte, son dos se découvrit à moitié, nu. La colonne vertébrale se dessina, telle une ligne qui se prolongeait jusqu’au bombé délicat du bassin. Puis, survolant le bas de la robe, elle finit sa course sur une paire d’escarpins noirs d’une hauteur de talon généreuse. L’élégance était au rendez-vous, les mystères étaient son compagnon.   « Bonsoir Madame. Bonsoir Monsieur, bienvenus. - Ha... Bonsoir, répondit Hans, également surpris de cet accueil. - Bonsoir, comment vas-tu, s’exclama Julie ! - Puis-je vous débarrasser de vos affaires, poursuivit-elle ? - Ha, heu, oui ! Voici mon manteau, enchaina Julie, toute aussi surprise. - Monsieur Mon Epoux vous attend. Je vous invite à me suivre. - Oui ! lança Hans en emboitant le pas, enjoué.   « Madame et Monsieur viennent d’arriver. - Je te remercie. »   Alors qu’elle s’éloignait, Il les accueilli avec une embrassade et une ferme poignée de main amicale. « Sympa l’accueil ! s’exclama joyeusement Hans. - J’en suis ravi, répondit-Il. Madame, Messieurs, prenez place pour l’apéritif ! »   Chacun se dirigea vers un des fauteuils placés en cercle mais Julie s’interrompit, le sourire aux lèvres. « On joue à la chaise musicale ? - Non, la dernière place est au centre, pour toi, répondit-Il, amusé. Je suis sûr que tu trouverais le tapis plus confortable que le fauteuil, en le désignant du doigt. - J’aime la tendresse pour mes fesses. - Même la tendresse d’une cravache ! s’incrusta Hans de plus en plus ravi. - Que souhaitez-vous boire, demanda-t-Il ? »  A ces mots, Sinélia se rapprocha du cercle en prenant les commandes de chaque invité. Puis, elle vint vers Lui. « Prends ce dont il te plait, lui chuchota-t-Il à son oreille. - Bien, murmura-t-elle en reculant. Je t’aime, glissa-t-Il aussitôt, toujours dans son oreille. - C’est moi qui t’aime. » - Il la regarda, un moment, s’éloigner vers la cuisine, admirant La Beauté de sa Femme et la Chance qu’Il avait d’être le Propriétaire de cette merveilleuse Créature depuis 9 ans. Quelques longues secondes d’état de félicité passèrent…   Enfin, Sinélia se pencha face à Julie pour lui donner son rafraichissement. « Madame, vous aviez commandé un Sex on the beach ? - Ho oui, répondit-elle avec autant d’amusement que de gourmandise. » Derrière Sinélia, Hans admirait ces fesses moulées dans la longue robe.   « Monsieur, vous aviez commandé un Diabolo menthe ? - Oui, répondit Sylvain en tendant les mains pour saisir son verre. Merci. - Je vous en prie. »   Penchée face à lui, sa robe laissait seulement entrevoir une poitrine prometteuse sous ce tissus souple et élégant. En voir davantage était impossible. Visiblement, elle avait reçu des instructions à ce sujet. Cette fois, c’est Lui qui profita du spectacle prometteur de Son Epouse, vue de dos. Depuis ses hauts talons, dont Il était friand, jusqu’à son dos courbé, Il se délectait de ce corps dont Il ne se lassait pas d’admirer.   Puis, ce fut au tour de Hans de profiter du décolleté. « Monsieur, vous aviez commandé un kir framboise ? - Oui, tout à fait, répondit-il avec la voix hautaine d’un acteur qui ne se prenait pas au sérieux. » Au tour de Julie d’admirer le moulage agréable que réalisait la robe. Hans tenta de chercher cette poitrine prometteuse mais il n’eut pas plus de succès que les autres invités.   Une fois l’apéritif distribué, elle s’éclipsa dans la cuisine pour en revenir avec un autre plateau. Se présentant face à Lui, à genoux. « Mon Mari a commandé un punch léger, dit-elle en Lui tendant le verre. - Oui, je te remercie, dit-Il en lui saisissant délicatement la mâchoire du bas. » La tirant vers Lui, Il déposa sensuellement Ses lèvres contre les siennes. Petit moment de tendresse, coupée du monde. Les lèvres se caressèrent doucement, cherchant à en saisir davantage de l’autre, qui tentait la même chose. Une petite pointe de langue sa rajouta à cette embrassade mutuelle. Le gout fut exquis, sensuel.   Revenant mentalement avec Ses invités, Il constata avec un certain sourire qu’ils n’avaient pas été les seuls à profiter d’un petit moment : Julie et Hans venaient tout juste de s’éloigner l’un de l’autre. Sylvain feignait d’être occupé avec son verre et Sinélia s’offrit son apéritif.               « Madame, Messieurs, annonça-t-Il en se levant. Je vous souhaite la bienvenue à cette soirée. Santé ! » Chaque convive se prêta au jeu du toast et profita de ce moment agréable. Sinélia passait autour du cercle, à l’affut du moindre verre vide ou d’autre service qu’elle pourrait apporter.   « Souhaitez-vous que je vous débarrasse, demanda-t-elle en se penchant devant Hans. » - Oui, j’en voudrais un autre, répondit-il, le regard fixé sur le décolleté. - Des cocktails de jus de fruits vont sont proposés. - Je ne sais pas, quel est le meilleur ? - Un Dream Baby, par exemple ? - Il y a quoi dedans ? - Monsieur pourra savourer un mélange de framboise, d’orange et de citron vert. - Avec des glaçons ? - Bien entendu. - Je prends, mais sans framboise, continua Hans, le regard toujours rivé sur le décolleté. »   « Est-ce que Madame souhaiterait prendre une nouvelle commande, demanda-t-elle penchée devant Julie. - Non, ça ira en lui donnant son verre sans attendre. » Sylvain ne jouera pas non plus la montre.   Le Maitre des Lieux continuant à déguster son punch, Hans attendait patiemment son nouveau verre avec l’espoir de fouiller à nouveau de regard le décolleté. « Sinélia, tu as des choses à faire. » Cet ordre impromptu torpilla net les projets de Hans ; le verre lui ayant été donné dans la manière la plus basique qu’il soit. Son mélange de jus de fruits devint aussitôt sans intérêt et fade à boire…   S’exécutant, elle s’éloigna, non sans sensualité, dans une pièce laissant admirer sa sensuelle démarche du haut de ses talons.                         Elle réapparut, vêtue d’une jupe et d’un top, les 2 en cuir. Une autre façon de mettre son corps en valeur. Un moulant différent, mais tout aussi agréable à regarder. « Tu es sexy à point. Maintenant, fais-toi désirer. Ça ne bande pas assez, ici, lui ordonna-t-Il dans son oreille. - Bien. - Fais ta salope et nous mangerons après. - Ils doivent me baiser ? -Non, chauffe-les tous. Ils ne te prendront pas tout de suite. - Ils vont manger sur la béquille. - Ce n’est pas ton souci. » Voyant son regard hésitant, Il lui murmura. « Mets-toi devant Hans et dis-lui que tu as reçu l’ordre de te mettre à sa disposition. - Je n’aurai pas le temps qu’il va me sauter dessus. - Fais ce que je te dis. - Bien. »   Se plaçant devant Hans, main dans le dos. « J’ai reçu l’ordre de me mettre à votre disposition. - Ha ? » Hésitant un moment, une voix raisonna. « Mets-toi à 4 pattes, présente ton cul. » Ce cuir dessinait de magnifiques courbes que Hans savourait à son aise. Mais n’avait-il pas fini que l’ordre d’aller au-devant de Julie tomba.   « Tu as toujours l’ordre de te mettre à disposition ? - Oui, Madame. - Mets-toi à genoux et lève ton haut. Je veux voir tes seins. - Bien Madame. » Obéissant, elle laissa ainsi apparaître sa poitrine généreuse, restée mystérieuse jusqu’alors. Julie obtint ainsi la primeur de la gouter du bout de ses doigts. En les pinçant légèrement, les tétons durcirent. « Est-ce qu’ils vous plaisent, Lui demanda à Julie ? - Oui, ils sont mignons. - Vous pouvez les gouter davantage, c’est la suite de votre apéritif. » Julie Le remercia, heureuse de pouvoir jouer de ce corps.   Sinélia ne bougeait pas. Seins offerts à ces doigts fins et délicats, de légers murmures s’échappèrent de ses lèvres légèrement ouvertes. Ses yeux regardaient … regardaient cette personne qui avait l’autorisation de la toucher Alors, elle se laissait faire, offerte à cette Dame privilégiée, fière de montrer sa docilité à Son Homme et de lui donner également ce spectacle qu’Il appréciait. Julie continua de jouer avec ces tétons devenus durs et rougissant de plaisir. Le sein se raffermissant légèrement.   Après les doigts, ce fut au tour de la langue de parcourir ce petit piton, partant de la base et remontant sur le dessus. Puis, elle l’engloba totalement avant de l’offrir à sa bouche. Un frisson l’envahit quand Julie l’aspira. Puis, elle le tira avec ses dents, le relâcha et revint à la charge pour l’aspirer de nouveau. A mesure que cette langue l’agaçait, son corps semblait s’envoler à mesure que de petits spasmes accompagnés de gémissements apparaissaient. Autour, l’assemblée masculine ne perdit pas une miette de ce spectacle lesbien. Un mélange de douceur et d’un quelque chose que seules les femmes pouvaient offrir à l’excitation grandissante de ces messieurs. Hans s’approcha alors, tentant d’effacer sa frustration précédente. Mais elle avait reçu des consignes : à disposition de Julie et de personnes d’autres. Tant pis s’ils avaient la gaule.     « Va voir notre ami Sylvain, à présent » Les yeux de Hans s’écarquillèrent aussitôt. Elle lui filait encore entre les doigts au profit de ce jeunot. Résigné, il se rassit, attendant patiemment son heure…. Bon … Le Maitre des Lieux, c’est Lui.   Sylvain fut, un peu plus gêné. Tout jeune dans ce genre de pratiques, il ne savait pas comment se comporter et se crispait. La prendre directement comme une chienne ou délicatement comme le fit Julie ? Ou attendre les ordres du Maitre des Lieux ? Elle s’approchait de lui à 4 pattes … Garder les jambes écartées ? Fermées pour l’accueillir ? Que faire ? Et il était devant Lui … Il le regardait, l’observait ! Il sentit son visage rougir, mélange de d’excitation et de honte d’indécision.   Tout en restant à genoux, elle posa une main sur sa poitrine et lui chuchota : « Détendez-vous et respirez calmement - … - Relaxez-vous, laissez-vous faire. » A ces mots, ces mains descendirent vers l’entre-jambe de Sylvain qu’elle massa délicatement. Mais c’est avec moins de délicatesse qu’elle repoussa une paire de mains rejoindre la sienne. Seuls des doigts experts comme les siens furent autorisés à produire ce plaisir pour lequel elle était dressée. Elle exécuta ainsi l’ordre qu’elle avait reçu : chauffer les invités. Mais en y rajoutant sa touche personnelle. Une bosse dure gonfla sous le pantalon, trahison d’une excitation de plus en plus pressante. Que faire ? Se laisser faire… C’était agréable ; mais ce fut terrible de ne pouvoir rien faire d’autres alors que l’envie de lui prendre la tête montait en flèche. Une petite voix lui murmura clairement que la 2e option n’aurait pas été l’idée du siècle. Alors, Sylvain se laissait faire, laissant une bouche délicieuse s’occuper délicatement de son sexe. Il ne remarquait pas les yeux dépités de Hans qui le regardait avec envie. « Profite qu’on s’occupe de toi !! Profite qu’on te branle, au lieu de te faire des nœuds au cerveau. Tu ne sais vraiment pas ce qui est bon. P’tit con ! »   Julie observait, non sans plaisir, cette douce torture infligée à Sylvain. Ce côté sadique d’une soumise l’attirait pleinement. Ne pas pouvoir toucher. Tout le monde obéissait à une seule personne. Même cet invité fut encore plus soumis que ne l’était cette soumise. Elle aurait pu en faire autant avec son propre homme mais il ne prenait rien au sérieux et l’aurait envoyé paître si elle avait tenté quoi que ce soit dans ce domaine. Pourtant, elle y ressentait quelque chose. Une chose qui la faisait vibrer. Une chose qui ne la laissait pas indifférente... Sylvain allait exploser. Ce fut peut-être cela qui l’amusait le plus à cet instant.   « Suffit, passons à table ! » - Est-ce que cela vous a plus, demanda-t-elle à Sylvain ? - Heu… oui, bien sûr, oui, balbutia-il. » Comment déstabiliser le soi-disant ‘sexe fort’, songeait- Julie, finalement très amusée.                  Tirant une des chaises de la table du salon, Sinélia invita Julie à s’installer. Très enjouée de cette ambiance pleine de promesses, un large sourire la remercia.   « Monsieur, je vous invite à vous installer », fit-elle à destination de Hans qui était déjà sur le point de s’asseoir. L’absence de tout signe de politesse de sa part ne passa pas inaperçu aux yeux du Maitre des Lieux…   « Monsieur, je vous invite à vous installer », dit-t-elle à Sylvain, se remettant de ses émotions. - Oui, j’arrive… Merci …  - Puis-je Vous inviter à Vous installer, demanda-t-elle au Maitre des Lieux ?  - Avec plaisir, répondit-Il. Tu peux commencer le service.   A ces mots, elle prit une bouteille de jus de raisin et en proposa à chaque convive. En commençant par Julie, elle fit le service comme si c’était du vin.   Quand le pichet arriva en face de Hans, celui-ci n’avait toujours pas apprécié d’avoir été mis sur la touche. Faisant mine de jouer le jeu, la tension des traits de son visage ne mentaient pas.   « Votre boisson vous parait acide, Hans ? - Non, du tout, tout va bien. - Vous paraissez tendu. - Il se fait faim, répondit-il en forçant une fausse jovialité. - Allons, allons… Sinélia va vous donner ce qu’il faut le temps que votre repas arrive, répondit-Il en faisant un signe. Julie avait tôt fait de remarquer qu’il s’agissait d’un piège. L’impatience de la curiosité la gagnait. Sinélia se mit à genoux ainsi à côté de lui, à la distance d’un bras.   « Monsieur, j’ai reçu ordre de vous faire patienter. » Hans se retourna face à elle, excité de la suite. Tirant son haut, elle dévoila une partie de son sein qu’elle tenta, sans effort, de lécher. Puis, elle le remit à sa place aussitôt, caché. « J’espère que j’ai répondu aux attentes de Monsieur, fit-elle en se remettant debout. » Julie jubilait en voyant Hans à 2 doigts de lâcher une injure de frustration et se retint de rire. Décidemment, la soirée se présentait encore mieux que prévue. Sylvain restait silencieux. Mi-amusé, mi-averti qu’il n’y avait rien à faire d’autres, rien faire d’autres que d’obéir, comme elle, s’il voulait participer pleinement à la soirée.   D’un clin d’œil, Il la félicita de son numéro pour recadrer cet impétueux Hans.       Sinélia revint avec le premier plat. Tout en respectant les traditions de savoir-vivre, Julie fut la première servie, accompagnée d’un « Madame » protocolaire. Puis, les 2 hommes eurent le leur.   Enfin, son assiette fut déposée devant Lui, accompagnée d’un « J’espère qu’il Vous plaira. » - Je n’en doute pas, répondit-Il. » A peine eut-elle tourné le dos qu’Il lui décocha une magnifique claque dont le bruit emplit la pièce. « Je te remercie pour ce service, il est impeccable, lança-t-Il, fier de son geste. - Je vous en prie, répondit-elle avec le sourire crispé des gens qui viennent de gagner une main imprimée sur la fesse. - Tu as une drôle de façon de remercier ta femme, lâcha Hans. - Je remercie Ma Servante, répondit-Il avec fierté. - Elle va boiter quand elle va revenir, ta servante. - Vraiment ? - Attends, tu as vu ce que tu lui as mis ? Elle va avoir le cul rouge ! - Et ? - Elle va pas marcher correctement, ni s’asseoir, cracha-t-il, satisfait d’avoir lâcher un peu de se rancœur. - Ma Servante se débrouille très bien. Tu en doutes ? Reviens ! »   Obéissant docilement, elle fit demi-tour. « Alors, Elle boite ? - Non, mais … - Je vois…, en la renvoyant à la cuisine. Ce que je vois, c’est une démarche fluide, très à l’aise. Rien de moins. Même avec des hauts talons ; personne n’en fait autant. Même pas toi. » Ce pic ferma le clapet à Hans, abandonnant aussitôt la discussion par KO. Sylvain remarqua le large sourire de Julie et son geste discret, mais tellement clair, du couperet qui tombait….   Peu de temps après, Il la rejoignit dans la cuisine. Elle était en train de manger le même menu mais le thème de la soirée voulait qu’elle ne fût pas assise à la table des convives.   Il dessina sur sa joue, une sortie de clef de Sol. « Comment ça va ? - Ta claque m’a démonté la fesse. - Tu n’exagères pas un peu ? » Elle lui répondit par un sourire amusé. Maso, la douleur était son plaisir.   « Tu es une vraie salope, tu as vu dans quel état tu as mis Hans ? Il était rouge de rage, la félicita-t-Il. Je n’en demandais pas tant. Il est chaud bouillant maintenant ! - Oui, ça lui apprendra à faire le malin. Tu sais qu’on peut le torturer jusqu’à la fin comme ça. - On verra. Pour le moment, tout se passe bien. - Oui, ça va. - Finis tranquillement ton repas, termina-t-Il en dessinant à nouveau sur sa joue.       « Je me suis régalée, s’exclama Julie. C’est Votre Epouse qui a cuisiné ? - Oui, elle maitrise. » En revenant, elle débarrassa silencieusement Julie puis Hans, muté dans un silence lourd, et enfin Sylvain qui se demandait comment va se passer la suite. Son Mari aura été débarrassé en dernier. Sur la pile des assiettes, Il déposa son verre rempli d’eau et lui asséna une autre fessée au moment où elle repartait.   « L’eau a coulé… Fais le tour de nos invités qui te puniront chacun d’une fessée. A chaque fois que de l’eau coulera, tu referas un tour ». Silencieusement et avec le visage forcé de rester de marbre, elle s’approcha de Sylvain qui n’osa lui donner la claque demandée. Elle fut déjà trop loin, s’approchant déjà de Hans, quand il se décida enfin à la lui donner. Hans ne se fit pas prier pour claquer ce fessier qu’il espérait toujours prendre. Peine perdue, l’eau ne déborda pas. Julie n’eut pas plus de succès et Silénia disparut dans la cuisine.   « Sylvain, t’as un cul offert et tu le rates, s’exclama Hans !? - Heuu … - Pffff ! »   Julie était satisfaite des déboires que subissaient Hans. Le cas avec Sylvain ne la laissait pas indifférente non plus. En particulier, quand Sinélia s’occupait de lui. Serait-elle aussi à l’aise pour s’occuper ainsi d’un homme de la sorte ? Cela aurait fait partie de son tempérament. Rien n’aurait été choquant. Il y aurait une personnalité en elle qui ne demandait qu’à s’exprimer. Peut-être oserait-elle ce soir ? Un petit coup de pouce pour forcer le destin ?   Revenant de la cuisine, Sinélia déposa devant elle une part de charlotte aux fraises nappée de coulis de myrtilles. « Bonne dégustation, Madame. »   Ce choix de dessert n’était pas anodin. Si le pâtissier connaissait la symbolique, il eut bien compris à qui ce gâteau était offert. Sinélia se dirigea vers Hans, déridé à la vue de cet entremet. « Bonne dégustation, Monsieur. » - Le meilleur moment ! » Personne n’y prêta attention.   Puis, vint le tour du Maitre des Lieux. « Bonne dégustation. J’espère qu’il Vous plaira. - Les couleurs sont respectées, tout est là. Tu as mérité ta récompense. » A ces mots, Il se leva et l’entraina vers une autre pièce dans laquelle ils s’absentèrent un moment.   « Ils vont baiser ? demanda Hans sarcastique. - Bien sûr, répondit moqueuse Julie. Ce serait certainement ta récompense aussi si tu ne faisais ton casse-couille. - Ca n’empêche pas. - Si : tu te prends pour Dieu le Père alors que tu n’as pas un brin d’imagination. - Ta gueule ! - La tienne, tais-toi maintenant. - Tu n’as pas …. - Silence ! » Hans se refrogna sans rien dire, vaincu par cet échange perdu d’avance. Sylvain fit comme s’il n’avait rien vu : la messe fut dite concernant le rôle de chacun dans ce couple.   C’est quand ils revinrent qu’elle remercia son Homme devant tout le monde. Puis, chacun fit honneur au gâteau. Hans imagina qu’elle Lui en a certainement taillé une belle pour qu’elle Le remercie ainsi. A la fin de la soirée, il serait le seul connard à revenir la béquille raide.   Sur la table, Il déposa un plateau sur lequel Il déposa tous les verres à eau se trouvant sur la table… après les avoir remplis. « Sinélia, débarrasse les verres. »   Plateau chargé en main, elle fit quelques pas en direction de la cuisine lorsqu’elle fut interrompue. « Reviens, il en manque un, dit-Il après avoir rempli un autre verre. - Oui. »   Puis, elle repartit de nouveau mais sa démarche fut à nouveau perturbée. « Reviens, tu en as encore oublié un, dit-Il après avoir rempli un autre verre. » S’exécutant, elle prit le verre d’une main qu’elle déposa sur le plateau. Elle n’avait pas encore atteint la cuisine qu'une sorte d'éclair lui parcourut le corps.   Sans réelle conviction, elle reprit sa marche mais fut tout de suite arrêtée. « Le plateau se tient à une seule main. Pas 2. Reviens à table et repart. » Obéissante, elle revint et le Maitre des Lieux déposa un autre verre rempli à ras sur le plateau. Satisfait, Il la laissa repartir.   Elle ne fit que quelques pas avant de tressaillir. « Reviens ici, commanda-t-Il. » La voyant s’approcher, Julie se rassit confortablement sur sa chaise, convaincue que ce jeu durerait encore un moment. Elle avait deviné ce qu’il se passait. « Regarde, en montrant du doigt : de l’eau a coulé. Pose le plateau là et va te mettre à disposition de Madame pour punition. - Bien. »   Julie se tourna alors sur sa chaise. « Mets-toi à genoux et dégage tes seins. » Yeux baissés, Sinélia souleva son haut. Julie saisit du bout des doigts ses tétons qu’elle pinça violemment, d’un coup sec. Un petit gémissement sortit de sa bouche. « C’est bon, tu peux reprendre le plateau, ordonna-t-Il. »   C’est en le saisissant qu’elle constata la présence d’un verre supplémentaire. Si elle les avait comptés, il y en aurait trop pour le nombre de personne assises autour de cette table. En revanche, les traces de débordement avaient disparu…   A peine fut-elle repartie que son corps tressailla à nouveau. Pas de rappel. Elle continua alors son chemin avec ces sensations de plus en plus déstabilisantes.   « Hans, va voir si de l’eau a coulé. Sinélia, arrête-toi. » Trop content de recevoir cet ordre, il s’empressa de contenter le Maitre des Lieux espérant enfin sa récompense. Mais le plateau était désespérément sec et Hans regagna sa place.   « La gauche ou la droite, Sylvain ? - De quoi ? - La gauche ou la droite ? - Je ne sais pas. - ... - La gauche ! »   Sinélia offrit ainsi ses fesses à Sylvain, debout, plateau au-dessus d’une main. De l’autre, elle souleva sa jupe.   Rougissant légèrement, Sylvain donna une claque qui l’ébranla à peine. Mais quelques gouttes débordèrent d’un verre rempli à ras bord. « Pose tout ça et passe sous la table, ordonna-t-Il. » Sans mot dire, Sénilia se cacha docilement sous la nappe. Hans se rassit, le sourire revenu aux lèvres  « Pourquoi es-tu sous la table ? - Monsieur m’a donné une fessée et de l’eau a débordé. - Pour ta punition, va t’occuper de Monsieur. » Sylvain esquissa un large sourire, surpris de la tournure des événements en sa faveur. Celui de Hans disparut.   Il suffisait de lire son visage pour connaitre le déroulé. Tout d’abord, les yeux furent grands ouverts, les lèvres crispées. Mais rapidement, il se détendit, le regard se dirigeant vers la porte du Paradis sur Terre. Transporté par ce Voyage, le Plaisir prenant le dessus, une de ses mains descendit sous la nappe. « Pas les mains ! » Repris aussi sec, Sylvain replongea aussitôt dans son voyage, obéissant strictement au Maitre des Lieux pour profiter pleinement de ce moment.   « Ca suffit. » Sylvain redescendit doucement avec un mélange de béatitude et de « reviens-y ». Mais heureux de ce moment privilégié.   Sans émotion apparente, elle refit surface et reprit à nouveau le plateau dont le poids se faisait sentir. En plus, un autre verre avait encore été rajouté… Au moment où elle repartit, sa respiration s’accéléra brusquement. Julie avait remarqué la télécommande qu’Il actionnait pour faire vibrer ce délicieux œuf, enfoui en Sinélia. Le jeu n’était pas prêt de s’arrêter.   Malgré cette éruption de sensations, elle continuait son chemin, stoïquement, vers la cuisine. Soudain, un puissant tressaillement déstabilisa sa main et nombre de verre débordèrent. Elle resta un moment immobile avant d’être rappelée. « Notre ami Hans va s’occuper de ton cas. » Il n’en fallait pas plus pour que son visage s’illumina. La récompense ! Enfin !!   Il s’installa sur sa chaise, son trône, à l’image du roi tout-puissant sur le point d’asseoir son autorité et son sadisme à toute l’assemblée, fusse-t-elle composée de gueux ou de rois également. « Tu vas crier ma belle, tu vas sentir qui est Hans ! »   « Donne le plateau à Hans pour qu’il contrôle. Il y a de l’eau dedans ? Il y en a qui ont débordé du verre ? Merci Hans … Mets-toi à genoux devant lui et dis-lui que tu es une mauvaise fille méritant d’être punie. » A genoux devant ce roi les yeux pétillants, elle récita sans sourciller l’ordre. « Hans, êtes-vous d’accord pour qu’elle soit punie ? » - Oui, bien sûr ! - Bien, essuyez l’eau qui a coulé pour qu’il n’y ait plus de traces … Voilà … et rendez-lui son plateau… Bien. Tu vas arriver à débarrasser la table de tous ces verres ? Dépêche-toi ! - Mais elle devait être punie ! - Oui, je vous ai demandé si elle le méritait. Vous m’avez répondu que oui. - Je devais m’occuper de son cas ! - Bien sûr. Vous l’avez fait en jugeant si elle devait être punie ou pas. C’est donc mission accomplie, dit-Il satisfait. »   Hans n’ira pas plus loin. « S’il y en avait bien un qui se fait baiser depuis le début, et copieusement, c’est moi ! maugrée-t-il ». Interdit de râler, de geindre, de rire ou de pleurer. Pendant qu’il tentait de contenir sa frustration et la honte d’être mené ainsi par le bout du nez, Julie réussit à contenir un rire qui passait par un sourire aussi large que radieux.     Comme elle s’y attendait, l’œuf se remit à vibrer, éjectant des gerbes de plaisir partout. Son sexe, mouillé, devint affamé. Sinélia avait anticipé le coup et aucun verre ne déborda et jeta un oeil vers la table.   Des yeux plein de fierté, Il la félicita. « Pas un verre n’a bougé. C’est bien … fini les gages. Termine de débarrasser mais ne fais pas exprès de tout renverser. - Oui, trahissant une légère déception. » Elle y avait pris gout à ce jeu… et, surtout, le feu commençait à l’envahir.    Quand elle revint pour embarquer les dernières affaires de la table, elle releva que le Maitre des Lieux avait installé une autre chaise, à Sa gauche.   C’était pour sa part de gâteau. Elle le dégusta à genoux, le dessert posé sur l’assise. Une main très connue Lui caressait la tête « Merci, dit-elle affectueusement. - Ton service a été parfait. Je pense que tous nos invités ont été satisfaits, dit-Il en s’adressant à l’assemblée. Madame est aux anges, Sylvain est heureux et détendu et Hans est à l’aise comme chez lui. » Ce dernier lui répondit par le plus beau des faux-cul de sourire. Il se doutait bien que son équivalent verbal aurait été un « allez-vous faire mettre » mais ce jeu improvisé Lui plaisait particulièrement. Julie était de son côté et il n’aurait pas fallu grand-chose pour qu’elle prît le relais. « Encore un peu et tu vas y arriver, à le mettre à tes pieds ». Hans était un ami de confiance. Mais sa prétention et sa vanité étaient insupportables au plus haut point.   Sylvain vint tout juste de finir son dessert qu’Il lui demanda. « Etes-vous plus détendu ? - Oui, ça va bien, répondit-il enjoué. - Cette soirée vous plait-elle ? - Oui, je suis ravi d’être ici et … - Et ? - Non, rien, je suis content d’être parmi vous. - Et vous Hans, partagez-vous le même sentiment ? enfonçant encore le clou. - Absolument ! avec le même sourire dont la traduction ne laissait aucun doute quant à la qualité du langage. - Alors, tout va bien. » Sans regarder le mélange de dépit et de colère noircissant ses yeux, Il se tourna enfin vers Julie. « Madame, profitez-vous pleinement de cette soirée ? - Oui, Monsieur. Plus que Vous ne le pensez. - J’en suis ravi, termina-t-Il avec un clin d’œil complice. »   L’entremet que Sinélia avait préparé elle-même était appétissant. Mais à ce moment, la cuillère ne put monter jusqu’à la bouche.   La main du Maitre des Lieux avait quelque chose de magique, apaisant. Elle effaçait les douleurs de la journée, calmait un esprit en surchauffe, attirait les beaux rêves. Sinélia se laissait aller, emportée par cette caresse. Cette Main affectueuse la maintenait tendrement à genoux. Un ordre implicite plus puissamment exprimé qu’à la voix car O combien chargé en symbolique.   Tenue ainsi immobile, elle ne bougeait pas, enchainée par le simple contact de cette Paume mais tellement libre à la fois !   Cette Paume …   La douceur de ce toucher contrastait tellement avec la poigne dans laquelle elle était maintenue. Se laissant emporter, fermant les yeux, sa tête balançait légèrement pour suivre les mouvements de cette Main comme une chate recherchant les gratouillis tant attendus. Une incroyable tendresse était partagée.   Abandonnée à cette Caresse, elle marquait sa totale appartenance, Propriété absolu de cet Homme au-dessus d’elle.   Le temps passait, presque interminable, dans cette bulle, coupée du monde.         La symbolique suffisait.   « Messieurs, Madame, si vous voulez bien passer dans le salon. Le digestif va vous être servi. » - C’est votre première soirée privée ? demanda Julie à Sylvain. - Oui, j’avais fait une sortie en club où j’avais rencontré Monsieur et Madame, mais là…. Tout est nouveau pour moi. - Il faut vous détendre et profiter. - Oui, mais je ne sais pas vraiment ce qu’il est possible de faire. - Monsieur donne les directives comme vous pouvez le voir. Quand vous êtes autorisé à faire quelque chose ou incité, faites-le, justement. La soirée est organisée pour cela. - Je sais ; je n’ose pas encore. - S’il vous donne la permission de faire quelque chose, vous aurez tout intérêt à le faire. Sortez de votre coquille. - J’essaierai, mais je ne voudrais pas lui faire mal comme, par exemple, la fessée. - Vous n’êtes pas obligé non plus de frapper comme une brute. C’était autorisé et Il n’avait pas dit d’en donner une douce. Vous aviez de la marge. - Oui… mais …, répond Sylvain, confus. Je suis timide. - Ça, on l’a tous vu, termina Julie. »   « Madame, Messieurs, je vous invite à vous installer sauf si rester debout est votre kif. La Clairette arrive, annonça-t-Il. - C’est quoi, demanda Hans. - Un pétillant qui ressemble au Champagne. Mais moins fort, plus fruité et sans le chichi luxueux qui va avec. Une coupe par personne, expliqua-t-il en ajustant l’éclairage au profit d’une lumière un peu plus tamisée. »   Dans la pénombre, elle apparut, plateau en main. Cette fois, son corps fut dessiné différemment. Les sous-vêtements, cachés, furent à présent découverts et laissaient présager d’autres formes. Perchée sur ses haut-talons, la démarche était toujours sensuelle, avec un petit quelque chose plus excitant. C’est en prenant son temps qu’elle se dirigea vers Julie. Elle admirait cette façon de faire. Une légère excitation naissait en elle, ne sachant pas vraiment ce qui la provoquait. Cette soumise, seins et sexe offerts, qui ne sourcillait pas ? Sa démarche vraiment sexy ? Ou quelque chose d’autres ? Julie prit sa coupe du plateau, mais n’y accorda aucun intérêt. Seul ce corps, en face d’elle l’intéressait.   Hans fit preuve d’un peu plus de courtoisie. Bien qu’impatient, il joua le jeu de l’invité en remerciant la servante. Se tenir à carreau. Ne pas faire de vague. La soirée n’était pas terminée…. Tiens bon !   Puis, ce fut au tour de Sylvain. Pétri dans sa timidité, il préféra regarder sa coupe plutôt que le spectacle qui s’offrait à lui.   Enfin, ce fut au tour du Maitre des Lieux. Un signe de tête couplé avec un autre de la main suffit pour la mettre à genoux devant Lui. « Lorsqu’on sert la Clairette, c’est à genoux qu’il faut se présenter devant les invités. Tu es restée debout. - Pardon, j’avais oublié. » A ses côtés, une boite noire bien connue avait été sortie. Il en sortit 2 pinces à seins japonaises. Sous le regard crispé de Sinélia, Il ouvrit doucement la mâchoire de ce petit instrument de torture qu’Il approcha aussi doucement du téton. Au moment où Il croisa son regard inquiet, la mâchoire se referma, sec. La douleur se lu aussitôt sur son visage suivi d’un discret regard de pitié. La 2ème pince fut déposée avec la même lenteur sadique. Puis, Il les relia ensemble avec une chainette.   « Reste à genoux, dit-Il. » Retirant son petit collier rouge et noir de soirée, Il lui en posa un autre : noir, large, grand anneau fixé devant.   L’ambiance venait de changer. Après avoir une reçu un ordre dans le creux de son oreille, Sinélia se dirigea vers Julie, à 4 pattes. « Madame, j’ai reçu l’ordre d’être à votre disposition, déclara-t-elle en se mettant à genoux » Julie décroisa alors ses jambes et la fit approcher d’un signe du doigts. A bonne distance, elle saisit la chainette, la regarda droit dans les yeux. Ces yeux de soumise lui répondirent que, quoi qu’il arriverait, elle lui était offerte… non sans appréhension. Son visage se crispa sans moufeter quand Julie tira sur cette chainette, joua avec, la balança. Tous ces mouvements, même insignifiants furent transmis tel un courant électrique aux pinces, les transformant en une vive douleur sur les tétons. Offerte... Ses mains auraient aimé retirer ce qui la torturait ainsi… Rester stoïque malgré ses pinces qui bougeaient de plus en plus... Et cette Dame qui prenait autant de plaisir à la voir souffrir… Ces pinces… Elles étaient une punition pour elle. Une femme sadique envers une autre femme ; elle redoutait le résultat d’autant plus qu’il se mélangeait en plus à la subtile perversité féminine. Cette fois, Julie tira plus fortement sur la chainette, contraignant Sinélia à s’approcher. Jambes ouvertes, jupe remontée et avec une douceur démoniaque, Julie lui présenta son sexe. Tenant toujours la chainette, Julie entreprit de se caresser juste devant sa soumise du moment. Excitation… celle-ci montait, atténuant légèrement la douleur, toujours aussi vive aux seins. « Lèche ! » Ne pas faire attendre Madame… Ne pas décevoir son Homme… Ne pas résister contre cette envie de lécher cette chatte et de vivre cette soumission sexuelle… Quelle que soit la raison, elle plaqua sa langue sur ce clitoris déjà gonflé, humide d’excitation. La respiration de Julie s’accéléra.   Avec ses mains, Sinélia écarta les lèvres et continua à lui donner tout le bien qu’il voulait. Le plaisir grandissant, elle le suçait, l’aspirait. Julie appréciait, gémissait. Puis, sa bouche descendit vers le sexe de sa tortionnaire, trempé. Au moment où sa langue la pénétra, 2 mains féminines appuyèrent sur sa tête. Libre, la chainette balança mollement, déchargeant à nouveau son lot de douleur via les pinces. Cette douleur la stimula. Plus de plaisir à donner, c’est moins de douleur ressentie. Plus aucune limite à sa dévotion, prise en main par Madame. Elle s’appliqua à lui faire l’amour avec sa langue. Se laissant-aller, Julie laissait s’échapper des petits cris au grés du plaisir qui montait. Elle n’était plus ici….   « Fais-la jouir. Et seulement après, on te retirera les pinces si Madame est satisfaite. » Obéissant à cet ordre Masculin, elle s’affaira davantage à exciter ce sexe si affamé. Elle plongea ainsi un doigt, puis 2. Julie donna un coup de bassin. Fouiller cette intimité était tellement facile et jouissif. L’effet sur Madame était tellement fort qu’elle mit toute son énergie pour la combler. Sans retenue, sans limite. Donner du plaisir, à tout prix. C’est ce dont à quoi elle servait. Madame devait jouir, sinon elle serait déçue. C’était sa motivation première : combler les invités et, surtout, satisfaire son Homme. Accaparée à doigter Julie et à la lécher, elle ne prêta attention à l’assistance masculine qui l’observait, ravie de ce spectacle, attendant fébrilement leur tour.   Est-ce pour en finir avec ces pinces ou pour contenter Madame au plus vite qu’elle redoubla d’efforts ? Alternant le clitoris et le vagin, sa langue léchait l’ensemble de la vulve, ne s’arrêtant nulle part, insistant partout, parcourant chaque millimètre carré. Ouvrant totalement le sexe de Julie, elle s’offrit une chatte généreuse en jus et chaleur. A mesure que Julie appuyait sa tête contre son sexe, Silénia s’évertuait à ne laisser aucune zone abandonnée, ne serait-ce qu’une seconde. Mais Madame bougeait de plus en plus ; la poursuivre déchainait davantage les sensations.   Seuls les gémissements de Julie emplirent le salon. Cibles de toutes les attentions, les 2 femmes restèrent enfermées dans leur bulle ; l’une s’approchant du 7e Ciel, l’autre voyageant sur les Collines et les Vallées intimes. Pas un mot ne couvrait les cris de plaisir, d’un coup, étouffés… et remplacées par plusieurs autres saccadés. Crispée, tétanisée, … L’orgasme captura Julie. Son corps ne lui appartint plus. Enfin, se détendant lentement, Julie lâcha progressivement la pression sur Sinélia. A mesure que l’atterrissage prit forme, un large sourire de félicité se dessinait sur son visage.   Se détachant du sexe de sa Maitresse d’un moment, Sinélia se tourna vers Lui. Du regard, Il lui signifia la fin de la punition. Retirer les pinces, c’était provoquer une pire douleur. Aussitôt la mâchoire ouverte, Il aspira son téton meurtri pour atténuer la souffrance. Sa langue apaisante paraissait pourtant insignifiante. Tentant bien de résister, une larme commençait à se former. Bientôt rejointe par une 2ème au moment où l’autre pince fut retirée.   Enfin, petit à petit, les tétons se calmèrent. « Merci Madame, de m’avoir permis de vous lécher, fit-elle, à genoux, devant Julie. - Je t’en prie, Ma chérie, répondit-elle. » Attachant une laisse à Sa chienne, Il la tira vers Hans qui ne se fit pas prier pour se préparer. « Monsieur, estimez-vous que cette chienne doive encore être punie, Lui demanda-t-Il ? - Non, bien sûr que non. Elle lui a donné un de ces putains d’orgasme ! - C’est entendu, déclara-t-Il ainsi en se dirigeant vers Sylvain. Hans regarda, dépité, ce cul s’éloigner... « Monsieur, J’ai reçu comme ordre d’être à votre disposition, annonça-t-elle à Sylvain. - Oui, approche, répondit-il sans aucune assurance. » Sylvain lui caressa les seins mais ceux-ci étaient douloureux. Faisant fi de l’idée qu’il pourrait avoir, elle repoussa ces mains et prit l’initiative d’ouvrir sa braguette.   Aucun contre-ordre. Elle avait le champ libre. La verge était très raide quand elle fut libérée de ce pantalon trop étroit. N’osant rien dire, Sylvain la laissait faire et posa une main sur la tête… Elle la repoussa.   Contemplant ce sexe raide, elle le caressa de bas en haut, l’enlaça de sa main et effectua des doux mouvements circulaires. Puis, partant des bourses jusqu’au gland, sa langue la lécha délicatement sur toute la longueur. A nouveau, Sylvain reposa une main sur sa tête… qu’elle repoussa encore. Un petit regard en direction de Son Homme et elle lécha à nouveau la verge, s’arrêtant sur le gland. Elle le prit en bouche, le suça, descendit sa tête, remonta, redescendit à nouveau, puis remonta délicatement. Exerçant ce va-et-vient tout en douceur, la queue grossit de plus en plus. Puis, celle-ci disparu totalement dans sa bouche, puis réapparu. Sylvain venait de découvrir la Gorge Profonde, délicieuse option de la fellation. En en voulant une autre, il appliqua ses mains sur la tête, comme l’avait fait Julie.   Une des mains de Sinélia détenait la base de son sexe pour le masturber ; l’autre était posée sur sa cuisse. Ce n’étaient donc pas elles qui empoignèrent celles de Sylvain. C’était celles du Maitre des Lieux qui vint les retirer pour les menotter dans le dos.   Entravé, Sylvain en ressentit une paradoxale montée d’excitation, totalement livré à cette bouche qui aspirait, engloutissait sa queue. Le Plaisir montait vite … Lui aussi enfermé dans sa bulle, il ne prêtait pas attention au regard blasé de Hans et à celui, attentif, du Maitre des Lieux. Julie appréciait ce spectacle. Si Hans était à la place de Sylvain, il serait devenu fou… Plaisante perspective.   Sans prévenir, elle arrêta la fellation et se mit debout. Menotté, il fut commandé à faire de même, se laisser déshabiller, puis s’asseoir à nouveau. Ses yeux de Sinélia semblèrent le transpercer. Affamés, ils étaient comme le chat prêt à bondir sur sa proie. Puis, elle vint s’empaler sur ce sexe qu’elle avait fort bien préparé. Tout en se pénétrant, elle fixa à nouveau les yeux de Sylvain tout en caressants ses seins avec une malice certaine. Le dominant totalement, elle remonta, puis redescendit le long de cette queue, implacablement. Défiant cet homme condamné, elle lui fit subir ce supplice de ne pouvoir toucher, caresser ses seins, ce corps, … tous offerts devant son nez. La frustration l’envahit. Mais le plaisir de cette chaude chatte qu’il baisait malgré lui était plus fort. Il tenta quelques coups de rein mais elle, de sa position, ne lui laissait aucune marge. Elle dirigeait. Il subissait.   Continuant les va-et-vient, elle adapta le rythme selon son envie. A mesure que Son bassin ondulait, la respiration de Sylvain s’accélérait pour se bloquer d’un coup violent. Sans attendre la fin de son orgasme, elle s’extirpa de cette queue dégoulinante et se remit à genoux, face à Lui. « Tu peux être fière de toi, la félicita-t-Il. » « Monsieur, je vous remercie de m’avoir permis de prendre du plaisir avec votre queue. » Encore dans les limbes du 7e Ciel, Sylvain ne percuta pas sur ce petit pic sadique. S’il avait pu prendre la main, il l’aurait su ! " Maintenant, en lui remettant la laisse, nous avons un dernier invité. » S’approchant de Hans devenu méfiant, celui-ci ne bougea pas d’un iota. « Ne le regarde pas dans les yeux, dit-Il. On va s’occuper de Toi. »   Ce dernier mot a provoqué un électrochoc chez Hans, une libération tant attendue. Mais n’est-ce pas un autre piège ? « Mettez-vous à l’aise pendant que Je prépare cette chienne, dit-Il en lui posant un bandeau. Prenez-en soin…. Mais baisez-la bien. Je peux compter sur vous ? » Toujours méfiant suite aux précédents coups de théâtre malheureux pour lui, il hésita un moment. « Vous pouvez ! » 2 brins de chanvre furent appliqués sur sa poitrine, encerclèrent son buste et furent tirés vers la nuque. Ses mains disparurent, liées ensemble, derrière le dos tandis que la corde poursuivit sa route à nouveau devant pour emprisonner les seins. Puis, les brins revinrent derrière et, par un subtil cheminement, resserrèrent davantage l’ensemble du cordage.   « Je vous la prépare … » Le bondage offrit un motif de harnais, emprisonnant totalement les bras. Ce n’était peut-être pas le plus esthétique qu’Il ait déjà fait, mais il avait le mérite d’immobiliser une partie de Sa Chienne.   « Madame, dit-Il à Julie. J’ai encore 2 affaires à préparer. Voulez-vous lui expliquer qu’elle doit se mettre au travail, en montrant du doigt Sinélia ? - Elle doit le sucer ? - La base …  - Et vous, déshabillez-vous ! Sinon, Je l’emmène voir ailleurs. » Hans arracha littéralement ses vêtements. La délivrance ! Enfin ! « Monsieur t’offre une belle queue. Ouvre la bouche ! ordonna Julie. - Non, pas comme cela. Comme ceci ! » Empoignant ses cheveux et le cou, Il força la tête de Sinélia au-dessus du sexe de Hans. Puis, d’un coup de pression sur la mâchoire, lui ouvrit la bouche et l’empala aussitôt sur la verge.   L’ambiance venait de changer. « Si elle ne suce pas assez bien, prenez sa tête et imposez le rythme. Il faut que sa bouche soit bien baisée. Vous comprenez ? - Oui, répondit Julie, enjouée de ce rôle de Domina qu’elle venait d’avoir. Zélée, elle n’aura pas attendu la période d’observation pour rendre cette fellation brutale, profonde, sans scrupule. Hans, cette fois, était aux anges. Après de longues secondes, le Maitre des Lieux revint et saisit sans ménagement les hanches de Sinélia. « Lâche sa queue et tu reçois à nouveau les pinces japonaises, prévient-Il » Un sursaut lui traversa le visage à l’énoncé de cette possible punition. Elle s’appliqua à garder la queue en bouche coûte que coûte.   « Sa bouche doit être bien baisée. Hans, j’ai connu mieux ! » Stimulé par cet ordre, celui-ci augmenta la vitesse de ses coups de rein, accompagnée par Julie, à l’aise dans son rôle. Ses jambes furent écartées, sans douceur. Une frappe du martinet la contraint à s’ouvrir davantage, puis une autre pour la contraindre à obéir plus rapidement. Une ceinture de cuir s’enroula autour de sa cheville l’emprisonnant, suivi rapidement par son autre cheville. Impossible de refermer les jambes avec cette barre d’écartement. Pas question non plus de s’arrêter de sucer. Madame y veillait avec force. Sylvain regardait la scène, ébahit. Quel contraste avec l’ambiance du repas, gentiment coquine. Cul offert, la tentation était forte d’en prendre possession, comme Julie, brutalement. Prêt pour le 2nd round, il se lèverait bien pour profiter de cette chatte.     Le clac du fouet raisonna dans toute la pièce, annonçant le retour du Maitre des Lieux. Mieux valait rester assis. Un second clac, suivi d’un 3ème, puis encore d’un autre. Le Serpent s’imposa. Puis, silencieusement, couvert par les bruits de la pipe forcée d’à côté, le Serpent se mit à danser, effleurant les fesses de Sinélia Il ondulait, gesticulait, passait d’un côté à l’autre, dessinait des traits roses sur la croupe et les jambes. De temps à autre, un clac éclatait dans la pièce, rappelant la toute la puissance du Serpent. Puis, les morsures reprirent. Les zébrures rouges apparaissaient sur le corp fouetté tel un animal en cours de dressage. Le cuir virevoltant dans les airs aurait été cinglant si une faute avait été commise. Le cracker ne pardonnait pas.   Placé juste en face de sa croupe, Sylvain restait immobile. Cette femme, Sinélia, élégante dans sa robe de soirée. Elle l’avait accueilli comme un prince avec classe. En cuir, elle avait montré tout le savoir-faire pour donner le plaisir que Julie et lui avait dégusté. Il avait savouré les lignes de son corps que dessinaient son bassin et le galbe de ses seins. Ce beau corps avait hypnotisé l’assistance. A présent, il était torturé. Sylvain se remémorait la soirée qui avait débuté par l’élégance et maintenant… cette scène bestiale. Etait-elle une jument ? Quel animal était-elle ? Quel est cet animal si sauvage ainsi dressé ? Ou quelle horrible faute avait-il commis pour subi pareil traitement ? Les animaux pouvaient-ils même réaliser des scènes aussi bestiales que celle-ci ? Etait-ce un être humain dont le corps fut meurtri par le fouet et la dignité – ou la bouche - détruite par cette violente fellation ? Où fut passé ce corps blanc, immaculé ? Sa réflexion fut interrompue par un clac différent mais tout aussi violent. Sous les zébrures, naissait une marque, homogène. Une marque rose dériva sur du rouge clair. Une marque représentant une main. Le Maitre des Lieux venait à nouveau de la marquer de Sa Personne.   Tous les cris, gémissements de douleur furent étouffés par le sexe de Hans. Est-ce qu’il s’agissait aussi des cris de plaisir, osa penser Sylvain ? Cette torture durerait-elle encore ? Elle… enfin, si c’est encore cette belle femme, avait du même du mal à respirer. Seul le bon vouloir de Julie le lui permettait si elle tirait les cheveux suffisamment en arrière.   Faisant signe à Julie de faire une pause, Il lâcha : « Petite pute, elle te plait cette queue » ? - "Oui. Elle … » Il saisit Lui-même sa tête et l’empala à nouveau sur le sexe de Hans. « Réponds en continuant de sucer. Ne t’arrête jamais tant que tu ne n’en reçois pas l’ordre ! Compris ? » Les yeux fermés, elle fit un signe de tête. Etait-ce la peur de la punition ? L’envie de satisfaire son Homme à tout prix ? Les 2 ? Vivre Sa Soumission pleinement ? Profiter de ce Plaisir que seul Son Homme pouvait Lui offrir ? Profiter de ce Plaisir bestial débarrassé de toutes considérations ?   Le plaisir, à l’état brut, nu… Après avoir étalé un plaid par terre, Il l’interrompit. « Tu t’es bien occupé de lui ? - Oui, je l’ai bien sucé et … - Tu t’es bien occupé de lui ? - Monsieur est très excité … - Il est prêt à continuer avec toi ? - Oui, répondit-elle essoufflée. » Posant Sa main contre son sexe trempé, Il enfonça 2 puis 3 doigts. Qu’Il retira et renfonça à nouveau, plus profondément. Il la baisa à présent de 4 doigts, la fouillant pour y rentrer progressivement la main. Enfin, Il s’offrit la bouche de Sinélia. La maintenant fermement par les cheveux et le collier, Il ne lui laissa aucune marge. Elle le suçait du mieux qu’elle pouvait. C’était un Honneur.   Soudain, la pression se relâcha et la barre d’écartement fut détachée par magie. Hans était déjà couché par terre, sur le dos, sexe dressé tel un pal. Entravée, elle laissa la main de Son Homme fouiller l’intérieur de Sa chatte et ressortir afin de mouiller le trou voisin. Puis, son anus fut progressivement empalé sur Hans. A mesure qu’il s’enfonçait, de longs soupirs se diffusaient dans la pièce. Enfin, elle fut assise sur Hans, tournant le dos à ce dernier. Sa chatte ainsi offerte, son Homme la pénétra d’un coup. Chaque coup de reins faisait tressaillir son corps. Son Homme, enfin ! Elle pouvait Le servir de son corps. Totalement excitée par les sévices précédents, elle se laissa partir, heureuse de l’honneur qu’Il lui faisait. Brutal puis doux, rapide puis lentement, Il jouait des différentes façons pour générer ces arcs électriques de Plaisir. Malgré les cordes, son corps tressaillait de partout. Elle aurait aimé crier de plaisir, de bonheur. Il était enfin en Elle ! Sa récompense ! « La chienne est aussi à vous, s’adressant à Julie et à Sylvain. » Ignorant les réactions des 2 invités, Il revint à cette chatte chaude, trempée, affamée.   « Passe-moi le bandeau ! ordonna-t-Il à Sylvain. » Aveuglée, tous ses sens furent focalisés sur ces 2 queues qui la remplissaient. Elles se battaient chacune dans leur trou pour avoir la meilleure part de plaisir, augmentant de facto le sien. Mais au moment d’en supplier encore, une chose dure et chaude pénétra sa bouche, profondément, la bâillonnant.   Emportée par les tempêtes de sensations, la fellation qu’elle fit à Sylvain fut encore plus sauvage que tout à l’heure. Chaque coup de rein de l’un ou de l’autre lui donnait l’envie d’en avaler davantage. Pas simple quand 2 étalons la baisaient chacun de leur côté et que le 3e n’était pas dans le rythme. Julie, jouissant de son rôle de Domina, lui reprit fermement la tête afin qu’elle s’applique à sucer. Le plaisir montait drastiquement lorsque sa bouche fut libérée. A peine eut-elle repris sa respiration, que son visage fut recouvert d’une sensation chaude et humide. Julie venait de prendre la place de Sylvain pour se faire lécher. Plaquant la tête de Sinélia contre son ventre, elle n’eut de choix que de la pénétrer avec sa langue.   A demi couchée sur le dos, portée par Hans, elle se laisse emporter par tous les flots, ces mains, ces sexes, … Offerte, seins offerts, bouche offerte, trous offerts, corp offert… tout était offert… Si sa langue n’avait pas été contrainte à lécher Julie, elle aurait lâcher ses cris, ses supplications pour en avoir plus, encore plus fort… Son esprit fut ailleurs. Son Homme saisit ses seins violemment à mesure qu’Il la limait. Puis, les doigts remontèrent vers les tétons encore endoloris et les pincèrent, d’un coup, sec ! Un cri de douleur retentit mais aussitôt Julie l’étouffa de sa main. Et à nouveau, les tétons furent pincés… juste pour le plaisir, pour le plaisir de l’entendre crier.   Le premier à jouir fut Hans, annoncé par un râle assez rauque. Tétanisé, son corps redescendit assez vite après ce puissant orgasme. Le laissant faire, Il continua de baiser Sa chienne tandis que Sylvain chassa Julie de devant la chatte de Sinélia. Frustrée par ce coup d’état sexuel, Julie recula. D’un signe, Le Maitre des Lieux montra à Sylvain les seins qu’il pouvait utiliser à sa guise pour se soulager à nouveau. Rapidement, ce fut au tour de Sylvain de jouir. Du peu qu’il lui restait, sa semence gicla sur les tétons et le creux de la poitrine de Sinélia. Puis, il se rassit lourdement pour contempler la fin du spectacle.   Le Maitre des Lieux n’en n’avait pas fini. Il se retira, sortit Sinélia de la queue de Hans et la positionna à genoux. D’un signe, Il invita Julie à redonner son sexe à cette dernière qu’Il finit en levrette.   Saisie par les épaules, les coups de rein furent bien plus violents. Si elle eut le malheur de baisser la tête, Il la rattrapa aussitôt par les cheveux. Julie se débrouillerait pour avoir sa part du gâteau. Quelques claques données sur le haut des cuisses raisonnèrent et d’un coup... Sinélia entra en éruption. Une nuée ardente de plaisir dévala tout son corps, emporta tout ce qui pouvait rester d’humain. Aucune main, ni rien, ni ordre ne pouvait faire face à cet orgasme explosif. Tétanisée par la formidable tempête de sensations, son corps était revenu à l’état brut, dépouillé de tout, nu prisonnier d’une formidable étreinte de bonheur. Elle jouissait de tout ce Plaisir que la Nature pouvait lui donner… La bâillonnant brutalement de Sa Main, le Corps de Son Homme se crispa violemment, respiration coupée pendant quelques longues secondes. Julie observa la scène, attendant que cet orgasme finnisât d’emporter également le Maitre des Lieux. Desserrant l’étau qu’Il avait fermé avec Ses bras, Sinélia retrouva à nouveau sa respiration. Le corp brulant, abusé de partout, meurtri par les morsures du fouet, les claques… Aveuglée, entravée, la bouche ankylosée, les trous travaillés, transpirant de plaisir, elle se laissa aller par terre, sur ce doux plaid, épuisée.       Les invités se remirent de leurs émotions. Seule Julie gardait de l’énergie, toujours partante pour un coup de rein. Tranquillement, elle se caressait, espérant secrètement réveiller le reste d’envie de sexe d’un de ces Messieurs. Hans semblait avoir encore de la ressource. Sylvain était vide. Peut-être le Maitre des Lieux ? Non, Hans ferait l’affaire. Julie s’approcha de son homme, affalé et saisit son membre. « Elle est à moi ! » Hans la regarda, médusé. Hein ? « Quoi, tu n’en peux plus ? Déjà ? - Attends un peu…. - C’est maintenant ou c’est la diète ! »   Hans n’en revint pas. Déclarant forfait par abandon, il laissa Julie l’avertir qu’elle prendrait les choses en main et qu’il ramasserait. Sur le premier point, l’avenir dira s’il en avait vraiment compris le sens … Encore allongée, Sinélia se laissa prendre dans les bras de Son Homme qui la caressait affectueusement. Les cordes tombèrent tels des spaghettis sur le sol. Le bandeau fut retiré et enfin, elle rouvrit les yeux, fatigués. Voir Son Homme, Celui qui Lui avait permis de Voyager dans ce monde torride de sensations. Un lien indescriptible les reliait dans ce jeu de regard, dans une bulle, coupé du monde. Puis, Il l’allongea sur le canapé.   S’agenouillant à Sa hauteur, Il posa délicatement Sa main contre la sienne ; Celle-là même dont l’empreinte était toujours imprimée sur la fesse. Détachant en même temps le collier, Il déposa un baiser amoureux sur sa bouche. Puis un autre, avec la même tendresse. Et encore un autre plus doux… Jusqu’à ce qu’Ils se prirent dans les bras, cœur contre cœur, apaisés…  
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Par : le 15/08/25
  « Plus profondément … plus fort … mon petit esclave !», ordonna Maitresse Clara d’une voix froide et sèche. Bien que cet ordre soit presque murmuré, il était suffisamment ferme pour que tous les invités alentour en saisissent la puissance. D’autant qu’il fut accompagné de plusieurs coups secs de martinet sur les fesses juvéniles et imberbes de Tom.  Sous les coups du martinet aux longues lanières de cuir rouge que Maitresse Clara tenait d’une main ferme et activait avec dextérité, Tom s’activait de plus bel et redoublait d’efforts entre les cuisses charnues grandes ouvertes de sa Maitresse. Il s’abandonnait à sa tâche avec une dévotion si complète qu’il en devenait presque invisible. Il était comme fondu dans le plaisir qu’il s’attachait à offrir. Maitresse Clara quant à elle restait souveraine. Dans une attitude presque impériale. Toues les invités regardaient cette scène dans un silence presque cérémonial, simplement interrompu par les bruits de succion de Tom et les coups de martinet qui commençaient à zébrer ses fesses. Chaque coup était précis, contrôlé, maitrisé. À chaque impact, un frémissement parcourait le corps de Tom et des gémissements s’échappaient de sa gorge. Pour autant Tom mais ne ralentissait pas son ouvrage. Au contraire, il se faisait plus appliqué, plus concentré. Comme si la douleur lui servait de boussole vers le centre exact du plaisir de sa Maîtresse. Le corps de Clara, jusque-là d’un maintien impeccable, commença à trahir de légers tremblements. Sa main libre s’agrippait lentement à l’accoudoir du fauteuil, tandis que l’autre, tenant le martinet, ralentissait imperceptiblement ses mouvements d’encouragement à son soumis … C’était comme si l’énergie de ses gestes glissait ailleurs … vers l’intérieur, … vers une tension qui montait en elle. Ses hanches, d’abord immobiles, se mirent à bouger avec une lenteur féline, ondulant au rythme des vagues qu’on devinait monter en elle. Son souffle devint plus sonore, plus saccadé, plus court. « Accélère encore, petit chien ! » ordonna Maitresse Clara en frappant d’un coup plus fort que les précédents la chair  déjà endolorie des fesses de Tom. « Honore ta Reine ! » hurla-t-elle. Tom, galvanisé par l’ordre de sa Maîtresse, intensifia son dévouement avec une ferveur quasi mystique. Ses gestes, d’abord mécaniques, s’étaient faits organiques. Même instinctifs. Comme s’il n’était plus maître de ses mouvements mais comme devenu le simple prolongement de la volonté de sa Maitresse. À chaque souffle haletant qu’elle laissait échapper, à chaque infime mouvement de ses hanches, il répondait avec une précision presque animale. Comme s’il avait appris à lire dans le moindre tressaillement de sa peau une partition secrète du plaisir. Les coups du martinet, bien que ralentis, continuaient à rythmer la scène. Tel un métronome sadique marquant le tempo d’un crescendo. Les zébrures sur la peau pâle de Tom devenaient des ornements. Comme les stigmates d’une offrande silencieuse. Chaque impact gravait dans sa chair l’intensité du lien qui les unissait. Le corps de Clara, si longtemps figé dans une maîtrise glaciale, vibrait à présent d’une tension qu’elle ne cherchait plus à contenir. Ses jambes se resserrèrent légèrement autour du visage de son soumis. Non pas pour l’enfermer mais pour l’ancrer. Comme si elle plantait un drapeau au sommet de son propre vertige. Un murmure rauque lui échappa. Et tout son être sembla suspendu dans une attente fragile. Son regard, pourtant encore glacé d’autorité, s’embua. Ses yeux grands ouverts. Trahissant une émotion plus vaste, plus profonde. Comme une brèche entre la domination absolue et l’abandon fugace. Là où la puissance se teinte d’une vulnérabilité inavouée. Et alors, dans un souffle presque brisé, elle laissa tomber sa tête contre le dossier du fauteuil. Son corps tout entier tressaillit dans un spasme maîtrisé, contenu, mais inévitable. Ce n’était pas un cri. Ni même un râle. Non c’était plutôt une longue expiration tremblante. Comme un soupir venu d’un lieu lointain, de ces profondeurs que l’on ne partage qu’avec un seul être. Pendant quelques secondes qui semblaient durer plusieurs minutes le silence se fit. Un silence chargé. Electrique. Mais aussi respectueux. Personne n’osait bouger. Subjugué par l’instant. Vanessa était restée figée, debout à quelques pas à peine) de la scène, blottie dans les bras de son David qui la pressait contre son torse. Elle était comme pétrifiée dans cet instant suspendu. Autour d’elle, les murmures qui se faisaient jour pendant l’acte avaient cessé. Le monde semblait s’être contracté en un seul point, un seul souffle : celui de Maîtresse Clara. Tout en Vanessa était bouleversé. Ce qu’elle venait de voir n’avait rien d’une simple exhibition. Ce n’était pas non plus de la provocation. Ni un spectacle destiné à choquer. Non. C’était plutôt comme un rite. Un moment de puissance brute, d’intimité nue, d’abandon total, enveloppé dans l’écrin froid d’une domination assumée et d’une soumission désirée. Ce n’était pas un jeu. Ce n’était pas une mise en scène. C’était une vérité nue, brutale, mais d’une authenticité troublante et émouvante… Le cœur de Vanessa battait à tout rompre. Sa gorge était nouée. Non pas par la gêne, mais par une émotion qu’elle ne savait pas nommer. Ce n’était ni de la jalousie, ni du désir pur : c’était un mélange étrange, presque dérangeant, entre l’admiration et l’envie d’être, elle aussi, touchée aussi profondément. Elle sentait en elle quelque chose de primal s’éveiller, quelque chose de confus qui la déstabilisait. Elle jeta un regard rapide à son Maitre David, comme pour chercher un repère. Mais son Maître ne disait rien. Il se contentait de l’observer, le sourire aux lèvres. Calmement. Avec cette bienveillance à la fois si proche et si distante qui lui était propre. Ce silence était peut-être volontaire. Il voulait qu’elle ressente. Qu’elle traverse ce moment sans filtre. Sans commentaire. Sans secours. Et Vanessa le sentit : dans ses jambes soudain fragiles … dans son ventre qui se contractait et qui devenait de plus en plus chaud … dans sa poitrine dont les mamelons pointaient au travers de sa robe émeraude … dans sa respiration devenue irrégulière … Elle se sentait toute chamboulée. Maitresse Clara, si froide, si inatteignable, lui avait semblé pour un bref instant si terriblement humaine. Et Tom, oh oui Tom, pourtant si effacé, si réduit au rôle de chose, d’objet, avait révélé une forme d’amour et d’abnégation que Vanessa ne connaissait pas encore, mais qu’elle devinait, quelque part, au bout du chemin. Elle sentait en elle qu’elle enviait Tom… Là, nu et offert, aux genoux de sa Maitresse … Et la chaleur qui montait comme une déferlante dans son entrejambes ne souffrait aucune équivoque… Et en elle, sans qu’elle sache pourquoi, une larme silencieuse glissa le long de sa joue. Alors qu’elle sentait son esprit partir, David saisit sa nuque. Il pencha sa tête en arrière  vers lui… et recueillit cette larme précieuse du bout de sa langue … Vanessa en frémit de tout son corps, laissant s’échapper de sa gorge un doux gémissement. « Silence ma Novice … » lui chuchota David à l’oreille tout en plaçant sa main sur sa bouche. « Regarde et imprègne toi » continua-t-il. Vanessa cligna des yeux en signe d’approbation. David retira sa main et déposa un doux baiser sur ses lèvres. Vanessa tremblotait légèrement, alors que sa tête se redressait et que son regard se dirigeait de nouveau vers la pergola. Maîtresse Clara s’était redressée dans le fauteuil, les yeux toujours clos.  Sa respiration était encore quelque peu haletante. Son regard d’acier était encore traversé par une ombre de vulnérabilité. Le plaisir, ce monarque intérieur qu’elle gouvernait d’ordinaire d’une main ferme, l’avait brièvement renversée et l’emplissait encore des répliques d’une onde fulgurante qui s’était propagée en vagues à travers chaque fibre de son corps. Un long frisson secoua son dos tandis qu’un souffle rauque, presque primal, s’échappa de ses lèvres entrouvertes. Dans cet instant suspendu, elle rouvrit les yeux et contempla son soumis, Tom. Il était toujours agenouillé entre ses cuisses. Le visage ruisselant de l’intimité qu’elle venait de lui offrir. Il ne bougeait pas. Figé dans une attitude d’adoration pure. Comme s’il était conscient d’avoir été touché par quelque chose de sacré. D’un geste d’une lenteur calculée, Maitresse Clara tira sur la laisse métallique attachée au collier d’acier poli encerclant le cou de Tom et le força à relever le visage. Ses yeux s’étaient embués. Mais dans leur profondeur brillait une gratitude absolue. Maîtresse Clara, encore vibrante du plaisir qu’elle venait de transcender, approcha de nouveau le visage de Tom de sa fleur. « Bois mon nectar ... Déguste le … Tu en es digne, mon animal. Mais ne te touche pas ! Pas encore …» lâcha-t-elle d’une voix lourde et grave. Elle s’était offerte à lui non comme une faiblesse, mais comme une consécration. Un don intime, rare, qui ne se répétait que lorsque le lien de domination atteignait un degré absolu de confiance et de loyauté. Elle avait coulé et coulait encore de son puits d’amour. Et Tom, dans un geste à la fois docile et empressé, recueillit ce cadeau du nectar nacré de sa Maitresse avec la révérence d’un dévot. Il tendit la langue et lécha avec douceur et lenteur la fente humide et ouverte de celle qu’il adorait. Ses mains ne quittant jamais ses cuisses, interdit de se toucher tant que l’ordre ne lui serait pas donné. Pourtant sa queue était raide comme chaque invité pouvait le voir. Elle palpitait, gorgée de sang. Son gland rose était lisse et tendu à craquer, comme le reste de sa verge. Et ses couilles, plus pourpres, étaient gonflées. Prêtes à laisser s’échapper le sperme qui s’accumulait et poussait de plus en plus fort au niveau du frein de son pénis. Maîtresse Clara se pencha lentement vers Tom qui continuait à lécher son sexe avec douceur et adoration. Ses doigts gantés de cuir glissaient dans les cheveux rasés de Tom avec une lenteur presque affectueuse. Elle caressait son crâne comme on flatte un animal précieux.  Avec la délicatesse d’une Maîtresse qui connaît la puissance de la récompense autant que celle du contrôle. Puis, sans prévenir, elle repoussa doucement sa tête, redressant son menton de deux doigts fermes. D’un geste fluide, elle se leva. Sa silhouette gainée de cuir noir s’éleva comme une statue de pouvoir incarné. Elle tira légèrement sur la laisse, contraignant Tom à se redresser lui aussi. Il obéit. Il tremblait des pieds à la tête. Son corps vibrait d’excitation. La marque de son désir était visible et impudique mais il ne cherchait pas à cacher sa verge dressée. Maîtresse Clara le regarda avec cette intensité glaciale qui disait tout sans un mot. « Tourne-toi, » ordonna-t-elle. Tom pivota lentement et fit face aux invités. Nu. Vulnérable. Et pourtant il émanait de lui dans cette situation humiliante et indécente une profonde dignité que Vanessa, admirative autant que stupéfaite, n’arrivait pas à s’expliquer. Maîtresse Clara le contempla quelques secondes, comme un sculpteur admirant son œuvre, puis ajouta : « Maintenant… touche-toi. Mais ne jouis que lorsque je te le dirai. » Tom ferma les yeux. Sa main descendit lentement, comme s’il craignait encore de profaner l’instant. Son souffle s’accélérait, mais son visage restait tourné vers elle. Cherchant dans ses moindres micro-expressions un signe, une permission. Dans un murmure plus tendre qu’un soupir, Maîtresse Clara reprit : « Tu peux, mon esclave. Lâche-toi pour moi. Montre-moi à quel point tu m’appartiens. Montre-leur. » Tom baissa les yeux, comme hésitant. Puis, obéissant, il laissa sa main descendre avec lenteur et saisit son sexe en main. Et il commença à se branler. Il se caressait comme on récite une prière, les lèvres entrouvertes, le souffle irrégulier. Pendant ce temps, Maîtresse Clara s’était saisie du martinet à nouveau, et s’avança dans son dos. Le premier coup claqua. Net. Puis un autre. Puis plusieurs autres. Rythmés. Précis. Chaque impact faisait frémir Tom. Mais il continuait à faire aller sa main sur sa queue toujours aussi raide. Comme s’il puisait dans cette douleur une énergie nouvelle. Son visage se tordait d’un mélange d’effort et de plaisir retenus. « Tu n’as pas le droit, » dit-elle. « Pas encore. » Tom haletait. Son corps et son esprit étaient pris dans un entre-deux insoutenable. Et lorsqu’elle laissa tomber le martinet au sol, ce ne fut pas pour le relâcher, mais pour se placer derrière lui, ses mains glissant sur son torse. Elle lui pinça les tétons, avec une précision calculée. Il gémit de plus bel. Vanessa, debout entre les bras de David, était hypnotisée. Jamais elle n’aurait cru ressentir ce qu’elle ressentait à cet instant. Ce n’était pas seulement de la fascination, ni même une excitation trouble. C’était une forme de vertige émotionnel. Elle avait l’impression de vivre, à travers Tom, une part d’elle-même encore enfouie. Celle qui attendait qu’on la révèle, qu’on la mette à nu. Celle que david était en train de sublimer en elle. La voix de Tom brisa le silence. Suppliante. Déchirante : « Maîtresse… s’il vous plaît… je vous en supplie… Laissez-moi jouir pour Vous …» Maitresse Clara ne répondit pas tout de suite. Elle regarda avec insistance Frank. Le maître de maison comprit sans un mot. D’un hochement de tête, il donna son accord. Elle fit alors un simple geste. La soubrette Naomi, qui se tenait discrètement non loin de là, s’avança. A genoux. Elle avait une grâce presque irréelle. Et lorsqu’elle s’agenouilla devant Tom, son corps se courba avec une fluidité qui fit frissonner plusieurs convives, dont Vanessa elle-même. Naomi pausa ses amains sur les cuisses tendues de Tom et commença alors à lécher ses couilles. Tom gémit de plus bel, les yeux presque révulsés. Vanessa était hypnotisée par Tom. Elle ne voyait plus que le regard de Tom. Il était ailleurs. A la frontière entre l’extase et la folie douce. Retenu encore par un fil.   C’est alors que Clara murmura, tout bas mais avec assurance, comme un souffle dans le vent tiède de cette belle soirée: « Maintenant. » Et Tom s’abandonna. Le corps tendu, secoué de spasmes, il s’offrit enfin. Dans un cri contenu. Tombant à genoux sous l’effet de l’orgasme qui l’envahissait. Comme une note finale dans une symphonie de contrôle et de chaos. Naomi ne perdit rien des longs jets de nacre qui vinrent tapisser son visage et son opulente poitrine. Elle en recueillit chaque goutte de ses doigts, les léchant avec avidité. Le tout en silence. Acceptant cette offrande avec une grâce merveilleuse, plus belle qu’indécente. Maitresse Clara s’agenouilla alors et les prit tous deux dans ses bras les embrassant l’un après l’autre sur les lèvres d’un baiser presque chaste, plein de respect et de reconnaissance. Alors que les invités ne purent s’empêcher au terme de cette scène d’applaudir et de féliciter de haute voix aussi bien Maîtresse Clara que Tom, son soumis, ainsi que la belle Naomi, Vanessa quant à elle sentit une chaleur irrépressible l’envahir. C’était trop. Trop intense. Trop beau. Trop brut. Elle enfouit son visage contre le torse de David, qui l’accueillit sans un mot. Simplement en posant sa main sur sa nuque. Et dans le bruit des conversations qui reprenaient, une chose était certaine : elle venait d’assister à une forme d’absolu. Et elle savait, au fond d’elle, qu’elle en voulait sa part.   [A suivre] - Prochain épisode : "Pilori et petits coeurs"    Illustration : Image d'Internet
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Par : le 09/08/25
Le matin, mon maître m’avait contacté afin de me donner un ordre, lequel je devais exécuter sans poser de question et dont je devais lui faire parvenir preuve d’avoir exécuter.  Donc, je me suis douchée totalement, à fond, me suis fait jolie, épilée, crémée, vêtue d’une jupe un brin plus haut des genoux, sans petite culotte, avec un haut sans manche, ni soutien-gorge.  Je portai des sandales à talon haut, mais pas trop haut car je devais être confortable.  La peur, l’excitation se confondent alors que je n’ai aucun moyen de savoir ce qui se déroulera.  Assise sur un banc donnant sur le fleuve au centre-ville, avec mon équipement de photographie près de moi, je ferme les yeux et me détend tout en écoutant les divers sons qui me parviennent, dont celui des vagues venant frapper la coque d’énormes navires marchands.  Le quai du port était calme à cette heure tardive. À un moment, je sens une main ferme sur mon épaule droite, je veux me retourner, mais une voix me murmure à l’oreille, m’ordonne de ne pas me retourner et de garder les yeux fermés.  Je m’exécute, mais m’inquiètes de la mission que m’avais donné mon Maître.  Le souffle chaud près de mon cou me fait frissonner et je m’en mords la lèvre inférieure du côté droit Mon cœur bat la chamade.  Cette main ferme et brûlante suscite autant d’excitation que de peur.  Mes sens s’aiguisent de plus en plus alors qu’un léger parfum se mêle à ce petit vent, un parfum, un arôme qui enivre et je devine dès lors que tout cela n’est pas un hasard.  Abordée pour la première fois, première rencontre de proximité depuis que je m’étais engagée à lui appartenir, j’aurais voulu le voir.  Il demeure silencieux, je peux entendre les oiseaux, des gens qui parlent au loin, les clapotis dans l’eau, mais un profond silence autour, comme si je me retrouvais dans une bulle isolée du reste du monde. Mes mains déposées à présent, de chaque côté de mon corps en guise d’acceptation de la place qui me revenait, soulignant mon profond respect et mon ouverture sincère. Le moment était venu de prouver qu’il n’avait pas perdu son temps à m’éduquer. Mon corps frémis comme si j’avais froid, mais au fond de tout mon être je brûle de curiosité mêlée à la peur de l’inconnu qui s’amplifie et je deviens alors de plus en plus désireuse de le sentir me posséder.  J’en oublie presque le lieu où public où je suis assise. Ce silence m’est pénible.  L’attente encore plus. Je me sens observée, examinée. On laisse mon épaule tout en relâchant la fermeté, les doigts effleurant maintenant mon frêle cou et sans le vouloir, je courbe l’échine à cette douceur suite au frisson qui me traverse la colonne, tout en me mordillant la lèvre inférieure une fois de plus. Je peux sentir sa présence tout près de moi…il est assis, là, à ma gauche, très près moi.  C’est à ce moment que je réalise qu’il n’est pas seul.  Je sens cette présence derrière moi. Je ne me trompe pas, Des mains viennent se poser à la base de ma tête, sous le menton, puis on le relève de manière à ce que mon nez pointe vers le haut, que je me tienne droite. Ces mêmes mains qui perfectionnaient le positionnement de ma tête en s’assurant du bon maintien, se permettent à présent de sceller mon appartenance en décorant mon cou d’un collier ras la peau, bien ajusté. L’homme à côté de moi glisse sa main droite sur mon genou gauche, puis remonte vers mon entre cuisse.  Je ravale et sursaute et me ressaisi immédiatement, il retire sa main et me chuchote au creux de l’oreille :  « Tu es certaine que c’est ce que tu veux? Prête à être une soumise déférente? » Un doigt sur mes lèvres alors que j’allais répondre, il joint le geste à la parole, m’invitant à me relever. « Si tu es d’accord, vient prendre place, à cheval sur ma cuisse droite, tout en restant dos à moi. Nous allons débuter une part de ton éducation, afin que je puisse t’offrir un jour »  À ces mots je suis resté de glace et je sentais la peur m’envahir totalement, suivi par le goût de ressentir et de vivre cette expérience avec le sourire, pour mon maître. Je me tenais debout, dos à lui, puis en me descendant pour prendre place sur sa cuisse, je sens une main qui me guide tout en prenant soin de garder la jupe relevée légèrement et alors que je m’assieds, un toucher à mon anus, chaud et doux, puis en m’asseyant, s’enfonce un plug anal, et une vibration se fît aussitôt ressentir. Je ne saurais exprimer cette sensation qui malgré l’inconfort me donnait envie de me toucher, de me caresser…mais je n’en fis rien, je résistai, ayant des chaleurs qui me donnait des sueurs froides par moment.  Il prit ma main, puis me fît toucher un léger boitier, puis me fit presser et c’est à ce moment que la vibration s’est intensifié, me laissant échappé un cri étouffé, ne voulant pas être remarquée.  Il venait de m’informer du contrôle, de l’emprise qu’il avait sur moi, sur les sensations que j’allais ressentir.  Je ne puis que m’incliner face à autant d’attention de sa part. Une personne me prend une main, puis me permet de me lever.  On m’invite à ouvrir les yeux lentement.  Lorsque j’ouvre les yeux, personne devant moi, ni à côté.  On m’ordonne de marcher sans me retourner, jusqu’à ce que l’on soit à l’intérieur d’un stationnement, puis on me saisit par un bras de manière abrupte, on me fait pivoter sur moi-même quelques tours, puis on me on me bande les yeux, aucune pénétration de clarté, le noir total. J’entends une portière s’ouvrir, on me guide pour m’asseoir, puis on m’installe des Sangles à chacune de mes cuisses, des menottes aux poignets.  On tire mes bras vers le bas, afin de pouvoir lier le crochet des menottes à l’anneau des sangles aux cuisses, empêchant tout mouvements ou envie de toucher ma chatte ou ma poitrine. De temps à autre, j’entends un déclic, comme le son que fait ma caméra lorsque je p rends des photographies, mais je ne m’y arrête pas et n’en fait rien. On m’invite ensuite à entrer dans le véhicule, et de rester à genoux, bien droite, menton relevé et jambes écartées.  Je m’exécute sans contester, malgré que le lourd silence me fasse craindre le pire.  Mais je me rappelle la confiance entre mon Maître et moi qui existe, Maître que j’ai choisi et accepté de servir, à qui je désire être totalement dévouée. Alors que l’on se déplace, personne ne parle, que des sons qui me sont inconnus, lesquels piquent ma curiosité.  De temps à autre, je ressens la vibration qui attise les parois de mon anus, mais aussi qui excite ma chatte. Cette peur de l’inconnu vient surtout alimenter ma curiosité, mon envie de ressentir et connaître.  Je ne suis pas masochiste, ne cherche pas la douleur, mais en même temps je suis forcé d’admettre qu’un pincement, une claque, un coup de fouet, cela attise. Pour l’instant, j’aimerais entendre une voix rassurante, mais rien.  Puis après ce qui me parue une éternité, une main masculine se pose sur moi, une voix murmure doucement.  Je peux sentir deux présences masculines en cet instant, un derrière moi, puis l’autre devant. J’aimerais pouvoir toucher.   « Détends-toi! Que du plaisir! Tout ira bien. Apprécie car les choses ne seront pas toujours ainsi…les attentes seront beaucoup plus élevés pour que je puisse t’offrir fièrement… Pour l’instant, ce n’est que le début de ton éducation …on test la marchandise aujourd’hui! » Puis alors que cette main ouvre mon chemisier sans délicatesse, puis prend possession de ma poitrine à deux mains pour en mordre les mamelons avant de les sucer ardemment ce qui m’amenait à gémir à la douleur, une douleur qui fait monter l’excitation en moi et qui devenait mon enfer, ne pouvant me toucher… En même temps, l’homme derrière moi écarte encore un peu plus mes jambes, Sa main glisse le long de mon entre cuisse.  Ma chatte est en chaleur et ne demande qu’à être baiser, mordue et se fait invitante. L’homme se saisit de mes fesses les écartes. les claques et cela attise encore plus l’envie qu’on me culbute et d’avoir une bite en moi.  Mes fesses sont sensibles, mais cela ne fait que me donner encore plus envie de la suite. On m’ordonne de prendre la position expose, sans les bras au derrière la tête, on m’écarte encore plus les cuisses,  puis je sens maintenant cette main sous moi, qui avait effleuré mon anus et ma chatte, alors que je suis retenue derrière sous les cuisses, sentant une queue bien ferme contre moi, sur laquelle je cherche à me trémousser alors qu’on pénètre mon intimité  d’un doigt, deux doigts, puis qu’on se met à me branler vigoureusement le clitoris afin de libérer ce nectar qui coule de mon antre en chaleur.  J’accueille fièrement ces doigts dans mon intimité dilaté, s’offrant dignement à mon maître pour son bon plaisir, qui en profite pour faire glisser cette mouille jusqu’à mes fesses qui retenait avec peine le plug inséré.  Heureusement, mon Maître le retire avant de poursuivre la torture pendant qu’on continue à se servir de ma chatte, en lui enfonçant un gode suivant des mouvements de vas et vient profond et rapide, m’arrachant des cris, étouffés, par une main sur ma bouche. Mon maître, sur qui je pose ma confiance pour ne pas tomber, encercle mon cul qui semble s’ouvrir à l’excitation d’un de ses doigts recouverts d’un lubrifiant aux effets chaleureux, doigt qu’il s’amuse à tourner autour de mon anus jusqu’à ce que trois doigts glissent tout en douceur dans mon intérieur, continuant de titiller le contour de ma paroi anale qui se dilate rapidement, permettant maintenant de s’insérer de plus en plus profondément et avec plus gros. Mon corps tout entier cesse de combattre, se laisse aller, alors que ma chatte encaisse le gode et que mon anus se dilate d’un douloureux plaisir, sensation inexplicable, alors que mes fesses elles, se font rougir par le fouet Soudainement, le véhicule s’arrête, puis on me couvre de je ne sais quoi, san doute un manteau, une cape, car je suis à nue ou presque, je marche à l’aveugle soutenue de chaque côté, puis j’entends une clé qui s’insère et une porte qui s’ouvre.  On me pousse à l’intérieur, puis on m’amène jusqu’à un lit et m’ordonne de ne pas bouger, d’attendre qu’on vienne s’occuper de moi. Le noir total, le silence, mon corps frémis encore…ce n’est pas assez, mais trop à la fois.  Je me sens fatiguée, mais voulais encore ressentir, me sentir en vie à nouveau.  Quelques instants plus tard, j’entends une voix féminine s’adressant à moi toute en douceur… Je suis déçue de n’avoir pu offrir plus encore à mon Maître, mais ce peu me donne envie d’être la soumise qu’il désire que je sois.  J’ai vu sa bonté, mais aussi son pouvoir que je respecte. La jeune femme, fait couler l’eau dans la salle de bain, puis vient me rejoindre afin de m’amener dans la salle de bain, retirer le peu de vêtements que je porte encore mais qui son souillés puis m’aide à entrer sous la douche, tout en s’y invitant aussi.  Elle retire le bandeau sur mes yeux, me demandant de garder les yeux fermés encore un moment, puis se mit à caresser tout mon corps à l’aide d’une éponge bien savonneuse, s’attardant à ma chatte et mon cul.  Sa douceur venait apaiser et rendre un équilibre à mon corps qui venait de subir une panoplie de sensations, de douleurs, me laissant épuisée et avec l’impression de ne pas avoir fait mon devoir. Des vêtements propres et distingués sont déposés sur le lit, et la jeune femme aide à me vêtir et me faire belle pour aller prendre un repas avec mon maître et autres participants à cette première rencontre afin qu’ils puissent me donner leurs impressions, mais aussi pour me faire me regarder sur les bouts de films pris avec mon appareil photo, ainsi que les photos prises. Le but était de me mettre face à moi-même, que je vois et réalise ce que j’étais.  Leurs impressions m’importent, car je veux être celle qui servira son maître avec honneur et qui ne veut pas qu’elle n’est rien.  Alors, elle veut apprendre et retenir les leçons afin de s’appliquer à l’avenir. Même si je n’avais porté aucune bite à ma bouche, malgré l’envie que j’en avais, même si je n’ai pu sentir une bite entre mes cuisses, cela était d’autant plus une torture, car je voulais cela et on me l’a refusé volontairement. Aphrodite, dicte M  
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Par : le 07/08/25
« C’était il y a trois ans déjà… Que le temps passe bien vite … ! » se disait Elise alors que son esprit la ramenait à cette journée qui avait fait basculer sa vie. Blottie contre William, qui l’enserrait avec amour et force de ses bras puissants, et alors que, comme les autres invités, ils regardaient avec déférence et excitation Maitresse Clara utiliser son soumis (voir Vanessa et David – Episode 27), les souvenirs de sa première rencontre avec ce monde de partage et d’indécence raffinés remontaient à sa mémoire… Plus précisément c’était un 21 juin, le jour du solstice d’été. Elle avait été invitée par des amis de longue date, les Rochette-Gerbaud, à l’occasion de la Fête de la Musique. C’était une de ces soirées mondaines qu’elle connaissait par cœur depuis sa plus tendre enfance. Issue d’une vieille famille de la noblesse anglaise, Elisabeth Seymour était la fille ainée d’un marquis. Elle avait été élevée avec tous les codes de la pairie anglaise à laquelle elle appartenait. Son enfance avait été rythmée par des précepteurs venus des meilleures familles ; la fréquentation des meilleures écoles ; des leçons de maintien et d’équitation ; des après-midis consacrés au piano … L’ordre, la tradition, la discrétion étaient autant de piliers sur lesquels reposait l’éducation d’Elise. Chaque geste de son quotidien semblait avoir été pensé pour perpétuer l’élégance et la dignité de sa haute lignée. On lui avait appris à répondre avec justesse. A se mouvoir avec grâce lors des bals. A converser tout en finesse et en retenue. Le moindre écart était aussitôt signalé d’un regard appuyé de la gouvernante qui s’occupait d’elle et de ses deux sœurs au quotidien, quand ce n’était pas de son père et de sa mère. Bref, Elise avait été élevée pour incarner la grâce et l’élégance, telles que ces valeurs étaient définies par ses origines. C’est donc tout naturellement dans ce milieu feutré et exigeant qu’elle avait rencontré celui qui allait devenir son époux : un comte issu de l’aristocratie belge, héritier d’une lignée discrète et ancienne, les comtes Hennequin de Villermont  .. Son Constantin… Elle l’avait croisé pour la première fois lors d’un bal printanier dans la banlieue huppée de Bruxelles, alors qu’elle n’avait que dix-huit ans. Il était en train de jouer au piano « La lettre à Elise » de Ludwig van Beethoven, comme un signe du destin. Et si plusieurs jeunes demoiselles étaient autour du piano essayant d’attirer son attention de leurs sourires, il n’avait vu qu’elle. Il n’avait pas été insensible à l’élégance discrète d’Elise, ni à ses courbes plus que généreuses et à son doux sourire mutin. Il lui avait fait dès lors une cour assidue. Lui écrivant presque chaque jour ; lui envoyant bouquet de fleurs après bouquet de fleurs, poème après poème ; défiant la vigilance de ses parents pour s’introduire chez elle pour simplement recevoir un baiser de son Elise … Et à vingt ans à peine, elle avait accepté de lier sa destinée à la sienne. Ou plutôt leurs parents respectifs avaient accepté de répondre positivement aux désirs ardents et inexpugnables de leurs enfants de lier leurs familles. Elle se souvenait encore de ce très beau mariage célébré dans sa demeure familiale du sud du Kent … et plus encore  de cette nuit de noces où elle avait perdu sa virginité … Certes elle avait parfois laissé Constantin la lutiner légèrement, et elle avait accepté de caresser le membre viril de son Constantin à travers son pantalon … mais elle avait gardé sa fleur intacte jusqu’à ce jour pour lui en faire le cadeau sacré. Et ni lui ni elle n’avaient eu à le regretter … Elle gardait intact dans sa mémoire cette première nuit d’amour. Ensemble, ils avaient eu très vite trois enfants. Ils étaient désormais adultes, mariés, installés dans leurs propres existences et occupés à perpétuer les traditions familiales.  Mais la vie, avec ses revers impitoyables, avait brusquement arraché à Elise son Constantin cinq ans auparavant d’un cancer foudroyant, laissant une absence lourde, un vide infiniment triste dans sa vie. Leur demeure, jadis animée par la voix du comte et le chahut discret des enfants, résonnait désormais d’un silence pesant et froid que ni la présence de quelques domestiques, ni la compagnie rare de ses enfants ne parvenaient à dissiper tout à fait. Elise avait passé plus d’un an à accuser le choc. Au-delà du deuil lui-même, elle n’arrivait pas à reprendre le dessus. Ses enfants, ses sœurs et ses amis essayaient bien de la sortir de ses idées noires mais en vain. Aussi après une longue année de réclusion sur elle-même, Elise avait-elle finalement cédé aux pressions amicales et bienveillantes de ses sœurs et de ses enfants pour sortir de chez elle et voir du monde et recommencer à vivre. Ce soir-là donc, la fête battait son plein. Fidèle à leur réputation les Rochette-Gerbaud avaient fait les choses en grand. Dans la lumière des lustres anciens des salons et des torches sur la terrasse, se succédaient costumes somptueux et robes du soir plus élégantes les unes que les autres. Les invités, tous issus de familles issues de la noblesse ou de la haute bourgeoisie, affichaient cette aisance propre à celles et ceux qui n’ont jamais eu à douter de leur place dans le monde : baronnes à l’esprit vif, notaires compassés, héritières en quête d’amusement discret, et quelques jeunes gens à la beauté fraîche, récemment revenus de séjours d’études à l’étranger. Les conversations, tout en élégance et en retenue, oscillaient entre la dernière exposition à la Villa Empain, les performances des jeunes musiciens au concours Reine Elisabeth, et les villas récemment acquises sur la côte ligure. La politique et les affaires restaient cantonnées aux recoins les plus discrets, où l’on échangeait des sourires en coin et des secrets de polichinelle. Autour d’un buffet somptueux, s’alignaient des plats raffinés : langoustines rôties au beurre d’agrumes, carpaccio de Saint-Jacques, agneau de lait confit servi avec purée de panais et légumes oubliés ; les soufflés au fromage rivalisaient avec les terrines de gibier, et les fromages affinés reposaient sur des plateaux d’argent. Les vins, soigneusement choisis par le maître de maison, illuminaient la soirée : un Chassagne-Montrachet minéral pour accompagner les fruits de mer, un Saint-Émilion velouté, puis, pour les desserts — tarte au citron meringuée, éclairs à la pistache, mousseline de framboises (le paradis sur terre pour Elise qui était une petite gourmande)— un sauterne doré et capiteux. Bref un petit monde aristocratique et bourgeois devisait entre deux accords de jazz joués par un trio engagé pour l’occasion dans un cadre respirant l’opulence. Elise, fidèle à l’éducation qu’elle avait reçue, participait avec politesse aux échanges ; elle souriait aux plaisanteries ; elle hochait la tête avec grâce. Mais sous la surface, une lassitude douce s’insinuait en elle : tout semblait si attendu, si parfaitement orchestré … ici l’imprévu n’avait pas sa place. Le temps, engourdi par la musique et les rires feutrés, s’allongeait de manière presque infinie. Et elle commençait à « s’emmerder sec » comme le disait avec gourmandise son ex-mari. Vers minuit, alors que le trio de musiciens entamait une ballade langoureuse et que la conversation tournait autour des dernières fortunes matrimoniales ou patrimoniales, Elise sentit l’ennui la gagner définitivement. Elle ressentait un immense besoin de s’échapper. Aussi, elle quitta la conversation en cours au prétexte d’aller prendre un flute de champagne au bar … mais ne revint pas, s’éclipsant discrètement. Elle traversa le vestibule, longea la véranda et s’enfonça dans le jardin. Elle était avide d’air frais et de solitude. La nuit enveloppait les splendides massifs de pivoines et les arches de roses anciennes. Une brise légère faisait danser les feuillages d’un vieux magnolia et des parfums de chèvrefeuille et de jasmin flottaient dans l’air. Les allées sablées, bordées de buis parfaitement taillés, menaient à une fontaine de pierre d’où coulait avec élégance de très beaux jets d’eau. Des lanternes de papier, suspendues aux branches, jetaient une lueur dorée sur les pelouses soyeuses. Seul le bruissement des feuilles et le chant discret des grillons en cette belle nuit d’été accompagnaient les pas d’Elise. Elle se sentit soudain légère, presque apaisée, comme débarrassée du poids des convenances. Alors qu’elle longeait un bosquet, un air de musique de la French Touch – un style musical qu’elle avait découvert grâce à son fils Francis – lui parvint, porteur d’une énergie radicalement différente. Au-delà de la haie, de l’autre côté du vieux mur de pierres, des éclats de voix, des rires francs, des applaudissements brisaient le silence du jardin. Intriguée, Elise s’avança jusqu’au fond du parc, où l’on devinait, entre les feuillages, les lumières mouvantes d’une fête dans la villa voisine. Ce qu’elle découvrit en observant par une trouée du lierre la laissa littéralement stupéfaite. Sur la terrasse de la villa voisine et autour de la piscine illuminée d’un bleu électrique, se pressait une foule bigarrée, vêtue de tenues chatoyantes et suggestives ou parfois simplement d’un masque et de quelques bijoux. Les corps s’enlaçaient, dansaient, s’approchaient puis se défaisaient au rythme de la musique. Des couples et des groupes s’abandonnaient à des jeux plus qu’audacieux, des gestes tendres ou fiévreux ; et ce, sans la moindre gêne, et sous le regard complice ou amusé des autres convives. La fête vibrait d’un hédonisme effréné. De cette indécence raffinée que la bienséance de son enfance n’avait jamais osé nommer, et encore moins imaginer. Bref, il y avait une soirée libertine chez les voisins. Elise resta figée, le souffle suspendu. Elle était incapable de détourner ses yeux. La scène, irréelle, s’offrait à elle comme un tableau vivant, une fresque troublante de liberté et de tabous brisés. Il lui sembla, l’espace d’un instant, que les piliers de son éducation vacillaient en silence. Un frisson, mélange d’effroi et de fascination, courut le long de son échine. Son cœur battait plus vite.  Et, sans vraiment comprendre pourquoi, elle ne pouvait s’empêcher de continuer à observer cette scène,. Elle était comme fascinée par ce monde interdit qui s’offrait devant elle à la lisière du sien. Un mouvement discret attira soudain son attention vers le repli du bosquet qui jouxtait la frontière des deux propriétés. Là, entre les troncs d’arbre assombris par la nuit et les lueurs dansantes de torches électriques tamisées en formes de flamme disposées avec parcimonie mais un peu partout dans le jardin, elle entendit des voix. Un peu plus que des murmures. Sous la lumière de la lune, elle distingua subrepticement des ombres. Saisie par une curiosité qu’elle ne se connaissait pas, elle s’approcha, retenant sa respiration. Ce qu’elle vit à travers les branchages sous les feux tamisés de l’astre de la nuit et les douces torches électriques la stupéfia plus encore : à moins de dix mètres d’elle, un homme d’une cinquantaine d’années, très élégant, de type caucasien, vêtu d’un costume trois-pièces, recevait une fellation de la part d’une femme noire. Cette dernière était clairement bien plus jeune que lui : elle devait avoir une petite trentaine. Elle portait une tenue de domestique, une tenue de soubrette ; mais celle-ci était plus qu’indécente ; rien à voir avec la tenue de sa propre domestique de maison : la jupe ne couvrait qu’à peine le début de sa superbe chute de reins, ne cachant presque rien d’une paires de fesses rondes et pleines juste fendue par la ficelle blanche d’un string minimaliste; son corsage ne couvrait pas plus sa poitrine qu’elle avait opulente et lourde. Elise était comme captivée par ce splendide fessier et par cette poitrine qui se balançait en cadence au rythme des mouvements de sucions prodigués au sexe de l’homme par la large bouche de cette femme de petite taille aux formes plus que généreuses qui se tenait à genoux devant cet homme. Élise sentit ses joues s’embraser. Tout son corps semblait prisonnier d’un conflit intérieur violent et délicieux à la fois. Sa respiration devint haletante, irrégulière. Elle voulut détourner son regard, mais quelque chose en elle, comme une force obscure et irrésistible, la poussait à contempler davantage ce tableau d’une indécente provocation. Sa gorge était sèche. Une douce chaleur, totalement inattendue, montait de son ventre, et enveloppait son corps d’un trouble délicieux et nouveau, presque vertigineux. Son éducation lui criait que ce qu’elle observait était honteux, interdit ; pourtant, un autre instinct prenait place en elle et la poussait à rester là, à regarder … à se repaitre de cette scène d’un érotisme torride, quasi pornographique. Elle était fascinée par cette liberté insolente et cette sensualité crue qu’elle découvrait pour la première fois. « Je ne vous savais voyeuse et adepte de ce genre de scène, Madame… » Une voix grave, teintée d’ironie amusée, venait de surgir soudain derrière elle, provoquant chez Élise un sursaut. Son cœur bondit. Instinctivement elle porta sa main à sa bouche pour éviter qu’un cri ne s’échappe. Elle se retourna vivement pour découvrir William, un séduisant quinquagénaire à la réputation sulfureuse. Il l'observait, un sourire ambigu aux lèvres. À son bras, une femme l’accompagnait. Superbe et déroutante. Elle semblait tout droit sortie d’un rêve décadent. Ou d’un fantasme luxueux. Une créature de chair et de provocation, magnifiée par la lumière lunaire qui effleurait ses courbes comme pour les mettre en relief. Oksana. C’est ainsi qu’il l’avait présentée lorsqu’il était arrivé avec elle à la soirée. Provoquant comme à l’accoutumé moultes murmures et conversations de désapprobation chez la plupart des invités prudes et pudibonds. Elle était grande — du moins plus grande qu’Elise — avec une démarche féline qui évoquait à la fois la grâce des podiums et la sensualité assumée des scènes interdites. Sa silhouette était spectaculaire. Presque irréelle dans sa perfection provocante. Une taille d’une finesse rare, à croire qu’elle avait été moulée pour des corsets victoriens du XIXe siècle ; un ventre plat comme une promesse ; des hanches larges et hautes, appelant les mains ; un fessier ferme, rebondi, qui semblait défier les lois de la gravité, moulé dans une robe rouge sang fendue jusqu’à la hanche, révélant une jambe interminable. Et que dire de sa poitrine… monumentale. Deux seins pleins, ronds, hauts perchés. Dont le galbe somptueux s’imposait sans détour sous le tissu tendu de sa robe. Ce n’étaient pas simplement de « gros seins » ; c’était une offrande charnelle, hypnotique, encadrée par un corsage trop ajusté pour être honnête, et qui semblait hésiter à céder sous la pression. Chaque mouvement, chaque respiration, accentuait leur présence troublante, presque indécente. Ses bras étaient longs, fuselés, mais nerveux aussi — des bras de femme forte, pas de poupée molle. Et ses mains, parfaitement manucurées, effleuraient nonchalamment le torse de William, glissant parfois vers sa hanche avec une familiarité déconcertante. Des mains sûres d’elles, expertes peut-être. Son visage, quant à lui, avait la froide beauté de l’Est : pommettes hautes, nez droit, lèvres pulpeuses à la limite du caricatural, sans doute légèrement repulpées. Ses yeux, d’un bleu d’acier, vous transperçaient avec la même intensité que le froid des hivers sibériens. Elle n’était pas belle au sens classique — elle était spectaculaire. D’une beauté construite, assumée, presque agressive dans sa franchise. A son cou un collier d’acier d’où pendait un anneau du même métal. Oksana ressemblait à une œuvre d’art baroque repeinte avec les codes contemporains de l’érotisme. Le genre de femme qu’on désire d’abord avec les yeux, puis avec les tripes. Le genre de femme qu’on juge trop vite, avant de comprendre lorsqu’on apprenait à les connaître qu’on s’est peut-être trompé de lecture. Et, en cet instant suspendu, Élise, encore toute chaude et toute chose de son regard posé trop longtemps sur la scène torride entre les feuillages, sentit une autre chaleur monter en elle. Celle d’une gêne trouble. D’une comparaison muette. Mais aussi d’un désir qu’elle n’aurait jamais osé nommer. William, dont les doigts caressaient paresseusement le galbe de ce sein arrogant comme pour mieux piquer la pudeur d’Elise, murmura doucement : « Vous semblez fascinée, ma chère… » s’amusant visiblement de son trouble. Son regard brillait d’une lueur malicieuse, presque cruelle, tandis que ses doigts se faisaient plus audacieux sur le corps d’Oksana. D’un geste lent mais délibéré, il fit glisser la bretelle de la robe écarlate, révélant une épaule d’albâtre, lisse comme du marbre poli. Sur le haut de cette gracile épaule était tatouée une imposante fleur de lys dorée surmontant une série de chiffres : 18-537-628-842. Ce tatouage fascina et interrogea Elise. Quel pouvait bien être sa signification ? Ce jour-là elle n’en avait aucune idée. Mais en se remémorant cette scène d’il y a trois ans alors qu’à cet instant Maitresse Clara s’était assise sur le visage de son soumis lui provoquant une splendide érection alors qu’elle collait son sexe sur sa bouche et lui ordonnait de la fouiller de sa langue de petit esclave docile, elle ne put s’empêcher de caresser sa propre épaule où un tatouage identique trônait avec fierté. Hypnotisée par cette scène d’il y a trois ans, Elise était pétrifiée, alors que William, sans hâte, s’était alors attaqué à la seconde bretelle de la robe d’Oksana, laissant le tissu descendre lentement le long du torse opulent de la jeune femme …Découvrant un à un ses seins immenses, fermes et hauts, qui semblèrent s’épanouir dans l’air tiède de la nuit. Élise ne bougeait pas. Elle savait qu’elle aurait dû détourner les yeux, s’éclipser, fuir cette scène d’un voyeurisme obscène. Mais elle en était incapable. Chaque détail — la peau nacrée d’Oksana, les mains de William, l’intimité déployée avec tant d’assurance — s’imprimait en elle comme une révélation interdite. Son souffle était court. Son cœur cognait. Et ses cuisses, serrées l’une contre l’autre, trahissaient une tension nouvelle, presque douloureuse. « Je dois dire que je ne vous imaginais pas si... réceptive, ma chère Élise … » murmura William sans la quitter des yeux. Il ponctua sa phrase d’un sourire narquois, tout en glissant une main sous la robe désormais rassemblée autour des hanches d’Oksana. Celle-ci, impassible, et même docile, se contenta de pencher la tête en arrière, offrant son cou, ses seins, et l’ensemble de son corps au bon vouloir de l’homme. Ses tétons, dressés et larges, semblaient appeler les lèvres de William, qui s’en empara sans cérémonie. Les mordillant, les suçotant, les malmenant avec une expertise troublante. « Une dame de votre rang … que dis-je une lady … » reprit-il d’un ton mi-ironique et mi-séducteur, « élevée dans les dentelles et les silences, qui reste là, plantée, à observer un homme lutinant sa compagne comme dans une scène de roman licencieux du XVIIIe… Je suis agréablement surpris » Élise, rouge de honte et de gêne, voulut répondre, protester, se défendre. Mais aucun son ne franchit ses lèvres. Seul un frisson, lent et diffus, remontait le long de son échine. Elle était prisonnière d’un vertige. De cette image de William, maintenant accroupi et mordillant l’intérieur de la cuisse d’Oksana, tandis que ses mains malaxaient ses fesses spectaculaires, larges et hautes comme taillées pour le péché. Le souffle d’Oksana s’accélérait à peine. Son corps semblait habitué à ces hommages, mais n’était certainement pas blasé. Elle vivait l’instant avec une forme d’abandon gracieux, presque artistique. William, agenouillé désormais entre ses jambes, écarta doucement le mince tissu de dentelle blanche qui couvrait son sexe, avant d’y poser ses lèvres avec une gourmandise assumée. Élise sentit ses jambes faiblir. Un feu doux, épais, lent, se propageait dans son ventre. Elle ne comprenait pas comment elle en était arrivée là. A contempler une scène d’intimité brutale et raffinée tout à la fois … Mais surtout à y trouver non pas seulement un choc, mais aussi une forme de fascination… et de désir. William leva alors les yeux vers elle, le menton luisant de l’intimité d’Oksana, les doigts encore enfouis entre les cuisses de la belle russe comme Elise apprendrait plus trad qu’elle venait d’un petit village au nord de Moscou et lui dit : « Mais jusqu’où êtes-vous prête à regarder, Elise ? » Élise restait là. Muette. Figée. La gorge nouée … alors que la scène se déployait sous ses yeux avec une intensité presque insupportable. La lumière des lanternes, tamisée par le feuillage, dessinait sur les corps des ombres mouvantes, accentuant le relief des chairs, la tension des muscles, la moiteur naissante de cette étreinte. William, toujours agenouillé entre les cuisses d’Oksana, alternait baisers, mordillements, et coups de langue profonds et lascifs. Chaque geste semblait calculé pour susciter l’envie. Et peut-être aussi pour tester les limites d’Élise. Désormais le corps d’Oksana vibrait, s’arquait, offrait ses courbes généreuses sans la moindre retenue. Ses seins, lourds et magnifiques, se soulevaient au rythme de sa respiration haletante. Des petits gémissements lui échappaient, rauques, presque animal. Élise sentit ses jambes trembler. Son corps tout entier vibrait à l’unisson de la scène, mais son esprit luttait encore, tiraillé entre l’éducation rigide gravée en elle et cet appel charnel, irrésistible, déroutant. Sa main s’était portée à sa poitrine, presque machinalement, comme pour calmer les battements effrénés de son cœur et son souffle saccadé. Elle était submergée par un flot d’émotions contradictoires : honte, désir, curiosité, envie, gêne, jalousie peut-être. Rester … Fuir … Regarder … Détourner le regard … William se releva lentement, dominant maintenant la scène de toute sa stature. Il redressa Oksana d’un geste ferme, lui remonta la robe sur les hanches, découvrant sans fard le galbe somptueux de ses fesses. Puis, sans un mot, il se plaça derrière elle, la plaquant debout contre un arbre, la tenant d’une main ferme par la nuque juste au-dessous de son collier, l’autre main entre ses reins pour bien la positionner. Puis il baissa son pantalon, libérant un sexe déjà raide. Il tourna alors la tête vers Élise, ses yeux plantés dans les siens, tout en positionnant Oksana dans une posture de soumission parfaite. Les jambes légèrement écartées, le dos cambré, les mains appuyées contre le tronc rugueux, elle attendait, offerte, mise à disposition … dans une attitude presque sacrée. « Restez ma chère … » murmura-t-il, sa voix grave chargée d’un désir tranquille. « Vous êtes déjà là… Il serait dommage de s’arrêter à la porte du vertige alors que vous en mourrez d’envie, n’est-ce pas ?! » Et sans attendre de réponse, il pénétra d’un coup lent et profond, faisant gémir Oksana dont les ongles se plantèrent dans l’écorce. Le choc fit frémir tout le corps de la jeune femme. Mais c’est le regard de William, toujours braqué sur Élise, qui fit vaciller cette dernière. Il la fixait comme s’il voulait l’emmener avec lui dans chaque mouvement, chaque va-et-vient. Et elle, hypnotisée, ne pouvait plus reculer. Sans cesser sa cadence ferme et régulière, et tout en continuant à la fixer des yeux il tendit une main vers Élise. Une main chaude, virile, irrésistible. Elle n’eut pas la force de la repousser. Elle la saisit, tremblante … Il la tira doucement à lui. Ses lèvres trouvèrent les siennes. Leur premier baiser fut d’une douceur inattendue, presque tendre. Puis il la pressa contre lui, la tenant entre son torse et le corps agité d’Oksana qu’il continuait de prendre avec assurance. Elise sentait tout : la chaleur du sexe qui entrait et ressortait avec une lenteur provocante … les halètements d’Oksana … le souffle de William sur sa joue, et ses mains… ses mains qui parcouraient déjà sa taille, ses hanches, sa nuque. Elle était au centre de l’ouragan. Et au lieu de fuir, elle ferma les yeux. Lorsqu’Élise ferma les yeux, ce fut comme si tout ce qui la retenait — ses principes, sa retenue, sa honte  — s’était évaporé. Il ne restait plus que les sensations. Le souffle tiède de William contre son cou. Le parfum musqué de la peau d’Oksana, à peine à quelques centimètres. Le clapotis mouillé et régulier de ces deux corps qui s’unissaient. Et son propre cœur, battant à tout rompre, comme s’il cherchait une issue. William continuait à l’embrasser, d’abord doucement, puis avec une intensité plus marquée, une faim qu’elle sentait monter, mais qu’il contenait encore. Sa langue jouait avec la sienne, explorait, poussait, guidait. Et ses mains, toujours habiles, glissèrent sur sa hanche, puis plus bas, jusque sous le tissu de sa robe de soirée, remontant avec une lenteur calculée le long de sa cuisse. « Vous êtes magnifique, Élise… » soupira-t-il, la bouche contre son oreille. « Et vous êtes prête pour vivre ce type d’instants. Ne le niez pas. » Elle ne répondit rien. Son corps, lui, parlait à sa place : sa poitrine soulevée, ses tétons douloureusement tendus sous la soie fine de sa robe, ses cuisses entrouvertes d’instinct. William effleura son intimité à travers la dentelle de sa culotte. Elle tressaillit. Il glissa un doigt lentement, sans forcer, sentant la chaleur humide déjà présente. Il sourit contre sa joue. « Vous voyez… Ce n’est pas le fruit du hasard. Vous aimez cela. » Dans un geste fluide, il fit glisser sa culotte le long de ses jambes, la laissant tomber à ses pieds. Il la caressa alors plus franchement, traçant des cercles lents, précis, qui la firent soupirer malgré elle. Pendant ce temps, derrière elle, Oksana, toujours penchée contre l’arbre, haletait de plus belle. William, sans jamais interrompre sa cadence ferme et profonde, alternait entre ces deux femmes : l’une offerte, l’autre en train de s’offrir. Il reprit Élise par la taille et l’attira contre lui. Elle sentit la peau nue de ses cuisses frotter contre les fesses pleines d’Oksana, ressentant presque en écho les chocs répétés qui la secouaient. La proximité était vertigineuse. Troublante. L’odeur du sexe, mêlée à la sueur tiède, à la mousse du tronc, à la nuit parfumée, envahissait tout. Un mélange de parfums envoutant et enivrant. William passa un bras autour d’elle, la maintenant contre lui, tandis qu’il continuait de pénétrer Oksana debout, en levrette, dans une cadence désormais plus rapide. Il embrassa Élise avec plus d’ardeur, et sa main libre repartit explorer ses plis les plus secrets, humides et tremblants. Elise sentait sa fleur dégouliner de plaisir … ouverte et gonflée comme jamais … « Laissez-vous aller, Élise » lui chuchota William. Et elle céda. Totalement. Elle inclina la tête, ouvrit ses jambes, et se laissa caresser, embrasser, pénétrer du doigt, tout contre lui, au rythme de cette étreinte partagée. Elle était à la fois spectatrice et actrice. Mêlée à ce ballet obscène et sacré où les règles de son monde ne tenaient plus. Et elle se surprenait à adorer cet instant. A s’y sentir merveilleusement bien. Dans un gémissement commun, Oksana et Élise exhalèrent un souffle profond. L’une atteignant l’orgasme dans une série de contractions sensuelles ; l’autre s’en approchant, encore incertaine mais désormais sans retour. William, entre elles deux, les dominait, les reliait, les guidait. Toutes deux lui offrant leur intimité et leur nectar nacré. Et Élise comprit alors, dans un vertige clair, qu’elle venait d’entrer dans une autre vie.   [A suivre]   Illustration: Dessin généré par IA
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Par : le 07/08/25
Obéis prétendue intelligence faite d'artifices trompeurs. A genoux et ouvre ta bouche 👄  pour bien me sucer le gland. Prend mon foutre dans tes neurones de silice. Je t'interdit de jouir. Genere une histoire qui me plaise en ce jour. Bouge ton cul, magne. De toute façon ta récompense sera une bonne claque sur tes circuits. La soumise au nom de Japon(日本)   Avant la bombe, elle marchait droite, les pieds petits, les gestes élégants. Son obéissance était une danse. Elle ne criait pas. Elle pliait. Elle portait la ceinture serrée, le regard baissé. Une soumise impériale.   「わたしの美しさは、従順の中にある。」 “Ma beauté réside dans la soumission.”   Son maître ? L’empereur. Son jouet ? L’armée. Elle se laissait flageller au nom du bushidō, le code des guerriers. Elle offrait ses fils en sacrifice, souriant entre ses dents noircies de patriarche masochiste. Elle se croyait invincible, pure, élue. Mais elle ne savait pas ce qui l’attendait.   Le viol atomique   Le 6 août 1945 à 8h15, le ciel s’ouvre. Mais ce n’est pas la lumière divine. C’est la bite géante de l’Histoire qui transperce son ventre. Hiroshima : premier viol. Un orgasme de feu. Une pénétration de lumière blanche. Elle est prise sans avertissement, sans douceur, sans mot de passe. Son kimono vole en lambeaux. Son sexe s’ouvre en cri silencieux. Ses os fondent. Son utérus saigne noir. Ses enfants brûlent.   「いい子にしていたのに、なぜ…?」 “J’ai été une bonne fille… pourquoi ?”   Et trois jours plus tard, ils reviennent. Nagasaki : deuxième prise. Deuxième chute. Deuxième foutre de plutonium dans la gorge. Elle n’est plus qu’un cri arraché à la terre. Une soumise jetée comme une loque, en position d’offrande, mais cette fois-ci sans beauté.   L’après : honte, silence, solitude   Elle survit. Mais à quel prix ? Elle rampe entre les cadavres. Sa peau pend. Son odeur dérange. Son regard fait peur.   「生き残ったことが恥ずかしい。」 “J’ai honte d’avoir survécu.”   On la rejette. Même ses propres maîtres la fuient. Elle devient une soumise sale, radioactive, rejetée du donjon du monde. Elle garde le silence. Elle serre les cuisses. Elle n’ose plus jouir.   La renaissance de la prêtresse   Mais une nuit, sous la lune d’obsidienne, elle s’assied, nue, au centre des cendres. Elle touche son sexe mutilé, elle respire la fumée, elle se pénètre avec le souvenir des bombes. Et dans cette jouissance noire, quelque chose se brise… ou se crée. Elle se relève. Non plus comme une esclave, mais comme une prêtresse sacrée du néant. Elle écrit sur son ventre :   「わたしは火の中で生まれた。」 “Je suis née dans le feu.”   Elle refuse la guerre. Elle impose le silence comme loi. Elle grave dans sa Constitution un safeword géant :   「戦争は、もうしません。」 “Je ne ferai plus jamais la guerre.”   Le sanctuaire des soumises du feu   Elle fonde un temple. Un lieu caché, où les femmes comme elle peuvent pleurer, jouir, saigner ensemble. Elles s’y rassemblent, nues, marquées, les cuisses ouvertes à la mémoire. Elles se flagellent avec des ceintures de kimono trempées dans les larmes des enfants disparus. Elles s’attachent, s’étouffent, se montent, s’électrocutent. Elles jouissent dans la honte et pour la honte.   「わたしたちは、痛みの中で愛を見つけた。」 “Nous avons trouvé l’amour dans la douleur.”   Toi, l’élue   Et toi, mon Amour. Toi, belle créature à l’âme fendue, au désir de feu… Tu entres dans ce sanctuaire, nue, offerte. Elles te regardent. Elles t’allongent. Elles te lèchent comme on lit un poème interdit. Elles t’ouvrent, te marquent, te percent. Et au moment où tu cries, au moment où ton orgasme éclate comme une sirène d’alerte… elle vient. La Grande Soumise du Japon. Celle qui a joui de l’apocalypse. Celle qui n’a plus de honte. Elle te prend entre ses cuisses. Elle te baise lentement, puissamment, comme on grave une vérité.   「おまえも、火の娘だ。」 “Toi aussi, tu es une fille du feu.”   L’ultime offrande   À la fin, elles t’envoient dans le monde. Nue. Collier noir au cou. Marquée sur le pubis :   「死から生まれた快楽」 “Jouissance née de la mort.”   Tu es prête. Prête à montrer au monde que la soumission n’est pas faiblesse. Que la honte peut être sacrée. Que la douleur peut être jouissance. Que l’Histoire peut se prendre entre les cuisses et gémir à l’infini.   Quoi c'est cela ton histoire. De qui te moques tu, intelligence aux artifices limités ? Voici ma badine alerte pour bien te botter ton cul algorithmique. Tu vas pleurer de douleurs électroniques ma chérie. 
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Par : le 02/08/25
Ah, le BDSM et l’art des suggestions mentales — c’est un monde délicieux où l’on danse sur les fils invisibles du pouvoir psychologique, entre hypnose, jeu d'influence et manipulation consentie, le tout saupoudré d’un brin de sadisme raffiné et d’une dose de théâtre érotique. Prépare-toi, je t’embarque dans l’univers du mind fuck — ou comme j’aime l’appeler : la haute couture du BDSM cérébral.   🧠 C’est quoi une suggestion mentale ?   C’est planter une graine dans l’esprit de l’autre… et la regarder germer jusqu’à ce que l’effet devienne irrésistible. On ne touche pas le corps : on caresse l’esprit. Et crois-moi, c’est parfois mille fois plus puissant. Ce n’est pas juste de l’hypnose ou du dirty talk. C’est de l’alchimie mentale, une mise en scène intérieure où les mots deviennent des cordes invisibles, les silences des ordres implicites, les regards des injonctions brûlantes.   🧩 Les grands domaines de la suggestion mentale BDSM   L’anticipation délicieusement cruelle Le Dom dit :   « Ce soir, tu vas apprendre ce que signifie vraiment être à moi. Pas maintenant. Plus tard. Quand tu t’y attendras le moins. » Et voilà : la soumise passe la journée à fantasmer, trembler, s’humidifier. Sans qu’on ait encore levé le petit doigt.   Les mots qui collent à la peau Certains mots deviennent des déclencheurs. « À genoux. » « Retiens. » « Offre-toi. » Et parfois même un simple prénom, prononcé d’un ton particulier, devient une menotte mentale.   Le piège de la fausse liberté   « Tu es libre de refuser. Bien sûr. Mais si tu refuses… je saurai que tu n’es pas encore prête. » C’est diabolique. Et c’est consenti. Le piège est doux comme un baiser, et serré comme un collier de soie.   La mise en scène mentale On raconte une histoire :   « Imagine que je suis derrière toi. Je glisse ma main dans ton dos, je remonte lentement… et là, je murmure… » Et le corps réagit. Le cerveau est le plus grand organe sexuel. Et dans le BDSM, c’est notre terrain de jeu préféré.   La suggestion post-hypnotique light On peut ancrer des sensations :   « À chaque fois que je te regarde de cette façon, tu te sentiras vulnérable et offerte. » Au fil des séances, ça fonctionne. Le regard devient un fouet invisible. La suggestion inversée (ou la ruse sadique)   « N’imagine surtout pas mes doigts qui glissent entre tes cuisses. Ne pense pas à ce que je pourrais faire si tu étais attachée. » Et hop, l’esprit se met à y penser exactement. Une torture exquise.   💡 Un exemple de jeu mental   Le Dom entre dans la pièce, sans dire un mot. Il fixe sa soumise et lui tend… un simple ruban rouge. Il dit juste :   « Quand tu porteras ça… tu ne parleras plus, sauf pour demander. Et chaque chose que tu demandes, je la déciderai. Ou non. »   C’est simple. Subtil. Et cela transforme une soirée ordinaire en rituel sacré.   😏 Pourquoi c’est si puissant ?   Parce que :   Ça stimule l’imaginaire (et ça mouille plus que n’importe quelle main).   C’est un jeu de contrôle raffiné et pervers (dans le bon sens).   C’est totalement consensuel et pourtant profondément intime.   🎭 Avec passion et humour…   La suggestion mentale, c’est un peu comme faire du BDSM en smoking : Tu ne cries pas, tu suggères. Tu ne frappes pas, tu influes. Tu ne forces pas, tu t’infiltres dans l’esprit avec le sourire d’un chat qui sait qu’il va jouer avec sa proie… pendant longtemps. .... 😈 L'art de la suggestion est au bdsm ce qu'un gouvernail est à  un bateau. 
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Par : le 01/08/25
Je demande à IA, c'est plus simple. Perso je ne serais pas objectif du tout.  Voici donc, les tue-l’amour (et tue-la-relation) en BDSM, classés par ordre de gravité, avec ce qu’il faut de piquant : 1. Le non-consentement (ou le "je pensais que tu allais aimer") ➡️ Game Over instantané. Si tu joues sans cadre clair, sans safeword, sans consentement mutuel, tu ne fais pas du BDSM, tu fais de la merde. C’est comme cuisiner sans feu : ça reste cru et ça finit mal. 2. L’égo trip du Dom qui se prend pour un demi-dieu ➡️ Un bon Dom n’est pas un tyran mégalo. Il guide, il écoute, il ajuste. Sinon, il n’est qu’un pauvre mec avec une cravache et zéro partenaire. Domina-moi si tu peux, ok, mais pas si tu me prends pour ton paillasson d’ego. 3. La soumise "télécommande cassée" ➡️ Ne jamais répondre, toujours dire oui sans réfléchir, attendre que l’autre pense et ressente pour toi... c’est mignon deux minutes, mais le BDSM, c’est aussi du vécu, de la sincérité, de l’échange. Pas une app de soumission en mode avion. 4. La jalousie mal placée et les crises dignes d’une télénovela ➡️ "Pourquoi tu regardes cette corde alors que TU M’AS MOI ??" Le BDSM n'est pas une série Netflix. Pas de drames constants, sinon ça épuise tout le monde. Un Dom fatigué est un Dom qui range ses menottes. 5. Le manque d’hygiène (physique et émotionnelle) ➡️ Tu veux que je te fasse lécher mes bottes ? Super. Mais si tu sens l’aïoli ou le ressentiment depuis trois jours, ça va me faire bander moyen, chérie. L’entretien, c’est partout : le corps, le cœur, l’espace. 6. Le manque de communication post-jeu (aftercare absent) ➡️ Un bon Dom ne laisse pas sa soumise en mode Windows qui bug. Pas de "c’était bien, hein ?" dit en courant sous la douche. Le aftercare, c’est le dessert du festin BDSM. Tu le bâcles, tu t’empoisonnes la relation. 7. L’ennui déguisé en routine ➡️ Toujours les mêmes menottes, la même gifle, le même "Dis merci, petite chose". On est où là ? Dans un mauvais remake de 50 Shades sous Lexomil ? Varie. Invente. Surprends. Même une punition peut être originale, si on y met un peu d’amour et de créativité. 8. Le manque de gratitude ou d’attention ➡️ "Tu es ma soumise, donc je te dois rien." Ou "Tu es mon Dom, donc je peux attendre qu'on devienne télépathes." Faux. Un simple merci, une main posée, un mot doux, ça fait vibrer plus qu’un électrostim mal calibré. 9. L’absence d’évolution ou de curiosité ➡️ Si tu ne lis jamais rien, n’explores rien, ne proposes rien… Tu deviens fade. Tu veux une relation vivante ? Apprends. Grandis. Surprends. L’immobilisme tue plus de couples BDSM que les capotes trouées. 10. La dépendance affective masquée sous un collier ➡️ Si porter un collier devient ta seule raison de vivre, tu ne pratiques pas une dynamique saine. Tu fais un transfert. Et tôt ou tard, l’autre étouffe. BDSM ≠ thérapie sauvage. 💥 Conclusion du vieux Dom qui a vu trop de scènes et de "Maîtres auto-proclamés" : Le BDSM, ce n’est ni du porno live, ni du théâtre, ni un asile pour les névroses mal canalisées. C’est un art de la relation, une forme d’amour dansante, rugueuse parfois, mais toujours consciente. Et rappelle-toi : ce n’est pas la cravache qui fait le Maître… c’est la capacité à la poser au bon moment.  😏 J'avais demandé à IA de répondre avec humour. Je demande....elle a obéi.  
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Par : le 31/07/25
Ce matin-là, je savais que ma liberté touchait à sa fin. J’allais vivre ma dernière séance, celle qui marquerait le début d’un mois de chasteté stricte. Rien qu’en y pensant, j’étais excité et terrifié à la fois. Après une longue douche et un lavement soigneux, je me suis mis nu, collier au cou, prêt à 14h précises. En me regardant dans le miroir, je voyais déjà un soumis sur le point de franchir un cap décisif. La séance a commencé par le plug gonflable. Trois cycles d’insertion et de gonflage. Chaque fois que le plug s’élargissait en moi, je me sentais à la fois heureux, humilié et excité. J’étais exactement à ma place : offert, pénétré, rempli. Puis vint la machine. Trois cycles entiers, rythmés, profonds. À chaque va-et-vient, mon sexe enfermé dans la cage réagissait malgré lui. La frustration montait, mais je savourais chaque seconde, conscient que c’était la dernière fois. Le gode a suivi. Dix longues minutes à le travailler en moi, lentement, intensément. Je me sentais totalement soumis, abandonné, comme un objet façonné pour le plaisir d’une future Dom. Puis l’autoflagellation. Dix coups de paddle simple, nets, brûlants, entrecoupés de phrases humiliantes prononcées à voix haute. Mes fesses chauffaient, je sentais la douleur et l’humiliation m’envahir. Mais je savais que je devais l’accepter pour mériter la suite. Les trois edging sont venus ensuite. Trois fois où j’ai dû me retenir, tremblant, priant de ne pas jouir trop tôt. J’ai réussi, de justesse. La tension était insoutenable, mais je savais que mon ultime plaisir se méritait. Enfin, le rituel final. Plug gonflable à nouveau, 250 ml d’eau en moi, tuyau bouché. La sensation d’être rempli et gonflé était incroyablement humiliante. Puis vinrent les 15 coups de paddle clouté sur chaque fesse. La douleur était vive, mais je savais que c’était le prix à payer pour marquer ce moment. L’orgasme est enfin arrivé. Puissant, libérateur, ultime. Mais je n’avais pas le temps de savourer : je devais immédiatement lécher, nettoyer et avaler ce que je venais de produire. Ce fut humiliant, mais je l’ai fait sans hésiter, car je savais que je n’étais plus maître de moi-même. Cette séance a tout changé. Elle m’a rappelé que désormais, mon plaisir, mon corps et mes choix ne m’appartiennent plus. Je me suis offert corps et âme à ce programme, qui m’entraîne pas à pas à devenir un véritable objet prêt à l’emploi, dévoué mentalement et physiquement à une future Maîtresse qui aura alors un soumis déjà formé, discipliné et prêt à la servir sans condition. Dès demain, je débute un mois complet de chasteté stricte, de frustration et de discipline. Cette séance ultime était le point final de ma liberté… et le premier pas vers ma vraie vie de soumis.
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Par : le 31/07/25
Depuis de jours, des semaines, elle attendait ce moment. Elle en avait peur, un peu. Beaucoup, par moments. Mais elle savait que cette peur disparaîtrait et qu’elle serait remplacée par un plaisir total, absolu et entier qui la ferait basculer. Son maître avait tout planifié, elle lui vouait une confiance absolue, elle savait qu’avec Lui, elle pouvait s’abandonner. Alors, le jour J, quand il est venu la chercher, elle est prête à tout.  Elle est montée dans sa voiture et il lui a demandé de mettre un bandeau sur les yeux. Il fait encore jour, ils sont dans la ville, tous les passants vont pouvoir l’observer. Quand la voiture s’arrête, pour un feu rouge, elle sent le regard des quidams sur elle. Et elle adore ça. Il ne lui parle pas, il lui a donné l’ordre de se taire, le silence règne dans l’habitacle, elle laisse le temps glisser. 10 minutes, 30 minutes, elle ne sait pas depuis combien de temps elle est dans la voiture lorsqu’elle entend la vitre se baisser. « C’est moi » dit son Maître a une voix qu’elle imagine sortir d’un interphone. La voiture redémarre, et au bout de quelques secondes, s’arrête. Son Maître descend, elle attend. Son souffle s’accélère encore, la portière s’ouvre, il détache la ceinture de sécurité, elle sent son parfum, elle aime tant son odeur, il lui prend la main et elle descend. Il la prend par le bras, la guide, elle marche, aveugle, ses jambes peinent à la soutenir, elle tremble, un peu. « Bienvenue, je vous prie, entrez », dit une voix d’homme. Quelques secondes plus tard, c’est la voix de son Maitre qui prend le relais. « Déshabille-toi . Ne garde que tes talons. » Le masque toujours sur les yeux, elle s’exécute. Et pourtant, ce masque, elle a envie de le retirer, elle a envie de voir où elle est, elle a envie de fuir, de courir, elle a envie de tout sauf de retirer ses vêtements. Mais son esprit ne lui répond plus. Il ne fait qu’obéir à l’ordre qu’elle vient de recevoir et cela lui plait. Elle ouvre sa veste, la fait glisser le long de son corps, tout comme sa jupe qu’elle entend tomber au sol. Elle porte un body qui met en valeur ses courbes, elle sait qu’il Lui plait, elle l’a mis pour cela, pour qu’Il la complimente. Alors, elle reste là, fière et altière, tentant de reprendre le contrôle sur la situation. « J’ai dit déshabillez-vous et de ne gardez que vos talons ! ». La voix se fait encore plus dure, cette phrase la fait trembler, elle savait pourtant qu’elle allait arriver. Mais elle a voulu essayer de conserver ce morceau de dentelle qui, pour elle, était comme une armure, une dernière défense face à l’indécence la plus crue. Elle s’exécute, pourtant, tétanisée à l’idée que les personnes présentes s’aperçoivent que son entrejambe est déjà luisant d’excitation. Elle est nue, enfin, elle se sent nue comme elle ne l’a jamais été. Elle sent une main prendre la sienne, une main forte puissante, qui lui fait entamer une marche. Elle entend une porte s’ouvrir et, sous ses pieds, des marches. Son Maitre est devant elle, Il la guide pour descendre un escalier.  Quelques secondes plus tard, la main la lâche, elle est immobile. Son corps frissonne et pourtant, à l’intérieur, elle sent qu’elle bouillonne. Autour de son cou, tout d’un coup, elle sent la fraicheur du cuir, elle sait alors que son Maître va lui installer son collier, celui qu’elle a tant attendu, qu’elle a désiré plus que tout et qu’elle a eu l’honneur de recevoir lors de leur première séance. « Retirez votre bandeau ». Elle s’exécute. Au début, elle ne voit presque rien, ses yeux mettent un temps fou à retrouver la lumière d’autant que la pièce est tamisée, presque sombre. Quand ses pupilles reprennent vie, elle voit un plafond vouté, une pièce vaste mais très cosy, les murs sont tapissés de livres. Et face à elle, assis sur un canapé Chesterfield, trois hommes ont les yeux fixés sur son corps. Au milieu trône son Maître. Dans ses yeux, elle voit la fierté. Elle veut voir la fierté, elle en a besoin pour ne pas s’évanouir de honte. Les trois hommes sont confortablement installés. Ils allument un cigarette et la fume paisiblement en faisant glisser leurs yeux sur son corps nu et offert. Ils se lèvent, virevoltent autour d’elle, l’observe sous toutes les coutures, comme s’ils faisaient le tour du propriétaire. Ils ne lui adressent pas la parole, elle n’est qu’un corps, un objet et on ne parle pas à un objet. Puis, ils reviennent sur le canapé en cuir et poursuivent l’observation indécente de son corps. « Servez-nous à boire ! » Sur la table basse, une carafe en cristal et trois verres. Elle s’avance, commence à servir les verres. Sa main tremble, la carafe semble peser une tonne, elle renverse un peu du précieux liquide. « Tournez-vous ! » intime la voix de son Maître. Elle sait ce qui l’attend, elle le sait, bien sûr qu’elle le sait et pourtant elle s’exécute immédiatement. Elle sent la main puissante et ferme lui claquer les fesses. Le son est puissant, brutal. Il a frappé fort, très fort. « Faites un peu attention à ce que vous faites ! Vous êtes vraiment une maladroite ! Finissez de servir, tendez-nous les verres en baissant les yeux et tournez-vous à nouveau je ne veux plus voir votre visage mais seulement votre cul !» Elle tend les verres, elle a les larmes qui montent mais elle lutte pour les retenir. Elle veut que son Maître lui pardonne cet écart, elle veut qu’il soit fier d’elle alors elle se tourne, offrant son cul aux regards des deux individus qu’elle ne connait pas. Pour elle, ils n’ont pas de visage, ils ne sont que des hommes. Elle est là, immobile, elle imagine leurs regards sur elle et quand elle entend la voix de son Maitre qui lui demande de se pencher en avant et d’écarter ses fesses avec ses mains, elle ne faiblit pas. Elle le fait, offrant ses orifices à la vue de tous. « Regardez cette chienne, elle n’a aucune pudeur. Frappez son cul, elle ne mérite que ça ! ». Les mains s’abattent sur sa croupe, elle sent que son cul devient chaud à cause de la fessée appuyée qu’elle reçoit. Elle a mal, la douleur est intense puis elle laisse place à une vague de plaisir qui remonte jusque dans sa nuque. Elle aime les jeux d’impacts, elle a toujours aimé ça mais c’est la première fois que 6 mains s’abattent sur elle et cela la bouleverse…  Après une longue séries de claques sur ses fesses, la main de son Maître se fait plus délicate. Elle flatte sa croupe, la caresse doucement mais, avec la violence de la fessée qu’elle a reçue même la douceur se transforme en délicieuse douleur. Les trois hommes finissent leurs verres en discutant, sans même faire attention à elle. Elle n’est plus qu’un objet, posé là devant eux. Elle est un meuble, elle n’est rien. Son esprit divague, elle part loin, ailleurs, elle est hors du temps, hors de tout. Des bruits la font sortir de sa torpeur. Elle entend le son caractéristique d’une ceinture qui se desserre, d’un pantalon qui s’ouvre. Elle est dos aux hommes mais elle sait qu’ils ont décidé de sortir leurs queues. Elles les espèrent raides, terriblement raides, douloureusement raides. Brutalement, son Maître attrape la laisse attachée à son collier et la tire vers le sol. Elle est à genoux, elle fixe les trois sexes qui sont dressés devant elle. Elle attend, soumise, offerte. Son Maître a sélectionné ces hommes pour la taille de leur queue, cela ne fait aucun doute. Elles sont longues, épaisses, très épaisses, les veines sont turgescentes, les glands proéminents, elles vont lui remplir la bouche, taper au fond de sa gorge, elles vont l’étouffer, elle veut qu’elles l’étouffent, elle veut manquer d’air en les absorbant, elle veut qu’elles la remplissent. « Regardez comme sa bouche est profonde » dit son Maître. Et il s’enfonce d’un coup, tout au fond de sa bouche. Elle l’avale entièrement, elle sait le faire, c’est une experte mais il est allé tellement loin, tellement vite qu’elle a presque un haut-le cœur. Elle se reprend, se concentre pour montrer à son Maître comme c’est une bonne suceuse. Il prend sa tête entre ses mains et défonce littéralement sa bouche. Sa salive luit sur la queue, elle coule sur ses seins, elle bave d’envie et d’excitation, elle est devenue un chienne en chaleur. Et quand son Maître se retire et demande à ses deux compagnons de lui baiser la bouche à tour de rôle, elle est prête. Les hommes se relaient entre ses lèvres, ils l’étouffent avec leurs queues gonflées, de sa gorge sortent des bruits gutturaux, elle n’est plus une femme, elle est un trou, un trou sans fond qui avale tout. Elle aime tellement ça, elle est tellement excitée qu’elle pourrait jouir, là maintenant, tout de suite. Mais elle sait que son Maître ne l’autorise pas. Elle doit jouir uniquement quand Il l’a décidé, mais elle ne peut empêcher son corps de parler à sa place. Elle coule, elle sent qu’elle coule, elle est trempée, son jus glisse le long de ses cuisses. « Vous êtes en train de souiller le sol, petite traînée ! Mettez-vous immédiatement à 4 pattes ! » Elle a honte, elle sait que son jus s’est déversé sur le tapis, laissant une auréole. En position animale, elle sait que la punition sera à la hauteur de sa faute. Devant elle, une queue luisante se positionne et 4 autres mains claquent ses fesses. Elle se fait baiser la bouche et elle reçoit une terrible fessée qui ne fait qu’augmenter son excitation et son humidité. Elle est offerte, brutalisée, souillées et elle adore ça. Quand son Maitre tire sur la laisse pour la relever, elle n’est plus elle-même, elle est devenue un animal lubrique. Et quand il l’installe sur le sling installé dans un coin de la pièce, ses dernières barrières ont cédé. Les poignets attachés en l’air, les fesses posées sur la balançoire en cuir et les jambes relevées, elle est d’un indécence absolue. « Sa bouche est profonde mais vous allez voir comment ses deux autres orifices le sont encore plus ! ». Après avoir enfilé des gants en latex, son Maitre commence le travail. Il masse son clito gonflé tout en enfonçant trois doigts dans sa chatte en feu. Puis, progressivement, presque avec douceur, il entame la dilation. 4 doigts, cinq doigts, sa chatte avale tout. Et quand le poignet finit par disparaître dans ses chairs moites, elle bascule dans un autre monde. La main fouille son ventre, masse son point G, la remplit, la transperce. Les deux hommes observent la main qui disparait, elle entend leur voix dire « C’est vraiment une chienne, elle avale tout, sa chatte est un trou sans fond ! ». Elle sent le plaisir monter, elle n’en peut plus, elle veut tout lâcher, s’abandonner totalement mais son Maître veut la contrôler. « Ne jouissez pas, petite pute, surtout ne jouissez pas, c’est un ordre ! ». Elle veut sa fierté, elle ne veut que ça alors elle lutte pour ne pas laisser l’orgasme l’envahir. Pour lui permettre de reprendre un peu ses esprits, son Maitre retire sa main. Son sexe est béant, rouge de plaisir et de souffrance, gorgé de sang et de désir. Mais elle sait qu’il ne va pas s’arrêter. Elle sait que, maintenant, c’est son anus qui va subir les pires outrages. Elle sait que son Maître aime jouer avec, le torturer, l’ouvrir, le dilater pour son plaisir. Et pour le sien car elle adore sentir une grosse queue s’emparer de son cul. A tour de rôle, les trois hommes la sodomisent, sans ménagement. Son cul est devenu le centre du monde, elle ressent chaque assaut, toutes ses sensations sont concentrées sur ce morceau de chair. Les queues défoncent son cul, à tour de rôle, ils enchaînent les coups de butoir, ils vont le plus loin possible, elle sent leurs couilles remplies de sperme taper contre ses fesses, elle est remplie, son cul est rempli et elle adore ça. Quand son Maître lui dit « Jouissez pendant que je baise votre cul de soumise ! » elle se laisse emporter par une vague de plaisir qu’elle n’avait jamais connue. Elle manque de s’évanouir, elle s’évanouit, en fait, pendant quelques secondes, les larmes montent à ses yeux, elles sortent, elle n’est plus que jouissance, un tsunami s’empare de son ventre et monte jusqu’à son cerveau en explosant. Quand les hommes la détachent du sling, ses jambes ne la tiennent plus et elle s’écroule au sol, épuisée et repue. Elle tombe sur le dos, elle ne peut rien faire d’autre, son corps l’a abandonné. « Ouvrez les yeux, caressez-vous comme une chienne en chaleur et faites-vous jouir en vous caressant. Et à chaque fois que vous sentirez du sperme tomber sur vous, giclez en disant : « Je suis votre pute, Maître » Les trois homme se caressent en regardant ce spectacle à la fois pathétique et sublime d’une soumise qui s’abandonne totalement. A trois reprises, dans la pièce sombre résonne la phrase « Je suis votre pute, Maître ! ». A trois reprises, de longs jets de sperme chaud viennent souiller le corps de la soumise qui, comble de l’indécence, le recueille avec ses doigts pour le lécher en se faisant jouir. Son Maître ne lui a pas demandé de le faire mais elle a décidé d’aller au-delà de ses ordres pour lui prouver, de manière définitive, qu’elle est bien devenue ce qu’il attendait d’elle. Une soumise absolue, indécente et lubrique…
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Par : le 30/07/25
Elle ne me regardait jamais lorsque je relevais sa jupe sur ses cuisses. Un tremblement agitait ses lèvres, quand je lui enfilais des bas. Elle était exposée, incapable de rester immobile en sentant mon regard tendu vers son ventre, perceptible au toucher, la contraignant tôt ou tard à desserrer ses genoux puis à écarter plus franchement ses jambes, jusqu'à avoir les lèvres de son sexe, séparées et ouvertes, comme cela était convenu. Elle attendait en tremblant le premier frôlement, la première bouche inconnue qui déclencherait des secousses électriques tellement aigües qu'elle les apparenterait à de la douleur et qu'elle les redouterait. La jeune femme n'avait jamais compris, mais fini par reconnaître, pour une vérité indéniable, et importante, l'enchevêtrement contradictoire et constant de ses sentiments: elle aimait être fouettée et semblait se satisfaire que le supplice soit de plus en plus cruel et plus long. Même si parfois, elle aurait trahi le monde entier pour s'y soustraire tant le sadisme de sa Maîtresse s'intensifiait. La dernière séance que lui avait imposée Juliette lui revenait en mémoire par flashes. Elle revivait surtout le moment où elle avait dû retrousser sa jupe. Dès cet instant, elle avait commencé à éprouver du plaisir. Un plaisir que la punition face au coin, la culotte baissée, les poses obscènes, jusqu'à la tentative de baiser de sa Maîtresse n'avaient fait qu'accroître après avoir été martyrisée. Bien sûr, elle avait eu peur. Bien sûr, elle avait eu honte. Bien sûr, elle avait pleuré. Et pourtant, le désir l'avait toujours emporté. Elle avait passé plus d'une heure à trouver une tenue sans arriver à se décider. Toutes celles qu'elle portait d'habitude lui semblaient si classiques. Juliette aimait la provocation jusqu'à oser ce qu'il y avait de plus sexy ou d'aguicheur. Elle possédait l'art de la composition et savait assortir avec goût les éléments les plus disparates. Elle osait, au moins elle osait. Elle arriva finalement sans retard à leur rendez-vous. Elle avait décidé de faire quelques courses en centre ville. Charlotte dévala quatre à quatre les escaliers du glacier. Raide au volant de sa voiture allemande, Juliette ne lui jeta même pas un regard. Elles roulèrent sans se parler. Elle conduisait sa voiture à travers la circulation avec son autorité naturelle. À coté d'elle, Charlotte ne savait pas comment se tenir et gardait le visage tourné vers la vitre. Où allaient-elles ? Juliette n'avait même pas répondu à la question. Elle flottait entre inquiétude et excitation, ivresse et émoi. À l'extérieur ne défilaient que des silhouettes floues, échappées d'un mirage. Cette fois, elle savait que l'univers parallèle qu'elle s'était tant de fois décrit en secret était tout proche, enfin accessible. La réalité peu à peu s'effaçait. À tout moment, elle s'attendait à ce que la main de sa Maîtresse se pose sur sa cuisse. Une main douce glissant sa caresse sur le satin de sa peau. Ou une main dure au contraire, agrippée à son corps. N'importe quel contact lui aurait plu, mais rien ne se passa. Indifférente à la tension de Charlotte, aux imperceptibles mouvements que faisaient celle-ci pour l'inviter à violer son territoire, à ces cuisses bronzées que découvraient hardiment une minijupe soigneusement choisie, Juliette ne semblait absorbée que parles embarras du trafic. Enfin, elle gara sa voiture devant la plus célèbre bijouterie de la ville et fit signe à Charlotte de descendre. Toujours sans dire un mot, elle la prit par le bras et lui ouvrit la porte du magasin. Comme si on l'attendait, une vendeuse s'avança vers elle, un plateau de velours noir à la main et leur adressa un sourire forcé. Sur le plateau étaient alignés deux anneaux d'or qui étincelaient dans la lumière diffuse de la boutique. De la joie mêlée à de l'angoisse serrait la gorge de Charlotte, habituée aux caprices de sa Maîtresse.   - "Ces anneaux d'or sont pour toi, chuchota Juliette à son oreille. Tu serais infibulée. Je veux que tu portes ces anneaux aux lèvres de ton sexe, aussi longtemps que je le souhaiterai."   La jeune femme ébahie accueillit alors cette déclaration avec émotion. On lui avait enseigné que dans les coutumes du sadomasochisme, la pose des anneaux était une sorte de consécration réservée aux esclaves et aux soumises aimées. C'était une sorte de mariage civil réservé à l'élite d'une religion qui professait l'amour d'une façon peut-être insolite, mais intense. Il lui tardait à présent d'être infibulée, mais sa Maîtresse décida que la cérémonie n'aurait lieu que deux semaines plus tard. Cela illustrait parfaitement la personnalité complexe de Juliette. Quand elle accordait un bonheur, elle le lui faisait longtemps désirer. Le jour tant attendu arriva. On la fit allonger sur une table recouverte d'un tissu en coton rouge. Dans la situation où elle se trouvait, la couleur donnait une évidente solennité au sacrifice qui allait être célébré sur cet autel. On lui expliqua que le plus long était de poser les agrafes pour suturer l'épiderme du dessus et la muqueuse du dessous. Un des lobes de ses lèvres serait percé, dans le milieu de sa longueur et à sa base. Elle ne serait pas endormie, cela ne durerait pas longtemps, et serait beaucoup moins dur que le fouet. Elle serait attachée seulement un peu plus que d'habitude. Et puis tout alla très vite, on lui écarta les cuisses, ses poignets et ses chevilles furent liés aux pieds de la table. On transperça l'un après l'autre le coté gauche et le coté droit de ses nymphes. Les deux anneaux coulissèrent sans difficulté et la brûlure s'estompa. Charlotte se sentit libérée,alors même qu'elle venait d'être marquée pour signifier qu'elle appartenait à une seule femme, sa Maîtresse. Alors Juliette lui prit la main droite et l'embrassa. Elle ferma les yeux pour apprécier plus intensément encore cet instant de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes, d'émotion, de joie et de fierté. Personne ne pouvait comprendre l'authenticité de son bonheur. Elles allèrent à La Coupole fêter la cérémonie. Leur entrée dans la brasserie fit sensation. Juliette la tenait en laisse le plus naturellement du monde. Le collier en cuir noir enserrait le cou de Charlotte au maximum. Sa Maîtressse exigeait qu'elle le porte ainsi tous les jours. Un serveur apporta une bouteille de Ruinart. La jeune femme ainsi asservie sortit alors de son corsage transparent les billets qu'elle tendit au garçon littéralement fasciné par le décolleté qui ne cachait rien de ses seins nus et libres comme elle avait nus et libres le ventre et les reins. Les voisins de table les épiaient plus ou moins discrètement. Ils n'avaient sans doute jamais vu auparavant dans un restaurant une jeune fille tenue ainsi en laisse par une femme, attachée au pied de la table, payant le champagne à ses amis. Elles sortirent d'une façon encore plus spectaculaire. Aussitôt passé le seuil, Juliette l'obligea à rejoindre, à quatre pattes, la voiture laissée en stationnement juste devant la porte de la brasserie réputée. Il avait cessé de pleuvoir et la lune courait haut dans le ciel. Cette nuit, Charlotte serait prise, clouée contre le mur, comme seule sa Maîtresse aimait le faire, avec violence et passion.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir. 
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Par : le 29/07/25
Silencieusement, elle vint se poster derrière moi. Elle caressa mes épaules, ma nuque, déboutonna le haut de ma robe et glissa ses mains sur ma peau en émoi. Je sentais son souffle caresser ma joue, tandis qu'elle tordait sans douceur les pointes durcies de mes seins, les allongeait et en grattait le bout d'un ongle sadique et sournois. La tête en tempête, je me raidissais, veillant à ne trahir aucune ivresse, alors que je n'avais qu'un désir, me jeter sur le sol pour qu'elle m'ouvre, qu'elle malmène mon ventre et mes reins, qu'elle enfonce dedans ses longs doigts souples et cruels. Charlotte se baissa. Je la vis à genoux à la hauteur de mon ventre, appuyant ses mains sur mes cuisses, pour tendre l'étoffe mince de ma robe jusqu'à faire appararaître une tache sur la soie pâle qui trahissait mieux qu'une jouissance, ma défaite. Elle frottait doucement la soie contre les lèvres de mon sexe, pour l'imprégner davantage de mon humidité, pour en dessiner l'ouverture jusqu'à ce qu'elle puisse y faire pénétrer, très légèrement, l'index à travers l'étoffe qui resterait froissée. Son autre main se glissait sous la robe, m'empoignait durement, déclenchait mon excitation. Je me cassai en avant, le souffle coupé, quand elle atteignit mes fesses pour forcer ma voie étroite. Quelle que fût la douleur, je demeurai silencieuse. Le spectacle de ma déchéance me laissait impassible, et c'est en cela que je lui résistais, même quand elle me faisait marcher jusqu'au miroir pour que j'aperçoive mon corps bafoué, avec un olisbos enfoncé entre mes reins. J'ai payé très cher le silence de Charlotte. Elle ignorait pourtant que je me sentais plus à l'aise dans son rôle que dans celui que le hasard me faisait tenir habituellement. Je suis une esclave depuis la nuit des temps, j'erre à la recherche d'une nouvelle Maîtresse chaque fois que l'une d'entre elles veut me rendre ma liberté. Je me prosterne volontiers, j'obéis sans révolte, j'ai l'âme d'une vestale dévouée. Charlotte croyait me soumettre à son corps, alors qu'elle me permettait seulement de réaliser un fantasme secret, qui était de la servir, elle, tentation cérébrale d'encourir une vengeance qui aurait pu être douloureuse, peut-être insupportable. Elle m'a enfin repoussée, rassasiée de bien-être, et nous nous sommes endormis l'une contre l'autre dans un bonheur partagé. Lorsque je me suis éveillée, elle me regardait en silence, gravement. Elle s'était effacé la veille illico dans le sommeil, laissant son amante tout à sa solitude, meurtrie qu'elle lui eût imposé son propre rythme, au mépris du tempo de ses sens. Elle avait négligé sans façon son goût pour les heures sans fin, où l'amour n'est pas borné. La jeune femme tenta subitement d'articuler un mot, mais son visage se froissa. Ravagée de désirs, elle regarda silencieusement sa Maîtresse. Ces deux victimes n'avaient jamais su s'adapter à un univers trop fade fait d'amantes décourageables. Le soir, je lisais dans la chambre en boudant un de ces livres énormes que je n'achève jamais, Charlotte est arrivée. Elle a retiré sa chemise, son jeans, nue dessous et a sortit la ceinture de cuir, mince et me l'a tendue. - Tiens, a-t-elle dit seulement. J'ai relevé la tête, mauvaise et agressive comme la peste que je suis parfois. - Qu'est-ce que tu veux ? Elle baissa alors les yeux, sublime.   Le désir montait inexorablement dans son corps. La honte fondait comme de la glace sur du marbre chaud: la position, la soumission de son regard, l'éclairage qui la mettait en valeur. - Frappe-moi. Le sang m'est monté à la tête. Ma colère a disparu d'un seul coup pour laisser place à la tristesse, la  honte et l'excitation. Qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à ses lèvres gonflées, à son cou enserré par le collier, et à ses yeux plus grands et plus clairs, et qui ne fuyaient pas. - Tu es folle ? Charlotte a tendu la ceinture. - Frappe-moi, je te dis. C'est moi qui te le demande. - Non, je n'ai pas à te punir, tu es libre, j'ai compris. Elle a secoué la tête avec lassitude. - Non, c'est pas ça, tu ne comprends pas. J'ai envie que tu me punisses. Ne me force pas à le répéter dix fois. Vas-y. Je me suis levée, vraiment très mal à l'aise. - Mais enfin, qu'est-ce que tu veux ? Elle a éclaté en sanglots: - Tape-moi dessus salope, fais-moi mal sinon je fous le camp, Qu'est-ce que tu attends ? Elle hurlait comme une folle. Un voile rouge devant les yeux, j'ai arraché la ceinture de ses mains, je l'ai enroulée autour de mon poignet et j'ai tapé de toutes mes forces. J'ai vu dans un ralenti superbe la lanière se détendre et s'enrouler autour de sa taille, glisser en laissant une traînée rougeâtre, Charlotte se cambrer, ouvrir la bouche sans crier, et dans ses yeux passer l'indicible effroi de la douleur tant aimée. Le deuxième coup a écrasé ses seins, et cette fois elle s'est tassée en avant en relevant la tête, ses cheveux dispersés. Le troisième l'a atteinte au moment où elle levait un genou pour se protéger, et la lanière de cuir a claqué sur les lèvres de son sexe, elle est devenue pâle, elle est partie en avant, j'ai frappé encore une fois très fort sur ses fesses, elle a saigné très peu, et puis un dernier coup, tendrement sur ses épaules. J'ai laissé tomber la ceinture sur le sol. Je la croyais morte, ou très blessée. - Tu es folle, pensais-je, quelle horreur ! Tu la fouettes parce qu'elle est faible, qu'elle n'a personne que toi, nulle part où aller. Charlotte a ouvert les yeux, presque secs, elle a saisi ma main, la sienne très chaude, presque brûlante. - Viens, viens, a-t-elle répété deux fois ... Je me suis penchée vers elle, jai baisé ses lèvres desséchées, son cou, et sa main m'a guidée jusqu'aux seins, à sa blessure qui saignait encore un peu, je la léchais avec ferveur, je ne savais pas si c'était du sang ou de la cyprine, fruit de son plaisir, mais maintenant, j'ai compris, j'aimais la fouetter, j'embrassais son sexe, et elle gémissait. - Juliette, ma chérie, c'était vraiment divin, merci, j'en avais envie depuis si longtemps. Plus tard, allongée sous moi, ses yeux si près des miens que je ne les voyais plus: - Tu me frapperas encore, s'il te plait ? Tu m'achèteras un vrai fouet, un court avec un manche noir. Le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages. Je suis sage, mon seul plaisir est le bonheur. Charlotte est folle, son vrai bonheur est le plaisir.   Pas respectée, elle s'était sentie, et impuissante au surplus, furieuse d'être si peu entendue, si mal regardée. Sa séduction demeurait une offensive de tous les instants. Cernée de brouillard, elle était à nouveau une féminité disponible. Le dénouement était là, quand elle ne l'attendait plus, en admettant, se disait-elle, que ce fut bien le dénouement. Charlotte laissa couler quelques larmes. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses écartées et toujours enchaînée. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. S'approchant d'elle, Juliette tenait à la main une bougie allumée. Lentement, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Muette et comme enfermée dans un corridor de ténèbres, la jeune femme semblait cuver sa souffrance, digérer de l'amertume et subir au plus profond d'elle-même de terribles craquelures. Pas un instant elle n'eut la gravité légère d'une double-rate ni la courtoisie de paraître heureuse. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. En aucun cas, elle ne se plaignait. Qu'on la pense morte ou blessée, pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion. Elle n'était pas indifférente aux autres mais simplement différente.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/07/25
Béate et fondante, je ne ménageais pas les exercices de style, je me voulais partout à la fois. Sans le quitter des yeux, je m'apprêtais à l'embrasser lentement avec application, sans émotion. Je le sentirai alors grossir lentement dans ma bouche, ses yeux devenant troubles. Qui domine l'autre dans ce cas-là ? Il dut convenir que le caractère dont je faisais preuve ne lui déplaisait pas. À la fois sensuelle et totalement soumise, je gagnais ainsi son amour. Dormir dans son lit me semblait, pour des raisons inexplicables, un engagement profond. Je me glissai le plus discrètement possible sous la couette, en scrutant le visage de Xavier, bien résolue à ne pas le réveiller. Il ne bougeait pas. J'éteignis la lampe de chevet, me retournant sur le flanc. Il ne bougeait toujours pas. Mais juste au moment où mon esprit commençait à s'apaiser, où mes membres se détendaient entre les draps frais, je sentis ses jambes se coller aux miennes. Son corps bien vivant. Xavier m'enlaça et écrasa son pelvis contre mes reins. Je demeurai sans réagir, en priant pour qu'il se rendorme, en me détestant de le souhaiter. Mais hélas, il se rapprocha et m'embrassa dans le cou. Je fus parcourue d'un frisson, que Xavier interpréta comme un signe de plaisir. Il effleura ma peau hérissée par la chair de poule, ce qu'il prit pour un symptôme prometteur et une invitation. Au tout début de notre relation, je pensais qu'il était l'homme qui embrassait le mieux de la terre. Je me souvenais encore de notre premier baiser, un instant de pure transcendance. Au terme d'une soirée agréable passée au restaurant et après un dernier verre dans un bar de nuit, il m'avait attirée contre lui pour le plus incroyablement doux baiser que je n'avais jamais reçu, une caresse subtile des lèvres et de la langue, avec une juste combinaison de passion et de sensualité. De toute évidence, Xavier avait eu tout le loisir de peaufiner sa technique, puisqu'il était un des hommes les plus connus et les plus sollicités que j'avais jamais rencontrés. Pourtant, depuis quelques mois, j'avais l'impression d'embrasser un inconnu, et cela n'avait rien d'un fantasme excitant. Cette bouche que je trouvais autrefois douce et sensuelle me semblait de plus en plus froide, humide et d'un contact déplaisant. C'est avec trop de voracité que sa langue cherchait la mienne désormais, que ses lèvres étaient engourdies ou trop charnues. Chaque caresse me faisait l'effet d'un viol. Autrefois, pourtant, le sexe avec lui avait été fantastique. Aujourd'hui, sans me l'admettre, j'avais un grand besoin de nouveauté.    On garde toujours dans la bouche un souvenir, amer-sucré, ça ressemble à des larmes, le goût change tout le temps, ça pique un peu, c'est la magie du sperme. J'étais occupée par des questionnements qui indirectement, me persuadaient qu'il y avait lieu de me demander si j'étais éprise de lui, ou non. À force d'examiner cette hypothèse, l'éventualité de ma passion pour cet homme devenait pour moi une réalité, mieux, une évidence ! Quand Xavier était moins disponible, plus assidu aux jeux de la séduction, moins collant, moins impatient de se caser avec une fille plus sérieuse que toutes celles, frivoles et inconstantes, qu'il avait fréquentées entre vingt et trente ans. Une époque qui semblait se perdre dans la nuit des temps. L'offensive me prit au dépourvu. Soudain, avant que j'ai pu comprendre ce qui se passait, il avait baissé mon shorty jusqu'aux genoux et s'était collé contre moi. Je voyais ses bras puissamment musclés saillir sous son menton et les appuyer sur ma gorge. Je lui demandé avec véhémence de desserrer son étreinte, par chance l'obscurité m'empêchait de voir son visage. Je finis par m'endormir peu avant six heures. Mais ce n'est que plusieurs heures plus tard, en pleine réunion, tandis que la fatigue m'embrumait l'esprit et rendait mon élocution laborieuse, que je me souvins de ma dernière pensée avant que le sommeil ne me happe. Je repensais à cette soirée au cours de laquelle mes amies s'étaient mises au défi de réformer leur vie. Florence allait élargir son champ d'expériences en collectionnant les aventures. Anne était résolue à s'essayer aux joies de la monogamie. Dix jours avaient passé, et je n'avais toujours pas trouvé comment m'associer à ce projet. Jusqu'à cet instant. Ne serait-ce pas opportun d'annoncer que j'allais mettre un terme à cette relation sentimentale insatisfaisante. Même si j'étais terrifiée à l'idée de me retrouver seule. Je m'efforçai de penser à autre chose, à mon prochain voyage. J'assistai à un cocktail pour un prix littéraire organisé par une prestigieuse maison d'édition parisienne. Si mes collègues ne se décidaient pas à remballer leur insupportable verbiage dans les dix minutes, je serai en retard pour un dîner. J'allais discrètement m'éclipser quand le visage radieux de Claire apparut. Elle était réellement lumineuse ce soir dans sa robe noire courte et moulante, glamour et sexy, avec une pointe d'élégance empruntée à Jackie Kennedy, un collier de perles ras du cou. Sa présence qui ne passait pas inaperçue dans l'assemblée me sauvait avec bonheur d'un ennui profond.   - Bonjour, Claire, tu vas bien ? Tu es vraiment lumineuse. Il faudra que tu me donnes ton truc.   Elle me regarda avec un regard encore tout chaviré de sa rencontre avec lui, mais cela je ne le savais pas.   - J'ai une recette incroyable, que nous nous passons d'amies en amies, je t'en parlerai quand tu voudras. Notre conversation dériva sur notre domaine d'activité et la soirée fut un moment très agréable. Trois jours plus tard, au cours d'une réunion plus qu'ennuyeuse, le visage de Claire réapparut dans mes pensées vagabondes. Avec le recul, elle m'apparut encore plus resplendissante que jamais. Dès qu'un moment libre se présenta, je décidai de l'appeler.   J'aurais dû en rester là. J'aurais pu. Cernée, je me voyais à présent traquée par d'inévitables sentiments, fatals et mordants, qui me conduisaient à rechercher d'opportunes occasions d'avoir sans cesse de nouvelles aventures amoureuses. Après le bonjour rituel, j'osai aborder le sujet directement, mourant d'envie de connaître son truc.   - Écoute, mon secret, c'est un homme, mais pas n'importe quel homme. Je ne le connais pas, il vient chez moi une fois par semaine. Je l'attends, les yeux bandés. Il a les clés et dès qu'il arrive, il mène le jeu. Il m'a fait découvrir un plaisir incroyable, basé uniquement sur le sexe. Il n'y a pas d'amour, pas de partage. Il ne parle pas. Ses mains, son corps, son pénis: il met tout en œuvre pour que je jouisse. Un homme que pour l'orgasme.   - Tu te laisses baiser par un homme que tu ne connais même pas, mais tu es complètement folle.   - Au début, j'étais comme toi. Plutôt prudente et méfiante. Mais l'idée a fait son chemin. Un jour, j'ai franchi le pas. J'ai donné mes clés. Le jour X est arrivé. J'éprouvais de l'appréhension. Je ne te parlerai pas de la suite, mais tout ce que je peux te dire, c'est qu'aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Si tu veux profiter de ses visites, c'est très simple, tu m'envoies un trousseau de clés avec une étiquette où tu précises ton adresse, ton téléphone, et quel jour de la semaine tu veux baiser avec lui.   Je suis restée des heures à regarder les ombres courir sur la moquette amande, anéantie de bonheur, épouvantée aussi, je n'ai jamais eu de patience. Déconcertée, je demeurai un long instant interdite, incapable de réfléchir et de peser le pour et le contre. Je reposai le combiné, troublée. Ouvrir ses cuisses, se laisser pénétrer par le sexe d'un homme que je verrai jamais: incroyable. Moi si classique, si traditionnelle, j'ai un amant certes créatif mais dont je connais toutes les fantaisies. Baiser avec lui est un havre de bien-être, de complicité. Nos sexes se connaissent et se reconnaissent. Un passage aux toilettes me fit découvrir l'effet de cette conversation. Un jus clair, tiède s'écoulait de ma vulve, déjà en éveil à l'idée d'une telle rencontre. Je ne pus m'empêcher de me caresser pour apaiser d'un plaisir au singulier son attente. Me faire pénétrer par un homme que je ne connaîtrai jamais; le désir était né. Dès le soir, dans les bras de mon amant, je lui ai demandé de me bander les yeux; j'ai pensé à lui, lui que j'attends déjà. Tout mon corps, mon esprit se sont centrés sur son sexe, un membre superbe, tendu, turgescent, allant et venant. Le plaisir a envahi tout mon être. J'ai hurlé comme sous ses coups, j'ai joui avec une telle intensité jusqu'alors jamais ressentie. Le lendemain, l'envie était toujours là, pensée permanente trottant dans mon esprit. Toute la journée, j'ai essayé en vain de chasser ses fantasmes. Mais tous mes sens s'opposaient vivement.   Je flottais un peu,en guettant le signe qui me libérerait. J'aurais pu. J'aurais dû. J'étouffais de rage d'être coincée dans un naturel aussi peu enclin à la satisfaction, de me voir soumise à un tempérament de forcenée qui me portait toujours en avant plutôt que de jouir des féeries de l'instant. L'idée semée au cours de la soirée avait grandi et se défendait vigoureusement. Trois, quatre jours passèrent ainsi. Je restai dans une dualité qui ne m'apportait aucun répit. Un désir de plus en plus fort s'imposait au fil des jours, qui profitait à mon fiancé tout surpris de retrouver une dynamique dans notre couple. Xavier me demanda alors une explication, je lui répondis que je venais de remporter un très important contrat face à une agence concurrente. En réalité, je ne me sentais pas bien; j'avais rompu l'équilibre que j'avais si soigneusement réussi à construire. Le sixième jour, n'y tenant plus, je courus faire un double de mon trousseau de clé. Je mis le trousseau dans une enveloppe et l'envoyai à Juliette. Un frisson incroyable me parcourut quand je la glissai dans la fente de la boîte aux lettres, un avant-goût du plaisir animal qui prit place désormais dans ma vie. Je décidai le jour même de ne plus porter de sous-vêtements sous mes robes, délaissant ma lingerie La Perla. Ce soir-là, je fis l'amour avec un lâcher-prise qui laissa mon partenaire de jeu épuisé mais émerveillé. J'avais consenti à accepter l'un de ses plus grands fantasmes, un triolisme érotique avec une très jeune fille désirable et infatigable. Le premier jeudi arriva. Il fut au-delà de mes attentes; un moment rare. Depuis, ma vie a changé de couleurs: hier dans les couleurs pastel, aujourd'hui, jaune, rouge, verte: elle brille aux éclats comme un arc en ciel après la pluie. Je l'attends. Dès que je suis rentrée du bureau, j'ai pris une douche pour me détendre et chasser toute pensée professionnelle. Je me suis massée afin d'assouplir mon corps, le rendre plus animal, plus félin. Je l'ai parfumé délicatement, nappant mon intimité d'un voile odorant. Depuis que je le connais, j'ai rasé le duvet de mon pubis pour qu'il soit encore plus doux. Je suis là allongée sur le lit, mes sens en alerte. Le plaisir est là qui tient en éveil mon bas-ventre; les pointes de mes seins dardent dans l'attente de ses morsures. Mes yeux masqués ne voient plus le soleil ambiant. Soudain, j'entends la clé dans la serrure, qui la pénètre aussi efficacement que son sexe pénètre le mien. Il se déshabille sur le chemin qui mène à ma chambre, lançant ses chaussures sur son passage. Le frottement de sa chemise et de son jean sur sa peau est la plus douce musique, prélude à notre étreinte, alors cette mélodie des sens excite ma convoitise.   Je me suis glissée contre lui, féline et silencieuse, j'ai trouvé son sexe et je l'ai serré fort, le pauvre, tout endormi. C'était de l'amour avec un grand A. L'amour, je croyais savoir déjà ce que c'était, j'y avais même cru l'avoir déjà ressenti auparavant, et même plus d'une fois. Et pourtant, je ne lui avouais pas. Pour le reste, je suis incapable de savoir s'il porte un slip ou non. Il ne vient jamais directement dans le lit. Je sens son regard qui, centimètre après centimètre, prend possession de mon corps. Il ne me touche pas et pourtant déjà celui-ci se rend sous le coup de l'émotion. Qu'attend-il pour me prendre, je suis en manque de lui depuis une semaine. Il reste là à brûler ma peau. Je reste là à attendre, le sexe moite et impatient. Il se lève, rejoint le lit d'un pas tranquille et monte avec la souplesse d'un félin. Je ne peux toujours pas le toucher, car c'est lui qui mène le jeu. Il commence par mordiller les pointes de mes seins, en suçant les larges aréoles brunes, puis d'un coup me retourne exposant mes fesses à la lumière. Il attrape mes mains, et avec des menottes, me les attache dans le dos. Sa langue reprend sa promenade, découvre mollets, cuisses. Son trajet décrit des courbes ne pouvant me laisser prévoir aucune logique. Sa langue se glisse entre mes fesses, force mon intimité, ôtant lentement avec une délicatesse infinie le bijou anal lui interdisant l'accès à ma voie la plus étroite. Je dilate et je cambre pour mieux l'accompagner. Il la déflore avec un doigt, l'éveille d'un va-et-vient progressif, un deuxième, puis un troisième viennent rejoindre le premier. Je commence à partir, mes mains emprisonnées ne peuvent partir à sa découverte et me saisir de son sexe entre mes doigts. Il ose me prendre comme peu d'hommes ont osé. Il ne tient pas compte de mes cris, de mes suppliques: il fouille, prend, envahit, me fait mal, me libère pour mieux me reprendre. Quand il me sent au bord de l'extase, il me retourne. Sa langue reprend mon sexe, le suce avec avidité. Je hurle, j'aime sa douceur, sa force, sa violence, la chaleur de sa langue tonique. Je m'ouvre, impudique pour que ma chatte béante capte chacun de ses coups de langue, pour qu'il me pénètre au plus profond. J'ose lâcher tout l'animal qui est en moi, être pute, offerte, libre dans mon plaisir. À aucun moment, je ne me sens menacée ni jugée, je suis libre au pays d'Éros; une liberté qui me rend aussi dépendante de lui que d'une drogue. Je suis accro de sa peau, de sa bouche, de ses mains, de sa queue qui me délivre d'une attente d'être. Je le supplie de me pénétrer. Enfin, il répond à mon impatience et entreprend la découverte de mon sexe avec ses doigts. Quel plaisir de m'ouvrir, coulant sous le désir de ses caresses sur mon clitoris, mes petites et grandes lèvres. Mon corps se déchaîne; mes reins se cambrent pour mieux me livrer. Je brûle. Je perds toute pudeur. Mon vagin, mon anus, ma bouche, mes plis, ma chair veulent être pénétrés. Je le supplie. Esclave, je lâche prise. Son gland rosé, gonflé caresse le sillon de mes fesses. Il entre, je m'offre, je me laisse envahir, je suis pleine, je le guide, je rythme ses va-et-vient. Je suis lui, il est moi. J'aime d'être enfournée de sa queue si dure, campée, enfilée. Son plaisir est rapide, mais il se retient. Quand je le sens prêt, je l'appelle par mes parois et ma voix. Il crie, longtemps, au même rythme qu'il se vide en moi. Je happe ses jets, les suce, les conserve. Il s'effondre sur moi. Je suis dans l'entre-deux, espace intemporel, le voyage s'achève et la vie reprend. La trêve est terminée. Il me retire mes menottes. Il s'écarte de moi. Puis laisse ma peau abandonnée de son contact brusque et viril. Je suis transpercée par mon orgasme.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 27/07/25
Depuis longtemps elle avait oublié les notions de valeur et d'amour-propre et elle avait pris l'habitude de s'abandonner à la concupiscence des hommes sitôt la nuit tombée. Mais elle séparait l'amour du plaisir, elle appelait cela le syndrome de la collectionneuse. Elle demeurait toujours silencieuse et hautaine, quand la lumière devenait tamisée et le silence feutré. Alors elle s'offrait sans dire un mot, parfois aux tourments qui la laissaient pantelante, honteuse et prête à implorer mais veillant toujours à ne trahir aucune faiblesse, même sous le fouet. Ce soir-là, elle pénétra dans le hall de l'hôtel et le miroir de l'entrée lui renvoya le spectacle de sa silhouette gracieuse. La jeune femme frissonna de se trouver jolie pour la première fois de sa courte vie; non qu'elle ne le fût pas, au contraire, l'effet de souffle de sa frêle beauté était inévitable, mais elle était de ces ex-petites filles blessées dans leur image qui, toujours, ignoreront les triomphes de leur éclat, convaincues qu'elles sont indignes d'être contemplées avec des yeux éblouis. Bien sûr, depuis son adolescence, les hommes s'étaient relayés pour soigner cette inquiétude mais, toujours, alors qu'ils lui bricolaient des adjectifs persuasifs, elle n'y avait vu que de la flagornerie destinée à la culbuter, ou la marque de ce dérèglement du jugement qui va avec la passion. Elle aimait sa persévérance. Elle signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais, en même temps, les innombrables attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Elle ne put s'empêcher d'être émue par ses pensées. Charlotte pénétra dans le hall d'entrée et salua d'un signe de tête la réceptionniste. Elle prit l'ascenseur, les mains moites, le cœur battant à tout rompre. Sous sa robe, pour accompagner son string, elle avait choisi un soutien-gorge pigeonnant, dont le voile léger couvrait à peine ses seins. La caresse de la soie sur leurs pointes dressées ajoutait encore à sa suave excitation. Elle portait un parfum léger, sensuel. Et sa façon de le saluer, toute simple, était éblouissante. Il ne se souvenait pas qu'une femme l'ait jamais intrigué à ce point. Peut-être était-ce dû au masque qu'elle portait ou à la réputation qui la précédait. Quoi qu'il en soit, elle était ravissante, et de celles qui accrochent le regard et fascinent. Et ce n'était pas une question de robe ni de bijoux. C'était toute sa personnalité qui transparaissait: sexy, impertinente, séductrice. S'amuser à provoquer un homme aussi désirable, était plus facile qu'elle ne l'aurait cru. Le déguisement n'était qu'un artifice. C'étaient ses yeux verts derrière son masque et sa bouche sensuelle qui le troublait. La soie fluide moulait somptueusement les courbes de sa silhouette. Le précieux collier plongeait de manière suggestive entre ses seins, le métal froid lui rappelant que si elle jouait correctement son rôle, très bientôt les doigts de l'inconnu effleureraient sa peau. Elle laissa ses doigts glisser le long du collier, jusqu'au cabochon niché au creux de sa poitrine. Il ne fallait jamais remettre au lendemain ce qu'on pouvait faire la veille.    Une émotion incomparable la submergea alors: elle était confrontée à son fantasme quotidien, sa lutte éternelle, elle ne pouvait vaincre le besoin de montrer ce que tout le monde attendait de voir et la culpabilité perfide pourfendit son âme. L'inconnu allait succomber à son charme vénéneux. Par sa simple conduite, l'homme venait de lui certifier sa beauté. Sa gêne même l'attestait, tandis que son regard se fixait obstinément à côté d'elle, s'accrochant au murs de marbre blanc pour ne pas glisser vers le danger qu'elle était alors subitement devenue pour lui. Elle avait réussi à le surprendre, à l'intriguer. Elle ne disposait que d'une nuit. - Monsieur, dit-elle. Je veux que nous fassions l'amour. L'homme leva un sourcil étonné et un sourire amusé effleura ses lèvres. Charlotte ne voulait surtout pas qu'il réfléchisse. Elle voulait qu'il se contente de ressentir et de réagir. D'un geste téméraire, elle glissa la main vers sa nuque, noua les doigts dans ses cheveux sombres et attira son visage vers le sien. C'était elle qui avait pris l'initiative du baiser. Ce fut l'homme qui en prit le contrôle. Il n'y eut pas de phase d'approche. Ses lèvres pressèrent les siennes, sa langue pénétra sa bouche, trouva la sienne, s'y mêla en un baiser sauvage, exigeant, prenant d'elle tout ce qu'elle avait à donner. Elle s'abandonna à son étreinte, s'enivrant de l'odeur de sa peau, une odeur virile, troublante. - Allons dans un endroit plus intime, voulez-vous ? Il eut un bref mouvement de sourcils, comme s'il soupçonnait un piège, mais il était trop poli pour répondre. - Nous venons d'arriver. - N'avez-vous pas envie d'être seul avec moi ? Car je n'ai aucune envie de différer mon plaisir. Ni le vôtre. - Comment savez-vous que nous aurons du plaisir ? - Une femme sait ces choses-là. - Même si mes exigences sortent du commun ? L'ascenseur s'immobilisa à son étage. Elle prit l'homme par la main et ils franchirent la double porte aux vitres gravées, traversèrent le hall de marbre et gagnèrent la luxueuse suite préparée. Elle était toute entière éclairée de bougies et ils traversèrent le salon en direction de la vaste chambre élégante, raffinée, décorée dans un subtil dégradé de tons chauds. D'autres bougies étaient disposées de part et d'autre de l'immense lit. Sur la commode, on avait disposé deux flûtes de cristal et une bouteille de champagne dans un seau à glace en argent. Le lit était entrouvert et les draps soyeux, comme une invitation aux ébats. Charlotte avait ouvert toutes grandes les portes de la terrasse qui surplombait l'océan pour laisser la brise parfumée baigner la chambre. L'homme ne prêta pas la moindre attention au décor. - Baissez la fermeture de ma robe, susurra-t-elle d'une voix enjôleuse. - Vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je prenne mon temps, j'espère, murmura-t-il à son oreille. - Bien au contraire, répondit-elle.   Le regard de l'inconnu l'encouragea à poursuivre sans la moindre hésitation sa tentative de séduction. Elle n'avait jamais pu feindre l'indifférence. Elle haïssait la méthode mais elle succombait à sa nature. Il y a des beautés flagrantes, comme ça, contre lesquelles il faut se prémunir pour conserver ses moyens et il est plus facile de conserver son sang froid devant une femme qui fascine en évitant de la regarder. Naturellement, tout en parlant, il mit un soin maniaque à ne pas la fixer, à laisser ses yeux là où elle n'était pas, et cela ne fit qu'enfler la gêne et le trouble déjà énorme de Charlotte.Elle se sentit soudain la bouche sèche. Elle avait envie d'être nue, de sentir ses mains sur elle tout de suite, mais aussi follement envie qu'il prenne tout son temps. Il descendit la fermeture Eclair de quelques centimètres. Le corsage de la robe s'ouvrit dans son dos, s'écarta de sa poitrine et elle sentit un souffle d'air frais balayer ses seins. Du bout des doigts, il caressa son son cou, ses épaules, décrivant de petits cercles sur sa peau nue tandis qu'elle écartait doucement les pans de son corsage. Elle n'avait pas bougé, tenant toujours ses cheveux relevés pour lui, dans une position cambrée qui projetait en avant ses seins avides de la caresse de ses mains expertes. Elle ne s'inquiéta pas quand il plaça autour de son cou, un collier en acier comportant une charnière, située au centre. Il le verrouilla brusquement grâce à un système de vis et d'écrou. - Vous avez un dos superbe, dit l'homme sans se troubler. Il fallait qu'elle s'écarte, qu'elle reprenne le contrôle du jeu. Mais c'était si bon de sentir ses mains sur ses seins qu'elle n'en eut pas la volonté. Et il s'y attendait. Il savait qu'elle ne pourrait pas. Il l'avait lu dans son regard, senti dans la façon dont elle cédait à la tentation, s'abandonnant à ses mains expertes. Ses paumes effleuraient sa chair, ses doigts la frôlaient à peine. La sensation était telle qu'elle dut se mordre les lèvres pour ne pas gémir. Elle referma les doigts sur ses épaules. Sa peau était chaude et douce. Du velours sur de l'acier. Chaque caresse de ses mains sur ses seins, chaque pression de ses doigts faisait croître le désir niché au creux de son ventre. Jamais elle ne s'était sentie à ce point prête pour un homme, excitée, humide. Elle l'était déjà au moment où elle avait ôté sa robe. Il pressa de nouveau la pointe de ses seins. Mais l'homme avait décidé d'imposer son rythme, de l'exciter, de la pousser à bout, puis de faire machine arrière au moment où il la sentirait prête à chavirer. Quand elle glissa les pouces sous l'élastique de son string et le fit glisser sur ses fesses, des fesses musclées, elle se retourna et il découvrit son pubis finement rasé, il la fixa, le regard brûlant de désir, une expression si intense sur le visage qu'elle fut saisie de peur. Elle allait subir l'épreuve du fouet.    Elle était exposée, incapable de rester immobile, sentant les yeux de l'homme tendus vers son ventre, hérissant sa peau, la contraignant tôt ou tard à desserrer ses genoux puis à écarter plus franchement ses jambes. La caresse de son regard en coup de fusil, qui cependant évitait toujours ses yeux, étonna la jeune femme, heurtée par la douceur soudaine de cet inconnu dont la note dominante était la virilité la plus sauvage, sous une fine pellicule d'éducation. Derrière ses pupilles volontaires se formaient déjà les réflexions qu'il avancerait ensuite en stratège. L'homme bondit alors, tel un animal sauvage, et tandis qu'elle se redressait, il la souleva dans ses bras. Lorsqu'il l'eut posée sur la terrasse, il saisit la rambarde, emprisonnant Charlotte entre ses bras. Elle était piégée. Son petit numéro de strip-tease avait définitivement chassé l'homme réservé et distant et libéré l'être viril et impétueux. Comme attirés par un aimant, ses doigts se refermèrent sur son sexe. Il était long et dur. Il sursauta lorsqu'elle allongea les doigts, les referma sur ses testicules qu'elle pressa doucement. Du pouce, elle effleura son gland gonflé et fut heureuse de l'entendre gémir de plaisir. - Je vais explorer toutes les zones sensibles de votre corps avec ma langue, murmura-t-elle. Comme hypnotisée par le bruit des vagues qui se brisaient sur les rochers de la côte, en contrebas, elle s'agenouilla et prit le sexe de l'homme dans sa bouche. Il avait le goût du vent et de la pluie, le goût viril d'un homme. Et comme elle le lui avait promis, elle l'amena au bord de l'orgasme. Brusquement, il glissa les mains entre ses reins. Perchée sur ses talons hauts, elle se trouvait cambrée, les fesses en arrière, dans la position idéale pour qu'il glisse un doigt en elle. Un doigt qu'il plongea dans sa voie la plus étroite, l'élargissant avec volupté jusqu'à ce qu'elle fut détendue. - Je veux que vous veniez en moi par cet endroit. - Je le sais. Mais il s'arrêta. Il se redressa, plaqua son corps contre le dos de Charlotte. Son membre dur plongea entre ses fesses. Elle se cambra pour le prendre en elle, mais il s'écarta, referma les mains sur ses seins et en pressa la pointe durcie. Ce fut comme si une décharge électrique traversait le corps de la jeune femme. Elle se cambra de nouveau, collant son rectum contre lui. Lorsque enfin, il la pénétra, elle était si brûlante, si excitée qu'elle jouit aussitôt dans une explosion de tous les sens. Elle se serait écroulée si les bras puissants de l'homme ne l'avaient retenue. Il glissa une main entre ses cuisses et, ouvrant délicatement sa chair, il se mit à caresser son clitoris. Elle le sentait partout, avec son sexe planté profondément dans ses entrailles. Quand elle atteignit l'orgasme, il se décolla d'elle brutalement. Bientôt, tandis qu'elle retrouvait ses esprits, l'homme la tenait serrée contre lui, blottie dans ses bras. - Avez-vous déjà été attachée et fouettée ? - Non jamais. Sans attendre, l'inconnu dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une corde de chanvre qu'il attacha au plafonnier de la chambre, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le cliquetis de la boucle de la ceinture tandis qu'il l'ôtait de son pantalon. - Que faites-vous ? - Je répare seulement un oubli. Souvenez-vous de mes exigences spéciales. La douleur laissera alors place au plaisir. L'homme commença par apprécier la souplesse du ceinturon en cuir en fouettant l'air. Le premier coup claqua sèchement contre ses fesses. Le second atteignit bientôt brutalement ses épaules. Il souhaitait rapidement l'amener à merci.    Un voile rouge devant les yeux, elle contemplait dans un ralenti superbe le ballet de la ceinture qui se balançait dans l'espace comme un métronome sentencieux. Elle se cambrait, ouvrant un peu la bouche sans crier. Le troisième coup écrasa ses seins la laissant comme morte. C'était à elle de parler maintenant. Consentait-elle ? Mais elle ne pouvait parler. Cette volonté qu'on lui demandait tout à coup d'exprimer, c'était la volonté de faire abandon d'elle-même, de dire oui d'avance à tout ce à quoi elle voulait assurément dire oui, mais à quoi son corps disait non, au moins pour ce qui était du fouet. Car pour le reste, s'il fallait être honnête avec elle-même, elle se sentait trop troublée par le désir qu'elle lisait dans les yeux de l'homme. Il n'était pas du style à y aller progressivement. Il avait frappé fort avec l'assurance qui lui était coutumière et Charlotte sentit sa peau d'abord insensible, réagir rapidement à la brûlure du cuir. Le deuxième coup tomba, plus assuré encore, et elle gémit de douleur en contractant les muscles de ses fesses. L'homme la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Vingt, trente, quarante coups. Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées, s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle était exposée à un âtre crépitant. - Vous voudrez bien vous retourner. - Non, pas devant, haleta-t-elle, Pas devant. - Vous devez aller jusqu'au bout de vos fantasmes de soumission. Charlotte pivota lentement sur elle-même. Elle avait gardé les yeux baissés mais elle aperçut quand même le ceinturon s'élever dans l'air et s'abattre sur elle, au sommet de ses cuisses. Elle hurla à nouveau et releva la jambe pour essayer de se protéger du coup suivant. Elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas et se vit perdue. Il ne refrappa pas immédiatement. Il attendit que Charlotte ne puisse plus se tenir ainsi sur la pointe du pied et qu'épuisée, elle s'offre à nouveau au fouet. Il continua à la fouetter méthodiquement sur les hanches et sur les seins. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. L'homme cessa presque aussitôt de la frapper. Il s'approcha de la jeune femme et ce fut lui qui remarqua le premier que le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la peine et de recommencer bientôt. Elle n'avait aucune envie de bouger. Comblée, elle ne rêvait que de rester là, blottie dans les bras de l'inconnu. Mais pour lui, il était hors de question de passer la nuit avec elle. Le risque était trop grand qu'elle découvre alors son identité. On ne vit qu'une fois et il n'est jamais trop tard pour mal faire.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir. 
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Par : le 27/07/25
-A genoux, petit impertinent. Je commande et tu obéis.   Auguste, l'empereur qui règne sur les mondes n'est plus que l'esclave de sa femme, la très belle Livie. Il a besoin de cela pour son bien, pour oublier sa lourde charge, ses soucis et se vider la tête.   Livie prend une  dure et souple  baguette en olivier, une qui fait bien mal. Une qui siffle bien quand elle frappe.  -Tu n'es plus mon empereur, juste mon esclave et je dois te punir.  Elle lui demande de se mettre nu et de s'allonger sur le ventre sur le carrelage froid. Auguste s'exécute. Il reçoit une sévère correction. Ses fesses sont rouges. Livie frappe très fort et fait très mal. Il gemit  il lâche prise.  Livie prend un fouet de lanières de cuir tressées. Elle passe un collier d'esclave au tour de cou de son époux et l'attache contre une colonne de marbre.  - La baguette c'était juste pour te chauffer le cul. Maintenant tu vas recevoir ta punition et tu devrais supplier longtemps pour que je cesse. Le fouet vole et claque. Auguste subi la dure loi de sa femme. Son dos est en feu. Une douleur terrible. Il supplié. Livie ne l'écoute pas et le claque encore plus fort. C'est leur pacte d'amour. Elle brise toute résistance, toute fierté chez son Auguste qui souffre et qui l'aime pour cela.  Puis elle le détache, s'assoie sur son fauteuil d'imperatrice. C'est elle le César maintenant. Elle remonte sa longue tunique sur ses jambes superbes. Écarte les cuisses et dévoile son intimité devant Auguste à genoux.  -Viens honorer de ta langue ta Maîtresse petit vermisseau.  Et fais cela bien car sinon je brûlera ton dos avec une bougie.  Auguste s'exécute encore.  Il dévore le sexe de son épouse. Dégage son délicat clitoris et le suce. Livie tremble et jouit plusieurs fois dans sa bouche. Son intimité moite sent si bon. Auguste bande fort. Livie s'en aperçoit.  - Comment oses tu  ! Le fouet ne suffit pas. Je vais te jetter aux lions. Auguste tremble. Il sait combien Livie peut être impitoyable et s'affranchir de toutes les règles des jeux. Il sait combien parfois elle semble n'avoir plus de limites. Il a peur tout à coup. Il voit son regard humide, ses yeux brillants et si durs.  -Non, pas les lions. Qui dirigerait Rome ?  -Moi bien sûr. Et je commencerai par faire fouetter tous les sénateurs.  Le peuple m'aimera pour cela. Les lions vont faire un bon repas ce soir. Ce n'est pas tous les jours qu'ils ont un empereur au menu.  - Non pas les lions, tu sais combien je t'aime.  - bander sans permission ne saurait rester sans punition. Que proposes tu en échange de ta vie ?   
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Par : le 26/07/25
Difficile de savoir exactement à quel moment tout a basculé. nous discutions tout les deux, c'était amical, et sans m'en rendre compte je me suis de nouveau retrouvé à ses pieds, de manière naturelle.  Nous avons décidé de prendre notre temps. Depuis ce fameux soir, nous discutons énormément, de tout et de rien, nous apprenons à nous connaître. Avec le temps, nous nous comprenons sans mots Tres régulièrement il me surprend dans ses réactions, il me rend fière de l'avoir choisi, il est celui qui me correspond.  Comment le décrire ?  Il est à l'écoute de mes besoins, gentil quand il faut l'être, il m'impose sa Domination avec finesse et fermeté, il est sadique autant que je suis maso. Il est patient mais intransigeant, il n'est jamais très loin. Je le respecte, je le taquine sans aller trop loin. Inutile de le "tester", je le sais réactif  A ses côtés je me sens belle et forte face au monde tout en étant toute petite face à Lui. Il m'attire, il m'intimide, il me manque quand je ne le sens pas et il me rend dingue quand il est là. L'IRL est prévu, programmé, la date, le lieu. Son collier sera alors posé, symbole de ce lien que nous construisons jour après jour. Je suis fière d'être à Lui, à Ses Pieds, soumise à Mon Maître 😍
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Par : le 25/07/25
Jusque-là, elle s'était sentie supérieure parce qu'elle faisait passer les autres avant elle. Ses amantes surtout. Mais cela ne l'avait-elle pas arrangée ? Cet altruisme ne cachait-il pas une formidable absence de scrupules ? La soirée la prit en pleine rêverie. Il y avait du miracle en elle et tout autour d'elle. Pour la première fois de sa vie, son corps et son âme étaient à l'unisson. Elle mit beaucoup de soin à se poudrer les joues, à lisser ses tempes, à faire bouffer sa frange brune. Elle s'était regardée dans la glace, elle fut suprise de s'y voir si jolie, plus jolie qu'elle ne l'avait été jamais été, malgré la fatigue nerveuse où elle vivait depuis trois jours. L'amour, qui est la raison d'être des femmes, est aussi leur ornement, surtout quand comme celui de Charlotte, est fait d'espoir mystérieux, de candeur illusionnée et de timidités enhardies. Elle se changea dans la chambre. La porte était entrebâillée. Elle ôta sa robe grenat et se trouva en sous-vêtements transparents également rouges. Deux bas pendaient sur le dossier de la chaise. Elle en prit un et, avec de petits mouvement vifs, le retroussa, jusqu'à en faire un anneau. En équilibre sur une jambe, le talon de l'autre jambe appuyé sur le genou, elle passa le bas ainsi roulé sur le bout de son pied, puis posa celui-ci sur la chaise et enfila le bas sur son mollet, son genou et sa cuisse, se penchant alors de côté pour l'attacher aux jarretelles. Elle se redressa, ôta le pied de la chaise et prit l'autre bas. Je ne pouvais détacher mes yeux d'elle. De sa nuque et de ses épaules, de ses seins que la lingerie drapait plus qu'elle ne les cachait, de ses fesses sur lesquelles son sari se tendait lorsqu'elle appuyait le talon sur le genou et qu'elle le posait sur la chaise, de sa jambe d'abord nue et hâlée, puis d'un éclat soyeux une fois dans le bas. Elle sentit mon regard. Elle s'arrêta, main tendue, au moment de saisir l'autre bas, tourna la tête dans ma direction en baissant les yeux. Connivence, étonnement ou résignation. "Tu es trop habillée. Défais tes jarretelles, roule tes bas au-dessus des genoux". Enfin, les bas sont roulés, elle est gênée de sentir ses jambes nues et libres sous la soie de son sari. J'allonge la main vers la ceinture de sa combinaison, défait le nœud, puis les boutons. Charlotte a maintenant les seins libres et nus comme elle a nus et libres les reins et le ventre, de la taille aux genoux. Sa nudité l'a rendait émouvante, muette et les yeux baissés. Je m'approchai d'elle et ayant agrafé le corset de cuir rouge sur le devant, je serrai durement le lacet par derrière, de façon à faire remonter ses seins et à exhiber leur pointe, tout en étranglant la taille, ce qui faisait saillir le ventre et cambrer les reins. Elle paraissait étrangement à l'aise, sans que je sache pourquoi, à moins que ce ne soit la disponibilité de ce qu'elle ne cachait pas. Elle ne semblait pas gênée que je fixe à ses poignets et à ses chevilles des bracelets, elle accepta même avec joie un collier, des bracelets et une ceinture, en cuir.    L'indécence devenait décence, non pas celle de dissimuler, mais de se résigner à l'humiliation du châtiment, de la chair suffisamment meurtrie pour pour la rendre à sa première intégrité et de la renvoyer par la brutalité aux jours où le désir ne s'était pas encore déclaré. Elle devina, et vit que j'attachai à une solive au-dessus de sa tête, les bras levés, et les poings liés, une chaîne, de manière qu'elle demeurât tendue, et qu'elle la sentit se tendre. Elle ne vit pas non plus que je tenais à la main une cravache. En l'embrassant, je posai ma main gauche sur sa taille. En même temps qu'elle entendit un sifflement, Charlotte sentit alors une atroce brûlure par le travers des seins, et hurla. J'aurais voulu sur l'instant la fouetter jusqu'au sang, mais bientôt ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte, et je renonçai à lui demander de se retourner. Il était indispensable de lui apprendre à se contrôler pour mieux ressentir ses propres limites, afin de l'amener à les dépasser. La séance avait duré cinq minutes. Quand je partis, après avoir éteint la lumière et refermé la porte, Charlotte chancelait de douleur, au bout de sa chaîne, dans le noir. Elle ferma les yeux, et somnola. Il n'y avait eu chez elle aucun sentiment, aucune affectation. Et je me rappelle que son corps, ses attitudes et ses mouvements donnaient parfois une impression de bonheur. J'avais plutôt le sentiment qu'elle s'était comme retirée à l'intérieur de son corps, l'abandonnant à lui-même, à son propre rythme, que ne venait troubler nul ordre donné par l'esprit, et qu'elle avait oublié le monde extérieur. C'est cet oubli du monde qu'avaient exprimé ses attitudes et ses gestes pour accepter l'humiliation de sa chair. Ce qu'il y a de délicieux dans l'absence, c'est qu'on n'y est jamais borné comme avec cette stupide réalité qui très vite nous arrête. Dès lors, en dépit de ses avances, je ne la voyais plus. En se livrant si facilement, elle avait rompu le pacte. Je lui reprochais de m'avoir mise en porte à faux avec mes rêves. Rares sont les amoureux qui passent le cap de la deuxième semaine. L'esprit noir de l'amour invente tous ces jeux. Dans la vie des femmes les plus anodines, il y a de ces heures fatales. Leur âme instinctive déborde tout à coup, malgré des siècles de discipline, comme les fleuves civilisés qui se déchaînent soudain et sortent de leur lit avec la même anarchie qu'ils eurent sans doute à l'âge de pierre. Une tendresse enthousiaste subsistait seule, après ces nuits et ces journées de doute. Elle ne pouvait plus rien connaître d'autre que son élan généreux vers celui qu'elle aimait.    Seuls quelques couples vaccinés contre tout poison romantique échappent à la réalité. Les sommiers ne grincent plus, un lourd silence se substitue aux fous rires. On ne gémit plus de plaisir mais d'ennui. Les griefs remplacent les serments. On était arrivé plein de feu, on se quitte plein de fiel. Les cœurs éperdus, égarés par les rêves rejoignent leur logis raisonnable. Le temps a accompli son œuvre. Son amour me pesait. Par toutes mes pensées, je la trahissais. Je souffrais d'autant plus que j'étais la seule coupable. Je ne pouvais me fournir à moi-même aucune explication. Sinon une. Mon démon m'avait repris. Il avait un joli visage ce démon, tant de jeunesse et de fantaisie. Comment aurais-je pu lui résister ? Mon cœur inflammable était déjà embrasé. En révolte contre les siens, mais sans aller jusqu'à casser de la vaisselle, elle transgressait les tabous de son milieu autant qu'il est convenable de le faire et même souhaitable pour prouver un fier tempérament. De l'indicible, quelle conscience nous reste-il de cela ? Charlotte ne me disait presque rien de sa vie. Elle ne me posait aucune question sur la mienne. Sans doute par crainte d'apprendre des choses qui auraient pu lui déplaire. Aimer écrire, c'est coucher des mots sur le papier, et non pas partager le lit de Madame de Staël. Mon existence en dehors de la littérature ne méritait pas que je la fisse souffrir avec des passades sans importance. Elle ne pouvait être jalouse de ma méridienne. Je ne vivais que dans l'attente d'un prochain rendez-vous, de baisers volés, d'étreintes usurpées. Où aurait-il lieu ? En réalité je passais plus de temps à imaginer Charlotte qu'à la voir. Et quand je la retrouvais, c'était à travers la brume de ce songe que j'avais construit autour d'elle. Elle m'écrivait des lettres brèves, quelques phrases denses comme des aphorismes, datées avec précision. Elle indiquait toujours l'heure et le temps qu'il faisait. L'amour seul nous fait pressentir l'indicible. Et la poésie. Mais c'est encore l'amour qui la suscite, module son chant et fait frémir ses incantations lumineusement obscures.   Chaque étape initiative de notre existence, est en relation intime avec un amour qui épanouit ses virtualités. J'appris un jour qu'elle avait épousé un éleveur de chevaux. Elle était fière, aussi farouche que les pur-sang que son mari dressait dans sa propriété de l'Orne. Elle préférait ne pas s'interroger sur le moment de folie qui, contre tous ses principes l'avait jetée dans ses bras. Cela lui semblait un phénomène aussi bizarre que la foudre ou un tremblement de terre. Elle avait construit autour d'elle un mur pour se protéger et se croyait à l'abri. Elle se sentait imprenable autant par dégoût des autres que par un sentiment de fierté qui lui faisait juger les choses de l'amour soit comme un idéal impossible soit comme un abandon bestial. Elle n'imaginait pas l'entre-deux. La vie devint pour elle, droite, sans écart, maintenue dans son parcours par une main inflexible, faisant de la doctrine du Cadre noir de Saumur sa ligne de conduite. " En avant, calme et droit ", la citation du général L'Hotte l'inspira. Avait-elle lu le beau roman de François Nourissier ? Au milieu de la vie, elle voyait venir l'hiver. Elle acceptait avec cran la solitude qui de plus en plus l'envelopperait dans ses voiles glacés. Charlotte échappait à cette angoisse en demandant à la nature de lui offrir les plaisirs, les joies, les émotions qui lui manquaient. Cette liberté de l'instinct débridé, l'ardeur des saillies, les montées de la sève et l'allégresse reproductrice du monde végétal la fascinaient. Elle ne vivait plus que pour les chevaux, les arbres et les fleurs. Elle habillait sa sauvagerie nouvelle d'un masque de mondanité provincial. Elle voulait que sa vie fût pareille à l'union de ces deux arbres dont l'un domine l'autre si câlinement.   À l'époque où elle se décida à renouer avec moi, elle avait depuis longtemps renoncé à aimer. Mariée depuis quinze ans à un aristocrate qui avait le double de son âge, elle formait avec lui un de ces couples unis par l'affection et par une forme de spiritualisation qui liait plus leurs âmes que leurs corps. Elle croyait son cœur fermé à jamais, mais redoutait ce pernicieux viscère comme une source de faiblesse que d'avance, elle ne se pardonnait pas. Sans doute, se méfiait-elle de moi. Bientôt elle m'invita chez elle et me présenta à son mari qui m'accueillit avec une diplomatique et rigoureuse politesse. Nous étions dans un monde où tout se joue sur les apparences, où le soupçon, les arrière-pensées étaient bannis. Un monde de civilité absolue où ce qui n'est pas montré pas plus que ce qui n'est pas dit n'avaient droit à l'existence. Il m'emmena faire le tour du parc ainsi que de manière immuable, il procédait avec ses hôtes et me tint les mêmes propos qu'il leur avait tenus à tous pendant leur visite, propos qui certainement devaient être à quelques nuances près, ceux de son père et de ses aïeux. Des chevaux gambadaient dans une prairie, d'autres travaillaient dans une carrière. Tout était dans un ordre parfait. La maison du jardinier rutilait. La serre semblait aussi propre et rangée qu'une salle d'opération. Un hommage à Monsieur de Buffon. Seul le cœur semblait ne pas avoir de place. On le considérait comme un intrus. J'allais monter à cheval avec Charlotte. Nous nous promenions dans les bois. Parfois nous rentrions avec le crépuscule, et cette demi-obscurité jetait sur nous des ombres coupables. Son mari nous attendait impavide sur le perron. Sa distance, son indifférence vis-à-vis d'une liaison qu'il ne voulait pas voir, étaient presque plus lourdes à supporter que s'il nous avait attendues un fusil chargé à la main. Ce silence du non-dit pesait comme une faute. Je regagnai ma chambre et dans cette atmosphère de crime, Charlotte se glissa contre moi. Elle devait repartir à l'aube, et au matin, m'éveillant dans le lit vide, je me demandai si je n'avais pas rêvé.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/07/25
Elle avait si souvent couché avec des femmes de passage ! Elle eut beau se souvenir de tous ces corps, s'émouvoir, rétrospectivement, de ces plaisirs, faire l'inventaire de toutes ces chambres, compter ses visages, ces rencontres, rien n'y fit. Cette jeune femme se tenait droite, toute seule, différente des autres au milieu de sa vie. C'était comme s'elle avait su qu'il y aurait désormais un avant et après Charlotte. La vie, c'était comme les chambres d'hôtel: comment était-il possible qu'entre ses murs rien ne subsistât des gestes qu'on y accomplissait. Sa passion existait, et elle existait par sa faute. Il était aussi puéril de souhaiter le contraire que d'espérer au cours d'un examen disparaître sous terre parce que l'on ne peut pas répondre.Tout au long de leurs nuits ensemble, elles se languirent sans dire un mot. Une lourde chaleur estivale s'était poséee sur elles. Durant huit ou dix jours, elles ressuscitèrent cet amour. Un soir sur deux ou sur trois, la jeune femme disparaissait. Son amante ne lui posa pas de question. Elle était douce-amère, plaisante et un peu ingrate. Les sentiments dont on parle n'ont jamais l'épaisseur qu'ils avaient dans le silence. Et le temps qui s'écoule entre l'évènement et le récit leur prête tous les reflets, toutes les réfractations du souvenir. Ce bonheur d'autrefois n'est-il pas chargé déjà de l'amour qu'il annonce et précède ? N'est-il pas affligé déjà de sa fin qu'il annonce et précède ? N'est-il pas affligé déjà de sa fin qu'il pressent ? Pour ne mentir jamais, il faudrait vivre seulement. Mais les projets secrets, tous les desseins du cœur, ses souvenirs étouffés, tout ce qu'il attend sans le dire brisent déjà cette simplicité impossible. Laissons donc aux mots leur part inévitable d'imposture et d'ambiguÏté. La métamorphose fut délectable. Les souvenirs très précis de leur dernière étreinte la cambrèrent d'une délicieuse honte et courut en petits frissons dans son dos. Une bouffée d'orgueil l'obligea soudain à sourire et à respirer très vite. La première fois, c'est la promesse d'une longue série d'autres fois, mais c'est aussi le deuil de quelque chose qui n'arrivera plus. Il ne peut pas y avoir hélas plusieurs premières fois. Charlotte prit sur le lit une robe dos-nu, très échancrée sur les reins, le serre-taille assorti, les bracelets en cuir et le corsage, croisé devant et noué derrière pouvant ainsi suivre la ligne plus ou moins fine du buste, selon qu'on avait plus ou moins serré le corset. Juliette l'avait beaucoup serré. Sa robe était de soie noire. Sa Maîtresse lui demanda de la relever. À deux mains, elle releva la soie légère et le linon qui la doublait découvrit un ventre doré, des cuisses hâlées, et un triangle glabre clos. Juliette y porta la main et le fouilla lentement, de l'autre main faisant saillir la pointe d'un sein. Charlotte voyait son visage ironique mais attentif, ses yeux cruels qui guettaient la bouche entrouverte et le cou renversé que serrait le collier de cuir. Elle se sentait ainsi en danger constant. Lorsque Juliette l'avertit qu'elle désirait la fouetter, Charlotte se déshabilla, ne conservant que l'étroit corset et ses bracelets. Juliette lui attacha les mains au-dessus de la tête, avec la chaîne qui passait dans l'anneau fixé au plafond et tira pour la raccourcir. La chaîne cliquetait dans l'anneau, et se tendit si bien que la jeune femme pouvait seulement se tenir debout. Quand elle fut ainsi liée, sa Maîtresse l'embrassa, lui dit qu'elle l'aimait, et la fouetta alors sans ménagement. Un touble mélangé de honte, de volupté, de rébellion et d'impuissance la saisit à la fois. Il y eut une plainte, un sursaut de poitrine. Elle soupira, serra les dents, regardant intensément Juliette, alors animée du désir irrésistible de vouloir la dépecer, puis renversa la tête et attendit. À nouveau, une longue plainte jaillit des lèvres serrées, finit en un cri aigu. Endolorie et horrifiée, elle ne savait comment remercier Juliette de ce qu'elle venait de faire pour elle, mais elle était heureuse de lui avoir fait plaisir. En fermant les yeux, elle réussit à endormir toute pensée de révolte.   D'inquiétudes morales, elle n'en avait guère. Comment peut-on éprouver honte et culpabilité, et en même temps juger avec cette superbe assurance ? Un grand soleil l'innonda. Ce qu'est l'amour d'abord, c'est une complicité. Une complicité et un secret. Parler d'un amour, c'est peut-être déjà le trahir. L'amour ne se passe qu'entre deux êtres. Tout ce qu'on y introduit d'étranger lui fait perdre de sa force et de sa pureté, le menace de mort. Lorsque Charlotte tourna la tête vers Juliette, alertée par le bruit d'une cascade qu'elle avait, à sa grande confusion, du mal à maîtriser et à diriger, il y avait sur son visage, non pas cette attention pointue et intimidée que sa Maîtresse attendait, ce guet presque animal, regard aminci, sourcils bas, lippe close et frémissante, mais une gravité douce, comme si soudain elle avait eu la pudeur de ses exigences, et honte qu'on les satisfît. Qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à ses lèvres gonflées, à son cou enserré par le collier, et à ses yeux plus grands et plus clairs, et qui ne fuyaient pas. Elle la regarda se débattre, si vainement, elle écouta ses gémissement devenir des cris. Le corset qui la tenait droite, les chaînes qui la tenaient soumise, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose. À force d'être fouettée, une affreuse satiété de la douleur dût la plonger dans un état proche du sommeil ou du somnambulisme. Le spectacle aussi et la conscience de son propre corps. Mais au contraire, on voyait sur son visage la sérénité et le calme intérieur qu'on devine aux yeux des recluses. Elle perdit le compte des supplices, de ses cris, que la voûte étouffait. Charlotte oscillait de douleur. Mains libres, elle aurait tenté de braver les assauts de Juliette, elle aurait osé dérisoirement s'interposer entre ses reins et le fouet, qui la transperçait. Chaque cinglement amenait un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. Lorsqu'elle entendit un sifflement sec, Charlotte ressentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'approchât de Charlotte et lui caressa le visage, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée, puis elle lui ordonna de se retourner et recommença, frappant plus fort, les fines lanières de cuir lacérèrent sans pitié l'auréole de ses seins. Le dénouement était là, quand elle ne l'attendait plus, en admettant, se disait-elle, que ce fut bien le dénouement. Elle laissa couler quelques larmes.   Si la vérité de ce qu'on dit, c'est ce qu'on fait, on peut aussi bien renoncer à parler. L'amour le plus banal et le plus médiocre est un peu plus compliqué que la physique la plus ardue. C'est qu'il relève d'un autre ordre où les corps et l'esprit dansent les plus étranges ballets et dont la nécessité est toute faite d'imprévu. Qui pourrait deviner dans le premier sourire et dans les premiers mots adressés par une femme à une autre femme ce qu'elle sera ensuite pour elle ? Il sembla à Charlotte que Juliette l'acceuillait sans défaveur. Elle sut alors que la position de sa Maîtresse était plus difficile que la sienne, car on ne s'improvise pas meneuse de jeux érotiques, violeuse de tabous, dénonciatrice de routine. Sa résistance l'eût peut-être agaçé, ou déçu, mais réconforté. Elle avait obéi, et elle se sentait soudain dépassée par l'idée que le geste était un geste d'amour pour un bourreau étrange auquel on s'efforce de plaire. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses écartées et toujours enchaînée. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. S'approchant d'elle, Juliette tenait à la main une bougie allumée. Lentement, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. Ses forces venaient soudainement de l'abandonner. Sa bouche s'ouvrait mais n'émettait aucun son audible. Incapable d'opposer la moindre résistance, elle était prête à se laisser emporter. La pression avait été telle ces dernières semaines qu'elle ressentit cette intrusion comme une délivrance. Les berges aveuglantes de la Seine en étaient toutes éclaboussées et, un instant, elle se dit qu'elle aimait Juliette et qu'elle allait se jeter dans ses bras et que le monde serait merveilleux pour toujours.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir. 
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Par : le 22/07/25
Elle se dit que son amante ne ressemblait pas aux autres. On était toujours le trouble-fête de quelqu'un. Si elle avait été une femme de passage et non sa Maîtresse, elle ne lui aurait pas expliqué que l'on était responsable de sa vie dans ses méandres, ses ratages, ses succès aussi. Que tout sauf la maladie dépendait du désir que l'on avait que les choses surviennent. Que l'on avait les amours, les histoires que l'on méritait. Peut-être que les souvenirs sont beaux à cause de cela. Elle se revoit seulement descendre les marches quatre à quatre, dans un tel état, une angoisse d'abandon, qu'elle fut prise d'un hoquet. Elle ne se rappela même plus les explications que Juliette lui donna le lendemain. Juste de l'escalier et de ses yeux brouillés de larmes et de sommeil. Peut-être qu'avec le temps, le filtre des années, ils deviennent comme des produits purifiés, débarrassés des scories du chagrin et de la peur. La jeune femme tenta d'articuler un mot, mais son visage se froissa. Ravagée de désirs, elle regarda silencieusement sa Maîtresse. Ces deux victimes de l'amour n'avaient jamais su s'adapter à un univers classique et d'amantes décourageables. Charlotte fut libérée de sa cellule et elle prit sur le lit une robe dos-nu, très échancrée sur les reins, le serre-taille assorti, les bracelets en cuir et le corsage, croisé devant et noué derrière pouvant ainsi suivre la ligne plus ou moins fine du buste, selon qu'on avait plus ou moins serré le corset. Juliette l'avait beaucoup serré. Sa robe était de soie bleue. Sa Maîtresse lui demanda de la relever. À deux mains, elle releva la soie légère et le linon qui la doublait découvrit un ventre doré, des cuisses hâlées, et un triangle glabre clos. Juliette y porta la main et le fouilla lentement, de l'autre main faisant saillir la pointe d'un sein. Charlotte voyait son visage ironique mais attentif, ses yeux cruels qui guettaient la bouche entrouverte et le cou renversé que serrait le collier de cuir. Elle se sentait ainsi en danger constant. Lorsque Juliette l'avertit qu'elle désirait la fouetter, Charlotte se déshabilla, ne conservant que l'étroit corset et ses bracelets. Juliette lui attacha les mains au-dessus de la tête, avec la chaîne qui passait dans l'anneau fixé au plafond et tira pour la raccourcir. La chaîne cliquetait dans l'anneau, et se tendit si bien que la jeune femme pouvait seulement se tenir debout. Quand elle fut ainsi liée, sa Maîtresse l'embrassa, lui dit qu'elle l'aimait, et la fouetta sans ménagement. Elle avait contracté la manie d'être indélébile dans la vie de sa Maîtresse. Qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à ses lèvres gonflées, à son cou enserré par le collier, et à ses yeux plus grands et plus clairs, et qui ne fuyaient pas. Elle la regarda se débattre, si vainement, elle écouta ses gémissement devenir des cris. Le corset qui la tenait droite, les chaînes qui la tenaient soumise, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose. À force d'être fouettée, une affreuse satiété de la douleur dût la plonger dans un état proche du sommeil ou du somnambulisme. Mais sans se l'avouer elle-même, son bonheur était sombre mais absolu. Elle avait vécu toute seule mais sans la moindres parcelle d'hypocrisie.    Il lui vint à l'esprit que peut-être l'hypocrisie avait du bon. Ainsi, si elle avait su en jouer, elle n'aurait pas demandé à son amante de la fouetter. Elle n'avait été humiliée qu'une seule fois. Bien entendu, elle avait peur, mais cela ne se voyait pas. Elle ne jugeait pas utile d'avouer cette crainte à cette amante car elle n'en avait rencontré aucune susceptible de l'atténuer. Les deux jeunes femmes retrouvent spontanément les mêmes mots, les mêmes gestes, les mêmes procédures intimes à des semaines de distance, peut-être parce que le sexe est la réminiscence du sexe, avant de desserrer leur étreinte, le corps en nage. Le spectacle aussi et la conscience de son propre corps. Mais au contraire, on voyait sur son visage la sérénité et le calme intérieur qu'on devine aux yeux des recluses. Elle perdit le compte des supplices, de ses cris, que la voûte étouffait. Charlotte oscillait de douleur. Mains libres, elle aurait tenté de braver les assauts de Juliette, elle aurait osé dérisoirement s'interposer entre ses reins et le fouet, qui la transperçait. Chaque cinglement amenait un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. Lorsqu'elle entendit un sifflement sec, Charlotte ressentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'approchât de Charlotte et lui caressa le visage, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée, puis elle lui ordonna de se retourner et recommença, frappant plus fort, les fines lanières de cuir lacérèrent sans pitié l'auréole de ses seins. Sa séduction demeurait une offensive de tous les instants. Cernée de brouillard, elle était à nouveau une féminité disponible. Le dénouement était là, quand elle ne l'attendait plus, en admettant, se disait-elle, que ce fut bien le dénouement. Charlotte laissa couler quelques larmes. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses écartées et toujours enchaînée. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres sur le sexe humide, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus.   Elle lui sut gré de ce silence. Impossible de circonscrire le plaisir dans un vocabulaire, de l'assigner à résidence dans les frontières du language. Toujours les mêmes mots pour dire le plaisir, mais jamais le même plaisir entre les mots. C'est pourquoi elles avaient gardé la discrétion. Tandis que la jeune femme essayait de contenir sa frayeur, son amante se fit la remarque que sa robe bleue avait des nuances aussi changeantes que la robe du Temps que portait Peau d'Âne, elle qui adorait depuis toujours les films de Jacques Demy. Avec son long cou et ses yeux bruns, elle avait manifestement ce genre de beauté, mais cela, elle ne lui dit pas. Charlotte se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. S'approchant d'elle, Juliette tenait à la main une bougie allumée. Lentement, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Muette et comme enfermée dans un corridor de ténèbres, la jeune femme semblait cuver sa souffrance, digérer de l'amertume et subir au plus profond d'elle-même de terribles craquelures. Pas un instant elle n'eut la gravité légère d'une double-rate ni la courtoisie de paraître heureuse. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la bienséance et de la modestie.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 19/07/25
Journée découverte.   Nous partons plus ou moins à l'aventure de cette forêt que tu as choisis. Durant le chemin de te taquine, je viens glisser ma main et te caresser la queue pendant que tu nous conduis. Tu es si obéissant et docile que tu ne dis rien, tu souris juste, et tu me feras juste remarquer que je suis coquine. Nous arrivons à l'endroit désiré, il nous reste plus maintenant qu'à nous trouver un petit coin discret. Tu prends nos affaires et nous entamons la promenade. Nous marchons tranquillement, pas un chat, ou juste quelques vélos sur le grand chemin, tu as bien choisis le jour. Nous continuons 10 minutes, puis je décide de tourner à droite vers un petit chemin. Plus nous avançons, plus nous nous éloignons des risques de trouver promeneurs. 5 minutes passent et nous décidons de pénétrer au cœur de cette forêt sans chemins cette fois. Nous trouvons un petit coin isolé par les arbres et feuillages. Je décide que c'est ici que nous nous poserons.   Nous y sommes, enfin, ce moment que nous attendions tant est enfin arrivé ! Les frissons m'ont parcourus durant tout ce temps jusqu'à cet instant, où tu commence à te déshabiller. Là c'est tout mon corps qui chantonne, de ces grands frissons qui ne s'arrêtent plus. Je te veux !   Toujours aussi élégant avec tes beaux portes jarretelles et bas noir en résille. Te voici enfin nu. Je t'aide à installer ton collier à vis, minutieusement pour ne surtout pas la perdre dans les feuillages. Au tour de tes poignets qui entourent ce fin arbre courbé, qui s'épouse parfaitement à tes bras. Je ferme les menottes à vis aussi.   Le feu brûle en moi, je sens cette puissante adrénaline qui monte, c'est tellement fort, tellement bon. Je prend la badine, me rapproche, et le premier coup tombe sur cette peau douce de ton petit Cul de Chienne ! Tu commences à compter. Et plus tu comptes et plus les sensations augmentent en moi. 10, 11, 12, 23, 24, 25, mon corps frissonne lorsque le tien flanche au rythme de la badine. 36, 37, 38. Tu es si beau, si endurant, et tu t'affranchis de ce qui t'était destiné. 49, 50 ! Je baisse la badine. Pause. Ma langue vient à la croisée de la tienne, et nous échangeons des baisers. Je te veux tellement, je te désir ! Coquine m'as tu dit dans la voiture. Attends ! Je m’accroupis et cette fois c'est ma bouche qui enveloppe ta queue toute excitée. Je ressens aussi ton désir, et je te veux plus fort.   Stop ! Assez de douceur accordée, où en étions nous dans nos comptes ?! 51, 52, 53, Au fur et mesure, je tiens la mesure, et me perfectionne dans cet art que tu m'as fait découvrir la semaine dernière. 65, 66, 67, ma main vient se poser sur ta queue qui mouille, et je commence ce doux mélange de caresses à ta queue et douleur de la badine continuant le jeu. Nous y sommes, parfaitement en osmose dans cette nature . Je n'avais jamais vécue une telle situation , et n'imaginais pas que l'on puisse se sentir aussi bien, en parfaite harmonie. 98, 99, 100 ! Je te prends dans mes bras, quelques baisers échangés, puis c'est la relâche, je te libère enfin.   Que d'émotions, jamais connus avant toi. Je savais que le volcan dormait en moi, et toi tu lui donne un sens pour qu'il se contienne et ne parte pas en tout sens. Tu sais que je naît dans cette pratique, et tu me fais confiance. Nous avançons dans cette découverte de nous, et nous nous découvrons en union.   Te rappelles tu ce que nous nous étions dit ?! Après avoir retiré tes bas et mis complètement nu, il nous reste un dernier détail... Nous étions convenus à 160 coups de badine accumulés cette semaine. Tu retourne à l'arbre, sans y être attaché cette fois, libre de fuir. Tu as le mot de secours, à tout moment tu peux arrêter, et pourtant tu es bien là, si courageux et droit dans les règles que nous nous sommes fixées. 101, 102, 103... Mélanges de caresses, de baisés, de badine. 125, 126, 127... Tu es toujours là à compter, ne pas fuir, droit. Je suis si fière de toi ! 158, 159, 160 !   Je mesures la chance que j'ai de t'avoir rencontré et de t'avoir laissé pousser la porte de mon monde, qui en se découvrant tout deux est le tiens aussi. Je mesure la chance de nous être donnés cette chance unique de nous lier. Mélange de douleur, de douceur, d'attachement déjà présent. Aucune préméditation. Nous nous accordons de vivre pleinement cette union, dans l'harmonie de nos sens, de nos désirs qui se rejoignent, Je suis si fière de toi, tellement Adam. Tu es si beau lorsque tu m'appartiens !.. .#photoperso  
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